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I) Les suites
Somme de n
1 − q(n − p+1) n (n − p + 1)(up + un )
termes
k =p
uk = up
1− q
; q≠1 u
k =p
k =
2
consécutifs p≤n p≤n
4) Autres résultats :
- u n = an + b;a ≠ 0 est une suite arithmétique de raison a.
- u n = a(q) n est une suite géométrique de raison q .
n
- Si q ∈ ]−1;1[ alors lim q = 0
n→+∞
n
- Si q ∈ ]1; +∞[ alors lim q = +∞
n→+∞
n
1 − qn+ 1 n
1 − qn− p+ 1
-
qk =
k=0 1−q
qk = qp
k =p 1−q
n n
n(n + 1) (n − p + 1)(p + n)
k=
2
k = 2
- k=0 k =p
n 2
n(n + 1)(2n + 1) n
n(n + 1)
k² =
6
k =3
2
- k=0 k=0
n
1 1 ak n
= 1− lim = ea
- k =1 k(k + 1) n+1 k!
n→+∞
k=0
- Les suites
( (−1) ) n
n≥ 0 ;
(cosn) n≥0
et
(sinn) n≥0
n’admettent pas de limite.
n n
1 a
lim 1 + = e lim 1 + = ea
n →+∞ n
-
n →+∞
n
un+1 − α
Si (un )n≥ p est une suite à termes non nuls telle que à partir d’un certain rang ≤ k et k < 1 alors
- un − α
lim un = α
n → +∞
un+ 1
Si (un )n≥ p est une suite à termes strictement positifs telle que à partir d’un certain rang ≥ k et k > 1
- un
alors lim un = +∞
n →+∞
1 n
Si (un )n≥1 est une suite convergente vers un réel α alors la suite uk est convergente vers α
n k = 1 n≥ 1
-
( théorème de Cézaro)
k=n
(ak + b)
k=p
- est la somme de termes consécutifs d’une suite arithmétique de raison a.
k=n
α(q)
k=p
k
II-
- Les fonctions
1) Dérivabilité en un point :
f est une fonction définie sur un intervalle ouvert I et a ∈ I .
f (x) − f (a)
- f est dérivable en a ssi lim ∈ℝ.
x→a x−a
f (x) − f (a)
- f est dérivable en a à droite ssi lim+ ∈ ℝ (notée fd' (a) .
x→a x−a
f (x) − f (a)
- f est dérivable en a à gauche ssi lim− ∈ ℝ (notée fg' (a) ).
x→a x−a
- f est dérivable en a ssi f est dérivable en a à droite et f est dérivable en a à gauche et fd' (a) = fg' (a)
- toute fonction dérivable en un point est continue en ce point ;la réciproque est fausse.
2) Tangente à une courbe en un point
f est une fonction dérivable en a
L’équation de la tangente à une courbe (Cf ) en un point A(a;f (a)) est y = f '(a)(x − a) + f (a) .
f '(a) est le coefficient directeur (pente) de droite tangente à (Cf ) en A(a;f (a)) .
3) Dérivée des fonctions usuelles.
x ֏ arctan x ℝ 1 ℝ
x֏
1 + x²
-Si lim f (x) = b alors la droite d’équation y = b est une asymptote (horizontale) à Cf .
x →±∞
-Si lim f (x) − (ax + b) = 0 et a ≠ 0 ; la droite d’équation y = ax + b est une asymptote oblique
x →±∞
à Cf .
Les branches paraboliques :
f (x)
-Si lim f (x) = ±∞ et lim = 0 alors Cf admet une branche parabolique de direction l’axe des
x →±∞ x →±∞ x
abscisses au voisinage de ±∞ .
f (x)
-Si lim f (x) = ±∞ et lim = ±∞ alors Cf admet une branche parabolique de direction l’axe des
x →±∞ x →±∞ x
ordonnées au voisinage de ±∞ .
f (x)
-Si lim f (x) = ±∞ et lim = a ( a ≠ 0 ) et lim f (x) − ax = ±∞ alors Cf admet une branche
x →±∞ x →±∞ x x →±∞
a a
-Si f est continue sur [ − a;a] et paire alors −a
f(t)dt = 2 f(t)dt
0
a
-Si f est continue sur [ − a;a] et impaire alors −a
f(t)dt = 0
IV) les complexes
[ r; θ] = [ r; −θ] [ r; θ ] r [ r; θ]
n
= rn ;nθ [ r; θ] × [r '; θ '] = [ rr '; θ + θ ']
= ; θ − θ '
[ r '; θ '] r '
z ∈ ℝ *+ ⇔ arg z ≡ 0 [ 2π ] z ∈ ℝ* ⇔ arg z ≡ 0 [ π ] 1 1 − [ r; θ] = [ r; π + θ ]
= ; −θ
[ r; θ] r
π
[ 2π ] π π z ∈ ℝ *− ⇔ arg z ≡ π [ 2π ]
z ∈ iℝ *− ⇔ arg z ≡ −
2
z ∈ iℝ *+ ⇔ arg z ≡
2
[ 2π z ∈ iℝ* ⇔ arg z ≡ [ π ]
2
θ
θ i
θ
θ i e iθ − e − iθ = 2i sin θ e iθ + e − iθ = 2 cos θ
eiθ − 1 = 2i sin e 2 1 + eiθ = 2cos e 2
2 2
zC − z A
θ+θ ' θ+θ ' ABC alignés ⇔ ∈ℝ
θ − θ' i
2
θ − θ' i zB − z A
eiθ + eiθ' = 2cos( )e eiθ − eiθ ' = 2i sin( )e 2
2 2 z −z
(AB) ⊥ (CD) ⇔ D C ∈ iℝ *
zB − z A
-1 = eiπ i
π
−i
π
i=e 2 −i = e 2
(1 + i)² = 2i (1 − i)² = −2i 1
= −i
i
La somme des racines de Le produit des racines de Si z1 et z 2 sont les racines de az²+bz+c
−b c Alors az² + bz + c = a(z − z1 )(z − z 2 )
az²+bz+c est az²+bz+c est
a a
L’expression complexe d’une L’expression complexe d’une L’expression complexe d’une rotation
translation de vecteur u(a) homothétie de centre Ω(ω) et de centre Ω(ω) et d’angle θ est :
est : z ' = z + a de rapport k est : z '− ω = eiθ (z − ω)
z '− ω = k(z − ω)