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TS DE 2
ARCHITECTURE / URBANISME
NOUVELLE GÉNÉRATION : NOUVELLES PROBLÉMATIQUES
- Une sécurité accrue : on assiste à la multiplication des normes de sécurité qui dictent le travail des
architectes (avant l'architecte était « roi », maintenant il se plie au règlement écrasant (est-ce une entrave à
sa créativité?)
- la perte d'identité de nos sociétés : la mondialisation a pour conséquence la standardisation des habitats et
des usages, des modes de vie.
- C’est la fin des grandes idéologies/valeurs (communisme, catholicisme, mai 68...). Notre société est
libérale, ce qui signifie que l’impératif économique est plus que jamais présent, nous faisons des économies
sur tout.
Sur le papier, le projet d’un architecte est très prometteur mais en définitive, on se retrouve avec une grande majorité
des constructions qui sont plus fonctionnelles qu’agréables au regard et à vivre (= énumération d’un certain nombre de
critères pratiques à remplir)
- Pas de correspondance entre l’idéologie des architectes sur la manière de construire une ville et ce qui se
fait :
Il existe un décalage entre ce que nous bâtissons et ce qui est bon pour l’être humain. Nos quartiers sont
calibrés, notre habitat est fonctionnel, on cloisonne les gens dans des quartiers, on répond à la demande de
promoteurs immobiliers. Le marché de l’offre et de la demande empêche les nouvelles utopies de germer,
peu d’élan créateur, le profit, le rendement sont omniprésents.
Plus que jamais, l’architecte doit œuvrer dans un contexte économique et social fracturé (riches et pauvres) :
il aurait envie de construire un environnement agréable pour tous mais l’argent est une limite à son action.
Ex : Les principes du Corbusier on été détournés et malmenés car on vit dans un monde régit par l’économie, il n’y pas
de place pour l’humain.
A l’architecte de prendre sa responsabilité vis-à-vis de la société (morale, éthique, manière d’envisager son
métier)
II- Une société qui veut changer :
- Prise de conscience du climat délétère qui règne (destruction, épuisement des ressources, gaspillage,
montée des inégalités…)
- Apparition de nouveaux territoires : des projets un peu fous comme les villes
nénuphars pour les réfugiés climatiques (Callebaut), la tour Hypergreen de
Jacques Ferrier, la tour Antismog à Paris (bâtimentà
la fois autosuffisant mais aussi dépolluant).