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NGUIMBUS Emmanuel 1
Plan du cours
I. Introduction
II. Contexte
III. Serveurs virtuels
IV. Hyperviseurs
V. Containeurs
VI. Serveless Computing
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I. Introduction
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I. Introduction (suite)
Avant la virtualisation
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I. Introduction (suite)
Après la virtualisation
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II. Contexte
Avant la virtualisation
Par exemple, si une organisation souhaite expérimenter une nouvelle idée, elle
doit utiliser des systèmes dédiés distincts pour différentes expériences.
Donc, pour mener à bien leurs travaux de recherche, ils ont tendance à acheter
un nouveau matériel qui augmentera le budget d’investissement.
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II. Contexte (suite)
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II. Contexte (suite)
Avantages de la virtualisation
Consolidation des ressources
la possibilité de faire fonctionner plusieurs systèmes en parallèle sur un serveur, ce
qui se traduit par la réduction du nombre de serveurs et la quantit é́ de matériel
informatique nécessaire dans un Datacenter.
Comportement dynamique
En cas de goulots d’étranglement (surcharge), une machine virtuelle peut utiliser des
ressources supplémentaires.
1. Virtualisation complète
Dans la virtualisation complète, l’OS invité est complètement abstrait de la
couche physique. Dans ce cas, l’OS invité ne sait pas qu’il est virtualisé et
pense qu’il s’exécute sur du vrai matériel.
Dans cette approche, l’hyperviseur fournit toutes les infrastructures virtuelles
nécessaires aux machines virtuelles.
Par conséquent, L’OS invité ne peut pas communiquer avec l’infrastructure
physique directement, il a besoin de l’aide de l’hyperviseur.
Cette approche utilise les translations binaires pour transformer les
instructions de l’OS invité non-virtualisées par des nouvelles séquences
d’instructions qui ont le même effet prévu sur l’infrastructure virtuelle.
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III. Serveurs virtuels (suite)
Avantages de la Virtualisation complète
Cette approche fournit une meilleure isolation et sécurité pour les machines
virtuelles.
Elle permet d’exécuter plusieurs OS simultanément.
L’OS invité peut facilement migrer pour s’exécuter sans virtualisation.
Ne nécessite pas de modification sur le système d’exploitation invité.
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III. Serveurs virtuels (suite)
2. Paravirtualisation
Cette approche est également connu sous le nom de Partial virtualisation ou
bien OS-assisted-virtualisation. Elle fournit une simulation partielle de le
couche physique. La différence majeure entre la virtualisation complète et la
para-virtualisation est que L’OS invité sait qu’il s’exécute dans un
environnement virtualisé dans la para-virtualisation. En plus, la para-
virtualisation remplace la translations binaire des requêtes (non virtualisé) de
l’OS invité par des hypercalls. les hypercalls sont similaire aux appels système
et utilisés pour communiquer directement avec l’hyperviseur. Cette
communication directe entre l’OS invité et l’hyperviseur améliore les
performance et l’efficacité de cette approche. Cependant, l’OS invité doit
être modifié à cet effet.
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III. Serveurs virtuels (suite)
Avantages de la paravirtualisation
La paravirtualisation élimine le surcoût supplémentaire de la translation
binaire et améliore ainsi l’efficacité et les performances globales du système.
Elle est plus facile à mettre en place que la virtualisation complète.
Inconvénients de la paravirtualisation
Il y’a une surcharge au niveau de L’OS invité.
L’OS invité doit être modifié et il ne peut pas s’exécuter sans virtualisation.
Les machines virtuelles ne peuvent pas être migrées vers d’autres serveurs.
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III. Serveurs virtuels (suite)
3. Virtualisation assistée par le matériel
Dans les deux approches précédentes, il y’a un surcout supplémentaire de la
translation binaire ou la modification de l’OS invité pour réaliser la
virtualisation.
Ces vendeurs, comme Intel et AMD, ont ajouté une extension matériel à leur
processeur pour prendre en charge la virtualisation.
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III. Serveurs virtuels (suite)
3. Virtualisation assistée par le matériel (suite)
Par exemple, Intel a lancé sa technologie de virtualisation Intel (VT-x) et AMD
a lancé AMD-v pour simplifier la technique de virtualisation.
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III. Serveurs virtuels (suite)
Avantages de la virtualisation assistée par le matériel
Réduction de la surcharge de la translation binaire dans les virtualisations
complètes.
Ne modifie pas l’OS invité
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IV. Hyperviseurs
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IV. Hyperviseurs (suite)
L’environnement virtuel peut être créé avec l’aide d’un logiciel qui s’appelle
Hyperviseur (Hypervisor).
Son rôle consiste à fournir l’infrastructure virtuelle requise pour les VMs.
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IV. Hyperviseurs (suite)
Les hyperviseurs, aussi appelés VMMs, sont considérés comme les principaux
moteurs de la virtualisation dans les Datacenter.
Parmi les VMMs les plus utilisés, on trouve VMware, Xen, Hyper-V et KVM.
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IV. Hyperviseurs (suite)
1. Hyperviseurs type 2
Encore appelés hyperviseurs intégrés
Ce type d’hyperviseur est installé comme un application au dessus d’un
système d’exploitation.
Il nécessite la communication avec l’OS hôte pour accéder aux ressources
physiques.
L’inconvénient majeur de cette approche est que l’échec de l’OS hôte
entraine un échec des VM.
Donc, il est recommandé d’utiliser les VMM de type 2 uniquement sur les
systèmes invité où l’efficacité est moins critique.
Quelques exemple de VMM type 2 sont: VMware workstation, KVM, Oracle
VirtualBox.
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IV. Hyperviseurs (suite)
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IV. Hyperviseurs (suite)
2. Hyperviseurs type 1
Encore appelés hyperviseurs Bare metal
Il peut s’exécuter et accéder aux ressources physiques directement sans
l’aide d’un OS hôte.
Comparés au hyperviseur type 2, la surcharge de la communication avec l’OS
hôte est réduite, ce qui offre une meilleure performance.
Ce type d’hyperviseur est utilisé pour les serveurs qui gèrent des tâches
lourdes et nécessitent plus de sécurité.
Parmi les VMM type 1, on trouve Microsoft Hyper-V , Citrix XenServer, VMware
ESXI.
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IV. Hyperviseurs (suite)
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V. Conteneurs
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V. Conteneurs (suite)
Les conteneurs logiciels cherchent à répondre à la même problématique que
les conteneurs physiques.
Les transporteurs délèguent à leurs clients le remplissage du conteneur qui
est ensuite scellé avant le transport.
Le transporteur n’a pas à s’occuper de la nature précise des biens
transportés.
Le transporteur s’assure que le conteneur dans son ensemble arrive intact.
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V. Conteneurs (suite)
Dans une architecture à base de conteneurs :
Le contenu du conteneur, c’est-à-dire le code et ses dépendances (jusqu’au
niveau de l’OS), est de la responsabilité du développeur ;
La gestion du conteneur et les dépendances que celui-ci va entretenir avec
l’infrastructure (soit le stockage, le réseau et la puissance de calcul) sont de
la responsabilité de l’exploitant.
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V. Conteneurs (suite)
Open source
Empaquète une application et ses dépendances dans un conteneur isolé,
qui pourra être exécuté sur n'importe OS supportant docker.
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V. Conteneurs (suite)
Open source
Automatise le déploiement, la mise en œuvre et la gestion des applications
conteneurisées
Exploite Docker.
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VI. Serverless computing
Le serverless est un modèle de développement cloud-native qui permet aux
développeurs de créer et d'exécuter des applications sans avoir à gérer des
serveurs.
Ce modèle nécessite quand même des serveurs, mais leur gestion est
dissociée du développement des applications.
Les développeurs n'ont alors plus qu'à mettre en paquet leur code dans
des conteneurs pour déployer les applications.
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VI. Serverless computing (suite)
Une fois que les applications serverless sont déployées, elles répondent à la
demande et se mettent à l'échelle automatiquement en cas de besoin.
Par conséquent, lorsqu'une fonction serverless est inactive, elle ne coûte rien.
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VI. Serverless computing (suite)
Architecture serverless
Les applications serverless sont déployées dans des conteneurs qui démarrent
automatiquement sur simple demande.
.
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VI. Serverless computing (suite)
Architecture serverless (suite)
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VI. Serverless computing (suite)
Architecture serverless (suite)
Avec une architecture serverless:
Les applications ne sont lancées qu'en cas de besoin.
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VI. Serverless computing (suite)
Architecture serverless (suite)
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VI. Serverless computing (suite)
Offres serverless computing
Il existe deux types d'offres serverless : Backend-as-a-Service (BaaS) et Function-
as-a-Service (FaaS).
1. Backend-as-a-Service (BaaS)
Avec une offre BaaS, les développeurs ont accès à une multitude de services
et d'applications tiers.
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VI. Serverless computing (suite)
Offres serverless computing
2. Function-as-a-Service (FaaS)
Le FaaS est un modèle d'exécution orienté événements.
Les développeurs écrivent une logique qui est déployée dans des conteneurs
entièrement gérés par une plateforme cloud, et qui sera ensuite exécutée à
la demande.
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VI. Serverless computing (suite)
Offres serverless computing (suite)
2. Function-as-a-Service (suite)
Le code est déployé dans des conteneurs gérés par un fournisseur de cloud. Ces
conteneurs sont :
éphémères, ce qui permet de les exécuter pendant une très courte période ;
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VI. Serverless computing (suite)
Offres serverless computing (suite)
2. Function-as-a-Service (suite)
Le code est déployé dans des conteneurs gérés par un fournisseur de cloud. Ces
conteneurs sont :
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VI. Serverless computing (suite)
Cas d'utilisation de l'informatique serverless
Ce modèle est également adapté pour faire face aux pics de demande peu
fréquents et imprévisibles.
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VI. Serverless computing (suite)
Cas d'utilisation de l'informatique serverless (suite)
Flux de données entrants, des chat bots, des tâches programmées ou une
logique métier.
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Q&A
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