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le Très Miséricordieux
Août 2006
www.harunyahya.com/fr
e-mail : contact@harunyahya.org
A PROPOS DE L'AUTEUR
L'auteur, qui écrit sous le pseudonyme HARUN YAHYA, est né à Ankara en
1956. Il a effectué des études artistiques à l'Université Mimar Sinan d'Istanbul, et a étu-
dié la philosophie à l'Université d'Istanbul . Depuis les années 80, il a publié de nom-
breux ouvrages sur des sujets politiques et scientifiques. Harun Yahya est devenu
célèbre pour avoir remis en cause la théorie de l'évolution et dénoncé l'imposture des
évolutionnistes. Il a également mis en évidence les liens occultes qui existent entre le
darwinisme et les idéologies sanglantes du 20ème siècle.
Les ouvrages de Harun Yahya, traduits en 41 langues, constituent une collection
de plus de 45.000 pages et 30.000 illustrations.
Son pseudonyme est constitué des noms "Harun" (Aaron) et "Yahya" (Jean), en
mémoire à ces deux prophètes estimés qui ont tous deux lutté contre le manque de foi
de leurs peuples. Le sceau du Prophète (paix et bénédiction sur lui) qui figure sur la
couverture des livres de l'auteur, revêt un caractère symbolique lié à leur contenu. Ce
sceau signifie que le Coran est le dernier Livre de Dieu, Son ultime parole, et que notre
Prophète (paix et bénédiction sur lui)) est le dernier maillon, et donc le seau, de la chaî-
ne prophétique. En se référant au Coran et à la Sounna, l'auteur s'est fixé comme objec-
tif d'anéantir les arguments des tenants des idéologies athées en vue de réduire au
silence les objections soulevées contre la religion. Le Prophète (paix et bénédiction sur
lui) a atteint les plus hauts niveaux de la sagesse et de la perfection morale ; c'est pour-
quoi son sceau est utilisé avec l'intention de rapporter le dernier mot.
Tous les travaux de l'auteur sont centrés sur un seul objectif : transmettre aux
gens le message du Coran, en les incitant à réfléchir aux questions liées à la foi, telles
que l'existence de Dieu, Son unicité, l'au-delà, et en exposant les fondements précaires
et les idéologies perverses des systèmes athées.
L'œuvre de Harun Yahya est connue à travers de nombreux pays, de l'Inde aux
États-Unis, du Royaume-Uni à l'Indonésie, de la
Pologne à la Bosnie, de l'Espagne au Brésil.
Certains de ses livres sont disponibles
dans les langues suivantes : l'anglais, le français,
l'allemand, l'espagnol, l'italien, le portugais,
l'urdu, l'arabe, l'albanais, le chinois, le swahili, le
hausa, le divehi (parlé à l'île Maurice), le russe, le
serbo-croate (bosniaque), le polonais, le malais, l'ouï-
gour, l'indonésien, le bengali, le danois et le sué-
dois. C’est dire que de nombreux lecteurs
du monde entier les apprécient.
Ces ouvrages ont permis à de nombreuses personnes d'attester de leur croyance
en Dieu, et à d'autres d'approfondir leur foi. La sagesse et le style sincère et fluide de
ces livres leur confèrent une caractéristique bien particulière qui ne manque pas de
frapper ceux qui les lisent ou qui sont amenés à les consulter. Ceux qui méditent sérieu-
sement ces livres ne peuvent plus soutenir l'athéisme ou toute autre idéologie et phi-
losophie matérialistes, tant il est vrai que ces ouvrages sont caractérisés par une effi-
cacité à toutes épreuves, des résultats certains et l'irréfutabilité. Même s'il y a toujours
des personnes qui continuent à le faire, il ne s’agit que d’un attachement sentimen-
tale puisque ces livres réfutent les fondements mêmes de telles idéologies. Tous les
mouvements négativistes contemporains sont maintenant vaincus du point de vue
idéologique, grâce aux livres de Harun Yahya. L'auteur ne tire pas de fierté person-
nelle de son travail ; il espère seulement apporter un son soutien à ceux qui cherchent
la voie de Dieu. Aucun bénéfice matériel n'est recherché à travers la publication de ces
livres.
Ceux qui encouragent les autres à lire ces livres, à ouvrir les yeux du cœur et à
devenir de meilleurs serviteurs de Dieu rendent un service inestimable en seront
récompensés par Dieu.
Par ailleurs, encourager des livres qui créent la confusion dans l'esprit des gens,
qui mènent au chaos idéologique et qui, manifestement, ne servent pas à dissiper le
doute qui habite le cœur des gens, n’est que perte de temps et d'énergie. Il est impos-
sible pour des ouvrages écrits dans le seul but de mettre en valeur l’aptitude littéraire
de leur auteur, plutôt que de servir le noble objectif de ramener les gens dans le droit
chemin , d'avoir un impact si important. Ceux qui en doutent se rendront aisément
compte que Harun Yahya ne cherche à travers ses livres qu'à vaincre l'incrédulité et à
diffuser les valeurs morales du Coran. Le succès et l'impact cet engagement sont évi-
dents dans la conviction des lecteurs.
Il convient de garder à l'esprit un point essentiel : la raison des cruautés inces-
santes, des conflits et des souffrances dont la majorité des gens sont les perpétuelles
victimes, est la prédominance idéologique de l'incroyance sur cette terre. On ne pour-
ra mettre fin à cette triste réalité que par la défaite de l'incrédulité et en sensibilisant le
plus grand nombre aux merveilles de la création ainsi qu'à la morale coranique, pour
que chacun puisse vivre en accord avec elle. En observant l'état actuel du monde qui
ne cesse d'aspirer les gens dans la spirale de la violence, de la corruption et des conflits,
il apparaît vital que ce service rendu à l'humanité le soit encore plus rapidement et effi-
cacement. Sinon, il se pourrait bien que les dégâts causés soient irréversibles.
Les livres de Harun Yahya, qui assument le rôle principal dans cet effort, consti-
tueront par la volonté de Dieu un moyen par lequel les gens parviendront à la paix en
ce 21ème siècle, à la justice et au bonheur promis dans le Coran.
Dans tous les livres de l'auteur, les questions liées à la foi sont
expliquées à la lumière des versets coraniques et les gens sont invités
à connaître la parole de Dieu et à vivre selon Ses préceptes. Tous les
sujets qui concernent les versets de Dieu sont expliqués de telle façon
à ne laisser planer ni doute, ni questionnement dans l'esprit du lecteur.
Par ailleurs, le style sincère, simple et fluide employé permet à chacun,
quel que soit son âge ou son appartenance sociale, d'en comprendre
facilement la lecture. Ces écrits efficaces et lucides permettent égale-
ment leur lecture d'une seule traite. Même ceux qui rejettent vigoureu-
sement la spiritualité resteront sensibles aux faits rapportés dans ces
livres et ne peuvent réfuter la véracité de leur contenu.
Ce livre et tous les autres travaux de l'auteur peuvent être lus
individuellement ou être abordés lors de conversations en groupes.
Les lecteurs qui désirent tirer le plus grand profit des livres trouveront
le débat très utile dans le sens où ils seront en mesure de comparer
leurs propres réflexions et expériences à celles des autres.
Par ailleurs, ce sera un grand service rendu à la religion que de
contribuer à faire connaître et faire lire ces livres, qui ne sont écrits que
dans le seul but de plaire à Dieu. Tous les livres de l'auteur sont extrê-
mement convaincants. De ce fait, pour ceux qui souhaitent faire con-
naître la religion à d'autres personnes, une des méthodes les plus effi-
caces est de les encourager à les lire.
Dans ces livres, vous ne trouverez pas, comme dans d'autres
livres, les idées personnelles de l'auteur ou des explications fondées
sur des sources douteuses. Vous ne trouverez pas non plus des propos
qui sont irrespectueux ou irrévérencieux du fait des sujets sacrés qui
sont abordés. Enfin, vous n'aurez pas à trouver également de comptes-
rendus désespérés, pessimistes ou suscitant le doute qui peut affecter
et troubler le cœur.
Introduction 8
L’origine des espèces selon les archives fossiles :
la création 12
La stase dans les archives fossiles 22
Des exemples de fossiles 36
Les fossiles vivants réfutent l’évolution 48
Conclusion 54
Les exemples de fossiles vivants réfutent la théorie
de l’évolution 62
Des dizaines de milliers de fossiles dans l’ambre
réfutent l’évolution 98
L’effondrement du darwinisme 228
Comment les fossiles ont renversé l’évolution :
les millions de preuves qui réfutent le darwinisme
U
n fossile correspond aux restes ou aux traces d’une plante ou d’un
animal qui ont été préservés dans la croûte terrestre jusqu’à notre
époque. Les fossiles collectés dans le monde entier sont notre plus
importante source d’informations sur les espèces qui ont existé
depuis que la vie est apparue sur Terre.
Les squelettes des êtres vivants dont le contact avec l’air fut soudaine-
ment interrompu ont été préservés, souvent parfaitement, jusqu’à notre
époque. L’étude de ces fossiles nous livre constamment plus de détails sur ces
animaux ou plantes éteints. Au fond, ces informations nous apprennent éga-
lement quelles espèces vivantes ont existé à quelle époque.
Pour les évolutionnistes, les spécimens fossiles, souvent vieux de cen-
taines de millions d’années, sont tous des outils qu’ils peuvent utiliser en
accord avec leurs propres théories. Les évolutionnistes prennent un fossile, le
comparent arbitrairement à une espèce actuelle, puis ils affirment qu’il est l’an-
cêtre de l’organisme auquel il a été comparé. A partir de ce principe, ils
construisent des scénarios spectaculaires et détaillés. Si le fossile en question
est un poisson, par exemple, ils affirment sur la base de quelques os qu’il pos-
sède des caractéristiques primitives, de nouveaux organes en cours de déve-
loppement et des membres en transition vers une forme de vie plus "élevée".
Ils écrivent des livres sur la créature, tiennent des conférences et l'exhibent
comme la forme intermédiaire ou le "chaînon manquant" qu'ils recherchaient
depuis si longtemps.
Cela se passe ainsi jusqu'à ce qu'ils découvrent un spécimen vivant de
cette créature soi-disant éteinte !
Quand un être vivant apparaît sous la même forme qu'on pensait qu'il
existait il y a des millions d'années, cela démolit toutes les fables évolution-
nistes racontées à son sujet. Sa simple présence démontre qu'un organisme
vivant qui, selon les affirmations des darwinistes, aurait du subir une évolu-
tion considérable après le passage de millions d'années, est resté d'une maniè-
re ou d'une autre en dehors de ce prétendu processus. De plus, cela prouve
qu'à une époque où, encore selon les évolutionnistes, seules des formes primi-
tives de vie devaient exister, des formes de vie pleinement développées, pos-
sédant des caractéristiques complexes et leurs propres structures uniques,
prospéraient déjà. La créature que les évolutionnistes imaginent comme étant
10
HARUN YAHYA
"primitive" n'est en fait rien de tout cela. En d'autres mots, on se rend compte
de la nature trompeuse des conjectures concernant la "transition à partir d'un
organisme unicellulaire", "une forme intermédiaire" et "une forme de vie pri-
mitive". Finalement, des preuves importantes montrent que le "processus
d'évolution graduelle" n'est rien d'autre qu'un mythe.
Tous ces spécimens manifestent une seule vérité : les êtres vivants ne sont
pas apparus selon le processus fictif de la théorie de l'évolution, mais ils ont été
créés en un seul instant. Les êtres vivants actuels, avec toutes leurs caractéris-
tiques parfaites, illustrant l’œuvre de l’Artiste Suprême qu’est Dieu, possèdent
exactement la même splendeur et la même perfection que leurs homologues
qui existaient il y a des millions d'années. Une fois que toutes les spéculations
et les affirmations évolutionnistes sont éliminées, le fait de la création s’impo-
se – quoique d'une manière totalement inattendue par les évolutionnistes.
Les "fossiles vivants" sont la preuve que tous les êtres vivants sur Terre,
passés et présents, ont été créés à partir de rien, et que chacun, possédant des
attributs complexes et supérieurs, est un miracle de Dieu. Cela signifie qu'en
réalité, le soi-disant processus évolutionnaire qui se serait produit au cours de
millions d'années n'a jamais eu lieu. Les formes intermédiaires fic-
tives disparaissent en même temps que les scénarios fictifs.
Pour que les archives fossiles jettent la lumière sur ce sujet, nous
avons besoin de comparer ce que prédit la théorie de l'évolution avec les
véritables découvertes fossiles.
Selon cette théorie, tous les êtres vivants descendent de formes
"ancestrales" diverses. Une espèce vivante qui existait auparavant s’est
transformée progressivement en une autre espèce, et toutes les espèces
actuelles sont apparues de cette manière. Cette transition se serait
déroulée lentement sur des centaines de millions d'années et
aurait progressé par étapes. Si tel est le cas, d'innombrables
"formes intermédiaires" ont dû appa-
raître et vivre au cours du long
processus de transition en
question. Et certaines
d'entre elles ont dû
certainement se
X
fossiliser.
A U
F
Par exemple, des
créatures mi-poissons, mi-
amphibiens portant toujours des caracté-
ristiques de poissons mais ayant aussi acquis cer-
taines caractéristiques des amphibiens ont dû exister. Et
des oiseaux-reptiles avec des caractéristiques à la fois reptiliennes
et aviaires ont dû apparaître. Puisque ces créatures subissaient un proces-
sus de transition, elles ont dû être déformées, défectueuses et imparfaites.
Ces créatures théoriques qui ont soi-disant existé dans le passé sont
connues sous le nom de "formes intermédiaires".
15
Comment les fossiles ont renversé l’évolution :
les millions de preuves qui réfutent le darwinisme
16
Un fossile de poisson osseux datant de quelques
210 millions d'années
Un fossile d'échinoderme
(étoile de mer) datant de
135 millions d'années
18
Tous les êtres vivants sur Terre sont
apparus soudainement avec toutes
leurs caractéristiques complexes et
supérieures. En d'autres mots, ils
ont été créés. Absolument aucune
preuve scientifique ne suggère que
les êtres vivants puissent descendre
les uns des autres, comme l'affir-
ment les évolutionnistes.
19
Comment les fossiles ont renversé l’évolution :
les millions de preuves qui réfutent le darwinisme
20
HARUN YAHYA
Q
uand on étudie l'histoire naturelle, on ne trouve pas d'êtres vivants
dont "les structures anatomiques évoluent", mais des êtres qui sont
restés identiques, même au cours de centaines de millions d'années.
Ce manque de changement est appelé "stase" par les scientifiques.
Les fossiles vivants et les organismes qui n'ont pas survécu jusqu'à notre
époque, mais qui ont laissé derrière eux leurs fossiles dans différentes strates
de la Terre à travers l’histoire, sont des preuves concrètes de la stase dans les
archives fossiles. Et cette stase montre clairement qu'aucun processus graduel
d'évolution n'a jamais eu lieu. Dans un article du magazine Natural History,
Stephen Jay Gould décrit cette incohérence entre les archives fossiles et la théo-
rie de l'évolution :
L'histoire de la plupart des espèces de fossiles inclut deux caractéristiques parti-
culièrement incohérentes avec le gradualisme : 1. La stase. La plupart des espèces
ne montrent aucun changement directionnel au cours de leur vie sur terre. Elles
apparaissent dans les archives fossiles visiblement identiques à ce qu'elles sont
lorsqu'elles disparaissent ; les changements morphologiques sont habituellement
limités et sans direction. 2. Une apparition soudaine. Dans n'importe quelle zone
locale, une espèce n'apparaît pas graduellement par la transformation de ses
ancêtres ; elle apparaît tout d'un coup et "complètement formée".13
Si un être vivant survit sous une forme parfaite jusqu'à notre époque avec
toutes les caractéristiques qu'il affichait des millions d'années auparavant et s'il
n'a subi aucun changement, alors cette preuve est assez puissante pour rejeter
complètement le modèle d'évolution graduel anticipé par Darwin. En outre, il
n’y a pas qu'un seul exemple pour démontrer cela ; en réalité, les exemples
font légion. D'innombrables organismes ne montrent aucune différence avec
leur état originel qui date de millions voire de centaines de millions d'années.
Comme énoncé ouvertement par Niles Eldredge, cet état de fait force les
paléontologistes à se détourner de l'idée d'évolution qui, pourtant, demeure
toujours soutenue de nos jours :
Il n'est pas étonnant que les paléontologistes se sont détournés de [la théorie de]
l'évolution depuis si longtemps. Elle semble n'avoir jamais eu lieu. Des collectes
assidues mènent à des zigzags, à des oscillations mineures, et quelques fois à l'ac-
cumulation minime, occasionnelle de changements s’opérant sur des millions
24
HARUN YAHYA
d'années, à une vitesse trop lente pour réellement expliquer tous les change-
ments prodigieux qui se sont produits au cours de l'histoire évolutionnaire.14
La stase dans les archives fossiles représente réellement le plus grand
problème auquel font face les adeptes de l'évolution. Les évolutionnistes
cherchent désespérément dans les archives fossiles la preuve dont ils ont
besoin pour prouver leur processus fictif d'évolution. Cependant, les fossiles
ne fournissent aucune des formes intermédiaires qu'ils recherchent, mais
révèlent, en plus, que les êtres vivants qui sont supposés avoir subi un pro-
cessus de changement au cours du temps n'ont subi aucune évolution, même
après des centaines de millions d'années. Les formes vivantes actuelles sont
identiques aux formes originelles, et n'ont jamais subi le changement graduel
avancé par Darwin.
Niles Eldredge décrit comment la stase si longtemps négligée par les
paléontologistes sape l'affirmation de Darwin
d'une évolution graduelle :
Mais la stase était jetée de manière pratique
comme une caractéristique de l'histoire de la
vie dont la biologie évolutionniste devait
s'accommoder. Et la stase a continué
d'être ignorée jusqu'à ce que Gould et
moi montrions qu'une telle stabilité
Un fossile de raie
bouclée datant de
l'ère Mésozoïque (il y
a 65 à 245 millions
d'années) possède
exactement les
mêmes caractéris-
tiques que celles
vivant dans nos mers
aujourd'hui. Cette
créature particulière,
âgée d'environ 250
millions d'années,
démontre clairement
que le processus
évolutionnaire est
pur invention.
25
La stase dans les archives fossiles
est un aspect réel de l'histoire de la vie qui doit être affronté – et qu'en fait,
cela ne pose aucune menace fondamentale à la notion même d'évolution.
C’était là le problème de Darwin : pour établir la plausibilité de l'idée d'évo-
lution, Darwin sentait qu'il devait saper l'ancienne… doctrine de la fixité des
espèces. La stase, pour Darwin, était un horrible inconvénient.15
En voyant l'invalidité de l'affirmation de Darwin à propos d’une évolu-
tion graduelle, Eldredge a avancé l'idée, avec Stephen J. Gould, d'"équilibre
ponctué", et ses paroles ci-dessus étaient une expression précise de la diffi-
culté que posait la stase à Darwin. Pourtant, ce qu'Eldredge semble ignorer
ou négliger est que la stase qui est si manifeste dans les archives fossiles
représente également un dilemme majeur pour l'équilibre ponctué.
Les paléontologistes qui ont proposé le modèle d'évolution de l'équi-
libre ponctué ont admis que la stase dans les archives fossiles présente effec-
tivement un "problème". Mais puisqu'ils ont considéré comme impossible
l'abandon de l'idée d'évolution, ils ont suggéré que les êtres vivants sont
apparus non pas par de petits changements, mais par des changements
majeurs et instantanés. Selon cette affirmation, les changements évolution-
29
Comment les fossiles ont renversé l’évolution :
les millions de preuves qui réfutent le darwinisme
"L'inefficacité" de l'environnement
Les fossiles vivants reflètent l'absence de différence entre les spéci-
mens d'aujourd'hui et les restes fossilisés du passé, et ils offrent donc la
preuve que les espèces n'ont subi aucune évolution sur des millions d'an-
nées. De cette manière, ils portent un coup sévère à la théorie de l'évolu-
tion laquelle affirme, ce qui est bien connu, que seuls les organismes
capables de s'adapter aux changements des conditions environnementales
survivent, et que ceux-ci évoluent en d'autres êtres vivants sous l'effet de
changements aléatoires imaginaires. Mais les fossiles vivants montrent
que l'idée d'espèces "réagissant" graduellement aux conditions environne-
mentales est en réalité sans fondement.
30
HARUN YAHYA
Le requin, une des créatures les plus dangereuses dans la mer, et un fossile vieux de 400 mil-
lions d'années, montrent que les requins n'ont jamais subi la moindre évolution.
Comment les fossiles ont renversé l’évolution :
les millions de preuves qui réfutent le darwinisme
des millions d'années. Par exemple, le Néopilina, une espèce de crustacée, est
resté inchangé pendant 500 millions d'années, le scorpion pendant 430 mil-
lions d'années, le Limulus, une créature marine portant une carapace et une
queue en forme d'épée, pendant 225 millions d'années, et le Tuatara, une espè-
ce de reptile vivant en Nouvelle Zélande, pendant 230 millions d'années. Bon
nombre d'arthropodes, de crocodiles, de tortues et un grand nombre d'espèces
de plantes sont les autres composants de cette liste en expansion.17
Focus a cité des exemples de cafards et d'archéobactéries, et a admis
ouvertement que ces espèces portent un coup dur à la théorie de l'évolu-
tion :
Les considérant d’un point de vue évolutionniste, la probabilité que
de tels organismes subissent des mutations est plus élevée que celle des
autres. Car chaque nouvelle génération signifie la copie de l'ADN. En gar-
dant à l'esprit le nombre de fois où le processus de copie se déroule sur des
millions d'années, une image intéressante apparaît. En théorie, différents
éléments de pression comme les conditions environnementales chan-
geantes, des espèces hostiles et la compétition entre espèces devraient
mener à la sélection naturelle, la sélection des espèces avantagées par les
mutations, et à ce que ces espèces subissent des changements plus impor-
tants sur une aussi longue période. POURTANT LES FAITS SONT DE
TOUTE AUTRE NATURE. Considérons les cafard, par exemple. Ceux-ci
se reproduisent très rapidement et ont des durées de vie courtes. Pourtant
ils sont restés les mêmes pendant environ 250 millions d'années ! Les
archéobactéries sont un exemple encore plus frappant. Celles-ci sont appa-
rues il y a 3,5 milliards d'années, quand la Terre était encore très chaude,
et elles sont toujours en vie aujourd'hui dans les eaux bouillantes du Parc
National de Yellowstone.
En définitive, on se rend bien compte que la théorie de l'évolution est
le produit de l’imagination d’un homme – Darwin. Elle a été clairement
réfutée par les découvertes scientifiques obtenues par ses propres adeptes !
Les fossiles vivants montrent que l'effet de l'environnement sur les êtres
vivants n'est pas une évolution mais plutôt une "non-évolution", autrement
dit une "stase" scientifiquement parlant. Les espèces n'ont pas obtenu leurs
structures actuelles en subissant un processus de changements aléatoires.
Elles ont toutes été créées sans défaut par Dieu Tout-Puissant et elles ont
persisté sous leur forme originelle tout au long de leur vie sur Terre.
U
n fossile vivant désigne un organisme dont les traces apparais-
sent dans les couches fossiles des premières périodes géolo-
giques, et dont on retrouve aujourd'hui des spécimens vivants.
Ces êtres vivants n'affichent aucune différence avec leurs homo-
logues d'il y a des millions d'années, et ils représentent des exemples
vivants de ces formes fossiles mortes il y a bien longtemps.
Sans aucun doute, le plus important de ces exemples est le
Cœlacanthe mentionné précédemment. Pendant de nombreuses années,
les évolutionnistes l'ont représenté comme la forme intermédiaire suppo-
sée la plus significative, sur laquelle ils passèrent énormément de temps à
spéculer, jusqu'à ce qu'une première surprise ait lieu en 1938.
38
HARUN YAHYA
lution. Des peintures et des dessins le montrant sortant de l'eau pour aller
sur la terre ferme commencèrent rapidement à apparaître dans les livres et
les magazines. Bien sûr, toutes ces suppositions, images et affirmations,
étaient basées sur l'idée que la créature était éteinte.
La vérité était pourtant très différente. Depuis 1938, plus de 200
Cœlacanthes ont été attrapés, après le premier d'Afrique du Sud. Le
second fut attrapé dans les Comores au nord-ouest de Madagascar en
1952, et un troisième au Sulawesi indonésien en 1998. Le paléontologiste
évolutionniste J. L. B. Smith a été incapable de cacher sa stupéfaction lors
de la capture du premier Cœlacanthe : "Si j'avais rencontré un dinosaure
dans la rue, dit-il, je n'aurais pas été plus étonné."20
Plus tard, des photos d'une paire de Cœlacanthes furent même
publiées dans le magazine National Geographic ! La capture de Cœlacanthes
39
Comment les fossiles ont renversé l’évolution :
les millions de preuves qui réfutent le darwinisme
vivants révéla que les affirmations le concernant n'étaient rien d'autre que
des tromperies. La structure qui était suggérée par les chercheurs évolu-
tionnistes comme étant des poumons primitifs se révéla n'être rien d'autre
que des vessies natatoires remplies de graisse. De plus, les évolutionnistes
avaient toujours représenté le poisson vivant dans des eaux peu pro-
fondes, comme un reptile potentiel se préparant à ramper sur la terre
ferme où il continuerait "d'évoluer". Pourtant le Cœlacanthe fut retrouvé
dans les eaux des profonds océans – un poisson vivant dans les profon-
deurs et ne remontant pratiquement jamais au-delà de 180 mètres sous la
surface de la mer.21
En 1987, le naturaliste allemand Hans Fricke a confirmé ces décou-
vertes quand il a observé et photographié des Cœlacanthes au large de l'île
de la Grande Comore. Il a observé que le poisson nageait à reculons, en
avant et même penché la tête en bas, mais qu'il n'avait jamais "marché,
rampé ou qu'il s’était déplacé sur ses nageoires lobées".22
Conclusion : le Cœlacanthe étant un fossile vivant, il a éliminé la soi-
disant preuve que les évolutionnistes avaient exhibée si fièrement afin de
soutenir leur scénario imaginaire de la transition des poissons de l'eau
à la terre ferme. Quand cette créature fut découverte en 1938, elle
révéla immédiatement la nature frauduleuse de cette transition.
HARUN YAHYA
Les évolutionnistes n’ont pas dénigré les révélations sur ce fossile vivant
et ils n’ont pas cherché à convaincre qui que ce soit que cette découverte
était une erreur. Ils ont cessé leurs conjectures concernant le Cœlacanthe et
sur l'histoire de son apparition de la mer à la terre ferme. La stase dans les
archives fossiles a démoli l'histoire de l'évolution des poissons en élimi-
nant un de ses principaux fondements.
La limule
Les premières archives fossiles de la limule remontent à 425 millions
d'années, et pourtant ce fossile vivant vit toujours le long des rivages
actuels. Sa queue, qui lui permet de marcher avec facilité dans le sable et
42
HARUN YAHYA
qui est utilisé pour se diriger, ses deux yeux aux structures extrêmement
complexes, et toutes ses autres caractéristiques uniques sont restés inchan-
gés au cours des dernières 425 millions d'années.
Le cafard
Le cafard, l'insecte ailé le plus vieux au monde, apparaît pour la pre-
mière fois dans les fossiles il y a 350 millions d'années, à la période
Carbonifère.24 Cet insecte – avec ses différentes antennes et poils extrême-
ment sensibles au moindre mouvement, même aux courants d'air, ses ailes
parfaites, et sa structure résistante capable même de supporter des radia-
tions – est identique aujourd'hui à ce qu'il était il y a 350 millions d'an-
nées.25
43
Comment les fossiles ont renversé l’évolution :
les millions de preuves qui réfutent le darwinisme
L'okapi
Un autre fossile vivant qui invalide une des plus grandes "preuves"
de la théorie de l'évolution – et qui révèle même une fraude perpétrée au
nom de l'évolution – est l'okapi, visible dans l'illustration ci-dessous.
Les fossiles appartenant à cet animal datent de l'époque du Miocène.
On a toujours cru que l'okapi était éteint – jusqu'à ce que le premier spéci-
men vivant soit capturé en 1901. A cette époque, il était pris comme
exemple par les évolutionnistes et présenté comme une forme intermé-
diaire dans le scénario de l'évolution des équidés, qui est lui-même totale-
ment faux. Cependant, avec la capture d'un okapi vivant, ce scénario de
l'évolution des équidés a été également abandonné.
"L'évolution du cheval" a depuis longtemps fait l’objet de l'exposé
principal au sujet de l'origine imaginaire des mammifères. Différentes
espèces vivantes et éteintes étaient présentées, les unes après les autres
selon leur taille, au mépris des différences anatomiques grossières entre
elles, comme étant des étapes différentes de l'évolution du cheval. Ces
espèces, exhibées dans les musées d'histoire naturelle pendant de nom-
breuses années, étaient décrites dans les manuels scolaires comme si elles
étaient une preuve solide de l'évolution. Aujourd'hui, cependant, un
grand nombre d'évolutionnistes admettent l'invalidité du scénario de
l'évolution de l'équidé et confessent que c'est un exemple de désir pris
pour une réalité totalement, une supercherie.
En novembre 1980, l'évolutionniste Boyce Rensberger prit la parole
lors d'une conférence au Field Museum of Natural
History à Chicago sur les problèmes ren-
contrés par la théorie de l'évolution, à
laquelle 150 évolutionnistes ont
assisté. Il décrivit le fait
que le scénario de
HARUN YAHYA
l'évolution du cheval n'avait aucune base dans les archives fossiles et que
le cheval n'avait jamais suivi un processus d'évolution graduel :
L'exemple très à la mode de l'évolution du cheval, suggérant une séquence
graduelle de changements à partir de créatures à quatre doigts de la taille
d'un renard il y a pratiquement 50 millions d'années jusqu'au cheval à un
seul doigt et plus grand, est connu depuis longtemps comme étant faux. Au
lieu de changements graduels, les fossiles de chaque espèce intermédiaire
apparaissent entièrement distincts, persistent inchangés puis s'éteignent. Les
formes transitionnelles sont inconnues.26
Rensberger avait parfaitement raison ; aucune preuve n'existe mon-
trant qu'un processus tel que l'évolution des équidés ait jamais eu lieu. La
"série" d'équidés est totalement spéculative et n'est pas basée sur des faits.
De plus, il existe des différences anatomiques et physiques considérables
entre ces animaux. Ce que Rensberger ignore, cependant, est le fait que les
espèces de la série ne sont pas toutes éteintes. L'okapi, rencontré en 1901,
est la preuve vivante, pour ainsi dire, qu'une créature que les évolution-
nistes avaient toujours représentée comme une forme intermédiaire – et
donc disparue – était en réalité toujours en vie. Cet animal, qui n'a aucun
lien avec le cheval et qui montre une très forte ressemblance avec le zèbre,
vivait à l'époque du Miocène (5,3-23 millions d'années) et affichait les
mêmes caractéristiques complexes qu'il possède aujourd'hui.
Le fossile vivant de l'okapi a démoli encore une fois une des princi-
pales affirmations de la théorie de l'évolution. Le scénario de la série
d'équidés, rempli à tout point de vue d'incohérences, a été finalement
supprimé et mis tranquillement au rancart.
Le Dr. Niles Eldredge de l'American Museum of Natural History dit
la chose suivante sur l'arbre généalogique du cheval, qui traînait toujours
dans les sous-sols du musée :
Il y a eu un nombre incroyable d'histoires, certaines plus imaginatives que
d'autres, sur la véritable nature de cette histoire [de la vie]. L'exemple le plus
célèbre, toujours affiché en bas des escaliers, est l'exposé de l'évolution du
cheval préparé il y a peut-être cinquante ans de cela. Cela fut présenté
comme la vérité première dans les manuels scolaires. Maintenant je pense
45
Comment les fossiles ont renversé l’évolution :
les millions de preuves qui réfutent le darwinisme
que cela est lamentable, particulièrement quand les gens qui proposent ce
genre d'histoires peuvent être conscients de la nature spéculative de cer-
taines de ces choses.27
47
Comment les fossiles ont renversé l’évolution :
les millions de preuves qui réfutent le darwinisme
50
HARUN YAHYA
51
Comment les fossiles ont renversé l’évolution :
les millions de preuves qui réfutent le darwinisme
52
Comment les fossiles ont renversé l’évolution :
les millions de preuves qui réfutent le darwinisme
56
HARUN YAHYA
Pourquoi cela ?
La raison est que chaque fossile "vivant" découvert est une autre
preuve qui démolit l'évolution. Chaque exemple d'une telle espèce vivan-
te est en soi suffisant pour détruire la théorie à laquelle les darwinistes
consacrent leur carrière. C’est pour cette raison que les évolutionnistes
essaient de cacher le nombre de ces fossiles.
Les formes de vie du Cambrien dissimulées dans la célèbre Institut
Smithsonien pendant 70 ans – en d'autres termes, les fossiles des formes
de vie complexes les plus anciennes dans l'histoire de la planète – en sont
un exemple significatif. Charles Doolittle Walcott, paléontologiste et secré-
taire général du Smithsonien (1907-1927), a commencé des recherches
dans la région riche en fossiles de Burgess Shale dans les Montagnes
Rocheuses au Canada le 31 août 1909. Il a déterré une des plus impor-
tantes pièces de l'histoire de la paléontologie : les premiers fossiles de créa-
tures vieilles de 530 millions d'années.
57
Comment les fossiles ont renversé l’évolution :
les millions de preuves qui réfutent le darwinisme
58
HARUN YAHYA
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HARUN YAHYA
61
62
63
Des poissons fossilisés vieux de
50 millions d'années
Ce poisson vieux de 50 millions d'années fut fossilisé alors qu'il avalait un autre
poisson, il a été découvert dans la région de Green River au Wyoming, USA.
64
Phareodus encaustus se distingue par sa longue nageoire pectorale et
ses grandes dents acérées, ce qui témoigne de son comportement carni-
vore probable. Ce fossile, vieux de 50 millions d'années, est identique aux
spécimens actuels et c'est un spécimen vraiment étonnant sous tous les
aspects : taille, conservation et préparation.
65
Un fossile d'ours datant de
100 à 300.000 ans
66
Des fossiles de neuroptère vieux
de 65 à 146 millions d'années
On pense que les premiers neuroptères
sont apparus au cours de l'ère
Permienne, il y a presque 300 millions
d'années. L'ordre est très diversifié
aujourd'hui, comprenant des insectes
connus sous les noms communs d'hé-
mérobes, de fourmis-lions et de
mouches-serpents. On a recensé
quelques 4.700 espèces de neuro-
ptères. Ces fossiles sont identiques
aux spécimens actuels.
67
Des fossiles d'insectes datant de
quelques 125 millions d'années,
appartenant à 100 familles et 500
espèces différentes, ont été déterrés
dans la région de Hebei en Chine.
Aucun exemple de variétés aussi
splendides et de détails aussi fins
n’a été vu ailleurs dans le monde
entier. Comme on peut le voir sur la
photo, les détails des ailes sont
extrêmement fins. Les fossiles obte-
nus ici révèlent clairement que les
insectes n'ont subi aucun change-
ment de quelque sorte que ce soit
jusqu'à notre époque.
68
Une mouche-scorpion vieille de
125 millions d'années
Ce membre de la famille des
Mecoptera, âgé de 125 mil-
lions d'années, vient d'Hebei,
en Chine. Celle-ci est une
femelle dont des détails
incroyables ont été conser-
vés dans les ailes, comme
des bandes de couleur. Il
existe un grand nombre de
ces mouches-scorpion
vivant aujourd'hui.
La paléontologie
a déclaré le fait
de la création à
travers les fos -
siles vivants.
69
Les insectes sont bien représentés dans les provinces du Liaoning et de Hebei en
Chine, avec plus de 10.000 spécimens représentant plus de 500 espèces. Certains
de ces insectes, vieux de 125 millions d'années, sont représentés ci-dessous.
70
Une sauterelle verte vieille de
125 millions d'années
Vue rapprochée
71
L'insecte assassin qui mena à la
mort de Darwin
Les fossiles réfutent l'évolution. Ce fait, qui représente
une des difficultés rencontrées par la théorie de Darwin
il y a 150 ans, est maintenant visible pour tous.
72
Une pastenague vieille de
50 millions d'années
73
Un hareng vieux de 50 millions
d'années
Ce hareng, également
découvert à Green River au
Wyoming et datant de
l'Eocène (il y a 50 millions
d'années), possède une
bouche à la structure
unique pour les poissons
se nourrissant en surface.
Ce type de hareng a aussi
été retrouvé dans les
strates du Crétacé en
Amérique du Sud. Après 50
millions d'années, ces
poissons n'ont subi aucun
changement.
74
Les premiers spécimens
vivants de ce fossile de
séquoia âgé de 50 mil-
lions d'années
(Metasequoia) ont été
retrouvés en Colombie
Britannique au Canada.
Ce spécimen est iden-
tique aux séquoias
actuels.
Ce Annularia stellata de
la période Carbonifère,
vieux de 330 millions
d'années, a été déterré en
France. Les formes
vivantes de cette plante
sont appelées des prêles
(queues de cheval).
Cette feuille de
peuplier datant
de l'Eocène,
vieille de 50
millions d'années, a été
découverte à Green
River, en Utah.
75
Un fossile de crevette
vieux de 250 à 270 mil-
lions d'années. Son
exosquelette est compo-
sé d'une longue carapa-
ce qui recouvre complè-
tement le corps. Ce
crustacé de 5 centi-
mètres de long se
retrouve en quantité
dans les océans d'au-
jourd'hui.
78
Une feuille de sumac
vieille de 50 millions
d'années retrouvée à
Green River, au
Colorado.
Ce fossile retrouvé en
Colombie Britannique au
Canada remonte à l'Eocène
(il y a 50 millions d'années).
79
Ce poisson fossilisé, découvert près
de Beskonak à Ankara, en Turquie est
vieux de 14 millions d'années.
80
Ce poisson fossilisé,
connu sous le nom de
poisson aiguille à cause
de sa forme, a été
retrouvé dans la région
de Ramlia Taouz au
Maroc. Agé de 127 mil-
lions d'années, il
remonte à la période du
Crétacé, et est identique
aux poissons aiguille
actuelles.
81
Un fossile d'araignée
vieux entre 11.000 à 1,8
million d'années décou-
vert en Nouvelle Zélande
82
Une salamandre fossilisée, vieille de 161 millions d'années
83
Il n'y a aucune différence entre cette crevette fossilisée vieille de
195 millions d'années et les crevettes actuelles.
Ci-dessus : cet
insecte extrêmement
grand est un éphé-
mère de la période
du Jurassique. Cet
insecte ailé de
l'époque des dino-
saures montre ses
quatre ailes d'une
façon admirable.
84
Une abeille fossilisée de l'époque de l'Eocène (33 à 54 millions d'années)
85
Un autre crabe fossile de l'époque de
l'Oligocène (23 à 38 millions d'années)
87
Un scorpion marin vieux de 410 à 440 millions d'années de
la période du Silurien
88
Les fossiles de plantes
89
Une branche de saule vieille de 35 millions
d'années
Ce fossile d'une feuille d'une
variété de platane retrouvé
près de Kizilcahamam, à
Ankara en Turquie, remonte
à 18 millions d'années. Il
possède exactement les
mêmes caractéristiques que
les feuilles de platanes
actuels.
Un fossile de plante
Alethopteris, âgé de
300 millions d'années,
et ses homologues
actuels
90
Un arbre à écailles fossilisé vieux de
270 à 345 millions d'années
91
Cette plante,
Senftenbergia plumosa,
est constituée de
feuilles composées,
divisées, et remonte à
la période du
Carbonifère (il y a 300
millions d'années).
92
La fougère est une plante d'aujourd'hui qui
pousse jusqu'à 6 mètres de hauteur.
Quercus hispanica
Ce spécimen fossile d'un chêne qui
vivait il y a quelques 145 millions Cette fougère, fossilisée dans la
d'années est identique aux chênes roche, est parfaitement conservée
actuels. (300 millions d'années).
93
Un fossile de feuille de liqui-
dambar, vieux d'environ 55 mil-
lions d'années. Ces arbres
poussent généralement jusqu'à
25 mètres et ce sont les fos-
siles vivants les plus célèbres
dans le monde d'aujourd'hui.
La plante Sphenopterid
avec ses feuilles ressem-
blant à celles des fou-
gères, possède une struc-
ture complexe. Elle n'est
pas différente des plantes
actuelles, et les feuilles
sont très clairement
visibles. Ce spécimen
remonte à la période du
Carbonifère (290 à 325
millions d'années).
94
Ces plantes – ayant survécu jus-
qu'à nos jours sans avoir subi le
moindre changement au cours de
millions d'années – sont les
preuves les plus importantes qui
réfutent la théorie de l'évolution.
Fossile de pollen
très agrandi
95
Des dizaines de milliers de fossiles piégés
dans de l'ambre réfutent l'évolution
Un des environnements dans lequel les fossiles sont le mieux conservés est
l'ambre. De la sève claire s'écoule de différents types d'arbres et conifères,
engloutissant des êtres vivants et les conservant sous leur forme originelle. Et
de tels "instantanés en dehors du temps" révèlent un fait très important : les
êtres vivants n'ont subi aucun changement après des millions d'années. En
d'autres termes, ils n'ont jamais subi d'évolution.
Des dizaines de milliers de fossiles inclus dans de l'ambre montrent que les
termites ont toujours été des termites. Que les fourmis ont toujours été des
fourmis, que les grenouilles ont toujours été des grenouilles, que les serpents
ont toujours été des serpents, les papillons toujours des papillons et les mites
toujours des mites. En bref, les êtres vivants ont toujours existé sous les
formes qu'ils affichent de nos jours, avec exactement les mêmes caractéris-
tiques. Il n'y a pas de différence entre les êtres vivants conservés dans l'ambre
il y a des millions d'années et leurs homologues actuels.
Une mouche,
Dolichopodidae et une toile
d'araignée
De l'ambre baltique, vieux
de 50 millions d'années
Quelquefois les insectes
attrapés dans les toiles
d'araignées sont piégés
dans de l'ambre. Cette
mouche, cependant, semble
être libérée de la toile.
100
Comme on peut le voir à partir de cette grenouille fossile âgée de 90 à
94 millions d'années, les grenouilles dans l'ambre sont les mêmes
que leurs homologues actuels.
101
De l'ambre baltique vieux de 35 à 50
millions d'années
Une mouche à
fruit, Diptera,
vieille de 35 à 50
millions d'années
Une mouche à
longues pattes,
Diptera, vieille de
35 à 50 millions
d'années
102
Une guêpe,
Hymenoptera, vieille
de 35 à 50 millions
d'années
Une fourmi,
Hymenoptera,
Formicidae, vieille de 35
à 50 millions d'années
103
Une mouche à
fruit, Diptera,
vieille de 35 à 50
millions d'années
Un scarabée,
Coleoptera, vieux
de 35 à 50 millions
d'années
104
Un scarabée,
Coleoptera, vieux
de 35 à 50 millions
d'années
Une mouche à
fruit, Diptera,
vieille de 35 à 50
millions d'années
Une guêpe,
Hymenoptera,
vieille de 35 à 50
millions d'années
105
Une mouche à fruit,
vieille de 35 à 50 millions
d'années
Un hétéroptère,
vieux de 35 à 50
millions d'années
Une mouche à
longues pattes,
Diptera, vieille de
35 à 50 millions
d'années
106
Les êtres vivants fossilisés apparaissent entièrement
formés et parfaits, sous la même forme que les spé-
cimens actuels. Afin de vérifier leur théorie, les
tenants de la théorie de l'évolution doivent nous
montrer comme preuve des milliards de formes inter-
médiaires qui devraient exister dans les archives fos-
siles. Mais ils sont incapables de soumettre le
moindre exemple d'une forme intermédiaire.
Une chenille,
Lepidoptera, vieille
de 35 à 50 millions
d'années
Une araignée,
vieille de 35 à 50
millions d'années
107
Un scarabée,
Coleoptera, vieux
de 35 à 50 millions
d'années
Un diptère, vieux
de 35 à 50 millions
d'années
108
Une mouche à
longues pattes,
vieille de 35 à 50
millions d'années
Un moucheron,
vieux de 35 à 50
millions d'années
109
De l'ambre baltique vieux de 35 à 50
millions d'années
Une araignée,
vieille de 35 à 50
millions d'années
Un trichoptère
avec une larve,
vieux de 35 à 50
millions d'années
110
Un trichoptère,
vieux de 35 à 50
millions d'années
Un scarabée, vieux
de 35 à 50 millions
d'années
111
Un diptère, vieux
de 35 à 50 millions
d'années
Un diptère, vieux
de 35 à 50 millions
d'années
112
Une mouche à fruit,
vieille de 35 à 50 mil-
lions d'années
Un scarabée, vieux
de 35 à 50 millions
d'années
Un scarabée, vieux
de 35 à 50 millions
d'années
113
Une araignée, vieille
de 35 à 50 millions
d'années
Un diptère, vieux
de 35 à 50 millions
d'années
114
Un moustique dans de l'ambre dominicain, vieux de 14 à 23 millions d'années
115
Un Archaeognatha dans de l'ambre baltique, vieux de 23 à 54 millions d'années
118
Une tipule, vieille
de 35 à 50 millions
d'années
119
De l'ambre baltique vieux de 35 à 50
millions d'années
121
Un scarabée, vieux
de 35 à 50 millions
d'années
Un diptère, vieux
de 35 à 50 millions
d'années
122
Une araignée, vieille
de 35 à 50 millions
d'années
Une mouche de la
famille des
Empididae, vieille de
35 à 50 millions
d'années
123
Un termite, vieux de
35 à 50 millions
d'années
124
Une larve de mite parasite sur une mouche à longues pattes
(Diptera Dolichopodidae)
125
Un grillon,
Orthoptera, dans de
l'ambre dominicain
vieux de 24 millions
d'années
127
Le darwinisme : religion la plus tordue de l'histoire
Les abeilles, les sauterelles, les moustiques, les mouches, les mouche-
rons – tout le monde est familier de ces insectes ainsi que d'autres
espèces similaires. On rencontre souvent ces créatures minuscules
dans les jardins, dans la rue et même dans les maisons. Ces insectes
minuscules sont restés inchangés pendant les dernières 200 millions
d'années. Les évolutionnistes affirment que ces créatures ont dû se
transformer en des formes étranges et inhabituelles au cours d’un pré-
tendu processus évolutionnaire. Mais cela ne s'est jamais produit, et les
fossiles vivants sont une preuve claire de cela.
Si cela s'était réellement passé – si partout les archives fossiles étaient
pleines de formes intermédiaires… Si ces fossiles vivants avaient conti-
nué leur développement, comme l'affirment les évolutionnistes, alors
ceux-ci n’auraient pas manqué de publier des livres entiers remplis de
preuves confirmant de tels faits. Et ils auraient affirmé que ces spéci-
mens représentent des preuves irréfutables pour leur théorie. Pourtant,
ils sont silencieux face au fait que ces millions de preuves confirment
non pas l'évolution, mais la création instantanée.
Il y a des millions de preuves claires de la création. Que des gens obs-
tinés continuent de les ignorer pour apporter un soutien fanatique au
darwinisme, cette religion illogique, la plus primitive et la plus tordue de
l'histoire, est un phénomène des plus étonnants. Les générations
futures en seront stupéfaites.
Une tipule, vieille
de 35 à 50 millions
d'années
Un diptère, vieux
de 35 à 50 millions
d'années
130
Ô hommes ! Adorez votre Seigneur, qui vous a
créés vous et ceux qui vous ont précédés. Ainsi
atteindriez-vous à la piété.
(Coran, 2 : 21)
131
Une guêpe dans de
l'ambre dominicain,
vieux de 24 millions
d'années
132
Une termite ailée, vieille de 24
millions d'années
133
Un insecte fossile de la République
Dominicaine, vieux de 5,3 à 23,8 millions
d'années
AMBRE DOMINICAIN
134
Un insecte fossile d'Afrique, vieux de
1,8 à 5,3 millions d'années
AMBRE AFRICAIN
135
Des insectes fossiles dans de l'ambre dominicain…
AMBRE DOMINICAIN
136
… vieux de 5,3 à 23,8 millions d'années
AMBRE DOMINICAIN
137
Un insecte fossile de 25 millions
d'années dans de l'ambre
138
Un ambre vieux de 25 millions d'années
139
Une mante fossile dans de l'ambre,
vieille de 25 millions d'années
Une termite fossile dans de l'ambre,
vieille de 25 à 30 millions d'années
141
Un lézard de 30 millions
d'années dans de l'ambre
t
Une plume de 20
millions d'années
dans de l'ambre
143
t
Cette araignée fossile, conservée avec son propre sang dans l'ambre
dont l’âge est estimé à environ 20 millions d'années, représente une des
découvertes les plus importantes de ce nouveau siècle. Une déclaration
faite par l'Université de Manchester a annoncé que l'araignée, de 4 centi-
mètres de long et de 2 centimètres de large, n'était en aucun cas différen-
te des araignées d'aujourd'hui. On espère que le sang de l'arachnide,
conservé dans l'ambre avec l'araignée, puisse être utilisé pour extraire
l'ADN de l'animal – ce qui prouverait que l'araignée n'est pas différente de
ses homologues actuelles.
145
La Terre contient un grand nombre d'espèces très différentes.
Ces êtres vivants sont équipés de caractéristiques complexes
qui éliminent entièrement le darwinisme. Les darwinistes sont
incapables d'expliquer cela, et les fossiles d'êtres vivants qui
étaient parfaitement formés il y a des millions d'années les font
patauger dans leurs discours. Les fossiles vivants qui remon-
tent à des millions d'années révèlent que la vie n'a jamais évo-
lué, et que la théorie de l'évolution est infondée. Les êtres
vivants, avec toutes leurs propriétés complexes et leurs carac-
téristiques uniques propres à leur espèce, sont des miracles
créés par Dieu, il y a des millions d'années, et ils restent les
mêmes aujourd'hui.
De l'ambre dominicain vieux de
24 millions d'années
149
Un pseudoscorpion, vieux de
24 millions d'années
Un lézard de La Torca, en
République Dominicaine, une
larve et plusieurs mouches
150
Une fleur de 130 millions d'années dans
de l'ambre libanais
151
De l'ambre baltique vieux de 35 à 50
millions d'années
152
Une fourmi, vieille de 35 à 50
millions d'années
154
Des insectes identiques à ceux emprisonnés
dans l'ambre vivent toujours aujourd'hui.
155
es
nné
d'a
ns
illio
m
40
à1
10
de1 Des fossiles dans de l'ambre libanais,
ux
Vie
datant de 110 à 140 millions d'années
156
Vie
ux
de
11
0à
14
0m
illi
on
sd
Des fossiles dans de l'ambre libanais, 'an
né
es
157
es
nné
d'a
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40
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de1 Des fossiles dans de l'ambre libanais,
ux
Vie
datant de 110 à 140 millions d'années
158
Vie
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ns
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nn
Des insectes identiques à ceux emprisonnés ée
s
159
es
nné
d'a
ns
illio
0m
14
0à
11
ux
de Des fossiles dans de l'ambre libanais,
Vie
datant de 110 à 140 millions d'années
161
Dieu, qui a créé toutes les choses à partir du néant, a le pouvoir de
créer chaque être vivant, avec les caractéristiques les plus com-
plexes et sublimes, au moment et sous la forme qu'Il choisit. Le
darwinisme s'est effondré face à cette vérité.
Des fossiles dans de l'ambre vieux de 20 à
25 millions d'années
164
Les mouches à fruit sont
communes aujourd'hui et
elles l'étaient également
dans les forêts d'ambre
tropical il y a des millions
d'années. Cette inclusion
vieille de 20 à 25 millions
d'années montre une
bonne conservation des
détails structurels comme
les pattes, les ailes et les
yeux composés.
165
De l'ambre baltique
vieux de 40 millions
d'années contenant une
mouche minuscule
166
Une mite fossile
très petite dans
de l'ambre bal-
tique, vieille de
35 à 50 millions
d'années
167
Un petit scarabée fossile datant Un solifuge dans de l'ambre
de 20 à 25 millions d'années. dominicain de 20 à 25 millions
Les détails corporels externes d'années
sont particulièrement bien
conservés.
168
Une mouche à longues pattes Une araignée et une mouche fos-
dans de l'ambre baltique vieux de silisées remontant à 20-25 mil-
35 à 50 millions d'années lions d'années. L'araignée est le
prédateur et la mouche sa proie.
169
Un scorpion dans de l'ambre dominicain, mesurant plus de 4 cen-
timètres, et vieux d'environ 15 à 20 millions d'années. Ce scor-
pion a perdu ses pinces et sa tête mais le reste est très bien
conservé. Il n'est pas du tout différent de ceux vivant aujourd'hui.
170
Une grenouille minuscule dans de l'ambre
vieux de 25 millions d'années
171
Dieu est le Seigneur et le Créateur de tous les êtres vivants. Les
darwinistes refusent ce fait et ignorent que les caractéristiques
parfaites de ces êtres vivants révèlent le fait de la création.
Cependant, la paléontologie et les caractéristiques complexes des
êtres vivants n’indiquent qu’une seule vérité, à savoir que les êtres
vivants sont tous la manifestation du pouvoir et de la puissance
suprêmes de Dieu.
Différents insectes fossiles dans l'ambre
174
Une cloporte fossile dans l'ambre
175
Un phasme dans l'ambre
176
Une mante fossile dans l'ambre
177
De l'ambre baltique vieux de 35 à
50 millions d'années
179
Une mouche Caddis,
deux mouches, une
araignée mangeant
l'une des mouches,
une mite, un élatère,
vieux de 35 à 50 mil-
lions d'années
Une mite, vieille de 35 à Deux mouches, vieilles de Une fourmi ailée, vieille de
50 millions d'années 35 à 50 millions d'années 35 à 50 millions d'années
181
Un scorpion (amblypyge) âgé d'environ 24 millions d'années
dans de l'ambre dominicain
La théorie de
Cet ambre vieux de l'évolution c’est
50 millions d'années de l'histoire, et
contient d'innom-
brables créatures. les fossiles
vivants sont les
plus grandes
preuves de cela.
186
Une araignée
fossile très bien
conservée, de
quelques milli-
mètres de long,
vieille de 50 mil-
lions d'années
Une araignée
fossile, vieille
de 50 millions
d'années
Un scarabée
fossile, vieux de
50 millions
d'années
187
Un nid d'abeilles avec
des nymphes, de 5 à 24
millions d'années
De l'ambre
dominicain vieux
de 5 à 24 millions
d'années
188
De l'ambre baltique vieux de 40 à
50 millions d'années
Une mouche
Caddis, vieille de
40 à 50 millions
d'années
189
De l'ambre baltique vieux de
50 millions d'années
190
Deux mouches fossiles (Diptera),
dans un morceau d'ambre,
vieilles de 50 millions d'années
Deux mouches
fossiles,
Diptera, vieilles
de 50 millions
d'années
191
Une araignée fossi-
le, Araneae, remon-
tant à 50 millions
d'années, est iden-
tique aux araignées
actuelles.
192
Un psoque fossile, Psocoptera,
vieux de 50 millions d'années
Une punaise fossile, Heteroptera,
vieille de 50 millions d'années
193
Un papillon fossile, Lepidoptera, vieux de 50 millions
d'années
194
Ces êtres vivants
n'ont pas du tout
changé au cours
des millions
d'années.
Deux mouches
fossiles,
Diptera, vieilles
de 50 millions
d'années
195
Une fourmi fossile, Formicidae, vieille de 50 millions d'années
Aucun processus
tel que l'évolution
n'a jamais eu
lieu.
196
Une tipule, vieille
de 50 millions
d'années
197
Une mouche fossile, Diptera, vieille de 50 millions d'années
198
Une mouche fossile, Diptera, vieille de 50 millions d'années
Un psoque fossile,
Psocoptera, vieux de 50
millions d'années
199
Une mouche fossile, Diptera, vieille de 50 millions d'années
Un scarabée fossile,
Coleoptera, vieux de 50 mil-
lions d'années
200
Ces êtres vivants
font partie de
ceux que l'on voit
tout le temps
dans nos jardins
ou dans la rue.
Une fourmi fossile, Formicidae,
vieille de 50 millions d'années
201
Chaque fossile
caché dans un
morceau d'ambre
est une manifesta-
tion de l'art sublime
affiché par Dieu au
Un scarabée fossile, Coleoptera, vieux fil de millions
de 50 millions d'années
d'années.
202
Une mouche fossile,
Diptera, vieille de 50
millions d'années
203
Un scarabée fossile,
Coleoptera, vieux de
50 millions d'années
206
Une mouche
fossile, Diptera,
vieille de 50 mil-
lions d'années
Un Hymenoptera
fossile, vieux de
50 millions
d'années
207
Pas le moindre
exemple de forme
intermédiaire n'a
été découvert
parmi les décou -
vertes de fossiles.
Un scarabée fossi-
le, Coleoptera,
vieux de 50 millions
d'années
210
Trois mouches
fossiles, Diptera,
vieilles de 50 mil-
lions d'années
Un scarabée fossile,
Coleoptera, vieux de
50 millions d'années
211
Une mouche fossile, Diptera, vieille de
50 millions d'années
212
Une araignée fossile, Araneae, vieille de 50 millions d'années
215
Une araignée fossile, Araneae, vieille de
50 millions d'années
Un moucheron et un grand
nombre de mites, vieux de
50 millions d'années
220
Une araignée fossile, vieille
de 50 millions d'années, et
une vue grossie de l'ambre
(en haut)
221
Aucun être vivant n'a jamais subi la moindre trans-
formation évolutionnaire, en dépit de ce que Darwin
a affirmé et de ce que ses partisans soutiennent.
Les fossiles vivants réfutent l'évolution sans appel.
222
Une termite ailée vieille de 24 millions d'années
223
Une mouche à fruit
femelle, vieille de 50
millions d'années
Ces créatures, qui vivaient sur Terre il y a des mil-
lions d'années dans les conditions de l'époque, ont
survécu inchangées jusqu'au temps présent. Des
millions de générations se sont succédées dans l'in-
tervalle, mais ces espèces fossiles sont identiques à
leurs homologues actuels. L'évolution via "la survie
du plus fort" comme affirmé par Darwin et ses parti -
sans n'a jamais eu lieu. Tous les fossiles vivants
actuels démontrent clairement le concept de la
stase dans l'histoire de la vie.
Les papillons de nuit sont restés inchangés pendant des millions d'années.
Ce papillon de nuit fossilisé dans l'ambre en est une preuve.
225
Un hémérobe (Neuroptera)
226
Un éphémère
dans l'ambre
Les éphémères
ne vivent pas
longtemps, ils
vivent de
quelques heures
à plusieurs jours.
A droite : un
éphémère piégé
dans l'ambre.
227
NOTES
1. Robert L. Carroll, Patterns and Processes of Vertebrate Evolution, Cambridge University Press, 1997, p. 9
2. Pierre Grassé, Evolution of Living Organisms, New York, Academic Press, 1977, p. 82
3. Charles Darwin, The Origin of Species, p. 179
4. Ibid., p. 172
5. Duane T. Gish, Evolution: Fossils Still Say No, CA, 1995, p. 41
6. David Day, Vanished Species, Gallery Books, New York, 1989
7. T. N. George, "Fossils in Evolutionary Perspective," Science Progress, Vol. 48, January 1960, p. 1
8. N. Eldredge and I. Tattersall, The Myths of Human Evolution, Columbia University Press, 1982, p. 59
9. Robert G. Wesson, Beyond Natural Selection, MIT Press, Cambridge, MA, 1991, p. 45
10. Science, July 17, 1981, p. 289
11. Eldredge and Tattersall, The Myths of Human Evolution, pp. 45-46
12. S. M. Stanley, The New Evolutionary Timetable: Fossils, Genes, and the Origin of Species, Basic Books Inc.
Publishers, N.Y., 1981, p. 71
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14. Niles Eldredge, Reinventing Darwin: The Great Evolutionary Debate, [1995], phoenix: London, 1996, p. 95
15. Niles Eldredge, Time Frames: The Rethinking of Darwinian Evolution and the Theory of Punctuated Equilibria,
Simon & Schuster: New York, 1985, pp. 188-189
16. Stephen Jay Gould, Lecture at Hobart & William Smith College, 14/2/1980
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tion.cnn.com/TECH/science/9809/23/living.fossil/index.html
22. "Evolution: Living Fossils," http://www.straight-talk.net/evolution/living.htm
23. Wesson, Beyond Natural Selection, 1991, MIT Press: Cambridge MA, 1994, reprint, pp. 207-208
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28. "Living Fossils", Discovery Education, http://school.discovery.com/lessonplans/programs/livingfossils/
29. David Catchpoole, "'Living Fossils' Enigma,"
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30. Lynn Dicks, "The Creatures Time Forgot," New Scientist, 23 October 1999
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36. Dicks, "The Creatures Time Forgot," New Scientist, 23 October 1999
37. Niles Eldredge, Fossils: The Evolution and Extinction of Species, Princeton University Press, New Jersey, 1991,
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38. Phillip E. Johnson, Darwin On Trial, Intervarsity Press, Illinois, 1993, p. 27
39. Darwin, The Origin of Species, p. 66
40. Gerald Schroeder, "Evolution: Rationality vs. Randomness",
http://www.geraldschroeder.com/evolution.html