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-EPAU-

Exposer sur :

LES RAMPES, ESCALIERS


ET ASCENSEURS.

Enseignants: réaliser par:


Mr BAGHLI. MEZNAD h.
Mr MEZOUED. Gr: 09.

« Année Universitaire: 2004-2005 »


Plan de l’exposer :
 Introduction.
 Pentes usuelles.
 Rampes.
– Définition, matériaux.
 Escaliers:
– Définition.
– Classification.
– Balancement.
– Fonction.
– Appareils pour handicapés.
 Escaliers mécaniques.
 Ascenseur et monte-charges:
- Historique.
- Définition.
- Classification.
- Mise en œuvre.
Introduction:

 Dans cet exposé on va étudier tous les


moyens qui permettent la circulation
verticale dans un immeuble. Cette
circulation concerne les personnes, les
objets.
Inclinaison(pente):

• Selon l’inclinaison du moyen de circulation verticale, on


distingue :
- Rampes,
- Escaliers extérieurs et de jardins,
- Escaliers courants et escaliers mécaniques,
- Échelle de machine,
- Échelles,
- Ascenseurs.
Inclinaisons des rampes, escaliers et
échelles:
Les rampes:
 Définition:
Ce sont des plans de
faibles inclinaisons, leur
pente est tributaire de leur
destination:
 Pour Personnes.
 Pour Véhicules.
– Rampe raide(10-24° ou 1:6
à 1:2,5).
– Rampe moyenne(6-10° ou
1:10 à 1:6).
– Rampe douce jusqu’à 6° ou
1:10.
 Matériaux :
Les rampes doivent être
de bonne adhérence, les
rampes extérieurs sont
réalisées en matériaux non
gélifs, souvent en béton
strié, bouchardé, lavé.
Les Escaliers :
DÉFINITIONS :

 Escalier :
ouvrage construit d'une suite
de degrés horizontaux
(marches ou paliers)
permettant de passer à
pied d'un niveau à un
autre. Un escalier est
déterminé par les
paramètres suivants:
– Sa montée,
– Son emmarchement,
– Son giron,
– Sa hauteur de marche.
 LA MONTÉE :
distance verticale entre les niveaux
des sols finis de départ et d’arrivée.

 L'EMMARCHEMENT :
dimensions du passage libre utile de
l'escalier (la longueur des marches
mesurée sur les marches non
balancées).

 LE GIRON :
distance horizontale G entre les nez
de deux marches consécutives.
Quand l'escalier est balancé la
largeur du giron se mesure sur la
ligne de foulée.

 LA HAUTEUR DE MARCHE :
distance verticale qui sépare 2 nez de
marches consécutives. Elle varie de
13 à 17 cm, et peut atteindre 18 ou
19 cm et même 22.5 cm pour les
escalier hélicoïdaux avec un giron
plus faible.
 MARCHE : c’est la surface plane
horizontale sur laquelle on pose le
pied pour monter (ou descendre) un
escalier. Elle peut être
rectangulaire, trapézoïdale, en
forme d'arc de cercle, ou de
couronne circulaire.

 CONTRE MARCHE : parois


verticale ou légèrement inclinée
formant le devant de marche.

 PALIER : Plate-forme ménagée de


distance en distance et
spécialement à chaque étage.

 PALIER INTERMÉDIAIRE : palier


inséré entre 2 volées.

 VOLÉE D'ESCALIER : ensemble


de marches ininterrompues entre 2
paliers. Elle peut être droite, avec
tournant à marche rayonnante,
quart ou demi tournant (simple ou
double) hélicoïdale ou autre.
 LARGEUR DE MARCHE :
largeur du giron augmenté du nez
de marche.

 NEZ DE MARCHE : partie


située en avant de la marche.

 RAPPORT HAUTEUR DE
MARCHE / GIRON :
en règle générale pour que
l'escalier se monte sans fatigue,
il convient d'appliquer la
formule de Blondel : En
pratique cette valeur varie de
0.60 m à 0.64 m, 0.62 m étant la
plus employée.
 G + 2 H = 0.63 m
 MARCHE DE DEPART :
première marche d'un
escalier, sa hauteur peut
être différente de celle des
autres marches. Dans les
escaliers en bois, elle reçoit
le pilastre de la rampe ou le
poteau de départ ; sa
contremarche est massive
du coté du limon.

 MARCHE D'ARRIVEE :
dernière marche de
l'escalier.
 LA LIGNE DE FOULEE :
ligne conventionnel figurant la
trajectoire moyenne des pas
d'une personne sur un escalier,
généralement elle est
concrétisée sur le dessin par
une ligne situé au milieu de
l'emmarchement ou à 50 cm du
collet.

 LA LIGNE DE PENTE :
ligne imaginaire située sur la ligne
de foulée et reliant les nez des
marches successifs entre eux.
 PENTE DE L'ESCALIER :
angle aigu appelé encore angle
d'inclinaison, compris entre la
ligne de pente et sa projection
sur un plan horizontale.

 L'ECHAPEE : hauteur libre de


passage à l'aplomb des nez de
marches au-dessous d'un
palier ou d'une contremarche.
Cette hauteur, en principe est
de l'ordre 2.10 m et n'est jamais
inférieur à 1.90 m, cette mesure
se fait à l'aplomb de la ligne de
foulée.
 MARCHE A NOYAU : marche
console pour escalier
hélicoïdale, constitué à son
extrémité d'un noyau vide, ce
noyau est constitué par un
remplissage en béton, ou par un
tube en acier.

 MARCHE CONSOLE : marche


fixée à une seule de ces deux
extrémités à un mur latéral, ou à
une paroi centrale ou à un fût
central.

 COLLET : partie la plus étroite


d'une marche balancée.
 CRÉMAILLÈRE : élément
d'ossature incliné supportant les
marches d'une volée et sur
lequel les marches viennent se
reposer. Cette crémaillère peut
occuper plusieurs positions : au
centre, en extrémité.

 LIMON : élément d'ossature


incliné supportant une des
extrémités des marches de
toute une volée et dans lequel
les marche viennent buter ou
s'encastrer.
 FÛT D'ESCALIER :
colonne centrale sur laquelle
viennent se disposer et se fixer
les marches d'un escalier
hélicoïdale, il peut être plein ou
à noyau.

 PAILLASSE D'ESCALIER :
dalle incliné supportant les
marches et contremarches d'un
escalier et assurant la
transmission des charges et
surcharges, il existe en 2
types : paillasse pleine et
paillasse à godet.
 CAGE D'ESCALIER : espace
disposé dans une construction
pour recevoir l'escalier, elle
peut avoir des formes variable.

 MUR D'ECHIFRE : mur sur


lequel s'appuient les premières
marches d'un escalier .

 LE JOUR : espace central


autour duquel se développe un
escalier. Cet espace est délimité
par les mains courantes.
 GARDE CORPS :
ouvrage de protection contre les
risques de chute des personnes
stationnant ou circulant à sa
proximité. Il comprend un mur
ou des barreaux ainsi qu’une
main courante.

 MAIN COURANTE :
partie supérieur rapportée ou non
d'un garde-corps, d'une rampe,
d'une balustrade ou contre un
mur et destinée à être prise en
main.
Classification:
 D’après leurs destinations:
– Escalier extérieur.
– Escalier intérieur.  D’après leur conception:
 Par la forme géométrique de leur ligne de – Avec ou son séjour.
foulée :
– Avec limon à la française, simple ou
– Escalier droit. double.
– Escalier à volet droite avec palier de – Avec crémaillère à l’anglaise simple
virage : ¼ de tour bas et haut, ½ tour. ou double.
– Escalier à volées droites avec – Avec crémaillère centrale .
tournants à marches rayonnantes : 1/4
tournant bas ou haut, 1/2 tournant. – Avec poutre centrale.
– À quartier tournant : simple ou double. – Avec fut central.
– Tournant de forme complexe. – Avec paillasse.
– Escalier ou volée tournante hélicoïdale. – Avec parois centrale.
 D’après leur matériau de construction :
– En béton.
– En bois.
– En métal.
– Escalier composite.
Représentation en plan des escaliers:
Le balancement des escaliers
 LE BALANCEMENT : opération qui
a pour but de réduire
proportionnellement le collet des
marche tout en gardant la même
largeur de giron.
 Il existe plusieurs méthodes de
balancement :
– Balancement par la herse.
– Balancement par le
développement de l'arrête
intérieur du limon.
– Balancement par le
développement des marches.
– Balancement d'un escalier à
double tournant (fer à cheval
ou briquet)
– Méthode de I'arc de cercle.
– Méthode du trapèze.
Méthode de I'arc de cercle :
 Sur le schéma, les marches 2 et 17
constituent les limites de la partie
balancée. La droite qui concrétise
leur bord antérieur croise l'axe de
I'escalier au point M, qui sera le
centre du cercle de balancement.
La demi circonférence du cercle
ainsi trace est divisée en quinze
parties égales (1), et cha-cune des
divisions (2) est rappelée sur le
limon intérieur. Les points ainsi
obtenus sont relies par des droites
avec les divisions de la ligne de
foulée : le balancement de la volée
d'escalier est terminé. La
comparaison des dimensions des
marches 1 à 9 est satis-faisante.
Les marches d'angles sont harmo-
nieusement disposées.
Méthode des alignements
 Il faut commencer par délimiter la zone
du tournant. Sur le croquis (Dl), on voit
que la marche 10 est celle qui
correspond le mieux au double de la
largeur de l'escalier. Quant à la marche
1, elle se trouve en position dé­favorable
du fait de sa proximité immé­diate du
début du tournant. Dans un tel cas, on
décale la marche d'angle (ici marche 4),
de 3 cm environ vers l'arrière du côté du
limon, de façon à ce que les marches 1
à 3 ne soient pas trop étroites (1).­On
prolonge ensuite les alignements de la
marche 4 en direction du jour d'escalier
(2) jus­qu'à leur rencontre avec les
alignements des marches 1 et 10 (3).
Les segments délimités sur les
alignements 1 et 10 (4) sont répétés
autant de fois qu'il y a de marches à
balancer (voir sur le croquis D 2), et
leurs extrémités sont reliées par des
droites qui donnent le dessin des
marches. Les largeurs obtenues au droit
du limon sont satisfaisantes.
Méthode des angles:
 Comme dans l'exemple précédent, la
première marche à balancer est la
marche 2 (1), et la marche centrale est
la marche 8 (2). La longueur totale à
balancer est de 160×2 cm sur la ligne de
foulée, et 102 cm au limon. Sur un plan
auxiliaire, à l'échelle de 1/10 par
exemple, on trace un angle droit (a), (b),
puis à partir du sommet une oblique à
200 environ (c). Depuis ce sommet (3)
on porte sur la ligne (c) une série de
segments correspondant à la largeur
des marches sur la ligne de foulée
(160,2 cm au total), puis sur la ligne (b)
une longueur correspondant aux 102 cm
mesurés sur le limon. On trace
maintenant une droite (d) passant par
les points (4) et (5), qui coupe la ligne
(a) en (6). Il suffit alors de tirer des
droites entre ce point et les extrémités
des segments portés sur la ligne (c)
pour obtenir la largeur de chacune des
marches au droit du limon. A partir de là,
on peut tracer les marches sur le plan
principal.
Fonction des escaliers :

 Les escaliers ne répondent


qu'a deux fonction : une
fonction d'usage, et une
fonction esthétique.

– FONCTION D'USAGE :
 Un escalier est un ouvrage
permettant de passer à
pied d'un niveau à un
autre. C'est son unique
fonction d'usage et il n'a
pas de fonction technique
secondaire.
– FONCTION ESTHÉTIQUE :
 La fonction esthétique est très
importante pour les escaliers. A
l'extérieur, non seulement l'escalier
ne doit pas enlaidir la façade mais,
par son volume, sa conception et
les matériaux utilisés, participent à
son équilibre et s'harmonisent avec
son architecture.
 Dans un hall, l'escalier est plus
souvent une réalisation de prestige,
il est la pièce maîtresse sur laquelle
les yeux vont se fixer en entrant.
 Dans une maison individuelle,
l'escalier est souvent considéré
comme le premier meuble de la
maison, il trouve souvent sa place
dans le séjour, étant fréquemment
considéré comme un élément
essentiel de la décoration du
logement au même titre que la
cheminée.
Mise en œuvre:
– MISE EN ŒUVRE :
 La mise en œuvre des escaliers diffère
selon les matériaux utilisés, et selon son
mode de fabrication (préfabriqué ou
coulé) :
– Les escaliers en béton : on
distingue :
 Les escaliers préfabriqués
monobloc :
 Pose : il consiste de poser le ferraillage
central du fût, puis de superposer les
deux blocs (la partie inférieur et la partie
supérieur de la volée), et en fin de
remplir le noyau par un béton.
 Avantages : rapidité de mise en œuvre,
 Inconvénients : poids et l'encombrement
spatial dans les remorques de camions.
 Les escaliers hélicoïdaux à
marches indépendantes :
 Pose : elle commence par la mise
en place de crémaillère ou gabarit
(bois ou métal) qui serviront de
guide et de repos pour la pose des
marches successive. Après
ferraillage, on coule le béton du
noyau central en une seule fois.
 Avantages : possibilité de mise en
œuvre à la main, chargement et
transport plus simple, et pas de
problème de dimensionnement de
grue.
 Inconvénient : il nécessite un travail
non négligeable sur chantier, et il
n'est pas opérationnel rapidement.
 Escaliers coulés:
Pose : on commence par préparer un moule (le
coffrage) il peut être préfabriqué, ou mis en
œuvre sur chantier, puis poser le ferraillage
de la paillasse, en fin couler le béton.

 Avantages : pas d'avantage.


 inconvénients : le temps et travail non
négligeable de mise en œuvre, et de
disponibilité après le coulage.

 Escaliers en bois :
 Les élément, qui ont été préparés en atelier et
ont fait l'objet d'un montage à blanc, sont
transportés, assemblé et finis sur chantier
suivant un certain ordre. Les fixations sont
effectuées par scellements secs ou humides.

 Lorsqu'il s'agit d'escalier monoblocs, la pose


consiste en un étayage et un calage.

 Lorsqu'il s'agit d'escaliers hélicoïdaux, ils sont


en général livrés en colis séparé et la pose
consiste à fixer le tube constituant le fût de
pose, à enfiler les marches et à fixer les
éléments du garde corps.
– Escalier en métal :
 La mise en œuvre varie suivant qu'ils sont monoblocs ou par éléments.
 Lorsqu'ils sont monoblocs, ils sont manutentionnés à la grue. La mise
en œuvre consiste en une simple pose par platines boulonnées.
 Lorsqu'il s'agit de petits éléments, ils sont assemblés par soudage ou
boulonnage.
 Dans le cas de petits escaliers hélicoïdaux la pose consiste à fixer le
fût et enfiler les marches avec blocage et boulonnage.
 Ces escalier peuvent nécessité une finition par peinture sur chantier.
Appareil pour handicapé:
 Ces appareils constitués d'une plate forme sont destinés à être
installés dans les escaliers le long des parois. Ils permettent aux
personnes en fauteuil roulant de prendre l'escalier en l'absence
d'ascenseurs pouvant les recevoir.
Escalier mécanique:
– DEFINITION :
escalier dont les marches sont
mises en mouvement par un
système d’entraînement
mécanique.
– HISTORIQUE:
 Le premier modèle, breveté en
1891 était un tapis roulant incliné.
À la même époque, on mit au
point un dispositif similaire muni
de marches horizontales, et dont
le nom déposé fut « Escalator ».
En 1900, lors de l’exposition
universelle de Paris, la société
américaine Obtis Elevator
Compagny présenta le premier
escalier mécanique. À partir de
1921, elle produisit un Escalator
proche de ceux que l’on utilise
actuellement.
Utilisation:
 Pour une circulation intense et
de faibles déplacements (un à
deux étages), les escaliers
mécaniques présentent une
alternative très intéressante par
rapport aux ascenseurs : ils
permettent une circulation
fluide, en continu et à grand
débit, reviennent moins cher
(investissement, entretien), et
occupent un volume réduit. Ils
sont très utilisés dans les
espaces ouverts au grand
public : grands magasins, gares,
métro, musées, grands stades
ou halls de spectacles.
Conception:
 2 poulies.
 Trappe:
– Moteur.
– Réducteur.
 Glissière.
 Fin de course:
– Déclencheur.
– Frein.
 Charpente métallique.

 Longueur en plan:
– Pente de 30°: l=1.732 *
hauteur de l’étage.
– Pente de 35°: l=1.428 *
hauteur de l’étage.
Ascenseur et monte-charges:
Historique:
 Roues à cage d’écureuil, à échelons,…
sont mues par l’homme pour soulever
de plus en plus facilement et rapidement
des charges . C’est le pape Léon x qui,
dans son château romain Saint-Ange,
aurait installé le 1er ascenseur.
 En 1859,Otis lance l’ascenseur à
vapeur,
 1860, l’Angleterre découvre « ascending
room » (lift).
 1867, exposition de paris , Léon Edoux
réalise l’élévateur hydraulique .
 1889, les 5 asc. (2 Otis, 2 roux et
Lépape,1 Edoux) de la tour Effel.
 Aux 20 eme siècle, ascenseur électrique
et hydraulique se progressent (rapidité,
capacité, et confort).
 En 1989, Koné utilise un moteur
synchronique régulé en tentions et en
fréquence.
 Dernière révolution (la télésurveillance
et le télégestion grâces à l’électronique
et ses microprocesseurs.
 ASCENSEUR : appareil élévateur
installé à demeure, desservant des
niveaux définis, comportant une cabine,
dont les dimensions et la constitution
permettent l'accès des personnes, se
déplaçant, au moins partiellement, le
long de guides verticaux ou dont
l'inclinaison sur la verticale est inférieur
à 15°.
 MONTE-CHARGE : appareil élévateur
installé à demeure, desservant des
niveaux définis, comportant une cabine
inaccessible aux personnes par
dimensions et sa constitution, se
déplaçant au moins partiellement le long
des guides verticaux.
 Pour satisfaire à la condition
d'inaccessibilité, les dimensions de la
cabine doivent être au plus égales à :
 Surface = 1.00 m².
 Profondeur = 1.00 m.
 Hauteur = 1.20 m.
Classification:
 A partir de cette définition il résulte
4 classes d'ascenseurs.

 Classe I : Ascenseurs destinés au


transport des personnes.

 Classe II : Principalement destinés


aux personnes et accessoirement
des charges, elle diffère des
classes 1 et 3 par son
aménagement intérieur.

 Classe III : Ascenseurs pour


transport des malades couchés.

 Classe IV : Ascenseurs destinés au


transport des charges
accompagnés de personnes.
Typologie:
– ASCENSEUR A ADHÉRENCE : ascenseur dont les câbles sont entraînés par
adhérence dans les gorges de poulie motrice de la machine.
– ASCENSEUR A TREUIL ATTELÉ : ascenseur à suspension par chaînes ou dont
les câbles sont entraînés autrement que par adhérence.

 DÉFINITION D'ORDRE TECHNIQUE :


– CABINE : organe destiné à recevoir les personnes et / ou les charges à transporter.
– GARDE-PIEDS : tablier comportant une partie verticale lisse à l'aplomb du bord d'un
seuil de palier ou de cabine et au-dessous de celui-ci.
– GAINE : volume dans lequel se déplacent la cabine et le contrepoids, s'il en existe
un.
– CUVETTE : partie de la gaine située en contrebas
du niveau d'arrêt inférieur desservi par la cabine.
– L'ÉTRIER : ossature métallique portant la cabine ou le
contrepoids, elle peut faire partie intégrante de la cabine.
– GUIDES : organes assurant le
guidage de l'étrier de cabine ou de
contrepoids.
– MACHINE : ensemble des organes
moteurs assurant le mouvement et
l'arrêt de l'ascenseurs.
– AMORTISSEUR : organe
constituant butée déformable en fin
de course, et comportant un
système de freinage par fluide ou
ressort.
– LOCAL DES MACHINES : local où
se trouvent l'appareillage.

 CARACTÉRISTIQUES :
– SURFACE UTILE : surface de la
cabine, mesurée à un mètre au-
dessus du sol.
– CHARGE NOMINALE : charge pour
laquelle l'appareil a été construit.
– VITESSE NOMINALE : vitesse
moyenne de la cabine.
Fonction:
 Les ascenseurs, monte-charge, escaliers mécaniques,
etc. ne répondent qu'à une seule fonction, la fonction
d'usage (permettre à des personnes, des voitures ou des
charges de passer d'un niveau à un autre).

 Cela n'empêche pas que certaines parties puissent être


traités d'une façon esthétique.

 Les ascenseurs situés dans des immeubles d'habitation


doivent assurer le transport des personnes valides,
handicapés et malades sur brancards, ainsi que des
cercueils, des meubles (sommiers) et le matériel des
pompiers.
Mise en œuvre:
 Pour les ascenseurs de personnes, la conception
est différente suivant qu'il s'agit d'un immeuble
neuf ou ancien, de niveaux accessible aux
handicapés ou pas, et d'usage de l'immeuble
(habitat ou bureaux). Elle fonction de la population
à prendre en compte et de la qualité du service.
 La mise en œuvre consiste à un montage effectué
sur chantier, par des entreprises spécialisées, on
commence par la mise en place des amortisseurs,
puis l'appareillage, le contrepoids, le limiteur de
vitesse, la cabine, et enfin le câblage (ascenseurs
à adhérence).
Bibliographie:
 Les escaliers:
 Code ouvrage: 06230001a.
 Gisement:A 2525.
 Ancienne cote:6111/01,02,04,05,06,07,08.
 Escalier,ascenseur, et monte-charge:
 Code: 06230003t.
 Gisement:A2525.
 Cote:6111/003.
 Revue:TA 395.
 Internet: Google recherche.
 Encarta 2005.
 Neufert 7e édition.
 Ingénieur : en électromécanique.
Un film de 15 mn sur les ascenseurs de la
société ALFA.

MERCI POUR VOTRE


ATENTION.

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