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Selon le procureur général d'État Ulrich Weder, Mark W. introduit/initié dans sa maison du
village de Wila, de la région de Tösstal (à l¶est du canton de Zürich) un système éducatif et
punitif de « torture, tyrannique, inhumain, cruel et dégradant". L¶assistante sociale Barbara
N., 62 ans, a justifié maintenant les actions/mesures brutales, par le "mépris de Dieu", qu¶on a
devait briser. Comme le père de l'enfant co-accusé chez qui elle vivait, elle a puisé son
inspiration à partir des instructions/directives/indications de Jakob Lorber.
(*Une étude attentive des premiers tirages des textes permet de voir que, dans le groupe
constitué autour de Lorber, celui-ci se comportait déjà à l¶époque comme un véritable gourou,
ce que bien sûr tout le groupe fait en sorte de cacher en censurant toutes les détails dans les
éditions ultérieures ; détails de conditions, lieux, personnes, méthodes. Il menaçait de mort par
Dieu interposé leurs proches, les traitait de tous les noms, insistait lourdement pour qu¶ils
évitent de fréquenter l¶église, la confession surtout, leur donnait un nouveau nom, leur
délivrait des « mots personnels » de Dieu pour leurs anniversaires, voyait le diable et le mal
partout, annonçait des catastrophes imminentes, il habitait dès le début chez eux ou se faisait
entretenir par eux. Le groupe cache les manuscrits car la plupart d¶entre eux ne sont pas de la
main de Lorber mais de celle de ses adeptes et des enfants de ceux-ci. On y apprend aussi que
les textes étaient retravaillés en commun, recorrigé à la demande de certains à cause
d¶incohérences, que les adeptes interviewaient en direct Dieu comme au téléphone Dieu etc.
Ceci sans parler de toutes les sectes issues chapotées par les responsables et éditeurs du
mouvement très rapidement après la mort de Lorber et encore de nos jours)
La vénération de Lorber a immunisé Barbara N., des années après la torture des enfants, qui a
fait une morte et a gravement traumatisé l¶autre enfant, en plus contre les sentiments de
culpabilité et de remords. Une autre preuve des qualités de gourou du père, l¶anglais Mark W.,
maintenant 44 ans, est la déclaration de la mère de Gabriela. Elle a laissé son bébé quand il
n'avait que trois mois. Quand elle a témoigné en cour aujourd'hui, elle semblait hésitante,
selon le rapport du Tages-Anzeiger. "Mais finalement, il l¶a exigé de moi."
La mère de Gabriela avait su que Mark administrait des douches froides et laisser souffrir de
faim aussi la demi-sœur aînée Salomé (de Gabriela). Cependant, a-t-elle dit au tribunal: «Je
pensais que je ne pouvais pas lui donner suffisamment de Dieu (*la former religieusement)."
Quand elle se mourait à l'hôpital et que le médecin a informé les proches, la mère biologique a
dû attendre à l'extérieur devant la porte. Mark et Leah ont disparu avec le médecin dans une
salle et se consolaient réciproquement.
Séducteur religieux
En ce qui concerne la mère de Salomé, la relation avec Mark n¶a duré que quelques mois ; ils
s¶étaient séparés avant qu¶elle ne mette au monde l¶enfant en 1998. Salomé a vécu avec lui à
partir de 2001. « J'étais convaincue qu'il élèverait l'enfant au nom de Dieu ». Les châtiments
cruels n¶ont toujours pas jusqu¶à aujourd¶hui troublé/détrompé la mère: la foi de Marc fait de
lui un bon père pour sa fille, a-t-elle dit à la cour, elle confierait de nouveau sa fille à ses
soins. « Il vivait la ëarole de Dieu comme aucun(e) autre (personne) que je connaisse ». Ce
qui a été fait à la fillette dans sa jeune vie, elle ne le trouve pas si mauvais. « Le fait de châtier
se trouve aussi dans la Bible. S'il y avait une autre façon, Dieu l¶aurait décrit ». Salomé, qui a
subi de lourds dommages émotionnels, vit maintenant chez des parents nourriciers.
Au début du procès de Zurich, a été interrogé W. Mark, qui depuis a mis enceinte une
troisième femme. Il a donné des renseignements à Locker, écrit le «Blick am Abend" (*un
journal). Il avait abandonné son apprentissage comme dessinateur en mécanique, pour aller
«dans l'école de Jésus." Il a découvert/éprouvé, « que Jésus est là pour moi, qu'il a d¶autres
projets avec/pour moi ».
Les médias brossent le tableau d'un homme qui, dans sa suffisance luxurieuse, que beaucoup
d¶admiratrices ont probablement renforcée, était insensible et cruel. Avec cela était associé
ses folies religieuses: Les divagations du Dieu et des enseignements de Jakob Lorber, il les a
utilisées pour rendre les femmes dociles/accommodantes et pour chasser chez elles l¶instinct
maternel. Que les parties ne voient pas, encore aujourd¶hui, le répréhensible des faits, montre
l'obstination délirante, dont est capable une religiosité folle.
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