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MEMOIRE
ET FIABILITE MECANIQUE
PAR :
REMERCIEMENTS
Sommaire
Introduction ………………………………………………………………………………………… 01
Résumé ……………………………………………………………………………………………… 02
Chapitre I
Chapitre II
II.1.2.3. Renseignements……………………………….…………………………………… 29
II.1.2.6. Moyens…………………………………………………………………………….. 31
Bibliographie…….………...…..………………………………………………………………………..81
Annexe ………………………………………………………………………………………...................82
Résumé :
L’objectif de cette étude est de calculer la fiabilité, la maintenabilité, la disponibilité
(FMD) pour un équipement stratégique (la turbine à vapeur 107 JT) à base de
l’historique des pannes qui est disponible au niveau du service maintenance
FERTIAL. Le calcul de fiabilité repose sur l’outil statistique probabiliste
particulièrement la loi de Weibull et les outils de décision qui en dérivent telles que
la courbe en baignoire, la fonction de densité de probabilité, la fiabilité et le taux de
défaillance. Le calcul de la maintenabilité et la disponibilité nécessitent de connaitre
les paramètres de calcul tels que le MTTR, MTBF, d’autre part nous cherchons à
mettre en valeur les éléments les plus pénalisants à l’aide de la loi de Pareto.
En outre, cette étude a pour but de réduire les coûts liés aux défaillances et de prendre
une décision, concernant le choix de la politique de maintenance, relative à ce cas
concret, en calculant les paramètres de dissymétrie et d’aplatissement.
Les résultats de cette étude montrent que la turbine à vapeur examinée caractérisée
par une de fiabilité 39.48%. Ce chiffre indique que la fiabilité de l’équipement est
inferieur à la moyenne. Donc il est urgent de mettre un plan d’action pour
l’amélioration de la fiabilité, et une maintenabilité 62.92% c.-à-d bonne et une
disponibilité de 99.98% cette valeur signifie qu’elle est bonne, ce qui nécessité de
revenir la réflexion pour le choix de politique de maintenance.
Introduction générale :
La maintenance est l’ensemble de toutes les actions techniques, administratives et de
management effectuées durant le cycle de vie d’un bien et destinées à le maintenir ou
à le rétablir dans un état dans lequel il peut accomplir la fonction requise.
Peu d’entreprises pensent encore aujourd’hui que " la maintenance est un mal
nécessaire ". Cependant, peu d’entre elles réalisent que le moindre accroc dans
l’efficacité ou la pertinence de la maintenance peut avoir des conséquences indirectes
extrêmement préjudiciables pour d’autres fonctions de l’entreprise. Un manque de
fiabilité d’une turbine peut générer : des retards de livraison, des pertes de clients, des
stocks de produits finis plus importants, des difficultés de trésorerie, des heures
supplémentaires, de la fatigue inutile voire même des problèmes de sécurité !
Nous aborderons ici la maintenance dans ses aspects préventifs et correctifs. Après
l’historique de la maintenance, nous détaillerons l’étude de cas fiabilité,
maintenabilité, disponibilité et couts de maintenance concernant l’équipement
stratégique étudie, qui est la turbine a vapeur 107 JT basée sur l’historique des
pannes, de l’entreprise FERTIAL.
I .1.1. Introduction :
I.1.2. La maintenance :
Maintenance Maintenance
Préventive Corrective.
Maintenance Maintenance
Systématique Conditionnelle Défaillance
1) Maintenance palliative :
2) Maintenance curative :
Le dépannage :
La réparation :
a) Avantages :
b) inconvénients
-Les Inspections :
-Les Visites :
Reprise d’une pièce, d’un organe ou d’un sous-ensemble usagé, et vente au même
client d’une pièce, d’un organe ou d’un sous-ensemble identique, neuf ou remise en
état conformément aux spécifications du constructeur, moyennant le paiement d’une
soulte dont le montant est déterminé d’après le coût de remise en état.
Avantage :
Le principal avantage de la MPC / MPP est qu’elle permet d’éviter les arrêts machines
dus aux pannes. Pour minimiser encore ces arrêts machines, il faut utiliser des
techniques permettant de mesurer l’état de la machine sans l’arrêter. Les 3 principales
techniques utilisées en MPC / MPP sont :
Inconvénients :
Coûts d’achat :
Systèmes souvent onéreux :
Formation du personnel :
Selon le matériel acheté et le niveau d’exigence désiré, ces techniques exigent un haut
niveau de formation du personnel. Cela implique donc de libérer du temps de
formation et de trouver du personnel compétent, capable de s’adapter aux évolutions
rapides de ces techniques.
Mise en place :
Face à cette première définition, la norme AFNOR NF EN 13306 offre une vision
plus précise de la maintenance en indiquant que la maintenance intègre l’ensemble
des activités techniques, administratives ou de management qui ont pour but de
"maintenir ou de rétablir un équipement dans un état ou des conditions données de
sûreté de fonctionnement pour accomplir une fonction requise".
Une activité de maintenance est souvent liée à une défaillance d’un bien.
Un bien est défini dans la norme AFNOR NF EN 13306 comme "tout élément,
composant, mécanisme, sous-système, unité fonctionnelle, équipement ou système qui
peut être considéré individuellement" ; une défaillance y est définie comme
"l’altération ou la cessation de la capacité d’un bien à accomplir une fonction
requise".
GESTION
Préparation
Réalisation travaux maintenance
Ordonnancement
Méthodes
Achats
Gestion de stock - Magasin
A – Préparation :
La préparation des travaux nécessite le plus de rigueur possible dans la collecte des
informations pour définir le triplet « symptôme, cause et remède de panne ». Les
informations peuvent être collectées par plusieurs intervenants avec pour support la
GMAO mais nécessitent toujours rigueur et objectivité.
Analyse de panne : l'application d'une méthodologie d'analyse de panne est conseillée
pour diminuer le temps de réparation : une procédure basée éventuellement sur une
méthodologie (5 pourquoi, QQOQCCP) est préconisée.
B - Ordonnancement :
Ces objectifs sont doubles : réduire les dépenses de maintenance et diminuer les
capitaux immobilisés.
-Le déroulement d’une journée doit être entièrement prévu. Seules les actions
urgentes de réparation peuvent l’affecter. En outre, les activités menées doivent
améliorer la fiabilité des installations.
définir et prendre les mesures nécessaires pour réduire l’usure de ces pièces
(type de fonctionnement, ...) ;
vérifier le respect des conditions de stockage ;
limiter le nombre de fournisseurs ;
recourir au service achat pour négocier les prix.
Assurer La disponibilité
Développer L’économie de l'entreprise
Assurer la bonne qualité des produis
Assurer la Maintenabilité des équipements
Assurer la sécurité du personnel et des installations
Augmenter la productivité
Niveaux Détails par niveau des actions selon la norme AFNOR Définitions
simplifiées
• Des produits de mauvaise qualité, défectueux notamment à cause des arrêts et des
redémarrages.
• Des arrêts de travail provoquant des retards de livraison, ce qui peut amener à payer
des pénalités.
• Des rejets qui polluent l’environnement et menacent la vie des personnes.
Suivant l’influence des pannes, on peut classer les risques de la façon suivante:
• Risque inacceptable : il faut supprimer les causes de panne et supprimer les effets
des pannes résiduelles, on se base sur la notion de maintenance préventive
conditionnelle.
• Risque acceptable si limité : il faut choisir entre maintenance préventive
systématique et maintenance conditionnelle.
• Risque acceptable : dans ce cas on peut choisir la maintenance corrective.
b- La charge la machine :
• Si la machine est totalement chargée alors il est préférable d’éviter les défaillances,
on utilise ici la maintenance préventive.
A. Le document historique :
Le dossier historique d’une machine est un document qui vitrasse la vie de la machine
en service.
Le dossier historique regroupe tous les renseignements concernant la vie d’une
machine.
-Les modifications et les améliorations de MN.
-Les Commandes extérieures.
-Descriptions des travaux effectués.
-Les rapports d’expertise ou d’incident.
-Le fichier historique.
B. Le fichier historique :
Le fichier historique est un document du dossier historique d’une machine,il contient
toutes les interventions concernent un matériel i.e le F.I est la trace de toute les
opérations de MN effectué.
Le F.I doit synthétiser les informations les plus importantes sous forme d’écrits et de
forme statistique relevant d’une opération exécutée sur un équipement.
La fiabilité se caractérise par sa courbe R(t) = probabilité que l'entité ne soit pas
défaillante dans l'intervalle de temps [0;t] appelée également « loi de survie » (R :
reliability) et son taux de défaillance λ(t).
B. Fonction requise :
Ou accomplir une mission ou rendre le service attendu. La définition de la fonction
requise implique un seuil d’admissibilité en deçà duquel la fonction n’est plus
remplie.
C. Conditions d’utilisation :
Définition des conditions d’usage, c’est à dire l’environnement et ses variations, les
contraintes mécaniques, chimiques, physiques, etc. Il est évident que le même
matériel placé dans 2 contextes de fonctionnement différents n’aura pas la même
fiabilité.
D. Période de temps :
Au sens large il peut être un nombre d’heure, des mois des années, Comme peut être
un nombre de cycles, un distance parcourue ou un nombre d’unité d’usage.
La loi de Weibull est la plus utilisée dans le calcul de la fiabilité c’est pour cela qu’on
lui donne un intérêt particulier dans ce qui suit, C’est un modèle mathématique
particulièrement bien adapté â l’étude statistique des défaillances. Cette loi de
Weibull est utilisée en fiabilité, en particulier dans le domaine mécanique, cette loi a
l’avantage d’être très souple et de pouvoir s’ajuster â différents résultats
d’expérimentation.
Weibull: a donné au taux d’avarie λ(t) une formule générale dépendant de trois (3)
paramètres. η, β, γ qui rend compte avec une bonne précision dans une gamme
étendue. Le modèle de Weibull tient compte de trois paramètres:
Paramètre d'échelle η
Paramètre de forme β
Paramètre de localisation (réparation) γ
Les éléments nécessaires à l'application du modèle de Weibull sont TBF durée de
temps de bon fonctionnement entre deux intervalles consécutifs et le nombre de
pannes correspondant au TBF.
A chaque instant t, nous pouvons déterminer analytiquement ou graphiquement les
fonctions liées au comportement du matériel à savoir:
a. La densité de probabilité des défaillances:
𝜷−𝟏 𝜷
𝜷 𝒕−𝜸 𝒕−𝜸
− 𝜼
𝒇 𝒕 = .𝒆
𝜼 𝜼
b. La fonction de répartition:
𝒕−𝜸 𝜷
− 𝜼
𝑭 𝒕 =𝟏−𝒆
F (t) : probabilité d’avarie cumulée au temps de 0 à t
c. La fonction de fiabilité :
𝒕−𝜸 𝜷
− 𝜼
𝑹 𝒕 =𝒆 = 𝟏−𝑭 𝒕
R(t) : probabilité de non-défaillance dans l’intervalle de temps [0.t] c'est-à-dire la
probabilité de défaillance au-delà du temps (t), C’est la fonction complémentaire de la
fonction de réparation.
d. Taux de défaillance:
λ λ
Zone B
Zone A Zone C
L’évolution de la durée de vie d’un équipement peut être tracée selon une courbe
appelée courbe en baignoire. Selon que l’équipement, soit de type électronique ou
mécanique, les allures du taux de défaillance est différent
f(t)
1
Avec 2 < 1
2
t
En unité de temps qui est associé à l’échelle utilisée sur le graphe d’Alliant plat.
γ paramètre de position, - < γ < +, qui s’exprime dans l’unité de temps :
Le modèle qu’on peut établir en fiabilité est issu d’un échantillon de population, puis
on fait l’hypothèse soit une loi particulière.
Ainsi, il reste à vérifier la validité de cette loi, la vérification est obtenue par un test
Aucune restriction n’est nécessaire, quel que soit la taille (n) on peut l’appliquer
L’idée du test est de comparer la fonction réelle de répartition des défaillances à la
fonction de répartition théorique.
Il consiste à mesurer l’écart point par point entre ces deux fonctions:
Dn,max= 𝑭𝒆 𝒕 − 𝑭(𝒕𝒊)
𝜷
𝒕−𝜸
−
𝐅 𝐢 = ∑𝐧𝐢 − 𝟎. 𝟑 /(𝐍 + 𝟎. 𝟒) 𝐅 𝐭 =𝟏− 𝒆 𝒏
On montre que : Dn = 𝑴𝒂𝒙 𝑭𝒆 𝒕 − 𝑭(𝒕𝒊) suite une loi ne dépendant que de η
et écrit que :
𝐏(𝐌𝐚𝐱 𝐅𝐞 𝐭 − 𝐅 𝐭𝐢 < Dn, α) =1-α).
Si : D n,max > D n, α donc nous refusons l’hypothèse du modèle théorique.
Si : D n,max < D n,α donc nous acceptons l’hypothèse du modèle théorique.
La valeur de D n, a est donnée par la table de KOLMOGOROV – SMIRNOV.
I.2.1.8. Paramètres de calcul de Fiabilité, Maintenabilité et
Disponibilité :
MTTF (mean time to [first] failure) : moyenne des temps avant la 1 ère défaillance
MTBF (mean time between failures) : moyenne des temps entre 2 défaillances
consécutives
MDT (mean down time) : appelé encore MTI. c’est le temps moyen d’indisponibilité
ou temps moyen d’arrêt propre
MUT (mean up time) : temps moyen de disponibilité
MTTR (mean time to repair) : temps moyen de réparation
Début
d’intervention
Mise en 1ère Remise 2ème
service défaillance en service défaillance
MTBF
ARRET
Temps
I.2.2. MAINTENABILITE:
𝐌(𝐭) = 𝐥 − 𝐞−𝛍𝐭
M(t)
Temps
Figure 5: Allure de la courbe de Maintenabilité en fonction du temps
𝐠 𝐭 = 𝐝𝐌(𝐭)/𝐝𝐭.
Le MTTR (mean time to repair) est la durée moyenne jusqu’à la réparation d’une
entité réparable.
𝐌𝐓𝐓𝐑 = 𝟏 − 𝐌(𝐭) 𝐝𝐭
𝟎
I.2.3.LA DISPONIBILITE:
La norme (AFNOR X60-500) définit la disponibilité comme « l’aptitude d’un
dispositif à être en état de fonctionner dans des conditions données ».
Disponibilité intrinsèque :
Cette disponibilité est évaluée en prenant en compte les moyennes de
bon fonctionnement et la moyenne de réparation ce qui donne :
𝑴𝑻𝑩𝑭
Di=
𝑴𝑻𝑩𝑭+𝑴𝑻𝑻𝑹
M.T.B.F : moyenne des temps de bon fonctionnement (Mean Time Between
Failures).
M.T.T.R : moyenne des temps d’immobilisation pour intervention de maintenance
(mean time to repair).
D’où :
M.T.B.F = T.C.B.F / Nc
Disponibilité instantanée :
Pour un système avec l’hypothèse d’un taux de défaillance λ constant et
Disponibilité opérationnelle :
𝑴𝑻𝑩𝑭
Do =
𝑴𝑻𝑩𝑭+𝑴𝑻𝑻𝑹+𝑴𝑻𝑳
𝐝𝐞𝐬 𝐭𝐞𝐦𝐩𝐬 𝐥𝐨𝐠𝐢𝐬𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬
Avec MTL = =
𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐯𝐞𝐧𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬
A. INTRODUCTION :
L’entreprise dispose d’un capital sous forme de fonds propres et de fonds empruntés,
qu’elle transforme en biens immobilisés (locaux, matériels de production,
équipements divers). Ces biens permettent de fabriquer des produits à partir du coût
total de production, majoré des charges de ventes, des charges diverses et du bénéfice.
Le coût de production se compose du coût des matières premières, du coût de
fabrication et du coût de maintenance. Le coût de maintenance se compose du coût de
main-d’œuvre, du coût des pièces de rechange et du coût des travaux sous-traités. Le
tableau synoptique suivant ci-dessous( figure1) permet de mieux comprendre la
structure des coûts en général.
Chiffre d’affaires
Achat de matières,
Biens, services
Coût de production Charges indirectes Bénéfice
s
Valeur ajoutée
Coût de maintenance Coût de fabrication Coût de matières
premières
Coût de main d’œuvre Coût de la logistique Coût des matières Coût de la sous-
Chiffre d’affaires :
Le chiffre d’affaire représente la somme de toutes les ventes réalisées par l’entreprise
pendant une période correspondant généralement à une année d’activité (c’est la
valeur des ventes globales annuelles).
Valeur ajoutée :
La valeur ajoutée exprime une opération de valeur ou l’accroissement de valeur que
l’entreprise apporte aux biens et services en provenance des tiers dans l’exercice de
ses activités professionnelles courantes. Elle représente la valeur de la transformation
d'une matière d’œuvre en un produit fini, c'est une caractéristique économique.
Elle est mesurée par la différence entre la production de la période et les
consommations de biens et de services fournis par des tiers pour cette production. Elle
se calcule de la manière suivante :
Valeur ajoutée = prix de vente - (valeur du total des fournitures, des matières et des services)
CHAPITRE II
Analyse de l’historique des pannes de l’entreprise FERTIAL
Cet ensemble industriel qui est d’une importance majeure au développement du pays a
répondu aux décisions de 1966 portant sur la nationalisation des ressources minières du
pays et de leur valorisation.
L’année 1977 est d’une importance extrême dans la vie de l’entreprise « ASMIDAL » à savoir
la fabrication de l’ammoniac et des engrais.
Filiales
100 %
FERTIA
KIMIAL SOMIAS
L
ASFERTRAD ALCHEDRADE
E
GROUPE
ASMIDAL
ALZOFERT
CAJAS
I.S.G.A S.G.S
17 % 20 %
Figure 2 : L’organisation générale de l’entreprise ASMIDAL
II.1.2.1. HISTORIQUE:
La société WOOD GROUP SOMIAS est une filiale de maintenance industrielle, issue de la
restructuration du Groupe ASMIDAL.
ASMIDAL est entré en partenariat avec Wood Group Company à partir du premier juin 2006.
La société est dénommée Wood Group SOMIAS Spa. Elle prend en charge les activités de
réalisation et de montage de tous travaux de maintenance d’équipement et d’ouvrage,
industriels, en l’occurrence :
- Maintenance
- Electrique
- Mécanique industrielle
La société Wood Group Wood Group SOMIAS Spa intervient dans des divers domaines tel
que :
La pétrochimie
La sidérurgie
L’énergie
L’agro-alimentaire
Les cimenteries.
II.1.2. 2. SAVOIR-FAIRE :
Notre savoir faire s’articule autour de différents axes corollaires d’un management
opérationnel efficace.
II.1.2.3. RENSEIGNEMENTS:
Effectif : 593
Téléphone : 038539319
E-mail : dg@wgsomias.com
Une direction générale sise à Annaba Route des salines (Site FERTIAL)
Une direction des réalisations Est sise à Annaba Route des salines (Site FERTIALE)
Une direction des réalisations Ouest dans la zone industrielle d’Arzew
Une direction des réalisations Sud sise à Hassi messaoud
Assistante
Figure 3 : Organigramme général Wood Groupe Somias SPA
II.1.2.6. Moyens :
A. Moyens Humains
Wood Group Somias SpA emploie un effectif de plus 600 agents réparti en :
Ingénieurs : méthodes, mécanique, instrumentation, électricité, génie civil …
Techniciens supérieurs de différents spécialités : mécanique, chaudronnerie,
tuyauterie.
Soudeur hautement qualifie et homologués au TIG, aluminium …
Technicien d’échafaudage
Technicien d’isolation thermique
Maçons fumistes.
Peintres industriels.
B. Moyens Matériels :
La qualité de service de Wood Group Somias SpA est prouvée par l’évolution en hausse
d’année en année de son chiffre d’affaire.
MECANIQUE :
FABRICATION MECANIQUE :
ECHANGEURS DE CHALEUR :
CHAUDRONNERIE :
ROBINETTRIE :
ELECTRICITE ET INSTRUMENTATION :
Travaux d’électricité BT et MT
Electricité bâtiment
Câblage
Electromécanique et bobinage moteur BT
Instrumentation et automatisation sur installation industrielles
VULGANISATION BANDES :
ECHAFAUDAGE :
PLASTURGIE :
ISOLATION THERMIQUE :
GENIE CIVIL :
Gestion HSE
Assistance en ingénierie de maintenance
Modifications et améliorations
Assistance en approvisionnement
Gestion des arrêts programmés et autres
logistique
B. MONTAGE INDUSTRIEL :
C. PRINCIPAUX CLIENTS :
LWC
3
RWC
2 MTC
0
2007 2008 2009
La Direction de Wood Group SOMIAS fait preuve d’engagement formel envers la dynamique
d’amélioration continue de son SMQ. La mise en application de cet engagement passe par :
II.1.3.2. Objectifs :
La Direction déploie les axes de la politique qualité en objectifs mesurables auxquels sont
associés des indicateurs et des valeurs cibles pour maîtriser le fonctionnement. Fixés
annuellement dans le plan prévisionnel de l’entreprise, ils ont comme référentiel
l’exploitation des données relatives :
Le déclaration de la politique HSE WGS est approuvée et signée par le directeur Algérie.
La politique HSE est appuyée par cinq déclarations complémentaires comme suite :
Wood Group Somias c’est engagée depuis de nombreuses années dans une démarche
d’amélioration et ceci dans le but d’atteindre les standards les plus élevés dans les
performances HSE et nous reconnaissons pleinement qu’une bonne gestion HSE peut
contribuer fortement à notre succès à long terme. Cet engagement nous a permis de mettre
en place une organisation soucieuse et proactive envers la variable HSE avec une vraie
vision d’excellence
La mise en place d’un partenariat avec une société internationale nommée Wood Group
nous a permis d’améliorer considérablement notre performance HSE. Aujourd’hui Wood
Group Somias affiche un niveau HSE de classe internationale.
II.2.1.1. Introduction :
On a maintes fois considéré des machines au sein desquelles s’opérait un échange de travail
avec le milieu extérieur (compresseurs, turbines). Parmi celles-ci, on a identifié deux grandes
familles :
Machines volumétriques Dans ce type de machines, on fait subir au fluide actif une
évolution temporelle au sein d’un système fermé, et l’échange de travail se fait par action
des contraintes de pression sur une frontière mobile du système. L’exemple le plus
emblématique et le plus répandu est celui des dispositifs à cylindres et pistons, mais il en
existe d’autres (p. ex. les capsulismes, comme le moteur rotatif Wankel).
Machines à circulation de fluide Dans ce type de machines, le fluide subit une évolution
spatiale au sein d’un système ouvert, mais la manière précise dont le travail est échangé n’a
pas été discutée. On a simplement mentionné qu’il est généralement transmis à un arbre en
rotation. La très grande majorité, pour ne pas dire la totalité, des machines de cette
catégorie sont des turbomachines.
Ce chapitre constitue une brève introduction à l’étude de ces machines, qui se bornera à en
faire une description générale et à en expliquer le principe fondamental de fonctionnement.
L’échange d’énergie s’effectue dans le rotor et résulte du travail des forces aérodynamiques
sur les aubes produites par l’écoulement du fluide autour de celles-ci, et qui résultent
principalement de la différence de pression entre les deux faces des aubes. Remarquons
que, bien que le travail soit produit cette fois encore par les contraintes de pression, il se fait
sans déformation de la frontière du système comme pour les machines volumétriques, mais
simplement par rotation des aubes.
Il existe une très grande variété de turbomachines. Aussi, avant d’en examiner plus avant le
principe de fonctionnement, il est utile d’en faire une classification selon divers critères et
de l’illustrer par des exemples concrets.
De nombreux critères servent à classer les turbomachines. Les plus importants sont les
suivants :
Sens de l’échange d’énergie On distingue les machines réceptrices qui reçoivent du travail et
les machines motrices qui en fournissent. Parmis les machines réceptrices, on trouve les
turbopompes, les ventilateurs, les turbosoufflantes, les turbocompresseurs et les hélices
aériennes et marines. Les principales machines motrices sont les turbines à vapeur et à gaz,
les turbines hydrauliques, ainsi que les éoliennes. Ces deux classes de machines présentent
des différences importantes du point de vue de leur conception aérodynamique. En effet, les
machines réceptrices sont le siège d’une compression (élévation de pression) du fluide, alors
que les machines motrices font intervenir une détente. Or, les pertes visqueuses dans les
écoulements fluides sont très sensibles au gradient de pression et augmentent fortement
lorsque celui-ci devient trop important, en raison du phénomène de décrochage.
Bien évidemment, au voisinage de l’axe, l’écoulement doit prendre une direction axiale. Il
existe également des configurations intermédiaires, dites mixtes, dans lesquelles
l’écoulement a des composantes tant axiale que radiale.
C’est le cas par exemple des turbines hydrauliques de type Francis. Dans certaines machines
enfin, l’écoulement est tangentiel, c.-à-d. que les particules fluides se déplacent dans un
plan parallèle à l’axe de la roue.
– les machines à action, dans lesquelles la pression reste constante à travers le rotor, et les
machines à réaction dans lesquelles elle varie : on reviendra sur cette distinction plus avant ;
– les machines à admission totale, dans lesquelles le rotor est alimenté sur la totalité de sa
surface d’entrée, et les machines à admission partielle où seule une partie du rotor est
alimentée. C’est toujours le cas des turbines hydrauliques de type Pelton, et pour certaines
turbines à vapeur pour lesquelles l’admission partielle est utilisée pour le réglage du débit.
L’admission partielle est réservée aux machines à action.
Une turbine est un dispositif rotatif destiné à utiliser la force d'un fluide (eau, vapeur, air,
gaz de combustion), dont le couple est transmis au moyen d'un arbre.
L'énergie du fluide, caractérisée par sa vitesse et son enthalpie, est partiellement convertie
en énergie mécanique pour entraîner un alternateur, une pompe ou tout autre récepteur
mécanique rotatif.
Le principe est donc le même que celui de la machine à vapeur à pistons. La turbine en
constitue une évolution exploitant les principaux avantages des turbomachines à savoir :
Survitesse 3600.
Graissage : bague.
Vanne manuelle : 1
Plans :
Coupe longitudinale RMF... .T 506 954.
Roulement :
- côté butée : gurney 3O9RDT 45/100 épaisseur 30mm.
Quantité d’huile :
- palier côté commande 1.0 L.
- palier ci admission l, 8 L.
II.2.1.8.DESCRPTION ET FONCTIONNEMENT:
Une turbine à contre pression est une turbine dont la pression d’échappement est égale ou
supérieure à la pression atmosphérique.
Une turbine à action transforme l’énergie calorifique de la vapeur qui lui est fournie en
travail utilisable sur l’arbre. Cette transformation n’est cependant pas faite directement
l’énergie calorifique étant tout d’abord convertie en énergie cinétique par détente de la
vapeur, dans un aubage fixe, d’une pression une autre pression plus faible. II en résulte un
jet de vapeur sortant de l’aubage à une très grande vitesse cet aubage, de par sa
construction, dirige la vapeur de telle sorte quelle attaque l’aubage de la roue sous un angle
convenable permettant d’obtenir le meilleur rendement possible.
Cette turbine contient un étage cutis composé de deux rangées d’ailettes montées sur
deux roues. Un aubage redresseur est placé entre les deux rangées d’ailettes mobiles, de
telle sorte que la vapeur à la sortie de la première rangée soit redressée pour permettre son
passage dans la deuxième rangée d’ailettes avec la direction convenable. Les ailettes, la roue
et l‘arbre forment un ensemble soigneusement assemblé. La force exercée sur l‘aubage
produit un couple sur l’arbre entraînant la rotation du rotor
Le rotor de la turbine est constitué d’un disque (pour turbine R.N) de deux disques (pour
turbine SN) emmanchés à chaud et clavetés sur l’arbre. Les ailettes des roues sont
assemblées dans une rainure périphérique du disque par leur talon usiné en ‘‘Queue
d’aronde”. Des arondes de recouvrement en acier résistant la corrosion sont rivées A tête
des ailettes. Elles sont associées en segments permettant une dilatation éventuelle, leur but
est d’éviter tout fuite de vapeur, de plus, elles augmentent la rigidité du group d’ailettes
qu’elles maintiennent.
Des bagues d’étanchéité du type à carbone sont placées dans les boites d’extrémités aux
sorties d’arbre.
Manuellement.
En cas de survitesse.
Quelle que soit la manière dont est actionné ce système de déclenchement, le même
résultat est atteint, qui est de fermer instantanément la vanne de sécurité Le corps de la
turbine est en acier.
Les deux masses du régulateur sont munies de couteaux. Dont l’arête pivote sur les
portées de couteaux fixées sur le plateau de régulateur. Le mouvement des masses est
transmis à régulateur par un second jeu de couteaux. Le ressort de régulateur s’oppose en
partie au déplacement des masses.
Une réduction de charge tend à augmenter la vitesse de la turbine et par suite la force
centrifuge, ce qui écartent les masses. Ce mouvement entraîne le déplacement de l’arbre de
régulateur contre le levier par l’intermédiaire du roulement de butée et pousse le clapet
d’admission dans le sens de la fermeture, tendant ainsi à maintenir la vitesse de
fonctionnement.
B. Clapet d’admission:
Le clapet d’admission est du type équilibré à double siè. Il fonctionne dans le corps
admission qui comporte deux sièges Le clapet d’admission est rigidement fixé sur sa tige.
L’étanchéité au droit du couvercle du corps admission est assurée par une douille
métallique.
L’évacuation de la fuite de vapeur inhérente à ce type de garniture est assurée par un orifice
prévu le couvercle. Cet orifice peut être raccordé à une tuyauterie de mise à l’air libre.
Le but de ce dispositif de sécurité est d’arrêté la turbine lorsque sa vitesse atteint une
valeur déterminée. Cette vitesse de déclenchement est d’environ I 5% supérieur à la vitesse
maximal de fonctionnement. Le limiteur de survitesse et son clapet de sécurité agissent
indépendamment du régulateur de vitesse et du clapet d’admission.
E. Paliers :
Le rotor de la turbine est supporté par deux coussinets régulés à joint horizontal côté
échappement; des épaulements aux extrémités les maintiennent en position axiale, tandis
qu’un téton d’arrêt à leur partie inférieure les empêche de tourner. Les orifices d’entrée et
de sortie d’eau sont indiqués sur le plan d’encombrement.
F. Roulement de butée:
Un logement spéca1 est prévu en bout du coussinet côté admission pour recevoir le
roulement de butée à bille.
G. Boites d’étanchéité:
Les corps de boites d’étanchéités sont indépendants du corps de la turbine. L’accès aux
carbones en est facilité. Les anneaux sont séparés par des bagues d’écartement en acier
inoxydable. Ces bagues d’écartement sont tenues par des gorges annulaires usinées dans les
corps de boites.
Les amicaux de carbone sont divisés en 3 segmente. Us sont assemblés par les ressorts,
eux-mêmes munis de tétons d’arrêt pour empêcher l’anneau de tourner.
H. Refroidissement de l’huile:
- Les orifices d’entrée et de sortie d’eau sont indiqués sur le plan d’encombrement.
II.2.1.8. Entretien :
Important: Avant de démonter les pièces en contact avec la vapeur, il est impératif
Que la turbine soit bien isolée du réseau vapeur et que les robinets de purge soient ouverts.
Nous rappelons qu’il est prévu:
- surveiller les niveaux d’huile des paliers assez souvent pour empêcher la formation de
sédiments. IL est recommandé de suivre les indications ci- dessous:
- Si l’huile n’est pas parfaitement propre, procéder à une nouvelle vidange au bout de24h.
- Purge éventuellement l’eau qui peut se former par condensation dans les carters des
corps de paliers.
- Vérifier une fois par semaine que le clapet d’admission coulisse librement.
-Contrôler l’alignement, après chaque démontage important et de toutes façon une fois par
an
Et l’extrémité de l’arbre, afin compression. Il est important que les tranchants des couteaux
reposent exactement sur leurs portées correspondantes (n° 57) et que l’axe (n°469) du levier
de command (n° 468)
Un joint métal sur métal assure l’étanchéité entre le couvercle et le corps d’amission. Lors
du montage, les surfaces en contact doivent être nettoyées et enduit d’une pâte à joint
convenant pour la vapeur.
Le joint entre le couvercle et la lanterne est obtenu par une garniture en amiante tressée,
de 5mrn de diamètre. La garniture est aussi le corps d’admission.
Le clapet d’admission doit être inspecté fréquemment et rodé, si nécessaire, dans le plus
bref délai. Car une fuite l’endommagerait rapidement ainsi que ses siège, par laminage. Ce ci
prolongera son utilisation et préviendra un mauvais fonctionnement.
Si l’on constate que les sièges celui de la lanterne car ces pièces étant usinées ensemble, ne
peut pas être fournies séparément.
Appliquer de la pâte à roder sur les portées de clapet, et roder sans appuyer exagérément
en décrivant un arc de 30°à 45°. Puis lever le clapet, le tourner d’un quart de tour, et
recommencer le rodage. Continuer de la sorte jusqu’à décrire la circonférence complète.
Puis nettoyer les pièces et vérifier de nouveau les portées au bleu de prusse.
Lors d’un démontage de la lanterne, il faut aussi vérifier le joint intérieur avec le corps
admission, au bleu de Prusse, et roder si nécessaire.
Après remontage, et au moins une fois par semaine pour les turbines qui assurent
un service de secours. S’assurer que le d’admission coulisse librement.
Le réglage peut être modifié dans de faibles limites en agissant sur le ressort de la masse
de survitesse. Une augmentation de la compression du ressort augmente la vitesse de
déclenchement et inversement. Ce ci est obtenu en vissant ou dévissant légèrement la vis.
La vis d’arrêt doit être remise en place, serre e à fond et bloquée au moyen de coups de
pointeau.
S’il se produit une fuite de vapeur à l’arbre le clapet resserré la garniture de façon
uniforme, au moyen d’un presse-étoupe. Le serrage doit être juste suffisant pour arrêter la
fuite, un serrage trop important nuirait au bon fonctionnement du clapet de sécurité.
Lorsque, pour une raison quelconque, le cor d’admission est ouvert, en profiter pour
s’assurer que le clapet de sécurité es étanche et en bon état de fonctionnement. Les portées
du clapet et du corps d’admission doivent être vérifiées au bleu de Prusse et rodées si cela
est nécessaire.
La turbine doit être arrêtée si possible au moins une fois par semaine. Par survitesse ou à
défaut en déclenchement manuellement le levier de survitesse afin de vérifier la fermeture
du clapet de sécurité.
Avant de réarmer le dispositif de sécurité. Laisser d’abord ralentir la turbine afin que la
masse de survitesse reprenne sa position initiale. Puis libérer le ressort de cliquet, de sorte
que le levier soit en position pour recevoir la tige. Ouvrir le robinet de purge du corps
admission, sous le clapet de sécurité, et tirer l’extrémité gauche du levier pour fermer le
clapet d’admission ou mieux, fermer la vanne de sectionnement sur la tuyauterie
d’admission.
La pression s’exerçant sur le clapet de sécurité es alors suffisamment réduite, voir nulle,
pour que la tige puisse être enclenchée sur le levie3r de survitesse.
Le clapet de sécurité, dans cette position, c’est-à-dire ouvert et armé, ne doit pas nuire au
bon fonctionnement du clapet d’admission.
A fin d’être sûr qu’il n’y a pas d’interférence dans le fonctionnement de ces deux clapets,
procéder à la vérification suivante:
- démonter le levier de command pour changer sa position sur l’arbre du clapet afin
d’obtenir le jeu de 6mm.
D. Paliers :
Les coussinets sont livrés prêts à être montés; il n’est pas prévu d’obtenir les jeux radiaux
par ajustage. Pour cette raison, il est recommandé, si le jeu devient excessif, de monter des
coussinets neufs plutôt que de réguler le jeu est considéré comme excessif quand il devint
approximativement supérieur de 0.05mm au jeu maxima. Par exemple, pour les turbines
standard des types R2R, U2R et S2R, le jeu maximal de construction peut être de 0.13mm ;
par conséquent, il devient nécessaire de changer les coussinets lorsque le jeu atteint
0.18mm .cette règle n’est pas absolue; il peut arriver d’avoir à changer les coussinets avant
d’atteindre ce jeu, en fonction de condition d’utilisation de la turbine.
Les coussinets étant à joint horizontal, il est facile de les remplacer sans démonter le rotor.
Il suffit de lever légèrement l’arbre pour passer le demi-coussinet inférieur.
Avec des coussinets neufs, le jeu minimum peut être de 0.l mm.
Dans la turbine T2RA, seul le coussinet côté commande est différent, le jeu minimum
est de 0.12 mm et le jeu maximum est de 0. l7mm.
E. Roulement de butée:
Un roulement de butée axial est monté dans un logement formé par le coussinet côté
admission.
1°/ déplacer le rotor vers le palier côté admission jusqu’à venir en butée.
2°/ relever le jeu axial totale en déplaçant le rotor vers le palier côté command jusqu’à venir
en butée.
3°/ déplacer le rotor vers le palier admission d’une distance égale à la moitie du jeu axial
total.
Le roulement de butée (repère 74) et la bague de butée (repère 75) peuvent être alors
montés. Afin de ne pas détériorer le roulement de butée, celui-ci doit être amené contre les
cales en poussant sur la bague intérieure; aucun effort ne doit être exercé sur la bague
extérieure.
Le roulement et la bague de butée étant en place, monter le collier de butée en deux partis
(repère 76); visser et bloquer l’écrou ti pus le conter-écru (repère 77) suffisamment pour
éviter tout risque de desserrage.
G. Calage du rotor:
III°) L’épaisseur des cales sera fixée pour obtenir un jeu de 1,5 mm à froid entre face de
sortie des tuyères et le bord d’entrée de l’ailettage 1ére étage.
Lors du démontage des anneaux de carbone, veiller à ce que les trois segments qui
forment un anneau ne se trouvent pas mé1anés elle est donc indispensable que chaque
anneau reste assemblé par le ressort extérieur pour faciliter le montage chaque segment
est repéré. Les ressorts d’assemblage ne devront pas être détendues chaque .anneau
devra être remonté dans l’emplacement qu’il occupait il est préférable d’utiliser de
nouveaux ressorts quand il est nécessaire de monter de nouveaux anneaux.
Pour obtenir une bonne étanchéité il faut que les anneaux de carbone soient propres et
correctement montés .lors d’un démontage, ne pas manquer de la débarrasser de tout
dépôt éventuel et de nettoyer eur3 logements.
Si une révision des carbones est rendue nécessaire à cause des fuites, il est recommandé
de monter des carbones neufs.
Les annaux de carbone fournis par la société WORTHINGTON ont leur jeu diamétral
correct et déterminé par les conditions de vapeur spécifiées dans la commande originale. IL
est indispensable en cas de commande, d’indiquer le numéro de série de la turbine.
Il est recommandé de profiter dune vidange de l’huile pour nettoyer les paliers. Toute
trace de solvant devra être soigneusement retirée avant de remettre de l’huile.
Nettoyer les bouchons magnétiques et les plaquettes en caoutchouc magnétique, suivant les
indications ci-dessous:
A. Gamme opératoire :
ORDRE DE DEMONTAGE PL N° 506 954
N° OPERATIONS
1° Démonter toutes les tuyauteries pouvant avoir rapport avec le demi corps supérieur
2° Enlever le calorifugeage
DESASSEMBLAGE DU ROTOR
Démonterla masse rep (56), le couteau rep (60),le ressort de couteau rep (61) et le
16° rivet rep(62)
19° Démonter l'écrou sur collier de butée rep (77) et le collier de butée rep(76)
20° Démonter la bague de butée rep (75) et le roulement de butée rep (74)
POSE ROTOR
30° Remontage les corps supérieur de palier rep (402) et rep (302)
35° Desserrer l'ecrou Rep 704 et démonter le couvercle de clapet de regulateur rep 452
36° Enlever le clapet et la tige de clapet de regulateur rep 460 et rep 461
39° Desserer le siège inferieur et superieur de clapet rep 456 et rep 457
et desserrer les 4 vis à six pans qui fixent rep (515) à rep (535)
48° Oter les 4 vis à six pans et enlever le couvercle de clapet de securité rep 515
COMMANDE A MAIN
Régulation
Application Graissage sous
hydraulique
Graissage par Graissage sons pression des paliers
(indépendante
bague des pression des et d’un
du graissage)
paliers paliers réducteur
sauf
Caractéristiques ou multiplicateur
Woodward
Huile minérale stable, avec additifs anti-rouille, anti-oxydants et
Nature anti-mousse - sans trace d’acide ni de base.
Désémulsibilité
120 120 120 120
ASTM en secondes
.
Liste des pièces de rechange 107 JT :
Colonne1 Colonne2 Colonne3
Vis sans fin p/roue rep 22 ref:64-1693 p/turbine type 1SS2RHA Serie
5 1043926 504244030
Coulisseau rep (467) PL T507007 ref :61-2582 p/turbine type 1SS2RHA Serie
6 1043926 504244094
7 Bague d'ecartement de carbone rep 203 ref: 62-644 ref:621078 pl T507027 504244300
Serie 1043811/1043752/753
12 joint entre palier et support mat: 551J1 pl 507027 p/turbine type T2RA-RWD 504244305
Serie :1043752/758/811
Garniture d'arret d'huile zammac3 rep 316 ref 62-728 p/turbine type T2RA-
13 RWD 504244306
Serie 1043752
17 Niveau d'huile rep 404 ref:6502-08 mat: acier pl T506954-507027 P/Turbine 504244313
Joint garniture mat: 551G11 rep 465 p/turbine type T2RA-RWD 504244319
23 Siège de clapet de securité mat: Z30C13 rep 535 ref: 61-3204 plT507027 504244320
29 Douille coté garniture mat: Z30C13 rep 518 plT507027 p/turine 504244328
type T2RA-RWD Serie 1043752/758/811
34 Vis de réglage et declenchement mat: acier rep 546 ref 61-3218 504244333
39 Régulateur Wood Ward PG-PL ref :8574-103 vitesse 525-918RPM 3-15PSI 504244341
44 Vis de réglage à bout pointu 6x12 rep 692 ref 61-465 504244348
49 Bloc de tige de clapet mat: XC38 rep 466 ref 61-51 504244356
55 Clapet assemblé avec tige 3-1/4 rep 460 +461 ref 61-3110 mat: Z30C13 504244363
Lanterne Assemblée avec siège mat: AC/Al rep 793-455-457-459-463 ref 61-
56 3111 504244364
pl T507027 p/turbine type T2RA-RWD
58 Anneau carré mat ACCO PAX 500 rep 236 ref 61-3021 pl 504244366
59 Siège de clapet rep 239 pl T507027-T218715 ref 62-196 mat Z12C13 504244369
73 Arbre de régulateur ref 62-1176 rep 66 pl 506954 p/turbine type T2RA 504244384
78 Ergot de collier de butée mat acier rep 78 ref 20127pl 506954/963/ 504244389
81 Joint de couvercle inferieur palier admission mat 551J4 rep 318 ref 62-214 504244392
83 Axe de levier de survitesse rep 480 ref 61100 mat XC38 504244395
84 ressort sur axe de levier de survitesse rep 482 mat XC65 504244396
Levier de régulateur rep 468 ref 61-3266 p/turbine type T2RA-RME Serie
89 1043752/753/811 504244515
Levier de régulateur rep 468 ref 62-1066 p/turine type S2R-RME Serie
90 1043752/753/811 504244516
PL506 863
92 Vis d'arret rep 698 ref 20238101 p/turbine type T2RA-RWD 504244519
Tige de réglage rep 474 ref 61-2144 pl T507028 p/turbine type T2RA-RWD
93 serie 1043835 504244520
102 Injecteur d'huile rep 351 ref 61-1608 pl T507027 P/turbine type T2RA-RWD 504244532
106 Mobile complet rep 13/14 p/reducteur GVA B420 PL SVG 376 504244539
107 Jeu de 2 coussinets rep 10 GV P/reducteur GVAB420 PLSVG 376 mat XC18 504244540
108 Jeu de 2 coussinets rep 11 PV mat XC18 P/reducteur GVAB420 PL SVG 376 504244541
111 Rotor complet monté et équilibré sens de rotation à gauche "anti-horaire" 504244545
113 Rotor rotation à gauche reparé (NU) N° serie 1043835 p/turbine T2RA-RWD 504244548
116 Carbone coté echappement ou admission rep 205 ref 62-1089 504244765
II.2.3.Méthode ABC :
a. Définition : cette méthode est aussi appelée : Loi de PARETO ou loi des 20 /80. Par cette
méthode nous pouvons mettre en évidence les éléments les plus importants d’un problème
afin d’orienter notre action, de ce fait les détails sans importance seront éliminés.
La méthode ABC permet de définir les priorités d’actions. C’est un outil d’aide à la décision.
b. Méthode ABC :
Les éléments seront classés par ordre d’importance en indiquant les pourcentages pour un
critère déterminé.
1. Définir la nature des éléments à classer : ces éléments peuvent êtres ; des matériels des
causes de pannes, des natures de pannes, des bons de travail, des articles en stock, etc.
2. Choisir le critère de classement :
Les critères les plus fréquents sont les couts et les temps, selon le caractère a étudier,
d’autres critères peuvent être retenus tels que :
Nombre d’accidents, nombre d’incident.
Nombre de rebuts, nombre d’heure d’utilisation.
Nombre de kilomètres parcourus.
Valeur consommée annuellement, souvent nécessaire pour la gestion des
stocks.
3. Définir les limites de l’étude et classer les éléments en cumulant les valeurs décroissante
du critère étudié, la courbe ABC fait apparaitre 3 zones d’où l’appellation de « courbe ABC ».
c. La table de PARETO : le dépouillement du fichier historique des pannes de la turbine
durant sa durée de vie, nous a permis de réaliser les résultats suivants et de les classer selon
la règle de la loi ABC dans le tableau dressé ci après :
Cumule
Classement en Cumule % des H Nb des des % des p
Nb d'opération heures des H cumulées pannes pannes cumulées
8 5 587 95,6 1 9 50
La courbe ABC :
120
courbe de PARETO (ABC)
100
%cumulée des heures
80
60
Série1
40
20
0
0 50 100 150
d.1.La zone A : on a vu dans la zone A que le nombre des pannes est petite 15% par rapport
à leur nombre des heures 87%qu’il a prend c.à.d. que ces pannes concernent des organes
très important
Si pour ça ils ont pris beaucoup de temps, ce qui explique et donne un mauvais rapport sur
la politique de maintenance de cette entreprise, ce qui peuvent est dû a l’ensemble des
causes suivant :
d.2. La zone B et C : on a vu dans ces zones qu’il ya beaucoup de pannes 85% nécessitant
une petite duret (13%) ci qui montre que ces pannes ont besoin de contrôle préventif plus
les pièces de rechange probablement ces deux facteurs ont été mal utilises .
Remarque : l’analyse ABC peut être également mise à profit en gestion des stocks grâce à
leurs informations de consommation des pièces qui peuvent détecter ou dans toute
organisation demandant de faire des choix économiques comme :
II.2.4.1.Etude de la fiabilité :
Apres avoir trouver les résultats des valeurs (TBF%, Fe(t)%) on utilise le papier d’Allen plait (de
Weibull) pour détermine γ, η, β.
η=(35*3272)/100=1145.2 h
β=1.20 est obtenue par le traçage d’une droite qui passe par le point 1 sur l’axe
horizontal et parallèle par rapport a la droite qui réalisé par le compas.sur l’axe de
vertical de β on lite la valeur de point d’intersection.
Donc nous avons : γ=0
η=1145.2 h
β=1.20
Après avoir obtenu les résultats obtenues on déduite que la turbine est en période de
vieillesse, usure par ce que β=1.20 >1.
Les modèles que nous pouvons établir en fiabilité sont issus d’un échantillon de population,
puis on fait l’hypothèse qu’ils suivent une loi particulière (loi de Weibull pour Notre cas).
Ainsi, il reste à vérifier la validité de cette loi. Vérification obtenue par un test
d’adéquation. Pour cela on admet dans l’utilisation des statistiques un risque
d’erreur () petit.
: est le niveau significatif ( est égal à la probabilité de se tromper en utilisant ce
test).
L’idée du test est de comparer la fonction réelle de répartition des défaillances à la
fonction de répartition théorique.
Il consiste à mesurer l’écart point par point entre ces deux fonctions :
D'après le tableau :
Donc :Dn,max=0.1154<Dn,α=0.309
D. Calcul de MTBF:
La MTBF est souvent traduite comme étant la moyenne des temps de bon fonctionnement.
Entre deux défaillances successives du même composant. Elle est donnée par la formule
suivante : MTBF=A.η+ γ
𝟏.𝟐−𝟏 𝟏𝟎𝟕𝟕.𝟐−𝟎 𝛃
𝟏. 𝟐 𝟏𝟎𝟕𝟕. 𝟐 − 𝟎 −
𝐟 𝐌𝐓𝐁𝐅 = .𝐞 𝟏𝟏𝟒𝟓.𝟐 = 𝟒, 𝟎𝟖𝟕. 𝟏𝟎−𝟒
𝟏𝟏𝟒𝟓. 𝟐 𝟏𝟏𝟒𝟓. 𝟐
f(t)=0.0408 %
La fonction de répartition:
𝐅 𝐭 = 𝟔𝟎. 𝟓𝟐
Taux de défaillance:
C’est la probabilité de défaillance à l’instant (t + td), sachant que le dispositif est bon à
l’instant t.
𝛃−𝟏 𝟏.𝟐−𝟏
𝛃 𝐭−𝛄 𝟏. 𝟐 𝟏𝟎𝟕𝟕. 𝟑 − 𝟎
𝝀 𝐭 = 𝛌 𝐌𝐓𝐁𝐅 = = 𝟎. 𝟎𝟎𝟏𝟎
𝛈 𝛈 𝟏𝟏𝟒𝟓. 𝟐 𝟏𝟏𝟒𝟓. 𝟐
𝝀 𝐭 = 𝟎. 𝟏𝟎𝟑𝟓
Tableau N°04:
90
80
70
60
R(t)%
50 R(t)%
40
30
20
10
0
0 20 40 60 80 100 120
TBF cumul
Analyse :
D’après l’allure de la courbe on remarque la dégradation de la fiabilité (probabilité de
bon fonctionnement à ti) au cours du cumul de temps de bon fonctionnement signifié
que la turbine à vapeur subit plusieurs arrêts qui provoquent la rupture de
production,
Cette dégradation est due essentiellement soit à une mauvaise utilisation de la
turbine ou la dégradation du matériel soit à une maintenance inadéquate, sur tout avec
le manque des compétences ;
En considérant le temps t=MTBF, on voit que R(MTBF)=39.48% ce chiffre indiquent que la
fiabilité de l’équipement est inférieur a la moyenne. Donc il est urgent de mettre un plan
d’intervention systématique pour l’amélioration de la fiabilité.
0,06
0,05
0,04
f(t)%
f(t)
0,03
0,02
0,01
0
0 20 40 60 80 100 120
TBF cumul
Analyse :
On remarque que la courbe de densité de probabilité des défaillances de la turbine 107
JT diminue au cours de cumul de temps de bon fonctionnement, La courbe de densité de
probabilité suit la loi de Weibull et montre la distribution des défaillances autour de la
moyenne de la tenue du matériel.
C. Courbe de la fonction de répartition :
F(t)%
1,2
0,8
F(t)%
0,6
F(t)%
0,4
0,2
0
0 500 1000 1500 2000 2500 3000 3500
TBF cumul
Analyse :
λ(t)%
0,14
0,12
0,1
0,08
0,06 λ(t)%
0,04
0,02
0
0 20 40 60 80 100 120
TBF cumul
Analyse :
D’après la courbe nous avons un taux de défaillance croit en fonction de temps, ce qui
signifie que la turbine est en période de vieillesse, usure d’où la confirmation du paramètre
de forme β=1.2>1, dans cette période est difficile de citer les causes de défaillance mais on a
retenu l’usure et les vibrations répétés qui ont modifié la structure du matériau.
La fonction de maintenabilité : C’est la probabilité pour qu’un dispositif soit réparé avant (t)
𝐌(𝐭) = 𝐥 − 𝐞−𝛍𝐭
MTTR ; (Mean Time To Repair) ou encore Moyenne des Temps Techniques de Réparation.
a) Calcul de la maintenabilité :
La maintenabilité peut se caractériser par sa MTTR (Mean Time To Repair) ou encore
Moyenne des Temps Techniques de Réparation
MTTR
Temps d'intervention pour n pannes
Nombre de pannes
Pour l’exemple traité en fiabilité :
𝟔𝟐𝟎
𝐌𝐓𝐓𝐑 = = 𝟑𝟏 𝐡 𝐌𝐓𝐓𝐑 = 𝟑𝟏 𝒉
𝟐𝟎
b) Taux de réparation μ :
Il est égal à l'unité de temps sur la MTTR :
1
MTTR
Pour l’exemple traité en fiabilité :
𝟏
𝝁= = 0.032 intervention /heure 𝛍 = 𝟎. 𝟎𝟑𝟐
𝟑𝟏
C) La fonction de maintenabilité ;
M(MTTR)=62.92%
01 3 09.15
02 4 12.01
03 3 09.15
04 7 20.07
05 5 14.78
06 3 09.15
07 2 06.20
08 3 09.15
09 6 17.46
10 5 14.78
11 7 20.07
12 2 06.20
13 3 09.15
14 10 27.38
15 4 12.01
16 1 03.15
17 5 14.78
18 260 99.97
19 280 99.99
20 7 20.06
100
80
M(t)
60
40 M(t)
20
0
-50 0 50 100 150 200 250 300 350
temps h
Analyse :
C'est-à-dire que la Maintenabilité exercée est bonne, le calcul et peuvent à chaque fois que
la turbine est réparée d’estimer la Maintenabilité. Cette structure est très inductive pour
palier les procédures de la maintenance.
B. Disponibilité intrinsèque :
𝑴𝑻𝑩𝑭 1077.2
Di= 𝑴𝑻𝑩𝑭+𝑴𝑻𝑻𝑹 =
1077.2+31
= 0.9720 Di= 97.20 %
M.T.B.F : moyenne des temps de bon fonctionnement (Mean Time Between Failures).
M.T.T.R : moyenne des temps d’immobilisation pour intervention de maintenance (mean
time to repair).
D’où :
M.T.B.F = 1077.2 h
M.T.T.R =31 h
C. Disponibilité instantanée :
Pour un système avec l’hypothèse d’un taux de défaillance λ constant et d’un taux
réparation μ constant, on montre que la disponibilité instantanée a pour expression:
𝝁 𝝀 𝒕
D(t) = + 𝒆−(𝝀+𝝁) : 𝒕 ≥ 𝟎
𝝁+𝝀 𝝀+𝝁
D(MTBF)=99.80 %
Tableau N° 06 Tableau de disponibilité
03 257 99.98
04 460 99.98
05 502 99.98
06 741 99.98
07 743 99.98
08 764 99.98
09 786 99.98
10 931 99.98
11 998 99.98
12 1029 99.98
13 1049 99.98
14 1172 99.98
15 1579 99.98
16 2011 99.98
17 2853 99.98
18 3272 99.98
La courbe de la disponibilité Di :
Di
120
100
80
60
Di
40
20
0
0 500 1000 1500 2000 2500 3000 3500
Analyse :
Di : l’indice de disponibilité
Il représente « la probabilité, qu’un équipement doit répondre a sa fonction de production »
D’une manière générale l’étude FMD de la turbine à vapeur 107 JT nous permet de voir que
le système est plus fiable potentiellement, maintenable dans ce cas on peut dire que
l’historique des pannes a une grande importance pour les calculs FMD et le choix de
politique de maintenance et sur tout le suivi de l’état des équipements,
On conclut aussi d’après les résultats obtenus que la turbine à vapeur est en zone de
vieillissement.
CONCLUSION GENERALE :
L’historique des pannes est très important pour établir la bonne politique de
maintenance.
La réalisation de la bonne maintenance assure la disponibilité des biens.
La turbine est un équipement stratégique si bien qu’elle demande la redondance
et la surveillance efficace.
La fiabilité de l’équipement étudié (la turbine à vapeur 107 JT) n’est pas bien
(𝟑𝟗. 𝟒𝟖% pour MTBF de 1077.30 h), on peut l’améliorer.
L’étude FMD c’est la base de l’amélioration en maintenance.
Le calcul FMD doit être fait par un personnel qualifié qui maitrise les outils
statistiques et qui sait interpréter les résultats.
La politique de la maintenance au niveau de la société FERTIAL pour la turbine
à vapeur n’est pas adaptée .
Propositions d’actions :
N Niveau significatif α
β A B β A B β A B
Bibliographie
[1] Hedi Kaffel, la maintenance distribuée : concept, évaluation et mise en œuvre,
mémoire doctoral, Faculté des études supérieurs de l’université Laval ,2001.
[6] Ouvrage collectif sous la direction de Rey-Debove J., Rey A., Le Petit Robert,
Dictionnaire de la langue française, Ed. Dictionnaires Le Robert (1e édition
de 1967), Paris, ISBN 2-85036- 976-4, 2004.
Site web :
www.ingexpert.com
www.wgsomias.com
www.maintenance industriel.fr
www.techniques –ingénieur.fr