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Bamba Logiciel y K
Bamba Logiciel y K
1. Introduction
2. Choix des schémas de liaison (ouvert, bouclé) des sous-stations du réseau électrique
(variante de schéma topologique)
3. Choix des paramètres du réseau de la variante optimale
3-1 choix de la tension nominale du réseau
3-2 choix et vérification des de conducteurs
3-3 choix des transformateurs de sous-stations
4. Calcule technico-économique des variantes comparées du réseau électrique
5. Calcul précis des régimes de fonctionnement de la variante optimale choisie
5-1 Détermination des charges calculées de sous-stations
5-2 Calcul du régime des tensions
6. Réglage de la tension dans le réseau
7. Conclusion
8. Bibliographie
[Date] 1
INTRODUCTION
L'électricité est présente dans la vie des hommes depuis leur existence. Elle se
manifeste parfois d'une manière spectaculaire, voire effrayante comme les
éclairs et la foudre durant un orage. Depuis le 17e siècle, l'homme a commencé à
maitriser l'énergie électrique. Le réseau électrique est défini comme étant un
ensemble d’éléments (lignes, transformateurs, postes électriques) qui
acheminent l'énergie électrique des lieux de production vers les lieux de
consommation. Le réseau de distribution a pour rôle d'alimenter les
consommateurs. Il existe deux sous niveaux de tensions dans un réseau de
distribution, la moyenne tension (HTA) et la basse tension BT. L'exploitation du
réseau de distribution varie selon l'environnement de la zone desservie par ce
réseau. On distingue deux types de réseaux : - Le réseau rural qui adopte une
structure arborescente et qui est majoritairement constitué de lignes aériennes. -
Le réseau urbain qui adopte une structure maillée et qui est constitué de câbles
souterrains. Afin de parer aux éventuels incidents touchant l'ensemble du réseau
électrique et face aux exigences des consommateurs sur la qualité de l'énergie
électrique, l'opérateur qui exploite le réseau de distribution doit assurer une
continuité de service, une qualité de l'onde de tension et une stabilité de la
fréquence. Pour ce faire, il existe de multitude de systèmes de protections qui
sont coordonnés entre eux afin d'assurer la sécurité des personnes et du matériel.
Il doit aussi assurer la continuité de services en cas de défauts pour alimenter un
maximum de consommateurs. Dans notre projet, nous allons décrire la structure
d'un réseau de distribution moyenne tension HTA. Ainsi, nous aborderons les
différents éléments constituants du réseau, les différents défauts qui affectent
leur fonctionnement, les différentes protections utilisées dans ce type de réseau,
leur mise en œuvre, le calcul et le plan de protection.
[Date] 2
2. LES DIFFERENTS SCHEMAS TOPOLOGIQUES DU RESEAU
VARIANTE 1 VARIANTE 2
VARIANTE 3 VARIANTE 4
[Date] 3
VARIANTE 5 VARIANTE 6
VARIANTE 7 VARIANTE 8
VARIANTE 9 VARIANTE 10
N,var Inv,l Inv,t Inv,cel Fr,per Fr,l,e DA,MW*h Fr,pert D,r,a DD,ra,%
1 38343 2975 7448 6320 2053 2622 393,3 9057 7,8
2 35605 2975 7448 6320 1977 2493 373,9 8632 3,2-eq
3 35421 2975 6664 5680 1898 2456 368,4 8355 min
4 36854 2975 7448 6960 2012 2605 390,7 8911 6,2
5 41393 2975 7448 6320 2139 3578 536,7 9652 13,4
6 40634 2975 6664 6960 2044 2823 423,5 9335 10,5
7 42099 2975 6664 6320 2085 2772 415,8 9468 11,8
[Date] 4
8 44316 2975 6664 5680 2147 3271 490,7 9794 14,7
9 42826 2975 7448 6960 2179 3673 550,9 9955 16,1
10 45021 2975 6664 6320 2167 2715 407,2 9892 15,5
Nombre de variantes e q u i e c o n o m i q u e s = 2( 2 ; 3 ;)
Variante optimale choisie - N,var = 3
--------------------------------------------------------------------------------
Tang1¿ √
1−cos2 q √ 1−0 , 72
= =¿ 1,02 Q1¿ Pmax ×tanq 1=3 ×1 , 02=3 , 06
cosq 0,7
Tang2¿ √
1−cos2 q √ 1−0 , 9 2
= =0,48 Q2¿ Pmax ×tanq 2=4 ×0 , 48=1 , 92
cosq 0,9
Tang¿ √
1−cos2 q √ 1−0 , 82
= =¿ 0,75 Q3¿ Pmax ×tanq 3=7 × 0 ,75=5 ,25
cosq 0,8
[Date] 5
-Coordonnées de la centrale électrique : X = 20 km et Y = 50 km ;
-Dimensions du plan de la région – 200 x 200, en km ;
-Echelle – 1 cm –-> 10 km (20 km);
-Coefficient d’augmentation de la longueur de lignes – Kl=1,05 ;
-Basse tension nominale des sous-stations – Un,B= 10 kV ;
-Nombre de transformateurs des sous-stations – Nt = 2 ;
-Puissance en régime de la charge minimale – Pmin = 0,7Pmax ;
-Temps d’utilisation de la charge maximale – Tmax = 5500 h ;
-Facteur de puissance nominale de la centrale – Cosφg,n= 0,9 ;
-Tensions de la centrale d’alimentation :
en régime max. Umax= (1,05 à 1,1)Un ;
en régime min. Umin= (1,0 à 1,05)Un ;
en régime après avarie Umax= 1,1Un ;
- Le prix spécifique d’un kWh de l’énergie perdue = 120
FG/kWh.
[Date] 6
La tension nominale du réseau est choisie d’après la condition :
Calculons les flux de puissance sans tenir compte des pertes de
puissance. On a:
S1-3 = Sch3 =Pch1+jQch1= 3 + j3.06 MVA;
S1-3 = 4.29 MVA
Sch3=Pch3+jQch3=7+j5.25
Sch3=8.75 MVA
CE-3
1000
U1-3=
√ 500 2500 ×2
52.2
+
3
U1-3=24.43KV
=24.43KV
1000
U1-3=
√ 500 2500 × 2
47
+
4
28.16KV
=
U1-3=28.16KV
[Date] 7
D’après cette condition pour le choix de la tension nominale il faut
que Un¿ U cal , max . Or Ucal=52.57KV donc Un¿Ucal pour tout le réseau
choisissions Un=110KV
3.2. Choix et vérification des sections de conducteurs
3.2.1. Choix des sections de conducteurs
Dans les réseaux de Un 35 kV on utilise les conducteurs en
aluminium avec âme d’acier.
La section choisie doit être vérifiée suivant les conditions :
a) échauffement admissible dans les régimes après avarie ;
b) chute de tension admissible dans les réseaux de Un < 35 kV ;
c) effet couronne ;
d) résistance mécanique des conducteurs.
Il y a plusieurs méthodes du choix des sections de conducteurs. En
pratique on commence ce choix à l’aide de la méthode de densité
économique du courant. La densité économique du courant se
détermine par la matière d’un conducteur et par le temps d’utilisation de
la charge maximale Tmax (tableau 6).
La section calculée du conducteur d’après cette méthode est :
,
où Imax – courant du conducteur pour la charge maximale en régime
normal en A ; jéco – densité économique en A/mm2 (voir tableau 6).
Le courant du conducteur de la charge maximale en A est :
,
Où S – puissance apparente de la charge maximale en régime normal
de la ligne en kVA ; m – nombre de conducteurs ou de lignes
fonctionnant en parallèle ; Un – tension nominale du réseau en kV.
3
S 1−3 4.29 ×10
l1-3= m √ 3 Un == 2 √3 ×110 =11.3A
3
S 2−3 4.44 ×10
l2-3= m √ 3 Un = 2 √ 3 ×110
=11.7 A
On choisit les conducteurs en aluminium avec âme d’acier du type
AC (AA). Pour Tmax = 5500 h d’après le tableau qui donne la valeur de la
densité économique, on a : jéco = 1 A/mm2.
[Date] 8
CALCUL DES SECTION
ICE−3 45.51
FcalCE-3= Jeco = 1 =45.51mm²
I 1−3 11.3
Fcal1-3= Jeco = 1 =11.3mm²
I 2−3 11.7
Fcal2-3= Jeco = 1 =11.7mm²
[Date] 9
b) Condition de l’effet couronne
Cette vérification se fait pour les lignes aériennes à partir de 110
kV pour réduire les pertes de puissance active provoquées par l’effet
couronne. Pour cela on utilise les sections minimales des conducteurs
Fmin d’après l’effet couronne en fonction de la tension nominale de la
ligne Un 110 kV.
La condition de vérification est : F Fmin.
Pour la ligne LCE-3 =91KM 44.5<70mm²
Pour la ligne L1-3 =22.52 KM 11.3<70mm²
Pour la ligne L2-3=23.33 KM 11.7<70mm²
Tableau 1
Prix106
Ligne L, km F, mm 2
Réq, Xéq, 2Qc,MVAr Nl
FG
CE-3 105.5 70 23.7 23.1 -6.6 2 18234
1-3 52.5 70 11.8 11.5 -3.28 2 9072
2-3 47 70 10.6 10.3 -2.94 2 8114
a) Condition des chutes de tension admissible
b) Dans les réseaux de U n < 35 kV pour les plus éloignés
postes de transformation la chute de la tension ne doit pas
dépasser 5% (Uadm = 5%).
c) Dans les réseaux de Un 35 kV on fait le calcul des chutes de la
tension sans tenir compte des pertes de puissance dans les
lignes pour vérifier la possibilité du réglage de la tension de
sous-stations.
d) Les limites de réglage pour les différentes tensions nominales
du réseau électrique sont les suivantes :
e) pour Un = 110 kV (115 16%) de 133,4 à 96,6 kV;
f) pour Un = 150 kV (158 12%) de 176,96 à 139,04 kV;
g) pour Un = 220 kV (230 12%) de 257,6 à 202,4 kV.
[Date] 10
P CE−3 RCE−3+Q CE−3 X CE−3 14∗23.7+10.23∗23.1
∆UCE-3= U CE
= 121 =4.7KV
U2=U1-∆U2-3=115.69 - 0.53=115.16KV
[Date] 11
et 2 catégories. Lors de l’avarie d’un transformateur le second reste en
service et il doit supporter toute la charge de la sous-station. En régime
après avarie la surcharge du transformateur de 110 kV et moins ne doit
pas dépasser 30% (Ksurch = 1,3).
La puissance nominale demandée d’un transformateur se calcule
d’après l’expression :
,
où Smax – puissance apparente de la charge maximale d’une sous-
station ;
Nt – nombre de transformateurs fonctionnant en parallèle (Nt 2) ;
Ksurch – coefficient de surcharge du transformateur en régime après
avarie (pour Un > 110 kV Ksurch = 1).
La puissance nominale standard est choisie d’après la condition :
S n Sdem.
[Date] 12
Calculons les dépenses ramenées annuelles pour la 1-e variante
comparée. On admet les supports en acier à double circuit. Le prix
spécifique d’un kWh de l’énergie perdue = 120 FG/kWh.
L’investissement de la construction des lignes est:
=18234*105.5+9074*52.5+8114*47=2781430.106
L’investissement des transformateurs de sous-stations est:
(1680+1680+2320)=5
680.10 FG
6
où
( )
2 2 2
17.34 4.29 4.44
∆ Al= 2
× 47.4+ 2
× 11.8+ 2
×10.6 ×3980
110 110 110
[Date] 13
∆ Al=4806.42 MWh
.
Sous-station 1
( )
−3 2
−3 44 .10 4.29
∆ At 1=2 ×10. 10 ×8760+ ×3980=215.8 MZh
2 6.3
Sous-station 2
( )
−3 2
−3 44 .10 4.44
∆ At 2=2 ×10. 10 × 8760+ × 3980=218.66 MZh
2 6.3
Sous-station 3
( )
−3 2
−3 58 .10 8.75
∆ At 3=2× 14.10 × 8760+ ×3980=333.2
2 10
[Date] 14
Comme données initiales pour les calculs des régimes permanents
on utilise les charges de sous-stations, la tension de la source
d’alimentation (UCE) et les paramètres des éléments du schéma
équivalent du réseau
Comme d’habitude, dans les calculs pratiques la charge des sous-
stations est représentée par la puissance invariable. Le calcul manuel
des réseaux simples utilisant les méthodes itératives s’effectue en deux
étapes :
1 – la détermination des flux de puissance et leurs pertes dans les
branches en supposant que les tensions nodales sont égales à la
tension nominale (régime des puissances) ;
2 – le calcul des tensions nodales à partir de la tension de la
source donnée utilisant les puissances des tronçons déjà déterminées.
On fait les calculs en régimes maximal et minimal de la charge de
récepteurs.
5.1. Calcul précis du régime maximum du réseau ouvert
Le schéma équivalent est représenté à la figure 5.1.
[Date] 15
∆ Pcc∗Un² H 58 ¿10−3∗115²
R teq3 =
Nt∗Sn ² 2∗10² ==3.84
Ucc %∗Un² H 10.5∗115²
X teq3 =
100∗Nt∗Sn 100∗2∗10 =
=69.43
Zeqt=3.84+j69.43
Pour la s/s 2
∆ Pcc∗Un² H 44 ¿ 10−3∗115²
Rteq2 = Nt∗Sn ² =
2∗6.3²
=7.33
Ucc %∗Un² H 10.5∗115²
X = teq2 100∗Nt∗Sn 100∗2∗6.3 =
=110.21
Zeqt=7.33+j110.21
Pour la s/s 1
−3
∆ Pcc∗Un² H 44 ¿ 10 ∗115²
Rteq1 = Nt∗Sn ² = 2∗6.3²
=7.33
Ucc %∗Un² H 10.5∗115²
Xteq1= 100∗Nt∗Sn = 100∗2∗6.3
=110.21
Zeqt=7.33+j110.21
Les pertes de puissance à vide équivalentes des transformateurs
des sous-stations 1 et 2 sont :
I v% .S 1∗6.3
∆Sv1eq=Nt(∆Pv+j 100
n
)=2(10 .10-3 +j 100 )= 0.02 + j0.12 MVA
∆Sv1eq=0.12MVA
I v% .S 1∗6.3
∆Sv2eq=Nt(∆Pv+j 100
n
)=2(10 .10-3 +j 100 )= 0.02 + j0.12 MVA
∆Sv2eq=0.12MVA
Les pertes de puissance à vide équivalentes des transformateurs
de la sous-station 3 sont :
S 0.9∗10
∆Sv3eq=Nt(∆Pv+j 100
n. I
)=2(14 .10-3 +j
v
∆St1eq=0.01+j0.15
Pour S/S 2
[Date] 16
S ² ch2 4.44²
∆St2eq = U ² (R t 2 eq + j X t 2 eq ) = 115² ( 7.33+ j 110.21 )
nH
∆St2eq=0.01+j0.16
Pour S/S 3
S ² ch3 8.75²
∆St3eq = U ² (R t 3 eq + j X t 3 eq ) = 115² ( 3.84 + j 69.43 )
nH
∆St3eq=0.022+j0.4
5.1.1. Détermination des charges calculées de sous-stations
D’après le schéma équivalent les charges calculées de sous-
stations sont:
S1,cal = Sch1 + Sv1,éq + St1,éq – jQc,13
= 3+j3.06+0.01+j0.15+0.02 + j0.12− j1.64
= 3.03+j1.69 MVA;
S2,cal = Sch2 + Sv2,éq + St2,éq – jQc,23
= 4+j1.92+0.02 + j0.12+0.01+j0.16−¿j1.47
= 4.03+j0.73MWh
S3,cal = Sch3 + Sv3,éq + St3,éq – jQc,43
= 7+j5.25+0.03 + j0.18+0.022+j0.4 – j3.3
=7.1+j2.53MWh
Le schéma équivalent simplifié avec les charges calculées de
sous-stations.
S² 7.54²
∆ S 43= ( Req+ jXeq )= ( 23.7+ j 23.1 )
U ²n 110²
∆ S 43=0.11+ j 0.11
d f
S 43=S 43+∆ S43= 7.1+j2.53+0.11+j0.11= 7.21+j2.64
Pour la S/S 2
S² 4.1²
∆ S 23= ( Req+ jXeq ) = ( 10.6+ j10.3 )
U ²n 110²
∆ S 23=¿ 0.013+j0.014
[Date] 17
Sd23=Sf23+∆ S23= 4.03+j0.73+0.013+j0.014= 4.043+j0.74MVA
Pour la S/S 1
Sf13¿3.03+j1.69MVA; Sf13=3.47MVA ; ∆ S13=0.012+j0.011MVA
d d d d
P 13∗R 13 eq+ Q 13∗X 13 eq P 13∗X 13 eq−Q 13∗R 13 eq
∆ U 13= +j
U3 U3
3.043∗11.8+1.7∗11.5 3.043∗11.5−1.7∗11.8
= +j =0.46+¿j0.13KV
119.08 119.08
4.043∗10.6+0.74∗10.3 4.0431∗10.3−0.74∗10.6
= 119.08
+j
119.08
=0.42+j0.28
[Date] 18
U2=U3−∆ U 13=118.62−0.42− j0.28=118.66− j0.28
U2=118.66KV
( U ’ B 1 ) ²−¿UH1*U’B1+Pch1*Rteq+Qch1*Xteq=0
UH 1
U’B1= 2 +
√( UH 1 2
2 )−Pch 1 × Rteq−Qch1 × Xteq
U’B1=
118.62
2
U’B1=115.51KV
+
√( 2 )
118.62 2
−7.33 ×3−3.06× 110.21=115.51KV
[Date] 19
Le numéro d’une prise standard est :
U n,H(1 NprUpr) = Udem,pr.
où Upr - échelon de réglage de la tension.
Ayant Un,H = 115 kV et Upr = 0,0178
Udem pr
−1
UnH
± Npr=
101.1
−1
=−6.67 ≈−7
115
∆ Upr∗¿= ¿
0.0178
La valeur de la tension de prise standard est :
Upr=UnH(1+¿Npr∆ Upr∗¿=¿115(1−7∗0.0178 ¿=¿100.67KV
Pour la S/S 2
UH 2
U’B2= 2 +
√( 2 )
UH 2 2
−Pch2 × Rteq−Qch 2× Xteq
[Date] 20
118.66 .
U’B2= 2 +
U’B2=116.59KV
√( 2 )
118.66 2
−4 ×7.33−1.92× 110.21=116.59KV
'
U B 2× UnB 116.59 ×10.5
Udem pr= Udem BT
= 12 =102.02 KV
Udem pr
−1
UnH
± Npr=
102.02
−1
=−6.3 ≈−6
115
∆ Upr∗¿= ¿
0.0178
La valeur de la tension de prise standard est :
Upr=UnH(1+¿Npr∆ Upr∗¿=¿115(1−6.∗0.0178 ¿=¿ 102.72 KV
Pour la S/S 3
[Date] 21
UH 3
U’B3= 2 +
√( UH 3 2
2 )−Pch3 × Rteq−Qch 3 × Xteq
U’B3=
119.08
2
U’B3=115.7KV
+
√( 2 )
119.08 2
−7 ×3.84−5.25 × 69.43=115.7KV
'
U B 3× UnB 115.7×10.5
Udem pr= Udem BT = 12 =101.24 KV
Udem pr
−1
UnH
± Npr=
101.24
−1
=−7
115
∆ Upr∗¿= ¿
0.0178
La valeur de la tension de prise standard est :
Upr=UnH(1+¿Npr∆ Upr∗¿=¿115(1−7∗0.0178 ¿=¿101 KV
8. Conclusion
[Date] 22
électrique est base sur la résolution du système d’équation non linéaire
des tensions nodales. Pour cette résolution on utilise la méthode de
GAUSS.
9. Bibliographie
1 Logiciel de Dr Yury KOULAGA
2 Brochure de Yury KOULAGA
3 Mr SOROPOGUI Pokpayé
4 www/http Google
[Date] 23