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Département de Mécanique
Mémoire
PRESENTE EN VUE DE L’OBTENTION DU DIPLOME DE MASTER
Thème
Soutenu publiquement
Le: 14/06/2017
. Bennecib sofiane
Liste des figures
liste des tableaux
Introduction générale
I.1Historique………………………………………………………………………………..…….01
I.2 Situation géographique du complexe …………………………………………………………01
I.3 PRESENTATION DE L'UNITE TSS (TUBERIE SANS SOUDURE) …………………..…02
I.3.1 LACERIE ELECTRIQUE (ACE) ………………………………………………………….03
I.3.2 DIVISION LAT (laminoir à tubes) …………………………………………………………03
I.3.3 DIVISION PAT: (Parachèvement à tubes) …………………………………………………03
I.3.4 LOCALISATION DU SITE ET L’ENVITRENEMENT…………………………………..03
I.3.5 Les étapes de fabrication……………………………………………………………………04
I.3.6 Organigramme du process…………………………………………………………………..05
I.4 DESCRIPTION DES INSTALLATIONS DE LA TSS……………………………………..06
I.5 La TSS se compose de deux ateliers principaux « LAT » et « PAT » ………………………06
I.2.BUT ET DOMAINE D’APPLICATION D’APPLICATION……………………………….16
I.2.1 Préambule …………………………………………………………...…..............................16
I.2.2Procédure de maintenance (TSS)………………….……………………………...16
I.2.3But.........................................................................................................................................16
I.2.4Domaine d’application………………………………………..............................................16
I.3.Synoptique et Type de Maintenance ……………..………………………………...............17
I.3.1Maintenance Préventive…………………………………………………………………..18
I.3.3 Fréquence ET normes d’entretiens……………..………………………………………..19
I.3.4 Classification des installations et Gestion des risqué..…………………………………...19
I.3.5 Matrice Facteur et niveau de Classification……………………………………………..19
I.3.6 Déroulement de la Maintenance préventive ………………..………………………….20
I.3.7Maintenance Corrective…………………………………….…......................................20
I.3.8Maintenance corrective palliative ………………………….…………………………...20
I.3.9Maintenance corrective curative………..…..…………………………………………..20
I.4.Circulation du Bon de Travail …………………………………………………………...20
I.4.1Schéma Général de suivi des Modification…………………………………………….21
D: Disponibilité
: Taux de réparation
: Paramètre de position
: Paramètre d’échelle
: Paramètre de forme
Introduction générale
Introduction:
TSS située à la ville De ANNABA au nord est de l’Algérie étant la seule unité de fabrication
des tubes sans soudures en Algérie et en Maghreb. La production des tube à une importance
dans le domainne de transport des gaz et dans l’explortation du pétrole
Dans le premier chapiter on a présenté l’entreprise de TSS avec Les différentes étapes de la
production et plus particuliérement les services ayant relations directe avece la maintenance et
les installation.
Dans le second chapiter on a exposé une etude bibliographique sur la maintenance et son role
comme outil de production ainsi que les principales formules des different indicateurs relative
à la FMD.
Dans le quatrime chapitre on exploité l’historique des panes sur période de sept mois que nous
avons pris des donnée saisies dans excel on s’est basé sure le taux de panne pour calculer les
parameter FMD. L’objictife de cette étube est de réduire les arrêt par une organization plus
rationnelle de la function maintenance et une efficacité meilleur desintervention et ceci pour
étre à l’abri des défaillances surtout dans les periods ou la demande des clients est trés élevée
Chapiter I: présentation de l’entreprise et procédure de maintenance
Chapitre I
Presentation de
l’entreprise TSS-SIDER
haut fourneau de 120.000 tonnes de fonte, l’adjonction d’une cokerie, l’extension de la zone
produit plat à une capacité de 1.300.00 tonnes d’acier liquide et la création d’une
Filière produit long, d’une capacité de 540.000 tonnes suite à la construction d’une aciérie à
billettes.
Dès 1966, la SNS a participé à la création des centres de formation d’ouvriers techniciens et
agents de maîtrisés.
Centre de formation ouvrière (4 RSS).
Centre de formation professionnelle des adultes des (LAURIER ROSES).
Centre entreprise de formation de techniciens et agents de maîtrise (CITAM).
L’ensemble de ces activités est regroupé en 1978 dans un seul centre (CEFOS) crée à 2Km de
l’usine dans la localité de SIDI AMAR, pour la formation de 1200 ouvrier professionnels
contre maître et techniciens.
Four a plateau : Pour L’opération de réchauffage est nécessaire du fait, du refroidissement des
lingots dans la matrice de la presse à percer, pour cela un petit four à plateau tournant dans les 2
sens ; compte tenu qu’une seule pince assume l’opération d’enfournement er de défournement
des lingots.
Son rôle est d’élever la température des lingots de 1100°C à 1300°C.
Cette opération a pour but de diminuer et de régulariser l’épaisseur des parois du bloc creux et de
réduire par la même occasion son diamètre.
Le tube court qu’on obtient est appelé ébauche oblique
Laminoir pèlerins :
Après le laminoir oblique un dispositif de réparation distribue les ébauches soit au laminoir
pèlerin 14 ou au deux laminoir 8 qui réaliserons l’opération de laminage proprement dite.
Deux trains 8― et un train 14"(cage 14 pouce & 8)
Chaque laminoir est composé de trois parties : la cage, l’appareil de présentation et Son chariot
ainsi que le circuit des mandrins.
PARACHEVEMENT
Four a longeron :
C’est un four à réchauffage des tubes venants du laminoir pèlerin de longueur maximal 15m
L’enfournement des tubes est assuré par une ligne de rouleaux automoteurs ayant une inclinaison
de 25° pour assurer une rotation des tubes.
La cause d’enfournement des tubes est limitée par un butoir ; Un dispositif d’exploitation (Kick-
Off) formé des bras réfractaire et qui passent à travers des ouvertures dur la paroi du four, permet
le passage des tubes des rouleaux aux longerons fixés.
Lors de chaque passage des tubes d’un berceau au suivant, les tubes tournent sur eux-mêmes en
permettant d’obtenir commença un chauffage uniforme sur toute la surface
A la sortie des BARDONS, une nouvelle visite est effectuée, les tubes présentant encore des
défauts sont envoyés vers les tronçonneuses DURSCHAMIDT (à disque) qui recouperont
les parties mauvaise, et la mise en longueur sera effectuée.
Figure I.15: Tronçonneuse Bardons
L
’
A
T
E
L
I
E
R
D
E FINISSAGE
Contrôle qualité :
Les contrôles sont opérés afin de garantir la qualité du tube :
Contrôle des formes générales des tubes :
Contrôles du diamètre des tubes
Control générale des tubes
Control CND (non destructive) :
1)- Tub scope (Détection des défauts par la méthode électromagnétique)
2) — Magna poudre (contrôle visuel).
Zone de phosphatation :
Phosphatation des manchons : mettre une couche des phosphates de zinc
Huilages des protecteurs.
II.Introduction :
La maintenance industrielle, qui a pour but d’assurer le bon fonctionnement des outils de
production, est une fonction stratégique dans les entreprises. Intimement liée au continuel
développement technologique, à l’apparition de nouvelles méthodes et organisations, à la
nécessité de réduire les coûts de production, elle est en constante évolution. Elle n’a plus
aujourd’hui comme seul objectif de réparer les pannes mais aussi de prévoir et d’éviter les
dysfonctionnements.
Dans ce chapitre, nous allons tout d’abord rappeler quelques notions et généralités sur la
maintenance; définition, rôle, objectifs, et type de maintenance. Nous présenterons en suite une
étude théorique sur le concept FMD en ce basant sur les lois et les méthodes utilisées dans ce
domaine.
D’après la norme AFNOR X60-010, la maintenance est définie comme «l’ensemble des actions
permettant de maintenir ou de rétablir un bien dans un état spécifié ou en mesure d'assurer un
service déterminé ".
Maintenance corrective :
Maintenance exécutée après la détection d’une panne et destinée à remettre un bien dans un état
dans lequel il peut accomplir la fonction requise. Cette maintenance corrective peut être
décomposée encore: la maintenance palliative et la maintenance curative.
a. Maintenance palliative: l’action de dépannage permet de remettre provisoirement le
matériel à un niveau de performance acceptable mais inférieur au niveau optimal.
b. Maintenance curative: l’intervention qui suit la défaillance permet le rétablissement du
niveau de performance optimal du matériel. [2]
Maintenance préventive :
Les interventions de maintenance sont déclenchées avant les défaillances en fonction d’un
paramètre. On cherche alors à tendre vers un taux de défaillance nul en effectuant le maintien du
niveau de performance requis avant l’apparition du défaut. Elle se décompose en deux branches :
la maintenance systématique et la maintenance conditionnelle. [2]
Maintenance systématique :
Le paramètre déclencheur est le temps, que ce soit le temps réel (quel que soit le temps de
fonctionnement de la machine) ou le temps de marche. Les interventions sont déclenchées
suivant un échéancier de visites intervenant avant la défaillance supposée..
Maintenance conditionnelle :
Consiste à vérifier périodiquement l’état des pièces qui se dégradent et à n’intervenir que si
l’état de dégradation est suffisamment avancé pour compromettre la fiabilité du bien.
Elle nécessite des moyens de mesure ou de test permettant d’apprécier l’état de dégradation.
L’évolution des capteurs de mesure (par exemple, les capteurs de vibrations) et des dispositifs
d’analyse automatique (par exemple, l’analyse des huiles de graissage) associés aux télémesures
et aux ordinateurs rendent cette politique plus accessible.
Elle est très efficace, mais la gestion des ressources de maintenance est plus difficile et nécessite
souvent le recours à l’ordinateur.
- Les contrôles :
Ils correspondent à des vérifications de conformité par rapport à des données préétablies suivis
d’un jugement.
Le contrôle peut, comporter une activité d’information, inclure une décision, acceptation, rejet
ajournement, déboucher comme les visites sur des opérations de maintenance corrective.
Les opérations de surveillance (inspection, visite, contrôle) sont nécessaires pour maitriser
l’évolution de l’état réel du bien, effectuées de manière continue ou a des intervalles
prédéterminés ou non, calculés sur le temps ou le nombre d’unités d’usage.
- Les révisions :
Ensemble des actions d’examens, de contrôle des interventions effectuées en vue d’assurer le
bien contre toute défaillance majeure ou critique, pendant un temps ou pour un nombre d’unités
d’usage donné.
IL est d’usage de distinguer suivant l’étendue de cette opération les révisions partielles, des
révisions générales. Dans les deux cas, cette opération implique la dépose de différents sous-
ensembles. [2]
La loi normale
La loi log-normale
La loi binomiale
La loi exponentielle
La loi de WEIBULL :
C’est une loi continue à trois paramètres, donc d’un emploi très souple. En fonction de la valeur
de ses paramètres, elle peut s’ajuster à toutes sortes de résultats expérimentaux. Cette loi a été
retenue pour représenter la durée de vie des pièces
Densité de probabilité :
La densité de probabilité de l’instant de la défaillance T s’obtient en dérivant la fonction de
répartition F (t) :
𝐝𝐟 𝐭 𝐝𝐑(𝐭)
𝒇 𝒕 = =−
𝐝𝐭 𝐝𝐭
Fonction de répartitions :
C’est la probabilité pour que le dispositif soit en panne à l’instant ti
F t i PrT ti
Notons que ces deux fonctions sont complémentaires:
F t R t 1
La fonction de fiabilité: nous appelons R (t) la fonction de fiabilité, qui représente la
probabilité de fonctionnement sans défaillances pendant un temps (t), ou la probabilité de survie
jusqu’à un temps (t).
La probabilité d’avoir au moins une défaillance avant le temps (t), qui représente la probabilité
cumulative des défaillances, est appelé : « probabilité de défaillance ».
Taux de défaillance:
Prenons maintenant une pièce ayant servi pendant une durée t et encore survivante.
La probabilité qu’elle tombe en panne entre l’âge t qu’elle a déjà et l’âge T + d t est représentée
par la probabilité conditionnelle qu’elle tombe en panne entre T et T + d t, sachant qu’elle a
survécu jusqu’à T. D’après le théorème des probabilités conditionnelles cette probabilité est
égale à :
𝐟(𝐭)
On a donc: 𝝀(𝒕 )=
𝐑(𝐭)
La MTBF :
Le temps moyen jusqu’à défaillance (ou moyenne des temps de bon fonctionnement) est:
tempe de bon fonctionnement
𝑀𝑇𝐵𝐹 =
nombre d′ intervallesde tempe de bon fonctionnement
∞
𝑴𝑻𝑩𝑭 = 𝟎
𝑹 𝒕 𝒅𝒕
Loi de Weibull :
La loi de weibull est utilisée en fiabilité, en particulier dans le domaine de la mécanique.
Cette loi a l’avantage d’être très souple et de pouvoir s’ajuster à différents résultats
d’expérimentations.
La loi de Weibull est une loi continue à trois paramètres:
Densité de probabilité:
𝑡−𝛾 𝛽
β t−γ 𝛽−1 −( )
𝑓 𝑡 =η. .𝑒 𝜂
η
Fonction de répartition:
t−γ 𝛽
−( )
𝐹(𝑡) = 1 − 𝑒 η
Loi de fiabilité
𝑡−𝛾 𝛽
−( )
𝑅 𝑡 =1−𝐹 𝑡 =𝑒 𝜂
Taux de défaillance:
Application à la fiabilité :
Suivant les valeurs de β , le taux de défaillance est
Soit décroissant (β < 1),
Soit constant (β = 1),
Soit croissant (β > 1).
La distribution de Weibull permet donc de représenter les trois périodes de la vie d’un dispositif
(courbe de baignoire).
Le cas γ > 0 correspond à des dispositifs dont la probabilité de défaillance est infime jusqu’à un
certain âge γ.
Estimation des paramètres de la loi de weibull
Un des problèmes essentiel est l’estimation des paramètres :( β, ɳ, γ) de cette loi.
Ni Ri
𝐹(𝑡) = = ≈ F(t)
N N
IV.1.1 Si 20 < N < 50, On affecte un rang "Ni" à chaque défaillance (approximation des rangs
Moyens):
Ni
𝐹(𝑖) = ≈ F(t)
N+1
V.1.1 Si N < 20, On affecte un rang "Ni" à chaque défaillance (approximation des rangs médians):
Ni −0,3
𝐹(𝑖) = ≈ F(t)
N+0,4
II.2.2 La maintenabilité:
La maintenabilité est « l’aptitude d’un dispositif à être maintenu ou rétabli dans un état dans
lequel il peut accomplir sa fonction requise, lorsque la maintenance est accomplie dans des
Taux de reparation μ:
𝟏
𝛍=
𝐌𝐓𝐓𝐑
La probabilité de réparation d'un composant est principalement fonction du temps écoulé depuis
l'instant de défaillance. Il existe un certain délai t avant que le composant puisse être réparé. Ce
délai t comprend le temps de détection et le temps d’attente de l’équipe de réparation.
Amélioration de la maintenabilité :
L’amélioration de la maintenabilité passe par:
le développant des documents d’aide à l’intervention,
L’aptitude de la machine au démontage (modification, risquant de coûter chère).
L’accessibilité.
L’intrerchangeabilité et la standardisation.
La facilité de remplacement.
L’aide au diagnostic.
II.2.3 La disponibilité:
La disponibilité est « l’aptitude d’un bien, sous les aspects combinés de sa fiabilité,
maintenabilité et de l’organisation de la maintenance, à être en état d’accomplir une fonction
requise dans des conditions de temps déterminées ».
Pour qu’un équipement présente une bonne disponibilité, il doit:
avoir le moins possible d’arrêts de production,
Cette disponibilité est évaluée en prenant en compte les moyennes de bon fonctionnement et les
moyennes de réparation, ce qui donne
Disponibilité instantanée:
𝐌𝐓𝐁𝐅
𝐃𝐢 =
𝐌𝐓𝐁𝐅+𝐌𝐓𝐓𝐑
Pour un système avec l'hypothèse d'un taux de défaillance λ constante et d'un taux de
réparation μ constant, la disponibilité instantanée est:
μ λ
𝐷 𝑡 = + e−t(λ+μ)
𝛌+𝛍 λ+μ
Amélioration de la disponibilité:
L’allongement de la MTBF (action sur la fiabilité).
La réduction de la MTTR (action sur la maintenabilité).
Fiabilité.
Maintenabilité.
Logistique.
En général, on utilise les sigles d’origine américaine MTBF, MTTR et MUT, avec le risque de
mal se comprendre évoqué au début du paragraphe ; on peut proposer les expressions françaises
suivantes pour utiliser exactement les mêmes notions en levant les ambiguïtés :
TTR temps de réparation,
TBF temps de bon fonctionnement,
UT temps entre défaillances.
MAINTENABILITE M(t)
R(t) FIABILITE
probabilité de durée
Probabilité de bon
de réparation
fonctionnement
DISPONIBILITE D(t)
Probabilité d'assurer
un service rendu
Pour qu’un matériel soit disponible il faut s'assurer que sa fiabilité est optimum et qu'il est aussi
maintenable.
II.3. Conclusion:
La maintenance est une fonction essentielle de l'entreprise ; ses objectifs vont au delà de
remettre en état l’outil de travail, mais surtout d'anticiper des événements qui interviennent
dans un environnement d'incertitudes, et de contribuer à la performance globale du système de
production.
Chapitre III
BANC D'EPREUVE 500
TONNES
Sur le banc d’épreuve seront éprouvés les tubes tubing, casing et line pipe, les extrémités étant
filetées et manchonnées suivant norm A.P.I. 5A -5AC-5L-5B- en vigueur.
Diamètre mini : 114,3mm
Diamètre maxi : 473mm
Longueur mini : 4,800m
Longueur maxi : 15m
An l’intérieur d’un même lot les écarts maximaux de longueurs seront réduits par classement
préalable à 1800mm.
• L’opérateur du banc pourra effectuer de façon manuelle ou automatique le cycle des opérations
suivantes:
• Mise en place du tube dans l’axe du banc
Abaissement des bras
enregistreur plombé.
Le début de l’épreuve sera signalé par manomètre à contact et lampes de Signalisation. La durée
III.1.5Vidange ET ejection
- Tube à l'arrêt devant butée
- Chargement du tube dans l’axe de l’élévateur
- Elévation du tube côté tête fixe pour vidange
- Abaissement du tube
- Evacuation du tube par des levier’s latéraux vers CONVOY
III.1.6Table de lavage
- la table est en poutre en i fixé par 2 chapes au sol articula blé par un vérin
- Le degré d’inclinaison et de 2.5 °
- Les éjecteurs du tube sont commandés par un vérin
- les rouleaux de rotation sont commandes par un arbre entrainé par un moteur électrique
- lance pour le lavage pression 10 bars
III.1.7Fonction de la table
- les tubes seront stokes sur une grille d’attente, l’operateur effectue les opérations
- mise en place de tube dans le couloir de la table par les éjecteurs
- alignement de la table jusqu'à ce qu’il bute à l’extrémité de la table
- inclinaison de la table (2,5°)
- lavage du tube par la lance à une prissions de 10 bars
- abaissement de la table et alignement du tube
- éjection du tube par leviers latéraux vers le banc d’épreuve
III.1.8Tête fixe
- la tête fixe est monter sur une traverse fixé au bâti de la machine dans l’axe du banc
d’épreuve
III.1.9Multiplicateur de pression
III.1.10Tête mobile
- la poutre en forme de I placée dans l’axe du banc d’épreuve suffisant longue pour recevoir les
11 vérins de centrage répartis sur la longueur du tube le plus long
- cette poutre set articuler au moyen de biellettes relie au sol, la commande de la poutre est faite
par l’intermédiaire de 2vérins deo dynamique placés aux extrémités de la poutre
- la course de la poutre est réglable en fonction du diamètre du tube à éprouver par l’intermédiaire
du vérin réglable
- les chariots au nombre de 11 rouleront sur 2 rail places à l’intérieur des longerons
- Dans la partie centrale du chariot se trouve la tige de commande des mouvements de
chargement de clamage et d’éjection.
- cette tige est accrocher à la poutre et reçoit un mouvement de monté et baisse par
l’intermédiaire de la poutre
- les chariots de clamage peuvent se déplacer le long de la poutre en fonction de la longueur des
tubes a éprouver
- le clamage est assurer par plusieurs sériés de « V » (1jeu sur chaque chariot), ils me
nécessiteront pas de chargement, étant étudies pour couvrir toute la gamme des tubs à éprouver
- sur les chariots se trouvent aussi des rouleaux en « V » réglables suivant le diamètre du tube à
éprouve
- Ces rouleaux servent au centrage du tube dans l’axe du banc d’épreuve.
MACHINE :
Le temps des travaux
MEC HYD GRAI CST ELE INST REG LOG AUT
(10) (20) (40) (50) (60) (70) (75) (80) (90)
423,16 0 0 0,5 0 0 0 0 0
423,16
450
400
350
300
250
200
150
100
50 0 0 0,5 0 0 0 0 0
0
MEC HYD GRAI CST ELE INST REG LOG AUT
Intevention (h)
Preventif Travaux
Suite a Arret Sans arret Avec arret
systematique programmee
visite (h) annuel (h) de de
(h) (h)
production production
2,5 5,66
287
300
200
95
100 0 7,5 8,16
0
syst prog visite annuel Interv
Préventif systématique
0 0 0 0 0 0 0 0 0
1
0,8
0,6
0,4
0,2 0 0 0 0 0 0 0 0 0
0
MEC HYD GRAI CST ELE INST REGU LOG AUT
Travaux programmées
95 0 0 0 0 0 0 0 0
95
100
80
60
40
20 0 0 0 0 0 0 0 0
0
MEC HYD GRAI CST ELE INST REGU LOG AUT
Suite à visite
7 0 0 0,5 0 0 0 0 0
8 7
6
4
2 0,5
0 0 0 0 0 0 0
0
MEC HYD GRAI CST ELE INST REGU LOG AUT
287 0 0 0 0 0 0 0 0
Dépannage (Intervention)
D DA D DA D DA D DA D DA D DA D DA D DA D DA
9 25,2 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
34,16 0 0 0 0 0 0 0 0
Tableau.III.7 temps et le coût de Dépannage
34,16
35
30
25
20
15
10
5 0 0 0 0 0 0 0 0
0
MEC HYD GRAI CST ELE INST REGU LOG AUT
9 28/02/2015 28/02/2015 intervention sur la machine (Isolation tête du fin de course FC30 vanne
12:12:00 13:48:00 de remplissage)
19 02/11/2015 02/11/2015 Infiltration d’eau pluviale très importante qui à engendré des
09:20:00 15:50:00 défauts de masse sur les armoires SONELEC et logique (séchage
des armoires plus contrôle, changement un relais grille et mise en
service)
20 04/11/2015 04/11/2015 Arrêt sur machine suite au défaut de masse sur la logique
13:20:00 18:20:00 (perturbation cycle de fonctionnement)
Le calcul des heures de bon fonctionnement (TBF), qui résultent des différences entre deux
pannes successives.
Le calcul des heures techniques de réparation.
02 0,50 95
04/02/2015 10:00:00 04/02/2015 10:30:00
03 0,50 28
08/02/2015 09:00:00 08/02/2015 09:30:00
04 0,50 54
09/02/2015 12:30:00 09/02/2015 13:00:00
05 0,50 66
11/02/2015 18:11:00 11/02/2015 18:41:00
06 0,47 220
14/02/2015 11:46:00 14/02/2015 12:14:00
07 0,50 43
23/02/2015 15:30:00 23/02/2015 16:00:00
08 0,72 74
25/02/2015 10:17:00 25/02/2015 11:00:00
09 1,60 263
28/02/2015 12:12:00 28/02/2015 13:48:00
10 0,50 95
11/03/2015 11:02:00 11/03/2015 11:32:00
11 0,33 530
15/03/2015 15/03/2015 10:25:00
10:05:00
12 0,33 72
06/04/2015 06/04/2015 14:59:00
11:39:00
13 0,67 77
09/04/2015 09/04/2015 12:49:00
12:09:00
14 0,67 92
12/04/2015 12/04/2015 17:54:00
17:14:00
15 0,62 46
16/04/2015 16/04/2015 13:50:00
13:13:00
16 0,65 118
18/04/2015 18/04/2015 12:00:00
11:21:00
17 0,60 4439
23/04/2015 23/04/2015 10:19:00
09:43:00
18 1,50 192
25/10/2015 25/10/2015 10:40:00
09:10:00
19 6,50 52
02/11/2015 02/11/2015 15:50:00
09:20:00
20 5 26
04/11/2015 04/11/2015 18:20:00
13:20:00
21 7 167
05/11/2015 05/11/2015 22:10:00
15:10:00
22 0,5 258
12/11/2015 12/11/2015 14:45:00
14:15:00
23 5 194
23/11/2015 23/11/2015 13:30:00
08:30:00
24 7 122
01/12/2015 01/12/2015 17:50:00
10:50:00
25 2,83 601
06/12/2015 06/12/2015 15:35:00
12:45:00
26 2,50 115
31/12/2015 31/12/2015 15:45:00
13:15:00
27 0,50 149
05/01/2016 05/01/2016 08:30:00
08:00:00
28 1,67 77
11/01/2016 11/01/2016 14:10:00
12:30:00
29 1 359
14/01/2016 14/01/2016 18:45:00
17:45:00
tableau.IV.2:Historique des 48etho avec TTR et TBF
L’application numérique:
EX:
Le tableau suivant comporte les TBF 48ethod48 par ordre croissant, et les F(i) 48ethod48s par la
48ethod des ranges moyne F(i)=ni/n+1 (dans notre cas 20 < N <50) pour determine
graphiquement les parameter de WEIBULL (β,η,ϒ) .ET on trace la courbe de WeiBull :
1000,00
y = 1,669x0,643
R² = 0,668
100,00
F(ti)théori%
Série2
10,00
Puissance (F(ti)théori%)
1,00
1,00 10,00 100,00 1 000,00 10 000,00
4
3 y = 0,940x + 0,174
R² = 0,807
2
1
0
-3 -2 -1 -1 0 1 2 3 4
-2
-3
-4
Figure IV.2. : Papier de WeiBull. en logiciel statistica
Avant la validation de toutes les Lois de fiabilité, il est nécessaire de tester l'hypothèse pour
savoir si nous devrons accepter ou rejeter le modèle proposé par le test de K-S avec un seuil
de confiance de = 20%. Ce test consiste à calculer l'écart entre la fonction théorique
Fe(ti) et la fonction réelle F(t) et prendre le maximum en valeur absolue Dn.max.
Cette valeur est comparée avec Dn. Qui est donnée par la table de Kolmogorov Smirnov
(Voir annexe1). Si Dn.max. > Dn. on refuse l’hypothèse.
On montre que:
DNmax< DNα Ce qui veut dire que le modèle de WeiBull est accepté.
0 MTBF = 291, 46 h.
σ=B*
σ=1, 07769*284, 8
σ=306, 92
t−γ β
β t−γ β−1 −( )
𝑓 𝑡 = 𝑀𝑇𝐵𝐹 = η Xe η = 0, 00118616= 0, 12%
η
t−γ β
−( )
𝐹 𝑡 =1−e η = 0, 64011858 = 64%
R(MTBF) = 36 %
𝛃−𝟏
𝛃 𝐭−𝛄
𝛌(𝐭) =
𝛈 𝛈
f(ti)
0,004000
0,003500
0,003000
0,002500
0,002000
0,001500 f(ti)
0,001000
0,000500
0,000000
0,00 1 000,00 2 000,00 3 000,00 4 000,00 5 000,00
Analyse de la courbe:
D'après cette courbe on remarque que la fonction f(t) (densité de probabilité) diminue avec le
l’évalution de TBF.
b) Courbe fonction de répartition F(t) :
F(ti)
1,200
1,000
0,800
0,600
F(ti)
0,400
0,200
0,000
0,00 1 000,00 2 000,00 3 000,00 4 000,00 5 000,00
Analyse de la courbe:
La fonction de défaillance croissant en fonction de temps, et pour t=MTBF,
R(ti)
1,000
0,800
0,600
0,400 R(ti)
0,200
0,000
0,00 1 000,00 2 000,00 3 000,00 4 000,00 5 000,00
Analyse de la courbe:
D’aprés le graphe, la function fiabilité diminue en function du tempe avec une moyenne de
R(MTBF) = 36 %
λ(ti)
0,00390
0,00370
0,00350
0,00330
l(ti)
0,00310
0,00290
0,00270
0,00 1 000,00 2 000,00 3 000,00 4 000,00 5 000,00
Analyse de la courbe :
Le taux de défaillance est décroissant en fonction de temps. Cette diminution est considérée
normale c.-à-d.né pas rapide.
La function de MAINTENABILITE:
M (t) = 1 e t
M (TTR) = 1 e
M (TTR) = 0, 6321
M(t)
1,2
1
0,8
0,6
0,4 M(t)
0,2
0
0,00 1,00 2,00 3,00 4,00 5,00 6,00 7,00 8,00
𝐌𝐓𝐁𝐅 𝟐𝟗𝟏,𝟒𝟔
Di= = =0, 9935
𝐌𝐓𝐁𝐅+𝐌𝐓𝐓𝐑 𝟐𝟗𝟏,𝟒𝟔+𝟏,𝟖𝟗
b) Disponibilité instantané :
𝑫(𝒕) = + 𝒆− + 𝐭
+ +
1
= =
1
= 0, 00343095
MTBF 291,46
1 1
= = = 0, 52813695
MTTR 1,89
Rang
TBF D(t)
1 26,00 0,98746677
2 28,00 0,98349139
3 43,00 0,98850575
4 46,00 0,98924731
5 52,00 0,99047619
6 54,00 0,99082569
7 66,00 0,9924812
8 72,00 0,99310345
9 74,00 0,99328859
10 77,00 0,99354839
11 77,00 0,99226804
12 92,00 0,99330598
13 95,00 0,99320439
14 95,00 0,99299676
15 115,00 0,99420766
16 118,00 0,99393531
17 122,00 0,99186992
18 149,00 0,99168053
19 167,00 0,99109792
20 192,00 0,99173554
21 194,00 0,99146522
22 220,00 0,98876404
23 258,00 0,98915002
24 263,00 0,98749671
25 359,00 0,98626374
26 530,00 0,99065421
27 577,00 0,98886033
28 601,00 0,98848684
29 4 439,00 0,99842555
Tableau IV.7: Tableau de disponibilité instantané
IV.1.3.3.Courbe de la disponibilité :
D(t)
0,993545
0,993545
0,993545
0,993545
0,993545
0,993545 D(t)
0,993545
0,993545
0,993545
0,00 1 000,00 2 000,00 3 000,00 4 000,00 5 000,00
Conclusion:
Au terme de notre étude, nous pouvant constate et conclure qu'il est très important de connaitre la
méthode de calcule de tout les équipements des BEH avec une étude détaille des problèmes. Ainsi
de connaitre les comportements avec une étude détaille de la FMD qui permet de choisir une
meilleure politique de maintenance, ce qui donne la possibilité de réduire les temps d’arrêts,
l’indisponibilité
Paramètres de Weibull ont été calculés puis testés par le test de KOLMOGOROV
SMIRNOV (détermine l’écart entre la fonction théorique et la fonction réel).
La validation des Lois de fiabilité nous Donne que 36% de fiabilité (faible fiabilité).
la productivité de l'entreprise et la fiabilité des équipement sont liées directement aux nbre et dure
des panne répetitif deces équipements.
L'atelier appliqué différents types de contrôle, contrôle non destructive (Tub scope- Magna poudre)
et le contrôle destructive comme les essais (traction, résilience…) pour assurer une qualité
supérieure.
Et nous souhatons que cette étude continue pour améliorer la santé de machine, car FMD influe
directement sur la production et la productivité.
N Niveau significatif
0,2 0,15 0,1 0,05 0,01
1 0,900 0,925 0,950 0,975 0,995
2 0,684 0,726 0,776 0,842 0,929
3 0,565 0,597 0,642 0,708 0,828
4 0,494 0,525 0,564 0,624 0,733
5 0,446 0,474 0,510 0,565 0,669
6 0,410 0,436 0,470 0,521 0,618
7 0,381 0,405 0,438 0,486 0,577
8 0,358 0,381 0,411 0,457 0,543
9 0,339 0,360 0,388 0,432 0,514
10 0,322 0,342 0,368 0,410 0,490
11 0,307 0,326 0,352 0,391 0,468
12 0,295 0,313 0,338 0,375 0,450
13 0,284 0,302 0,325 0,361 0,433
14 0,274 0,292 0,314 0,349 0,418
15 0,266 0,283 0,304 0,338 0,404
16 0,252 0,274 0,295 0,328 0,392
17 0,250 0,266 0,286 0,318 0,381
18 0,244 0,259 0,278 0,309 0,371
19 0,237 0,252 0,272 0,301 0,363
20 0,231 0,246 0,264 0,294 0,356
25 0,210 0,220 0,240 0,270 0,320
30 0,190 0,200 0,220 0,240 0,290
35 0,180 0,190 0,210 0,230 0,270
1,07 1,22 0,188 1,36 1,63
>35 √N √N √N √N √N
Annexe
Annexe 02 :
β A B β A B β A B
0,2 120 1 901 1,5 0,9027 0,613 4 0,9064 0,254
0,25 24 199 1,55 0,8994 0,593 4,1 0,9077 0,249
0,3 92,625 50,08 1,6 0,8966 0,574 4,2 0,9086 0,244
0,35 5,291 19,98 1,65 0,8942 0,556 4,3 0,9102 0,239
0,4 33,234 10,44 1,7 0,8922 0,54 4,4 0,9146 0,235
0,45 24,686 6,46 1,75 0,8906 0,525 4,5 0,9125 0,23
0,5 2 4,47 1,8 0,8893 0,511 4,6 0,9137 0,226
0,55 17,024 3,35 1,85 0,8882 0,498 4,7 0,9149 0,222
0,6 1,546 2,65 1,9 0,8874 0,486 4,8 0,916 0,218
0,65 13,663 2,18 1,95 0,8867 0,474 4,9 0,9171 0,214
0,7 12,638 1,85 2 0,8862 0,463 5 0,9162 0,21
0,75 11,906 1,61 2,1 0,8857 0,443 5,1 0,9192 0,207
0,8 1,133 1,43 2,2 0,8856 0,425 5,2 0,9202 0,203
0,85 1,088 1,29 2,3 0,8859 0,409 5,3 0,9213 0,2
0,9 10,522 1,17 2,4 0,8865 0,393 5,4 0,9222 0,197
0,95 1,0234 1,08 2,5 0,8873 0,38 5,5 0,9232 0,194
1 1 1 2,6 0,8882 0,367 5,6 0,9241 0,191
1,05 0,9803 0,934 2,7 0,8893 0,355 5,7 0,9251 0,186
1,1 0,9649 0,878 2,8 0,8905 0,344 5,8 0,926 0,165
1,15 0,9517 0,83 2,9 0,8919 0,334 5,9 0,9269 0,183
1,2 0,9407 0,787 3 0,893 0,316 6 0,9277 0,18
1.25 0,99314 0,75 3,1 0,8943 0,325 6,1 0,9266 0,177
1,3 0,9236 0,716 3,2 0,8957 0,307 6,2 0,9294 0,175
1,35 0,917 0,667 3,3 0,897 0,299 6,3 0,9302 0,172
1,4 0,9114 0,66 3,4 0,8984 0,292 6,4 0,931 0,17
1,45 0,9067 0,635 3,5 0,8997 0,285 6,5 0,9316 0,168
1,5 0,9027 0,613 3,6 0,9011 0,278 6,6 0,9325 0,166
1,55 0,8994 0,593 3,7 0,9025 0,272 6,7 0,9335 0,163
1,6 0,8966 0,574 3,8 0,9083 0,266 6,8 0,934 0,161
1,65 0,8942 0,556 3,9 0,9051 0,26 6,9 0,9347 0,15
Bibliographie
I.2.1 Préambule :
I.2.3But :
Cette procédure a pour but de définir les Méthodes, Outils, Démarche et Opérations de la
maintenance Préventive et Corrective.
Besoin en
maintenance
Systématique Conditionnelle
Planning Visite
Diagnostique
Localisation
Exécution
Essai
Bon ?
Définition :
MAINTENANCE
SYSTEMATIQUE CONDITIONNELLE
* Arrêt Annuel
Normes constructeurs
L’analyse des risques
L’historique
L’expérience
La classification des installations est revue annuellement selon le logigramme et la matrice ci-
dessous. Les facteurs suivants sont notés de 1 à 3 par niveau d’importance :
a- Systématique :
Elle se fait à partir d’un calendrier contenant le total des semaines travaillées durant toute
l’année avec les différentes installations qui doivent être entretenues selon les normes
d’entretien. Selon ce calendrier un planning des travaux programmés systématiquement ayant
des périodicités différentes (J= journalières ; H= Hebdomadaires ; B= Bimensuelles ; T=
trimestrielles ; S= Semestrielles et A= Annuelles) sera établi par le TZ accompagnés de BT.
Ces documents seront en double (une copie pour l’exécution et une copie chez le TZ).
Lors de l’élaboration du busines Plan de production un volume horaire est réservé du temps
calendaire pour réaliser ce type de maintenance.
Après l’exécution des travaux et clôture des plannings par le service Technique, le planning et
les BT bien remplis seront remis au service Méthodes pour suivi.
Un rapport hebdomadaire sera établi par le TZ contenant les arrêts et les actions pour y
remédier et sera remis au MTD
b- Conditionnelle:
Ce sont les travaux dont la nécessité de leurs réalisations est apparue au cour des visites,
inspections et contrôles. Ces dernières ainsi que les travaux des calendriers prédictives sont
faites selon un calendrier établi par le TZ et son chef de cellule.
A l’issue de sa visite, le TZ selon le cas ; il établi pour les cas urgents un BT qui sera
transmis au service intervention ou émis la charge aux méthodes pour l’insérer dans les
plannings des travaux programmés. Un rapport de visite est rempli et transmis aux MTD avec
les BT pour suivi.
La maintenance corrective regroupe l'ensemble des activités réalisées après la défaillance d'un
bien, ou la dégradation de sa fonction, pour lui permettre d'accomplir une fonction requise, au
moins provisoirement. Elle peut être palliative ou curative :
Préparation
7
1
Ordonnance
OUI 2
NON
GEN Faut-il préparer
PDR ?
3
4
Exécution Intendance
9 NON OUI
PDR prête ?
OUI NON
Travaux PDR non
terminés ? conforme ou
n’existe pas
Attente PDR
Réunion quotidienne
Opportunité (EEM – EXP) Registre MTD
Réunions Rapport périodiques
Hebdomadaires (EEM – EXP)
Oui Réunions avec la
Direction
Méthodes
ETUDE Demande d’étude
Département
Spécification
Technique
Technique
S / Traitante Extérieur
Non
Service Méthodes
Dossier machine
Approbation Service intervention
Plans
Exploitation
Schémas
Service Techniques
Notice de calcul
Département
Liste du Matériel
Technique
HSE
Dossier d’étude
Service Méthodes Planning des travaux
Service Techniques Gamme opératoire
REALISATION Service intervention DT – DA – BSM –
Prestataires BT
S/ Traitance extérieur Demande de prestation
de service
Non
Service Méthodes
Conclu Essais Service intervention Dossier d’étude
ant Exploitation Spécification
S/ Traitance éventuels Technique
Structure d’étude Fiche d’essai
HSE
Bon