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MINISTERE DE L’ENERGIE
Thème
I.1 Historique........................................................................................................................... 02
I.6.6 Le VX …………………………………………………………………………………..23
II.5.2.1 Définition…...………………………………………………………………………...39
II.5.3 E-LINE…………………………………………………………………………………53
II.5.4.1 Définition…………………………………………………………………………….56
II.5.4.5Equipement de surface………………………………………………………………..57
Conclusion générale…….…………………………………………………………………...77
Liste des abréviations
GB Groupement Berkine
EMK El Merk
EP Engineering Production
GL Gas Lift
CT Coiled Tubing
SL Slick Line
WL Wire Line
BOP Blowout Obturator preventer
PSV Pressure Safety Valve
WS Water Source
PIT Pressure Indicator Transmitter
MPFM Multi-Phase Flow Meter
HSE Health, Safety & Environment
PTW Permit to Work
PPE Personal Protective Equipment
Liste des tableaux
Tableau III.1: Textes juridiques Algériens pour la gestion des déchets et rejets liquides……55
Liste des figures
Introduction
Les hydrocarbures c’est un domaine très sensible pour l’économie de n’importe quel pays
dans le monde notamment les pays producteurs en tant qu’une première source de revenus.
Le Groupement Berkine est l’entreprise qui nous accueillir durant toute la période de notre
stage pratique de vingt-quatre mois (24 mois) dans le cadre de recrutement (Formation Mise en
situation Professionnelle) à Sonatrach pour tous les Techniciens qui ont suivi une formation
théorique au niveau de l’IAP.
Cette formation avait des objectifs importants tel que l’intégration dans le milieu
professionnel, pratiquer la théorie qu’on a vue durant la formation au niveau d’institue, apprendre
et profitant du personnel expérimenté disponible au sein de l’entreprise et profite le maximum des
opérations à faire sur le champ.
C’est dans ce contexte se rapport résulte une durée de formation de 24 mois au sein de la
division E&P, et approuve le travail effectué pendant cette période.
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Chapitre I Présentation du champ EL MERK
Introduction
Voici quelques dizaines d’années depuis le premier jaillissement du pétrole l’héritage des
ères géologiques très anciennes sur les territoires Algériens, des milliers de puits ont vu la
lumière et encore des dizaines et des dizaines de région qui renferment ce trésor mystérieux sont
devenues des perles brillantes pour l’économie du pays.
Ce stage et cette étude a était déroulée sur l’une de ces régions qui a seulement 5 ans depuis le
début d’exploitation (production) sur son propriété, cette région est: EL MERK
I.1 Historique
I.1.1 Le groupement Berkine a été créé en 1998 en tant qu'organisme d'opération par
SONATRACH entreprise pétrolière et gazière nationale algérienne et ANADARKO petroleum
corporation une des premières compagnies indépendantes d'exploration et de production de
pétrole et de gaze dans le monde.
Le Groupement Berkine est chargé de gérer des activités de l'association
SONATRACH/ANADARKO.
A la date de mai 2002, le groupement Berkine a produit pour le compte de l'association une totale
de 100millions de barils d'huile.
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Chapitre I Présentation du champ EL MERK
I.1.2 Le mégaprojet El Merk devrait produire du pétrole et du gaz naturel pour les 30 à 40
prochaines années. L'installation d'El Merk est situé dans le bloc 208 dans la partie sud du bassin
de Berkine, le bloc comprend actuellement quatre champs pétroliers et gaziers,
Le champ El Merk est situé à environ 300 km au sud-est de Hassi Messaoud dans une région
reculée du désert du Sahara algérien où le terrain est constitué de grandes dunes de sable
imbriquées.
Pour ce faire, les six partenaires Sonatrach, Anadarko, ENI, Maersk, Conoco Phillips et Talisman
ont convenu de signer un accord cadre (Memorandum of understanding) pour le développement
d’El Merk qui a pour objet la réalisation d’une usine (CPF) pour le traitement d’huile et du gaz
humide, la récupération et l’expédition d’huile vers HEH via PK0 et l’expédition des GPL et des
condensât vers GassiTouil via LR1 et OH2
Valeur du projet: USD 4,000,000,000 (Estimé) Actionnaires: Maerk Olie Algeriet - Algérie -
9,10% EniOil Algérie - Algérie - 9,10% Talisman - Algérie - 9,10% Sonatrach - Algérie - 37,70%
Anadarko Petroleum Corporation - 18,10% ConocoPhillips - Algérie - 16,90% .
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Chapitre I Présentation du champ EL MERK
L’exploitation et l’exploration dans le champ d’EL MERK est passée par les étapes suivantes:
* 2006 : EL MERK est considéré comme une région renferme des réserves très important des
hydrocarbures.
* 2006-2008 : étude réservoir, modélisation du champ, implantation des emplacements des puits
et la décision du développement de lu champ.
* 2008 : débuts des forages et le développement d’EL MERK (début des travaux pour construire
le CPF (centre de traitement HC), les routes et la base de vie)
la partie Nord Est de la plateforme saharienne (dans l’Erg oriental) entre la latitude 29° et 33°, et
la longitude 5° et 9° Est (Figure I-2). Ce bassin constitue la partie occidentale d’un plus grand
bassin (celui de Ghadamès) qui prolonge vers la Lybie et au sud de la Tunisie.
Sa superficie globale est de 102395 km², où Les limites du bassin de Berkine sont :
A l’Est par, le bassin de Syrte entre la Tunisie et la Libye (la frontière tunisienne et libyenne).
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Chapitre I Présentation du champ EL MERK
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Chapitre I Présentation du champ EL MERK
Le Bassin de Berkine est caractérisé par l'opposition très nette de deux domaines dont le style
structural est celui d'une tectonique de socle. Le domaine ouest fortement structuré, où les
accidents présentent des rejets très importants aller jusqu’à 500 m ou plus (les fermetures
verticales des structures peuvent être très gigantesques : 900 m à Rhourd Nouss) et le centre du
bassin où la structuration est beaucoup plus faible, avec une remontée monoclinale prononcée
vers le sud (WEC, 2007).
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Chapitre I Présentation du champ EL MERK
A cet effet, les six partenaires Sonatrach, Anadarko, ENI, MAERSK, conco Philips et Talisman
ont convenu réalisation d'une usine (CPF) de traitement d'huile et gaz humide, la récupération et
l'expédition d'huile vers HEH, via PK0, et l'expédition de GPL et de Condensat vers
GASSITOUIL, via LR1 et OH2.
Projet El Merk regroupe le développement en synergie de quatre champs qui sont :
EMK
EKT (Bloc208)
EME (Bloc208)
EMN (Bloc208)
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Chapitre I Présentation du champ EL MERK
unité TAGI TAGI TAGI TAGI TAGI TAGI TAGI TAGI TAGI TAGI
U1 U2 U3 U4 M1 M2 M3 M4 L1 L2
Etat Active Non Active Active Non Active Active Active Active Active
Active Active
Tableau I-1: Les SUB unités de réservoir TAGI
Etat Non active Active Active Active active Active Non active
Strunian (all fields except EKT): producteur du gaz à condensat. Le
Condensat est exporté
Le gaz sec est réinjecté. Il est Subdivisé en 7 sub unités dont le Strunian H est non-réservoir
(shale).
unité Strunian J Strunian H Strunian G1 Strunian Strunian G Strunian E Strunian F
G2 3
Etat active Non active Active Active active Active active
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Chapitre I Présentation du champ EL MERK
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Chapitre I Présentation du champ EL MERK
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Chapitre I Présentation du champ EL MERK
* Division HSE.
* Division Exploitation.
* Division Maintenance.
* Division EP
* Division Logistique
* Division soutien
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Chapitre I Présentation du champ EL MERK
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Chapitre I Présentation du champ EL MERK
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Chapitre 1 : Présentation du champ EL MERK
a- Service production
Le service production prend une partie très intéressante et sensible dans le département
production engineering dans le champ EL MERK, cela peut être expliqué par l’application
d’une nouvelle technologie sur les installations de surface des différents types de puits. Les
principaux rôles de ce service sont cités ci-dessous :
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Chapitre 1 : Présentation du champ EL MERK
b- service puits
Le service puits prend lui aussi une partie très sensible et importante dans le département
engineering production. Cela peut être expliqué à partir de ses fonctionnalités, ses objectifs et
ses interventions très délicates sur les puits.
• Interventions légères sur les installations de surface des puits (réparer des vannes ou
bien les remplacer…..).
• Intervention légère sur la complétion du puits avec une unité de slick line.
Opérations du coild tubing.
• Travailler en collaboration avec les services d’intervention lourds sur les puits tel que
Workover et forage.
• Les teste des flare line
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Chapitre 1 : Présentation du champ EL MERK
a- La tête de puits
La tête de production est un assemblage de vannes et d’équipements annexes montée en
un seul bloc. Elle est utilisée principalement pour contrôler l’écoulement du fluide dans le
tubing de production et permettre l’accès pour les opérations de pompage et d’intervention en
toute sécurité.
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Chapitre 1 : Présentation du champ EL MERK
comme le montre l’image Au-dessous de cette tablette, on trouve quelques boutons qui ont
pour buts de mettre les organes automatique en état de réglage automatique ( remote ) ou
manuel ( locale ). Cette fonctionnalité est aussi réalisable avec la tablette en cliquant surle
bouton MOS puis choisir le mode locale ou remote
Elle fournit les quantités d’huile suffisantes avec une pression déterminée pour le
fonctionnement des vannes automatique tel que la SSV, SSV DW, SCSSV dans les puits
producteur de condensat ou injecteur de gaz
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Chapitre 1 : Présentation du champ EL MERK
e- La ligne de production
1- La conduite de production : où s’écoule l’effluent produit (huile). Son diamètre est égal à
6 pouces.
3-Duse motorisée (Chock valve) : duse règle le débit d’écoulement, elle contrôlée
automatiquement à distance a partir de console CCR ou localement sur place. (Son ouverture
ou fermeture) Son état d’ouverture ou de fermeture est exprimé en % ou on BC (unité donnée
par le constructeur B Count 157 BC pour les d’huile
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Chapitre 1 : Présentation du champ EL MERK
5-Le piquage des produits chimiques : dans la conduite de production assure l’injection
des produits chimiques
7- SDV de la ligne de production : SDV (shutdown valve) vanne touts ou rien fermée ou
ouverte complètement elle est automatiquement ouvert par une séquence de démarrage et
automatiquement fermé en cas d’anomalie (la pression atteint le max (PSHH) ou min
(PSLL)
Un système de gaz lift, système de dilution water (injection d’eau de dilution) sont prévus
pour assister la production d’huile et éliminer les obstacles tel que les dépôts de sels au niveau
de tête de puits ou au niveau de ligne de production
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Chapitre 1 : Présentation du champ EL MERK
puits. C’est un nouvel système ajouté aux arbres de Noel, il se place comme le montre la
photo au-dessus de la croix pour but de dessalage des dépôts de sel.
1- Ligne d’eau à injecter: l’eau fournie de la part de FGS et la source de celui-ci est de
CPF ou les puits d’eau elle équipée de diverses vannes de sécurité (SDV shut down valve) et
des vannes de un quart de tour et équipée aussi d’un duse et des PV dans FGS
2– Un clapet anti retour : qui unit le sens d’écoulement, des manomètres pour la détection
de la pression d’écoulement.
3- SSV DW: Surface Safety Valve dilution water: c’est la vanne automatique d’injection
d’eau de dilution. Son principe de fonctionnement est le même que celui de la SSV de la ligne
de production. L’huile qu’il l’alimente est venu de HPU
4- Vanne d’injection des produits chimiques pour la protection des équipements de fond.
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Chapitre 1 : Présentation du champ EL MERK
Ce système sert à l’injection du gaz lift venu des FGS dans l’annulaire du puits (l’annulaire 7
pouce). La ligne d’injection de surface a un diamètre de 2 pouces, connectée au casing spool
qui corresponde à l’annulaire d’injection
Note : SCSSV est installé aussi dans quelque puits producteur d’huile mais n’est pas relié
avec HPU ouvert avec hand Pump.
L’existence de SCSSV implique une spécification au niveau de HPU (qui est déjà expliqué)
mais dans les puits de gaz à condensat il y a 3 circuits :
- Circuit LP (5 bars) pour détection d'incendie par un bouchon fusible. (Fusible Plug)
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Chapitre 1 : Présentation du champ EL MERK
b-déférence au niveau d’EWCP: dans les puits a condensat il y a une possibilité de fermer
la Wing SSV seulement ou la vanne master SSV seulement a l’aide de clé de out of séquence.
Il n’y a pas de système de dilution d’eau DW ou de gaz lift.
Les installations de surface du puits injecteur de gaz est la même que l’installation du puits
producteur d’huile sauf que pour les produits chimiques on trouve que l’inhibiteur de
corrosion
Il y a deux sources d’eau d’injection sont puits ou d’eau vient de CPF et autre vient de puits
producteur d’eau (Water source)
1- Bac des produits chimiques qui sont injectés dans les manifolds afin de protéger les
conduites.
2- Manifold de DW
3- Pompes pour l’injection d’eau
4- VX de test
5- Chambre électrique
6- Un manifold de production collectant les conduites venant des puits producteurs .Ce
manifold a 2 conduites (lignes) : ligne de production vers CPF, et une autre ligne de
test en cas du test MPFM ou séparateur de test.
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Chapitre 1 : Présentation du champ EL MERK
I.6.6 Le VX
C’est un nouveau test, il a le même objectif que celui de séparateur mais avec un temps
très réduit. Ce système est fait et installé dans les FGS d’ EL MERK par la société
Schlumberger. Pour le moment, ils sont en état d’essaye.
-Protéger le personnel.
-Protéger l’environnement.
a- Contrôle à distance: La vanne est équipée avec des systèmes de surveillance, qui
réagissent sur des changements à certains points éloignés de l’endroit où la vanne est installée
Les vannes de sécurité d’une tête de puits sont normalement des vannes à passage direct,
avec un actionneur pneumatique ou hydraulique.
Il doit y avoir une pression hydraulique ou pneumatique pour ouvrir la vanne.
Une coupure ou perte de la pression hydraulique ou pneumatique vont fermer les vannes
de sécurité à l’aide d’un ressort qui se trouve dans l’actionneur.
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Chapitre 1 : Présentation du champ EL MERK
Toutes les vannes de sécurité faisant partie du système de sécurité d’un puits sont des
vannes « Failure closed ». CTD S’il y a un problème avec l’alimentation de la vanne,
elle va se fermer.
L’alimentation de la vanne peut être électrique, pneumatique ou hydraulique.
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Chapitre II :
les travaux
effectué et les
apports de
stage
Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
Dans la recherche du meilleur compromis entre les besoins et les contraintes du gisement et
ceux de l'exploitant, les choix sont guidés par quatre grands principes :
sécurité de l'installation.
Bien entendu, la sélection des différents équipements se fait en fonction des données
collectées et en relation avec la détermination des configurations (liaison couche-trou,
complétion simple ou multiple, ...) et du mode d'activation éventuel.
Le choix du type de tête de puits et les fonctions qu’elle doit assurer sont liés aux besoins de :
La tête de tubage (casing head, casing spool) dans laquelle sont suspendus les tubages.
La tête du tubing (tubing head) qui sert à suspendre le tubing de production.
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
Une tête de casing est utilisée pour soutenir la colonne de production à partir de la surface.
La tête du casing à une olive de suspension qui tient le support du casing.
Des têtes de casing sont aussi utilisées pour soutenir des colonnes intermédiaires. Certains
forages sont par exemple équipés de trois colonnes de casing:
- La colonne technique est plus longue que la colonne de surface, mais plus court que la
colonne de production et elle est utilisée dans les cas ou la pression du réservoir et la
profondeur du trou de forage le demande.
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
La tubing head spool est posée sur la bride supérieur de la dernière tête de cuvelage, elle a
pour fonction de suspendre la colonne de production et de fournir un épaulement pour le
dispositif de suspension de la colonne de production « tubing hanger ».
Tout comme la « casing spool », la « tubing head spool » est conçue avec deux sorties
latérales, l’une d’elle est équipée d’un manomètre permettant d’observer l’annulaire et d’y
surveiller montée ou descente en pression, l’autre sortie permet de se brancher sur les
conduites extrêmes.
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
Chaque espace entre deux colonnes est appelée un espace annulaire. Un puits qui a un
tubing a aussi une espace entre le tubing et la colonne de production. Cette espace est un
espace annulaire.
L’espace annulaire a des sorties sur les côtés de la tête du tubing. Il y a aussi des sorties sur
les côtés des têtes de casing. Ceux-ci sont les sorties pour les espaces annulaires entre les
colonnes de casing.
Si un puits contient trois colonnes de casing, la sortie sur la tête de casing inférieure est la
sortie de l’espace annulaire entre le casing de la colonne de surface et le casing de la colonne
technique.
Les sorties dans la tête de tubing sont équipées de manomètres qui mesurent la pression qui
existe dans l’espace annulaire entre le tubing et le casing de production
Malgré le fait que les têtes de casing ont des capteurs de pression, celui de la tête du
tubing est généralement appelé le capteur de pression du casing.
Le terme pression du casing fait référence a la pression de l’espace annulaire entre le tubing et
le casing de production
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
c- Croix « cross »
C’est un élément composé de brides, appelé ainsi car elle représente 4passages, les 2 passages
verticaux étant connectés à la vanne maitresse supérieure, alors qu’horizontalement, sur le
coté production, une vanne latérale « wing valve » est connectée, une autre vanne latérale «
kill valve » est éventuellement connectée sur une des 4 sorties.
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
Tree cap
Swab valve
Tree
Positive chock
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
Le choix de désigne de la complétion a été basé sur plusieurs facteur tel que
-Apres la percé d’eau ou la déplétion du réservoir, la possibilité d’injecter le gaz dans les puits
producteurs d’huile avec une pression > 4500psi
•L’existence d’un liner 4"½ qui traverse le réservoir à travers tubing qui permit une bonne
gérance de débit et isolation de la zone
Tubing de production
Surface controlled sub-surface safety valve (scssv)
Les sièges (landing nipple)
Gas lift mandrel (side pocket)
Vanne gaz lift
Packers de production
wire line entry guide
liner et le liner hanger
II.3.1.1 tubing de production
Caractéristiques de tubings
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
Ces vannes que l'on dénommait souvent storm choke, sont appelées maintenant SSCSV
(SubSurface Controlled subsurface Safety Valves). Elles sont mises en place et récupérées au
travail au câble
Elles ferment le puits suite à une modification des conditions d'écoulement à l'endroit où elles
sont installées :
• soit une augmentation du débit local (et donc de la perte de charge à travers la vanne),
Contrôlées par la pression hydraulique dans la ligne de commande, les vannes de sécurité
Safety Valves), sont des vannes "normalement fermées" (c'est-à-dire qu'elles sont fermées
quand il n'y a pas de pression appliquée dans la ligne de contrôle) de type "failsafe".
La pression de commande agit sur un vérin ; ce vérin repousse une chemise qui, en se
déplaçant, ouvre la vanne et, en même temps, comprime un puissant ressort récupérateur. Tant
que la pression de commande est maintenue à sa valeur de service, la vanne reste ouverte ; si,
par contre, elle tombe en dessous d'un certain seuil, la vanne se ferme alors automatiquement
pour des problèmes puits ou autres, feu, explosion ou choc, problème process, ... Suivant le
niveau de mise en sécurité requis, elle peut être réalisée par la seule fermeture de la vanne de
subsurface.
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
Pour répondre aux besoins de mesures, faciliter les opérations de mise en place de
l'équipement, ou assurer certaines fonctions de sécurité, le tubing est équipé de pièces
spéciales, appelées sièges, dans lesquelles des outillages mécaniques pourront être mis en
place, normalement au travail au câble.
- laisser en place temporairement dans le puits des instruments de mesure de pression ou/et de
température sans trop interférer, si possible, avec les conditions de production du puits.
Normalement conçue pour l'activation des puits en gas-lift, cette pièce spéciale équipe
cependant un certain nombre de puits éruptifs.
Les mandrins sont aussi utilisés pour injecter par l'annulaire des produits chimiques dans le
tubing : produits anti-émulsion, inhibiteur de corrosion en particulier. Ceci est obtenu en
équipant les mandrins de vannes d'injection, s'ouvrant par pressurisation de l'annulaire à une
certaine valeur de surpression.
Le gros avantage d'un tel système est que les garnitures d'étanchéité qui encadrent les
orifices de communication sont portées par l'outil mis en place dans la poche latérale, et, de ce
fait, elles sont très facilement remplaçables. On apprécie également le fait que le mandrin à
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
poche latérale laisse, à ce niveau, le tubing sans restriction de diamètre pour la production ou
le passage d'autres outils descendus au câble, au snubbing ou au coiled-tubing. Les
inconvénients majeurs sont d'abord, une section de communication, avec l'annulaire, faible
(prévue pour du gaz), ne permettant pas des débits liquides très élevés et, ensuite, un
encombrement extérieur non négligeable par rapport au diamètre du tubing (ils ne sont
d'ailleurs pas disponibles sur le marché pour les grandes dimensions de tubing) et pas
forcément compatible avec un cuvelage techniquement ou économiquement acceptable.
C’est un packer qui permet un passage unique pour le fluide et une fois ancré, ne peut
pas être récupéré ou enlevé autrement que par fraisage de ses composants externes jusqu’au
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
bas des coins d’ancrage. Dans les complétions à choix multiples, il est généralement utilisé
comme packer de fond.
Le packer est un élément de puits qui fait étanchéité entre le tubing et le casing. Il permet
ainsi aux fluides de formation de passer à l’intérieur du tubing jusqu’à l’arbre de noël.
Il est descendu et ancré dans le cuvelage de production. On complète les puits avec des
packers pour les raisons suivantes :
-Séparer les fluides de complétion et les fluides de réservoir (sa présence autorise la mise en
place dans l’annulaire d’un fluide de packer).
-Isoler plusieurs zones productives les unes des autres ou d’isoler une zone endommagée.
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
- Flow coupling
Les « flow coupling » dans une colonne de tubing sont des éléments importants à prendre
en compte pour la durée de vie d’une complétion. Sur les « flow coupling » l’épaisseur du
tube est plus importante que celle des tubings correspondants, ils sont conçus pour empêcher
toute érosion créée par la turbulence des flux. L’expérience pratique montre que les « flow
coupling » doivent avoir une longueur minimum de 3 ft (0,91 m).
Il est recommandé d’installer les « flow coupling » au-dessus et en dessous des « landing
nipples » ou tout autre raccord ayant une restriction de diamètre intérieure.
- Blast joint
Les « Blast joint » sont des sections de tubing ayant une épaisseur de tube importante.
Habituellement le diamètre intérieur est égal à celui du tubing,
Les « blast joint » doivent être installés dans la colonne de production en face des sections
perforées des zones de production dans les puits de production à choix multiples.
C’est l’élément situé en bout de la complétion et usiné de façon à faciliter l’entrée au fond du
puits des outils « Wire Line » à l’intérieur des tubings.
Liner: Le procédé consiste en la pose d’un Liner muni de fines fentes horizontales, en face de
l ’ intervalle à exploiter. Un packer doit obturer l’espace annulaire compris entre le sommet
du Liner et le sabot de la colonne de production. Le choix des dimensions des fentes doit être
basé sur une analyse granulométrique des roches composant le réservoir
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
- dans le figure (II.7) un exemple sur les deferent equipement de fond qui est instaleé sur notre
champ D’EL MERK
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
L’opérateur doit veiller au bon fonctionnement des puits et s’assurer que tous les
équipements sont en service normal. Il doit aussi respecter les mesures de sécurité et veiller à
ce qu’elles soient appliquées lors d’interventions sur les zones de puits.
Il doit aussi signaler à son supérieur hiérarchique ou la salle de contrôle toute anomalie
survenant sur les puits et autres équipements.
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
introduction
Le travail au câble est une procédure qui utilise un fil continu lisse en acier de très haute
résistance afin de manœuvrer les outils d’intervention. Dans cette méthode de travail, le câble
est opéré vers le haut et vers le bas sans rotation.
II.5.2.1 définition
Le SLICK-LINE est une technique qui permet d’intervenir dans les puits en exploitation
qui permet d’introduire, descendre, Placer et repêcher dans le tubing les outils et les
Instruments de mesure nécessaire à l’exploitation à l’aide d’un câble non électrique.
Le travail de câble est une technique qui permet d’intervenir dans les puits en production
en utilisant ligne en fil d’acier pour introduire, descendre, placer et repêcher dans le tubing
les outils et instruments de mesures nécessaires à une exploitation rationnelle.
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
Le camion
Utilisé pour le transport et le déplacement.
Cabine de contrôle
Cette cabine est placée derrière le treuil afin que l’opérateur puisse avoir un bon champ
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
La GRUE
Utilisé pour le levage de l’installation de SLICK-LINE.
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
Le Tambour
Le treuil dont l’élément de base est un tambour sur le lequel est enroulé le câble et qui est
Le câble de SLICK-LINE
Est un fil d’acier sert de liaison entre le train de Slick-Line et le treuil, il sert aussi à
manœuvrer les outils dans le puits sous pression, il doit traverser les garnitures d’étanchéité.
Choix du câble
•propriétés physiques.
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
Le presse-étoupe (STUFFING-BOX)
Cet appareil, placé à l'extrémité supérieur du sas permet l'entrée du câble tout en assurant
l’étanchéité (1er système de sécurité).
Le sas
Le sas est un tube de longueur variable (plusieurs tubes cylindriques assemblés entre eux par
un raccord union) muni à une extrémité d’un presse-étoupe à étanchéité sur le câble et à
l’autre, d’un raccord rapide, ce qui permet de rentrer ou sortir les outils du puits en pression.
•le sas monté au-dessus de BOP verticalement, Ce dernier monté au-dessus de vanne de
curage.
•La longueur de tube sas doit être supérieur à la longueur de train de Slick-Line pour assurer
le montage de tube sas sur La tête de puits
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
garnitures en caoutchouc qui viennent s'appliquer l'une contre l'autre en enserrant le câble.
Les mâchoires sont manœuvrées soit hydraulique soit avec une Volant (2éme système de
sécurité).
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
Les coulisses :
Les coulisses donnent à l’opérateur la possibilité de frapper vers le bas ou vers le haut, soit
pour cisailler une goupille soit pour décrocher un outil dans le tubing et soit encore pour faire
l’instrumentation ou l’entretien. Il existe trois types :
Les coulisses mécaniques, normales et tubulaires permettant de faire le battage vers le haut
et vers la base.
Coulisses hydrauliques :
Coulisse hydraulique permettant de faire le battage vers le haut, une coulisse hydraulique
n’est jamais descendue seule, mais toujours avec coulisse mécanique qui doit être placée en
dessous.voir l’annexe
Etat de puits ; puits fermé shuting WHP= 4600 psi Annu A = 34psi Annu B = 290psi
- à l’arrivé de toute les ‘équipe sur site ( équipe de GB et l’équipe Halliburton ) le superviseur
de GB tient une réunion de sécurité et valide le permit de travail.
-le superviseur GB assure qu’il n’y a pas une pression piégé (purgé par le top cap)
- Démontage du chapeau du « top cap» , connecté et testé le BOP avec lubricator et connecté
le SAS
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
Tools string « rope socket , 8 ft stem , jar mécaniques , 2,5˝ RB pulling tools , LIB 3,7˝
- a 2340 m THF le superviseur Slickline prend le poids en état statique et en état dynamique
- à 3200 m le superviseur slik line prend le poids en état statique et en état dynamique
- a 3265 m prend empreinte avec des faible frappe et commencé de la remontée au surface
- a l’arrivé de tools string au surface le superviseur GB fermé SWV, enlevé lokc out fermé
SWBV/UMV
Opération de repêchage
Etat de puits :puits fermé shuting WHP= 3200 psi Annu A = 0psi Annu B = 0psi
- à l’arrivé de toute les ‘équipe sur site ( équipe de GB et l’équipe Haliburton ) le superviseur
viseur de GB tient une réunion de sécurité
-le superviseur GB assure qu’il n’y a pas une pression piégé (purgé par le top cap) et ouvre la
SCSSV par la pompe manuelle
- Démontage du chapeau du « top cap», connecté le BOP avec lubricator et connecté le SAS
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
Tools string « rope sokcet ,10 ft stem ,tubulaire jar ,3 ft stem , finder »
On l’utilise Tubulaire jar dans les opération de repêchage au lieu de la jar mécanique
Teste ok 22 tour
- descende jusqu'à 1991m THF ,et plusieurs frappe avec le finder pour former une boucle
- commencer de la remonter
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
Tools string « rope sokcet ,10 ft stem ,tubulaire jar ,3 ft stem , grappel »
- Démontage du chapeau du « top cap» , connecté le BOP avec lubricator et connecté le SAS
-a 1980m THF le superviseur slik line prend le poids en état statique et en état dynamique
Puits EMN01
Etat de puits : puits fermé shuting WHP= 3000 psi Annu A = 0psi Annu B = 0psi
- a l’arrivé de toute les ‘équipe sur site ( équipe de GB et l’équipe Haliburton ) le superviseur
viseur de GB tient une réunion de sécurité
-le superviseur GB assure qu’il n’y a pas une pression piégé (purgé par le top cap)
- Démontage du chapeau du « top cap» , connecté le BOP avec lubricator et connecté le SAS
49
Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
50
Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
Tools string « rope sokcet ,13 ft stem jar mécanique, R-LINE ,PR PLUG »
Démontage du chapeau du « top cap» , connecté le BOP avec lubricator et connecté le SAS
-a 2500 m THF le superviseur slik line prend le poids en état statique et en état dynamique
- cisailler la goupille de R-LINE par la battage vers le bas /set PR PLUG- commencer la
remonter et a l’arrivé de Tools string au surface le superviseur GB enlevé lock out fermé
SWV/UMV - purgé la colonne de sas
51
Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
3-Set PR Prong
Tools string « rob socket ,13 ft stem jar mécanique, SB ,PR PRONG
-à 2519 m THF le superviseur slik line prend le poids en état statique et en état dynamique
Rig-down
4-Inflow test
- 15 min de surveillance s’il n’y a pas une augmentation de pression au-dessus de plug
15 min de surveillance s’il n’y a pas une augmentation de pression au-dessus de plug
Le two way chack valve est siter par lubricator au niveau de BOB hunger
52
Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
6- CHANGE X TREE
II.5.3 E-LINE
L’opération WIRELINE est effectuée avec un câble électrique, cette opération est
généralement utilisée dans le cas de diagraphies (LOGGING) pour la descente des différents
outils de diagraphie, aussi pour la perforation du casing (ou la perforation) pour rétablir (à
travers le cuvelage et la gaine de ciment) la meilleur liaison possible entre le réservoir et le
puits.
Les équipements standard d’une unité WIRELINE sont les mêmes que ceux pour l’unité
SLICK-LINE la seule différence est dans le câble c’est un câble électrique .
Le 24/04/2018
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
Puits: EMN 12
L’opération a été réalisée par la société de service ’’HESP’’ qui a un contrat avec
‘’SONATRACH’’ pour faire ces opérations dans le champ d’El merk.
Il s’agit d’une opération d’E-LINE pour descendre (MFC-MTD), pour contrôler le diamètre
intérieur de tubing et épaisseur de tubing et derrière le tubing.
- GR-GAMMA RAY.
Etapes
- Ouvrir UMV et SWAB VALVE lentement pour égaliser la pression dans le sas.
- Descente du train avec observation continu de poids et une vitesse bien déterminer jusqu'à le
fond de puits (H=2510m THF).
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
- Ouvrir UMV et SWAB VALVE lentement pour égaliser la pression dans le sas.
- Descente du train avec observation continu de poids une vitesse bien déterminer + pull test
chaque 500 m jusqu'à le fond de puits (H=2510m THF).
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
- les données MFC de tubing montrant une pénétration légère avec une pénétration maximum
de 48,3 ٪ à 2380 m
-les données de MTDE montrent principalement la corrosion très légère partout sur le tubing
avec la perte maximum de métal 11,9٪ à 38 ,5m et 2377m
- la combinaison du résultat de la MFD et MTDE montre que le tube entre 2350 et 2394
déformé sans perte de métal
-une changement de gradient de température a été observer à 50m et une certain fluctuation
entre 1610m et 2501m
II.5.4.1 Définition :
Le travail au coiled tubing est une procédure qui consiste à faire manœuvrer un tubing
continu de faible diamètre (de 1’’ à 3,5’’) dans un puits neutralisé ou sous pression.
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
•Facile à transporter.
La cabine de contrôle
L’opérateur doit avoir à sa disposition devant lui les indicateurs et les commandes
nécessaires, pour opérer contrôler et surveiller tous les paramètres
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
Tambour du treuil
Il est équipé d’une tête rotative qui permet la circulation pendant les manœuvres
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
Groupe de puissance :
Le groupe de puissance fourni la puissance hydraulique aux différents organes de l’unité
coiled tubing (tambour, tête d’injection, BOP, accumulateurs...), cette énergie est obtenue à
partir des pompes hydrauliques entraînées par un moteur).
Tête d’injection :
La tête d’injection est un organe principal de l’unité CT, utilisée pour manœuvrer à l’aide
de deux moteurs hydraulique qui entraînent deux chaînes continues sur lesquelles sont montés
des éléments de grippage qui poussent ou tirent le coiled tubing dans le puits.
Stripper (Packer) :
Le stripper est un élément d’étanchéité qui est installé sous la tête d’injection très proche
des éléments de grippages de la chaîne de la tête d’injection afin de prévenir le flambage du
coiled tubing pendant la manœuvre.
BOP
Les BOPs utilisés dans les opérations de coiled tubing sont montés directement sur
l’adapter de la tête de production ou tête de puits
Les obturateurs de l’unité coiled tubing sont contrôlés à partir du panneau de commande à
la distance situé dans la cabine de l’opérateur.
•Connecteur de CT.
•Release joint.
•Stem.
•Coulisse « jar ».
•BHA (bottom hole assembly) : c’est un train pour descende l’outil dans le tubing.
Puits : EKT 05
Etat de puits
- le superviseur GB- a l’arrivé de toute les ‘équipe sur site ( équipe de GB et l’équipe
Haliburton ) le superviseur viseur de GB tient une réunion de sécurité
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
- Démontage du chapeau du « top cap» , connections de BOP on top de WH et connections des riser
500psi--------5min 5000psi--------10min
Les test OK
- tester le DFCV a partir de SWBV on purge le reel de CT a 0 psi durant 5 min /test OK
- CT a 1000 m THF pull test WI =3000lbs / WO= 9000 lbs / pump rate= 0.26 bbl/min / CP=86psi
- CT à 2200 m THF pull test WI =12000lbs / WO= 16000 lbs / pump rate= 1.7bbl/min
-CT à 2350 m THF tag restriction, augmenter le débit de pompage a 1.7 bbl/min et diminué la vitesse
à 6m/min , continue la descente
-CT à 2850 m THF commencer le pompage de Brine 3٪ NH4CL débit de pompage = 1.5 bbl/min
-CT à 3053m THF commencer a pompé le Brine de 3055m au 3093m THF diminue la vitesse
start Brine squeeze rate = 1.5 bbl/min / WHP=1509 / CP= 2000 psi / WI =12300 lbs
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
Stop pompage WHP = 1850psi / CP=4050 psi , laisser le puits fermer pour 3 heur
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Chapitre II les travaux effectué et les apports de stage
63
Chapitre III :
Sécurité
Industrielle
Chapitre III : Sécurité Industrielle
Avant d’entamer le stage, nous avons eu une induction HSE présentée sur Data Show par
un ingénieur HSE au niveau du building HSE du champ HBNS. Cette induction, tout en étant
essentielle, nous a été très bénéfique. Sa nous a permis d’accommoder les règles de sécurité à
suivre dans le cas normale ou dans le cas d’un incident qui se présente soit au niveau d’une
des zones techniques ou bien au niveau de la base de vie. Vue le taux d’inflammabilité élevé
des produits manipulés dans ce champs (huile brute, gaz sous très hautes pressions, autres
composants chimiques tel que le glycol), des règles de sécurité
presque accident
les blessures
équipement endommagé
les fuites d`hydrocarbure
les flaques chimiques
les actes de vol
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Chapitre III : Sécurité Industrielle
les feux
des conditions non sures
les maladies de travai
P: Protéger
A: Alerter
S: Secourir
Protéger
Pour éviter les sur accidents, c’est-à-dire les moyens ou dispositions à prendre pour
minimiser
Alerter
Par téléphone, appelez les lignes d’urgence que vous devez les retenir
Par radio VHF/UHF, retenir le code d’appel d’urgence
Par tous autres moyens de communication disponibles sur votre site
Secourir
Si vous êtes formés aux premiers secours seulement, dans le cas contraire évitez de toucher
le ou les blessés.
En cas de situation d’urgence, exemple: détection de feu, détection de gaz, arrêt générale
du
Rester calme.
Sécuriser son lieu de travail.
65
Chapitre III : Sécurité Industrielle
Le casque de sécurité
Les lunettes de protection des yeux
Combinaison (tenu de travail en couton ou matière ignifuge)
Soulier de sécurité
Les gants
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Chapitre III : Sécurité Industrielle
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Chapitre III : Sécurité Industrielle
Les Évaluations des Risques auront lieu chaque jour entre 14.00 h et 18.00 h pour les travaux
à exécuter la journée suivante sauf en cas d’une intervention en urgence.
Le détail du travail sera disponible soit sur un ordre de travail ou présenté sous forme d’un
dossier technique.
Si le travail a déjà fait l’objet d’une évaluation des risques et le détail du travail à effectuer n’a
pas changé de façon significative, l’AEx, AE et HSE n’auront qu’à revoir la fiche
d’évaluation des risques déjà établie et apporter les changements nécessaires.
Une fois l’évaluation des risques accomplie, l’AEx peut, procéder à la demande d’un permis
de travail.
Un travail où une tâche qui est effectué sans produire d’étincelles ou de flamme ou de chaleur
en présence de produits inflammable ou dans une zone où la probabilité de présence
accidentelle de produit inflammable est grande.
Un travail à risque dans des conditions dangereuses et dans un environnement sans présence
de produit inflammable.
Un travail dans une zone à risque d’inflammation de produit en utilisant des équipements
électrique ou instruments dotés d’une protection à sécurité intrinsèque.
68
Chapitre III : Sécurité Industrielle
Le PTC est utilisé pour contrôler les risques liés à un travail exécuté dans un
environnement à risque d’inflammation, durant lequel la chaleur produite est suffisante pour
causer l’inflammation du produit qui pourrait s’y trouver par accident
L’objectif des contrôles mis en place, est de faire de telle sorte à confiner le produit
inflammable et éviter son apparition même fugitive et son contact avec la source d’ignition
durant toute la période de l’intervention.
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Chapitre III : Sécurité Industrielle
70
Chapitre III : Sécurité Industrielle
Toutes les interventions sur les installations ou équipements électriques sont exécutées par
des personnes habilitées après obtention d’une autorisation écrite par des personnes habilitées
supérieures suivant la nature de l’intervention et le type de l’équipement, un des trois
documents suivants est délivré ꞉
• Il est répétitif.
• Les risques liés à l’exécution du travail sont évalués minimes et contrôlables.
• Il est exécuté par des personnes qualifiées.
• L’intégrité de l’installation ou équipement n’est pas touchée, par conséquent ne
nécessite pas d’isolation mécanique ou électrique.
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Chapitre III : Sécurité Industrielle
Etape 3 : Evaluer les conséquences et la probabilité du risque associé à l’aide des matrices
concernées.
Etape 4 : Décrire les moyens de contrôles en fonction du niveau du risque.
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Chapitre III : Sécurité Industrielle
Trouvez comment un bon rapport de presque accident peut faire une grande différence
dans l’amélioration globale des performances sécuritaires, ce cours introduit les besoins en
rapports des presque accidents et explique comment de précieuses leçons peuvent être
acquises sans avoir besoin à attendre les accidents importants avant identifier les précautions
qui peuvent être prises pour prévenir leur réapparition
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Chapitre III : Sécurité Industrielle
a- L’ENVIRONNEMMENT
L’Algérie a promulgué une législation pour la protection des sols et des eaux de surface
contre la pollution provenant des effluents liquides et huileuses référer au Tableau suivant :
Référence Requièrent
Décret exécutif n°93-160 du 10 juillet 1993 Exige que les huiles usages doit être
contenus, traités et réutilisées, utilises
comme combustible, incinérés, exportés
pour traitement, stockes pour être éliminer
ou être utilises dans leur conditions présentes
Décret exécutif n°06-141 du 19 avril 2006 Définit les limites admissibles pour les
polluants dans les rejets liquides industriels.
Tableau III.1: Textes juridiques Algériens pour la gestion des déchets et rejets liquides
b- PROCÉDURE DE TRAITEMENT
L’objectif de cette installation (CPF) est d’éliminer le gaz, les sels et l’eau du pétrole
brut à des niveaux spécifiés et cela en la faisant passer par les différents appareils traitant ce
brut, afin de produire une huile stabilisée, de caractéristiques désirées et demandées par les
marchés pour l’exploration.
• La séparation d’huile.
• Dessalement d’huile.
• Stabilisation.
Puis le produit est envoyé vers le stockage avant d’être exporté par les pipelines.
L’eau huileuse générée au CPF, est drainés vers un bassin API, une portion d’huile récupérer
est réinjectée dans le procédé, alors qu’une portion d’eau est rejetée dans l’un des trois bassins
d’évaporation. A ce jour l’évaporation est naturelle, aucun des trois bassins d’évaporation
75
Chapitre III : Sécurité Industrielle
n’est pourvu de système de diffuseurs qui permettrait l’évaporation mécanique pour accélérer
l’évaporation en vue d’améliorer la capacité de rétention des bassins.
Le bassin API est sous dimensionné et ne peut pas supporter le volume d’eau huileuse générés
par les équipements du CPF. De plus le séparateur API n’est pas utilisé et maintenu
conformément aux instructions du constructeur.
Les volumes d’eau huileuses qui transitent par le bassin API ; ni même les volumes
d’huiles récupérés et retraités. De plus il est recommandé de ne plus ré-router tout autre
déchet que les eaux huileuses issus normalement du procédé vers le bassin API.
Par conséquent, le groupement Berkine déterminera les volumes journalier d’eau huileuse
pour permettra de traiter la demande fixée par les conditions opératoires du CPF. Dans ce cas
de figure le nouveau équipement sera ajoutés au planning des équipements critiques pour
l’environnement, afin de s’assurer qu’il sera vérifié, qu’il fonctionnera et sera maintenu de
manière régulière et sera exploiter selon les instructions opératoires du constructeur.
Les boues récupérées des procédés de séparations et des bassins d’évaporation seront
stockés dans un bassin en béton, pour prévenir tout dommage à l’homme ou à
l’environnement. Elle
sera traitée et rendu inerte par une compagnie qualifié et spécialisée dans élimination des
déchets qui sera engagé dans le cadre d’un contrat conformément aux procédures de GB en
vigueur.
76
Chapitre III : Sécurité Industrielle
CONCLUSION GENERALE
Durant Ces 24 mois de formation au sein de groupement berkine ont été très bénéfiques
et riches sur le plan professionnel, c’était le grand point tournant concernant notre carrière
professionnel et qui va avoir une grande influence sur la suite cela nous a permis de nous
développer plus sur la suite , et avec les conditions de stage ce qui était bon et excellentes j'ai
la possibilité de m'immerger dans le métier, de découvrir différentes facettes de la profession,
d'aborder de nouvelles thématiques, de nouvelles problématiques, d'appliquer la théorie à la
pratique dans le métier.
Enfin, je tiens à exprimer tous mon sincère merci à tous le personnel de la division E&P qui a
facilité notre mission de communication et d’intégration dans le groupe avec une
environnement agréable .
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Bibliographie
ELM-ASP-PR-MAN-0002-A
ELM-ASP-PR-MAN-0003-A
ELM-ASP-PR-MAN-0004-A
ELM-ASP-PR-MAN-0005-A
ELM-ASP-PR-MAN-0006-A
SCSSVSSV-HPU-IOM-R1
http://www.panatec.fr/debitmetres-ultrasons.php
http://www.clampon.com/wpcontent/uploads/2013/04/ClampOn_Particle_Monitor_Fransk_Oct09.pdf
https://www.gemeasurement.com/sites/gemc.dev/files/transport_pt878gc_portable_flowmeter_fra
ncais.pdf