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61, bd Saint-Germain
75240 Paris Cedex 05
www.editions-eyrolles.com
La Négociation en entreprise
L'influence
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0
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En application de la loi du 11 mars 1957, il est interdit de reproduire intégra
lement ou partiellement le présent ouvrage, sur quelque support que ce soit,
sans autorisation de l' éditeur ou du Centre français d'exploitation du droit de
copie, 20, rue des Grands-Augustins, 75006 Paris.
GUNDULA WELTI
La vente
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EYROLLES
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Sommaire
Ier 6oÎr
L'histoire de Carlos le serveur
ou le pouvoir de la confiance.......................................... 9
2e 6oir
L'histoire du club de vacances
/
ou //'nt,
ere
At auth ent•1que ................................................ .
. 17
3e 6oir
L'histoire de la marathonienne
ou le principe de la compétence .................................... 25
4 e 6oir
L' histoire de Ben Duffy
ou le principe de /'empathie........................................... 31
Se 6oir
L'histoire de la serveuse
Vl ou la différence entre savoir-faire et savoir-être ............. 39
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>
w
N
6 e 6oir
......
0 L'histoire du trapèze
N
@ ou comment la proaetivité vous donne un coup d'avance 47
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Ol
7e 6oir
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>
a.
0
u
L'histoire du swing
ou le principe de /'intentionnalité ................................... 55
Be 6oir
L'histoire de l'achat du paréo
ou la naissance du besoin chez /'acheteur..................... . 63
5
Histoires du soir pour business(wo)men débordés!
9e 6oir
L'histoire de la soirée de gala
ou comment faire naître le besoin chez le client............ 71
fOe 6oir
L'histoire du langage codé
ou comment lire les signaux envoyés par le client ......... 81
fie 6oir
L'histoire du mur rouge
ou comment augmenter le poids du besoin ...... . . . . . . . . . . . . 87
12e 6oir
L'histoire du lave-linge
ou conseiller au lieu de vendre....................................... 95
13e 6oir
L'histoire du sèche-linge
. '
ou Ie service apres-vente............................................... . 103
14 e 6oir
L'histoire de l'hôpital
ou comment traiter les objections.................................. 111
Vl
QJ
e
>
w
N
...... ... Et ils vécurent heureux jusqu'à la fin de leurs jours ... 117
0
N Glossaire ......................................................................... 119
@
.µ Index .... . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ........ . 121
..c
Ol
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Remerciements .............................................................. . 123
>
a. Table des matières .......................................................... 125
0
u
6
Il était une fois ... la vente !
QJ
e
conseiller, jusqu'à la formation des technico-commer
>
w
N
......
ciaux qui ont une approche dite « dure ». J'y ai ajouté
0
N ma propre expérience de 1 2 ans de vente intensive et de
@
.µ
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Ol
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40 ans en tant qu'acheteur professionnel et amateur !
>
u
a.
0 Un bon début pour décider quel style adopter dans la
vente est de voir comment vous souhaiteriez que l'on
vous traite si vous étiez à la place du client.Je suis sûre que
vous en avez une idée précise et qu'il ne vous manque plus
qu'une structure qui vous permette de mettre en place ce
processus de vente déjà bien pensé.
7
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
8
L h isto i re d e Ca rl os
l e s e rve u r
ou le pouvoir de la confiance
©
....,
.r: cher sur la carte que les Saint-Jacques. Allez, c'est parti .
.gi
>
a.
Vous prenez le saumon cru.
0
u
9
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
u
a.
0 Voilà ce qui fait un bon vendeur. Tant que vous n'avez
pas gagné la confiance de votre client, vous ne pouvez
pas vendre. Les techniques de manipulation utilisées
varient d'ailleurs selon les vendeurs (voir le livre à
paraître sur l'influence dans la même collection). Carlos
en a utilisées deux d'un coup. Il s'est fait passer pour
un « ami», car il a partagé une information que seule
10
L'histoire de Carlos le serveur
e
ont rajouté et ne sont évidemment que le pâle reflet de
>
w
N
ce qui se passe dans la réalité. Les histoires circulant sur
......
0
N Internet ne font qu'amplifier le sentiment que nous ne
@
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Ol
pouvons faire confiance à personne. Et surtout pas à des
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>
a.
0
mconnus.
u
11
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
e
>
w
Imaginez-vous en train de flâner dans un magasin de meu
N
......
0
bles à la recherche d'un canapé. C'est un achat important
N
@
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pour un montant important. Vous ne savez pas encore ce
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Ol
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>
que vous voulez vraiment, mais vous avez envie de voir,
a.
u
0
de toucher et d'évaluer l'offre disponible. En aucun cas
vous êtes disposé à dépenser votre argent à la légère, sur
un coup de tête ou pour quelque chose qui ne vous plaît
pas à 100 %.
12
L'histoire de Carlos le serveur
13
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
14
L'histoire de Carlos le serveur
'
2. Sa compétence;
15
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L h i sto i re d u cl ub
d e va ca n ces
ou l'intérêt authentique
quis opere.
•
1
2
>
questions qui ne varie que très légèrement : « Avez
LU
N
vous fait bon voyage? », « Pas trop fatigués? », « D'où
....
0
N venez-vous? », « Avez-vous eu vos bagages tout de
©
....,
suite? », « Est-ce votre premier voyage dans ce pays? »
.r:
.gi
>
Avant que nous ne nous en rendions compte, nos hôtes
a.
0
u
ont pris connaissance de nous. En contrepartie, nous
connaissons les prénoms de ce gentil jeune homme et
de cette adorable fille qui nous ont accueillis. Tout ceci
s'est passé dans les pires circonstances, considérant
que nous étions fatigués, mal rasés (pour certains) et
légèrement malodorants (pour tous) après tant d'heures
de voyage.
17
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
e
>
de la très grande boucle des banalités - l'image que
w
N nous aimons donner de nous-même - à la toute petite
......
0
N boucle des sentiments - ceux qui viennent directement
@
.µ du cœur.
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Ol
ï::::
>
a.
Et c'est pour cette même raison que les clients restent
0
u fidèles à ces clubs. Non pas parce que l'hôtel propose
des chambres dernier cri ou une cuisine étoilée. Non,
parce que les employés s'intéressent aux clients.
18
L'histoire du club de vacances
La variable relationnelle
e
mettre le client à l'aise afin de pouvoir entamer le pro
>
w
N
cessus même de la vente.
......
0
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Montrer de l'intérêt authentique
>
a.
0
u
19
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
20
L'histoire du club de vacances
21
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
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22
L'histoire du club de vacances
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23
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u
L h i sto i re d e l a
m a rat h o n i e n n e
ou le principe de la compétence
2
>
Quand j'y vais pour remplacer une vieille paire usée, elle
LU
N
ne me propose pas un nouveau modèle directement.
....
0
N Non, elle me pose une série de questions : combien de
©
....,
kilomètres je cours par semaine, sur quelle surface, quel
.r:
.gi
>
genre de foulée j'ai, etc.
a.
0
u Et c'est seulement après avoir recueilli mes réponses
qu'elle m'amène devant la bonne étagère et m'explique
savamm ent : «À votre place je prendrais tel modèle
de la marque A ou bien tel modèle de la marque B,
car ces deux correspondent à l'usage que vous en
faites ! » Je n'ai jamais été déçue et me sens toujours
bien conseillée.
25
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
e
>
w
Selon le Centre national de ressources textuelles et lexi
N
......
0
N
cales, la con1pétence est «la capacité de quelqu'un en telle
@ ou telle matière
».
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Ol
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>
a.
0
Regardons maintenant ces deux compétences de plus
u
près pour voir comment elles nous aident au quotidien
dans nos relations d'affaires en entreprise.
26
L'histoire de la marathonienne
L'expérience
La compétence technique
e
>
w
acquis pour le restant de ses jours. Une compétence tech
N
...... nique doit évoluer dans tous les domaines. Vous pour
0
N
@
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riez argumenter qu'un boulanger qui a appris à faire du
..c
Ol
ï::::
>
bon pain et des croissants n'a plus jamais besoin de se
a.
u
0
former ou d'acquérir une nouvelle compétence tech
nique. Faux.
Mettez-vous à la place d'un boulanger compétent dans les
années 60, debout à 3 heures du matin pour pétrir la pâte
avec ses apprentis. Aujourd'hui, 35 heures oblige, même
27
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
Le changement
28
L'histoire de la marathonienne
'
- la compétence technique.
Vl
QJ
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0
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a.
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u
29
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
la compétence technique.
>
a.
0
u
30
L h i sto i re d e Be n
Duffy
ou le principe de /'empathie
2
>
le dessus. Cet appel d'offres correspondait au plus
LU
N
gros contrat potentiel auquel son agence avait jamais
....
0
N répondu. Il savait que son agence était une parmi beau
©
....,
coup d'autres et, qui plus est, la plus petite. Alors, au
.r:
.gi
>
lieu d'utiliser son approche plutôt instinctive, il s'assit
a.
0
u
pour préparer son entretie n. Il devait absolument se
différencier des autres agences afin d'avoir une chance
de remporter le contrat.
31
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
e
>
20 années qui suivirent et devint ami avec le vice-prési
w
N dent en question.
......
0
N
@ La raison à tout cela? Il a su démontrer sa capacité à
.µ
..c
Ol se mettre à la place de son client, à appréhender le
ï::::
>
a. business en question et à se projeter à travers la vision
0
u
du client. En comprenant les motivations, les défis et
les préoccupations de son client, il a réussi à construire
une approche de vente gagnante.
L'approche de Ben Duffy est devenue omniprésente
depuis les années 60 ! Elle l'est tellement que vous ne
vous rendez même plus compte qu'elle est sur quasi
32
L'histoire de Ben Duffy
L'empathie
e
la perfection à travers ses questions.
>
w
N
......
Nous avons déjà évoqué à quel point les personnes nor
0
N
@
malement constituées sont heureuses que l'on s'intéresse
.µ
..c
Ol
ï::::
à elles. C'est le principe même de l'empathie. Si en plus,
>
u
a.
0 au début de la vente, mon interlocuteur montre qu'il s'est
préparé en ayant pris des renseignements sur ma société,
mon projet ou mon besoin et qu'il a manifestement essayé
de se mettre à ma place pour trouver ce dont je pourrais
avoir besoin, alors là, j'ai déjà fait un premier pas vers la
vente potentielle.
33
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
34
L'histoire de Ben Duffy
35
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
'
e à combler ce dernier.
>
w
N
......
0
N
@
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Ol
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>
a.
0
u
36
L'histoire de Ben Duffy
'
. ....
...
..
.
Â/aire avanl de vouJ abandonner
danJ feJ braJ � 11/1orphée
Comprendre le principe de Ben Duffy n'est pas de la
chirurgie à cœur ouvert, mais requiert cependant une
préparation de votre part. Comme lui, notez une dizaine
de questions, interrogations ou craintes que vous au riez
à votre propre encontre en tant que client et qui ne sont
pas encore formulées dans votre argumentaire de vente
existant.
Question ou crainte 1 :
Question ou crainte 2:
Question ou crainte 3:
Question ou crainte 4:
Vl
QJ
Question ou crainte 5:
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>
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N
......
0 Question ou crainte 6:
N
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.µ
..c
Ol Question ou crainte 7:
ï::::
>
a.
0
u
Question ou crainte 8:
Question ou crainte 9:
. ..
..
Question ou crainte 10: ...........................
* '*
'""*
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37
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
e
it
N
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0
N
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>
a.
0
u
38
L h i sto i re
d e l a s e rve u s e
ou la différence entre savoir-faire
et savoir-être
39
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
2. Sa compétence ;
40
L'histoire de la serveuse
Vl
accessoires, etc.) .
QJ
e
>
w
Beaucoup de livres sur la vente insistent sur le fait qu'il faut
N
...... refléter le comportement et l'image du client : « Si tu vas
0
N
@
.µ
dans une banque, tu t'habilles banque », « Si tu vas chez
..c
Ol
ï::::
>
un coiffeur, tu t'habilles coiffeur », et ainsi de suite. Il me
a.
u
0
paraît évident que vous n'allez pas en costume trois pièces
et nœud papillon sur une exploitation agricole afin de
présenter la dernière moissonneuse-batteuse. En même
temps, si vous vous apprêtez à vendre une assurance à une
star du porno, vous n'allez pas y aller tout nu !
41
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
@
.µ
..c
penche vers lui et lui dit : « Vous avez fini de me singer, ou
Ol
ï::::
>
a.
vous allez continuer jusqu'au terminus ? »
0
u
42
L'histoire de la serveuse
e
>
w
N
L'équilibre du vélo
......
0
N
@
.µ
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Ol
Souvent l'équilibre des savoirs « être » et « faire » est
ï::::
>
a.
0
comparé aux roues d'un vélo. Le vélo nous semble le
u
43
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
Vl
QJ Cette image montre d'une façon efficace ce qui provoque
e
>
w un déséquilibre des deux roues. Et le risque que vous
N
......
0
N
courez.
@
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Ol
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>
a.
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44
L'histoire de la serveuse
'
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45
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a.
0
u
L h isto i re d u tra p èze
ou comment la proactivité vous donne
un coup d'avance
2
>
Me voilà donc assise sur le banc parmi tous ces teen
LU
N
....
agers qui attendent bruyamment leur tour. Moi aussi,
0
N j'attends patiemment - mais j'ai l'estomac en vrac, car
©
....,
.r:
quelque part je n'ai vraiment pas envie de me jeter
.gi
>
d'une plateforme de 1 0 m de hauteur tout en sachant
a.
0
u
que j'ai 2, voire 3 fois l'âge des teenagers autour de
moi ; que j'ai 2, voire 3 fois leur poids ; que je n'ai pas
de force dans les bras et que j'ai la grâce d'un sac de
patates. Pourtant, je suis bien là, pour le défi. Et surtout,
parce qu'un animateur bienveillant m'y a installée.
47
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
e
>
la question de ce que je fais dans cette queue. Ok
w
N j'aime le défi, mais cette expérience a quand même
......
0
N été effrayante ! La réponse est aussi simple que celle
@
.µ donnée par l'animateur 1 0 m plus haut : l'équipe du
..c
Ol
ï::::
>
cirque s'occupe non seulement super bien des clients,
u
a.
0 mais elle ne leur laisse pas le choix de changer d'avis !
Leur proactivité s'affiche dès les premières secondes.
Les membres de l'équipe ne vous laissent pas errer
sans vous prendre en charge immédiatement quand
vous approchez. Avant même que vous n'ayez envi
sagé de changer d'avis, un membre de l'équipe vous a
48
L'histoire du trapèze
u
a.
0 Selon Mediadico le terme proactif décrit une per
« »
49
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
50
L'histoire du trapèze
L'hôte d'accueil
e
Rappelons-nous du premier chapitre traitant de la
>
w
N
confiance, et de la méfiance que l'on porte à un inconnu.
......
0
N L'« inconnu » de l'entrée du magasin ne vous pose aucune
@
.µ
..c
Ol
question qui vous fait reculer. Il ne fait que vous saluer et
ï::::
>
a.
0
c'est à vous de vous adresser à lui - si vous en avez envie.
u
51
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
'
52
L'histoire du trapèze
'
,, . .
..
.
.
.
·
.
 /aire auan ld b t/0e uo1H a an 1111er
Vl
Q) 1) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
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..... 2) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
0
N
.
3) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
>
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4) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
..9:!
(/)
! 5) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
53
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a.
0
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L h i sto i re d u swi n g
ou le principe de /'intentionnalité
55
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
e
>
acheteur, en règle générale, aura déjà un peu moins
w
N envie d'acheter. Mais si, en revanche, vous êtes ce ven
......
0
N deur qui prend le temps d'accompagner son client, de
@
.µ
s'intéresser à son problème ou, en langage golfique,
..c
Ol
ï::::
>
de « soigner son geste», vous allez très naturellement
u
a.
0 amener votre client vers la vente ou vers le trou dans
lequel la petite balle va disparaître.
On trouve ici la différence fondamentale entre le ven
deur basique, hôte d'accueil, personne qui ne fait
qu'une transaction de caisse, et le vendeur accompli
que nous cherchons à développer à travers ce livre. Si
56
L'histoire du swing
L'accompa gnement
e
>
L'intentionduvendeurestdoncd'accompagnerl'acheteur.
w
N
......
Il ne lui tombe pas dessus, ne lui force pas la main. Non, le
0
N
@
bon vendeur prend son client par la main et regarde dans
.µ
..c
Ol
ï::::
la même direction que lui. Ce n'est pas une épreuve de
>
u
a.
0 force, un bras de fer, mais, bien au contraire, un bout de
chemin que l'on fait ensemble.
57
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
L'intentionnalité
58
L'histoire du swing
59
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
e
>
w
N
Simple, mais pas facile !
......
0
N
@
.µ
..c
Ol
Tous les chapitres que vous avez parcourus jusqu'alors
ï::::
>
a.
0
vous paraissent probablement simples. Ni révolution
u
60
L'histoire du swing
e solution.
>
w
N
......
0
Comment faire découvrir à n1on client son besoin réel ?
N
@
.µ
Comment le faire grandir jusqu'à ce qu'il devienne un
..c
Ol
ï::::
>
achat ? Ce sera le sujet des chapitres à venir.
a.
0
u
61
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
'
62
L h isto i re d e l ' a c h at
d u p a ré o
ou la naissance du besoin chez /'acheteur
2
>
porter, ludiques et parfaitement adaptés comme sou
LU
N
venirs de vacances au soleil.
....
0
N
©
En l'espace d'une demi-heure de balade, nous avions
....,
.r: acheté un paréo pour madame et un T-shirt pour mon
.gi
>
a.
sieur. Et tout cela pour moins de 1 0 euros.
0
u
Contents de nos achats, nous sommes rentrés à l'hôtel.
Les achats furent emballés et rangés dans nos valises,
transportés en France, déballés et rangés dans une
armoire. Aucun n'a servi depuis .. .
63
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
e
den1andes de dernière minute », « Il proposait le meilleur
>
w
N
produit sur le marché l'année dernière. »
......
0
N
@ Ce ne sont pas seulement des signaux, mais le point de
.µ
..c
Ol
ï::::
départ d'un achat. De chaque achat. S'il n'y avait pas cette
>
u
a.
0 petite, même infime, insatisfaction, le besoin ne serait pas
créé et notre acheteur n'achèterait pas.
64
L'histoire de l'achat du paréo
65
Histoi res du soir pour business(wo)men débordés !
@
Pourquoi ? Parce que la somme était modique et que je
.......
.i=
en
ï:::
n'avais pas besoin de juger les pour et les contre, et de
>-
0..
u
0 consulter une équipe ou un supérieur hiérarchique avant
de faire la transaction.
C'est d'ailleurs dans des enseignes comme H & M que
ce principe est à l'œuvre. Leurs produits sont de très bas
prix et d'une qualité acceptable. Un pull à 1 0 euros n'est
66
L'histoire de l'achat du paréo
Vl
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>
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......
0
N
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67
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
'
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 /aire avanf tfe vouJ abandonner
L
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>- . . .
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0
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danJ !ej braJ de morphtie
@
.µ
..c Dans ce chapitre, nous avons analysé la vente côté ache
Ol
ï::::
>- teur. Je vous invite, comme Ben Duffy vous le suggère, à
a.
u
0
vous mettre dans les chaussures du client afin de méditer
les questions suivantes.
68
L'histoire de l'achat du paréo
69
Vl
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0
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O'l
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>
a.
0
u
L h isto i re
d e l a s o i ré e d e g a l a
ou comment faire naître le besoin
chez le client
.gi
Ces soirées sont, ailleurs, organisées dans une salle
>
a.
0
d'un centre de congrès avec des tables rondes et des
u
chaises. Francfort, Dubaï, Amsterdam ou Berlin, la salle
pourrait être dans n'importe laquelle de ces villes.
Or, moi, je peux proposer à mon client une soirée dans
l'un de nos parcs à thème. Certes, ce n'est peut-être pas
toujours « gala », mais c'est certainement très différent
71
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
Pas de besoin
e
besoin », vous reconnaissez cette situation.
>
w
N
......
0
Vous précisez alors à votre client que vous pouvez certai
N
@ nement satisfaire son besoin explicite (soirée de gala), mais
.µ
..c
Ol
ï::::
>
que vous pouvez même aller plus loin en lui proposant des
u
a.
0
solutions dont il ne soupçonne même pas l'existence : « Si
j'étais à votre place1 je profiterais du fait que vous pouvez
organiser une soirée après la fermeture au public dans un
de nos parcs. C'est quelque chose que vous ne pouvez
faire nulle part ailleurs. Bien sûr, nous pouvons organiser
72
L'histoire de la soirée de gala
A la découverte du besoin
Vl
La problématique des vendeurs est de découvrir le besoin
QJ
e
de leur client. Or, ce besoin vient sous des formes bien
>
w
N
......
différentes et parfois très subtiles.
0
N
@
.µ
Il y a encore peu de temps votre client était parfaitement
..c
Ol
ï::::
>
inconscient du fait qu'il avait un besoin. (Le mien ne
a.
u
0
savait pas qu'il avait besoin d'une soirée dans un parc à
thème.)
Au début, son problème - et donc son besoin - n'est qu'un
signal que vous percevez dans son propos : « C'estvrai que
1eprogrammeestle même chaque année ! », « Ils s'attendent
73
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
u
0
- le vendeur relève le « signal » et interroge le client :
« De quoi auriez-vous besoin ? » ;
- le client réfléchit à la question et explicite de lui-même
son besoin.
74
L'histoire de la soirée de gala
75
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
N
......
0
besoin si, à droite, le coût est important.
N
@
.µ
..c
Ol
ï::::
>
a.
Le coût ne doit pas peser plus lourd
0
u
que le besoin
76
L'histoire de la soirée de gala
77
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
Vl
besoin de se débarrasser de ce tracas du plateau gauche
QJ
u
0
pouvoir mettre le prix qui vous convient dans le plateau
droit.
78
L'histoire de la soirée de gala
'
e
it La balance penche du côté achat uniquement si le pla
N
..... teau de l'insatisfaction ou du besoin est plus lourd que
0
N le plateau du coût.
@
>
a.
0
u
79
Vl
Q)
0
>
..__
w
N
,.....
0
N
@
.......
..c
O'l
ï::::
>
a.
0
u
L h isto i re
d u l a n g a g e co d é
ou comment lire les signaux envoyés
par le client
.gi
bien que quelqu'un allume un feu dans la cheminée .
>
a.
0
u
Quand notre ami Gérard complimente un plat avec un :
« Hmm, très bon pour la santé », c'est qu'il trouve que
c'est bien la seule et unique qualité qu'il puisse recon
naître à ce qu'il a dans son assiette !
81
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
Les si gnaux
e
>
w
N
- les signaux visuels.
......
0
N
@ Pour les intercepter et pouvoir les utiliser, il faut un sens
.µ
..c
Ol
ï::::
de l'écoute et de l'observation aigu .
>
a.
0
u
L'écoute
82
L'histoire du langage codé
83
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
L'observation
e
veut pas forcément dire que vous l'ennuyez et qu'il veut
>
w
N
......
partir. En revanche, quand il commence à regarder sa
0
N montre, qu'il bâille et qu'il scrute les messages dans son
@
.µ
..c
Ol
Smartphone, il est temps d'agir.
ï::::
>
u
a.
0 Plus « parlants que les comportements corporels sont
»
84
L'histoire du langage codé
'
e
> Les flots incessants de paroles du vendeur appartiennent
w
N au passé. Aujourd'hui, il vous faut écouter votre client,
......
0
N sinon vous ne pouvez pas intercepter ce précieux avertis
@
.µ seur qui indique un signal sous-jacent et qui vous permet
..c
Ol
ï:::: de développer le besoin explicite qui mène à une vente !
>
a.
0
u Pour les signaux visuels, ce n'est guère différent. Si vous
observez les réactions de votre client à chacun de vos
commentaires, vous allez très bien « voir » ce qu'il pense.
Car vous savez lire le langage du corps. Dès que vous
avez « lu » un signal, intervenez afin de vous débarrasser
de tout malentendu.
85
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
>
a.
0
u
86
L h i sto i re
d u m u r ro u g e
ou comment augmenter le poids
du besoin
f/.
(} ous aimons beaucoup notre foyer. Et nous n'hé
sitons pas à l'embellir, le mettre en valeur et
J le repeindre ... Dernièrement, nous avons eu
la glorieuse idée de faire peindre un mur du salon en
rouge. Décision risquée, mais qui nous motivait.
87
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
88
L'histoire du mur rouge
Le prix à payer
e
dès la première fois. Voici comment cela se structure chro
>
w
N
nologiquement : le besoin sous-jacent devient, grâce au
......
0
N questionnement du vendeur, un besoin explicite. Quand
@
.µ
..c
Ol
celui-ci est exprimé par le client, le vendeur peut, à sa
ï::::
>
a.
0
guise, poser des questions sur les possibles répercussions
u
à envisager si le client renonçait à satisfaire son besoin.
Mettons maintenant en face la taille du problème :
- le besoin sous-jacent exprime une petite insatisfaction,
ou imperfection ;
89
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
rasser du problème.
La « vieille école qui enseignait qu'il fallait parler des
»,
u
0
une sage-femme en pause, et lui pose des questions sur ses
problèmes de tous les jours ; d'allaitement, de biberons et de
stériilsation de ces derniers. Elle l'amène alors à dire qu'elle a
90
L'histoire du mur rouge
e
>
Vous l'avez compris, elle fait dire à la sage-femme qu'elle ne
w
N
......
peut pas s'occuper de ses patients pendant qu'elle stérilise.
0
N
@
Elle formule aussi qu'elle pourrait empoisonner un bébé
.µ
..c
Ol
ï::::
avec du matériel qui ne serait pas correctement stérilisé.
>
u
a.
0 Et finalement elle annonce que ce serait catastrophique si
tous les bébés étaient en train de crier famine et qu'aucun
biberon n'était à disposition.
Et ce n'est que maintenant qu'elle s'autorise à lui poser
la question dite « du besoin ». Elle demande à la sage-
91
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
92
L'histoire du mur rouge
'
'
Â/aire
Si vous êtes formé au CAB, vous avez déjà des facilités
pour construire votre argumentaire des répercussions
possibles. Faites du Ben Duffy : mettez-vous à la place
de votre client. Imaginez quelles répercussions, consé
Vl
quences indirectes pourraient survenir s'il n'achetait pas
Q)
votre solution. Chaque métier est différent, je ne peux
e
it donc pas vous donner une trame. En revanche, je peux
N
..... vous donner un conseil.
0
N
@ Demandez à des amis ou même à des membres de votre
famille de vous aider à trouver les conséquences indi
>
a.
rectes pour le cas où votre client n'achèterait pas. Leurs
0
u idées vous sembleront très certainement i n adéquates,
farfelues, voire bêtes. Notez-les quand même. Vos amis
ne travaillent pas dans votre société mais, vous savez
quoi, vos clients non plus !
I l y a de bonnes chances que des personnes extérieures
voient des répercussions q u e vous n'envisagez même
pas, tant vous avez « le nez dans le guido n ».
93
Vl
Q)
0
>
..__
w
N
,.....
0
N
@
.......
..c
O'l
ï::::
>
a.
0
u
L h i sto i re
d u l ave- l i n g e
ou conseiller au lieu de vendre
2
>
Le sommet fut atteint lorsqu'une vendeuse nous
LU
N
expliqua que le modèle allemand était bien plus cher
....
0
N que le français, car il pesait 30 % de plus.
©
....,
.r: Un ami nous a -heureusement -sortis de notre dilemme.
.gi
>
a.
Il représentait justement une marque allemande et, à
0
u l'occasion d'un dîner, nous lui avons conté nos déboires.
Comme il nous connaissait bien, il faisait les questions
réponses (il possède une excellente écoute). En quel
ques minutes, il a résumé nos besoins (avant enfants/
après enfants), les répercussions possibles (panne de
machine avec un nourrisson à la maison), les options
95
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
Conseiller
96
L'histoire du lave-linge
u
0
- Avez-vous réussi à trouver un formateur qui dispense
un programme de qualité sans devoir payer le nom de
l'organisme dont il dépend ?
97
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
e
>
Vous voyez, c'est très simple. Un problème potentiel que
w
N
......
vous avez trouvé vous amène à formuler une question
0
N
@
dite « de problème ». Et ce même problème vous donne
.µ
..c
Ol
ï::::
également accès à un minimum de quatre répercussions
>
u
a.
0 possibles. Cette préparation en main, vous ne pouvez que
gagner. Pour trois problèmes vous partez en rendez-vous
avec douze répercussions !
Mais, vous vous en doutez, ce n'est pas tout. Vous n'avez
fait qu'augmenter le poids du besoin du client pour le
98
L'histoire du lave-linge
Vl
- Pourquoi est-ce que ceci est important pour vous ?
QJ
e
>
w
- Est-ce que cela vous aiderait de . . . ?
N
......
0
N - Comment est-ce que cela pourrait vous aider ?
@
.µ
collection.)
l'.)
@
99
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
'
100
L'histoire du lave-linge
>
a.
0
u
101
Vl
Q)
0
>
..__
w
N
,.....
0
N
@
.......
..c
O'l
ï::::
>
a.
0
u
L h i sto i re
d u sèch e- l i n g e
ou le service ap rès-vente
©
se déplace. Il met un stéthoscope sur le cœur de notre
....,
.r: machine (l'électronique) et fait diagnostiquer à son petit
.gi
>
a.
ordinateur dans sa valisette ce qui ne va pas. Verdict : le
0
u moteur est foutu! et la garantie dépassée. C'est exacte
ment le genre de galère dont on n'a pas besoin avec un
nouveau-né et un crédit pour la maison sur le dos.
Notre technicien répare la machine et me présente la
facture qui sort, elle aussi, de sa valisette dotée, on se
demande pourquoi, d'une imprimante miniature. Je
103
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
Félicitations !
104
L'histoire du sèche-linge
Anticipation
105
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
e
Même si vous étiez dubitatif par rapport au montant
>
w
N
......
dépensé, après une matinée comme celle-là, vous êtes
0
N rassuré ! Non seulement vous avez reçu quelque chose
@
.µ
..c
Ol
gratuitement (un petit déjeuner, une visite guidée et une
ï::::
>
a.
0
coupe de champagne), mais en plus vous avez pu en faire
u
106
L'histoire du sèche-linge
Vl
QJ
e
Développer la relation
>
w
N
......
0
N Votre client vient de vous confier un budget colossal. Il
@
.µ
..c
Ol
est inquiet, mais vous l'accompagnez pendant le laps de
ï::::
>
a.
0
temps séparant la signature de la mise en route. C'est le
u
107
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
'
u
0
- développer la relation.
108
L'histoire du sèche-linge
109
Vl
Q)
0
>
..__
w
N
,.....
0
N
@
.......
..c
O'l
ï::::
>
a.
0
u
L h isto i re d e l ' h ô p ita l
ou comment traiter les objections
©
....,
été auparavant. Et hors de question de lui faire des tests
.r:
111
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
L'objection
112
L'histoire de l'hôpital
e
�
N
Le trac
......
0
N
@
.µ
..c
Ol
Chaque acheteur, lors d'un colossal achat, rencontre ce qui
ï::::
>
a.
0
est communément reconnu comme le trac de la signa
«
u
113
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
Éviter l'objection
114
L'histoire de l'hôpital
Le soutien moral
115
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
'
116
. . . Et ils vécurent heureux
jusqu'à la fin de leurs jours
u
>
a.
0 Je vous fais la suggestion suivante : au lieu de vous inviter,
de façon peu réaliste, à mettre en pratique chacun des
outils décrits dans ce livre, pourquoi ne pas en choisir
UN ? Choisissez un outil ou une technique qui vous a
surpris, qui vous a fait dire « a-ha ! » ou bien « waouh ! ».
Et appliquez-le !
117
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
u
0
pendant la lecture de ce livre, vous vivrez effectivement
plus heureux jusqu'à la fin de vos jours, transformé en un
vendeur efficace et apprécié par ses clients.
118
Glossaire
e
>
le processus de questionnement.
w
N
......
0
Proactivité : est proactive une personne dynamique qui
N
@
.µ
entreprend.
..c
Ol
ï::::
>
a.
Répercussions : toutes les variables indirectes qui pour
0
u
raient nuire au client, si son besoin n'était pas satisfait.
le savoir qui regroupe toutes les variables
Savo ir-être :
interpersonnelles.
Q)
119
vi
Q)
e
>
UJ
N
.,....,
0
N
@
.....,
..c
Ol
ï::::
>
a.
0
u
Index
A confiance 9, 1 0, 1 5, 36,
accompagnement 57, 62, 51, 60, 96, 1 14
69, 1 1 9
anticipation 52, 73, 105 E
assertivité 84 écoute 82, 86, 95, 1 1 5
empathie 1 5, 3 1 , 33, 73,
B 96, 1 1 9
besoin 33, 61, 64, 66, 89, expérience 27
1 19
- explicite 72, 75, 78, 9 1, F
1 19 frustration 98
- implicite 75, 1 1 9
- satisfait 99, 1 1 5
imperfection 65
c insatisfaction 64, 68, 76,
vi
changement 28 86
�
0 communication non intention 56, 5 7, 62, 65
verbale 41-42 - d'agir 66
..__
>-
w
N
0
intentionnalité 55, 58
......
N
@
communication verbale
.µ
..c
O'l
41 - à court terme 58
compétence 25, 39, 1 1 9 - à long terme 58
ï:::
o._
>-
0
u
e
>- comportement 43 intrapreneur 49
concession mineure 106
w
a.
Q)
::>
e
l9
@
121
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
L R
langage codé 8 1, 86 remise en question 28
répercussions 88, 98, 1 OO,
M 1 19
manipulation 1 0, 4 1
manque de savoir-faire 40 s
méfiance 9, 1 4, 43, 5 1 satisfaction 21, 64
savoir-être 1 5, 39, 41, 6 1,
N 1 19
naissance du besoin 63 savoir-faire 1 5, 39, 1 1 9
service après-vente 1 04
0 signaux 64, 8 1 -82, 84
objection 1 1 2-1 1 3, 1 16, - faciaux 84
1 19 - verbaux 82
observation 84 - visuels 82
p T
pas de besoin 72 tourisme d'affaires 2 1 , 60
�
ui
poids du besoin 87, 93 trac 1 1 3
0
proactivité 47, 49, 60, 1 19
L
>-
UJ
N
V
.,....,
0
N
@
.µ Q variable relationnelle 1 9
35, 61,
..c:
Ol
·;::
>- questionnement vendeurs à court terme
74, 89, 1 1 6
a.
58
0
u
e
>.
UJ
Cl..
Q)
::::i
0
.....
{.'.)
©
122
Remerciements
Du fond du cœur . . .
Vl
À mes enfants, qui constituent à eux seuls une source
QJ
e
>
intarissable d'exemples et d'anecdotes qui illustrent mes
w
N
......
propos.
0
N
@
.µ
..c
Ol
À Élodie Bourdon, qui a accueilli mon premier manuscrit
ï::::
>
a.
0
avec tant d'enthousiasme que j'en ai écrit deux autres dans
u
la foulée.
123
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
Vl
QJ
e
>
w
N
......
0
N
@
.µ
..c
Ol
ï::::
>
a.
0
u
124
Table des matières
Sommaire .................................................................................. S
I l était une fois . . . la vente ! ............................................. 7
1 el'
:5 oir
Vl
QJ
e
>
2e :5oir
w
N
...... L'histoire du club de vacances
0
N .
@ ou 1,tntere
, "t authen t•tque ................................................... 17
.µ
..c
Ol
ï::::
>
a.
La variable relationnelle .................................................... 19
0
u
Montrer de 1,.mtere, "t authent•1que.................................. 19
L'intérêt est flatteur............................................................... 20
125
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
3e :5 oir
L'histoire de la marathonienne
ou /e principe de la compétence .............................. . 25
Les deux aspects de la compétence ............................. 26
L'exper1ence .............................................................................
I •
27
La compétence technique................................................ 27
Le changement....................................................................... 28
4e :5oir
Vl
QJ 5e :5oir
e
>
w
N L'histoire de la serveuse
......
0
N ou la différence entre savoir-faire et savoir-être 39
@
41
.µ
..c
Ol
ï::::
Le savo1r-etre
<<
• A
>> ••••••••••••••••••••••••••••••••••••••• •••••••••••••••••••••••••••
43
>
u
a.
0 L'équilibre du vélo ................................................................
126
Table des matières
6e 6oir
L'histoire du trapèze
ou comment la proactivité vous donne
un coup d'avance................................................................ . 47
.
L,intrapreneur ......................................................................... 49
L'hôte d'accueil ..................................................................... . Sl
7e 6oir
L'histoire du swing
ou /e principe de /'intentionnalité.............................. SS
L'accompagnement............................................................. . S7
. · , ...................................................................
. ai1te
L, 1ntent1onn . 58
Simple, mais pas facile ! ..................................................... . 60
Vl
QJ 8e 6oir
e
>
w L'histoire de l'achat du paréo
N
......
0
N
ou la naissance du besoin chez /'acheteur .......... . 63
@
.µ
..c
Ol Pas d'achat sans besoin...................................................... . 64
6S
ï::::
u
>
a.
0 Tout part d'une insatisfaction.........................................
127
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
9e 6oir
. a payer......................................................................... 89 Cl>
UJ
Le prix a.
'
::J
0
.....
l9
©
128
Table des matières
12 e :5 oir
L'histoire du lave-linge
ou conseiller au lieu de vendre ................................... 95
Conseiller.................................................................................. 96
La question du besoin satisfait ..............................
« » 99
13 e :5 oir
L'histoire du sèche-linge
.
ou I e service apres-vente ..............................................
'
.. 103
.
Fe'li c1tat1ons .............................................................................
. 1 104
.1c1pa
Ant . t"ion ............................................................................. 105
Une concession mineure .................................................. 106
Développer la relation ........................................................ 107
Vl
QJ 14 e :5oir
e
>
w
N L'histoire de l 'hôpital
......
0
N ou comment traiter /es objections............................ 111
@
L'objection ................................................................................ 1 12
.µ
..c
Ol
ï::::
Le trac .......................................................................................... 1 13
>
a.
0
u
Éviter l'objection.................................................................... 1 14
Le soutien moral.................................................................... 1 1 5
129
Histoires du soir pour business(wo)men débordés !
Vl
QJ
e
>
w
N
......
0
N
@
.µ
..c
Ol
ï::::
>
a.
0
u
1 30
vi
Q)
e
>
UJ
N
.,....,
0
N
@
.....,
..c
Ol
ï::::
>
a.
0
u
Maitriser les principes de la vente
en 2 semaines, c'est possible !