Anne-Céline Grolleau
Formations CGE-PdL • 30 novembre 2009
Matin Après-Midi
Source : http://www2.elg.ac.be/lem/stylesapprent.htm
D’après le Robert, le style est “la manière personnelle d’agir, de se comporter”. Pourquoi
donc ne pas parler de “style d’enseignement” puisque nous avons tous notre façon d’agir en
classe.
La grille Therer-Willemart
Cette grille décrit quatre styles d’enseignement qui se définissent à partir d’un modèle bidi-
mensionnel combinant deux attitudes de l’enseignant : attitude vis-à-vis de la matière et atti-
tude vis-à-vis des apprenants. Chacune de ces attitudes s’exprime à des degrés divers, faibles
ou forts, désintérêt ou intérêt.
Associatif Incitatif
travail en groupe exposé socratique
Centration sur les apprenants
5.5
Permissif Transmissif
procédures d’auto-didactisme exposé ex cathedra
assisté ou non enseignement frontal
1.1 9.1
Centration sur la m a t i è r e
Therer et Willemart formulent l’hypothèse que chacun de ces quatre styles peut se révéler
efficace ou inefficace en fonction des situations et en fonction des interventions plus spécifi-
ques de l’enseignant ou du formateur. Il n’existe donc pas un “bon style” valable en toutes
circonstances.
Les recherches sur l’efficacité comparée des divers styles d’enseignement restent relative-
ment rares et limitées. A première vue, tous les styles se valent. Mais, est-ce bien exact ?
En fait, ces mesures comparatives s’appuient, le plus souvent, sur la mesure de la perfor-
mance scolaire (achievement test) : on s’en tient donc aux objectifs cognitifs de niveau infé-
rieur, sans tenir compte des changements d’attitudes. Dans ces conditions, il est vrai qu’il n’y
a guère d’arguments probants en faveur de l’une ou l’autre façon d’enseigner. Alors comment
choisir ?
En principe, tous les styles conviennent pour réaliser des objectifs cognitifs de restitution. Le
choix dépend alors des circonstances (budgets, horaires...) et des préférences personnelles de
l’enseignant.
Les objectifs socio-affectifs de haut niveau (esprit critique, capacité de travail en groupe,...)
sont atteints plus aisément par les styles incitatifs et associatifs faisant appel à des stratégies
telles que discussions de groupe, méthode des cas.
Quant aux objectifs psychomoteurs en sciences (par exemple le titrage, les manipulations...),
ils requièrent nécessairement le recours à tous les styles et à de multiples stratégies comme la
démonstration, les travaux pratiques et même le drill.
Une stratégie d’enseignement est opportune si elle induit chez l’étudiant un sentiment de
réussite, de progrès personnel, de responsabilité...
Les stratégies centrées sur l’étudiant favorisent ces attitudes et induisent ainsi un apprentis-
sage intrinsèquement motivant. Il convient pourtant de préparer progressivement les étu-
diants à ces stratégies moins directives. Le professeur donnera d’abord un " cadre général "
et des informations fondamentales puis il s’orientera vers un style de plus en plus associatif.
• les étudiants " plus performants " ou " très performants " préféreraient des stratégies plus
associatives;
C’est dans ce sens qu’on a pu dire et écrire que la pédagogie non-directive "renforce parfois
les handicaps cognitifs ".
Ce point capital est précisément l’objet de la présente recherche. Nous le développerons dans
le chapitre suivant.
Source : http://www.teluq.uquebec.ca/siteweb/frames.php3?page=http://www.savie.qc.ca/SamiDPS/questionnaireteluq/accueil/
Comment apprend-on ?
Module I
analyser
filtrer
relier rechercher
interpréter échanger
synthétiser
etc. critiquer
communiquer
renforcer
contribuer
coopérer
faire publier
etc.
essayer collaborer
évaluer etc.
ajuster
etc.
Stimuler, créer et Présenter l’informa- Offrir des situations- Organiser des situa-
renforcer des com- tion de façon struc- obstacles qui per- tions d’apprentis-
portements obser- turée, hiérarchique, mettent l’élabora- sage propices au
vables appropriés déductive tion de représenta- dialogue en vue de et de l’apprentissage. Ecole Polytechnique de Montréal, BAP
Apprendre c’est...
LE PROCESSUS D’APPRENTISSAGE
“Le style d’apprentissage est la manière dont chaque apprenant commence à se con-
centrer sur une information nouvelle et difficile, la traite et la retient.”
Dunn et Dunn, 1993
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Le style d’apprentissage d’un individu correspond à la manière personnelle dont il saisit et
traite l’information. On ne peut hiérarchiser les styles d’apprentissage : il n’y en a pas de bons
ou de mauvais. Il n’existe donc pas une bonne façon d’apprendre ou de résoudre un pro-
blème. Nous sommes tous différents, mais complémentaires.
C'est en 1984, que David A. Kolb publiait "Experiential Learning". Ce livre expose essen-
tiellement le principe qu'une personne fait son apprentissage par la découverte et l'expé-
rience. De plus, Kolb démontre qu'il y a plus d'un style(s) d'apprenant. Selon ce dernier les
styles d'apprentissage peuvent être perçus selon deux continuums allant de concret à abstrait
et d'actif à réflectif. Le tableau ci-dessous fait état des définitions pour chacun des styles
d'apprentissage. On retrouve donc le continuum du traitement de l'information et celui de la
perception de l'information. Selon le modèle de Kolb, l'apprenant évolue sur ces continuums
selon ses appréhensions mais également selon ses préférences à traiter ou à percevoir l'in-
formation. De plus, Kolb considère qu'il est préférable d'apprendre selon un cycle permet-
tant d'expérimenter les quatre modes d'apprentissage afin de bien comprendre un sujet.
Source : http://www.erudium.polymtl.ca/html-fra/education/education4b.php
Convergeur Assimilateur
(applications pratiques) (acquisition du savoir)
Je suis orienté vers l’application pratique et technique des concepts et Je suis orienté vers les concepts abstraits, les choses et les objets. Je suis
des théories. Je préfère l’action à la réflexion. également un bon observateur.
Ma plus grande ressource est ma capacité à appliquer concrètement Ma principale ressource est ma capacité à concevoir des modèles théori-
des notions théoriques pour en vérifier l’efficacité ou l’utilité. Je fonc- ques de façon logique. J’aime trouver des explications aux choses qui
tionne mieux dans les situations problématiques me demandant de m’entourent en les analysant.
trouver la seule bonne solution. Je fonctionne mieux dans les situations problématiques demandant
J’excelle dans la résolution de problème en utilisant le raisonnement d’utiliser un raisonnement inductif (c’est-à-dire du particulier au géné-
hypothétique et déductif. ral) et d’assimiler des observations disparates en une explication inté-
Je préfère travailler seul plutôt qu’en équipe. grée, une synthèse.
Je m’intéresse particulièrement aux choses et à la technologie. Le do- Je porte davantage intérêt aux concepts qu’aux personnes.
maine des sciences et du génie me passionne et j’ai tendance à préfé- Je m’intéresse de préférence aux sciences exactes et à la technologie.
rer les cours techniques.
Abstrait
Anne-Céline Grolleau - CGE-PdL - 5 novembre 2009
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Source : http://www.teluq.uquebec.ca/siteweb/frames.php3?page=http://www.savie.qc.ca/SamiDPS/questionnaireteluq/accueil/
Les intelligences multiples d’Howard Gardner [cf. article]
Howard Gardner publie en 1983 Frames of Mind dans lequel il présente sa théorie des intelli-
gences multiples. C’est la reconnaisssance dans la pluralité des pensées qui a mené à la théo-
rie des intelligences multiples.
le Intelligenze Multiple
(di H.Gardner)
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www.amicucciformazione.com
Quelles sont les conséquences, sur le plan pédagogique, des styles d’apprentissage ?
“Do the best job for the content, and if that’s counter to a person’s learning style,
help them learn to process or cope with different modalities.”
Clark Quinn, 29 juin 2007
Les recherches dans le domaine de l’enseignement nous démontrent qu’on a tendance à en-
seigner en se basant sur notre propre style d’apprentissage. On oublie facilement que l’on est
soi-même situé quelque part par rapport à ces styles. Et cela retentit sur la façon d’enseigner,
revers de la façon personnelle d’apprendre.
Il faut garder à l’esprit la “double contrainte” qui s’impose : veiller à ce que l’enseignement ne
pénalise pas les élèves dont le style d’apprentissage est éloigné de celui de l’enseignant mais
en même temps éviter d’enfermer chacun dans son propre système, lui offrir une évolution
possible pour lui.
Car il y a deux manières symétriques d’empêcher un élève d’évoluer et d’apprendre : soit lui
proposer quelque chose de trop “sur mesure” et ne le tire pas vers l’avant ; soit lui présenter
un but tellement distant de ses possibilités que cela le dissuade d’abord d’entreprendre.
Source : http://www2.elg.ac.be/lem/stylesapprent.htm
Anne-Céline Grolleau - CGE-PdL - 5 novembre 2009
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Les stratégies d’apprentissage
Source : http://tecfa.unige.ch/staf/staf-k/michel/staf11/p4/strategie.html
stimulez la pensée les jeux de rimes et de mots bizarres peuvent détendre l'esprit
Techniques
allège le stress mental qui s'accumule après un effort soutenu Prenez une pause faites un remue-méninges le brainstorming permet d'amasser des idées ; plus efficace en groupe
verbales
une marche autour du quartier peut diminuer la tension Prenez une marche certains types de musique peuvent servir de repères à la mémorisation!;
Équilibre écoutez la musique rejouez la musique mentalement pour ramener l'information à la surface
alternez entre les aspects techniques et non techniques
Focalisez sur autre chose Mémorisation utilisez des acronymes et
alternez entre la forme et le fond autres moyens mnémoniques
visuel écrivez plutôt que de taper l'écriture manuelle stimule davantage les idées
auditif adoptez un moyen qui convient ayez un carnet à portée de la main notez vos idées où que vous soyez, avant de les oublier
planifiez le travail
François Guité
le bourrage de crâne avant un examen n'est pas efficace ;
http://www.opossum.ca/guitef/index.html reposez-vous avant un examen la préparation doit être terminée plus tôt
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http://www.opossum.ca/guitef/archives/StrategiesApprentissageOEDb.pdf
Classification des stratégies : aperçu général
1. L’anticipation ou la planification
2. L’attention générale
3. L’attention sélective
4. L’autogestion
5. L’autorégulation
6. L’identification d’un problème
7. L’auto-évaluation
Les stratégies cognitives impliquent une interaction avec la matière à l’étude, une manipu-
lation mentale ou physique de cette matière et une application de techniques spécifiques
dans l’exécution d’une tâche d’apprentissage.
1. La répétition
2. L’utilisation de ressources
3. Le classement ou le regroupement
4. La prise de notes
5. La déduction ou l’induction
6. La substitution
7. L’élaboration
8. Le résumé
9. La traduction
10. Le transfert des connaissances
11. L’inférence
Source : CYR, P. (1998). Les Stratégies d’apprentissage. Paris : CLE International, p39
MÉTACOGNITION
Sens
Environnement Mémoire
(pertinence)
à long terme
Processus
d’emmagasinage
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Système de
Évacuation Évacuation croyance cognitive
Évacuation
Les différents types de mémoire
ICE-BREAKER
QUESCUSSION
Ressources :
Une quescussion est un type de discussion qui est conduite entièrement sous forme de ques-
tions. Elle s’avère très utile pour explorer une série de sujets, particulièrement les controver-
sés, et pour exécuter des travaux dans des groupes plus ou moins nombreux. Dans de grands
groupes, elle est particulièrement utile parce qu’elle permet à beaucoup de participants d’ap-
porter de brèves contributions sans l’intervention de l’animateur et parce que l’exercice peut
être utilisé à plusieurs fins.
• Fournir une situation qui permet aux participants de poser des questions sur les choses
qu’ils comprennent mal
• Aborder des sujets d’une manière non-linéaire, en associant des idées à travers plusieurs
matières et en mettant en évidence des avancées questionnables et des idées de fond
• Les participants doivent attendre jusqu’à ce que quatre (ce nombre peut varier avec
la taille du groupe) autres personnes aient parlé avant qu’elles puissent parler à nou-
veau
La durée de la quescussion elle-même variera avec la tâche qui a été imposée mais durera ra-
rement au-delà de 10 minutes voire moins. Les groupes doivent apprendre comment bien pra-
tique la technique de la quescussion et vous pouvez vous attendre à quelques silences entre
les questions quand vous utilisez cette technique pour la première fois. Ne vous inquiétez pas
: ils pensent. Alors, ne succombez pas à la tentation de finir la quescussion dès le premier si-
lence de 10 ou 15 secondes.
JIGSAW
5. Retournez dans votre équipe et présentez le contenu de votre texte. L’objectif est de
transmettre votre “expertise” du sujet aux autres membres de votre équipe qui ont travaillé
sur un thème différent.
6. En équipe, présentez votre synthèse du document sous la forme que vous voulez : exposé,
dessin, débat, etc. Faites preuve d’imagination !
Matériel
• 1 jeu de 52 cartes contenant des caractéristiques de styles d’apprentissage (modèle de
Kolb)
• 1 totem
But du jeu
Le joueur qui a le plus grand nombre de réponses bonnes a gagné.
Préparatif du jeu
Installer le tas de carte qui constituera la pioche ainsi que le totem au milieu de la table de telle
sorte qu’ils soient accessibles pour tous.
Règles du jeu
• La partie se déroule dans le sens des aiguilles d’une montre. Le plus jeune commence.
• A chaque tour, un joueur tire 1 carte de la pioche et lit le texte à voix haute.
• Les autres joueurs doivent alors deviner à quel style d’apprentissage correspond le contenu
de la carte. Le plus rapide prend le totem et dit sa réponse à voix haute.
•Si la réponse est bonne, alors le joueur qui a répondu pose la carte face cachée de-
vant lui
•Si la réponse est mauvaise, alors le joueur qui a répondu pose la carte face visible
devant lui
Fin du jeu
La partie s’achève quand il n’y a plus de cartes dans la pioche ou quand le temps imparti pour
ce jeu est écoulé.
QUESTION D’INTELLIGENCES
But du jeu
L’équipe qui n’a plus de cartes en main a gagné.
Préparatif du jeu
1. Constituer des équipes de 2 personnes autour de la table
2. Le donneur mélange et distribue 7 cartes à chaque équipe
3. Installer le reste des cartes en un tas qui constituera la pioche au milieu de la table
Règles du jeu
• La partie se déroule dans le sens des aiguilles d’une montre. Le plus jeune commence.
• A chaque tour, une équipe tire 1 carte de la pioche, lit le texte à voix haute et la pose à côté
de la pioche.
• Cette équipe doit alors trouver une carte dans sa main qui correspond au type d’intelli-
gence qu’elle vient de poser.
• Si elle en a une, elle pose la carte qu’elle a sur la carte piochée.
• Sinon elle pioche et il revient à l’équipe suivant de chercher une correspondance...
• Si au bout d’un tour aucune équipe n’a de correspondance pour cette carte, une
nouvelle carte est piochée.
• Les autres joueurs peuvent contester la carte qui vient d’être posée.
• Si effectivement elle ne correspond pas au même type d’intelligence que la carte
piochée, alors l’équipe qui vient de jouer récupère sa carte et pioche une carte qu’elle
ajoute à sa main.
• Sinon l’équipe contestataire pioche une carte.
• C’est au tour de l’équipe suivante de piocher...
Fin du jeu
La partie s’achève quand une des équipes n’a plus de cartes en main ou quand le temps impar-
ti pour ce jeu est écoulé.
Anne-Céline Grolleau - CGE-PdL - 5 novembre 2009
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Comment apprend-on ?
Activités
MEMORY TEST
Ressources : Thiagi, “Interactive Strategies for Improving Performance”, The Thiagi Group, INC. 2009
Durée : 10-15 mn
Déroulement
Je vais vous faire passer un test de mémoire. Pour cela, je vais lire une liste standardi-
sée de mots. Ecoutez attentivement ces mots sans les écrire. Ensuite, je vais vous tes-
ter pour voir combien de mots chacun d’entre vous se rappelle.
• Lisez la liste de mots, sans changer l’ordre de la séquence, en faisant une brève pause entre
chaque mot (un mot est répété trois fois).
rêver artichaut
dormir insomnie
nuit couverture
matelas nuit
somme alarme
drap sieste
somnoler ronfler
fatigué oreiller
nuit
• Faites passer le test de rappel. Faites une pause d’environ 10 secondes. Puis demandez à
chaque participant d’écrire sur une feuille de papier autant de mots qu’ils peuvent se souve-
nir. Pause de 40 secondes environ.
Debriefing
Voici quatre principes importants à propos de la mémoire. Expliquez chacun d’entre eux, en
illustrant avec les données provenant de la performance des participants au test :
• Primacy and recency effect : demandez aux participants de lever la main s’ils se sont rappe-
lés des mots “rêver” et “oreiller”. Expliquez que les personnes se souviennent du premier et
du dernier élément dans une liste. La plupart des participants auront écrit “rêver” et
“oreiller” parce que ces mots étaient les premier et dernier de la liste.
• L’effet de surprise : demandez aux participants de lever la main s’ils se sont rappelés du mot
“artichaut”. Expliquez que les personnes se souviennent des choses qui sont nouvelles ou
différentes. La plupart des participants auront écrit “artichaut” parce qu’il est différent des
autres mots de la liste.
• L’effet de répétition : demandez aux participants de lever la main s’ils se sont rappelés du
mot “nuit”. Expliquez que les personnes se souviennent des choses qui sont répétées. La
plupart des participants auront écrit “nuit” parce qu’il est répété 3 fois dans la liste.
• L’effet “fausse mémoire” : demandez aux participants de lever la main s’ils se sont rappelés
du mot “lit”. Révélez que ce mot n’était pas dans la liste. Expliquez que le cerveau comble fré-
quemment les trous logiques dans ce qu’il entend, voit ou lit, en se souvenant de choses qui
n’ont pas eu lieu. La plupart des participants auront écrit “lit” parce qu’il appartient logi-
quement à cette liste (même si vous ne l’avez jamais lu)
Encouragez la planification des actions. Demandez aux participants comment ils utiliseraient
ces quatre principes pour les aider à se rappeler de nouveaux termes et idées dans une session
de formation. Donnez des exemples tels que “Pour compenser le premier effet, faites particu-
lièrement attention aux idées présentées en milieu de session. Utilisez l’effet de répétition en
vous répétant ces idées à vous-mêmes plusieurs fois“.
DESSINE-MOI LA MÉMOIRE
4. En binôme, réfléchissez à la manière dont fonctionne le cerveau. Quel est le processus uti-
lisé par le cerveau pour enregistrer de nouvelles informations ?
COMMENT CHAT VA ?