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LA CARTE FUTURE
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LA CROIX DE MISÈRE
LA CROIX DÉ MISÈRE
Terramteuebrosam et opet«
tara mortls callglnoe,terfàm
miser!» et tenebraruraubi
umbramortlset nullusordo,
sed 8emptternu8 horrorInha*
bitftt.
JOB,
LE FESTIN
. m
LE FESTIN
L'EMBARQUEMENT
POUR CYTHÈRE
IV
Nulladiscrélioinlcr ca(la-
vera mortuorumntsi forlo
quodgraviusfoelcntdivitum
corpora,luxurildistenla,
SAINTAVBROISE.
LE VERRE D'EAU
VI
LE VBRÎIE D/EAtJ
te et
j)jeinpn,i spiiiije te-vitenjo <teQfisM» «»-
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?#?$ jte te iîènftë pre(pe et <|u;bpn suffraflo.
fiepeji^nt on/a/bpau Y^f §t §avP!r>«i'ost'in-
spit chré-
G8fW(to#te 9f Mrpappwft QJÎ'P»
jipn. oji ftîjp^teur! ?*ffip|psi1}psi ipr<8itëpvqM&. _
iiu'pn'nq ppn^o p&s S'te prij nqn p}up cjuli>
pp*%t (PRJNMQ <\frçnjPc&ror «JHÎa pr(ScÊfte
)ft vjp, f flous, n'&vtms rjon qppprte; cfons ço
Q( figfc npus n'en nqtjVQns
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rien emporter ». TQ)ggf lg îqx{,e <jupje nç
LBB-MÉtil.Bd MONDAINS
Losprêtressontdevenusdes
M\juiï ÛWpWilt
LAteB VilMfc.
CEUX çpue&wr
IX
Je mesuisdemandésouvent
quellepouvaitêtrela différence
entrela charitéde tantdechré-
tiens et la méchanceté desdé-
mons.
LA CASSETTE DE PANDORE
LÀ (SÀSBËtïft M ^AMbÔftË
BRIGADIER,VOUS AVEZRAISON.
Chàniàhc'onMè.
- K'ésUotfhtt mohsïciir,
gue je ressemble& Marie-
Ântoinette?
- t)ûi,midarno,lebdlrtrefcU
s'y tromperait.
LA DÉRISION HOMICIDE
XI
LA DÉRISION HOMICIDE
—Nousne pouvonsrien
pour la personnerecom-
mandée.Lobudgotdonotre
charitéestbouclé.
Unmonsieurdansle*auvres,.
ièSSlhït^
Sert la vte tm dbijHaWil;psWibpâflad!ia^
'
Épgftfil?OP/PM:ftlîoru>r ajx fprrps nftuvel(e^
AUXCOLONIES
JÉSU8-i;illUST 120
à moins qu'il no fut certainement chrétien,
alléguant le but véritable do cotte entropriso,
qui étaU <l'accroissement et la gloiro do la reli-
gion chrétienno i. On vida pour lui les prisons
et les galôros. Ce furent des oscrocs, dos par-
jures, des faussaires, des voleurs, des proxé-
nètes et des assassins qu'on chargea de porter
aux Indes l'exemple des vertus chrétiennes.
Lui-même fut accusé de tous les crimes et la
hideuse crapule qu'on lui envoyait fut admise
a témoigner contre cet angélique Pasteur qui
voulait défendre son troupeau, et dont le
principal forfait avait été d'attenter à la liberté
du pillage et de 1'égorgement.
Il fut enfin dépossédé, exproprié de sa mis-
sion et, pendant plusieurs années, put assister,
lié et impuissant, a lefdestruction de son oeuvre.
Ses illégitimes et cupides successeurs rempla-
cèrent aussitôt la Paternité par l'Ergastule et
l'évangélisation pacifique;par le cruel système
dadrëpartimientos, qui fut l'arrêt de mort do
ces,pejiiplos infortunés.
Telle fut l'aurore des colonisations euro-
péennes dans les temps modernes. Bien de
o
130 ' DUPAUVRE
; tB SANO
changé depuis quatre siècles. L'unique diffé-
rence ~ fort appréciable, il est' vrai — o'est
qu'à l'époque précise de la découverte du Nou-
veau Monde,Il y eut un homme, grand comme
les Anges, immolé par la multitude des
canailles et qu'aussitôt après lui, il n'y a plus
~
.eu que des canailles.
Ahl l'évangélisation des sauvages, la dilata-
tion etraccroissemerit en eux de l'Église, choses
voulues si passionnément pat le Christophore,
que nousi en sommes loin! !%s même un
semblant d'équité rudimentaire, pas un tres-
saillement de pitié seulement humaine pour
ces malheureux. C'est à trembler de la tête aux
pieds de se dire que les belles races améri-
caines, dû Chili au nord du Mexique, repré-
sentées par plusieurs dizaines de millions
d'indiens, ont été entièrement exterminées, en
moins d'un siècle, par leurs conquérants
d'Espagne. Ça o'est l'idéal qui nb pourra jamais
être imité, même par l'Angleterre; si colonisa-
trice pourtant. —' -
""Il y a des moments où ce qui se passe est
a faire vômirjes volcans. On l'a vu, à la Marti-
AUXCOLONIES
JESUS-CHRIST 131
RIEN SAVOIR
XIII
te bourreauestla pierre
angulairede l'édificesocial.
JOSBPB »BMAISTRB.
LE PETIT ROI
LE PETIT ROI
Kt faot»lunt tçnebr*hor-
rlbllcs,
MP¥M.
LE SYSTÈME DE LA SUEUR
SYSTBM)
(SWHATiNO
XVI
LE SYSTÈME DE LA SUEUR
(BWBAtlNO
6V8TKN)
J'Il toujoursétéfrappédol'air
vénérabledesvieuxforçats.
Juiû VAÏLII.
Ko85,Il yavatl,&Meudott, uno
tannerie de peaux humaine»,
déliés des femmes n'étaient
presque bonnes a Men,étant
d'un tissu troptendre.
MoNTOAtLLARD.
LE COMMERCE
XVII
LE GOMMEUGE
lo gardlo»domonfrèro?
SuJs-Jo
CAÏN.
13
xvin
Arrête-toi,nuagesauvage,arrête.
Etdis-moid'oùtu vienset où tu vas.
Pourquoies-tusi sombre,si lourdet si noir?
J'ai peur de toi, tu effraiesmonànie. i
Peut-êtreportes-tuen toi
la vieillepatience,qui bientôt
K'-latera,sanglanteet sauvage.
DUSAINT
L'AVOUhi SKPULCIIR 199
Mais,commema tête était levéevers lo ciel,
Tout&coup unogouttetombadu nuage;
Unegoutteamôrotombadans ma bouche,—
Amère,plus amère quo la bile.
Et il me semble,frères —j'en suis mômesûr,
Oh! oui,oui,quec'estunelarmejuive, unolarmede sang
Unelarmojuive, —quo c'estaffreux!
Elle m'aarrachél'âme et je perds la têto.
Unelarmejuive, monDieuI jo mo perds, —
Maisc'est un mélangede tiel, de cerveauet de sang,
Unelarmejuive I —je l'ai reconnuede suite.
Elle sent la persécution,le malheuret le pogrom'.
La larmejuive, oh I je sens danscette odeur
L'affreuxblasphèmede douxmille ans...
La larmejuive... Maintenantje comprends
Quellesortode nuage c'était.
des Juifs.
1. Mutisuciu
200 j,lî SANG
DUI'AUVHK '
Chezeux, danscessacs,—voyez-vous ? —-
Setrouvele trésordu monde,-.- leurThoral—
Commentpeut-ondire qu'unetellenationest pauvre?
Unpeuplequi traversela nuit etles tombeaux;
Quisaitpasserpar l'horreur,par le feuet par la mort,
Poursauverce qui lui est saintet cher?
Unpeuplequi sait résisterà tantde malheurs;
Quisait tantsouffriret tantdonnersonsang; ,
Quiné craintrien et nocraint personne;
Qinrisquesa viepourquelquespauvresfeuilles.
Unpeuplequi baignetoujoursdans les larmes;
Quechacunfrappeet torture avecjoie;
Quierre desmilliersd'annéesdansles déserts,
tëfh'apas encoreperducourage?
Pourprononcerle nomd'un pareilpeuple,
Il vousfautessuyervoslèvres.—Agenouxdevantlui,nations!
DUSAINT
L'AVOUÉ SIÎPULCHB 201
Celui qui parle ainsi est, aux yeux du monde,
'
un pou moins qu'un ver. Mais il a misou inli-
nimont ot Dieu lui-mômo n'a pas pu mioux
diro. Los Juifs sont les aines de tous et, quand
les choses seront à leur place, leurs maîtres
les plus tiers s'estimeront honorés do lécher
leurs pieds de vagabonds. Cur tout leur est
promis et, en attendant, ils font pénitence
pour la terre. Le droit d'aînesse no peut être
annulé par un châtiment, quelque rigoureux
qu'il soit, et la parole d'honneur de Dieu est
immodiliablo, parce quo « ses dons et sa voca-
tion sont sans repentance ». C'est le plus
grand des Juifs convertis qui a dit cela et les
chrétiens implacables qui prétendent éterniser
les représailles du Craoifigutur devraient s'en
souvenir. « Leur crime, dit encore saint
Paul, a été le salut des nations ». Quel peuple
inouï est donc celui-là à qui Dieu demande
lu permission de sauver le genre humain,
après lui avoir emprunté sa chair pour
mieux-souffrir? Est-ce à dire que sa Passion
ne le contenterait pas, si elle ne lui était
pas infligée par son bieu-aimé et que tout
202 ' DUPAUVnB
LESANG" ,
autre sang que celui qu'il tient d'Abraham ne
serait pas efficace pour,laver les péchés du
monde?
Assurément Rosenfold, qui n'était qu'un
ouvrier fort ignorant, ,ne devait pas avoir lu
saint Paul que ne lisent guère les Juifs. Mais
son génie do poète et le sens profond de sa
Race lui faisaient assez entrevoir ces choses.
Aussitôt qu'il commença de chanter, sa place
fut— je l'ai .dit en commençant — à la droite
du Tombeau de Jésus-Christ. Sans le savoir,
il continua les Affirmations impérissables de
l'Apôtre des nations et, n'ayant jamais été
poète que pour les pauvres, il se trouva
— dans le sens le plus mystérieux — l'Avoué
du Saint Sépulcre, jroi sans couronne ot sans,
manteau de la poésie de ceux qui plouront,
sontinollo pordue au Tombeau du Dieu des
pauvres biouheureusement immolé par ses
ancôtros. Alors, par la soûle forco dos lois
adorables son judaïsme fut dépassé, débordé
de tous los côtés par le sentiment d'une con-
fraternité universelle avec les pauvres ot los
souffrants de toute la terre.
L'AVOUE
DUSAINT
8BMJLCRB 203
Son vagabondago perpétuel, vraiment hé-
breu, l'y prédisposait,
Sous le règne d'Aloxandro III ot do son
ministre Ignatief, la situation des Juifs en
Russie no fut plus tenable. Outragés, chassés
massacrés, le sauvage empire leur était devenu
un enfer. Rosenfold prit on main lo bâton de
la vie errante et partit.
« Pondant quatro ans », dit un de ses admi-
rateurs S « les vents le chassèrent d'un lieu a
l'autre ; pendant quatro ans, chaque flot de la
misère l'engloutissait ot lo rejetait ensuite pour
le laisser à la merci d'un autre flot ; pendant
quatre ans il fut secoué par une sorto do fièvre
qui n'existe que chezle peuple juif, la recherche
d'un foyer, Cette impitoyable fièvre qui,
depuis vingt siècles, ne laisso pas de repos aux
enfants d'Israël; cette vie de chien vagabond,
sans droits ot sans estimo, sans pays et
sans espoir, marchant, marchant toujours, de
rOriont a l'Occidont et du Nord au Midi, fran-
chissant dos montagnes et traversant des
1. KAtNSILUfck-IU:su.
Couft'Tciieo
au groupedes étudiants
Juin1006.
sionistesdoMontpellier.
'
204 DUJPAUYRB
LU;SANG
Océans» priant et criant, pleurant et luttant,
celto vie ignoble et inique, on peut dire que
notre poète l'a bien conituo».
Dans son ode Sur le sein de l'Océan> doux
Juifs à qui on a refusé l'entrée do l'Amérique
retournent en Europe :
Quiêtes-vous,malheureux,dites-moi,
Vousqui pouvezimposersilence&la plus terribledétresse,
Vousqui n'avezni sanglotsni larmes
Auxportesmémodo l'affreuseMort?
—Nousavionsun logis,maison Ta détruit,
On a brûléce qui nousétaitle plus sacré;
Onafait,despluschérisetdesmcillcurs,desmonceauxd'osseraonts.
Lesautresont été emmenés,tes mainsliées.
<t
XIX
Laconstellation
duPetitChienn'est*
ellopas dansl'hémisphèro
nis;rai?
i. LÉON tu Femme
BLOÏ, paume,
LESDEUX
CIMETIÈRES 215
Iota urium.
ÉvangileselonSaintMatthieu,
itômm 4»W.
Fêtede?Annonciation,
tABLÈ
L'Hnlhli 9
LeSangdu Pauvro 21
I. —LaCartefuture. . 27
II. - LaCroixdeMlsèro 31
III. - LeFestin «
IV. —L'Embarquement pourCythcw...... 53
V. —Le Désirdes Pauvres. . . Ôi
VI. - LeVerrod'Eau. H
VII. - LesAmisdeJob W
VIII. —LesPrclrcsmondains....» SI
IX, —Ceuxqui paient.............. 91
X. —La Ca6selle de Pandoro,......... 101
XI. —LaDérisionhomlcldo. 1H
XII. - JésUB-Chrtst
auxColonies. 123
XIII. —Ceuxqui ne veulentrlctisavoir..... 133
XIV.- Lo petitîlol 149
XV.- LeséternellesTénèbres 159
XVI.- LoSystèmodo la Suour(Swoallng System) 161
XVII.- LoCommerce 181
XVIII.- L'Avoué du ?«'"»«M*«IA« ., 193
XIX.- LesdouxCln 209
Conclusion...... ...... 221
— IMP—
K.onfivm 8't932.
L'Hallali
Le Sang du Pauvre
I. - La Carte future
II. - La Croix de Misère
III. - Le Festin
IV. - L'Embarquement pour Cythère
V. - Le Désir des Pauvres
VI. - Le Verre d'Eau
VII. - Les Amis de Job
VIII. - Les Prêtres mondains
IX. - Ceux qui paient
X. - La Cassette de Pandore
XI. - La Dérision homicide
XII. - Jésus-Christ aux Colonies
XIII. - Ceux qui ne veulent rien savoir
XIV. - Le petit Roi
XV. - Les éternelles Ténèbres
XVI. - Le Système de la Sueur (Sweating System)
XVII. - Le Commerce
XVIII. - L'Avoué du Saint Sépulcre
XIX. - Les deux Cimeti
Conclusion