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D ÉFINITION I.2.2
Soit a et b deux entiers relatifs.
b est un diviseur de a (ou b divise a) si a est multiple de b.
Exemples
1. −4 divise 12 car : 12 = −4 × (−3) et −3 ∈ Z.
2. 9 divise 234 car : 234 = 9 × 26 et 26 ∈ Z.
3. 32 divise 323232 car : 323232 = 32 × 10101 et 10101 ∈ Z.
Remarques
1. −1 et 1 divisent tout entier relatif.
2. Pour tout entier n, n et −n sont des diviseurs de n.
Notations et vocabulaire Les diviseurs d’un entier n autre que : −n ; −1 ; 1 et n ; sont appelés divi-
seurs propres de n. Par exemple 2 et 6 sont des propres de 12.
Les théorèmes suivant ne sont que des reformulations des théorèmes I.2.1, I.2.2, I.2.3, I.2.4 page
11 établis au paragraphe I.2.1.a.
T HÉORÈME I.2.5
Soit a et b deux entiers relatifs tels que b est non nul.
b divise a si et seulement si le reste de la division euclidienne de a par b est 0.
T HÉORÈME I.2.6
Soit a et b deux entiers relatifs tels que a est non nul.
Si b divise a, alors : |b| É |a|.
T HÉORÈME I.2.7
Soit a, b et c trois entiers relatifs.
(1) a divise a.
(2) Si a divise b et b divise a, alors a = b ou a = −b.
(3) Si a divise b et b divise c, alors a divise c.
T HÉORÈME I.2.8
Soit a, b et c trois entiers relatifs.
(1) Si a divise b, alors −a divise b.
(2) Si c divise a et b alors, pour tous entiers u et v , c divise au + bv .
2006-2007