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9. Fonctions
(pages 165 à 182 du livre de l'élève)

• Consolider la notion de fonction introduite en classe de Seconde: restriction, prolongement, compo-


sition de deux fonctions.
• Aborder les propriétés algébriques des applications: injections, surjections, bijections; bijection réci-
proque.
• Mettre en place des notions générales sur les fonctions numériques d'une variable réelle: opérations
sur les fonctions, comparaison des fonctions, fonctions associées.

• Une application est une fonction définie sur son ensemble de départ.
• Il ne s'agit pas de faire une étude exhaustive des applications et de leurs propriétés. Les notions d'ap-
plications injectives, surjectives, bijectives seront introduites par les représentations graphiques d'ap-
plications d'une partie de IR vers IR, ou par des exemples géométriques déjà connus.
Ces notions doivent permettre de formaliser ce quiaété eatrevu en seconde, afin de l'exploiter ultérieu-
rement dans des situations précises: dénombrement, géométrie, fonctions.
• Le point précédent implique que ce chapitre soit traité très tôt dans l'année scolaire.
• On pourra à cette occasion introduire des notions de logique, en particulier la contraposée d'une im-
plication (pour démontrer qu'une application est injective)"
• On évitera de s'attarder sur des exercices purement algébriques et peu motivants, du genre : démon-
trer que si 9 0 f est injective alors f est injective.
• On n'introduira pas la notation f ? (A) pour l'image réciproque d'un ensemble par une application,

Généralités • Démontrer que deux fonctions sont égales.


• Notion d'application, • Déterminer la restriction d'une application à un en-
• Restriction, prolongement. semble.
• Déterminer un prolongement d'une application à un
• Composée de deux fonctions. ensemble.
• Associativité de la composition de deux fonctions, • Déterminer la composée de deux fonctions.

Applications particulières • Démontrer qu'une application est injective (par


• Applications injectives, surjectives, bijectives. contraposée), surjective, bijective.
• Bijection réciproque d'une bijection • Déterminer la bijection réciproque d'une bijection.
• [0 [-1 = IdE et [-1 0 I= IdF. • Déterminer la bijection réciproque de la composée de
• Théorème : la composée de deux bijections est une deux bijections.
bijection et (g 0 f)-1 = [-log.
"Uéterminer l'ensemble de définition de la somme, du
Fonctions numériques produit ou du quotient de deux fonctions.
• Somme, produit, quotient de deux fonctions, • Construire les courbes représentatives des fonctions
• Représentation graphique des fonctions associées : associées à f, connaissant celle de f.
x~-f(x) ; x~f(-x) ; x~I[(x)1 ; • Construire les courbes représentatives des fonctions:
x~ [(x-a) ; x~ [(x) +b, x~ax2+bx+c et x~ ax+db,
cx+
• Définition de fonction minorée, majorée ou bornée
sur un ensemble,
• Les courbes représentatives de [ et [-1 sont symé-
• Construire la courbe représentative de
sant celle de f.
r=. connais- l
triques par rapport à la première bissectrice.

130 l
CI Exercices du cours
• Exercice 1.a p. 168
On a :f=g= l.

• Exercice 1.b p. 168


Seules f et h sont des applications, car leurs ensembles de définition sont égaux à leurs ensembles de
départ respectifs.

• Exercice 1.c p. 168


Si XE [1 ; 3], alors 1x - 11 = x - 1 et 13-- xl =- x + 3. Donc, on a : 9 : [1 ; 3]--7 IR
x~-x+5.

• Exercice 1.d p. 168


1. Df= ]1 ; + oc[ et Dg = l- oo ; - 11 u Il ; + 00[.
2·fet 9 ont la même restriction sur lt ; + 00[.

• Exercice 1.e p. 168


1. 9 0 f(x) = - 2ax + 3a + b et f 0 g(x) :::- 2ax - 2b f~3..
2. 9 0 f(x) = f 0 g(x) Ç:::} a + b = 1.
Le couple (2 ; 1) convient.

• Exercice 1.fp. 168


f 0/((;; ; y)) == (10x - 15y ; - 15x + 25y).

• Exercice 2.a p. 172


• 3 a au moins deux antécédents par f qui sont 12 et 30 ; donc, f n'est pas injective ..
• Tout naturel est la somme des chiffres d'au moins un nombre naturel; donc, f est surjective.

• Exercice 2.b p. 172 (

a)V(x;y)E NxN,f(x)=f(y) Ç:::} 2x-3::2y-3 Ç:::} x=y;donc,festinjective.


b) V x E IR, f(- x) = f(x) ; donc, fn'est pas injective.
c) V (x; y) E IR x IR,f((x ; y)) = f((y ; x)) ; donc,fn'est pas injective.

• Exercice 2.c p. 172


a) Les nombres impairs n'ont pas d'antécédent par f; donc, fn'est pas surjective.
b) Les nombres strictement inférieurs à 1n'ont pas d'antécédent par f; donc,fn'estpas surjective.
c] 1 n'a pas d'antécédent par f; donc, fn'est pas surjective.
d) fn'est pas une application de IRvers IR; donc fn'est pas surjective.

• Exercice 2.d p. 172


Soit y E IR, L'équationf(x) =y admet une solution unique, si et seulement si a*,O ;
on a alors: x = ~. Donc, f-1 est l'application de IRvers IRdéfinie par: f-1 (x) = X - b.
a a
• Exercice 2.e p. 172
. a)SoitxE IR et yE IR,Ona:f(x)==y x= 5(y-5)
Ç:::} ; donc,festune bijection etf-1 (x) = 5(X-5).
b)SOitYE IR-{-2}.Ona:f(x)=y Ç:::} x=~. 2 .. 2
y+2 .
*'
On a: y 1. L'équationf(x) = y admet une solution unique dans IR - {- 1}. Donc,fest une bijection.
f-1 est l'application de IR- {- 2} vers IR..- {_.1} définie par: (x) = X - 1 . r:
x+2

131
'l""l"! 1 l' "1 ""4'" "~'I,'jI"

--------:
• Exercice 2.f p. 172
Soit [l'application de E vers F.·

,
,
,
,,

L
,
,,

E
,'
r-------
,
,,,
,,
,

E
s
,,
,,
~-- --~-;;,
~~_--~-:
E
,,
,
,
, --------1
,
,,

L
,
,,
,

E
,
,
,,
,
,1

•f est injective. • f est non injective. f est bijective. f est bijective. •f est non injective.
•f est non surjective. • f est surjective. •f est surjective.
• Exercice 2.g p. 172
• [est une surjection de K vers [(K).
• Démontrons que [est injective.
Soit a et b deux éléments distincts de K. On a : a < b ou a > b ; supposons a > b.
[étant strictement croissante sur K,f(a) > [(b) ; donc :f(a) et: [(b) et [est injective.
On en déduit que [est une bijection de K vers [(K). _

• Exercice 2.h p. 172


a) [est surjective et non injective. b) [est injective et non surjective.

r---~
+
F : ,
,, ,
, ,
,
-------,
~ E

f : IR ~ IR+ [:E~F f : IR ~ IR
X~X2 x~1.
x
(

• Exercice 3.a p.178


1. On a: Dt= IR+ et Dt= IR.
2. On a: Dt+g = Dtr1 Dg = IR+; 'il x E IR+, lf+ g)(x) = 2x.
• Exercice 3.b p. 178
1. 'il x E IR _ {1}, _1_ +2 = 1 + 2(x - 1) = 2x - 1 = [(x).
x-1 x-1 x-1
2. Posons: g(x) = 1. ; on a : [(x) = g(x - 1) + 2.
x
Donc, (Cf.5p est l'image de (Cf.5g) par la translation de vecteur ï1 n).

• Exercice 3.c p. 178


a) Posons: g(x) = [(- x). (Cf.5g) est l'image de (Cf.5 p bj Posons: h(x) = [(x). (Cf.5h) est la réunion des par-
par la symétrie orthogonale d'axe (OJ). ties des courbes d'équations respectives y = [(x) et
y = - [(x), situées « au-dessus» de (al).
<,
1\
",. g0
/'
J ~
C'f/,)/
/ / "C h) i/ <,
r-,
'f/,)/
1
1\
/
,1 0 1
\
\ 1 V "v
r\./
/ J /
\
-, ./
1 1\.
<, /
/ \
\
-, /
1
0 1

l
On a ; Dg = l- 3 ; 2[ u ]2 ; 4]. On a : Dg =: l- 4; - 2[ u ]- 2 ; 3].

132
el PoaOTIB ; k(x) = f,fx t Z), (C(6k) est l'image de (C(6p dl Posons: C(x) = f(x - 2) - 3. (~e) est l'image de
par la translation de vecteur 11 (-02). (Cf&fl par la translation de vecteur 11 (_23)'
,
.------, r: <, . '€)/
.r-.
"1. ~I/ ~i
<, l' J <,
f-.
('€k) 1/ / <,
u /
"'-......J / /
0 1/ <, /,
/ / 1 . \ 1"-.. \'1Oe) <, ./

.r
1

1\ X Il 0 1 1 \. ./

\ J \ / 1 \ u. "'-./
\. / \. / 1 \
\. ./

On a: Dk = [- 6 ; - 4[ u ]- 4 ; 1J. On a: De = [- 2; O[ u]o ;5].

+ Exercice 3.d p. 178 ..

1" Posons: g(x) = x2 ; on a :[(x) = g(x + 4) -- 7. \ r\ 1


\ 1/1\ 1
Donc, (Cf&fl est l'image de (Cf&g) par la translation de vecteur 11 (= i). \ \ 1 il
\ Il 1
2. V XE 1R,f(x);:: - 7; doncJest minorée par - 7. Il (~ )
1\ J
~I J V
1\ -4
\, Il
JO 1

/J

1\ Ii
. c PrJ I\. Itl l-r

+ Exercice 3.e p. 178 ( pr) 1/


1\ 1/
1. Toute parallèle à l'axe des abscisses, passant par un point de [1 ; 10], i\ 1/
coupe la courbe en un unique point d'abscisse appartenant à [- 2; IJ. \ 1/
Donc [est une bijection de l- 2 ; 1] vers [1 ; 10]. ~ 1/
1/
2. V X E [1 ; 10],f 0 g(x) = [(1-~) = x; donc: [-1 (x) = g(x). 1\ 1/
1/
3. (Cf&g) est l'image de (Cf&fl par la symétrie orthogonale d'axe la droite J I\. 1/
d'équation y = x. 1/1'..
0 1 1'- 'N,
-r- I-- &..

el Exercices d'apprentissage
GÉMIÉRALITÉS

+ Exercice 1 p. 179
1. On a : Dr= IR et Dg = IR* ; donc: 9 *' f 2. 9 et [sont égales sur IR*.

+ Exercice 2 p. 179
V XE 1R,f(x) = I(x- 2)(x- 3)1; donc: V XE [2; 3], P(x) ~ - (x- 2)(x- 3) = _x2 + 5x- 6.

+ Exercice 3 p. 179
1. Dr= IR- {1}.
2. L'application affine ayant même restriction que [sur Dr est g: x ~ 3x + 1.

+ Exercice 4 p. 179
1. V x E IR; E(x) s x < E(x) + 1 ; donc: Dr= IR-7L

133

'f-I~U-~ •.~1JU_.~· -jiili~>;i;.ia~~· ·~l· .;;.Jfl,iii~~


..âJr,;.üiWi.;.,j.. --: ~- .• "'.[- -~F;~'-1-i::~
:]1., :ii ~,•.•.J.oc
j

i
2. al 'r:j x E ln; n + 1[, x - E(x) > 0 ; donc, Dg = ln ~n + 1[ et 9 est une application.
1
hl 'r:j x E ln; n+ 1[, g(x) = ,r---.
vx-n

• Exercice 5 p. 179
Un prolongement de [à IR est la fonction constante: x 1---3> - 1.

• Exercice 6 p. 179
1. Sa 0 Sa = Id. 2. t; 0 t-;r= t-;r+ ; .

• Exercice 7 p. 179
1. Soit M un point du plan. Posons: Sa,(M) = M' et Sa(M'l = M" ; on a : Sa 0 Sa,(M) = M".
~ ~ ~ ~
Or :MM" = 2 O'M' + 2 M'O = 2 0'0 => M" = tZOD(M).
On en déduit: Sa 0 Sa' = tzOD'

• Exercice 8 p. 179
al On a: Dg f= IR - {- 3 ; - 2}.
0 -""
'r:j X E IR - {- 3 ; - 2l, 9 0 [(x) = g(5 + 2x) = ~~: ;~~~ ~ i_ 2xZ + 10x + 13
2x2 + 10x + 12 .
hl On a : Dy 0 f= IR - {O ; 1}.
'r:j X E IR - {O ; Il. 9 0 [(x) = 9 ((2x ;1 _ xl) = (....L; 1 - 2X).
2x l-x
• Exercice 9 p. 179
Soit 9 : x 1---3> ax + b une application affine. On a: 9 0 [(xl = [0 g(x) Ç:> b:= 6a - 6.
Donc, 9 0 [= [0 9 pour les applications affines 9 de la forme: g(x) = ax + 6a - 6 ta E IR).

• Exercice 10 p. 179 Ys Ys 1

1. On a : Dh y r= IR - fI \ 0 0 5; 1 -2 5}. 'r:j XE Dh 0 y 0 f' h 0 9 of(x) = 4(xZ ~\ _ 1)'

2. On a: Dg 0 h 0 f= IR- {2}. 'r:j x E IR- {2}, 9 0 h 0 [(x) = 4(x ~ 2)2 -- 2.

• Exercice 11 p. 179
Soit u : x 1---3>..!. ; v: x 1---3> XZ et w: x 1---3> x - 1. On a : I= u 0 v 0 w.
x

ApPLICATIONS PARTICULERES

• Exercice 12 p. 179
• On a :[(1) = 1 ; 1 = 1 et [(2) = ; = 1 ; donc,fn'est pas injective.
• 'r:j P E N,f(2p) = T
2
= p,f(O) = 0 et 'r:j p E N*,f(2p - 1) :=
(2p -- 1) + 1
2 . = p.

Donc tout entier naturel p a pour antécédents 2p et 2p L 1 s'il est non nul; [est surjective.

• Exercice 13 p. 179
1.0na: Donc, [est une application de E x E vers E.
E
2. [est surjective et non injective.
o

134
i-

+ Exercice 14 p. 179
Soit t: la réciproque de la bijection f On a : f 0 f =f => if 0 f) 0 r: = f 0 f-1 ; donc: f = IdE'
+ Exercice 15 p. 179 • ',
a) • On a : f(l) = r(;) = 1 ; donc, fn'est pas injective. On en déduit qu~fii'est pas bijective.
• Pour tout Z E 7l., il existe x E IR tel que z ::;x < Z + 1 et E(x) = z.
On en déduit que tout entier a au moins un antécédent par f; donc, f est surjective.
b) • On a: f(x) = x(Zx + 3) ; donc,f(O) = f( - t) = 0 etfn'est pas injective. fn'est p~s bijective.
• On a : f(x) = z[ (x + ~)2 -
196] ; donc: V x E 1R,f(x) ~ - ~. _
Un nombre réel strictement inférieur à _1!. n'a pas d'antécédent par f; donc,fn'est pas surjective.
8
e) L'équation f((x ; y)) = (a; b) admet la solution unique (a + b - 3 ; b - 3) ;donc.,f est bijective.
d) • Le nombre 1n'a pas d'antécédent par f; donc,fn'est pas surjective.
• Soit a et b deux éléments de IR - {Z}.

On a :f(a) = f(b) <=> ab - 2a + b - 2 = ab - 2b + a- 2 <=> a = b. Donc.f'estinjective.


e) • On a :fG) = f( 2;) = ~ ; done,fn'est pas injective. On en déduit que fn'est pas bijective.
• Soit y E [0; 1]. L'équation sin x = y admet au moins une solution dans ]0 ; Tt] ; donc,fest surjective.

• Exercice 16 p. 179 --<> -~ -

a) Soit y E IR. L'équationf(x) =y admet la solution unique : x


.
=- y + 5.
3
Donclest bijective etf-1(x) = -\+ 5.
b} f est bijective et f-1(X) =~ =!. e) f est bijective et j-1((X ; y)) = ex; 2y ; - \+ Y).
• Exercice 17 p. 180
a) Un nombre impair n'a pas d'antécédent par f; donc,fn'est pas surjective.fn'est pas bijective.
b) f est bijective et f-1(X) =_1_.
x-1
e)On a :f(O) = f(- 1) = 0 ; donc,fn'est pas injective. On en déduit 9-uefn'est pas bijective.
résolvons dans IR l'équation :f-{::~ = (c ; b).
d) Soit (a ; b) E IR x IR. On a :f(x) = (a; h) <=> x = a = 12. et b = l. a.
Z 3 Z
Donc. un couple qui n'est pas de la forme (a ; 3za),n'a pas d'antécédent par f; on en déuit que fn'est
pas surjective. Par suite,fn'est pas bijective.

• Exercice 18 p. 180
1.f, composée de deux bijections, est une bijection.
2. On a : (s 0 t) 0 (t-1 0 S-l) = Id9J>et (s 0 t) 0 (t-1 0 ç1) 0 (s 0 t) Donc .r: = t-
= Id9J>. 1 0 S-l = Li1 0 s.

• Exercice 19 p. 180
1. Soit M 7:- O.
--;. --;. Z
On a : M' E IOlvl) et Olvl 0 Olvl' =2 <=> aM' = ==.
aM
Donc, M'existe et est unique.

On en déduit que: OM' 7:- 0 ; c'est-à-dire: M' 7:- O.


2. D'après la question 1 : Dr= r;; - {a}.

Soit A.s r;;-(O}.Ona:f(M)=A <=> OM= Z .


_ OA
L'équation f(M) = A a une solution unique; donc, f est bijective. On a : f-1 =f

135
FOt-lCTIOt-lS t-IUMÉRIQUES

• Exercice 20 p. 180 '


a) On a: D,= IR - {1} et Dg = IR - {-1}.
, -3x3+6x2-x+2
• D2f- 3g = IR - {-1 ; 1}.'if x E IR - {-1 ; Il. (2f- 3g)(x) = x2 _ 1 .

• Drxg
}
= IR - {- 1 ; 1}.'if x E IR - {- 1 ; Il. (fx g)(x) = _x_.
x+1
• D r=
9
IR - {-1 ; 0 ; 1}.'if xE IR - (-1; 0 ; Il. (L)(x) =
9 xx-1
(+ 1)2'
h) On a : Df= IR - {- 2 ; 2} et Dg = IR - {- 2}.
-, 3x3 + 12x2 - 20x
• D2f- 3g = IR - {- 2 ; 2}. 'if x E IR - {- 2 ; 2l, (2f - 3g)(x) = x2 _ 4 .
_4x2
• Dfxg = IR - {- 2 ; 2}. 'if x E IR - {- 2 ; 2l, (fx g)(x) = (x + 2)2'

• D~ = IR - {- 2 ; 0 ; 2}. 'if xE IR - {- 2 ; 0 ; al. (-~}x) = (~-=- ~)2'

e) On a: Df = IR - {O ; 1} et Dg = IR - {-1 ; O}.

• D
2f- 3g
= IR - {- 1 . 0 .
, ,
11" 'if x E IR - {- 1 . 0 . 1} (2:f~~3g' )(x-):
, , ,
2(x + 1) _ 3(x - 1) .
x - 1 x2 - X + 1

• Drxg = IR - {- 1 ; 0 ; 1}.'if x
}
E IR - {- 1 ; 0 ; Il. (fx g)(x) = x / -x++ 1 l'

• D~ = IR - {-1 ; 0 ; 1}.'if x E IR - {-1 ; 0 ; 1}, (~)(x) = (~3_+~~2'

• Exercice 21 p. 180
1. On a: - ts x + ; ~~ <=> - 3 sx s 3 ;
(Cf],

1\ V <,

donc: Dg = ï- 3 ; 3]. \ J 1/ "j 1\


.....•.
1/
\ /
(~g) est l'image de (~) par la translation de \ (11 /' 0 /1 1\
3 \ 1 / \
vecteur i: (= ~). ./
I\(C{ g) \
\ i\ / / \
v-: v \
\. /
r-,f...-"
3
2. a) On a: - 2 ~- 'x ~'92 '
(<' )
..•....
_~<-x<~·
T-." 2-' -2' 1
\ 1
9 3 ',' / \ \ J 1 / i\
donc: n, = [- 2; 2l
1\ 0 1
(~,J est l'image de (~fl par la symétrie orthogonale d'axe (OJ). 1 \ \ 1 / \
Ife ~h. \
!\ \/ Il
1

b] Posons: k(x) = f(lxl).


On a: k(x) = {
f(x), si x ~ 0
"'. / '\
('0
1\ V ,
fe-x), six~ 0 / \ \ J / \
--< 119 0< 119
<_ ..•....
x -2 x <- 92- -2'9. Il \ \ 1/ \
3
2- -2"'--": --<x<-
T-." -
u 1
1 i\ /
donc : D
k
= [- J!. . J!.]
2 ' 2 . 1 \ \ 1/ 1--
Il ( ~k) ~"

(~k) est la réunion de la partie de (~) d'abscisses


positives et de la partie de (~h) d'abscisses néga- - \ ..••.... ./\ <, ~
1
V
tives. ' , - 1

136
t Exercice ZZ p. 180
il
1. a) V x E R (x - 1)2 - 1: x2 - 2x + 1- 1= XZ - 2x : f(x). C!P)/ 1

b) Soit (ÇiJ» la parabole d'équation: y =x 2• \ 1\ / J


(<{6)est l'image de (9Jl) par la translation de vecteur1ï1 (!1)' \ \J 1/ /
1\\ / I~ 1/('(6
o~ 1../
0

2 .• , On a: !tex) : f(- x). • On a :fz(x): -fe-x) = -=J;(x).


Donc, (C{6r ) est l'image de (C{6) par la symétrie Donc, (C{6r) est l'image de (C{6r ) par la symétrie
1 t
orthogonale d'axe (OJ). orthogonale d'axe (01). On en déduit que (C{6r ) est
z
\ l'image de (C{6) par la symétrie de centre O.
1 \
1/
--
(~) / ('(6)
('(6[,)1\
1\ 1
\j /
\ \J / / V '\ Il
\ if 1/
!
!
\
-, }I I~ 1/
1
/
Ik'(6r,
o~
\
\
1/

• On a :!J(x) = lf(x)l. • On a :h(x) = [(x+ 1) t 2.


Donc, (C{6f) est la réunion des parties des courbes .
Donc;«C{6r) est l'image de (C{6) par la translation de
d'équatioûs respectives y: [(x) et y: - [(x), si-
tuées « au-dessus » de (al). vecteur ï1 (-l).
\ 1/
1

('(61, 1\ 1
1
1
1
\J /
\ 1/ <, 1/
°1'" 1/
(~)
!--L-____
.--.1...-.- ____ .1...--

+ Exercice 23 p. 180
1. a) Dr: ~ - {3}. --7

b)VXE ~-{3},f(x): 2(x-3)+1 =_1_+2. U V


/"
x-3 x-3 1/ \
2. Posons:

Donc, (C{6) est l'image


vecteur ï1
g(x) : 1.. ; on a :J(x) : g(x - 3) + 2.

Œ).
(<{6g) est une hyperbole de centre
x
de (C{6g) par la translation

a ; donc,
tit de

(<{6)est unë I..L.


1/
\
J'""\I
/'
1

-..f\-
p<-....
V
\ <,
0'
('(6
1

- 1
1--

r-- r-, 0 !
hyperbole de centre 0', image de a par tit.
1
\
'(69 1\
V
VI i
!
1
1

137
,,, : •. 4 1,1
"1. .r: ~'1 l' _ t. "r "

• Exercice 24 p. 180 1

a)VxE . . (.x-3" 1
IR,g(x) =-3 )2 +3"=f
4 (x-3" 1 ) +"3'
4 j ~<'fig)

/ I/ïi <,
Donc, (C(gg) est l'image de (C(gp par la translation de 1"'0 <, 11\
vecteurûm Il - \ ~
1// \ V\
11/ 1\ \
lA \ \
rI 'fif)\ \

// \ '
b) V X E ~*, g(X) = .( 1 1) - 2 = f(x _.1) - 2. j \
l
2
2 x--

Donc, (C(gg) est l'image de (C(gp par la translation de vecteur


2

11 CZ2).
1
T ~o r--.
\ï1
--
1
( f)

1 \ <, -..;
-:-- ......"
~
('fi )

c) V XE ]-00; 2], g(x) = -f(2 -x) + 3 = -f(- (x- 2)l+ 3.


Donc, (C(gg) est l'image de (C(gp par la composée de :
- la symétrie centrale de centre 0,
- suivie de la translation de vecteur 11Œ). k- <[€a)
,.... V
L--"
/
../
f.--
l- I-- - 'fif; --,
l....- I-- JI/
,
. { - f(- (x - 2)) + 3, si x::; 2
1
o
d) V X E .~, g(x) = .
- f(x - 2) + 3, si x ~ 2
Donc, (C(gg) est la réunion de deux parties qui se déduisent de la courbe (C(gp.
• Sur ]- 00 ; 2], (C(gg) est l'image de (C(gp par la composée de :
-la symétrie centrale de centre 0, (

- suivie de la translation de vecteur 11(~).


-- --
-- - -
• Sur [2 ; + 00[, (C(gg) est l'image de (C(gp par la
composée de :
-la symétrie orthogonale d'axe (01),
- suivie de la translation de vecteur 11(~). ~ --
(~o:
1---
1

1.-
,.., -/ '-. ..•.....
J/
0
1 _

/"

1
- !---

-H-- '-
~f

• Exercice 25 p. 180
a) g(x) =- f(x). b) g(x) = 3f(x) - 4.
x -4 0 1 3 6 x -4 0 1 3 6
1
_14 1 -1 1
1 ~5 '-.....-10 / ~7
9 (x) 2 9 (x)
0--- '::à.... _ 19
~_1~1

c) g(x) = f(x - 3). d) g(x) = f(1 - 3x).


_1- 1. ~
x -1 3 4 6 9 x -~ 0
3 3 3 3
0
6~1 1
-""'-1
1 1 1 -'2/
~-5/
9 (x) 9 (x) -1~~
-2
-5/

138

()
• Exercice ~6 p. iso
1. On représentera (qg) à la question 2.
2. a) V x E IR, g(x) = [(x) + 1. 1('ill) IR, g(x) = x3
Donc, (qgg) est l'image de (qg) par -r
b) V X E -

= [(x)-1.
1
( )//
la translation de vecteur ,"""",,(0)
u 1. r~
,
Donc, (qgg) est l'image de (qg) par 1
1-~rl---1
la translation de vecteur u _0 1 ) . -7( J 1

~
f 1.0/
O 1

Y ('ilg

1
r- --
--l
c] V X E IR, g(x) = (x + 1)3
d) V X E IR, g(x) == (x - 1)3 +3
== [(x + 1).
==[(x -1) + 3. /1/
Donc, (qgg) est l'image de (qg) par Donc, (qgg) est l'image de (qg) par
('il! Y
la translation de vecteur zt (-01). la translation de vecteur zt (§). 1
/ 1
iL f/('il
11/ /
il ° 1

/
lit --~

• Exercice 27 p. 180
1 11 ( ) --6x+2
1. V x E IR- {2; 21"'
f x) - g(x == (2x + 1)(2x _ 1) .

Le signe "de [(x) - g(x) est donné par le tableau


ci-contre. x -00
_1. 1. 1.
+00
2 3 2
Donc: [,f(x) > g(x) ; (2x - 1)(2x + 1) ~
\if XE ]- 00 ; - ~
+ 0 - - 0 +
V X E g; + oo[,f(x) < g(x). -6x+ 2
,;
+ +
1

0 - -

2. S == ]- ~ ; 0 J. [(x) - g(x) + - 0 + 1
-

• Exercice 28 p. 181
2 2
1. V XE 1R,f(x) == x + 1 == (x + 3) - 2 == 1 __ 2_
x2+3 x2+3 x2+3'

2. On en déduit que: \if x E IR, t :S;f(x) < 1. Donc,fest bornée sur IR.

• Exercice 29 p. 181
1. On a: \if XE J- 1[,[(x) > - 4; donc,fest
00 ; - minorée sur J- -1[ par _ 4. 00 ;

V XE J- 1 ; + [(x) "'" 1 ; donc,f est majorée sur J- 1 ; + co[ par 1.


00[,

2. On a: \if x E J-1 ; 3[, - 4 <[(x) "'" 1 ; donc,fest bornée sur ]-1; 3[.

• Exercice 30 p. 181
On a : \if x E IR, - 1 - 4x2 + 1 :s; sin x 2+ 3C 0S x :s; 4x2 + 1.
x + 1
1 4
Or: 1 ~ -2- - > 0 ==> - 4:S; - -2 et -24 :s;4; donc \if x E IR - 4 <[(x) <4
x+1 x+l x+l ' ,-_.
On en déduit que [est bornée sur IR.

139
.., 1 T"

: ...

• Exercice 31 p. 181,
l.f(x) > M <=> x> M + 1.
2
Donc: 'II MEIR, :3x > M; 1 / f(x) > M ; c'est-à-dire,fn'est pas majorée sur IR.

2.f(x) < m <=> x < m; 1.

Donc: 'II m E IR, :3x < m + 1 / f(x) < m ; c'est-à-dire,fn'est pas minorée sur IR.
. 2

• Exercice 32 p. 181
1. a)f(x) = 2(x + 3) - 6 = 2 __ 6_.
x+3 x+3
b) Soit MEIR.
- Si M = 2, f(x) > 2 <=> x < - 3.

-SiM:f;2,f(x»M <=> {x>-:M <=> x>Sup(-3; 23~M)'


x> 2-M
Donc: Y MEIR, :3x > 3M / [(x) > M ; c'est-à-dire, [n'est pas majorée sur IR.
2- M
e) Soit m E IR.
- Si m = 2,f(x) < 2 <=> x> - 3.

- Si m':f;2,f(x) < m <=> {:: - :m <=> XE ]-


3 m
3; 2 _ m[. ~
2-m
Donc: Y 1ft E 1R,:3x < ~ / [(x) < m; c'est-à-dire,fn'est pas minorée sur IR.
2-m
d) 'II x E [-1; 1],-1 s[(x) S t; donc,fest bornée sur [-1; 1].

2. a) On a: 'II x E IR, 2 S 3 + cos x S 4; donc: Dg = IR.


b) Posons: t cos x. = (
On a: x E IR <=> t « [- 1 ; 1] et g(x) = [(cos x) = [et).
Or: 'II t E [- 1; 1], - 1 s[(t) s ~ ; donc: 'IIx E IR, -1 s g(x) s t- Par suite, 9 est bornée sur IR.

• Exercice 33 p. 181
.2x+1. si z e [-3 '-1]
2 2' ,
1. On a : [(x) = { - x + -5 si x
1 .
E [- 1 . 1]
2 2' ,
2. Toute parallèle à l'axe des abscisses, passant par un point
d'ordonnée appartenant à [- 1 ; 3], coupe la courbe en un
unique point d'abscisse appartenant à l- 3 ; 1]. Donc [est
une bijection de l- 3; 1] vers [- 1; 3].
3. (<(6[-1) est l'image de (<(6) par la symétrie orthogonale d'axe
la droite (ô) d'équation: y = x. ~

• Exercice 34 p. 181 (~f- )7 [7


1. Soit x E [_1..; + 00[.

On a :f(x) =y <=>
2 {1 x~-2
'

<=>
{x = 1L=.1.
2.
1
7 Il)
/7 ~'<!,f1.-
Y2x + 1 = Y Y~0 ~
L'équation f (x) = y a une solution unique dans [_1.. ; + oo[ ; donc, [est
. J t- 1/,
2
bijective et : 'II XE [0 ; + 00[, f-1(x) = x - 1. 2 (1/ 1/
2. (<(6[-1) est une branche de parabole.
2
I~ Vi
(<<6 ) est l'image de (<<6[-1) par la symétrie orthogonale d'axe la droite (ô) d'équation: y
f = x.

140
t l~xercice3:i Pl HU
1. a) Cl [est une bijection de ~ vers ~ et : \;j x E ~,f-l(X) = x; 1. (~ )/ 1/1
(Cf6r) est l'image de (Cf6r-1) par la symétrie orthogonale d'axe la droite (bo) 1/ lA ~) !
d'équation: y = X. 1 1 / V 1
l J 1/ 1/ /1
/1/ /.....- /
<fi,f 1)
1

~ ~I
/ ~
//
- 2x, si x ~ 0
• g est une bijection de ~ vers ~ et : \;j x ERg -l(X) ={ 1 . .
--x SlX< 0
3 '
(Cf6g) est l'image de (Cf6g -1) par la symétrie orthogonale d'axe la droite (bo)
d'équation y = x.

2. a) c, On a : g 0 [(x) = g(2x + 1) ; donc: <.

- si 2x + 1 ~ 0, g(2x + 1) = - t(2X + 1) ; ~<fi, of) (M V


- si 2x + 1 > 0, g(2x + 1) =- 3(2x + 1). "- r-, <,
V
-x _1.. si x s _1.. ~-
r-,
<,
J 1/ l--

Donc: g 0 [(x) = {
<,

.
2' 2
l'
~
r--
r-, V
- 6x - 3 , SI X > - -2 t7f\ r-, ..••
0 1

• On a: (g 0 f)-1 = [-log -1. V {<fi,


....,
gof) 1)

.~
_1..
6
x _1.. si
2'
x <0 IV
Donc: (g 0 f)-l(X) ={ 1.
-x-- 2' SIX> - 0
. V 1\ <,

(Cf6(g 0 rH) est l'image de (Cf6g 0 r) par la symétrie orthogonale d'axe la droite (bo) d'équation :y = x.

(
C:l Exercices d'appronfondissement
+ Exercice 36 p. 181
1. '. x E D(f+g) 0 h {::} XE Dh et h(x) E Dr+g <:=? XE Dh et h(x) E Drrl Dg.

·XE D(foh)+(goh) {::} XE DrohrlDgoh'

XE n, et h(x) E Dr
<:=? { . {::} XE Dh et h(x) E Drrl Dg.
XE Dh et h(x) E Dg

Donc: D(f + g) 0 h = D(f 0 h) + (g 0 hl'

• On a: \;j XE D(f+ g) 0 lv (if + g) 0 h)(x) = if + g}(h(x)) = [(h(x)) + g(h(x)) = [0 h(x) + 9 0 h(x)


::::if 0 h +9 0 h(x)).
Donc: if + g) 0 h = [0 h + 9 0 h.

2. On a: D(f'+g) 0 h = D(foh)+(go h) = IR- u , 2}.


• VX E IR- il ;2}, h 0 if + g)(x) = (2X
x-2
·u+ x - 3 )2.
x-l
• \;j x E ~ - {1 ; 2}, (h 0 t+ h 0 g)(x) = (2X + 1)2 + (X - 3 )2.
x-2 x-l
Généralement, (a + bJ2 '* a 2
+ b2 ; donc: h 0 (1'+ g) '* h 0 [+ h 0 g.

141
• Exercice 37 p. 181 •
1. Soit a, b, a' et b' des nombres réels tels que : [(x) = ax + b et g(x) = a'x + b',
On a: go [(x) = g(ax + b) = aa'x + (a'b + b') ; aa et (a'b + b') sont des nombres réels, donc go [est affine.
2. La représentation graphique de 9 0 [est une droite (ilg fi. 0

Donc, pour construire (ilg fi, il suffit de construire deux points A et B de


0 (ilg 0 fi.
Soit (il) la droite d'équation y = x.
Pour construire le point A d'abscisse XA :

• on détermine le point MA de (ilfi d'abs-


cisse xA' puis le point NA de (il) ayant
même ordonnée [(xA) que MA;
• l'abscisse [(xA) du point NA de (il) est :
également celle du point PA de (ilg) ayant t
même ordonnée go [(xA) que A; , :
, ,
• on détermine le point PA' puis le point A' .•. :
qui est le quatrième sommet du rectangle ___
construit sur les points MA;NAet PA'
Xs t f(XA): x :
A
--.:..:-.>...- .........,;-::-:--+--"----....:::,fC---'''''''-':.----t-'----'-'---'-'i-

De façon analogue, on construit le point B.


On en déduit la droite (ilg fi . 0

• Exerciëe 38 p. 181
1.Soit Ac B et y E [(A).
On a : y E [(A) :::} :3x E A, [(x) = y ; or x E A :::} XE B ; donc [(x) E [(B), c'est-à-dire y E [(B).
On en déduit que :[(A) c[(B).
2. • On a: y [(A u B) :::}:3 x EAu B,f(x) = y
E (
:::} :3 x E A ou XE B,[(x) = y
:::} y E [(A) ou y E f(B).
Donc :[(A u B) c[(A) u [(B).
• D'après la question 1: A cAu B :::} [(A) c[(A u B) ;
B cAu B :::}[(B) c[(A u B).
Donc: [(A) u [(B) c[(A u B).
On en déduit que: [(A u B)=[(A) u[(B).
3. a) D'après la question 1: An B cA:::} [(A n B) c[(A) ;
An B c B => [(A n B)c[(B).
Donc :[(A n B) c[(A) n[(B).
b) Soit y E [(A) n[(B) ; :3x E A et :3 U E B,f(x) = feu) = y.
Or :[injective et[(x) = feu) :::} x = u; donc: x E An B et y E [(A n B). </}

On en déduit :[(A) n[(B) c[(A n B) et [(A n B)= [(A) n[(B).


4. On a : An B = [0 ; 1) ;f(A n B) = [0 ; 1) ;
1"'- 'C(J,f) :L-
r-, 7
[(A) = [0 ; 3) ;f(B) = [0 ; 5) ;f(A) n[(B) = [0; 3).
Donc: [(A n B) :t- [(A) n [(E). -, -, V
J V
1"'- 1/ 1

1 0 1 1
• Exercice 39 p. 182 1

1. Soit a et b deux éléments de E tels que: a < b.


On veut comparer 9 0 [(a) et 9 0 [(b) dans chacun des cas suivants ..
a)[ est croissante sur E et 9 est croissante sur F.

142
On a; a < b =? [(ats [(b) =? g(f(a)):S g(f(b)) ; c'est-à-dire que; go [(a) :S go [(b).
Donc, la fonction g 0 [est croissante sur E.
b)lest croissante sur E et 9 est décroissante sur F.
On a : a < b =? [(a) ~[(b) =? g(f(a)):2: g(f(b)) ; c'est-à-dire que: go [(a) :2: go [(b).
Donc, la fonction 9 0 [est décroissante sur E.
e)[ est décroissante sur E et 9 est croissante sur F.
On a: a < b =? [(a) :2: [(b) =? g(f(a)) :2:g(f(b)) ; c'est-à-dire que: go [(a):2:g 0 [(b).
Donc, la fonction 9 0 [est décroissante sur E.
d)lest décroissante sur E et 9 est décroissante sur F.
On a: a < b => [(a) :2:[(b) =? g(f(a)) ~ g(f(b)) ; c'est-à-dire que; go [(a)::; 9 0 [(b).
Donc, la fonction 9 0 [est croissante sur E.
2. a) Sens de variation de [
Soit a et b deux nombres réels tels que: a < b. On veut comparer a3 et b3.
On a: b3 - a3 = (b - a)(b2 + a2 + ab).
2
Or : b - a > 0 et b + a2 + ab> 0 ; donc; b3 > a3 ; c'est-à-dire: [(a) < [(b).
La fonction [est strictement croissante sur IR.
Sens de variation de 9
• Soit a et b deux nombres réels de ]- 00 ; 1] tels que: a < b.
On veut comparer - 2(a - IF + 3 et - 2(b - 1)2 + 3.
Ona: a<b~1 =? a-l<b-l~a;

la fonction carré étant décroissante sur ]- 00 ; al, (a - -TF,> (â~:" IF ;


donc: - 2(a - 1)2 + 3 < - 2(b - IF + 3.
La fonction 9 est strictement croissante sur ]- 00 ; 1].
• On montre de la même façon que la fonction 9 est strictement décroissante sur ]1 ; + 00].

b) Sens de variation de 9 0 f Tableau de variation


On a ;[(];;- 00; 1]) =]- 00; 1] €~ /~[1 ; ~coD = [1; + 00[.

x -00
1
• [est strictement croissante sur [1 ; + oo[ et g strictement décrois- +00

sante sur [([1; + =l) ; donc, 9 0 [est décroissante sur [1; + 00[. ~ 3
• [est strictement croissante sur ]- 00 ; Il et 9 est strictement gof(x)
sante sur [(]- 00 ; 1]) ; donc, 9 0 [est croissante sur ]_ 00 ; 1].
On a ; 9 0 [(1) = g(l) = 3.
crois-.
(
.
/~
c] Sens de variation de [0 9
Tableau de variation
On a ; g(]- 00 ; 1]) = g([1 ; + ooD = ]- 00 ; :n
• 9 est strictement décroissante sur [1 ; + oo[ et [est strictement x - 00 1 +00

croissante sur ]- co ; 3] ; donc, [0 9 est strictement décroissante sur


[1; + 00[. 27
[og(x)
• 9 est strictement croissante sur]- 00 ; 1] et [est strictement
sante sur ]- 3] ; donc,f
00

On a :[0 g(l) =[(3) = 27.


; 9 est croissante sur I- 00 ; 1].
0
crois-
/~
• Exercice 40 p. 182
1. Soit a et b deux éléments de E tels que: [(a) =f(b).
On a :[(a) = [(b) =? [(f(a)) = [(f(b)) =? a = b; donc,festinjective.
Soit y E E. t!

On a :f(x) = y =? [(f(x)) = [(y) =? X == [(y) ; donc,fest surjective.


On en déduit que [est bijective et [-1= f
2. a) 'ri x E IR- {1}, 9 0 g(x) = g(g(x)) = 9(x) +3 = x;
g(x) -1
donc: 9 0 9 = Idu;j_ (1) et 9 -1 == g.

b] On a : 'ri x E IR - {1}, g(x) = (x - 1) + 4 == 1 + _4_.


. x-l x-l

143

..
!
l' 1 ~ b •..-ot 1l , •••

e) Posons: h(x) = -.4


x \ \ /
On a : V X E IR.- [I], g(x) = h(x -1) + 1. \
1/
Donc, (Cf&) est l'image de (Cf&h) par la translation de vecteur ï1 (1). /' V (il)
d) Soit M(x ; y) un point du plan et M'(x' ; y') son image par la ..•\ ,'/-...,
symétrie orthogonale d'axe la droite (.~) d'équation: y = x. \ /'" !-..... (~ )
<,
On a : x' = y et y' = x. j .
/ r-, I/'
ME (Cf&) ~ Y = g(x)
~ x = 9 -1(y)
-/' ....... ~
~
V
1
1
~"

~ X = g(y) (car 9 -1 = g) r-, 1.4\


~ M'E (Cf&). ,/
1/ I\U \

\/\
Donc, (.~) est un axe de symétrie de (Cf&) .

• Exercice 41 p. 182
f est
une application, donc chacun des n éléments de E, a exactement 1 image dans F par f.
a) Si f est injective,
b) Si f est surjective,
alors les n images dans F par f, sont 2 à 2 distinctes;
alors chacun des p éléments de F, est l'image d'au moins 1 élément
donc: n:;; p.
de Epar f;
l
donc: n "è.p. ""Q -~

c) Si f est bijective, alors [est injective et surjective; donc: n 5. p et n"è.p ~ n = p.


d) Si j est injective et n = p, alors les n images 2 à 2 distinctes dans F par f, sont les n éléments de F.
On en déduit que f est surjective, donc est bijective. ~
e) Sifest surjective et n = p, alors chacun des p éléments de F, a exactement 1 antécédent dans E par f;
donc: f est injective. On en déduit que f est bijective.

• Exercice 42 p. 182
=- 2;. -
1
l
1. a) On a :f(x)

b) Posons: g(x) =-
2(x-tY

2i:2 ; on a: V x
+

E 1R.,f(x) = g(x - t) + 285.


\3
\
(11)

1/ -, ( h)/
l
Donc, (Cf&) est l'image de (Cf&g) par la translation de vecteur
-4
u ayant
\j 1 1\ /
pour coordonnées (li ; ~).
\/ \1
/0
4 8
l
1
i\
2. Posons: h(x) = 1- 2x2 + 5xl = lf(x)l.
/ \
('t6h) est la réunion des parties des courbes d'équations respectives y =f 1/ 'f,)\
(x) et y =- [(x), situées « au-dessus» de (01).
1 1\
On désigne par (bo) la droite d'équation: y = 3.
a) On a : 1- 2x2 + 5xl = 3 ~ h(x) = 3.
Les solutions de h(x) = 3 sont les abscisses des points où (bo) coupe (Cf&h)'
La lecture graphique donne pour ensemble des solutions: {- ~ ; 1~ f; q}_
b] On a : 1- 2X2 + 5xl > 3 ~ h(x) > 3. ~
Les solutions de l'inéquation h(x) > 3 sont les abscisses des points de ('t6h) situés au-dessus de (bo).
La lecture graphique donne pour ensemble des solutions: ]- 00 ; - ~ [ u ]1 ; "t[ u ]3 ; + 00[.

144
l
• Exercice 43 p. 11!2
Expressions des fonctions f + g, fx 9 et - 2f + 3g.

x -00 0 2 +00

f(x) x2 0 x2 4 -2x

g(x) x2 + 2x 0 2x 4 2x
if + g)(x) 2x2 + 2x 0 x2 + 2x 8 0
ifx g)(x) x4 + 2x3 0 2x3 16 -4x2
- [

(- 2f + 3g)(x) x2 + 6x 0 -2x2+6x 4 10x

Expression de la fonction f 0 g.
x -00 -1-V3 0 1 +00
1

_. g(x) XZ + 2x 2 x2 + 2x 0 2x 2 2x
g(x) - 2 + 0 - -2 - 0 +
f(g(x)) - 2g(x) 4 W(x))2 0 (g(~))2 4 .: 2g(x)
fo g(x) - 2x2 - 4x 0 x4 + 4x3 + 4x2 0 4x2 4 -4x
-

--~ -- ...•

'if x E IR, f 0 g(x) = f(g(x)) ; donc comparons g(x) à 2.

On a : {x s
g(x)~2
0 <=> {x s 0
x2+2x-2~O
. <=> _ 1 _ v'3 s s à ,x
On a : {x_> 0 <=> {x> 0 . <=> 0 < x s1 ;
g(x)~2 2x~2

On en déduit le tableau ci-dessous .

• Exercice 44 p. 182
r
1. Soit x E IR - {O ; Il. 2. (0 fi f2 f3 ~ fs f6
ft est une bijection et ft-l = ft. fi f3
fi f2 ~ fs f6
fz est une bijection etfz-l = h. f2 f2 fi fs f6 f3 ~
fa est une bijection etfa-l = fa. f3 f3 f6 fi fs ~ f2
t; est une bijection etit-1 = it. ~ ~ fs f6 fi f2 f3
fs fs ~ f2 f3 f6 fi
fs est une bijection etfs-l = h. f6 f6 f3 ~ f2 fi fs
h est une bijection eth-1 = fs.

• Exercice 45 p. 182
(0 Id 50 ~ 56

Id Id 50 ~ 56

SA 50 Id 56 ~
~ 5Çj) 56 Id 50

56 56 ~ 50 Id

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