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Exercice 1 (5 points)
1 1 1 1
1. On pose S = 1 + + + +⋯+ .
2 3 4 100
Parmi les scripts Python ci-dessous, celui qui permet de calculer la somme S est :
1
2. On définit la suite ( u n ) par : u 0 = 0 et, pour tout entier naturel n , u n + 1 = u + 1.
2 n
La suite ( v n ), définie pour tout entier naturel n par v n = u n−2 , est :
a. arithmétique de raison −2 ; b. géométrique de raison −2 ;
1
c. arithmétique de raison 1 ; d. géométrique de raison .
2
1 1 1 1 1 1 1
v n +1 = un +1−2 = un + 1−2 = u n−1 = ( v n + 2)−1 = v n + ×2−1 = v n + 1−1 = v n
2 2 2 2 2 2 2
1
( v n ) est donc géométrique de raison 2 .
Plus généralement, si une suite ( u n ) est définie par u n + 1 = a u n + b, alors la suite ( v n ) définie par
b
v n = un + est géométrique de raison a .
a−1
lim f ( x) = + ∞
+
x →−2
La courbe admet une asymptote horizontale en 2 , d’équation x =2.
Conclusion : la courbe admet trois asymptotes.
Exercice 4 (6 points)
1. Dans un jeu télévisé, un candidat doit répondre à sept questions sur un total de dix.
a. Calculer le nombre de choix possibles.
On calcule le nombre de parties à 7 éléments dans un ensemble à 10 éléments
(ici l’ordre ne compte pas), c’est-à-dire (107)= 3 !10× !7! = 10 ×96 ×8 =120.
Il y a donc 120 choix possibles.
b. Calculer le nombre de choix sachant qu'il doit répondre aux trois premières
questions.
Il suffit de chercher le nombre de choix pour répondre à 4 questions parmi les 7
0,5 0
F(1;0;1) ; I(0,5;0;1) ; J(1;1;0,5). Donc ⃗
IF 0
() ( )
1
et ⃗
FJ 1 . Donc
−0,5
u⋅⃗
⃗ IF =−2 + 2 = 0 et ⃗
u⋅⃗
FJ = 1−1 = 0.
Partie B (5,5pts)
BK = ⃗
1. a. ⃗ BC + ⃗
CK relation de Chasles =⃗
BP
⃗ BA+ ⃗ AP Chasles
1 2
=⃗
BC + ⃗ CJ par définition de K =⃗
BA+ ⃗ AJ par définition de P
2 3
1 2
=⃗
BC + ( ⃗ CB + ⃗
BJ ) p ar Chasles =⃗
BA+ ( ⃗ AB + ⃗ BJ ) Chasles
2 3
1 1 2 2
=⃗
BC − ⃗ BC + ⃗ BJ =⃗
BA− ⃗ BA + ⃗ BJ
2 2 3 3
1 1 1 1 2 1
= ⃗ BC + × ⃗ BD par définition de J = ⃗BA + × ⃗ BD par déf. de J
2 2 2 3 3 2
1 1 1 1
= ⃗ BC + ⃗ BD = ⃗BA + ⃗ BD
2 4 3 3
1 1
= ⃗BD + ⃗ BA
3 3
b. On en déduit que : B ( 0 ;0 ;0 ) A ( 0 ;0 ;1 ) C ( 1;0 ; 0 ) D ( 0 ;1 ;0 )
1 1 1 1 1 1 2
(
I 0 ;0 ;
2 ) (
J 0 ; ;0
2 ) K ; ;0
2 4 ( ) P 0; ;( 3 3 ) (
R ;0 ;0
3 )
1 1 2 3
= b b=
( ) ( ) ( ){ {
0 2
2 2 3 4
1 3
1 1 1 3
2. a. ⃗IK = a ⃗ IR ⇔
IP + b ⃗ =a 3 +b 0 ⇔ = a ⇔ a=
4 4 3 4
−1 −1
−1 −1 1 1 −1 1 3 1 3
6 2 =− a− b =− × − × Vrai
2 2 6 2 2 6 4 2 4
3
⇔ a= b=
4
b. ⃗
IK étant combinaison linéaire de ⃗ IR, les quatre points P, R, I et K sont
IP et ⃗
coplanaires.