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Sphaigne brune et
Sphagnum beothuk en Grande­
Bretagne et en Irlande
Mark Hill rapporte deux sphaignes étroitement liées
L'expert norvégien en sphaigne, Kjell Flatberg, a
(2015) ont reconnu une « forme sombre » de confirmé son identité (Lockhart & Douglas, 2017).
Dans un article fuscum,
Sphagnum récent, Kyrkjeeide et al.
qu'ils ont identifié Je présente ici plus en détail les distributions
comme étant Sphagnum beothuk, décrit britanniques et irlandaises, sur la base de spécimens
précédemment à Terre­Neuve. Dans leur article, qui ont été vérifiés principalement par moi et
les auteurs ont présenté des cartes de répartition quelques­uns par Flatberg.
détaillées pour la Norvège, mais n'ont examiné
que quelques spécimens de Grande­Bretagne Identification
et un d'Irlande (qui était S. fuscum et n'était pas Je me suis principalement appuyé sur le caractère des pores
mentionné dans l'article). En mars 2016, Neil des branches et des feuilles, clairement montré par Kyrkjeeide
Lockhart et Caitríona Douglas ont trouvé Sphagnumetbeothuk
al. dans leur figure 3. Ce n'est pas un personnage facile,
nouveau en Irlande. Ils ont envoyé le spécimen au car il faut colorer la feuille pour l'observer. Soit du cristal violet

24 TerrainBryologie No117 | 17 mai

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vFig. 1 (page ci­contre). Sphaigne brune avec Betula nana à 600 m dans la forêt de Dundreggan. GP Rothéro

rFig. 2. (ci­dessus). Sphagnum beothuk sur la tourbière Fiddandarry à 150m. N. Lockhart

ou le bleu de méthylène convient. Sans coloration, vous ne plus foncé (couleur tabac) chez S. beothuk. Les capitules de

pouvez pas savoir si un pore est réel (un pore « parfait », sans S. fuscum sont moins convexes, tandis que ceux de S. beothuk
sa membrane) ou un « pseudopore » (une membrane sont plus susceptibles d'être des pompons.
imperforée entourée d'un anneau épaissi). Il y a de nombreux Braithwaite (1880) a sûrement pensé à S. beothuk lorsqu'il a

pseudopores vers l'apex des feuilles des branches de
Sphagnum beothuk , mais il y a très peu de pores ; les quelques
pores qui existent se trouvent presque tous à l’extrémité
inférieure (proximale) des cellules. La meilleure façon d’observer
les pores est de regarder la surface dorsale (externe) des
écrit : « Rien ne peut dépasser la beauté d'un grand lit, lorsqu'il
est fraîchement humidifié par une douche, ressemblant, comme
il le fait, à une surface de velours couleur tabac. » .
Les caractères supplémentaires sont plutôt variables, et

feuilles. Les feuilles doivent souvent être retournées
individuellement car elles ont tendance à se coucher vers le
haut si elles flottent dans une gouttelette.
L'autre caractère principal est la forme des feuilles
lorsque j'ouvre un paquet, je ne sais toujours pas exactement
quelle espèce je regarde, même après avoir examiné 262
spécimens. C’est pourquoi je me suis fortement appuyé sur les
pores des feuilles des branches et sur la forme des feuilles
caulinaires.

caulinaires, pour la plupart à côtés parallèles chez S. fuscum,

généralement rétrécies vers l'apex chez S. beothuk. Résultats

Les caractères supplémentaires sont la couleur ­ plus pâle Parce que Sphagnum fuscum sensu lato est si facile à identifier
comme la soupe aux champignons chez S. fuscum, plus brillante et sur le terrain, peu de bryologues ont

TerrainBryologie No117 | 17 mai 25

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(un)
rFig. 3. Répartition de (a) Sphagnum fuscum et (b) Sphagnum beothuk en Grande­Bretagne et en Irlande. Tous les enregistrements confirmés sont
montré, non distingué par la date. Les cartes ont été préparées par le Centre des archives biologiques.
pris la peine d'en collecter plus d'un ou
deux spécimens, sauf aux fins d'enregistrement du vice­
comté. Les exceptions sont Tristan ap Rheinallt (10), Rod
Corner (17), Ursula Duncan (10), David Long (28), John
O'Reilly (9), Sandy Payne (10) et Derek Ratcliffe (16). Je
me suis largement appuyé sur deux herbiers nationaux
britanniques : le Royal Botanic Garden Edinburgh (E ; 128
spécimens) et le National Museum of Wales, y compris la
British Bryological Society (NMW et BBSUK ; 57 spécimens).
Je n'ai pas tenté de rechercher des mentions dans les
herbiers irlandais. Les distributions irlandaises
sont donc plutôt minces.
En général, S. fuscum se trouve à des altitudes plus
élevées en Écosse continentale, tandis que S. beothuk
est une plaine et une zone océanique qui s'étend le long de
la côte ouest de la Grande­Bretagne, au nord jusqu'au Flow.
Pays de Caithness et Sutherland. Tout sauf
26 TerrainBryologie No117 | 17 mai
(b)
trois spécimens irlandais (dont un en double) étaient S.
beothuk. L'altitude moyenne des spécimens de S. fuscum
était de 510 m, tandis que celle de S. beothuk était de 140
m. Sur plusieurs sites, les deux espèces ont été capturées :
Butterburn Flow (VC 70), Flanders Moss (VC 87), Dun Moss
(VC 89), Kensary (VC 109) et Pentland Road (VC 110). Il
ne semble y avoir aucune distinction en matière d'habitat
entre
à basse altitude, de sorte qu'ils pourraient très bien pousser
en mélange, comme c'est parfois le cas en Norvège
(Kyrkjeeide et al., 2015).
Les deux espèces ont été trouvées en train de fructifier en
Grande­Bretagne. Derek Ratcliffe a trouvé S. fuscum en fructification
près de Dava (VC 95) ; Ursula Duncan l'a trouvé en train de
fructifier sur le Cairnwell (VC 92) ; et John O'Reilly l'a trouvé
sur Drowning Flow (VC 67).
Jean Paton a trouvé des S. beothuk en fruits près du Loch
Sguod (VC 105) ; et Sandy Payne l'a trouvé
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Sphagnum fuscum et S. beothuk en Grande­Bretagne et en Irlande
fructification près de Forsinard (VC 108 et VC 109).
Il n'existe aucun signalement de fructification en Irlande.
Les répartitions par vice­comté, basées sur les spécimens
vérifiés, sont les suivantes. J'ai suivi la convention utilisée dans
le catalogue du recensement actuel
(Hill et al. 2008) que lorsqu'il n'y a aucun enregistrement d'un
vice­comté après 1959, le numéro du vice­comté est entre
parenthèses. Des détails plus complets sur les spécimens
examinés sont donnés en annexe.
Sphaigne brune s.str. (13), (65), (66), 67­70, 72, 74, 76­81, 83,
87­90, 92­98, 104, (105), 106, 108­112. H18, (22).
Sphagnum beothuk 9, 46, 48, 66, (69), (70), 73, 74, 87­89, 97,
98, 102, 104, 105, 107­110. H2, 9, 10, 14­18, (19), (23), 24, 25,
(27), 28­30, (32), 33, 34, 36.
Discussion
Les deux localités de S. fuscum du centre de l'Irlande
proviennent de tourbières de plaine et non, comme on pourrait
s'y attendre, de tourbières de couverture d'altitude. Des
spécimens de S. fuscum de Rossan Bog, Co. Meath, ont été
distribués par le BBS. Les deux que j'ai vus (BBSUK et E) sont
typiques de S. fuscum. La présence de S. fuscum dans le sud
de l'Angleterre est également remarquable et aurait pu être
transitoire, comme celle de S. riparium (Jones, 1986).
Un autre spécimen surprenant était Sphagnum beothuk
collecté en 2005 par Margaret Bradshaw dans la tourbière de
Tinkler à Upper Teesdale à 495 m.
Non seulement la localité est plus élevée que l'altitude de tous
les autres enregistrements de l'espèce, mais les spécimens
antérieurs de Upper Teesdale collectés entre 1898 et 1901
étaient tous S. fuscum. Le spécimen étant exceptionnel, j’ai
examiné plusieurs tiges en détail. Tous manquaient de pores
dans la partie supérieure des feuilles des branches et avaient
des feuilles caulinaires se rétrécissant vers le haut jusqu'à
l'apex. À contrecœur, j’ai identifié son spécimen comme étant
S. beothuk. Puis Jean
O'Reilly a envoyé un autre spécimen provenant exactement de
la même localité, collecté en 2007, qui était également béothuk.
Sur la côte norvégienne, S. beothuk s'étend vers le nord au­
delà du cercle polaire arctique (Kyrkjeeide et al., 2015), de
sorte que le climat de la partie supérieure de Teesdale pourrait
ne pas lui être inapproprié.
En général, les spécimens qui avaient de petits pores au
sommet des feuilles des branches avaient également des
feuilles caulinaires à côtés parallèles et vice versa. Cependant,
l'un des spécimens de HN Dixon du côté de Ben Lawers au­
dessus de Meiller, collecté en 1893 (BBSUK, numéro d'accès
C.2001.019.2393) manquait de petits pores dans la feuille
supérieure, mais avait des feuilles caulinaires à côtés parallèles.
Son autre collection, avec des informations identiques sur
l'emballage (BBSUK, numéro d'accession C.2001.019.2395),
avait de petits pores et était typique de S. fuscum. J'ai identifié
les deux spécimens comme étant S. fuscum.
Bien que la plupart des spécimens aient pu être identifiés
sans équivoque par la combinaison des pores des feuilles des
branches et de la forme des feuilles caulinaires, quelques
spécimens étaient difficiles et pouvaient être interprétés comme
intermédiaires. Selon Shaw & Cox (2005), les plantes qui
semblent être des mélanges génétiques ne sont pas rares dans
la section Acutifolia, et « les données génétiques suggèrent
que S. fuscum, S. rubellum et S. warnstorfii pourraient être
particulièrement promiscuités ». Il serait donc surprenant qu'il
n'y ait pas d'introgression entre Sphagnum beothuk et S. fuscum
là où leurs aires de répartition se chevauchent. Un spécimen
de Challochglass Moss (VC 74) collecté par Rod Corner en
1976 est pâle et avec de petits pores de feuilles ramifiées, mais
ses feuilles caulinaires sont pour la plupart rétrécies vers le haut.
Un autre spécimen du même site, collecté par J. Waddell et M.
Webber en 2002, est pâle et à sommet plat, mais présente à la
fois les pores des feuilles ramifiées et la forme des feuilles
caulinaires de S. beothuk. J'ai identifié le spécimen de 1976
comme étant un fuscum et celui de 2002 comme étant un
Beothuk , mais ces décisions sont quelque peu arbitraires. Une
décision plus difficile concerne
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Sphagnum fuscum et S. beothuk en Grande­Bretagne et en Irlande

spécimens de Glen Derry (VC 92), collectés par Michael Christine Bartram m'a permis d'emprunter des spécimens au CGE. Je
remercie tous les bryologues qui m'ont envoyé des spécimens à vérifier,
Proctor en 1951 et distribués par le BBS. Le spécimen du
notamment Tristan ap Rheinallt, Rod Corner, John O'Reilly et Sandy
BBSUK est S. fuscum
Payne.
comme on pouvait s'y attendre de l'est de l'Écosse. Le
spécimen en E n'a pas de petits pores dans la feuille
Les références
supérieure et a des feuilles caulinaires variables, certaines
Braithwaite, R. (1880). Les Sphagnacées ou tourbières d'Europe et
à côtés parallèles mais pour la plupart rétrécies vers le haut.
d'Amérique du Nord. David Bogue, Londres.
La partie plate de Glen Derry, d'où elle provient
Hill, MO, Blackstock, TH, Long, DG et Rothero, GP (2008). Une liste
probablement, se trouve à environ 500 m d'altitude, soit
de contrôle et un catalogue de recensement des bryophytes
plus haut que n'importe quelle localité connue pour le britanniques et irlandaises mis à jour en 2008. British Bryological
Sphagnum beothuk typique. Il ne semble pas judicieux de Society, Middlewich.

l'enregistrer comme étant Béothuk, et c'est le seul spécimen auquel je n'ai

Hill, MO pas donné
et Preston, de nom.
CD (1998). Les relations géographiques des
Phytogéographiquement, Sphagnum beothuk bryophytes britanniques et irlandaises. Journal de Bryologie 20 :
est similaire à S. austinii, avec lequel il pousse souvent. 127­226.

Sphagnum austinii est classée par Hill & Preston (1998) Jones, EW (1986). Bryophytes dans Chawley Brick Pit, Oxford, 1948­1985.

comme tempérée hyperocéanique. Journal de Bryologie 14 : 347­358.

Cependant, S. beothuk n'est pas connu pour être présent Kyrkjeeide, MO, Hassel, K., Stenøien, HK, Prestø, T., Boström, E., Shaw,

dans la zone forestière de feuillus (souvent appelée zone AJ et Flatberg, KI (2015). La forme sombre de Sphagnum fuscum
(Schimp.) H.Klinggr. en Europe est conspécifique du S. beothuk
némorale) d'Europe, sauf en Irlande et en Grande­Bretagne.
d'Amérique du Nord. Journal de Bryologie 37 : 251­266.
Il est peut­être mieux classé comme océanique boréo­
tempéré. S. fuscum est la montagnarde circumpolaire
Lockhart, N. et Douglas, C. (2017). Sphagnum beothuk RE
boréo­arctique.
Andrus (Bryophyta, Sphagnaceae) nouveau en Irlande. Journal des
naturalistes irlandais 35 (2) [sous presse].
Remerciements
Shaw, AJ et Cox, CJ (2005). Variation de la « valeur de la biodiversité »
Je remercie Kjell Flatberg (Trondheim) pour ses conseils utiles et la
des espèces de tourbe dans la section Sphagnum Acutifolia
vérification initiale des spécimens. Neil Lockhart a envoyé des spécimens
(Sphagnacées). Journal américain de botanique 92 : 1774­1783.
irlandais et m'a le premier alerté de la présence de Sphagnum beothuk en
Irlande. Je remercie David Long d'avoir facilité le prêt des spécimens de
E et Lesley Scott de les avoir envoyés. Je remercie Katherine Slade de
Marc Colline

m'avoir envoyé tous les spécimens de BBSUK et NMW. et moh@ceh.ac.uk

annexe
Les enregistrements pour soutenir les distributions dans les vice­comtés sont donnés ici. Chacun est le record le plus
récent pour son vice­comté. Sauf trois spécimens vus uniquement par Kjell Flatberg et un identifié par MO
Kyrkjeeide, j'ai tous vérifié. Les numéros d'accession ne sont pas répertoriés ici, mais sont disponibles dans l'ensemble de
données complet déposé auprès du Centre des archives biologiques. Les références de grille sont tronquées à six chiffres
au maximum, mais sont répertoriées jusqu'à dix chiffres dans l'ensemble de données complet, qui comprend les
enregistrements antérieurs du vice­comté où ils existent. Lorsque l'herbier n'est pas indiqué, le spécimen se trouvait dans
une collection privée lors de la vérification de cette révision.

28 TerrainBryologie
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mai
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Sphagnum fuscum et S. beothuk en Grande­Bretagne et en Irlande
Collectionneurs de spécimens :
T.apRheinallt, PMBenoit, E.Bignal, HJBBirks, TH
Blackstock, BS Brookes, DF Chamberlain, TG Charman,
RWM Corner, AC Crundwell, DH Dalby , C. Douglas ,
M. Eakin, B. Edwards, F.S. Fernandez, KI Flatberg, C
Forster Brown, MD Furness, H Grogan , NG Hodgetts, R
Holme, EC Horrell, DA Jones, ALK King, EM Kungu, KO
Kyrkjeeide, MO Kyrkjeeide, N Lockhart, DG Long Moen
A, O'Leary SV, O'Reilly J, Paton JA, Payne AG, Pigott
CD, Porley RD, Proctor MCF, Ratcliffe DA, Rothero GP,
Smith AJE, Synnott DM, Upton CH Waddell, J.S. Wadell,
EC Wallace, KJ Watson.
Sphaigne fuscum. 13 : tourbière, forêt St Leonard's, près
de House, TQ23, 1954, Wallace (NMW) ; 65 : Cronkley
Fell, NY82, 1901, Jones & Horrell (NMW) ; 66 : tourbière
de couverture, au­dessus de Falcon Clints, NY8228,
1958, Pigott (E) ; 67 : 230 m d'alt., Muckle Moss,
NY798669, 2014, O'Reilly & Furness ; 68 :
versant tourbeux ouvert, 775 m d'alt., versant N du
Cheviot, près du sommet, NT907209, 1984, Long (E) ; 69 :
dans la tourbière couverte M18, 580 m d'alt., Moor
House, NY755324, 2008, O'Reilly ; 70 : 540 m d'alt., par
R Tees, au nord de Moor House, NY753341, 2015,
O'Reilly ; 72 : tourbière de couverture, 600 m d'alt., entre
Midlaw Linn et Loch Skene, NT168160, 1983, Corner ;
74 : tourbière intermédiaire, 80 m d'alt., Challochglass
Moss, NX300559, 1976, Corner ;
76 : tourbière en couverture, Flow Moss, NS555467,
2003, Watson (BBSUK) ; 77 : tourbière surélevée, en
contrebas de Fall Hill, au nord­est de Crawford,
NS959219, 2005, Kungu & Chamberlain (BBSUK) ; 78 :
tourbière de couverture, 620 m d'alt., Blackhope Scar,
Moorfoots, NT316477, 1982, Corner ; 79 : tourbière
couverte, 700 m d'alt., Hundleshope Heights, NT244330, 2008, J.
Crundwell (E) ; 110 : dans un complexe aquatique dans
Waddell (E); 80 : tourbière de vallée parmi Betula avec
tapis de sphaigne, 235 m d'alt., Adderstonlee Moss, nr
Hawick, NT533118, 2005, Corner
& Longue (E); 81 : vaste tourbière surélevée, 207 m
d'alt., Dogden Moss près de Greenlaw, NT684495, 2013,
Long (E) ; 83 : butte dans une tourbière couverte, 630 m
d'alt., Blackhope Scar, NT316478, 2008, Holme & J.
Waddell (E) ; 87 : 20 m d'altitude, Flanders Moss,
NS6297, 1979, Bignal (BBSUK) ; 88 :
couverture moelleuse, 800 m d'alt., sommet du Meall
nam Fuaran, Glen Almond, NN8236, 1993, Corner ;
89 : tourbière surélevée, 350 m d'alt., Dun Moss, près de
Blairgowrie, NO167557, 1980, Payne ; 90 : par ruisseau
sur un flanc de colline légèrement orienté N, 850 m d'alt.,
au­dessus du Dounalt, Glen Doll, NO236756, 2002, Long
(E) ; 92 : Calluna ouverte et rougie
pente, 405 m d'alt., Morrone Birkwood, Braemar,
NO134906, 2003, Long (E) ; 93 : 590 m d'alt., Buck de
Cabrach, NJ415232, 1992, Corner (BBSUK) ; 94 : plaines
herbeuses au bord d'un ruisseau, 1085 m d'alt., Allt
Coire Domhain, SE de Cairn Lochan, NH993024, 2007,
Long & Rothero (E) ; 95 :
buttes sur petite tourbière surélevée, 405 m d'alt., Braes
of Abernethy, NJ072155, 1986, Long & Paton (E) ; 96 :
vue, près du Loch Battan, Wester Clunes, NH543391,
2006, Payne ; 97 : pente tourbeuse humide, 825 m d'alt.,
côté N de Bealach Breabag, Ben Alder, NN507703,
1987, Long (E) ; 98 :
bord de ruisseau tourbeux, 760 m d'alt., Coire an
Dothaidh, Bridge of Orchy, NN3239, 1978, Crundwell &
Long (E) ; 104 : butte de tourbière, île de Skye, S de
Kyleakin, NG72, 1987, Flatberg (TRH) ; 105 :
tourbière, 700 m d'alt., par Loch a'Maddy en contrebas
de Sgurr Mor, NH201724, 1960, Smith (NMW) ;
106 : couverture de tourbe dans une vallée montagnarde
ouverte, 580 m d'alt., près du Loch Coireag nam Mang,
Moruisg, NH11955064, 2013, Long (E) ; 108 : zone
d'écoulement humide, Strath Dionard, nr Gualinn, Kyle of
Durness, NC35, 1963, Ratcliffe (E) ; 109 :
couverture douce, Kensary, S de Watten, ND24, 1974,
une tourbière couverte, 109 m d'alt., Allt Loch nan Geadh,
Pentland Road, Lewis, NB32713613, 2016, ap Rheinallt ;
111 : Fara, Orcades, ND329952, 2012, Upton ;
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Sphagnum fuscum et S. beothuk en Grande­Bretagne et en Irlande
112 : vaste tourbière en pente, 100 m d'alt., au nord­
ouest du Loch Basta, Yell, HU504952, 2000, Payne (E) ;
H18 : livre surélevé, 90 m alt., Raheenmore Book, N43,
2014, Moen, dét. Flatberg (TRH); H22 : Rossan Bog,
demi­mile au SE de Kinnegad, N54, 1956, King (BBSUK).
Sphaigne beothuk. 9 : buttes dans la tourbière de la
vallée, 25 m d'altitude, Lower Hyde Bog, nr Bere Regis,
SY872922, 2006, Edwards (BBSUK) ;
46 : bourbier surélevé, Cors Fochno, SN6391, 1987,
Blackstock ; 48 : buttes dans tourbières acides, 200 m
d'alt., près de Trawsfynydd, SH63, 1978, Benoit
(BBSUK) ; 66 : Widdybank Fell, NY818290, 2007,
O'Reilly ; 69 : Witherslack, SD4284, 1884, CH Waddell
(E) ; 70 : tourbière surélevée, 10 m d'alt., Glasson Moss,
NY2360, 1959, Paton (E) ;
73 : tourbière, 250 m d'alt., tourbière Corranoch, the
Silver Flowe, NX473830, 1966, Birks (E) ; 74 : 10 m
d'altitude, Borrow Moss, Wigtown, NX4357, 1977,
Corner ; 87 : relief doux, Flanders Moss, NS69, 1979,
Chamberlain (E) ; 88 : bouffées d'eau riches en bases
humides, 195 m d'alt., près de Milton d'Invervac, Blair
Atholl, NN8364, 1981, Chamberlain & Long (E) ; 89 :
relief mou, 380 m d'alt., Dun Moss, NO15, 1967, Brookes
(E) ; 97 : tourbière ouverte surélevée, 130 m d'alt., à
l'ouest de Leanachan, forêt de Leanachan, NN1978,
1986, Long (E) ; 98 : 298 m alt., par A82 N de Lochan
na hAchlaise, NN3148, 2011, Kyrkjeeide & Kyrkjeeide,
det. MO Kyrkjeeide (TRH) ; 102 : Islay, Duich Moss,
NR3355, 1998, O'Leary ; 104 : tourbière de vallée, 50
m d'alt., Portree, au­dessus de Sluggans, NG460452,
2016, Hodgetts ;
105 : buttes sur tourbière surélevée, 15 m d'alt., près du
Loch Scuod, au nord­ouest de Poolewe, NG812879,
1986, Long (E) ; 107 : couverture douce, 225 m d'alt.,
par Loch Gaineach, route de Lairg à Tongue, NC513259,
2006, Chamberlain & Kungu (E) ;
108 : couverture moelleuse, 190 m alt., à l'ouest de
Lochan nan Clach Geala, NC926494, 2015, Charman ; 109 : (BBSUK) ; H36 : buttes dans tourbière surélevée, 70 m
tourbière de couverture, 100 m d'alt., tourbières de
Shielton, Flow Country, ND195477, 2002, Porley ;
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No117||17
17mai
mai
110 : butte au bord d'un bassin de tourbière dans une
tourbière couverte, 111 m d'alt., Loch nan Steàrnag,
Pentland Road, Lewis, NB324366, 2016, ap Rheinallt ;
H02 : tourbière, tourbière Cores, côté ouest du mont
Mangerton, V98, 1983, Synnott (BBSUK) ;
H09 : butte sur tourbière, près de Kilkishen, R5175,
1979, Lockhart ; H10 : tourbière, Carrig, SW de Birr,
N00, 1965, King (BBSUK) ; H14 : buttes dans tourbière
surélevée, 110 m d'alt., Caher Bog, S2691, 2009,
Hodgetts (BBSUK) ; H15 : tourbière surélevée, nr
Woodford, M70, 1962, Smith (BBSUK) ; H16 :
butte robuste dans une tourbière dégradée, 13 m d'alt.,
Pollagh, Moycullen, M201377, 2016, Eakin ;
H17 : grande tourbière surélevée, Addergoole Nord,
River Suck, près de Ballinasloe, M83, 1968, Birks (E) ;
H18 : tourbière surélevée, 60 m d'alt., tourbière
Woodfield, près de Clara, N23, 1990, Long (E) ; H19 :
tourbière, Mouds Bog, près de Newbridge, N81, 1956,
King (BBSUK) ; H23 : Tourbière Derries, N04, 1952,
King (BBSUK) ; H24 : Cloontirm Bog, nr Longford, N17,
1966, King (BBSUK) ; H25 : buttes sur tourbière
surélevée, 53 m alt., Tourbière Derreenasoo, G9309,
2016, Eakin & Fernandez, dét. Lockhart ;
H27 : touffes sur une tourbière en couverture, près de
Lough Namucka, Louisburgh, L8275, 1951, Dalby
(BBSUK) ; H28 : tourbière ombrotrophique, 152 m d'alt.,
Fiddandarry Bog, Ox Mountains, G392224, 2016,
Douglas & Lockhart, conf.
Flatberg ; H29 : butte sur tourbière surélevée, South
Cashel, N085900, 1986, Douglas & Grogan (BBSUK) ;
H30 : buttes sur tourbière surélevée, 55 m d'alt.,
Tourbière Drummany, H4017, 2016, Eakin & Fernandez,
dét. Lockhart ; H32 : Scottstown, Red Bogs, H63, 1900,
CH Waddell (CGE) ;
H33 : tourbière couverte non perturbée, plateau de
Pettigoe, H035644, 2011, Forster Brown (NMW) ; H34 :
grande butte dans une tourbière couverte, 150 m d'alt.,
Tourbière de Croaghonagh, H053885, 2008, Hodgetts
d'alt., Tully, NW d'Omagh, H417758, 2016, Long.