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La carte mère est l'élément central du PC. C’est un circuit imprimé qui assure la
connexion physique de tous les composants de l’ordinateur
PC KONAN N'DRI
Portable 1
LES PRINCIPALES CARACTERISTIQUES D’UNE C.M.
• Le facteur d'encombrement ou facteur de forme représente la
géométrie, les dimensions, l'agencement et les caractéristiques électriques
de la carte mère ;
• Plusieurs constructeurs se partagent le marché des cartes mères , On peut
citer Abit, Albatron, Aopen, Asrock, ASUS, NVDIA etc …..
• Les composants intégrés Les plus importants sont :
le chipset, l'horloge, la pile du CMOS (Complementary Metal-Oxyde
Semiconductor), le BIOS ou l’UEFI, le bus système et les bus d'extension,
les périphériques multimédia (audio, vidéo) et de communication (réseau,
modem).
• Le BIOS (Basic Input/Output System) ou l’UEFI (Unified Extensible
Firmeware Interface) est le programme basique qui sert d'interface entre le
système d'exploitation et la carte mère. 2
• LE BUS SYSTÈME, LES BUS D'EXTENSION ET LES PORTS
➢On caractérise un bus par sa fréquence (cadence de transmission des bits)
et sa largeur (nombre de bits pouvant être transmis simultanément). 2 Bus
de même largeur peuvent communiquer.
• Le bus système ou bus interne ou Front-Side Bus (FSB) est le plus rapide de
l’ordinateur.
➢Le Serial ATA (SATA), remplaçant du bus IDE ou Parallèle ATA, présente
des débits allant de 150 Mo/s SATA1 - 300 Mo/s SATA2 et 600 Mo/s
SATA3. Il permet de connecter des disques durs et des lecteurs optiques.
➢ Le PCI Express, remplaçant des bus PCI et AGP, permet d’atteindre des
débits de 250 Mo/s (version 4x) à la base et jusqu’à 8 Go/s dans la version
16x. Il permet de connecter des cartes graphiques ou des cartes son, etc
• Les connecteurs de mémoires vives (RAM)
➢Ils accueillent les mémoires vives, Ils possèdent un détrompeur dont
l'emplacement change en fonction du type de mémoire (SDram, DDR,
etc).
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• Les ports d'entrée-sortie ou connecteurs permettent au
système de communiquer avec des éléments extérieurs (PS2,
USB, Série, Parallèle, VGA, RJ 45, audio).
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SYSTÈME DE REFROIDISSEMENT
• le rayonnement thermique des processeurs augmente plus la fréquence
augmente
• Un processeur mal refroidit entraîne des dysfonctionnements du PC ou même la
destruction du processeur
• un système d’air cooling (ventilateur + radiateur ou heat pipe) ou de water
cooling assure le refroidissement du processeur.
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LES MEMOIRES
• On appelle mémoire tout support permettant de stocker temporairement ou
définitivement les informations et de les restituer à la demande.
• Il existe deux types de mémoire dans un système informatique : la mémoire
centrale et la mémoire de masse
• la mémoire centrale qui est très rapide, physiquement peu encombrante
mais coûteuse, c'est la mémoire de travail de l'ordinateur ;
• la mémoire de masse ou mémoire auxiliaire, qui est plus lente, assez
encombrante physiquement, mais meilleur marché, c'est la mémoire de «
sauvegarde » des informations.
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Caractéristiques:
• La capacité = volume global d'informations (en bits) que la mémoire
peut stocker ;
• Le temps d'accès = intervalle de temps entre la demande de
lecture/écriture et la disponibilité de la donnée ;
• Le temps de cycle = intervalle de temps minimum entre deux accès
successifs ;
• Le débit = volume d'information échangé par unité de temps, exprimé
en bits par seconde ;
• La non volatilité = aptitude d'une mémoire à conserver les données
lorsqu'elle n'est plus alimentée électriquement.
• Le coût
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• Hiérarchie mémoire d'un ordinateur en fonction du temps de réponse, du
coût et de la taille
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LES MEMOIRES
• Les mémoires se différencient par l'ordre dans lequel on peut accéder
à leurs données.
• Mémoires Séquentielles
L'accès aux données se fait dans un ordre prédéfini.
On parcourt la mémoire dans l'ordre, en commençant par la première
donnée, et en passant à la donnée suivante après une lecture ou une
écriture
Exemple : les bandes magnétiques des cassettes audios ou vidéos
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LES MEMOIRES
• Mémoires à accès aléatoire
On accède à la donnée de chaque case mémoire dans n'importe
quel ordre
On indique l'adresse de la donnée dans la mémoire.
Exemple : les mémoires entièrement électroniques (RAM, ROM,
CLE USB, etc,)
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LES MEMOIRES CENTRALES
• Il s’agit de:
• La mémoire RAM
• La mémoire ROM
• La mémoire cache
• La mémoire spécialisée : les registres
• La mémoire (RAM)
➢ C’est une mémoire vive, appelée RAM (Random Access
Memory).
➢Il constitue la mémoire principale du système.
➢Il s'agit d'un espace qui permet de stocker de manière
temporaire des données lors de l'exécution d'un programme.
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Types de mémoires vives
• On distingue généralement deux grandes catégories de mémoires vives :
➢Les mémoires dynamiques (DRAM, Dynamic Random Access
Memory), sont lentes mais peu coûteuses.
➢Elles sont principalement utilisées pour la mémoire centrale de
l'ordinateur.
➢Fonctionnement : Les mémoires dynamiques sont basées sur l'utilisation
d'un condensateur qui maintient entre ses électrodes une tension de 5V et
de 0V ce qui équivaut aux états 0 et 1. Vu que le condensateur se
décharge, il faut procéder à un rafraîchissement périodique de la
mémoire.
NB : Chaque lecture
décharge compétemment
le condensateur 15
• Les mémoires statiques (SRAM, Static Random Access Memory),
rapides et onéreuses.
• Les SRAM sont utilisées pour les registres et les mémoires cache L1, L2
et L3.
• Fonctionnement : Dans une SRAM un "bistable" formé de deux
transistors est utilisé pour représenter un élément de mémorisation.
Sans intervention de l'extérieur, le bistable maintient un état électrique
représentant une information binaire.
À chacun des états, un des deux transistors est saturé et l'autre bloqué, et
seule l'application d'une tension électrique peut faire passer le bistable d'un
état à l'autre.
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• La mémoire morte (ROM)
• La ROM (Read Only Memory) est une mémoire accessible seulement
en lecture qui contient le programme du constructeur.
• Presque toutes les "puces" présentes sur la carte mère sont des mémoires
ROM (chipset, Bios clavier).
• Un des défauts de ce type de mémoire est sa lenteur d'accès (150ns).
• La ROM permet de conserver les données constructeurs ou des utilisateurs
• Fonctionnement : La mémoire ROM est
composée d'une matrice dont la programmation
s’effectue en reliant les lignes aux colonnes par
des diodes.
• L'adresse permet de sélectionner une ligne de la
matrice et les données sont alors reçues sur les
colonnes (le nombre de colonnes fixant la taille
des mots mémoire). 17
• Les types de ROM
Des mémoires mortes figées on a des mémoires programmables, puis
reprogrammables. Nous avons :
• les PROM (Programmable Read Only Memory,
➢Ces mémoires sont constituées de fusibles pouvant être grillés grâce à une
forte tension (12V) dans certains fusibles.
-Un fusible grillé correspond à un 0,
-un fusible non grillé à un 1
• les EPROM (Erasable Programmable Read Only Memory)
Même principe que les PROM, sauf que cette mémoire est effaçable
en présence de rayons ultra-violets d'une longueur d'onde précise, les
fusibles sont reconstitués, et tous les bits reviennent à une valeur de 1
• EEPROM (Electrically Erasable Programmable Read Only Memory)
Il s’agit d’une EPROM effaçable par un courant électrique. Ces mémoires
sont aussi appelées mémoires flash. 18
LES MEMOIRES DE MASSE OU AUXILLIAIRES
• En informatique, une mémoire de masse est une mémoire de grande
capacité, non volatile qui peut être lue et écrite par un ordinateur. La
mémoire de masse correspond aux :
➢ dispositifs de stockage magnétiques (disque dur, bande
magnétique),
➢ dispositifs de stockage optiques (CD-ROM, DVD-ROM, Blu-ray),
➢ mémoires électroniques (Clé USB, carte mémoire, Disque SSD).
• Utilisations principales des mémoires de masse
Installation des logiciels et conservation de leurs paramètres d'utilisation
Conservation des informations entre séances de travail
Sauvegarde de sécurité
Transfert d'informations : vente de logiciels sur CD-ROM, clé USB, etc.
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LE DISQUE DUR ELECTROMECANIQUE
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• Un disque dur, en anglais hard drive (HD) ou hard disk drive (HDD),
est une mémoire de masse magnétique, Il comprend :
➢des plateaux en aluminium ou en verre superposés sur lesquels une
couche d'élément magnétique est déposée (généralement sous forme
d'oxyde de fer).
➢d'un moteur de rotation unique pour l'ensemble des plateaux, il tourne
en permanence entre 3600 et + de 10000 tpm.
➢de têtes de lecture / écriture (une par plateau) qui lisent et écrivent les
informations, elles survolent les plateaux à une distance infime (0,2
µm). Un cheveu à un diamètre variant entre 0.04 à 0.1mm
➢d'un moteur pas à pas pour les déplacements des têtes.
➢d'une interface électronique servant de contrôleur (SATA, PATA,
SCSI)
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ORGANISATION LOGIQUE DES DONNEES DU DISQUE
• PISTES, CYLINDRE
Les pistes sont les cercles concentriques balayés pendant la rotation du
disque par rapport aux têtes de lecture/écriture
Les cylindres représentent les pistes situées les unes au dessus des autres
La Vitesse de rotation du moteur d'entraînement des plateaux des disques
durs sont de : 5400 tpm, 7000 tpm, 10000 tpm et 15000 tpm
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SECTEURS
• Les pistes des disques sont divisées en unités de stockage élémentaires
appelés secteur par le formatage de bas niveau en usine. Toutes les pistes
comportent le même nombre de secteurs. La taille d'un secteur est fixe et
généralement de 512 octets.
• Les clusters sont créés au formatage de haut niveau par l’utilisateur. La
taille varie suivant le type et la taille de la partition.
• Le cluster est la plus petite capacité minimum utilisée par un fichier, il est
indivisible.
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CAPACITE
• La capacité d'un disque dur se déduit de la formule ci-dessous:
• Capacité nette = secteurs x capacité de secteurs x cylindre x nombre
de têtes.
• Par exemple, pour un disque dur qui possède 1245 cylindres, 255
têtes (plateaux) et 63 secteurs, la formule devient:
• Capacité nette = 63*512*1245*255= 10322727645. Divisons par
1000 * 1000 * 1000 (le Kilo hardware) pour obtenir 10,322 GB.
• Densité d’enregistrement magnétique
• Le volume d’information que l’on peut stocker sur une longueur
donnée de surface magnétique dépend de la densité longitudinale
d’enregistrement, que l’on mesure en BPI. Les densités typiques sont
de l’ordre de 10 000 BPI 24
Les têtes de lecture / Ecriture et la surface du disque dur
• La distance entre la tête de lecture/écriture et le support magnétique est
de l’ordre de 0,2 µm. Pour cela une très grande propreté de la surface est
exigée. Les disques durs sont scellés afin d’éviter toute entrée de
poussière.
Les diverses particules de poussières sont très gênantes pour l’utilisation d’un support magnétique : sont ici représentés à
la même échelle que la tête de lecture, une particule de fumée, une trace d’empreinte digitale, une poussière et un
cheveu 25
LES CRITÈRES DE CHOIX D'UN DISQUE DUR HDD
Le choix d'un disque dur répond aux critères suivants:
• La capacité de stockage / 80 Go à 2 To.
• La vitesse de rotation des plateaux / 5400, 7200, 10000,
15000 TPM.
• Le type de connexion IDE ou PATA, SATA, SCSI.
• La mémoire tampon du disque dur en Mo / 4, 8, 16 Mo
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CAPACITE DES DISQUES DURS ACTUELS
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SOLID-STATE DRIVE (SSD)
• Un SSD est un disque dur entièrement électronique qui permet le stockage
de données sur des mémoires flash.
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FONCTIONNEMENT
• 1. Control Chip Est le contrôleur qui gère les opérations suivantes :
• – ECC Checking ou Error Correction Code vérifie que le block qui vient
d’être écrit est bon.
• – wear levelling est le concept de mise à niveau de l’usure des cellules :Il
permet d’optimiser la durée de vie des cellules flash en veillant à ce que le
nombre de cycles effacement/écriture soit identique sur chaque cellules ou
bloc.
• NB : La plus petite unité pilotable d’une mémoire flash est le block, donc
64 fois la taille d’un secteur. Pour un disque dur magnétique la plus petite
unité est le secteur (512 Ko).
• – True FFS (Flash File System) : Contrôle le nombre de fois où on réécrit
sur le même block avant qu’il ne soit inutilisable. (100 000 fois pour les
disques SLC).
• 2. Les composants flash stockent l’information.(Cache inclus) 29
• AVANTAGES
• Plus solide qu'un disque dur électromagnétique ;
• Plus performant qu’un disque dur électromagnétique (débit, latence
inexistante, consommation d’énergie)
• INCONVÉNIENTS
• le rapport prix/capacité reste en faveur du disque électromagnétique
• on ne peut réécrire que des zones bien plus grandes qu'un secteur de
disque électromagnétique 128 ou 512 kio.
• une perte de réactivité faute de temps processeur à consacrer au
clavier (0 latence)
• Utilisation du TRIM pour améliorer les performances du SSD. Il s’agit d’une
commande qui permet à un système d’exploitation d'indiquer à un contrôleur de stockage de type mémoire
flash (SSD) quels blocs de données ne sont plus utilisés et peuvent donc être effacés.
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• Il existe trois types de mémoire flash :
• la SLC NAND (Single Level Cell), dans laquelle chaque cellule élémentaire
peut stocker un seul bit (deux niveaux de charge),
• la MLC NAND (Multi Level Cell), dans laquelle les cellules peuvent stocker
plusieurs bits (le plus souvent 2 bits), soit quatre niveaux de charge.
• La TLC NAND (Triple Level Cell), variante de MLC comportant 3 bits, soit
huit niveaux de charge, également appelé MLC « X3 » et qui augmente
encore le nombre de bits stockés par cellule.
• La majorité des SSD grand public utilisent de la mémoire MLC,
• la mémoire SLC se retrouve dans les SSD destinés aux entreprises et aux
serveurs.
• Durée de vie les SLC supportent environ 100 000 cycles écriture/effacement.
La MLC supportent environ 3 000 à 10 000 cycles par cellule. La TLC est la
technologie qui a la plus faible durée de vie avec environ 1 000 cycles
d'écritures/effacement par cellules
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DISQUE SSHD OU DISQUE HYBRIDE
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Comment fonctionne un disque SSHD ?
• Un contrôleur gère les lectures et les écritures qui se font sur le disque
L’ordinateur lit et écrit les premiers fichiers sur le plateau du disque dur SSHD
L’ordinateur a très souvent besoin du fichier 3,
Il le copiera donc sur les SSD pour accélérer
l’accès au fichier 3
Evolution dans le temps
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ATA série ou SATA
• ATA série utilise des câbles fins, avec 7 conducteurs.
• La longueur maximale est de 1 m,
• Les taux de transfert SATA I 150 Mo/s, SATA II 300 Mo/s et 600 Mo/s
pour les SATA III
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LES LECTEURS OPTIQUES
• Compact Disk Read Only Memory (CD ROM)
➢Il permet de stocker des quantités de données 650 –700 –800 Mo
➢la vitesse du lecteur CD : 1 –52 X
➢Débit de base (1 X) = 150Ko/s (lecteur 52 X = 7,8Mo/s)
➢Les données ne peuvent être ni effacées ni modifiées
➢Un graveur de CD ROM permet de créer ses propres CD
➢Un média CDRW est réinscriptibles
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• DVD ROM (Digital Versatile Disc -Read Only Memory)
➢C’est une évolution du CD ROM
➢ Les lecteurs DVD-ROM peuvent lire des CD de capacité plus
grande densité d’information avec 2 faces et 2 couches (4.7 Go, 9.0
Go, 13 Go, 17 Go).
➢Débit : 1,35 Mo/s x vitesse du lecteur
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• les alvéoles du DVD sont beaucoup plus petites (0,4µ avec un espacement
de 0.74µ contre 1.6µ et 0.83µ pour le cd-rom).
• Le DVD holographique
• Capacités: 1000 Go (200 DVD ou 1420 CD),
• taux de transfert 40 X plus rapide qu’un DVD.
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Fonctionnement des lecteurs optiques
• La tête de lecture est composée d'un laser (Light Amplification by
Stimulated Emission of Radiation) émettant un faisceau lumineux et d'une
cellule photoélectrique chargée de capter le rayon réfléchi
• Un miroir semi réfléchissant permet à la lumière réfléchie d'atteindre la
cellule photoélectrique
• Un chariot est chargé de déplacer le miroir de façon à permettre à la tête de
lecture d'accéder à l'intégralité du CD-ROM.
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LA CLÉ USB
➢Il s’agit de mémoires de masse qui se connectent sur un
port USB
➢Il en existe de toutes capacités (de quelques Go à + de 2
To) et de toutes formes, (bâtonnet, brique de Lego, ou la
forme d’une véritable clé)
➢ Elles sont constituées de mémoires flash (MLC) comme
les SSD.
➢ les contrôleurs utilisés sont moins performants que ceux
des SSD
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DESCRIPTION D’UNE CLE USB
1.Un connecteur USB mâle (type A).
2.Un contrôleur
3.JP1 et JP2 : deux connecteurs avec 10 broches,
principalement pour les tests et le débogage.
4.Hynix Semiconductor HY27USxx121M,
mémoire flash
5.Un oscillateur à quartz SKC Shin Chang
Electronics cadencé à XXX MHz.
6.Une LED pour indiquer l’activité de la clé.
7.Un interrupteur à deux positions pour protéger
la clé en écriture.
8.Une zone vierge prête à recevoir une autre
mémoire flash
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LES PÉRIPHÉRIQUES
• Les périphériques d'entrée-sortie (input-output units)
permettent le dialogue entre l’Unité Centrale et l'utilisateur
• les périphériques d'entrée permettent à l'utilisateur de
transmettre des données à l’UC. Voir le tableau ci-dessous
le joystick (très utilisé dans la
le clavier
commande de machines)
le lecteur de codes à barres la tablette graphique
l'unité de reconnaissance biologique
la souris
(empreinte digitale, voix, œil, etc.)
le scanner le microphone
les senseurs de tout type
(poids, chaleur, fumée, etc.).
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• LE CLAVIER
➢permet de communiquer des caractères, des chiffres ou des fonctions, à
l’UC, au programme ou au microprocesseur.
➢De nombreuses dispositions des touches existent : clavier AZERTY, clavier
QWERTY, clavier QWERTZ, clavier DVORAK,
➢Il se disposent en 4 Blocs
➢Bloc central : touches alphanumériques
➢ Bloc de direction : Déplacement du
point d’insertion
➢Bloc numérique : Verrouillage
Numérique
➢Bloc fonctionnel : Fonctions
prédéfinies
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• LA SOURIS
• Une souris est un dispositif de pointage des interfaces graphiques. Elle est
composée d'un petit boîtier fait pour tenir sous la main, sur lequel se trouvent
un ou plusieurs boutons.
• Il permet de déplacer sur l’écran le pointeur et de sélectionner des objets sur
l’écran ou d’envoyer des commandes à l’ordinateur
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• les périphériques de sortie ont pour rôle d’assurer la communication de
l’UC vers le périphérique. Il s’agit de :
• - l'écran ;
• - l'imprimante ;
• - l'unité de synthèse vocale (haut-parleur ou autre système d'émission de son);
• - le beamer ou vidéoprojecteur ;
• - la LED (Light-Emitting Diode) et autres témoins lumineux ou acoustiques
(beeper, vibreur).
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• Les imprimantes
• L'imprimante permet de faire une sortie sur papier les données
informatiques. Il existe plusieurs types. Les plus courantes sont :
• Jet d'encre
• Laser
• Bulles ou jet d'encre
• Matricielle
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• IMPRIMANTE À JET D'ENCRE :
• La technologie du jet d'encre a été inventée par Canon. Un fluide chauffé
produit des bulles.
• Le chercheur qui a découvert ce principe avait mis accidentellement en
contact une seringue remplie d'encre et un fer à souder, il y eu ensuite
une bulle dans la seringue qui fit jaillir de l'encre.
• Les têtes des imprimantes actuelles sont composées de nombreuses buses
(jusqu’à 256), qui sont chauffées entre 300° et 400° plusieurs fois par
seconde. Chaque buse produit une bulle
minuscule d’où s'éjecte une gouttelette
très fine. Le vide engendré par la
baisse de pression aspire une
nouvelle goutte, et ainsi de suite.
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• Imprimante laser :
➢L'imprimante laser reproduit à l'aide de points l'image que lui envoie le
PC. Grâce au laser, les points sont plus petits et la définition est
meilleure.
➢Un ionisateur de papier charge les feuilles positivement. Un ionisateur
de tambour charge le tambour négativement.
➢ Le laser se place grâce à un miroir
pour charger le tambour positivement
en certains points.
➢ Enfin l'encre du toner chargée
négativement se dépose sur les parties
du toner préalablement chargées par le
laser et viendront se s’établir sur
le papier et fixé par le four.
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LA RÉSOLUTION D’UNE IMPRIMANTE
• La résolution correspond à la qualité d'impression d'une
imprimante.
• L’unité de mesure est le point par pouce (ppp) ou DPI (Dot Per
Inch). 1 pouce = 2,54 cm.
• Par exemple une résolution de : 1400 X 720 ppp signifie :
- 1400 points sur une ligne horizontale d’une longueur de 1 pouce.
- 720 points sur une ligne verticale ayant une longueur de 1 pouce.
• Plus la résolution est élevée, plus la qualité d'impression sera
bonne.
- La résolution des imprimantes actuelles varie entre 600 X 600
ppp et 1440 X 720 ppp.
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Caractéristiques principales d’une imprimante
• Son type: matricielle, jet d'encre, à bulles d'encre ou laser.
• Sa vitesse d'impression (Ex:10 ppm)
• Sa résolution exprimé en DPI ou points par pouce (600 x
600 ppp).
• Son nombre de cartouches (1, 2, 3, ….)
• Ses fonctionnalités tel que :
- qualité photo,
- lecture d'une carte mémoire PC éteint
- impression des badges, etc
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• LES CONNEXIONS
• Il existe principalement 4 possibilités pour relier l’imprimante à l’ordinateur :
➢1/ La connexion "parallèle", ce type
de connexion était le plus couramment
utilisé par les imprimantes
(DB 25 / Centronics)
➢2/ la connexion "USB"
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Composition d’un système d’exploitation
• Le noyau (kernel) représente les fonctions telles que la gestion de
la mémoire, des processus, des fichiers, des entrées-sorties
principales, et des fonctionnalités de communication ;
• L'interpréteur de commande (shell) permet la communication
avec le système d'exploitation par l'intermédiaire d'un langage de
commandes, afin que l'utilisateur puisse piloter les périphériques
en ignorant tous des caractéristiques du matériel qu'il utilise, de la
gestion des adresses physiques, etc. ;
• Le système de fichiers (file system) permet d'enregistrer et
d’organiser les fichiers dans une arborescence sur un volume.
Un SE peut gérer plusieurs systèmes de fichiers. Parmi les SGF on
peut citer la FAT (File Allocation Table), le NTFS (New Technology
File System)
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• Le Master Boot Record ou MBR (appelé "Zone amorce") est le nom
donné au premier secteur adressable d'un disque dur (cylindre 0, tête 0
et secteur 1, ou secteur 0 en adressage logique).
➢ Il peut gérer 4 partitions principales.
➢ La taille du disque est limité à 2 To
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LES DIFFERENTS TYPES DE SE
• Un système d'exploitation est dit « multi-tâche » (en anglais multithreaded)
lorsque plusieurs «tâches» (également appelées processus) peuvent être
exécutées simultanément. C’est le contraire du système mono tâche
• Le système d’exploitation est dit à temps partagé lorsqu'un quota de temps
est alloué à chaque processus par l'ordonnanceur.
• Dans ces systèmes d'exploitation temps réel, l'accent est mis sur la durée
nécessaire pour effectuer chaque opération afin de répondre aux demandes
rapidement en vue de satisfaire aux contraintes de temps du système dans
lequel il est utilisé. Ils sont essentiellement utilisés dans l'industrie
• Un système distribué permet le partage des ressources entre les ordinateurs.
Un utilisateur d'un ordinateur bon marché peut se servir de ressources
coûteuses existant sur un autre ordinateur
• Les systèmes embarqués sont des systèmes d'exploitation prévus pour
fonctionner sur des machines de petite taille, telles que des PDA ou des
appareils électroniques autonomes
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Comparaison des quelques systèmes d'exploitation
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Le Marché des Systèmes d’Exploitation
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• Les fichiers binaires, textes et compactés
Il y a deux grands types de fichiers: les fichiers binaires (les images, les programmes)
et les fichiers textes (les textes bruts, les pages web). Tous peuvent être compressés.
• La sécurité des données
Trois dangers mettent en péril les données : la fragilité du matériel, les virus et les
risques d'intrusion. Dans les trois cas, le remède le plus efficace est la sauvegarde des
données.
• Fragilité du matériel
Les équipements informatiques sont fragiles. Les plus fragiles sont les disques durs et
les écrans.
Des onduleurs et des prises parafoudre permettent de protéger les équipements
informatiques contre les aléas électriques et naturels (coupure, surtension, foudre).
Des outils matériels (tournevis, pinceaux, testeurs) et logiciels (utilitaires de gestion
de disques dur, de gestion de mémoires RAM) permettent de dépanner et d'améliorer
le fonctionnement d'un PC
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• Virus
Un virus est un programme nuisible qui s'insère à notre insu dans nos ordinateurs. Les
dommages causés par les virus sont très variables : du fonctionnement aléatoire de
l’ordinateur à la destruction totale des données.
En règle générale, un virus a deux fonctions :
• Se répandre d'un fichier à un autre. Cette phase est appelée "auto-duplication et
propagation".
• Activer les symptômes ou les dommages prévus par le concepteur du virus : Cette phase
est appelée "activation".
• Les différents types de virus sont :
• Les vers sont des virus capables de se propager à travers un réseau
• Les chevaux de Troie (troyens) sont des virus qui créent une faille dans un système pour
en prendre le contrôle.
• Les bombes logiques sont des virus capables de se déclencher suite à un événement
particulier (date système, activation distante, ...)
• Les canulars (en anglais hoax), sont de faux virus.
• Rancon Ware.
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• Les intrusions
Si une personne mal intentionnée s'introduit dans un réseau ou même dans un
ordinateur, elle peut copier des informations, les modifier ou les détruire.
• Pour pallier ces problèmes, il faut :
➢une politique de sauvegarde, un logiciel d'antivirus et une architecture
réseau comprenant des équipements de protection tel que les firewalls
• Il faut aussi adopter un comportement responsable.
➢Mettre hors tension l'ordinateur lorsque vous ne l'utilisez pas.
➢Se déconnecter de la session à un programme ou au réseau informatique
quand on ne travaille plus dans ces environnements.
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