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Le peuple juif tout entier est-il

coupable de traite d' esclaves ?


Réponse à Daniel J. Goldagen
Éditions du V.H.O
1997
Diffusion hors commerce
REPONSE A DANIEL GOLHAGEN
Daniel J. Goldhagen est l'auteur d'un livre dans lequel il accuse le peuple
allemand tout entier d’avoir pris part au massacre des Juifs pendant la Seconde
Guerre mondiale. Il écrit : «Les Allemands pouvaient dire non au meurtre de masse.
Ils choisirent le OUI ». D'après lui, les Allemands auraient été dans leur ensemble «les
dociles hommes de main de Hitler».
Goldhagen s'estime en droit de dresser le gibet de la «culpabilité collective »
et de nous y pendre. Qu'on nous permette donc d'examiner la «culpabilité
collective d'un peuple » lorsqu'il s'agit de la traite d'esclaves d'Afrique vers
l'Amérique.
L'histoire de l'esclavage en Amérique commence avec l'arrivée de Christophe
Colomb sur Le «Nouveau Continent» (1492). Parmi ceux qui l'accompagnaient, il
y avait 5 juifs baptisés: Luis de Torres, Marco, Bernal, Alonso de la Calle et
Gabriel Sanchez. Ce dernier, soutenu par les autres juifs, persuada Colomb de
capturer 500 autochtones («Indiens») et de les vendre comme esclaves à Séville,
en Espagne. Le peuple juif fut chassé d4Espagne en 1492 et du Portugal en 1497.
Les Juifs expulsés s'établirent aux Pays-Bas où ils fondirent la «Compagnie
hollandaise des Indes occidentales » (c'est-à-dire d'Amérique). En 1654, Jacob
Barsimson fut le premier juif à émigrer de Hollande vers New Amsterdam (New York).
Au cours de la décennie qui suivit, il Fut imité par beaucoup d'autres. Ceux-ci
s'établirent sur la côte est et commencèrent le « commerce » avec les autochtones.
Le premier juif à exercer le métier fut Hayman Levi, qui apportait de Hollande
de la verroterie, des tissus bon marché, des boucles d'oreille, des bracelets et
autre ornements de pacotille. Il les échangeait contre de précieuses fourrures.
Les juifs Nicholas Lowe et Joseph Simon prirent bientôt part à ce commerce
fructueux. Lowe eut l'idée de vendre aussi du rhum aux « Indiens » sans méfiance. La
première distillerie fut fondée. Peu après la ville portuaire de Newport comptait 22
distilleries. Toutes appartenaient à des Juifs. l'intoxication alcoolique des Indiens et
les massacres commis en état de complète ivresse sur les premiers colons européens
eurent pour origine une initiative juive.
Le port de Newport devint un des centres principaux du trafic d’esclaves, on
l'appela longtemps «le Newport juif »,centre mondial du trafic d'esclaves avec
l'Afrique. C'est de là que les bateaux gagnaient l'Afrique de l'Ouest par l'Atlantique,
pour y prendre leur cargaison humaine noire. D'après des sources authentiques, 128
bateaux qui débarquaient des esclaves à Charleston appartenaient à des Juifs de
Newport et de Charleston. Pour 120 bateaux, des noms juifs connus figurent sur les
listes de propriétaires. La traite des esclaves était un monopole juif!
Apprécier correctement la prépondérance juive dans la traite des esclaves
nécessite de bien connaître les entreprises du Juif Aaron Lopez. Celui-ci joua un
rôle très important dans ce «commerce». De 1726 à 1774, soit 48 années durant,
il contrôla personnellement 50% de la traite des êtres humains dans toutes les
colonies américaines.
En 1749 fut fondée la première loge maçonnique. 90% de ses membres
étaient juifs. Sachant que seules les personnalités influentes étaient acceptées,
ce fait révèle l’importance des Juifs dans la jeune Amérique. Vingt ans plus tard
fut fondée la loge maçonnique «King David», exclusivement juive.
Accompagnons maintenant un des bateaux du Juif Aaron Lopez jusqu'en
Afrique de l'ouest. En mai 1752, l « Abigaïl » fut chargé de 34.000 litres de rhum,
d'une grande provision de fers à mettre aux mains et aux pieds des nombreux
passagers noirs à prévoir, de tout le nécessaire en pistolets, poudre, sabres et,
naturellement, d'une abondante camelote comme fonds de «commerce ». Le
voyage commença sous la direction du capitaine juif Freedman qui avait à ses ordres
deux quartiers-maîtres et six matelots. Trois mois et demi plus tard, ils abordaient en
Afrique où se trouvaient des établissements juifs avec de nombreux agents travaillant
pour le compte des trafiquants d'esclaves. les choses se passaient comme avec les
«Indiens » : les chefs de tribu noirs étaient saoulés à l'aide de rhum et, complètement
ivres, vendaient, outre de la poussière d'or et de l'ivoire, des membres de la tribu.
Souvent, les tribus noires étaient menées à travers les forêts et les steppes d’Afrique
jusqu'à la côte. Le trajet durait habituellement des semaines et beaucoup de noirs
succombaient déjà au cours de ces terribles marches de la mort. Les cravaches
empêchaient ces colonnes de misère de s'arrêter. Les noirs à bout de force étaient
abandonnés à une mort atroce. La piste était jonchée d'ossements sous le soleil tropical.
Quand les survivants avaient atteint la côte, ils étaient rabattus les uns
contre les
autres et laissés dans leur fers. Il fallait souvent attendre longtemps
l'arrivée du premier bateau de transport. Entre-temps, les noirs étaient soumis à
la sélection. Comme du bétail, ils étaient inspectés, évalués et gardés par des
chiens féroces.
On leur rasait le crâne et les marquait au fer rouge ce qui, pour le
«propriétaire» juif de l’esclave, avait le grand avantage de permettre qu'un fugitif
soit vite reconnu. Ces événements effroyables produisaient des scènes
indescriptibles au sein des familles noires. Il arrivait souvent que le père fût
embarqué sur un bateau, les fils et les filles sur un autre; de désespoir, beaucoup
se jetaient à la mer et se noyaient. A bord les esclaves noirs étaient
complètement déshabillés et repartis en trois groupes: les hommes et les
femmes étaient séparés, les enfants devaient rester sur le pont où, en cas de
mauvais temps, ils ne recevaient qu'une couverture pour se protéger A l'époque,
les bateaux étaient très petits et la place libre sous le pont n 'avait souvent qu'un
mètre de haut.
Les noirs enchaînés devaient supporter cette sorte de voyage pendant
trois mois et plus. Beaucoup perdaient la raison; malgré leurs chaînes, ils en
arrivaient à se battre sauvagement pour un centimètre de place Avec leurs
longs fouets, les surveillants faisaient régner le «calme» sur et sous le pont. Les
excréments rendaient l'air irrespirable. Les jeunes femmes étaient régulièrement
violées par l'équipage. Les nombreux morts pendant la traversée étaient jetés à
la mer.
Les historiens et les statisticiens évaluent le nombre des noirs qui connurent
une mort affreuse dans ces «croisières» à neuf millions au moins. Environ ONZE
millions d’hommes en provenance de nombreuses tribus noires ont survécu et
ont débarqué dans les ports d'Amérique.
Arrivés, les esclaves étaient poussés à terre à coups de bâtons et passaient
bientôt dans les ventes à l’encan qui avaient lieu régulièrement, comme un
marché à bestiaux.
Quant aux bénéfices, signalons que le voilier « LA F0RTUNA » atteignit
l'Amérique avec 217 noirs, payés 4.300 dollars et vendus 41.438 dollars. Dans le
Nord des États-Unis, le trafic d'esclaves était rigoureusement interdit. Mais ici aussi,
les Juifs firent en sorte que ce «commerce » devint bientôt légal. A Philadelphie, par
exemple, ce fut le rôle de Juifs Sandiford Lay, Woolman, Solomon et Benezet.
L'institut Carnegie, de Washington, a rassemblé et publié de nombreux
écrits datant de cette époque, tels que correspondances et documents
maritimes. Ceux-ci prouvent que le vaste trafic d'esclaves fut nettement un
monopole juif sur lequel les non juifs n'avaient à peu près aucune prise.
Voici, tiré de cette documentation, une liste de bateaux avec les noms de
leurs propriétaire juif:
«ABIGAIL» AARON LOPEZ, MOSES LEVY, JACOB FRANKS
« CROWN » ISAAC LEVY et NATHAN SIMPSON
«NASSAL» MOSES LEVY
«FOUR SISTERS» MOSES LEVY
«ANNE & ELIZA » JUSTUS BOSCH et JOHN ABRAHAMS
«PRUDENT BETTY» HENRY CRUGER et JAKOB PHOENIX
«HESTER» MORDICAL et DAVID COMEZ
«ELIZABET'H » MORDICAL et DAVID GOMEZ
«ANIGUA» N.MARSTON et ABRAHAM LYELL
« BETSY» DE WOOLF
«POLLY» JAMES DE WOOLF
« WHITE HORSE» JAN DE SWEEVTS
«EXPEDITIONS» JOHN et JACOB ROSEVELT
«CHARLOTTE» MOSES, S LEVEY et JACOB FRANKS
«CARACOA» MOSES et SAM LEVEY
Voici maintenant quelques habitants de Newport et de Charleston
impliqués dans le trafic d'esclaves et l'exploitation des distilleries :
lsaac Gomez, Hayman Levy, Jacob Malhado Naphtaly Myers, David Hart, Joseph
Jacobs, Moses Ben Franke, Moses Gomez, lsaac Dias, Benjamin Levy, David
Jeshuvum, Jacob Pinto, Jacob Turk, Daniel Gomez, James Lucanan, Jan de
Sweevts, Felix de Souza (connu comme le roi du trafic d'esclaves, tout de suite
après Aaron Lopez), Simeon Potter, lsaac Elizer, Jacob Ltod, Jacob Rodrigues,
Haym Isaac, Carregal, Abraham Touro, Moses Hays, Moses 1opez, Judah Touro,
Abraham Mendes, Abrabam All.
Sources et travaux:
-Who Brought the Slaves to America? dans The Liberty Bell, décembre 1976.
-Elizabeth Donnan, Documents illustrative of the History of the Slave Trade to
America;
-Malcom Cowley, Adventures of an African Slave, 1928;
-Rabbi Morris A. Gutstein, The Story of the Jews in Newport (Carnegie Institute of
Technology, Pittsburgh).
Questions
Le Juif Goldhagen lance dans son livre les pires accusations contre le peuple
allemand et toute son histoire. Nous nous permettons donc de lui poser les
questions suivantes :
1°) Est-ce-qu'à l'époque, TOUT LE MONDE, en Amérique, en Afrique, en Europe et
en Asie, pouvait, devait savoir que des millions de Noirs étaient
intentionnellement tués pour assouvir la cupidité des trafiquants juifs d'esclaves?
Etait-ce « un fait de notoriété publique»? Tout habitant de la côte ouest de
l'Afrique et de la côte est de l'Amérique pouvait le savoir, non, devait forcément
l'avoir constaté ! Même le « simple Juif», qui ne participait pas à ces crimes et
n'en profitait pas directement ou indirectement, devait le savoir. Les Noirs ne
tombaient pas du ciel ils venaient en bateaux, et les propriétaires de ces bateaux
étaient Juifs, comme souvent même les capitaines. Tout le monde le savait-il ?
2°) Si oui, pourquoi les rabbins n'ont-ils pas blâmé ces horribles crimes contre
l'humanité? Pourquoi n'ont-ils pas déféré les auteurs devant un tribunal civil ou
juif? Pourquoi les honnêtes petits Juifs n'ont-ils pas opposé une âpre résistance à
ce génocide?
3°) La grande majorité des esclaves noirs survivants fut parquée et exploitée;
aujourd'hui encore, l'immense majorité des Noirs, aux Etats-Unis d'Amérique.
ont le statut social d'assisté. Comme cette exploitation, cette absence de
droits civils et cette misère de la grande masse des Noirs d'Amérique est due
aux trafiquants juifs d'esclaves de l'époque. Il faut donc demander à
Goldhagen :
- Les descendants actuels des trafiquants juifs d'esclaves aux USA se
sentent-ils coupables? Nous pensons par exemple au producteur de substances
enivrantes Bronfman, qui s'est distingué notamment dans la chasse au président
de la République d'Autriche, Kurt Waldheim.
- Qu'ont fait jusqu'ici les Juifs en guise de réparation pour la population
noire des USA et d’Afrique de l'Ouest ? A titre indicatif signalons à Goldhagen
que dans une lettre du 19 octobre 1992 (réf. VI A 4-0 14-78-31/92) le
Ministère fédéral des Finances, à Bonn, a donné les chiffres suivants pour les
indemnités allemandes versées aux Juifs et à Israël : sommes versées par
l'État au 1er janvier 1992 : 88 milliards 609 millions de marks; montant
prévisible du total des indemnités versées par la République fédérale jusqu'en
2030: 119 milliards 790 millions de marks.
- Que comptent faire les dirigeants juifs, aujourd'hui, pour entretenir la
Mémoire et, par là même, un sentiment de culpabilité juive envers les noirs? Est-
ce que, dans les programmes quotidiens de la télévision et de la radio, dans
toutes les revues, périodiques et magazines, on songe à rappeler ce génocide?
Est-ce qu'à des congrès religieux, des aveux publics de culpabilité sont
prononcés par des dirigeants juifs? Des politiciens juifs demandent-ils
constamment pardon aux Noirs? Conduit-on des écoliers juifs sur les lieux du
crime et à des expositions ? Célèbre-t-on des jours publics de deuil sous direction
juive? (Au cas où Goldhagen l'ignorerait dans sa lointaine Amérique : nous, les
Allemands, nous faisons tout cela, naturellement !)
- Les programmes d'études dans les établissements juifs d'enseignement
primaire, secondaire, supérieur, universitaire et postscolaire sont-ils établis de
sorte que ce génocide ne tombe jamais dans l'oubli?
4°) Que propose Goldhagen pour qu'un tel trafic meurtrier d'esclaves ne puisse
plus jamais être commis par son peuple ? Goldhagen doit savoir: son peuple a
monopolisé la totalité du trafic d’esclaves (par exemple, au Moyen-Age, la traite
de «l'or blanc et blond » d'Europe vers l'Arabie). De plus, certains indices très
concrets semble démontrer qu'actuellement la traite d'êtres humains en
provenance d'Asie, d'Amérique latine et d'Afrique vers l'Europe est dirigée par
des membres de son peuple, avec des milliards de profit - voyez notamment la
situation aux Pays-Bas et les faits signalés par Ephraim Kishon : Paradies zu
vermieten (Paradis à louer), p. 343 : « Relève de la population » Ulstein-Buch Nr.
40150, Francfort-sur-le-Main, 1992.
5°) Comment Goldhagen compte-t-il pour sa part, s'opposer à ces crimes commis
aujourd'hui par des Juifs ? Nous pensons également aux crimes israéliens non
expiés contre les Arabes et particulièrement contre les Palestiniens.
(Communication de la presse le 6 septembre 1996: «Il y a quelques jours, Israël a
prolongé de 3 mois l’autorisation officielle d’infliger la torture aux Palestiniens
suspects». Voir Schriften zum Volkerrecht, vol. 17, éd. Duncker & Humbold,
Berlin.)
6°) Quelle résistance Goldhagen compte-t-il opposer aux programmes atomiques
d'Israël et à la doctrine de «l'agression préventive »qu'Israël professe à l’égard
de ses proches et moins proches voisins? Trouve-t-il cette doctrine compatible
avec l'humanité et les Droits de l'Homme?
7°) Que répond Goldhagen aux critiques du professeur juif IsraëI Shahak sur
l'histoire juive ? Celui-ci affirme notamment «qu’il y eut constamment des juifs
talmudiques qui surent s'offrir aux tyrans de toutes nations et de toutes époques
comme auxiliaires volontaires de l'oppression et de l’exploitation des peuples».
Shahak critique âprement la façon «dont, en Israël, des groupes droitistes ou
orthodoxes, dans le prolongement direct du passé juif justifient par certaines
interprétations talmudiques de la Tora la politique raciste-chauvine envers les non
juifs en général et les Arabes en particulier». (Le livre de lsraël Shahak est en vente
à: La librairie du savoir, 5 rue Malebranche, F-75005 Paris. Prix: 100 FF). Nous voyons
tout comme le professeur Shahak cette dimension religieuse dans le comportement
des juifs; envers les autres peuples et nous devons donc rappeler a Goldhagen
quelques citations d'écrits religieux juifs:
«Le peuple de Yahwé est le peuple distingué parmi tous les peuples» (Exode, 33/16),
« Israël est le peuple élu entre toutes les nations» (Deutéronome. 10/15). « Le
Seigneur t'a choisi pour être peuple à Lui parmi tous les peuples de la terre »
(Deutéronome, 14/2). « Tous les peuples que le Seigneur ton Dieu te livre, tu les
dévoreras, tu les regarderas sans pitié» (Deutéronome, 7/16).
Conséquences de l'élection:
«De tes fils tu feras des princes par toute la terre » (Psaume 45/17). «Yahwé a
mis Israël à la tête de toutes les nations» (Psaume 18/44). « Le Seigneur ton
Dieu, exterminera les peuples chez qui tu te rends pour les déposséder de leur
territoire» (Deutéronome, 12/29).
«Les dieux des autres peuples sont des fantômes, des idoles et des démons »
(Deutéronome, 32/17).
«Aux serviteurs des idoles, il faut faire une guerre d’extermination»
(Deutéronome, 13/16-18).
Nous défions quiconque de trouver des citations semblables dans Mein
Kampf.
8°) Nous pouvons encore signaler à Goldhagen la prépondérance des Juifs dans la
révolution bolchevique russe de 1917. Selon les ouvrages d'Alexandre
Soljenitsyne, cette révolution est responsable du meurtre de 66 millions
d'hommes parmi tous les peuples de Russie : c'est jusqu'ici le plus grand crime
commis contre l'humanité !
Le Politburo, noyau dirigeant de la révolution, était constitué comme
suit:
- LENINE Juif par sa mère
- BRONSTEIN dit TROTSKI Juif
- ROZENFELD dit KAMENEV Juif
- RADOMYLSKI dit ZINOVIEV Juif.
Pourcentage de Juifs
Conseil des Commissaires du Peuple 77 %
Commission de la Guerre 77 %
Commissariat aux Affaires étrangères 81 %
Commissariat aux Finances 80 %
Commissariat à la Justice 95%
Commissariat à l'Enseignement 79 %
Commissariat à l'Assistance sociale 100 %
Commissariat au Travail 87%
Commissaires provinciaux 91 %
En avril 1919, dans la revue Kommunist, le Juif Cohen écrivit à ce sujet: « On
peut dire sans exagération que la grande révolution sociale russe a été l’oeuvre
de Juifs... Non, seuls les Juifs ont conduit le prolétariat russe vers l'aurore de
l'Internationale... Nous pouvons dormir tranquillement tant que le camarade
Trotski est le chef de l’Armée rouge... ce n’est pas sans raison que de tous les
votes pour les organisations soviétiques, les Juifs sortent vainqueurs à une
majorité écrasante...» Monsieur Goldhagen, une autorité juive quelconque a-t-elle
jamais exprimé publiquement des regrets aux peuples de Russie pour les crimes
de cette atroce révolution ? (Et ne parlons pas de réparations.)
14°) Goldhagen devrait savoir ce qu’a écrit son collègue juif le professeur Michael
Wofsohn: «La culpabilité n’est pas héréditaire! L'Allemand né après les
événements n 'est donc pas coupable et le Juif né après les événements n'est pas
un martyr».
Et nous complétons : S'il existe une «culpabilité collective», ou une responsabilité
collective, ou une honte collective, que ce soit pour tous tes peuples! Car s'il a
existé une «barbarie nazie», il a également existé une «barbarie démocratique»,
une « barbarie libérale», une «barbarie communiste» et une «barbarie
israélienne». De même, s'il a existé une « barbarie allemande», il existe
également des barbaries américaine, anglaise, française, italienne... et juive. La
vérité et le droit sont indivisibles, même pour Goldhagen !
Signé: Groupes de lycéens critiques, Berlin / Vienne / Zurich / Innsbrück/
Bolzano / Passau / Francfort-sur-le-Main / Salzbourg / Cologne / Hambourg /
Francfort-sur-l'Oder / Münich / Göttingen / Ratisbonne / Brëme.
FIN
Cette brochure est éditée par,
V.H.O.
B.P. 60
B-2600 BERCHEM 2
Éditeur responsable : Herbert Verbeke, Anvers.

Annexe
Livre de daniel godhagen
De ce livre j’ai extrait deux photos à bien observer :
Ces deux illustrations sont issues de ce livre au titre évocateur et qui semble se moquer du
peuple allemand.
Observez comme les femmes juives du ghetto de Mizoc se comportent : allongées presque
rangées les unes à cotés des autres position fœtales en chien de fusils, les bras et les jambes
repliées prés du corps, pas une goutte de sang…Cette photo tient plus de la mise en scène que
d’une réelle mise à mort. Car si ces femmes avaient été tuées par balle leurs corps montrerait
la souffrance d’une telle atrocité, elles auraient des positions avec les bras écartés, le corps
dans n’importe quel sens, et le visage avec une expression de douleur et de peur au lieu de
cela elles ont toutes le visage contre terre et le corps recroquevillé, absurde. On peut
légitimement se poser la question en voyant cette photo de savoir s’il y a eu de la part des
allemands de faire une mise en scène pour faire croire à un massacre des juives qui se
comportent ici en complice de cette mise en scène macabre.
Et si comme cette photo la Shoah n’était en réalité qu ‘une vaste mise en scène ?

Il faut abroger la loi Fabius gayssot car la seconde guerre mondiale si elle fut un génocide ce
fut le génocide du peuple européen et de peuple russe par une organisation mondiale
méthodique qui avait des ramification en Allemagne en Russie en Angleterre en Amérique et
dont on voit aujourd’hui poindre le bout du nez dans bien des affaires de notre temps.

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