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des diverses religions et des croyances relatives aux
Esprits chez les poupins anciens et modernes
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PARIS
A LA LIBRAIRIE DE LA REVUE SPIRITE
5, rua Neuve-des-Pelits-Champs
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REPRODUCTION ET TRADUCTION RÉSERVÉES
OUVRAGES DU MÊME AUTEUR!
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E N P R É P A R A T IO N
POUR PARAITRE TRÈS P R O CH A I NE ME NT :
Hygiène des quatre âges. Des nouveaux-nés. — Des
enfants et adolescents. — Des adultes. — De la vieillesse.
DANS L’ANTIQUITÉ
PREMIÈRE PARTIE
A vant- p r o po s ......................................„• • • •
CHAPITRE Ier. — L a plus ancienne religion
CONNUE ..................................................................................................
Sommaire.
Sommaire.
Sommaire.
Sommaire.
Sommaire.
Sommaire.
Sommaire.
Som m aire.
Jésus n’a rien dit, qui n ’eût été dit des milliers
d’années avant lui. — Document curieux sur Jésus,
XV
Pag««
qui existe à Caserta, province de Naples. — Preuves
que les Evangiles n’ont été rédigés qu’après l’an 450
de notre ère. — Les auteurs juifs contemporains de
Jésus: Philon, Flavius Josèphe, Justus le Galiléen,
n’ont fait aucune mention de Jésus. — St-Paul, né
l’an deux avant Jésus, et mort à 64 ans, ne parle
jamais des Evangiles. — Les mystères chrétiens
gravés sur les murs des temples Egyptiens. — Jésus
a obéi jusqu’au jour de sa mort à toutes les pra
tiques de la loi Juive. — Le Platonisme pouvait
amener une civilisation telle que celle que nous
avons. — Les paraboles de Jésus comparées à celles
de Christna.
DEUXIÈME PARTIE
Sommaire.
Sommaire.
Sommaire.
Sommaire.
Sommaire.
Sommaire.
Sommaire.
Sommaire.
Sommaire.
Som m aire.
A V A N T PROPOS
5* Aux réincarnations.
Il faut étudier :
1° Les diverses religions, par ordre chronolo
gique ;
2° Les croyances relatives aux Esprits, chez les
peuples anciens et modernes.
Nous commencerons par l’étude chronologique
des religions.
En publiant ce volume, j ’ai été guidé par la
pensée d'être utile non seulement aux spirites,
mais encore aux personnes désireuses de se rendre
compte de la doctrine spirite et qui ne la con
naissent que par ouï dire et par conséquent lort
imparfaitement.
LE S P I R I T I S M E
DANS L’ANTIQUITÉ ET DANS LES TEMPS MODERNES
--------------- . ^ X X - --------------
PREMIÈRE PARTIE
C H A PITRE I er
C H A PITRE II.
«
56
0
— 57 —
C H A PITRE III .
9° Tu ne te vengeras pas.
10 ° Tu ne seras pas superstitieux.
Les principales maximes du Bouddhisme
étaient :
Io Une compassion sans bornes envers toutes
les créatures et la prohibition de toute cruauté.
2 ° Une constance inébranlable dans la foi.
3° Une profonde humilité.
4° La recherche de la perfection par le renon
cement, et la domination de l ’esprit sur le corps.
La réforme Bouddhique fut surtout morale.
Quant au côté purement religieux du Bouddhisme,
il différait si peu de l ’enseignement des B'ahmes,
que l’antique Panthéon Brahmanique a passé
tout entier dans le Bouddhisme.
On ne saurait comparer le Bouddhisme à une
hérésie comme celle d’Arius, ou à une réforme
comme celle de Luther. Il est plutôt comparable à
la grande révolution tentée chez les Juifs par le
christianisme et accomplie par lui dans l ’empire
romain en dissolution morale et religieuse. La
doctrine du Bouddha n’était autre chose qu’une
tentative faite par la raison individuelle pour
échapper au dogme imposé par l’autorité Brahma
nique et pour conserver le droit d’interpréter
librement les Vedas. On a donc tort, je le répète,
de regarder l ’Inde comme le pays de Pimmobi-
lisme, car, ainsi que le dit si bien Mr Burnouf, la
même force d’esprit qui, chez les ancêtres, a pro
duit une première fois les dogmes religieux, se
93 —
CHAPITRE IV .
C H A P IT R E V .
— h é b r e u x (recevant le monothéisme
é g y p t ie n s
des Egyptiens) — g r e c s — r o m a i n s .
CHAPITRE V I.
C H A P IT E E V II.
C H A P IT R E V II I .
ORIGINES DU CHRISTIANISME.
C H A PIT R E IX .
CHAPITRE X .
Or i g i n e s du C h r i s t i a n i s m e (su ite ). — C o n t r a
d ic t io n s DANS LES ÉVANGILES. PARABOLES DE
Jé su s. P araboles de Ch r is t n a .
C H A PITRE X I.
C H A P IT R E X II .
hommes les uns pour les autres, avait été dit des
milliers d’années avant lui. Mais comme les mi
nistres du christianisme ont toujours eu soin
d’éviter que leurs adeptes ne connussent la véri
table histoire des temps antérieurs à Jésus, iis
ont pu en toute assurance faire commencer la
civilisation à l’ère chrétienne.
Aujourd’hui, ils disent que la meilleure preuve
qu’on puisse donner de la puissance civilisatrice
du christianisme, c’est la comparaison du degré
d’avancement actuel des nations chrétiennes et
des nations non chrétiennes.
Il est facile de combattre victorieusement cette
allégations, ou plutôt ce sophisme.
Il y a là une question de races, plutôt qu’une
question de religion. Les races Grecque et Latine,
au moment où commença le christianisme, for
maient pour ainsi dire le noyau de la nouvelle
civilisation du globe ; et cette civilisation qui
avait eu pour principaux éducateurs moraux
Socrate et Platon son disciple, tendait à s’accroître
et à s’étendre. Rien ne prouve qu’en l ’absence du
christianisme elle se fut arrêtée. E t ce qui prouve
le contraire, c’est que les romains, plus d'un
demi-siècle avant l’ère chrétienne ont conquis les
Gaule et en ont commencé la civilisation ainsi que
celle des autres peuples environnants.
Les grecs, les latins et les gaulois ont continué
à s’avancer dans la civilisation, par le travail et
par l ’étude, et peu à peu, grâce à eux, la civili
349 —
C H A PITR E PR E M IE R
LA CROYANCE AUX ESPRITS EST AUSSI ANCIENNE
QUE L’HUMANITÉ.
C H APITRE I I
CH APITRE III.
C H A PIT R E IV .
C H A PITRE V .
CHAPITRE V I. «r
C H A PITRE V II.
C H A PIT R E V III.
S P I R I TOLOGr I E PRATIQUE.
C H APITRE IX .
22
— 338
C H A PIT R E X .
C H A PITRE X I ET D E R N IE R .
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