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RépubliqueAlgérienneDémocratiqueetPopulaire
- BirKhadem -
COUTURE
MODULE
Technologie Professionnelle
NIV :CAP
I.F.E.P
2015
La formation professionnelle est un secteur qui vise le développement des compétences
permettant à une personne d’assurer pleinement son rôle de travailleur et d’évoluer sur le
marché du travail.
Dans ce sens, elle doit tenir compte des besoins du marché de travail, des politiques de
développements de la main d’œuvre ainsi que des caractéristiques de chaque profession (ou
métier).
Et cette perspective on a conçu des manuels techniques et pédagogiques pour nos stagiaires et
apprentis qui suivent leur formation au niveau des établissements de formation et de
l’enseignement professionnels.
Ce document est divisé en trois parties dont la première a pour objet, l’identification et la
classification des matières textiles, d’après leur origine, leur définition, leurs propriétés
physiques et chimiques et leurs utilisations, notamment les symboles du code entretien des
textiles.
La troisième parti définit, plus spécifiquement les principaux outillages nécessaires à la couture
Présentation de la profession :
3- Définition de la spécialité
Conditions de travail
1-Lieu de travail :
- Atelier de confection
- Artisan
- Maisons de couture
2- Caractéristiques physiques :
4- Contacts sociaux :
1) Physiques :
- Bonne acuité visuelle
2) Niveau scolaire : Savoir lire et écrire
3) Expérience professionnelle : Aucun
4) Contre indication :
- Vue insuffisante après correction
- Handicap des membres supérieurs
-
Responsabilités de l’opérateur :
Possibilité de promotion :
Formation :
1- Conditions d’admission :
- Age : 17 ans
Code :MC1
Durée :56H
COMPORTEMENT ATTENDU :
A l'issue de ce module, la stagiaire doit être capable d’identifier la matière textile et d’utiliser
les différentes machines à coudre tout en appliquant les consignes de sécurité
CONDITIONS D’EVALUATION :
A partir de :
- Les affiches
A l’aide de :
CRITERES DE PERFORMANCE:
Classer les matières Classement correct des matières Classer les fibres naturelles
textiles selon leurs textiles.
origines Végétale
Animales
Minérales
Artificiels
Synthétiques
Code d’entretien
Outillage de coupe
Fer à repasser
Ciseaux
Dé……
Ciseaux
Appliquer les consignes Fer à repasser
de sécurité Respect des consignes de sécurité
Machines à coudre
TEXTILLES
Introduction
Les fibres textiles sont omniprésentes dans notre société à travers les vêtements que nous portons
et les textiles d’ameublement qui nous entoure ne cessent d’afficher un intérêt croissant très
remarquable aux matières textiles qui sont essentiels dans la fabrication des différents tissus pour la
confection des vêlements.
C’est pour cela dans ce chapitre vous comprendrez l’importance de l’identification et classification
des textiles selon leur origine, leurs caractères, leurs propriétés physiques chimiques et différentes
utilisations, indispensable pour le stagiaires.
Ce chapitre présente aussi Les symboles d’entretien fournissant une information sur les traitements
les plus sévères au-delà desquels l’article textile pourrait être endommagé.
Vous Comprendrez l’usage de l’étiquette d’entretien et les symboles d’indication concernant le
lavage, le repassage le blanchiment, le nettoyage à sec, et le séchage.
Les cinq symboles (cuvier, triangle, cercle dans un carré, fer à repasser, cercle) doivent tous figurer
sur l'étiquette d'entretien et être complétés de nombre, points ou lettres.
On donne le nom de textile à toute substance capable d’être transforme en fil puis en tissu qui on des
caractères variable dans différents règne végétal, animal, et minéral Ils présentent sous formes très
différentes de sorte que la transformation qu'ils doivent subir avant de servir de tissus sont
différentes elles aussi, mais les propriétés, leur valeur et emplois et extrêmement variée. Pour cela
la classification des textiles doit êtres établi selon leur origine. Les fibres textiles d’origine naturelle
sont des fibres qui existent à l’état naturel, ce sont principalement les fibres végétales et les fibres
animales.
fig1
coton
Fig.3 transformés
Pétrole
Le lin. Jute
Fig.6 fig.7
Coco
Fig.10
Ramie raphia
Fig.8 fig.9
Fig. 11
Fig. 11
Fig.12
Capsule sec
Fig.13
Couleur
La couleur varie du blanc crème au jaunâtre, le coton le plus blanc est plus recherché. Plus le coton
est proche du blanc, plus il sera facile de le blanchir complètement pour le teindre ou l’imprimer.
pays producteurs : les êtas unis, la chine, l’inde et Egypte, l’Afrique, la Turquie, la Syrie, la
Pakistan, l’Australie.
Principaux pays producteurs : les êtas unis, la chine, l’inde et Egypte
Pays Producteurs secondaires : l’Afrique, la Turquie, la Syrie, la Pakistan, l’Australie.
La culture du coton
La récolte se faisait autrefois à la main et produisait moins de déchets elle est maintenant
mécanisée, les capsules sont arrachées. La récolte se fait à maturité du fruit lorsque les capsules
éclatent et libèrent les fibres. Parfois une défoliation est effectuée pour réduire les déchets.
La main
Machine pneumatiques
Fig.15
La main
Après récolte, les poils de coton sont traités pour permettre la filature, puis le tissage des fibres
obtenues.
Séchage: La récolte encore humide devra sécher à l'air et au soleil pendant quelques jours ou
à l’aide de séchoirs à air chaud avant d’être entreposé pour l’égrenage.
L’égrenage
L’égrenage consiste à séparer les fibres des graines à l’aide de machines appelées égreneuses La
fibre de coton, qui adhère encore à la graine, est acheminée à l'usine d'égrenage, où elle est
nettoyée par des machines qui la sépare de la graine et autres impuretés. Les fibres sont ensuite
compressées dans des balles, emballées et transportées par bateau. Voir fig. 17
Machine égreneuses
Fig. 16
Traitement industriel du coton : les cotons de diverses origines sont mélangés afin
d'homogénéiser la production. Le coton est débarrassé des impuretés, battu, cardé afin
d'aligner les fibres. Le cardage est une opération importante qui a pour but de paralléliser les
fibres qui vont former un ruban. Les rubans seront groupés et étirés, puis passent dans le
"banc à broches" où s'effectuent l'étirage, la torsion et l'envidage.
La qualité du coton dépend de : la longueur du poil (coton longue soie, moyenne soie, courte
soie), la finesse, la solidité, la couleur, la pureté.
La fibre de coton peut être utilisée telle quelle (coton hydrophile) mais c'est surtout après filature,
tissage ou tricotage que ses utilisations sont les plus importantes.
Lavage facile
Facilité On peut faire bouillir le coton blanc
d’entretien On peut le nettoyer à sec
On peut le repasser à fer chaud
Entretiens du coton :
Il est possible de repasser le Le coton supporte tous les Le coton peut être séché en
coton jusqu’à une température types de solvants. Ce sigle est machine, à l’exception des
de 200° mais il est préférable destiné aux professionnels de tissus sujets au rétrécissement.
que l’étoffe soit humide. pressing.
Fil de couture
Fil de broderie
fig.17 fig.18
Fig.24
Fig.25
Les lignicultures sont soucieux de la qualité. Ils savent que de leur culture dépendra la qualité du fil
de lin. C'est pourquoi, ils ne laissent rien au hasard, que ce soit pour:
La préparation de leur terre.
> Le semis.
> La récolte par arrachage.
> Le rouissage à terre.
A chaque étape, ils mobilisent leurs compétences, leur patience et leur savoir-faire. Ils apportent les
soins appropriés, avec la rigueur qui les caractérise.
La croissance
Le lin pousse très vite. Le cycle de végétation est de 100 jours. Pendant cette période, le
agriculteur surveille sa croissance en faisant attention que la plante soit bien nourrie, qu'il n'y ait pas
d'attaques d'insectes ou de champignons. Parfois il est amené à traiter pour défendre sa culture.
Le semis
L'agriculteur utilise des semences qui ont été produites spécialement pour obtenir des beaux
lins. Il est assuré d'avoir ainsi des semences sans graines de mauvaises herbes et avec un niveau
de germination très élevé. L'objectif est d'obtenir une tige pour chaque graine. Les semences sont
contrôlées et certifiées par le Ministère de l'Agriculture. Pour obtenir des fibres fines, les graines de
lin sont semées très serrées aux environs de 2 000 graines au m². La terre doit être préparée
finement pour que chaque graine lève rapidement et de façon homogène.
Les tiges de lin sont étalées sur le terrain par le ligniculture en longues nappes. Au contact du sol et
grâce à la rosée du matin ou aux pluies de l'été, des micros organismes (champignons et
bactéries)vont s'attaquer à la tige pour séparer les fibres de la paille puis vont s'attaquer aux
substances appelées ciment qui relient chaque fibre entre elles. Cette opération naturelle s'appelle le
rouissage
Le ligniculture va régulièrement surveiller sa linière pour vérifier que cette opération se passe bien.
Il sera éventuellement amené à retourner les nappes de lin avec une machine pour obtenir un
rouissage homogène. C'est important pour obtenir des fibres fines et solides pour créer par la suite
de beaux vêtements. Une fois cette opération terminée, le ligniculture fait de grosses balles rondes
et les livre à l'usine.
Fig.28 Rouissage
Teillage
En machine, les tiges de lin sont vraiment triturées ! Après avoir récupéré leurs graines, les tiges sont
"broyées" entre des rouleaux, puis battues et peignées pour éliminer complètement l'écorce et le bois
qui recouvrent la fibre. Les fibres longues (60 à 90 cm) constituent la filasse et les courtes formeront
les étoupes.
Teillage du lin
fig.29
Peignage
Le lin arrive en filature sous forme de
filasse. La première étape, avant de
pouvoir tisser le lin, c'est de le peigner !
Ce peignage sert à démêler la filasse, Fig.30
éliminer les débris qui peuvent rester et
diviser les faisceaux. La filasse
peignage
démêlée est ensuite étalée en ruban et
prête à être filée.
o Aspect du lin du Les fibres son claires, brillante et lisse, souvent groupées en faisceaux.
o Le lin brule facilement, laisse des cendres légères semblables à celle du papier.
o Action des oxydants et l’eau de javel : et utilisée avec précaution, en solution très étendue, ils
blanchissent le lin.
Pays producteurs :
Le lin est produit dans plusieurs pays du monde : Chine, Russie, Pologne, Lituanie, Biélorussie,
Ukraine mais aussi en Europe de l'ouest : France, Belgique, Pays-Bas et en Afrique avec l'Egypte,
long du Nil. Le lin d'Egypte a été rendu célèbre avec les vêtements des pharaons et les bandelettes
de tissu recouvrant les momies.
Mouton ➝ Laine
Chèvre ➝ Mohair
Chèvre ➝ Cachemire
Chameau ➝ Poil de chameau
Lama ➝ Alpaga
Lapin ➝ Angor
Chenille du bombyx ➝ Soie
Chèvre de Mohair
Mouton
Fig.34 Fig.35
Chèvre de Cachemire
Chameau
Fig.36 Fig.37
Lapin
Fig.39de angora
Fig.40
Ver a soie
Fig.38
Lama de alpaga
Historique de la laine
Dès la Préhistoire, l’homme a su tiré profit des animaux et notamment des mammifères ; il utilise
les fourrures, puis apprend à travailler les peaux. Ainsi, la domestication du mouton pour la
production de laine dans les pays méditerranéens et d’Asie centrale. Les premiers échantillons de
laine datent de 7000 ans avant notre ère et ont été retrouvés sur le plateau anatolien (la Turquie
actuelle).
Fibre naturelle, d’origine animal provenant de la toison du mouton et d’autres animaux (par ex.
Lama, chèvres, chameaux, lapins, lièvres). Elle est épaisse, douce et frisée et est obtenue par
coupe, épilation ou peignage des poils ou de la fourrure des animaux.
Propriétés de la laine
La fibre de laine
La tonte
Pour récupérer la laine, on doit tondre les moutons, c'est à dire couper la toison qui a poussé tout au
long de l'année.
Pour tondre, on a d'abord utilisé des forces, sortes de grandes cisailles. Aujourd'hui, bien que cet
outil, pourtant utilisé dès l'Age du fer, soit encore utilisé, la tondeuse électrique s'est généralisée.
Pour tondre vite et bien, le tondeur tient l'animal entre ses jambes et fait une série de passes dans un
ordre très précis.
Un bon tondeur professionnel tond une brebis en moins de trois minutes. Ses mains brillent : elles
sont enduites de la graisse qui contient la toison et qui la rend imperméable : le suint (qui servira
dans la cosmétique à fabriquer de la lanoline).
Ensuite, il faut trier les toisons selon la longueur, la finesse, l'élasticité, le gonflant, la couleur,
l'homogénéité, la propreté, la solidité des fibres. Les toisons fines et longues seront utilisées pour la
filature, les plus courtes et plus frisées seront sélectionnées pour la literie ou l'isolation.
Les utilisations
De la laine sont nombreuses. Sous forme de pelotes, elle est tricotée. Elle peut également être tissée
ou nouée. Sa facilité à absorber la teinture permet la confection de tapis ou de tapisseries. Elle se
prête facilement aux mélanges avec d’autres fibres naturelles ou synthétiques. Aujourd’hui, la laine
de mouton est également utilisée comme isolant naturel pour les bâtiments.
Tissu de laine Fig.48 Isolant naturel pour les bâtiments Fig.49 bourre de laine Fig.50
.
Manuel du stagiaire en étude de technologie
Principaux pays producteurs de la laine
La laine est produite dans une centaine de pays par plus de 1 milliard de moutons. Les
Principaux producteurs sont l'Australie, l'Argentine, la Chine, l'Inde, la République
Islamique d'Iran, la Nouvelle-Zélande, la Russie, l'Afrique du Sud, le Royaume-Uni et
L’Uruguay. Selon le pays et la région, elle est produite par de petits paysans ou sur de
Grosses exploitations commerciales.
20 Algérie 20 000
F = Estimation de la FAO | * = Renseignement officieux Source: Département économique et social, la division de la
statistique de la FAO
Accouplement fig.52
Bombyx Mori
Après l’accouplement, au début de l’été vers la fin de juin, la femelle du bombyx mori pond 500 œufs
minuscules (1mm) Il est blanc grisâtre, duveteux .il vit très peu de jours.
Manuel du stagiaire en étude de technologie
Les œufs
Il son minuscule blanc-gris. On appelle aussi « graines » ils éclosent normalement 10 mois après
leur ponte. Ceux qui sont fécondés deviennent gris au bout de quelques jours et ils contiennent un
embryon.
le murier fig.54
Eclosion
Eclosion des petits vers, noirs,
éclosion des petits vers poilus, de 0.3 cm de long. Les
coquilles blanches sont vides.
fig.55
Différentes tailles
Croissance de 0.3 à 7 cm.
Fig. 57
Mue
Observez la tête en haut à droite avant la mue, en bas à gauche après la mue, ainsi que les mues
(vielles peaux) sur les feuilles.
Elaboration du cocon
Dans un cadre japonais,
différents stades. La chenille
s'enferme petit à petit
javascript:aff('photos/filage.jpg')
Elaboration du cocon Fig. 59
Celui-ci trouvé, elle laisse échapper de sa lèvre inférieure un filet de bave qui se solidifie à l’air,
Et donc elle s’entoure régulièrement, jusqu'à épuisement du contenu des glandes séricigènes.
Le cocon dans lequel le ver à soie s'enferme pour se transformer en papillon est une véritable
petite bobine qui peut atteindre 1,5 km de fil. A diamètre égal, ce fil de soie est aussi résistant
qu'un fil d'acier.
Filage
Fig. 60
La chrysalide
Le cocon achevé ressemble à une petite pelote formée de 300 à 1000 mètres de fil de soie
(La longueur varie avec la grosseur du fil)
A l’intérieure, la chenille se transforme : elle devient d’abord une chrysalide blanche, puis brune,
Et après une vingtaine de jours ; la carapace de cette dernière ce déchire ; il en sort un papillon,
qui perse le cocon et s’enfuit.
Emergence
A peine la métamorphose terminée, la femelle Bombyx, à la sortie du cocon, sécrète une
phéromone que le mâle décèle à très grande distance.
En découpant le cocon (très délicatement) il est possible d'observer le papillon s'extrayant de
l'enveloppe de la chrysalide
Émergence Fig. 62
Les magnaneries
Sont de grands bâtiments Les pièces sont vastes et très bien ventilées, spécialement pour
l’élevage du vers a soie.
Avantage inconvénient
la plus fine et la plus longue des fibres Fibre sensible à la lumière, à la sueur et à l’eau
naturelles / résistance / élasticité / de javel /Entretien délicat /
douceur / pouvoir isolant /ne peut irriter les
épidermes délicats/auto-défroissabilité / capacité
d’absorption d’humidité/ ce teint facilement /
Le fil à coudre en soie est un fil très résistant, qui existe dans de très nombreux coloris.
Il doit obligatoirement être utilisé pour coudre les vêtements en soie.
Lingerie ; couture de mode ; aviation, meunerie, Dentelles et tulles de soie
L’ameublement est aussi un secteur d’activité très moderne et les grands décorateurs font très
souvent appel aux tissus de soie.
Dentelles et tulles de soie, De par leur légèreté et leur finesse, ce sont les indispensables
composantes des tenues de mariage
Écharpes Accessoires permanents de l’habillement féminin et masculin,
Passementerie Elle représente l’ensemble des techniques liées à la production d’articles de
décoration : rubans, pompons, glands, olives, floches, utilisés aussi bien en habillement qu’en
ameublement.
Foulard Fig. 70
Principaux pays producteurs :
La Chine, l’Inde, la Russie, le Japon, la Corée du Nord, le Brésil, la Thaïlande et la Corée du Sud.
-Origine
Amiante se détachant d’une roche naturelle fibreuse, de couleur bleu, grise ou parfois brune
Propriétés et applications :
Fibres claires, souples, sans crochet, de longueur variable, plutôt courtes, les plus longues sont filées
et tissées
Utilisation :
C’est ainsi qu’on retrouve des matériaux contenant des fibres d’amiante dans :
Origine :
Le s tissus d’origine chimique sont faits en laboratoire avec des produits chimique.ils en existe deux
Types les fibres artificielles et les fibres synthétiques.
En 1884, le compte hilaire de Chardonnet, un français créa la première fibre d’origine chimique.
Cette fibre ressemblait beaucoup à la soie, mais elle n’avait pas ses qualités. On lui donne le nom de
rayonne.
Au XIXe siècle, on chercha à fabriquer artificiellement des fibres textiles, aussi fines que la soie, mais
moins coûteuses. Pour cela, on eut l’idée de dissoudre dans un mélange chimique des morceaux de
cellulose (déchets de coton ou de tissus, paille, sciure de bois). Puis on fait passer le mélange à
travers une filière (sorte de passoire extrêmement fine) et un autre produit chimique solidifie à la
sortie les fils obtenus. Selon les produits chimiques utilisés, on appelle ces textiles : viscose (lessive
de soude) ou acétate (acide acétique). Quand le fil est continu comme la soie, on l’appelle rayonne.
On peut également le couper en fibres courtes que l’on file ensuite comme la laine ou le coton et l’on
obtient un fil plus gonflant qu’on appelle fibranne. Pour mieux concurrencer les bas et tissus de soie,
les fabricants de la viscose prétendaient l’appeler soie artificielle, alors qu’elle n’en avait que la
finesse. Sa composition à base de cellulose la rapprochait plutôt du coton. Les fabricants de soie
obtinrent l’interdiction de cette fausse appellation. Néanmoins, le prix moins élevé de ces textiles les
a fait largement utiliser pour les acheteurs moins riches
Contrairement aux fibres textiles naturelles, provenant d'animaux (laine, soie) ou de plantes (coton,
lin, etc.), ces fibres sont fabriquées en usine
Les tissus artificiels son aussi appelés rayonnes .ils sont fabriqués en laboratoire à partir de fibres
naturelles comme la pate de bois et la bourre (les déchets) de coton. Ils sont très absorbants légers.
Ils demandent toute fois beaucoup d’entretien. Parmi les plus connus, il y a la viscose et l’acétate.
-Origine
Elles sont obtenues à partir de différentes matières premières telles que la cellulose auxquelles on a
fait subir des transformations chimiques pour obtenir un produit filable.
Les Textiles artificiels sont fabriqués à partir de produits naturels,
en particulier la cellulose. Apres de multiple transformation,
la matière obtenue est toujours de la cellulose ou de la cellulose modifiée, mais capable d’être filée
Propriétés textiles
Certaines fibres possèdent des qualités spécifiques mais les fibres artificielles
(Acétate, viscose) possèdent des caractéristiques et des qualités communes telles
que Solidité à sec qui entraîne une durabilité des articles, Légèreté qui permet de
réduire l’encombrement des textiles, facilité d’entretien (lavage aisé et séchage
rapide).
Utilisations :
Habillement : tissus pour doublure, robes, sous-vêtements, bonneterie, chemises, pantalons…
Ameublement: doubles-rideaux, revêtements pour sièges, linge de table..
La fibre étant plus fragile que celle du coton, le lavage doit être effectué à une
température
de 40 °C environ. Compte tenu de la faible résistance de la fibre au mouillé, il
est conseillé de réduire l’essorage et de ne pas tordre le vêtement pour l’égoutter.
Le nettoyage à sec peut être effectué avec tous les produits usuels.
Le repassage s’effectue à fer moyen (150 à 200 °C), de préférence sur l’envers ou à
l’aide d’une pattemouille.
Origine
Les fibres synthétiques ont une origine chimique. Elles sont fabriquées à partir de la distillation du
charbon ou du cracking du pétrole (polyamide) ou du benzène (polyester).
Insensible aux agents alcalins des produits lessiviels, les fibres synthétiques peuvent
être
lavées à 40 °C, de préférence dans un grand volume d’eau.
L’essorage doit être réduit pour éviter la formation de pliures.
Ces fibres résistent à l’action des différents solvants. Tous les solvants peuvent être
utilisés pour leur détachage ou le nettoyage à sec. Pour l’acrylique, l’emploi du
perchloréthylène est recommandé.
Le chlorage est à éviter mais, en cas de nécessité, et à condition que les coloris le
permettent, le chlorage s’effectue à froid et à doses très diluées.
Souvent inutile mais possible, le repassage doit être effectué à fer doux
(1 point + 110 °C) en interposant une pattemouille.
Les symboles d’entretien sont réglementés par le droit des marques. Ces marques appartiennent
(en copropriété avec le COFREET) le « COFREET » et une Comité Français de L’Etiquetage
pour L’Entretien Textiles.
GINETEX Ŕ Groupement International d’Etiquetage pour l’Entretien des Textiles. Les symboles du
GINETEX sont aussi à l’origine des normes internationales (EN ISO 3758).
Symbole fig.77
Ces symboles vous donnent les préconisations indispensables sur l’entretien le plus sévère de vos
vêtements sans causer de dommages irréversibles. Le respect des instructions fournies par
l'étiquette garantit que le produit textile ne sera pas endommagé. Par contre, il ne garantit pas
l'élimination de toutes les saletés et les taches.
LAVAGE le cuvier
Ce symbole indique la première étape de l’entretien : le lavage.
Les chiffres à l’intérieur du cuvier indiquent la température de lavage maximale, en degrés Celsius.
La main dans le cuvier signifie que l’on laver à la main. Le symbole souligné d’un trait indique des
précautions particulières à respecter.
CHLORAGE le triangle
Le triangle vide indique la possibilité d’utiliser tous types de blanchiment, à base de chlore ou
d’oxygène.
La croix de Saint André X placée sur un symbole vierge de toute Indication, d’entretien signifie que
le traitement est interdit.
Les indications doivent correspondre à un article fini et non à une des seules fibres entrant dans la
composition d’un vêtement. Pour donner les meilleures indications d’entretien, le confectionneur
Doit tenir compte des modes de fabrication et de toutes les composantes du vêtement :
Les fibres, la doublure, mais également le fil utilisé, les ornements, les entoilages.
Chlorage
Séchage en
Séchage en tambour Pas de séchage
tambour en tambour
possible.
possible. Sans
restrictions de Température
température modérée
EXERCICE1 :
1. Je suis une fibre végétale. Je suis la fibre la plus utilisée par l’homme.
2. je suis une fibre animale. Je viens du mouton. L’homme m’utilise pour fabriquer des vêtements
chauds.
3. je suis une fibre synthétique. L’homme me fabrique avec de la pate de bois et de la bourre.
4. Je suis une fibre animale. Je viens des poils du lapin angora.je suis très doux.
5. je suis une fibre végétale.je viens d’une plante qui porte mon nom.je suis frais, absorbant et très
durable.
7. je suis une fibre fabriquée à partir de produits chimiques.je ressemble au coton. L’homme
M’utilise beaucoup dans la fabrication de vêtements.
Les fibres textiles peuvent être classées selon leurs origines naturel et chimique.
A la fin du chapitre on a vue le code d’entretien et les symboles qui fournissent une information sur
les traitements des textiles :
- le lavage - repassage
- le blanchissement - le nettoyage a sec
- séchage
Par cinq symboles (cuvier, triangle, cercle dans un carré, fer à repasser, cercle) qui doivent se figurer
sur l’étiquette d’entretien.
Spécialité : couture
Module : technologie
Durée : 2 heures
But :
Mettre en œuvre les acquis relatifs au cours théoriques de technologie (identification et classification
des matières textiles et du code d’entretien des articles textiles).
.
Matériel requis :
Cahier des cours théoriques de la technologie (cours de l’identification et classification des matières
textiles et du code d’entretien des articles textiles).
Outils :
Cahier des cours théoriques de la technologie (identification et classification des matières textiles et
cour du code d’entretien des articles textiles).
Accessoires :
Mise en situation :
Vous allez identifier et reconnaitre la nature et l’aspect de différentes matières textiles en les
observant à l’œil nu et au touché, ainsi comprendre et lire attentivement les fiches des symboles
d’entretien des articles textiles pour entretenir le linge.
Démarche à suivre :
En tenant les échantillons de tissu au bout des doigts et les toucher avec l’observation visuelle.
Vérifier le code d’entretien (fiche ressource).
Introduction
fig.79
1- Le volant à main:
Cette pièce ronde est située du côté droit en haut de ta machine. Quand tu le tournes vers soit
même, il actionne trois pièces mécaniques: le releveur de fil se déplace de haut en bas, l'aiguille
pique le tissu et les griffes envoient le tissu vers l'arrière.
mamachozzzz
Figure 80
Figure 81
3- Le relève-presseur :
Ce petit bras est situé à l'arrière de la machine. Il sert à lever et à baisser le pied-presseur. Quand on
met ton tissu sous l'aiguille, tu montes le bras du relève-presseur. Quand tu couds, tu baisses le bras
du relève-presseur.
Figure 82
Elle laisse passer les griffes et l'aiguille. Elle possède parfois des lignes te permettant de faire des
coutures droites à égale distance les unes des autres.
Figure 86
Elle pique le tissu et permet au fil d'unir deux pièces de tissu ensemble.
Elle est fixée à la machine par le pince-aiguille. Il existe diverses grosseurs d'aiguilles adaptées à
des grosseurs de fil ainsi qu'à des sortes de tissu.
Figure 87
9- Le porte-bobine:
C'est le crochet sur lequel tu mets ta bobine de fil. Il est situé au haut et à droite de ta machine.
Figure 88
10- Le guide-fil:
C'est un œillet dans lequel tu passes le fil pour l'amener à l'aiguille.
Ainsi, le fil ne s'accroche pas dans les autres pièces. Normalement, il yen a trois ou quatre sur ta
machine. << Voir Figure 62>>
Figure 90
fig.91
13- La boîte a canette:
On insère la canette dans cette petite boîte. Puis installes la boîte à canette sous la plaque-glissière.
fig.92
14- La plaque-glissière:
C'est une petite porte qui te permet de sortir la canette de sa boîte elle cache donc la boîte à canette.
Figure 93
15- Le règle-point:
Il sert à régler la bonne longueur de points. Par ce bouton, tu peux soit allonger ou raccourcir ton
point.
Le règle-point est parfois numéroté et les chiffres indiquent le nombre de points au pouce.
On devrait avoir normalement 12 points au pouce. Plus le tissu est léger plus les points sont courts.
Figure 94
16- Le bobineur:
- Aiguille - griffes
- tendeur du fil. - crochet rotatif
- Le pied presseur
Le point noué a pour numéro normalisé 301, c’est un point solide utilisé dans la majorité des piqûres,
appelle aussi point droit, il et aussi joli sur l’endroit que sur l’envers, il est nécessaire de régler
parfaitement les tensions du fil de dessus et de dessous.
Schéma. 2 l’aiguille remonte, le fil freiné dans le tissu forme une boucle.
Figure 96
Schéma. 4
Le crochet agrandit la boucle ; le tendeur s’est abaissé, le fil glisse dans la grande rainure de l’aiguille
et dans le chas la boucle passe autour de la canette.
Schéma. 5
le crochet à lâché la boucle qui entoure maintenant le fil de canette il va faire un deuxième tour pour
prendre la boucle suivante l’aiguille continue à monter , le tendeur remonte brusquement pour serrer
le point.
Schéma. 6
Le tendeur tire sur le fil d’aiguille qui va entrainer le fil de canette dans l’épaisseur des tissus , les
griffes montent et vont entrainer les étoffes de la longueur d’un point ; le crochet continue sa rotation
l’aiguille va redescendre , les griffes aussi et le même cycle recommencera pour le point suivant
Figure 97
Figure 96
Utilisez la machine coudre avec une grande vigilance, ne placez pas les doigts près des
parties en mouvement.
Mettez la machine hors tension, lorsque vous effectuez des réglages liés à l’aiguille comme
l’enfilage et le changement d’aiguille, l’enfilage de la canette, le changement du pied
presseur, etc.
Débranchez toujours la machine de la prise de courant lorsque vous retirez les capots, ajoutez
du lubrifiant •
Ne pas pousser ni tirer le tissu pendant que vous cousez. Cette manœuvre peut faire dévier
l’aiguille et la casser.
Exercice 2
7- La canette est la petite bobine qui contient le fil du dessous. Vrai faux
11- Ne pas tirer sur les tissus en cas de blocage de l’aiguille. Vrai faux
Ce chapitre peut sembler difficile, mais il est essentiel pour le stagiaire afin de comprendre le
fonctionnement de ta machine à coudre.
Pour cela, il est important de connaître les différents types de machine à coudre et identifier les
principales parties de la machine.
Nous y abordons de façon détaillée le rôle de chaque pièce pour bien comprendre le fonctionnement
général de la machine et notamment les organes participant à la formation du point, pour la
préparation à l'utilisation personnelle de la machine, tout en respectent les consignes de sécurité
concernant l’utilisation de machine à coudre.
Elle a pour but de préparer les stagiaires à l'atelier de couture à une meilleure compréhension du
fonctionnement de la machine afin qu'elles l'utilisent adéquatement.
Nous y présentons aussi un bref historique.
Spécialité : couture
Module : technologie
Durée : 2 heures
But : Mettre en œuvre les acquis relatifs au cours théoriques de technologie (description de la
machine à coudre ainsi que les étapes des organes participant au point noué)
Matériel requis : cahier des cours théoriques de la technologie (cour de la machine à coudre).
Outils
Accessoires :
Mise en situation :
Marche à suivre :
Introduction
Ciseaux fig.99
Le ciseau est un outil de base de la couture, en acier trempé, composé, en sa partie supérieure, de
deux branches mobiles, tranchantes du coté inferieur et jointes par une vis formant axe ; l’extrémité
inferieure est terminée par des anneaux égaux ou inégaux.
On utilise le ciseau pour couper du tissu uniquement. Cette matière tranchante s’émousse.
Utiliser des ciseaux spéciaux à carton pour le découpage des patrons.
Le ciseau fig.100
Ciseaux couturière :
Lames moyennes à différentes longueurs, plates et légères.
L’extrémité de la lame du dessus est arrondie, celle du
dessous est pointue.
Ciseaux à boutonnières :
Réglages au moyen d’une vis, à la mesure désirée.
L’aiguille fig.110
L’aiguille est un outil de base de la couture, d’une tige fine tige en acier poli trempé dans l’inox, dont
l’une des extrémités pointue permet de traverser le tissu, et don l’autre : la tête percée d’un trou
appelé chas ou œil, permettant le passage du fil elle est utilisée pour les travaux à la main.
Le dé présente des petits creux, la partie intérieure est évidée afin de permettre l’introduction du
doigt La partie inférieure est terminée par un léger rebord, destiné à éviter les blessures au doigt en
cas de glissement de l’aiguille sur la paroi.
fig.113
Il existe aussi des dés en cuivre, en argent massif, en or, en plastic etc. ...
Fine tige de métal en acier ou laiton une des extrémités est pointue et l’autre porte une petite boule
appelée « tète » destiner à faciliter l’emploie.
Le mètre ruban est un outil de base, souple en plastic, comportant le sens chaine en fils de verre,
fractionné dans les deux faces en centimètres, mesure 150 cm de longueur il se termine sur deux
extrémité d’un bout de métal de chaque cote avec Œillet.
On peut l’utiliser :
-Pour mesurer les tissus
-Pour prendre les mesures d’une personne.
De moins au moins utilisé car le lissage se fait uniquement avec une semelle chaude.
En fente chromée alliage léger pour la semelle, avec une poignée matières plastiques sa plaque
métallique contenant une résistance protégée par un carter, l’échauffement d’une résistance
électrique est muni d’un thermostat régulateur de température.
On utilise le fer à repasser pour lisser le tissus, d’enlever les faux plis ainsi de disparaitre les
microbes afin de donner un beau aspect au vêtement.
- Dans tous les métiers de l’habillement et pour les repassages domestiques.
Pour différente qualité de tissu l’adapter à la température de textile (thermostat)
3
1 - poignée 1
2 - semelle
1 6
3 Ŕ talon d’appuie 5
4 - thermostat
5 - lampe
6 Ŕ cordon pivotant
4
2
fig.121 Les Partie du fer à repasser
Possède un réservoir d’eau et émet plus de vapeur qu’un fer à vapeur. La quantité de vapeur est
constante, le fer est léger et facile à utiliser.
La principale caractéristique d’un fer à repasser est sa semelle glissante.
Un débit de vapeur important est aussi essentiel pour permettre un repassage plus rapide. Une
centrale vapeur produit de la vapeur sous pression qui est envoyée au cœur des fibres.
Exercice 1 :
Cocher avec « oui » ou « non »
OUI NON
Le métre ruban sert à mesurer .
pieces de tissu.
Résumé
Les principaux outils Indispensables tels que le mètre ruban, le dé, l’aiguille, épingle (petit matériel)
et le fer à repasser. Mais nous nous sommes limités à ceux qui sont vraiment nécessaires, lors de la
couture , les règles de sécurité lors de la manipulation de l’outillage, connaître leurs utilité dans la
confection d'une pièce, et ensuite se familiariser avec ces outils de travail au cours des exercices
pratiques.
Exercice de synthèse
Manuel du stagiaire en étude de technologie
Spécialité : couture
Module : technologie
Durée : 1heures 30 mn
But : mettre en œuvre les acquis relatifs au cours théoriques de technologie (utilisation de l’outillage
de couture et application des consignes de sécurité)
Matériel requis :
Outils :
cahier des cours théoriques de la technologie (petit outillage de couture et application des
consignes de sécurité)
Accessoires :
Mise en situation
Démarche à suivre
Résumé générale
Le deuxième chapitre a pour but d’initier les stagiaires dans le monde de la couture par une
meilleure compréhension du fonctionnement de la machine afin de l'utiliser correctement.
Après un bref Historique, nous abordons de façon concrète la mécanique de la machine à coudre et
surtout consacrée à la manipulation ainsi que l'utilisation d'une machine à coudre comprendre les
organes qui participe pour que se forme le point noué et les consigne de sécurité.
CO :
FR :
E:
E:
T:
Livre :
Marie Noëlle, BOUTIN. ARNAUD, Sandrine. Le vêtement création, conception, fabrication, par
TASMADJIAN© Édition NATHAN. PARIS. 1997 ISBN 2-09-177819-2
Site internet :
Barbara, ROMANO. Le chemin de la laine, Unione Contadini Ticinese Eva Frei, Cevio TI
Kontakt@agridea.ch / www.agridea.ch le 19/07/2014 à 8h20.
Michèle, MOSINIAK. Roger La culture du coton : Prat au Burkina www. abcburkina.net. 23 mai 2005
Monique, DENIAU .Sophie, GOUSSÉ. Annie, MARTINEZ. Brigitte, ROUGIER. ENTRETIEN LINGE,
Éditions BPI ŕ Espace Clichy ŕ 38, rue Mozart ŕ 92587 Clichy cedex ŕ Tél. : 01 41 40 81 40 ŕ
Fax : 01 41 40 81 41
Site Internet : www.editions-bpi.fr Email : bpi@editions-bpi.fr le 09/06/2014 à 17h59.
EXERCICE1 : (chapitre 1)
Le coton
2. je suis une fibre animale. Je viens du mouton. L’homme m’utilise pour fabriquer des vêtements
chauds.
La laine
3. je suis une fibre synthétique. L’homme me fabrique avec de la pate de bois et de la bourre.
Le polyester
4. Je suis une fibre animale. Je viens des poils du lapin angora.je suis très doux.
L’angora
5. je suis une fibre végétale.je viens d’une plante qui porte mon nom.je suis frais, absorbant et très
durable.
Le lin
La soie
7. je suis une fibre fabriquée à partir de produits chimiques.je ressemble au coton. L’homme
M’utilise beaucoup dans la fabrication de vêtement.
La viscose
Ramie
LAVAGE le cuvier
CHLORAGE le triangle
Exercice 1 (chapitre 2)
Relie le mot à la bonne définition.
8. le volant à main a. il sert à lever et baisser le pied presseur
14. les griffes g. elle permet de maintenir le tissu sur les griffes
Exercice 1 : (chapitre 3)
Cocher avec « oui » ou « non » aux questions suivantes :
OUI NON
Le métre rubant sert a mesurer . X
CO : Comité
FR : Français
E : L’Etiquetage
E : L’Entretien
T : Textiles
Annexe B
Manuel du stagiaire en étude de technologie
Fiche de présentation du module complémentaire
o Végétale
o Animales
o Minérales
o Artificiels
o Synthétiques
Code d’entretien
Jute
Fibres extraites d’une plante
De l’Inde par rouissage.
Usages : toile de sac Ŕ corde Ŕ semelle.
Chanvre fig.33
Ramie
Fibres longues et brillantes (6 à 25 cm)
Extraites de l’écorce de l’ortie de Chine.
Usages : tissus très fi ns Ŕ filets de
Pêche.
Jute fig.34
Raphia
Fibres extraites des feuilles
D’une variété de palmier.
Usages : liens Ŕ chapeaux Ŕ papiers.
Raphia fig. 36
Conception et rédaction
Au terme de ce projet, nous tenons à remercier tous ceux qui, de près ou de loin, qui ont contribué
à l’élaboration de ce manuel, notamment nos deux professeurs Melle Ben yamina et Mme Nasri.
Pour tout leur disponibilité, ces encouragements et ces efforts fournis pendant notre formation.
En mon nom Mme Gherghout, je tiens beaucoup à remercier mon mari pour sa patience sans limite
même aux moments les plus difficiles pour toute l’aide et l’encouragement qu’il m’a tiens à remercier
mes prodigué tout au long de ce stage. A mes enfants ; Ferhat, Omar, Seif-eddine mes trois yeux et
ma lumière ainsi qu’à tous les membres de ma famille sans exception.
Moi Mme Chadou, je tiens à remercier mon mari pour son aide précieuse sa patience avec les filles
tous au long de se stage très loin deux et aussi a mes trois trésors de petites filles de leur patience
et courage pendant mon absence.
Mes remerciements s’adressent enfin à tous les membres de ma famille et amie sans exceptions.
Introduction
I. 1Matières textiles naturels…………………………………………………............
I .1.1 Origine végétale………………………………………………………………...................
I.1.1.1 Coton………………………………………………………………………………..
I.1.1.2 Lin…………………………………………………………………………………....
I.1.2 Origine animale…………………………………………………………….........
I.1.2.1 Laine………………………………………………………………………….........
I.1.2.2 Soie…………………………………………………………...........................
I.1.3 Origine minérale………………………………………………....................
I.1.3.1 l’amiante…………………………………………………………...................
I.2. Matières textiles chimiques…………………………………………………………….....
I.2.1 Textiles artificielles.................................................................
I.2.2 Textiles synthétiques..............................................................
I.3 Code d’entretien des matières textiles...................................................
I.3.1 Définition................................................................................
I.3.2 Symboles utilisés.....................................................................
I.4 Exercice d’application...............................................................................
Résumé...........................................................................................................
Exercice de synthèse ......................................................................................
CHAPITRE 2
MACHINES A COUDRES
Introduction
II.1 Description de la machine....................................................................
II.1.1 Principales parties de machines à coudre industriel......................
II.1.2 la tête de la machine..................................................................... II.2 point
noué………………………………………………………………………………………
II.2.1 Organes participant à la formation du point ..................................
II.2.2 La formation du point noué.............................................................
II.3 Consignes de sécurité ..............................................................................
II.4 Exercice d’application.........................................................................
Résume……………………………………………………………………………………………………
Exercice de synthèse.................................................................................
MM
Introduction
III.1 Ciseaux...................................................................................................
III.1.1 Différents types de ciseaux....................................................
III.1.2 Consignes de sécurité ..........................................................
III.2 Aiguilles à coudre...............................................................................
III.2.1 consignes de sécurité ............................................................
III.3 Le dé.................................................................................................
III.3.1 Différentes matières employées............................................
III.4 Les épingle ........................................................................................
III.4.1 Différentes sortes d’épingles..................................................
III.5 Mètre ruban .....................................................................................
III.6 Fer à repasser.....................................................................................
III.6.1 Les parties du fer a repassé....................................................
III.6.2 Les différents types de fer à repasser.....................................
III.6. consignes de sécurité...............................................................
3.7 Exercice d’application.........................................................................
Résumé.....................................................................................................
Exercice de synthèse..................................................................................
Résume générale.......................................................................................
Exercice de synthèse..................................................................................
Bibliographies............................................................................................
Annexe......................................................................................................