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Compréhension de l’écrit (15 points)

1. Ce texte est un conte merveilleux.

2. Les deux indices tirés du texte sont :


o "Il était une fois un homme qui avait de belles maisons à la ville et à la
campagne, de la vaisselle d’or et d’argent, des meubles en broderies, et des
carrosses tout dorés." (Indice de conte merveilleux)
o "La Barbe-Bleue, pour faire connaissance, les mène, avec leur mère et
trois ou quatre de leurs meilleures amies, à une de ses maisons de
campagne, où tous demeurent huit jours entiers." (Indice de conte
merveilleux)

3. a. "Mais, par malheur, cet homme avait la barbe bleue : il était si laid et si
terrible, qu’il n’était personne qui ne s’enfuît de devant lui."

b. Un monstre peut être défini comme une créature, souvent effrayante,


inhabituelle, ou surnaturelle. Dans ce contexte, la Barbe-Bleue est considérée
comme un monstre en raison de son apparence effrayante et de son
comportement inquiétant.

4. Dans le deuxième paragraphe, un autre élément rend inquiétant le personnage : le fait


qu'il ait déjà épousé plusieurs femmes, et qu'on ne sache pas ce qu'elles sont
devenues.

5. Le troisième paragraphe se clôt par le mariage conclu entre la cadette et la


Barbe-Bleue.

6. a. De la ligne 9 à la ligne 22, le comportement de la Barbe-Bleue vis-à-vis de sa


femme est caractérisé par une extrême confiance, lui confiant les clés de tous ses
biens, à l'exception d'un petit cabinet qu'il interdit d'ouvrir.

b. Quand la Barbe-Bleue remet la « petite clef » à sa femme, il adopte une attitude


autoritaire et sévère. "Pour cette petite clef-ci, c’est la clef du cabinet au bout de la
grande galerie de l’appartement bas : ouvrez tout, allez partout ; mais, pour ce petit
cabinet, je vous défends d’y entrer, et je vous le défends de telle sorte que, s’il vous
arrive de l’ouvrir, il n’y a rien que vous ne deviez attendre de ma colère."

7. Ordre chronologique des événements de l'histoire :

1-h, 2-f, 3-a, 4-e, 5-d, 6-c, 7-g, 8-b

8. Je préfère le conte de Cendrillon. C'est mon préféré car il raconte une histoire
magique où une jeune fille maltraitée par sa belle-mère et ses demi-sœurs voit sa
vie changer grâce à l'intervention d'une fée marraine. De plus, j'aime la fin
heureuse du conte où Cendrillon trouve l'amour avec le prince charmant. Cela
me donne une sensation de bonheur et de rêve.
Maitrise de la langue (10 points)

1. "Il était une fois un homme,"


"un homme qui avait de belles maisons,"
"cet homme avait la barbe bleue."

2.
a. "belles maisons" : épithète du nom, s'accorde avec "maisons."
b. "or et d'argent" : épithète du nom, s'accorde avec "vaisselle."
c. "en broderies" : épithète du nom, s'accorde avec "meubles."
d. "tout dorés" : attribut du sujet, s'accorde avec "carrosses."

3. Conjugaison au passé simple dans les lignes 9 à 14 :


a. Il avait
b. demanda
c. voulaient
d. devint

4. Dictée. (2,5 points)


Dictée : Vous devez écouter le texte dicté et le reproduire en respectant les consignes
données.

L’ogre avait sept filles. Elles avaient de petits yeux gris et tout ronds, le nez crochu, et une fort
grande bouche avec de longues dents fortes aiguës et fortes éloignées l’une de l’autre. Elles
n’étaient pas encore fort méchantes ; mais elles promettaient beaucoup, car elles mordaient déjà
les petits enfants pour en sucer le sang.

Charles Perrault, Le Petit Poucet.


Expression écrite (15 points)
As-tu, toi aussi, déjà ressenti une très forte peur ?
Écris le récit de ce moment en respectant les consignes suivantes :
1. Écris ton récit à la première personne.
2. Précise les circonstances de l’évènement.
3. Raconte un événement qui déclenche la peur.
4. Évoque au moins trois manifestations physiques de la peur.
5. Veille à soigner l’expression : syntaxe, ponctuation, orthographe, accords dans les groupes
nominaux, accords sujet-verbe et conjugaison.
6. Rédige 15 lignes minimum.

Oui, j'ai déjà ressenti une très forte peur. C'était un soir d'orage chez moi. La pluie
tambourinait sur les fenêtres, le vent soufflait fort, et les éclairs illuminant le ciel étaient
terrifiants. Soudain, une coupure de courant plongea la maison dans l'obscurité totale.
J'étais seul(e) à la maison, et chaque bruit semblait amplifié par le tumulte de la
tempête.

Au même moment, un craquement fort se fit entendre, probablement causé par une
branche tombée. Mon imagination s'emballa, et je commençai à imaginer toutes sortes
de scénarios effrayants. Mon cœur battait rapidement, et mes mains tremblaient. J'avais
peur de l'inconnu et de ce qui pourrait se cacher dans l'obscurité.

Finalement, la lumière revint, et je réalisai que la peur était en grande partie due à mon
imagination. Cet épisode m'a appris à gérer mes peurs et à comprendre que parfois, ce
que l'on craint le plus peut être bien moins effrayant quand on le regarde en face.

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