Livre EXAMENS Blancs 2024

Livre FMATHS
Examens ; Concours
➢ 10 examens blancs 2024 corrigés

➢ 20 Examens nationaux corrigés et adaptés
➢ 10 examens blancs pour la recherche
➢ Résumés de cours selon le nouveau programme
➢ Plus de 250 pages de préparation concours
➢
Plan du livre
Résumés de cours 3…………….13
Examens blancs corrigés 14…. …….134
Modèle 1 corrigé Modèle 2 corrigé
Examens blancs non corrigés 135…..….165
Modèle 1 Modèle 2
Modèle 3 Modèle 4
Modèle 5 Modèle 6
Modèle 7 Modèle 7
Modèle 9 Modèle 10
Examens nationaux corrigés 166……….275
2023 normale 2023 rattrapage
Examens nationaux non corrigés et adaptés 276
Sujet d’examen nationaux de 2008 à 2023
Résumés de cours 2024
Fiche 1: Etude des fonctions
Continuité et dérivation
Fiche 2 : Etude des fonctions
Branches infinies
Logarithme et exponentielle
Primitives et intégrales
Fiche 5 : Suites numériques
Fiche 6 :Nombres complexes
Fiche 7 :Nombres complexes
Fiche 8 : Géométrie dans l’espace
Fiche 9 : Probabilités
Préparation à l’examen Fiche 01 : Etude des fonctions Prof : FAYSSAL
nationale du baccalauréat Continuité -Dérivabilité Page : 01
1) Continuité d’une fonction : 3) T.V.I et Fonction réciproque

𝒂 ∈ 𝐃𝒇
➢ f est continue en a ⇔ 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = 𝒇(𝒂) ➢ Si 𝐟 est continue et strictement
𝒙→𝒂
monotone sur un intervalle [𝐚; 𝐛] et
➢ f est continue à droite de ⇔ 𝐥𝐢𝐦+ 𝒇(𝒙) = 𝒇(𝒂)
𝒙⟶𝐚 𝐟(𝐚) × 𝐟(𝐛) < 𝟎 Alors l’équation 𝐟(𝐱) = 𝟎
➢ f est continue à gauche a ⇔ 𝐥𝐢𝐦− 𝒇(𝒙) = 𝒇(𝒂)
𝐱⟶𝐚 admet une unique solution 𝛂 dans ]𝐚; 𝐛[
➢ La fonction 𝐟 est continue en 𝐚 ⇔ 𝐟 est ➢ Si 𝐟 une fonction continue et strictement
continue à droite de a et à gauche de 𝐚 monotone sur un intervalle 𝐈 ,
Continuité sur un intervalle I Alors la fonction 𝐟 admet une fonction
➢ Les polynômes sont continus sur ℝ réciproque , notée 𝐟 −𝟏 , définit sur 𝐉 = 𝐟(𝐈)
➢ Les fcts rationnelles sont continuées sur 𝐃𝒇 𝐟 −𝟏 (𝐱) = 𝐲 𝐟(𝐲) = 𝐱
Par la relation { ⇔{
➢ La somme ; le produit de deux fonctions 𝐱 ∈ 𝐟(𝐈) 𝐲∈𝐈
continues sur I est continue sur I *Les courbes de f et de 𝐟 sont symétriques
−𝟏
La fonction est continue sur l’intervalle 𝑰 par rapport la droite d'équation y=x
𝒖
➢
𝒗
Dérivabilité de 𝐟 −𝟏 en b avec 𝒃 = 𝒇(𝒂)
ssi u et v est continue sur I et 𝒗 ≠ 𝟎
Si f est dérivable en a et 𝒇′ (𝒂) ≠ 𝟎 alors 𝐟 −𝟏
➢ Si u est continue et positive sur I alors √𝒖 𝟏
est continue sur I est dérivable en b et (𝐟 −𝟏 )′ (𝒃) =
𝐟 ′ (𝒂)
2) Dérivabilité d’une fonction en 𝒂 ∈ 𝐃𝒇 4)Convexié 𝒅𝒆 (𝑪𝒇)et les Points d’inflexions
𝒇(𝒙)−𝒇(𝒂) ➢ 𝑺𝒊 𝒇′′ ≥ 𝟎 𝐬𝐮𝐫 𝑰 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 (𝑪𝒇) 𝒆𝒔𝒕 𝒄𝒐𝒏𝒗𝒆𝒙𝒆 ∪
➢ f dérivable en a ⇒ 𝐥𝐢𝐦 = 𝒇′ (𝒂)
𝒙→𝒂 𝒙−𝒂 ➢ 𝑺𝒊 𝒇′′ ≤ 𝟎 𝐬𝐮𝐫 𝑰 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 (𝑪𝒇) 𝒆𝒔𝒕 𝒄𝒐𝒏𝒄𝒂𝒗𝒆 ∩
Interprétation géométrique : ➢ 𝑺𝒊 𝒇′′ 𝒔′ 𝒂𝒏𝒖𝒍𝒍𝒆 𝒆𝒕 𝒄𝒉𝒂𝒏𝒈𝒆 𝒍𝒆 𝒔𝒊𝒈𝒏𝒆 𝒆𝒏 𝒂
(𝑪𝒇) admet une tangente au point 𝑨(𝒂 ; 𝒇(𝒂)) 𝒂𝒍𝒐𝒓𝒔 𝑨(𝒂; 𝒇(𝒂)) 𝒆𝒔𝒕 𝒖𝒏 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕 𝒅′ 𝒊𝒏𝒇𝒍𝒆𝒙𝒊𝒐𝒏
d’équation (𝑻): 𝒚 = 𝒇′(𝒂)(𝒙 − 𝒂) + 𝒇(𝒂) 5) POSITION RELATIVE de (𝑪𝒇) et (∆)
𝒇(𝒙)−𝒇(𝒂) 𝑷𝒐𝒖𝒓 é𝒕𝒖𝒅𝒊𝒆𝒓 𝒍𝒂 𝒑𝒐𝒔𝒊𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒓𝒆𝒍𝒂𝒕𝒊𝒗𝒆 𝒅𝒆 (𝑪𝒇)
➢ 𝐥𝐢𝐦+ = +∞ ⇒ f n’est pas dérivable en a
𝒙→𝒂 𝒙−𝒂
𝒆𝒔𝒕 𝒍𝒂 𝒅𝒓𝒐𝒊𝒕𝒆 (∆) 𝒅’é𝒒𝒖𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒚 = 𝒂𝒙 + 𝒃
Interprétation géométrique :
𝑶𝒏 é𝒕𝒖𝒅𝒊𝒆 𝒍𝒆 𝒔𝒊𝒈𝒏𝒆 𝒅𝒆 𝒇(𝒙) − (𝒂𝒙 + 𝒃)
(𝑪𝒇) admet une demi tangente verticale au
➢ 𝑺𝒊 𝒇(𝒙) − (𝒂𝒙 + 𝒃) ≥ 𝟎 𝒂𝒍𝒐𝒓𝒔 𝒍𝒂 𝒄𝒐𝒖𝒓𝒃𝒆
point 𝑨(𝒂 ; 𝒇(𝒂)) dirigée vers le haut (𝑪𝒇) 𝒆𝒔𝒕 𝒂𝒖 𝒅𝒆𝒔𝒔𝒖𝒔 𝒅𝒆 (∆)
Fonctions dérivées des fonctions usuelles ➢ 𝑺𝒊 𝒇(𝒙) − (𝒂𝒙 + 𝒃) ≤ 𝟎 𝒂𝒍𝒐𝒓𝒔 𝒍𝒂 𝒄𝒐𝒖𝒓𝒃𝒆
➢ Les polynômes sont dérivables sur ℝ et : (𝑪𝒇) 𝒆𝒔𝒕 𝒂𝒖 𝒅𝒆𝒔𝒔𝒐𝒖𝒔 𝒅𝒆 (∆)
(𝒂𝒙 + 𝒃)′ = 𝒂 ; (𝒂 𝒙𝒏 )′ = 𝒂 𝒏𝒙𝒏−𝟏 6) Les éléments de symétrie 𝒅𝒆 (𝑪𝒇)
➢ Si u dérivable alors ( 𝒖𝒏 )′ = 𝒏𝒖′𝒖𝒏−𝟏 ➢ La droite d’équation (∆) : 𝒙 = 𝒂 est un
′ ′ ′
𝒂 −𝒂
( ) = 𝟐; 𝒙≠𝟎 ; ( ) = 𝟐
𝒂 −𝒂 𝒖
𝒖≠𝟎 axe de symétrie de (𝑪𝒇) si pour tout 𝒙 ∈ 𝑫𝒇
𝐱 𝒙 𝒖 𝒖
′ 𝟏 ′ 𝒖′ (𝟐𝒂 − 𝒙) ∈ 𝑫𝒇 𝒆𝒕 𝒇(𝟐𝒂 − 𝒙) = 𝒇(𝒙)
(√𝒙) = ; 𝒙 > 𝟎 ; (√𝒖) = ;𝒖>𝟎
𝟐√𝒙 𝟐√𝒖 ➢ La fonction f est paire ssi ∀𝒙 ∈ 𝑫𝒇 ∶
➢ u et v deux fonctions dérivables sur I alors
(−𝒙) ∈ 𝑫𝒇 𝒆𝒕 𝒇(−𝒙) = 𝒇(𝒙)
(𝒖 + 𝒗 )′ = 𝒖′ + 𝒗′ ; (𝒂𝒖 )′ = 𝒂𝒖′
𝒖 ′ 𝒖′ 𝒗−𝒖 𝒗′ (Oy) est un axe de symétrie de (𝑪𝒇)
(𝒖𝒗 )′ = 𝒖′ 𝒗 + 𝒖𝒗′ ; ( ) = ; 𝒗 ≠ 𝟎 ➢ Le point 𝑨(𝒂 ; 𝒃) est centre de symétrie
𝐯 (𝐯)𝟐
➢ Les fonction sin ; cos sont dérivables sur ℝ de (𝑪𝒇) ssi pour tout 𝒙 ∈ 𝑫𝒇 ∶
(𝒔𝒊𝒏 𝒙)′ = 𝒄𝒐𝒔 𝒙 ; (𝒄𝒐𝒔(𝒙))′ = −𝒔𝒊𝒏(𝒙) (𝟐𝒂 − 𝒙) ∈ 𝑫𝒇 𝒆𝒕 𝒇(𝟐𝒂 − 𝒙) + 𝒇(𝒙) = 𝟐𝒃
′
➢ (𝒕𝒂𝒏 𝒙) = 𝟏 + 𝒕𝒂𝒏 𝒙 ; (𝒇(𝑼)) = 𝑼 𝒇 (𝑼) ➢ La fonction est impaire ssi ∀𝒙 ∈ 𝑫𝒇 ∶
′ 𝟐 ′ ′
Lien entre la dérivabilité et la continuité (−𝒙) ∈ 𝑫𝒇 𝒆𝒕 𝒇(−𝒙) = −𝒇(𝒙)

f dérivable sur I ⇒ f est continue sur I Le point 𝑶 est centre de symétrie de (𝑪𝒇)
Fiche 2 : ETUDE DES FONCTIONS BRANCHES INFINIE Page 02
La limite Interprétation géométrique Schématisation du résultat
Alors la droite (D)
Si 𝒍𝒊𝒎 𝒇(𝒙) = ∞ d’équation 𝒙 = 𝒂 est
𝒙→𝒂
asymptote verticale à
(𝑪𝒇 )
Alors la droite (D) : 𝒚 = 𝑳

Si 𝒍𝒊𝒎 𝒇(𝒙) = 𝑳 est asymptote horizontale
𝒙→+∞
à (𝑪𝒇 ) voisinage de +∞
SI : Alors droite(∆): 𝒚 = 𝒂𝒙 + 𝒃
𝒍𝒊𝒎 𝒇(𝒙) − (𝒂𝒙 + 𝒃) =0 est asymptote oblique à
𝒙→+∞
(𝑪𝒇 ) voisinage de +∞
𝒇(𝒙)
Si 𝒍𝒊𝒎 𝒇(𝒙) = ∞ , On calcule 𝒍𝒊𝒎
𝒙→+∞ 𝒙→+∞ 𝒙
Alors (𝑪𝒇 )admet une

branche parabolique de
𝒇(𝒙)
Si 𝒍𝒊𝒎 =𝟎 Direction la droite (𝑶𝒙 )
𝒙→+∞ 𝒙
Au voisinage de +∞
Alors (𝑪𝒇 )admet une

𝒇(𝒙)
Si 𝒍𝒊𝒎 =∞ branche parabolique de
𝒙→+∞ 𝒙
Direction (𝑶𝒚 ) Au
voisinage de +∞
𝒇(𝒙)
Si 𝒍𝒊𝒎 = 𝒂 , (𝒂𝒗𝒆𝒄 𝒂 ≠ 𝟎) On calcule 𝒍𝒊𝒎 𝒇(𝒙) − 𝒂𝒙
𝒙→+∞ 𝒙 𝒙→+∞
Si : Alors (𝑪𝒇 )admet une

branche parabolique de
𝒍𝒊𝒎 𝒇(𝒙) − 𝒂𝒙 = ∞
𝒙→+∞
direction la droite
d’équation(∆): 𝒚 = 𝒂𝒙
au voisinage de +∞
Si : Alors la droite d’équation
𝒍𝒊𝒎 𝒇(𝒙) − 𝒂𝒙 = 𝒃 (∆): 𝒚 = 𝒂𝒙 + 𝒃 est
𝒙→+∞
asymptote oblique à (𝑪𝒇 )
voisinage de +∞
nationale du baccalauréat Logarithme-exponentielle Page : 03
A) 1)Fonction logarithme népérien 6) Dérivée de la fonction ln(U) avec 𝐔 ≠ 𝟎
➢ La primitive de 𝒙 ⟼
𝟏
sur ]𝟎, +∞[ qui Si U est dérivable sur I alors ln(U) est
𝒙 𝑼′ (𝒙)
s’annule en 1 est appelée fonction dérivable sur I et on a ; 𝐥𝐧′(|𝐔(𝐱)|) =
𝑼(𝒙)
logarithme népérien on la note par ln Primitives
➢ La fonction ln est définit et dérivable sur 𝑼′ (𝒙)
Les primitives de la fonction 𝒙 → sur 𝑰
l’intervalle ]𝟎, +∞[ et 𝒍𝒏(𝟏) = 𝟎 𝑼(𝒙)
𝟏 sont les fonctions 𝒙 → 𝐥𝐧(|𝑼(𝒙)|) + 𝒄 ; 𝒄 ∈ ℝ
➢ Pour tout 𝒙 de ]𝟎, +∞[ : 𝒍𝒏′ (𝒙) =
𝒙 B)1) Fonction exponentielle
➢ On a ; 𝐋𝐧(𝒆) = 𝟏 avec le nombre e est un
➢ La fonction réciproque de la fonction
nombre irrationnel ; 𝒆 ≅ 𝟐, 𝟕
ln est appelé fct exponentielle, elle est
2) Propriétés algébriques le la fonction ln
définie et dérivable Sur ℝ
➢ 𝐥𝐧(𝒙 × 𝒚) = 𝐥𝐧(𝒙) + 𝐥𝐧(𝒚) ; 𝒙; 𝒚 ∈]𝟎, +∞[
𝒙 𝟏 ➢ Pour tout 𝒙 dans ℝ : 𝐞𝐱𝐩(𝐱) = 𝐞 𝐱
➢ 𝐥𝐧 ( ) = 𝐥𝐧(𝒙) − 𝐥𝐧(𝒚) ; 𝐥𝐧 ( ) = − 𝐥𝐧(𝒙)
𝒚 𝒙 ➢ Pour tout 𝒙 de ℝ: 𝐞 𝐱 > 𝟎 et 𝐞𝟎 = 𝟏
➢ 𝐥𝐧(𝒙 𝒓)
= 𝒓 𝒍𝒏(𝒙) ;𝒓 ∈ ℚ ➢ Pour tout 𝒙 de ℝ ∶ (𝐞𝐱 )′ = 𝐞 𝐱
3)Equations et inéquations ➢ Si U est dérivable sur I alors
➢ 𝐥𝐧(𝒙) = 𝐥𝐧 (𝒚) ⇔ 𝒙 = 𝒚 ; 𝒙; 𝒚 ∈]𝟎, +∞[ Pour tout 𝒙 de 𝑰 ∶ (𝐞𝐔(𝐱) ) = 𝐔′(𝐱)𝐞𝑼(𝒙)
′
➢ 𝐥𝐧(𝒙) < 𝐥𝐧(𝒚) ⇔ 𝒙 < 𝒚

2) Propriétés algébriques le la fct exp
➢ 𝐋𝐧(𝒙) = 𝒂 ⇔ 𝒙 = 𝒆𝒂 avec 𝒂 ∈ ℝ 𝟏
4) Signe de la fonction ln sur]𝟎, +∞[ ➢ 𝐞 𝐱+𝐲 = 𝐞𝒙 × 𝐞𝒚 ; 𝐞𝐱 ≠ 𝟎 ; 𝐞−𝐱 =
𝐞𝐱
➢ 𝐥𝐧(𝒙) > 𝟎 ⇔ 𝒙 > 𝟏 𝐞𝐱
➢ 𝐞 𝐱−𝐲 = et (𝐞𝐱 )𝒓 = 𝐞𝐫𝐱 ;𝒓∈ℚ
𝐞𝒚
➢ 𝐥𝐧(𝒙) < 𝟎 ⇔ 𝟎 < 𝒙 < 𝟏
3) Equations et inéquations
➢ 𝐥𝐧(𝒙) = 𝟎 ⇔ 𝒙 = 𝟏
➢ 𝐞 = 𝐞𝒚 ⇔ 𝒙 = 𝒚 ; 𝐞 𝐱 < 𝐞𝒚 ⇔ 𝒙 < 𝒚
𝐱
Conclusion : (le tableau de signe de ln )
➢ 𝐋𝐧(𝐞 𝐱 ) = 𝒙 ; 𝐞𝒍𝒏(𝒂) = 𝒂 ; avec 𝒂 > 𝟎
x 0 1 +∞
➢ 𝐞 𝐱 = 𝒂 ⇔ 𝒙 = 𝒍𝒏(𝒂) ; avec 𝒂 > 𝟎
ln(x) − 0 +
4) Limites de la fonction exp
5) Limites de la fonction ln 𝟎 ∞
➢ 𝑭𝑰:
𝟎
;
∞
; 𝟎×∞ ; +∞ − (+∞)
➢ 𝑭𝑰: ; ; 𝟎×∞ ; +∞ − (+∞)
𝟎 ∞
𝟎 ∞
➢ 𝐥𝐢𝐦+ 𝐥𝐧(𝒙) = −∞ ; 𝐥𝐢𝐦 𝐥𝐧(𝒙) = +∞ ➢ 𝐥𝐢𝐦 𝐞 𝐱 = 𝟎 +
; 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 = +∞
𝒙→−∞ 𝒙→+∞
𝒙→𝟎 𝒙→+∞
𝐞𝐱
➢ 𝐥𝐢𝐦+ 𝐱 𝐥𝐧(𝒙) = 𝟎 −
; 𝐥𝐢𝐦
𝐥𝐧(𝐱)
=𝟎 + ➢ 𝐥𝐢𝐦 𝒙 𝐞 𝐱 = 𝟎− ; 𝐥𝐢𝐦 = +∞
𝒙→𝟎 𝒙→+∞ 𝐱 𝒙→−∞ 𝒙→+∞ 𝐱
𝐞𝐱
➢ 𝐥𝐢𝐦+ 𝐱 𝒓 𝐥𝐧(𝒙) = 𝟎 ; 𝐥𝐢𝐦
𝐥𝐧 (𝐱)
=𝟎 ➢ 𝐥𝐢𝐦 𝐱 𝒓 𝐞 𝐱 = 𝟎 ; 𝐥𝐢𝐦 = +∞
𝒙→𝟎 𝒙→+∞ 𝐱 𝒓 𝒙→−∞ 𝒙→+∞ 𝐱 𝒓
𝒍𝒏(𝒙) 𝒍𝒏(𝒙+𝟏) 𝐞𝐱 −𝟏
➢ 𝐥𝐢𝐦 =𝟏 ; 𝐥𝐢𝐦 =𝟏 ➢ 𝐥𝐢𝐦 =𝟏
𝒙→𝟏 𝒙−𝟏 𝒙→𝟎 𝒙 𝒙→𝟎 𝒙
Exemple de méthode de changement de 5) Primitives
variable pour calcul des limites ➢ Les primitives de la fonction
𝐥𝐧(𝐱)
Calculons la limite 𝐥𝐢𝐦 𝒙 → 𝐔′(𝐱)𝐞𝑼(𝒙) sur 𝑰 sont les
𝒙→+∞ √𝐱
On pose 𝒕 = √𝐱 donc 𝒕𝟐 = 𝐱 fonctions 𝒙 → 𝐞𝑼(𝒙) + 𝒄 ; 𝒄 ∈ ℝ
Et on a 𝒙 → +∞ donc 𝒕 → +∞ ➢ Soit 𝒂 un réel non nul : Les primitives
𝐥𝐧(𝐱) 𝐥𝐧(𝒕𝟐 ) 𝟐 𝐥𝐧(𝒕) de la fonction 𝒙 → 𝐞𝒂𝒙 sur 𝑰 sont les
𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦 =𝟐×𝟎=𝟎 𝟏
𝒙→+∞ √𝐱 𝐭 𝐭
𝒕→+∞
𝐥𝐧(𝒕)
𝒕→+∞
fonctions 𝒙 → 𝐞𝒂𝒙 + 𝒄 ; 𝒄 ∈ ℝ
𝒂
( car 𝐥𝐢𝐦 =𝟎)
𝒕→+∞ 𝐭
nationale du baccalauréat Primitives-Intégrales Page : 04
1) Définition d’une Primitive d’une fonction ➢ L’intégrale et l’ordre :

On dit que la fonction F est une primitive de f Si ∀𝒙 ∈ [𝒂; 𝒃]; 𝒇(𝐱) > 0alors ∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 > 0
𝒃
ssi F est dérivable sur I et : 𝒃 𝒃

Si f(𝐱) > 𝑔(𝑥)alors∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 > ∫𝒂 𝐠(𝐱) 𝐝𝐱
∀𝒙 ∈ 𝑰; 𝑭′ (𝒙) = 𝒇(𝒙)
𝒃 𝒃
Primitive des fonctions usuelles ; 𝒓 ∈ ℚ/{−𝟏} ➢ |∫𝒂 𝐠(𝐱) 𝐝𝐱| ≤ ∫𝒂 |𝐠(𝐱)| 𝐝𝐱
𝒙𝟐
➢ ∫ 𝒌 = 𝒌𝒙 ; ∫𝒙 = 4) Intégration par parties
𝟐
𝒙𝒓+𝟏 𝑼(𝒙)𝒓+𝟏
➢ ∫ 𝒙𝒓 = ; ∫ 𝑼′(𝒙) × 𝑼(𝒙)𝒓 =
𝒓+𝟏 𝒓+𝟏
𝒂 𝒂 𝒂 𝒂
➢ ∫ 𝟐=− ; ∫ 𝒏=−
𝒙 𝒙 𝒙 (𝒏−𝟏)𝒙𝒏−𝟏
𝟏 𝑼′ (𝒙)
➢ ∫ = √𝒙 ; ∫ = √𝑼(𝒙)
𝟐 √ 𝒙 𝟐√𝑼(𝒙)
𝒃 𝒃
➢ ∫ 𝐞 = 𝐞𝒙 ; ∫ 𝐔′(𝐱)𝐞𝑼(𝒙) = 𝐞𝑼(𝒙)
𝒙
𝟏
∫ 𝒖 𝒗′ 𝐝𝐱 = [𝒖 𝒗]𝒃𝒂 − ∫ 𝒖′ 𝒗 𝐝𝐱
➢ ∫ 𝐞𝒂𝒙 = 𝐞𝒂𝒙 𝒂 𝒂
𝒂
𝒂 𝑼′ (𝒙)
5) Aire d’un domaine plan
➢ ∫ = 𝒂 𝐥𝐧(|𝒙|) ; ∫ = 𝐥𝐧(|𝑼(𝒙)|) L’aire du domaine
𝒙 𝑼(𝒙)
➢ ∫
𝒌 𝒌
= 𝐥𝐧(|𝒂𝒙 + 𝒃|) délimité par la
𝒂𝒙+𝒃 𝒂
courbe (𝑪𝒇 ) et l’axe
➢ ∫ 𝒄𝒐𝒔(𝒙) = 𝒔𝒊𝒏(𝒙)
des abscisses et
➢ ∫ 𝒔𝒊𝒏(𝒙) = −𝒄𝒐𝒔(𝒙)
𝟏 les droites d’équations 𝒙 = 𝒂 𝒆𝒕 𝒙 = 𝒃
➢ ∫ 𝒄𝒐𝒔(𝒂𝒙 + 𝒃) = 𝒔𝒊𝒏(𝒂𝒙 + 𝒃) 𝒃
𝒂
𝟏
est : 𝑨(𝒇) = (∫𝒂 |𝒇(𝐱)| 𝐝𝐱) × 𝒖. 𝒂
➢ ∫ 𝒔𝒊𝒏(𝒂𝒙 + 𝒃) = − 𝒄𝒐𝒔(𝒂𝒙 + 𝒃)
𝒂 Avec u. a est l’unité d’aire 1𝒖. 𝒂 = ‖𝒊⃗‖ × ‖𝒊⃗‖
2) Définition d’intégrale d’une fonction 𝑺𝒊: 𝒇 > 0 sur[𝒂 ; 𝒃] alors :
Soit F une primitive de f sur [𝒂 ; 𝒃] 𝒃
L’intégrale de la fonction f de a à b est le 𝑨(𝒇) = (∫ 𝒇(𝐱) 𝐝𝐱) 𝒖. 𝒂
𝒃 𝒂
nombre réel noté par ∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 tel que : 𝒔𝒊 ∶ 𝒇 < 𝟎 sur[𝒂 ; 𝒃] alors :
𝒃 𝒃
∫ 𝒇(𝒙) 𝐝𝐱 = [𝐅(𝐱)]𝒃𝒂 = 𝑭(𝒃) − 𝑭(𝒂) 𝑨(𝒇) = (∫ − 𝒇(𝐱) 𝐝𝐱) 𝒖. 𝒂
𝒂 𝒂
Remarque : Si 𝒇 > 𝟎 sur [𝒂 ; 𝒄]et 𝒇 < 𝟎 sur [𝒄 ; 𝒃] alors :
𝒃 𝒃 𝒃 𝒄 𝒃
➢ ∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 = ∫𝒂 𝐟(𝐭) 𝐝𝐭 = ∫𝒂 𝐟(𝐲) 𝐝𝐲
𝑨 = ∫ 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 + ∫ −𝒇(𝐱) 𝐝𝐱
𝒃 𝐚
➢ ∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 = − ∫𝒃 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 𝒂 𝒄
𝒂 L’aire du domaine délimité par (𝑪𝒇 ) et (𝑪𝒈 )
➢ ∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 = 𝟎
et les droites : 𝒙 = 𝒂 𝒆𝒕 𝒙 = 𝒃
𝒃
➢ ∫𝒂 𝒌 𝐝𝐱 = [𝐤𝐱]𝒃𝒂 = 𝒃 − 𝒂
3) Propriétés d’intégrale :
➢ Linéarité de l’intégrale
𝒃 𝒃 𝒃
∫𝒂 𝐟(𝐱) + 𝐠(𝐱) 𝐝𝐱 = ∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 + ∫𝒂 𝐠(𝐱) 𝐝𝐱
𝒃 𝒃
∫𝒂 𝐤 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 = 𝐤 ∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 ; avec 𝒌 ∈ ℝ
𝒃
➢ Relation de CHELS
𝒃 𝐜 𝒃 𝑨 = (∫ |𝐟(𝐱) − 𝐠(𝐱)| 𝐝𝐱) 𝒖. 𝒂
∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 = ∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 + ∫𝒄 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 𝒂
Préparation à l’examen Fiche 05 : Prof : FAYSSAL
nationale du baccalauréat Suite numérique Page : 05
0) Raisonnement par récurrence 6)Suite géométrique - arithmétique

Soit 𝒏𝟎 un entier fixé et n un entier naturel (𝑼𝒏 )𝒏∈𝑰𝑵 une suite de premier terme 𝑼𝟎 et p
Pour montrer la proposition ∀𝒏 ≥ 𝒏𝟎 ∶ P(n) un entier tel que 𝟎 ≤ 𝒑 ≤ 𝒏
On suit le principe de récurrence suivant : (𝑼𝒏 ) géométrique (𝑼𝒏 ) arithmétique
• Pour n= n0 on vérifie que P(n) est vraie , Définition : Définition :
• Soit n un entier fixé tel que 𝒏 ≥ 𝒏𝟎 𝑼𝒏+𝟏 = 𝒒 𝑼𝒏 𝑼𝒏+𝟏 − 𝑼𝒏 = 𝒓
On suppose que 𝑷(𝒏) est vraie 𝑼𝒏 en fonction de n 𝐔𝐧 en fonction de n
Et on montre que 𝑷(𝒏 + 𝟏) est vraie 𝑼𝒏 = 𝑼𝒑 × 𝒒𝒏−𝒑 𝑼𝒏 = 𝑼𝒑 + (𝒏 − 𝒑)𝒓
• Alors ∀𝒏 ≥ 𝒏𝟎 ∶ P(n) devient vraie Cas particulier : Cas particulier :
1) Suite croissante ; décroissante 𝑼𝒏 = 𝑼𝟎 × 𝒒 𝒏 𝑼𝒏 = 𝑼𝟎 + 𝒏𝒓
(𝑼𝒏 )𝒏∈𝑰𝑵 une suite de premier terme 𝑼𝟎 Somme des termes Somme des termes
➢ 𝑼𝒏+𝟏 − 𝑼𝒏 > 𝟎 ⇒ (𝑼𝒏 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒄𝒐𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆 𝑺𝒏 = 𝑼𝒑 + ⋯ + 𝑼𝒏 𝑺𝒏 = 𝑼𝒑 + ⋯ + 𝑼𝒏
➢ 𝑼𝒏+𝟏 − 𝑼𝒏 < 𝟎 ⇒ (𝑼𝒏 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒅é𝒄𝒐𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆 𝟏 − 𝒒𝒏−𝒑+𝟏 (𝒏 − 𝒑 + 𝟏)(𝑼𝒑 + 𝑼𝒏 )
= 𝑼𝒑 =
𝟏−𝒒 𝟐
➢ 𝑼𝒏+𝟏 − 𝑼𝒏 = 𝟎 ⇒ (𝑼𝒏 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒕𝒂𝒏𝒕𝒆 Cas particulier :
Cas particulier :
Résultat 𝑺𝒏 = 𝑼𝟎 + ⋯ + 𝑼𝒏 𝑺𝒏 = 𝑼𝟎 + ⋯ + 𝑼𝒏
(𝑼𝒏 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒄𝒐𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆 alors (∀𝒏 ∈ ℕ); 𝑼𝒏 ≥ 𝑼𝟎 (𝒏 + 𝟏)(𝑼𝟎 + 𝑼𝒏 )
𝟏 − 𝒒𝒏+𝟏 =
(𝑼𝒏 ) est décroissante alors∀𝒏 ∈ ℕ; 𝑼𝒏 ≤ 𝑼𝟎 = 𝑼𝟎 𝟐
𝟏−𝒒
2)Suite majorée ; minorée ; bornée
7) Limite d’une suite et l’ordre
➢ 𝑼𝒏 > 𝒂 ⇒ (𝑼𝒏 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒎𝒊𝒏𝒐𝒓é𝒆 𝒑𝒂𝒓 𝒂 𝑽𝒏 < 𝑼𝒏
➢ 𝑼𝒏 < 𝒃 ⇒ (𝑼𝒏 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒎𝒂𝒋𝒐𝒓é𝒆 𝒑𝒂𝒓 𝒃 • { 𝐥𝐢𝐦 𝑽 = +∞ ⇒ 𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏 = +∞
𝒏 𝒏→+∞
𝒏→+∞
➢ 𝒂 < 𝑼𝒏 < 𝒃 ⇒ (𝑼𝒏 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒃𝒐𝒓𝒏é𝒆 𝑼𝒏 < 𝑽𝒏
• { 𝐥𝐢𝐦 𝑽 = −∞ ⇒ 𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏 = −∞
3) Suite convergente 𝒏→+∞
𝒏 𝒏→+∞
Si 𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏 = 𝑳 ∈ ℝ on dit que la suite (𝑼𝒏 ) 𝑽𝒏 < 𝑼𝒏 < 𝑾𝒏

𝒏→+∞
• { 𝐥𝐢𝐦 𝑽𝒏 = 𝐥𝐢𝐦𝑾𝒏 = 𝒍 ⇒ 𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏 = 𝒍
est convergente si non elle est divergente 𝒏→+∞ 𝒏→+∞
𝒏→+∞
➢ Toute suite croissante et majorée est |𝑼𝒏 − 𝒍| < 𝑽𝒏

convergente • { 𝐥𝐢𝐦 𝑽 = 𝟎 ⇒ 𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏 = 𝒍
𝒏 𝒏→+∞
𝒏→+∞
➢ Toute suite décroissante et minorée est
8) La suite (𝐕𝐧 ) définie par : 𝐕𝐧 = 𝒇(𝐔𝐧 )
convergente
Si la fonction 𝒇 est continue en 𝒍 et
4) Limites des suites usuelles
𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏 = 𝒍 alors 𝐥𝐢𝐦 𝑽𝒏 = 𝒇(𝒍 )
𝐥𝐢𝐦 𝒏 = +∞ ; 𝐥𝐢𝐦 𝒏𝟐 = +∞, 𝒏→+∞ 𝒏→+∞
𝒏→+∞ 𝒏→+∞
9) La suite (𝐔𝐧 ) liée à une fonction 𝒇 ,
𝐥𝐢𝐦 √𝒏 = +∞ ; 𝐥𝐢𝐦 𝒏𝒑 = +∞ ; 𝒑 ∈ ℕ∗
𝒏→+∞ 𝒏→+∞ définie par : 𝐔𝐧+𝟏 = 𝒇(𝐔𝐧 )
𝟏 𝟏
𝐥𝐢𝐦 =𝟎 ; 𝐥𝐢𝐦 =𝟎 , f une fonction définie sur un intervalle 𝑰 et
𝒏→+∞ 𝒏 𝒏→+∞ 𝒏𝟐
𝟏 𝟏 (𝐔𝐧 ) une suite tel que (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝐔𝐧+𝟏 = 𝒇(𝐔𝐧 )
𝐥𝐢𝐦 =𝟎 ; 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 ; 𝒑 ∈ ℕ∗
𝒏→+∞ √𝒏 𝒏→+∞ 𝒏𝒑 Alors si :
5) Limite de la suite géométrique (𝒒𝒏 ) ➢ La fonction f est continue sur 𝑰 et 𝒇(𝑰) ⊂ 𝑰
• −𝟏 < 𝒒 < 𝟏 ⇒ 𝐥𝐢𝐦 𝒒𝒏 = 𝟎 ➢ La suie (𝐔𝐧 ) est convergente et 𝐔𝟎 ∈ 𝑰
𝒏→+∞
• 𝒒 > 𝟏⇒ 𝒏
𝐥𝐢𝐦 𝒒 = +∞ Alors la limite de la suite (𝐔𝐧 ) est une
𝒏→+∞ solution de l’équation 𝒇(𝒙) = 𝒙 dans I
• 𝒒 < −𝟏 ⇒ (𝒒 ) n’admet pas de limite
𝒏
nationale du baccalauréat Nombres complexes (I) Page : 06
A) Ensemble des nombres complexe 𝒛 1) Opérations sur l’argument
ℂ = {𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 \(𝒂; 𝒃) ∈ ℝ𝟐 𝒆𝒕 𝒊𝟐 = −𝟏} • 𝐚𝐫𝐠(𝒛𝒛′ ) ≡ 𝐚𝐫𝐠(𝒛) + 𝐚𝐫𝐠(𝒛′ ) [𝟐𝝅]
➢ L’écriture 𝒂 + 𝒊𝒃 s’appelle la forme 𝒛
• 𝐚𝐫𝐠 ( ′) ≡ 𝐚𝐫𝐠(𝒛) − 𝐚𝐫𝐠(𝒛′ ) [𝟐𝝅]
𝒛
algébrique du nombre 𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 𝟏
1) Conjugué d’un nombre complexe z : • 𝐚𝐫𝐠 ( ) ≡ − 𝐚𝐫𝐠(𝒛) [𝟐𝝅]
𝒛
𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 ⇔ 𝒛̅ = 𝒂 − 𝒊𝒃 ; 𝒛̅ le conjugué de z • 𝐚𝐫𝐠( 𝒛𝒏 ) ≡ 𝐧 𝐚𝐫𝐠(𝒛) [𝟐𝝅]
Propriété de conjugué d’un complexe • 𝐚𝐫𝐠(𝒛̅) ≡ − 𝐚𝐫𝐠(𝒛) [𝟐𝝅]
𝐳̅̅̅̅̅̅̅̅
+ 𝐳′ = 𝐳̅ + 𝐳̅′ ; 𝐳̅̅̅̅̅̅̅̅
× 𝐳 ′ = × 𝐳̅′ ; 𝒛̅ = 𝒛 • 𝐚𝐫𝐠(−𝒛) ≡ 𝝅 + 𝐚𝐫𝐠(𝒛) [𝟐𝝅]
̅𝐳 = 𝐳̅ ; 𝒛𝒛̅ = 𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 ; 𝐳̅̅̅𝐧 = (𝐳̅)𝐧 2) Forme trigonométrique d’un complexe
𝐳 ′ ̅
𝐳′
𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 =∣ 𝒛 ∣ (𝐜𝐨𝐬(𝜽) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝜽))
• 𝒛 ∈ ℝ ⇔ 𝒛 = 𝒛̅ ; 𝒛 ∈ 𝒊ℝ ⇔ 𝒛̅ = −𝒛
𝒂 𝒃
2) Représentation géométrique d’un avec 𝐜𝐨𝐬(𝜽) = et 𝒔𝒊𝒏(𝜽) =
∣𝒛∣ ∣𝒛∣
nombre complexe dans un repère orthon L’écriture : 𝒛 =∣ 𝒛 ∣ (𝐜𝐨𝐬(𝜽) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝜽))
est appelé forme trigonométrique du
complexe z avec 𝛉 un argument de z
3) Détermination du forme trignométrique
➢ Cas particulier 𝒂; 𝒃 ∈ ℝ∗+
𝒛 = 𝒂 ∈ ℝ∗+ ⇔ 𝐚𝐫 𝐠(𝒛) ≡ 𝟎 [𝟐𝝅] et ∣ 𝒛 ∣= 𝒂
𝒛 = −𝒂 ∈ ℝ∗− ⇔ 𝐚𝐫 𝐠(𝒛) ≡ 𝝅 [𝟐𝝅] et ∣ 𝒛 ∣= 𝒂
𝝅
𝒛 = 𝒊𝒃 ∈ 𝒊ℝ∗+ ⇔ 𝐚𝐫𝐠(𝒛) ≡ [𝟐𝝅] et ∣ 𝒛 ∣= 𝒃
Soit 𝑨(𝒛𝑨 ); 𝑩(𝒛𝑩 ) et 𝑪(𝒛𝒄 )des points du plan : 𝟐
𝝅
𝒛 = −𝒊𝒃 ∈ 𝒊ℝ ∗
⇔ 𝐚𝐫𝐠 𝒛 ≡ − [𝟐𝝅] et ∣ 𝒛 ∣= 𝒃
• L’affixe du vecteur𝑨𝑩 𝒆𝒔𝒕 ∶ 𝒁⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 = 𝒛𝑩 − 𝒛𝑨
− 𝟐
∗
• L’affixe de I le milieu du segment [AB] est ➢ Cas générale ou 𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 ; 𝒂; 𝒃 ∈ ℝ
𝒛 tel que : 𝒁 = 𝑩 𝑨
𝒛 +𝒛 1) On calcule ∣ 𝒛 ∣ le module de 𝒛
𝑰 𝑰 𝟐 𝒂 𝒃
𝐳𝐁 −𝐳𝐀 2)Factorisation: 𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 =∣ 𝒛 ∣ ( + 𝒊)
• Points A, B et C sont alignés ⇔ ∈ 𝐈𝐑 ∣𝒛∣ ∣𝒛∣
𝐳𝐂 −𝐳𝐀
3) On cherche 𝜽 un argument de z tel que
3) Module d’un nombre complexe z : ∣ 𝒛 ∣ 𝒂 𝒃
Le module de 𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 d’image M est le 𝐜𝐨𝐬(𝜽) = et 𝒔𝒊𝒏(𝜽) =
∣𝒛∣ ∣𝒛∣
nombre réel positif noté ∣ 𝒛 ∣ définie par en utilisant le tableau et le cercle suivant :
𝒙 𝟎 𝝅 𝝅 𝝅 𝝅
∣ 𝒛 ∣= 𝑶𝑴 = √𝒛𝒛̅ = √𝒂𝟐 + 𝒃𝟐
𝟔 𝟒 𝟑 𝟐
Propriété de module et Distance 𝒔𝒊𝒏 𝒙 𝟎 𝟏 𝟏
√𝟐 √𝟑
• ∣ 𝒛 ∣=∣ −𝒛 ∣=∣ 𝐳̅ ∣=∣ −𝐳̅ ∣= √𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
𝒛 ∣𝒛∣ 𝒄𝒐𝒔𝒙 𝟏 𝟏 𝟎
• ∣ 𝒛 × 𝒛′ ∣=∣ 𝒛 ∣×∣ 𝒛′ ∣ ;∣ ∣= √𝟑 √𝟐
𝒛′ ∣𝒛′ ∣ 𝟐
𝟐 𝟐
• ∣ 𝒛𝒏 ∣=∣ 𝒛 ∣𝒏 ; ∣ 𝒛 + 𝒛′ ∣≤ ∣ 𝒛 ∣ +∣ 𝒛′ ∣
Soient 𝑨(𝒛𝑨 ) 𝒆𝒕 𝑩(𝒛𝑩 ) deux points alors la
𝒂; 𝒃 ∈ ℝ∗+
distance AB définie par : 𝑨𝑩 =∣ 𝒛𝑩 − 𝒛𝑨 ∣
B) Argument d’un complexe z : 𝒂𝒓𝒈(𝒛)
On appelle argument de
z une mesure 𝜽, en radian
de l’angle orienté (𝒆 ⃗⃗⃗⃗⃗, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝟏 𝑶𝑴)
𝒂𝒓𝒈(𝒛) ≡ ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
(𝒆 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗)[𝟐𝝅]
⃗⃗⃗⃗⃗, 𝑶𝑴
𝟏
nationale du baccalauréat Nombres complexes (II) Page : 07
4) Interprétation géométrique d’argument D) Résolution d’équations du second degré
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
➢ (𝑨𝑩⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝒛 −𝒛
𝑨𝑪) ≡ 𝐚𝐫𝐠 ( 𝑪 𝑨 )[𝟐𝝅] Soit dans C l’équation (𝑬) : 𝒂𝒛𝟐 + 𝒃𝒛 + 𝒄 = 𝟎
𝒛𝑩 −𝒛𝑨
tels que a ; b et c sont des réels
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝒛 −𝒛
Si 𝚫 = 𝒃𝟐 − 𝟒𝒂𝒄 < 0 , alors l’équation (𝑬) a
➢ (𝑨𝑩 𝑫𝑪) ≡ 𝐚𝐫𝐠 ( 𝑪 𝑫)[𝟐𝝅]
𝒛𝑩 −𝒛𝑨
𝒛𝑪 −𝒛𝑫
deux racines complexes conjuguées
➢ (AB) // (DC) ⇔ 𝐚𝐫 𝐠 ( ) ≡ 𝟎[𝝅] −𝒃+𝒊√−𝚫
𝒛𝑩 −𝒛𝑨 𝒛𝟏 𝒆𝒕 𝒛𝟐 tel que ∶ 𝒛𝟏 = et 𝒛𝟐 = 𝒛
̅̅̅𝟏
𝒛𝑪 −𝒛𝑫 𝝅 𝟐𝒂
➢ (𝑨𝑩) ⊥ (𝐃𝐂)⇔𝐚𝐫 𝐠 ( ) ≡ [𝝅] 𝒛 𝟏 + 𝒛𝟐 =
−𝒃
𝒆𝒕 𝒛𝟏 × 𝒛𝟐 =
𝒄
𝒛𝑩 −𝒛𝑨 𝟐 𝒂 𝒂
➢ A,B,C et D sont cocycliques ( appartenant E) Transformation dans le plan
au même cercle) ⇔ ( 𝑪 𝑨 × 𝑩 𝑫) ∈ 𝑰𝑹 1) Translation 𝑻𝒖⃗⃗ de vecteur 𝒖 ⃗⃗(𝒛𝒖⃗⃗ )
𝒛 −𝒛 𝒛 −𝒛
𝒛𝑩 −𝒛𝑨 𝒛𝑪 −𝒛𝑫
Soit M’(z’) l’image de point M(z) par
M) ABC un triangle isocèle et rectangle en A
translation 𝑻𝒖⃗⃗ de vecteur 𝒖 ⃗⃗ d’affixe 𝒛𝒖⃗⃗
𝐀𝐁 = 𝐀𝐂
𝝅 L’écriture complexe du translation 𝑻𝒖⃗⃗
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐞𝐭 (𝑨𝑩, 𝑨𝑪) ≡ [𝝅] 𝑻𝒖⃗⃗ (𝑴) = 𝑴′ ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐌𝐌′ = ⃗𝑼 ⃗⃗ ⇔ 𝒛′ = 𝒛 + 𝒛𝒖⃗⃗
𝟐
M) ABC un triangle équilatéral 2) Homothétie de centre 𝛀 et de rapport k
𝐀𝐁 = 𝐀𝐂 M’(z’) l’image de M(z) par l'homothétie h de
𝝅 centre 𝛀(𝝎) et de rapport 𝒌
𝐞𝐭 ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
(𝑨𝑩 𝑨𝑪) ≡ [𝝅]
𝟑 L’écriture complexe del'homothétie h
M) Ensemble des points M(z) du plan 𝒉(𝑴) = 𝑴′ ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝛀𝐌′ = 𝐤 𝛀𝐌 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
➢ l’ensemble des points M d’affixe z tel ⇔ 𝒛’ − 𝝎 = 𝒌(𝒛 − 𝝎)
que : |𝒛 − 𝒛𝑨 | = 𝒓 est un cercle de 3) Rotation R de centre 𝛀(𝝎) et d’angle 𝜽
centre 𝑨(𝒛𝑨 ) et de rayon r ;𝒓> 0 Soit M’(z’) l’image du point M(z) par la
➢ l’ensemble des points M d’affixe z tel Rotation R de centre 𝜴(𝝎) 𝒆𝒕 𝒅′ 𝒂𝒏𝒈𝒍𝒆 𝜽
que : |𝒛 − 𝒛𝑨 | = |𝒛 − 𝒛𝑩 | est la droite (D) L’écriture complexe de la Rotation R est
le médiatrice du segment [AB] 𝛀𝐌 = 𝛀𝐌′
′
C) Notation exponentielle 𝒆𝒊𝜽 𝑹(𝑴) = 𝑴 ⇔ {̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
(𝛀𝐌 𝛀𝐌′ ) ≡ 𝜽[𝟐𝝅]
On note 𝒆 le complexe de module 1 et
𝒊𝜽
⇔ 𝒛′ − 𝝎 = 𝒆𝒊𝜽 (𝒛 − 𝝎)
d’argument 𝜽 donc 𝒆 = 𝐜𝐨𝐬( 𝜽) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝜽)
𝒊𝜽
Méthodes : ABCD est un Parallélogramme
1) Forme exponentielle : 𝐳 = 𝐫 𝐞𝐢𝛉 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ A D
𝐢𝛉
𝐌𝟏 ) 𝐀𝐁 = 𝑫𝑪
𝒛 =∣ 𝒛 ∣ (𝐜𝐨𝐬(𝜽) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝜽)) =∣ 𝐳 ∣ 𝐞
𝐌𝟐 ) Les diagonales
2) Opérations sur la forme exponentielle
ont même milieu B C
′ 𝒊𝜽′
Soient 𝒛 = 𝒓𝒆 et 𝒛 = 𝒓 𝒆𝒊𝜽 ′
ABCD est un Losange
➢ ∣ 𝒆𝒊𝜽 ∣= 𝟏 ; 𝐚𝐫𝐠(𝒆𝒊𝜽 ) ≡ 𝜽[𝟐𝝅] 𝐌𝟏 ) Parallélogramme dont les diagonales
′ ′
➢ 𝒛𝒛′ = 𝒓𝒆𝒊𝜽 𝒓′ 𝒆𝒊𝜽 = 𝒓𝒓′ 𝒆𝒊(𝜽+𝜽 ) sont perpendiculaires
𝒛 𝒓 𝒆𝒊𝜽
➢ ′ = 𝒊𝜽′ = ′ 𝒆𝒊(𝜽−𝜽 )
𝒓 ′ 𝐌𝟐 ) Parallélogramme 𝐞𝐭 𝐀𝐁 = 𝐀𝐃
𝒛 𝒓′ 𝒆 𝒓 ABCD est un Rectangle
𝟏 𝟏 𝟏 −𝒊𝜽
➢ = 𝒊𝜽 = 𝒆 ; ̅𝒛 = 𝒓𝒆 −𝒊𝜽
𝐌𝟏 ) Parallélogramme qui a un angle droit
𝒛 𝒓𝒆 𝒓
➢ ̅̅̅̅
𝒆𝒊𝜽 = 𝒆−𝒊𝜽 ; −𝒆𝒊𝜽 = 𝒆𝒊(𝜽+𝝅) 𝐌𝟐 ) Parallélogramme dont les diagonales
Formule de MOIVRE (𝒛)𝒏 = ( 𝒓𝒆𝒊𝜽 )𝒏 = 𝒓𝒏 𝒆𝒊𝒏𝜽 sont isométriques
𝒏 ABCD est un Carré
(𝒄𝒐𝒔(𝜽) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝜽)) = 𝐜𝐨𝐬(𝒏𝛉) + 𝐢 𝐬𝐢𝐧(𝐧𝛉)
𝐌𝟏 ) Rectangle et losange
Formule D’EULER 𝝅
𝒆𝒊𝜽 +𝒆−𝒊𝜽 𝒆𝒊𝜽 −𝒆−𝒊𝜽 𝐌𝟐 ) ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑫𝑪 𝐞𝐭 ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
𝐀𝐁 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗, 𝑨𝑫
(𝑨𝑩 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗) ≡ [𝝅] 𝐞𝐭 𝐀𝐁 = 𝐀𝐃
𝐜𝐨𝐬(𝜽) = et 𝐬𝐢𝐧 (𝜽) = 𝟐
𝟐 𝟐𝒊
Préparation à l’examen Fiche 8 : Géométrie dans l’espace Page 08
(𝑶, 𝒊⃗, 𝒋⃗ , ⃗𝒌⃗) un repère orthonormé de l’espace 6) DISTANCE D’UN POINT à UN PLAN
1)Condition de colinéarité de deux vecteurs Soient (𝑷) : 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎un plan et
Soient ⃗𝑼 ⃗⃗(𝒙; 𝒚; 𝒛) 𝒆𝒕 ⃗𝑽⃗(𝒙′ ; 𝒚′ ; 𝒛′ )deux vecteurs A(𝒙𝑨 ; 𝒚𝑨 ; 𝒛𝑨 ) un point de l’espace
⃗𝑼
⃗⃗ 𝒆𝒕 ⃗𝑽⃗ sont colinéaires si ; ∃𝜶 ∈ 𝑰𝑹: ⃗𝑼 ⃗⃗ = 𝜶𝑽
⃗⃗ | 𝒂𝒙𝑨 + 𝒃𝒚𝑨 + 𝒄𝒛𝑨 + 𝒅|
𝒅(𝑨; (𝑷)) =
√𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐
➢ ⃗𝑼
⃗⃗ 𝒆𝒕 ⃗𝑽⃗ sont colinéaires si ∆𝒙 = ∆𝒚 = ∆𝒛 = 𝟎
7) Sphère dans l’espace
𝒚 𝒚′ 𝒙 𝒙′
∆𝒙 = | | ; ∆𝒚 = | 𝒙 𝒙′ | 𝒆𝒕 ∆𝒛 = | | Soit (S) la sphère de centre 𝛀(𝒂; 𝒃; 𝒄) et de
𝒛 𝒛′ 𝒛 𝒛′ 𝒚 𝒚′
2)Formule trigonométrique du produit scalaire rayon r l’équation cartésienne de (S) est :
(𝒙 − 𝒂)𝟐 + (𝒚 − 𝒃)𝟐 + (𝐳 − 𝐜)𝟐 = 𝒓𝟐
Soient ⃗𝑼
⃗⃗ 𝒆𝒕⃗⃗⃗⃗
𝑽deux vecteurs non nuls dans
➢ L’équation cartésienne de la sphère (S)
l’espace donc : ⃗𝑼⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑽 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 𝒆𝒕⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪
définit par son diamètre [𝑨𝑩] est donné
⃗⃗⃗ . ⃗⃗⃗⃗
➢ 𝑼 𝑽 = 𝑨𝑩 𝑨𝑪 = 𝑨𝑩 × 𝑨𝑪 × 𝐜𝐨𝐬 (⃐⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ . ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩; 𝑨𝑪 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗)
par : 𝐌(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝐒) ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑴.𝑩𝑴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝟎
➢ ⃗𝑼
⃗⃗ . ⃗⃗⃗⃗
𝑽 = ‖𝑼 𝑽‖ × 𝒄𝒐𝒔(⃐⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗‖ × ‖⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑼 ; ⃗𝑽⃗) Proposition : l’ensemble des points M
3)Formule analytique du scalaire L’ensemble des points 𝐌(𝒙; 𝒚; 𝒛) de tel que :
Soient ⃗𝑼 ⃗⃗(𝒙; 𝒚; 𝒛) 𝒆𝒕 ⃗𝑽⃗(𝒙′ ; 𝒚′ ; 𝒛′ ) on a : (𝑺) : 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 + 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝐜𝐳 + 𝒅 = 𝟎
𝒙 𝒙′ est un sphère si 𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 − 𝟒𝐝 > 𝟎
⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗
➢ 𝑼 . 𝑽 = (𝒚) . (𝒚′) = 𝒙𝒙′ + 𝒚𝒚′ + 𝒛𝒛′ 𝒂 𝒃 𝒄
𝒛 ➢ Son centre est le point 𝛀 (− ; − ; − )
𝒛′ 𝟐 𝟐 𝟐
➢ 𝑼⃗⃗⃗ ⊥ ⃗⃗⃗⃗𝑽⟺𝑼 ⃗⃗⃗ . 𝑽
⃗⃗ = 𝟎 √𝒂𝟐 +𝒃𝟐 +𝒄𝟐 −𝟒𝐝
➢ Son rayon est 𝒓 =
𝟐
Norme d’un vecteur et distance entre deux
8)Position relative d’un sphère et un plan
points 𝑨(𝒙𝑨 ; 𝒚𝑨 ; 𝒛𝑨 ) 𝒆𝒕 𝑩(𝒙𝑩 ; 𝒚𝑩 ; 𝒛𝑩 )
Soit (S) une sphère de centre 𝛀 et de rayon
➢ ‖𝑼 ⃗⃗⃗‖ = √𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐
R (P) un plan et d la distance entre le
➢ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩(𝒙𝑩 − 𝒙𝑨 ; 𝒚𝑩 − 𝒚𝑨 ; 𝒛𝑩 − 𝒛𝑨 ) centre 𝛀 est le plan (P) : 𝒅 = 𝒅(𝜴; (𝑷))
𝑨𝑩 = √(𝒙𝑩 − 𝒙𝑨 )𝟐 + (𝒚𝑩 − 𝒚𝑨 )𝟐 + (𝒛𝑩 − 𝒛𝑨 )𝟐 Si d=R alors (S) est tangente à(P) un point H
➢ Coordonnées de I le milieu de [𝑨𝑩] est ; Si d<R alors (S) coupe (P) Suivant un cercle
𝒙𝑨 +𝒙𝑩 𝒚𝑨 +𝒚𝑩 𝒛𝑨 +𝒛𝑩
𝑰( ; ; ) (C) de centre H et de rayon 𝒓 = √𝑹𝟐 − 𝒅𝟐
𝟐 𝟐 𝟐
4)DROITE DANS L’ESPACE ➢ Pour déterminer les cordonnées de H on
Soit (𝑫) la droite passant par 𝑨(𝒙𝑨 ; 𝒚𝑨 ; 𝒛𝑨 ) et résoudre le système suivant :
𝒙 = 𝒙𝛀 + 𝒂𝒕
de vecteur directeur ⃗⃗⃗⃗ 𝑼(𝒂; 𝒃; 𝒄) (𝛀𝐇): {𝒚 = 𝒚𝛀 + 𝒃𝒕
; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
Une représentation paramétrique de(𝑫) { 𝒛 = 𝒛𝛀 + 𝒄𝒕
𝒙 = 𝒙𝑨 + 𝒂𝒕 (𝑷) : 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎
; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
(𝑫) : {𝒚 = 𝒚𝑨 + 𝒃𝒕 Position relative d’une sphère et une droite
𝒛 = 𝒛𝑨 + 𝒄𝒕
Soit (S) une sphère de centre 𝛀 et d rayon R
5)Plan dans l’espace - Vecteur normale
𝒆𝒕 (∆) la droite passant par le point A et de
➢ Tout plan à une équation cartésienne de
la forme : (𝑷) : 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎 vecteur directeur⃗⃗⃗⃗
𝑼(𝜶; 𝜷; 𝜸)
➢ Le Vecteur ⃗⃗⃗⃗(𝒂;
𝒏 𝒃; 𝒄) est un vecteur Pour déterminer les cordonnées des points
d’intersections de (S) et (∆), on résoudre le
normal au plan (𝑷) : 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎
système suivant :
➢ A un point et 𝒏 ⃗⃗ un vecteur de l’espace
𝒙 = 𝒙𝑨 + 𝜶𝒕
L’ensemble des points M(𝒙; 𝒚; 𝒛)de l’espace ; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
(∆): {𝒚 = 𝒚𝑨 + 𝜷𝒕
tel que ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝒏 = 𝟎 est un plan (P) passant
𝑨𝑴 . ⃗⃗⃗⃗ { 𝒛 = 𝒛𝑨 + 𝜸𝒕
par A et de vecteur normale ⃗⃗⃗⃗
𝒏 (𝑺) : (𝒙 − 𝒙𝛀 )𝟐 + (𝒚 − 𝒚𝛀 )𝟐 + (𝐳 − 𝒛𝛀 )𝟐 = 𝑹𝟐
nationale du baccalauréat Calcul de probabilités Page : 09
A) Dénombrement. B) Probabilité d’un évènement.

1) Cardinal d’un ensemble fini ➢ 1) Propriétés :
Le nombre d’éléments d’un ensemble fini est➢ 𝐏(𝛀) = 𝟏 et 𝐏(∅) = 𝟎
appelé le cardinal de E , noté par 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐄) ➢ 𝟎 ≤ 𝐏(𝐀) ≤ 𝟏.
2) Principe fondamentale de dénombrement ➢ ̅ ) = 𝟏 − 𝐏(𝐀)
𝐏 (𝐀
Soit 𝐄 une expérience dont les résultats ➢ 𝐏(𝐀 ∪ 𝐁) = 𝐏(𝐀) + 𝐏(𝐁) − 𝐏(𝐀 ∩ 𝐁)
nécessitent 𝐤 choix, Hypothèse d’équiprobabilité :
Si le 1ère choix se fait de 𝐧𝟏 façons différentes 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐀)
𝐏(𝐀) =
Le 𝟐𝐢è𝐦𝐞 choix se fait de 𝐧𝟐 façons différentes, 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝛀)
Le 𝐤 𝐢è𝐦𝐞 choix se fait de 𝐧𝐤 façons différentes,➢
2) Probabilité conditionnelle.
Alors le nombre de résultats possibles est Propriété :
donné par le produit : 𝐧𝟏 × 𝐧𝟐 × … × 𝐧𝐤 La probabilité de l’événement 𝐁 sachant
3) Arrangements. que de l’événement 𝐀 est réalisé est le
a) Arrangements sans répétition. nombre noté 𝐏𝐀 (𝐁) ou 𝐏(𝐁/𝐀) défini par :
Arrangements sans répétition de p parmi n 𝐏(𝐀 ∩ 𝐁)
𝐩 𝐏𝐀 (𝐁) =
𝐀𝐧 = 𝐧 × (𝐧 − 𝟏) × (𝐧 − 𝟐) × … × (𝐧 − 𝐩 + 𝟏). 𝐏(𝐀)
𝐀𝐧 = 𝐧! ; 𝐀𝐧 = 𝐧 . Arbre des possibilités :
𝐩 𝐧! 𝐧 𝟏
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐀𝐧 = (𝐧−𝐩)! ;
Cas particulier : Permutations.
𝐧! = 𝐧 × (𝐧 − 𝟏) × … × 𝟐 × 𝟏 ; ; 𝟎! = 𝟏
b) Arrangements avec répétition.
Le nombre d’arrangements avec répétition
de 𝐩 éléments pris parmi par 𝐧 est noté 𝐧𝐩
4) Combinaisons.
𝐩
𝐩 𝐀𝐧 𝐧!
𝐂𝐧 = =
𝐩! 𝐩! × (𝐧 − 𝐩)!
Remarques :
𝐂𝐧𝟏 = 𝐂𝐧𝐧−𝟏 = 𝐧 ; 𝐂𝐧𝐧 = 𝐂𝐧𝟏 = 𝟏 et 𝐂𝐧𝐏 = 𝐂𝐧𝐧−𝐏
5) Type de tirage et importance d’ordre .
Type de Nombre Importance de ̅ ),
On a 𝐏(𝐁) = 𝐏(𝐁 ∩ 𝐀) + 𝐏(𝐁 ∩ 𝐀
tirage de tirages l’ordre ̅ ) × 𝐏𝐀̅ (𝐁).
Donc 𝐏(𝐁) = 𝐏(𝐀) × 𝐏𝐀 (𝐁) + 𝐏(𝐀
Avec remise 𝐧𝐩 Important
Sans remise 𝐩
Important Cette relation est appelée loi des
𝐀𝐧
𝐩 probabilités totales
Simultané 𝐂𝐧 Sans importance
Nombre de possibilité d’arranger p éléments 3) Indépendance de deux événements
non distincts (Coefficient d’ordre) Définition
Si on a 𝐩𝟏 éléments de type A et 𝐩𝟐 éléments * On dit que les événements 𝐀 et 𝐁 sont
de type B et 𝐩𝟑 éléments de type C tel que indépendants si : 𝐏(𝐀 ∩ 𝐁) = 𝐏(𝐀) × 𝐏(𝐁).
𝐩𝟏 + 𝐩𝟐 + 𝐩𝟑 = 𝒑 Propriété
Alors le nombre de possibilités d’arranger * Les événements 𝐀 et 𝐁 sont indépendants
𝐩! si et seulement 𝐏𝐀 (𝐁) = 𝐏(𝐁) ; avec 𝐏(𝐀) ≠ 𝟎
les p éléments dans p places est
𝐩𝟏 !×𝐩𝟐 !×𝐩𝟑 !
Examens blancs corrigés
2024
Modèle 1
Modèle 2
Modèle 3
Modèle 4
Modèle 5
Modèle 6
Modèle 7
Modèle 8
Modèle 9
Modèle 10
Modèle 11
1
10 2024 ‫اإلمتحان التجريبي للباكالوريا المسالك الدولية‬
***** 1 ‫النموذج األول‬
Prof
Fayssal
RRRRRRRRRRRRRRRR M1-24
3h ‫مدة اإلنجاز‬ ‫الرياضيات‬ ‫المادة‬
7 ‫المعامل‬ ) ‫شعبة العلوم التجريبية مسلك علوم الحياة واألرض ومسلك العلوم الفيزيائية (خيار فرنسي‬ ‫الشعبة أو المسلك‬
Examen blanc de baccalauréat 2024

Modèle 01
INSTRUCTIONS GENERALES
✓ L’utilisation de la calculatrice non programmable est autorisée ;
✓ Le candidat peut traiter les exercices de l’épreuve suivant l’ordre qui lui convient ;
✓ L’utilisation de couleur rouge de la rédaction des solutions est à éviter
COMPOSANTES DU SUJET
L’épreuve est composée de trois exercices et un problème indépendant entre eux

et répartis suivant les domaines comme suit :
Exercice 1 Suite numérique 3 points

Exercice 2 Géométrie dans l’espace 3 points
Nombres complexes.
Exercice 3 4 points
Calcul de probabilités.
Exercice 3 2 points
Etude d’une fonction numérique, calcul
Problème 8 points
intégral
✓ On désigne par 𝒛̅ le conjugué du nombre complexe 𝒛 et par |𝒛| son module.
✓ 𝒍𝒏 désigne la fonction logarithme népérien .
Prof Fayssal https://elboutkhili.jimdofree.com/

‫الصفحة‬ ‫ – النموذج األول‬2024– ‫االمتحان التجريبي للباكالوريا‬
M1-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
2 ‫ مادة الرياضيات – مسلك علوم الحياة واألرض ومسلك العلوم الفيزيائية – خيار‬-
‫فرنسي‬
Exercice 1 (3 points) :
𝟏 𝒖𝒏
Soit(𝒖𝒏 )une suite tel que 𝒖𝟎 = 𝒆𝒕 (∀𝒏 ∈ ℕ), 𝒖𝒏+𝟏 =
𝟐 𝟐−𝒖𝒏
1) Montrer par récurrence que (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝟎 < 𝒖𝒏 ≤ 𝟏

0,5
2) Montrer que la suite (𝒖𝒏 ) est décroissante puis déduire qu’elle est convergente
0,75
𝟏 𝟏
3) Montrer que (∀𝒏 ∈ ℕ) : − 𝟏 = 𝟐( − 𝟏)
0,25 𝒖𝒏+𝟏 𝒖𝒏
𝟏
4) En déduire que pour tout 𝒏 ∈ ℕ : 𝒖𝒏 = , puis calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏
𝟐𝒏 +𝟏 𝐧→+∞
0,75
𝟏 𝟏 𝟏
5) Pour tout 𝒏 ∈ ℕ on pose : 𝑺𝒏 = + + ⋯+
𝒖𝟎 𝒖𝟏 𝒖𝒏
0,75 Montrer que pour tout 𝒏 ∈ ℕ : 𝑺𝒏 = 𝟐𝒏+𝟏 + 𝒏 , puis calculer 𝐥𝐢𝐦 𝑺𝒏

𝐧→+∞
Exercice 2 ( 3 points) :
⃗⃗ )
L’espace est menu d’un repère orthonormé (O,𝒊⃗ , 𝒋⃗,𝒌
Soient les points 𝑨 (𝟐 ; 𝟐 ; 𝟐) ; 𝑩 (𝟐 ; 𝟒 ; 𝟎) 𝒆𝒕 𝑪 (𝟔 ; 𝟐 ; −𝟐)et (S) la sphère de centre
Ω(3 ;3 ;3) et de rayon 𝒓 = √𝟑
0,25 1) a) Montrer que les points A ; B et C ne sont pas alignés
0,25 b) Montrer que ⃗⃗⃗⃗

𝒏 (𝟏; 𝟏; 𝟏) est un vecteur normal au plan (ABC)
0,5 c) Vérifier que 𝒙 + 𝒚 + 𝒛 − 𝟔 = 𝟎 est une équation cartésienne du plan (𝑨𝑩𝑪)
2) a) Montrer que le plan (ABC) est tangent à la sphère (S) et que 𝑨 ∈ (𝑺)
0,5
0,5 b) Déterminer le triplet des coordonnées du point de contact de (ABC) et (S)
3) Soit 𝑴 (𝒂 ; 𝒃 ; 𝒄) un point du plan (ABC) tels que a ;b ;et c sont des réels
0,25
a) Montrer que 𝜴𝑴 ≥ 𝒓
0,75
b) En déduire que 𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 ≥ 𝟏𝟐
‫الصفحة‬ ‫ – النموذج األول‬2024– ‫االمتحان التجريبي للباكالوريا‬
M1-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
A) Résoudre dans ℂ l’équation (𝐄): 𝐳 𝟐 + √𝟑 𝐳 + 𝟏 = 𝟎
0,75
B) Dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormé directe (𝑶 ; 𝒖 ⃗⃗) , on
⃗⃗ ; 𝒗
considère 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬 𝐀 ; B ; C et D d’affixes respectifs
√𝟑 𝟏
𝒂= + 𝐢 ; 𝐛 = 𝟐 + √𝟑 + 𝐢 ; 𝐜 = 𝐛̅ et 𝐝 = 𝐛𝟏𝟐
𝟐 𝟐
0,5 1) Ecrire 𝒂 sous forme exponentielle puis montrer que |𝒃| = √𝟖 + 𝟒√𝟑
𝛑
2) Soit R la rotation de centre O et d’angle
𝟔
a) Montrer que B est l’image du point C par la rotation R

0,5
𝛑
b) Montrer que 𝒂𝒓𝒈(𝒃) ≡ [𝟐𝝅]
0,5 𝟏𝟐
3) Soit 𝒆 l’affixe du point 𝑬 l’image de B par la translation 𝑻 de vecteur 𝒗

⃗⃗
0,75 𝒅
a) Montrer que = 𝒊(𝟖 + 𝟒√𝟑)𝟔
𝒆−𝒃
0,5 b) En déduire que les droites (𝑩𝑬) et (𝑶𝑫) sont perpendiculaires

4) Déterminer l’ensemble des points M d’affixe z qui vérifie :
0,5
|𝒛̅ − 𝟐 − √𝟑 − 𝒊| = 𝟓
Une urne 𝑼𝟏 contient cinq boules portant les nombres 1 ;1 ;1 ;2 ;3 et une urne 𝑼𝟐
contient quatre boules portant les nombres 1 ;1 ;2 ;2
On suppose que les boules sont indiscernables au toucher
On choisit au hasard l’un des urnes et on tire simultanément deux boules de cette urne
On considère les évènements suivants :
𝑨: ‟ Les boules tirées portant des nombres impairs ”
𝑩: ‟ Les boules tirées portant des nombres pairs ”
𝑪: ‟ Une boule porte un nombre pair et l’autre porte un nombre impaire ”
0,75 𝟐𝟑
1) Montrer que 𝑷(𝑨) =
𝟔𝟎
0,5 𝟏
2) Montrer que 𝑷(𝑩) =
𝟏𝟐
0,75 3) Calculer 𝑷(𝑪)

‫الصفحة‬ M1-24 ‫ – النموذج األول‬2024– ‫االمتحان التجريبي للباكالوريا‬ ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
Problème (8 points) :
A) Soit g la fonction définie sur ]𝟎; +∞[par :

𝐠(𝐱) = 𝟏 + 𝐱 𝒍𝒏 𝒙
0,25 1) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[ ; 𝒈′ (𝐱) = 𝟏 + 𝒍𝒏(𝒙)
0,5 𝟏
2) Montrer que la fonction 𝒈 est décroissante sur l’intervalle ]𝟎, ] et croissante sur
𝒆
𝟏
l’intervalle [ ; +∞[
𝒆
0,5
3) En déduire que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝒈(𝐱) > 𝟎
B) Soit 𝒇 la fonction numérique définie :

𝒙
𝒇(𝐱 ) = ; 𝒙>𝟎
{ 𝟏 + 𝒙𝒍𝒏 𝒙
𝒇(𝟎 ) = 𝟎
(𝑪) Est la courbe représentative de f dans un repère orthonormé (𝑶; 𝒊⃗; 𝒋⃗) d’unité 2cm
0,5 1) a) Montrer que 𝑫𝒇 = [𝟎; +∞[
0,25 b) Montrer que la fonction f est continue à droite en 0
2) Montrer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = 𝟎 puis interpréter le résultat géométriquement
0,5 𝐱→+∞
3) a) Montrer que f est dérivable à droite de 0 puis en déduire que (𝑪) admet une
0,75 demi-tangente (T) d’équation 𝒚 = 𝒙 au point O
b) Montrer que la courbe (𝑪) est au-dessus de (T) sur [𝟎; 𝟏] et au-dessous de (T)
0,5
sur l’intervalle [𝟏; +∞[
𝟏−𝐱
0,5 4) a) Montrer que : (∀𝐱 ∈ ]𝟎, +∞[): 𝐟 ′ (𝐱) = (𝟏+𝒙𝒍𝒏𝒙 )𝟐
0,5 b) Dresser le tableau de variation de f sur [𝟎; +∞[ en justifiant votre réponse
0,5
5) Tracer (T) et la courbe (𝓒) dans le repère (𝑶, 𝒊⃗ , 𝒋⃗ )
0,25 6) Déterminer graphiquement le nombre des solutions de l’équation
(𝑬): 𝟏 − 𝟐𝒙 + 𝒙𝒍𝒏 𝒙 = 𝟎 , en justifiant votre réponse
7) Soit 𝒉 la restriction de 𝒇 sur l’intervalle [𝟏; +∞[.

a) Montrer que 𝒉 admet une fonction réciproque 𝒉−𝟏 définie sur un intervalle 𝑱 à
0,5
déterminer
0,75 b) Tracer (𝑪𝒉−𝟏 ) la courbe de 𝒉−𝟏 dans le repère (𝑶; 𝒊⃗; 𝒋⃗)
8) Soit 𝑨 l’aire en 𝒄𝒎𝟐 du domaine délimité par la courbe (𝓒) et l’axe des abscisses
et les droites d’équations 𝒙 = 𝟏 et 𝒙 = 𝒆
0,25 a) Justifier que (∀𝐱 ∈ ]𝟎, +∞[): 𝒇(𝐱) ≤ 𝟏
0,5 𝟏
b) Montrer que (∀𝐱 ∈ [𝟏; 𝒆]): 𝟏 − ≤ 𝒇( 𝐱 )
𝟏+𝒙
0,5 c) Montrer que 𝟒(𝒆 − 𝟏) + 𝟒𝒍𝒏(
𝟐
) ≤ 𝑨 ≤ 𝟒(𝒆 − 𝟏
𝟏+𝒆
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1 23F Modèle 01
Correction de l’exercice 1 (3 points) : ➢ 𝑼𝒏+𝟏 − 𝑼𝒏 < 𝟎 ⇒ (𝑼𝒏 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒅é𝒄𝒐𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆
Soit(𝒖𝒏 )une suite tel que ➢ 𝑼𝒏+𝟏 − 𝑼𝒏 = 𝟎 ⇒ (𝑼𝒏 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒕𝒂𝒏𝒕𝒆
𝟏 𝒖𝒏
𝒖𝟎 = 𝒆𝒕 (∀𝒏 ∈ ℕ), 𝒖𝒏+𝟏 = ➢ Toute suite croissante et majorée est
𝟐 𝟐 − 𝒖𝒏
convergente
1) Montrer que (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝟎 < 𝒖𝒏 ≤ 𝟏
➢ Toute suite décroissante et minorée est
Rappel : Raisonnement par récurrence
convergente
Soit P(n) une proposition tel que 𝒏 ≥ 𝒏𝟎
Soit n un entier naturel
Pour montrer la propriété P(n) est vraie
𝒖𝒏 𝒖𝒏 − 𝒖𝒏 (𝟐 − 𝒖𝒏 )
pour tout entier n ³ n0 : 𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 = − 𝒖𝒏 =
𝟐 − 𝒖𝒏 𝟐 − 𝒖𝒏
• Pour n= n0 on vérifie que P(n) est vraie 𝟐
𝒖𝒏 − 𝒖𝒏 𝒖𝒏 (𝒖𝒏 − 𝟏)
• Pour n un entier fixé tel que 𝒏 ≥ 𝒏𝟎 = =
𝟐 − 𝒖𝒏 𝟐 − 𝒖𝒏
On suppose que La proposition 𝑷(𝒏) est
On a 𝒖𝒏 − 𝟏 ≤ 𝟎 et 𝒖𝒏 > 𝟎 et 𝟐 − 𝒖𝒏 > 𝟎
vraie et on montre que 𝒑(𝒏 + 𝟏) est vraie
Donc 𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 ≤ 𝟎
• Alors ∀𝒏 ≥ 𝒏𝟎 ∶ P(n) devient vraie
Donc (𝒖𝒏 ) est décroissante
𝟏
➢ Pour n=0 on a 𝟎 < 𝒖𝟎 = ≤ 𝟏 qui est vrai La suite (un) est décroissante et minorée par
𝟐
➢ Soit 𝒏 ∈ ℕ 0 donc elle est convergente
𝟏 𝟏
Supposons que 𝟎 < 𝒖𝒏 ≤ 𝟏 et montrons 3) Montrer que (∀𝒏 ∈ ℕ) : − 𝟏 = 𝟐( − 𝟏)
𝒖𝒏+𝟏 𝒖𝒏
que 𝟎 < 𝒖𝒏 ≤ 𝟏.
𝒖𝒏 Soit n un entier naturel
∗ 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 = −𝟏 𝟏 𝟏 𝟐 − 𝒖𝒏
𝟐 − 𝒖𝒏 − 𝟏 = 𝒖𝒏 − 𝟏 = −𝟏
𝒖𝒏 − (𝟐 − 𝒖𝒏 ) 𝟐(𝒖𝒏 − 𝟏) 𝒖𝒏+𝟏 𝒖𝒏
𝟐−𝒖𝒏
= =
𝟐 − 𝒖𝒏 𝟐 − 𝒖𝒏 𝟐 𝒖𝒏 𝟐 𝟏
= − −𝟏= − 𝟐 = 𝟐( − 𝟏)
On a 𝒖𝒏 ≤ 𝟏 donc −𝒖𝒏 ≥ 𝟎 𝒖𝒏 𝒖𝒏 𝒖𝒏 𝒖𝒏
Donc 𝟐 − 𝒖𝒏 ≥ 𝟐 𝑑𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝟐 − 𝒖𝒏 ≥ 𝟎 D’où (∀𝒏 ∈ ℕ) :
𝟏
− 𝟏 = 𝟐(
𝟏
− 𝟏)
On a 𝒖𝒏 ≤ 𝟏 donc 𝒖𝒏 − 𝟏 ≤ 𝟎 𝟏
Donc 𝟐(𝒖𝒏 − 𝟏) ≤ 𝟎 4) En déduire que pour tout 𝒏 ∈ ℕ : 𝒖𝒏 = ,
𝟐𝒏 +𝟏
𝟐(𝒖𝒏 − 𝟏) 1ère méthode
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ ≤𝟎 𝟏 𝟏
𝟐 − 𝒖𝒏 On a (∀𝒏 ∈ ℕ) : − 𝟏 = 𝟐( − 𝟏)
Donc 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ 𝟎 𝟏 𝟏
Pour 𝒏 = 𝟎 on a − 𝟏 = 𝟐( − 𝟏)
Donc 𝒖𝒏+𝟏 ≤ 𝟏 . (*) 𝒖𝟏 𝒖𝟎
** Et on a 𝒖𝒏 > 𝟎 𝒆𝒕 𝟐 − 𝒖𝒏 > 𝟎 Pour 𝒏 = 𝟏 on a
𝟏
− 𝟏 = 𝟐(
𝟏
− 𝟏)
𝒖 𝒖𝟐 𝒖𝟏
Donc 𝒖𝒏+𝟏 = 𝒏 > 𝟎 (**)
𝟐−𝒖𝒏 ………………..
De (*) et (**) on déduit que 𝟎 < 𝒖𝒏+𝟏 ≤ 𝟏 Pour 𝒏 − 𝟐 on a
𝟏
− 𝟏 = 𝟐(
𝟏
− 𝟏)
𝒖𝒏−𝟏 𝒖𝒏−𝟐
➢ D'après le principe de récurrence, on a
𝟏 𝟏
∀𝒏 ∈ ℕ : 𝟎 < 𝒖𝒏 ≤ 𝟏 Pour 𝒏 − 𝟏 on a − 𝟏 = 𝟐( − 𝟏)
𝒖𝒏 𝒖𝒏−𝟏
2) Montrer que la suite (𝒖𝒏 ) est En multipliant les égalités terme à terme
décroissante puis déduire qu’elle est Donc
𝟏
− 𝟏 = 𝟐𝒏 (
𝟏
− 𝟏)
convergente 𝒖𝒏 𝒖𝟎
𝟏 𝟏
Rappel : Suite croissante ; décroissante Donc − 𝟏 = 𝟐𝒏 (𝟐 − 𝟏) Donc = 𝟐𝒏 + 𝟏
𝒖𝒏 𝒖𝒏
➢ 𝑼𝒏+𝟏 − 𝑼𝒏 > 𝟎 ⇒ (𝑼𝒏 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒄𝒐𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆 Donc (∀𝒏 ∈ ℕ) : 𝒖𝒏 =
𝟏
𝟐𝒏 +𝟏
2 23F Modèle 01
2ème méthode Correction de l’exercice 2 (2,5 points) :
Rappel : (𝑽𝒏 ) suite géométrique L’espace est menu d’un repère orthonormé
Définition : 𝑽𝒏+𝟏 = 𝒒 𝑽𝒏 Soient les points 𝑨 (𝟐 ; 𝟐 ; 𝟐) ; 𝑩 (𝟐 ; 𝟒 ; 𝟎)
𝑽𝒏 en fonction de n : 𝑽𝒏 = 𝑽𝒑 × 𝒒𝒏−𝒑 𝒆𝒕 𝑪 (𝟔 ; 𝟐 ; −𝟐) et (S) la sphère de centre
Cas particulier : 𝑽𝒏 = 𝑽𝟎 × 𝒒𝒏 Ω(3 ;3 ;3) et de rayon 𝒓 = √𝟑
On pose : 𝒗𝒏 =
𝟏
− 𝟏 pour tout (𝒏 ∈ ℕ) 1) a) Montrer que les points A ; B et C ne sont
𝒖𝒏
𝟏 𝟏 pas alignés
Et on a (∀𝒏 ∈ ℕ) : − 𝟏 = 𝟐( − 𝟏) Rappel :
Donc (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝒗𝒏+𝟏 = 𝟐 𝒗𝒏 Condition de colinéarité de deux vecteurs
Donc (𝒗𝒏 ) est une suite géométrique et de Soient ⃗𝑼 ⃗⃗(𝒙; 𝒚; 𝒛) 𝒆𝒕 ⃗𝑽⃗(𝒙′ ; 𝒚′ ; 𝒛′ )deux vecteurs
𝟏 𝟏
raison 𝟐 et 𝒗𝟎 = −𝟏= 𝟏 −𝟏=𝟐−𝟏=𝟏 ⃗𝑼
𝒖𝟎
𝟐
𝒚 𝒚′ 𝒙 𝒙′
Donc 𝒗𝒏 = 𝒗𝟎 × (𝒒)𝒏−𝟎 = (𝟐)𝒏 ∆𝒙 = | | ; ∆𝒚 = | 𝒙 𝒙′ | 𝒆𝒕 ∆𝒛 = | |
𝟏 𝟏 𝟏
𝒗𝒏 = −𝟏⇒ = 𝒗𝒏 + 𝟏 ⇒ 𝒖𝒏 = 𝟎 𝟒
𝒖𝒏 𝒖𝒏 𝒗𝒏 + 𝟏 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
On a 𝑨𝑩 ( 𝟐 ) et 𝑨𝑪 ( 𝟎 ),
𝟏 −𝟐 −𝟒
⇒ 𝒖𝒏 = , 𝒄𝒂𝒓 𝒗𝒏 = (𝟐)𝒏
(𝟐 )𝒏 + 𝟏 𝟐 𝟎
Donc ∆𝒙 = | | = −𝟖 ≠ 𝟎
Calculer la limite de (𝒖𝒏 ) −𝟐 − 𝟒
Rappel : Donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪 ne sont pas
• −𝟏 < 𝒒 < 𝟏 ⇒ 𝐥𝐢𝐦 𝒒𝒏 = 𝟎 colinéaires donc A et B et C ne sont pas alignes
𝒏→+∞
D’où les points A et B et C forment un plan
• 𝒒 > 𝟏⇒ 𝐥𝐢𝐦 𝒒 = +∞ 𝒏
𝒏→+∞ b) Montrer que ⃗⃗⃗⃗ 𝒏 (𝟏; 𝟏; 𝟏) est un vecteur
𝟏
𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 = 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 car 𝐥𝐢𝐦 𝟐𝒏 = +∞ normal au plan (ABC)
𝐧→+∞ 𝐧→+∞ 𝟐𝒏 +𝟏 𝐧→+∞
5) Pour tout 𝒏 ∈ ℕ on pose : 𝑨𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 ne sont pas colinéaires
𝟏 𝟏 𝟏 donc sont des vecteurs directeurs du plan
𝑺𝒏 = + + ⋯+ (ABC) donc il suffit de montrer que :
𝒖𝟎 𝒖𝟏 𝒖𝒏
Montrer que pour tout 𝒏 ∈ ℕ : 𝑺𝒏 = 𝟐𝒏+𝟏 + 𝒏 𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗ 𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪
, puis calculer 𝐥𝐢𝐦 𝑺𝒏 𝟏 𝟎
𝐧→+∞ ⃗⃗⃗⃗. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝒏 𝑨𝑩 = (𝟏) . ( 𝟐 ) = 𝟐 − 𝟐 = 𝟎
Rappel : 𝟏 −𝟐
Somme des termes consécutifs d’une suite 𝑫𝒐𝒏𝒄 ⃗⃗⃗⃗ 𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩
géométrique 𝟏 𝟒
𝟏 − 𝒒𝒏+𝟏 ⃗⃗⃗⃗. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝒏 𝑨𝑪 = (𝟏) . ( 𝟎 ) = 𝟒 − 𝟒 = 𝟎
𝑺𝒏 = 𝟏 + 𝒒𝟏 + ⋯ + 𝒒𝒏 = ; 𝒒≠𝟏 𝟏 −𝟒
𝟏−𝒒
𝟏 𝟏 𝑫𝒐𝒏𝒄 ⃗⃗⃗⃗ 𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪
On a 𝒖𝒏 = donc = 𝟐𝒏 + 𝟏 donc
𝟐𝒏 +𝟏 𝒖𝒏 c) Vérifier que 𝒙 + 𝒚 + 𝒛 − 𝟔 = 𝟎 est une
𝟏 𝟏 𝟏
𝑺𝒏 = + + ⋯+ équation cartésienne du plan (𝑨𝑩𝑪)
𝒖 𝟎 𝒖𝟏 𝒖𝒏 Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑨𝑩𝑪)
= 𝟐 + 𝟏 + 𝟐 + 𝟏 + ⋯ + 𝟐𝒏 + 𝟏
𝟎 𝟏
𝟏
= 𝟐𝟎 + 𝟐𝟏 + ⋯ + 𝟐𝒏 + 𝟏 + 𝟏 + ⋯ + 𝟏 On a le vecteur 𝒏 ⃗⃗ (𝟏) est normale à (𝑨𝑩𝑪)
𝟐𝒏+𝟏 −𝟏 𝟏
= + 𝟏 × (𝒏 + 𝟏) = 𝟐𝒏+𝟏 + 𝒏
𝟐−𝟏 Donc 𝑨𝑩𝑪 : 𝟏 × 𝒙 + 𝟏 × 𝒚 + 𝟏 × 𝒛 + 𝒅 = 𝟎
( )
𝐥𝐢𝐦 𝑺𝒏 = 𝐥𝐢𝐦 𝟐𝒏+𝟏 + 𝒏 = +∞ Donc (𝑨𝑩𝑪): 𝒙 + 𝒚 + 𝒛 + 𝒅 = 𝟎
𝐧→+∞ 𝐧→+∞
3 23F Modèle 01
Et on a 𝑨(𝟐, 𝟐, 𝟐) ∈ (𝑨𝑩𝑪) donc on remplace 𝒙 =𝟑+𝒕
;
les coordonnées de A dans 𝟐 + 𝟐 + 𝟐 + 𝒅 = 𝟎 On remplace −𝟏 dans{ 𝒚=𝟑+𝒕
donc 𝟔 + 𝒅 = 𝟎 donc 𝒅 = −𝟔 𝒛=𝟑+𝒕
D’où (𝑨𝑩𝑪): 𝒙 + 𝒚 + 𝒛 − 𝟔 = 𝟎 𝒙=𝟑−𝟏 =𝟐
2) a) Montrer que le plan (ABC) est tangent On trouve { 𝒚 = 𝟑 − 𝟏 = 𝟐
à la sphère (S) et que 𝑨 ∈ (𝑺) 𝒛=𝟑−𝟏 =𝟐
Donc 𝑯(𝟐; 𝟐; 𝟐)
Rappel :
Donc H=A
DISTANCE D’UN POINT à UN PLAN
| 𝒂𝒙𝛀 + 𝒃𝒚𝛀 + 𝒄𝒛𝛀 + 𝒅| 3) Soit 𝑴 (𝒂 ; 𝒃 ; 𝒄) un point du plan (ABC)
𝒅(𝛀; (𝑷)) = tels que a ;b ;et c sont des réels
√𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐
a) Montrer que 𝜴𝑴 ≥ 𝒓
On a Ω(3 ;3 ;3) et (𝑨𝑩𝑪): 𝒙 + 𝒚 + 𝒛 − 𝟔 = 𝟎
| 𝟑 + 𝟑 + 𝟑 − 𝟔| 𝟑 On a 𝐌 (𝐚 ; 𝐛 ; 𝐜) un point du plan (ABC)
𝒅(Ω; (𝑨𝑩𝑪) = = = √𝟑
√𝟏𝟐 + 𝟏𝟐 + 𝟏𝟐 √𝟑 Donc 𝐚 + 𝐛 + 𝐜 − 𝟔 = 𝟎
Donc 𝒅(Ω; (𝑨𝑩𝑪) = √𝟑 = 𝒓 On a 𝐝(Ω; (𝐀𝐁𝐂) = 𝛀𝐀 = 𝐫 la plus petite
Donc (ABC) est tangent à la sphère (S)
distance entre Ω 𝐞𝐭 (𝐀𝐁𝐂) car A la projection
Montrons que 𝑨 ∈ (𝑺)
𝟏 orthogonale de Ω sur (𝐀𝐁𝐂)
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (𝟏) Donc 𝑨Ω = √𝟏𝟐 + 𝟏𝟐 + 𝟏𝟐 = √𝟑
On a 𝑨Ω Donc 𝛀𝐌 ≥ 𝛀𝐀
𝟏
Donc 𝑨 ∈ (𝑺 Donc 𝛀𝐌 ≥ 𝐫
b) Déterminer le triplet des coordonnées de
point de contact de (ABC) et (S) b) En déduire que 𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 ≥ 𝟏𝟐
1ère méthode On a 𝛀𝐌 = √(𝐚 − 𝟑)𝟐 + (𝐛 − 𝟑)𝟐 + (𝐜 − 𝟑)𝟐
On a 𝐀 ∈ (𝐒) et 𝐀 ∈ (𝐀𝐁𝐂)
Donc le plan (ABC) est tangent à la sphère Donc 𝛀𝐌𝟐 = (𝐚 − 𝟑)𝟐 + (𝐛 − 𝟑)𝟐 + (𝐜 − 𝟑)𝟐
(S) au point A Donc 𝛀𝐌𝟐 = 𝐚𝟐 + 𝐛𝟐 + 𝐜 𝟐 − 𝟔(𝐚 + 𝐛 + 𝐜) + 𝟐𝟕
2ère méthode Et on a 𝐌 (𝐚 ; 𝐛 ; 𝐜) un point du plan (ABC)
Rappel :
Donc 𝐚 + 𝐛 + 𝐜 − 𝟔 = 𝟎
Pour déterminer les cordonnées de H on
résoudre le système suivant : Donc 𝐚 + 𝐛 + 𝐜 = 𝟔
𝒙 = 𝒙𝛀 + 𝒂𝒕
; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹) Donc 𝛀𝐌𝟐 = 𝐚𝟐 + 𝐛𝟐 + 𝐜 𝟐 − 𝟑𝟔 + 𝟐𝟕
(𝛀𝐇): {𝒚 = 𝒚𝛀 + 𝒃𝒕
{ 𝒛 = 𝒛𝛀 + 𝒄𝒕 Donc 𝛀𝐌𝟐 = 𝐚𝟐 + 𝐛𝟐 + 𝐜 𝟐 − 𝟗
(𝑷) : 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎
Et on a 𝛀𝐌 ≥ √𝟑
(x;y;z) les coordonnées de H vérifie le
𝒙=𝟑+𝒕 Donc 𝛀𝐌𝟐 ≥ 𝟑
(𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
(𝛀𝐇): {𝒚 = 𝟑 + 𝒕 Donc 𝐚𝟐 + 𝐛𝟐 + 𝐜 𝟐 − 𝟗 ≥ 𝟑
système{
𝒛=𝟑+𝒕
(𝑨𝑩𝑪) : 𝒙 + 𝒚 + 𝒛 − 𝟔 = 𝟎 Donc 𝐚𝟐 + 𝐛𝟐 + 𝐜 𝟐 ≥ 𝟏𝟐
Donc 𝟑 + 𝒕 + 𝟑 + 𝒕 + 𝟑 + 𝒕 − 𝟔 = 𝟎
Donc 𝟑𝒕 + 𝟑 = 𝟎
𝟑
Donc 𝒕 = − = −𝟏
𝟑
4 23F Modèle 01
𝝅
Correction de l’exercice 3 (3,5 points) : Montrons que 𝒃 = 𝒄𝒆𝒊𝟔
A) Résoudre dans ℂ l’équation 𝝅 √𝟑 𝟏
(𝐄): 𝐳 𝟐 + √𝟑 𝐳 + 𝟏 = 𝟎 𝒄𝒆𝒊𝟔 = 𝐛̅𝒂 = (𝟐 + √𝟑 − 𝐢)(+ 𝐢)
𝟐 𝟐
Rappel Soit dans C l’équation (𝑬) : 𝒂𝒛𝟐 + 𝟑 √𝟑 √𝟑 𝟏
𝒃𝒛 + 𝒄 = 𝟎 tels que a ; b et c sont des réels = √𝟑 + 𝒊 + + 𝐢− 𝐢+
𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
Si 𝚫 = 𝒃𝟐 − 𝟒𝒂𝒄 < 0 , alors l’équation (𝑬) a = 𝟐 + √𝟑 + 𝐢
deux racines complexes conjuguées =𝒃
−𝒃+𝒊√−𝚫
𝒛𝟏 𝒆𝒕 𝒛𝟐 tel que ∶ 𝒛𝟏 = et 𝒛𝟐 = 𝒛
̅̅̅𝟏 Donc 𝑹(𝑪) = 𝑩
𝟐𝒂 𝛑
(𝐄): 𝐳 𝟐 + √𝟑 𝐳 + 𝟏 = 𝟎 b) Montrer que 𝒂𝒓𝒈(𝒃) ≡ [𝟐𝝅]
𝟏𝟐
𝟐 Rappel ;
𝚫 = (√𝟑) − 𝟒 × 𝟏 × 𝟏
• 𝐚𝐫𝐠(𝒛𝒛′ ) ≡ 𝐚𝐫𝐠(𝒛) + 𝐚𝐫𝐠(𝒛′ ) [𝟐𝝅]
= −𝟏 < 𝟎
• 𝐚𝐫𝐠(𝒛̅) ≡ − 𝐚𝐫𝐠(𝒛) [𝟐𝝅]
Alors l’équation (𝐄) a deux racines
• 𝒛 = 𝒂 ∈ ℝ∗+ ⇔ 𝐚𝐫 𝐠(𝒛) ≡ 𝟎 [𝟐𝝅] et ∣ 𝒛 ∣= 𝒂
complexes conjuguées𝐳𝟏 𝐞𝐭 𝐳𝟐 𝐝𝐨𝐧𝐧é𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫 ∶
On a 𝐑(𝐂) = 𝐁 donc 𝐛 = 𝐜𝐚
√𝟑 + 𝐢√𝟏 √𝟑 𝟏
𝐳𝟏 = = + 𝐢 Donc 𝐚𝐫𝐠(𝐛) ≡ 𝐚𝐫𝐠(𝐜𝐚)[𝟐𝛑]
𝟐×𝟏 𝟐 𝟐
Donc 𝐚𝐫𝐠(𝐛) ≡ 𝐚𝐫𝐠(𝐜) + 𝐚𝐫𝐠(𝐚)[𝟐𝛑]
𝐞𝐭 𝐳𝟐 = ̅̅̅𝐳𝟏 𝛑
√𝟑 𝟏 √𝟑 𝟏 Donc 𝐚𝐫𝐠(𝐛) ≡ 𝐚𝐫𝐠(𝐛̅) + [𝟐𝛑]
𝑺={ + 𝐢 ; − 𝐢} 𝟔
𝛑
𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
Donc 𝐚𝐫𝐠(𝐛) ≡ −𝐚𝐫𝐠(𝐛) + [𝟐𝛑]
B) On considère 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬 𝐀 ; B ; C et D 𝛑
𝟔
√𝟑 𝟏 Donc 𝟐𝐚𝐫𝐠(𝐛) ≡ [𝟐𝛑]

d’affixes respectifs 𝒂 = + 𝐢 ; 𝟔
𝟐 𝟐 Comme 𝐑𝐞(𝐛) > 𝟎 et 𝐈𝐦(𝐛) > 𝟎
𝐛 = 𝟐 + √𝟑 + 𝐢 ; 𝐜 = 𝐛̅ et 𝐝 = 𝐛𝟏𝟐 𝛑
Alors 𝐚𝐫𝐠(𝐛) ≡ [𝟐𝛑]
1) Ecrire 𝒂 sous forme exponentielle puis 𝟏𝟐
3) Soit 𝒆 l’affixe du point 𝑬 l’image de B par
montrer que |𝒃| = √𝟖 + 𝟒√𝟑 la translation 𝑻 de vecteur ⃗𝒗⃗
√𝟑 𝟏 Rappel :de vecteur 𝒖 ⃗⃗(𝒛𝒖⃗⃗ )
𝒂= + 𝐢
𝟐 𝟐 Soit M’(z’) l’image de point M(z) par
𝝅 𝝅 𝒊
𝝅
= (𝐜𝐨𝐬 + 𝐢 𝐬𝐢𝐧 ) = 𝒆 𝟔
translation 𝑻𝒖⃗⃗ de vecteur 𝒖 ⃗⃗ d’affixe 𝒛𝒖⃗⃗
𝟔 𝟔
𝟐 𝑻𝒖⃗⃗ (𝑴) = 𝑴 ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
′
𝐌𝐌′ = ⃗𝑼 ⃗⃗ ⇔ 𝒛′ = 𝒛 + 𝒛𝒖⃗⃗
|𝒃| = √(𝟐 + √𝟑) + 𝟏 𝟐
𝒅
a) Montrer que = 𝒊(𝟖 + 𝟒√𝟑)𝟔
𝒆−𝒃
= √𝟒 + 𝟒√𝟑 + 𝟑 + 𝟏 = √𝟖 + 𝟒√𝟑 On a 𝑻(𝑩) = 𝑬 donc ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐁𝐄 = 𝒗 ⃗⃗ donc 𝒆 − 𝒃 = 𝒊
𝟏𝟐 𝟏𝟐
𝛑 𝒅 𝐛 𝐢𝐛
2) R la rotation de centre O et d’angle = = 𝟐 = −𝐢𝐛𝟏𝟐
𝟔
𝒆−𝒃 𝒊 𝒊
a) Montrer que B est l’image de C par R 𝟏𝟐
𝝅
Rappel : = −𝒊 (√𝟖 + 𝟒√𝟑 𝒆 ) 𝒊
𝟏𝟐
Rotation R de centre 𝛀(𝝎) et d’angle 𝜽

𝟏𝟐
Soit M’(z’) l’image du point M(z) par la 𝝅 𝟏𝟐
= −𝒊 (√𝟖 + 𝟒√𝟑 ) (𝒆𝒊𝟏𝟐 )
Rotation R de centre 𝜴(𝝎) 𝒆𝒕 𝒅′ 𝒂𝒏𝒈𝒍𝒆 𝜽
𝟔 𝝅
′
𝛀𝐌 = 𝛀𝐌′ = −(𝟖 + 𝟒√𝟑) 𝒊𝒆𝒊𝟏𝟐×𝟏𝟐
( )
𝑹 𝑴 = 𝑴 ⇔ {̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
(𝛀𝐌 𝛀𝐌′ ) ≡ 𝜽[𝟐𝝅] 𝟔
= −(𝟖 + 𝟒√𝟑) 𝒊𝒆𝒊𝝅 = 𝒊(𝟖 + 𝟒√𝟑)𝟔
⇔ 𝒛′ − 𝝎 = 𝒆𝒊𝜽 (𝒛 − 𝝎)
5 23F Modèle 01
b) En déduire que les droites (𝑩𝑬) et 𝟐𝟑
1) Montrer que 𝑷(𝑨) =
(𝑶𝑫) sont perpendiculaires 𝟔𝟎
On a
𝒅
= 𝒊(𝟖 + 𝟒√𝟑)𝟔 𝑨: ‟ Les boules tirées portant des nombres
𝒆−𝒃
𝒅 impairs ”
Donc 𝐚𝐫𝐠( ) ≡ 𝐚𝐫𝐠(𝒊(𝟖 + 𝟒√𝟑)𝟔 )[𝟐𝛑] On a la probabilité de choisir au hasard l’un
𝒆−𝒃
Donc des urnes est :
𝟏
donc
𝒅 𝟔 𝟐
𝐚𝐫𝐠 ≡ 𝐚𝐫𝐠(𝐢) + 𝐚𝐫𝐠((𝟖 + 𝟒√𝟑) )[𝟐𝛑]
𝒆−𝒃 𝟏 𝑪𝟐𝟒 𝟏 𝑪𝟐𝟐
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗) ≡ 𝛑 + 𝟎[𝟐𝛑]
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗, 𝑶𝑫 𝑷(𝑨) = × 𝟐 + × 𝟐
Donc (𝑩𝑬 𝟐 𝑪𝟓 𝟐 𝑪𝟒
𝟐
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝛑
Donc (𝑩𝑬 𝑶𝑫) ≡ [𝟐𝛑] 𝟒×𝟑
𝟐 𝟏 𝟐 𝟏 𝟏
Donc les droites (𝑩𝑬) et (𝑶𝑫) sont = × 𝟓×𝟒
+ × 𝟒×𝟑
𝟐 𝟐
perpendiculaires 𝟐 𝟐
4) Déterminer l’ensemble des points M 𝟒×𝟑 𝟏 𝟑 𝟏 𝟐𝟑

= + = + =
d’affixe z qui vérifie |𝒛̅ − 𝟐 − √𝟑 − 𝒊| = 𝟓 𝟓 × 𝟒 × 𝟐 𝟒 × 𝟑 𝟏𝟎 𝟏𝟐 𝟔𝟎
𝟐𝟑
Rappel : Ensemble des points M(z) Donc 𝑷(𝑨) =
𝟔𝟎
➢ l’ensemble des points M d’affixe z tel 𝟏
que : |𝒛 − 𝒛𝑨 | = 𝒓 est un cercle de centre 2) Montrer que 𝑷(𝑩) =
𝟏𝟐
𝑨(𝒛𝑨 ) et de rayon r ;𝒓 >0 𝑩: ‟ Les boules tirées portant des nombres
➢ l’ensemble des points M d’affixe z tel pairs ”
que : |𝒛 − 𝒛𝑨 | = |𝒛 − 𝒛𝑩 | est la droite (D)
𝟏 𝟏 𝑪𝟐𝟐
le médiatrice du segment [AB] 𝑷(𝑩) = × 𝟎 + × 𝟐
𝟐 𝟐 𝑪𝟒
|𝒛̅ − 𝟐 − √𝟑 − 𝒊| = 𝟓 ⟺ |𝒛̅ − 𝒃| = 𝟓
𝟏 𝟏
⟺ |𝒛̅ − 𝒄̅| = 𝟓 = × 𝟒×𝟑
⟺ |𝒛 − 𝒄| = 𝟓
̅̅̅̅̅̅̅ 𝟐
𝟐
⟺ |𝒛 − 𝒄| = 𝟓 𝟏
⟺ 𝑪𝑴 = 𝟓 =
𝟏𝟐
Donc l’ensemble des points M d’affixe z est 𝟏
Donc 𝑷(𝑩) =
un le cercle de centre 𝑪 et de rayon 5 𝟏𝟐
3) Calculer 𝑷(𝑪)
Correction de l’exercice 4 (2 points) : 𝑪: ‟ Une boule porte un nombre pair et l’autre
porte un nombre impaire ”
Une urne 𝑼𝟏 contient cinq boules portant les 𝟏 𝑪𝟏𝟒 × 𝑪𝟏𝟏 𝟏 𝑪𝟏𝟐 × 𝑪𝟏𝟐
𝑷(𝑪) = × + ×
nombres 1 ;1 ;1 ;2 ;3 et une urne 𝑼𝟐 contient 𝟐 𝑪𝟐𝟓 𝟐 𝑪𝟐𝟒
quatre boules portant les nombres 1 ;1 ;2 ;2 𝟏 𝟒 𝟏 𝟐×𝟐
On suppose que les boules sont = × 𝟓×𝟒 + × 𝟒×𝟑
𝟐 𝟐
indiscernables au toucher 𝟐 𝟐
On choisit au hasard l’un des urnes et on tire 𝟏 𝟒 𝟐𝟏

= + =
simultanément deux boules de cette urne 𝟓 𝟏𝟐 𝟑𝟎
On considère les évènements suivants : Donc 𝑷(𝑪) =
𝟐𝟏
𝟑𝟎
6 23F Modèle 01
Problème (9 points) : 2ème méthode :
A) Soit g la fonction définie sur ]𝟎; +∞[par : Soit 𝐱 ∈ ]𝟎, ]
𝟏
𝒆
𝐠(𝐱) = 𝟏 + 𝐱 𝒍𝒏 𝒙 𝟏 𝟏
1) Montrer que : 𝐱 ∈ ]𝟎, ] ⟹ 𝒙 ≤
𝒆 𝒆
∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[ ; 𝒈′ (𝐱) = 𝟏 + 𝒍𝒏(𝒙) 𝟏
On a g est dérivable sur ]𝟎; +∞[ car c’est une ⟹ 𝐠(𝐱) ≥ 𝐠 ( ) 𝐜𝐚𝐫 𝐠 𝐞𝐬𝐭 𝐝é𝐜𝐫𝐨𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐭𝐞
𝒆
somme et produit des fonctions dérivables 𝟏 𝟏
⟹ 𝒈(𝒙) ≥ 𝟏 − ⟹ 𝒈(𝒙) > 𝟎 𝒄𝒂𝒓 𝟏 − > 𝟎
sur ]𝟎; +∞[ 𝒆 𝒆
Soit 𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[ 𝟏
Soit 𝐱 ∈ [ ; +∞[
𝒆
𝟏 𝟏 𝟏
𝐠′(𝐱) = 𝟏 × 𝒍𝒏 𝒙 + 𝒙 × = 𝒍𝒏 𝒙 + 𝟏 𝐱 ∈ [ ; +∞[ ⟹ 𝒙 ≥
𝒙 𝒆 𝒆
2) Montrer que la fonction 𝒈 est 𝟏
𝟏 ⟹ 𝐠(𝐱) ≥ 𝐠 ( ) 𝐜𝐚𝐫 𝐠 𝐞𝐬𝐭 𝐜𝐫𝐨𝐢𝐬𝐬𝐧𝐚𝐭𝐞
décroissante sur l’intervalle ]𝟎, ] et 𝒆
𝒆
𝟏 𝟏 𝟏
croissante sur l’intervalle [ ; +∞[ ⟹ 𝒈(𝒙) ≥ 𝟏 − ⟹ 𝒈(𝒙) > 𝟎 𝒄𝒂𝒓 𝟏 − > 𝟎
𝒆 𝒆 𝒆
𝟏
Soit 𝐱 ∈ ]𝟎, ] D’où ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝒈(𝐱) > 𝟎
𝒆 𝒙
𝟏 𝟏 𝒇(𝐱 ) = ;𝒙 > 𝟎
𝐱 ∈ ]𝟎, ] ⟹ 𝒙 ≤ B)𝒇 la fonction tel que : { 𝟏+𝒙𝒍𝒏 𝒙
𝒆 𝒆 𝒇(𝟎 ) = 𝟎
𝟏 1) a) Montrer que 𝑫𝒇 = [𝟎; +∞[
⟹ 𝐥𝐧𝒙 ≤ 𝐥𝐧( )
𝒆 𝐱 ∈ 𝑫𝒇 ⟺ (𝒙 > 𝟎 𝒆𝒕 𝟏 + 𝒙𝒍𝒏 𝒙 ≠ 𝟎) 𝒐𝒖 𝒙 = 𝟎
⟹ 𝒍𝒏 𝒙 ≤ −𝒍𝒏(𝒆) ⟹ 𝒍𝒏 𝒙 ≤ −𝟏
On a ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝒈(𝐱) > 𝟎
⟹ 𝒍𝒏 𝒙 + 𝟏 ≤ 𝟎 ⟹ 𝒈′(𝒙) ≤ 𝟎
𝟏
Donc ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝒈(𝐱) ≠ 𝟎
⟹ 𝒈 est décroissante sur ]𝟎, ] Donc 𝑫𝒇 = ]𝟎; +∞[ ∪ {𝟎}
𝒆
𝟏
Soit 𝐱 ∈ [ ; +∞[ Donc 𝑫𝒇 = [𝟎; +∞[
𝒆
𝟏 𝟏 𝟏 b) Montrer que la fonction f est continue à
𝐱 ∈ [ ; +∞[ ⟹ 𝒙 ≥ ⟹ 𝐥 𝐧 𝒙 ≥ 𝐥 𝐧 ( ) droite en 0
𝒆 𝒆 𝒆
𝒙
⟹ 𝒍𝒏 𝒙 ≥ −𝒍𝒏(𝒆) ⟹ 𝒍𝒏 𝒙 ≥ −𝟏 𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦+ =𝟎
𝐱→𝟎 𝐱→𝟎 𝟏+𝒙𝒍𝒏 𝒙
⟹ 𝒍𝒏 𝒙 + 𝟏 ≥ 𝟎 ⟹ 𝒈′(𝒙) ≥ 𝟎 Car 𝐥𝐢𝐦+𝒙𝒍𝒏 𝒙 = 𝟎 𝐥𝐢𝐦+𝒙 = 𝟎
𝟏 𝐱→𝟎 𝐱→𝟎
⟹ 𝒈 est croissante sur [ ; +∞[ Donc 𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝐱) = 𝒇(𝟎)
𝒆
𝐱→𝟎
3) En déduire que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝒈(𝐱) > 𝟎
Donc la fonction f est continue à droite en 0
1ème méthode :
2) Montrer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = 𝟎 puis interpréter le
On a la fonction 𝒈 est décroissante sur 𝐱→+∞
𝟏 résultat géométriquement
l’intervalle ]𝟎, ] et croissante sur 𝒙 𝒙
𝒆
𝟏 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦 𝟏
l’intervalle [ ; +∞[ donc g admet une 𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝟏 + 𝒙𝒍𝒏 𝒙 𝐱→+∞ 𝒙( + 𝒍𝒏 𝒙)
𝒆 𝒙
𝟏 𝟏
valeur minimale en = 𝐥𝐢𝐦 =𝟎
𝒆
𝟏 𝐱→+∞ 𝟏 + 𝒍𝒏 𝒙
Donc ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[: 𝒈(𝒙) ≥ 𝒈( ) 𝒙
𝒆 𝟏
𝟏 Car 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 et 𝐥𝐢𝐦 𝒍𝒏 𝒙 = −∞
Donc ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[: 𝒈(𝒙) ≥ 𝟏 − 𝐱→+∞ 𝒙 𝐱→+∞
𝒆
𝟏 Donc (𝓒) admet une branche parabolique de
Donc ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝒈(𝐱) > 𝟎 𝒄𝒂𝒓 𝟏 − > 𝟎
𝒆 direction (Ox) au voisinage de +∞
7 23F Modèle 01
3) a) Montrer que f est dérivable à droite 4) a) Montrer que :
de 0 puis en déduire que (𝑪) admet une (∀𝐱 ∈ ]𝟎, +∞[): 𝐟 ′ (𝐱) =
𝟏−𝐱
(𝟏+𝒙𝒍𝒏𝒙 )𝟐
demi-tangente (T) d’équation 𝒚 = 𝒙 au
Rappel
point O
𝒙 ➢ La fonction ln est définit et dérivable
𝒇(𝐱) − 𝒇(𝟎)
𝐥𝐢𝐦+ = 𝐥𝐢𝐦+ 𝟏+𝒙𝒍𝒏 𝒙 sur l’intervalle ]𝟎, +∞[
𝐱→𝟎 𝒙−𝟎 𝐱→𝟎 𝒙 𝟏
𝒙 ➢ Pour tout 𝒙 de ]𝟎, +∞[ : 𝒍𝒏′ (𝒙) =
= 𝐥𝐢𝐦+ 𝒙
𝐱→𝟎 𝒙(𝟏 + 𝒙𝒍𝒏 𝒙) 𝒖 ′ 𝒖′ 𝒗+𝒖𝒗′
𝟏 ➢ ( ) = et (𝒖𝒗)′ = 𝒖′ 𝒗 + 𝒖𝒗′
𝒗 𝒗𝟐
= 𝐥𝐢𝐦+ 𝒙
𝐱→𝟎 (𝟏 + 𝒙𝒍𝒏 𝒙) La fonction 𝒇: 𝒙 ↦ est dérivable sur
𝟏+𝒙𝒍𝒏 𝒙
=𝟏∈ℝ ]𝟎, +∞[car la fonction 𝒙 ↦ 𝟏 + 𝒙𝒍𝒏𝒙 est
Car 𝐥𝐢𝐦+𝒙𝒍𝒏 𝒙 = 𝟎 dérivable sur ]𝟎, +∞[ (Produit)
𝐱→𝟎
Donc f est dérivable à droite de 0 et ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝟏 + 𝒙𝒍𝒏𝒙 ≠ 𝟎
Donc (𝑪) admet une demi-tangente (T) Soit 𝐱 ∈ ]𝟎, +∞[
d’équation 𝒚 = 𝒙 au point O d’équation 𝟏 × (𝟏 + 𝒙𝒍𝒏𝒙) − 𝒙(𝟏 × 𝒍𝒏𝒙 + 𝒙 × )
𝟏
𝒙
𝒚 = 𝒇𝒅 ′ (𝟎)(𝒙 − 𝟎) + 𝒇(𝟎) 𝐟 ′ (𝐱) =
(𝟏 + 𝒙𝒍𝒏𝒙 )𝟐
Donc (𝑻): 𝒚 = 𝒙 𝟏 + 𝒙𝒍𝒏𝒙 − 𝒙𝒍𝒏𝒙 − 𝐱 𝟏−𝐱
b) Montrer que la courbe (𝑪) est au-dessus =
(𝟏 + 𝒙𝒍𝒏𝒙 )𝟐
=
(𝟏 + 𝒙𝒍𝒏𝒙 )𝟐
de (T) sur [𝟎; 𝟏] et au-dessous de (T) sur b) Dresser le tableau de variation de f sur
l’intervalle [𝟏; +∞[ [𝟎; +∞[ en justifiant votre réponse
Soit 𝐱 ∈ ]𝟎, +∞[
On a ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; (𝟏 + 𝒙𝒍𝒏𝒙 )𝟐 > 𝟎
𝒙
𝒇(𝒙) − 𝒙 = −𝒙 Donc le signe de f’ est le signe de 𝟏 − 𝐱 qui
𝟏 + 𝒙𝒍𝒏 𝒙
𝒙 − 𝒙 − 𝒙𝟐 𝒍𝒏 𝒙 s’annule en 1 d’où le tableau suivant :
= 𝒙 𝟎 𝟏 +∞
′( )
−𝒙𝟐 𝒍𝒏 𝒙 𝒇 𝒙 − 𝟎 +
= 1
On a ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝒈(𝐱) > 𝟎 d’après A)3) 𝒇(𝒙)
Donc ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝟏 + 𝒙𝒍𝒏 𝒙 > 𝟎 𝟎 𝟎
Soit 𝐱 ∈ [𝟎; 𝟏] 5) Tracer (T) et la courbe (𝓒) dans (𝑶, 𝒊⃗ , 𝒋⃗ )
𝐱 ∈ [𝟎; 𝟏] ⟹ 𝒙 ≤ 𝟏
⟹ 𝐥𝐧 𝒙 ≤ 𝟎
⟹ −𝒙𝟐 𝒍𝒏 𝒙 ≥ 𝟎
⟹ 𝒇(𝒙) − 𝒙 ≥ 𝟎
Donc (𝑪) est au-dessus de (T) sur [𝟎; 𝟏]
Soit 𝐱 ∈ [𝟏; +∞[
𝐱 ∈ [𝟏; +∞[ ⟹ 𝒙 ≥ 𝟏
⟹ 𝐥𝐧 𝒙 ≥ 𝟎
⟹ −𝒙𝟐 𝒍𝒏 𝒙 ≤ 𝟎
⟹ 𝒇(𝒙) − 𝒙 ≤ 𝟎
Donc (𝑪) est au-dessous de (T) sur[𝟏; +∞[
8 23F Modèle 01
6) Déterminer graphiquement le nombre 8) Soit 𝑨 l’aire en 𝒄𝒎𝟐 du domaine délimité
de solutions de l’équation par la courbe (𝓒) et l’axe des abscisses et
(𝑬): 𝟏 − 𝟐𝒙 + 𝒙𝒍𝒏 𝒙 = 𝟎 les droites d’équations 𝒙 = 𝟏 et 𝒙 = 𝒆
(𝑬) ⟺ 𝟏 − 𝟐𝒙 + 𝒙𝒍𝒏 𝒙 = 𝟎 a) Justifier que (∀𝐱 ∈ ]𝟎, +∞[): 𝒇(𝐱) ≤ 𝟏
⟺ 𝟏 + 𝒙𝒍𝒏 𝒙 = 𝟐𝒙 D’après le tableau de variations de f on a 1
𝒙 𝟏 𝟏 est une valeur maximale de f sur ]𝟎, +∞[
⟺ = ⟺ 𝒇(𝒙) =
𝟏 + 𝒙𝒍𝒏 𝒙 𝟐 𝟐 Donc (∀𝐱 ∈ ]𝟎, +∞[): 𝒇(𝐱) ≤ 𝟏
D’après le graphe de f on a la droite 𝟏
𝟏
b) Montrer que (∀𝐱 ∈ [𝟏; 𝒆]): 𝟏 − ≤ 𝒇(𝐱 )
𝟏+𝒙
d’équation 𝒚 = coupe la courbe (𝓒) on
𝟐 Soit 𝐱 ∈ [𝟏; 𝒆]
deux points donc l’équation(𝑬) admet deux 𝐱 ∈ [𝟏; 𝒆] ⟹ 𝒙 ≤ 𝐞
solutions ⟹ 𝒍𝒏(𝒙) ≤ 𝒍𝒏(𝐞)
7) Soit 𝒉 la restriction de 𝒇 sur 𝟏; +∞ .
[ [ ⟹ 𝒍𝒏(𝒙) ≤ 𝟏
a) Montrer que 𝒉 admet une fonction ⟹ 𝒙𝒍𝒏(𝒙) ≤ 𝒙 𝒄𝒂𝒓 𝒙 > 𝟎
réciproque 𝒉−𝟏 définie sur 𝑱 à déterminer ⟹ 𝟏 + 𝒙𝒍𝒏(𝒙) ≤ 𝟏 + 𝒙
On a ∀𝐱 ∈ [𝟏; +∞[; 𝒉(𝒙) ≠ 𝐟(𝐱) 𝟏 𝟏
➢ La fonction h est continue sur [𝟏; +∞[. ⟹ ≤ 𝒄𝒂𝒓 𝟏 + 𝒙𝒍𝒏(𝒙) > 𝟎
𝟏 + 𝒙 𝟏 + 𝒙𝒍𝒏(𝒙)
car f est dérivable sur [𝟏; +∞[. 𝒙 𝒙
⟹ ≤
➢ La fonction h est strictement 𝟏 + 𝒙 𝟏 + 𝒙𝒍𝒏(𝒙)
décroissante sur [𝟏; +∞[. car strictement 𝟏+𝒙−𝟏
⟹ ≤ 𝒇(𝒙)
décroissante est dérivable sur [𝟏; +∞[. 𝟏+𝒙
𝟏
Donc 𝒉 admet une fonction réciproque ⟹𝟏− ≤ 𝒇(𝒙)
𝒉 définie sur 𝑱 = 𝒇( 𝟏; +∞ = 𝟎; 𝟏
−𝟏 [ [ ] ] 𝟏 + 𝒙
𝟏
b) Tracer (𝑪𝒉−𝟏 ) dans le repère (𝑶; 𝒊⃗; 𝒋⃗) Donc (∀𝐱 ∈ [𝟏; 𝒆]): 𝟏 − ≤ 𝒇(𝐱 )
𝟏+𝒙
Rappel : c) Montrer que
Les courbes de h et de 𝐡−𝟏 sont symétriques 𝟐
𝟒(𝒆 − 𝟏) + 𝟒𝒍𝒏( ) ≤ 𝑨 ≤ 𝟒(𝒆 − 𝟏)
par rapport la droite d'équation y=x 𝟏+𝒆
𝒆
On a 𝑨 = ∫𝟏 |𝐟(𝐱)|𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 𝐞𝐭 𝐮. 𝐚 = 𝟒𝐜𝐦𝟐
(𝑪𝒉−𝟏 ) Et (∀𝐱 ∈ [𝟏; 𝒆]): 𝒇(𝒙) > 𝟎
𝒆
Donc 𝑨 = ∫𝟏 𝐟(𝐱)𝐝𝐱 × 𝟒𝐜𝐦𝟐
𝟏
Et on a (∀𝐱 ∈ [𝟏; 𝒆]): 𝟏 − ≤ 𝒇(𝐱 ) ≤ 𝟏
𝟏+𝒙
𝒆 𝟏 𝒆 𝒆
Donc ∫𝟏 𝟏 − 𝐝𝐱 ≤ ∫𝟏 𝐟(𝐱)𝐝𝐱 ≤ ∫𝟏 𝟏𝐝𝐱
𝟏+𝒙
𝒆
Donc [𝒙 − 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙)]𝐞𝟏 ≤ ∫𝟏 𝐟(𝐱)𝐝𝐱 ≤ [𝒙]𝐞𝟏
(𝑪𝒉) 𝒆
𝐞 − 𝐥𝐧(𝟏 + 𝐞) − 𝟏 + 𝐥𝐧𝟐 ≤ ∫𝟏 𝐟(𝐱)𝐝𝐱 ≤ 𝒆 − 𝟏
𝟐 𝒆
Donc (𝒆 − 𝟏) + 𝒍𝒏( ) ≤ ∫𝟏 𝐟(𝐱)𝐝𝐱 ≤ (𝒆 − 𝟏)
𝟏+𝒆
𝟐
D’où 𝟒(𝒆 − 𝟏) + 𝟒𝒍𝒏( ) ≤ 𝑨 ≤ 𝟒(𝒆 − 𝟏)
𝟏+𝒆
1
2 ‫النموذج الثاني‬
Prof
Fayssal RRRRRRRRRRRRRRRR M2-24
Examen blanc de baccalauréat 2024 corrigé

Correction du modèle 02

Nombres complexes et calcul de

Exercice 1 probabilités. 6 points
Problème 11 points
intégral , suite
Prof Fayssal: 0681399067 Site: https://elboutkhili.jimdofree.com/

‫الصفحة‬ ‫ – النموذج الثاني‬2024– ‫االمتحان التجريبي للباكالوريا‬
M2-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
Dans le plan complexe rapporté au repère orthonormé, considérons les points
𝑨(𝒂) ; 𝑩(𝒃) ; 𝑪(𝒄) ; 𝑫(𝒅) tel que : 𝒂 = 𝟏 + 𝒊 ; 𝒃 = 𝒂
̅ ; 𝒄 = −𝟏 + 𝒊 et 𝒅 = −𝒂
0,75 1) a) Déterminer la forme trigonométrique de a et c et vérifier que 𝑶𝑨 = 𝑶𝑪
b) En déduire que les points 𝑨 ; 𝑩 ; 𝑪 𝒆𝒕 𝑫 appartenant au même cercle (C) et
0,5 déterminer le centre et le rayon du cercle (C)
2) a) Montrer que 𝒃 − 𝒂 = 𝒊(𝒄 − 𝒂) et déduire la nature du triangle ABC
0,5 𝝅
b) Déduire que B est l’image du point C par la rotation R de centre A et d’angle
𝟐
0,5
0,5 c) Déterminer l’image du point B par la tarnslation T de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪
0,5 d) Déduire que le quadrilatère ABDC est un carré
3) On considére le point E d’affixe 𝒆 = 𝟏 + 𝟐𝒊
𝒃−𝒂
0,25 a) Vérifier que = −𝟐
𝒆−𝒂
0 ,5
b) En déduire que B est l’image de E par l‘homothétie h de centre 𝑨 et de rapport −𝟐
4) Une urne contient 10 boules indiscernables au toucher , six boules portant les
nombres complexes 𝒂 ; 𝒃 ; 𝒄 ; 𝒅 ; 𝟏 𝒆𝒕 − 𝟏 et quatre boules portant les nombres
complexes 𝒊 ; −𝒊 ; −√𝟐 et √𝟐
On tire au hasard et simultanément deux boules de cette urne
0,25 a) Calculer 𝑷(𝑨) où A‟ Les boules tirées portant des nombres réels ”
b) Calculer 𝑷(𝑩) où 𝑩: ‟ Les boules tirées portant des nombres complexes dont un
0,5 𝝅 𝝅
argument 𝜽 tel que − ≤ 𝜽 ≤ ”
𝟐 𝟐
c) Calculer 𝑷(𝑪) où 𝑪: ‟ Parmi les boules tirées au moins une boule portant un
0,5 nombre complexe dont le module est égale à √𝟐 ”
d) Calculer 𝑷𝑩 (𝑨) ; la probabilité de 𝑨 sachant que l’évènement 𝑩 est réalisé .
0,75 Les événements A et B sont-ils indépendants ? justifier votre réponse ?
L’espace est menu d’un repère orthonormé (O,𝒊⃗ , 𝒋⃗,𝒌 ⃗⃗ ). Soient les points
𝑨 (−𝟏 , 𝟎 ; 𝟏) 𝒆𝒕 𝑩 (𝟏 ; 𝟐 ; 𝟎) et le plan (P) d’équation 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝒛 + 𝟑 = 𝟎
1) a) Vérifier que le vecteur⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 est normal au plan (P)
0,25 b) Déterminer une représentation paramétrique de la droite (AB)
𝟏 𝟑 𝟑
0,25 2) Soit (S) la sphère de centre 𝜴(𝟏 ; ; ) et de rayon 𝒓 =
𝟐 𝟐 𝟐
a) Déterminer une équation cartésienne de la sphère (S)
0,5
b) Montrer que la sphère (S) est tangente au plan (P) en un point I (On ne
0,25 demande pas de déterminer les coordonnées de I )
𝟏
0,75 c) Montrer que la droite (AB) est tangente à la sphère (S) au point 𝑪 (𝟎 ; 𝟏 ; )
𝟐
3) Soit (Q) le plan parallèle à (P) et tangente à (S) en un point J
(On ne demande pas de déterminer les coordonnées de J )
a) Montrer que les points I ; 𝜴 et J sont alignés
0,5
b) En déduire que 𝜴𝑰 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = − 𝟗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗. 𝜴𝑱
0,5 𝟒
‫الصفحة‬ ‫ – النموذج الثاني‬2024– ‫االمتحان التجريبي للباكالوريا‬
M2-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
I) Soit g la fonction numérique définie sur ℝ par :
𝒈 (𝒙) = 𝟏 − (𝒙𝟐 + 𝟏)𝒆 −𝒙 .
1) Montrer que 𝒈′ (𝒙) = (𝒙 − 𝟏)𝟐 𝒆−𝒙 pour tout 𝒙 de ℝ puis en déduire le sens de
0,75 variations de la fonction g sur ℝ
0,75 2) Vérifier que : 𝒈 (𝟎) = 𝟎 puis en déduire le signe de 𝒈(𝒙) sur chacun des
intervalles ]−∞; 𝟎] et [𝟎; +∞[.
II) Soit 𝒇 la fonction numérique définie sur ℝ par :

𝒇 (𝒙) = 𝒙 − 𝟏 + (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟑 )𝒆 −𝐱 .
et (C) sa courbe représentative dans un repère orthonormé (𝟎; 𝒊⃗; 𝒋⃗) (unité :1 cm ).
0,5 1) a) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒇 (𝒙 ) = +∞.
𝒙→+∞
b) Montrer que la droite (D) d'équation 𝒚 = 𝒙 − 𝟏 est une asymptote oblique à la
0,5 courbe (C) au voisinage de +∞
0,5 c) Montrer que la courbe (C) est au-dessus de droite (D) sur ℝ
𝒙𝟐 +𝟐𝒙+𝟑 + 𝒙𝒆𝒙 −𝒆𝒙
2) a) Vérifier que 𝒇(𝒙) = pour tout 𝒙 de ℝ puis calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙).
𝒆𝒙 𝒙→−∞
0,5 𝒇(𝒙)
0,5 b) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 = −∞ et interpréter le résultat géométriquement.
𝒙→−∞ 𝒙
3) a) Montrer que 𝒇 (𝒙) = 𝒈 (𝒙 ) pour tout 𝒙 de ℝ.
′
0,5
b) En déduire que la fonction 𝒇 est décroissante sur ] − ∞;0] et croissante sur [0; +∞[.
0,5
c) Dresser le tableau de variations de la fonction 𝒇.
4) Soit h la fonction définie ℝ sur 𝒉(𝒙) = 𝒇(𝒙) − 𝒙 et la droite (∆) d’équation 𝒚 = 𝒙
0,75 a) Montrer que l’équation 𝒉(𝒙) = 𝟎 admet une unique solution 𝜶 dans l’intervalle
]𝟐; 𝟑[(On prend : 𝒇 (𝟐) ≃ 𝟐. 𝟒 et 𝒇 (𝟑) ≃ 𝟐. 𝟖 )
0,75 b) Montrer que (C) est au-dessus de (∆) sur intervalle] − ∞; 𝜶] et en dessous de
(∆) sur l'intervalle [𝜶 ; +∞[
1 5) Construire (𝑫); (∆) et (𝑪) dans le même repère (𝟎; 𝒊⃗; 𝒋⃗).
6) a) Montrer que la fonction 𝒙 → (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝒆−𝒙 est une primitive de la

0,75 𝟏 𝟐𝒆−𝟓
Fonction 𝒙 → −𝒙𝟐 𝒆−𝒙 sur ℝ puis en déduire que ∫𝟎 𝒙𝟐 𝒆−𝒙 𝒅𝒙 =
𝒆
𝟏 𝒆−𝟐
b) A l'aide d'une intégration par parties montrer que ∫𝟎 𝒙𝒆−𝒙 𝒅𝒙 =
0,5 𝒆
c) Calculer en 𝒄𝒎 l'aire du domaine plan limité par (𝑪) et (𝑫) et les droites
𝟐
0,5 d'équations 𝒙 = 𝟎 et 𝒙 = 𝟏.
III) Soit(𝒖 𝒏 ) la suite numérique définie par : 𝒖𝟎 = 𝟐 𝒆𝒕 𝒖𝒏+𝟏 = 𝒇(𝒖𝒏 ) pour tout 𝒏 de ℕ.
1) Montrer que 𝟐 ≤ 𝒖𝒏 ≤ 𝛂 pour tout 𝒏 de ℕ .
0,5
2) Montrer que la suite (𝒖𝒏 ) est décroissante.
0,5 (On pourra utiliser le résultat de la question II) 4. b))
0,75 3) En déduire que (𝒖𝒏 ) est convergente et déterminer sa limite
Prof Fayssal : 0681399067 Site: https://elboutkhili.jimdofree.com/

4 24F Modèle 2
Correction de l’exercice 1 (6 points) : b) Déduire que le point B est l’image du
On cosnidère les points 𝑨(𝒂) ; 𝑩(𝒃) ; 𝑪(𝒄) point C par la rotation R de centre A et
𝝅
𝑫(𝒅) tel que :𝒂 = 𝟏 + 𝒊 ; 𝒃 = 𝟏 − 𝒊 ; d’angle
𝟐
𝒄 = −𝟏 + 𝒊 et 𝒅 = −𝟏 − 𝒊 On a : 𝒃 − 𝒂 = 𝒊(𝒄 − 𝒂)
1) a) Déterminer la forme trigonométrique 𝛑 𝛑
Donc 𝒃 − 𝒂 = 𝐞𝐢𝟐 (𝒄 − 𝒂) car 𝐞𝐢𝟐 = 𝒊
de a et c et vérifier que OA=OC
Donc le point B est l’image du point C par la
|𝒂| = |𝒄| = √𝟏𝟐 + 𝟏𝟐 = √𝟐 𝝅
rotation R de centre A et d’angle
𝟏 𝟏 𝟐
𝒂 = 𝟏 + 𝒊 = √𝟐 ( + 𝒊 ) c) Déterminer l’image du point D par la
√𝟐 √𝟐
𝝅 𝝅 𝛑 tarnslation T de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪
= √𝟐 (𝒄𝒐𝒔 + 𝒊 𝒔𝒊𝒏 ) = √𝟐𝐞𝐢𝟒
𝟒 𝟒 Soit B’(b’) l’image de B par T
𝟏 𝟏
𝒄 = −𝟏 + 𝒊 = √𝟐 (− +𝒊 ) 𝑻(𝑩) = 𝑩′ ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑩′ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪
√𝟐 √𝟐 ⇔ 𝒃′ − 𝒃 = 𝒄 − 𝒂
𝝅 𝝅 𝟑𝛑
= √𝟐 (𝒄𝒐𝒔(𝝅 − ) + 𝒊 𝒔𝒊𝒏 (𝝅 − )) = √𝟐𝐞𝐢 𝟒 ⇔ 𝒃′ = 𝒄 − 𝒂 + 𝒃
𝟒 𝟒
⇔ 𝒃′ = −𝟏 + 𝒊 − 𝟏 − 𝒊 + 𝟏 − 𝒊
𝑶𝑨 = |𝒂| = √𝟐 et 𝑶𝑩 = |𝒃| = √𝟐 donc
⇔ 𝒃′ = −𝟏 − 𝒊
𝑶𝑨 = 𝑶𝑪
⇔ 𝒃′ = 𝒅
b) Déduire que les points A ; B ; C et D
Donc 𝑻(𝑩) = 𝑫
appartenant au même cercle (C) en
d) Déduire que le quadrilatère ABDC est un
déterminant le centre et le rayon de (C)
carré
On a |𝒂| = |𝒃| = |𝒄| = |𝒅| = √𝟏𝟐 + 𝟏𝟐 = √𝟐
𝑩𝑫 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
On a 𝑻(𝑩) = 𝑫 ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 donc ABDC est un
Donc 𝑶𝑨 = 𝑶𝑪 = 𝑶𝑩 = 𝑶𝑫
parrallélogramme
Donc A ; B ; C et D appartenant au même
̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝛑
cercle (C) de centre O et le rayon√𝟐 Et on a (𝐀𝐂 𝐀𝐁) ≡ [𝟐𝛑] donc ABDC est un
𝟐
2)a) Montrer que 𝒃 − 𝒂 = 𝒊(𝒄 − 𝒂) réctangle
𝒆𝒕 𝒅éduire la nature du triangle ABC Et on a 𝑨𝑩 = 𝑨𝑪 donc ABDC est un losange
𝒃 − 𝒂 = 𝟏 − 𝒊 − (𝟏 + 𝒊) = −𝟐𝒊 𝒆𝒕 𝒊(𝒄 − 𝒂) D’où ABCD est un carré
= 𝒊(−𝟏 + 𝒊 − (𝟏 + 𝒊)) = 𝒊(−𝟐) 3)On considére le point E d’affixe 𝒆 = 𝟏 + 𝟐𝒊
𝒃−𝒂
= −𝟐𝒊 a) Montrer que = −𝟐 puis déduire que
𝒆−𝒂
Donc 𝒃 − 𝒂 = 𝒊(𝒄 − 𝒂) les points A ; B et E sont alignés
On a 𝒃 − 𝒂 = 𝒊(𝒄 − 𝒂) 𝒃−𝒂 𝟏−𝒊−𝟏−𝒊 −𝟐𝒊
Donc |𝒃 − 𝒂| = |𝒊(𝒄 − 𝒂)| = = = −𝟐
𝒆 − 𝒂 𝟏 + 𝟐𝒊 − 𝟏 − 𝒊 𝒊
Donc |𝒃 − 𝒂| = |𝒊||𝒊(𝒄 − 𝒂)| b) Déduire que le point B est l’image du point
Donc |𝒃 − 𝒂| = |𝒄 − 𝒂| car |𝒊| = 𝟏 E par l‘homothétie h de centre 𝑨 et de
Donc 𝑨𝑩 = 𝑨𝑪 rapport -2
𝒃−𝒂 𝒃−𝒂
Et on a 𝒃 − 𝒂 = 𝒊(𝒄 − 𝒂) donc =𝒊 On a = −𝟐
𝒄−𝒂 𝒆−𝒂
Donc 𝒂𝒓𝒈 (
𝒃−𝒂
) ≡ 𝐚𝐫𝐠(𝐢)[𝟐𝛑] Donc 𝒃 − 𝒂 = −𝟐(𝒆 − 𝒂)
𝒄−𝒂
̅̅̅̅̅̅̅̅̅ Donc ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 = −𝟐 𝑨𝑬
⃗⃗⃗⃗⃗⃗) ≡ 𝛑 [𝟐𝛑]
⃗⃗⃗⃗⃗⃗, 𝐀𝐁
Donc (𝐀𝐂
𝟐 Donc le point B est l’image du point E par
donc le triangle ABC est isocèle est l‘homothétie h de centre 𝑨 et de rapport -2
rectangle en A
5 23F Modèle 2
5) Une urne contient 10 boules 𝑪‟ 𝒂 ; 𝒃 ; 𝒄 ; 𝒅 ; ; −√𝟐 ; √𝟐 ”
indiscernables au toucher , six boules ̅‟ 𝒊 ; −𝒊 ; −𝟏 ; 𝟏 ”
𝑪
portant les nombres complexes 𝒂 ; 𝒃 ; 𝒄 ;
𝑪𝟐𝟒
𝒅 ; 𝟏 𝒆𝒕 − 𝟏 et quatre boules portant les ̅) =
𝑷(𝑪 = 𝑷(𝑨)
𝑪𝟐𝟏𝟎
nombres complexes 𝒊 ; −𝒊 ; −√𝟐 et √𝟐
On tire au hasard et simultanément deux Donc 𝑷(𝑪) = 𝟏 − 𝑷(𝑨)
boules de cette urne 𝟏𝟑
=
a) Calculer 𝑷(𝑨) où A‟ Les boules tirées 𝟏𝟓
portant des nombres réels ” d) Calculer 𝑷𝑩 (𝑨) ; la probabilité de 𝑨 sachant
A‟ 𝟏 ; −𝟏 ; −√𝟐 ; √𝟐 ” que l’évènement 𝑩 est réalisé .
𝐏(𝐀 ∩ 𝐁)
𝟒×𝟑 𝐏𝐁 (𝐀) =
𝑪𝟐𝟒 𝟐 𝐏(𝐁)
𝑷(𝑨) = 𝟐 = 𝟏𝟎×𝟗
𝑪𝟏𝟎 𝐀 ∩ 𝐁: Les boules tirées portant des nombres
𝟐
𝝅 𝝅
𝟒×𝟑 𝟐 réels dont un argument 𝜽 tel que − ≤ 𝜽 ≤
𝟐 𝟐
= =
𝟏𝟎 × 𝟗 𝟏𝟓 𝐀 ∩ 𝐁: {𝟏; √𝟐}
𝟐
Donc 𝑷(𝑨) =
𝟏𝟓 Donc
b) Calculer 𝑷(𝑩) où 𝑩: ‟ Les boules tirées 𝑪𝟐𝟐 𝟏 𝟏
𝑷(𝐀 ∩ 𝐁) = = =
portant des nombres complexes dont un 𝑪𝟐𝟏𝟎 𝟏𝟎×𝟗 𝟒𝟓
𝝅 𝝅 𝟐
argument 𝜽 tel que − ≤ 𝜽 ≤ ”
𝛑
𝟐 𝟐 Donc
𝐢
𝒂 = 𝟏 + 𝒊 = √𝟐𝐞 𝟒
𝐏(𝐀 ∩ 𝐁)
𝛑
̅ = √𝟐𝐞
𝒃=𝟏−𝒊=𝒂 −𝐢 𝐏𝐁 (𝐀) =
𝟒
𝐏(𝐁)
𝟑𝛑 𝟏
𝒄 = −𝟏 + 𝒊 = √𝟐𝐞𝐢 𝟒 𝟒𝟓
−𝐢
𝟑𝛑 = 𝟏
𝒅 = −𝟏 − 𝒊 = 𝒄̅ = √𝟐𝐞 𝟒
𝛑 𝛑 𝟑
𝐢 −𝐢
√𝟐 = √𝟐𝐞 et 𝒊 = 𝐞 et −𝒊 = 𝐞
𝟎 𝟐 𝟐
𝟏
=
𝑩‟ 𝒂 ; 𝟏; 𝒃 ; √𝟐 ; 𝒊 ; −𝒊” 𝟏𝟓
𝟔×𝟓 Les événements A et B sont-ils indépendants ?
𝑪𝟐𝟔 𝟐
𝑷(𝑩) = 𝟐 = 𝟏𝟎×𝟗 justifier votre réponse ?
𝑪𝟏𝟎
𝟐
Rappel :
𝟔×𝟓 𝟏
= = Indépendance de deux événements
𝟏𝟎 × 𝟗 𝟑
𝟏 * On dit que les événements 𝐀 et 𝐁 sont
Donc 𝑷(𝑩) =
𝟑 indépendants si : 𝐏(𝐀 ∩ 𝐁) = 𝐏(𝐀) × 𝐏(𝐁).
c) Calculer 𝑷(𝑪) où 𝑪: ‟ Parmi les boules * Les événements 𝐀 et 𝐁 sont indépendants si
tirées au moins une boule portant un et seulement 𝐏𝐀 (𝐁) = 𝐏(𝐁) ; avec 𝐏(𝐀) ≠ 𝟎
nombre complexe dont le module est On a 𝐏𝐁 (𝐀) ≠ 𝑷(𝑨)
égale à √𝟐 ” Donc les événements A et B ne sont pas
indépendants

6 23F Modèle 2
L’espace est menu d’un repère orthonormé c) Montrer que la droite (AB) est tangente à
⃗⃗ ). Soient les points 𝟏
(O,𝒊⃗ , 𝒋⃗,𝒌 la sphère (S) au point 𝑪 (𝟎 ; 𝟏 ; )
𝟐
𝑨 (−𝟏 , 𝟎 ; 𝟏) ; 𝑩 (𝟏 ; 𝟐 ; 𝟎) et le plan (P) Rappel :
d’équation 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝒛 + 𝟑 = 𝟎 Position relative d’une sphère et une droite
1) a) Vérifier que le vecteur⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 est normal Soit (S) une sphère de centre 𝛀 et d rayon R
au plan (𝑷) ∶ 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝒛 + 𝟑 = 𝟎 𝒆𝒕 (∆) la droite passant par le point A et de
On a ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩(𝟐 , 𝟐 ; −𝟏) vecteur directeur⃗⃗⃗⃗
𝑼(𝜶; 𝜷; 𝜸)
Donc le vecteur⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 est normal au plan (P) Pour déterminer les cordonnées des points
b) Déterminer une représentation d’intersections de (S) et (∆), on résoudre le
paramétrique de la droite (AB) système suivant :
Rappel : DROITE DANS L’ESPACE 𝒙 = 𝒙𝑨 + 𝜶𝒕
; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
Soit (𝑫) la droite passant par 𝑨(𝒙𝑨 ; 𝒚𝑨 ; 𝒛𝑨 ) (∆): {𝒚 = 𝒚𝑨 + 𝜷𝒕
{ 𝒛 = 𝒛𝑨 + 𝜸𝒕
et de vecteur directeur ⃗⃗⃗⃗𝑼(𝒂; 𝒃; 𝒄)
(𝑺) : (𝒙 − 𝒙𝛀 )𝟐 + (𝒚 − 𝒚𝛀 )𝟐 + (𝐳 − 𝒛𝛀 )𝟐 = 𝑹𝟐
Une représentation paramétrique de(𝑫)
(𝒙; 𝒚; 𝒛) les coordonnées de C vérifie le
𝒙 = 𝒙𝑨 + 𝒂𝒕
; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹) 𝒙 = 𝟏 + 𝟐𝒕
(𝑫) : {𝒚 = 𝒚𝑨 + 𝒃𝒕
(𝑨𝑩) : {𝒚 = 𝟐 + 𝟐𝒕 ; (𝒕 ∈ ℝ)
𝒛 = 𝒛𝑨 + 𝒄𝒕 système 𝒛 = −𝒕
On a la droite (AB) passe par 𝑩 (𝟏 ; 𝟐 ; 𝟎) et 𝟐 𝟏 𝟐 𝟑 𝟐 𝟗
{(𝒙 − 𝟏) + (𝒚 − ) + (𝐳 − ) =
de vecteur directeur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩(𝟐 , 𝟐 ; −𝟏) 𝟐
𝟏
𝟐 𝟒
𝟗
𝒙 = 𝟏 + 𝟐𝒕 Donc(𝟏 + 𝟐𝐭 − 𝟏) 𝟐
+ (𝟐 + 𝟐𝒕 − )𝟐 + (−𝐭) = 𝟐
( ) 𝟐 𝟒
Donc 𝑨𝑩 : {𝒚 = 𝟐 + 𝟐𝒕 ; 𝒕 ∈ 𝑰𝑹
( ) 𝟑 𝟑 𝟗
Donc(𝟐𝐭) + (𝟐 +
𝟐
𝟐𝒕) + (−𝐭 − )𝟐
𝟐
=
𝒛 = −𝒕 𝟐 𝟒
𝟏 𝟑 𝟗 𝟗 𝟗
2) Soit (S) la sphère de centre 𝜴(𝟏 ; ; ) et 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝟒 𝐭 𝟐 + + 𝟔𝒕 + 𝟒 𝐭 𝟐 + 𝐭 𝟐 + 𝐭 𝟐 + 𝟑𝒕 + =
𝟐 𝟐 𝟒 𝟒 𝟒
𝟑
de rayon 𝒓 = 𝟗
𝟐 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝟗𝐭 𝟐 + 𝟗𝒕 + =𝟎
a) Déterminer une équation cartésienne de 𝟒
𝟏
la sphère (S) 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝐭 𝟐 + 𝒕 + =𝟎
𝟒
(𝒙 − 𝒙 𝜴 )𝟐 + (𝒚 − 𝒚 𝜴 )𝟐 + (𝐳 − 𝒛 𝜴 )𝟐 = 𝒓𝟐 𝟏
𝟏 𝟑 𝟑 𝑫𝒐𝒏𝒄 (𝒕 + )𝟐 = 𝟎
(𝑺): (𝒙 − 𝟏)𝟐 + (𝒚 − )𝟐 + (𝐳 − )𝟐 = ( )𝟐 𝟐
𝟐 𝟐 𝟐 𝟏
𝟏 𝟑 𝟗 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒕 + = 𝟎
(𝑺): (𝒙 − 𝟏)𝟐 + (𝒚 − )𝟐 + (𝐳 − )𝟐 = 𝟐
𝟐 𝟐 𝟒 𝟏
b) Montrer que la sphère (S) est tangente 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒕 = −
𝟐
au plan (P) en un point I Donc la droite (AB) est tangente à la sphère
𝟏 𝟑
On a 𝜴(𝟏 ; ; ) et (𝑷) 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝒛 + 𝟑 = 𝟎 (S) en un point C
𝟐 𝟐
| 𝟐𝒙𝜴 + 𝟐𝒚𝜴 − 𝒛𝜴 + 𝟑| 𝒙 = 𝟏 + 𝟐𝒕
𝟏
𝒅(𝜴; (𝑷)) = On remplace 𝒕 = − dans {𝒚 = 𝟐 + 𝟐𝒕 ;pour
𝟐
√𝟐𝟐 + 𝟐𝟐 + (−𝟏)𝟐 𝒛 = −𝒕
𝟑
| 𝟐 + 𝟏 − + 𝟑|
𝟗 trouver C
𝟐 𝟗 𝟑𝟐
= = = =𝒓 = 𝒙=𝟏−𝟏
√𝟗 𝟑 𝟔 𝟐
Donc {𝒚 = 𝟐 − 𝟏 ; donc 𝑪 (𝟎 ; 𝟏 ; )
𝟏
Donc la sphère (S) est tangente au plan (P) 𝟏 𝟐
𝒛=
en un point I 𝟐
7 23F Modèle 2
3) Soit (Q) le plan parallèle à (P) et Problème (11 points) :
tangente à (S) en un point J
I) Soit g la fonction numérique définie sur ℝ
a) Montrer que les points I ; 𝜴 et J sont
par 𝒈 (𝒙) = 𝟏 − (𝒙𝟐 + 𝟏)𝒆 −𝒙 .
alignés
1) Montrer que 𝒈′ (𝒙) = (𝒙 − 𝟏)𝟐 𝒆−𝒙 pour tout
On a la sphère (S) est tangente au plan (P)
𝒙 de ℝ puis en déduire le sens de
en un point I
variations de la fonction g sur ℝ
Donc ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 et 𝜴𝑰⃗⃗⃗⃗⃗⃗ son colinéaires
La fonction g est dérivable sur ℝ car c’est
Et on a le plan (Q) est parallèle à (P) et produit de deux fonction dérivable sur ℝ
tangente à (S) en un point J 𝐒𝐨𝐢𝐭 𝐱 ∈ ℝ
𝑨𝑩 et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Donc ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝜴𝑱 son colinéaires 𝒈′ (𝐱) = 𝟎 − [(𝟐𝐱 × 𝐞−𝐱 ) − (𝒙𝟐 + 𝟏)𝒆 −𝒙 ]
D’où les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝜴𝑰 et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝜴𝑱 sont colinéaires = (𝒙𝟐 − 𝟐𝐱 + 𝟏)𝒆 −𝒙
Donc les points I ; 𝜴 et J sont alignés = (𝒙 − 𝟏)𝟐 𝒆 −𝒙
𝟗
b) En déduire que ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝜴𝑰. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝜴𝑱 = − On a ∀𝐱 ∈ ℝ ∶ (𝒙 − 𝟏)𝟐 ≥ 𝟎 𝒆𝒕 𝒆 −𝒙 > 𝟎
𝟒
1ère méthode : ∀𝐱 ∈ ℝ − {𝟏}: 𝒈′ (𝐱) > 𝟎
On a les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝜴𝑰 et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝜴𝑱 sont colinéaires Donc d est strictement croissante sur ℝ
De sens opposés donc (𝜴𝑰
̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗; 𝜴𝑱
⃗⃗⃗⃗⃗⃗) ≡ 𝛑 [𝟐𝛑] 2) Vérifier que : 𝒈 (𝟎) = 𝟎 puis en déduire le
signe de 𝒈(𝒙) sur chacun des intervalles
̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝒄𝒐𝒔 (𝜴𝑰 𝜴𝑱) = −𝟏 ]−∞; 𝟎] et [𝟎; +∞[.
⃗⃗⃗⃗⃗⃗. 𝜴𝑱
Donc 𝜴𝑰
̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝜴𝑰 × 𝜴𝑱 × 𝒄𝒐𝒔 (𝜴𝑰
⃗⃗⃗⃗⃗⃗; 𝜴𝑱
⃗⃗⃗⃗⃗⃗) On a 𝒈 (𝟎) = 𝟏 − (𝟎 + 𝟏)𝒆 𝟎 = 𝟎
➢ Sur l’intervalle [𝟎, +∞[
𝟑 𝟑 𝟗
=− × =− On a g est str croissante sur [𝟎, +∞[ donc
𝟐 𝟐 𝟒
𝟑 𝒙 ≥ 𝟎 ⇔ 𝐠(𝒙) ≥ 𝐠(𝟎)
Car 𝜴𝑰 = 𝜴𝑱 = 𝒓 =
𝟐 ⇔ 𝒈(𝒙) ≥ 𝟎
2ère
méthode : ➢ Sur l’intervalle ]−∞; 𝟎]
Rappel : On a g est str croissante sur ]−∞; 𝟎] donc
𝒙 ≤ 𝟎 ⇔ 𝐠(𝒙) ≤ 𝐠(𝟎) ⇔ 𝐠(𝒙) ≤ 𝟎
Conclusion : (le tableau de signe de g )
x −∞ 0 +∞
g(x) − 0 +
II) Soit 𝒇 la fonction numérique définie sur ℝ
par : 𝒇 (𝒙) = 𝒙 − 𝟏 + (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟑 )𝒆 −𝐱 .
Si les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 𝒆𝒕 𝑨𝑯 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ont le même sens 1) a) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒇 (𝒙 ) = +∞.
𝒙→+∞
alors : (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟑 )
𝐥𝐢𝐦 𝒇 (𝒙) = 𝐥𝐢𝐦 𝒙 − 𝟏 +
⃗⃗. 𝒗
𝒖 𝑨𝑩. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩. 𝑨𝑯 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝑨𝑩 × 𝑨𝑯 𝒙→+∞ 𝒙→+∞ 𝒆𝐱
Si ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 𝒆𝒕 𝑨𝑯 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ont un sens opposé alors : 𝒙𝟐 𝟐𝒙 𝟑
= 𝐥𝐢𝐦 𝒙 − 𝟏 + 𝒙 + 𝒙 + 𝒙
𝑨𝑩. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗. 𝒗
𝒖 𝑨𝑪 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = −𝑨𝑩 × 𝑨𝑯
𝑨𝑩. 𝑨𝑯
𝒙→+∞ 𝒆 𝒆 𝒆
𝟏 𝟐 𝟑
On a les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝜴𝑰 et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝜴𝑱 sont colinéaires = 𝐥𝐢𝐦 𝒙 − 𝟏 + 𝒆𝒙 + 𝒆𝒙 + 𝒙 = +∞
𝒙→+∞ 𝒆
De sens opposés donc : 𝒙𝟐 𝐱
𝒆𝒙 𝒆𝒙 𝟑
𝟑 𝟑 𝟗 Car 𝐥𝐢𝐦 = +∞ ; 𝐥𝐢𝐦 = +∞ ; 𝐥𝐢𝐦 =𝟎
⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝜴𝑰. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝜴𝑱 = −𝜴𝑰 × 𝜴𝑱 = − × = − 𝒙→+∞ 𝒙𝟐 𝒙→+∞ 𝒙 𝒙→+∞ 𝒆𝒙
𝟐 𝟐 𝟒
8 23F Modèle 2
b) Montrer que la droite (D) d'équation b) Montrer que 𝐥𝐢𝐦
𝒇(𝒙)
= −∞ et interpréter
𝒙→−∞ 𝒙
𝒚 = 𝒙 − 𝟏 est une asymptote oblique à la
le résultat géométriquement.
courbe (C) au voisinage de +∞ 𝒙𝟐 +𝟐𝒙+𝟑 + 𝒙𝒆𝒙 −𝒆𝒙
𝐥𝐢𝐦 𝒇 (𝒙) − 𝐲 = 𝐥𝐢𝐦 𝒇 (𝒙) − (𝒙 − 𝟏) 𝒇(𝒙) 𝒆𝒙
𝒙→+∞ 𝒙→+∞ 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦
𝟏 𝟐 𝟑 𝒙→−∞ 𝒙 𝒙→−∞ 𝒙
= 𝐥𝐢𝐦 𝒙 − 𝟏 + 𝒆𝒙
+ 𝒆𝒙
+ − (𝒙 − 𝟏) 𝒙 + 𝟐𝒙 + 𝟑 + 𝒙𝒆𝒙 − 𝒆𝒙
𝟐
𝒙→+∞ 𝒆𝒙 𝐥𝐢𝐦 = −∞
𝒙𝟐 𝐱 𝒙→−∞ 𝒙𝒆𝒙
𝟏 𝟐 𝟑 Car 𝐥𝐢𝐦 𝒙𝒆𝒙 = 𝟎− ; 𝐥𝐢𝐦 𝒙𝒆𝒙 − 𝒆𝒙 = 𝟎
= 𝐥𝐢𝐦 𝒙 + 𝒆𝒙
+ 𝒙 𝒙→−∞ 𝒙→−∞
𝒙→+∞ 𝒆 𝒆
𝒙𝟐 𝐱 Et 𝐥𝐢𝐦 𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟑 = 𝐥𝐢𝐦 𝒙𝟐 = +∞
𝒙→−∞ 𝒙→−∞
=𝟎 𝒇(𝒙)
𝒆𝒙 𝒆𝒙 𝟑
On a 𝐥𝐢𝐦 = −∞ et 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = +∞
𝒙→−∞ 𝒙
Car 𝐥𝐢𝐦 = +∞ ; 𝐥𝐢𝐦 = +∞ ; 𝐥𝐢𝐦 =𝟎 𝒙→−∞
𝒙→+∞ 𝒙𝟐 𝒙→+∞ 𝒙 𝒙→+∞ 𝒆𝒙 Donc la courbe (𝐂𝐟 ) admet une branche
Donc 𝐥𝐢𝐦 𝒇 (𝒙) − 𝐲 = 𝟎 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 𝒇 (𝒙) = +∞ parabolique de direction l’axe des
𝒙→+∞ 𝒙→+∞
Donc la droite (D) d'équation 𝒚 = 𝒙 − 𝟏 est ordonnées au voisinage de +∞
une asymptote oblique à la courbe (C) au 3) a) Montrer que 𝒇′ (𝒙) = 𝒈 (𝒙 ) pour tout 𝒙
voisinage de +∞ de ℝ.
c) Montrer que la courbe (C) est au-dessus La fonction f est dérivable sur ℝ car c’est
de droite (D) sur ℝ une produit et somme des fonctions
𝐒𝐨𝐢𝐭 𝐱 ∈ ℝ dérivable sur ℝ
𝒇 (𝒙) − 𝐲 = 𝒙 − 𝟏 + (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟑 )𝒆 −𝐱 − 𝒙 + 𝟏 𝐒𝐨𝐢𝐭 𝐱 ∈ ℝ
= (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟑 )𝒆 −𝐱 𝒇′ (𝒙) = [𝒙 − 𝟏 + (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟑 )𝒆 −𝐱 ]′
= (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟏 + 𝟐 )𝒆 −𝐱 = 𝟏 + (𝟐𝒙 + 𝟐) × 𝒆 −𝐱 − (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟑 ) × 𝒆 −𝐱
= ((𝒙 + 𝟏)𝟐 + 𝟐 )𝒆 −𝐱 = 𝟏 − (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟑 − 𝟐𝒙 − 𝟐 )𝐞−𝐱
On a ∀𝐱 ∈ ℝ : 𝒆 −𝐱 > 𝟎 et ((𝒙 + 𝟏)𝟐 + 𝟐 ) > 𝟎 = 𝟏 − (𝒙𝟐 + 𝟏 )𝐞−𝐱 = 𝒈(𝒙)
D’où ∀𝐱 ∈ ℝ : 𝒇 (𝒙) − 𝐲 > 𝟎 b) En déduire que la fonction 𝒇 est croissante
Tu peux étudier le signe de 𝐱 𝟐 + 𝟐𝐱 + 𝟑 en sur [0; +∞[ et décroissante sur ] − ∞;0]
utilisant le discriminant delta On a 𝒇′ (𝒙) = 𝒈 (𝒙 ) pour tout 𝒙 de ℝ.
Donc la courbe (C) est au-dessus de droite Donc le signe de 𝒇′ est celui de g
(D) sur ℝ D’après la partie A) on a
𝒙𝟐 +𝟐𝒙+𝟑 + 𝒙𝒆𝒙 −𝒆𝒙
2) a) Vérifier que 𝒇(𝒙) = (le tableau de signe de g )
𝒆𝒙
pour tout 𝒙 de ℝ puis calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙). x −∞ 0 +∞
𝒙→−∞
g(x) − 0 +
𝐒𝐨𝐢𝐭 𝐱 ∈ ℝ
D’où la fonction 𝒇 est décroissante sur
𝒇(𝒙) = (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟑 )𝒆 −𝐱 + 𝒙 − 𝟏
] − ∞;0] et croissante sur [0; +∞[.
(𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟑 ) 𝐱𝒆𝒙 𝒆𝒙
= + 𝒙 − 𝒙 c) Dresser le tableau de variations de la
𝒆𝒙 𝒆 𝒆
fonction 𝒇.
𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟑 + 𝒙𝒆𝒙 − 𝒆𝒙
= x −∞ 0 +∞
𝒆𝒙
𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟑 + 𝒙𝒆𝒙 − 𝒆𝒙 𝒇′(𝒙) − 0 +
𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦 = +∞ 𝒇(𝒙) +∞ +∞
𝒙→−∞ 𝒙→−∞ 𝒆𝒙
Car 𝐥𝐢𝐦 𝒆𝒙 = 𝟎+ ; 𝐥𝐢𝐦 𝒙𝒆𝒙 − 𝒆𝒙 = 𝟎
𝒙→−∞ 𝒙→−∞
Et 𝐥𝐢𝐦 𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟑 = 𝐥𝐢𝐦 𝒙𝟐 = +∞ 𝟐
𝒙→−∞ 𝒙→−∞
9 23F Modèle 2
4) Soient h la fonction définie ℝ sur 5) Construire (𝑫); (∆) et (𝑪) dans le même
𝒉(𝒙) = 𝒇(𝒙) − 𝒙 et la droite (∆) : 𝒚 = 𝒙 repère (𝟎; 𝒊⃗; 𝒋⃗).
a) Montrer que l’équation 𝒉(𝒙) = 𝟎 admet
une unique solution 𝜶 dans l’intervalle
]𝟐; 𝟑[
(On prend 𝒇 (𝟐) ≃ 𝟐. 𝟒 et 𝒇 (𝟑) ≃ 𝟐. 𝟖)
La fonction h est dérivable sur [𝟐; 𝟑] car
c’est une somme des fonctions dérivable
sur[𝟐; 𝟑] donc elle est continue sur [𝟐; 𝟑]
𝐒𝐨𝐢𝐭 𝐱 ∈ [𝟐; 𝟑] (∆ )
𝒉′ (𝐱) = 𝐟 ′ (𝐱) − 𝟏
= 𝐠(𝐱) − 𝟏
= −(𝒙 − 𝟏)𝟐 𝒆 −𝒙
′
∀𝐱 ∈ [𝟐; 𝟑]: 𝒉 (𝐱) < 𝟎
Donc h est str décroissante sur [𝟐; 𝟑]
𝒉(𝟐) ≃ 𝒇 (𝟐) − 𝟐 ≃ 𝟐. 𝟒 − 𝟐 ≃ 𝟎, 𝟒 (𝑪)
𝒉(𝟑) ≃ 𝒇 (𝟑) − 𝟑 ≃ 𝟐. 𝟖 − 𝟑 ≃ 𝟎, 𝟐
Donc 𝒉(𝟐) × 𝒉(𝟑) < 𝟎
Donc l’équation 𝒉(𝒙) = 𝟎 admet une (𝑫)
unique solution 𝜶 dans l’intervalle ]𝟐; 𝟑[
b) Montrer que (C) est au-dessus de (∆) sur
intervalle] − ∞; 𝜶] et en dessous de
(∆) sur l'intervalle [𝜶 ; +∞[
On a 𝒉(𝜶) = 𝟎
➢ Sur l’intervalle [𝜶 ; +∞[
h est str décroissante sur [𝜶 ; +∞[ donc
𝒙 ≥ 𝜶 ⇔ 𝐡(𝐱) ≤ 𝐠(𝜶) 6)a) Monter que la fonction
⇔ 𝒉(𝒙) ≤ 𝟎 𝐊: 𝐱 → (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙 est une primitive de
⇔ 𝒇(𝒙) − 𝒙 ≤ 𝟎 la fonction 𝐤: 𝐱 → −𝒙𝟐 𝐞−𝒙 sur [𝟎, 𝟏]
Donc (C) est en dessous de la droite (∆) sur La fonction K est dérivable sur [𝟎, 𝟏] car c’est
l'intervalle [𝜶 ; +∞[ un produit de deux fonctions dérivables sur
➢ Sur l’intervalle ] − ∞; 𝜶] [𝟎, 𝟏]
On a h est strictement décroissante sur Soit 𝒙 ∈ [𝟎, 𝟏]
l’intervalle ] − ∞; 𝜶] donc 𝐇 ′ (𝐱) = [(𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙 ]′
𝒙 ≤ 𝜶 ⇔ 𝐡(𝐱) ≥ 𝐡(𝜶) = (𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙 − (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙
⇔ 𝐡(𝒙) ≥ 𝟎 = −𝒙𝟐 𝐞−𝒙
⇔ 𝒇(𝒙) − 𝒙 ≥ 𝟎 = 𝒌(𝒙)
Donc (C) est au-dessus de (∆) sur Donc 𝐊: 𝐱 → (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙 est une
intervalle] − ∞; 𝜶] primitive de 𝐤: 𝐱 → −𝒙𝟐 𝐞−𝒙

‫الصفحة‬ SN 23F Correction d’examen blanc 2024 ‫فيصل‬.‫ذ‬
10 Modèle 2
𝟏
b) Déduire que : ∫𝟎 𝒙𝟐 𝐞−𝒙 𝒅𝒙 =
𝟐𝒆−𝟓 III) Soit(𝒖 𝒏 ) la suite numérique définie par :
𝒆
𝒖𝟎 = 𝟐 𝒆𝒕 𝒖𝒏+𝟏 = 𝒇(𝒖𝒏 ) pour tout 𝒏 de ℕ.
On a 𝐇: 𝐱 → (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙 est une
1) Montrer que 𝟐 ≤ 𝒖𝒏 ≤ 𝛂 pour tout 𝒏 de ℕ .
primitive de 𝐡: 𝐱 → −𝒙𝟐 𝐞−𝒙 donc
𝟏 Pour n=0 on a 𝒖𝟎 = 𝟐 donc 𝟐 ≤ 𝒖𝟎 ≤ 𝛂
𝟐 −𝒙 𝟐
∫ 𝒙 𝐞 𝒅𝒙 = −[(𝒙 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞 ]𝟎 −𝒙 𝟏 La propriété est donc vraie pour n = 0
𝟎
➢ Soit n un entier naturel,
= −𝟓𝐞−𝟏 + 𝟐
Supposons que 𝟐 ≤ 𝒖𝒏 ≤ 𝜶 et montrons
𝟐𝒆 − 𝟓
= que 𝟐 ≤ 𝒖𝒏+𝟏 ≤ 𝜶.
𝒆
On sait que la fonction 𝒇 est strictement
c) Par intégration par parties , montrer que
𝟏 𝒆−𝟐 croissante sur l’intervalle ]𝟐; 𝜶[
∫𝟎 𝐱𝒆−𝒙 𝒅𝒙 = 𝒆 et 𝟐 ≤ 𝒖𝒏 ≤ 𝜶
′
𝐮(𝐱) = 𝐱 𝐮 (𝐱 ) = 𝟏 𝟐 ≤ 𝒖𝒏 ≤ 𝜶 ⟹ 𝒇(𝟐) ≤ 𝒇(𝒖𝒏 ) ≤ 𝒇(𝜶)
Posons { ′ −𝐱 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 {
𝐯 (𝐱 ) = 𝐞 𝐯(𝐱) = −𝐞−𝐱 ⟹ 𝟐 ≤ 𝒖𝒏+𝟏 ≤ 𝜶
Il s’ensuit donc : Car 𝒇 (𝟐) ≃ 𝟐. 𝟒 > 𝟐
𝟏 𝟏
∫ 𝐱𝐞−𝐱 𝐝𝐱 = [−𝐱𝐞−𝐱 ]𝟏𝟎 + ∫ 𝐞−𝐱 𝐝𝐱 D'après le principe de récurrence, on a :
𝟎 𝟎 (∀𝒏 ∈ ℕ) ∶ 𝟐 ≤ 𝒖𝒏 ≤ 𝜶
−𝟏 −𝐱 𝟏
= −𝐞 − [𝐞 ]𝟎 2) Montrer que la suite (𝒖𝒏 ) est croissante
−𝟏 −𝟏
= −𝐞 − 𝐞 + 𝟏 (On pourra utiliser le résultat de la question
−𝟏
= −𝟐𝐞 + 𝟏 II) 4. b))
𝒆−𝟐 Soit n un entier naturel,
=
𝒆 𝑶𝒏 𝒂: (∀𝒙 ∈ [𝟐; 𝜶]): 𝒇(𝒙) − 𝒙 ≥ 𝟎
c) Calculer en 𝒄𝒎𝟐 l'aire du domaine plan D’après 4)b)
limité par (𝑪) et (𝑫) et les droites et 𝒖𝒏 ∈ [𝟐; 𝜶] d’après III) 1)
d'équations 𝒙 = 𝟎 et 𝒙 = 𝟏. Donc on pose 𝒙 = 𝒖𝒏 ,
On a d’après la partie II) 1) la courbe (𝑪) On trouve 𝒇(𝒖𝒏 ) − 𝒖𝒏 ≥ 𝟎
est en dessus de la droite (𝑫); 𝒚 = 𝒙 − 𝟏 sur 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒖
𝒏+𝟏 ≥ 𝒖𝒏 ;
l’intervalle [𝟎, 𝟏] D’où la suite (un) est croissante
Donc ∀𝒙 ∈ 𝟎, 𝟏 : 𝐟 𝐱 − 𝐲 = 𝐟 𝐱 − 𝒚
[ ] | ( ) | ( ) 3) En déduire que la suite (𝒖𝒏 ) est
𝟏
𝐀 = ∫ |𝐟(𝐱) − 𝐲|𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 convergente et calculer sa limite
𝟎 La suite (un) est croissante et majorée par 𝛂
𝟏
donc elle est convergente.
= ∫ 𝐟(𝐱) − 𝐲 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚
𝟎 • La fonction f est continue sur l’intervalle
𝟏 [𝟐; 𝜶] ; car elle est dérivable sur[𝟐; 𝜶]
= ∫ (𝐱 𝟐 + 𝟐𝐱 + 𝟑)𝒆−𝒙 𝒅𝒙 . 𝐜𝐦𝟐
𝟎 • 𝒇([𝟐; 𝜶]) = [𝒇(𝟐); 𝒇(𝜶)] ⊂ [𝟐; 𝜶]
𝟏 𝟏 𝟏 Car 𝒇 (𝟐) ≃ 𝟐. 𝟒 > 𝟐 et 𝒇(𝜶) = 𝜶
= 𝟐 ∫ 𝒙𝒆 𝐝𝐱 + ∫ 𝒙 𝐞 𝒅𝒙 + 𝟑 ∫ 𝒆−𝒙 𝐝𝐱
−𝒙 𝟐 −𝒙
𝟎 𝟎 𝟎
• 𝐮𝟎 ∈ [𝟐; 𝜶]
𝟐(𝒆 − 𝟐) 𝟐𝒆 − 𝟓 • La suite (un) est convergente
=( + − 𝟑[𝐞−𝐱 ]𝟏𝟎 ) 𝐜𝐦𝟐
𝒆 𝒆 Alors la limite de la suite (𝐮𝐧 ) est L la
𝟐𝒆 − 𝟒 𝟐𝒆 − 𝟓 𝟑 solution de l’équation 𝒇(𝒙) = 𝒙 dans [𝟐; 𝜶]
=( + − + 𝟑) 𝐜𝐦𝟐
𝒆 𝒆 𝒆 𝒇(𝒙) = 𝒙 ⟺ 𝒉(𝒙) = 𝟎 ⟺ 𝒙 = 𝜶
𝟕𝒆 − 𝟏𝟐 Donc la limite de la suite (𝐮𝐧 ) est 𝜶
=( ) 𝐜𝐦𝟐
𝒆
1
3 ‫النموذج الثالث‬
Prof


Exercice 2 2 points
Exercice 3 Nombres complexes 4 points
Problème 11 points
intégral , suite

‫الصفحة‬ ‫ – النموذج الثالث‬2024– ‫االمتحان التجريبي للباكالوريا‬
M3-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
L’espace est menu d’un repère orthonormé (O,𝒊⃗ , 𝒋⃗,𝒌 ⃗⃗ )
On considère les points 𝑨 (𝟎 ; −𝟏 ; 𝟏) 𝒆𝒕 𝑩 (−𝟏 ; 𝟏 ; 𝟑) et C (0 ; 1 ; 5)
b) Montrer que ⃗⃗⃗⃗
𝒏 (𝟐; 𝟐; −𝟏) est un vecteur normal au plan (ABC)
0,5
c) Vérifier que 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝒛 + 𝟑 = 𝟎 est une équation cartésienne du plan (𝑨𝑩𝑪)
0,5 2) Soit (S) l’ensemble des points 𝑴(𝒙 ; 𝒚 ; 𝒛) tel que 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 + 𝟏𝟐𝒛 + 𝟐𝟐 = 𝟎
0,5 a) Montrer que (S) est une sphère de centre 𝜴(𝟏 ; −𝟏 ; −𝟔) et de rayon 𝑹 = 𝟒
0,5 b) Calculer 𝒅 (𝜴 ; (𝑨𝑩𝑪)) et déduire que le plan (ABC) coupe la sphère (S) suivant
0,5 un cercle de rayon 𝒓 = √𝟕
0,25 3) a) Déterminer la représentation paramétrique de (D) passant par le point Ω est
0 ,5 orthogonale au plan (ABC)
b) Déterminer le triplet de coordonnées du point H centre du cercle (𝑪 )
Une urne contient 3 boules rouges 4 vertes et 2 boules noires indiscernables au
toucher.
On tire au hasard, simultanément trois boules de l’urne
On considère les deux événements :
A ‘’Obtenir trois boules de même couleurs’’
B’’ Les boules tirées de couleur différentes deux à deux ‘’
C’’ Obtenir au moins une boule verte’’
1 𝟓 𝟐
1) Montrer que 𝑷(𝑨) = et 𝑷(𝑩) =
𝟖𝟒 𝟕
𝟑𝟕
1 2) Montrer que 𝑷(𝑪) =
𝟒𝟐
A) On considère dans ℂ l’équation (𝑬) ∶ 𝒛𝟐 − 𝟐(√𝟐 − √𝟔)𝒛 + 𝟏𝟔 = 𝟎
𝟐
1) Vérifier que le discriminant de (𝑬) est 𝜟 = −𝟒(√𝟔 + √𝟐)
0,5
2) En déduire les solutions de (𝑬)
0,5
B) Dans le plan complexe rapporté au repère orthonormé , considérons les
points 𝑨(𝒂) ; 𝑩(𝒃) ; 𝑪(𝒄) ; 𝑫(𝒅) tel que :𝒂 = √𝟐 − √𝟔 + (√𝟐 + √𝟔)𝒊 ; 𝒃 = −𝟐√𝟔 ; 𝒄 = 𝒂
̅
√𝟑 𝟏
0,5 1) a) Montrer que 𝒂 = (− − 𝒊) 𝒄
𝟐 𝟐
𝟕𝝅
b) Montrer que A est l’image de C par la rotation de centre O et d’angle
0,5 𝟕𝝅
𝟔
0,5 c) En déduire que 𝟐 𝒂𝒓𝒈(𝒂) ≡ [𝟐𝝅]

𝟔
2) Soit T la tarnslation de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑨
0,5 a) Montrer que 𝒅 = 𝟐√𝟐 est l’affixe du point D l’image de C par T
0,5 b) Vérifier que 𝒄 − 𝒃 = 𝒊(𝒂 − 𝒃) puis en déduire la nature du triangle ABC
0,5 c) Déduire que le quadrilatère ABDC est un carré
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M3-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
A) Soit g définit sur ℝ par : 𝐠(𝐱) = 𝐱𝐞 𝐱 − 𝐞 𝐱 + 𝟏

1) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) puis vérifier que : (∀𝐱 ∈ ℝ) ; 𝒈′ (𝐱) = 𝐱𝐞 𝐱
0.75 𝐱→−∞ 𝐱→+∞
0.75 2) Dresser le tableau de variations de g puis montrer que : (∀𝐱 ∈ ℝ) ∶ 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
0.5 3) Vérifier que (∀𝐱 ∈ ]𝟎; 𝟏[): 𝐠(𝒙) − 𝒙 = (𝒙 − 𝟏)(𝐞𝐱 − 𝟏) puis en déduire que
(∀𝐱 ∈ ]𝟎; 𝟏[) ∶ 𝒈(𝐱) < 𝒙
B) Soit une suite (𝐔𝐧 ) tel que :
𝟏
𝐔𝟎 = et (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝐔𝐧+𝟏 = 𝒈(𝐔𝐧 )
𝟐
0.5 1) Montrer par récurrence que : (∀𝒏 ∈ ℕ) ∶ 𝟎 < 𝐔𝐧 < 𝟏
0.25 2) Montrer que (𝐔𝐧 ) est décroissante (Utiliser A)3))
0.75 3) Déduire que (𝐔𝐧 ) est convergente et déterminer sa limite
C) Soit f une fonction définit sur ℝ par :

𝐟(𝐱) = (𝐱 − 𝟐)(𝐞𝐱 + 𝟏)
(𝑪𝒇 ) Est la courbe représentative de f dans un repère orthonormé (𝑶; 𝒊⃗; 𝒋⃗) d’unité
1cm
0.5
1) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱)
𝐱→−∞ 𝐱→+∞
0.5 2) a) Montrer que : (∀𝐱 ∈ ℝ): 𝐟 ′ (𝐱) = 𝐠(𝐱)
0.5 b) Dresser le tableau de variation de f sur ℝ en justifiant votre réponse
0.5 3) a) Montrer que 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞(∆) ∶ 𝐲 = 𝐱 − 𝟐 est asymptote oblique de (𝐂𝐟 ) au
voisinage de −∞
0.5
b) Etudier la position relative de (𝐂𝐟 ) et (∆) sur ℝ
𝐟(𝐱)
0.75 4) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 = +∞ puis déterminer la branche infinie de (𝑪𝒇 ) au
𝐱→+∞ 𝐱
voisinage de +∞
0.5
5) a) Montrer que (𝐂𝐟 ) admet un point d’inflexion unique au point d’abscisse 0
0.25
b) 𝐃é𝐭𝐞𝐫𝐦𝐢𝐧𝐞𝐫 l’équation de la tangente (T) au point d’abscisse 0
0.25 6) Montrer que (𝐂𝐟 ) coupe l’axe des abscisses en un point unique d’abscisse 2
7)a) Montrer que f admet une fonction réciproque 𝒇−𝟏 définie sur 𝑱 (à
0.25 déterminer)
𝟏
b) Montrer que 𝒇−𝟏 est dérivable en 0 puis montrer (𝒇−𝟏 )′(𝟎) =
𝐞𝟐 +𝟏
0.75
1 8) Tracer (T) ; (∆) et (𝐂𝐟 ) dans le repère orthonormé (𝐎 ; ⃗𝐢 ; ⃗𝐣)
𝟐
0.75 9)a) Par une intégration par partie montrer que :∫𝟎 (𝒙 − 𝟐 )𝐞𝐱 𝒅𝒙 = 𝟑 − 𝐞𝟐
b) Calculer, en 𝒄𝒎𝟐 , l’aire du domaine limité par la courbe(𝑪𝒇 ), la droite (∆) et
0.75
les droites d’équations 𝒙 = 𝟎 et 𝒙 = 𝟐 .

4 24F Modèle 2
Correction de l’exercice 1 (3 points) : Donc (𝑨𝑩𝑪): 𝟐 × 𝒙 + 𝟐 × 𝒚 −× 𝒛 + 𝒅 = 𝟎
L’espace est menu d’un repère orthonormé Donc (𝑨𝑩𝑪): 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝒛 + 𝒅 = 𝟎
⃗⃗ )
(O,𝒊⃗ , 𝒋⃗,𝒌 Et on a 𝑨(𝟎, −𝟏, 𝟏) ∈ (𝑨𝑩𝑪) donc on remplace
On considère les points les coordonnées de A dans 𝟎 − 𝟐 − 𝟏 + 𝒅 = 𝟎
𝑨 (𝟎 ; −𝟏 ; 𝟏) 𝒆𝒕 𝑩 (−𝟏 ; 𝟏 ; 𝟑) et C (0 ; 1 ; 5) donc −𝟑 + 𝒅 = 𝟎 donc 𝒅 = 𝟑
1) a) Montrer que les points A ; B et C ne Donc (𝑨𝑩𝑪): 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝒛 + 𝟑 = 𝟎
sont pas alignés 2) a- Montrer que (S) est une sphère de
Rappel : centre 𝜴(𝟏 ; −𝟏 ; −𝟔) et de rayon R=4
Condition de colinéarité de deux vecteurs Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑺)
𝟐 𝟐 𝟐
Soient 𝑼 ⃗⃗⃗(𝒙; 𝒚; 𝒛) 𝒆𝒕 𝑽 ⃗⃗(𝒙′ ; 𝒚′ ; 𝒛′ )deux vecteurs 𝒙 + 𝒚 + 𝒛 − 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 + 𝟏𝟐𝒛 + 𝟐𝟐 = 𝟎
⃗𝑼⃗⃗ 𝒆𝒕 ⃗𝑽⃗ sont colinéaires si ∆𝒙 = ∆𝒚 = ∆𝒛 = 𝟎 𝒙𝟐 − 𝟐𝒙 + 𝟏𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝟐𝒚 + 𝟏𝟐 + 𝒛𝟐 + 𝟏𝟐𝒛 + 𝟔𝟐
= 𝟏𝟐 + 𝟏𝟐 + 𝟔𝟐 − 𝟐𝟐
𝒚 𝒚′ 𝒙 𝒙′ 𝒙 𝒙′
∆𝒙 = | | ; ∆𝒚 = | | 𝒆𝒕 ∆𝒛 = | |
𝒚 𝒚′ Donc (𝑺): (𝒙 − 𝟏) + (𝒚 + 𝟏) + (𝒛 + 𝟔) = 𝟒
𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
𝒛 𝒛′ 𝒛 𝒛′
−𝟏 𝟎 Donc (S) est une sphère de centre
On a ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗𝑨𝑩 ( 𝟐 ) et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 (𝟐) 𝜴(𝟏 ; −𝟏 ; −𝟔) et de rayon R=4
𝟐 𝟒 2ème méthode
𝟐 𝟐 On pose 𝒂 = −𝟐 ; 𝒃 = 𝟐 ; 𝒄 = 𝟏𝟐 𝒆𝒕 𝒅 = 𝟐𝟐
Donc ∆𝒙 = | |=𝟒≠𝟎
𝟐 𝟒
𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 − 𝟒𝒅
Donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
= (−𝟐)𝟐 + 𝟐𝟐 + 𝟏𝟐𝟐 − 𝟒 × 𝟐𝟐
colinéaires donc A et B et C ne sont pas
= 𝟔𝟒 > 𝟎
alignes
Donc l’ensemble (𝑺) est une sphère de centre
D’où les points A et B et C forment un plan 𝒂 𝒃 𝒄
b) Montrer que ⃗⃗⃗⃗ 𝒏 (𝟐; 𝟐; −𝟏) est un vecteur 𝛀(− ; − ; − )
𝟐 𝟐 𝟐
normal au plan (ABC) Donc 𝛀(𝟏; −𝟏; −𝟔) et de rayon
Les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪 ne sont pas √ 𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 − 𝟒𝒅 √ 𝟔𝟒 𝟖
𝒓= = = =𝟒
colinéaires donc sont des vecteurs 𝟐 𝟐 𝟐
directeurs du plan (ABC) donc il suffit de b-calculer d (Ω ; (ABC)) et déduire que le plan
montrer que : (ABC) coupe la sphère (S) suivant un cercle
𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗ 𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 de rayon r=√𝟕
𝟐 −𝟏 Rappel :: DISTANCE D’UN POINT à UN PLAN
⃗⃗⃗⃗. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝒏 𝑨𝑩 = ( 𝟐 ) . ( 𝟐 ) = −𝟐 + 𝟒 − 𝟐 = 𝟎 Soient (𝑷) : 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎
−𝟏 𝟐 un plan et A(𝒙𝑨 ; 𝒚𝑨 ; 𝒛𝑨 ) un point de
𝑫𝒐𝒏𝒄 ⃗⃗⃗⃗ 𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 La distance de point A au plan(𝑷) est :
𝟐 𝟎 | 𝒂𝒙𝑨 + 𝒃𝒚𝑨 + 𝒄𝒛𝑨 + 𝒅|
𝒏 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗. 𝑨𝑪 = ( 𝟐 ) . (𝟐) = 𝟒 − 𝟒 = 𝟎 𝒅(𝑨; (𝑷)) =
−𝟏 𝟒 √𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐
| 𝟐 − 𝟐 + 𝟔 + 𝟑| 𝟗
𝑫𝒐𝒏𝒄 ⃗⃗⃗⃗ 𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪 𝒅(Ω; (𝑨𝑩𝑪) = = = √𝟗
c) Vérifier que 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝒛 + 𝟑 = 𝟎 est une √𝟐𝟐 + 𝟐𝟐 + (−𝟏)𝟐 √𝟗
équation cartésienne du plan (𝑨𝑩𝑪) <𝑹=𝟒
Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑨𝑩𝑪) Donc le plan (ABC) coupe la sphère (S)
𝟐 suivant un cercle de rayon
On a le vecteur 𝒏 ⃗⃗ ( 𝟐 ) est normale à (𝑨𝑩𝑪) 𝟐
−𝟏 𝒓 = √𝑹𝟐 − 𝒅𝟐 = √𝟒𝟐 − √𝟗 = √𝟕
5 23F Modèle 3
3)a) Déterminer une représentation Solution de l’exercice 02 (2 Points )
paramétrique de la droite (𝑫) passant par
le point Ω et perpendiculaire au plan (𝑨𝑩𝑪) On tire
Rappel : DROITE DANS L’ESPACE simultanément trois N R R R
Soit (𝑫) la droite qui passant par le point boules de l’urne

N V
𝑨(𝒙𝑨 ; 𝒚𝑨 ; 𝒛𝑨 ) et de vecteur directeur L’univers 𝛀 associé à V V V
⃗⃗⃗⃗
𝑼(𝒂; 𝒃; 𝒄) cette expérience
Une représentation paramétrique de(𝑫) aléatoire est l’ensemble des combinaisons de
𝒙 = 𝒙𝑨 + 𝒂𝒕 trois boules parmi dix boules
; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
(𝑫) : {𝒚 = 𝒚𝑨 + 𝒃𝒕
𝒛 = 𝒛𝑨 + 𝒄𝒕 Donc le nombre des possibilités est
𝟗×𝟖×𝟕
La droite (𝑫) et perpendiculaire au plan 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝑪𝟑𝟗 = = 𝟖𝟒
𝟑×𝟐
(𝑨𝑩𝑪) donc le vecteur 𝟓 𝟐
⃗⃗(𝟐; 𝟐; −𝟏) est directeur à la droite (𝑫)
𝒏 1) Montrer que 𝑷(𝑨) = ; 𝑷(𝑩) = et
𝟖𝟒 𝟕
𝟑𝟕
Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (∆) 𝑷(𝑪) =
𝟒𝟐
𝒙 =𝟏+𝟐×𝒕
(𝑫) : { 𝒚 = −𝟏 + 𝟐 × 𝒕 , (𝒕 ∈ 𝑰𝑹) A ‘’obtenir trois boules de même couleurs’’
𝒛 = −𝟔 − 𝟏 × 𝒕 (VVV) ou (RRR)
𝒙 = 𝟏 + 𝟐𝒕
(𝒕 ∈ 𝑰𝑹) 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑨) 𝑪𝟑𝟑 + 𝑪𝟑𝟒 𝟏 + 𝟒 𝟓
Donc (𝑫): {𝒚 = −𝟏 + 𝟐𝒕 est une 𝒑(𝑨) = = = =
𝒛 = −𝟔 − 𝒕 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒 𝟖𝟒 𝟖𝟒
représentation paramétrique de la droite
B’’ Les boules tirées de couleur différentes
(𝑫)
deux à deux ‘’
b- Déterminer les coordonnées du point H
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑩) 𝑪𝟏𝟐 × 𝑪𝟏𝟑 × 𝑪𝟏𝟒 𝟐 × 𝟑 × 𝟒
centre du cercle (C) 𝒑(𝑩) = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒 𝟖𝟒
(x;y;z) les cordonnées de H
𝟐𝟒 𝟐
𝒙 = 𝟏 + 𝟐𝒕 = =
( )
(𝛀𝐇): {𝒚 = −𝟏 + 𝟐𝒕 ; 𝒕 ∈ 𝑰𝑹 𝟖𝟒 𝟕
vérifie{
𝒛 = −𝟔 − 𝒕 𝟑𝟕
(𝑷) : 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝒛 + 𝟑 = 𝟎 2) Montrer que 𝑷(𝑪) =
𝟒𝟐
Donc C’’ obtenir au moins une boule verte’’
𝟐(𝟏 + 𝟐𝒕) + 𝟐(−𝟏 + 𝟐𝒕) − (−𝟔 − 𝒕) + 𝟑 = 𝟎
𝟗
L’événement contraire de B est :
Donc 𝟗𝒕 + 𝟗 = 𝟎 donc 𝒕 = − = −𝟏
𝟗 ̅ « Aucune boule tirée n’est verte »
𝑪
on remplace 𝒕 = −𝟏 dans
𝒙 = 𝟏 + 𝟐𝒕 𝟓×𝟒×𝟑
̅) = 𝑪𝟑𝟓 =
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑪 = 𝟏𝟎
{ ; 𝟑×𝟐
𝒚 = −𝟏 + 𝟐𝒕
𝒛 = −𝟔 − 𝒕 ̅) 𝟏𝟎
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑪 𝟓
𝒙 = 𝟏 − 𝟐 = −𝟏 ̅) =
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑪 = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒 𝟒𝟐
On trouve { 𝒚 = −𝟏 − 𝟐 = −𝟑 ,
𝒛 = −𝟔 + 𝟏 = −𝟓 𝟓 𝟑𝟕
̅) = 𝟏 −
𝑬𝒏𝒇𝒊𝒏 ∶ 𝒑(𝐂) = 𝟏 − 𝒑(𝑪 =
Donc 𝑯(−𝟏; −𝟑; −𝟓) 𝟒𝟐 𝟒𝟐

6 23F Modèle 3
Solution de l’exercice 03 (4Points ) b) Montrer que A est l’image de C par la
A) On considère dans ℂ l’équation rotation de centre O et d’angle
𝟕𝝅
𝟔
(𝑬) ∶ 𝒛𝟐 − 𝟐(√𝟐 − √𝟔)𝒛 + 𝟏𝟔 = 𝟎 √𝟑 𝟏
𝟐 On a 𝒂 = (− − 𝒊)𝒄
𝟐𝟐
1) Vérifier que 𝜟 = −𝟒(√𝟔 + √𝟐) 𝝅 𝝅
𝟐 = (−𝒄𝒐𝒔 − 𝒔𝒊𝒏 𝒊)𝒄
𝜟 = (−𝟐(√𝟔 − √𝟐)) − 𝟒 × 𝟏𝟔 𝟔 𝟔
𝟕𝝅 𝟕𝝅
= 𝟒(𝟔 − 𝟐√𝟔√𝟐 + 𝟐) − 𝟔𝟒 = (𝒄𝒐𝒔 + 𝒔𝒊𝒏 𝒊)𝒄
𝟔 𝟔
= 𝟒(𝟖 − 𝟐√𝟏𝟐) − 𝟔𝟒 𝟕𝝅
= 𝒆𝒊 𝟔 𝒄
= 𝟑𝟐 − 𝟖√𝟏𝟐 − 𝟔𝟒 𝟕𝝅
Donc 𝒂 − 𝟎 = 𝒆𝒊 𝟔 (𝒄 − 𝟎)
= −𝟑𝟐 − 𝟖√𝟏𝟐
Donc A est l’image de C par la rotation de
Et d’autre part : 𝟕𝝅
𝟐 centre O et d’angle
𝜟 = −𝟒(√𝟔 + √𝟐) 𝟔
𝟕𝝅
b) En déduire que 𝟐 𝒂𝒓𝒈(𝒂) ≡ [𝟐𝝅]
= −𝟒(𝟔 + 𝟐√𝟔√𝟐 + 𝟐) 𝟔
𝟕𝝅 𝟕𝝅
= −𝟒(𝟖 + 𝟐√𝟏𝟐) = −𝟑𝟐 − 𝟖√𝟏𝟐 On a 𝒂 = 𝒆𝒊 𝟔 𝒄 donc 𝒂 = 𝒆𝒊 𝟔 𝒂
̅
𝟐 𝟕𝝅
Donc 𝜟 = −𝟒(√𝟔 + √𝟐) Donc 𝒂𝒓𝒈(𝒂) ≡ 𝒂𝒓𝒈(𝒆𝒊 𝟔 𝒂
̅)[𝟐𝝅]
2) En déduire les solutions de (𝑬) Donc 𝒂𝒓𝒈(𝒂) ≡ 𝒂𝒓𝒈 (𝒆𝒊 𝟔 ) + 𝒂𝒓𝒈( 𝒂
𝟕𝝅
̅)[𝟐𝝅]
𝟐
On a 𝜟 = −𝟒(√𝟔 + √𝟐) < 𝟎 𝟕𝝅
Donc 𝒂𝒓𝒈(𝒂) ≡ − 𝒂𝒓𝒈(𝒂)[𝟐𝝅]
Donc l’équation (E) admet deux solutions 𝟔
𝟕𝝅
complexes conjugués sont : Donc 𝟐𝒂𝒓𝒈(𝒂) ≡ [𝟐𝝅]
𝟔
𝟐(√𝟐 − √𝟔) + 𝟐(√𝟐 + √𝟔)𝒊 4) Soit T la tarnslation de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑨
𝒛𝟏 =
𝟐 a) Montrer que 𝒅 = 𝟐√𝟐 est l’affixe du
= √𝟐 − √𝟔 + (√𝟐 + √𝟔)𝒊 point D l’image de C par T
Et 𝒛𝟐 = 𝒛
̅̅̅𝟏 = √𝟐 − √𝟔 − (√𝟐 + √𝟔)𝒊 𝑻(𝑪) = 𝑫 ⟺ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑪𝑫 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑨
B) Dans le plan complexe rapporté au ⟺𝒅−𝒄=𝒂−𝒃
repère orthonormé , considérons les ⟺𝒅=𝒂−𝒃+𝒄
points 𝑨(𝒂) ; 𝑩(𝒃) ; 𝑪(𝒄) ; 𝑫(𝒅) tel que : ⟺ 𝒅 = √𝟐 − √𝟔 + (√𝟐 + √𝟔)𝒊 + 𝟐√𝟔
𝒂 = √𝟐 − √𝟔 + (√𝟐 + √𝟔)𝒊 ; 𝒃 = −𝟐√𝟔 ; 𝒄 = 𝒂̅ + √𝟐 − √𝟔 − (√𝟐 + √𝟔)𝒊
√𝟑 𝟏
3) a) Montrer que 𝒂 = (− − 𝒊)𝒄 ⟺ 𝒅 = 𝟐√𝟐
𝟐 𝟐
√𝟑 𝟏 √𝟑 𝟏 b) Vérifier que 𝒄 − 𝒃 = −𝒊(𝒂 − 𝒃) puis en
(− − 𝒊) 𝒄 = − ( + 𝒊) (√𝟐 − √𝟔 − (√𝟐 + √𝟔)𝒊 )
𝟐 𝟐 𝟐 𝟐 déduire la nature du triangle ABC
𝟏
= − (√𝟑 + 𝒊)(√𝟐 − √𝟔 − (√𝟐 + √𝟔)𝒊 ) 𝒊(𝒂 − 𝒃) = −𝒊(√𝟐 − √𝟔 + (√𝟐 + √𝟔)𝒊 + 𝟐√𝟔)
𝟐
𝟏 = ((√𝟔 − √𝟐)𝒊 + (√𝟐 + √𝟔) − 𝒊𝟐√𝟔
= − (√𝟔 − √𝟏𝟖 − (√𝟔 − √𝟏𝟖)𝒊 + (√𝟐 − √𝟔)𝒊 + √𝟐 + √𝟔)
𝟐
𝟏 = (−√𝟐𝒊 + √𝟔𝒊 + √𝟐 + √𝟔 − 𝒊𝟐√𝟔
= − (𝟐√𝟔 − √𝟏𝟖 + √𝟐 + (√𝟐 − √𝟔 − √𝟔 + √𝟏𝟖)𝒊)
𝟐 = (√𝟐 + √𝟔) − (√𝟐 + √𝟔)𝒊
𝟏
=− (𝟐√𝟔 − 𝟐√𝟐 + (√𝟐 − 𝟐√𝟔 − 𝟑√𝟐)𝒊) 𝒄 − 𝒃 = √𝟐 − √𝟔 − (√𝟐 + √𝟔)𝒊 + 𝟐√𝟔
𝟐
𝟏 = √𝟐 + √𝟔 − (√𝟐 + √𝟔)𝒊
= − (𝟐 √𝟔 − 𝟐√𝟐 + (−𝟐√𝟐 − 𝟐√𝟔)𝒊)
𝟐 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒄 − 𝒃 = 𝒊(𝒂 − 𝒃)
= √𝟐 − √𝟔 + (√𝟐 − √𝟔)𝒊 = 𝒂
7 23F Modèle 3
En déduire la nature du triangle ABC D’où le tableau de variations de g :
𝒄−𝒃 x −∞ 0 +∞
𝒄 − 𝒃 = −𝒊(𝒂 − 𝒃) ⇒ = −𝒊
𝒂−𝒃 ′
𝒈 (𝒙) − 0 +
𝒄−𝒃 𝒄−𝒃 𝟏 +∞
⇒| | = |−𝐢| 𝐞𝐭 𝐚𝐫𝐠( )
𝒂−𝒃 𝒂−𝒃 𝒈(𝒙)
≡ 𝐚𝐫𝐠(−𝐢)[𝟐𝛑]
𝒈 (𝟎 ) = 𝟎
|𝐜 − 𝐛| 𝐜−𝐛 𝛑
⇒ = 𝟏 𝐞𝐭 𝐚𝐫𝐠 ( ) ≡ − [𝟐𝛑] 4) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ℝ; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
|𝐚 − 𝐛| 𝐚−𝐛 𝟐
Le nombre 0 est une valeur minimale de la
𝑩𝑪 ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ 𝛑
⇒ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
= 𝟏 𝐞𝐭 (𝐁𝐀, 𝐁𝐂) ≡ − [𝟐𝛑] fonction g sur ℝ
𝐁𝐀 𝟐
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ 𝛑 𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ (∀𝐱 ∈ ℝ) ; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
⇒ 𝐁𝐂 = 𝐁𝐀 𝐞𝐭 (𝐁𝐀 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐁𝐂) ≡ − [𝟐𝛑]
𝟐 3) Montrer que : (∀𝐱 ∈ ]𝟎; 𝟏[) ∶ 𝒈(𝐱) < 𝒙
⇒ 𝐥𝐞 𝐭𝐫𝐢𝐚𝐠𝐧𝐞 𝐀𝐀𝐂 𝐞𝐬𝐭 𝐢𝐬𝐨𝐜è𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐫é𝐜𝐭𝐚𝐧𝐠𝐥𝐞 𝐞𝐧 𝐎 Soit 𝐱 ∈ ]𝟎; 𝟏[
a) Déduire que le quadrilatère ABDC est 𝒈(𝐱) − 𝒙 = 𝐱𝐞𝐱 − 𝐞𝐱 + 𝟏 − 𝒙
un carré = 𝐞𝐱 (𝒙 − 𝟏) − (𝒙 − 𝟏)
On a 𝑻(𝑪) = 𝑫 donc ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑪𝑫 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗𝑩𝑨 = (𝒙 − 𝟏)(𝐞𝐱 − 𝟏)
Donc OABC est un paralléllogramme Et on a :
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
Et on a (𝐁𝐀⃗⃗⃗⃗⃗⃗, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝛑
𝐁𝐂) ≡ [𝟐𝛑] donc ABCD est un 𝐱 ∈ ]𝟎; 𝟏[ ⟹ 𝟎 < 𝒙 𝒆𝒕 𝒙 < 𝟏
𝟐
⟹ 𝐞𝟎 < 𝐞𝐱 𝒆𝒕 𝒙 − 𝟏 < 𝟎
réctangle
⟹ 𝟏 < 𝐞𝐱 𝒆𝒕 𝒙 − 𝟏 < 𝟎
De plus on a : 𝐁𝐂 = 𝐁𝐀 donc le
⟹ 𝟎 < 𝐞𝐱 − 𝟏 𝒆𝒕 𝒙 − 𝟏 < 𝟎
quadrilatère OABC est un carré
⟹ (𝒙 − 𝟏)(𝐞𝐱 − 𝟏) < 𝟎
Solution du problème (11 Points )
⟹ 𝒈(𝐱) − 𝒙 < 𝟎
A) Soit g définit sur ℝ par :
⟹ 𝒈(𝐱) < 𝒙
𝐠(𝐱) = 𝐱𝐞𝐱 − 𝐞𝐱 + 𝟏
Donc (∀𝐱 ∈ ]𝟎; 𝟏[) ∶ 𝒈(𝐱) < 𝒙
1) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) puis
𝐱→−∞ 𝐱→+∞ B) Soit une suite (𝐔𝐧 ) tel que :
montrer que(∀𝐱 ∈ ℝ) ; 𝒈 (𝐱) = 𝐱𝐞 ′ 𝐱 𝟏
𝐔𝟎 = et (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝐔𝐧+𝟏 = 𝒈(𝐔𝐧 )
𝐱 𝐱 𝟐
𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱𝐞 − 𝐞 + 𝟏 = 𝟏
𝐱→−∞ 𝐱→−∞ 1) Montrer par récurrence que : (∀𝒏 ∈ ℕ) ∶
𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦 𝐱𝐞𝐱 = 𝟎 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 = 𝟎 𝟎 < 𝐔𝐧 < 𝟏
𝐱→−∞ 𝐱→−∞
𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱𝐞 − 𝐞 + 𝟏 𝐱 𝐱
Démontrer par récurrence que (∀𝒏 ∈
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
= 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 (𝒙 − 𝟏) + 𝟏 = +∞ ℕ) ; 𝟎 < 𝒖𝒏 < 𝟏
➢ Pour n=0 on a 𝟎 < 𝒖𝟎 = 𝟏⁄𝟐 < 𝟏
𝐱→+∞
𝐱
(𝐂𝐚𝐫: 𝐥𝐢𝐦 𝐞 = +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 (𝒙 − 𝟏) = +∞ )
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ La propriété est donc vraie pour n = 0
𝐒𝐨𝐢𝐭 𝐱 ∈ ℝ ➢ Soit n un entier naturel,
′( ) 𝐱 𝐱 𝐱
𝒈 𝐱 = 𝟏×𝐞 +𝒙×𝐞 −𝐞 +𝟎 Supposons que 𝟎 < 𝒖𝒏 < 𝟏 et montrons
= 𝐞𝐱 + 𝒙𝐞𝐱 − 𝐞𝐱 que 𝟎 < 𝒖𝒏+𝟏 < 𝟏.
2) Dresser le tableau de variations de g puis On sait que la fonction 𝒈 est strictement
montrer que : ∀𝐱 ∈ ℝ ∶ 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎 croissante sur l’intervalle ]𝟎; 𝟏[et 𝟎 < 𝒖𝒏 < 𝟏
𝐒𝐨𝐢𝐭 𝐱 ∈ ℝ Donc ; 𝟏 < 𝒖𝒏 < 𝟏 ⟹ 𝒈(𝟎) < 𝒈(𝒖𝒏 ) < 𝒈(𝟏)
On a (∀𝐱 ∈ ℝ) ; 𝒈 (𝐱) = 𝐱𝐞 ′ 𝐱
⟹ 𝟎 < 𝒖𝒏+𝟏 < 𝟏
Et on a ∀𝐱 ∈ ℝ: 𝐞𝐱 > 𝟎 𝒆𝒕 D'après le principe de récurrence, on a :
∀𝐱 ∈ −∞; 𝟎 ; 𝒙 ≤ 𝟎 𝐞𝐭 ∀𝐱 ∈ 𝟎; +∞ ; 𝒙 ≥ 𝟎 , (∀𝒏 ∈ ℕ) 𝟎 < 𝒖𝒏 < 𝟏
] ] [ [
8 23F Modèle 2
2) Montrer que (𝐔𝐧 ) est décroissante 2) a) Montrer que : (∀𝐱 ∈ ℝ): 𝐟 ′ (𝐱) = 𝐠(𝐱)
Soit n un entier naturel, La fonction f est dérivable sur ℝ car c’est un
𝐎𝐧 𝐚: (∀𝐱 ∈ ]𝟎; 𝟏[): 𝐠(𝐱) < 𝐱 , d’après A)3) produit des fonctions dérivable sur ℝ
et 𝐮𝐧 ∈ ]𝟎; 𝟏[ d’après B)1) 𝐒𝐨𝐢𝐭 𝐱 ∈ ℝ
On pose 𝐱 = 𝐮𝐧 , on trouve 𝐠(𝐮𝐧 ) ≤ 𝐮𝐧 𝐟 ′ (𝐱) = 𝟏 × (𝐞𝐱 + 𝟏) + (𝐱 − 𝟐) × 𝐞𝐱
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ 𝐮𝐧+𝟏 ≤ 𝐮𝐧 ; d’où la suite (un) est = 𝐞𝐱 + 𝟏 + 𝐱𝐞𝐱 − 𝟐𝐞𝐱
décroissante = 𝐱𝐞𝐱 − 𝐞𝐱 + 𝟏
3) Déduire que (𝐔𝐧 ) est convergente et = 𝒈(𝒙)
déterminer sa limite b) Dresser le tableau de variation de f sur ℝ
La suite (un) est décroissante et minorée en justifiant votre réponse
par 0 donc elle est convergente. Soit 𝐱 ∈ ℝ
• La fonction f est continue sur l’intervalle 𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐟 ′ (𝐱) = 𝒈(𝒙)
]𝟎; 𝟏[ ; car elle est dérivable sur]𝟎; 𝟏[ 𝑫′𝒂𝒑𝒓é𝒔 𝒍𝒂 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒆 𝑨): 𝒈(𝒙) ≥ 𝟎
• 𝒈(]𝟎; 𝟏[) = ]𝐠(𝟎); 𝐠(𝟏)[ = ]𝟎; 𝟏[ ⊂ ]𝟎; 𝟏[ Donc 𝐟 ′ (𝐱) ≥ 𝟎
• 𝐮𝟎 = 𝟏⁄𝟐 ∈ ]𝟎; 𝟏[ D’où la fonction f est strictement croissante
La suite (un) est convergente sur ℝ
Alors la limite de la suite (𝐮𝐧 ) est L la x −∞ +∞
′
solution de l’équation 𝒇(𝒙) = 𝒙 𝒇 (𝒙) +
𝒈(𝒙) = 𝒙 ⟺ 𝒈(𝒙) − 𝒙 = 𝟎 +∞
𝒇(𝒙)
⟺ (𝒙 − 𝟏)(𝐞𝐱 − 𝟏) = 𝟎 −∞
𝒄𝒂𝒓 𝒈(𝒙) − 𝒙 𝒅é𝒋𝒂 𝒄𝒂𝒍𝒄𝒖𝒍é 3) a) Montrer que 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞(∆) ∶ 𝐲 = 𝐱 − 𝟐 est
⟺ 𝒙 − 𝟏 = 𝟎 𝒐𝒖 𝐞𝐱 − 𝟏 = 𝟎 asymptote oblique de (𝐂𝐟 ) au voisinage de
⟺ 𝒙 − 𝟏 = 𝟎 𝒐𝒖 𝐞𝐱 = 𝟏 −∞
⟺ 𝒙 = 𝟏 𝒐𝒖 𝒙 = 𝒍𝒏(𝟏) 𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = −∞
𝐱→−∞
⟺ 𝒙 = 𝟏 𝒐𝒖 𝒙 = 𝟎 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) − (𝐱 − 𝟐)
𝐱→−∞
Donc la limite de la suite (𝐮𝐧 ) est 0 car la = 𝐥𝐢𝐦 (𝐱 − 𝟐)(𝐞𝐱 + 𝟏) − (𝐱 − 𝟐)
suite (un) est décroissante 𝐱→−∞
= 𝐥𝐢𝐦 (𝐱 − 𝟐)𝐞𝐱 + (𝐱 − 𝟐) − (𝐱 − 𝟐)
D) Soit f une fonction définit sur ℝ par : 𝐱→−∞
𝐟(𝐱) = (𝐱 − 𝟐)(𝐞𝐱 + 𝟏) = 𝐥𝐢𝐦 (𝐱 − 𝟐)𝐞𝐱
𝐱→−∞
1) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱𝐞𝐱 − 𝟐𝐞𝐱
𝐱→−∞ 𝐱→+∞ 𝐱→−∞
𝐱
𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 (𝐱 − 𝟐)(𝐞 + 𝟏) =𝟎
𝐱→−∞ 𝐱→−∞
𝐱
= 𝐥𝐢𝐦 (𝐱 − 𝟐)𝐞 + (𝐱 − 𝟐) 𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦 𝐱𝐞𝐱 = 𝟎 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 = 𝟎
𝐱→−∞ 𝐱→−∞ 𝐱→−∞
𝐱 𝐱
= 𝐥𝐢𝐦 𝐱𝐞 − 𝟐𝐞 + (𝐱 − 𝟐) 𝐎𝐧 𝐚
𝐱→−∞
𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) − (𝐱 − 𝟐) = 𝟎 ;
= −∞ 𝐱→−∞ 𝐱→−∞
𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦 𝐱𝐞𝐱 = 𝟎 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 = 𝟎 𝐞𝐭 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞(∆) ∶ 𝐲 = 𝐱 − 𝟐 est asymptote
𝐱→−∞ 𝐱→−∞
oblique de (𝐂𝐟 ) au voisinage de −∞
𝐥𝐢𝐦 (𝐱 − 𝟐) = −∞
𝐱→−∞
𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 (𝐱 − 𝟐)(𝐞𝐱 + 𝟏)
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
= +∞
(𝐂𝐚𝐫: 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 + 𝟏 = +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 𝒙 − 𝟐 = +∞ )
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
9 23F Modèle 2
b) Etudier la position relative de (𝐂𝐟 ) et b) 𝐃é𝐭𝐞𝐫𝐦𝐢𝐧𝐞𝐫 l’équation de la tangente (T)
(∆) sur ℝ de (𝑪𝒇) au point d’abscisse 0
Soit 𝐱 ∈ ℝ (𝑻): 𝒚 = 𝒇′ (𝟎)(𝒙 − 𝟎) + 𝒇(𝟎)
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒇(𝐱) − (𝐱 − 𝟐) = (𝐱 − 𝟐)𝐞𝐱 et comme 𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒇′ (𝟎) = 𝒈(𝟎) = 𝟎 𝒆𝒕 𝒇(𝟎) = −𝟒
𝐞𝒙 > 𝟎 𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ (𝑻): 𝒚 = −𝟒
Donc le signe de𝒇(𝐱) − (𝐱 − 𝟐)est le signe de
x qui s’annule en 2 6) Montrer que (𝐂𝐟 ) coupe l’axe des abscisses
en un point unique d’abscisse 2
𝐟(𝐱) = 𝟎 ⇔ (𝐱 − 𝟐)(𝐞𝐱 + 𝟏) = 𝟎
⇔ 𝒙 − 𝟐 = 𝟎 𝒄𝒂𝒓 𝐞𝐱 + 𝟏 ≠ 𝟎
⇔ 𝐱=𝟐
Donc (𝐂𝐟 ) coupe l’axe des abscisses en un
point unique d’abscisse 2
𝐟(𝐱)
4) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 = +∞ puis 7)a) Montrer que f admet une fct réciproque
𝐱→+∞ 𝐱
déterminer la branche infinie de (𝑪𝒇 ) au 𝒇−𝟏 définie sur 𝑱 (à déterminer)
voisinage de +∞ La fonction f est dérivable sur ℝ donc elle est
𝐟 (𝐱 ) (𝐱 − 𝟐)(𝐞𝐱 + 𝟏) continue sur ℝ
𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦
𝐱→+∞ 𝐱 𝐱→+∞ 𝐱 La fonction f est strictement croissante sur ℝ
𝐞𝐱 𝟏 Donc la fonction f admet une fonction
( )
= 𝐥𝐢𝐦 𝐱 − 𝟐 ( + ) = +∞
𝐱→+∞ 𝐱 𝒙 réciproque 𝒇−𝟏 définie sur un intervalle J tel
𝐞𝐱 que 𝑱 = 𝒇(]−∞; +∞[) = ]−∞; +∞[ = ℝ
𝑪𝒂𝒓 𝐥𝐢𝐦 𝐱 − 𝟐 = +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝐱
𝟏
= +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 b) Montrer que 𝒇−𝟏 est dérivable en 0 puis
𝐱→+∞ 𝐱
𝐟(𝐱) calculer (𝒇−𝟏 )′(𝟎)
On a : 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 = +∞
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝒙 On a : 𝒇(𝟐) = 𝟎 donc 𝒇−𝟏 (𝟎) = 𝟐
Donc la courbe (𝐂𝐟 ) admet une branche Et on a la fonction f est dérivable sur ℝ donc
parabolique de direction l’axe des elle est dérivable en 2
ordonnées au voisinage de +∞ Et 𝒇′(𝟐) = 𝒈(𝟐) = 𝟐𝐞𝟐 − 𝐞𝟐 + 𝟏 = 𝐞𝟐 + 𝟏
5) a) Montrer que (𝐂𝐟 ) admet un point Donc 𝒇′(𝟐) ≠ 𝟎
d’inflexion unique au point d’abscisse 0 D’où 𝒇−𝟏 est dérivable en 0 et
Soit 𝐱 ∈ ℝ . 𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐟 ′′ (𝐱) = 𝒈′ (𝒙) = 𝒙𝐞𝐱 𝟏 𝟏
(𝒇−𝟏 )′(𝟎) = =
On a 𝐞𝐱 > 𝟎 𝒆𝒕 ∀𝐱 ∈ ]−∞; 𝟎]; 𝒙 ≤ 𝟎 𝐞𝐭 ∀𝐱 ∈ 𝒇′ (𝟐) 𝐞𝟐 +𝟏
[𝟎; +∞[; 𝒙 ≥ 𝟎 donc

x −∞ 0 +∞
′
𝒇′ (𝒙) − 0 +
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐟 ′′ s’annule et change de signe en 0

donc le point 𝐀(𝟎; 𝒇(𝟎)) c-à-dire 𝐀(𝟎; −𝟒)
est une point d’inflexion de (𝑪𝒇)

‫الصفحة‬ Correction d’examen blanc 2024
SN ‫فيصل‬.‫ذ‬
10 23F Modèle 2
8) Tracer (T) ; (∆) et (𝐂𝐟 ) dans un repère 9)a) Par une intégration par partie
orthonormé (𝐎 ; ⃗𝐢 ; ⃗𝐣) montrer que :
𝟐
𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞(∆) ∶ 𝐲 = 𝐱 − 𝟐 est asymptote
∫ (𝒙 − 𝟐 )𝐞𝐱 𝒅𝒙 = 𝟑 − 𝐞𝟐
oblique de (𝐂𝐟 ) au voisinage de −∞ 𝟎
𝐮(𝐱) = 𝐱 − 𝟐 𝐮′ (𝐱) = 𝟏
Posons { ′ 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 {
la courbe (𝐂𝐟 ) admet une branche 𝐯 (𝐱) = 𝐞 𝐱 𝐯(𝐱) = 𝐞 𝐱
parabolique de direction l’axe des Il s’ensuit donc :
𝟐 𝟐
ordonnées au voisinage de +∞
∫ (𝐱 − 𝟐)𝐞 𝐝𝐱 = [(𝐱 − 𝐱
𝟐)𝐞𝐱 ]𝟐𝟎 − ∫ 𝐞 𝐱 𝐝𝐱
𝟎 𝟎
x −∞ +∞ =𝟐− [𝐞𝐱 ]𝟐𝟎
𝒇′ (𝒙) + = 𝟐 − 𝐞𝟐 + 𝟏
+∞ = 𝟑 − 𝐞𝟐
𝒇(𝒙)
−∞
b) Calculer, en 𝒄𝒎𝟐 , l’aire du domaine
limité par la courbe(𝑪𝒇 ), la droite (∆) et
les droites d’équations
𝒙 = 𝟎 et 𝒙 = 𝟐 .
On a (𝑪𝒇) est en dessous de (𝑫); 𝒚 = 𝒙 sur
l’intervalle [𝟎, 𝟐]
Donc∀𝒙 ∈ [𝟎, 𝟐]: |𝐟(𝐱) − 𝐲| = 𝐲 − 𝐟(𝐱) d’après
la question C)3)b)
(∆) 𝟐
𝐀 = ∫ |𝐟(𝐱) − 𝐲|𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚
(𝐂𝐟 ) 𝟎
𝟐
= ∫ 𝐲 − 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚
𝟎
𝟐
= ∫ (𝐱 − 𝟐) − [(𝐱 − 𝟐)(𝒆𝒙 + 𝟏)]𝒅𝒙 . 𝐜𝐦𝟐
𝟎
𝟐
= ∫ (𝐱 − 𝟐) − [(𝐱 − 𝟐)𝒆𝒙 + (𝐱 − 𝟐)]𝒅𝒙 . 𝐜𝐦𝟐
𝟎
𝟐
= ∫ −(𝐱 − 𝟐)𝒆𝒙 𝒅𝒙 . 𝐜𝐦𝟐
𝟎
= −(𝟑 − 𝐞𝟐 )𝐜𝐦𝟐
= (𝐞𝟐 − 𝟑)𝐜𝐦𝟐
(𝑻)

1 ‫اإلمتحان التجريبي للباكالوريا المسالك‬
10
2024 ‫الدولية‬
*****4
‫النموذج الرابع‬
Prof
Fayssal



Nombres complexes.
Exercice 3 4 points
Exercice 3 2 points
Problème 8 points
intégral

‫الصفحة‬ ‫ – النموذج الرابع‬2024– ‫االمتحان التجريبي للباكالوريا‬
M1-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
Soit (𝒖𝒏 ) une suite tel que :
𝟑𝒖𝒏
(∀𝒏 ∈ ℕ) : 𝒖𝒏+𝟏 = 𝒆𝒕 𝒖𝟎 = 𝟏
𝒖𝒏 + 𝟒
0,5 1) Montrer que ; (∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝒖𝒏 > 𝟎

𝟑
0,5 2) Montrer que ; (∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝒖𝒏+𝟏 ≤ 𝒖𝒏
𝟒
0,5 3) Montrer que (𝒖𝒏 ) est décroissante puis qu’elle est convergente
𝟑
0,5 4) Montrer que (∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝒖𝒏 ≤ ( )𝒏
𝟒
0,25 5) En déduire la limite de (𝒖𝒏 )
6) Pour tout 𝒏 ∈ ℕ , on pose : 𝑺𝒏 = 𝒖𝟎 + 𝒖𝟏 + ⋯ . +𝒖𝒏−𝟏
0,5 𝟑 𝒏
a) Montrer que : (∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝑺𝒏 ≤ 𝟒(𝟏 − ( ) )
𝟒
0,25
b) En déduire que 𝐥𝐢𝐦 𝑺𝒏 ≤ 𝟒
𝐧→+∞
⃗⃗ )
On considère dans l’espace les points : 𝑨(𝟏; 𝟎; 𝟏) ;𝑩(𝟎; −𝟒; 𝟒)
; 𝑪(𝟑; −𝟒; 𝟓), et la sphère (𝑺) dont une équation cartésienne
𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟒𝒙 + 𝟒𝒚 − 𝟔𝒛 + 𝟖 = 𝟎
0,25 1)a) Montrer que (𝑺) est de centre Ω(𝟐; −𝟐; 𝟑) et de rayon 𝟑
b) Vérifier que 𝑨 ∈ (𝑺) puis écrire une équation cartésienne du plan (𝑷) tangente à
0,75
(𝑺) en 𝑨.
2) a) Montrer que : 𝒏
⃗⃗ = 𝟐𝒊⃗ − 𝟓𝒋⃗ − 𝟔 est un vecteur normal au plan (ABC)
0,5
0,25 b) Déduire que 𝟐𝒙 − 𝟓𝒚 − 𝟔𝒛 + 𝟒 = 𝟎 est une équation du plan(𝑨𝑩𝑪)
0,25 c) Montrer que (𝑨𝑩𝑪) et (P) sont orthogonaux
d) Montrer que le plan (𝑨𝑩𝑪) coupe la sphère (𝑺) suivant un cercle (𝚪) dont on
0,5 déterminera son centre H et son rayon
0,5 3) Montrer que (𝚪) est le cercle circonscrit au triangle 𝑨𝑩𝑪

‫الصفحة‬ ‫ – النموذج الرابع‬2024– ‫االمتحان التجريبي للباكالوريا‬
M1-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
On considère dans le repère complexe ( 𝐎 ; 𝐮
⃗⃗ ; 𝐯⃗⃗)
𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬 𝐀(𝐚) ; 𝐁(𝐛) ; 𝐂(𝐜) 𝐞𝐭 𝐃(𝐝) 𝐭𝐞𝐥 𝐪𝐮𝐞 ∶ 𝐚 = 𝐢 ;
𝐛 = 𝟐√𝟑 − 𝒊 ; 𝐜 = √𝟑 + 𝟐𝐢 et d= √𝟑 − 𝟐𝐢
𝛑
1) Soit la rotation R de centre A et d’angle − et M(z’) l’image de M(z) par R
𝟐
0,5 a) Montrer que l’écriture complexe R est : 𝐳 ′ = −𝐢𝐳 − 𝟏 + 𝐢

b) Vérifier que 𝐜’ = 𝟏 + (𝟏 − √𝟑)𝐢 est l’affixe du point C’ l’image de point C par
0,5
la rotation R
2) Soit h l’homothétie de centre A et de rapport 𝐤 = √𝟑
0,75 a) Montrer que D est l’image du point C’ par l’homothétie h
𝐝−𝐚 ̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗, 𝐀𝐃
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗)
b) Vérifier que = −√𝟑 𝐢 puis en déduire (𝐀𝐂
0,75 𝐜−𝐚
⃗⃗⃗⃗⃗⃗
3) Soit t la translation de vecteur 𝐀𝐂
0,75
a) Déterminer l’image du point D par la translation t
0,75 b) Montrer que le quadrilatère ACBD est un rectangle
Un sac contient 6 jetons indiscernables au toucher et numérotés :1 ;1 ;1 ;1 ;2 ;2.
On tire au hasard, successivement et sans remise 3 jetons du sac.
𝑨 : « La somme des numéros obtenus est égale à 3»
𝑩 : « Le premier jetons porte le numéro 2»
𝟏 𝟏
0,75 1) Montrer que : 𝑷(𝑨) = 𝒆𝒕 𝑷(𝑩) =
𝟓 𝟑
0,75 2) Calculer 𝑷𝑩 (𝑨).
0,5 3) Les évènements 𝑨 et 𝑩 sont-ils indépendants ? Justifier la réponse.

‫الصفحة‬ M1-24 ‫ – النموذج الرابع‬2024– ‫االمتحان التجريبي للباكالوريا‬ ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
A) Soit𝐠 une fonction définit sur ]𝟎 ; +∞[ 𝐩𝐚𝐫
𝐠(𝐱) = 𝐱 − 𝐥𝐧(𝐱)
0,5 1) Déterminer 𝐥𝐢𝐦+ 𝐠(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦 𝐠(𝐱)
𝐱→𝟎 𝐱→+∞
0,5 2) Calculer 𝐠 ′ (𝐱) ;puis dresser le tableau des variations de g
0,5 3) 𝐌𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞𝐫 𝐪𝐮𝐞 ∶ ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝐠(𝐱) > 0
B) Soit 𝐟 𝐮𝐧𝐞 𝐟𝐨𝐧𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝é𝐟𝐢𝐧𝐢𝐭 𝐬𝐮𝐫 ]𝟎; +∞[par
(𝐱 + 𝟏)𝐥𝐧(𝐱) + 𝟏
𝐟(𝐱) =
𝐱
Et (𝐂𝐟) son graphe dans un repère orthonormé (𝐎; ⃗𝐢; ⃗𝐣) (Unité 1 cm)
0,5 1) Déterminer 𝐥𝐢𝐦+ 𝐟(𝐱) et Interpréter le résultat géométrique

𝐱→𝟎
2) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱)et étudier la branche infinie de(𝐂𝐟) au voisinage de +∞

0,5 𝐱→+∞
𝐠(𝐱)
3)a) Montrer que ∀𝐱 ∈ ]𝟎, +∞[ ∶ 𝐟 ′ (𝐱) =
0,5 𝐱𝟐
0,5 b) Dresser le tableau de variation de f , en justifiant votre réponse
c)Déterminer l’équation de la tangente (𝐓) au point A(1 ;1)

0,5
4) Montrer que f admet une fonction réciproque 𝐟 −𝟏,définie sur un intervalle 𝐉 que
0,5 l’on précisera
𝟏
5) Montrer que l’équation 𝐟(𝐱) = 𝟎 admet une unique solution 𝛂 dans ] , 𝟏[ ; (On
𝟐
𝟏
0,5 prend 𝐟 ( ) = −𝟎, 𝟐 )
𝟐
6) Tracer (𝐓) ; (𝐂𝐟) et (𝐂𝐟 −𝟏 )dans le repère orthonormé (𝐎; ⃗𝐢; ⃗𝐣)
1,5
𝐞𝟒 𝒍𝒏(𝒙)
7) a) Montrer que ∫𝐞𝟐 𝒅𝒙 = 𝟔
0,5 𝒙
𝐞𝟒
0,5 b) Par une intégration par parties montrer que : ∫𝐞𝟐 𝐥𝐧(𝐱) 𝒅𝒙 = 𝟑𝐞𝟒 − 𝐞𝟐
0,5 c) Calculer l’aire du domaine plan limité par la courbe (𝑪𝒇 ) , la droite (𝐎𝐱) et les
droites x=𝐞𝟒 et x=𝐞𝟐
1 23F Modèle 01
Solution de l’exercice 04 : ( 3 points ) 2ème méthode : (l’encadrement)
Soit (𝒖𝒏 ) une suite tel que : On a : 𝒖𝒏 > 𝟎 donc 𝟒 + 𝒖𝒏 ≥ 𝟒

𝟑𝒖𝒏 𝟏 𝟏
(∀𝒏 ∈ ℕ) : 𝒖𝒏+𝟏 = 𝒆𝒕 𝒖𝟎 = 𝟏 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ ≤
𝒖𝒏 + 𝟒 𝟒 + 𝒖𝒏 𝟒
1) Montrer que ; (∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝒖𝒏 > 𝟎 𝟑 𝟑

𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ ≤
𝟒 + 𝒖𝒏 𝟒
➢ Pour n=0 on a 𝒖𝟎 = 𝟏 > 𝟎
Donc la proposition est vraie pour n = 0 𝟑𝒖𝒏 𝟑
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ ≤ 𝒖𝒏 ; 𝒄𝒂𝒓 𝒖𝒏 > 𝟎
➢ Soit n un entier naturel 𝟒 + 𝒖𝒏 𝟒
Supposons que 𝒖𝒏 > 𝟎 et montrons que
𝟑
𝒖𝒏+𝟏 > 𝟎. 𝑫′ 𝒐𝒖 ∶ 𝒖𝒏+𝟏 ≤ 𝒖
𝟒 𝒏
𝟑𝒖𝒏
∗ 𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒖𝒏+𝟏 = 3) Montrer que (𝒖𝒏 ) est décroissante puis
𝟒 + 𝒖𝒏 qu’elle est convergente
Et on a : 𝒖𝒏 > 𝟎
Soit 𝒏 ∈ ℕ
donc 𝟑𝒖𝒏 > 𝟎 et 𝟐𝟏 + 𝒖𝒏 > 𝟎
𝟑
𝟑𝑼𝒏 𝒐𝒏 𝒂 ∶ 𝒖𝒏+𝟏 ≤ 𝒖 𝒆𝒕 𝒖𝒏 > 𝟎
Donc >𝟎 𝟒 𝒏
𝟒+𝑼𝒏
𝟑 𝟑
Donc 𝒖𝒏+𝟏 > 𝟎 . 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒖𝒏+𝟏 ≤ 𝒖𝒏 ≤ 𝒖𝒏 𝒄𝒂𝒓 < 𝟏
𝟒 𝟒
D'après le principe de récurrence, on a 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒖𝒏+𝟏 ≤ 𝒖𝒏
∀𝒏 ∈ ℕ: 𝒖𝒏 > 𝟎
𝟑
Donc la suite (𝒖𝒏 )est décroissante
2) Montrer que ; (∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝒖𝒏+𝟏 ≤ 𝒖𝒏
𝟒
Remarque : On peut étudier le signe de la
Soit n un entier naturel, différence 𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏
1ère méthode : ( la différence) La suite (𝒖𝒏 )est décroissante et minorée par
𝟑 𝟑𝒖𝒏 𝟑 0 donc elle est convergente
𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 = − 𝒖𝒏
𝟒 𝟒 + 𝒖𝒏 𝟒 𝟑
4)Montrons que : ∀𝒏 ∈ ℕ ; 𝟎 < 𝒖𝒏 ≤ ( )𝒏
𝟒
𝟒 × 𝟑𝒖𝒏 − 𝟑(𝟒 + 𝒖𝒏 )𝒖𝒏
= On a : (∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝟎 < 𝒖𝒏 il suffit de
𝟒(𝟏 + 𝒖𝒏 ) 𝟑
montrer que 𝒖𝒏 ≤ ( )𝒏
𝟒
𝟏𝟐𝒖𝒏 − 𝟏𝟐𝒖𝒏 − 𝒖𝟐𝒏 1ère méthode : (par récurrence)
=
𝟒(𝟏 + 𝒖𝒏 )
𝟑 𝟎
−𝒖𝟐𝒏 ➢ Pour n=0 on a 𝒖𝟎 = 𝟏 ≤ ( ) = 𝟏
𝟒
= <𝟎 La propriété est donc vraie pour n = 0
𝟒(𝟏 + 𝒖𝒏 )
𝟑 ➢ Soit n un entier naturel,
Donc 𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 ≤ 𝟎 𝟑 𝒏
𝟒 Supposons que 𝒖𝒏 ≤ ( ) montrons que
𝟒
𝟑 𝟑 𝒏
D’où (∀𝒏 ∈ ℕ); 𝒖𝒏+𝟏 ≤ 𝒖𝒏 𝒖𝒏+𝟏 ≤ ( )
𝟒 𝟒
2 23F Modèle 014
𝟑 𝒏 𝟑 𝟑 𝒏+𝟏 6) Pour tout 𝒏 ∈ ℕ , on pose :
On a 𝒖𝒏 ≤ ( ) donc 𝒖𝒏 ≤ ( )
𝟒 𝟒 𝟒
𝑺𝒏 = 𝒖𝟎 + 𝒖𝟏 + ⋯ . +𝒖𝒏−𝟏
Et on a d’aprés la question précédente
𝒖𝒏+𝟏 ≤ 𝒖𝒏
𝟑 Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝑺𝒏 ≤ 𝟒
𝟒 𝒏→+∞
𝟑 𝟑 𝒏+𝟏 𝟑 𝒏
Donc 𝒖𝒏+𝟏 ≤ 𝒖𝒏 ≤ ( ) 𝑶𝒏 𝒂 ∶ (∀𝒏 ∈ ℕ); 𝟎 < 𝒖𝒏 ≤ ( )
𝟒 𝟒 𝟒
𝟑 𝒏+𝟏 𝟑 𝟎
′
𝑫 𝒐𝒖: 𝒖𝒏+𝟏 ≤( ) Pour n=0 on a : 𝒖𝟎 ≤ ( )
𝟒
𝟒
𝟑 𝟏
➢ D'après le principe de récurrence, on a Pour n=1 on a : 𝒖𝟏 ≤ ( )
𝟑 𝟒
(∀𝒏 ∈ ℕ); 𝒖𝒏 ≤ ( )𝒏
𝟒
…
2ème méthode :
𝟑 𝒏−𝟐
On a ; (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝒖𝒏+𝟏 ≤ 𝒖𝒏
𝟑 Pour n-2 on a : 𝒖𝒏−𝟐 ≤ ( )
𝟒 𝟒
𝟑 𝟑 𝒏−𝟏
Pour n=0 on a : 𝒖𝟏 ≤ 𝒖𝟎 Pour n-1 on a : 𝒖𝒏−𝟏 ≤ ( )
𝟒 𝟒
Pour n=1 on a : 𝒖𝟐 ≤ 𝒖𝟏
𝟑
On somme les inégalités terme à terme, on
𝟒
trouve :
…
𝒖𝟎 +𝒖𝟏 + ⋯ . +𝒖𝒏−𝟏 + 𝒖𝒏
𝟑
Pour n-2 on a : 𝒖𝒏−𝟏 ≤ 𝒖𝒏−𝟐
𝟒 𝟑 𝟎 𝟑 𝟏 𝟑 𝒏−𝟐 𝟑 𝒏−𝟏
Pour n-1 on a : 𝒖𝒏 ≤ 𝒖𝒏−𝟏
𝟑 ≤ ( ) + ( ) + ⋯.+( ) +( )
𝟒 𝟒 𝟒 𝟒 𝟒
On multiplie les inégalités terme à terme
𝟏 − 𝒒𝒏+𝟏
car sont positives, on trouve : 𝟐
𝑹𝒂𝒑𝒑𝒆𝒍𝟏 + 𝒒 + 𝒒 + ⋯ + 𝒒 = 𝒏
;𝒒 ≠ 𝟏
𝟏−𝒒
𝒖𝟏 × 𝒖𝟐 × … .× 𝒖𝒏−𝟏 × 𝒖𝒏 𝟑
𝟑 𝟑 𝟑 𝟑 𝟏 − ( )𝒏−𝟏−𝟎+𝟏
𝟒
≤ 𝒖𝟎 × 𝒖𝟏 × … .× 𝒖𝒏−𝟏 × 𝒖𝒏 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝑺𝒏 ≤ 𝟑
𝟑 𝟒 𝟒 𝟒 𝟏−
𝟑 𝒏 𝟒
C-à-dire : 𝒖𝒏 ≤ ( )
𝟒 𝟑
D’où (∀𝒏 ∈ ℕ); 𝟎 < 𝒖𝒏 ≤ ( )𝒏
𝟑 𝟏 − ( )𝒏
𝟒
𝟒 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝑺𝒏 ≤ 𝟏
1) Déduite 𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 . 𝟒
𝒏→+∞
𝒏 𝟑 𝒏
𝟑 D’où (∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝑺𝒏 ≤ 𝟒(𝟏 − ( ) )
𝑶𝒏 𝒂 ∶ (∀𝒏 ∈ ℕ); 𝟎 < 𝒖𝒏 ≤ ( ) 𝟒
𝟒 𝟑 𝒏
𝟑 𝟑 𝒏 Donc 𝐥𝐢𝐦 𝑺𝒏 ≤ 𝐥𝐢𝐦 𝟒(𝟏 − (𝟒) )
𝒏→+∞ 𝒏→+∞
𝑬𝒕 𝒐𝒏 𝒂 ∶ −𝟏 < < 𝟏 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝐥𝐢𝐦 ( )
𝟒 𝒏→+∞ 𝟒
𝟑 𝒏
=𝟎 Donc 𝐥𝐢𝐦 𝑺𝒏 ≤ 𝟒 , car 𝐥𝐢𝐦 (𝟒) = 𝟎
𝒏→+∞ 𝒏→+∞
Donc d’prés théorème d’encadrement on a : 𝟑
𝒆𝒕 − 𝟏 < <𝟏
𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 = 𝟎 𝟒
𝒏→+∞
3 23F Modèle 04
Solution de l’exercice 02 (3 Points ) 𝑨𝑴. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Donc ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝛀𝑨 = 𝟎
On considère dans l’espace les points : 𝒙 − 𝟏 −𝟏
𝑨(𝟏; 𝟎; 𝟏) ;𝑩(𝟎; −𝟒; 𝟒) ; 𝑪(𝟑; −𝟒; 𝟓), et la Donc (𝒚 − 𝟎).( 𝟐 )=0
sphère (𝑺) dont une équation cartésienne: 𝒛 − 𝟏 −𝟐
Donc −(𝒙 − 𝟏) + 𝟐𝒚 − 𝟐(𝒛 − 𝟏) = 𝟎
𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟒𝒙 + 𝟒𝒚 − 𝟔𝒛 + 𝟖 = 𝟎
Donc −𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝟐𝒛 + 𝟑 = 𝟎
1)a) Montrer que le centre de (𝑺) est
Une équation cartésienne de (P) est :
Ω(𝟐; −𝟐; 𝟑) et son rayon 𝟑
𝒙 − 𝟐𝒚 + 𝟐𝒛 − 𝟑 = 𝟎
Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑺)
2) a) Montrer que : 𝒏 ⃗⃗ est un
⃗⃗ = 𝟐𝒊⃗ − 𝟓𝒋⃗ − 𝟔𝒌
1ère méthode :
𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟒𝒙 + 𝟒𝒚 − 𝟔𝒛 + 𝟖 = 𝟎 ⟺ vecteur normal au plan (ABC)
𝒙𝟐 − 𝟒𝒙 + 𝟐𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝟒𝒚 + 𝟐𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟔𝒛 + 𝟑𝟐 Rappel :
= 𝟐𝟐 + 𝟐𝟐 + 𝟑𝟐 − 𝟖 Condition de colinéarité de deux vecteurs
Donc (𝑺): (𝒙 − 𝟐)𝟐 + (𝒚 + 𝟐)𝟐 + (𝒛 − 𝟑)𝟐 = 𝟑𝟐 Soient ⃗𝑼 ⃗⃗(𝒙; 𝒚; 𝒛) 𝒆𝒕 ⃗𝑽⃗(𝒙′ ; 𝒚′ ; 𝒛′ )deux vecteurs
Donc (S) est une sphère de centre ⃗𝑼
𝜴(𝟐 ; −𝟐 ; 𝟑) et de rayon R=3 𝒚 𝒚′
∆𝒙 = | | ; ∆𝒚 = | 𝒙 𝒙′ | 𝒆𝒕 ∆𝒛 = |
𝒙 𝒙′
|
2ème méthode 𝒛 𝒛′ 𝒛 𝒛′ 𝒚 𝒚′
On pose 𝒂 = −𝟒 ; 𝒃 = 𝟒 ; 𝒄 = −𝟔 𝒆𝒕 𝒅 = 𝟖 On a 𝑨(𝟏; 𝟎; 𝟏) ;𝑩(𝟎; −𝟒; 𝟒) ; 𝑪(𝟑; −𝟒; 𝟓),
𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 − 𝟒𝒅 = −𝟏 𝟐
𝑨𝑩 (−𝟒) et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
donc ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 (−𝟒)
(−𝟒)𝟐 + 𝟒𝟐 + (−𝟔)𝟐 − 𝟒 × 𝟖 = 𝟑𝟔 > 𝟎
𝟑 𝟒
Donc l’ensemble (𝑺) est une sphère de −𝟒 −𝟒
𝒂 𝒃 𝒄 Donc ∆𝒙 = | | = −𝟒 ≠ 𝟎
centre 𝛀(− ; − ; − ) 𝟑 𝟒
𝟐 𝟐 𝟐
Donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Donc 𝛀(𝟐; −𝟐; 𝟑) et de rayon
colinéaires donc A et B et C ne sont pas alignes
√ 𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 − 𝟒𝒅 √ 𝟑𝟔 𝟔
𝒓= = = =𝟑 D’où les points A et B et C forment un plan
𝟐 𝟐 𝟐
b) Vérifier que 𝑨(𝟏; 𝟎; 𝟏) ∈ (𝑺) puis écrire 𝑨𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
une équation cartésienne du plan (𝑷) donc sont des vecteurs directeurs du plan
tangente à (𝑺) en 𝑨. (ABC) donc il suffit de montrer que :
1ère méthode : 𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗ 𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝟏𝟐 + 𝟎𝟐 + 𝟏𝟐 − 𝟒 + 𝟎 − 𝟔 + 𝟖 = 𝟎 𝟐 −𝟏
⃗⃗⃗⃗. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝒏 𝑨𝑩 = (−𝟓) . (−𝟒) = −𝟐 + 𝟐𝟎 − 𝟏𝟖 = 𝟎
Donc 𝑨(𝟏; 𝟎; 𝟏) ∈ (𝑺)
−𝟔 𝟑
2ème méthode 𝑫𝒐𝒏𝒄 ⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝒏 ⊥ 𝑨𝑩
𝛀𝐀 = √(𝟏 − 𝟐)𝟐 + (𝟎 + 𝟐)𝟐 + (𝟏 − 𝟑)𝟐 𝟐 𝟐
= √𝟗 = 𝟑 ⃗⃗⃗⃗. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝒏 𝑨𝑪 = (−𝟓) . (−𝟒) = 𝟒 + 𝟐𝟎 − 𝟐𝟒 = 𝟎
Donc 𝛀𝐀 = 𝐑 donc 𝐀( 𝟏, 𝟎; 𝟏 ) ∈ (𝐒) −𝟔 𝟒
𝑫𝒐𝒏𝒄 ⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝒏 ⊥ 𝑨𝑪
Une équation cartésienne du plan (𝑷)
tangente à (𝑺) en 𝑨. b) Déduire que 𝟐𝒙 − 𝟓𝒚 − 𝟔𝒛 + 𝟒 = 𝟎 est une
Soit M(𝒙 ; 𝒚; 𝒛) est un point de (Q) équation du plan(𝑨𝑩𝑪)
𝒙−𝟏 −𝟏 Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑨𝑩𝑪)
Donc 𝑨𝑴 (𝒚 − 𝟎) et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝛀𝑨 ( 𝟐 ) sont 𝟐
𝒛−𝟏 −𝟐 On a le vecteur 𝒏 ⃗⃗ (−𝟓) est normale à (𝑨𝑩𝑪)
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
orthogonaux, car 𝛀𝑨 est normal à (P) −𝟔
4 23F Modèle 04
Donc (𝑨𝑩𝑪): 𝟐 × 𝒙 − 𝟓 × 𝒚 − 𝟔 × 𝒛 + 𝒅 = 𝟎 Et comme 𝒅(Ω; (𝑨𝑩𝑪) = 𝟎 donc Ω ∈ (𝑨𝑩𝑪)
Donc (𝑨𝑩𝑪): 𝟐𝒙 − 𝟓𝒚 − 𝟔𝒛 + 𝒅 = 𝟎 𝛀𝐀 = √(𝟏 − 𝟐)𝟐 + (𝟎 + 𝟐)𝟐 + (𝟏 − 𝟑)𝟐
Et on a 𝑨(𝟏, 𝟎, 𝟏) ∈ (𝑨𝑩𝑪) donc on remplace = √𝟗 = 𝟑 donc 𝑨 ∈ (𝚪)
les coordonnées de A Donc 𝟐 − 𝟎 − 𝟔 + 𝒅 =
𝛀𝐁 = √(𝟎 − 𝟐)𝟐 + (−𝟒 + 𝟐)𝟐 + (𝟒 − 𝟑)𝟐
𝟎 donc −𝟒 + 𝒅 = 𝟎 donc 𝒅 = 𝟒
= √𝟗 = 𝟑 donc 𝑩 ∈ (𝚪)
D’où (𝑨𝑩𝑪): 𝟐𝒙 − 𝟓𝒚 − 𝟔𝒛 + 𝟒 = 𝟎
b) Montrer que (𝑨𝑩𝑪) et (P) sont 𝛀𝐂 = √(𝟑 − 𝟐)𝟐 + (−𝟒 + 𝟐)𝟐 + (𝟓 − 𝟑)𝟐
orthogonaux = √𝟗 = 𝟑 donc 𝑪 ∈ (𝚪)
𝟐 D’où (𝚪) est le cercle circonscrit au triangle
On a 𝒏 ⃗⃗ (−𝟓) est normale au plan (𝑨𝑩𝑪) 𝑨𝑩𝑪
−𝟔 Solution de l’exercice 03 (3 Points )
−𝟏
Et 𝛀𝑨 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ( 𝟐 ) est normale au plan (𝑨𝑩𝑪) On considère dans le repère complexe
−𝟐 ( 𝐎 ;𝐮
⃗⃗ ; 𝐯⃗⃗)
𝟐 −𝟏 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬 𝐀(𝐚) ; 𝐁(𝐛) ; 𝐂(𝐜) 𝐞𝐭 𝐃(𝐝) 𝐭𝐞𝐥 𝐪𝐮𝐞 ∶
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗. 𝛀𝑨 = (−𝟓) . ( 𝟐 ) = −𝟐 − 𝟏𝟎 + 𝟏𝟐 = 𝟎
𝒏
𝐚 = 𝐢 ; 𝐛 = √𝟑 ; 𝐜 = √𝟑 + 𝟐𝐢 et d= √𝟑 − 𝟐𝐢
−𝟔 −𝟐 𝛑
Donc les vecteurs 𝒏 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ sont
⃗⃗ 𝒆𝒕 𝛀𝑨 2) Soit la rotation R de centre A et d’angle −
𝟐
orthogonaux et M(z’) l’image de M(z) par R
D’où les plans (𝑨𝑩𝑪) et (P) sont a) Montrer que l’écriture complexe R est :
orthogonaux 𝐳 ′ = −𝐢𝐳 − 𝟏 + 𝐢
c) Montrer que le plan (𝑨𝑩𝑪) coupe la Rappel :Rotation R de centre 𝛀(𝛚) et d’angle
sphère (𝑺) suivant un cercle (𝚪) dont on 𝛉
déterminera son centre H et son rayon Soit M’(z’) l’image du point M(z) par la
Rappel : DISTANCE D’UN POINT à UN PLAN Rotation R de centre 𝛀(𝛚) 𝐞𝐭 𝐝′ 𝐚𝐧𝐠𝐥𝐞 𝛉 donc
Soient (𝑷) : 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎 un plan et l’écriture complexe de la Rotation R est :
A(𝒙𝑨 ; 𝒚𝑨 ; 𝒛𝑨 ) un point 𝛀𝐌 = 𝛀𝐌′
( ) ′
La distance de point A au plan(𝑷) est : 𝐑 𝐌 = 𝐌 ⇔ {̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
(𝛀𝐌 𝛀𝐌 ′ ) ≡ 𝛉[𝟐𝛑]
| 𝒂𝒙𝑨 + 𝒃𝒚𝑨 + 𝒄𝒛𝑨 + 𝒅| ⇔ 𝐳 ′ − 𝛚 = 𝐞𝐢𝛉 (𝐳 − 𝛚)
𝒅(𝑨; (𝑷)) =
√𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 𝛑
𝐑(𝐌) = 𝐌′ ⇔ 𝐳 ′ − 𝐚 = 𝐞−𝐢𝟐 (𝐳 − 𝐚)
𝒅(Ω; (𝑨𝑩𝑪)
⇔ 𝐳′ − 𝐢
| (𝟐 × 𝟐 ) + (𝟓 × 𝟐 ) − (𝟔 × 𝟑 ) + 𝟒 | 𝟎
= = 𝛑 𝛑
√𝟐𝟐 + (−𝟓)𝟐 + (−𝟎)𝟐 √𝟗 = (𝐜𝐨𝐬 (− ) + 𝒊𝒔𝒊𝒏 (− )) (𝐳
𝟐 𝟐
=𝟎<𝑹=𝟑
− 𝐢)
Donc le plan (ABC) coupe la sphère (S)
⇔ 𝐳 ′ − 𝐢 = −𝒊(𝐳 − 𝐢)
suivant un cercle de même rayon que (S)
⇔ 𝐳 ′ = −𝒊𝐳 − 𝟏 + 𝒊 𝒄𝒂𝒓 𝒊𝟐
donc 𝒓 = √𝑹𝟐 − 𝟎𝟐 = 𝑹 = 𝟑 = −𝟏
Et comme 𝒅(Ω; (𝑨𝑩𝑪) = 𝟎 donc le centre de ⇔ 𝐳 ′ = −𝐢𝐳 − 𝟏 + 𝐢
cercle (𝚪) est 𝛀(𝟐; −𝟐; 𝟑) le centre de (S)
b) Vérifier que 𝐜’ = 𝟏 + (𝟏 − √𝟑)𝐢 est l’affixe
3) Montrer que (𝚪) est le cercle circonscrit
du point C’ l’image de point C par la rotation
au triangle 𝑨𝑩𝑪
R
On a le cercle (𝚪) est de centre 𝛀(𝟐; −𝟐; 𝟑)
et de rayon 𝑹 = 𝟑 et :
5 23F Modèle 04
𝐑(𝐂) = 𝐂 ′ ⇔ 𝐜 ′ = −𝐢𝐜 − 𝟏 + 𝐢 2ème méthode
⇔ 𝐜 ′ = −𝐢(√𝟑 + 𝟐𝐢) − 𝟏 + 𝐢 𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐝 − 𝐚 = √𝟑 − 𝟐𝐢 − 𝐢 = √𝟑 − 𝟑𝐢
⇔ 𝐜 ′ = −𝐢√𝟑 + 𝟐 − 𝟏 + 𝐢 𝐄𝐭 ∶ −√𝟑 𝐢(𝐜 − 𝐚) = −√𝟑 𝐢(√𝟑 + 𝟐𝐢 − 𝐢)
⇔ 𝐜 ′ = −𝐢√𝟑 + 𝟐 − 𝟏 + 𝐢 𝒄𝒂𝒓 𝒊𝟐 = −𝟏 = −√𝟑 𝐢(√𝟑 + 𝐢) = √𝟑 − 𝟑𝐢
′
⇔ 𝐜 = 𝟏 + (𝟏 − √𝟑)𝐢 Donc 𝐝 − 𝐚 = −√𝟑 𝐢(𝐜 − 𝐚)
′ 𝐝−𝐚
⇔ 𝐜 = 𝟏 + (𝟏 − √𝟑)𝐢 Donc = −√𝟑 𝐢
𝐜−𝐚
3) Soit h l’homothétie de centre A et de 𝐝−𝐚
On a = −√𝟑 𝐢
rapport 𝐤 = √𝟑 𝐜−𝐚
𝐝−𝐚
a) Montrer que D est l’image du point C’ par Donc 𝒂𝒓𝒈 ( ) ≡ 𝐚𝐫𝐠(−√𝟑 𝐢)[𝟐𝛑]
𝐜−𝐚
l’homothétie h ̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝛑
Donc (𝐀𝐂 𝐀𝐃) ≡ − [𝟐𝛑]
Rappel : 𝟐
Homothétie de centre 𝛀(𝝎) et de rapport k 4) Soit t la translation de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐀𝐂

M’(z’) l’image de M(z) par l'homothétie h de a) Déterminer l’image du point D par la
centre 𝛀(𝝎) et de rapport 𝒌, alors l’écriture translation t
complexe del'homothétie h Rappel : Translation 𝑻𝒖⃗⃗ de vecteur 𝒖 ⃗⃗(𝒛𝒖⃗⃗ )
Soit M’(z’) l’image de point M(z) par
𝒉(𝑴) = 𝑴′ ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝛀𝐌′ = 𝐤 𝛀𝐌
translation 𝑻𝒖⃗⃗ de vecteur 𝒖 ⃗⃗ d’affixe 𝒛𝒖⃗⃗ alors
⇔ 𝒛’ − 𝝎 = 𝒌(𝒛 − 𝝎)
l’écriture complexe du translation 𝑻𝒖⃗⃗
𝒉(𝑪′) = 𝑴′ ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐀𝐌′ = √𝟑 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐀𝐂′
𝑻𝒖⃗⃗ (𝑴) = 𝑴′ ⇔ 𝐌𝐌 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗′ = 𝑼
⃗⃗⃗
⇔ 𝒛’ − 𝒂 = √𝟑(𝒄′ − 𝒂)
⇔ 𝒛′ = 𝒛 + 𝒛𝒖⃗⃗
⇔ 𝒛’ = √𝟑(−𝐢√𝟑 + 𝟏 + 𝐢 − 𝐢) + 𝒊
𝒕(𝑫) = 𝐌′ ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐃𝐌′ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪
⇔ 𝒛’ = √𝟑(𝟏 − 𝐢√𝟑) + 𝒊 ⇔ 𝐳′ − 𝐝 = 𝒄 − 𝒂
⇔ 𝒛’ = √𝟑 − 𝟑𝐢 + 𝒊 ⇔ 𝐳′ = 𝒄 − 𝒂 + 𝒅
⇔ 𝒛’ = √𝟑 − 𝟐𝐢 ⇔ 𝐳′ = √𝟑 + 𝟐𝐢 − 𝒊 + √𝟑 − 𝟐𝐢
⇔ 𝒛’ = 𝒅 ⇔ 𝐳′ = 𝟐√𝟑 − 𝒊
Donc D est l’image du point C’ par ⇔ 𝐳′ = 𝐛
l’homothétie h Donc 𝒕(𝑫) = 𝐁
𝐝−𝐚
a) Vérifier que = −√𝟑 𝐢 b) Montrer que le quadrilatère ACBD est un
𝐜−𝐚
1ère méthode : rectangle
𝐝 − 𝐚 √𝟑 − 𝟐𝐢 − 𝐢 On a 𝒕(𝑫) = 𝐁 donc 𝐃𝐁
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪
= Donc le quadrilatère ACBD est un
𝐜 − 𝐚 √𝟑 + 𝟐𝐢 − 𝐢
√𝟑 − 𝟑𝐢 parallélogramme
= ̅̅̅̅̅̅̅̅̅ 𝛑
√𝟑 + 𝐢 Et on a (𝐀𝐂
⃗⃗⃗⃗⃗⃗, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐀𝐃) ≡ − [𝟐𝛑]
𝟐
(√𝟑 − 𝟑𝐢)(√𝟑 − 𝐢) Donc le quadrilatère ACBD est un rectangle
=
(√𝟑 + 𝐢)(√𝟑 − 𝐢)
𝟑 − 𝒊√𝟑 − 𝟑𝒊√𝟑 − 𝟑
= 𝟐
√𝟑 + 𝟏𝟐
−𝟒𝒊√𝟑
= = −√𝟑 𝐢
𝟒
6 23F Modèle 04
Solution de l’exercice 04 (2 Points ) Solution de problème : ( 8 points )
Un sac contient 6 jetons indiscernables au A) Soit 𝐠 une fonction définit sur
toucher et numérotés :1 ;1 ;1 ;1 ;2 ;2. ]𝟎 ; +∞[ 𝐩𝐚𝐫 𝐠(𝐱) = 𝐱 − 𝐥𝐧(𝐱)
On tire au hasard, successivement et sans 2) Déterminer 𝐥𝐢𝐦+ 𝐠(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦 𝐠(𝐱)
𝐱→𝟎 𝐱→+∞
remise 3 jetons du sac. 𝐥𝐢𝐦+ 𝐠(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦+ 𝐱 − 𝐥𝐧(𝐱) = +∞
𝐱→𝟎 𝐱→𝟎
Car 𝐥𝐢𝐦+ 𝐱 = 𝟎 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦+ 𝐥𝐧(𝐱) = −∞
L’univers 𝛀 associé à cette expérience 𝐱→𝟎 𝐱→𝟎
aléatoire est l’ensemble des arrangements 𝐥𝐧 𝐱
𝐥𝐢𝐦 𝐠(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 (𝟏 − ) = +∞
de trois boules parmi dix boules 𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝒙
𝐥𝐧 𝐱
Donc le nombre des possibilités est : Car 𝐥𝐢𝐦 𝐱 = +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 =𝟎
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝒙
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝑨𝟑𝟔 = 𝟔 × 𝟓 × 𝟒 = 𝟏𝟐𝟎 2) Calculer 𝐠 𝐱) ;puis dresser le tableau des
′(
variations de g
𝟏 𝟏
1) Montrer que : 𝑷(𝑨) = 𝒆𝒕 𝑷(𝑩) = g est dérivable sur ]𝟎 ; +∞[ et on a :
𝟓 𝟑
𝑨 : « La somme des numéros obtenus est 𝟏 𝒙−𝟏
𝒈′ (𝒙) = 𝟏 − =
égale à 3 » (1 ;1 ;1) 𝒙 𝒙
Comme 𝒙 > 𝟎, 𝒈′ (𝒙) est du signe de 𝒙 − 𝟏.
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑨) = 𝑨𝟑𝟒 = 𝟒 × 𝟑 × 𝟐 = 𝟐𝟒
On a 𝒈(𝟏) = 𝟏 − 𝐥𝐧 𝟏 = 𝟏
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑨) 𝟐𝟒
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑨) = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟐𝟎
𝟏
=
𝟓
𝑩 : « Le premier jetons porte le numéro 2 »
(𝟐 ; ? ; ? )
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑩) = 𝑨𝟏𝟐 × 𝑨𝟐𝟓 = 𝟐 × 𝟓 × 𝟒 = 𝟒𝟎
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑩) 𝟒𝟎 3) 𝐌𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞𝐫 𝐪𝐮𝐞 ∶ ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝐠(𝐱) > 0
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑩) = = On en déduit que pour tout 𝒙 de ]𝟎 ; +∞[,
𝟏 on a 1 est une valeur minimale de g sur
= ]𝟎 ; +∞[
𝟑
2) Calculer 𝑷𝑩 (𝑨). 𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝑷𝑩 (𝑨) =
𝑷(𝑨∩𝑩) Donc 𝒈(𝒙) = 𝒙 − 𝐥𝐧 𝒙 ≥ 𝟏 > 𝟎
𝑷(𝑩)
Donc 𝒈(𝒙) > 𝟎
𝑨 ∩ 𝑩: La somme des numéros obtenus est
′′
B) 𝐟 𝐮𝐧𝐞 𝐟𝐨𝐧𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝é𝐟𝐢𝐧𝐢𝐭 𝐬𝐮𝐫 ]𝟎; +∞[ ; par
égale à 3 et Le premier jetons porte le (𝐱 + 𝟏)𝐥𝐧(𝐱) + 𝟏 𝟏 𝐥𝐧(𝐱)
numéro 2 ‘’ 𝐟( 𝐱 ) = = 𝐥𝐧(𝐱) + +
𝐱 𝐱 𝐱
Donc 𝑷(𝑨 ∩ 𝑩) = 𝟎 1) Déterminer 𝐥𝐢𝐦+ 𝐟(𝐱) et Interpréter le
𝑷(𝑨∩𝑩) 𝐱→𝟎
D’où 𝑷𝑩 (𝑨) = =𝟎 résultat géométrique
𝑷(𝑩)
3) Les évènements 𝑨 et 𝑩 sont-ils 𝐱 𝐥𝐧(𝐱) + 𝟏 + 𝐥𝐧(𝐱)
𝐥𝐢𝐦+ 𝐟(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦+
indépendants ? 𝐱→𝟎 𝐱→𝟎 𝐱
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝑷𝑩 (𝑨) ≠ 𝑷(𝑨) = −∞
𝐥𝐧(𝐱)
Donc les évènements 𝑨 et 𝑩 ne sont pas Car : 𝐥𝐢𝐦+ 𝐱 𝐥𝐧(𝐱) = 𝟎 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦+ = −∞
𝐱→𝟎 𝐱→𝟎 𝐱
indépendants
Donc la droite d’équation 𝒙 = 𝟎 c-à-dire l’axe
des abscisses est asymptotes verticale à (𝐂𝐟)
7 23F Modèle 04
2) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱)et étudier la branche Dresser le tableau de variation de f
𝐱→+∞
infinie de(𝐂𝐟)au voisinage de +∞ 𝐠(𝐱)
𝐎𝐧 𝐚 ∶ ∀𝐱 ∈ ]𝟎, +∞[ ∶ 𝐟 ′ (𝐱) = 𝟐 𝒆𝒕 ∀𝐱
(𝐱 + 𝟏)𝐥𝐧(𝐱) + 𝟏 𝐱
𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 ∈ ]𝟎, +∞[ ∶ 𝐠(𝐱) > 𝟎
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝐱
𝟏 𝐥𝐧(𝐱) Donc la fonction f est strictement croissante
= 𝐥𝐢𝐦 𝐥𝐧(𝐱) + + = +∞ sur ]𝟎, +∞[
𝐱→+∞ 𝐱 𝐱
Car 𝐥𝐢𝐦 𝐥𝐧(𝐱) = +∞ On dresse le tableau de variations de f
𝐱→+∞
𝟏 𝐥𝐧(𝐱)
et 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 et 𝐥𝐢𝐦 =𝟎
𝐱→+∞ 𝐱 𝐱→+∞ 𝐱
(𝐱+𝟏)𝐥𝐧(𝐱)+𝟏
𝐟(𝐱 ) 𝐱
𝐱→+∞ 𝒙 𝐱→+∞ 𝒙
𝟏 𝐥𝐧(𝐱)
𝐥𝐧(𝐱) + + c) Déterminer l’équation de la tangente (𝐓)
𝐱 𝐱
= 𝐥𝐢𝐦 au point A(1 ;1)
𝐱→+∞ 𝒙
𝐥𝐧(𝐱) 𝟏 𝐥𝐧(𝐱) (𝐓): 𝒚 = 𝒇′ (𝟏)(𝒙 − 𝟏) + 𝒇(𝟏)
= 𝐥𝐢𝐦 + 𝟐+ 𝟐 =𝟎 𝒚 = 𝟏 × (𝒙 − 𝟏 ) + 𝟏
𝐱→+∞ 𝒙 𝐱 𝐱
(
𝐥𝐧 𝐱 ) 𝟏 (𝐓): 𝒚 = 𝒙
𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 𝟐 = 𝟎
𝐱→+∞ 𝒙 𝐱→+∞ 𝐱 4) Montrer que f admet une fct réciproque
𝐥𝐧(𝐱) 𝐟 −𝟏 ,définie sur𝐉 que l’on précisera
𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 =𝟎
𝐱→+∞ 𝐱 𝟐 ➢ f est dérivable sur ]𝟎, +∞[ donc elle est
Donc la courbe (𝐂𝐟) admet une branche
continue sur ]𝟎, +∞[
parabolique suivant l’axe des abscisses au
➢ La fonction f est strictement croissante
voisinage de +∞
sur ]𝟎, +∞[
𝐠(𝐱)
3)a) Montrer que ∀𝐱 ∈ ]𝟎, +∞[ ∶ 𝐟 ′ (𝐱) = Donc f admet une fct réciproque
𝐱𝟐
La fonction f est dérivable sur ]𝟎, +∞[ 𝐟 −𝟏 ,définie sur 𝐉 = 𝐟(]𝟎, +∞[)
comme somme des fonctions dérivable sur 𝐉 = 𝐟(]𝟎, +∞[)
]𝟎, +∞[ = ] 𝐥𝐢𝐦+ 𝐟(𝐱) , 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙)[ = ]−∞, +∞[
𝐱→𝟎 𝐱→+∞
𝟏 𝟏 ′
𝑹𝒂𝒑𝒑𝒆𝒍 ∶ (𝐥𝐧 𝐱) = ; ( ) ′ 5) Montrer que l’équation 𝐟(𝐱) = 𝟎 admet une
𝐱 𝐱 𝟏
𝟏 𝐮 ′ 𝐮′ 𝐯 − 𝐮𝐯′ unique solution 𝛂 dans ] , 𝟏[ ; (On prend
𝟐
=− 𝟐 ; ( ) =
𝐱 𝐯 𝐯𝟐 𝟏
𝐟 ( ) = −𝟎, 𝟐 )
𝟏 𝐥𝐧(𝐱) 𝟐
𝐟 ′ (𝐱) = (𝐥𝐧(𝐱) + + )′ ➢ La fonction f est continue sur ]𝟎, +∞[ en
𝐱 𝐱
𝟏
𝟏
𝟏 𝟏 𝐱 × 𝒙 − 𝒍𝒏(𝒙) × 𝟏 particulier [ , 𝟏]
𝟐
= − 𝟐+ ➢ La fonction f est strictement croissante
𝐱 𝐱 𝐱𝟐
𝐱 𝟏 𝟏 − 𝒍𝒏(𝒙) 𝟏
sur ]𝟎, +∞[ on particulier sur ] , 𝟏[
𝐟 ′ (𝐱 ) = 𝟐 − 𝟐 + 𝟐
𝐱 𝐱 𝐱𝟐 𝟏
𝐱 − 𝟏 + 𝟏 − 𝐥𝐧(𝐱) ➢ Et on a 𝒇(𝟏) = 𝟏 𝒆𝒕 𝐟 ( ) =
= 𝟐
𝐱𝟐 𝟏
−𝟎, 𝟐 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐟(𝟏) × 𝐟 ( ) < 𝟎
𝐱 − 𝐥𝐧(𝐱) 𝐠(𝐱) 𝟐
= 𝟐
= 𝟐 Donc l’équation 𝐟(𝐱) = 𝟎 admet une unique
𝐱 𝐱
𝟏
solution 𝛂 dans ] , 𝟏[
𝟐
8 23F Modèle 04
6) Tracer (𝐓) 𝐞𝐭 (𝐂𝐟) et (𝐂𝐟 −𝟏 )dans un b) Par une intégration par parties calculer
repère orthonormé (𝐎; ⃗𝐢; ⃗𝐣) 𝐞𝟒
∫𝐞𝟐 𝒍𝒏(𝒙) 𝒅𝒙
(𝐂𝐟) et (𝐂𝐟 −𝟏 ) sont symétrique par rapport 𝟏
𝐮(𝐱) = 𝐥𝐧 (𝐱) 𝐮′ (𝐱) =
à la droite (𝐓): 𝒚 = 𝒙 Posons { ′ 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 { 𝐱
𝐯 (𝐱 ) = 𝟏 𝐯 (𝐱 ) = 𝐱
Remarque pour bien tracer (𝐂𝐟 −𝟏 )
➢ La droite d’équation 𝒙 = 𝟎 est Il s’ensuit donc :
𝐞𝟒
asymptotes verticale à (𝐂𝐟) donc la 𝐞𝟒 𝟏
𝐅 = [𝐱𝐥 𝐧(𝐱)] 𝐞𝟐
−∫ × 𝐱 𝐝𝐱
droite d’équation 𝒚 = 𝟎 est asymptotes 𝐞𝟐 𝐱
horizontale à (𝐂𝐟 −𝟏 ) 𝟒
𝐞𝟒
➢ la courbe (𝐂𝐟) admet une branche = [𝐱 𝐥𝐧(𝐱)]𝐞𝐞𝟐 − ∫ 𝟏 𝐝𝐱

𝐞𝟐
parabolique suivant l’axe des abscisses 𝟒
= 𝐞𝟒 𝐥𝐧(𝐞𝟒 ) − 𝐞𝟐 𝐥𝐧(𝐞𝟐 ) − [𝐱]𝐞𝐞𝟐
au voisinage de +∞ ; donc la courbe
= 𝟒𝐞𝟒 − 𝟐𝐞𝟐 − 𝐞𝟒 + 𝐞𝟐
(𝐂𝐟 −𝟏 ) admet une branche parabolique
= 𝟑𝐞𝟒 − 𝐞𝟐
suivant l’axe des ordonnées au
voisinage de +∞
c) Calculer l’aire du domaine plan limité par
la courbe (𝑪𝒇 ) , la droite (𝐎𝐱) et les droites
x=𝐞𝟒 et x=𝐞𝟐
Justifions que la fonction f est positive sur
[𝐞𝟐 , 𝐞𝟒 ] ⊂ [𝜶; +∞[
Soit 𝒙 ∈ [𝜶; +∞[
On a 𝐱 ≥ 𝜶 et la fontion f est strictement
croissante sur ]𝟎, +∞[
Donc 𝒇(𝐱) ≥ 𝒇(𝜶)
Donc 𝒇(𝐱) ≥ 𝟎
Donc ∀𝒙 ∈ [𝐞𝟐 , 𝐞𝟒 ]: |𝐟(𝐱)| = 𝐟(𝐱)
𝐞𝟒 𝐞𝟒
𝐀 = ∫ |𝐟(𝐱)|𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 = ∫ 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚
𝐞𝟐 𝐞𝟐
𝐞𝟒
𝟏 𝐥𝐧(𝐱)
= ∫ 𝐥𝐧(𝐱) + + 𝒅𝒙 . 𝐜𝐦𝟐
𝐞𝟐 𝐱 𝐱
𝐞𝟒 𝒍𝒏(𝒙) 𝐞𝟒
7) a) Calculer ∫𝐞𝟐 𝒙 𝒅𝒙
= (∫ 𝒍𝒏(𝒙) 𝒅𝒙
𝐞𝟒 𝐞 𝟒
𝐞𝟐
𝐥𝐧(𝐱) 𝟏
∫ 𝐝𝐱 = ∫ × 𝐥𝐧(𝐱)𝐝𝐱 𝐞𝟒 𝐞 𝟒
𝐞𝟐 𝐱 𝐞𝟐 𝐱 𝐥𝐧(𝐱) 𝟏
+∫ 𝐝𝐱 + ∫ 𝐝𝐱 ) 𝐜𝐦𝟐
𝐞𝟒 𝐱
𝐞𝟒 (𝐥𝐧 𝐱)𝟐 𝐞𝟐 𝐞𝟐 𝐱
( ) ′
= ∫ 𝐥𝐧 𝐱 𝐥𝐧 𝐱 𝐝𝐱 = [ ] 𝟒
𝐞𝟐 𝟐 𝐞𝟐
= (𝟑𝐞𝟒 − 𝐞𝟐 + 𝟔 + [𝐥𝐧(𝐱)]𝐞𝐞𝟐 ) 𝐜𝐦𝟐
(𝐥𝐧 𝐞𝟒 )𝟐 (𝐥𝐧 𝐞𝟐 )𝟐 = (𝟑𝐞𝟒 − 𝐞𝟐 + 𝟔 + 𝐥𝐧 𝐞𝟒 − 𝐥𝐧 𝐞𝟐 )𝐜𝐦𝟐
= −
𝟐 𝟐 = (𝟑𝐞𝟒 − 𝐞𝟐 + 𝟔 + 𝟒 − 𝟐)𝐜𝐦𝟐
(𝟒𝐥𝐧 𝐞)𝟐 (𝟐𝐥𝐧 𝐞)𝟐 𝟏𝟔 𝟒 = (𝟑𝐞𝟒 − 𝐞𝟐 + 𝟖)𝐜𝐦𝟐
= − = − =𝟔
𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
7
*****5
5 ‫النموذج‬
Prof
Fayssal



Nombres complexes.
Exercice 3 4 points
Exercice 3 2 points
Problème 8 points
intégral

‫الصفحة‬ 5 ‫ – النموذج‬2024– ‫االمتحان التجريبي للباكالوريا‬
M5-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
𝟗
Soit(𝒖𝒏 )une suite tel que (∀𝒏 ∈ ℕ), 𝒖𝒏+𝟏 = 𝟏 − 𝒆𝒕 𝒖𝟎 = 𝟏
𝒖𝒏 +𝟓
0,5 1) Montrer par récurrence que (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝒖𝒏 > −𝟐
2) Montrer que la suite (𝒖𝒏 ) est convergente

0,5
𝟏
3) Pour tout n dans ℕ on pose ∶ 𝒗𝒏 =
𝒖𝒏 +𝟐
𝟏
0,5 a) Monter que (𝒗𝒏 ) est une suite arithmétique de raison
𝟑
b) Calculer 𝒗𝒏 puis 𝒖𝒏 en fonction de n pour tout n dans ℕ

0,75
c) Déterminer la limite de la suite (𝒖𝒏 )
0,25
4) Pour tout 𝒏 ∈ ℕ on pose : 𝑺𝒏 = 𝒖𝟎 𝒗𝟎 + 𝒖𝟏 𝒗𝟏 + ⋯ + 𝒖𝒏 𝒗𝒏
𝟏
0,5 Montrer que : (∀𝒏 ∈ ℕ) ∶ 𝑺𝒏 = (𝟏 − 𝒏𝟐 )
𝟑
⃗⃗ )
On considère les points 𝐀(𝟏; 𝟐; 𝟏), 𝐁(𝟏; 𝟑; 𝟏) et 𝐂(𝟏; 𝟎; 𝟏) et (𝐒) la sphère de centre
𝛀(−𝟑; 𝟎; 𝟏) et de rayon 𝟐√𝟐
1) a) Montrer que les points A ; B et C ne sont pas alignés

0,25
𝒏 (𝟏; 𝟎; 𝟏) est un vecteur normal au plan (ABC)
0,25 c) Vérifier que 𝒙 − 𝒛 − 𝟔 = 𝟎 est une équation cartésienne du plan (𝑨𝑩𝑪)
0,5 2)a) Montrer que 𝐥𝐞 𝐩𝐥𝐚𝐧 (𝐎𝐀𝐁) est tangente à la sphère (S) en un point H
b) Déterminer les coordonnées du point de contact H

0,5
3) Soit (∆)la droite passant par le point 𝐂 et de vecteur directeur 𝐮
⃗⃗(𝟐; 𝟎; −𝟐)
0,25 a) Déterminer une représentation paramétrique de (∆)
0,25 b) Déterminer une équation cartésienne de (𝐒)
0,75
c) Montrer que la droite (∆)est tangente à la sphère (𝐒) en déterminant les
coordonnées de point de contact
M5-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
⃗⃗ ; 𝐯⃗⃗)
On considère les points 𝑨(𝒂) ; 𝑩(𝒃) ; 𝑪(𝒄)tel que
𝒂 = 𝟏 + 𝟐𝒊 ; 𝒃 = 𝟑 + 𝟑𝒊 𝒆𝒕 𝒄 = 𝟒 + 𝟓𝒊
1) Ecrire b sous forme exponentielle puis vérifier que 𝒃𝟖 ∈ ℝ
0,5
2) Soit T la translation de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑪 et d l’affixe du point D l’image de A par T
0,5 Vérifier que 𝒅 = 𝟐 + 𝟒𝒊
3) Montrer que 𝒄 − 𝒂 = 𝟑𝒊(𝒃 − 𝒅) puis en déduire que les droites (AC) et (BD) sont
0,75 perpendiculaire
4) Montrer que le quadrilatère ABCD est un losange
0,75
5) Soit h l’homothétie de centre B et de rapport 2 et e l’affixe de point E l’image de A
par h
0,75
a) Vérifier que 𝒆 = −𝟏 + 𝒊
0,75 c) Déterminer le centre et le rayon de (C) le cercle circonscrit au triangle EBD
Une urne contient 10 boules portant les numéros : 1 ;2 ;2
;3 ;3 ;3 ;4 ;4 ;4 ;4 , ces boules sont indiscernables au toucher.
On tire au hasard, successivement et sans remise deux boules de l’urne.
Soient les événements suivants :
𝑨 : « Obtenir deux boules portant deux numéros pairs »
𝑩 : « Le produit de deux numéros égale à 4 »
𝟏
0,75 1) Montrer que : 𝑷(𝑨) = ,
𝟑
0,75 2) Calculer 𝑷(𝑩)
0,5 2) Est-ce que les événements A et B sont indépendantes ?

‫الصفحة‬ M5-24 5 ‫ – النموذج‬2024– ‫االمتحان التجريبي للباكالوريا‬ ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
Soit g une fonction définit sur ]𝟎; +∞[par :
𝐠(𝐱) = 𝟏 + 𝐱 𝒍𝒏 𝒙 − 𝒙
Et (𝑪𝒈 ) sa courbe dans un repère orthonormé (Unité 1cm)
1) Calculer 𝐥𝐢𝐦+𝒈(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱)
0,5 𝐱→𝟎 𝐱→+∞
0,25 2) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[ ; 𝒈′ (𝐱) = 𝒍𝒏(𝒙)
0,25 3) Dresser le tableau de variations de g sur ]𝟎; +∞[
0,25 4) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
0,5 𝐞
5) a) Calculer l’intégrale 𝑨 = ∫𝟏 𝒈(𝒙)𝐝𝐱 ,en fonction de 𝜶
0,25
b) Interpréter géométriquement le nombre 𝑨
B) f une fonction définit sur 𝑰 = ]𝟎; +∞[ par :

𝐟(𝐱) = 𝐞𝒙−𝟏 𝒍𝒏 (𝒙) − 𝐞𝒙−𝟏
(𝐂𝐟 ) son graphe dans un repère orthonormé (𝑶; 𝒊⃗; 𝒋⃗)
0,5 1) Montrer que 𝐥𝐢𝐦+𝐟(𝐱) = −∞ et interpréter le résultat géométriquement
𝐱→𝟎
0,5 2) Etudier la branche infinie de (𝐂𝐟 ) au voisinage de +∞
𝒈(𝒙)
0,5 3 )a) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝐟 ′ (𝐱) = 𝐞𝒙−𝟏
𝒙
0,5 b) Dresser le tableau de variation de f en justifiant votre réponse
0,5 c) Déterminer l’équation de la tangente (T) de (𝐂𝐟 ) en 1
4) Soit h une fonction définit sur 𝑰 par :

𝐡(𝐱) = 𝟐𝒙 + 𝒙𝟐 𝒍𝒏𝒙 − 𝒙𝟐 − 𝟏
Et dont le tableau de variations suivant :
x 𝟎 +∞
+∞
𝒉(𝐱)
−𝟏
0,5 a) Calculer h(1) puis déterminer le signe de h sur 𝑰 = ]𝟎; +∞[
𝐡(𝐱)
0,5 b) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[: 𝐟 ′′ (𝐱) = 𝐞𝒙−𝟏
𝒙𝟐
c) Etudier la convexité de (𝐂𝐟 ) puis justifier que la courbe (𝐂𝐟 ) admet un point
0,5
d’inflexion unique au point d’abscisse 1
5) Résoudre dans 𝑰 l’équation 𝐟(𝐱) = 𝟎 puis interpréter le résultat
0,5
géométriquement
0,5 6) Montrer que f admet une fonction réciproque 𝒇−𝟏 sur un intervalle J à
1,5 déterminer
7) Tracer et (𝐂𝐟 ) et (𝑪𝒇−𝟏 ) dans le repère (𝑶; 𝒊⃗; 𝒋⃗)
1 23F Modèle 05
Solution d’exercice 01 (3 Points ) 2)a) Monter que (𝒗𝒏 ) est une suite
Soit (𝒖𝒏 ) une suite tel que : arithmétique de raison
𝟏
𝟑
𝟗
(∀𝒏 ∈ ℕ), 𝒖𝒏+𝟏 = 𝟏 − 𝒆𝒕 𝒖𝟎 = 𝟏 𝟏 𝟏
𝒖𝒏 + 𝟓 𝒗𝒏+𝟏 − 𝒗𝒏 = −
𝒖𝒏+𝟏 + 𝟐 𝒖𝒏 + 𝟐
1) Montrer par récurrence que 𝟏 𝟏
(∀𝒏 ∈ ℕ): 𝒖𝒏 > −𝟐 = 𝟑(𝒖 +𝟐) −
𝒏 𝒖𝒏 + 𝟐
➢ Pour n=0 on a 𝒖𝟎 = 𝟏 > −𝟐 𝒖𝒏 +𝟓
La propriété est donc vraie pour n = 0 𝒖𝒏 + 𝟓 𝟑

= −
➢ Soit n un entier naturel, 𝟑(𝒖𝒏 + 𝟐) 𝟑(𝒖𝒏 + 𝟐)
Supposons que 𝒖𝒏 > −𝟐 et montrons 𝒖𝒏 + 𝟓 − 𝟑
=
que 𝒖𝒏+𝟏 > −𝟐. 𝟑(𝒖𝒏 + 𝟐)
𝟗 𝒖𝒏 + 𝟐 𝟏
𝒖𝒏+𝟏 + 𝟐 = 𝟏 − +𝟐 = =
𝒖𝒏 + 𝟓 𝟑(𝒖𝒏 + 𝟐) 𝟑
𝟏
𝟗 Donc (𝒗𝒏 ) est arithmétique de raison 𝒓 = et
=𝟑− 𝟑
𝒖𝒏 + 𝟓 𝟏 𝟏
𝒗𝟎 = =
𝟑(𝒖𝒏 + 𝟓) − 𝟗 𝟑𝒖𝒏 + 𝟔 𝒖𝟎 +𝟐 𝟑
= = b) Calculer 𝒗𝒏 puis 𝒖𝒏 en fonction de n pour
𝒖𝒏 + 𝟓 𝒖𝒏 + 𝟓
𝟑(𝒖𝒏 + 𝟐) tout n dans ℕ
= Soit n un entier naturel,
𝒖𝒏 + 𝟓
𝟏
On a 𝒖𝒏 > −𝟐 donc 𝒖𝒏 + 𝟓 > 𝟑 La suite (𝒗𝒏 ) est arithmétique de raison 𝒓 =
𝟑
Donc 𝒖𝒏 + 𝟓 > 𝟎 𝟏
et 𝒗𝟎 =
Et on a 𝒖𝒏 > −𝟐 donc 𝒖𝒏 + 𝟐 > 𝟎 𝟑
Donc 𝟑(𝒖𝒏 + 𝟐) > 𝟎 Donc 𝒗𝒏 = 𝒗𝟎 + 𝒓(𝒏 − 𝟎)

𝟑(𝒖𝒏 +𝟐) 𝟏 𝟏
Donc > 𝟎 donc 𝒖𝒏+𝟏 + 𝟐 > 𝟎 = + 𝒏
𝒖𝒏 +𝟓 𝟑 𝟑
Donc 𝒖𝒏+𝟏 > −𝟐 𝟏
= (𝟏 + 𝒏)
D'après le principe de récurrence, on a : 𝟑
𝟏
(∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝒖𝒏 > −𝟐 Et on a : 𝒗𝒏 = donc :
𝒖𝒏 +𝟐
2) Soit n un entier naturel, 𝟏 𝟏
𝟗 𝒗𝒏 = ⇒ 𝒖𝒏 + 𝟐 =
𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 = 𝟏 − − 𝒖𝒏 𝒖𝒏 + 𝟐 𝒗𝒏
𝒖𝒏 + 𝟓
𝟏
𝒖𝒏 + 𝟓 − 𝟗 − 𝒖𝒏 (𝒖𝒏 + 𝟓) ⇒ 𝒖𝒏 = −𝟐
= 𝒗𝒏
𝒖𝒏 + 𝟓
𝟐
−𝟒 − 𝒖𝒏 − 𝟒𝒖𝒏 𝟏
= ⇒ 𝒖𝒏 = 𝟏 −𝟐
𝒖𝒏 + 𝟓 (𝟏 + 𝒏)
𝟑
−(𝒖𝟐𝒏 + 𝟒𝒖𝒏 + 𝟒) 𝟑
= ⇒ 𝒖𝒏 =−𝟐
𝒖𝒏 + 𝟓 𝟏+𝒏
− (𝒖𝒏 + 𝟐 )𝟐 c) Déterminer la limite de la suite (𝒖𝒏 )
= <𝟎
𝒖𝒏 + 𝟓 𝟑
𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 = 𝐥𝐢𝐦 − 𝟐 = −𝟐
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 < 𝟎 𝒏→+∞ 𝒏→+∞ 𝟏+𝒏
𝟑
Donc la suite (un) est décroissante ; car : 𝐥𝐢𝐦 =𝟎
𝒏→+∞ 𝟏+𝒏
la suite (un) est décroissante et minorée
par -2 donc elle est convergente
2 23F Modèle 05
4) Pour tout 𝒏 ∈ ℕ on pose : 𝟏 𝟏
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
On a 𝑶𝑨 (𝟐) 𝒆𝒕 𝑶𝑩 (𝟑)
𝑺𝒏 = 𝒖𝟎 𝒗𝟎 + 𝒖𝟏 𝒗𝟏 + ⋯ + 𝒖𝒏 𝒗𝒏
𝟏 𝟏 𝟏
Montrer que : (∀𝒏 ∈ ℕ) ∶ 𝑺𝒏 = (𝟏 − 𝒏𝟐 ) 𝟐 𝟑
𝟑 Donc ∆𝒙 = | | = −𝟏 ≠ 𝟎
𝟏 𝟏 𝟏
𝒗𝒏 = ⇒ 𝒗𝒏 (𝒖𝒏 + 𝟐) = 𝟏 ⇒ 𝒖𝒏 𝒗𝒏 + 𝟐𝒗𝒏 = 𝟏
𝒖𝒏 + 𝟐 Donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑶𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝟎𝑪 ne sont pas
⇒ 𝒖𝒏 𝒗𝒏 = 𝟏 − 𝟐𝒗𝒏 colinéaires donc A et B et O ne sont pas
𝒏 𝒏
alignes
⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = ∑ 𝟏 − 𝟐𝒗𝒌
D’où les points A et B et C forment un plan
𝒌=𝟎 𝒌=𝟎
𝒏 𝒏 𝒏 b) Montrer que ⃗⃗⃗⃗
𝒏 (𝟏; 𝟎; −𝟏) est un vecteur
⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = ∑ 𝟏 − 𝟐 ∑ 𝒗𝒌 normal au plan (ABC)
𝒌=𝟎 𝒌=𝟎 𝒌=𝟎
𝒏
(𝒏 − 𝟎 + 𝟏)(𝒗𝟎 + 𝒗𝒏 ) Les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪 ne sont pas colinéaires
⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = 𝒏 + 𝟏 − 𝟐
𝟐 donc sont des vecteurs directeurs du plan
𝒌=𝟎
𝒏 (ABC) donc il suffit de montrer que :
𝟏 𝟏
⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = (𝒏 + 𝟏) − (𝒏 + 𝟏)( + (𝟏 + 𝒏)) 𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗ 𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝟑 𝟑
𝒌=𝟎 𝟏 𝟏
𝒏 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝟐 𝟏 ⃗⃗⃗⃗.
𝒏 𝑶𝑩 = ( 𝟎 ) . (𝟐) = 𝟏 − 𝟏 = 𝟎
⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = (𝒏 + 𝟏) − (𝒏 + 𝟏)( + 𝒏) −𝟏 𝟏
𝟑 𝟑
𝒌=𝟎 𝑫𝒐𝒏𝒄 ⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝒏 ⊥ 𝑨𝑩
𝒏
𝟐 𝟏 𝟏 𝟏
⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = (𝒏 + 𝟏)(𝟏 − − 𝒏 ⃗⃗⃗⃗. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝒏 𝑶𝑪 = ( 𝟎 ) . (𝟑) = 𝟏 − 𝟏 = 𝟎
𝟑 𝟑
𝒌=𝟎 −𝟏 𝟏
𝒏
𝟏 𝟏 𝑫𝒐𝒏𝒄 ⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝒏 ⊥ 𝑨𝑪
⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = (𝟏 + 𝒏)(𝟏 − 𝒏) = (𝟏 − 𝒏𝟐 )
𝒌=𝟎
𝟑 𝟑 c) Vérifier que 𝒙 − 𝒛 − 𝟔 = 𝟎 est une équation
cartésienne du plan (𝑨𝑩𝑪)
Solution d’exercice 02 (3 Points ) Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑶𝑨𝑩)
𝟏
L’espace est menu d’un repère orthonormé
On a le vecteur 𝒏 ⃗⃗ ( 𝟎 ) est normale au plan
⃗⃗ )
(O,𝒊⃗ , 𝒋⃗,𝒌 −𝟏
On considère les points 𝐀(𝟏; 𝟐; 𝟏), 𝐁(𝟏; 𝟑; 𝟏) (𝑨𝑩𝑪)
et 𝐂(𝟏; 𝟎; 𝟏) et (𝐒) la sphère de centre Donc (𝑶𝑨𝑩): 𝒙 + 𝟎 × 𝒚 − 𝟏 × 𝒛 + 𝒅 = 𝟎
𝛀(−𝟑; 𝟎; 𝟏) et de rayon 𝟐√𝟐 Donc (𝑶𝑨𝑩): 𝒙 − 𝒛 + 𝒅 = 𝟎
1) a) Montrer que les points A ; B et C ne Et on a 𝑶(𝟎, 𝟎, 𝟎) ∈ (𝑶𝑨𝑩) donc on remplace
sont pas alignés les coordonnées de O dans 𝟎 + 𝟎 + 𝒅 = 𝟎
donc 𝒅 = 𝟎
Rappel : Donc (𝑶𝑨𝑩): 𝒙 − 𝒛 = 𝟎
Condition de colinéarité de deux vecteurs
Soient 𝑼 ⃗⃗⃗(𝒙; 𝒚; 𝒛) 𝒆𝒕 𝑽
⃗⃗(𝒙′ ; 𝒚′ ; 𝒛′ )deux vecteurs
⃗⃗⃗ 𝒆𝒕 𝑽
𝑼 ⃗⃗ sont colinéaires si ∆𝒙 = ∆𝒚 = ∆𝒛 = 𝟎
∆𝒙 = |
𝒚 𝒚′
| ; ∆𝒚 = | 𝒙 𝒙′ | 𝒆𝒕 ∆ = | 𝒙 𝒙′
|
𝒛
3 23F Modèle 04
2)a) Montrer que 𝐥𝐞 𝐩𝐥𝐚𝐧 (𝐎𝐀𝐁) est c) Montrer que la droite (∆)est tangente à la
tangente à la sphère (S) en un point H sphère (𝐒) puis déterminer les coordonnées
On a (𝐒) la sphère de centre 𝛀(−𝟑; 𝟎; 𝟏) et de point de contact
de rayon 𝟐√𝟐 Soit (𝒙; 𝒚; 𝒛) 𝒍𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒓𝒅𝒐𝒏𝒏é𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝑲
Et (𝑶𝑨𝑩): 𝒙 − 𝒛 = 𝟎 donc : l’intersection de (S) et (∆)
|−𝟑 − 𝟏| 𝟒 𝑫𝒐𝒏𝒄(𝒙; 𝒚; 𝒛) 𝒗𝒆𝒓𝒊𝒇𝒊𝒆
𝒅(Ω; (𝑶𝑨𝑩) = = = 𝟐√𝟐 𝒙 = 𝟏 + 𝟐𝒕
√𝟏𝟐 + 𝟎𝟐 + (−𝟏)𝟐 √𝟐 ; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
(∆): { 𝒚 = 𝟎
𝑫𝒐𝒏𝒄: 𝒅(Ω; (𝑶𝑨𝑩) = 𝑹 ∶ {
𝒛 = 𝟏 − 𝟐𝒕
Donc le plan (OAB) est tangente à la sphère (𝑺): (𝒙 + 𝟑)𝟐 + 𝒚𝟐 + (𝒛 − 𝟏)𝟐 = 𝟖
(S) en un point H Donc (𝟏 + 𝟐𝒕 + 𝟑)𝟐 + 𝟎𝟐 + (𝟏 − 𝟐𝒕 − 𝟏)𝟐 = 𝟖
a) Déterminer les coordonnées du point de Donc (𝟒 + 𝟐𝒕)𝟐 + 𝟎𝟐 + (−𝟐𝒕)𝟐 = 𝟖
contact H Donc (𝟒 + 𝟐𝒕)𝟐 + 𝟒𝒕𝟐 − 𝟖 = 𝟎
(𝒙; 𝒚; 𝒛)𝒍𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒓𝒅𝒐𝒏𝒏é𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝑯 𝒗é𝒓𝒊𝒇𝒊𝒆
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝟏𝟔 + 𝟏𝟔𝒕 + 𝟒 𝐭 𝟐 + 𝟒 𝐭 𝟐 − 𝟖 = 𝟎
𝒙 = −𝟑 + 𝒕
(𝛀𝐇): { 𝒚 = 𝟎 ; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹) 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝟖 𝐭 𝟐 + 𝟏𝟔𝒕 + 𝟖 = 𝟎
{ Donc 𝟖( 𝐭 𝟐 + 𝟐𝒕 + 𝟏) = 𝟎
𝒛=𝟏−𝒕
(𝑶𝑨𝑩) : 𝒙 − 𝒛 = 𝟎 Donc (𝐭 + 𝟏)𝟐 = 𝟎 donc 𝒕 = −𝟏
Donc (−𝟑 + 𝒕) − (𝟏 − 𝒕) = 𝟎 Donc la droite (∆) est tangente à la sphère (S)
Donc 𝟐𝒕 − 𝟒 = 𝟎 en un point K
𝒙 = −𝟑 + 𝒕 On remplace 𝒕 = −𝟏 dans
Donc 𝒕 = 𝟐 on remplace dans { 𝒚 = 𝟎 𝒙 = 𝟏 + 𝟐𝒕
𝒛=𝟏−𝒕 { 𝒚=𝟎 pour trouver K
𝒙 = −𝟏 𝒛 = 𝟏 − 𝟐𝒕
Donc { 𝒚 = 𝟎 𝒙 = 𝟏 − 𝟐 = −𝟏
𝒛 = −𝟏 Donc { 𝒚=𝟎 donc 𝑲(−𝟏 ; 𝟎 ; 𝟑)
Donc 𝐇(−𝟏; 𝟎; −𝟏) 𝒛=𝟏+𝟐=𝟑
3) Soit (∆)la droite passant par le point Exercice 03
𝐂(𝟏; 𝟎; 𝟏) et de vecteur directeur 𝐮 ⃗⃗(𝟐; 𝟎; −𝟐) On considère dans le repère complexe
a) Déterminer une représentation ⃗⃗ ; 𝐯⃗⃗) les points 𝑨(𝒂) ; 𝑩(𝒃) ; 𝑪(𝒄)tel que
( 𝐎 ;𝐮
paramétrique de (∆) 𝒂 = 𝟏 + 𝟐𝒊 ; 𝒃 = 𝟑 + 𝟑𝒊 𝒆𝒕 𝒄 = 𝟒 + 𝟓𝒊
On a (∆)la droite passant par le point 1) Ecrire b sous forme trigonométrique
𝐂(𝟏; 𝟎; 𝟏) et de vecteur directeur 𝐮 ⃗⃗(𝟐; 𝟎; −𝟐) 2) Vérifier que 𝒅 = 𝟐 + 𝟒𝒊 est l’affixe du
𝒙 = 𝟏 + 𝟐𝒕 point D l’image de A par la translation T
; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
donc (∆): { 𝒚 = 𝟎
de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑪
𝒛 = 𝟏 − 𝟐𝒕
b) Déterminer une équation cartésienne de 3) Vérifier que 𝒄 − 𝒂 = 𝟑𝒊(𝒃 − 𝒅) puis en
déduire que les droites (AC) et (BD) sont
(𝐒)
perpendiculaire
On a (𝐒) la sphère de centre 𝛀(−𝟑; 𝟎; 𝟏) et 4) Montrer que ABCD est losange
de rayon 𝟐√𝟐 donc : 5) Soit el’affixe de E l’image de A par
Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑺) l’homothétie h de centre B et de rapport 2
Donc a) Vérifier que 𝒆 = −𝟏 + 𝒊
b) En déduire le centre et le rayon de (C) le
(𝑺): (𝒙 − (−𝟑))𝟐 + (𝒚 − 𝟎)𝟐 + (𝒛 − 𝟏)𝟐 = (𝟐√𝟐)𝟐
cercle circonscrit au triangle EBD
Donc (𝑺): (𝒙 + 𝟑)𝟐 + 𝒚𝟐 + (𝒛 − 𝟏)𝟐 = 𝟖
4 23F Modèle 05
Solution d’exercice 03 (3 Points ) 4) Montrer que le quadrilatère ABCD est
On considère dans le repère complexe losange
⃗⃗ ; 𝐯⃗⃗) les points 𝑨(𝒂) ; 𝑩(𝒃) ; 𝑪(𝒄)tel que
( 𝐎 ;𝐮 𝑨𝑫 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
On a 𝐓(𝐀) = 𝐃 ⇒ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑩𝑪
𝒂 = 𝟏 + 𝟐𝒊 ; 𝒃 = 𝟑 + 𝟑𝒊 𝒆𝒕 𝒄 = 𝟒 + 𝟓𝒊 Donc le quadrilatère ABCD est un
1) Ecrire b sous forme exponentielle puis parallélogramme
vérifier que 𝒃𝟖 ∈ ℝ Et on a les diagonales du quadrilatère ABCD
|𝒃| = √𝟑𝟐 + 𝟑𝟐 = √𝟏𝟖 = 𝟑√𝟐 les droites (AC) et (BD) sont
𝟑 𝟑 perpondiculaire
𝒃 = 𝟑 + 𝟑𝒊 = 𝟑√𝟐 ( +𝒊 )
𝟑√𝟐 𝟑√𝟐 Donc le quadrilatère ABCD est losange
𝟏 𝟏 5) Soit el’affixe de de point E l’image de A
= 𝟑√𝟐 ( + 𝒊 )
√𝟐 √𝟐 par l’homothétie h de centre B et de
𝝅 𝝅 𝛑
rapport 2
= 𝟑√𝟐 (𝒄𝒐𝒔 + 𝒊 𝒔𝒊𝒏 ) = 𝟑√𝟐𝐞𝐢𝟒
𝟒 𝟒 Vérifier que 𝒆 = −𝟏 + 𝒊
𝛑 𝟖 𝟖 𝛑 𝟖
𝒃𝟖 = (𝟑√𝟐𝐞𝐢𝟒 ) = (𝟑√𝟐) 𝐞𝐢𝟒×𝟖 = (𝟑√𝟐) 𝐞𝐢𝟐𝛑 𝐡(𝐀) = 𝐄 ⇒ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑬 = 𝟐𝑩𝑨⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝟖 ⇒ 𝒆 − 𝒃 = 𝟐(𝒂 − 𝒃)
= (𝟑√𝟐) (𝒄𝒐𝒔(𝟐𝛑) + 𝒊 𝒔𝒊𝒏( 𝟐𝛑))
⇒ 𝒆 = 𝟐 (𝒂 − 𝒃 ) + 𝒃
𝟖 𝟖
= (𝟑√𝟐) (𝟏 + 𝟎) = (𝟑√𝟐) ∈ ℝ ⇒ 𝒆 = 𝟐(𝟏 + 𝟐𝒊 − 𝟑 − 𝟑𝒊 ) + 𝟑 + 𝟑𝒊
2) Vérifier que 𝒅 = 𝟐 + 𝟒𝒊 est l’affixe du ⇒ 𝒆 = 𝟐(−𝟐 − 𝒊 ) + 𝟑 + 𝟑𝒊
point D l’image de A par la translation T ⇒ 𝒆 = −𝟏 + 𝒊
de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑪 6) En déduire le centre et le rayon de (C) , le
𝑨𝑫 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐓(𝐀) = 𝐃 ⇒ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑩𝑪 cercle circenscrit au triangle EBD
⇒ 𝒛⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐎𝐧𝐚 ∶ 𝑩𝑬
𝑨𝑫 = 𝒛 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑪
⇒𝒅−𝒂 =𝒄−𝒃 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐀 𝐞𝐬𝐭 𝐥𝐞 𝐦𝐢𝐥𝐢𝐞𝐮 𝐝𝐮 𝐬𝐞𝐠𝐦𝐞𝐧𝐭 [𝑬𝑩]
= 𝟐𝑩𝑨
⇒𝒅=𝒄−𝒃+𝒂 𝐃𝐨𝐧𝐜 𝐀𝐄 = 𝐀𝐁
⇒𝒅 Et on a ABCD un losange donc 𝐀𝐁 = 𝐀𝐃
= 𝟒 + 𝟓𝒊 − 𝟑 − 𝟑𝒊 + 𝟏 + 𝟐𝒊 D’où 𝐀𝐄 = 𝐀𝐁 = 𝐀𝐃
⇒ 𝒅 = 𝟐 + 𝟒𝒊 Donc les points B ; E et D appartient au même
3) Vérifier que 𝒄 − 𝒂 = 𝟑𝒊(𝒃 − 𝒅) cercle (C) de centre A et de rayon
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒄 − 𝒂 = 𝟒 + 𝟓𝒊 − 𝟏 − 𝟐𝒊 = 𝟑 + 𝟑𝒊 𝐫 = 𝐀𝐁 = |𝒃 − 𝒂|
𝑬𝒕 𝒐𝒏𝒂 ∶ 𝟑𝒊(𝒃 − 𝒅) = 𝟑𝒊(𝟑 + 𝟑𝒊 − 𝟐 − 𝟒𝒊) = |𝟑 + 𝟑𝒊 − 𝟏 − 𝟐𝒊 |
= 𝟑𝒊(𝟏 − 𝒊) = 𝟑 + 𝟑𝒊 = |𝟐 + 𝒊 |
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒄 − 𝒂 = 𝟑𝒊(𝒃 − 𝒅) = √ 𝟐𝟐 + 𝟏𝟐
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒄 − 𝒂 = 𝟑𝒊(𝒃 − 𝒅) = √𝟓
𝐜−𝐚 𝐜−𝐚
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ = 𝟑𝒊 𝒅𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝐚𝐫𝐠 ( ) D’où le cercle (C) circenscrit au triangle EBD
𝐛−𝐝 𝐛−𝐝
≡ 𝐚𝐫𝐠( 𝟑𝐢)[𝟐𝛑] est de centre A et de rayon √𝟓
𝛑
𝐃𝐨𝐧𝐜 : ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
(𝐃𝐁 𝐀𝐂) ≡ [𝟐𝛑]
𝟐
Donc les droites (AC) et (BD) sont
perpondiculaire
5 23F Modèle 05
Solution d’exercice 04 (2 points) Solution du problème ( 8 points )
Une urne contient 10 boules portant les A) Soit g une fonction définit sur
numéros : 1 ;2 ;2 ;3 ;3 ;3 ;4 ;4 ;4 ;4. ]𝟎; +∞[par : 𝐠(𝐱) = 𝐱 𝒍𝒏 𝒙 − 𝒙 + 𝟏
Ces boules sont indiscernables au toucher. 1) Calculer 𝐥𝐢𝐦+𝒈(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱)
𝐱→𝟎 𝐱→+∞
On tire au hasard, successivement et sans 𝐥𝐢𝐦+𝒈(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦+ 𝐱𝐥 𝐧 𝒙 − 𝒙 + 𝟏 = 𝟏
remise deux boules de l’urne. 𝐱→𝟎 𝐱→𝟎
𝟏 𝑪𝒂𝒓 𝐥𝐢𝐦+ 𝐱 𝒍𝒏 𝒙 = 𝟎 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦+ − 𝒙 + 𝟏 = 𝟏
1) Montrer que : 𝑷(𝑨) = , 𝐱→𝟎 𝐱→𝟎
𝟑
𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 𝒍𝒏 𝒙 − 𝒙 + 𝟏
L’univers 𝛀 associé à cette expérience 𝐱→+∞ 𝐱→+∞
aléatoire est l’ensemble des arrangements = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) + 𝟏

𝐱→+∞
sans répétitions de deux boules parmi dix = +∞
boules contenues dans le sac 𝑪𝒂𝒓 𝐥𝐢𝐦 𝐱 = +∞ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏 = +∞
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
Donc le nombre des possibilités est 2) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[ ; 𝒈′ (𝐱) = 𝒍𝒏(𝒙)
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝑨𝟐𝟏𝟎 = 𝟏𝟎 × 𝟗 = 𝟗𝟎
𝑨 : « Obtenir deux boules portant deux f est dérivable sur ]𝟎; +∞[ car c’est une
numéros pairs » somme de deux fonctions dérivable sur
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) = 𝑨𝟐𝟔 = 𝟔 × 𝟓 = 𝟑𝟎 ]𝟎; +∞[
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) 𝟑𝟎 𝟏 Soit 𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐀) = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟗𝟎 𝟑 𝟏
3) calculer 𝑷(𝑩) 𝒈′ (𝐱) = 𝟏 × 𝒍𝒏(𝒙) + 𝒙 × − 𝟏 + 𝟎
𝒙
= 𝒍𝒏(𝒙) + 𝟏 − 𝟏
𝑩 : « Le produit de deux numéros égale à 4 » = 𝒍𝒏(𝒙)
donc (2 ;2) ou (1 ;4) Donc : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[ ; 𝒈′ (𝐱) = 𝒍𝒏(𝒙)
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐁) = 𝑨𝟐𝟐 + 𝟐 × (𝑨𝟏𝟏 × 𝑨𝟏𝟒 ) = 𝟐 + 𝟖 3) Dresser le tableau de variations de g sur
= 𝟏𝟎 ]𝟎; +∞[
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐁) 𝟏𝟎 𝟏 On sait que ∀𝐱 ∈ ]𝟎; 𝟏]; 𝒍𝒏(𝒙) ≤ 𝟎 𝐞𝐭 ∀𝐱 ∈
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐁) = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟗𝟎 𝟗 [𝟏; +∞[; 𝒍𝒏(𝒙) ≥ 𝟎 ,donc :
2) Est-ce que les événements A et B sont x 𝟎 1 +∞
indépendantes ? ′
𝒈 (𝒙) − 0 +
𝐀 ∩ 𝐁 « Obtenir deux boules portant deux 1
numéros pairs et le produits égale à 4 » 𝒈(𝒙) +∞
donc (2 ;2) 𝒈(𝟏) = 𝟎
𝟐
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀 ∩ 𝐁) 𝑨𝟐 𝟐 4) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒑(𝐀 ∩ 𝐁) = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟗𝟎 𝟗𝟎 Le nombre 0 est une valeur minimale de la
𝟏 fonction g sur ]𝟎; +∞[
=
𝟒𝟓 𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
𝟏 𝟏 𝟏
𝑬𝒕 𝒐𝒏 𝒂 ∶ 𝒑(𝐀) × 𝒑(𝐁) = × =
𝟑 𝟗 𝟐𝟕
≠ 𝒑(𝐀 ∩ 𝐁)
D’où les événements A et B ne sont pas
indépendantes
6 23F Modèle 05
B) f une fonction définit sur 𝑰 = ]𝟎; +∞[ par : Soit 𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[
𝐟(𝐱) = (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞𝒙−𝟏 𝟏
𝒇′ (𝐱) = × 𝐞𝒙−𝟏 + (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞𝒙−𝟏
1) Montrer que 𝐥𝐢𝐦+𝐟(𝐱) = −∞ 𝒙
𝐱→𝟎
𝐞𝒙−𝟏
𝐥𝐢𝐦+𝐟(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦+(𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞𝒙−𝟏 = + 𝐞𝒙−𝟏 𝒍𝒏 𝒙 − 𝐞𝒙−𝟏
𝐱→𝟎 𝐱→𝟎 𝒙
= −∞ 𝐞𝒙−𝟏 + 𝒙 𝐞𝒙−𝟏 𝒍𝒏 𝒙 − 𝐱 𝐞𝒙−𝟏
𝑪𝒂𝒓: 𝐥𝐢𝐦+𝒍𝒏 𝒙 = −∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦+𝐞𝒙−𝟏 = 𝐞−𝟏 =
𝐱→𝟎 𝐱→𝟎
𝒙
𝒙−𝟏
>𝟎 𝐞 (𝟏 + 𝐱 𝒍𝒏 𝒙 − 𝐱)
=
Interpréter le résultat géométriquement 𝒙
𝒈(𝒙) 𝒙−𝟏
On a : 𝐥𝐢𝐦+𝐟(𝐱) = −∞ donc la droite = 𝐞
𝐱→𝟎 𝒙
d’équation 𝒙 = 𝟎 ; c-à-dire l’axe des b) Dresser le tableau de variation de f en
ordonnées est une asymptote verticale à la
justifiant votre réponse
courbe (𝐂𝐟 )
2) Etudier la branche infinie de (𝐂𝐟 ) au Soit 𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[
voisinage de +∞ 𝒈(𝒙) 𝒙−𝟏
𝒙−𝟏 𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐟 ′ (𝐱) = 𝐞
𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞 𝒙
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
= 𝐥𝐢𝐦 (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞𝒙 𝐞−𝟏 𝑬𝒕 𝒐𝒏 𝒂 ∶ 𝒙 > 𝟎 𝒆𝒕 𝐞𝒙−𝟏
𝐱→+∞
= +∞ > 𝟎 𝒆𝒕 𝒅′ 𝒂𝒑𝒓é𝒔 𝒍𝒂 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒆 𝑨): 𝒈(𝒙) ≥ 𝟎
Car 𝐥𝐢𝐦 (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) = +∞ Donc 𝐟 ′ (𝐱) ≥ 𝟎
𝐱→+∞
𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝒙 = +∞ D’où la fonction f est strictement croissante
𝐱→+∞
𝒙−𝟏
𝐟(𝐱 ) (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞 sur ]𝟎; +∞[
𝐱→+∞ 𝒙 𝐱→+∞ 𝒙
𝐞𝒙 −𝟏 x 𝟎 +∞
= 𝐥𝐢𝐦 (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞
𝐱→+∞ 𝒙 𝒇′ (𝒙) +
= +∞
+∞
Car 𝐥𝐢𝐦 (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) = +∞ 𝒇(𝒙)
𝐱→+∞
−∞
𝐞𝒙
𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 = +∞ c) Déterminer l’équation de la tangente (𝑻)
𝐱→+∞ 𝒙
𝐟(𝐱)
On a : 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 = +∞ de (𝐂𝐟 ) au point 1
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝒙
Donc la courbe (𝐂𝐟 ) admet une branche (𝑻): 𝒚 = 𝒇′ (𝟏)(𝒙 − 𝟏) + 𝒇(𝟏)
parabolique de direction l’axe des 𝒈(𝟏) 𝟏−𝟏
ordonnées au voisinage de +∞ 𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒇′ (𝟏) = 𝐞 =𝟎
𝟏
3 )a) Montrer que :
𝒈(𝒙) 𝒙−𝟏
∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝐟 ′ (𝐱) = 𝐞
𝒙
𝒙 ⟼ 𝒍𝒏𝒙 − 𝟏 est dérivable sur ]𝟎; +∞[
𝒙 ⟼ 𝐞𝒙−𝟏 est dérivable sur ]𝟎; +∞[
Donc la fonction f est dérivable sur
l’intervalle ]𝟎; +∞[ car c’est une somme de
deux fonctions dérivables sur ]𝟎; +∞[
7 23F Modèle 05
4) Soit h une fonction définit sur 𝑰 par :
𝐡(𝐱) = 𝟐𝒙 + 𝒙𝟐 𝒍𝒏𝒙 − 𝒙𝟐 − 𝟏
a) Calculer h(1) puis déterminer le signe de
h sur 𝑰 = ]𝟎; +∞[
𝐡(𝐱) = 𝟐 + 𝒍𝒏𝟏 − 𝟏𝟐 − 𝟏 = 𝟎
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐟 ′′ s’annule et change de signe en 1
On distingue deux cas ; 𝒙 ∈ ]𝟎; 𝟏] 𝒆𝒕 𝒙 ∈
donc le point 𝐀(𝟏; 𝟎)
[𝟏; +∞[
est une point d’inflexion de (𝑪𝒇)
𝑺𝒐𝒊𝒕 ∶ 𝒙 ∈ ]𝟎; 𝟏]
5) Résoudre dans 𝑰 l’équation 𝐟(𝐱) = 𝟎 puis
𝒙 ∈ ]𝟎; 𝟏] ⟹ 𝒙 ≤ 𝟏
interpréter le résultat géométriquement
; 𝒉 𝒆𝒔𝒕 𝒔𝒕𝒓𝒊𝒄𝒕𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒄𝒓𝒐𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆 𝒔𝒖𝒓]𝟎; 𝟏]
𝐟(𝐱) = 𝟎 ⇔ (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞𝒙−𝟏 = 𝟎
⟹ 𝒉(𝒙) ≤ 𝒉(𝟏)
⇔ 𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏 = 𝟎 𝒄𝒂𝒓 𝐞𝒙−𝟏 > 𝟎
⟹ 𝒉(𝒙) ≤ 𝟎
⇔ 𝒍𝒏 𝒙 = 𝟏 ⇔ 𝒙 = 𝒆
𝑺𝒐𝒊𝒕 ∶ 𝒙 ∈ [𝟏; +∞[
Interprétation géométrique
𝒙 ∈ [𝟏; +∞[ ⟹ 𝟏 ≤ 𝒙
La courbe (𝑪𝒇) coupe l’axe des abscisses au
𝒆𝒕 𝒉 𝒆𝒔𝒕 𝒔𝒕𝒓𝒊𝒄 𝒄𝒓𝒐𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆 𝒔𝒖𝒓[𝟏; +∞[
point 𝐀(𝒆; 𝟎)
⟹ 𝒉(𝟏) ≤ 𝒉(𝒙)
6) Montrer que f admet une fonction
⟹ 𝟎 ≤ 𝒉(𝒙)
réciproque 𝒇−𝟏 sur J à déterminer
On dresse le tableau de signe de h
La fonction f est dérivable sur ]𝟎; +∞[ donc
elle est continue sur ]𝟎; +∞[
b) Montrer que : f est strictement croissante sur ]𝟎; +∞[
𝐡(𝐱) 𝒙−𝟏 Donc la fonction f admet une fonction
∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; : 𝐟 ′′ (𝐱) = 𝐞
𝒙𝟐 réciproque 𝒇−𝟏 définie sur un intervalle J tel
𝐞𝒙−𝟏 𝒈(𝒙) que 𝑱 = 𝒇(]𝟎; +∞[) = ]−∞; +∞[
𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐟 ′ (𝐱) =
𝒙 7) Tracer et (𝐂𝐟 ) et (𝑪𝒇−𝟏 )
[𝐞𝒙−𝟏 𝒈(𝒙) + 𝐞𝒙−𝟏 𝒈′ (𝒙)]𝒙 − 𝐞𝒙−𝟏 𝒈(𝒙)
𝐟 ′′ (𝐱) =
𝒙
[𝐞𝒙−𝟏 (𝐱 𝒍𝒏 𝒙 − 𝒙 + 𝟏) + 𝐞𝒙−𝟏 𝒍𝒏(𝒙)]𝒙 − 𝐞𝒙−𝟏 (𝐱 𝒍𝒏 𝒙 − 𝒙 + 𝟏)
=
𝒙𝟐
𝐞𝒙−𝟏 (𝐱 𝟐 𝒍𝒏 𝒙 − 𝒙𝟐 + 𝐱 + 𝐱𝒍𝒏(𝒙) − 𝒙𝒍𝒏 𝒙 + 𝒙 − 𝟏)
=
𝒙𝟐
′′ ( )
𝐞𝒙−𝟏 (𝟐𝐱 + 𝐱 𝟐 𝒍𝒏 𝒙 − 𝒙𝟐 − 𝟏)
𝐟 𝐱 =
𝒙𝟐
′′ ( )
𝐞𝒙−𝟏 𝒉(𝒙)
𝐟 𝐱 =
𝒙𝟐
c) Etudier la convexité de (𝐂𝐟 ) puis justifier
que la courbe (𝐂𝐟 ) admet un point
d’inflexion unique au point d’abscisse 1
′′ ( )
𝐞𝒙−𝟏 𝒉(𝒙)
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐟 𝐱 = 𝟐
𝒅𝒆 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝐞𝒙−𝟏
𝒙
> 𝟎 𝒆𝒕 𝒙𝟐 > 𝟎
Donc le signe de 𝐟 ′′ est le signe de h d’où le
tableau de concavité suivant :
9
*****6
Prof
Fayssal



Nombres complexes.
Exercice 3 4 points
Exercice 3 2 points
Problème 8 points
intégral

M5-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
Soit (𝒖𝒏 ) la suite définit par :
𝟑 + 𝑼𝒏
0,5 (∀𝒏 ∈ ℕ), 𝒖𝒏+𝟏 = 𝒆𝒕 𝑼𝟎 = 𝟐
𝟓 − 𝑼𝒏
0,5 1) Montrer par récurrence que (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝟏 < 𝑼𝒏 < 𝟑

(𝒖𝒏 −𝟏)(𝒖𝒏 −𝟑)
2) Montrer que : (∀𝒏 ∈ ℕ), 𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 = , puis en déduire que la suite (𝒖𝒏 )
𝟓−𝒖𝒏
est convergente
0,5
𝑼𝒏 −𝟏
3) Soit (𝒗𝒏 ) la suite définit par : (∀𝒏 ∈ ℕ) ∶ 𝒗𝒏 =
𝟑− 𝑼𝒏
0,75
𝟏
a) Monter que (𝒗𝒏 ) est une suite géométrique et de raison
0,25 𝟐
c) Calculer 𝒖𝒏 en fonction de n pour tout 𝒏 ∈ ℕ

0,5 d) Calculer la limite de (𝒖𝒏 )
𝟑
4) Est-ce que le nombre est un terme de la suite (𝒖𝒏 ) , justifier votre réponse ?
𝟐
⃗⃗ )
On considère les points 𝐀(𝟑; −𝟐; 𝟐), 𝐁(−𝟏; 𝟔; 𝟒) et 𝐂(𝟓; 𝟒; 𝟒) et (𝐒) la sphère de
diamètre [𝑨𝑩]
1) Vérifier que le triangle ABC est rectangle en C puis en déduire que C appartient à
0,75
(S)
2) Montrer que l’équation de sphère (S) est :
0,5 (𝒙 − 𝟏)𝟐 + (𝒚 − 𝟐)𝟐 + (𝒛 − 𝟑)𝟐 = 𝟐𝟏
3) Déterminer une équation cartésienne du plan (P) tangente à (S) au point C

0,5
4) Soit (∆) la droite passante par le point D(4 ;3 ;2) et de vecteur directeur 𝐮
⃗⃗(𝟏; 𝟎; 𝟑)
a) Déterminer une représentation paramétrique de la droite (∆)
0,25
b) Déterminer les coordonnées des points d’intersections de la droite (∆) et la
0,75 sphère (S) s’il existe
5) Soit le plan (𝑸): 𝒙 − 𝟒𝒚 + 𝟐𝒛 + 𝒅 = 𝟎

0,75
Trouver les valeurs de d pour que (Q) soit tangente à (S)
M5-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
⃗⃗ ; 𝐯⃗⃗) les points 𝑨(𝒂) 𝒆𝒕 𝑩(𝒃)tel que
𝒂 = √𝟔 + 𝒊√𝟔 ; 𝒃 = 𝒂
̅
6) Ecrire a sous forme trigonométrique

0,5
7) Montrer que 𝒂𝟖 + 𝒃𝟖 est un nombre réel
0,25
8) Soit R la rotaion qui transforme M(z) en M(z’) tel que :
𝒛′ = 𝒊𝒛 + 𝟐√𝟔(𝟏 − 𝒊)
0,5 a) Détérminer 𝛚 l’affixe de point 𝛀 le centre de rotation R et l’angle de R
0,5 b) Montrer que B est l’image de point A par la rotation 𝑹
c) Soit c l’affixe du le point C l’image de B par la rotation R
0,5 Vérifier que 𝒄 = 𝟑√𝟔 − 𝒊√𝟔
𝒂−𝒃
0,75 d) Calculer puis en déduire la nature du triangle ABC
𝒄−𝒃
9) Soit D l’image de C par la translation T de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑨
a) Déterminer d d’affixe de point D par la translation T
0,25
0,75 b) Montrer que le quadrilatère ABCD estun carré
Une urne contient 10 boules : cinq boules rouges, trois
jaunes et deux boules vertes, sont indiscernables au
toucher.
On tire simultanément 3 boules de ce sac
1) On considère les événements suivants:
𝑨: " Les trois boules sont de la même couleurs”
𝑩 “Les trois boules sont chacune de couleur différente’’
𝑪 “Parmi les boules tirées, il y a au moins une boules verte ”
𝑫 “Les trois boules portant deux couleurs ’’
0,75 1) Calculer 𝑷(𝑨) 𝒆𝒕 𝑷(𝑩)

𝟖
0,5
2) Montrer que : 𝑷(𝑪) =
𝟏𝟓
𝟕𝟗
0,75 3) Montrer que 𝑷(𝑫) =
𝟏𝟐𝟎
‫فرنسي‬
A) Soit 𝒈 la fonction définie sur ]𝟎; +∞[ par
𝒈(𝒙) = 𝟏 + 𝒙 + 𝒍𝒏𝒙
Et (𝑪𝒈 ) sa courbe dans un repère orthonormé (Unité 1cm)
1) a) Montrer que 𝒈 est strictement croissante sur ]𝟎; +∞[
0,5 b) Montrer que l’équation 𝒈(𝒙) = 𝟎 admet une unique solution 𝜶 dans ]𝟎; +∞[ et
0,5 𝟏 𝟏
que < 𝜶 < .
𝟓 𝟐
𝟏
(𝑶𝒏 𝒅𝒐𝒏𝒏𝒆 𝒈 ( ) ≅ −𝟎, 𝟒 )
𝟓
0,5 2) Déduire que (∀𝒙 ∈ ]𝟎; 𝜶]): 𝒈(𝒙) ≤ 𝟎 et (∀𝒙 ∈ [𝜶; +∞[): 𝒈(𝒙) ≥ 𝟎
𝟏
3) a) Calculer l’intégrale 𝑨 = ∫𝜶 𝒈(𝒙)𝐝𝐱 ,en fonction de 𝜶
0,75
b) Interpréter géométriquement le nombre 𝑨
0,25
B) Soit 𝒇 la fonction définie sur [𝟎; +∞[ par :
𝟒 𝒙 𝒍𝒏𝒙
𝒇(𝒙) = ;𝒙 > 𝟎
{ 𝟏+𝒙
𝒇(𝟎 ) = 𝟎
Et (𝑪𝒇 ) sa courbe dans un repère orthonormé (𝑶; 𝒊⃗; 𝒋⃗).
(Unité 2cm)
1)a) Montrer que 𝒇 est continue à droite en 0.
0,5 𝒇(𝒙)
0,75 b) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = +∞ et que 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 , puis interpréter
𝒙→+∞ 𝒙→+∞ 𝒙
graphiquement le résultat.
𝒇(𝒙)
2)a)Montrer que 𝐥𝐢𝐦+ = −∞ , puis interpréter le résultat géométriquement
𝒙
0,5 𝒙→𝟎
𝟒𝒈(𝒙)
0,5 b) Montrer que pour tout 𝒙 ∈ ]𝟎; +∞[ : 𝒇′ (𝒙) = (𝒙+𝟏)𝟐
0,5 c) Déduire que 𝒇 est strictement croissante sur l’intervalle [𝜶; +∞[ et strictement
décroissante sur l’intervalle [𝟎; 𝜶]
0,5 d)Montrer que 𝒇(𝜶) = −𝟒𝜶 et dresser le tableau de variations de 𝒇
0,5 𝟒(𝟏−𝒙𝟐 −𝟐𝒙𝒍𝒏𝒙)
3)a) Montrer que pour tout 𝒙 ∈ ]𝟎; +∞[ : 𝒇′′ (𝒙) =
𝒙(𝒙+𝟏)𝟑
0,5 b) Etudier le signe de 𝟏 − 𝒙𝟐 et −𝟐𝒙𝒍𝒏𝒙 sur ]𝟎; +∞[ et en déduire que le point
d’abscisse 1 est l’unique point d’inflexion de (𝑪𝒇 ).
0,5 c)Donner l’équation de la tangente (𝑻) à (𝑪𝒇 ) au point d’abscisse1
1 4) Tracer (𝑪𝒇 ) dans le repère (𝑶; 𝒊⃗; 𝒋⃗).( On donne 𝜶 ≈ 𝟎. 𝟐𝟓)
C) Soit 𝒉 la restriction de 𝒇 sur l’intervalle [𝜶; +∞[.
0,5 1) Montrer que 𝒉 admet une fonction réciproque 𝒉−𝟏définie 𝑱
0,5 2) Montrer que 𝒉−𝟏 est dérivable en 𝟎 puis calculer (𝒉−𝟏 )′ (𝟎)
1 23F Modèle 06
Solution d’exercice 01 (3 Points ) 2) Montrer que :
Soit (𝒖𝒏 ) la suite définit par : (∀𝒏 ∈ ℕ), 𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 =
(𝒖𝒏 −𝟏)(𝒖𝒏 −𝟑)
, puis en
𝟓−𝒖𝒏
𝟑 + 𝑼𝒏
(∀𝒏 ∈ ℕ), 𝒖𝒏+𝟏 = déduire que la suite (𝒖𝒏 ) est convergente
𝒆𝒕 𝑼𝟎 = 𝟐
𝟓 − 𝑼𝒏
Soit n un entier naturel,
1) Montrer par récurrence que (∀𝒏 ∈ ℕ):
𝟑 + 𝑼𝒏
𝟏 < 𝑼𝒏 < 𝟑 𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 = − 𝒖𝒏
𝟓 − 𝑼𝒏
➢ Pour n=0 on a 𝟏 < 𝒖𝟎 = 𝟐 < 𝟑 qui est 𝟑 + 𝒖𝒏 − 𝒖𝒏 (𝟓 − 𝒖𝒏 )
=
vrai. 𝟓 − 𝒖𝒏
➢ Soit 𝒏 ∈ ℕ 𝟑 + 𝒖𝒏 + 𝒖𝟐𝒏 − 𝟓𝒖𝒏
=
𝟓 − 𝒖𝒏
Supposons que 𝟏 < 𝒖𝒏 < 𝟑 et montrons que 𝟐
𝒖𝒏 − 𝟒𝒖𝒏 + 𝟑
𝟐 < 𝒖𝒏+𝟏 < 𝟒. =
𝟓 − 𝒖𝒏
𝟑 + 𝒖𝒏 (𝒖𝒏 − 𝟏)(𝒖𝒏 − 𝟑)
∗ 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟐 = −𝟏 =
𝟓 − 𝒖𝒏 𝟓 − 𝒖𝒏
𝟑 + 𝑼𝒏 − (𝟓 − 𝒖𝒏 ) Car (𝒖𝒏 − 𝟏)(𝒖𝒏 − 𝟑) = 𝒖𝟐𝒏 − 𝟒𝒖𝒏 + 𝟑
= 𝟏 < 𝒖𝒏+𝟏 < 𝟑 ⇒ (𝒖𝒏 − 𝟑) < 𝟎 𝒆𝒕 (𝒖𝒏 − 𝟏) >
𝟓 − 𝒖𝒏
𝟎 𝒆𝒕 𝟓 − 𝒖𝒏 > 𝟎
𝟐𝒖𝒏 − 𝟐 𝟐(𝒖𝒏 − 𝟏)
= = (𝒖𝒏 − 𝟑)(𝒖𝒏 − 𝟏)
𝟓 − 𝒖𝒏 𝟓 − 𝒖𝒏 ⇒ <𝟎
𝟓 − 𝒖𝒏
On a 𝒖𝒏 < 𝟑 donc −𝒖𝒏 > −𝟑 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 < 𝟎
Donc 𝟓 − 𝒖𝒏 > 𝟐 donc 𝟓 − 𝒖𝒏 > 𝟎 Donc la suite (un) est décroissante
Et 𝒖𝒏 > 𝟏 donc 𝟐(𝒖𝒏 − 𝟏) > 𝟎 La suite (un) est décroissante et minorée par
1 donc elle est convergente
𝟐(𝒖𝒏 − 𝟏)
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ >𝟎 3) Soit (𝒗𝒏 ) la suite définit par :
𝟓 − 𝒖𝒏
𝒖𝒏 − 𝟏
Donc 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 > 𝟎 ( ∀𝒏 ∈ ℕ ) ∶ 𝒗 𝒏 =
𝟑 − 𝒖𝒏
Donc 𝒖𝒏+𝟏 > 𝟐 . (*) a) Monter que (𝒗𝒏 ) est une suite
𝟏
𝟑 + 𝒖𝒏 géométrique et de raison
𝟐
∗ 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟑 = −𝟑
𝟓 − 𝒖𝒏 𝑼𝒏+𝟏 − 𝟏
𝟑 + 𝑼𝒏 − 𝟑 (𝟓 − 𝒖𝒏 ) 𝒗𝒏+𝟏 =
𝟑 − 𝑼𝒏+𝟏
=
𝟓 − 𝑼𝒏 𝟐(𝒖𝒏 −𝟏)
𝟒𝒖𝒏 − 𝟏𝟐 𝟒(𝒖𝒏 − 𝟑) 𝟓−𝒖𝒏
= = = 𝟒(𝟑−𝒖𝒏 )
, 𝒅′ 𝒂𝒑𝒓è𝒔 𝒍𝒂 𝒒𝒖𝒆𝒔𝒕𝒊𝒐𝒏 𝟏)
𝟓 − 𝑼𝒏 𝟓 − 𝑼𝒏
𝟓−𝑼𝒏
Et on a 𝒖𝒏 < 𝟑 Donc 𝒖𝒏 − 𝟑 < 𝟎
𝟐(𝒖𝒏 − 𝟏)
donc 𝟒(𝒖𝒏 − 𝟑) < 𝟎 Et 𝟓 − 𝑼𝒏 > 𝟎 ; =
𝟒(𝒖𝒏 −𝟑) 𝟒(𝟑 − 𝒖𝒏 )
Donc 𝟓−𝑼 >𝟎
𝒏 𝟏 (𝒖𝒏 − 𝟏) 𝟏
Donc 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟑 < 𝟎 = = 𝒗𝒏
𝟐 𝟑 − 𝒖𝒏 ) 𝟐
Donc 𝒖𝒏+𝟏 < 𝟑 (**) 𝟏
De (*) et (**) on déduit que 𝟏 < 𝒖𝒏+𝟏 < 𝟑 Donc (𝒗𝒏 ) est géométrique de raison 𝒒 = et
𝟐
➢ D'après le principe de récurrence, on a 𝒗𝟎 =
𝒖𝟎 −𝟏
= =𝟏
𝟏
𝟑−𝒖𝟎 𝟏
∀𝒏 ∈ ℕ : 𝟏 < 𝒖𝒏 < 𝟑
2 23F Modèle 06
c) Calculer 𝒖𝒏 en fonction de n pour tout Solution d’exercice 02 (3 points)
𝒏Soit n un entier naturel, On considère les points 𝐀(𝟑; −𝟐; 𝟐),
On a La suite (𝒗𝒏 ) est géométrique de raison 𝐁(−𝟏; 𝟔; 𝟒) et 𝐂(𝟓; 𝟒; 𝟒) et (𝐒) la sphère de
𝟏
𝒒 = et 𝒗𝟎 = 𝟏 diamètre [𝑨𝑩]
𝟐
𝟏 𝒏
1) Vérifier que le triangle ABC est rectangle
Donc 𝒗𝒏 = 𝒗𝟎 × (𝒒)𝒏−𝟎 = ( ) en C puis en déduire que C appartient à (S)
𝟐
𝒖𝒏 − 𝟏 −𝟐 −𝟔
𝒗𝒏 = ⇒ 𝒗𝒏 (𝟑 − 𝒖𝒏 ) = 𝒖𝒏 − 𝟏 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
On a 𝑪𝑨 (−𝟔) et 𝑪𝑩 ( 𝟐 ), donc ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝟑 − 𝒖𝒏
⇒ 𝟑𝒗𝒏 − 𝒖𝒏 𝒗𝒏 − 𝒖𝒏 = −𝟏 −𝟐 𝟎
−𝟐 −𝟔
⇒ 𝒖𝒏 (−𝒗𝒏 − 𝟏) = −𝟑𝒗𝒏 − 𝟏 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑪𝑨. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑪𝑩 = (−𝟔) . (−𝟐) = −𝟏𝟐 + 𝟏𝟐 + 𝟎 = 𝟎
−𝟑𝒗𝒏 − 𝟏 −𝟐 𝟎
⇒ 𝒖𝒏 =
−𝒗𝒏 − 𝟏 Donc ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑪𝑨 𝒆𝒕 𝑪𝑩 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ sont orthogonaux
𝟑𝒗𝒏 + 𝟏 Donc le triangle ABC est rectangle en C
⇒ 𝒖𝒏 =
𝒗𝒏 + 𝟏
On a ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑪𝑨. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑪𝑩 = 𝟎 et on sait que l’ensemble des
𝟏 𝒏
𝟑( ) + 𝟏 point M tel que 𝑴𝑨 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗. 𝑴𝑩
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝟎 et la sphère de
𝟐
⇒ 𝒖𝒏 = 𝒏
𝟏
( ) +𝟏 diamètre [𝑨𝑩]
𝟐
D’où C appartient à (S)
d) Calculer la limite de (𝒖𝒏 )
2) Montrer que l’équation de sphère (S) est :
𝟏 𝟏 𝒏
𝑶𝒏 𝒂: − 𝟏 < < 𝟏 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝐥𝐢𝐦 ( ) = 𝟎 (𝒙 − 𝟏)𝟐 + (𝒚 − 𝟐)𝟐 + (𝒛 − 𝟑)𝟐 = 𝟐𝟏
𝟐 𝒏→+∞ 𝟐
Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑺)
Donc :
𝟏 𝒏 𝐌(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑪) ⇔ 𝑨𝑴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗.𝑩𝑴
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝟎
𝟑( ) + 𝟏 𝟎+𝟏
𝟐 𝒙−𝟑 𝒙+𝟏
𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 = 𝐥𝐢𝐦 𝒏 = =𝟏
𝒏→+∞ 𝒏→+∞ 𝟏
( ) +𝟏 𝟎 + 𝟏 ⇔ ( 𝒚 + 𝟐 ) . ( 𝒚 − 𝟔) = 𝟎
𝟐
𝟑 𝒛−𝟐 𝒛−𝟒
4) Est-ce que le nombre est un terme de la ⇔ (𝒙 − 𝟑)(𝒙 + 𝟏) + (𝒚 ∓ 𝟐)(𝒚 − 𝟔)
𝟐
suite (𝒖𝒏 ) , justifier votre réponse ? + (𝒛 − 𝟐)(𝒛 − 𝟒) = 𝟎
𝟏 𝒏
𝟑 𝟑 (𝟐 ) + 𝟏 𝟑 ⇔ 𝒙𝟐 + 𝒙 − 𝟑𝒙 − 𝟑 + 𝒚𝟐 − 𝟔𝒚 + 𝟐𝒚 − 𝟏𝟐
𝒖𝒏 = ⇒ =
𝟐 𝟏 𝒏 𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟒𝒛 − 𝟐𝒛 + 𝟖 = 𝟎
( ) +𝟏
𝟐
⇔ 𝒙𝟐 − 𝟐𝒙 + 𝒚𝟐 − 𝟒𝒚 + 𝒛𝟐 − 𝟔𝒛 = −𝟕
𝟏 𝒏 𝟏 𝒏
⇒ 𝟔( ) + 𝟐 = 𝟑( ) + 𝟑 ⇔ (𝒙 − 𝟏)𝟐 − 𝟏 + (𝒚 − 𝟐)𝟐 − 𝟒 + (𝒛 − 𝟑)𝟐
𝟐 𝟐
𝒏
𝟏 𝟏 𝒏 𝟏 𝟏 𝒏 − 𝟗 = −𝟕
⇒ 𝟑( ) = 𝟏 ⇒ ( ) = ⇒ 𝒍𝒏(( ) )
𝟐 𝟐 𝟑 𝟐 ⇔ (𝒙 − 𝟏)𝟐 + (𝒚 − 𝟐)𝟐 + (𝒛 − 𝟑)𝟐 = 𝟐𝟏
𝟏
= 𝒍𝒏( ) 3) Déterminer une équation cartésienne du
𝟑
⇒ −𝒏𝒍𝒏(𝟐) = −𝒍𝒏(𝟑) plan (P) tangente à (S) au point C
𝒍𝒏(𝟑) On a (𝑺): (𝒙 − 𝟏)𝟐 + (𝒚 − 𝟐)𝟐 + (𝒛 − 𝟑)𝟐 = 𝟐𝟏
⇒𝒏= ∉ℕ
𝒍𝒏(𝟐)
𝟑
Donc n’est pas un terme de la suite (𝒖𝒏 )
𝟐
3 23F Modèle 06
Donc (S) est une sphère de centre 𝒙=𝟒−𝟏
𝜴(𝟏 ; 𝟐 ; 𝟑) et de rayon 𝑹 = √𝟐𝟏 Donc{ 𝒚 = 𝟑
𝟓−𝟏 𝟒 𝒛=𝟐−𝟑
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Le vecteur 𝜴𝑪 (𝟒 − 𝟐) = (𝟐) est normal au Donc 𝑬(𝟑 ; 𝟑 ; −𝟏)
𝟒−𝟑 𝟏 𝒙=𝟒+𝒕
plan (P) On remplace 𝒕 = 𝟏 dans { 𝒚 = 𝟑 pour
𝟓−𝟏 𝟒 𝒛 = 𝟐 + 𝟑𝒕
Comme 𝜴𝑪 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (𝟒 − 𝟐) = (𝟐) est un vecteur trouver F
𝟒−𝟑 𝟏 𝒙=𝟒+𝟏
normal au (P), une équation cartésienne de Donc{ 𝒚 = 𝟑
(P) est de la forme 𝟒𝒙 + 𝟐𝒚 + 𝒛 + 𝒅 = 𝟎 𝒛=𝟐+𝟏
Le point 𝑪(𝟓; 𝟒; 𝟒) appartient au plan, donc Donc 𝑬(𝟓 ; 𝟑 𝟑)
𝟒 × (𝟓 ) + 𝟐 × (𝟒 ) + (𝟒 ) + 𝒅 = 𝟎 5) Soit le plan (𝑸): 𝒙 − 𝟒𝒚 + 𝟐𝒛 + 𝒅 = 𝟎
Donc 𝟑𝟐 + 𝒅 = 𝟎 et donc : 𝒅 = −𝟑𝟐. Trouver les valeurs de d pour que (Q) soit
D’où (𝑷): 𝟒𝒙 + 𝟐𝒚 + 𝒛 − 𝟑𝟐 = 𝟎 tangente à (S)
4) Soit (∆) la droite passante par le point Rappel : DISTANCE D’UN POINT à UN PLAN
D(4 ;3 ;2) et de vecteur directeur | 𝒂𝒙𝛀 + 𝒃𝒚𝛀 + 𝒄𝒛𝛀 + 𝒅|
⃗⃗(𝟏; 𝟎; 𝟑)
𝐮 𝒅(𝛀; (𝑷)) =
√𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐
𝒙=𝟒+𝒕
On a (Q) soit tangente à (S) donc 𝒅(𝛀; (𝑷)) =
(∆) ∶ { 𝒚 = 𝟑 (𝒕 ∈ ℝ
𝒛 = 𝟐 + 𝟑𝒕 𝐑 = √𝟐𝟏
b) Déterminer les coordonnées des points | 𝟏 − 𝟖 + 𝟔 + 𝒅|
d’intersections de la droite (∆) et la sphère 𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ = √𝟐𝟏
√𝟏𝟐 + (−𝟒)𝟐 + 𝟐𝟐
(S) s’il existe |−𝟏+𝒅|
On résoudre le système suivant pour 𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶
√𝟐𝟏
= √𝟐𝟏
déterminer leurs coordonnées : Donc ∶ |𝒅 − 𝟏| = 𝟐𝟏
𝒙=𝟒+𝒕
(∆) ∶ { 𝒚 = 𝟑 (𝒕 ∈ ℝ) 𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ 𝒅 − 𝟏 = 𝟐𝟏 𝒐𝒖 𝒅 − 𝟏 = −𝟐𝟏
{ 𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ 𝒅 = 𝟐𝟐 𝒐𝒖 𝒅 − 𝟏 = −𝟐𝟎
𝒛 = 𝟐 + 𝟑𝒕
(𝑺) : (𝒙 − 𝟏)𝟐 + (𝒚 − 𝟐)𝟐 + (𝒛 − 𝟑)𝟐 = 𝟐𝟏
Donc (𝟒 + 𝒕 − 𝟏)𝟐 + (𝟑 − 𝟐)𝟐 + (𝟐 + 𝟑𝒕 −
𝟑)𝟐 = 𝟐𝟏
Donc (𝟑 + 𝒕)𝟐 + (𝟏)𝟐 + (𝟑𝒕 − 𝟏)𝟐 = 𝟐𝟏
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝟗 + 𝟔𝒕 + 𝐭 𝟐 + 𝟏 + 𝟗𝐭 𝟐 − 𝟔𝐭 + 𝟏 − 𝟐𝟏 = 𝟎
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝟏𝟎 𝐭 𝟐 − 𝟏𝟎 = 𝟎
Donc 𝐭 𝟐 = 𝟏
Donc 𝒕 = √𝟏 𝒐𝒖 𝒕 = −√𝟏
Donc 𝒕 = 𝟏 𝒐𝒖 𝒕 = −𝟏
Donc la droite (∆) coupe la sphère (S) en
deux points E et F
On remplace 𝒕 = −𝟏 dans
𝒙=𝟒+𝒕
{ 𝒚=𝟑 pour trouver E
𝒛 = 𝟐 + 𝟑𝒕
4 23F Modèle 06
Solution d’exercice 03 (3 points) 𝒛′ = 𝒊𝒛 + 𝟐√𝟔(𝟏 − 𝒊) ⇔ 𝒛′ − 𝟐√𝟔 = 𝒊𝒛 − 𝒊𝟐√𝟔
On considère dans le repère complexe ⇔ 𝒛′ − 𝟐√𝟔 = 𝒊(𝒛 − 𝟐√𝟔)
⃗⃗ ; 𝐯⃗⃗) les points 𝑨(𝒂) 𝒆𝒕 𝑩(𝒃)tel que
( 𝐎 ;𝐮 ′ 𝐢
𝛑
⇔ 𝒛 − 𝟐√𝟔 = 𝐞 (𝒛 − 𝟐√𝟔)
𝟐
𝒂 = √𝟔 + 𝒊√𝟔 ; 𝒃 = 𝒂 ̅
Donc R est la rotation de centre 𝛀(𝟐√𝟔) et
1) Ecrire a sous forme trigonométrique 𝛑
d’angle
𝟐 𝟐 𝟐
|𝒂| = √√𝟔 + √𝟔 = √𝟏𝟐 = 𝟐√𝟑 a) Montrer que B est l’image de point A par
√𝟔 √𝟔 la rotation 𝑹
𝒂 = √𝟔 + 𝒊√𝟔 = 𝟐√𝟑 ( +𝒊 ) 𝑹(𝐀) = 𝐌′ ⇔ 𝐳′ = 𝒊𝐚 + 𝟐√𝟔(𝟏 − 𝒊)
𝟐√𝟑 𝟐√𝟑
√𝟐 √𝟐 ⇔ 𝐳′ = 𝒊(√𝟔 + 𝒊√𝟔) + 𝟐√𝟔 − 𝟐𝒊√𝟔
= 𝟐√𝟑 ( +𝒊 )
𝟐 𝟐 ⇔ 𝐳′ = 𝒊√𝟔 − √𝟔 + 𝟐√𝟔 − 𝟐𝒊√𝟔
𝝅 𝝅 ⇔ 𝐳′ = √𝟔 − 𝒊√𝟔
= 𝟐√𝟑 (𝒄𝒐𝒔 + 𝒊 𝒔𝒊𝒏 )
𝟒 𝟒
𝛑 ⇔ 𝐳′ = 𝒂
̅
= 𝟐√𝟑𝐞𝐢𝟒
⇔ 𝐳′ = 𝒃
2) Montrer que 𝒂𝟖 + 𝒃𝟖 est un nombre réel
D’où B est l’image de point A par la rotation
𝛑 ̅̅̅̅̅̅̅̅̅𝛑
On a 𝒂 = 𝟐√𝟑𝐞𝐢𝟒 et 𝒃 = 𝒂
̅ = 𝟐√𝟑𝐞𝐢𝟒 = 𝑹
𝛑
𝟐√𝟑𝐞−𝐢𝟒 donc : b) Soit c l’affixe du le point C l’image de B par
𝛑 𝛑
la rotation R Vérifier que 𝒄 = 𝟑√𝟔 − 𝒊√𝟔
𝒂𝟖 + 𝒃𝟖 = (𝟐√𝟑𝐞𝐢𝟒 )𝟖 + (𝟐√𝟑𝐞−𝐢𝟒 )𝟖
𝛑 𝛑 𝑹(𝐁) = 𝐂 ⇔ 𝐜 = 𝒊𝐛 + 𝟐√𝟔(𝟏 − 𝒊)
= (𝟐√𝟑)𝟖 𝐞𝐢𝟒×𝟖 + (𝟐√𝟑)𝟖 𝐞−𝐢𝟒×𝟖
⇔ 𝒄 = 𝒊(√𝟔 − 𝒊√𝟔) + 𝟐√𝟔 − 𝟐𝒊√𝟔
= (𝟐√𝟑)𝟖 𝐞𝟐𝛑𝐢 + (𝟐√𝟑)𝟖 𝐞−𝟐𝛑𝐢
𝟖 ⇔ 𝐜 = 𝒊√𝟔 + √𝟔 + 𝟐√𝟔 − 𝟐𝒊√𝟔
= (𝟐√𝟑) (𝒄𝒐𝒔(𝟐𝛑) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝟐𝛑))
𝟖 ⇔ 𝐜 = 𝟑√𝟔 − 𝒊√𝟔
+ (𝟐√𝟑) (𝐜𝐨𝐬(−𝟐𝛑)
⇔ 𝐜 = 𝟑√𝟔 − 𝒊√𝟔
+ 𝒊 𝒔𝒊𝒏 (−𝟐𝛑)) 𝒂−𝒃
𝟖 𝟖 c) Calculer puis en déduire la nature du
𝒄−𝒃
= (𝟐√𝟑) (𝟏 + 𝟎) + (𝟐√𝟑) (𝟏 + 𝟎)
𝟖
triangle ABC
= 𝟐(𝟐√𝟑) 𝒂−𝒃 √𝟔 + 𝒊√𝟔 − √𝟔 + 𝒊√𝟔 𝟐𝒊√𝟔
Donc que 𝒂𝟖 + 𝒃𝟖 est un nombre réel = =
𝒄 − 𝒃 𝟑√𝟔 − 𝒊√𝟔 − √𝟔 + 𝒊√𝟔 𝟐√𝟔
3) Soit R la rotaion qui transforme M(z) en 𝛑
= 𝒊 = 𝐞𝐢 𝟐
M(z’) tel que :
𝒂−𝒃 𝒂−𝒃 𝒂−𝒃
𝒛′ = 𝒊𝒛 + 𝟐√𝟔(𝟏 − 𝒊) =𝐢⇒| | = |𝐢| 𝐞𝐭 𝐚𝐫𝐠( )
𝒄−𝒃 𝒄−𝒃 𝒄−𝒃
a) Détérminer le centre et l’angle de ≡ 𝐚𝐫𝐠(𝐢)[𝟐𝛑]
rotation R |𝐚 − 𝐛| 𝒂−𝒃 𝛑
Soit 𝛀(𝛚) le centre de R donc 𝑹(𝛀) = 𝛀 ⇒ = 𝟏 𝐞𝐭 𝐚𝐫𝐠 ≡ [𝟐𝛑]
|𝐜 − 𝐛| 𝒄−𝒃 𝟐
𝑹(𝛀) = 𝛀 ⇔ 𝛚 = 𝒊𝛚 + 𝟐√𝟔(𝟏 − 𝒊) 𝐁𝐀 𝛑
⇒ =𝟏 𝐞𝐭 ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
(𝐁𝐂 𝐁𝐀) ≡ [𝟐𝛑]
⇔ 𝛚 − 𝒊𝛚 = 𝟐√𝟔(𝟏 − 𝒊) 𝐂𝐁 𝟐
𝛑
⇔ 𝛚(𝟏 − 𝒊) = 𝟐√𝟔(𝟏 − 𝒊) ⇒ 𝐁𝐀 = 𝐁𝐂 𝐞𝐭 ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
(𝐁𝐂 𝐁𝐀) ≡ [𝟐𝛑]
𝟐
⇔ 𝛚 = 𝟐 √𝟔 ⇒ 𝐋𝐞 𝐭𝐫𝐢𝐚𝐠𝐧𝐞 𝐀𝐁𝐂 𝐞𝐬𝐭 𝐢𝐬𝐨𝐜è𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐫é𝐜𝐭𝐚𝐧𝐠𝐥𝐞 𝐞𝐧 𝐁
5 23F Modèle 06
4) Soit D l’image de C par la translation T de
vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑨 𝑩 “Les trois boules sont chacune de couleur
a) Déterminer d d’affixe de point D différente’’
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑩) = 𝑪𝟏𝟐 × 𝑪𝟏𝟑 × 𝑪𝟏𝟓 = 𝟐 × 𝟑 × 𝟓
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (𝑪) = 𝐃 ⇔ 𝐂𝐃 = 𝑩𝑨
𝑻𝑩𝑨 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
= 𝟑𝟎
⇔ 𝐝=𝒂−𝒃+𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑩) 𝟑𝟎 𝟏
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑩) = = =
⇔ 𝐝 = √𝟔 + 𝒊√𝟔 − √𝟔 + 𝒊√𝟔 + 𝟑√𝟔 − 𝒊√𝟔 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟐𝟎 𝟒
𝟖
⇔ 𝐝 = 𝟑√𝟔 + 𝒊√𝟔 2) Montrer que : 𝑷(𝑪) =
𝟏𝟓
b) Montrer que le quadrilatère ABCD est un 𝑪 “Parmi les boules tirées, il y a au moins une
carré boules verte ”
On a D l’image de C par la translation T de L’événement contraire de B est 𝑪 ̅ « Aucune
vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑨 donc boule tirée n’est verte
𝑩𝑨 (𝑪) = 𝐃 ⇔ 𝐂𝐃 = 𝑩𝑨
𝑻⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑪 ̅) = 𝑪𝟑𝟖
Donc le quadrilatère ABCD est un 𝟖×𝟕×𝟔
=
paralléloramme 𝟑×𝟐
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ 𝛑 = 𝟓𝟔
De plus on a (𝐁𝐂 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐁𝐀) ≡ [𝟐𝛑] ̅)
𝟐 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑪
(
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑 𝑪 =̅ )
Donc le quadrilatère ABCD est un rectanle 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀)
De plus on a 𝐁𝐀 = 𝐁𝐂 𝟓𝟔
=
D’où Donc le quadrilatère ABCD est un 𝟏𝟐𝟎
carré 𝟕
=
Solution d’exercice 0 (2 points) 𝟏𝟓
𝑬𝒏𝒇𝒊𝒏 ∶ 𝒑(𝐂) = 𝟏 − 𝒑(𝑪 ̅)
On tire
simultanément 3 𝟕
=𝟏−
boules de ce sac 𝟏𝟓
𝟖
parmi 10 boules =
𝟏𝟓
On considère les 𝟕𝟗
3) Montrer que 𝑷(𝑫) =
événements suivants: 𝟏𝟐𝟎
1) Calculer 𝑷(𝑨) 𝒆𝒕 𝑷(𝑩) Deux couleurs obtenues dans les trois boules
L’univers 𝛀 associé à cette expérience
aléatoire est l’ensemble des combinaisons Donc l’événement contraire de 𝐃 est (𝑨 𝒐𝒖 𝐁)
de trois boules parmi dix boules
Donc 𝑷(𝑫) = 𝟏 − (𝑷(𝑨) + 𝑷(𝑩))
Donc le nombre des possibilités est
𝟏𝟎 × 𝟗 × 𝟖 𝟏𝟏 𝟑𝟎
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝑪𝟑𝟏𝟎 = = 𝟏𝟐𝟎 =𝟏−( + )
𝟑×𝟐 𝟏𝟐𝟎 𝟏𝟐𝟎
𝑨: " Les trois boules sont de la même
𝟒𝟏
couleurs” =𝟏−( )
𝟓×𝟒×𝟑 𝟏𝟐𝟎
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑨) = 𝑪𝟑𝟑 + 𝑪𝟑𝟓 = 𝟏 + = 𝟏𝟏
𝟑×𝟐 𝟕𝟗
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑨) 𝟏𝟏 =
𝟏𝟐𝟎
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑨) = =
6 23F Modèle 06
Solution du problème (8 points) 3) Déduire le signe de 𝒈(𝒙) pour tout 𝒙 ∈
A) Soit 𝒈 la fonction définie sur ]𝟎; +∞[ ]𝟎; +∞[
par 𝒈(𝒙) = 𝟏 + 𝒙 + 𝒍𝒏𝒙 On distingue deux cas ;
1) Calculer 𝐥𝐢𝐦+ 𝒈(𝒙) et 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝒙). 𝒙 ∈ ]𝟎; 𝜶] 𝒆𝒕 𝒙 ∈ [𝜶; +∞[
𝒙→𝟎 𝒙→+∞
𝐥𝐢𝐦+ 𝒈(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦+ 𝟏 + 𝒙 + 𝒍𝒏𝒙 = −∞ 𝑺𝒐𝒊𝒕 ∶ 𝒙 ∈ ]𝟎; 𝜶]
𝒙→𝟎 𝒙→𝟎 𝒙 ∈ ]𝟎; 𝜶] ⟹ 𝒙 ≤ 𝜶
𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦+ 𝟏 + 𝒙 = 𝟎 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦+ 𝒍𝒏𝒙 = −∞
𝒙→𝟎 𝒙→𝟎 𝒆𝒕 𝒈 𝒆𝒔𝒕 𝒔𝒕𝒓 𝒄𝒓𝒐𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆 𝒔𝒖𝒓]𝟎; 𝜶]
𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦 𝟏 + 𝒙 + 𝒍𝒏𝒙 = +∞ ⟹ 𝒈(𝒙) ≤ 𝒈(𝜶)
𝒙→+∞ 𝒙→+∞
𝑪𝒂𝒓 𝐥𝐢𝐦 𝟏 + 𝒙 = +∞ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 𝒍𝒏𝒙 = +∞ ⟹ 𝒈(𝒙) ≤ 𝟎
𝒙→+∞ 𝒙→+∞
𝑺𝒐𝒊𝒕 ∶ 𝒙 ∈ [𝜶; +∞[
2)a)Montrer que 𝒈 est strictement
𝒙 ∈ [𝜶; +∞[ ⟹ 𝜶 ≤ 𝒙
croissante sur ]𝟎; +∞[
𝒆𝒕 𝒈 𝒆𝒔𝒕 𝒔𝒕𝒓 𝒄𝒓𝒐𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆 𝒔𝒖𝒓[𝜶; +∞[
g est dérivable sur ]𝟎; +∞[ comme somme
⟹ 𝒈(𝜶) ≤ 𝒈(𝒙)
de deux fonctions dérivables sur ]𝟎; +∞[ et
𝟏 ⟹ 𝟎 ≤ 𝒈(𝒙)
on a ; 𝒈′ (𝒙) = 𝟏 + > 𝟎 B) Soit 𝒇 la fonction définie sur [𝟎; +∞[ par :
𝒙
𝒈 est strictement croissante sur ]𝟎; +∞[ 𝒇(𝒙) =
;𝒙 > 𝟎
b)Montrer que l’équation 𝒈(𝒙) = 𝟎 admet { 𝟏+𝒙
𝒇 (𝟎 ) = 𝟎
une unique solution 𝜶 dans ]𝟎; +∞[ et que
𝟏 𝟏 𝟏 Et (𝑪𝒇 ) sa courbe dans un repère orthonormé
< 𝜶 < . ( 𝑶𝒏 𝒅𝒐𝒏𝒏𝒆 𝒈 ( ) ≅ −𝟎, 𝟒 )
𝟓 𝟐 𝟓 (𝑶; 𝒊⃗; 𝒋⃗).(unité 2cm)
On a g est dérivable sur ]𝟎; +∞[ donc elle 1)a) Montrer que 𝒇 est continue à droite en 0.
est continue sur ]𝟎; +∞[ 𝟒 𝒙 𝒍𝒏𝒙
Et on a 𝒈 est strictement croissante sur 𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦+ =𝟎
𝒙→𝟎 𝒙→𝟎 𝟏+𝒙
]𝟎; +∞[. De plus 𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦+𝒙 𝒍𝒏𝒙 = 𝟎 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦+𝟏 + 𝒙 = 𝟏
𝒙→𝟎 𝒙→𝟎
𝒈(]𝟎 ; +∞[) = ] 𝐥𝐢𝐦+ 𝒈(𝒙) ; 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝒙)[ 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝒙) = 𝒇(𝟎)
𝒙→𝟎 𝒙→+∞ 𝒙→𝟎
= ]−∞; +∞[ Donc 𝒇 est continue à droite de 0.
Donc 𝟎 ∈ 𝒈(]𝟎; +∞[) b) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = +∞ et
𝒙→+∞
D’où l’équation 𝒈(𝒙) = 𝟎 admet une unique 𝒇(𝒙)
que 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 , puis interpréter
solution 𝜶 ∈ ]𝟎; +∞[ 𝒙→+∞ 𝒙
Vérifions que
𝟏
<𝜶<
𝟏 graphiquement le résultat.
𝟓 𝟐
On a g est continue sur [ ; ]
𝟏 𝟏 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦
𝟓 𝟐 𝒙→+∞ 𝒙→+∞ 𝟏 + 𝒙
𝟏 𝟏 𝟒 𝒙 𝒍𝒏𝒙 𝟒 𝒍𝒏𝒙
Et g est strictement croissante sur [ ; ] = 𝐥𝐢𝐦 𝟏 = 𝐥𝐢𝐦 𝟏
𝟓 𝟐 𝒙→+∞ 𝒙( + 𝟏) 𝒙→+∞ + 𝟏
𝟏 𝒙 𝒙
𝑬𝑻: 𝒈 ( ) = −𝟎, 𝟒 = +∞
𝟓
𝟏 𝟏 𝟏 𝟏 𝟏
𝒈 ( ) = 𝟏 + + 𝒍𝒏 = 𝒍𝒏(𝒆) − 𝒍𝒏 𝟐 + > 𝟎 𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦 𝒍𝒏𝒙 = +∞ = 𝐥𝐢𝐦 =𝟎
𝟐 𝟐 𝟐 𝟐 𝒙→+∞ 𝒙→+∞ 𝒙
𝟏 𝟏
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒈 ( ) × 𝒈 ( ) < 𝟎
𝟓 𝟐
𝟏 𝟏
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ <𝜶<
𝟓 𝟐
7 23F Modèle 06
𝒇(𝒙)
𝟒 𝒙 𝒍𝒏𝒙 b) Montrer que pour tout 𝒙 ∈ ]𝟎; +∞[ :
𝟏+𝒙
𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦 𝟒𝒈(𝒙)
𝒇′ (𝒙) = (𝒙+𝟏)𝟐
𝒙→+∞ 𝒙 𝒙→+∞ 𝒙
𝟒 𝒙 𝒍𝒏𝒙 On la fonction f est dérivable sur ]𝟎; +∞[
= 𝐥𝐢𝐦
𝒙→+∞ 𝒙(𝟏 + 𝒙)
comme quotient de deux fonctions dérivable
𝟒 𝒍𝒏𝒙 sur ]𝟎; +∞[
= 𝐥𝐢𝐦
𝒙→+∞ 𝟏 + 𝒙
𝐮 ′ 𝐮′ 𝐯 − 𝐮𝐯 ′
𝟒 𝒍𝒏𝒙 𝑹𝒂𝒑𝒑𝒆𝒍 ∶ ( ) = ;
= 𝐥𝐢𝐦 𝟏 𝐯 𝐯𝟐
𝒙→+∞ 𝒙( + 𝟏) 𝟏
𝒙 (𝐮𝐯)′ = 𝒖′ 𝒗 + 𝒖𝒗′ ; (𝐥𝐧 𝐱)′ =
𝟒 𝒍𝒏𝒙 𝟏 𝐱
= 𝐥𝐢𝐦 ×𝟏 ]
𝑺𝒐𝒊𝒕 𝒙 ∈ 𝟎; +∞ [
𝒙→+∞ 𝒙 +𝟏
𝒙 𝒇′ (𝒙)
=𝟎 𝟏
(𝟒𝒍𝒏 𝒙 + 𝟒𝒙 × ) (𝒙 + 𝟏) − (𝟒𝒙𝒍𝒏 𝒙 × 𝟏)
𝒍𝒏𝒙 𝟏 = 𝒙
𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 (𝒙 + 𝟏 )𝟐
𝒙→+∞ 𝒙 𝒙→+∞ 𝒙
Interprétation géométrique : (𝟒𝒍𝒏 𝒙 + 𝟒)(𝒙 + 𝟏) − 𝟒𝒙𝒍𝒏 𝒙
𝒇′ (𝒙) =
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = +∞ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦
𝒇(𝒙)
=𝟎 (𝒙 + 𝟏 )𝟐
𝒙→+∞ 𝒙→+∞ 𝒙 𝟒𝒙𝒍𝒏 𝒙 + 𝟒𝒍𝒏 𝒙 + 𝟒𝒙 + 𝟒 − 𝟒𝒙𝒍𝒏 𝒙
Donc la courbe (𝐂𝐟) admet une branche 𝒇′ (𝒙) =
(𝒙 + 𝟏 )𝟐
parabolique suivant l’axe des abscisses au 𝟒𝒍𝒏 𝒙 + 𝟒𝒙 + 𝟒
voisinage de +∞ 𝒇′ (𝒙) =
(𝒙 + 𝟏 )𝟐
𝒇(𝒙)
2)a) Montrer que 𝐥𝐢𝐦+ = +∞ , puis 𝟒(𝒍𝒏 𝒙 + 𝒙 + 𝟏)
𝒙→𝟎 𝒙 𝒇′ (𝒙) =
interpréter le résultat géom (𝒙 + 𝟏 )𝟐
𝟒 𝒙 𝒍𝒏𝒙 𝟒𝒈(𝒙)
𝒇(𝒙) 𝒇′ (𝒙) =
𝐥𝐢𝐦+ = 𝐥𝐢𝐦+ 𝟏+𝒙 (𝒙 + 𝟏 )𝟐
𝒙→𝟎 𝒙 𝒙→𝟎 𝒙 𝟒𝒈(𝒙)
𝟒 𝒍𝒏𝒙 D’où pour tout 𝒙 ∈ ]𝟎; +∞[ : 𝒇′ (𝒙) = (𝒙+𝟏)𝟐
= 𝐥𝐢𝐦+
𝒙→𝟎 𝟏 + 𝒙 c) Déduire que 𝒇 est strictement croissante
= −∞ sur l’intervalle [𝜶; +∞[ et strictement
𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦+𝒍𝒏𝒙 = −∞ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦+ 𝟏 + 𝒙 = 𝟏
𝒙→𝟎 𝒙→𝟎
𝟒𝒈(𝒙)
𝒇(𝒙) 𝒇(𝒙) − 𝒇(𝟎) On a : pour tout 𝒙 ∈ ]𝟎; +∞[ : 𝒇′ (𝒙) = (𝒙+𝟏)𝟐
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝐥𝐢𝐦+ = 𝐥𝐢𝐦+ = −∞
𝒙→𝟎 𝒙 𝒙→𝟎 𝒙−𝟎 et (𝒙 + 𝟏)𝟐 > 𝟎
Donc f n’est pas dérivable à droite de 0
Donc le signe de 𝒇′ est le signe de g sur
]𝟎; +∞[
Et on a d’après la partie A) le signe de g sur
la courbe (𝐂𝐟) admet une demis tangente
]𝟎; +∞[
verticale au point A(0 ;0) dirigée vers le bas
Donc 𝒇 est strictement croissante sur

l’intervalle [𝜶; +∞[ et strictement
8 23F Modèle 06
d) Montrons que 𝒇(𝜶) = −𝟒𝜶 b) Etudier le signe de 𝟏 − 𝒙𝟐 et −𝟐𝒙 𝒍𝒏𝒙 sur
𝟒 𝜶 𝒍𝒏𝜶 ]𝟎; +∞[ et en déduire que le point d’abscisse
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒇(𝜶) =
𝟏+𝜶 1 est l’unique point d’inflexion de (𝑪𝒇 ).
Et d’après la partie A) le 𝜶 est solution de Il est clair que le signe de 𝒇′′ dépond de signe
l’équation 𝒈(𝒙) = 𝟎
de 𝟏 − 𝒙𝟐 − 𝟐𝒙𝒍𝒏𝒙
Donc 𝒈(𝜶) = 𝟎 donc 𝟏 + 𝜶 + 𝒍𝒏(𝜶) = 𝟎 1ère méthode
donc 𝟏 + 𝜶 = −𝒍𝒏(𝜶)
On a : 𝟏 − 𝒙𝟐 = 𝟎 ⟹ 𝒙𝟐 = 𝟏 ⟹ 𝒙 = 𝟏
𝟒 𝜶 𝒍𝒏𝜶 𝟒 𝜶 𝒍𝒏𝜶
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒇(𝜶) = = = −𝟒𝜶 Et on a : −𝟐𝒙 𝒍𝒏𝒙 = 𝟎 ⟹ 𝒍𝒏𝒙 = 𝟎 ⟹ 𝒙 = 𝟏
𝟏+𝜶 −𝒍𝒏(𝜶)
on dresse le tableau de signe de 𝟏 − 𝒙𝟐 et
On dresse le tableau de variations de 𝒇
−𝟐𝒙 𝒍𝒏𝒙 sur ]𝟎 ; +∞[
𝑺𝒐𝒊𝒕 𝒙 ∈ ]𝟎; 𝟏]
3)a) Montrer que pour tout 𝒙 ∈ ]𝟎; +∞[ : Donc 𝟏 − 𝒙𝟐 − 𝟐𝒙𝒍𝒏𝒙 ≥ 𝟎
𝟐
𝒇′′ (𝒙) =
𝟒(𝟏−𝒙 −𝟐𝒙𝒍𝒏𝒙) Donc 𝒇′′ (𝒙) ≥ 𝟎
𝒙(𝒙+𝟏) 𝟑
𝑺𝒐𝒊𝒕 𝒙 ∈ [𝟏; +∞[
𝐮 ′ 𝐮′ 𝐯 − 𝐮𝐯 ′
𝑹𝒂𝒑𝒑𝒆𝒍 ∶ ( ) = ; Donc 𝟏 − 𝒙𝟐 − 𝟐𝒙𝒍𝒏𝒙 ≤ 𝟎
𝐯 𝐯𝟐
𝟏 Donc 𝒇′′ (𝒙) ≤ 𝟎
(𝐮𝒏 )′ = 𝒏𝒖′ 𝐮𝒏−𝟏 ; (𝐥𝐧 𝐱)′ = D’où la fonction 𝒇′′ s’annule et change de
𝐱
𝟒(𝒍𝒏 𝒙 + 𝒙 + 𝟏) signe en 1
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒇′ (𝒙) =
(𝒙 + 𝟏 )𝟐 Donc le point d’abscisse 1 est l’unique point
𝑫𝒐𝒏𝒄: 𝒇 𝒙 ′′ ( ) d’inflexion de (𝑪𝒇 ).
𝟒 ( + 𝟏) (𝒙 + 𝟏)𝟐 − 𝟒(𝒍𝒏 𝒙 + 𝒙 + 𝟏) × 𝟐 × 𝟏 ×2(𝒙 ème méthode
𝟏
+ 𝟏)𝟏
𝒙
= 𝒙 ∈ ]𝟎; 𝟏] ⟹ 𝒙𝟐 ≤ 𝟏 ⟹ 𝟏 − 𝒙𝟐 ≥ 𝟎
(𝒙 + 𝟏 )𝟒
𝟏 𝒙 ∈ ]𝟎; 𝟏] ⟹ −𝟐𝒙 ≤ 𝟎 𝒆𝒕 𝒍𝒏(𝒙) ≤ 𝟎 ⟹ −𝟐𝒙𝒍𝒏𝒙
𝟒 ( + 𝟏) (𝒙 + 𝟏)𝟐 − 𝟖(𝒍𝒏 𝒙 + 𝒙 + 𝟏)(𝒙 + 𝟏)
= 𝒙 ≥𝟎
(𝒙 + 𝟏 ) 𝟒
Donc ∀𝒙 ∈ ]𝟎; 𝟏] ∶ 𝟏 − 𝒙𝟐 − 𝟐𝒙𝒍𝒏𝒙 ≥ 𝟎
𝟏
𝟒 ( + 𝟏) (𝒙 + 𝟏) − 𝟖(𝒍𝒏 𝒙 + 𝒙 + 𝟏)
𝒙
𝒙 ∈ [𝟏; +∞[ ⟹ 𝒙𝟐 ≥ 𝟏 ⟹ 𝟏 − 𝒙𝟐 ≤ 𝟎
= 𝒙 ∈ [𝟏; +∞[ ⟹ −𝟐𝒙 ≤ 𝟎 𝒆𝒕 𝒍𝒏(𝒙) ≥ 𝟎
(𝒙 + 𝟏 )𝟑
𝟒(𝟏+𝒙)𝟐 𝟐
𝟐 𝒙 𝒍𝒏 𝒙+𝟐 𝒙 +𝟐𝒙 ⟹ −𝟐𝒙𝒍𝒏𝒙 ≤ 𝟎
− 𝟒( )
= 𝒙 𝒙 Donc ∀𝒙 ∈ [𝟏; +∞[ ∶ 𝟏 − 𝒙𝟐 − 𝟐𝒙𝒍𝒏𝒙 ≤ 𝟎
(𝒙 + 𝟏 ) 𝟑
𝟐 𝟐
D’où la fonction 𝒇′′ s’annule et change de
[
𝟒 𝒙 + 𝟐𝒙 + 𝟏 − (𝟐 𝒙 𝒍𝒏 𝒙 + 𝟐 𝒙 + 𝟐𝒙) ]
= signe en 1
𝒙 (𝒙 + 𝟏 )𝟑
𝑫𝒐𝒏𝒄: 𝒇′′ (𝒙)
𝟒[ 𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟏 − 𝟐 𝒙 𝒍𝒏 𝒙 − 𝟐 𝒙𝟐 − 𝟐𝒙)]
=
𝒙(𝒙 + 𝟏)𝟑
𝟒(𝟏 − 𝒙𝟐 − 𝟐𝒙𝒍𝒏𝒙)
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒇′′ (𝒙) =
𝒙 (𝒙 + 𝟏 )𝟑
9 23F Modèle 06
c)Donner l’équation de la tangente (𝑻) C) Soit 𝒉 la restriction de 𝒇 sur l’intervalle
à (𝑪𝒇 )au point d’abscisse1 [𝜶; +∞[.
(𝐓): 𝒚 = 𝒇′ (𝟏)(𝒙 − 𝟏) + 𝒇(𝟏) Donc ∀ 𝒙 ∈ [𝜶; +∞[ ∶ 𝒉(𝒙) = 𝒇(𝒙)
𝒚 = 𝟐 × (𝒙 − 𝟏 ) + 𝟎 ,
Donc (𝐓): 𝒚 = 𝟐𝒙 − 𝟐 1) Montrer que 𝒉 admet une fonction
4) Tracer (𝑻) et (𝑪𝒇 ) dans le repère réciproque 𝒉−𝟏 définie 𝑱 à déterminer
(𝑶; 𝒊⃗; 𝒋⃗).( on donne 𝜶 ≈ 𝟎. 𝟐𝟓) ➢ f est dérivable sur ]𝟎, +∞[ donc elle est
On a 𝜶 ≈ 𝟎. 𝟐𝟓 donc 𝒇(𝜶) = −𝟒𝜶 ≈ −𝟏 continue sur ]𝟎, +∞[

On particulier sur [𝜶; +∞[ donc h est
continue sur [𝜶; +∞[.
➢ La fonction f est strictement croissante

sur ]𝜶, +∞[
Donc la fonction h est str croissante sur
]𝜶, +∞[
Donc f admet une fct réciproque

𝐟 −𝟏 ,définie sur 𝐉 = 𝐡([𝜶; +∞[)
𝐉 = 𝐡([𝜶; +∞[) = [𝒉(𝜶 ); 𝐥𝐢𝐦 𝒉(𝒙)[

𝒙→+∞
= ]−𝟒𝜶, +∞[
2) Montrer que 𝒉−𝟏 est dérivable en 𝟎 puis
Calculer (𝒉−𝟏 )′ (𝟎).
On a : 𝒉(𝟏) = 𝟎 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝒉−𝟏 (𝟎) = 𝟏
La fonction h est dérivable en 1 et on a :

𝒉′(𝟏) = 𝟐 ≠ 𝟎
Donc la fonction 𝒉−𝟏 est dérivable en 0 et on
a:
𝟏 𝟏
(𝒉−𝟏 )′ (𝟎) = =
𝒉′(𝟏) 𝟐
10
*****7
Prof
Fayssal



Nombres complexes.
Exercice 3 4 points
Exercice 3 2 points
Problème 8 points
intégral

M5-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
On considère la suite (𝒖𝒏 )𝒏∈ℕ définie par :
𝟓𝒖𝒏
𝒖𝟎 = 𝟐 et 𝒖𝒏+𝟏 = pour tout 𝒏 ∈ ℕ.
𝟐𝒖𝒏 +𝟑
0,25 1) Calculer 𝒖𝟏
0,5
2) Montrer par récurrence que: (∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝒖𝒏 − 𝟏 > 𝟎 .
0,5 3) Montrer que : ∀𝒏 ∈ ℕ; 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏 − 𝟏)
𝟑
𝟓
0,75 4) En déduire que la suite (𝒖𝒏 )𝒏∈𝑰𝑵 est décroissante puis qu’elle est convergente.
𝟑 𝒏
0,5 5) Montrer que: (∀𝒏 ∈ ℕ); 𝒖𝒏 − 𝟏 ≤ ( ) .
𝟓
0,25 6) En déduire 𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 .
𝒏→+∞
0,25 7) On considère la suite (𝒗𝒏 )𝒏∈ℕ définie par : 𝒗𝒏 = 𝒆𝒖𝒏 + 𝒍𝒏(𝒖𝒏 ) pour tout 𝒏 ∈ ℕ
⃗⃗ )
Soient les points 𝑨 (𝟏 𝟐 ; 𝟑) ; 𝑩 (𝟐 ; 𝟏 ; 𝟑) ; 𝑪 (𝟐 ; −𝟐 ; 𝟎) ;
𝑫 (𝟐 ; 𝟎 ; 𝟐) 𝒆𝒕 𝑬(−𝟒 ; 𝟔 ; 𝟐) et (S) l’ensemble des points M(x ;y ;z) tels que :

𝒙(𝒙 − 𝟐) − 𝒚(𝟐 − 𝒚) + 𝒛(𝒛 − 𝟖) + 𝟏𝟒 = 𝟎

b) Montrer que ⃗⃗⃗⃗
𝒏 (𝟏; 𝟏; −𝟏) est un vecteur normal au plan (ABC)
0,25
0,25 c) Vérifier que 𝒙 + 𝒚 − 𝒛 = 𝟎 est une équation cartésienne du plan (𝑨𝑩𝑪)
2) a) Montrer que (S) est une sphère de centre 𝜴(𝟏 ; 𝟏 ; 𝟒) et de rayon R=2
0,5
b) Calculer d (Ω ; (ABC)) et déduire que le plan (ABC) coupe (S) suivant un cercle
0,5 de rayon r à déterminer
0,5 c) Déterminer le triplet de coordonnées du point H centre du cercle (C)
3) a) Déterminer une représentation paramétrique de la droite (DE)

0,25
b) Montrer que la droite (DE) est tangente à la sphère (S) en un point K en
0,5 déterminant leurs coordonnées
M5-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
0,25 A) 1) On pose : 𝐮 = 𝟏 − √𝟐 − 𝐢 , Vérifier que |𝐮| = √𝟒 − 𝟐√𝟐
0,5
2) Montrer que (𝟏 + 𝐢)𝐮 = −√𝟐 × 𝐮 ̅
0,5 𝟑𝝅
3) Déduire que 𝟐 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ [𝟐𝝅]
𝟒
B) On considère 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬 𝐄 ; F et G d’affixes respectifs :

𝐳𝐄 = 𝟏 + 𝐢 𝐞𝐭 𝐳𝐅 = 𝟏 − 𝐢 et 𝐳𝐆 = −𝐢√𝟑
1) Soit N l’image de F par l’homothétie h de centre G et de rapport 2 , montrer que :
0,5 𝐳𝐍 = 𝟐 + 𝐢 (√𝟑 − 𝟐)
𝛑
2) R la rotation de centre O et d’angle et A l’image du point G et C est l’image de N
𝟐
0,5 par R , Montrer que : 𝐳𝐀 = √𝟑 et 𝐳𝐂 = 𝟐 − √𝟑 + 𝟐𝐢

3) T la translation de vecteur 𝐮
⃗⃗ d’affixe 𝟐𝐢 et B l’image du point N et D est l’image de
0,5 G par T, Montrer que : 𝐳𝐁 = 𝟐 + 𝐢√𝟑 et 𝐳𝐃 = (𝟐 − √𝟑)𝐢
0,5 4)a) Montrer que E est le milieu de [𝐀𝐂] et [𝐁𝐃]
0,75 b) Vérifier que 𝐳𝐂 −𝐳𝐄
= 𝐢 ; puis en déduire que quadrilatère ABCD est un losange
𝐳𝐁 −𝐳𝐄
Un sac 𝑺𝟏 contient 4 boules rouges et 2 boules noires.
Un sac 𝑺𝟐 contient 2 boules rouges et une boule noire.
Toutes les boules sont indiscernables au toucher.
1) On tire successivement et sans remise trois boules de 𝑺𝟏
a) Calculer 𝑷(𝑨) , où 𝑨 ‘’ Obtenir trois boules rouge ”
0,25
b) Calculer 𝑷(𝑩) , où 𝑩 “Obtenir au plus deux boule rouge ‘’
0,25
2) Maintenant on choisit au hasard l’un des sacs, puis on en tire une boule de ce sac.
On considère les événements :
𝑺𝟏 : « choisir le sac 𝑺𝟏 » ; 𝑺𝟐 : « choisir le sac 𝑺𝟐 »
𝑹 : « Obtenir une boule rouge »
𝑵 : « Obtenir une boule noire ».
0,5 a) Calculer la probabilité de choisir le sac 𝑺𝟏 et obtenir une une boule rouge.
0,5 b) Calculer la probabilité d’obtenir une boule rouge.
0,5 c) Sachant que la boule tirée est noire, quelle est la probabilité qu’elle soit tirée du
sac 𝑺𝟏 ?
‫فرنسي‬
Soit f une fonction définit sur ℝ∗ par :
𝟏
𝒇(𝐱) = 𝐞𝒙−𝟏 ∶𝒙<𝟏
{ 𝒙
𝒇(𝒙) = 𝟏 − (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 ; 𝒙 ≥ 𝟏
(𝑪𝒇 ) Est la courbe représentative de f dans un repère orthonormé (𝑶; 𝒊⃗; 𝒋⃗) d’unité
1cm
0,5
1) Montrer que la fonction f est continue en 1
0,5
2) Calculer 𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦−𝒇(𝐱) puis interpréter les résultats géométriquement
𝐱→𝟎 𝐱→𝟎
3) a) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) puis interpréter le résultat géométriquement
𝐱→−∞
0,5 𝐟(𝐱)
b) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) et montrer que 𝐥𝐢𝐦 =𝟎
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝐱
0,75 (𝑻𝒖 𝒑𝒆𝒖𝒙 𝒑𝒐𝒔𝒆𝒓 𝒕 = √𝒙)

0,25 c) Déduire la branche infinie de (𝑪𝒇 ) au voisinage de +∞
4) a) Montrer que f est dérivable au point d’abscisse 1 et que 𝒇’(𝟏) = 𝟎
0,5 (𝐱−𝟏)𝐞𝒙−𝟏
b) Montrer que : (∀𝐱 ∈ ]−∞; 𝟏[ − {𝟎}): 𝐟 ′ (𝐱) =
0,5 𝒙𝟐
−𝟐𝒍𝒏 𝒙
et que (∀𝐱 ∈ ]𝟏; +∞[): 𝐟 ′ (𝐱) =
𝒙
0,5 c) Dresser le tableau de variation de f sur ℝ∗ en justifiant votre réponse
0,5 4) a) Justifier que le point A(1 ;1) est un point d’inflexion de la courbe (𝐂 )
𝐟
0,5 b) Montrer que et que (∀𝐱 ∈ ]𝟏 ; +∞[) :
𝟐 (𝒍𝒏(𝒙) − 𝟏)
𝐟 ′′ (𝐱) =
𝒙𝟐
0,5 c) Montrer que 𝑩(𝒆; 𝟎) est un point inflexion de (𝐂𝐟 )
5) Soit g la restriction de la fonction f sur 𝑰 = ]𝟏; +∞[

0,5 a) Montrer que g admet une fonction réciproque 𝒈−𝟏 définie sur 𝑱 (à déterminer)
b) Déterminer 𝒈−𝟏 (𝒙) pour tout 𝒙 ∈ ]𝟏; +∞[
0,5
6) Tracer (𝐂𝐟 ) et (𝐂𝒈−𝟏 ) dans le repère orthonormé (𝐎 ; ⃗𝐢 ; ⃗𝐣)
1
7)a) Montrer 𝑯: 𝒙 ⟼ 𝒙𝒍𝒏 (𝒙) − 𝒙 est une primitive de la fonction 𝒉: 𝒙 ⟼ 𝒍𝒏 (𝒙)
0,5
sur ]𝟏; +∞[ puis en déduire que:
𝒆
∫ 𝒍𝒏 (𝒙) 𝒅𝒙 = 𝟏
𝟏
b) Par une intégration par partie montrer que:
𝒆
0,5 ∫ (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 𝒅𝒙 = 𝐞 − 𝟐
𝟏
c) Calculer, en 𝒄𝒎 , l’aire du domaine limité par la courbe(𝑪𝒇 ), la droite (𝐎𝐱)
𝟐
0,5 et les droites d’équations

𝒙 = 𝟏 et 𝒙 = 𝒆 .
1 23F Modèle 07
Solution d’exercice 01 (3 points) 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟏)(𝟐 − 𝟐𝒖𝒏 )
=
On considère la suite (𝒖𝒏 )𝒏∈ℕ définie par : 𝒖𝒏 + 𝟐
𝒖𝟎 = 𝟐 et 𝒖𝒏+𝟏 =
𝟓𝑼𝒏
pour 𝟔(𝒖𝒏 − 𝟏)(𝟏 − 𝒖𝒏 )
𝟐𝑼𝒏 +𝟑 =
𝟓(𝟐𝒖𝒏 + 𝟑)
tout 𝒏 ∈ ℕ.
Et on a 𝒖𝒏 − 𝟏 > 𝟎 donc 𝟏 − 𝒖𝒏 < 𝟎 et
1) Calculer 𝒖𝟏
𝟓(𝟐𝒖𝒏 + 𝟑) > 𝟎
𝟓𝑼𝟎 𝟓×𝟐 𝟏𝟎 𝟔(𝒖𝒏 −𝟏)(𝟏−𝒖𝒏 )
𝒖𝟏 = = = Donc ≤ 𝟎;
𝟐𝑼𝟎 + 𝟑 𝟐 × 𝟐 + 𝟑 𝟕 𝟓(𝟐𝒖𝒏 +𝟑)
2) Montrer par récurrence que: (∀𝒏 ∈ 𝟑
Donc 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 − (𝒖𝒏 − 𝟏) ≤ 𝟎
𝟓
ℕ) ; 𝒖𝒏 − 𝟏 > 𝟎 . 𝟑
D’où (∀𝒏 ∈ ℕ); 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏 − 𝟏)
➢ Pour n=0 on a 𝒖𝟎 − 𝟏 = 𝟐 − 𝟏 = 𝟏 > 𝟎 , 𝟓
qui est vraie 2ème méthode : (l’encadrement)

➢ Soit n un entier naturel, 𝑶𝒏 𝒂 𝒅′ 𝒂𝒑𝒓é𝒔𝒍𝒂 𝒒𝒖𝒆𝒔𝒕𝒊𝒐𝒏 𝟏) ∶ 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏
Supposons que 𝒖𝒏 − 𝟏 > 𝟎 et montrons 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟏)
=
que 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 > 𝟎. 𝟐𝑼𝒏 + 𝟑
𝟓𝑼𝒏 En a 𝒖𝒏 ≥ 𝟏 c-à-dire 𝟐𝒖𝒏 ≥ 𝟐 donc 𝟐𝒖𝒏 + 𝟑 ≥
𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 = −𝟏 𝟓
𝟐𝑼𝒏 + 𝟑
𝟓𝑼𝒏 − (𝟐𝒖𝒏 + 𝟑) 𝟏 𝟏
= 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ ≤ 𝒆𝒕 𝒐𝒏 𝒂 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟏) > 𝟎
𝟐𝑼𝒏 + 𝟑 𝟐𝒖𝒏 + 𝟑 𝟓
𝟑𝒖𝒏 − 𝟑 𝟏 𝟏
= 𝐃’𝐨ù: × 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟏) ≤ × 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟏)
𝟐𝑼𝒏 + 𝟑 𝟐𝒖𝒏 + 𝟑 𝟓
𝟑(𝒖𝒏 − 𝟏) 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟏) 𝟑
= 𝑫𝑶𝑵𝑪: ≤ ( 𝒖𝒏 − 𝟏 )
𝟐𝑼𝒏 + 𝟑 𝟐𝑼𝒏 + 𝟑 𝟓
𝟑
On a 𝒖𝒏 − 𝟏 > 𝟎 donc 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟏) > 𝟎 D’où 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏 − 𝟏)
𝟓
Et on a 𝒖𝒏 > 𝟏 donc 𝟐𝒖𝒏 + 𝟑 > 𝟓 donc 3) En déduire que la suite (𝒖𝒏 )𝒏∈𝑰𝑵 est
𝟐𝒖𝒏 + 𝟑 > 𝟎 décroissante puis qu’elle est convergente.
𝟑(𝒖𝒏 −𝟏)
Donc > 𝟎 donc 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 > 𝟎 Soit n un entier naturel,
𝟐𝑼𝒏 +𝟑
𝟑
D'après le principe de récurrence, on a : On a 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏 − 𝟏) et 𝒖𝒏 − 𝟏 > 𝟎
𝟓
𝟑
(∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝒖𝒏 − 𝟏 > 𝟎 Donc 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏 − 𝟏) ≤ 𝒖𝒏 − 𝟏
𝟓
1) Montrer que : Donc 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ 𝒖𝒏 − 𝟏
𝟑
2) ∀𝒏 ∈ ℕ; 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏 − 𝟏) Donc 𝒖𝒏+𝟏 ≤ 𝒖𝒏
𝟓
D’où la suite (𝒖𝒏 )𝒏∈𝑰𝑵 est décroissante
On a la suite (𝒖𝒏 )𝒏∈𝑰𝑵 est décroissante et
1ère méthode : ( la différence)
minorée par 1 donc elle est convergente
𝟑
𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 − (𝒖𝒏 − 𝟏)
𝟓
𝟑(𝒖𝒏 − 𝟏) 𝟑
= − (𝒖𝒏 − 𝟏 )
𝟐𝑼𝒏 + 𝟑 𝟓
𝟏 𝟏
= 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟏)( − )
𝟐𝒖𝒏 + 𝟑 𝟓
𝟓 − 𝟐𝒖𝒏 − 𝟑
= 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟏)( )
𝟓(𝟐𝒖𝒏 + 𝟑)
2 23F Modèle 07
𝟑 𝒏 5) En déduire 𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 .
4) Montrer que: (∀𝒏 ∈ ℕ); 𝒖𝒏 − 𝟏 ≤ ( ) . 𝒏→+∞
𝟓
1ère méthode : (par récurrence) On a (∀𝒏 ∈ ℕ); 𝒖𝒏 − 𝟏 > 𝟎
➢ Pour n=0 on a 𝟑 𝒏
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ (∀𝒏 ∈ ℕ); 𝟎 < 𝒖𝒏 − 𝟏 ≤ ( )
𝟑 𝟎 𝟓
𝒖𝟎 − 𝟏 = 𝟐 − 𝟏 = 𝟏 ≤ ( ) = 𝟏 𝟑
𝟓
𝑬𝒕 𝒐𝒏 𝒂 ∶ −𝟏 < < 𝟏
La propriété est donc vraie pour n = 0 𝟓
𝒏
➢ Soit n un entier naturel, 𝟑
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝐥𝐢𝐦 ( ) = 𝟎
𝟑 𝒏 𝒏→+∞ 𝟓
Supposons que 𝒖𝒏 − 𝟏 ≤ ( ) montrons que
𝟓 Donc d’prés théorème d’encadrement on a :
𝟑 𝒏+𝟏 𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 − 𝟏 = 𝟎
𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ ( ) . 𝒏→+∞
𝟓
𝟑 𝒏 D’où 𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 = 𝟏
On a 𝒖𝒏 − 𝟏 ≤ ( ) 𝒏→+∞
𝟓
6) On considère la suite (𝒗𝒏 )𝒏∈ℕ définie par :
𝟑 𝟑 𝒏+𝟏
Donc (𝒖𝒏 − 𝟏) ≤ ( ) 𝒗𝒏 = 𝒆𝒖𝒏 + 𝒍𝒏(𝒖𝒏 ) pour tout 𝒏 ∈ ℕ
𝟓 𝟓
Et on a d’aprés la question précédente La fonction 𝒙 ⟼ 𝒆𝐱 + 𝒍𝒏(𝐱) est continue en 1
𝟑
𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏 − 𝟏) car c’est une somme de deux fonctions
𝟓
continues en 1 et on a 𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 = 𝟏
𝟑 𝟑 𝒏+𝟏 𝒏→+∞
Donc 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏 − 𝟏) ≤ ( )
𝟓 𝟓 Donc 𝐥𝐢𝐦 𝒗𝒏 = 𝒆 + 𝒍𝒏(𝟏) = 𝐞
𝟏
𝒏→+∞
𝟑 𝒏+𝟏
Donc 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ ( ) Solution d’exercice 02 (3 points)
𝟓
D'après le principe de récurrence, on a L’espace est menu d’un repère orthonormé
𝟑 𝒏 ⃗⃗ ), Soient les points
(O,𝒊⃗ , 𝒋⃗,𝒌
(∀𝒏 ∈ ℕ); 𝒖𝒏 − 𝟏 ≤ ( )
𝟓
𝑨 (𝟏 𝟐 ; 𝟑) ; 𝑩 (𝟐 ; 𝟏 ; 𝟑) ; 𝑪 (𝟐 ; −𝟐 ; 𝟎) ;
2ème méthode :
𝟑
𝑫 (𝟐 ; 𝟎 ; 𝟐) 𝒆𝒕 𝑬(−𝟒 ; 𝟔 ; 𝟐) et (S) l’ensemble
On a ; (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏 − 𝟏) des points M(x ;y ;z) tels que :
𝟓
𝟑
Pour n=0 on a : 𝒖𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝟎 − 𝟏) 𝒙(𝒙 − 𝟐) − 𝒚(𝟐 − 𝒚) + 𝒛(𝒛 − 𝟖) + 𝟏𝟒 = 𝟎
𝟓
𝟑 1) a) Montrer que les points A ; B et C ne sont
Pour n=1 on a : 𝒖𝟐 − 𝟏 ≤ (𝒖𝟏 − 𝟏)
𝟓
pas alignés
….
𝟑 𝟏 𝟏
Pour n-2 on a : 𝒖𝒏−𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏−𝟐 − 𝟏) ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝟓 On a 𝑨𝑩 (−𝟏) et 𝑨𝑪 (−𝟒), donc
𝟑
Pour n-1 on a : 𝒖𝒏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏−𝟏 − 𝟏) 𝟎 −𝟑
𝟓
−𝟏 − 𝟒
On multiplie les inégalités terme à terme Donc ∆𝒙 = | |=𝟑≠𝟎
𝟎 −𝟑
car sont positives, on trouve : Donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
(𝒖𝟏 − 𝟏)(𝒖𝟐 − 𝟏) … (𝒖𝒏 − 𝟏) colinéaires donc A et B et C ne sont pas alignes
𝟑 𝟑 𝟑
≤ (𝒖𝟎 − 𝟏) (𝒖𝟏 − 𝟏) … (𝒖𝒏−𝟏 − 𝟏) D’où les points A et B et C forment un plan
𝟓 𝟓 𝟓 b) Montrer que ⃗⃗⃗⃗ 𝒏 (𝟏; 𝟏; −𝟏) est un vecteur
𝟑 𝒏
C-à-dire : 𝒖𝒏 − 𝟏 ≤ ( ) (𝒖𝟎 − 𝟏) . D’où normal au plan (ABC)
𝟓
𝟑 𝒏 𝑨𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
(∀𝒏 ∈ ℕ); 𝒖𝒏 − 𝟏 ≤ ( )
𝟓
donc sont des vecteurs directeurs du plan
(ABC) donc il suffit de montrer que :
𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗ 𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
3 23F Modèle 07
𝟏 𝟏 Donc l’ensemble (𝐒) est une sphère de centre
⃗⃗⃗⃗. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝒏 𝑨𝑩 = ( 𝟏 ) . (−𝟏) = 𝟏 − 𝟏 = 𝟎 𝐚 𝐛 𝐜
𝛀(− ; − ; − )
−𝟏 𝟎 𝟐 𝟐 𝟐
𝑫𝒐𝒏𝒄 ⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗

𝒏 ⊥ 𝑨𝑩 Donc 𝛀(𝟏; 𝟏; 𝟒) et de rayon
𝟏 𝟏 √ 𝐚𝟐 + 𝐛 𝟐 + 𝐜 𝟐 − 𝟒𝐝 √ 𝟏𝟔 𝟒
⃗⃗⃗⃗. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝒏 𝑨𝑪 = ( 𝟏 ) (−𝟒) = 𝟏 − 𝟒 − 𝟑 = 𝟎 𝐫= = = =𝟐
𝟐 𝟐 𝟐
−𝟏 −𝟑 b) Calculer d (Ω ; (ABC)) et déduire que le
𝑫𝒐𝒏𝒄 ⃗⃗⃗⃗ 𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪 plan (ABC) coupe (S) suivant un cercle (𝐂) de
b) En déduire que 𝒙 + 𝒚 − 𝒛 = 𝟎 est une rayon r à déterminer
équation cartésienne du plan (𝑨𝑩𝑪) On a (𝐀𝐁𝐂): 𝐱 + 𝐲 − 𝐳 = 𝟎 et 𝛀(𝟏; 𝟏; 𝟒) donc :
| 𝟏 + 𝟏 − 𝟒| |−𝟐| 𝟐
Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑨𝑩𝑪) 𝐝(Ω; (𝐀𝐁𝐂) = = =
𝟏 √𝟏𝟐 + 𝟏𝟐 + (−𝟏)𝟐 √𝟑 √𝟑
On a le vecteur 𝒏 ⃗⃗ ( 𝟏 ) est normale au plan Donc 𝐝(Ω; (𝐀𝐁𝐂) =
𝟐
<𝑹=𝟐
−𝟏 √𝟑
(𝑨𝑩𝑪) D’où le plan (ABC) coupe la sphère (S) suivant

Donc (𝑨𝑩𝑪): 𝟏 × 𝒙 + 𝟏 × 𝒚 − 𝟏 × 𝒛 + 𝒅 = 𝟎 un cercle de rayon r et : 𝐫 = √𝐑𝟐 − 𝐝𝟐 =
est une équation cartésienne de (ABC) 𝟐 𝟒 𝟖
√𝟐𝟐 − ( )𝟐 = √𝟒 − 𝟑 = √𝟑
Donc (𝑨𝑩𝑪): 𝒙 + 𝒚 − 𝒛 + 𝒅 = 𝟎 √𝟑
Et on a 𝑨(𝟏; 𝟐 ; 𝟑) ∈ (𝑨𝑩𝑪) donc on remplace c) Déterminer les coordonnées du point H

les coordonnées de A centre du cercle (C)
Donc 𝟏 × 𝟑 + 𝟏 × 𝟐 − 𝟏 × 𝟑 + 𝒅 = 𝟎 La droite (Ω𝐇) et perpendiculaire au plan
𝟏
Donc 𝟎 + 𝒅 = 𝟎 donc 𝒅 = 𝟎 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
(𝐀𝐁𝐂) donc le vecteur (𝐀𝐁 𝐀𝐂)(𝟏; 𝟏; −𝟏)
𝟑
Donc (𝑨𝑩𝑪) : 𝒙 + 𝒚 − 𝒛 = 𝟎 est directeur à la droite (Ω𝐇)
2) a) Montrer que (S) est une sphère de Soit 𝐌(𝐱; 𝐲; 𝐳) ∈ ((Ω𝐇))
centre 𝛀(𝟏 ; 𝟏 ; 𝟒) et de rayon R=2 𝐱=𝟏+𝐭
1ère méthode : (𝐭 ∈ 𝐈𝐑)
Donc ((Ω𝐇)): {𝐲 = 𝟏 + 𝐭 , est une
𝐱(𝐱 − 𝟐) − 𝐲(𝟐 − 𝐲) + 𝐳(𝐳 − 𝟖) + 𝟏𝟒 = 𝟎 𝐳=𝟒−𝐭
Donc 𝐱 𝟐 − 𝟐𝐱 + 𝐲 𝟐 − 𝟐𝐲 + 𝐳 𝟐 − 𝟖𝐳 + 𝟏𝟒 = 𝟎 représentation paramétrique de la droite (𝐃)
Donc 𝐱 𝟐 − 𝟐𝐱 + 𝟏𝟐 + 𝐲 𝟐 − 𝟐𝐲 + 𝟏𝟐 + 𝐳 𝟐 − 𝟖𝐳 + (𝐱; 𝐲; 𝐳) les cordonnées de H vérifie le
𝟒𝟐 = 𝟏𝟐 + 𝟏𝟐 + 𝟒𝟐 − 𝟏𝟒 𝐱=𝟏+𝐭
(𝛀𝐇): { 𝐲 = 𝟏 + 𝐭 ; (𝐭 ∈ 𝐈𝐑)
Donc (𝐒): (𝐱 − 𝟏)𝟐 + (𝐲 − 𝟏)𝟐 + (𝐳 − 𝟒)𝟐 = 𝟐𝟐 système {
𝐳=𝟒−𝐭
Donc (S) est une sphère de centre (𝐀𝐁𝐂) : 𝐱 + 𝐲 − 𝐳 = 𝟎
𝛀(𝟏 ; 𝟏 ; 𝟒) et de rayon 𝐑 = 𝟐
Donc (𝟏 + 𝐭) + (𝟏 + 𝐭) − (𝟒 − 𝐭) = 𝟎 donc
2ème méthode 𝟐
𝟑𝐭 − 𝟐 = 𝟎 d’où 𝐭 =
On a 𝐱(𝐱 − 𝟐) − 𝐲(𝟐 − 𝐲) + 𝐳(𝐳 − 𝟖) + 𝟏𝟒 = 𝟎 𝟑
Donc 𝐱 𝟐 − 𝟐𝐱 + 𝐲 𝟐 − 𝟐𝐲 + 𝐳 𝟐 − 𝟖𝐳 + 𝟏𝟒 = 𝟎 𝐱=𝟏+𝐭
on remplace t dans { 𝐲 = 𝟏 + 𝐭 , on
On pose
𝐳=𝟒−𝐭
𝐚 = −𝟐 ; 𝐛 = −𝟐 ; 𝐜 = −𝟖 𝐞𝐭 𝐝 = 𝟏𝟒 𝟐 𝟓
𝟐 𝟐 𝟐
𝐱=𝟏+ =
𝐚 + 𝐛 + 𝐜 − 𝟒𝐝 𝟑 𝟑
𝟐 𝟓 𝟓 𝟓 𝟏𝟎
= (−𝟐)𝟐 + (−𝟐)𝟐 + (−𝟖)𝟐 − 𝟒 × 𝟏𝟒 trouve 𝐲 =𝟏+ = donc 𝐇( ; ; )
𝟑 𝟑 𝟑 𝟑 𝟑
= 𝟏𝟔 > 𝟎 𝟐 𝟏𝟏𝟎
{𝐳 = 𝟒 − 𝟑 = 𝟑
4 23F Modèle 07
3) a) Déterminer une représentation Solution d’exercice 04 (3 points)
paramétrique de la droite (DE) A) 1) On pose : 𝐮 = 𝟏 − √𝟐 − 𝐢 ; calculer |𝐮|
La droite (𝐃𝐄) passant par 𝟐
𝐃 (𝟐 ; 𝟎 ; 𝟐) 𝐞𝐭 𝐄(−𝟒 ; 𝟔 ; 𝟐) les deux points |𝐮| = √(𝟏 − √𝟐) + (−𝟏)𝟐
donc le vecteur
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = √𝟏 − 𝟐√𝟐 + 𝟐 + 𝟏 = √𝟒 − 𝟐√𝟐
𝐄𝐃(𝟔; −𝟔; 𝟎) est directeur à la droite (𝐃𝐄)
Soit 𝐌(𝐱; 𝐲; 𝐳) ∈ (𝐃𝐄) 2) Montrer que (𝟏 + 𝐢)𝐮 = −√𝟐 × 𝐮
̅
𝐱 = 𝟐 + 𝟔𝐭 (𝟏 + 𝐢)𝐮 = (𝟏 + 𝐢)(𝟏 − √𝟐 − 𝐢)
; (𝐭 ∈ 𝐈𝐑)
Donc (𝐃𝐄) : { 𝐲 = −𝟔𝐭 est une
= 𝟏 − √𝟐 − 𝐢 + 𝐢 − 𝐢√𝟐 + 𝟏
𝐳=𝟐
représentation paramétrique de la droite = 𝟐 − √𝟐 − 𝐢√𝟐 (∗)
(𝐃𝐄) ̅ = −√𝟐 × (𝟏 − √𝟐 + 𝐢)
−√𝟐 × 𝐮
b) Montrer que la droite (DE) est tangente à = −√𝟐 + 𝟐 − 𝐢√𝟐 ; (∗∗)
la sphère (S) en un point K en déterminant De (∗) et (∗∗) on a : (𝟏 + 𝐢)𝐮 = −√𝟐 × 𝐮
̅
leurs coordonnées 𝟑𝛑
3) Déduire que 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ [ 𝛑]
On résoudre le système suivant : 𝟖
𝐱 = 𝟐 + 𝟔𝐭 (𝟏 + 𝐢)𝐮 = −√𝟐 × 𝐮 ̅ ⟺ 𝒂𝒓𝒈[(𝟏 + 𝐢)𝐮]

(𝐃𝐄): { 𝐲 = −𝟔𝐭 (𝐭 ∈ ℝ) ≡ 𝐚𝐫𝐠[−√𝟐 × 𝐮 ̅ ][𝟐𝝅]
{
𝐳=𝟐 ⟺ 𝒂𝒓𝒈(𝟏 + 𝐢) + 𝐚𝐫𝐠(𝐮)
(𝐒) : (𝐱 − 𝟏) + (𝐲 − 𝟏)𝟐 + (𝐳 − 𝟒)𝟐 = 𝟐𝟐
𝟐
≡ 𝐚𝐫𝐠(−√𝟐) + 𝒂𝒓𝒈(𝐮 ̅ )[𝟐𝝅]
(𝟐 + 𝟔𝐭 − 𝟏)𝟐 + (−𝟔𝐭 − 𝟏)𝟐 + (𝟐 − 𝟒)𝟐 = 𝟒
𝟏 𝟏
Donc (𝟏 + 𝟔𝐭)𝟐 + (𝟔𝐭 + 𝟏)𝟐 + (−𝟐)𝟐 = 𝟒 ⟺ 𝒂𝒓𝒈 (√𝟐( + 𝒊 )) + 𝐚𝐫𝐠(𝐮)
𝟏 + 𝟏𝟐𝐭 + 𝟑𝟔 𝐭 𝟐 + 𝟏 + 𝟏𝟐𝐭 + 𝟑𝟔 𝐭 𝟐 + 𝟒 − 𝟒 = 𝟎 √𝟐 √𝟐
𝐃𝐨𝐧𝐜 𝟕𝟐 𝐭 𝟐 + 𝟐𝟒𝐭 + 𝟐 = 𝟎 ≡ 𝐚𝐫𝐠(−√𝟐) + 𝒂𝒓𝒈(𝐮 ̅ )[𝟐𝝅]
𝝅
Donc 𝟐( 𝟑𝟔𝐭 𝟐 + 𝟏𝟐𝐭 + 𝟏) = 𝟎 ⟺ + 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ 𝝅 − 𝐚𝐫 𝐠(𝒖) [𝟐𝝅]
Donc 𝟑𝟔𝐭 𝟐 + 𝟏𝟐𝐭 + 𝟏 = 𝟎 𝟒
𝝅
∆= 𝟏𝟐𝟐 − 𝟒 × 𝟑𝟔 × 𝟏 = 𝟏𝟒𝟒 − 𝟏𝟒𝟒 = 𝟎 ⟺ 𝟐 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ 𝝅 − [𝟐𝝅]
𝟒
Donc 𝟑𝟔𝐭 𝟐 + 𝟏𝟐𝐭 + 𝟏 = 𝟎 admet une unique 𝟑𝝅
𝟏𝟐 𝟏 ⟺ 𝟐 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ [𝟐𝝅]
solution 𝐭 = − =− 𝟒
𝟐×𝟑𝟔 𝟔
Donc la droite (DE) est tangente à la sphère B) On considère 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬 𝐄 ; F et G d’affixes
(S) en un point K respectifs :
On remplace 𝐭 = −𝟔 𝐳𝐄 = 𝟏 + 𝐢 𝐞𝐭 𝐳𝐅 = 𝟏 − 𝐢 et 𝐳𝐆 = −𝐢√𝟑
𝟏
𝐱=𝟐−𝟔× =𝟏
𝟔
1) Soit N l’image de F par l’homothétie h de
Donc {𝐲 = 𝟔 × 𝟏 = 𝟏 Donc 𝐊(𝟏 ; 𝟏 ; 𝟐) centre G et de rapport 2 , montrer que : 𝐳𝐍 =
𝟔
𝐳=𝟐 𝟐 + 𝐢 (√𝟑 − 𝟐)
𝒉(𝑭) = 𝑵 ⟺ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐆𝐍 = 𝟐 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐆𝐅 ⟺ 𝐳𝐍 − 𝐳𝐆
= 𝟐(𝐳𝐅 − 𝐳𝐆 )
⟺ 𝐳𝐍 = 𝟐(𝐳𝐅 − 𝐳𝐆 ) + 𝐳𝐆
⟺ 𝐳𝐍 = 𝟐(𝟏 − 𝐢 + 𝐢√𝟑) − 𝐢√𝟑
⟺ 𝐳𝐍 = 𝟐 − 𝟐𝒊 + 𝟐𝐢√𝟑 − 𝐢√𝟑
⟺ 𝐳𝐍 = 𝟐 − 𝟐𝒊 + 𝐢√𝟑
= 𝟐 + 𝐢 (√𝟑 − 𝟐)
5 23F Modèle 07
𝛑 𝐳𝐂 −𝐳𝐄
2) R la rotation de centre O et d’angle et A b) Vérifier que = 𝐢 ; puis en déduire que
𝟐 𝐳𝐁 −𝐳𝐄
l’image de G et C est l’image de N par R quadrilatère ABCD est un losange
Montrer que : 𝐳𝐀 = √𝟑 et 𝐳𝐂 = 𝟐 − √𝟑 + 𝟐𝐢 𝐳𝐂 − 𝐳𝐄 = (𝟐 − √𝟑 + 𝟐𝐢) − (𝟏 + 𝐢)
𝛑
𝑹(𝑮) = 𝑨 ⟺ 𝐳𝐀 − 𝐳𝑶 = 𝒆𝒊𝟐 (𝐳𝐆 − 𝐳𝑶 ) = 𝟏 − √𝟑 + 𝒊 ; (∗∗)
𝛑
𝒊
⟺ 𝐳𝐀 = 𝒊 𝐳𝐆 ; car 𝒆 = 𝒊
𝟐 𝒊(𝐳𝐁 − 𝐳𝐄 ) = 𝒊(𝟐 + 𝐢√𝟑 − 𝟏 − 𝒊)
⟺ 𝐳𝐀 = −√𝟑 = 𝟐𝒊 − √𝟑 − 𝒊 + 𝟏
𝑹(𝑵) = 𝑪 ⟺ 𝐳𝐂 = 𝒊 𝐳𝐍 = 𝟏 − √𝟑 + 𝒊 ; (∗)
⟺ 𝐳𝐂 = 𝒊 (𝟐 + 𝐢 (√𝟑 − 𝟐)) Donc de (∗) 𝒆𝒕 (∗∗) on a : 𝐳𝐂 − 𝐳𝐄 = 𝒊(𝐳𝐁 − 𝐳𝐄 )
𝐳𝐂 − 𝐳𝐄
⟺ 𝐳𝐂 = 𝟐𝒊 − (√𝟑 − 𝟐)) = 𝟐 − √𝟑 + 𝟐𝐢 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ =𝐢
𝐳𝐁 − 𝐳𝐄
3) Soit T la translation de vecteur 𝐮
⃗⃗ d’affixe
• On a : [𝐀𝐂] et [𝐁𝐃] sont de même milieu
𝟐𝐢 et B l’image du point N et D est l’image
de G par T donc le quadrilatère ABCD est un
parallélogramme
Montrer que : 𝐳𝐁 = 𝟐 + 𝐢√𝟑 et 𝐳𝐃 = (𝟐 −
Et on a :
√𝟑)𝐢 𝐳𝐂 − 𝐳𝐄 𝐳𝐂 − 𝐳𝐄
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝐮 = 𝐢 ⇔ 𝒂𝒓𝒈( ) ≡ 𝒂𝒓𝒈(𝒊)[𝟐𝝅]
𝑻(𝑵) = 𝑩 ⟺ 𝐍𝐁 ⃗⃗ 𝐳𝐁 − 𝐳𝐄 𝐳𝐁 − 𝐳𝐄
⟺ 𝐳𝐁 − 𝐳𝐍 = 𝐳𝐮⃗⃗ 𝝅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⇔ (𝑬𝑩 𝑬𝑪) ≡ [𝟐𝝅]
⟺ 𝐳𝐁 = 𝐳𝐮⃗⃗ + 𝐳𝐍 𝟐
⟺ 𝐳𝐁 = 𝟐𝐢 + 𝟐 + 𝐢 (√𝟑 − 𝟐) Donc les droites 𝑬𝑩 𝒆𝒕 ( 𝑬𝑪) sont
( )
perpondiculaires
= 𝟐 + 𝐢√𝟑
Donc ABCD est un losange
𝑻(𝑮) = 𝑫 ⟺ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐆𝐃 = 𝐮 ⃗⃗
⟺ 𝐳𝐃 − 𝐳𝐆 = 𝐳𝐮⃗⃗
⟺ 𝐳𝐃 = 𝐳𝐮⃗⃗ + 𝐳𝐆
⟺ 𝐳𝐃 = 𝟐𝐢 − 𝐢√𝟑 = (𝟐 − √𝟑)𝐢
4)a) Montrer que E est le milieu de [𝐀𝐂] et
[𝐁𝐃]
𝐳𝐀 + 𝐳𝐂 √𝟑 + 𝟐 − √𝟑 + 𝟐𝐢 𝟐 + 𝟐𝐢
= =
𝟐 𝟐 𝟐
𝟐(𝟏 + 𝐢)
= = 𝟏 + 𝐢 = 𝐳𝐄
𝟐
Donc E est le milieu de [𝐀𝐂]
𝐳𝐁 + 𝐳𝐃 𝟐 + 𝐢√𝟑 + (𝟐 − √𝟑)𝐢
=
𝟐 𝟐
𝟐 + 𝐢√𝟑 + 𝟐𝐢 − √𝟑𝐢
= =𝟏+𝐢
𝟐
= 𝐳𝐄
E est le milieu [𝐁𝐃]
6 23F Modèle 07
Solution d’exercice 4 (2 points)
Un sac 𝑺𝟏 contient 4 boules rouges et 2
boules noires.
Un sac 𝑺𝟐 contient 2 boules rouges et une
boule noire.
Toutes les boules sont indiscernables au
toucher.
1) On tire successivement et sans remise
trois boules de 𝑺𝟏
a) Calculer 𝑷(𝑨) , où 𝑨 ‘’ Obtenir trois
boules rouge ” Shématisons d’abord l’expérience
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑨)
𝒑(𝑨) =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀)
𝑨𝟑𝟒 𝟒 × 𝟑 × 𝟐 𝟏
= 𝟑= =
𝑨𝟔 𝟔 × 𝟓 × 𝟒 𝟓
b) Calculer 𝑷(𝑩) , où 𝑩 “Obtenir au plus
deux boule rouge ‘’
̅ ;𝑹
(𝑹 ; 𝑹 ̅ ) ou (𝑹 ; 𝑹 ; 𝑹
̅)
1ère méthode :
On a l’événement contraire de B est
l’événement A donc
𝟏 𝟒
𝒑(𝑩) = 𝟏 − 𝒑(𝑨) = 𝟏 − = Le sac 𝑺𝟏 contient 4 boules rouges et 2 boules
𝟓 𝟓 noires.
2 ème méthode :
Le sac 𝑺𝟐 contient 2 boules rouges et une
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑩)
𝒑(𝑨) = boule noire.
a) Calculer la probabilité de choisir le sac 𝑺𝟏
𝟑(𝑨𝟏𝟒 × 𝑨𝟐𝟐 ) + 𝟑(𝑨𝟐𝟒 × 𝑨𝟏𝟐 ) 𝟒
= = et obtenir une boule rouge :
𝑨𝟑𝟔 𝟓 𝟏 𝟒 𝟏
𝑷(𝑺𝟏 ∩ 𝑹) = 𝑷(𝑺𝟏 ) × 𝑷𝑺𝟏 (𝑹) = × =
2) On choisit au hasard l’un des sacs, puis 𝟐 𝟔 𝟑
on en tire une boule b) Calculer la probabilité d’obtenir une boule

On considère les événements : rouge.
𝑺𝟏 : « choisir le sac 𝑺𝟏 » 𝑷(𝑹) = 𝑷(𝑺𝟏 ∩ 𝑹) + 𝑷(𝑺𝟐 ∩ 𝑹)
𝑺𝟐 : « choisir le sac 𝑺𝟐 » = 𝑷(𝑺𝟏 ) × 𝑷𝑺𝟏 (𝑹) + 𝑷(𝑺𝟐 ) × 𝑷𝑺𝟐 (𝑹)
𝑹 : « Obtenir une boule rouge » 𝟏 𝟒 𝟏 𝟐 𝟏 𝟐 𝟐
= × + × = + =
𝑵 : « Obtenir une boule noire ». 𝟐 𝟔 𝟐 𝟑 𝟑 𝟔 𝟑
Rappel de cours : c) Sachant que la boule tirée est noire, quelle
➢ Probabilité conditionnelle : est la probabilité qu’elle soit tirée du sac 𝑺𝟏 ?
𝟏 𝟐
𝐏(𝐀 ∩ 𝐁) 𝑷(𝑵 ∩ 𝑺𝟏 ) 𝑷(𝑺𝟏 ) × 𝑷𝑺𝟏 (𝑵) ×
𝟐 𝟔
𝐏𝐀 (𝐁) = 𝑷𝑵 (𝑺𝟏 ) = = = 𝟏
𝐏(𝐀) 𝑷(𝑵) 𝑷(𝑵)
𝟑
➢ Loi des probabilités totales : 𝟏 𝟏
On a : 𝐏(𝐁) = 𝐏(𝐁 ∩ 𝐀) + 𝐏(𝐁 ∩ 𝐀 ̅ ), = × 𝟑=
𝟔 𝟐
Donc 𝐏(𝐁) = 𝐏(𝐀) × 𝐏𝐀 (𝐁) + 𝐏(𝐀 ̅ ) × 𝐏𝐀̅ (𝐁).
7 23F Modèle 07
Solution du problème : b) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) et montrer que
𝐱→+∞
Soit f une fonction définit sur ℝ∗ par : 𝐟(𝐱)
𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 (𝑻𝒖 𝒑𝒆𝒖𝒙 𝒑𝒐𝒔𝒆𝒓 𝒕 = √𝒙)
𝟏 𝐱→+∞ 𝐱
𝒇(𝐱) = 𝐞𝒙−𝟏 ∶𝒙<𝟏
{ 𝒙 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝟏 − (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 = −∞
𝒇(𝒙) = 𝟏 − (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 ; 𝒙 ≥ 𝟏 𝐱→+∞ 𝐱→+∞
1) Montrer que f est continue en 1 Car 𝐥𝐢𝐦 𝒍𝒏(𝒙) = +∞

On a 𝒇(𝟏) = 𝟏 − (𝒍𝒏 𝟏)𝟐 = 𝟏 − 𝟎 = 𝟏 𝐱→+∞
𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦+𝟏 − (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 = 𝟏 − 𝟎 = 𝟏 𝐟(𝐱) 𝟏 − (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 𝟏 (𝒍𝒏 𝒙)𝟐

𝐱→𝟏 𝐱→𝟏 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦 −
= 𝒇(𝟏) 𝐱→+∞ 𝐱 𝐱→+∞ 𝐱 𝐱→+∞ 𝐱 𝐱
Donc f est continue à droite de 1 𝟐 𝟐
𝟐
𝟏 𝟏 (𝐥𝐧 𝐱) (𝐥𝐧 √𝒙 )
𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦− 𝐞𝒙−𝟏 = 𝐞𝟎 = 𝟏 = 𝒇(𝟏) ∗ 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦
𝐱→𝟏− 𝐱→𝟏 𝒙 𝟏 𝐱→+∞ 𝐱 𝐱→+∞ 𝟐
Donc f est continue à gauche de 1 √𝒙
𝟐
D’où f est continue en 1
(𝟐 𝐥𝐧 √𝒙 )
2) Calculer 𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦− 𝒇(𝐱) puis = 𝐥𝐢𝐦 𝟐
𝐱→𝟎 𝐱→𝟎 𝐱→+∞
√𝒙
interpréter les résultats géométriquement
𝟐
𝟏 𝟐𝐥𝐧 √𝒙
𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦+ 𝐞𝒙−𝟏 = +∞ = 𝐥𝐢𝐦 ( )
𝐱→𝟎 𝐱→𝟎 𝒙 𝐱→+∞
𝟏 √𝒙
Car 𝐥𝐢𝐦+ = +∞ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦+𝐞𝒙−𝟏 = 𝐞−𝟏 > 𝟎
𝐱→𝟎 𝒙 𝐱→𝟎
On pose 𝑿 = √𝒙 donc 𝒙 = 𝑿𝟐 ;
or 𝒙 → +∞ ⟺ 𝑿 → +∞
La droite d’équation 𝒙 = 𝟎 c-t-dire l’axe des
Donc :
abscisses est une asymptote à (𝑪𝒇 ) 𝟐
𝟏 (𝐥𝐧 𝐱) 𝟐 𝟐𝐥𝐧 √𝒙
𝐥𝐢𝐦−𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦− 𝐞𝒙−𝟏 = −∞ 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦 ( )
𝐱→𝟎 𝒙
𝐱→+∞ 𝐱 𝐱→+∞
𝐱→𝟎 √𝒙
𝟏
Car 𝐥𝐢𝐦− = −∞ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦−𝐞𝒙−𝟏 = 𝐞−𝟏 > 𝟎 𝟐𝐥𝐧 𝑿 𝟐
𝐱→𝟎 𝒙 𝐱→𝟎 = 𝐥𝐢𝐦 ( )
Interprétation géométrique : 𝐱→+∞ 𝑿
La droite d’équation 𝒙 = 𝟎 c-t-dire l’axe des =𝟎
𝟐𝐥𝐧 𝑿
abscisses est une asymptote à (𝑪𝒇 ) 𝑪𝒂𝒓 𝐥𝐢𝐦
𝐱→+∞ 𝑿
3) a) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) puis interpréter le
𝐱→−∞
𝐟(𝐱) 𝟏−(𝒍𝒏 𝒙)𝟐
résultat géométriquement D’où 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦
𝐱→+∞ 𝐱 𝐱→+∞ 𝐱
𝟏 𝟏
𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝒙−𝟏 = 𝐥𝐢𝐦 𝐞−𝟏 × × 𝐞𝒙 𝟏 (𝒍𝒏 𝒙)𝟐
𝐱→−∞ 𝐱→−∞ 𝒙 𝐱→−∞ 𝒙
= 𝐥𝐢𝐦 − =𝟎
=𝟎 𝐱→+∞ 𝐱 𝐱
𝟏
Car 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝒙 = 𝟎 𝟏 (𝒍𝒏 𝒙)𝟐
𝐱→−∞ 𝒙 𝐱→−∞ Car 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 =𝟎
𝐱→+∞ 𝐱 𝐱
Interprétation géométrique : 𝐱→+∞
La droite d’équation 𝒚 = 𝟎 c-t-dire l’axe des

ordonnées est une asymptote à (𝑪𝒇 ) au
voisinage de −∞
8 23F Modèle 07
c) Déduire la branche infinie de (𝑪𝒇 ) au b) Montrer que :
voisinage de +∞ (𝐱−𝟏)𝐞𝒙−𝟏
(∀𝐱 ∈ ]−∞; 𝟏[ − {𝟎}): 𝐟 ′ (𝐱) =
𝐟(𝐱) 𝒙𝟐
On a 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = −∞ et 𝐥𝐢𝐦 =𝟎 −𝟐𝒍𝒏 𝒙
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝐱 et que (∀𝐱 ∈ ]𝟏; +∞[): 𝐟 ′ (𝐱) =
𝒙
Donc la courbe (𝑪𝒇 ) admet un branche
On a la fonction f est dérivable sur ]−∞; 𝟎[
parabolique de direction l’axe des abscisses et ]𝟎; 𝟏[ car c’est un produit de deux
au voisinage de +∞
fonctions dérivables sur ]−∞; 𝟎[ et ]𝟎; 𝟏[
4) a) Montrer que f est dérivable au point
Soit 𝐱 ∈ ]−∞; 𝟏[ − {𝟎}
d’abscisse 1 et que 𝒇’(𝟏) = 𝟎 𝟏 𝟏 𝟏
𝒇(𝐱) − 𝒇(𝟏) −(𝒍𝒏 𝒙)𝟐 𝒇′(𝐱) = ( 𝐞𝒙−𝟏 ) ′ = ( ) ′𝐞𝒙−𝟏 + (𝐞𝒙−𝟏 )′
𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦+ 𝒙 𝒙 𝒙
𝐱→𝟏+ 𝒙−𝟏 𝐱→𝟏 𝒙−𝟏 𝟏 𝒙−𝟏 𝟏 𝒙−𝟏 𝟏 𝒙−𝟏 𝒙 𝒙−𝟏
−𝒍𝒏(𝒙) =− 𝟐𝐞 + 𝐞 = − 𝟐𝐞 + 𝟐𝐞
= 𝐥𝐢𝐦+ × 𝒍𝒏(𝒙) = 𝟎 × 𝟎 𝒙 𝒙 𝒙 𝒙
𝐱→𝟏 𝒙 − 𝟏 (𝐱 − 𝟏)𝐞 𝒙−𝟏
=𝟎 =
𝒍𝒏(𝒙)
𝒙𝟐
Car 𝐥𝐢𝐦+ =𝟎 Soit 𝐱 ∈ ]𝟏; +∞[
𝐱→𝟏 𝒙−𝟏
Donc f est dérivable à droite en 1 et 𝒇′𝒅 (𝟏) = On a la fonction f est dérivable sur ]𝟏; +∞[ :
𝟎 𝐟 ′ (𝐱) = (𝟏 − (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 )′
𝟏 𝒙−𝟏
𝐞 −𝟏 𝟐𝒍𝒏 𝒙
𝒇 ( 𝐱 ) − 𝒇 (𝟏 ) 𝒙 = 𝟎 − 𝟐𝒍𝒏′(𝒙)(𝒍𝒏 𝒙)𝟏 = −
𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦− 𝒙
𝐱→𝟏− 𝒙−𝟏 𝐱→𝟏 𝒙−𝟏
c) Dresser le tableau de variation de f sur
𝐞𝒙−𝟏 − 𝒙
= 𝐥𝐢𝐦− ℝ∗
𝐱→𝟏 𝒙(𝒙 − 𝟏)
Soit 𝐱 ∈ ]−∞; 𝟏[ − {𝟎}
𝐞𝒙−𝟏 − 𝟏 + 𝟏 − 𝒙
= 𝐥𝐢𝐦− On a 𝐱 < 𝟏 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐱 − 𝟏 < 𝟎
𝐱→𝟏 𝒙(𝒙 − 𝟏)
𝐞𝐭 𝐨𝐧 𝐚 𝐞𝒙−𝟏 > 𝟎 𝐞𝐭 𝒙𝟐 > 𝟎
𝐞𝒙−𝟏 − 𝟏 𝟏−𝒙
= 𝐥𝐢𝐦−
𝐱→𝟏 𝒙(𝒙 − 𝟏)
+ (𝐱 − 𝟏)𝐞𝒙−𝟏
𝒙(𝒙 − 𝟏) (
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒇′ 𝐱 = ) <𝟎
𝐞𝒙−𝟏 − 𝟏 𝟏 𝟏 𝒙𝟐
= 𝐥𝐢𝐦− ( × )− Donc f est strictement décroissante sur
𝐱→𝟏 𝒙−𝟏 𝒙 𝒙
]−∞; 𝟎[ et ]𝟎; 𝟏[
𝐞𝒕 − 𝟏 𝟏
= 𝐥𝐢𝐦− ( × ) Soit 𝐱 ∈ ]𝟏; +∞[
𝐭→𝟎 𝒕 𝒕+𝟏
On a 𝐱 > 𝟏 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐧(𝐱) > 𝟎
𝟏 𝟐𝒍𝒏 𝒙
− ; 𝒋′ 𝒂𝒊 𝒑𝒐𝒔𝒆𝒓 𝒕 = 𝒙 − 𝟏 Do𝒏𝒄 𝐟 ′ (𝐱) = − <𝟎
𝒕+𝟏 𝒙
= (𝟏 × 𝟏 ) − 𝟏 Donc f est strictement décroissante sur
𝒕
𝐞 −𝟏 ]𝟏; +∞[
= 𝟎 ; 𝒄𝒂𝒓 𝐥𝐢𝐦− =𝟏
𝐭→𝟎 𝒕 D’où le tableau de variation de f sur ℝ∗
Donc f est dérivable à gauche en 1 et x −∞ 0 +∞
𝒇′𝒈 (𝟏) = 𝟎
𝒇′ (𝒙) − −
On a𝒇′𝒅 (𝟏) = 𝒇′𝒈 (𝟏) = 𝟎 donc f est dérivable
au point d’abscisse 1 et que 𝒇’(𝟏) = 𝟎 𝟎 +∞
𝒇(𝒙)
−∞ −∞
9 23F Modèle 07
4) a) Justifier que le point A(1 ;1) est un 𝐉 = 𝐠(]𝟏, +∞[)
point d’inflexion de la courbe (𝐂𝐟 ) = ] 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝒙); 𝐠(𝟏)[ = ]−∞, 𝟏[
𝐱→+∞
On a 𝒇’(𝟏) = 𝟎 donc 𝒇’ s’annule et ne
change pas de signe en 1 Donc le point b) Déterminer 𝒈−𝟏 (𝒙) pour tout 𝒙 ∈ ]−∞; 𝟏[
A(1 ;1) est un point d’inflexion de la Soit 𝐱 ∈ ]−∞; 𝟏[ cherchons 𝐲 ∈ [𝟏; +∞[ tel
courbe (𝐂𝐟 ) que 𝐲 = 𝐠 −𝟏 (𝐱) ;
b) Montrer que et que (∀𝐱 ∈ ]𝟏 ; +∞[) : 𝐲 = 𝐠 −𝟏 (𝐱) ⇔ 𝐠(𝐲) = 𝐱
𝟐 (𝒍𝒏(𝒙)−𝟏)
𝐟 ′′ (𝐱) = ⇔ 𝟏 − (𝒍𝒏 𝒚)𝟐 = 𝐱
𝒙𝟐
Soit 𝐱 ∈ ]𝟏 ; +∞[ ⇔ (𝒍𝒏 𝒚)𝟐 = 𝟏 − 𝐱
−𝟐𝒍𝒏 𝒙
𝐟 ′′ (𝐱) = ( )′ ⇔ |𝒍𝒏(𝒚)| = √𝟏 − 𝐱 ;
𝒙
′
(−𝟐𝒍𝒏(𝒙)) 𝒙 + 𝟐𝒍𝒏𝒙 × (𝒙)′ ⇔ 𝒍𝒏(𝒚) = √𝟏 − 𝐱 , 𝒄𝒂𝒓 𝒚 > 𝟏
=
𝒙𝟐 ⇔ 𝒚 = 𝐞√𝟏−𝐱
𝟏
−𝟐 × 𝒙 × 𝒙 + 𝟐𝒍𝒏𝒙 𝟐𝒍𝒏(𝒙) − 𝟐
= = D’où : 𝒈−𝟏 (𝒙) = 𝐞√𝟏−𝐱 ; pour tous 𝒙 ∈
𝒙𝟐 𝒙𝟐 ]−∞; 𝟏[
𝟐 (𝒍𝒏(𝒙) − 𝟏)
= 6) Tracer (𝐂𝐟 ) et (𝐂𝒈−𝟏 ) dans le repère
𝒙𝟐
c) Montrer que 𝑩(𝒆; 𝟎) est un point orthonormé (𝐎 ; ⃗𝐢 ; ⃗𝐣)
inflexion de (𝐂𝐟 )
𝟐 (𝒍𝒏(𝒙)−𝟏)
Soit 𝐱 ∈ ]𝟏 ; +∞[ on a 𝐟 ′′ (𝐱) =
𝒙𝟐
𝟐 (𝒍𝒏(𝒙)−𝟏)
𝐟 ′′ (𝐱) = 𝟎 ⇔ = 𝟎 ⇔ 𝒍𝒏(𝒙) − 𝟏 =
𝒙𝟐
𝟎 ⇔ 𝒍𝒏(𝒙) = 𝟏 ⇔ 𝒙 = 𝒆
x −∞ e +∞
𝒇′′ (𝒙) − 𝟎 +
Donc 𝒇′′ s’annule et change de signe en e
donc le point 𝑩(𝒆; 𝒇(𝒆)) est un point
d’inflexion de de la courbe (𝐂𝐟 )
5) Soit g la restriction de la fonction f sur
𝑰 = ]𝟏; +∞[
a) Montrer que g admet une fonction
réciproque 𝒈−𝟏 définie sur 𝑱 (à
déterminer)
➢ g est dérivable sur ]𝟏, +∞[ donc elle est
continue sur ]𝟏, +∞[
➢ La fonction g est strictement
décroissante sur ]𝟏, +∞[
Donc g admet une fct réciproque
𝐠 −𝟏 ,définie sur 𝐉 = 𝐠(]𝟏, +∞[)
10 23F Modèle 07
𝐞 𝐞
7)a) Montrer 𝑯: 𝒙 ⟼ 𝒙𝒍𝒏 (𝒙) − 𝒙 est une
𝐀 = ∫ |𝐟(𝐱)|𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 = ∫ 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚
primitive de la fonction 𝒉: 𝒙 ⟼ 𝒍𝒏 (𝒙) et 𝟏 𝟏
𝒆
déduire que:∫𝟏 𝒍𝒏 (𝒙) 𝒅𝒙 = 𝟏 𝐞
On a fonction H est dérivable sur ]𝟏, +∞[ = ∫ 𝟏 − (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 𝒅𝒙 . 𝐜𝐦𝟐

𝟏
𝑯′ (𝒙) = (𝒙𝒍𝒏 (𝒙) − 𝒙)′ = 𝒍𝒏(𝒙) + 𝒙 − 𝒙
𝐞 𝐞
= 𝒍𝒏(𝒙) = (∫ 𝟏𝒅𝒙 − ∫ (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 𝒅𝒙) 𝐜𝐦𝟐
Donc 𝑯: 𝒙 ⟼ 𝒙𝒍𝒏 (𝒙) − 𝒙 est une 𝟏 𝟏
primitive de la fonction 𝒉: 𝒙 ⟼ 𝒍𝒏 (𝒙)
= ([𝒙 ]𝐞𝟏 − (𝒆 − 𝟐))𝐜𝐦𝟐
sur ]𝟏, +∞[
𝒆 = (𝐞 − 𝟏 − (𝐞 − 𝟐))𝐜𝐦𝟐 = 𝟏𝐜𝐦𝟐
∫ 𝒍𝒏 (𝒙) 𝒅𝒙 = [𝒙𝒍𝒏 (𝒙) − 𝒙 ]𝐞𝟏
𝟏
= 𝒆𝒍𝒏(𝒆) − 𝒆 − (𝟎 − 𝟏) = 𝟏
b) Par I.P.P montrer que
𝒆
∫ (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 𝒅𝒙 = 𝐞 − 𝟐
𝟏
Posons
𝟐𝐥𝐧(𝐱)
𝐮(𝐱) = (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 𝐮′ (𝐱) =
{ 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 { 𝐱
𝐯 ′ (𝐱) = 𝟏 𝐯(𝐱) = 𝐱
𝒆
∫ (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 𝒅𝒙
𝟏
𝐞
𝟐𝐥𝐧(𝐱)
= [𝐱(𝒍𝒏 𝒙)𝟐 ]𝐞𝟏 − ∫ × 𝐱 𝐝𝐱
𝟏 𝐱
𝐞
= (𝒆 − 𝟎) − 𝟐 ∫ 𝐥𝐧(𝐱)𝐝𝐱 = 𝐞 − (𝟐 × 𝟏)
𝟏
=𝒆−𝟐
c) Calculer, en 𝒄𝒎𝟐 , l’aire du domaine
limité par la courbe(𝑪𝒇 ), la droite (𝐎𝐱) et
les droites d’équations x=1 et x=e
Soit 𝒙 ∈ [𝟏, 𝐞]
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒙 ≤ 𝒆 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝒍𝒏(𝒙) ≤ 𝟏
𝑫𝒐𝒏𝒄(𝒍𝒏 𝒙)𝟐 ≤ 𝟏 d𝒐𝒏𝒄 𝟏 − (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 ≥ 𝟎
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒇(𝒙) ≥ 𝟎
Donc ∀𝒙 ∈ [𝟏, 𝐞]: |𝐟(𝐱)| = 𝐟(𝐱)
10
*****8
Prof
Fayssal



Nombres complexes.
Exercice 3 3,5 points
Problème 8 points
intégral

M5-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
𝟓𝑼𝒏 −𝟒
Soit (𝑼𝒏 ) une suite tel que 𝑼𝟎 = 𝟒 et (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝑼𝒏+𝟏 =
𝑼𝒏 +𝟏
0,5 1) Montrer par récurrence que (∀𝒏 ∈ ℕ) : 𝑼𝒏 > 𝟐

−(𝑼𝒏 −𝟐)𝟐
2) Montrer que (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝑼𝒏+𝟏 − 𝑼𝒏 = puis en déduire que la suite (𝑼𝒏 ) est
𝑼𝒏 +𝟏
0,75
convergente
𝟏
3) Pour tout n dans ℕ on pose ∶ 𝑽𝒏 =
𝑼𝒏 −𝟐
𝟏
0,5
a) Monter que (𝑽𝒏 ) est une suite arithmétique de raison
𝟑
b) Calculer (𝑽𝒏 ) en fonction de n pour tout 𝒏 ∈ ℕ

0,25
𝟒𝒏+𝟏𝟐
c) déduire que (∀𝒏 ∈ ℕ) : 𝑼𝒏 = et déterminer 𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏
0,5 𝟐𝐧+𝟑 𝐱→+∞
5) Pour tout n dans ℕ on pose : 𝑺𝒏 = 𝑽𝟎 𝑼𝟎 + ⋯ + 𝑽𝒏 𝑼𝒏

0,5 𝒏𝟐 +𝟕𝒏+𝟔
Montrer que : (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝑺𝒏 =
𝟑
L’espace est rapporté à un repère orthonormé (𝑶, 𝒊⃗, 𝒋⃗ , ⃗𝒌⃗)
On considère les points : 𝑨(𝟏; 𝟏; 𝟎) ; 𝑩(𝟎; 𝟐; 𝟎) ; 𝑪(𝟎; 𝟎; 𝟑).


𝒏 (𝟑; 𝟑; 𝟐) est un vecteur normal au plan (ABC)
0,25 c) Vérifier que 𝟑𝒙 + 𝟑𝒚 + 𝟐𝒛 − 𝟔 = 𝟎 est une équation cartésienne du plan (𝑨𝑩𝑪)
2) Soit (𝑫) la droite passant par le point 𝑨 de vecteur directeur 𝒖
⃗⃗(𝟔; 𝟔; 𝟒)
0,25 a) Montrer que (𝑫) 𝒆𝒕 (𝑨𝑩𝑪) sont orthogonaux
0,25 b) Déterminer une représentation paramétrique de (𝑫)
c) Déterminer les cordonnées de point H l’intersection de (𝑨𝑩𝑪) 𝐞𝐭 (𝑫)

0,5
𝟓
3) Soit (𝑺𝜶 ) la sphère d’équation cartésienne : 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝒙 − 𝟐𝒚 + − 𝜶 = 𝟎
𝟒
Avec 𝜶 est un réel strictement positif.

0,5 a) Déterminer en fonction de 𝜶, le centre 𝛀 et le rayon 𝑹 de la sphère (𝑺𝜶 ).
0,75 b) Déterminer la valeur de 𝜶 pour la quelle le plan (𝑨𝑩𝑪) est tangente à la sphère
(𝑺𝜶 )
M5-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
Exercice 3 ( 3,5 points) :
⃗⃗ ; 𝐯⃗⃗) , les points 𝐀(𝐚); 𝐁(𝐛) ; 𝐂(𝐜) et 𝐃(𝐝)
tels que : 𝐚 = −𝟒 ; 𝐛 = −𝟏 + 𝐢√𝟑 ; 𝐜 = −𝐢𝐛 et 𝐝 = (𝟏 − 𝐢)𝐛
1) a) Déterminer la forme trigonométrique de b
0,25
0,5 b) En déduire la forme trigonométrique de c
𝛑
2) Soit la rotation R de centre O et d’angle −
𝟐
a) Déterminer l’image de points B par la rotation R

0,5
0,5 b) En déduire la nature du triangle OBC
0,25 3) Vérifier que 𝒄 = 𝒅 − 𝒃
4) Montrer que le quadrilatère OCDB est un carré

0,5
0,5 5) a) Montrer que : 𝒃 − 𝒂 = √𝟑 𝒄
0,5 b) En déduire que les points A ; B et D sont alignés

Une urne contient 𝟗 boules :
Cinq boules rouges numérotées 0;1;1;1;2 et quatre boules vertes numérotées

:0;1;1;2, sont indiscernables au toucher.
On tire au hasard et simultanément 3 boules de ce sac
1) On considère les événements suivants:
𝑨: " Obtenir 3 boules portant des numéros pairs”
𝑩 “Obtenir 3 boules dont la somme des numéros est égale à 3
𝑪 “Obtenir 3 boules vertes”

𝟏
1) Montrer que : 𝑷(𝑨) =
𝟐𝟏
0,5 𝟓
𝟏𝟒
0,5 𝟏
0,5 3) Montrer que : 𝑷(𝑩 ∩ 𝑪) =
𝟒𝟐
𝟏
0,5 4) En déduire que 𝑷𝑩 (𝑪) =
𝟏𝟓
0,5 5) Les événements C et B sont-ils indépendants, justifier votre réponse ?

‫فرنسي‬
A) Soit g une fonction définit sur ℝ par
𝐠(𝐱) = (𝟏 − 𝐱)𝐞𝟐−𝐱 + 𝟏
1) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝟏

0,5 𝐱→−∞ 𝐱→+∞
0,5 2)Montrer que : (∀𝐱 ∈ ℝ) ; 𝒈′ (𝐱) = (𝐱 − 𝟐)𝐞𝟐−𝐱
3) Dresser le tableau de variations de g puis montrer que :

0,5 (∀𝐱 ∈ ℝ) ∶ 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
B) Soit f une fonction définit sur ℝ par :
𝐟(𝐱) = 𝐱 − 𝟐 + 𝐱 𝐞𝟐−𝒙
(𝐂𝐟 ) son graphe dans un repère orthonormé (𝐎 ; ⃗𝐢 ; ⃗𝐣) (Unité:1cm)
1) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = −∞ et 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = +∞

0,5 𝐱→−∞ 𝐱→+∞
2) a) Montrer que : (∀𝐱 ∈ ℝ): 𝐟 ′ (𝐱) = 𝐠(𝐱)

0,5
0,5 b) Dresser le tableau de variation de f sur ℝ
3) a) Montrer que 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞(∆) ∶ 𝐲 = 𝐱 − 𝟐 est asymptote oblique de (𝐂𝐟 ) au voisinage

0,5
de +∞
0,5 b) Etudier la position relative de (𝐂𝐟 ) et (∆) en précisant leur point d’intersection
𝐟(𝐱)
4) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 = +∞ puis déterminer la branche infinie de (𝐂𝐟 ) au
𝐱→−∞ 𝐱
0,5 voisinage de −∞
5) a) Montrer que la courbe (𝐂𝐟 ) admet un point d’inflexion unique de coordonnées

0,5 (𝟐; 𝟐)
0,5 b) 𝐃é𝐭𝐞𝐫𝐦𝐢𝐧𝐞𝐫 l’équation de la tangente (T) au point d’abscisse 2
0,5 6) Montrer que l’équation 𝐟(𝐱) = 𝟎 admet une unique solution 𝛂 tel que : 0 < 𝛂 < 𝟏
7) Construire (T) ; (∆) et (𝐂𝐟 ) dans le repère (𝑶; 𝒊⃗; 𝒋⃗)

1
𝟐
8) a) Par une intégration par partie calculer ∫𝟎 𝐱 𝐞𝟐−𝒙 𝒅𝒙
0,5
b) Calculer l’aire du domaine plan limité par la courbe (𝑪𝒇 ) , la droite (∆) et les
0,5 droites x=0 et x=𝟐
1 23F Modèle 08
Solution d’exercice 01 (3 points) 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 < 𝟎
Soit (𝑼𝒏 ) une suite tel que 𝑼𝟎 = 𝟒 et (∀𝒏 ∈ Donc la suite (un) est décroissante
ℕ): 𝑼𝒏+𝟏 =
𝟓𝑼𝒏 −𝟒 La suite (un) est décroissante et minorée par
𝑼𝒏 +𝟏
2 donc elle est convergente
1) Montrer par récurrence que (∀𝒏 ∈ ℕ) : 𝟏
𝑼𝒏 > 𝟐 2) Pour tout n dans ℕ on pose ∶ 𝑽𝒏 =
𝑼𝒏 −𝟐
➢ Pour n=0 on a 𝒖𝟎 = 𝟒 > 𝟐 , qui est vraie a) Monter que (𝑽𝒏 ) est une suite
➢ Soit n un entier naturel, arithmétique de raison
𝟏
𝟑
Supposons que 𝒖𝒏 > 𝟐 et montrons
Rappel :
que 𝒖𝒏+𝟏 > 𝟐.
(𝑼𝒏 ) arithmétique
𝟓𝑼𝒏 − 𝟒
𝒖𝒏+𝟏 − 𝟐 = −𝟐 Définition :
𝑼𝒏 + 𝟏
𝑼𝒏+𝟏 − 𝑼𝒏 = 𝒓
𝟓𝑼𝒏 − 𝟒 − 𝟐(𝒖𝒏 + 𝟏)
= 𝐔𝐧 en fonction de n
𝑼𝒏 + 𝟏
𝑼𝒏 = 𝑼𝒑 + (𝒏 − 𝒑)𝒓
𝟑𝒖𝒏 − 𝟔
= Cas particulier :
𝑼𝒏 + 𝟏
𝟑(𝒖𝒏 − 𝟐) 𝑼𝒏 = 𝑼𝟎 + 𝒏𝒓
= Soit n un entier naturel,
𝑼𝒏 + 𝟏
𝟏 𝟏
On a 𝒖𝒏 > 𝟐 𝒗𝒏+𝟏 − 𝒗𝒏 = −
Donc 𝒖𝒏 + 𝟏 > 𝟑 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟐 𝒖𝒏 − 𝟐
𝟏 𝟏
Donc 𝒖𝒏 + 𝟏 > 𝟎 = 𝟑(𝒖 −𝟐) −
Et on a 𝒖𝒏 > 𝟐
𝒏 𝒖𝒏 − 𝟐
𝒖𝒏 +𝟏
Donc 𝒖𝒏 − 𝟐 > 𝟎 𝒖𝒏 + 𝟏 𝟑
𝟑(𝒖𝒏 −𝟐) = −
Donc 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟐) > 𝟎 Donc >𝟎 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟐) 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟐)
𝑼𝒏 +𝟏
𝒖𝒏 + 𝟏 − 𝟑
Donc 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟐 > 𝟎 donc 𝒖𝒏+𝟏 > 𝟐 =
𝟑(𝒖𝒏 − 𝟐)
D'après le principe de récurrence, on a :
𝒖𝒏 − 𝟐
(∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝒖𝒏 > 𝟐 =
−(𝑼𝒏 −𝟐)𝟐
𝟑(𝒖𝒏 − 𝟐)
4) Mq (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝑼𝒏+𝟏 − 𝑼𝒏 = puis 𝟏
𝑼𝒏 +𝟏
=
en déduire que la suite (𝑼𝒏 ) est 𝟑
𝟏
convergente Donc (𝒗𝒏 ) est arithmétique de raison 𝒓 = et
𝟑
Soit n un entier naturel, 𝒗𝟎 =
𝟏
=
𝟏
𝒖𝟎 −𝟐 𝟐
𝟓𝑼𝒏 − 𝟒
𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 = − 𝒖𝒏 b) Calculer (𝑽𝒏 ) en fonction de n
𝑼𝒏 + 𝟏
𝟓𝒖𝒏 − 𝟒 − 𝒖𝒏 (𝒖𝒏 + 𝟏) Soit n un entier naturel,
= On a suite (𝒗𝒏 ) est arithmétique de raison
𝒖𝒏 + 𝟏
𝟏 𝟏
𝟓𝒖𝒏 − 𝟒 − 𝒖𝟐𝒏 − 𝒖𝒏 𝒓 = et 𝒗𝟎 =
𝟑 𝟐
=
𝒖𝒏 + 𝟏 Donc 𝒗𝒏 = 𝒗𝟎 + 𝒓(𝒏 − 𝟎)
−(𝒖𝟐𝒏 − 𝟒𝒖𝒏 + 𝟒) 𝟏 𝟏
= = + 𝒏
𝒖𝒏 + 𝟏 𝟐 𝟑
𝟏 𝟏
− (𝒖𝒏 − 𝟐 )𝟐 D’où(∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝒗𝒏 = + 𝒏
𝟐 𝟑
= <𝟎
𝒖𝒏 + 𝟏
2 23F Modèle 08
c) déduire que (∀𝒏 ∈ ℕ) : 𝑼𝒏 =

𝟒𝒏+𝟏𝟐
et (𝑼𝒏 ) arithmétique
𝟐𝐧+𝟑
déterminer 𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏 Somme des termes
𝒏
𝐱→+∞
Soit n un entier naturel, 𝑺𝒏 = ∑ 𝑼𝒌 = 𝑼𝒑 + ⋯ + 𝑼𝒏
𝟏
Et on a : 𝒗𝒏 = donc : 𝒌=𝒑
𝒖𝒏 +𝟐 (𝒏 − 𝒑 + 𝟏)(𝑼𝒑 + 𝑼𝒏 )
𝟏 𝟏 𝟏 =
𝒗𝒏 = ⇒ 𝒖𝒏 − 𝟐 = ⇒ 𝒖𝒏 = +𝟐 𝟐
𝒖𝒏 − 𝟐 𝒗𝒏 𝒗𝒏 Cas particulier :
𝒏
𝟏 + 𝟐𝒗𝒏
⇒ 𝒖𝒏 = 𝑺𝒏 = ∑ 𝑼𝒌 = 𝑼𝟎 + ⋯ + 𝑼𝒏
𝒗𝒏
𝟏 𝟏 𝒌=𝟎
𝟏 + 𝟐( + 𝒏) (𝒏 + 𝟏)(𝑼𝟎 + 𝑼𝒏 )
𝟐 𝟑
⇒ 𝒖𝒏 = 𝟏 𝟏 =
+ 𝒏 𝟐
𝟏𝟐
𝟐
𝟒
𝟑 Soit n un entier naturel,
+ 𝒏 𝟏
𝟔 𝟔
⇒ 𝒖𝒏 = 𝟑 𝟐
𝒗𝒏 = ⇒ 𝒗𝒏 (𝒖𝒏 − 𝟐) = 𝟏 ⇒ 𝒖𝒏 𝒗𝒏 − 𝟐𝒗𝒏
+ 𝒏 𝒖𝒏 − 𝟐
𝟔 𝟔
𝟒𝒏 + 𝟏𝟐 =𝟏
⇒ 𝒖𝒏 = ⇒ 𝒖𝒏 𝒗𝒏 = 𝟏 + 𝟐𝒗𝒏
𝟐𝐧 + 𝟑 𝒏 𝒏
Déterminer la limite de la suite (𝒖𝒏 )
⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = ∑(𝟏 + 𝟐𝒗𝒌 )
𝟒𝒏 + 𝟏𝟐
𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 = 𝐥𝐢𝐦 𝒌=𝟎 𝒌=𝟎
𝒏→+∞ 𝒏→+∞ 𝟐𝐧 + 𝟑 𝒏 𝒏 𝒏
𝟏𝟐
𝒏 (𝟒 + ) ⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = ∑ 𝟏 + 𝟐 ∑ 𝒗𝒌
𝒏
= 𝐥𝐢𝐦 𝟑 𝒌=𝟎 𝒌=𝟎 𝒌=𝟎
𝒏→+∞
𝐧 (𝟐 + ) 𝒏
𝒏
(𝟒 +
𝟏𝟐
) ⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌
𝒏
= 𝐥𝐢𝐦 𝟑
𝒌=𝟎
𝒏→+∞ = (𝒏 + 𝟏 )
(𝟐 + )
𝒏
𝟒 (𝒏 − 𝟎 + 𝟏)(𝒗𝟎 + 𝒗𝒏 )
= =𝟐 +𝟐
𝟐 𝟐
𝒏
𝟑 𝟏𝟐
𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦 =𝟎 ⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌
𝒏→+∞ 𝒏 𝒏→+∞ 𝒏
𝒌=𝟎
4) Pour tout 𝒏 ∈ ℕ on pose : 𝑺𝒏 = 𝒖𝟎 𝒗𝟎 +
𝟏 𝟏 𝟏
𝒖𝟏 𝒗𝟏 + ⋯ + 𝒖𝒏 𝒗𝒏 = (𝒏 + 𝟏) + (𝒏 + 𝟏)( + + 𝒏)
𝟐 𝟐 𝟑
𝒏𝟐 +𝟕𝒏+𝟔 𝒏
Montrer que : (∀𝒏 ∈ ℕ) ∶ 𝑺𝒏 = 𝟏
𝟑
⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = (𝒏 + 𝟏)(𝟏 + 𝟏 + 𝒏)
Notation et rappel : 𝟑
𝒏 𝒌=𝟎
𝟐
𝒏 + 𝟕𝒏 + 𝟔
𝑺𝒏 = 𝒖𝟎 𝒗𝟎 + 𝒖𝟏 𝒗𝟏 + ⋯ + 𝒖𝒏 𝒗𝒏 = ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 =
𝒌=𝟎
𝟑
𝒏
𝒏 𝟏
∑𝟏 = 𝟏+𝟏+𝟏+⋯+𝟏 = 𝒏+𝟏 ⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗 𝒌 = (𝒏 + 𝟏)(𝟔 + 𝒏)
𝟑
𝒌=𝟎
𝒌=𝟎
𝟐
𝒏 + 𝟕𝒏 + 𝟔
=
𝟑
3 23F Modèle 08
Solution d’exercice 03 (3 points) 2) Soit (𝑫) la droite passant par le point 𝑨 de
L’espace est rapporté à un repère vecteur directeur 𝒖 ⃗⃗(𝟔; 𝟔; 𝟒)
orthonormé directe (𝑶, 𝒊⃗, 𝒋⃗ , ⃗𝒌⃗) a) Montrer que : (𝑫) ⊥ (𝑨𝑩𝑪)
On considère les points : 𝑨(𝟏; 𝟏; 𝟎) ; 𝟔 𝟑
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒖 ⃗⃗ (𝟔) 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗𝒏 (𝟑 )
𝑩(𝟎; 𝟐; 𝟎) ; 𝑪(𝟎; 𝟎; 𝟑).
𝟒 𝟐
1) a) Montrer que les points A ; B et C ne On peut remarquer
sont pas alignés que 𝒖⃗⃗ = 𝟐 ⃗⃗⃗⃗
𝒏
−𝟏 −𝟏
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ Donc les vecteurs
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝑨𝑩 = ( 𝟏 ) 𝒆𝒕 𝑨𝑪 (−𝟏)
𝟎 𝟑 ⃗⃗ 𝒆𝒕 𝒏
𝒖 ⃗⃗ sont
𝟏 −𝟏 colinéaires
Donc ∆𝒙 = | |=𝟑≠𝟎
𝟎 𝟑 Donc (𝑫) ⊥ (𝑨𝑩𝑪)
Donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗𝑨𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪 ne sont pas b) Déterminer une représentation
colinéaires donc A ; B et C ne sont pas alignes paramétrique de (𝑫)
b) Montrer que ⃗⃗⃗⃗ 𝒏 (𝟑; 𝟑; 𝟐) est un vecteur On a (𝑫)la droite passant par le point
normal au plan (ABC) 𝐀(𝟏; 𝟏; 𝟎) et de vecteur directeur 𝐮 ⃗⃗(𝟔; 𝟔; 𝟒)
Les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪 ne sont pas donc
colinéaires donc sont des vecteurs 𝒙 = 𝟏 + 𝟔𝒕
; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
directeurs du plan (ABC) donc il suffit de (𝑫): {𝒚 = 𝟏 + 𝟔𝒕
𝒛 = 𝟒𝒕
montrer que :
c) Déterminer les cordonnées de point H
𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗ 𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 l’intersection de (𝑨𝑩𝑪) 𝐞𝐭 (𝑫)
𝟑 −𝟏
On a (D) et (ABC) sont sécantes en H(x ;y ;z)
𝒏 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗. 𝑨𝑩 = (𝟑) . ( 𝟏 ) = −𝟑 + 𝟑 = 𝟎
𝟐 𝟎 alors les coordonnés (x ;y ;z) vérifie
𝑫𝒐𝒏𝒄 ⃗⃗⃗⃗ 𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 𝒙 = 𝟏 + 𝟔𝒕
𝒚 = 𝟏 + 𝟔𝒕
𝟑 −𝟏 le systèmes : {
⃗⃗⃗⃗. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝒏 𝑨𝑪 = (𝟑) (−𝟏) = −𝟑 − 𝟑 + 𝟔 = 𝟎 𝒛 = 𝟒𝒕
𝟑𝒙 + 𝟑𝒚 + 𝐳 − 𝟔 = 𝟎
𝟐 𝟑
Donc on remplace 𝒙 = 𝟏 + 𝟔𝒕 ; 𝒚 = 𝟏 + 𝟔𝒕 et
𝑫𝒐𝒏𝒄 ⃗⃗⃗⃗ 𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪
𝒛 = 𝟒𝒕 dans
c) Déterminer une équation cartésienne du
𝟑𝒙 + 𝟑𝒚 + 𝟐𝐳 − 𝟔 = 𝟎
plan (𝑨𝑩𝑪)
On trouve : 𝟑(𝟏 + 𝟔𝒕 ) + 𝟑(𝟏 + 𝟔𝒕) + 𝟐(𝟒𝒕 ) −
Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑨𝑩𝑪)
𝟔=𝟎
𝟑
On a le vecteur 𝒏 ⃗⃗ (𝟑) est normale au plan Donc 𝟑 + 𝟏𝟖𝒕 + 𝟑 + 𝟏𝟖𝒕 + 𝟖𝒕 − 𝟔 = 𝟎
𝟐 Donc 𝟒𝟒𝐭 = 𝟎 donc 𝒕 = 𝟎 donc
(𝑨𝑩𝑪) 𝒙 =𝟏+𝟔×𝟎
Donc (𝑨𝑩𝑪): 𝟑𝒙 + 𝟑𝒚 + 𝟐𝒛 + 𝒅 = 𝟎 { 𝒚=𝟏+𝟔×𝟎
Et on a 𝑨(𝟏, 𝟏, 𝟎) ∈ (𝑨𝑩𝑪) donc on remplace 𝒛=𝟒×𝟎
𝒙=𝟏
les coordonnées de A dans : 𝑫𝒐𝒏𝒄 { 𝒚 = 𝟏
𝟑𝒙 + 𝟑𝒚 + 𝟐𝒛 + 𝒅 = 𝟎 𝒛=𝟎
Donc : 𝟑 + 𝟑 + 𝟎 + 𝒅 = 𝟎 donc 𝒅 = −𝟔 Donc (D) et (ABC) sont séantes en 𝑯(𝟏 ; 𝟏 ; 𝟎)
Donc (𝑨𝑩𝑪): 𝟑𝒙 + 𝟑𝒚 + 𝟐𝒛 − 𝟔 = 𝟎
4 23F Modèle 08
3)a)Déterminer en fonction de 𝜶, le centre Solution d’exercice 03 (3,5 points)
𝛀 et le rayon 𝑹 de la sphère (𝑺𝜶 ). On considère dans le repère complexe
Rappel : L’ensemble des points 𝐌(𝒙; 𝒚; 𝒛) de ⃗⃗ ; 𝐯⃗⃗) , les points 𝐀(𝐚); 𝐁(𝐛) ; 𝐂(𝐜) et 𝐃(𝐝)
( 𝐎 ;𝐮
l’espace tel que : tels que :𝐚 = −𝟒 ; 𝐛 = −𝟏 + 𝐢√𝟑 ; 𝐜 = −𝐢𝐛 et
(𝑺) : 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 + 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝐜𝐳 + 𝒅 = 𝟎 𝐝 = (𝟏 − 𝐢 )𝐛
est un sphère si 𝑫 = 𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 − 𝟒𝐝 > 𝟎 1) a) Déterminer la forme trigonométrique
𝒂 𝒃
➢ Son centre est le point 𝛀 (− ; − ; − )
𝒄
de b
𝟐 𝟐 𝟐
√𝑫 𝟐
➢ Son rayon est 𝒓 = |𝒃| = √(−𝟏)𝟐 + √𝟑 = √𝟒 = 𝟐
𝟐
𝟓 −𝟏 √𝟑
(𝑺𝜶 ): 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝒙 − 𝟐𝒚 + −𝜶=𝟎 𝒃 = −𝟏 + 𝐢√𝟑 = 𝟐 ( +𝒊 )
𝟒 𝟐 𝟐
𝟓
On pose 𝒂 = −𝟏 ; 𝒃 = −𝟐 ; 𝒄 = 𝟎 𝒆𝒕 𝒅 = − 𝜶 𝝅 𝝅
𝟒 = 𝟐 (𝒄𝒐𝒔(𝝅 − ) + 𝒊 𝒔𝒊𝒏 (𝝅 − ))
𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 − 𝟒𝒅 𝟑 𝟑
𝟓 𝟐𝛑 𝟐𝛑
= (−𝟏)𝟐 + (−𝟐)𝟐 − 𝟒 × ( − 𝜶) = 𝟐 (𝒄𝒐𝒔( ) + 𝒊 𝒔𝒊𝒏 ( ))
𝟒 𝟑 𝟑
= 𝟓 − 𝟓 + 𝟒𝜶 = 𝟒𝜶 > 𝟎 car 𝜶 > 𝟎 b) En déduire la forme trigonométrique
Donc l’ensemble (𝑺) est une sphère de de c
𝒂 𝒃 𝒄 𝐜 = −𝐢𝐛
centre 𝛀(− ; − ; − ) 𝛑 𝟐𝛑
𝟐 𝟐 𝟐 −𝐢 𝐢
𝟏 = 𝐞 𝟐 × 𝟐𝐞 𝟑
Donc 𝛀( ; 𝟏; 𝟎) et de rayon 𝟐𝛑 𝛑
𝟐
= 𝟐𝐞𝐢 𝟑 − 𝟐
√𝟒𝜶 𝟐√𝜶 𝛑
𝑹= = = √𝜶 = 𝟐𝐞𝐢𝟔
𝟐 𝟐
𝛑 𝛑
b) Déterminer la valeur de 𝜶 pour la quelle = 𝟐 (𝒄𝒐𝒔( ) + 𝒊 𝒔𝒊𝒏 ( ))
𝟔 𝟔
le plan (𝑨𝑩𝑪) 𝛑
2) Soit la rotation R de centre O et d’angle −
est tangente à la sphère (𝑺𝜶 ) 𝟐
Rappel : DISTANCE D’UN POINT à UN PLAN b) Déterminer l’image de points B par la

Soient (𝑷) : 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎 rotation R
| 𝒂𝒙𝑨 + 𝒃𝒚𝑨 + 𝒄𝒛𝑨 + 𝒅| O a : 𝐜 = −𝐢𝐛
𝒅(𝑨; (𝑷)) = 𝛑
√𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 𝐜 = −𝐢𝐛 ⇔ 𝐜 = 𝐞−𝐢𝟐 𝐛
𝟑 𝛑
𝟐
| + 𝟑 − 𝟔| ⇔ 𝐜 − 𝐨 = 𝐞−𝐢𝟐 (𝐛 − 𝐨)
𝒅( 𝛀; (𝑨𝑩𝑪)) = ⇔ 𝐑 ( 𝐁) = 𝐂
√𝟑𝟐+ 𝟑𝟐 + 𝟐 𝟐
𝟑 𝟑
|− |
= 𝟐
= 𝟐 b) En déduire la nature du triangle OBC
𝟐 𝟐
√𝟑 + 𝟑 + 𝟐 𝟐 √𝟐𝟐 𝐎𝐁 = 𝐎𝐂
𝟑 𝐑(𝐁) = 𝐂 ⇔ {(𝐎𝐁
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ 𝛑
= ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐎𝐂) ≡ − [𝟐𝝅]
𝟐√𝟐𝟐 𝟐
Le plan (𝑨𝑩𝑪) est tangente à la sphère (𝑺𝜶 ) Donc triangle OBC est rectangle et isocèle en
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒅( 𝛀; (𝑨𝑩𝑪)) = 𝑹 O
𝟑
𝑫𝒐𝒏𝒄 = √𝜶
𝟐√𝟐𝟐
𝟗 𝟗
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝜶 = =
𝟒 × 𝟐𝟐 𝟖𝟖
5 23F Modèle 08
3) Vérifier que 𝒄 = 𝒅 − 𝒃 Solution d’exercice 02 (3 points)
𝒅 − 𝒃 = (𝟏 − 𝐢 )𝒃 − 𝒃 Une urne contient 𝟗 boules :
= 𝒃 (𝟏 − 𝒊 − 𝟏 ) Cinq boules rouges numérotées 0;1;1;1;2 et
= −𝒊𝒃 quatre boules vertes numérotées :0;1;1;2,
=𝒄 sont indiscernables au
2
4) Montrer que le quadrilatère OCDB est un toucher. 1 1 1
0
carré
On a 𝒄 = 𝒅 − 𝒃 0 1 1 2
n
Donc 𝒄 − 𝒐 = 𝒅 − 𝒃
Donc ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐎𝐂 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑫 On tire au hasard et simultanément 3 boules
Donc le quadrilatère OCDB est un de ce sac
paralléloramme
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝛑 On considère les événements suivants:
De plus on a (𝐎𝐁 𝐎𝐂) ≡ − [𝟐𝛑]
𝟐 𝑨: " Obtenir 3 boules portant des numéros
Donc le quadrilatère OCDB est un rectanle
pairs”
De plus on a 𝐎𝐁 = 𝐎𝐂
𝑩 “Obtenir 3 boules dont la somme des
D’où Donc le quadrilatère OCDB est un
numéros est égale à 3
carré
𝑪 “Obtenir 3 boules vertes”
5) a) Montrer que : 𝒃 − 𝒂 = √𝟑 𝒄
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒃 − 𝒂 = −𝟏 + 𝐢√𝟑 − (−𝟒) 1) Montrer que : 𝑷(𝑨) =
𝟏
𝟐𝟏
= 𝟑 + 𝐢√𝟑
L’univers 𝛀 associé à cette expérience
𝑬𝒕 √𝟑 𝒄 = √𝟑 (−𝒊𝒃) = −𝒊√𝟑(−𝟏 + 𝐢√𝟑) aléatoire est l’ensemble des combinaisons de
= 𝟑 + 𝒊√𝟑 trois boules parmi dix boules
Donc 𝒃 − 𝒂 = √𝟑 𝒄 Donc le nombre des possibilités est
b) En déduire que les points A ; B et D 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝑪𝟑𝟗
sont alignés 𝟗×𝟖×𝟕
=
On a 𝒃 − 𝒂 = √𝟑 𝒄 et 𝒄 = 𝒅 − 𝒃 𝟑×𝟐
Donc 𝒃 − 𝒂 = √𝟑 (𝒅 − 𝒃) = 𝟖𝟒
𝒃−𝒂 𝑨: " Obtenir 3 boules portant des numéros
Donc = √𝟑
𝒅−𝒃 pairs”
Donc les points A ; B et D sont alignés 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑨)
𝒑(𝑨) =
𝑪𝟑𝟒
=
𝟖𝟒
𝑪𝟏𝟒
=
𝟖𝟒
𝟒
=
𝟖𝟒
𝟏
=
𝟐𝟏
=
6 23F Modèle 08

𝟓 Solution du problème (8 points)
𝟏𝟒
𝑩 “Obtenir 3 boules dont la somme des
A) Soit g la fonction définit sur ℝ par
numéros est égale à 3 𝐠(𝐱) = (𝟏 − 𝐱)𝐞𝟐−𝐱 + 𝟏
(1 ;1 ;1) ou (0 ;1 ;2) 1) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = +∞ et
𝐱→−∞
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑩) = 𝑪𝟑𝟓 + (𝑪𝟏𝟐 × 𝑪𝟏𝟐 × 𝑪𝟏𝟓 ) 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝟏
𝐱→+∞
𝟓×𝟒×𝟑
= +𝟐×𝟐×𝟓 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 (𝟏 − 𝐱)𝐞𝟐−𝐱 + 𝟏
𝟑×𝟐 𝐱→−∞ 𝐱→−∞
= 𝟏𝟎 + 𝟐𝟎 𝑶𝒏 𝒂: 𝐥𝐢𝐦 𝟐 − 𝐱 = +∞
𝐱→−∞
= 𝟑𝟎 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐢𝐦 𝐞 𝟐−𝐱
= +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 𝟏 − 𝐱 = +∞
𝐱→−∞ 𝐱→−∞
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑩) 𝟐−𝐱
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑩) = 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 (𝟏 − 𝐱)𝐞 +𝟏
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝐱→−∞ 𝐱→−∞
𝟑𝟎 = +∞
=
𝟖𝟒 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 (𝟏 − 𝐱)𝐞𝟐−𝐱 + 𝟏
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
𝟓
= = 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝟐−𝐱 − 𝐱𝐞𝟐−𝐱 + 𝟏
𝟏𝟒 𝐱→+∞
𝟏 𝟐
3) Montrer que : 𝑷(𝑩 ∩ 𝑪) = 𝐞 𝟐
𝒙
𝟒𝟐 = 𝐥𝐢𝐦 − (𝐞 × )+𝟏
𝐱→+∞ 𝐞 𝐱 𝐞𝐱
𝑩 ∩ 𝑪′′Obtenir 3 boules vertes dont la
somme des numéros est égale à 3’’ 𝐞𝟐 𝟏
𝟐
(0 ;1 ;2) = 𝐥𝐢𝐦 − (𝐞 × 𝐞𝐱
)+𝟏
𝐱→+∞ 𝐞 𝐱
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑩 ∩ 𝑪) = 𝑪𝟏𝟏 × 𝑪𝟏𝟏 × 𝑪𝟏𝟐 𝒙
=𝟐 =𝟏
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑩 ∩ 𝑪) 𝐱
𝐞𝟐
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑩 ∩ 𝑪) = (𝐂𝐚𝐫: 𝐥𝐢𝐦 𝐞 = +∞ 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐢𝐦 𝐱 = 𝟎 )
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝐞
𝟐 𝟏
= = 𝐞𝐱 𝟏
𝟖𝟒 𝟒𝟐 (𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 = +∞ 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 = 𝟎)
𝟏 𝐱→+∞ 𝒙 𝐱→+∞
4) En déduire que 𝑷𝑩 (𝑪) = 𝒙
𝟏𝟓
𝟏 2)Montrer que :
𝒑(𝑩 ∩ 𝑪) 𝟒𝟐
𝑷𝑩 (𝑪) = = 𝟓 ∀𝐱 ∈ ℝ ; 𝒈′ (𝐱) = (𝐱 − 𝟐)𝐞𝟐−𝐱
𝒑(𝐁)
𝟏𝟒 La fonction g est dérivable sur ℝ car c’est
𝟏 𝟏𝟒 𝟏 un produit de deux fonctions dérivables sur
= × =
𝟒𝟐 𝟓 𝟏𝟓 ℝ
5) Les événements C et B sont-ils
𝐒𝐨𝐢𝐭 𝐱 ∈ ℝ
indépendants, justifier votre réponse ?
𝟏 𝒈′ (𝐱) = −𝟏 × 𝐞𝟐−𝐱 + (𝟏 − 𝒙) × (−𝐞𝟐−𝐱 ) + 𝟎
On a 𝑷𝑩 (𝑪) = et
𝟏𝟓 = −𝐞𝟐−𝐱 − (𝟏 − 𝒙)𝐞𝟐−𝐱
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑪) 𝑪𝟑𝟒 𝑪𝟏𝟒 𝟒 𝟏 = −𝐞𝟐−𝐱 − 𝐞𝟐−𝐱 + 𝐱𝐞𝟐−𝐱
𝒑(𝑪) = = = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒 𝟖𝟒 𝟖𝟒 𝟐𝟏 = −𝟐𝐞𝟐−𝐱 + 𝐱𝐞𝟐−𝐱
Donc 𝑷𝑩 (𝑪) ≠ 𝒑(𝑪)
= (𝐱 − 𝟐)𝐞𝟐−𝐱
D’où les événements C et B ne sont pas
indépendants
7 23F Modèle 08
3) Dresser le tableau de variations de g 𝐒𝐨𝐢𝐭 𝐱 ∈ ℝ
On a ∀𝐱 ∈ ]−∞ ; 𝟐] ; 𝒙 − 𝟐 ≤ 𝟎 𝐟 ′ (𝐱) = 𝟏 − 𝟎 + (𝟏 × 𝐞𝟐−𝒙 + 𝒙 × (−𝐞𝟐−𝒙 ))
𝐞𝐭 ∀𝐱 ∈ [𝟐; +∞[; 𝒙 − 𝟐 ≥ 𝟎 ,donc : = 𝟏 + 𝐞𝟐−𝒙 − 𝒙𝐞𝟐−𝒙
x −∞ 2 +∞ = 𝐞𝟐−𝐱 (𝟏 − 𝐱) + 𝟏 = 𝒈(𝒙)
′
𝒈 (𝒙) − 0 + b) Dresser le tableau de variation de f
1 +∞ Soit 𝐱 ∈ ℝ ; 𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐟 ′ (𝐱) = 𝒈(𝒙)
𝒈(𝒙)
𝑫′𝒂𝒑𝒓é𝒔 𝒍𝒂 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒆 𝑨): 𝒈(𝒙) ≥ 𝟎
𝒈(𝟐) = 𝟎
4) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ℝ; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎 Donc 𝐟 ′ (𝐱) ≥ 𝟎
Le nombre 0 est une valeur minimale de la D’où f est strictement croissante sur ℝ
fonction g sur ℝ
x −∞ +∞
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ ∀𝐱 ∈ ℝ; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
B) Soit f une fonction définit sur ℝ par : 𝒇′ (𝒙) +
𝐟(𝐱) = 𝐱 − 𝟐 + 𝐱 𝐞𝟐−𝒙 +∞
𝒇(𝒙)
1) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = −∞ −∞
𝐱→−∞
et 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = +∞ 3) a) Montrer que 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞
𝐱→+∞
𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 − 𝟐 + 𝐱 𝐞𝟐−𝒙 = −∞ (∆) ∶ 𝐲 = 𝐱 − 𝟐 est asymptote oblique de
𝐱→−∞ 𝐱→−∞
𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦 𝟐 − 𝐱 = +∞ (𝐂𝐟 ) au voisinage de +∞
𝐱→−∞ ∗ 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) − (𝐱 − 𝟐)
𝐃𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝟐−𝐱 = +∞ 𝐱→+∞
𝐱→−∞ = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 − 𝟐 + 𝐱 𝐞𝟐−𝒙 − (𝐱 − 𝟐)
𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 𝐱 = −∞ 𝐱→+∞
𝐱→−∞ 𝒙
𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 − 𝟐 + 𝐱 𝐞 𝟐−𝒙 = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 𝐞𝟐−𝒙 = 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝟐 ×
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝐞𝐱
𝒙 𝟏
= 𝐥𝐢𝐦 𝐱 − 𝟐 + (𝐞𝟐 × ) = 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝟐 × 𝐞𝐱
=𝟎
𝐱→+∞ 𝐞𝐱 𝐱→+∞
𝒙
𝟏
= 𝐥𝐢𝐦 𝐱 − 𝟐 + (𝐞𝟐 × ) 𝐞𝐱 𝟏
𝐱→+∞ 𝐞𝐱 (𝐂𝐚𝐫 𝐥𝐢𝐦 = +∞ 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 = 𝟎)
𝒙 𝐱→+∞ 𝒙 𝐱→+∞
𝒙
= +∞
𝐃𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞(∆) ∶ 𝐲 = 𝐱 − 𝟐 est asymptote
𝐂𝐚𝐫 ∶ 𝐥𝐢𝐦 𝐱 − 𝟐 = +∞
𝐱→+∞ oblique de (𝐂𝐟 ) au voisinage de +∞
( 𝐞𝐱 𝟏 ) b) Etudier la position relative de (𝐂𝐟 ) par
𝐄𝐭 𝐥𝐢𝐦 = +∞ 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 = 𝟎
𝐱→+∞ 𝒙 𝐱→+∞ rapport à (∆)
𝒙
2) a) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ℝ; 𝐟 ′ (𝐱)
= 𝐠(𝐱) 𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒇(𝐱) − (𝐱 − 𝟐) = 𝐱 𝐞𝟐−𝒙 Et comme
La fonction 𝒙 ⟼ 𝐱 est dérivable sur ℝ 𝐞𝟐−𝒙 > 𝟎 donc le signe de 𝒇(𝐱) − (𝐱 − 𝟐) est le
La fonction 𝒙 ⟼ 𝐞𝟐−𝒙 est dérivable sur ℝ signe de x qui s’annule en 0
Donc la fonction 𝒙 ⟼ 𝒙𝐞𝟐−𝒙 est dérivable
sur ℝ
La fonction 𝒙 ⟼ 𝐱 − 𝟐 est dérivable sur ℝ
D’où la fonction f est dérivable sur ℝ
8 23F Modèle 08
4) Montrer que 𝐥𝐢𝐦

𝐟(𝐱)
= +∞ puis en 7) Tracer (𝐂𝐟 ) dans un repère (𝑶; 𝒊⃗; 𝒋⃗)
𝐱→−∞ 𝐱
déduire la branche infinie de (𝐂𝐟 ) au
voisinage de−∞
𝐟(𝐱 ) 𝐱 − 𝟐 + 𝐱 𝐞𝟐−𝒙
𝐱→−∞ 𝐱 𝐱→−∞ 𝐱
𝟐
= 𝐥𝐢𝐦 𝟏 − + 𝐞𝟐−𝒙 = +∞
𝐱→−∞ 𝐱
𝟐
𝑪𝒂𝒓 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝟐−𝐱 = +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎
𝐱→−∞ 𝐱→−∞ 𝐱
𝐟(𝐱)
On a : 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 = +∞
𝐱→−∞ 𝐱→−∞ 𝒙
Donc la courbe (𝐂𝐟 ) admet une branche
parabolique de direction l’axe des
ordonnées au voisinage de −∞
5) a) Montrer que (𝐂𝐟 ) admet un point
d’inflexion unique de coordonnées (𝟐; 𝟐)
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐟 ′′ (𝐱) = 𝒈′ (𝒙) = (𝐱 − 𝟐)𝐞𝟐−𝐱
On a ∀𝐱 ∈ ]−∞; 𝟐]; 𝒙 − 𝟐 ≤ 𝟎 𝐞𝐭 ∀𝐱 ∈ 𝟐
8) a) Par IPP calculer ∫𝟎 𝐱 𝐞𝟐−𝒙 𝒅𝒙
[𝟐; +∞[; 𝒙 − 𝟐 ≥ 𝟎 ,donc :
𝐮(𝐱) = 𝐱 𝐮′ (𝐱) = 𝟏
x −∞ 2 +∞ Posons { ′ 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 {
𝐯 (𝐱) = 𝐞𝟐−𝐱 𝐯(𝐱) = −𝐞𝟐−𝐱
′
𝒇′ (𝒙) − 0 + Il s’ensuit donc :
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐟 ′′ s’annule et change de signe en 2 𝟐 𝟐
donc le point 𝐀(𝟐; 𝒇(𝟐)) c-à-dire 𝐀(𝟐; 𝟐) est ∫ 𝒙𝐞𝟐−𝐱 𝒅𝒙 = [−𝐱𝐞𝟐−𝐱 ]𝟐𝟎 + ∫ 𝐞𝟐−𝐱 𝐝𝐱
𝟎 𝟎
une point d’inflexion de (𝑪𝒇) 𝟎 [𝐞𝟐−𝐱 ]𝟐𝟎
= −𝟐𝐞 + 𝟎 −
b) 𝐃é𝐭𝐞𝐫𝐦𝐢𝐧𝐞𝐫 l’équation de la tangente (T)
= −𝟐 − 𝐞 + 𝐞 = −𝟑 + 𝐞𝟐
𝟎 𝟐
au point 2
b) Calculer l’aire du domaine plan limité par
(𝑻): 𝒚 = 𝒇′ (𝟐)(𝒙 − 𝟐) + 𝒇(𝟐)
la courbe (𝑪𝒇 ) , la droite (∆) et les droites
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒇′ (𝟐) = 𝒈(𝟐) = 𝟎 𝒆𝒕 𝒇(𝟐) = 𝟐
x=0 et x=𝟐
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ (𝑻): 𝒚 = 𝟐
On a (𝑪𝒇) est en dessus de (∆); 𝒚 = 𝒙 sur
6) Montrer que 𝐟(𝐱) = 𝟎 admet une unique
l’intervalle [𝟎, 𝟐]
solution 𝛂 dan IR et que 0 < 𝛂 < 𝟏
D’après la question B)3)b)
➢ La fonction f est continue sur ℝ
Donc ∀𝒙 ∈ [𝟎, 𝟐]: |𝐟(𝐱) − 𝐲| = 𝐟(𝐱) − 𝒚
➢ f est strictement croissante sur ℝ 𝟐
➢ 𝑬𝒕 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = +∞ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = −∞ 𝐀 = ∫ |𝐟(𝐱) − 𝐲|𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚
𝐱→+∞ 𝐱→−∞
𝟎
➢ 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒇(ℝ) = ℝ 𝐃𝐨𝐧𝐜 𝟎 ∈ 𝒇(ℝ) 𝟐
D’où l’équation 𝒇(𝒙) = 𝟎 admet une unique = ∫ 𝐟(𝐱) − 𝐲 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚
𝟎
solution 𝜶 dans ℝ 𝟐
➢ La fonction f est continue sur l’intervalle = ∫ 𝐱 − 𝟐 + 𝐱 𝐞𝟐−𝒙 − (𝐱 − 𝟐)𝒅𝒙 . 𝐜𝐦𝟐
[𝟎; 𝟏] 𝟎
𝟐
➢ f est strictement croissante sur [𝟎; 𝟏] = ∫ 𝐱 𝐞𝟐−𝒙 𝒅𝒙 . 𝐜𝐦𝟐
➢ 𝑬𝒕 ∶ 𝒇(𝟎) = −𝟐 𝒆𝒕 𝒇(𝟏) = 𝒆 − 𝟐 𝟎
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒇(𝟎) × 𝒇(𝟏) < 𝟎 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝜶 ∈ ]𝟎, 𝟏[ = −𝟑 + 𝐞 . 𝐜𝐦𝟐 = (𝐞𝟐 − 𝟑)𝐜𝐦𝟐

𝟐
10
*****9
Prof
Fayssal



Nombres complexes.
Problème 8 points
intégral

M5-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
On considère la suite (𝒖𝒏 )𝒏∈ℕ définie par :
𝟐𝒖𝒏 +𝟑
𝒖𝟎 = 𝟏 et 𝒖𝒏+𝟏 = pour tout 𝒏 ∈ ℕ.
𝒖𝒏 +𝟐
0,5 8) Montrer par récurrence que : (∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝟎 < 𝒖𝒏 < √𝟑

0,5 9) Montrer que la suite (𝒖𝒏 )𝒏∈𝑰𝑵 est croissante
0,25 10) En déduire que la suite (𝒖𝒏 )𝒏∈𝑰𝑵 convergente.
0,75 𝟏
11) Montrer que : (∀𝒏 ∈ ℕ ); √𝟑 − 𝒖𝒏+𝟏 ≤ (√𝟑 − 𝒖𝒏 )
𝟐
𝟏 𝒏
0,5 12) Montrer que: (∀𝒏 ∈ ℕ); √𝟑 − 𝒖𝒏 ≤ ( ) (√𝟑 − 𝟏).
𝟐
0,25 13) En déduire 𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 .

𝒏→+∞
14) Soit (𝒘𝒏 )𝒏∈𝑰𝑵 la suite numérique telle que :

0,25
𝒘𝒏 = 𝐥𝐧(𝒖𝒏 ) pour tout 𝒏 ∈ ℕ , calculer 𝐥𝐢𝐦(𝒘𝒏 )𝒏∈𝑰𝑵
⃗⃗ )
Soient les points 𝑨 (−𝟏 𝟎 ; 𝟏) ; 𝑩 (𝟏 ; −𝟏 ; 𝟎) ; 𝑪 (𝟎 ; 𝟏 ; 𝟏)
1) a) Montrer que les point A ;B et C formant un plan

0,25
b) Montrer que 𝒏 ⃗⃗ est un vecteur normal au plan (ABC)

⃗⃗ = 𝒊⃗ − 𝒋⃗ + 𝟑𝒌
0,25
0,5 c) Montrer que : 𝒙 − 𝒚 + 𝟑𝒛 − 𝟐 = 𝟎 est l’équation cartésienne du plan (ABC)
2) Soit (S) la sphère d’équation cartésienne : 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟒 = 𝟎
0,75 a) Montrer que le plan (ABC) coupe (S) suivant un cercle (C) dont on précisera le
rayon r et le centre
b) Déterminer une équation cartésienne du plan (P) passant par I le milieu du

0,5 segment [𝑨𝑩] et perpendiculaire à la droite (AB)
c) Montrer que les plans (P) et (ABC) sont perpendiculaires

0,25
d) Déterminer une représentation paramétrique de la droite (D) l’intersection des
0,5
plans (P) et (ABC)
M5-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
C) Résoudre dans ℂ l’équation (𝐄): 𝐳 𝟐 + √𝟑 𝐳 + 𝟏 = 𝟎
0,5
D) On considère dans le repère complexe ( 𝐎 ; 𝐮
⃗⃗ ; 𝐯⃗⃗) , le point 𝐀(𝐚) tels que
𝟏 √𝟑
𝐚= +𝐢 et le point 𝐂(𝐜) le milieu du segment [𝑶𝑨]
𝟐 𝟐
1) Déterminer la forme trigonométrique de 𝒂 et en déduire la forme

0,75 trigonométrique de c
𝛑
2) Soit la rotation R de centre C et d’angle − et soit b l’affixe du point B l’image de A
𝟐
par la rotation R
0,5 6) Vérifier que 𝐛 − 𝒄 = −𝒊𝒄 et en déduire la nature du triangle OBC
0,5 √𝟐 𝝅
7) Montrer que |𝐛| = et 𝒂𝒓𝒈(𝒃) ≡ [𝟐𝝅]
𝟐 𝟏𝟐
0,75 8) Montrer que l’ensemble des point M d’affixe z tels que|𝟐𝐳 − 𝐚| = 𝟏 est le cercle
circonscrit au triangle OAB
A) Un sac 𝑺𝟏 contient 2 boules rouges et 3 boules noires.
Toutes les boules sont indiscernables au toucher.
On tire au hasard et simultanément deux boules du sac 𝑺𝟏
Soient les deux évènements suivants :
A : « Les deux boules tirées sont de même couleur »
𝑩 : « Obtenir au plus une boule noires »
0,5 1) Calculer 𝑷(𝑨) la probabilité d’évènements 𝑨 :
0,5 2) Calculer 𝑷(𝑩) la probabilité d’évènements 𝑩 :
B) Considérons un autre sac 𝑺𝟐 contient 3 boules rouges et deux noires.
On tire une boule de 𝑺𝟏 si elle est noire on la met dans 𝑺𝟐 , puis en tire une boule de
𝑺𝟐 et si elle est rouge on l’écart à coté puis en tire une boule de 𝑺𝟐
Soient les deux évènements suivants :
𝑹𝟏 : « La boule tirée de 𝑺𝟏 est rouge »
𝑵𝟏 : « La boule tirée de 𝑺𝟏 est noire »
𝑹𝟐 : « La boule tirée de 𝑺𝟐 est rouge »
𝑵𝟐 : « La boule tirée de 𝑺𝟐 est noire ».
𝟐𝟕
0,75 1) Montre que 𝑷(𝑹𝟐 ) =
𝟓𝟎
0,5 2) En déduire 𝑷(𝑵𝟐 )
3) Sachant que la boule tirée de 𝑺𝟐 est rouge , quelle est la probabilité que la boule
0,75
tirée de 𝑺𝟏 soit rouge
‫فرنسي‬
A) Soit la fonction g définit sur ]𝟎; +∞[ par :
g(𝐱) = (𝐚𝐱 + 𝐛)𝒍𝒏 𝒙 , avec a et b deux réels ; et
soit (𝐂𝒈 ) son graphe dans un repère
orthonormé
La droite (AB) est la tangente à (𝐂𝒈 ) au point
𝑨(𝟏; 𝟎)
1) Déterminer graphiquement le sens de 𝜶
0,25 variations de g sur ]𝟎; +∞[
2) Déterminer graphiquement ;
0,75 𝐠(𝟒) ; 𝐠 ′ (𝛂) et 𝐠 ′ (𝟏)
0,5 3) Calculer 𝐠(𝟒) et 𝐠 ′ (𝟏) en fonction de a et b
0,5 4) Déduire que g(𝐱) = (𝟒 − 𝐱))𝒍𝒏 𝒙 pour tout x de ]𝟎; +∞[
0,5 5) justifier graphiquement que :
(∀𝐱 ∈ [𝟏; 𝟒]) ; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎 et (∀𝐱 ∈ ]𝟎; 𝟏] ∪ [𝟒; +∞[) ∶ 𝒈(𝐱) ≤ 𝟎
B) Soit f une fonction définit sur [𝟎; +∞[par :

𝟏 𝟏
𝐟(𝐱) = − 𝐱 𝟐 + 𝟒𝐱 + ( 𝐱 𝟐 − 𝟒𝒙) 𝒍𝒏 𝒙 𝒆𝒕 𝒇(𝟎) = 𝟎
𝟒 𝟐
Et (𝐂𝐟 ) sont graphe dans un repère orthonormé ( 𝐎 ; ⃗𝐢 ; ⃗𝐣) d’unité 1 cm
0,5 1) Montrer que f est continue à droite en 0
𝐟(𝐱)
0,5 2) a) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 𝒙 = +∞
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
0,25 b) En déduire la branche infinie de (𝐂𝐟 ) au voisinage de +∞
𝐟(𝐱)
3) Montrer que 𝐥𝐢𝐦+ = +∞ puis interpréter le résultat géométriquement
0,5 𝐱→𝟎 𝒙
0,5 4)a) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[: 𝒇′ (𝐱) = − 𝐠(𝐱)

b) Montrer que la fonction f est strictement décroissante sur [𝟏; 𝟒] et strictement
0,5 croissante sur ]𝟎; 𝟏] 𝒆𝒕 [𝟒; +∞[
0,5 c) Dresser le tableau de variation de f sur [𝟎; +∞[
0,5 5) Montrer (𝐂𝐟 ) admet un point d’inflexion unique d’abscisse 𝜶
1 6) Construire (𝐂𝐟 ) dans le repère ( 𝐎 ; ⃗𝐢 ; ⃗𝐣)
( On donne 𝒇(𝟏) ≅ 𝟑. 𝟕𝟓 ; 𝒇(𝟒) ≅ 𝟎. 𝟗 et que 𝜶 = 𝟐, 𝟒 )
7) Soit la fonction h définit sur [𝟏; 𝐞] par :

𝟏
𝒉(𝐱) = − 𝐱 𝟐 + 𝟒𝐱 et (𝑪𝒉 ) son graphe dans le repère ( 𝐎 ; ⃗𝐢 ; ⃗𝐣)
𝟒
0,5 a) Montrer que : ∀𝐱 ∈ [𝟏 ; 𝐞] ; 𝐟(𝐱) − 𝐡(𝒙) ≤ 𝟎
0,75 𝒆 𝟏 𝟐𝐞𝟑 −𝟏𝟖𝐞𝟐 −𝟏𝟕
b) Par une intégration par parties montrer que :∫𝟏 ( 𝐱 𝟐 − 𝟒𝒙) 𝒍𝒏 𝒙 𝒅𝒙 =
𝟐 𝟏𝟖
0,5 c) Calculer en 𝒄𝒎 , l’aire du domaine plan limité par les courbes (𝑪𝒇 ) et (𝑪𝒉 ) et
𝟐
les droites d’équations 𝒙 = 𝟏 𝒆𝒕 𝒙 = 𝒆

1 23F Modèle 09
Solution d’exercice 01 (3 points) 𝟐𝒖𝒏 + 𝟑 − 𝒖𝒏 (𝒖𝒏 + 𝟐)
=
On considère la suite (𝒖𝒏 )𝒏∈ℕ définie par : 𝒖𝒏 + 𝟐
𝒖𝟎 = 𝟏 et 𝒖𝒏+𝟏 =
𝟐𝒖𝒏 +𝟑
pour 𝟐𝒖𝒏 + 𝟑 − 𝒖𝟐𝒏 − 𝟐𝒖𝒏 𝟑 − 𝒖𝟐𝒏
𝒖𝒏 +𝟐 = =
𝒖𝒏 + 𝟐 𝒖𝒏 + 𝟐
tout 𝒏 ∈ ℕ.
1) Montrer par récurrence que : On a 𝒖𝒏 < √𝟑 donc 𝒖𝟐𝒏 < 𝟑
𝟑−𝒖𝟐
(∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝟎 < 𝒖𝒏 < √𝟑 Donc 𝟎 < 𝟑 − 𝒖𝟐𝒏 donc 𝒏
𝒖𝒏 +𝟐
>𝟎
➢ Pour n=0 on a 𝟎 < 𝒖𝟎 = 𝟏 < √𝟑 donc la 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 > 𝟎
PV pour n = 0 Donc la suite (un) est croissante
➢ Supposons que 𝟎 < 𝒖𝒏 < √𝟑 et montrons 3) En déduire que la suite (𝒖𝒏 ) convergente
que 𝟎 < 𝒖𝒏+𝟏 < √𝟑. La suite (un) est croissante et majorée par √𝟑
On a 𝒖𝒏 > 𝟎 donc elle est convergente
Donc 𝒖𝒏 + 𝟐 > 𝟎 et 𝟐𝒖𝒏 + 𝟑 > 𝟎 3) Montrer que :
𝟐𝒖𝒏 + 𝟑 𝟏
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ >𝟎 (∀𝒏 ∈ ℕ ); √𝟑 − 𝒖𝒏+𝟏 ≤ (√𝟑 − 𝒖𝒏 )
𝒖𝒏 + 𝟐 𝟐
Donc 𝒖𝒏+𝟏 > 𝟎 (∗)
𝟐𝒖𝒏 + 𝟑 (𝟐 − √𝟑)(√𝟑 − 𝒖𝒏 )
∗ √𝟑 − 𝒖𝒏+𝟏 = √𝟑 − 𝑶𝒏 𝒂 𝒅′ 𝒂𝒑𝒓é𝒔𝟏): √𝟑 − 𝒖𝒏+𝟏 =
𝒖𝒏 + 𝟐
𝒖𝒏 + 𝟐
√𝟑(𝒖𝒏 + 𝟐) − (𝟐𝒖𝒏 + 𝟑) 1ère méthode : ( la différence)
=
𝒖𝒏 + 𝟐 𝟏
√𝟑 − 𝒖𝒏+𝟏 − (√𝟑 − 𝒖𝒏 )
√𝟑𝒖𝒏 − 𝟑 − 𝟐𝒖𝒏 + 𝟐√𝟑 𝟐
= (𝟐 − √𝟑)(√𝟑 − 𝒖𝒏 ) 𝟏
𝒖𝒏 + 𝟐
= − (√𝟑 − 𝒖𝒏 )
√𝟑(𝒖𝒏 − √𝟑) − 𝟐(𝒖𝒏 − √𝟑) 𝒖𝒏 + 𝟐 𝟐
= 𝟐 − √𝟑 𝟏
𝒖𝒏 + 𝟐
= (√𝟑 − 𝒖𝒏 )( − )
(√𝟑 − 𝟐)(𝒖𝒏 − √𝟑) 𝒖𝒏 + 𝟐 𝟐
= 𝟒 − 𝟐√𝟑 − 𝒖𝒏 − 𝟐
𝒖𝒏 + 𝟐
= (√𝟑 − 𝒖𝒏 )( )
On a 𝒖𝒏 < √𝟑 donc 𝒖𝒏 − √𝟑 < 𝟎 𝟐(𝒖𝒏 + 𝟐)
Donc (√𝟑 − 𝟐)(𝒖𝒏 − √𝟑) > 𝟎 (√𝟑 − 𝒖𝒏 )(𝟐 − 𝟐√𝟑 − 𝒖𝒏 )
=
𝟐(𝒖𝒏 + 𝟐)
Car √𝟑 − 𝟐 < 𝟎
On a 𝟎 < 𝒖𝒏 < √𝟑 donc 𝟐(𝒖𝒏 + 𝟐) > 𝟎
Donc √𝟑 − 𝒖𝒏+𝟏 > 𝟎
Et √𝟑 − 𝒖𝒏 ≥ 𝟎
Donc 𝒖𝒏+𝟏 < √𝟑 (∗∗)
En a la suite (un) est croissante donc 𝒖𝒏 ≥ 𝒖𝟎
Donc 𝒖𝒏+𝟏 > 𝟐 .
c-à-dire 𝒖𝒏 ≥ 𝟏
De (*) et (**) on a 𝟎 < 𝒖𝒏+𝟏 < √𝟑
Donc −𝒖𝒏 ≤ −𝟏
D'après le principe de récurrence, on a
Donc 𝟐 − 𝟐√𝟑 − 𝒖𝒏 ≤ 𝟏 − 𝟐√𝟑
∀𝒏 ∈ ℕ : 𝐚 𝟎 < 𝒖𝒏 < √𝟑
Donc 𝟐 − 𝟐√𝟑 − 𝒖𝒏 ≤ 𝟎
2) Montrer que la suite (𝒖𝒏 )𝒏∈𝑰𝑵 est
(√𝟑−𝒖𝒏 )(𝟐−√𝟑+√𝟑−𝒖𝒏 )
croissante Donc ≤𝟎;
𝟐(𝒖𝒏 +𝟐)
Soit n un entier naturel, 𝟏
Donc √𝟑 − 𝒖𝒏+𝟏 − (√𝟑 − 𝒖𝒏 ) ≤ 𝟎
𝟐𝒖𝒏 + 𝟑 𝟐
𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 = − 𝒖𝒏 𝟏
𝒖𝒏 + 𝟐 D’où (∀𝒏 ∈ ℕ) ; √𝟑 − 𝒖𝒏+𝟏 ≤ (√𝟑 − 𝒖𝒏 )
𝟐
2 23F Modèle 09
2ème méthode : (l’encadrement) 2ème méthode :
𝑶𝒏 𝒂 𝒅′ 𝒂𝒑𝒓é𝒔𝟏): 𝟏
On a ; (∀𝒏 ∈ ℕ): √𝟑 − 𝒖𝒏+𝟏 ≤ (√𝟑 − 𝒖𝒏 )
𝟐
(𝟐 − √𝟑)(√𝟑 − 𝒖𝒏 ) 𝟏
√𝟑 − 𝒖𝒏+𝟏 = Pour n=0 on a : √𝟑 − 𝒖𝟏 ≤ (√𝟑 − 𝒖𝟎 )
𝒖𝒏 + 𝟐 𝟐
𝟏
En a (un) est croissante donc 𝒖𝒏 ≥ 𝒖𝟎 Pour n=1 on a : √𝟑 − 𝒖𝟐 ≤ 𝟐
(𝟒√𝟑 − 𝒖𝟏 )
C-à-dire 𝒖𝒏 ≥ 𝟏 …
Donc 𝒖𝒏 + 𝟐 ≥ 𝟑 …
𝟏 𝟏 ….
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ ≤
𝒖𝒏 + 𝟐 𝟑 𝟏
Pour n-2 on a : √𝟑 − 𝒖𝒏−𝟏 ≤ 𝟐
(√𝟑 − 𝒖𝒏−𝟐 )
Et on a 𝒖𝒏 < √𝟑 𝟓
𝟏
donc √𝟑 − 𝒖𝒏 > 𝟎 Pour n-1 on a : √𝟑 − 𝒖𝒏 ≤ 𝟐 (√𝟑 − 𝒖𝒏−𝟏 )
( √𝟑 − 𝒖 𝒏 ) 𝟏 On multiplie les inégalités terme à terme car
𝐃’𝐨ù: ≤ ( √𝟑 − 𝒖 𝒏 )
𝒖𝒏 + 𝟐 𝟑 sont positives, on trouve :
(𝟐 − √𝟑)(√𝟑 − 𝒖𝒏 ) (𝟐 − √𝟑) (√𝟑 − 𝒖𝟏 )(√𝟑 − 𝒖𝟐 ) … (√𝟑 − 𝒖𝒏 )
𝑫𝒐𝒏𝒄 ≤ (√𝟑 − 𝒖𝒏 )
𝒖𝒏 + 𝟐 𝟑 𝟏 𝟏 𝟏
𝟏 ≤ (√𝟑 − 𝒖𝟎 ) (√𝟑 − 𝒖𝟏 ) … (√𝟑 − 𝒖𝒏−𝟏 )
D’où √𝟑 − 𝒖𝒏+𝟏 ≤ 𝟐 (√𝟑 − 𝒖𝒏 ) 𝟐 𝟐 𝟐
𝟏 𝒏
(𝟐−√𝟑) 𝟏 C-à-dire : √𝟑 − 𝒖𝒏 ≤ (𝟐) (√𝟑 − 𝒖𝟎 )
Car <𝟐
𝟑
𝟏 𝒏
4)Montrer que: D’où (∀𝒏 ∈ ℕ); √𝟑 − 𝒖𝒏 ≤ ( ) (√𝟑 − 𝟏)
𝟐
𝟏 𝒏 5) Déduite une autre fois 𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 .
(∀𝒏 ∈ ℕ); √𝟑 − 𝒖𝒏 ≤ ( ) (√𝟑 − 𝟏). 𝒏→+∞
𝟐
1ère méthode : (par récurrence) On a 𝒖𝒏 < √𝟑 donc √𝟑 − 𝒖𝒏 > 𝟎
➢ Pour n=0 on a √𝟑 − 𝒖𝟎 = √𝟑 − 𝟏 𝟏 𝒏
𝑫𝒐𝒏𝒄(∀𝒏 ∈ ℕ); 𝟎 < √𝟑 − 𝒖𝒏 ≤ ( ) (√𝟑 − 𝟏)
𝟏 𝟎
𝟐
Et ( ) (√𝟑 − 𝟏) = (√𝟑 − 𝟏) 𝟏
𝟐 𝑬𝒕 𝒐𝒏 𝒂 ∶ −𝟏 < <𝟏
𝟏 𝟎 𝟐
Donc√𝟑 − 𝒖𝟎 ≤ ( ) (√𝟑 − 𝟏) qui est vraie 𝟏 𝒏
𝟐
𝒅𝒐𝒏𝒄 𝐥𝐢𝐦 ( ) = 𝟎
➢ Soit n un entier naturel, 𝒏→+∞ 𝟐
𝟏 𝒏 Donc d’prés théorème d’encadrement on a :
Supposons que √𝟑 − 𝒖𝒏 ≤ ( ) (√𝟑 − 𝟏)
𝟐 𝐥𝐢𝐦 √𝟑 − 𝒖𝒏 = 𝟎
𝟏 𝒏+𝟏 𝒏→+∞
Et mq que √𝟑 − 𝒖𝒏+𝟏 ≤ ( ) (√𝟑 − 𝟏). D’où 𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 = √𝟑
𝟐 𝒏→+∞
𝟏 𝒏
On a √𝟑 − 𝒖𝒏 ≤ ( ) (√𝟑 − 𝟏). 6)Soit (𝒘𝒏 )𝒏∈𝑰𝑵 la suite numérique telle que
𝟐
𝒘𝒏 = 𝐥𝐧(𝒖𝒏 ) pour tout 𝒏 ∈ ℕ , calculer
𝟏 𝟏 𝒏+𝟏
Donc (√𝟑 − 𝒖𝒏 ) ≤ ( ) (√𝟑 − 𝟏). 𝐥𝐢𝐦(𝒘𝒏 )𝒏∈𝑰𝑵
𝟐 𝟐
Et on a d’aprés la question précédente On a 𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 = √𝟑 et la fonction 𝒇: 𝒙 ↦ 𝐥𝐧(𝐱)
𝒏→+∞
𝟏
√𝟑 − 𝒖𝒏+𝟏 ≤ 𝟐 (√𝟑 − 𝒖𝒏 ) Et continue en √𝟑
𝟏 𝒏+𝟏 Donc 𝐥𝐢𝐦 𝒗𝒏 = 𝒇(√𝟑) = 𝒍𝒏(√𝟑)
Donc √𝟑 − 𝒖𝒏+𝟏 ≤ (𝟐) (√𝟑 − 𝟏). 𝒏→+∞
➢ D'après le principe de récurrence, on a
𝟏 𝒏
(∀𝒏 ∈ ℕ); √𝟑 − 𝒖𝒏 ≤ ( ) (√𝟑 − 𝟏)
𝟐
3 23F Modèle 09
Solution d’exercice 02 (3 points) 2) Soit (S) la sphère d’équation cartésienne :
Soient les points 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟒 = 𝟎
𝑨 (−𝟏; 𝟎 ; 𝟏) ; 𝑩 (𝟏 ; −𝟏 ; 𝟎) ; 𝑪 (𝟎 ; 𝟏 ; 𝟏) a) Montrer que le plan (ABC) coupe (S)
1) a) Montrer que les point A ;B et C suivant un cercle (C) dont on précisera le
formant un plan rayon r et le centre
𝟐 𝟏 On a la sphère (S) de centre 𝐎(𝟎; 𝟎; 𝟎) et de
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝑨𝑩 (−𝟏) 𝒆𝒕 𝑨𝑪 (𝟏) ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
rayon 𝑹 = √𝟒 = 𝟐 et(𝑨𝑩𝑪): 𝒙 − 𝒚 + 𝟑𝒛 − 𝟐 = 𝟎
−𝟏 𝟎
−𝟏 𝟏 |−𝟐| 𝟐
Donc ∆𝒙 = | |=𝟏≠𝟎 𝒅( 𝐎; (𝑨𝑩𝑪)) = = <𝟐
−𝟏 𝟎 √𝟏𝟐 + (−𝟏)𝟐 + 𝟑𝟐 √𝟏𝟏
𝑨𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 ne sont pas Donc le plan (ABC) coupe (S) suivant un
colinéaires donc A ; B et C ne sont pas cercle (C) de rayon
alignes
𝟒 𝟒𝟎
Donc les point A ;B et C formant un plan 𝒓 = √𝑹𝟐 − 𝒅𝟐 = √𝟒 − =√
⃗⃗ est un 𝟏𝟏 𝟏𝟏
b) Montrer que 𝒏 ⃗⃗ = 𝒊⃗ − 𝒋⃗ + 𝟑𝒌
vecteur normal au plan (ABC) Le point H le centre de cercle (C) est
intersection du plan (ABC) et la droite (OH)
𝑨𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 ne sont pas
de vecteur directeur
colinéaires donc sont des vecteurs
(𝒙; 𝒚; 𝒛)𝒍𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒓𝒅𝒐𝒏𝒏é𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝑯
directeurs du plan (ABC) donc il suffit de
𝒙=𝟎+𝒕
montrer que : (
(𝐎𝐇): { 𝒚 = 𝟎 − 𝒕 ; 𝒕 ∈ 𝑰𝑹
)
𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗ 𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 𝒗é𝒓𝒊𝒇𝒊𝒆 {
𝒛 = 𝟎 + 𝟑𝒕
𝟏 𝟐 (𝑨𝑩𝑪) : 𝒙 − 𝒚 + 𝟑𝒛 − 𝟐 = 𝟎
𝒏 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗. 𝑨𝑩 = (−𝟏) . (−𝟏) = 𝟐 + 𝟏 − 𝟑 = 𝟎 Donc 𝒕 + 𝒕 + 𝟗𝒕 − 𝟐 = 𝟎
𝟑 −𝟏 Donc 𝟏𝟏𝒕 = 𝟐
𝑫𝒐𝒏𝒄 ⃗⃗⃗⃗ 𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 𝟐
Donc 𝒕 = on remplace dans
𝟏 𝟏 𝟏𝟏
⃗⃗⃗⃗. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝒏 𝑨𝑪 = (−𝟏) (𝟏) = 𝟏 − 𝟏 + 𝟎 = 𝟎 𝒙=
𝟐
𝟑 𝟎 𝒙=𝒕 𝟏𝟏
𝟐
𝑫𝒐𝒏𝒄 ⃗⃗⃗⃗ 𝒏 ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪 { 𝒚 = −𝒕 donc 𝒚 = − 𝟏𝟏
𝒛 = 𝟑𝒕 𝟔
Donc 𝒏 ⃗⃗ est un vecteur normal
⃗⃗ = 𝒊⃗ − 𝒋⃗ + 𝟑𝒌 { 𝒛 = 𝟏𝟏
au plan (ABC) b) Déterminer une équation cartésienne du
c) Montrer que : 𝒙 − 𝒚 + 𝟑𝒛 − 𝟐 = 𝟎 est plan (P) passant par I le milieu du segment
l’équation cartésienne du plan (ABC) [𝑨𝑩] et perpendiculaire à la droite (AB)
Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑨𝑩𝑪) 𝑨 (−𝟏; 𝟎 ; 𝟏) ; 𝑩 (𝟏 ; −𝟏 ; 𝟎)
𝟏 𝟐
On a le vecteur 𝒏 −𝟏) est normale à (𝑨𝑩𝑪)
⃗⃗ ( ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Le plan (P) de vecteur normal 𝑨𝑩 (−𝟏)
𝟑 −𝟏
Donc (𝑨𝑩𝑪): 𝒙 − 𝒚 + 𝟑𝒛 + 𝒅 = 𝟎 𝟎
𝟏
Et on a 𝑨(−𝟏; 𝟎 ; 𝟏) ∈ (𝑨𝑩𝑪) donc on Et passant par le point 𝐈 (− ) 𝟐
remplace les coordonnées de A dans : 𝟏
𝒙 − 𝒚 + 𝟑𝒛 + 𝒅 = 𝟎 𝟐
Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑷)
Donc : −𝟏 − 𝟎 + 𝟑 + 𝒅 = 𝟎 donc 𝒅 = −𝟐
Donc (𝑷): 𝒙 − 𝒚 − 𝒛 + 𝒅 = 𝟎
Donc (𝑨𝑩𝑪): 𝒙 − 𝒚 + 𝟑𝒛 − 𝟐 = 𝟎
4 23F Modèle 09
𝟏 𝟏
Et on a 𝑨 (𝟎, − , ) ∈ (𝑷) donc on remplace Solution d’exercice 03 (3,5 points)
𝟐 𝟐
A) Résoudre dans ℂ l’équation
les coordonnées de I dans𝒙 − 𝒚 − 𝒛 + 𝒅 = 𝟎
𝟏 𝟏 (𝐄): 𝐳 𝟐 + √𝟑 𝐳 + 𝟏 = 𝟎
Donc : 𝟎 + − + 𝒅 = 𝟎 donc 𝒅 = 𝟎
𝟐 𝟐 𝚫 = (√𝟑)𝟐 − 𝟒 × 𝟏 × 𝟏 = −𝟏 < 𝟎
Donc (𝑷): 𝒙 − 𝒚 − 𝒛 = 𝟎 Alors l’équation (𝐄) a deux racines
c) Vérifier que les plans (P) et (ABC) sont complexes conjuguées 𝐳𝟏 𝐞𝐭 𝐳𝟐 𝐝𝐨𝐧𝐧é𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫 ∶
perpendiculaires
√𝟑 + 𝐢 √𝟑 𝟏
𝟐 𝟏 𝐳𝟏 = = + 𝐢
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝑨𝑩 (−𝟏) 𝒆𝒕 𝒏 ⃗⃗ (−𝟏) 𝟐×𝟏 𝟐 𝟐
−𝟏 𝟑 𝐞𝐭 𝐳𝟐 = ̅̅̅
𝐳𝟏
𝟏 𝟐 𝑺={
√𝟑 𝟏
+ 𝐢 ;
√𝟑 𝟏
− 𝐢}
𝒏 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗. 𝑨𝑩 = (−𝟏) . (−𝟏) = 𝟐 + 𝟏 − 𝟑 = 𝟎 𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
𝟑 −𝟏 B) On considère dans le repère complexe

𝑫𝒐𝒏𝒄 ⃗⃗⃗⃗ 𝒏 ⊥ 𝑨𝑩 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗ ; 𝐯⃗⃗) , le point 𝐀(𝐚) tels que
( 𝐎 ;𝐮
𝟏
Donc (𝐏) ⊥ (𝑨𝑩𝑪) 𝐚= +𝐢
√𝟑
et le point 𝐂(𝐜) le milieu du
𝟐 𝟐
d) Déterminer une représentation segment [𝑶𝑨]
paramétrique de la droite (D) l’intersection 1) Déterminer la forme trigonométrique de 𝒂
des plans (P) et (ABC) et en déduire la forme trigonométrique de c
(𝑷) 𝐞𝐭 (𝑹) sont sécantes suivant une droite
𝟏 √𝟑 𝝅 𝝅
(D) définit par les deux équation des plans 𝐚= +𝐢 = (𝐜𝐨𝐬 + 𝐢 𝐬𝐢𝐧 )
𝟐 𝟐 𝟑 𝟑
(P) et (ABC) donc : On a 𝐂(𝐜) le milieu du segment [𝑶𝑨]
(𝑨𝑩𝑪): 𝒙 − 𝒚 + 𝟑𝒛 − 𝟐 = 𝟎 𝟎+𝐚 𝟏 𝟏 𝝅 𝝅
(𝑫) : { Donc 𝒄 = = 𝒂 = (𝐜𝐨𝐬 + 𝐢 𝐬𝐢𝐧 )
(𝑷): 𝒙 − 𝒚 − 𝐳 = 𝟎 𝟐 𝟐 𝟐 𝟑 𝟑
𝛑
𝑶𝒏 𝒑𝒐𝒔𝒆 𝒑𝒂𝒓 𝒆𝒙𝒆𝒎𝒑𝒍𝒆 𝒚 = 𝒕 3) Soit la rotation R de centre C et d’angle −
𝟐
𝒙 − 𝒕 + 𝟑𝒛 − 𝟐 = 𝟎 et soit b l’affixe du point B l’image de A par
𝑫𝒐𝒏𝒄 {
𝒙−𝒕−𝐳=𝟎
𝒙 + 𝟑𝒛 = 𝐭 + 𝟐 la rotation R
𝑫𝒐𝒏𝒄 { a) Vérifier que 𝐛 − 𝒄 = −𝒊𝒄 et en déduire
𝒙−𝐳=𝐭
On cherche à exprimer x et z en fonction de t la nature du triangle OBC
J’ai choisi la méthode de GRAMER 𝑹(𝑨) = 𝑩 ⟺ 𝒃 − 𝒄 = 𝒆−𝒊 𝟐 (𝒂 − 𝒄)
𝝅
𝟏 𝟑
𝑫=| | = −𝟏 − 𝟑 = −𝟒 ≠ 𝟎 ⟺ 𝒃 − 𝒄 = −𝒊(𝒂 − 𝒄)
𝟏 −𝟏
𝒕+𝟐 𝟑 𝟏
𝑫𝒙 = | | = −(𝒕 + 𝟐) − 𝟑𝒕 = −𝟒𝒕 − 𝟐 ⟺ 𝒃 − 𝒄 = −𝒊(𝒂 − 𝒂)
𝒕 −𝟏 𝟐
𝟏 𝒕+𝟐 𝟏
𝑫𝒛 = | | = 𝒕 − (𝒕 + 𝟏) = −𝟏 ⟺ 𝒃 − 𝒄 = −𝒊( 𝒂)
𝟏 𝒕 𝟐
𝑫𝒙 −𝟒𝒕 − 𝟐 𝟏 ⟺ 𝒃 − 𝒄 = −𝒊𝒄
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒙 = = = +𝒕
𝑫 −𝟒 𝟐 On a 𝒃 − 𝒄 = −𝒊(𝒄 − 𝟎)
𝑫𝒛 −𝟏 𝟏 𝑫𝒐𝒏𝒄 |𝒃 − 𝒄| = |−𝒊(𝒄 − 𝟎)|
𝒆𝒕 𝒛 = = =
𝑫 −𝟒 𝟒 𝑫𝒐𝒏𝒄 |𝒃 − 𝒄| = |−𝒊||𝒄 − 𝟎|
Donc une représentation paramétrique de
𝑫𝒐𝒏𝒄 |𝒃 − 𝒄| = |𝒄 − 𝟎|
la droite (D) l’intersection des plan
𝟏
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑩𝑪 = 𝑶𝑪 ; (∗)
𝒙= +𝒕 On a 𝒃 − 𝒄 = −𝒊𝒄 donc 𝒃 − 𝒄 = 𝒊(𝟎 − 𝒄)
𝟐 ; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹 )
(𝑷)𝐞𝐭 (𝑨𝑩𝑪) est (𝑫) : { 𝒚 = 𝒕 𝒃−𝒄
𝟏 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ =𝐢
𝒛= 𝟎−𝐜
𝟒
5 23F Modèle 09
𝒃−𝒄 𝒃−𝒄 Solution d’exercice 04 (3 points)
= −𝐢 ⇔ 𝒂𝒓𝒈( ) ≡ 𝒂𝒓𝒈(𝒊)[𝟐𝝅]
𝟎−𝐜 𝟎−𝐜 A) Un sac 𝑺𝟏 contient 2 boules rouges et 3
𝝅
⇔ (𝑪𝑶⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑪𝑩) ≡ [𝟐𝝅] boules noires.
; (∗∗)
𝟐 On tire au hasard et simultanément deux
De (∗) 𝒆𝒕 (∗∗) on a : le triangle OBC est
boules du sac 𝑺𝟏
isocèle et réctangle en C
1) Calculer 𝑷(𝑨)
√𝟐 𝝅
a) Montrer que |𝐛| = et 𝒂𝒓𝒈(𝒃) ≡ [𝟐𝝅] L’univers 𝛀 associé à cette expérience
𝟐 𝟏𝟐
On a 𝒃 − 𝒄 = −𝒊𝒄 donc 𝒃 = −𝒊𝒄 + 𝒄 aléatoire est l’ensemble des combinaisons de
Donc 𝒃 = 𝒄(𝟏 − 𝒊) deux boules parmi cinq boules donc le
𝟓×𝟒
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ |𝐛| = |𝒄(𝟏 − 𝒊)| nombre des possibilités est 𝑪𝟐𝟓 = = 𝟏𝟎
𝟐×𝟏
𝟏 √𝟐 A : « Les deux boules tirées sont de même
= |𝒄||(𝟏 − 𝒊)| = × √𝟏 + 𝟏 =
𝟐 𝟐 couleur »
On a 𝒃 = 𝒄(𝟏 − 𝒊) (R ;R ) ou (N ;N )
Donc 𝒂𝒓𝒈(𝒃) ≡ 𝒂𝒓𝒈(𝒄(𝟏 − 𝒊))[𝟐𝝅]
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑨) = 𝑪𝟐𝟐 + 𝑪𝟐𝟑 = 𝟏 + 𝟑 = 𝟓
≡ 𝒂𝒓𝒈(𝒄) + 𝒂𝒓𝒈(𝟏 − 𝒊))[𝟐𝝅] 𝟓 𝟏
𝟏 𝟏 𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑨) = =
≡ 𝒂𝒓𝒈(𝒄) + 𝒂𝒓𝒈(√𝟐( − 𝒊))[𝟐𝝅] 𝟏𝟎 𝟐
√𝟐 √𝟐 2) Calculer 𝑷(𝑩)
𝝅 𝝅 𝝅
≡ + 𝒂𝒓𝒈(√𝟐(𝒄𝒐𝒔 (− ) + 𝒔𝒊𝒏(− )𝒊))[𝟐𝝅] 𝑩 : « Obtenir au plus une boule noires »
𝟑 𝟒 𝟒 ̅ : « Obtenir deux boules noires »
𝝅 𝝅 𝝅 𝑩
≡ − [𝟐𝝅] ≡ [𝟐𝝅]
𝑪𝟐𝟑 𝟑 𝟕
𝟑 𝟒 𝟏𝟐 ( ) ( ̅ )
𝒑 𝑩 =𝟏−𝒑 𝑩 =𝟏− =𝟏− =
b) Montrer que l’ensemble des point M 𝟏𝟎 𝟏𝟎 𝟏𝟎
d’affixe z tels que|𝟐𝐳 − 𝐚| = 𝟏 est le B) Considérons un autre sac 𝑺𝟐 contient 3
cercle circonscrit au triangle OAB boules rouges et deux noires.
𝐚 Rappel de cours :
|𝟐𝐳 − 𝐚| = 𝟏 ⇔ |𝟐 (𝐳 − )| = 𝟏
𝟐 ➢ Probabilité conditionnelle :
𝐚 𝟏
⇔ |𝐳 − | = La probabilité de l’événement 𝐁 sachant que
𝟐 𝟐
𝟏 de l’événement 𝐀 est réalisé est le nombre
⇔ |𝐳 − 𝑪| =
𝟐 noté 𝐏𝐀 (𝐁) défini par :𝐏𝐀 (𝐁) =
𝐏(𝐀∩𝐁)
𝟏 𝐏(𝐀)
⇔ 𝑴𝑪 =
𝟐 ➢ Loi des probabilités totales :
Donc l’ensemble des point M d’affixe z tels On a : 𝐏(𝐁) = 𝐏(𝐁 ∩ 𝐀) + 𝐏(𝐁 ∩ 𝐀̅ ),
que|𝟐𝐳 − 𝐚| = 𝟏 est le cercle (C) de centre C Donc 𝐏(𝐁) = 𝐏(𝐀) × 𝐏𝐀 (𝐁) + 𝐏(𝐀̅ ) × 𝐏𝐀̅ (𝐁).
𝟏
et de rayon
𝟐
𝟏
On a 𝑶𝑪 = |𝐜| = donc 𝑶 ∈ (𝑪)
𝟐
𝟏 𝟏 𝟏
Et 𝑨𝑪 = |𝐜 − 𝐚| = | 𝒂 − 𝐚| = | 𝒂| =
𝟐 𝟐 𝟐
Car |𝐚| = 𝟏 donc 𝑨 ∈ (𝑪)
𝟏
Et 𝑩𝑪 = |𝐜 − 𝐛| = |𝐢𝐜| = |𝐜| = donc 𝑩 ∈ (𝑪)
𝟐
D’où (C) est le cercle circonscrit au triangle
OAB
6 23F Modèle 09
Le sac 𝑺𝟏 contient 2 boules rouges et 3 Solution du problème (8 points)
boules noires. A) Soit la fonction g définit sur ]𝟎; +∞[ par :
Le sac 𝑺𝟐 contient 3 boules rouges et 2 g(𝐱) = (𝐚𝐱 + 𝐛)𝒍𝒏 𝒙 , avec a et b deux réels ;
boules noires. La droite (AB) est la tangente à (𝐂𝒈 ) au point
On tire une boule de 𝑺𝟏 si elle est noire on la 𝑨(𝟏; 𝟎)
met dans 𝑺𝟐 , puis en tire une boule de 𝑺𝟐 et
si elle est rouge on l’écart à coté puis en tire
une boule de 𝑺𝟐
𝑹𝟏 : « La boule tirée de 𝑺𝟏 est rouge »
𝑵𝟏 : « La boule tirée de 𝑺𝟏 est noire »
𝑹𝟐 : « La boule tirée de 𝑺𝟐 est rouge »
𝑵𝟐 : « La boule tirée de 𝑺𝟐 est noire ».
𝜶
Schématisons l’expérience a l’aide d’un
arbre pondéré
1) Déterminer graphiquement le sens de

variations de g sur ]𝟎; +∞[
La fonction g est strictement croissante sur
l’intervalle ]𝟎; 𝛂] et strictement décroissante
sur [𝛂; +∞[
2) Déterminer graphiquement :
𝐠(𝟒) ; 𝐠 ′ (𝛂) 𝐠 ′ (𝟏)
𝟐𝟕
1) Montre que 𝑷(𝑹𝟐 ) = 𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐠(𝟒) = 𝟎
𝟓𝟎
𝑷(𝑹𝟐 ) = 𝑷(𝑹𝟏 ∩ 𝑹𝟐 ) + 𝑷(𝑵𝟏 ∩ 𝑹𝟐 ) 𝐠 ′ (𝛂) = 𝟎 car la fonction admet un extremum
= 𝑷(𝑹𝟏 ) × 𝑷𝑹𝟏 (𝑹𝟐 ) + 𝑷(𝑵𝟏 ) × 𝑷𝑵𝟏 (𝑹) en 𝐠 ′ (𝛂)
𝟐 𝟑 𝟑 𝟑 𝟔 𝟑 𝟏𝟐 𝟏𝟓 𝟐𝟕 Déterminons 𝐠 ′ (𝟏)
= × + × = + = + = 1ère méthode :
𝟓 𝟓 𝟓 𝟔 𝟐𝟓 𝟏𝟎 𝟓𝟎 𝟓𝟎 𝟓𝟎
2) En déduire 𝑷(𝑵𝟐 ) Rappel : La tangente en 𝑨(𝒂; 𝒇′ (𝒂)) est de
On a l’événement 𝑵𝟐 est l’événement vecteur directeur ⃗𝐮⃗(𝟏; 𝒇′ (𝒂))
contraire de l’événement 𝑹𝟐 donc : 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒈(𝟏) = 𝟑
𝟐𝟕 𝟐𝟑 Car le vecteur 𝒖 ⃗⃗(𝟏 ; 𝟑) est un vecteur
𝑷(𝑵𝟐 ) = 𝟏 − 𝑷(𝑹𝟐 ) = 𝟏 − =
𝟓𝟎 𝟓𝟎 directeur de (AB)
3) Sachant que la boule tirée de 𝑺𝟐 est
2ème méthode :
rouge, quelle est la probabilité que la boule
𝒈′(𝟏) est la pente de la droite (AB)
tirée de 𝑺𝟏 soit rouge
La tangente (AB) en 𝟏 passant par les deux
𝑷(𝑹𝟐 ∩ 𝑹𝟏 ) 𝑷(𝑹𝟏 ) × 𝑷𝑹𝟏 (𝑹𝟐 )
𝑷𝑹𝟐 (𝑹𝟏 ) = = points en 𝑨(𝟏; 𝟎) et 𝑩(𝟐; 𝟑) donc
𝑷(𝑹𝟐 ) 𝑷(𝑹𝟐 ) 𝒚𝑨 − 𝒚𝑩
𝟐 𝟑 𝒈′(𝟏) =
× 𝟔 𝟓𝟎 𝟒 𝒙𝑨 − 𝒙𝑩
𝟓 𝟓
= 𝟐𝟕 = × = 𝟑−𝟎 𝟑
𝟐𝟓 𝟐𝟕 𝟗 = = =𝟑
𝟓𝟎 𝟐−𝟏 𝟏
7 23F Modèle 09
3) Calculer 𝒈(𝟒)et 𝐠 ′ (𝟏)en fonction de a et b 2) a) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = +∞ et
𝐱→+∞
𝒈(𝟒) = (𝟒𝒂 + 𝒃)𝒍𝒏(𝟒) 𝐟(𝐱)
𝐥𝐢𝐦 = +∞
Soit 𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[ 𝐱→+∞ 𝒙
g′(𝐱) = [(𝐚𝐱 + 𝐛)𝒍𝒏 𝒙]′ 𝟏 𝟏

𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 − 𝐱𝟐 + 𝟒𝐱 + ( 𝐱𝟐 − 𝟒𝒙) 𝐥 𝐧 𝒙
(𝐚𝐱+𝐛) 𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝟒 𝟐
= 𝐚𝒍𝒏 𝒙 +
𝒙 𝟏 𝟒 𝟏 𝟒
Donc g′(𝟏) = 𝐚𝒍𝒏 (𝟏) +
𝐚+𝐛
=𝐚+𝐛 = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 𝟐 [− + + ( − ) 𝒍𝒏 𝒙] = +∞
𝟏 𝐱→+∞ 𝟒 𝒙 𝟐 𝒙
4) Déduire que g(𝐱) = (𝟒 − 𝐱))𝒍𝒏 𝒙 pour Car 𝐥𝐢𝐦 𝐱 = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 𝒍𝒏(𝒙) = +∞
𝟐
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
tout x de ]𝟎; +∞[ Et 𝐥𝐢𝐦
𝟒
=𝟎
On a 𝒈(𝟒) = (𝟒𝒂 + 𝒃)𝒍𝒏(𝟒) et 𝐠(𝟒) = 𝟎 𝐱→+∞ 𝒙
𝟏 𝟒 𝟏 𝟒
Donc (𝟒𝒂 + 𝒃)𝒍𝒏(𝟒) = 𝟎 𝐟(𝐱) 𝐱 𝟐 [− + + ( − ) 𝒍𝒏 𝒙]
𝟒 𝒙 𝟐 𝒙
Donc 𝟒𝒂 + 𝒃 = 𝟎 donc 𝒃 = −𝟒𝒂 𝐱→+∞ 𝒙 𝐱→+∞ 𝒙
Et on a g′(𝟏) = 𝐚 + 𝐛 et g′(𝟏) = 𝟑 𝟏 𝟒 𝟏 𝟒
= 𝐥𝐢𝐦 𝐱 [− + + ( − ) 𝒍𝒏 𝒙]
Donc 𝐚 + 𝐛 = 𝟑 𝐱→+∞ 𝟒 𝒙 𝟐 𝒙
Donc 𝐚 − 𝟒𝒂 = 𝟑 et 𝐚 + 𝐛 = 𝟑 = +∞
Donc −𝟑𝐚 = 𝟑 et 𝐚 + 𝐛 = 𝟑 Car 𝐥𝐢𝐦 = 𝒙 + ∞ et 𝐥𝐢𝐦 𝒍𝒏(𝒙) = +∞
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
Donc 𝐚 = −𝟏 et 𝐚 + 𝐛 = 𝟑 Et 𝐥𝐢𝐦
𝟒
=𝟎
𝐱→+∞ 𝒙
Donc −𝟏 + 𝐛 = 𝟑 donc 𝐛 = 𝟒
b) En déduire la branche infinie de (𝐂𝐟 ) au
D’où 𝐚 = −𝟏 et 𝐛 = 𝟒
voisinage de +∞
Donc g(𝐱) = (𝟒 − 𝐱))𝒍𝒏 𝒙 𝐟(𝐱)
5) justifier graphiquement que : On a 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 = +∞
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝒙
∀(𝐱 ∈ [𝟏; 𝟒]) ; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎 Donc la courbe (𝐂𝐟 ) admet une branche
et (∀𝐱 ∈ ]𝟎; 𝟏] ∪ [𝟒; +∞[) ∶ 𝒈(𝐱) ≤ 𝟎 parabolique de direction l’axe des ordonnées
On a la courbe (𝐂𝒈 ) est en dessus d’axe des au voisinage de +∞
𝐟(𝐱)
abscisses sur l’intervalle [𝟏; 𝟒] 3) Montrer que 𝐥𝐢𝐦+ = +∞ puis
𝐱→𝟎 𝒙
Donc ∀(𝐱 ∈ [𝟏; 𝟒]) ; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
interpréter le résultat géométriquement
On a la courbe (𝐂𝒈 ) est en dessous d’axe des
𝐟(𝐱) 𝐟(𝐱) − 𝒇(𝟎)
abscisses sur les intervalles]𝟎; 𝟏]𝒆𝒕[𝟒; +∞[ 𝐥𝐢𝐦+ = 𝐥𝐢𝐦+
𝐱→𝟎 𝒙 𝐱→𝟎 𝒙−𝟎
Donc (∀𝐱 ∈ ]𝟎; 𝟏] ∪ [𝟒; +∞[) ∶ 𝒈(𝐱) ≤ 𝟎 𝟏 𝟐 𝟏
− 𝐱 + 𝟒𝐱 + ( 𝐱𝟐 − 𝟒𝒙) 𝐥 𝐧 𝒙
B) Soit f une fonction définit sur [𝟎; +∞[par : = 𝐥𝐢𝐦+ 𝟒 𝟐
𝟏 𝟏 𝐱→𝟎 𝒙
𝐟(𝐱) = − 𝐱 𝟐 + 𝟒𝐱 + ( 𝐱 𝟐 − 𝟒𝒙) 𝐥 𝐧 𝒙 𝟏 𝟏
𝒙 [− 𝐱 + 𝟒 + ( 𝒙 − 𝟒) 𝒍𝒏 𝒙]
𝟒 𝟐 𝟒 𝟐
= 𝐥𝐢𝐦+
𝒆𝒕 𝒇(𝟎) = 𝟎 𝐱→𝟎 𝒙
1) Montrer que f est continue à droite en 0 𝟏 𝟏
= 𝐥𝐢𝐦+ − 𝐱 + 𝟒 + ( 𝒙 − 𝟒) 𝒍𝒏 𝒙 = +∞
𝟏 𝟏 𝐱→𝟎 𝟒 𝟐
𝐥𝐢𝐦+ 𝐟(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦+ − 𝐱 𝟐 + 𝟒𝐱 + ( 𝐱 𝟐 − 𝟒𝒙) 𝐥 𝐧 𝒙 𝟏
𝐱→𝟎 𝐱→𝟎 𝟒 𝟐 Car 𝐥𝐢𝐦+ ( 𝒙 − 𝟒) = −𝟒 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦+ 𝒍𝒏 𝒙 = −∞
𝟏 𝟏 𝐱→𝟎 𝟐 𝐱→𝟎
= 𝐥𝐢𝐦+ − 𝐱 𝟐 + 𝟒𝐱 + ( 𝐱 − 𝟒) 𝐱 𝐥𝐧 𝒙 = 𝟎 Donc f n’est pas dérivable à droite de 0
𝐱→𝟎 𝟒 𝟐
𝟏 Interprétation géométrique :
Car 𝐥𝐢𝐦+𝐱 𝐥𝐧 𝒙 = 𝟎 et 𝐥𝐢𝐦+ − 𝐱 𝟐 + 𝟒𝐱 = 𝟎
𝐱→𝟎 𝐱→𝟎 𝟒 𝐟(𝐱)
𝟏 On a 𝐥𝐢𝐦+ = +∞
𝒙
Et 𝐥𝐢𝐦+ ( 𝐱 − 𝟒) = −𝟒 𝐱→𝟎
𝐱→𝟎 𝟐 Donc la courbe (𝐂𝐟 ) admet une demi-tangente
Donc 𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝒙) = 𝒇(𝟎)
𝐱→𝟎 verticale au point O dirigée vers le
Donc f est continue à droite en 0
8 23F Modèle 09
4)a) Montrer que :∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[: 𝒇′ (𝐱) = − 𝐠(𝐱) 5) Montrer (𝐂𝐟 ) admet un point d’inflexion
𝟏 𝟏
On a : 𝐟(𝐱) = − 𝐱 𝟐 + 𝟒𝐱 + ( 𝐱 𝟐 − 𝟒𝒙) 𝐥𝐧 𝒙 unique d’abscisse 𝜶
𝟒 𝟐
𝟏 𝐒𝐨𝐢𝐭 𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[
La fonction 𝒙 ⟼ − 𝐱 𝟐 + 𝟒𝐱 est dérivable
𝟒 On a 𝐟′(𝐱) = −𝐠(𝐱)
sur ]𝟎; +∞[ Donc 𝐟′′(𝐱) = −𝐠′(𝐱)
𝟏
La fonction 𝒙 ⟼ ( 𝐱 𝟐 − 𝟒𝒙) est dérivable Et on a la fonction g est strictement
𝟐
sur ]𝟎; +∞[ croissante sur l’intervalle ]𝟎; 𝛂] et
La fonction 𝒙 ⟼ 𝐥𝐧 𝒙 est dérivable sur strictement décroissante sur [𝛂; +∞[
]𝟎; +∞[ Donc la fonction 𝐠′ s’annule et change de signe
D’où la fonction f est dérivable sur ]𝟎 ; +∞[ en 𝛂
𝐒𝐨𝐢𝐭 𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[ Donc la fonction −𝐠′ s’annule et change de
𝟏 𝟏 signe en 𝛂
𝐟′(𝐱) = [− 𝐱 𝟐 + 𝟒𝐱 + ( 𝐱 𝟐 − 𝟒𝒙) 𝐥𝐧 𝒙] ′ Donc la fonction 𝐟′′ s’annule et change de signe
𝟒 𝟐
𝟏 𝟏 𝟏 en 𝛂
= − 𝐱 + 𝟒 + (𝐱 − 𝟒) 𝐥𝐧 𝒙 + ( 𝐱 𝟐 − 𝟒𝒙) ×
𝟐 𝟐 𝒙 D’où (𝐂𝐟 ) admet un point d’inflexion unique
𝟏 𝟏 d’abscisse 𝛂
= − 𝐱 + 𝟒 + (𝐱 − 𝟒) 𝐥𝐧 𝒙 + 𝒙 − 𝟒
𝟐 𝟐 6) Construire (𝐂𝐟 ) dans le repère ( 𝐎 ; ⃗𝐢 ; ⃗𝐣)
= (𝐱 − 𝟒) 𝐥𝐧 𝒙 (𝒇(𝟏) ≅ 𝟑. 𝟕𝟓 ; 𝒇(𝟒) ≅ 𝟎. 𝟗 et que 𝜶 = 𝟐, 𝟒 )
= −(𝟒 − 𝐱)𝐥𝐧(𝐱)
= −𝐠(𝐱)
b) Montrer que la fonction f est strictement
décroissante sur [𝟏; 𝟒] et strictement
croissante sur ]𝟎; 𝟏] 𝒆𝒕 [𝟒; +∞[
On a ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[: 𝒇′ (𝐱) = − 𝐠(𝐱)
Et ∀(𝐱 ∈ [𝟏; 𝟒]) ; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
Donc ∀(𝐱 ∈ [𝟏; 𝟒]) ; −𝒈(𝐱) ≤ 𝟎
Donc ∀(𝐱 ∈ [𝟏; 𝟒]) ; 𝒇′(𝒙) ≤ 𝟎
Donc la fonction f est strictement
décroissante sur [𝟏 ; 𝟒]
Et (∀𝐱 ∈ ]𝟎; 𝟏] ∪ [𝟒; +∞[) ∶ 𝒈(𝐱) ≤ 𝟎
Donc (∀𝐱 ∈ ]𝟎; 𝟏] ∪ [𝟒; +∞[): −𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
Donc (∀𝐱 ∈ ]𝟎; 𝟏] ∪ [𝟒; +∞[): 𝒇′(𝒙) ≥ 𝟎
Donc strictement croissante sur ]𝟎; 𝟏] 𝒆𝒕
[𝟒; +∞[
c) Dresser le tableau de variation de f sur
[𝟎; +∞[
x 𝟎 1 4 +∞
′
𝒇 (𝒙) + 0 − 0 +
𝒇(𝟏 ) +∞
𝒇(𝒙)
𝟎 𝒇 (𝟒 )
9 23F Modèle 09
7) Soit la fonction h définit sur [𝟏; 𝐞] par : c)Calculer en 𝒄𝒎𝟐 , l’aire du domaine plan
𝟏
𝒉(𝐱) = − 𝐱 𝟐 + 𝟒𝐱 et (𝑪𝒉 ) son graphe dans limité par les courbes (𝑪𝒇 ) et (𝑪𝒉 ) et les
𝟒
le repère ( 𝐎 ; ⃗𝐢 ; ⃗𝐣) droites d’équations 𝒙 = 𝟏 𝒆𝒕 𝒙 = 𝒆
a)Montrer que : ∀𝐱 ∈ [𝟏 ; 𝐞] ; 𝐟(𝐱) − 𝐡(𝒙) ≤ 𝟎 Soit 𝒙 ∈ [𝟏, 𝐞]
Soit [𝟏 ; 𝐞] 𝐞
On a 𝐀 = ∫𝟏 |𝐟(𝐱) − 𝒉(𝒙)|𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚
𝐟(𝐱) − 𝐡(𝒙) =
𝟏 𝟏 𝟏 Et on a 𝐟(𝐱) − 𝐡(𝒙) ≤ 𝟎
− 𝐱 𝟐 + 𝟒𝐱 + ( 𝐱 𝟐 − 𝟒𝒙) 𝐥𝐧 𝒙 + 𝐱 𝟐 − 𝟒𝐱
𝟒 𝟐 𝟒 Donc |𝐟(𝐱) − 𝐡(𝒙)| = 𝒉(𝒙) − 𝐟(𝐱)
𝟏 𝟐
= ( 𝐱 − 𝟒𝒙) 𝐥𝐧 𝒙 𝐞
𝟐 𝐀 = ∫ |𝐟(𝐱) − 𝒉(𝒙)|𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚
𝟏 𝟏
= 𝒙(𝐱 − 𝟖) 𝐥𝐧 𝒙
𝟐 𝐞
On a 𝐱 ≥ 𝟏 = ∫ 𝐡(𝐱) − 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚
𝟏 𝟏
Donc 𝒙 ≥ 𝟎 et 𝐥𝐧 𝒙 ≥ 𝟎 𝐞
𝟐 𝟏
𝑬𝒕 𝐱 ≤ 𝐞 = ∫ − ( 𝐱𝟐 − 𝟒𝒙) 𝒍𝒏 𝒙𝒅𝒙 . 𝐜𝐦𝟐
𝟏 𝟐
𝑫𝒐𝒏𝒄 (𝐱 − 𝟖) ≤ 𝟎
𝐞
Et 𝐥𝐧 𝒙 ≥ 𝟎 𝟏
= − ∫ ( 𝐱𝟐 − 𝟒𝒙) 𝒍𝒏 𝒙𝒅𝒙 . 𝐜𝐦𝟐
Donc ∀𝐱 ∈ [𝟏 ; 𝐞] ; 𝐟(𝐱) − 𝐡(𝒙) ≤ 𝟎 𝟏 𝟐
b)Par une intégration par parties montrer 𝟐𝐞𝟑 − 𝟏𝟖𝐞𝟐 − 𝟏𝟕
que : =− 𝐜𝐦𝟐
𝒆
𝟏𝟖
𝟏 𝟐 𝟐𝐞𝟑 − 𝟏𝟖𝐞𝟐 − 𝟏𝟕
∫ ( 𝐱 − 𝟒𝒙) 𝒍𝒏 𝒙 𝒅𝒙 = 𝟏𝟖𝐞𝟐 + 𝟏𝟕 − 𝟐𝐞𝟑
𝟏 𝟐 𝟏𝟖 = 𝐜𝐦𝟐
𝒆
𝟏 𝟏𝟖
𝑰 = ∫ ( 𝐱 𝟐 − 𝟒𝒙) 𝒍𝒏 𝒙 𝒅𝒙
𝟏 𝟐
Posons
𝟏
𝐮(𝐱) = 𝒍𝒏 𝒙 𝐮′ (𝐱) =
𝐱
{ ′ 𝟏 𝟐 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 {
𝐯 (𝐱) = 𝐱 − 𝟒𝒙 𝟏
𝐯(𝐱) = 𝐱𝟑 − 𝟐𝐱𝟐
𝟐 𝟔
𝒆
𝟏
𝑰 = ∫ ( 𝐱𝟐 − 𝟒𝒙) 𝒍𝒏 𝒙 𝒅𝒙
𝟏 𝟐
𝐞 𝐞
𝟏 𝟑 𝟏
= [( 𝐱 − 𝟐𝐱 )𝒍𝒏(𝒙)] − ∫ 𝐱𝟐 − 𝟐𝐱 𝐝𝐱
𝟐
𝟔 𝟏 𝟏 𝟔
𝐞 𝐞
𝟏 𝟑 𝟐
𝟏 𝟑 𝟐
= [( 𝐱 − 𝟐𝐱 )𝒍𝒏(𝒙)] − [( 𝐱 − 𝐱 )]
𝟔 𝟏 𝟏𝟖 𝟏
𝐞𝟑 𝐞𝟑 𝟐
𝟏
= − 𝟐𝐞 − + 𝐞𝟐 + −𝟏
𝟔 𝟏𝟖 𝟏𝟖
𝟐𝐞𝟑 − 𝟏𝟖𝐞𝟐 − 𝟏𝟕
=
𝟏𝟖
1
***** 10 10 ‫النموذج‬
Prof
Fayssal
RRRRRRRRRRRRRRRR M10 -24

Modèle 10

Nombres complexes.
Exercice 2 3 points
Exercice 3 3 points
Exercice 4 Calcul d’une limite et intégrale 3 points
Etude d’une fonction numérique, Suite
Problème 8 points
numérique

M1-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
⃗⃗ )
𝟏
Soit (𝑺) l’ensemble des points 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) de l’espace tels que : 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 + 𝒙 − = 𝟎
𝟒
𝟏 √𝟐
0,5 1) Montrer que (𝑺) est une sphère S de centre 𝜴(− ; 𝟎 ; 𝟎) et de rayon 𝑹 =
𝟐 𝟐
2) Soit (𝑷) le plan d’équation : 𝒚 + 𝒛 − 𝟏 = 𝟎.
a) Montrer que le plan (𝑷) est tangente à la sphère (𝑺) en un point H

0,75
b) Déterminer les coordonnées de point H .
3) Soit (𝑸) le plan d’équation : 𝟐𝒙 − 𝒚 + 𝒛 + 𝟏 = 𝟎.

0,25
Montrer que : (𝑷) ⊥ (𝑸)
0,5 4) Soit (𝑫) la droite d’intersection de (𝑷) 𝒆𝒕 (𝑸) , vérifier qu ’une représentation
𝒙 = −𝒕
paramétrique de la droite (𝑫) est : { 𝒚 = 𝟏 − 𝒕 (𝒕 ∈ ℝ)
0,75 𝒛=𝒕
5) Montrer que la droite (𝑫) est tangente à la sphère (𝑺) en un point à déterminer.
A) On considère dans ℂ l’équation :(𝐄): 𝐳 𝟐 − ( √𝟑 − 𝟏)𝐳 + 𝟐 = 𝟎
0,5 1) Vérifier que ∆= −(𝟏 + √𝟑)𝟐
0,25 2) En déduire les solutions 𝐳𝟏 𝐞𝐭 𝐳𝟐 de (E)
B) On considère dans le repère complexe ( 𝐎 ; 𝐮

⃗⃗ ; 𝐯⃗⃗)
𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬 𝐀(𝐚) ; 𝐁(𝐛) ; 𝐂(𝐜) 𝐞𝐭 𝐃(𝐝) 𝐭𝐞𝐥 𝐪𝐮𝐞 ∶ 𝐚 = 𝟏 − 𝐢 ;
√𝟑−𝟏 √𝟑+𝟏 √𝟑+𝟏 √𝟑−𝟏 𝟏 √𝟑

𝐛= +𝒊( ) ; 𝐜= +𝒊( ) et 𝐝 = + 𝒊
𝟐 𝟐 𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
0,5 1) a) Déterminer la forme exponentielle de a et d , puis vérifier que : 𝒄 = 𝒅𝒂

𝛑 𝛑
b) En déduire que 𝐜 = √𝟐(𝒄𝒐𝒔 ( ) + 𝒊𝒔𝒊𝒏 ( ))
0,5 𝟏𝟐 𝟏𝟐
0,25 c) Montrer que 𝐜 𝟔 = 𝟖𝒊

2) Montrer que le point C est l’image de point A par la rotation R de centre O et
0,5
𝛑
d’angle
𝟑
0,5
3) Vérifier que 𝒂 + 𝒃 = 𝒄 puis en déduire que le quadrilatère OACB est un losange
M1-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
Dans une école comporte 300 élèves. Ils sont inscrits aux clubs des activités de
l’école selon la répartition suivante : 60 au club Cyber sécurité dont 30% sont des
filles, 90 au club Sport dont 60% sont des filles, et 150 au club Environnement dont
72% sont des filles. Chaque élève pratique une et une seule activité.
On choisit au hasard un(e) élève.
On considère les événements suivants :
𝑭 : L’élève choisit est une fille
𝑮 : L’élève choisit est un garçon
𝑪𝒔𝒄 : L’élève choisit est inscrit au club Cyber sécurité
𝑪𝒔𝒑 : L’élève choisit est inscrit au club Sport
𝑪𝒆𝒏𝒗 : L’élève choisit est inscrit au club Environnement
𝟏
0,75 1) Vérifier que 𝑷(𝑪𝒔𝒄 ) = 𝟓 puis calculer 𝑷(𝑪𝒔𝒑 ) et 𝑷(𝑪𝒆𝒏𝒗 )
𝟑
0,75 2) Montrer que la probabilité que l’élève choisit(e) soit une fille est 𝟓
0,5 3) En déduire la probabilité que l’élève choisit(e) soit un garçon
4) Sachant que l’élève choisit(e) est un garçon, montrer que la probabilité qu’il soit
1
𝟕
inscrit au club Environnement est
𝟐𝟎
𝟏 𝟏
Soit g une fonction définit sur 𝑰 = [𝟎; +∞[ par 𝐡(𝐱) = 𝟏 − 𝐞− 𝟐𝒙 − 𝒙
𝟐
(𝐂𝐡 ) son graphe dans un repère orthonormé (𝐎 ; ⃗𝐢 ; ⃗𝐣)
(On donne ; ‖⃗𝐢‖ = 𝟐 𝐜𝐦 𝐞𝐭 ‖⃗𝐣‖ = 𝟏 𝐜𝐦)

𝟏
𝟏
0,5 1) Vérifier que ∀𝐱 ∈ 𝑰 ; 𝒉′ (𝐱) = (𝐞− 𝟐𝒙 − 𝟏)
𝟐
0,5 2) Montrer que h est strictement décroissante sur [𝟎; +∞[

𝟏
− 𝒙
𝟏−𝐞 𝟐 −𝒙 𝟏
0,75 2) Montrer que : (∀𝐱 ∈ ]𝟎 ; +∞[ ) : <−
𝒙𝟐 𝟐𝒙
𝟏
− 𝒙
𝟏−𝐞 𝟐 −𝒙
0,5 3) En déduire 𝐥𝐢𝐦+
𝐱→𝟎 𝒙𝟐
4) Calculer en 𝐜𝐦𝟐 l’aire du domaine délimité par (𝑪𝒉), la droite (𝐎𝐱) et les droites
0,75 d’équations 𝒙 = 𝟎 𝒆𝒕 𝒙 = 𝟏
‫فرنسي‬
Soit 𝒈 la fonction définit sur ]𝟎 ; +∞[ par
𝟏 𝟏
𝒈(𝒙) = 𝒍𝒏 (𝟏 + ) −
𝒙 𝒙+𝟏
1)Déterminer 𝒍𝒊𝒎 𝒈(𝒙) 𝒆𝒕 Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝒙)
0,5 𝒙→𝟎+ 𝒙→+∞
0,5 −𝟏
2)Montrer que 𝒈′ (𝒙) = 𝐬𝐮𝐫 ]𝟎; +∞[;
𝒙(𝒙+𝟏)𝟐
0,5 3) Dresser son tableau de variation 𝐬𝐮𝐫 ]𝟎; +∞[;
4) 𝑴𝒐𝒏𝒕𝒓𝒆𝒓 𝒒𝒖𝒆 ∶ ∀𝒙 ∈ [𝟎; +∞[; 𝒈(𝒙) > 𝟎

0,5
B) Soit 𝒇 𝐮𝐧𝐞 𝐟𝐨𝐧𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝é𝐟𝐢𝐧𝐢𝐭 𝒔𝒖𝒓 [𝟎 ; +∞[ par :

𝟏
𝒇(𝒙) = 𝒙 𝒍𝒏 (𝟏 + ) ; 𝒔𝒊 > 𝟎 𝒆𝒕 𝒇(𝟎 ) = 𝟎
𝒙
0,5 1) Montrer que f est continue à droite de 0
0,5 2) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = 𝟏 , puis interpréter le résultat géométriquement

𝒙→+∞
0,75 3) Etudier la dérivabilité de f en 0 à droite puis interpréter le résultat

géométriquement
4)a) Montrer que f est dérivable sur ∈ ]𝟎, +∞[ et que

0,5
∀𝒙 ∈ ]𝟎, +∞[ ∶ 𝒇′ (𝒙) = 𝒈(𝒙)
0,5 c) Dresser le tableau de variation de f sur ]𝟎 ; +∞[
0,5 5) Etudier la convexité de la courbe (𝑪𝒇)
1 6) Tracer (𝑪𝒇) dans un repère orthonormé (𝑶 ; 𝒊⃗ ; 𝒋⃗) ( unité 2 cm)
𝟏
C) Soit (𝐔𝐧 ) tel que : 𝐔𝟎 = et 𝐔𝐧+𝟏 = 𝒇(𝐔𝐧 )
𝒆
𝟏
1) Montrer que : ∀𝒏 ∈ 𝐈𝐍 𝟎 ≤ 𝐔𝐧 ≤
𝒆−𝟏
0,5
0,75 2) Montrer que la suite (𝐔 ) est croissante
𝐧
0,5 3) Déduire que (𝐔𝐧 ) est convergente et calculer la limite de (𝐔𝐧 )

1 23F Modèle 10
Correction de l’exercice 1 (3 points) : normal au plan (P) , donc une représentation
Soit (𝑺) l’ensemble des points 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) de paramétrique de la droite (𝛀𝐇) est
𝟏 𝟏
l’espace tels que : 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 + 𝒙 − = 𝟎 𝒙=−
𝟒 𝟐 (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
(𝛀𝐇): {𝒚 = 𝟎 + 𝒕
1) Montrer que (𝑺) est une sphère S de
𝟏 √𝟐 𝒛 =𝟎+𝒕
centre 𝜴(− ; 𝟎 ; 𝟎) et de rayon 𝑹 = (x;y;z) les coordonnées de H vérifie le
𝟐 𝟐
1ème méthode 𝒙=−
𝟏
Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑺) 𝟐 (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)

{𝒚 = 𝒕
𝟏 système
𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 + 𝒙 − = 𝟎 = 𝟎 𝒛=𝒕
𝟒 { (𝑷) : 𝒚 + 𝒛 − 𝟏 = 𝟎
𝟏 𝟏 𝟏 𝟏 Donc 𝒕 + 𝒕 − 𝟏 = 𝟎
𝒙𝟐 + 𝟐 × 𝒙 + ( )𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 = ( )𝟐 +
𝟐 𝟐 𝟐 𝟒 Donc 𝟐𝒕 = 𝟏
𝟏 𝟏 𝟏
𝒙𝟐 + 𝟐 × 𝒙 + + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 = Donc 𝒕 =
𝟏
𝟐 𝟒 𝟐 𝟐
𝟏 𝟐 √𝟐 𝟏 𝟏
Donc (𝒙 + ) + (𝒚 − 𝟎)𝟐 + (𝒛 − 𝟎)𝟐 = ( )𝟐 𝒙=−
𝟐
−
𝟐
𝟐 𝟐
𝟏 𝟏
Donc (S) est une sphère de centre Donc 𝒚= donc 𝑯
𝟐 𝟐
𝟏 √𝟐 𝟏 𝟏
𝜴(− ; 𝟎 ; 𝟎) et de rayon 𝑹 =
𝟐 𝟐 {𝒛 = 𝟐 ( 𝟐 )
2ème méthode 3) Soit (𝑸) le plan d’équation :
𝟏
On pose 𝒂 = 𝟏 ; 𝒃 = 𝟎 ; 𝒄 = 𝟎 𝒆𝒕 𝒅 = − 𝟐𝒙 − 𝒚 + 𝒛 + 𝟏 = 𝟎. Montrer que : (𝑷) ⊥ (𝑸)
𝟒
𝟏 𝟎
𝟐 𝟐 𝟐 ( ) 𝟐 𝟐 𝟐
𝒂 + 𝒃 + 𝒄 − 𝟒𝒅 = 𝟏 + 𝟎 + 𝟎 + 𝟒 × On a ⃗⃗⃗⃗ 𝒏 (𝟏) est vecteur normal au plan (P) et
𝟒
=𝟐>𝟎 𝟏
𝟐
Donc l’ensemble (𝑺) est une sphère de ⃗⃗⃗⃗⃗
𝒏′ (−𝟏) est vecteur normal au plan (Q)
𝒂 𝒃 𝒄
centre 𝛀(− ; − ; − ) 𝟏
𝟐 𝟐 𝟐
𝟏
𝟎 𝟐
Donc 𝛀(− ; 𝟎; 𝟎) et de rayon ⃗⃗⃗⃗. ⃗⃗⃗⃗
𝒏 𝒏′ = (𝟏) . (−𝟏) = −𝟏 + 𝟏 = 𝟎
𝟐
√ 𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 − 𝟒𝒅 √ 𝟐 𝟏 𝟏
𝒓= = 𝑫𝒐𝒏𝒄 ⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗
𝒏 ⊥ 𝒏′ 𝑫𝒐𝒏𝒄 (𝐏) ⊥ (𝑸)
𝟐 𝟐
2) Soit (𝑷) le plan d’équation : 𝒚 + 𝒛 − 𝟏 = 𝟎. 4) Soit (𝑫) la droite d’intersection de
a) Montrer que le plan (𝑷) est tangente à (𝑷) 𝒆𝒕 (𝑸) , Vérifier qu ’une représentation
la sphère (𝑺) en un point H paramétrique de la droite (𝑫) est :
𝟏 𝒙 = −𝒕
On a 𝛀(− ; 𝟎; 𝟎) et (𝑷): 𝒚 + 𝒛 − 𝟏 = 𝟎
𝟐 { 𝒚 = 𝟏 − 𝒕 (𝒕 ∈ ℝ)
| −𝟏| 𝟏 √𝟐 𝒛=𝒕
𝒅(Ω; (𝑷) = = = On a (𝑷): 𝒚 + 𝒛 − 𝟏 = 𝟎
√𝟏𝟐 + 𝟎𝟐 + 𝟏𝟐 √𝟐 𝟐
Donc 𝒅(Ω; (𝑷) = 𝑹 Donc 𝟏 − 𝒕 + 𝒕 − 𝟏 = 𝟎 donc (𝑫) ⊂ (𝑷)
Donc (P) est tangent à la sphère (S) en H On a (𝑸): 𝟐𝒙 − 𝒚 + 𝒛 + 𝟏 = 𝟎 donc
b) Déterminer les coordonnées de point H 𝟐(−𝒕) − (𝟏 − 𝒕) + 𝒕 + 𝟏 = −𝟐𝒕 + 𝟐𝒕 = 𝟎
Le point H est l’intersection de la droite Donc (𝑫) ⊂ (𝑸)
𝟎 𝒙 = −𝒕
(𝛀𝐇) de vecteur directeur 𝒏 ⃗⃗ (𝟏), le vecteur Donc { 𝒚 = 𝟏 − 𝒕 (𝒕 ∈ ℝ) est une
𝟏 𝒛=𝒕
représentation paramétrique de (D)
2 23F Modèle 10
5) Montrer que la droite (𝑫) est tangente à Correction de l’exercice 2 (3 points) :
la sphère (𝑺) en un point à déterminer. A) On considère dans ℂ l’équation :
On résoudre le système suivant : (𝐄): 𝐳 𝟐 − ( √𝟑 − 𝟏)𝐳 + 𝟐 = 𝟎
𝒙 = −𝒕
1) Vérifier que ∆= −(𝟏 + √𝟑)𝟐
(𝑫): { 𝒚 = 𝟏 − 𝒕 (𝒕 ∈ ℝ) 𝟐
𝒛=𝒕 𝜟 = (−(√𝟑 − 𝟏)) − 𝟒 × 𝟐
𝟏
(𝑺) : 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 + 𝒙 − = 𝟎 = (𝟑 − 𝟐√𝟑 + 𝟏) − 𝟖
{ 𝟒
𝟏 = (𝟒 − 𝟐√𝟑) − 𝟖
Donc (−𝐭) + (𝟏 − 𝐭) + (𝐭) − 𝐭 − = 𝟎
𝟐 𝟐 𝟐
𝟒
= −𝟒 − 𝟐√𝟑
𝟏
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝐭 𝟐 + 𝟏 − 𝟐𝒕 + 𝐭 𝟐 + 𝐭 𝟐 − 𝐭 − = 𝟎 Et d’autre part :
𝟒 𝟐
𝟐 𝟑 𝜟 = −(√𝟑 + 𝟏)
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝟑 𝐭 − 𝟑𝒕 + = 𝟎
𝟒
𝟏 = −(𝟏 + 𝟐√𝟑 + 𝟑)
Donc 𝟑 ( 𝐭 − 𝒕 + ) = 𝟎
𝟐
𝟒
𝟏
= −(𝟒 + 𝟐√𝟑)
Donc 𝐭 − 𝒕 + = 𝟎
𝟐
𝟒 = −𝟒 − 𝟐√𝟑
𝟏 𝟏
Donc 𝐭 − 𝟐 × 𝒕 + = 𝟎
𝟐
Donc 𝜟 = ∆= −(𝟏 + √𝟑)𝟐
𝟐 𝟒
Donc (𝐭
𝟏
− )𝟐 =𝟎 2) En déduire les solutions 𝐳𝟏 𝐞𝐭 𝐳𝟐 de (E)
𝟐
𝟏 On a 𝜟 = ∆= −(𝟏 + √𝟑)𝟐 < 𝟎
Donc 𝒕 =
𝟐 Donc l’équation (E) admet deux solutions
Donc la droite (D) est tangente à la sphère complexes conjugués sont :
(S) en un point K
√𝟑 − 𝟏 + (𝟏 + √𝟑)𝒊
𝒙 = −𝒕 𝒛𝟏 =
𝟏 𝟐
On remplace 𝒕 = dans { 𝒚 = 𝟏 − 𝒕 pour
𝟐
𝒛=𝒕 √𝟑 − 𝟏 √𝟑 + 𝟏
= + 𝒊( )
trouver K l’intersection De (D) et (S) 𝟐 𝟐
𝟏 √𝟑−𝟏 √𝟑+𝟏
𝒙=− Et 𝒛𝟐 = 𝒛
̅̅̅𝟏 = − 𝒊( )
𝟐 𝟐 𝟐
𝟏 𝟏
Donc 𝒚 = 𝟏 − 𝟐 = 𝟐 B) On considère dans le repère complexe
𝟏
𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬 𝐀(𝐚) ; 𝐁(𝐛) ; 𝐂(𝐜) 𝐞𝐭 𝐃(𝐝) 𝐭𝐞𝐥 𝐪𝐮𝐞 ∶
{ 𝒛=𝟐
𝟏 √𝟑−𝟏 √𝟑+𝟏
− 𝐚 =𝟏−𝐢 ; 𝐛 = +𝒊( );
𝟐 𝟐 𝟐
𝟏
Donc 𝑲 = 𝑯 √𝟑+𝟏 √𝟑−𝟏 𝟏 √𝟑
𝟐
𝟏
𝐜= + 𝒊( ) et 𝐝 = + 𝒊
𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
( 𝟐 ) 1) a) Déterminer la forme exponentielle de a
et d , puis vérifier que : 𝒄 = 𝒅𝒂
𝒂=𝟏−𝐢
|𝒂| = √(𝟏)𝟐 + (−𝟏)𝟐 = √𝟐
𝒂=𝟏−𝐢
𝝅 𝝅
= √𝟐 (𝐜𝐨𝐬(− ) + 𝐢 𝐬𝐢𝐧(− ) )
𝟒 𝟒
3 23F Modèle 10
𝒅= +𝒊
𝟏 √𝟑 Montrons que 𝑹(𝑪) = 𝑨
𝟐 𝟐 𝝅
Donc montrons que 𝒄 − 𝒐 = 𝒆𝒊𝟑 (𝒂 − 𝒐)
𝟏 𝟐 √𝟑
√
|𝒂| = ( ) + ( )𝟐 = 𝟏 𝝅 𝝅
𝟐 𝟐 𝒆𝒊𝟑 (𝒂 − 𝒐) = 𝒂𝒆𝒊𝟑 = 𝒂𝒅 = 𝒄
𝟏 √𝟑 Donc 𝑹(𝑪) = 𝑨
𝒅= +𝒊
𝟐 𝟐 3) Vérifier que 𝒂 + 𝒃 = 𝒄 puis en déduire
𝝅 𝝅
= (𝐜𝐨𝐬( ) + 𝐢 𝐬𝐢𝐧( ) )
𝟑 𝟑 que le quadrilatère OACB est un losange
𝟏 √𝟑
𝒅𝒂 = ( + 𝒊 )(𝟏 − 𝒊) √𝟑 − 𝟏 √𝟑 + 𝟏
𝟐 𝟐 𝒂+𝒃=𝟏−𝐢 + + 𝒊( )
𝟐 𝟐
𝟏 𝟏 √𝟑 √𝟑
= − 𝒊+𝒊 + √𝟑 − 𝟏 + 𝟐 √𝟑 + 𝟏
𝟐 𝟐 𝟐 𝟐 = +𝒊( − 𝟏)
𝟐 𝟐
√𝟑 + 𝟏 √𝟑 − 𝟏
= + 𝒊( ) √𝟑 + 𝟏 √𝟑 − 𝟏
𝟐 𝟐 = + 𝒊( )
𝟐 𝟐
=𝐜
𝛑 𝛑 =𝐜
b) En déduire que 𝐜 = √𝟐(𝒄𝒐𝒔 (𝟏𝟐) + 𝒊𝒔𝒊𝒏 (𝟏𝟐))
On a 𝒂 + 𝒃 = 𝐜
On a 𝒄 = 𝒅𝒂
On a 𝒂 = 𝐜 − 𝐛
𝝅 𝝅
𝒊 −𝒊
= √𝟐𝒆 𝒆 𝟑 𝟒
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Donc 𝐎𝐀 𝐁𝐂
𝝅 𝝅
𝒊( − )
= √𝟐𝒆 𝟑 𝟒 Donc le quadrilatère OACB est un
𝝅
= √𝟐𝒆 𝒊
𝟏𝟐 parallélogramme
𝛑 𝛑 On a 𝑹(𝑪) = 𝑨
= √𝟐(𝒄𝒐𝒔 ( ) + 𝒊𝒔𝒊𝒏 ( ))
𝟏𝟐 𝟏𝟐 𝐎𝐂 = 𝐎𝐀
c) Montrer que 𝐜 = 𝟖𝒊 𝟔 Donc {̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗) ≡ 𝛑 [𝟐𝝅]
⃗⃗⃗⃗⃗⃗, 𝐎𝐀
(𝐎𝐂
𝟑
𝝅 𝟔
𝒊
𝐜 𝟔 = (√𝟐𝒆 𝟏𝟐 ) Donc le triangle OAC est équilatérale
𝟔 𝝅 Donc 𝑶𝑨 = 𝑨𝑪
= (√𝟐) 𝒆𝒊𝟏𝟐×𝟔
𝝅
Donc le quadrilatère OACB est un losange
𝒊
= 𝟖𝒆 𝟐
𝛑 𝛑
= 𝟖(𝒄𝒐𝒔 ( ) + 𝒊𝒔𝒊𝒏 ( ))
𝟐 𝟐
= 𝟖𝒊
2) Montrer que le point C est l’image de
point A par la rotation R de centre O et
𝛑
d’angle
𝟑
4 23F Modèle 10
Correction de l’exercice 3 (3 points) : D’après la formule de la probabilité totale
Dans une école comporte 300 élèves. Ils 𝑷(𝑭) = 𝑷(𝑪𝒔𝒄 )𝑷𝑪𝒔𝒄 (𝑭) + 𝑷(𝑪𝒔𝒑 )𝑷𝑪𝒔𝒑 (𝑭)
sont inscrits aux clubs des activités de + 𝑷(𝑪𝒆𝒏𝒗 )𝑷𝑪𝒆𝒏𝒗 (𝑭)
l’école selon la répartition suivante : 60 au 𝟔𝟎 𝟑𝟎 𝟗𝟎 𝟔𝟎 𝟏𝟓𝟎 𝟕𝟐
club Cyber sécurité dont 30% sont des = × + × + ×
𝟑𝟎𝟎 𝟏𝟎𝟎 𝟑𝟎𝟎 𝟏𝟎𝟎 𝟑𝟎𝟎 𝟏𝟎𝟎
filles, 90 au club Sport dont 60% sont des 𝟏𝟖𝟎
=
filles, et 150 au club Environnement dont 𝟑𝟎𝟎
72% sont des filles. Chaque élève pratique 𝟑
=
une et une seule activité. 𝟓
On choisit au hasard un(e) élève. 3) En déduire la probabilité que l’élève
On considère les événements suivants : choisit(e) soit un garçon
𝑭 : L’élève choisit est une fille 𝑷(𝑮) = 𝟏 − 𝑷(𝑭)
𝑮 : L’élève choisit est un garçon 𝟑
=𝟏−
𝑪𝒔𝒄 : L’élève choisit est inscrit au club Cyber 𝟓
𝟐
sécurité =
𝟓
𝑪𝒔𝒑 : L’élève choisit est inscrit au club Sport 4) Sachant que l’élève choisit(e) est un
𝑪𝒆𝒏𝒗 : L’élève choisit est inscrit au club garçon, montrer que la probabilité qu’il soit
Environnement 𝟕
𝟏
inscrit au club Environnement est
𝟐𝟎
1) Vérifier que 𝑷(𝑪𝒔𝒄 ) = puis calculer
𝟓 𝑷(𝑮 ∩ 𝑪𝒆𝒏𝒗 )
𝑷(𝑪𝒔𝒑 ) et 𝑷(𝑪𝒆𝒏𝒗 ) 𝑷𝑮 (𝑪𝒆𝒏𝒗 ) =
𝑷 (𝑮 )
𝟔𝟎 𝟏 𝑷 𝑪𝒆𝒏𝒗 )𝑷𝑪𝒆𝒏𝒗 (𝑮)
(
𝑷(𝑪𝒔𝒄 ) = = =
𝟑𝟎𝟎 𝟓 𝑷 (𝑮 )
𝟗𝟎 𝟑 𝟏𝟓𝟎
×
𝟐𝟖
𝑷(𝑪𝒔𝒑 ) = =
𝟑𝟎𝟎 𝟏𝟎 = 𝟑𝟎𝟎 𝟐 𝟏𝟎𝟎
𝟏𝟓𝟎 𝟏 𝟓
𝑷(𝑪𝒆𝒏𝒗 ) = = 𝟏𝟓𝟎 𝟐𝟖 𝟐
𝟑𝟎𝟎 𝟐
= × ×
2) Montrer que la probabilité que l’élève 𝟑𝟎𝟎 𝟏𝟎𝟎 𝟓
𝟑 𝟕
choisit(e) soit une fille est =
𝟓 𝟐𝟎
5 23F Modèle 10
Correction de l’exercice 4 (3 points) : 𝟏
− 𝒙
𝟏−𝐞 𝟐 −𝒙
3) En déduire 𝐥𝐢𝐦+
𝐱→𝟎 𝒙𝟐
Soit g une fonction définit sur 𝟏
𝟏
− 𝒙 𝟏 𝟏 − 𝐞− 𝟐𝒙 − 𝒙 𝟏
𝑰 = [𝟎; +∞[ par 𝐡(𝐱) = 𝟏 − 𝐞 − 𝒙
𝟐 𝐎𝐧 𝐚 : (∀𝐱 ∈ ]𝟎 ; +∞[ ): < −
𝟐 𝒙𝟐 𝟐𝒙
(𝐂𝐡 ) son graphe dans un repère orthonormé 𝟏
(𝐎 ; ⃗𝐢 ; ⃗𝐣) 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦+ − = −∞
𝐱→𝟎 𝟐𝒙
(On donne ; ‖⃗𝐢‖ = 𝟐 𝐜𝐦 𝐞𝐭 ‖⃗𝐣‖ = 𝟏 𝐜𝐦) 𝟏
− 𝒙
𝟏−𝐞 𝟐 −𝒙
𝟏 𝟏 𝐃𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐢𝐦 = −∞
1) Vérifier que ∀𝐱 ∈ 𝑰 ; 𝒉′ (𝐱) = (𝐞− 𝟐𝒙 − 𝟏) 𝐱→𝟎+ 𝒙𝟐
𝟐
4) Calculer en 𝐜𝐦𝟐 l’aire du domaine
𝑺𝒐𝒊𝒕 ∶ 𝐱 ∈ 𝑰 ;
délimité par (𝑪𝒉), la droite (𝐎𝐱) et les droites
′ (𝐱)
𝟏 − 𝟏𝒙 𝟏
𝒉 = 𝐞 𝟐 − d’équations 𝒙 = 𝟎 𝒆𝒕 𝒙 = 𝟏
𝟐 𝟐 𝟏
𝟏 − 𝟏𝒙 On sait que 𝑨(𝒇) = ∫𝟎 |𝐡(𝐱)| 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚
= (𝐞 𝟐 − 𝟏)
𝟐 On a d’après la question 2 : ∀𝐱 ∈ 𝐈 ∶ 𝐡(𝐱) < 𝟎
2) Montrer que h est strictement Donc |𝒇(𝐱)| = −𝒇(𝒙)
décroissante sur [𝟎; +∞[ Et on a 𝐮. 𝐚 = ‖⃗𝐢‖ × ‖⃗𝐣‖ = 𝟐𝐜𝐦𝟐
𝑺𝒐𝒊𝒕 ∶ 𝐱 ∈ 𝑰 ; 𝟏
𝟏 𝑨(𝒇) = ∫ −𝒇(𝒙) 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚
𝒙≥𝟎⟺− 𝒙≤𝟎 𝟎
𝟐 𝟏 𝟏 𝟏
− 𝒙
𝟏
− 𝒙 𝟎 = 𝟐 ∫ 𝐞 𝟐 + 𝒙 − 𝟏 𝒅𝒙 × 𝐜𝐦𝟐
⟺ 𝐞 𝟐 ≤𝐞 𝟎 𝟐
𝟏 𝟏
⟺ 𝐞− 𝟐𝒙 − 𝟏 ≤ 𝟎 𝟏
− 𝒙 𝒙𝟐
= 𝟐 [−𝟐𝐞 𝟐 + − 𝒙]
𝟏 𝟏 𝟒
⟺ (𝐞− 𝟐𝒙 − 𝟏) ≤ 𝟎 𝟎
𝟐 𝟏 𝟏
⟺ 𝒉′ (𝐱) ≤ 𝟎 = 𝟐 [−𝟐𝐞− 𝟐 + − 𝟏 + 𝟐] 𝐜𝐦𝟐
𝟒
Donc h est strictement décroissante sur 𝟓 𝟏
= [ − 𝟒𝐞− 𝟐 ] 𝐜𝐦𝟐
[𝟎; +∞[ 𝟐
2) Montrer que :
𝟏
𝟏 − 𝐞− 𝟐 𝒙 − 𝒙 𝟏
(∀𝐱 ∈ ]𝟎 ; +∞[ ) : < −
𝒙𝟐 𝟐𝒙
Soit 𝒙 ∈ ]𝟎 ; +∞[
𝒙>𝟎
𝐞𝐭 𝐡 𝐞𝐬𝐭 𝐬𝐭𝐫𝐢𝐜𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝é𝐜𝐫𝐨𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐭𝐞 𝐬𝐮𝐫 [𝟎; +∞[
⇒ 𝒉(𝒙) < 𝒉(𝟎)
𝟏 𝟏
⇒ 𝒉(𝒙) < 𝟎 ⇒ 𝟏 − 𝐞− 𝟐𝒙 − 𝒙 < 𝟎
𝟐
𝟏 𝟏
⇒ 𝟏 − 𝐞− 𝟐𝒙 < 𝒙
𝟐
𝟏 𝟏
⇒ 𝟏 − 𝐞− 𝟐𝒙 − 𝒙 < − 𝒙
𝟐
𝟏
𝟏 − 𝐞− 𝟐𝒙 − 𝒙 𝟏
⇒ < −
𝐱𝟐 𝟐𝒙
6 23F Modèle 10
Problème (8 points) : 3) Dresser son tableau de variation
A) Soit 𝒈 la fonction définit sur 𝐬𝐮𝐫 ]𝟎; +∞[;
𝟏 𝟏 −𝟏
]𝟎 ; +∞[ par 𝒈(𝒙) = 𝒍𝒏 (𝟏 + ) − On a ∀𝒙 ∈ ]𝟎, +∞[ ∶ 𝒈′ (𝒙) = <𝟎
𝒙 𝒙+𝟏 𝒙(𝒙+𝟏)𝟐
1)Déterminer 𝒍𝒊𝒎 𝒈(𝒙) 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝒙) Donc la fonction g est strictement
𝒙→𝟎+ 𝒙→+∞
𝟏 𝟏 décroissante sur ]𝟎, +∞[
𝒍𝒊𝒎 𝒈(𝒙) = 𝒍𝒊𝒎+ 𝒍𝒏 (𝟏 + ) − = +∞
𝒙→𝟎+ 𝒙→𝟎 𝒙 𝒙+𝟏 x 0 +∞
𝟏 𝟏
Car 𝒍𝒊𝒎+ 𝒍𝒏 (𝟏 + ) = +∞ et 𝒍𝒊𝒎+ =𝟏 𝒈′(𝒙) -
𝒙→𝟎 𝒙 𝒙→𝟎 𝒙+𝟏
𝟏 𝟏 +∞
𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦 𝒍𝒏 (𝟏 + ) − =𝟎 𝒈(𝒙)
𝒙→+∞ 𝒙→+∞ 𝒙 𝒙+𝟏 𝟎
𝟏
Car 𝐥𝐢𝐦 𝒍𝒏 (𝟏 + ) = 𝒍𝒏(𝟏) = 𝟎 et 4) 𝑴𝒐𝒏𝒕𝒓𝒆𝒓 𝒒𝒖𝒆 ∶ ∀𝒙 ∈ [𝟎; +∞[; 𝒈(𝒙) > 𝟎
𝒙→+∞ 𝒙
𝟏 On a 𝒈(]𝟎 ; +∞[) = ] 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝒙) ; 𝒍𝒊𝒎+ 𝒈(𝒙)[
𝐥𝐢𝐦 =𝟎 𝒙→+∞ 𝒙→𝟎
𝒙→+∞ 𝒙+𝟏 = ]𝟎 ; +∞[
−𝟏
2)Montrer que 𝒈′ (𝒙) = 𝐬𝐮𝐫 ]𝟎; +∞[; Donc pour tout 𝒙 ∈ ]𝟎, +∞[ : 𝐠(𝐱) ∈ ]𝟎, +∞[
𝒙(𝒙+𝟏)𝟐
Rappels : Donc ∀𝒙 ∈ [𝟎; +∞[; 𝒈(𝒙) > 𝟎
𝒖′ 𝟏 ′ 𝟏 B) 1) Montrer que f est continue en 0 à droite
[𝐥𝐧(𝒖)]′ = 𝒆𝒕 ( ) = − 𝟐 𝟏
𝒖 𝒙 𝒙 𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦+𝒙 𝒍𝒏 (𝟏 + )
′ 𝒙→𝟎 𝒙→𝟎 𝒙
𝟏 𝐮′ 𝐱+𝟏
𝒆𝒕 ( ) = − 𝟐 = 𝐥𝐢𝐦+𝒙 𝒍𝒏 ( )
𝒖 𝒖 𝒙→𝟎 𝒙
Soit 𝒙 ∈ ]𝟎; +∞ [ = 𝐥𝐢𝐦+𝒙 𝒍𝒏(𝐱 + 𝟏) − 𝐱𝐥𝐧(𝐱)
𝟏 𝒙→𝟎
𝒙𝟐−𝟏 =𝟎
𝒈′ (𝐱) = − 𝟏 − (𝐱 + 𝟏)𝟐
𝟏+ Car 𝐥𝐢𝐦+𝒙 𝒍𝒏(𝐱 + 𝟏) = 𝟎 × 𝐥𝐧(𝟏) = 𝟎 et
𝒙 𝒙→𝟎
𝟏
𝟏 𝐥𝐢𝐦 𝐱𝐥𝐧(𝐱) = 𝟎
𝒙𝟐 𝒙→𝟎+
=− +
𝐱+𝟏 (𝐱 + 𝟏)𝟐 Donc 𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝒙) = 𝒇(𝟎)
𝒙 𝒙→𝟎
𝟏 D’où f est continue à droite de 0
𝒙 𝟏
=− + 𝟏
𝐱 + 𝟏 (𝐱 + 𝟏)𝟐 𝟐) 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦 𝒙 𝒍𝒏 (𝟏 + )
𝒙→+∞ 𝒙→+∞ 𝒙
𝟏 𝟏 𝟏 𝟏
=− + On pose 𝑿 = donc 𝒙 =
𝐱(𝐱 + 𝟏) (𝐱 + 𝟏)𝟐 𝒙 𝑿
(𝐱 + 𝟏) 𝐱 Or 𝒙 → +∞ ⟺ 𝑿 → 𝟎 +
=− 𝟐
+ 𝟏 𝟏
𝐱(𝐱 + 𝟏) 𝐱(𝐱 + 𝟏)𝟐 𝐥𝐢𝐦 𝒙 𝐥𝐧 (𝟏 + ) = 𝐥𝐢𝐦+ 𝐥𝐧 (𝟏 + 𝑿)
−𝒙 − 𝟏 + 𝒙 𝒙→+∞ 𝒙 𝑿→𝟎 𝑿
= 𝒍𝒏(𝟏 + 𝑿)
𝒙(𝒙 + 𝟏)𝟐 = 𝐥𝐢𝐦+ =𝟏
−𝟏 𝑿→𝟎 𝑿
Donc ∀𝒙 ∈ ]𝟎, +∞[ ∶ 𝒈′ (𝒙) = 𝟏 𝒍𝒏(𝟏+𝑿)
𝒙(𝒙+𝟏)𝟐 Car 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 =𝟏
−𝟏 𝒙→+∞ 𝒙 𝑿→𝟎 𝑿
3) On a ∀𝒙 ∈ ]𝟎, +∞[ ∶ 𝒈′ (𝒙) = 𝟐
<𝟎 Donc 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = 𝟏
𝒙(𝒙+𝟏)
𝒙→+∞
Donc la fonction g est strictement Interprétation géométrique :
décroissante sur ]𝟎, +∞[ La droite (D) d’équation 𝒚 = 𝟏 est asymptote
horizontale à la courbe (𝑪𝒇) au voisinage de
+∞
7 23F Modèle 10
𝒙 𝒍𝒏 (𝟏 + )
𝟏 c) On a : ∀𝒙 ∈ ]𝟎, +∞[ ∶ 𝒈(𝒙) > 𝟎
𝒇(𝒙) − 𝒇(𝟎) 𝒙
𝟑) 𝐥𝐢𝐦+ = 𝐥𝐢𝐦+ Donc ∀𝒙 ∈ ]𝟎, +∞[ ; 𝒇′(𝒙) > 𝟎
𝒙→𝟎 𝒙−𝟎 𝒙→𝟎 𝒙
𝟏 Donc la fonction f est strictement croissante
= 𝐥𝐢𝐦+ 𝐥𝐧 (𝟏 + ) sur ]𝟎, +∞[
𝒙→𝟎 𝒙
= +∞ x 0 +∞
Donc f n’est pas dérivable à droite de 0 𝒇′(𝒙) +
Interprétation géométrique : +∞
𝒇(𝒙)
(Cf) la courbe de la fonction f admet une 𝟎
5) On a ∀𝒙 ∈ ]𝟎, +∞[ ∶ 𝒇′ (𝒙) = 𝒈(𝒙)
demi-tangente verticale en 0 dirigée vers le
Donc ∀𝒙 ∈ ]𝟎, +∞[ ∶ 𝒇′′ (𝒙) = 𝒈′(𝒙)
haut −𝟏
4)a) Montrons que f est dérivable sur Donc ∀𝒙 ∈ ]𝟎, +∞[ ∶ 𝒇′′ (𝒙) = <𝟎
𝒙(𝒙+𝟏)𝟐
]𝟎 ; +∞[ Donc la courbe (𝑪𝒇) est concave sur ]𝟎, +∞[
𝟏
➢ La fonction 𝒙 ⟼ 𝟏 + est dérivable 6) Tracer (𝑪𝒇) dans (𝑶 ; 𝒊⃗ ; 𝒋⃗)
𝒙
sur ]𝟎 ; +∞[ car c’est une fonction
rationnelle elle toujours dérivable sur
tout intervalle inclus dans son
domaine de définition qui est
]−∞ ; 𝟎[ ∪ ]𝟎; +∞ [
𝟏
➢ Donc La fonction 𝒙 ⟼ 𝐥𝐧(𝟏 + ) est
𝒙
dérivable sur ]𝟎 ; +∞[
➢ La fonction 𝒙 ⟼ 𝐱 est dérivable sur
]𝟎 ; +∞[ ; (Polynome )
➢ Donc la fonction f est dérivable sur
]𝟎 ; +∞[
Rappels : C)
(𝒖𝒗)’ = 𝒖’𝒗 + 𝒖𝒗’ 𝒆𝒕 [𝐥𝐧(𝒖)]′ 1) Démontrer par récurrence que
𝟏
𝒖′ 𝟏 ′ 𝟏 ∀𝒏 ∈ 𝐈𝐍 𝟎 ≤ 𝐔𝐧 ≤
𝒆−𝟏
= 𝒆𝒕 ( ) = − 𝟐 𝟏 𝟏
𝒖 𝒙 𝒙 ➢ Pour n=0 on a 𝟏 ≤ 𝒖𝟎 = ≤
𝒆 𝒆−𝟏
Soit 𝒙 ∈ ]𝟎; +∞ [
𝟏 Donc la proposition est vraie pour 𝒏 = 𝟎
𝟏 𝟐
𝒇′ (𝐱) = 𝟏 × 𝒍𝒏 (𝟏 + ) − 𝒙 × 𝒙 𝟏
𝒙 𝟏+
𝒙
𝟏
𝟏 𝒙
= 𝒍𝒏 (𝟏 + ) − 𝐱+𝟏
𝒙
𝒙
𝟏 𝟏
= 𝒍𝒏 (𝟏 + ) −
𝒙 𝐱+𝟏
Donc ∀𝒙 ∈ 𝟎, +∞ ∶ 𝒇 𝒙 = 𝒈(𝒙)
] [ ′( )
8 23F Modèle 10
Soit 𝒏 ∈ ℕ • 𝒇 ([𝟎;
𝟏
]) = [𝒇(𝟎); 𝒇 (
𝟏
)]
𝟏 𝒆−𝟏 𝒆−𝟏
➢ Supposons que 𝟎 ≤ 𝐔𝐧 ≤ et 𝟏 𝟏
𝒆−𝟏
𝟏 = [𝟎; ] ⊂ [𝟎; ]
montrons que 𝟎 ≤ 𝐔𝐧+𝟏 ≤ . 𝒆−𝟏 𝒆−𝟏
𝒆−𝟏 𝟏 𝟏
𝒇 est strictement croissante sur l’intervalle • 𝐮𝟎 = ∈ [𝟎; ]
𝒆 𝒆−𝟏
[𝟎;
𝟏
] Alors la limite de (𝐮𝐧 ) est L la solution de
𝒆−𝟏
l’équation 𝒇(𝒙) = 𝒙
𝟏
𝟎 ≤ 𝒖𝒏 ≤ 𝟏
𝒆−𝟏 𝒇(𝒙) = 𝒙 ⟺ 𝒙 𝒍𝒏 (𝟏 + ) − 𝒙 = 𝟎
𝟏 𝒙
⟹ 𝒇(𝟎) ≤ 𝒇(𝒖𝒏 ) ≤ 𝒇( ) 𝟏
𝒆−𝟏 ⟺ 𝒙 (𝒍𝒏 (𝟏 + ) − 𝟏) = 𝟎
𝟏 𝒙
⟹ 𝟎 ≤ 𝐔𝐧+𝟏 ≤ 𝟏
𝒆−𝟏 ⟺ 𝒙 = 𝟎 𝐨𝐮 𝒍𝒏 (𝟏 + ) − 𝟏 = 𝟎
𝒙
𝟏 𝟏 𝟏
➢ 𝑪𝒂𝒓 ; 𝒇 ( )= 𝒍𝒏 (𝟏 + 𝟏 ) 𝟏
𝒆−𝟏 𝒆−𝟏
𝒆−𝟏
⟺ 𝒙 = 𝟎 𝐨𝐮 𝒍𝒏 (𝟏 + ) = 𝟏
𝒙
𝟏 𝟏 𝟏
𝒍𝒏(𝟏 + 𝐞 − 𝟏) =
= ⟺ 𝒙 = 𝟎 𝐨𝐮 𝟏 + = 𝒆
𝒆−𝟏 𝒆−𝟏 𝒙
D'après le principe de récurrence, on a : 𝟏
𝟏 ⟺ 𝒙 = 𝟎 𝐨𝐮 𝒙 =
(∀𝒏 ∈ ℕ) ∶ 𝟎 ≤ 𝐔𝐧 ≤ 𝒆−𝟏
𝒆−𝟏
𝟏 Et on a la suite (un) est croissante donc la
2) 𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 = 𝒖𝒏 𝒍𝒏 (𝟏 + ) − 𝒖𝒏 𝟏
𝒖𝒏 limite est
𝒆−𝟏
𝟏
= 𝒖𝒏 (𝒍𝒏 (𝟏 + ) − 𝟏)
𝒖𝒏
𝟏 𝟏
𝟎 ≤ 𝐔𝐧 ≤ ⟹ ≥𝒆−𝟏
𝒆−𝟏 𝒖𝒏
𝟏
⟹ +𝟏≥𝒆
𝒖𝒏
𝟏
⟹ 𝒍𝒏( + 𝟏) ≥ 𝟏
𝒖𝒏
𝟏
⟹ 𝒍𝒏 ( + 𝟏) − 𝟏 ≥ 𝟎
𝒖𝒏
𝟏
⟹ 𝒖𝒏 (𝒍𝒏 (𝟏 + ) − 𝟏) ≥ 𝟎
𝒖𝒏
⟹ 𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 ≥ 𝟎
⟹ la suite (un) est croissante
3) Déduire que (𝐔𝐧 ) est convergente et
calculer la limite de (𝐔𝐧 )
𝟏
• (un) est croissante et majorée par
𝒆−𝟏
donc convergente.
𝟏
• f est continue sur l’intervalle [𝟎; ] car
𝒆−𝟏
elle est dérivable sur I
Examens blancs non
corrigés 2024
Modèle 1
Modèle 2
Modèle 3
Modèle 4
Modèle 5
Modèle 6
Modèle 7
Modèle 8
Modèle 9
Modèle 10
Modèle 11
1
3 11 ‫النموذج‬
Prof


Suites
Exercice 1 6 points
Géométrie dans l’espace

Exercice 2 6 points
Problème 11 points
intégral , suite

‫الصفحة‬ SN 23F 11 ‫ – النموذج‬2024– ‫االمتحان التجريبي للباكالوريا‬ ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
𝟏 𝟏
Soit (𝑼𝒏 ) une suite tel que : 𝑼𝟎 = 𝒆𝟑 et (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝑼𝒏+𝟏 = 𝑼𝒏 + 𝟏 −
𝒆𝟑 𝒆𝟑
1) Montrer par récurrence que (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝑼𝒏 > 𝟏

0,5
2) Montrer que la suite (𝑼𝒏 ) est convergente
0,5
3) Pour tout n dans ℕ on pose ∶ 𝑽𝒏 = 𝑼𝒏 − 𝟏
𝟏
0,5 a) Monter que (𝑽𝒏 ) est une suite géométrique de raison
𝒆𝟑
𝒆𝟑 −𝟏
0,75 b) Montrer que : (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝑼𝒏 = + 𝟏 puis calculer la limite de la suite (𝑼𝒏 )
𝒆𝟑𝒏
4) Pour tout 𝒏 ∈ ℕ on pose : 𝑺𝒏 = 𝒖𝟎 + 𝒖𝟏 + ⋯ + 𝒖𝒏−𝟏

0,5
a) Calculer 𝑺𝒏 en fonction de n
0,25 b) Déterminer la limite de 𝑺𝒏
⃗ ), on considère les
Dans l’espace rapporté à un repère orthonormé direct(𝐎, ⃗𝐢, ⃗𝐣, 𝐤
points 𝐀(𝟎, 𝟒, 𝟏), 𝐁(𝟏, 𝟑, 𝟎) et 𝐂(𝟐, −𝟏, −𝟐) et 𝛀(𝟕, −𝟏, 𝟒) .
0,25 1) Montrer que les points A ; B et C ne sont pas alignés
2) Soit (∆) la droite passant par 𝛀 et de vecteur directeur ⃗⃗⃗⃗(𝟐;
𝐮 −𝟏; 𝟑)
0,5 a) Montrer que la droite (∆) est orthogonale au plan (ABC)

b) En déduire que 𝟐𝐱 − 𝐲 + 𝟑𝐳 + 𝟏 = 𝟎 est une équation cartésienne du plan (𝐀𝐁𝐂)
0,25 c) Déterminer les coordonnées du point H l’intersection de la droite(∆) et le plan
0,5 (𝐀𝐁𝐂)
4) Soit (C) le cercle de centre 𝛀 et passant par A
a) Montrer que le rayon du cercle (C) est égal à 9
0,25
b) Calculer 𝐝(𝛀; (∆)) puis en déduire la position relative du cercle (C) et (∆)
0,5
5) Soient (P) le plan d’équation 𝐱 + 𝐲 + 𝐳 = 𝟎 et (Q) le plan d’équation 𝐱 + 𝟒𝐲 + 𝟐 = 𝟎
a) Montrer que les plan (P) et (Q) sont sécantes
0,25
b) Vérifier que la droite (D) l’intersection de (P) et (Q) a pour représentation
0,25 𝒙 = −𝟐 − 𝟒𝒕
; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹 )
paramétrique (𝑫) : { 𝒚 = 𝒕
𝒛 = 𝟐 + 𝟑𝒕
0,25
c) En déduire que la droite (D) et le plan (ABC) sont parallèles

‫فرنسي‬
O,5 1) Résoudre dans ℂ l’équation : 𝒛𝟐 − 𝟐√𝟐𝒛 + 𝟒 = 𝟎

2) Dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormé (𝑶, 𝒖 ⃗⃗), on considère
⃗⃗, 𝒗
les points A ; B ; C et D d’affixes respectives
𝝅 𝝅 √𝟑 𝟏
𝒂 = √𝟐 + √𝟐𝒊 ; 𝒃 = 𝒄𝒐𝒔 + 𝒊 𝒔𝒊𝒏 ; 𝒄= + 𝒊 𝒆𝒕 𝒅 = 𝟐𝒃
𝟏𝟐 𝟏𝟐 𝟐 𝟐
a) Vérifier que les points O ; B et D sont alignés

0,5
0,5 b) Ecrire a et c sous forme trigonométrique
0,5 c) En déduire que 𝟐𝒃𝟑 = 𝒂 et 𝒃𝟐 𝒄̅ = 𝟏

3) Soit z’ l’affixe du point 𝑴’ l’image du point M d’affixe z par la rotation de centre O
𝝅
et d’angle −
𝟔
a) Vérifier que 𝒛′ = 𝒄̅𝒛

0,5
b) Déterminer l’image du point A par la rotation R puis en déduire la nature du
0,75
triangle OAD
𝒂−𝒅
c) Montrer que ̅) puis en déduire que les droites (AD) et (OC) sont
= 𝟐(𝒃 − 𝒃
0,75 𝒃𝟐
perpendiculaires
Une urne contient dix jetons indiscernables au toucher tels que deux jetons qui
porte le nombre 1, trois jetons porte le nombre 𝒆 , deux jetons le nombre 𝒆𝟐 , quatre
𝟏 𝟏
jetons le nombre , et un jetons le nombre
𝒆 𝒆𝟐
On tire au hasard successivement et avec remise deux jetons de l’urne

0,5 1) Calculer la probabilité de l’événement A’’ tirer deux boules de même nombre ‘’
2) Le plan est rapporté à un repère orthonormé direct(𝑶, 𝒖 ⃗⃗)

⃗⃗, 𝒗
On note par a le nombre lu sur le premier jeton et par b le nombre lu sur le deuxième
jeton, à cette expérience aléatoire on associe le point M d’affixe 𝒛 = 𝒍𝒏 𝒂 + 𝒊 𝒍𝒏 𝒃
0,5 a) Calculer la probabilité de l’événement B ‘’ M appartient à l’axe des abscisses ’’
0,5 ⃗⃗, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗

b) Calculer la probabilité de l’événement C ‘L’angle orienté (𝒖
𝝅
𝑶𝑴) est égale à ’’
𝟒
0,5 c) Calculer la probabilité de l’événement D ‘M appartient au cercle trigonométrique’

‫فرنسي‬
A) Soit g la fonction définie sur ]𝟎; +∞[par : 𝐠(𝐱) = 𝟐√𝒙 − 𝒍𝒏(𝒙) − 𝟐
𝒙(𝒙−𝟏)
1) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[ ; 𝒈′ (𝐱) =
0,25 𝒙√𝒙(𝒙+√𝒙)
2) Montrer que la fonction 𝒈 est strictement décroissante sur l’intervalle ]𝟎, 𝟏] et
0,25 strictement croissante sur l’intervalle [𝟏; +∞[
3) En déduire que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
𝒆𝒙
0,25 𝒇(𝐱) = 𝒙 + 𝟐𝒆𝒙 −𝟏 ∶𝒙≤𝟎
B) Soit 𝒇 la fonction numérique définit par {
𝒇(𝒙) = 𝒙 + 𝟏 − √𝒙 𝒍𝒏 𝒙 ; 𝒙 > 𝟎
(𝑪) Est la courbe représentative de f dans un repère orthonormé (𝑶; 𝒊⃗; 𝒋⃗) d’unité 1cm
1) a) Justifier que 𝑫𝒇 = ]−∞ ; −𝒍𝒏(𝟐)[ ∪ ]−𝒍𝒏 𝟐 ; +∞[ où 𝑫𝒇 l’ensemble de définition de 𝒇
𝒍𝒏(𝒙)
0,25 b) Montrer que 𝐥𝐢𝐦+ √𝒙 𝒍𝒏(𝒙) = 𝟎 et 𝐥𝐢𝐦 =𝟎
𝐱→𝟎 𝐱→+∞ √𝒙
0,5 c) Montrer que la fonction f est continue en 0
2) a) Vérifier que pour tout 𝒙 < 𝟎 𝒆𝒕 𝒙 ≠ −𝒍𝒏(𝟐) :
0,25 𝒇(𝒙)−𝒇(𝟎) 𝒆𝒙 −𝟏
= 𝟏 − 𝒙(𝟐𝒆𝒙 −𝟏)
𝒙
0,25 b) Montrer que f est dérivable à gauche en 0 puis interpréter le résultat géométriquement
0,5 c) Etudier la dérivabilité de f à droite de 0 puis interpréter le résultat géométriquement
0,5
3) a) Calculer 𝐥𝐢𝐦 + 𝐟(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦 − 𝐟(𝐱) puis interpréter le résultat géométriquement
0,5 𝐱→(−𝐥𝐧𝟐) 𝐱→(−𝐥𝐧𝟐)
b) Vérifier que 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = −∞ puis montrer que la droite d’équation (∆) d’équation
0,5 𝐱→−∞
𝒚 = 𝒙 est une asymptote oblique à (𝑪𝒇 ) au voisinage de −∞
c) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = −∞ et que la courbe (𝑪𝒇 ) admet une branche parabolique de
𝐱→+∞
0,5
direction la droite d’équation (∆) voisinage de +∞
(𝒆𝒙 −𝟏)(𝟒𝒆𝒙 −𝟐)
4) a) Montrer que pour tout 𝒙 < 𝟎 𝒆𝒕 𝒙 ≠ −𝒍𝒏(𝟐): 𝐟 ′ (𝐱) = (𝟐𝒆𝒙 −𝟏)𝟐
0,5
b) Montrer que la fonction f est strictement croissante ]−∞; −𝒍𝒏(𝟒)[ et strictement
0,5 décroissante sur ]−𝒍𝒏(𝟒); −𝒍𝒏(𝟐)[ et ]−𝒍𝒏(𝟐); 𝟎[
𝒈(𝒙)
c) Montrer que (∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[): 𝐟 ′ (𝐱) = 𝟐𝒙
√𝒙
0,5
d) Dresser le tableau de variation de f sur 𝑫𝒇 en justifiant votre réponse
0,25
5) Déterminer une équation de la tangente (T) de la courbe (𝓒) au point 𝑨(𝟏 ; 𝟐) puis
0,5 justifier que A est un point d’inflexion de (𝓒)
6)Soit h la fonction définie sur 𝑫𝒇 par 𝒉(𝒙) = 𝒇(𝒙) − 𝒙 et ci-dessous son tableau de variation
𝟏
𝐱 −∞ − 𝒍𝒏(𝟐) 𝟎 +∞
𝒆𝟐
𝟐
𝟎 +∞ 𝟏+𝒆
𝒉(𝒙)
−∞ 𝟏 −∞
a) Justifier que l’équation 𝒉(𝒙) = 𝟎 admet une unique solution 𝜶 ∈ ]𝟐; 𝟐, 𝟓[
0,25
b) Montrer que (C) est au-dessus de (∆) sur l’intervalle] − 𝒍𝒏(𝟐); 𝜶] et en dessous de (∆) sur
0,75 les intervalles ]−∞; −𝒍𝒏(𝟐)[ 𝒆𝒕 [𝜶 ; +∞[
0,75 7) Construire la droite (∆) et la courbe (𝓒) dans le repère (𝑶, 𝒊⃗ , 𝒋⃗ )
(On prend 𝒍𝒏𝟐 ≈ 𝟎, 𝟕 ; 𝒍𝒏𝟒 ≈ 𝟏, 𝟒 et 𝒇(−𝒍𝒏𝟒) = −𝟏, 𝟖 )
𝟐
0,25 8)a) Montrer que la fonction 𝒙 → 𝟑 𝐱√𝒙 est une primitive de la fonction 𝒙 → √𝒙 sur [𝟏; 𝟐]
0,5 𝟐
b) A l'aide d'une intégration par parties calculer ∫𝟏 √𝒙 𝒍𝒏(𝒙) 𝒅𝒙
0,25 c) Calculer en 𝒄𝒎𝟐 l'aire du domaine plan limité par (𝑪) , la droite (∆) et les droites
d'équations 𝒙 = 𝟏 et 𝒙 = 𝟐 .
1
Prof

Modèle 12

calcul de probabilités.
Exercice 1 2 points

Exercice 4 Suite, calcul intégral 5 points
Problème Etude d’une fonction numérique 7 points

M2-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
Une urne contient 3 boules rouges 4 vertes et 2 boules noires indiscernables au
toucher
On tire simultanément trois boules de l’urne
On considère les deux événements :
A ‘’obtenir au plus deux couleurs’’
B’’ obtenir au moins une boule verte’’
1 1) Calculer P(A)
1 2) Montrer que P(B)=
𝟑𝟕
𝟒𝟐
L’espace est menu d’un repère orthonormé (O,𝒊⃗ , 𝒋⃗,𝒌 ⃗⃗ )
Soient les point 𝑨 (– 𝟏 , 𝟏 ; 𝟎); 𝑩 (𝟎 ; 𝟏 ; −𝟏) ; 𝑪 (−𝟏 ; 𝟎 ; −𝟏)
et le plan (P) passant par A de vecteur normal 𝒏 ⃗⃗(𝟐 , 𝟏 ; −𝟏)
0,5 4) Déterminer une équation cartésienne du plan (P)
5) Montrer que 𝒖 ⃗⃗ = −𝒊⃗ + 𝒋⃗ − ⃗𝒌⃗ est un vecteur normal au plan (ABC)
0,5
6) Vérifier que les plans (ABC) et (P) sont orthogonaux
0,5
7) Déterminer une représentation paramétrique du droite (D) l’intersection des
0 ,5 plans (ABC) et (P)
8) Soit (S) la sphère de centre 𝜴(−𝟐 ; −𝟐 ; 𝟏) et de rayon 𝑹 = √𝟏𝟓
0,5 a) Calculer d (Ω ; (P)) et déduire que le plan (P) coupe (S) suivant un cercle (C) de
rayon r à déterminer
0,5
b) Déterminer le triplet de coordonnées du point H centre du cercle (C)
1) Résoudre dans ℂ l’équation suivant 𝒛𝟐 − √𝟑𝒛 + 𝟏 = 𝟎
0,5
2) Dans le plan complexe rapporte à un repère orthonormé directe (0 ;𝒖 ⃗⃗) on
⃗⃗; 𝒗
𝟏 𝝅
√𝟑
considère les points A et B et C d’affixes respectives a= − 𝒊 et b=𝒆𝒊𝟔 et c=√𝟑
𝟐 𝟐
0,5 a) Déterminer la forme algébrique de b
0,5 b) Déterminer la forme trigonométrique de a et montrer que 𝒂𝟐𝟎𝟐𝟐 est réel

𝒂−𝒄 𝟏 √𝟑 ̂
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
0,75 c) Montrer que = + 𝒊 et determiner une mesure de l’angle (𝑪𝑩 ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑪𝑨 )
𝒃−𝒄 𝟐 𝟐
d) Déterminer la nature du triangle ABC

0,5
−𝟐𝝅
3) Soit R la rotation de centre A et d’angle et M’ (z’) l’image de M(z) par R
𝟑
0,25 a) Ecrire z’ en fonction de z

0,5 b) Montrer que l’affixe de D l’image de B par la rotation R est d=√𝟑 − 𝒊
0,5
c) Montrer que ABCD est un losange
M2-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
𝟏
Soit h une fonction définit sur 𝑰 = [𝟎; 𝟑] par :𝐡(𝐱) = 𝐱 + 𝐱 ( 𝐱 − 𝟏) 𝐞𝐱−𝟑 et (𝐂𝐡 ) son
𝟑
graphe dans un repère orthonormé (𝐎 ; ⃗𝐢 ; ⃗𝐣) (Unité:1cm)
On donne le tableau de variation de h sur 𝑰
x 𝟎 𝟑
′
𝒉 (𝒙) +
𝒉(𝟑)
𝒉(𝒙)
𝒉(𝟎)
1) Montrer que (∀𝐱 ∈ ℝ) ∶ 𝒉(𝐱) ≤ 𝐱
0,5
2) Soit (𝐔𝐧 ) la suite tel que : 𝐔𝟎 = 𝟏 et 𝐔𝐧+𝟏 = 𝒉(𝐔𝐧 ) Pour tout n de ℕ
a) Montrer par récurrence que : (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝟎 ≤ 𝐔𝐧 ≤ 𝟑
0,5
b) Montrer que la suite (𝐔𝐧 ) est décroissante
0,5
c) Déduire que (𝐔𝐧 ) est convergente et déterminer sa limite
0,75
3)a) Montrer 𝒙 ⟼ (𝐱 − 𝟏)𝐞𝐱−𝟑 est une primitive de la fonction 𝒙 ⟼ 𝒙𝐞𝐱−𝟑 sur I puis
𝟑 𝟐𝐞𝟑 +𝟏
0,75 en déduire que: ∫𝟎 𝐱 𝐞𝐱−𝟑 𝒅𝒙 = 𝐞𝟑
𝟑 𝟓𝐞𝟑 −𝟐
b) Par une intégration par partie montrer que:∫𝟎 𝐱 𝟐 𝐞𝐱−𝟑 𝒅𝒙 =
0,5 𝐞𝟑
c) Calculer, en 𝒄𝒎𝟐 , l’aire du domaine limité par la courbe(𝑪𝒇 ), la droite (𝐃): 𝒚 = 𝒙
0,5 et les droites d’équations 𝒙 = 𝟎 et 𝒙 = 𝟑 .
𝟏
Soit f une fonction définit sur ]𝟎 ; +∞[ par : 𝒈(𝒙) = − 𝟏 − 𝒍𝒏(𝐱)
𝒙
1) Calculer 𝒈 𝒙) 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐱 𝐝𝐚𝐧𝐬 ]𝟎; +∞[; puis en déduire que g est strictement
′(
0,75 décroissante sur ]𝟎; +∞[

2) Calculer 𝒈(𝟏) puis montrer que ∀𝒙 ∈ ]𝟎; 𝟏]: 𝒈(𝒙) ≥ 𝟎 et (∀𝒙 ∈ [𝟏; +∞[); 𝒈(𝒙) ≤ 𝟎
0,75 𝟐+𝒍𝒏(𝒙)
B) Soit 𝒇 𝐮𝐧𝐞 𝐟𝐨𝐧𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝é𝐟𝐢𝐧𝐢𝐭 𝒔𝒖𝒓 [𝟎 ; +∞[ par :𝒇(𝒙) = 𝒔𝒊 𝒙 > 𝟎 𝒆𝒕 𝒇(𝟎) = −𝟏
𝟐𝒙−𝒍𝒏(𝒙)
et (𝐂𝐟 ) son graphe dans un repère orthonormé (𝐎 ; ⃗𝐢 ; ⃗𝐣) (Unité:1cm)
0,5 1) Montrer que f est continue à droite de 0
0,75 2) Montrer que𝒙→+∞
𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = 𝟎 puis interpréter le résultat géométriquement
0 ,5 3) a) Etudier la dérivabilité de f à droite de 0
0,25 b) Interpréter le résultat géométriquement
𝟐𝒈(𝒙)
4) a) Montrer que ∀𝒙 ∈ ]𝟎, +∞[ ∶ 𝒇′ (𝒙) = (𝟐𝒙−𝒍𝒏
𝒙)𝟐
0,75
b) Montrer que f est strictement décroissante sur [𝟏; +∞[ et strictement
croissante sur ]𝟎; 𝟏]
0,5
c) Dresser le tableau de variation de f sur ]𝟎 ; +∞[
0,5
5) Montrer que l’équation 𝒇(𝒙) = 𝟎 admet une unique solution 𝜶 ∈ ]𝟎; 𝟏[
0,75
7) Construire (𝑪𝒇) dans un repère orthonormé (𝑶 ; 𝒊⃗ ; 𝒋⃗)
1
( On admet que (𝑪𝒇) admet un point d’inflexion unique d’abscisse 𝟏, 𝟕)

1
Prof

Modèle 13


Exercice 1 3 points
Nombres complexes
Exercice 1 4 points
Exercice 2 Calcul de probabilités. 2 points
Problème 11 points
intégral , suite

M2-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
Dans l’espace rapporté un repère orthonormé (𝐎; ⃗𝐢; ⃗𝐣; ⃗𝐤), on considère les points
𝐀(𝟏; 𝟐; −𝟏) , 𝐁(𝟐; 𝟎; −𝟐) et 𝐂(−𝟏; 𝟏; 𝟏) .
b) Montrer que ⃗⃗⃗⃗𝒏 (𝟏; 𝟎; 𝟏) est un vecteur normal au plan (ABC)
0,5 c- montrer que 𝐱 + 𝐳 = 𝟎 est une équation cartésienne du plan (𝐀𝐁𝐂) .
𝐱=𝟏+𝐭
0,5 2) Soit (∆) la droite définie par la représentation paramétrique (∆) ∶ { 𝐲 = 𝟐 ; 𝐭 𝛜ℝ.
0,5 𝐳 = −𝟏 + 𝐭
a. Vérifier que le point A appartient à (∆) .
0,5
b. Montrer que la droite (∆) est perpendiculaire au plan (𝐀𝐁𝐂).
0,5
3) Soit 𝛂 un réel et 𝐈𝛂 (𝟏 + 𝛂; 𝟐; 𝛂 − 𝟏) un point de (∆) .
0,25 a. Montrer que 𝐝(𝐈𝛂 ; 𝐀𝐁𝐂 ) = √𝟐 𝛂 .
( ) | |
0 ,5 b. Soit (𝐒𝛂 ) la sphère de centre 𝐈𝛂 et de rayon 𝟐√𝟐.déterminer suivant les valeurs de
𝛂 la position relative de la sphère (𝐒𝛂 ) et du plan (𝐀𝐁𝐂) .
4) a-pour quelles valeurs de 𝛂 , le point B appartient à la sphère (𝐒𝛂 ).
b -pour les valeurs de 𝛂 trouvés dans la question 4-A caractériser l’intersection de
(𝐒𝛂 ) 𝐞𝐭 le plan(𝐀𝐁𝐂)
1. Résoudre dans ℂ l’équation (E) : 𝐳² − 𝟐𝐳 + 𝟏𝟎 = 𝟎 .
0,25 2. Dans le plan complexe muni d'un repère orthonormé direct (𝐎, 𝐮 ⃗⃗, 𝐯⃗⃗), on considère
0,5 les points A et D d'affixes respectives 𝐳𝐀 = 𝟒 + 𝟐𝐢 et 𝐳𝐃 = 𝟏 + 𝟑𝐢.
a. Montrer que (𝐳𝐀 − 𝐳𝐃 ) ̅̅̅𝐳𝐃 = −𝟏𝟎𝐢.
b. Montrer que le triangle OAD est isocèle rectangle en D.
0,5
3. Soit (𝐂) le cercle de centre O et de rayon 𝟐√𝟓 .
Vérifier que le point A appartient à (𝐂).
0,75
4. La droite (OD) coupe le cercle (𝐂) en un point B tel que Re(𝐳𝐁 )>0.
a. On pose 𝛂 = 𝐳𝐁 𝐳̅̅̅.
𝐃 Justifier que 𝛂 est un réel.
b. Montrer que |𝛂| = 𝟏𝟎√𝟐 .
5. Montrer que 𝐳𝐁 = √𝟐 + 𝟑√𝟐 𝐢 .
0,25 Une urne 𝐔𝟏 contient trois boules portant le nombre 1 et deux boules porte le
0,25 numéro −𝟏 et une porte le numéro 𝟎 , et Une urne 𝐔𝟐 contient trois boules portant
le nombre −𝟏 et deux boules porte le numéro 𝟎 et une porte le numéro 𝟏.on
suppose que les boules des deux urnes sont indiscernables au toucher.
0,5
On choisit une urne des deux urnes puis On tire au hasard successivement sans
remise 2 boules.
0,25 On considère l’évènement suivant : A : «la première boule tirée porte le numéro 1»
0,75 B : « Obtenir deux boules dont la somme de leurs nombres est égale à −𝟏 »
𝟏 𝟒
1. Montrer que : 𝐏(𝐀) = et que 𝐏(𝐁) = .
𝟐 𝟏𝟓
𝟏
2. Montrer que 𝐏(𝐂) = avec C : « Obtenir deux boules dont la somme des
𝟑
nombres portée par eux égale à 0.
M2-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
𝟏
Soit f une fonction définit sur ℝ par :𝐟(𝐱) = 𝐱 − (𝒙 − 𝟏)𝟐 𝐞− 𝟐 𝐱
𝟏
𝟏 − 𝐱
− 𝐱 𝐞 𝟐
0,75 1)a) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝐞 = +∞ et 𝐥𝐢𝐦
𝟐
𝒙
= −∞
𝐱→−∞ 𝐱→−∞
0,75 𝐟(𝐱)
b) Montrer que : 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = −∞ et 𝐥𝐢𝐦 = +∞
𝐱→−∞ 𝐱→−∞ 𝐱
c) Déterminer la branche infinie de (𝐂𝐟 ) au voisinage de −∞
𝒙𝟐 𝟐𝐱 𝟏
2) a) Vérifier (∀𝐱 ∈ ℝ ) ∶ 𝐟(𝐱) = 𝐱 − 𝟏 + 𝟏 − 𝟏
𝐱 𝐱 𝐱
𝐞𝟐 𝐞𝟐 𝐞𝟐
𝟏
b) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = +∞ ( Tu peux poser 𝒕 = 𝐱)
𝐱→+∞ 𝟐
0,5 c) Montrer que 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞 (∆) ∶ 𝐲 = 𝐱 est asymptote oblique de (𝐂𝐟 ) au voisinage de +∞
d) Montrer que (𝐂𝐟 ) est en dessous de la droite (∆) sur ℝ et que la droite (∆)
0,5 coupe (𝐂𝐟 ) en un point unique 𝑨(𝟏; 𝟏)
𝟏
0,5 3) Soit g une fonction définit sur ℝ par : 𝐠(𝐱) = 𝒙𝟐 − 𝟔𝒙 + 𝟓 + 𝟐𝐞𝟐𝐱
Le graphe ci-contre est la courbe de la fonction g sur ℝ
0,5 Justifier graphiquement que : (∀𝐱 ∈ ℝ ): 𝒈(𝐱) > 𝟎
0,5 𝟏 𝟏
4)a) Montrer que (∀𝐱 ∈ ℝ ): 𝐟 ′ (𝐱) = 𝐠(𝐱)𝐞− 𝟐𝐱
𝟐
0,5 b) Dresser le tableau de variation de f sur ℝ
0,5 c) Montrer que l’équation 𝐟(𝐱) = 𝟎 admet une unique
𝟏 𝟏
solution 𝛂 tel que 0 < 𝛂 < (𝑶𝒏 𝒅𝒐𝒏𝒏𝒆: 𝒇 ( ) ≈ 𝟎, 𝟑𝟏 )
𝟐 𝟐
0,75 𝟏 𝟏
6) a) Montrer que ∀𝐱 ∈ 𝐈𝐑 ∶ 𝐟 ′′ (𝐱) = (−𝐱 𝟐 + 𝟏𝟎𝐱 − 𝟏𝟕)𝐞− 𝟐𝐱
𝟒
0,75 b) Déduire que (𝐂𝐟 ) admet deux points d’inflexions (leur cordonnées ne son pas
demandés)
1 7) Tracer (∆) 𝐞𝐭 (𝑪𝒇) dans (𝑶; 𝒊⃗; 𝒋⃗) ( On admet que (𝐂𝐟 ) admet deux points
d’inflexions sont 𝑰(𝟐, 𝟐 ; 𝟏, 𝟕) 𝒆𝒕 𝑱(𝟕, 𝟖 ; 𝟕) )
8) Soit h la fonction définit sur ]−∞; 𝟏] par : 𝒉(𝒙) = 𝐟(𝐱)
0,75
a) Montrer que h admet une fonction réciproque 𝒉−𝟏 sur J à déterminer
b) Tracer (𝑪𝒉−𝟏 ) le graphe de 𝒉−𝟏 dans le même repère
0,5 9)a) Montrer que : 𝐇: 𝐱 → (𝟐𝒙𝟐 + 𝟖𝒙 + 𝟏𝟔)𝐞− 𝟏𝟐𝐱 est une primitive de 𝐡: 𝐱 → −𝒙𝟐 𝐞− 𝟏𝟐𝐱
𝟎 𝟏
0,5 b) Déduire la valeur de l’intégrale : ∫−𝟐 𝒙𝟐 𝐞− 𝟐𝐱 𝒅𝒙
𝟎 𝟏
c)Par une intégration par parties calculer ∫−𝟐 𝟐𝐱𝐞− 𝟐𝐱 𝒅𝒙
d) Déduire l’aire du domaine délimité par(𝑪𝒇), la droite (∆) et les droites
0,5 d’équation : 𝒙 = −𝟐 𝒆𝒕 𝒙 = 𝟎
10) Soit (𝐔𝐧 ) une suite tel que : 𝐔𝟎 = 𝟐 et 𝐔𝐧+𝟏 = 𝒇(𝐔𝐧 )
0,5 a) Montrer que : ∀𝒏 ∈ 𝐈𝐍 ∶ 𝟏 ≤ 𝐔 ≤ 𝟐
𝐧
0,75 b) Montrer que (𝐔 ) est décroissante (Utiliser B)2) d))
𝐧
c) Déduire que (𝐔𝐧 ) est convergente et calculer sa limite
10
*****14
Prof
Fayssal

Modèle 14


Nombres complexes.
Exercice 3 4 points
Exercice 3 2 points
Problème 8 points
intégral

M5-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
Soit (𝒖𝒏 ) la suite numérique définie par
𝟑 𝟗
𝒖𝟎 = 𝟏𝟗 et 𝒖𝒏+𝟏 = 𝒖𝒏 + pour tout 𝒏 de ℕ
𝟒 𝟐
0,5 1)a) Montrer que pour tout 𝒏 de ℕ , 𝒖𝒏 > 𝟏𝟖

−𝟏
b) Montrer que pour tout 𝒏 de ℕ , 𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 = (𝒖𝒏 − 𝟏𝟖) et déduire que la suite
𝟒
0,75 (𝒖𝒏 ) est décroissante et convergent.

2)On pose pour tout 𝒏 de ℕ , 𝒗𝒏 = 𝒖𝒏 − 𝟏
𝟑
a) Montrer que (𝒗𝒏 ) est une suite géométrique de raison et écrire 𝒗𝒏 en fonction
𝟒
0,5
de 𝒏.
0,75 b) Ecrire 𝒖𝒏 en fonction de 𝒏 puis déduire la limite de la suite (𝒖𝒏 ) .
3) Soit (𝒘𝒏 ) la suite numérique définie par 𝒘𝒏 = 𝐥𝐧 (𝒗𝒏 ) pour tout 𝒏 de ℕ

0,5 Montrer que (𝒘𝒏 ) est une suite arithmétique et déterminer sa raison et sa limite.
⃗⃗ )
Soient les points 𝑨 (−𝟑 ; 𝟎 ; 𝟎) ; 𝑩 (𝟏 ; 𝟎 ; −𝟐) 𝒆𝒕 𝑪 (−𝟏; 𝟏 ; 𝟎)

𝒏 (𝟏; −𝟐; 𝟐) est un vecteur normal au plan (ABC)
0,5 c) Vérifier que 𝒙 − 𝟐𝒚 + 𝟐𝒛 + 𝟑 = 𝟎 est une équation cartésienne du plan (𝑨𝑩𝑪)
2) Soit ( S ) une sphère définie par l’équation cartésienne suivante :
( S ) : 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 + 𝟐𝛂𝐲 − 𝟐𝛂𝐳 + 𝛂𝟐 + 𝛂 − 𝟏 = 𝟎
0,5 a) Montrer que le centre de la sphère ( S ) est :  ( 0; −  ; ) et son rayon R =  ² −  + 1 .
0,5 b) Calculer : d (  , ( ABC ) ) en fonction de 
c) Déterminer la valeur de  pour laquelle le plan ( ABC ) est coupe la sphère ( S )

0,5
selon un cercle (C).
0,5
d) Déterminer le rayon r de cercle ( C )
M5-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
Soit 𝛂 un nombre complexe non nul .
Partie I :
On considère dans ℂ l’équation (𝐄𝛂 ) ∶ 𝐳 𝟐 − 𝐢𝛂𝐳√𝟑 − 𝛂² = 𝟎.
𝐢𝐳
On pose : 𝐙 =
𝛂
1- a) Montrer que l’équation (𝐄𝛂 ) est équivalente à l’équation :
(𝑬) ∶ 𝐙² + 𝐙√𝟑 + 𝟏 = 𝟎
0,5 b) Résoudre dans ℂ l’équation (𝑬).
0,5 c) En déduire dans ℂ les solutions de l’équation (𝐄𝛂 ) .
2- Sachant que 𝛂 = |𝛂|𝐞𝐢𝐦 , 𝐦 ∈ ℝ
0,5 Mettre les deux racines de l’équation (𝐄𝛂 ) sous formes exponentielles
Partie II :
Le plan complexe est rapporté á un repère orthonormé direct (𝐨, 𝐮 ⃗⃗, 𝐯⃗⃗),
𝐎𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐢𝐝è𝐫𝐞 𝛀 , 𝐌𝟏 𝐞𝐭 𝐌𝟐 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬 𝐝’𝐚𝐟𝐟𝐢𝐱𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐬𝐩𝐞𝐜𝐭𝐢𝐯𝐞𝐬 𝛂 ,
𝟏+𝐢√𝟑 −𝟏+𝐢√𝟑
𝐳𝟏 = 𝛂 𝐞𝐭 𝐳𝟐 = 𝛂.
𝟐 𝟐
𝛑
Et soit 𝐑 la rotation de centre O et d’angle
𝟑
0,5 1- a) Montrer que 𝐑(𝛀) = 𝐌𝟏 𝐞𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐑(𝐌𝟏 ) = 𝐌𝟐
0,5 b) En déduire que les triangles 𝐎𝛀𝐌𝟏 𝐞𝐭 𝐎𝐌𝟏 𝐌𝟐 sont équilatéraux .
0,25 2- a) Vérifier que 𝐳𝟏 − 𝐳𝟐 = 𝛂
0,25 b) Montrer que les deux droites (𝐎𝐌𝟏 ) 𝐞𝐭 (𝛀𝐌𝟐 ) sont ortogonales .
0,5 c) En déduire que 𝐎𝛀𝐌𝟏 𝐌𝟐 est un losange .
0,5 3- Montrer que pour tout réel 𝛉 le nombre 𝐳 = 𝐳𝟐 −𝛂 ÷ 𝐳𝟐−|𝛂|𝐞𝐢𝛉 est un réel
𝐢𝛉 𝐳𝟏 −𝛂 𝐳𝟏 −|𝛂|𝐞
Une urne contient : 4 boules blanches et 3 boules noires indiscernables au toucher.
1) On tire au hasard et simultanément 3 boules de l’urne.
a) Calculer les probabilités des deux évènements :
𝑨 : « Les trois boules tirées ont le même couleur »

0,5
𝑩 : « Obtenir au moins une boule blanche »
0,5
𝟐
0,5 b) Montrer que 𝑷𝑩 (𝑨) =
𝟏𝟕
2) On tire maintenant une boule de l’urne.
Si cette boule est blanche, on la met de côté puis on tire une deuxième boule de
l’urne. Si elle est noire, on la remet dans l’urne puis on tire une deuxième boule de
l’urne.
0,5 Montrer que : 𝑷(𝑪) =
𝟐𝟑
o avec 𝑪 : « Obtenir deux boules restantes dans l’urne »
𝟒𝟗
‫فرنسي‬
Soit 𝒈 une fonction définit sur ]𝟎 ; +∞[ par : 𝒈(𝒙) = 𝒙 + 𝟏 + 𝟐𝐱 𝒍𝒏(𝒙)
0,5 1) Calculer 𝒍𝒊𝒎+ 𝒈(𝒙) et 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝒙)

𝒙→𝟎 𝒙→+∞
2) Montrer que : ∀𝒙 ∈ ]𝟎; +∞[: 𝒈′ (𝐱) = 𝟑 + 𝟐𝒍𝒏(𝒙) puis dresser son tableau de
0,5
variations
3) En déduire que ∶ ∀𝒙 ∈ ]𝟎; +∞[: 𝒈(𝒙) > 𝟎

0,5
B) Soit f la fonction définit sur 𝑰 = ]𝟎; 𝟏[ ∪ ]𝟏; +∞[ 𝒑𝒂𝒓 :
𝟏 + 𝐥𝐧 𝐱
𝒇(𝒙) =
(𝒙 − 𝟏)𝟐
Et (𝑪𝒇) son graphe dans un repère orthonormé (𝑶; 𝒊⃗; 𝒋⃗) (unité:1 cm)
1)a) Calculer 𝒍𝒊𝒎+ 𝒇(𝒙) puis interpréter le résultat géométriquement

0,75 𝒙→𝟎
0,25 b) Calculer 𝒍𝒊𝒎+ 𝒇(𝒙) 𝒆𝒕 𝒍𝒊𝒎− 𝒇(𝒙) puis interpréter les résultats géométriquement
𝒙→𝟏 𝒙→𝟏
0,5 c) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = 𝟎 puis interpréter les résultats géométriquement
𝒙→+∞
2)a) Montrer que : pour tout 𝒙 ∈ ]𝟎 ; 𝟏[ ∪ ]𝟏 ; +∞[ on a :
(𝟏 − 𝒙)𝒈(𝒙)
0,5 𝒇′ (𝒙) =
𝒙(𝒙 − 𝟏)𝟒
0,5 b)En déduire que f est strictement croissante ]𝟎; 𝟏[ sur et strictement décroissante
sur ]𝟏; +∞[
0,5 c) Dresser le tableau de variation de f

3) Résoudre dans 𝑰 l’équation 𝐟(𝐱) = 𝟎 puis interpréter le résultat
0,5 géométriquement
𝟏
1 4) Calculer 𝒇 ( ) puis tracer et (𝐂𝐟 ) dans le repère (𝑶; 𝒊⃗; 𝒋⃗)
𝟐
𝟏 𝟏 𝟏
5) a) Vérifier que ∀𝒙 ∈ [𝟐; 𝟑] ∶ = − puis en déduire que
𝒙(𝒙−𝟏) 𝒙−𝟏 𝒙
0,75 𝟑
𝟏
∫ 𝒅𝒙 = 𝟐𝒍𝒏𝟐 − 𝒍𝒏𝟑
𝟐 𝒙(𝒙 − 𝟏)
𝟑 𝟑 𝟏
a) Par une intégration par partie montrer que ∫𝟐 𝐟(𝐱)𝒅𝒙 = 𝟑𝒍𝒏𝟐 − 𝒍𝒏𝟑 +
0,5 𝟐 𝟐
b) Calculer l’aire du domaine plan limité par la courbe (𝑪𝒇 ) , la droite (𝐎𝐱) et les
0,5 droites x=2 et x=𝟑
1
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Modèle 15

Exercice 2 3 points
Problème 11 points
intégral , suite

M3-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
Dans l’espace rapporté à un repère orthonormé direct (𝑶, 𝒊⃗ , 𝒋⃗ , ⃗𝒌⃗), on considère les
deux points 𝑨(𝟐, 𝟏, 𝟎) et 𝑩(𝟒, 𝟐, 𝟐). Soit (𝑷) le plan passant par le point 𝑪(𝟏, 𝟏, 𝟏) et
de vecteur normale 𝒖 ⃗⃗(𝟐, 𝟏, 𝟐) et (𝑺) la sphère de diamètre [𝑨𝑩] et (∆) la droite
passante par le point 𝑨 et de vecteur directeur 𝒖 ⃗⃗(𝟐, −𝟐, 𝟏) .
𝟑 𝟑
1)a) Montrer que le centre de la sphère (𝑺) est Ω(𝟑, , 𝟏) et son rayon est 𝑹 =
0,5 𝟐 𝟐
0,5 b) En déduire que 𝒙 + 𝒚 + 𝒛 − 𝟔𝒙 − 𝟑𝒚 − 𝟐𝒛 + 𝟏𝟎 = 𝟎 est l’équation cartésienne

𝟐 𝟐 𝟐
de la sphère (𝑺)
0,75 2)a) Montrer que 2𝒙 + 𝒚 + 𝟐𝒛 − 𝟓 = 𝟎 est l’équation cartésienne du plan 𝑷 et que
( )
𝑨 ∈ (𝑺).
0,5 b) Montrer que le plan (𝑷) est tangente à la sphère (𝑺) en 𝑨
0,25 3)a) Déterminer une représentation paramétrique de la droite ∆ passante par le
( )
0 ,5 point 𝑩 et de vecteur directeur 𝒗⃗⃗(𝟐, −𝟐, 𝟏) .
b) Montrer que la droite (∆) est tangente à la sphère (𝑺) en 𝑩.
Un sac contient 5 boules numérotées 1;1;1;2;3
Les boules sont indiscernables au toucher.
1) On tire au hasard et simultanément deux boules
a) Calculer 𝑷(𝑨) , où 𝑨 est l’événement ‘’ Obtenir 2 boules portant le numéro 1”
0,75
b) Calculer 𝑷(𝑩) , où 𝑩 est l’événement “Obtenir une boule exactement qui porte le
0,75
numéro 1 ‘’
2) On tire maintenant quatre boules de façon suivante :
On tire simultanément deux boules et ne les remettons pas dans le sac puis on tire
simultanément deux boules
0,75
a) Calculer 𝑷(𝑪) , où 𝑪: " Les deux premières boules portant le numéro 1 ‘’
0,75
b) Calculer 𝑷(𝑫) , où 𝑫: " la somme des quatre numéros obtenus est égale à 7 ..
0,5 A)Résoudre dansℂ l’équation : 𝒛𝟐 − 𝟒√𝟑𝒛 + 𝟏𝟔 = 𝟎
B) On cosnidère dans le repère complexe (𝐎 ; 𝒖 ⃗⃗) les points 𝑨(𝒂) ; 𝑩(𝒃)𝒕𝒆𝒍 𝒒𝒖𝒆 ∶
⃗⃗ ; 𝒗
𝒂 = 𝟐√𝟑 − 𝟐𝒊 ; 𝒃 = 𝟐√𝟑 + 𝟐𝒊 et le point I le milieu du segment[𝑨𝑩]
0,5 1) a) Ecrire sous forme exponnentielle les nombre complexe a et b
0,5 ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝝅
b) Déduire que 𝑶𝑨 = 𝑶𝑩 et (𝑶𝑨 𝑶𝑩) ≡ [𝟐𝝅]
𝟑
0,5 c) Déduire la nature du triangle OAB

2) Soit h l’homothétie de centre O et de rapport 𝒌 = 𝟐 et soit le point C l’image du
point I par l’homothétie h
0,25 a) Montrer que l’affixe du point C est 𝒄 = 𝟒√𝟑
0,25 b) Déduire que I est le milieu du segment [𝑶𝑪]
0,5 𝟑)Déduire que le quadrillataire OACB est un losange
M3-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
A) Soit 𝒈 une fonction définit sur ]𝟎 ; +∞[ par :
𝒈(𝒙) = 𝒙𝟐 − 𝒙 + 𝟏 − 𝒍𝒏(𝒙)
1) Vérifier que 𝒍𝒊𝒎+ 𝒈(𝒙) = +∞ et que 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝒙) = +∞
0.5 𝒙→𝟎 𝒙→+∞
(𝒙−𝟏)(𝟐𝒙+𝟏)
0.5 2) Montrer que : ∀𝒙 ∈ ]𝟎; +∞[: 𝒈 𝐱) = ′(
puis dresser le tableau des
𝒙
variations de g
3) En déduire que∶ ∀𝒙 ∈ ]𝟎; +∞[: 𝒈(𝒙) > 𝟎
0.5
B) Soit 𝒇 une fonction définit sur ]𝟎; +∞[ par :
𝟏−𝒙
𝒇(𝒙) = 𝒙 + ( ) 𝒍𝒏(𝒙)
𝒙
Et (𝑪𝒇) son graphe dans un repère orthonormé (𝑶; 𝒊⃗; 𝒋⃗) (unité:1 cm)
0.5 1) Calculer 𝒍𝒊𝒎+ 𝒇(𝒙) 𝒆𝒕 Interpréter le résultat géométriquement
𝒙→𝟎
0.5 2) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) et montrer que 𝐥𝐢𝐦
𝒇(𝒙)
=𝟏
𝒙→+∞ 𝒙→+∞ 𝒙
0.5 3) Monter que la courbe (𝑪𝒇) admet une branche parabolique de direction la droite
(∆) ∶ 𝒚 = 𝒙 au voisinage de+∞
0.5 4) a) Dresser le tableau de signe de (𝟏 − 𝒙)𝒍𝒏𝒙 sur l’intervalle ]𝟎 ; +∞[;
0.5 b) Déduire que : ∀𝒙 ∈]𝟎 ; +∞[; 𝒇(𝒙) ≤ 𝒙
0.5 c) Déduire la position relative de (𝑪𝒇) et (∆)
𝒈(𝒙)
5)a) Montrer que ∀𝒙 ∈ ]𝟎, +∞[ ∶ 𝒇′ (𝒙) =
0.5 𝒙𝟐
0.5 b) Dresser le tableau de variation de f , en justifiant votre réponse

0.5 c) Montrer que la droite (∆) ∶ 𝒚 = 𝒙 est tangente à (𝑪𝒇) au point d’abscisse 1
𝟏
6) Montrer que l’équation 𝒇(𝒙) = 𝟎 admet une unique solution 𝜶 dans ] , 𝟏[
𝟐
0.5 𝟏
(𝑶𝒏 𝒅𝒐𝒏𝒏𝒆 ∶ 𝒇 ( ) = −𝟎, 𝟒𝟐 )
𝟐
7)a) Montrer que f admet une fonction réciproque 𝒇−𝟏 définie sur un intervalle 𝑱 que
0.25 l’on précisera
0.25 b) Montrer que 𝒇−𝟏 est dérivable en 1 puis calculer (𝐟 −𝟏 )′(𝟏)
8) Tracer (∆) ; (𝑪𝒇) et (𝑪𝒇−𝟏 ) dans le repère (𝑶; 𝒊⃗; 𝒋⃗)
1
𝐞𝟐 𝒍𝒏(𝒙)
0.25 9)a) Calculer : ∫𝐞 𝒅𝒙
𝒙
𝐞𝟐
b) Par une intégration par parties calculer : ∫𝐞 𝐥𝐧(𝐱) 𝒅𝒙
0.25
c) Calculer l’aire du domaine plan limité par la courbe (𝑪𝒇 ) , la droite (∆) et les droites
0.75 x=𝐞 et x=𝐞𝟐
𝟐𝟑
C) Soit (𝐔𝐧 ) une suite tel que : 𝐔𝟎 = et 𝐔𝐧+𝟏 = 𝒇(𝐔𝐧 )
𝟐𝟐
1) Montrer que : ∀𝒏 ∈ 𝐈𝐍 ∶ 𝐔𝐧 > 𝟏
0,5
0.5 2) Montrer la suite (𝐔𝐧 )est décroissante
0.75 3) Déduire (𝐔𝐧 ) est convergente et calculer la limite de (𝐔𝐧 )

1
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Modèle 16

Exercice 1 3 points
Nombres complexes
Exercice 3 Probabilité 2,5 points
Problème 11 points
intégral , suite

M2-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
Dans l’espace rapporté à un repère orthonormé direct (O, i, j, k ) , On considère les
points A(1;1;1) , B (0 ;1;2) , C (− 3 ;2 ;5) et Soit ( P ) un plan d'équation : x − y − z + 2 = 0
1) a) Montrer que les points A ; B et C ne sont pas alignés
𝐧 (𝟏; 𝟎; 𝟏) est un vecteur normal au plan (ABC)
0,5
c) En déduire une équation cartésienne du plan ( ABC ) .
0,5
0,5
2) Montrer que ( ABC ) ⊥ ( P ) .
3) Soit ( S ) l'ensemble des points M ( x ; y ; z ) de l'espace vérifient
x 2 + y 2 + z 2 − 2 y − 2z + 1 = 0 .
a) Montrer que ( S ) est une sphère de centre  (0 ;1;1) et de rayon R = 1 .
0,5
0,25
b) Calculer la distance du point  au plan ( P ) ,
0,5 c) Déterminer l'intersection du plan ( P ) et la sphèr ( S )
Exercice 1 (3,5 points) :
1 . Résoudre dans l’ensemble ℂ, l’équation : 𝐳 𝟐 − 𝟒√𝟑𝐳 + 𝟏𝟔 = 𝟎
0,75 2. Dans le plan complexes (𝐏) muni ‘un repère orthonormé (𝐎; 𝐮 ⃗⃗; 𝐯⃗⃗) , on considère
les points 𝐀 et 𝐁 d’affixe respectifs : 𝐚 = 𝟐√𝟑 − 𝟐𝐢 et 𝐛 = 𝟐√𝟑 + 𝟐𝐢
a. Ecrire 𝐚 et 𝐛 sous forme trigonométrique
0 ,5
0,25 b. Déduire que 𝐛𝟐𝟎𝟐𝟐 est un nombre réel négatif.
0,75 c. Montrer que : 𝐎𝐀 = 𝐎𝐁 et (𝐎𝐀, ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝛑
𝐎𝐁) ≡ [𝟐𝛑] , puis en déduire la nature du triangle
𝟑
𝐎𝐀𝐁.
3. Soient 𝐈 le milieu du segment [𝐀𝐁] et 𝐂 l’image de 𝐈 par l’homothétie 𝐡 de centre 𝐎
et de rapport 𝐤 = 𝟐
0,5 a. Montrer que : 𝐳𝐈 = 𝟐√𝟑 et que : 𝐳𝐂 = 𝟒√𝟑
b. Montrer que le quadrilatère 𝐎𝐀𝐂𝐁 est un losange, puis en déduire
0,75 ̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝟐𝛑
que : (𝐀𝐂, 𝐀𝐎) ≡ [𝟐𝛑]
𝟑
Exercice 3 ( 2 ,5 points) :
On considère trois urnes 𝐔𝟏 , 𝐔𝟐 𝐞𝐭 𝐔𝟑 .
𝐔𝟏 Contient quatre boules vertes et 2 boules rouges.
𝐔𝟐 Contient quatre boules rouges et 2 boules jaunes.
𝐔𝟑 Contient trois boules rouges et 2 boules vertes.
On prend une urne parmi les trois. Après on tire de cette urne choisis au hasard et
simultanément deux boules.
0,5 1) Calculer la probabilité de choisir une urne 𝐔𝐢 , 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐢 ∈ {𝟏, 𝟐, 𝟑}.
2) On considère les évènements :
A : « tire une boule jaune et une boule rouge »
B: « tire deux boules ont même couleurs »
1 i) Calculer 𝐩(𝐀) 𝐞𝐭 𝐩(𝐁).
0,5 ii) Calculer 𝐩(𝐀 ∩ 𝐁).
0,5 iii) Déduire 𝐩(𝐀 ∪ 𝐁).
M2-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
A)On considère la fonction 𝒇 définie sur 𝑰 = [𝟎; +∞[ par
𝟏
𝒇(𝒙) = 𝒙𝟑 𝐥𝐧 (𝟏 + ) ; ∀𝒙 ∈ ]𝟎; +∞[
{ 𝒙
𝒇(𝟎) = 𝟎
Et soit (𝑪) sa courbe représentative dans un repère orthonormé (𝑶 ; 𝒊⃗ ; 𝒋⃗) (‖𝒊⃗‖ = ‖𝒋⃗‖ = 𝟏𝒄𝒎)
𝟏 𝟏
0,5 1)On considère la fonction h définie sur l’intervalle ]𝟎; +∞[ par : 𝒉(𝒙) = 𝟏+𝒙 − 𝐥𝐧 (𝟏 + 𝒙)
0,5 a) Calculer : 𝐥𝐢𝐦 𝒉(𝒙) 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 𝒉(𝒙) .
𝒙→+∞ 𝒙→𝟎+
0,5 b) Calculer : 𝒉′(𝒙) pour tout x de ]𝟎; +∞[ puis dresser le tableau de variation de la
fonction h.
𝟏 𝟏
0,5 c) En déduire que : (∀𝒙 ∈]𝟎; +∞[) ; < 𝐥𝐧 (𝟏 + )
𝟏+𝒙 𝒙
𝟏 𝟏 𝟏
2) Montrer que : (∀𝒙 ∈]𝟎; +∞[) ; 𝟏+𝒙 < 𝐥𝐧 (𝟏 + 𝒙) < 𝒙
0,5
0,5 3) a) Montrer que la fonction 𝒇 est continue à droite en 0
b) Montrer que la fonction 𝒇 est dérivable à droite en 0 et interpréter le résultat
0,5 géométriquement.
c) En utilisant la question 2, montrer que la courbe (𝑪) admet une branche parabolique
0,5 dont on précisera la direction.
4- a) Montrer que la fonction 𝒇 est dérivable sur ]𝟎; +∞[ et que :
0,5 𝟏 𝟏
(∀𝒙 ∈]𝟎; +∞[) ; 𝒇′ (𝒙) = 𝟑𝒙𝟐 (𝒍𝒏 (𝟏 + ) − )
𝒙 𝟑(𝟏 + 𝒙)
0,5 b) En déduire que la fonction 𝒇 est strictement croissante sur 𝑰 . (on pourra utiliser la
question 2) )
c) Dresser le tableau de variation de 𝒇.
𝒇(𝒙)
0,5 5- Pour tout 𝒙 𝒅𝒆 ]𝟎; +∞[ ; on pose : 𝒈(𝒙) = 𝒙
𝟏 𝟏
a) Vérifier que : (∀𝒙 ∈ ]𝟎; +∞[) ; 𝒈′ (𝒙) = 𝟐𝒙 (𝒍𝒏 (𝟏 + 𝒙) − 𝟐(𝟏+𝒙)), en déduire que la fonction 𝒈
0,5
est strictement croissante sur ℝ∗+
b) Montrer que l’équation 𝒈(𝒙) = 𝟏 admet sur ℝ∗+ , une solution unique notée 𝜶, puis
𝟑
0,5 vérifier que : 𝜶 ∈ ]𝟏 ; 𝟐[ ( on prendra 𝒍𝒏𝟐 = 𝟎. 𝟕 𝒆𝒕 𝒍𝒏 𝟐 = 𝟏. 𝟓)
0,25 c) En déduire que les seules solutions de l’ équations 𝒇(𝒙) = 𝒙 𝒔𝒐𝒏𝒕 𝟎 𝒆𝒕 𝜶
1 6) Représenter graphiquement la courbe (𝑪).
7- a) Montrer que 𝒇 admet une fonction réciproque 𝒇−𝟏 définie sur un intervalle J à
0,5 déterminer.
b) Construire la courbe (𝑪′) de la fonction 𝒇−𝟏 dans le même repère (𝑶 ; 𝒊⃗ ; 𝒋⃗)
0,5 8) a) En utilisant la méthode d’intégration par parties, montrer que :
𝟏 𝟏
𝐥𝐧𝟐 𝜶𝟒 𝟏 𝟏 𝐱𝟑
∫ 𝒇(𝒙)𝒅𝒙 = − 𝐥𝐧 (𝟏 + ) + ∫ 𝐝𝐱
0,5 𝟒 𝟒 𝜶 𝟒 𝐱+𝟏
𝜶 𝜶
𝟏 𝐱𝟑 𝒙𝟑 𝟏
b) Calculer ∫𝜶 𝒙+𝟏 𝐝𝐭 ( on remarque que : 𝟏+𝒙 = 𝒙 − 𝒙 + 𝟏 − 𝟏+𝒙 ) 𝟐
0,5 c) En déduire que l’aire délimite par la courbe (𝑪) et l’axe des abscisses et la droite de
0,5 𝟓 𝜶𝟑 𝜶𝟐 𝜶 𝟏 𝜶𝟒 𝟏
l’équation x =1 et x= 𝛂 est 𝑨 = − 𝟐𝟒 + 𝟏𝟐 − 𝟖 + 𝟒 − 𝟒 𝐥𝐧(𝟏 + 𝜶) + 𝟒 𝐥𝐧 (𝟏 + 𝜶) 𝒄𝒎²
B)On considère la suite (𝑼𝒏 )𝒏≥𝟎 définie par : 𝟎 < 𝑼𝟎 < 𝜶 et (∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝑼𝒏+𝟏 = 𝒇−𝟏 (𝑼𝒏 )
0,5 1) Montrer par récurrence que : ( ∀ 𝒏 ∈ ℕ ) : 𝟎 < 𝑼𝒏 < 𝜶
0,25 2) a) Montrer que : 𝒈(]𝟎; 𝜶[) = ]𝟎; 𝟏[
0,5 b) En déduire que la suite (𝑼𝒏 )𝒏≥𝟎 est strictement croissante.
0,5 c) Montrer que la suite (𝑼𝒏 )𝒏≥𝟎 est convergente. Et déterminer 𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏
𝒏⇀+∞
1
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Modèle 17

Exercice 1 2 points


M2-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
1- Résoudre dans l’équation : :
2-On considère dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormé direct (O; e1; e2 ) les
points d’affixe respectives , b = a et c = a + b .
a) Écrire le nombre sous forme exponentielle.
O,5
b) En déduire a est un nombre imaginaire pur.
2022
0,5
3-.Soit un point d’affixe z et M’un point d’affixe z’ tel que M’est l’image de M par la
rotation R du centre et d’angle .
0,5 a- Montrer que z ' = −iz .
b- En déduire que est l’image de par la rotation R
0,5
0,5 4-Soit un point d’affixe z et M’un point d’affixe z’, tel que M’est l’image de M par la
0 ,5 translation t tel que : z ' = z + 2 + i 2 .

a) Montrer que est le vecteur de la translation t.
0,5
0,5 b) En déduire que est l’image de par la translation t.
5-Quelle est la nature du quadrilatère OACB ?
Dans l'espace muni d'un repère orthonormé (O; i; j; k ) ,on considère les deux points
A (3 ; -3 ; 0) et B (0 ; 0 ; 3) et soit k un réel strictement positif.
On note (Ek) l'ensemble des points M de l'espace tels que : MA = kMB
0,5 1) a) Déterminer la nature de (E₁).
b) Montrer qu’une équation cartésienne de (E₁) est : -2x+2y+2z+3=0.
0,5 2) a) Démontrer que (E2) est une sphère de centre le point I(-1 ;1 ;4) et de rayon R = 2 3 .
0,5 b) Déterminer la position relative de (E₁) et (E2).
3) Soit J le milieu de OI  .
0 ,5
a) Déterminer les coordonnées de J, puis Calculer : JA  JB .
0,5 b) En déduire l’aire du triangle JAB.
4) On suppose désormais que k est différent de 1.
0,5
( )(
a) Démontrer que : M  Ek  MA − k MB . MA + k MB = 0 . )
b) Déduire la nature de (Ek).
5𝑢𝑛
On considère La suite (𝑢𝑛 )𝑛∈𝑁 définie par : 𝑢0 = 5 et (∀𝑛 ∈ ℕ) , 𝑢𝑛+1 =
0,5 𝑢𝑛 +1
1- Montrer par récurrence que : (∀𝑛 ∈ ℕ) ; 𝑢𝑛 > 4
𝑢
0,5 2- a- Montrer que : (∀𝑛 ∈ ℕ); 𝑛+1 < 1
𝑢𝑛
b- En déduire la monotonie de la suite (𝑢𝑛 )𝑛∈𝑁 .
0,5
c- En déduire que la suite (un) est convergente.
5𝑛 (𝑢𝑛 −4)
0,75 3- On considère La suite (𝑣𝑛 )𝐼𝑁 définie par : (∀𝑛 ∈ ℕ) ;𝑣𝑛 =
𝑢𝑛
a- Montrer que (𝑣𝑛 )ℕ est une suite constante et déterminer cette constante.
0,5
4  5n +1
b- En déduire que : (∀𝑛 ∈ ℕ) ; un = et en déduire 𝑙𝑖𝑚 𝑢𝑛
0,25 5n +1 − 1 𝑛→+∞
M2-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
On considère un dé équitable cubique, de faces numérotés de 1 à 6, et une urne contenant
six boules : une noire, deux rouges et trois vertes.
On suppose que les boules de l’urne sont indiscernables au toucher.
On considère l’expérience aléatoire suivante : « On lance le dé dans l’air et on écrit le chiffre
obtenu sur sa face supérieure, si le chiffre est impair alors on tire une seule boule dans
l’urne, si le chiffre est pair alors on tire simultanément deux boules dans l’urne»
On considère les événements suivants :
A : «Obtenir un chiffre pair sur la face supérieure »
B : « Obtenir deux boules vertes »
C : « Obtenir exactement une boule verte sachant qu’on a obtenu un chiffre pair sur la face
1 supérieure du dé»
1 1) Calculer p( A) et montrer que p( B) =
1
10
2) Calculer p( C) (on peut utiliser l’arbre des possibilités)
Soit f la fonction numérique définie sur l’intervalle ]0; +∞[ par : f(x) = (2x + 1)ln(x) −
1
3x + 3 et (Cf ) sa courbe représentative dans un repère orthonormé ( O; ⃗i; ⃗j). (Unité cm ).
0,5 2
0,5 1. Montrer que lim+ f(x) = −∞ , puis interpréter graphiquement ce résultat.

x→0
0,5 2. a. Montrer que lim f(x) = +∞ .
x→+∞
0,75 b. Montrer que (Cf ) admet une banche parabolique de direction l’axe des ordonnées au
voisinage de +∞.
0,75 2x ln(x)+1−x
3. a. Montrer que ∀ x ∈ ]0; +∞[ : f′(x) = .
x
0,5 La courbe (Cf′ ) ci-contre est la représentation

graphique de la fonction f′ la dérivée de la fonction
0,5 f
b. En justifiant votre réponse. Déterminer le
0,75 signe de f′sur ]0; +∞[ .
c-donner le tableau de variation de f sur ]0; +∞[ .
0,75 d- en justifiant votre réponse déduire la concavité
de la courbe (Cf ) en précisant l’abscisse du point
d’inflexion.
0,5 4. Montrer que l’équation f(x) = 0 admet une unique solution β tel que 0.09 < β < 0.11 .
0,75 5. Construire (Cf ) dans le repère orthonormé ( O; ⃗i; ⃗j) .on prend ( α ≈ 0,3 et f(α) ≈ 0,2 ) .
e e²+3
0 ,5 6. a. En utilisant une intégration par partie, calculer ∫1 (2x + 1)ln(x)dx =
2
0,25 b. déduire l’aire de la partie du plan délimitée par la courbe (Cf ), l’axe des abscisses
et les droites d’équations x = 1 et x = e .
0,75 7. Soit g la fonction numérique définie sur ℝ∗ par : g(x) = f(|x|) .
0,5 a. Etudier la parité de la fonction g .
0,75 Construire (Cg ) la courbe représentative de g dans le même repère ( O; ⃗i; ⃗j).
1
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Modèle 18

suite
Exercice 1 3 points

Exercice 4 calcul de probabilités. 2 points

M2-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
On considère la suite (u n ) définie par u0 = 2 et un+1 = 5 −
4
pour tout n .
un
0,5 1) Montrer que ( n  ) ; 2  un  4 .
0,5 2) Montrer que (u n ) est croissante.
4 − un
0,5 3) Montrer que ( n  ) : 4 − un+1  .
2
n
1
0 ,75 4) En déduire que 4 − un    . Et calculer lim un .
 2
5) Soit n . On pose Sn = u0 + u1 + ... + un .
0,75 1
Montrer que Sn  4n − 2 + n
2
Dans l’espace rapporté à un repère orthonormé direct (O, i, j, k ) , On considère les points
A(1;1;1) , B (0 ;1;2 ) , C (− 3 ;2 ;5 ) et Soit ( P ) un plan d'équation : x − y − z + 2 = 0
0,5
b) Montrer que ⃗⃗⃗⃗ 𝑛 (1; 0; 1) est un vecteur normal au plan (ABC)
0,5 c) En déduire une équation cartésienne du plan (𝐴𝐵𝐶)
1) Montrer que ( ABC ) ⊥ ( P ) .
2) Soit ( S ) l'ensemble des points M ( x ; y ; z ) de l'espace vérifient x 2 + y 2 + z 2 − 2 y − 2z + 1 = 0 .
0 ,75
d) Montrer que ( S ) est une sphère de centre  (0 ;1;1) et de rayon R = 1 .
0,75 Calculer la distance du point  au plan ( P ) , puis déterminer l'intersection du plan ( P ) et la
sphère ( S )
On considère dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormé direct (𝑂, 𝑒⃗1 , 𝑒⃗2 ) les
points 𝐴 , 𝐵 𝑒𝑡 𝐶 d’affixes respectives
𝑎 = 3 + 2𝑖 ; 𝑏 = 𝑎̅ 𝑒𝑡 𝑐 = 1
1) a) Ecrire le nombre (𝑎 − 𝑐 ) sous la forme trigonométrique
0,5
b) En déduire que (𝑎 − 𝑐 )4 = −64
2) a) Monter que b − c = −i (a − c)
0,5
b−c
b) Donner une interprétation géométrique du module de
0,5 a−c
b−c
et de arg  
0,75 a−c
c) En déduire que le point B est l'image du point A par une transformation
dont on précisera les éléments caractéristiques.
0,5
d) Quelle est la nature du triangle ABC?
3) Soit 𝑀 un point d’affixe 𝑧 et 𝑀′ un point d’affixe 𝑧′ tel que 𝑀′ est l’image de 𝑀 par
0,25 l’homothétie ℎ de centre 𝑂 et de rapport 5
0,5 a- Déterminer l’affixe du point 𝐷 image du point 𝐶 par l’homothétie ℎ
0,5 b- Montrer que ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐶𝐵 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐷
4) En déduire la nature du quadrilatère 𝐴𝐷𝐵𝐶.
M2-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
Exercice 4 ( 2 points) : ‫فرنسي‬
Une urne contient trois boules blanches, quatre boules rouges et deux boules noires
indiscernables au toucher. On tire au hasard et simultanément 3 boules de l’urne .
A ‘’ Obtenir trois boules de même couleur ‘’
B ‘’ Obtenir au moins une boule blanche ‘’
C ‘’ Obtenir une boule de chaque couleur ‘
1 a) Montrer que p(A) =
5
; p(C) =
2
.
84 7
1
b) Calculer p(B)
Partie1 : On considère la fonction g définie sur 1;+ par : g( x ) = 2 x 2 − x 2 − 1 ln x 2 − 1 . ( ) ( )
0,5
( ) ( )
1) a) Calculer lim+ x 2 − 1 ln x 2 − 1 en déduire que lim+ g( x ) = 2 .
x →1 x →1
0,5 b) Montrer que lim g ( x ) = − .
x → +
0,5
0,75
( (
2) a) Montrer que x  1;+ ; g ( x ) = −2 x ln x 2 − 1 − 1 . ) )
(
b) Résoudre dans 1;+ l'inéquation ln x 2 − 1 − 1  0 . )
0,75 c) Donner le tableau de variations de g ( )
(N.B. : g e + 1 = e + 2 ).
3) a) Montrer que l'équation g ( x ) = 0 admet une seule solution  dans l'intervalle  e + 1 ;+ .
0,5 (On admet que g est continue sur 1;+ )
0,5 b) Montrer que g ( x )  0 sur 1;  et g ( x )  0 sur  ;+ .
ln(x 2
−1 ).
Partie2 : Soit f la fonction numérique définie sur 1;+ par : f ( x ) =
x
Et soit ( f ) la courbe représentative de f dans un repère orthonormé O ; i ; j . ( )
1) Calculer lim+ f ( x ) et interpréter le résultat graphiquement.
0,75 x →1
2) Montrer que lim f ( x ) = 0 et interpréter le résultat graphiquement.
x → +
0,75 g( x )
0,5 3) a) Montrer que x  1;+ ; f ( x ) = x 2 x 2 − 1 .

( )
0,75 b) Montrer que f est croissante sur 1;  et décroissante sur  ;+ .
0 ,5 c) Donner le tableau de variations de f .
0,25
4) Résoudre dans 1;+ l'équation f ( x ) = 0 et interpréter le résultat graphiquement.
( ) f ( )  0,69 , la courbe ( f ) possède un point
0,75 5) Construire  f .( On admettra que   3,2 ,
d'inflexion dont l'abscisse est supérieure à 5 ).
Partie 3 :
ln( x 2 )
1) Montrer que (x   2; +  );0  f ( x)  .
0,5 x
e2
0,5 ln( x 2 ) 16 − (ln(2)) 2
2) a) A l’aide d’une intégration par parties, montrer que  =
2
x 4
0,75 b) Déduire un encadrement de l’aire du domaine plan délimité par la courbe ( f ) , l’axe des
abscisses et les droites d’équations x = 2 et x = e2
1
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Modèle 19

Exercice 1 3 points

Exercice 4 Suite, 3 points

M2-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
Une urne contient 4 boules blanches et 2 boules noires indiscernables au toucher
Un dé non truqué porte les numéros 2-2-2-2-3-3
On considère l’expérience suivante : On jette une seule fois le dé , Si on obtient 2 On
tire 2 boules successivement avec remise , Si on obtient 3 On tire simultanément 3
boules de l’urne.
Soient les évènements B:"les boules tirés sont blanches" et D:" obtenir 2 lorsqu’On
jette le dé"
0,75 1) Calculer la probabilité de D
0,75 2) Calculer la probabilité de B sachant qu’On a obtenu 2 en jetant le dé
0,75 3) Calculer la probabilité de B
4) les événements D et B sont-ils indépendants ? justifier
0,75 Exercice 2 (3 points) :
Dans l’espace est rapporté à un repère orthonormé direct (𝑶, 𝒊⃗, 𝒋⃗, ⃗𝒌⃗), on considère les
points : 𝑨(𝟐, 𝟒, 𝟏) ;𝑩(𝟎, 𝟐, 𝟐)et 𝑪(𝟏, 𝟐, 𝟏)

𝒏 (𝟐; −𝟏; 𝟐) est un vecteur normal au plan (ABC)
0,5
c) Donner l’équation cartésienne du plan (𝑨𝑩𝑪)
2) Soit (𝑺) la sphère de centre 𝜴(−𝟏; 𝟎; −𝟏) et de rayon 𝑹 = 𝟐

a) Montrer que l’équation cartésienne de (𝑺) s’écrit :𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐𝒛 − 𝟐 = 𝟎
0 ,5
b) Montrer que le plan (𝑨𝑩𝑪) est tangent à (𝑺)
0,5
3) a) Donner une représentation paramétrique de la droite (𝑫) passant par 𝜴 et
0,5
orthogonale au plan (𝑨𝑩𝑪)
0,5
b) Déterminer les coordonnées de 𝑯 le point de tangence de (𝑨𝑩𝑪) et (𝑺)
0,5 I- Résoudre dans ℂ l’équation : 𝒛𝟐 + 𝟐√𝟐𝒛 + 𝟖 = 𝟎
II - Dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormé direct (𝑶, 𝒖 ⃗⃗), on
⃗⃗, 𝒗
considère les points 𝑨 et 𝑩 d’affixes respectives : 𝒂 = −√𝟐 + √𝟔𝒊 et 𝒃 = √𝟑 − 𝟏 +
𝒊(√𝟑 + 𝟏)
0,5 𝟐𝝅
1) Montrer que |𝒂| = 𝟐√𝟐 et 𝒂𝒓𝒈(𝒂) ≡ [𝟐𝝅]
𝟑
𝝅
−𝒊
0,25 2) a) Vérifier que 𝒃 = 𝒆 𝟒 × 𝒂
0,25 𝟓𝝅 𝟓𝝅
b) En déduire que 𝒃 = 𝟐√𝟐 (𝒄𝒐𝒔( ) + 𝒊 𝒔𝒊𝒏( ))
𝟏𝟐 𝟏𝟐
𝟓𝝅 𝟓𝝅
0,5 c) Déduire les valeurs exactes de 𝒄𝒐𝒔( ) et 𝒔𝒊𝒏( )
𝟏𝟐 𝟏𝟐
𝝅
3) Soit 𝒄l’affixe du point 𝑪 l’image de 𝑩 par la rotation 𝑹 de centre 𝑶 et d’angle−
𝟒
𝝅
0,5 montrer que 𝒄 = 𝟐√𝟐𝒆 𝒊
𝟔
0,5 𝒂
4) Montrer que = 𝒊, en déduire la nature du triangle 𝑶𝑨𝑪
𝒄
M2-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
𝑼𝟎 = 𝟏
Soit (𝑼𝒏 ) la suite numérique définie par : { 𝟏𝟐𝑼𝒏 −𝟒 (∀𝒏 ∈ ℕ)
𝑼𝒏+𝟏 = 𝟗𝑼𝒏
𝟐 𝟐(𝟑𝑼𝒏 −𝟐)
1) Vérifier que (∀𝒏 ∈ ℕ) : 𝑼𝒏+𝟏 − 𝟑 = .
0,25 𝟗𝑼𝒏
0,5 2) Montrer par récurrence que (∀𝒏 ∈ ℕ) : 𝑼𝒏 > 𝟐.
𝟑
−(𝟑𝑼𝒏 −𝟐)𝟐
3) a- Montrer que (∀𝒏 ∈ ℕ) : 𝑼𝒏+𝟏 − 𝑼𝒏 = .
0,5 𝟗𝑼𝒏
b- Etudier la monotonie de la suite (𝑼𝒏 ) puis déduire qu’elle est convergente.
𝟑
0,75 4) Soit (𝑽𝒏 ) la suite numérique définie par : (∀𝒏 ∈ ℕ) 𝑽𝒏 = 𝟑𝑼 −𝟐
𝒏
a. Montrer que (𝑽𝒏 )𝒏 est une suite arithmétique en déterminant sa raison 𝒓 et son
0,75 premier terme et exprimer 𝑽𝒏 en fonction de 𝒏.
b. Déduire 𝑼𝒏 𝐞𝐧 𝐟𝐨𝐧𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝒏 puis calculer 𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏 .
𝒏→+∞
0,75 Problème (8 points) :
On considère la fonction numérique f définie sur IR par : f ( x ) = 2 x 2 − x3 e1− x et ( )
( ) la courbe de la fonction f
soit C f dans un repère orthonormé O, i, j ( ) (unité 1 cm
0,25 1) a) Montrer que xlim f ( x ) = +

→−
f ( x)
0,5 b) Montrer que lim
x →− x
= − et en déduire la branche infinie de la courbe C f ( ) au
voisinage de − .
0,5 2) Montrer que lim f ( x ) = 0 et interpréter géométriquement le résultat
x →+
0 ,5
(
3) a) Montrer que pour tout x de IR : f ' ( x ) = x3 − 5 x 2 + 4 x e1− x )
b) Etudier le signe de f ' ( x ) puis dresser le tableau de variations de la fonction f
0,5
0,5
4) a) Montrer que pour tout x de IR , f '' ( x ) = ( x − 2 ) − x 2 + 6 x − 2 e1− x( )
0,5
b) Déterminer les abscisses des points d’inflexions de la courbe C f ( )
5) Déterminer les points d’intersection de la courbe C f ( ) avec l’axe des abscisses
0,75
1 ( )
6) Construire la courbe C f dans le repère O, i, j ( )
7) Soit g la restriction de f sur l’intervalle 1;4 .
0,5 a) Montrer que g admet une fonction réciproque g −1 définie sur un intervalle J
( )
b) Calculer g −1 ' ( 0 )
0,5
(
1− x
0,75 8) a) Montrer que la fonction H : x → − x + 2 x + 2 e est une primitive de la
2
)
fonction h : x → x 2e1− x sur IR
1 2 1− x
0,5
b) En déduire que 0 x e dx = 2e − 5
1 3 1− x
0,75
c) A l’aide d’une intégration par parties, montrer que : 0 x e dx = 6e − 16
0,5
d) Calculer en cm 2 l’aire du domaine plan limité par C f ( ) , l’axe des abscisses et les
droites d’équations x = 0 et x = 1
1
Prof

Modèle 20

Exercice 1 3 points


M2-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
I. Résoudre dans ℂ l’équation 𝒙𝟐 − 𝟐√𝟑𝒛 + 𝟕 = 𝟎
II. Dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormé direct (𝑶 , 𝒖 , 𝒗), on
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
considère les points A , B , C et D d’affixes respectives :
𝒂=𝒊 , 𝒃 = √𝟑 , 𝒄 = √𝟑 + 𝟐𝒊 𝒆𝒕 𝒅 = √𝟑 − 𝟐𝒊
𝟏
1- On pose : 𝒖 = (𝒄 + 𝒂). Montrer que 𝒖𝟐𝟎𝟏𝟗 = −𝟏
𝟐√𝟑
𝒅−𝒂
0,5 2- a)- Montrer que = −√𝟑𝒊
𝒄−𝒂
b)- En déduire que le triangle ADC est rectangle en A.
0,5 𝟏
c)- Montrer que 𝒃 − 𝒅 = (𝒄 − 𝒅) et en déuire que les points B, C et D sont alignés
𝟐
0,5
et que le point B est le milieu du segment [𝑫𝑪].
3- Montrer que le centre du cercle circonscrit au triangle ADC est le point B et que
0 ,5
son rayon est 2
4- Soient 𝑻 la translation du vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪.
0,5
a- Montrer que l’affixe du point 𝑬 l’image du point D par 𝑻 est 𝒆 = 𝟐√𝟑 − 𝒊
0,5 b- En déduire que le quadrilatère 𝑨𝑪𝑬𝑫 est un rectangle.
𝟖𝒖𝒏 −𝟔
On considère la suite (𝒖𝒏 )𝒏 définie par : 𝒖𝟎 = 𝟗 𝒆𝒕 𝒖𝒏+𝟏 = pour tout 𝒏 𝒅𝒆 ℕ.
𝒖𝒏 +𝟏
1- Montrer par récurrence que pour tout 𝒏 𝒅𝒆 ℕ : 𝒖𝒏 ≥ 𝟔.
0,5 𝟐
0,5 2- a)- Monter que 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟔 ≤ (𝒖𝒏 − 𝟔) pour tout 𝒏 𝒅𝒆 ℕ.
𝟕
0,5 𝟐
b)- En déduire que 𝟎 ≤ 𝒖𝒏 − 𝟔 ≤ 𝟑( )𝒏 pour tout 𝒏 𝒅𝒆 ℕ et calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 .
𝟕 𝒏→+𝟎𝟎
𝒖𝒏 −𝟔
0 ,5 3- Soit (𝒗𝒏 )𝒏 la suite définie par : 𝒗𝒏 = pour tout 𝒏 𝒅𝒆 ℕ.
𝒖𝒏 −𝟏
0,5 𝟐
a)- Montrer que 𝒗𝒏+𝟏 = 𝒗𝒏 pour tout 𝒏 𝒅𝒆 ℕ et en déduire 𝐥𝐢𝐦 𝒗𝒏
𝟕 𝒏→+𝟎𝟎
0,5 b)- Vérifier que 𝒖𝒏 =
𝒗𝒏 −𝟔
pour tout 𝒏 𝒅𝒆 ℕ et en déduire à nouveau 𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏
𝒗𝒏 −𝟏 𝒏→+𝟎𝟎
Dans l’espace mini d’un repère orthonormé direct (𝐎; ⃗𝐢; ⃗𝐣; 𝐤 ⃗ ), on considère les points
𝐀(𝟎; −𝟐; −𝟐) , 𝐁(𝟏; −𝟐; −𝟒) , 𝐂(−𝟑; −𝟏; 𝟐) et la sphère (𝐒) d’équation
𝐱 𝟐 + 𝐲 𝟐 + 𝐳 𝟐 − 𝟐𝐱 − 𝟒𝐲 − 𝟔𝐳 − 𝟏𝟏 = 𝟎 .
0,5 1. Montrer que le centre de la sphère est 𝛀(𝟏; 𝟐; 𝟑) et de rayon 5.
0,5 2. Montrer que les points A ; B et C ne sont pas alignés
0,5 3. Montrer que ⃗⃗⃗⃗ 𝒏 (𝟐; 𝟐; 𝟏) est un vecteur normal au plan (ABC)
0,75 4. Montrer que 𝟐𝐱 + 𝟐𝐲 + 𝐳 + 𝟔 = 𝟎 est l’équation cartésienne du plan (𝐀𝐁𝐂) .
0,5
5. Calculer 𝐝(𝛀, (𝐀𝐁𝐂)) puis déduire que le plan (𝐀𝐁𝐂) est tangent à la sphère (𝐒).
6. a. Déterminer une représentation paramétrique de la droite (𝚫) passant par 𝛀 est
perpendiculaire au plan (𝐀𝐁𝐂) .
𝟏𝟑 𝟏𝟔 𝟏𝟒 −𝟕 −𝟒 𝟒
0,5 b. Montrer que (𝚫) coupe la sphère (𝐒) en deux points 𝐄 ( 𝟑 ; ; ) et 𝐅 ( 𝟑 ; ; 𝟑).
𝟑 𝟑 𝟑
0,5 c. Vérifier que 𝐅 est le point de contact.
M2-24 ‫فيصل‬.‫ذ‬
‫فرنسي‬
Une urne contient trois boules blanches numérotées 0 ; 1 ; 2 et deux boules noires
numérotées 1 ; 2 (Toutes les boules sont indiscernables au toucher)
On tire au hasard successivement et sans remise deux boules de l’urne.
1) On considère les deux événements suivants :
A :’’ Obtenir deux boules portants le numéro 1 ‘’
B :’’la première boule tirée est blanche’’
𝟏
a-Montrer que : 𝒑(𝑨) =
𝟏𝟎
𝟏
b-Calculer 𝒑(𝑩) et montrer que : 𝒑(𝑨 ∩ 𝑩) =
0,5 𝟐𝟎
c- Les événements A et B sont-ils indépendants ?
0,5
Soit 𝐠 une fonction numérique définie sur l’intervalle 𝐈 = ]𝟎; +∞[ par :
𝐱 𝟐 𝐥𝐧𝐱−𝟐𝐱−𝟏
𝐠(𝐱) =
𝐱²
0,5 1. Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝐠(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦+ 𝐠(𝐱) .
𝐱→+∞ 𝐱→𝟎
𝐱 𝟐 +𝟐𝐱+𝟐
2. Montrer que (∀𝐱 ∈ 𝐈 ; 𝐠 𝐱) = ) ′( , puis dresser le tableau de variations de 𝐠.
0,75 𝐱𝟑
3. a. Montrer que l’équation 𝐠(𝐱) = 𝟎 admet une solution unique 𝛂 sur 𝐈, et que
𝟓𝟏 𝟔𝟒
0,75 < 𝛂 <
𝟐𝟎 𝟐𝟎
b. Montrer que 𝐠(𝐱) > 𝟎 pour tout 𝐱 de ]𝛂; +∞[ et 𝐠(𝐱) < 𝟎 pour tout 𝐱 de ]𝟎; 𝛂[.
𝟏− 𝐱𝐥𝐧𝐱
II. Soit 𝐟 une fonction numérique définie sur l’intervalle 𝐈 = ]𝟎; +∞[ par : 𝐟(𝐱) =
𝐱𝐞𝐱
Soit (𝐂𝐟 ) sa courbe représentative dans un repère orthonormé (𝐎; ⃗𝐢; ⃗𝐣).
0,5 1. Calculer 𝐥𝐢𝐦+ 𝐟(𝐱) puis interpréter le résultat géométriquement.
𝐱→𝟎
0,5 2. Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = 𝟎 puis interpréter le résultat géométriquement.
𝐱→+∞
0,75 3. Vérifier que 𝐥𝐧(𝛂) =
𝟐𝛂+𝟏
et que 𝐟(𝛂) = −
𝟏+𝛂 −𝛂
𝐞 .
𝛂² 𝛂²
4. a. Montrer que (∀𝐱 ∈ 𝐈); 𝐟 ′ (𝐱) = 𝐞−𝐱 𝐠(𝐱) .
0,75 b. Déduire la monotonie de 𝐟 sur 𝐈 puis dresser le tableau de variations de 𝐟.
0,5 5. Ecrire l’équation de la tangente à la courbe (𝐂𝐟 ) au point d’abscisse 1.
1 6. Construire la courbe (𝐂𝐟 ).
7. Soit 𝛌 un nombre réel tel que 𝛌 > 𝟑.
0 ,5 a. Montrer que 𝐇: 𝐱 ⟼ 𝐞−𝐱 𝐥𝐧𝐱 est une primitive de 𝐟 sur 𝐈.
b. Calculer en cm² l’aire du domaine limité par (𝐂𝐟 ), l’axe des abscisses et les
0,25
droites 𝐱 = 𝟑 et 𝐱 = 𝛌.
0,75 c. Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝐀(𝛌) .
𝐱→+∞
8. a. Montrer que 𝐟 admet une fonction réciproque 𝐟 −𝟏 définie sur un intervalle 𝐉
0,5
à déterminer.
0,5 b. Dresser le tableau de variations de 𝐟 −𝟏 sur 𝐉.
0,5 c. Calculer 𝐟(𝟏) puis montrer que 𝐟 −𝟏 est dérivable en
𝟏
0,5 𝟏
𝐞
d. Montrer que (𝐟 −𝟏 )′ ( ) = −𝐞 .
𝐞

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➢ 10 examens blancs 2024 corrigés

1) Continuité d’une fonction : 3) T.V.I et Fonction réciproque

Lien entre la dérivabilité et la continuité (−𝒙) ∈ 𝑫𝒇 𝒆𝒕 𝒇(−𝒙) = −𝒇(𝒙)

Alors la droite (D) : 𝒚 = 𝑳

Alors (𝑪𝒇 )admet une

Alors (𝑪𝒇 )admet une

Si : Alors (𝑪𝒇 )admet une

➢ 𝐥𝐧(𝒙) < 𝐥𝐧(𝒚) ⇔ 𝒙 < 𝒚

1) Définition d’une Primitive d’une fonction ➢ L’intégrale et l’ordre :

ssi F est dérivable sur I et : 𝒃 𝒃

0) Raisonnement par récurrence 6)Suite géométrique - arithmétique

Si 𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏 = 𝑳 ∈ ℝ on dit que la suite (𝑼𝒏 ) 𝑽𝒏 < 𝑼𝒏 < 𝑾𝒏

➢ Toute suite croissante et majorée est |𝑼𝒏 − 𝒍| < 𝑽𝒏

A) Dénombrement. B) Probabilité d’un évènement.

3h ‫مدة اإلنجاز‬ ‫الرياضيات‬ ‫المادة‬

Examen blanc de baccalauréat 2024

✓ L’utilisation de la calculatrice non programmable est autorisée ;

✓ L’utilisation de couleur rouge de la rédaction des solutions est à éviter

L’épreuve est composée de trois exercices et un problème indépendant entre eux

Exercice 1 Suite numérique 3 points

✓ On désigne par 𝒛̅ le conjugué du nombre complexe 𝒛 et par |𝒛| son module.

✓ 𝒍𝒏 désigne la fonction logarithme népérien .

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1) Montrer par récurrence que (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝟎 < 𝒖𝒏 ≤ 𝟏

0,75 Montrer que pour tout 𝒏 ∈ ℕ : 𝑺𝒏 = 𝟐𝒏+𝟏 + 𝒏 , puis calculer 𝐥𝐢𝐦 𝑺𝒏

Soient les points 𝑨 (𝟐 ; 𝟐 ; 𝟐) ; 𝑩 (𝟐 ; 𝟒 ; 𝟎) 𝒆𝒕 𝑪 (𝟔 ; 𝟐 ; −𝟐)et (S) la sphère de centre

Ω(3 ;3 ;3) et de rayon 𝒓 = √𝟑

0,25 1) a) Montrer que les points A ; B et C ne sont pas alignés

0,25 b) Montrer que ⃗⃗⃗⃗

0,5 c) Vérifier que 𝒙 + 𝒚 + 𝒛 − 𝟔 = 𝟎 est une équation cartésienne du plan (𝑨𝑩𝑪)

0,5 b) Déterminer le triplet des coordonnées du point de contact de (ABC) et (S)

a) Montrer que B est l’image du point C par la rotation R

3) Soit 𝒆 l’affixe du point 𝑬 l’image de B par la translation 𝑻 de vecteur 𝒗

0,5 b) En déduire que les droites (𝑩𝑬) et (𝑶𝑫) sont perpendiculaires

0,75 3) Calculer 𝑷(𝑪)

A) Soit g la fonction définie sur ]𝟎; +∞[par :

B) Soit 𝒇 la fonction numérique définie :

7) Soit 𝒉 la restriction de 𝒇 sur l’intervalle [𝟏; +∞[.

√𝟑 𝟏 Donc 𝟐𝐚𝐫𝐠(𝐛) ≡ [𝟐𝛑]

Rotation R de centre 𝛀(𝝎) et d’angle 𝜽

4) Déterminer l’ensemble des points M 𝟒×𝟑 𝟏 𝟑 𝟏 𝟐𝟑

On choisit au hasard l’un des urnes et on tire 𝟏 𝟒 𝟐𝟏

3h ‫مدة اإلنجاز‬ ‫الرياضيات‬ ‫المادة‬

Examen blanc de baccalauréat 2024 corrigé

✓ L’utilisation de la calculatrice non programmable est autorisée ;

✓ L’utilisation de couleur rouge de la rédaction des solutions est à éviter

L’épreuve est composée de trois exercices et un problème indépendant entre eux

Nombres complexes et calcul de

✓ On désigne par 𝒛̅ le conjugué du nombre complexe 𝒛 et par |𝒛| son module.

✓ 𝒍𝒏 désigne la fonction logarithme népérien .

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II) Soit 𝒇 la fonction numérique définie sur ℝ par :

6) a) Montrer que la fonction 𝒙 → (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝒆−𝒙 est une primitive de la

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3h ‫مدة اإلنجاز‬ ‫الرياضيات‬ ‫المادة‬

Examen blanc de baccalauréat 2024 corrigé

✓ L’utilisation de la calculatrice non programmable est autorisée ;

✓ L’utilisation de couleur rouge de la rédaction des solutions est à éviter

L’épreuve est composée de trois exercices et un problème indépendant entre eux

✓ On désigne par 𝒛̅ le conjugué du nombre complexe 𝒛 et par |𝒛| son module.