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MEMOIRE DE MASTER
Domaine Sciences et Technique
Filière Hydraulique
THEME
« Draa Errich »
Présenté par Dirigé par
AIDAOUI Amani Mr. Kechida Said
Notre mémoire de fin d’étude consiste à englober tous les points qui touchent le plan
spécifique de l’étude du réseau d’A .E.P de la localité de Draa Erich. Avec l’intégration des
agglomérations secondaires « M’Kimen et Lounaissia » .Afin de répondre qualitativement et
quantitativement aux besoins croissant de la population .Cette étude sera divisée en plusieurs
parties concernant la situation de la zone d’étude, estimation des besoins en eau, présentation
de logiciel utilisé, dimensionnement du réseau et en fin présentation et discussion des
résultats.
هلخص
هي اجل, أطشوحتٌا تشول كل الجىاًب التي لها عالقت هع الوخطط الٌىعي لذساست شبكت تىصيع الوياٍ لوٌطقت رساع الشيش
االستجابت الٌىعيت والكويت للطلباث الوتضايذة للسكاى
وتن تقسين هزٍ الذساست إلى أجضاء هع األخز بعيي االعتباس الحالت الجغشافيت للوٌطقت وتقذيش هختلف الحاجاث الوائيت وعشض
البشًاهج الوستخذم لتصوين أبعاد الشبكاث وإبعاد هشافق التخضيي وأخيشا عشض و هٌاقشت الٌتائج
Abstract
Our final dissertation consists of Encompass all the points that relate to the specific plan of
the study Network of A.E.P the of Draa Erich, with the integration of the secondary
agglomerations « M’Kimen et Lounaissia ».
In order to respond qualitatively and quantitatively to the growing needs of the population
This study will be divided into several parts concerning the situation of the study estimation
of water requirements , presentation of software used, dimensioning of the network and final
presentation and discussion of the results.
ا
Sommaire
DEDICACE
REMERCIMENTS
RESUME
INTRODUCTION GENERALE
Introduction…………………………………………………….…..1
I. Localisation du site………………………………………....…….1
I.1.Délimitation de la ville…………………………...….…………..1
II.1.Climat…………………………………………….……………2
II.2. pluviométrie……………………………………………...……2
II.3.Températures………………………………………………..…2
II.4.Les vents……………………………………………………....3
II.5.Ensoleillement………………………………….…………….…..…4
III. Géologie…………………………………..………………...…6
VI.2.Détails topologiques…………………………..….……….…9
VI.3.Contraintes topographiques…………………...……………10
Introduction……………………………………………………….14
II.1.Réseau ramifié…………………………………………………17
II.2.Réseaux maillés………………………………………………..17
II.3.Réseaux étagés……………………………………………….. 17
Conclusion……………………………………………………………24
Introduction…………………………………………………………..25
I.Estimation de la population…………………………………………25
III.Les pertes…………………………………………………………..30
Conclusion……………………………………………………………..31
Introduction…………………………………………………………… 32
Conclusion………………………………………………………………45
Introduction…………………………………………………………….46
II .1 Réseau maillé………………………………………………………. 47
III.1 Débit………………………………………………………………… 49
III.3 La vitesse……………………………………………………………. 50
Conclusion…………………………………………………………………..56
Remarque1…………………………………………………………………….60
Remarque2…………………………………………………………………….63
Conclusion…………………………………………………………………….64
Conclusion générale
Annexe
Introduction générale :
Source de vie et socle du développement humain, l’eau a été hissée en Algérie au rang
de priorité nationale depuis plus d’une décennie.
I. Localisation du site :
La nouvelle ville de Draa Errich est située dans la commune d'Oued El Aneb, Daïra
de Berrahal. La Après intégration de la partie basse «Interface » d’une superficie de
238 ha ,la ville aura une délimitation plus ou moins régulière et une superficie totale
de 2071 ha ,Une vision globale est requise pour un aménagement plus cohérent et une
délimitation claire avec des frontières physiques (artificielles) plus visibles tels que
les chemins de la wilaya n°12 et 20.
Chetaibi
Annaba
Ville nouvelle
Berrahal El Bouni
Aéroport
I.1.Délimitation de la ville:
Au Nord, le CW 20
A l’Est, le mont de
l’Edough
A l’Ouest, le futur dédoublement
du CW 12
Au Sud, la RN 44
1
Chapitre I Présentation de la zone d’étude
Il est observé des pluies abondantes en hiver qui diminuent presque régulièrement au
printemps et parfois quelques millimètres par mois pendant la période d’été.
Cette zone d’étude connait aussi une variation dans les températures selon les deux
saisons (saison de pluie et saison sèche), avec des températures moyennes allant de 11
c° au mois de Janvier à 25.2 c° au mois d’Aout pouvant atteindre un maximum de
30.9 c°
2
Chapitre I Présentation de la zone d’étude
Mois Janv Fevr Mars Avri Mai Juin juillet Aout Sept Oct Nov Dec Annuel
Moy 11,5 11,8 13,2 15 18.1 21.7 24.4 25.4 23.6 20 15.7 12.5 17.8
des T°
Moy
Moy 6.9 6.9 8 9.9 12.8 16.4 18.8 19.9 18.2 14.7 10.8 8 12.7
des T°
mini
Moy 16 16.6 18.3 20.2 23.3 27 30 30.9 28.9 25.2 20.7 17 22.9
des T°
maxi
II.4.Les vents: Les vents les plus fréquents soufflent du secteur Nord-Ouest suivant
une direction Nord-Ouest est Sud-est avec une moyenne annuelle de 42%. Les vents
les moins fréquents sont ceux du Sud-est et du Sud-ouest avec une moyenne de 2%
3
Chapitre I Présentation de la zone d’étude
Le minima du solstice d’hiver est la plus courte journée avec un soleil qui se lève à
7 H 45 mn et se couche à 17 H 15 mn au niveau des communes d’Annaba El Hadjar
et Berrahal (soit une journée de 9 H 30 mn).
Le maxima du solstice d’été est la plus longue journée avec un soleil qui se lève à 4 H
45 mn et se couche à19 H 55 mn dans les mêmes communes citées ci avant (soit une
journée de 15 H 10 mn).
Le nombre moyen de jour d’ensoleillement continu par an est de 160j /365j ;
Le nombre moyen de jour nuageux sans pluie par an est de 150j /365j ;Le nombre
moyen de jour de pluies discontinu et continu par an est de 55j /365j, (données
NOAA 1970-2016).
4
Chapitre I Présentation de la zone d’étude
5
Chapitre I Présentation de la zone d’étude
III. Géologie:
La région de Draa Errich située à l'Ouest de la ville d’Annaba, est considérée comme
le prolongement des terrains du massif de l’Edough. Les formations géologiques
constituant la zone étudiée, sont représentées essentiellement par des schistes micacés
et des micaschistes. Le gneiss est omniprésent mais souvent altéré à la surface et la
région est aussi connue par la présence de grès de Numidie et d’argile
La surface est recouverte par des sables parfois micacés et des sables argileux, issus
probablement de l’altération du gneiss et du gré.
A- Oueds et cours d’eau : Les principales ressources hydriques qui longent notre site
sont Oued Gridjima situé au Centre et Oued Boutouil situé au Nord-est du périmètre
d'étude. Ces oueds coulent dans le sens Sud-Est – Nord-Ouest pour alimenter en aval
l’oued EL ANEB qui représente le principal émissaire drainant de la région.
L’ensemble de ce réseau hydrographique est réparti en trois bassins versants :
B- Retenue collinaire :Il est aussi important de préserver la retenue collinaire dont
les coordonnées sont : 36° 51’57.47"N et 7° 31’50.06"E. D’une superficie de 0.7 ha,
cette étendue d’eau douce est située dans un endroit stratégique près de la dorsale
principale de la ville nouvelle de Draa Errich.
6
Chapitre I Présentation de la zone d’étude
Source : URBAN.
7
Chapitre I Présentation de la zone d’étude
C- Préservation du Lac Fetzara : Le lac Fetzara est l’un des plus importants
étendues d'eau de l’extrême Nord-Est algérien. En 2002, Il a été officiellement
classé sur la liste des zones humides d'importance internationale par la
convention « Ramsar » Ce label requiert une préservation de cet écosystème
aquatique, car il constitue un enjeu international. Le lac est situé à .... Kms au Sud-
Ouest de la ville nouvelle de Draa Errich, s’allonge sur une largeur de 17 kms d’Est
en Ouest et sur 13 kms du Nord au Sud, avec une superficie d’environ 18 600 Ha.
C’est une cuvette localisée entre le massif de l’Edough et la plaine d’Annaba.
À l’entrée sud par la RN44 avec une altitude de 13.00m (ancien tracé de la route).
-du coté Est de la CW12 la cuvette est formée par la ligne de crête avec les altitudes
limitée au sud par Aib Amar par les sommets 254 et 310 de Djebel Baraka ,le
sommet 611 de Koudiat Erraha ,des sommets 526,527,et 418 de Koudiat Mers ,les
sommets 246, 288 et 211 de Djebel Chachara qui se termine à la CW20 de la route de
Seraidi.
-du côté Ouest de la CW12 la ligne de crête est formée par les sommets 144,185, 172
et 189 de Ouled Attia, le sommet 199 de Koudiat Sidi Abd Rabbou, le sommet 108
de Draa Dahset Erramoul et termine à la colline des hauteurs 190 du village de Oued
El Aneb.
8
Chapitre I Présentation de la zone d’étude
VI.2.Détails topologiques:
Le site possède une topographie avec les éléments de relief suivant :(carte 1/50000 de
Oued el Aneb).
-une ligne de crête d’environ16km de long située à l’est et à environ 5km du centre
urbain projeté.
-deux cours d’eau prennent leur naissance de cette ligne de crête dont le plus
important est à 1006m d’altitude c’est l’oued El Aneb avec une longueur d’environ
17.2 km, le second démarre d’une altitude de 616m c’est l’oued Garaijima avec une
longueur d’environ 11.2 km.
-Le relief général possède plusieurs types de pentes de classe basse (0-8%) à de classe
forte de plus de 45%.
-Les lignes de changement de pentes ne sont pas très visibles qui ne font apparaitre
pas une déclivité forte du terrain, par cela les lignes de plus grande pente ne sont
nettes.
-Plusieurs vallées sont tracées par les cours d’eau et les chaabats sculptent la
couverture géométrique en un terrain très vallonné.
-Il n’y a pas pratiquement de plaines au site de Draa Errich, un semblant de terrain
d’une pente peu légère donnant l’aspect d’un plateau peu incliné (1-3%) de quelques
km2.
La ligne de crête du côté ouest de la ville de Draa Errich a une longueur d’environ
5km, elle donne un cours d’eau de faible importance c’est l’oued Benseddik, il prend
naissance à197m d’altitude, il a une longueur d’environ 3.1km.
Lescours d’eau se connectent au cours d’eau principal qui est l’oued el Aneb sauf
l’oued beseddik.
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Chapitre I Présentation de la zone d’étude
La ville de Draa Errichsemble assise sur une cuvette formée les deux lignes de crêtes
coupées par le chemin de Wilaya (CW12) dont le haut de son profil est situé à
l’A.S.de cette dernière.
VI.3.Contraintes topographiques:
Les éléments principaux de relief (la pente, les cours d’eau, les vallées) rendent le
terrain difficile et onéreux du coté terrassement, et pratique de travail.
Le terrain est divisé en plusieurs petits bassins versants formés par les trois cours
d’eau et chaabats.
La fausse plaine est la partie qui possède des pentes faibles à très faibles .Cette zone
est assujettie à d’éventuelles inondations au moment de forte crues.
Les cours d’eau sont des vraies contraintes s’ils ne sont pas bien pris en compte
Le réseau VRD doit être bien pris en compte par cette topologie de relief.
Le relief accidenté est une contrainte pour la construction des routes et le choix du
type de bâtiments à étages élevés (plus de R+4) et quelques types d’équipements. Les
routes doivent tenir compte du pourcentage de pente exigé par le maitre de
l’ouvrage. Les catégories des routes principales et express ne peuvent pas faire l’objet
d’un terrain d’une pente supérieure 25%.Ces dernières seront classées en route de
montagne.
10
Chapitre I Présentation de la zone d’étude
A/ Contraintes naturelles :
B/ Contraintes technologiques :
Selon la nature géologique du terrain et la déclivité des pentes notre site étudié se
différencie en quatre zones de constructibilité :
11
Chapitre I Présentation de la zone d’étude
C- Zone Peu favorable pour la construction : Le terrain de cette zone est composé
d’alluvions limoneuses du fond des vallées et de l’altération du substratum gneissique
et schisteux et des d’alluvions récentes de Oued Aneb, Oued Graidjima, Oued
Baraika, Oued Boutouil, Oued Zeriba et d'autres Chaabets telle que chaabet Ngayeb
...
D-Zone défavorable pour la construction : Dans cette zone, sont classés, les
terrains où la construction est à proscrire. Ils se partagent en :
D2 : Les terrains inondés et érodés des cours d’eaux sous réserve de leur
canalisation.
12
Chapitre I Présentation de la zone d’étude
Conclusion :
13
Chapitre II rappel généra sur les réseaux d'AEP
Introduction :
L’alimentation en eau potable signifier le transfert de l’eau potable de la source jusqu’à les
habitants. Le transfert se divise en deux parties : Adduction - Distribution
L’adduction comprend le transfert de la source d’eau brute vers le réservoir de stockage, en
passant par la phase traitement et le pompage si nécessaire.
Par contre la partie Distribution comprend le transfert de l’eau traité du réservoir de stockage
vers les habitants.
La ressource est une structure permettant le captage de l’eau. La prise d’eau se fait
habituellement par un captage d’eau de surface (rivière, lac, barrage, etc.). En l’absence d’une
telle source, ou lorsque l’eau de surface est trop polluée, on procède au captage d’eau
souterraine (forage, puits, galeries, sources, …).
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Chapitre II rappel généra sur les réseaux d'AEP
- Bâche d’aspiration.
- Groupes électropompes.
- Autres équipements en amont et en aval des pompes (vannes, clapets, manomètres, etc.).
La conduite d’adduction relie la prise d’eau au réservoir de stockage. C’est une conduite
d’un gros diamètre car elle est destinée à transporter un débit très important. Pour faire face
aux contraintes imposées par le terrain et le relief, on doit accompagner la conduite
d’adduction par divers ouvrages :
15
Chapitre II rappel généra sur les réseaux d'AEP
- La stérilisation : son objectif est de rendre l’eau bactériologiquement pure. Pour ceci, on
utilise des oxydants tels que le chlore et l’ozone.
Le réservoir de stockage est un bassin qui se remplit au cours des faibles consommations
et qui se vide pendant les périodes de fortes consommations journalières. Le réservoir
présente deux utilités (technique et économique) par les multiples fonctions qu’il remplit :
- La régulation du débit pour tous les ouvrages qui se situent en amont et en aval de lui.
- La réduction des investissements sur tous les autres ouvrages du réseau d’A.E.P.
La capacité d’un réservoir dépend du mode d’exploitation des ouvrages de la partie amont
et de la variabilité de la demande.
16
Chapitre II rappel généra sur les réseaux d'AEP
Pour l’emplacement d’un réservoir, selon que l’agglomération est située en plaine ou en
terrain accidenté, il peut être soit enterré, soit semi-enterré, soit surélevé.
Le réseau se compose de conduites principales, secondaires et tertiaires posées dans les rues
de l'agglomération concernée par l'alimentation en eau potable. On distingue:
Réseaux ramifiés;
Réseaux maillés;
Réseaux étagés;
Réseaux à alimentations distinctes;
II.1.Réseau ramifié:
Il est composé de conduites qui vont toujours en se divisant à partir du point d'alimentation
sans jamais se refermer. Ce réseau présente l'avantage d'être économique à cause du linéaire
réduit des canalisations posées et du nombre moins important des équipements hydrauliques
mis en service. Ses principaux inconvénients résultent de l'absence d'une alimentation en
retour dans les conduites lorsqu'un arrêt se produit en un point quelconque, toutes les
conduites placées en aval se trouvent privées d'eau.
II.2.Réseaux maillés :
Ils sont composés de conduites suivant des contours fermés permettant une alimentation en
retour. Les risques de perturbation de service sont ainsi réduits.
II.3.Réseaux étagés :
17
Chapitre II rappel généra sur les réseaux d'AEP
L'un des réseaux distribue l'eau potable destinée aux besoins domestiques alors que l'autre
permet de véhiculer l'eau non potable réservée aux usages : industriels, lavage,
arrosage,….ext.
Ces réseaux ne sont pas fréquents et ne se justifient qu'après une étude technico- économique
très poussée.
La distribution est entièrement gravitaire lorsqu’elle se fait à partir d’un Réservoir qui domine
hydrauliquement tout le réseau, La pression de service est atteinte ou dépassée sur l’ensemble
des zones sans l’intervention d’une machine élévatoire.
A l’instar du système suscité, le réservoir qu’est placé du point de vue fonctionnement, entre
le réseau et la source. Le système à réservoir de tête passe par deux cas de fonctionnement:
Cas de pointe.
Cas de pointe plus incendie.
18
Chapitre II rappel généra sur les réseaux d'AEP
Le refoulement distributif est adopté dans le cas où le Réservoir serait inexistant ou qu’il
se situe à l’opposé de la source d’eau potable, obligeant à traverser toute la localité pour
joindre les deux installations. Ces ont les pompes qui assurent les pressions de service.
Cesystèmerésidedanslefaitquel’agglomérationdoitobligatoirementêtresituéeentre la source
( les pompes) et le réservoir, et elle est alimentée par ces deux derniers ouvrages cités à
savoir : a) Les pompes: Les pompes refoulent un débit qu’est directement injecté dans le
réseau pendant un temps dit temps de pompage.
b) Le réservoir (château d’eau) : Quand les pompes ne peuvent pas satisfaire la demande de
l’agglomération le réservoir compense le déficit, en sachant que le débit de compensation est
la conséquence d’un sur plus de production pendant les heures à faible demande stocké dans
le réservoir.
Cas de pointe.
Cas de pointe plus incendie.
Cas de transite.
Cas de l’arrêt des pompes.
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Chapitre II rappel généra sur les réseaux d'AEP
Les conduites durés eau de distribution devront être calculées pour pouvoir transiter les débits
de pointe horaire en tenant compte de la répartition spatiale des consommations.
Le diamètre à adopter doit être normalisé et suffisant pour assurer le débit et la pression au
sol.
Le diamètre minimal à adopter est de 60mm, dans les tronçons sur les quels est prévue
l'installation de bouches d'incendie, le diamètre minimal à retenir est de 100 mm.
La vitesse de l'eau dans les conduites doit, en général, être de l'ordre de 0,5 à 1.5 m/s.
Pour l'ensemble des nœuds constituant le réseau, les pressions doivent satisfaire les conditions
de pression minimale et de pression maximale.
La pression au nœud doit être calculée après le dimensionnement du réseau et comparée à la
pression à satisfaire.
Choisir le lieu de consommation principale.
Déterminer les en principal de masse ou de la quantité totale d’eau.
20
Chapitre II rappel généra sur les réseaux d'AEP
Tracer les conduites maîtresses parallèles entre elles, ces conduites doivent être situées sur les
côtes géodésiques les plus élevées pour bien répartir l’eau.
Il faut tracer les conduites maîtresses à travers les quartiers les quelles il faut prévoir les lignes
secondaires.
Les conduites durés eau de distribution devront être calculées pour pouvoir transiter les débits
de pointe horaire en tenant compte de la répartition spatiale des consommations.
Le diamètre à adopter doit être normalisé et suffisant pour assurer le débit et la pression au
sol.
Le diamètre minimal à adopter est de 60mm, dans les tronçons sur les quels est prévue
l'installation de bouches d'incendie, le diamètre minimal à retenir est de 100 mm.
La vitesse de l'eau dans les conduites doit, en général, êtredel'ordrede0,5 à1.5 m/s.
Pour l'ensemble des nœuds constituant le réseau, les pressions doivent satisfaire les conditions
de pression minimale et de pression maximale.
La pression au nœud doit être calculée après le dimensionnement du réseau et comparée à la
pression à satisfaire.
Le réseau de distribution est calculé pour satisfaire les besoins urbaines, toute en tenant
compte du plan d’occupation des sols.
Les résultats de calculs (Débits, pressions, charges hydraulique, pertes de charge…etc.) sont
regroupés dans les tableaux en annexes.
21
Chapitre II rappel généra sur les réseaux d'AEP
Le choix est fondé sur des critères d’ordre technique est économique, dans le présent
projet le « PEHD » répond aux objectifs recherchés. Pour ce projet on opte pour des conduites
en PEHD en raison des avantages qu’elles présentent :
Le réseau doit être calculé de telle sorte que l’eau parvienne aux consommateurs avec
une pression minimale. L’eau doit en effet atteindre les étages supérieurs des habitations et
permettre l’utilisation efficace des appareils ménagers (chauffe-bain, machine à laver). Une
pression minimale de 150 kpa est alors recommandée.
22
Chapitre II rappel généra sur les réseaux d'AEP
Les différents problèmes survenant dans un réseau d’alimentation en eau potable peuvent
être classés en trois grandes catégories :
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Chapitre II rappel généra sur les réseaux d'AEP
Conclusion:
Dans ce chapitre, nous avons décrit d’une manière générale le réseau d’alimentation en eau
potable; les types des réseaux et les modes de distribution; le choix du traçage et le type des
matériaux…etc, ainsi que les différents problèmes pouvant survenir dans un tel réseau.
24
Chapitre III Estimation des besoins
Introduction
L’estimation des besoins en eau d’une agglomération est la phase primaire dans la
conception d’un réseau d alimentation en eau potable.
Du type d’agglomérations ;
Du niveau de vie ;
Des différents équipements existants ;
Du taux d’accroissement de la population ;
I.Estimation de la population
Évolution de la population :
Le nombre d’habitant de la zone a été calculé non pas sur la base du nombre d’habitant
actuel et le taux d’accroissement mais sur la base de la répartition de l’agglomération
(nombre de logements) d’une part, et sur la base des d’aménagement comportant les
zones d’extensions possibles.
Cette méthode permet une meilleure estimation des débite aux nouds car elle est basée
le nombre d’habitant réel raccordé à une telle conduite.
25
Chapitre III Estimation des besoins
Pour notre étude, il est nécessaire de se pencher sur les différentes catégories de besoins
tels que.
Besoins domestiques.
Besoins scolaire.
Besoins administratif.
Besoins socioculturels.
Besoins commerciaux.
Besoins sanitaire.
Dotation Consommation
Nombre d’habitat
(l /j/hab.) moyenne journalière
(
98335 110 10816.85
26
Chapitre III Estimation des besoins
Le coefficient dépend du :
27
Chapitre III Estimation des besoins
population
(hab.) 103 1 1,5 2,5 4 6 10 20 30 100 300
max 2 1,8 1,6 1,5 1,4 1,3 1,2 1,15 1,1 1,03
β max 1,1
α max 1,2
K max .h = α max × β
max 1.32
K p = k j max * k h max
Kp
Compte tenu des quantités d’eau prévues pour l’alimentation d’équipement ; ces besoins
sont situé entre 10% et 35% de la consommation domestique moyenne journalière,
cette dernier est classées généralement en différents catégories de consommation de
l’eau.
28
Chapitre III Estimation des besoins
Besoin sanitaire :
On entend par besoin sanitaire, les quantités d’eau demandent par les polycliniques et de
center de santé de la commune.
Besoin industrielle :
Elle correspond aux besoins en eau des établissements industriels implantés dans la
ville. Elle est difficile à évaluer, car il existe une grande variation de consommation
selon le type d’industrie.
Consommation commercial :
C’est l’eau utilisée dans les zones commerciales comme les marchés, les centres de
commerce. Généralement les consommations en eau sont mesurées dans chaque
établissement à l’aide de compteurs. Ainsi pour un marché de quartier.
Consommation touristique :
La consommation touristique englobe la consommation de toute les infrastructures
touristique telles que les hôtels classés ; les complexes touristiques et les villages des
vacances.
Remarque : dans notre cas on a pris un 30% du débit domestique comme débit
d’équipement.
29
Chapitre III Estimation des besoins
III.Les pertes :
Les pertes sont dues à un manque d’étanchéité au niveau de joints des canalisations
favorisant ainsi les fuites d’eau dans le réseau, mais aussi à des tuyaux défectueux du
réseau public de distribution d’eau potable. Compte tenu des quantités d’eau prévues
pour les fuites de réseau de distribution, il est à noter :
30
Chapitre III Estimation des besoins
Conclusion:
Cette Zone de Draa Erich sera alimentée principalement à partir des réservoirs semi
enterrés projetés 2x2500 m3; le réseau de distribution est maillé avec des ramifications
à l’extérieur des mailles.
Les diamètres des canalisations varient entre 400/327.4 et 110/90 mm, le matériau
adopté est le PEHD à PN 16bars.
La robinetterie sera sous regard ou bien sous bouche à clef (voir carnet des nœuds et
schéma du système bouche à clef).
31
Chapitre IV Présentation du logiciel utilise
Introduction :
Quelques taches peuvent être faites en parallèle, tandis que d’autre doivent être faites une
série. La modélisation est un processus itératif, la première étape entreprenant n’importe
quel projet de modélisation est de fixer les objectifs et les positions pour lesquels le
modèle sera employé à court et à long terme. La deuxième étape est le calibrage du modèle
en précisant son exactitude.
D’abord les conduites et les pompes réelles dans le réseau sont représentées sur des cartes;
puis les cartes sont converties en modèle qui représentent les équipement du système
commendes arcs et des nœuds, une couche d’abstraction et introduite, c’est la présentation
mathématique des arcs et des nœuds ; les équation du modèle sont alors résolus et les
solutions sont affichées sous forme de cartes et de graphes ou sous forme de tableaux. La
valeur d’un modèle provient du rôle de ces abstractions en facilitant la conception efficace
pour le développement du système, ou l’amélioration de son fonctionnement.
32
Chapitre IV Présentation du logiciel utilise
33
Chapitre IV Présentation du logiciel utilise
Des simulations peuvent être utilisées pour prévoir les actions du système sous un éventail
de conditions sans perturber le système en place, En utilisant la simulation les problèmes
peuvent être prévus dans an système de transfert existent ou projeté et les solutions peuvent
être évalués avant que le temps, l’argent et le matériel soient investi dans un projet réel par
exemple si une entreprise chargée de la gestion du réseau de distribution vérifier si une
nouvelle ramification destiner à fournir de l’eau avec un débit assez suffisant pour lutter
contre l’incendie sans compromettre à la pression de service destinée aux abonnés
existants, ce système peut être réalisé et testé directement sur le terrain, mais si un des
problèmes ou des dysfonctionnement apparaissent, les dégâts, et le cout de la remise en
état seraient énormes, La simulation peut fournir des informations valables à l’ingénieur
pour prendre des décisions convenables, la simulation est un outil d’aide à la décision.
La simulation peut être utilisée dans un état statique ou dynamique, la simulation à l’état
statique est utilisée pour déterminer le comportement d’opération du système à cet état ; ce
type d’analyse peut aider à déterminer l’effet à court terme du débit d’incendie ou de la
demande moyenne sur le système.
La simulation à l’état dynamique est utilisée pour les évaluer les performances du système
avec le temps, ce type d’analyse permet à l’utilisateur de modèle le remplissage et le
vidange des réservoirs, régulariser l’ouverture et la fermeture des vannes, variation débits à
travers le système en fonction de la variation des conduites et la demande et mettre en
place une stratégie de contrôle automatique. Les logiciels modernes de la simulation
utilisent l’interface graphique, ce qui facilite la création des modèles et la visualisation des
résultats de la simulation.
Les anciennes générations de logiciel sont fondées sur la présentation des données et des
résultats sous forme de tableaux.
34
Chapitre IV Présentation du logiciel utilise
Ainsi, la saisie et l’affichage des informations des systèmes sur le dessin de logiciel et dans
les tableaux des résultats (Flex Table) peuvent être affichés en unités métrique ou
impériales selon les préférences de l’utilisateur.
35
Chapitre IV Présentation du logiciel utilise
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Chapitre IV Présentation du logiciel utilise
Le logiciel peut importer plusieurs types de fichier, la figure suivante présente quelques
types.
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Chapitre IV Présentation du logiciel utilise
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Chapitre IV Présentation du logiciel utilise
Les deux logiciels Windows autonomes WaterCAD et AutoCAD. Ont des interfaces
communes. La (Figure IV.3) suivante illustre l’interface principale du logiciel WaterCAD.
La fenêtre principale WaterCAD semble assez similaire à celui d’AutoCAD 2000 et
AutoCAD 2002.
39
Chapitre IV Présentation du logiciel utilise
Les fonctions couramment utilisées, les barres d’outils et touches de raccourci offrent un
accès rapide et facile, le menu principale permet d’accéder beaucoup plus complet aux
propriétés et composantes WaterCAD. Les boutons de barre d’outils et touches de
raccourci n’existe pas pour toute les fonctionnalités de WaterCAD, par contre si sont
accessible à travers les menus. Dans ce qui suit, nous allons découvrir beaucoup de choses
que nous pouvons faire avec les menus de WaterCAD et nous vous montrons comment
vous pouvez accéder à ces fonctions, y compris les boutons de la barre d’outils et touches
de raccourci. Les commandes sont regroupées sous plusieurs menus. Les systèmes de
menu pour WaterCAD comprend les sélections suivantes :
Le menu fichier contient de nombreux articles traitant la gestion du projet. Il fournit des
fonctionnalités pour créer, lire, écrire, et imprimé les fichiers de projets, ainsi que des
fonctionnalités de partage de données avec des bases de données et système SIG.
40
Chapitre IV Présentation du logiciel utilise
Le menu Edition permet d’accéder aux commandes de base pour la gestion des éléments
WaterCAD, y compris la navigation entre les éléments, la sélection, la suppression et le
retour.
41
Chapitre IV Présentation du logiciel utilise
Le menu d’analyse contient des utiles pour la gestion des calculs. Ceux-ci comprennent les
scénarios et les gestionnaires de remplacement et les commandes de calcul.
42
Chapitre IV Présentation du logiciel utilise
Le menu Affichage donne accès à des fonctionnalités permettant de voir les déférents
schémas et tableaux de donner et résultat.
Le menu dessin est en fait un menu AutoCAD qui est accessible dans le programme actuel.
43
Chapitre IV Présentation du logiciel utilise
Le menu outils fournit des outils généraux pour placer ou de modifier des éléments
graphiques, l’annotation, couleur, contour, modification des caractéristiques et options de
projets…etc.
44
Chapitre IV Présentation du logiciel utilise
Conclusion :
45
Chapitre IV Présentation du logiciel utilise
46
Chapitre V Conception et dimensionnement du réseau de distribution
Introduction :
Tous ces éléments vont permettre au service de l’eau de définir des caractéristiques
propres à chaque composant du réseau afin d’assurer son bon fonctionnement. Ces
caractéristiques sont détaillées dans ce qui suit :
46
Chapitre V Conception et dimensionnement du réseau de distribution
réseau maillé ;
réseau ramifié ou étoilé ;
réseau mixte.
II.2 Réseau ramifié ou étoilé : Cette ossature est caractérisée par une alimentation à
sens unique. Tout tronçon qui doit être mise hors service entraine la mise hors service
de toutes les conduites en aval. Ce réseau présente moins de facilité dans
l’exploitation et l’entretien. Il est inusité pour les grandes agglomérations.
47
Chapitre V Conception et dimensionnement du réseau de distribution
II.3 Réseau mixte : C’est un réseau intermédiaire comportant à la fois les deux types
situés plus haut. Il offre globalement les mêmes avantages hydrauliques que le réseau
maillé se pendant grâce à la réduction des pièces spéciales utilisées au niveau des
intersections telles que les croix et les Tés, on aboutit généralement à des coup de
construction moins élevées que précédemment. Nous savons conçu notre réseau de
distribution en réalisant un réseau mixte.
48
Chapitre V Conception et dimensionnement du réseau de distribution
III.1 Débit : les conduites doivent supporter les plus grands débits instantanés que le
débit de pointe.
III.2 Choix du diamètre : après avoir calculé les diamètres théoriques, il faudrait se
référai aux catalogues ou on expose les diamètres normalisés et commercialisés.
Pour les conduites utilisées dans notre réseau qui sont en PEHD et qui présentent un
diamètre intérieur qui se différent de diamètre nominale (DN) ce dernier est calculer
en soustraire deux fois de l’épaisseur du diamètre extérieur, le tableau suivant
présente les différents diamètres de conduites en PEHD.
PN10 PN6
PE100 PE80
49
Chapitre V Conception et dimensionnement du réseau de distribution
III.4 Pression de service : la pression de service (PS) chez l’usage est la différence
de point du puisage le plus élevé H diminuer en outre, des pertes de charge propres au
branchement (capteur + réseau intérieur).
PS = P2 – CH + Iint
III.5 Perte de charge : les pertes de charges sont dues pratiquement au frottement
entre les molécules d’eau et la partie intérieure de la conduite, elles sont calculées
d’après la formule universelle de Darcy-Weisbeachen fonction du diamètre de la
conduite et de sa rugosité ainsi que la vitesse de la circulation de ‘eau.
j=λ / D × V2 / 2g (Darcy-Weisbeache)
D’ou:
50
Chapitre V Conception et dimensionnement du réseau de distribution
Formule de COLEBROUK :
Nombre de Reynolds :
: Vitesse de l’écoulement.
: Diamètre hydraulique.
Définit comme étant le rapport du débit de pointe et la somme des longueurs des
tronçons du réseau, on suppose que les besoins domestiques sont uniformément sur
toute la longueur du réseau est donné par la formule suivante :
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Chapitre V Conception et dimensionnement du réseau de distribution
Qsp=Qtot / ƩNL
)16874,286/68,4)/22006,34=8,87491*10-3 [l/m/s]
D’où:
Le débit en route se définit comme étant le débit réparti uniformément le long d’un
tronçon de réseau; le débit en route est donné par la formule suivante :
Qroute=Qsp × Li
D’où :
V. 3 : Le débit au nœud :
C’est le débit concentré en chaque point de nœud des conduites du réseau, est
donnée par la formule suivante :
Qnd=0.5*Qroute
D’où :
52
Chapitre V Conception et dimensionnement du réseau de distribution
Les résultats des calculs sont présentés dans les tableaux suivants :
Length (Scaled)
Label Start Node Stop Node (m) qr (L/s)
C-1 J-18 J-17 236.17 2.09585362
C-2 J-47 J-46 328.06 2.911317
C-3 J-34 J-35 203.28 1.80397647
C-4 J-38 J-37 137.18 1.21738239
C-5 J-23 J-25 400.42 3.55346447
C-6 J-17 J-20 192.31 1.70662493
C-7 J-20 J-21 300.04 2.66265791
C-8 J-12 J-14 301.68 2.67721183
C-9 J-17 J-16 665.46 5.90552037
C-10 J-10 J-2 203.25 1.80371024
C-11 J-10 J-12 118.49 1.05152092
C-12 J-12 J-15 724.93 6.43327756
C-13 J-26 J-25 142.89 1.26805489
C-14 J-37 J-31 219.22 1.9454335
C-15 J-51 J-50 201.67 1.78968878
C-16 J-44 J-45 191.49 1.69934796
C-17 J-45 J-46 257.57 2.28576456
C-18 J-49 J-50 381.81 3.38831295
C-19 J-2 J-1 428.95 3.80664948
C-20 J-1 J-37 240.9 2.13782926
C-21 J-13 J-10 295.47 2.62210216
C-22 J-23 J-24 142.42 1.26388395
C-23 J-15 J-16 419.22 3.72030212
C-24 J-16 J-21 249.1 2.21059887
C-25 J-26 J-24 400.95 3.55816787
C-26 J-2 J-3 106.03 0.9409466
C-27 J-37 J-40 138.58 1.22980647
C-28 J-30 J-48 337.23 2.99269473
C-29 J-15 J-14 367.04 3.2572389
C-30 J-48 J-51 336.58 2.98692641
C-31 J-28 J-29 478.49 4.24628444
C-32 J-29 J-30 287.71 2.55323726
C-33 J-30 J-33 601.4 5.33702995
C-34 J-34 J-33 207.76 1.84373353
C-35 J-28 J-50 450.23 3.9954955
C-36 J-49 J-48 838.06 7.437232
C-37 J-13 J-14 120.73 1.07139945
C-38 J-23 J-52 313.18 2.77926678
C-39 J-53 J-31 240.57 2.13490072
C-40 J-42 J-40 179.84 1.59596187
53
Chapitre V Conception et dimensionnement du réseau de distribution
54
Chapitre V Conception et dimensionnement du réseau de distribution
Le problème a déjà été étudié par nombreux ingénieures, parmi les diverses méthodes
utilisées, celle de HARDY CROSS, dite d’égalisation des charges, permette par
ajustement successif d’obtenir le débit exact qui circule dans chaque conduite d’un
réseau maillé et le sens de l’écoulement dans cette conduite la méthode de HARDY
CROSS est une application des deux lois de KIRCHHOFF.
Dans un nœud les débits entrants sont égaux aux débits sont sortants Ʃ Qi = 0
55
Chapitre V Conception et dimensionnement du réseau de distribution
Δq= ‒ (Јi)/(2*(ƩЈi/qi))
D’où :
ƩЈi : Somme algébriques des pertes de charge dans chaque maille et on calcul Δqdans
chaque maille
La valeur du débit corrigé sera égale à la valeur algébrique du débit initial et celle
du débit de correction
Une fois le débit est corrigé, on commence les calculs jusqu'à ce que la deuxième
loi sera vérifiée
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Chapitre V Conception et dimensionnement du réseau de distribution
Conclusion :
A travers ce chapitre nous avons pu faire la répartition des débits, et la détermination
des débits aux nœuds. Nous avons entamé ce chapitre par des définitions concernant
les types de réseaux et leurs composants.
Les résultats obtenus dans ce chapitre constituent une phase de répartition des
données pour la simulation du réseau.
57
ChapitreVI Résultats et discussions
Le tableau suivant représente les vitesse, les pertes de charges, et les diamètres du
réseau existant.
Length Headloss
(Scaled) Diameter Velocity Gradient
Label (m) Start Node Stop Node (mm) Material (m/s) (m/m)
C-1 236.17 J-18 J-17 66 PEHD 0.8 0.011
C-2 328.06 J-47 J-46 28 PEHD 0.99 0.046
C-3 203.28 J-34 J-35 28 PEHD 0.53 0.015
C-4 137.18 J-38 J-37 141 PEHD 0.92 0.005
C-5 400.42 J-23 J-25 44 PEHD 0.96 0.025
C-6 192.31 J-17 J-20 28 PEHD 1.11 0.057
C-7 300.04 J-20 J-21 44 PEHD 0.97 0.025
C-8 301.68 J-12 J-14 28 PEHD 0.91 0.039
C-9 665.46 J-17 J-16 57 PEHD 1.48 0.04
C-10 203.25 J-10 J-2 81.4 PEHD 1.56 0.028
C-11 118.49 J-10 J-12 81.4 PEHD 1.27 0.019
C-12 724.93 J-12 J-15 66 PEHD 1.24 0.024
C-13 142.89 J-26 J-25 66 PEHD 0.68 0.008
C-14 219.22 J-37 J-31 57 PEHD 0.91 0.016
C-15 201.67 J-51 J-50 110.2 PEHD 0.66 0.004
C-16 191.49 J-44 J-45 36 PEHD 1.02 0.036
C-17 257.57 J-45 J-46 28 PEHD 0.53 0.015
C-18 381.81 J-49 J-50 36 PEHD 0.97 0.032
C-19 428.95 J-2 J-1 141 PEHD 1.47 0.013
C-20 240.9 J-1 J-37 226.2 PEHD 0.6 0.001
C-21 295.47 J-13 J-10 28 PEHD 0.8 0.031
C-22 142.42 J-23 J-24 28 PEHD 0.67 0.023
C-23 419.22 J-15 J-16 99.4 PEHD 1.4 0.018
58
ChapitreVI Résultats et discussions
59
ChapitreVI Résultats et discussions
Remarque1 :
Le tableau précédent représente les valeurs des vitesses, des pertes de charges et des
diamètres du réseau existant ; nous distinguons que tout les vitesses sont presque sous
la norme « 0.5-2 » ce qui indique que la totalité des vitesses repend a l’alimentation
de l’agglomération complète sans aucun problèmes.
60
ChapitreVI Résultats et discussions
Le tableau suivant représente les pressions ainsi que les charges hydraulique dans les
nœuds de réseau.
61
ChapitreVI Résultats et discussions
62
ChapitreVI Résultats et discussions
Remarque2 :
63
ChapitreVI Résultats et discussions
Conclusion :
Dans ce chapitre on a discuté sur les résultats des vitesses et pressions et pertes de
charges du réseau de la zone d’étude.
Au début, d’après les résultats nous avons observé qu’il ya des problèmes au niveau
des pressions après la simulation on a découvrir qu’il ya une zone avec des pression
de 0 et moins 0 qui indique que le réseau ne repend pas au demande, pour cela on a
proposé de maitre des sur-presseurs pour la enlevé jusqu’au la norme et pour qu’elle
alimente l’agglomération régulièrement.
64
Conclusion générale :
A travers cette étude, on a présenté les calculs en utilisant logiciel WaterCAD et après
plusieurs simulations nous avons obtenue des résultats satisfaire.
Enfin nous espérons que cette étude pourra attendre les objectifs visés qui cherche
d’avoir un bon fonctionnement du réseau d’AEP de la nouvelle ville Draa Erich et
d’évité le maximum les problèmes qu’on a l’habitude de les trouvés dans les réseaux
d’AEP en général.
Référence bibliographie
ETAT ACTUEL
Flex Table : pipe Table
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