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Mathématiques Générales
Épreuve 1
Sujet zéro
Durée : 1h30
Code sujet :
TeSciA est une initiative de l’AORES (Association pour une Orientation Raisonnée vers l’Enseignement supérieur Scientifique).
Énoncés et feuilles-réponses réalisés à l’aide du logiciel libre Auto-Multiple-Choice.
Épreuve 1
Dans les questions M1 à M9, on demande d’évaluer la validité logique des propositions indiquées.
□ M1 Deux réels sont systématiquement rangés dans le même ordre que leurs doubles.
A Faux B Vrai
1 1
□ M2 Lorsque x est un réel non nul, l’inégalité x < 2 permet d’affirmer que x < 2.
A Faux B Vrai
1 1
□ M3 Lorsque x est un réel non nul, l’inégalité x < 2 permet d’affirmer que x > 2.
A Faux B Vrai
□ M4 Deux réels sont systématiquement rangés dans le même ordre que leurs carrés.
A Faux B Vrai
a b
□ M5 Lorsque a, b, c, d sont quatre réels vérifiant 0 < a < b et 0 < c < d, on a systématiquement < ·
c d
A Faux B Vrai
a b
□ M6 Lorsque a, b, c, d sont quatre réels vérifiant 0 < a < b et 0 < c < d, on a systématiquement < ·
d c
A Vrai B Faux
A Faux B Vrai
A Faux B Vrai
A Faux B Vrai
Dans les trois dernières questions de cet exercice, on donne deux réels x > 0 et y > 0 et on considère les réels
r
x+y x2 + y 2 2xy
a= , b= et c= ·
2 2 x+y
1
Mathématiques Générales
Exercice 2. Probabilités
Dans tout l’exercice, A et B désignent deux événements d’un même univers. On considère les probabilités de divers
événements construits à partir de A et B, ainsi que la notion d’indépendance.
□ M13 On suppose que A et B sont indépendants et que P (A) = 0, 4 et P (B) = 0, 6. Alors, P (A ∩ B) vaut :
A 0, 15 B 0, 2 C 0, 27 D 0, 24 E 0, 8
2
Épreuve 1
△ L1 On suppose que A et B sont indépendants et ont la même probabilité. On suppose de plus que P (A ∪ B) =
0, 64. Donner la valeur de P (A).
Exercice 3. Puissances
√
□ M22 Vrai ou faux : pour tout réel x, on a l’égalité x6 = x3 .
A Faux B Vrai
√
3
□ M23 Vrai ou faux : pour tout réel x, on a l’égalité x6 = x2 .
A Faux B Vrai
√ √
qp
□ M24 Vrai ou faux : Pour tout réel positif x, on a x= 6
x.
A Faux B Vrai
(35 2−2 )2
□ M25 Le réel vaut :
(9−1 23 )−3
26 34
A 37 × 25 B 34 × 25 C 64 D E
34 25
2
53 2−3 102 × 5
□ M26 Le quotient de par vaut :
4 × 25 28
55 1 5 1 22
A B C D E
22 24 ×5 2 52 ×2 54
3
Mathématiques Générales
2 r
102 32 25 × 39
□ M27 Le quotient de par vaut :
8 × 52 6
1 5 1 1
A B C 5 D E
24 24 56 26
4
Épreuve 1
→
−
□ M29 On se donne un vecteur non nul →
−
u de l’espace. Si trois vecteurs →
−
a , b et →
−c vérifient
→
− →
−
u ·→
−
a =→
−
u · b =→
−
u ·→
−c = 0,
△ L2 Donner une équation cartésienne du plan P1 passant par A (−1; 0; 1) et de vecteur normal →
−
n (0; 1; 2).
△ L3 Donner une équation cartésienne du plan médiateur P2 du segment [C, D] où C (−1; 3; 1) et D (0; 5; −3).
A Faux B Vrai
5
Mathématiques Générales
△ L4 Donner sans justification une équation cartésienne du plan perpendiculaire au plan d’équation x−2y−z+1 = 0
et passant par les points A(0; 0; 0) et B(0; 1; 0).
□ M33 On se donne un réel t et on considère les points A (1; 1; 0) et B (−2; 7; t). Pour quelle valeur de t est-il vrai
que tout plan contenant les points A et B est perpendiculaire au plan d’équation x − 2y − z + 1 = 0 ?
√ √ √
□ M34 On considère les points A (1; 1; 2) et B ( 2; − 2; 0) et on note C le symétrique du point A par rapport
au point O d’origine du repère. Alors ABC est un triangle :
A isocèle non rectangle
B isocèle rectangle
C équilatéral
D rectangle non isocèle
E rien de tout cela
1
□ M36 La dérivée de la fonction qui à x associe x−ex est la fonction qui à x associe :
x
e −1 1−ex
A − x12 + e−x B
(x−ex )2
C
(x−ex )2
D 1 − e−x E 1
− (x−e x )2
□ M37 La dérivée de la fonction qui à x associe ln(1 + ex ) est la fonction qui à x associe :
ex 1+ex 1
A
1+ex
B 1 C 1 + ex D
ex
E
1+ex
2
−x
□ M38 La dérivée de la fonction qui à x associe ex + 1 est la fonction qui à x associe :
A Aucune de ces réponses
2
B (x2 − x)ex −x
2
C (x2 − x)ex −x
+x
D (2x − 1)e x2 −x
+x
2
E (2x − 1)ex −x
6
Épreuve 1
q
1
□ M39 La dérivée de la fonction qui à x associe 3x−1 est la fonction qui à x associe :
1 √ 3 3 3 1
A − (√3x−1) 3
B
2( 3x−1)3
C − 2(√3x−1)3
D − (√3x−1) 3
E − 2(√3x−1)3
□ M40 La dérivée de la fonction qui à x associe xe1/x est la fonction qui à x associe
x+1 x−1 e1/x 1/x
A
x e1/x B
x e1/x C
x
D −e x E e1/x
p √
△ L5 Donner une expression, la plus simplifiée possible, de la dérivée de la fonction f qui à x associe x+ 1 + x2 .
Exercice 6. Exponentielles
ex − 1
Dans la suite de cet exercice, on considère la fonction f qui à tout réel x associe ·
ex + 1
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Mathématiques Générales
△ L7 Donner (sans démonstration) une fonction φ de R dans R telle que f ′ (x) = φ(f (x)) pour tout réel x.
□ M46 Vrai ou faux : il existe une seule fonction φ de R dans R telle que f ′ (x) = φ(f (x)) pour tout réel x.
A Faux B Vrai
⃝ R3 On fixe un réel a non nul. Dans le plan rapporté à un repère orthonormal, on note C la courbe d’équation
ax
y = e . Un point M parcourt C : on note H son projeté orthogonal sur l’axe des abscisses et T le point d’intersection
de l’axe des abscisses avec la tangente à C en M . Démontrer que la longueur du segment [HT ] ne dépend pas du point
M.
À chaque instant (à partir de l’instant 1), un joueur pioche une boule au hasard dans une urne, note sa couleur, et la
remet dans l’urne. S’il a pioché une boule noire à l’instant n dans une urne, alors il doit piocher dans l’autre urne à
l’instant n + 1, alors que s’il a pioché une boule blanche à l’instant n dans une urne, il doit piocher dans cette même
urne à l’instant n + 1. À l’instant initial (n = 1), le joueur choisit l’urne dans laquelle piocher de manière aléatoire,
avec équiprobabilité.
On note pn la probabilité pour que le n-ième tirage soit réalisé dans l’urne numéro 1.
□ M47 La probabilité p1 vaut :
4 6 1
A 1 B 0 C
10
D
10
E
2
A 4 B 1 C 2 D 4 E 6
12 2 5 6 10
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Épreuve 1
□ M52 Quand x tend vers +∞, la quantité 2ex − ex/2 + (ln(e3x ))4 tend vers :
□ M53 Quand x tend vers −∞, la quantité 2ex − ex/2 + (ln(e3x ))4 tend vers :
Dans la suite de l’exercice, on admet que la fonction qui à tout réel x associe cos(x) est continue.
ln(1+u)
□ M57 Quand u tend vers 0, la quantité u tend vers :
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Mathématiques Générales
ln(1+u2 )
□ M58 Quand u tend vers 0, la quantité u tend vers :
ln(1+u)
□ M59 Quand u tend vers 0, la quantité u2 tend vers :
√ √
x+1− x−1
□ M60 Quand x tend vers +∞, la quantité √ tend vers :
x
1
A 1 B 0 C
2
D +∞ E Rien de tout cela
√ √
□ M61 Quand x tend vers +∞, la quantité x+1− x − 1 tend vers :
1
A Rien de tout cela B +∞ C
2
D 1 E 0
√ √ √
□ M62 Quand x tend vers +∞, la quantité x x+1− x − 1 tend vers :
1
A 1 B Rien de tout cela C
2
D +∞ E 0
On admet que les fonctions cos et sin sont dérivables et que leurs dérivées vérifient, pour tout réel x, les relations
Une fonction est dite monotone sur un intervalle lorsque, sur cet intervalle, elle est croissante ou décroissante.
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Épreuve 1
3π
, 5π
□ M69 Dans l’intervalle 2 2 , l’équation f (x) = 0 possède :
A aucune solution
B plusieurs solutions, mais en nombre fini
C une infinité de solutions
D exactement une solution
□ M70 Étant donné un entier k ≥ 0, l’équation f (x) = −1 possède, dans l’intervalle [kπ, (k + 1)π] :
A plusieurs solutions quel que soit k
B parfois une infinité de solutions, et parfois un nombre fini, selon l’entier k
C toujours un nombre fini non nul de solutions, mais dépendant de k
D parfois un nombre fini non nul de solutions, parfois aucune solution, selon l’entier k
E exactement une solution quel que soit k
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