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Dans un système isolé, l’énergie,

l’impulsion, le moment cinétique,


sont conservés au cours du temps.
Continuité

d
dt ∫
V
ρ dV + ∫ ρ v ⋅ dS =
S
0

v
ds
Continuité
dA

V
Flux massique traversant la surface

d

dt V
− ∫ ρ v ⋅ dA
ρ dV =
A

Accumulation dans le volume dans le temps


Continuité
dA
2
− ∫ ρ v ⋅ dA
= ρ 2 v2 A2 − ρ1v1=
A1 0
V
1

Flux massique traversant la surface

d

dt V
− ∫ ρ v ⋅ dA
ρ dV =
A

Accumulation dans le volume dans le temps


0
Régime permanent
Continuité

ρ 2v2 A2

ρ1v1 A1
2
− ∫ ρ v ⋅ dA
= ρ 2 v2 A 2 − ρ1v1 A
=1 0
1

=m ρ=
2 v2 A2 ρ1v1 A1
Quantité de Mouvement

d
=
F
dt ∫
V
ρ vdV + ∫ ρ v v ⋅ dS
S

v
ds
Quantité de Mouvement

Flux de la Q. de Mouv..

d
dt ∫
V A
∑F
ρ vdV + ∫ ρ vv ⋅ dS =
A

Variation de la Q. de mouvement dans le volume Forces de corps et de surface


dS
vdS
v

ρv
Moment angulaire

d
M=
dt ∫
V
r × ρ vdV + ∫ r × ρ v v ⋅ dS
S

v
ds
Moment angulaire

d
dt ∫
V
r × ρ vdV =
0

M= ∫
S
(r × ρ v) v ⋅ dS = (r2 × v2 ) ρ 2 v2 A2 − (r1 × v1 ) ρ1v1 A1

m 
m
= ρ=
m 2 v2 A2 ρ 1 v1 A1
Moment angulaire

d
dt ∫
V
r × ρ vdV =
0

M= m
 (r2 × v2 − r1 × v1 )

= ρ=
m 2 v2 A2 ρ 1 v1 A1
Moment angulaire

M= m
 ( r2 × v2 − r1 × v1 )
C2x C2=v2
C2m

C2u
r2

ω
r1
C1=v1
C1m

C1u C1x
Moment angulaire

V=C
θ r x v = r cu
Cu cu=c sinθ

r
Cu :composante tangentielle de la vitesse absolue C projetée
dans la direction de U
Cx :composante axiale de la vitesse
Cm: :composante méridionale de la vitesse absolue C projetée
dans la direction normale à U

 ( r2 × V2 − r1 × V1 )
= m
M =  ( c2u r2 − c1u r1 )
M m

v2
U:vitesse tangentielle de la roue

v1
Cu :composante tangentielle de la vitesse absolue C projetée
dans la direction de U
Cx :composante axiale de la vitesse
Cm: :composante méridionale de la vitesse absolue C projetée
dans la direction normale à U

W
M= m
M mω((c(r2cu×
m 2rVr2−
u2 2
−c1c 1)
ru11ru× 1)
r=
V1)  ( c2uU 2 − c1uU1 )
m

v2
U:vitesse tangentielle de la roue

v1
=W  ( c2 uU 2 − c1uU1 )
m
W
=
E =

( C 2 uU 2 − C1uU1 )
m

H =
( C 2 uU 2 − C1uU1 )
g

∂t ∫
V
ρ edV + ∫ ( ρ e + p )v ⋅ dS =Q − W
S

vdA
dA
e=( u + v 2 2 + gz )
v
Q
ρe p
W

e=( u + v 2 2 + gz )
∂t ∫
V
ρ edV + ∫ ( ρ e + p )v ⋅ dS =Q − W
S

0 1-D 0

∫S
( ρ e + p )v ⋅ dS =
( ρ vAe + pvAρ / ρ ) 2 − ( ρ vAe + pvAρ / ρ )1 =
−W

1-D
= ρ=
m 2 v2 A2 ρ 1 v1 A1
( ρ vAe + pvAρ / ρ ) 2 − ( ρ vAe + pvAρ / ρ )1 =
−W

 p2   p2 
  e2 +
m  −m
  e2 +  =−W e=( u + v 2 2 + gz )
 ρ2 2  ρ2 2
=
h (u + p ρ )
 V22   V12    V2
  h2 +
m  −  h1 +  =−W h0= h +
 2   2  2

 ( h02 − h01 ) =
Soudainement, on se place du point de vue du fluide
m W et on considère que l’énergie 𝑊𝑊̇ est positive si le
fluide augmente son niveau énergétique lors du
passage par le rotor.
Énergie Euler

( h02 − h01=) ( C 2 uU 2 − C1uU1 )


Bâche
spirale

Avant-Distributeur,
Avant-Directrices

Roue Directrices

Aspirateur
300 Q = 272 m3/s, r i = 3.8m, bo=1.4 m, θ=300, ρ=1000 kg/m3
V? ri
b0

=
m ∫ ρ v ⋅ ds= ρ vr 2π rb
i 0
vr: vitesse radiale

 ρ=
=
m Q ρ vr 2π rb0 vr = 814m / s

vr 814
=V = = 940m / s
cos θ 0.866
Calculez la puissance générée
W
=
E =

( c2 uU 2 − c1uU1 )
m
=c1u c=
1 cos 20 0
916m / s
U=
2 U=
1 U= π d n / 60

W
=
−523.6 × 916 =
−479616(m 2 / s 2 )
m

W =
−6(kg / s ) × 479616(m 2 / s 2 ) =
−2.8776 MW
Les lois de la thermodynamique contrôlent la
montée et la chute des systèmes politiques, la
liberté ou la soumission des peuples, les
mouvement de l’industrie et du commerce, les
origines de la richesse et de la pauvreté, et le bien-
être de la race humaine.

FREDERICK SODDY
(Prix Nobel 1921)
Le premier principe concerne le caractère
conservatif de l’énergie
Le second principe regarde la qualité de
l’énergie
processus quasi-statique
(compression très-très lente)

A B

État initial
État final

processus réel
( compression rapide)
2

dz
δl

1 Mont Royal

2
∫ δl = L
2
1 ∫1
dz= z2 − z1
∮ 𝜹𝜹𝒍𝒍 ≠0 ∮ 𝒅𝒅𝒅𝒅=0
δl dépend du chemin suivi dz est indépendante du chemin suivi
entre les états 1 et 2 entre les états 1 et 2
p A dV > 0 B A

W AB > 0
VB

∫ PdV
VA
B

p A
v
∫ PdV = W cycle > 0

p A
dV < 0
B
W AB < 0
VA
B v
∫ PdV
VB

v
UI = UF
∆U = Q − W
∆U =
0

Q =W
Source Qch
chaude
W = ηQch

Tch T fr
ηmax = 1 −
Tch
Q fr
Source
froide
T fr
Qch

Convertible Non convertible

 T fr 
W ≤  1 − Qch
 Tch 
L’entropie ne peut
que croître au
cours du temps

dS = δQ/T
T4
Q4
Qch Q3 Q5
Tch T3 T5

Q2
Q fr Q1
T2
T fr
T1

Q fr Qch 5 Qi
+ ≤0 ∑ ≤0
T fr Tch i =1 Ti
𝑁𝑁
𝑄𝑄𝑖𝑖 𝛿𝛿𝑄𝑄
� →�
T 𝑇𝑇𝑖𝑖 𝑇𝑇
𝑖𝑖=1
δQ
𝛿𝛿𝑄𝑄
Cycle irréversible
(réel)
∮ 𝑇𝑇 <0
𝛿𝛿𝑄𝑄
Cycle réversible
(idéal-imaginaire) ∮ 𝑇𝑇 =0
f
Indépendant du 𝛿𝛿𝑄𝑄𝑟𝑟𝑟𝑟𝑟𝑟
chemin suivi i
∮ 𝑇𝑇 =0
Indépendant du chemin

f δ Qrév
réversible f

∫i T
S ( f ) − S (i ) =

i
δ Qirr
f
irréversible S ( f ) − S (i ) ≠ ∫
i
T
𝛿𝛿𝑄𝑄
Irréversible + système isolé ∮ 𝑇𝑇 ≤0
f
f δQ f δQ
i
∫i T ∫i T ≤ 0
irrv
− rév

réversible f δ Qrev
∫i T
S( f ) − S( i ) =

f δ Qirrv
S( i ) − S( f ) + ∫ ≤0 δ Qirrv = 0 (système isolé)
i T

S ( f ) ≥ S (i )
Il existe une fonction qui ne peut jamais décroître dans un
système isolé. Cette fonction est l’entropie S

La variation de l’entropie ΔS est donnée par


f δ Qrev

=S S( f ) − S(=
i) ∫i T

où Qrev est la chaleur échangée de manière réversible et T est la


température à laquelle l’échange se produit.
P2 État initial

P1 État final

P2 P2 W

V1 V2
État initial État final
P1

δ→0
P2 P2 État initial
P2- nδ=P1
P2- δ
P2- 2δ
P1 État final
P W
P2 P2- 2δ

Vi Vf
État initial État final
δ→0
Pi État initial Pi État initial

Pf État final Pf État final


W W
Vi Vf Vi Vf

La qualité de la transformation est différente: Le travail produit est


maximal pour une transformation réversible
P1 P2 P3
V1 V2 V3
T1 T2 T3

2 3 Ensemble de points à l’équilibre


dans “l’univers thermodynamique ”
1
S
Processus quasi-statique: une courbe (une succession
d’états d’équilibre) sur la surface X,Y,S,

B
Y
Processus quasi-statique irreversible: une courbe
sur la surface, qui a lieu à entropie croissante
A
SB − S A ≥ 0 X
S
Processus quasi-statique irreversible: une courbe
sur la surface, qui a lieu à entropie croissante
S=cte

Y
Processus quasi-statique réversible:un processus
B
quasi-statique qui a lieu à entropie constante A

X
La surface d’état est une idéalisation dans l’univers S
thermodynamique. Cette idéalisation permet de
concevoir un processus idéal (des équations), dit
quasi-statique, décrivant le passage par une série
d’états d’équilibre sur cette surface.
B
Y

processus réel
A
Un processus réel est succession d’états hors l’équilibre
thermodynamique. Il ne peut donc pas être défini sur la X
surface d’état et on ne connait pas des équations pour le
décrire.
Solide

Liquide
T= c te

Liquide
T= c te Vapeur

Solide
Vapeur
p = c te

Solide

p = c te
Liquide

Liquide
Vapeur

Solide
Vapeur
p = ρ RT
R est le rapport entre la costante universelle Ru=8314.3 J/(kmol K) et la
masse moléculaire du gaz :
Ru
R=
M

 ∂u  T2
∫ cv dT
du u2 − u1 =
=cv = 
 ∂T v dT
T1
p
h=u+
ρ

 ∂h  dh T2
=c p = 
 ∂T  p dT ∫ c p dT
h2 − h1 =
T1

γR R cp
c=
p − cv R; =cp ;=cv ;=γ
γ −1 γ −1 cv
δ Qrev δ Qrev
f

∆s =∫ ds =
i
T T

δ q = δ Qrev

δq
ds = δ q = Td s
T

Le premier principe 𝑑𝑑𝑑𝑑 = 𝛿𝛿𝑞𝑞 − 𝛿𝛿𝑊𝑊 = 𝛿𝛿𝑞𝑞 − 𝑝𝑝𝑝𝑝𝑝𝑝 s’écrit donc


= dq − δ W
du = Tds − p d v
du d=
h Tds + vd p

Tds =du + pdv =dh − vdp

Il s’agit de la formulation du premier principe en fonction de


variables d'état uniquement!
La définition d’enthalpie 𝑑𝑑ℎ = 𝑐𝑐𝑝𝑝𝑑𝑑𝑑𝑑, ainsi que l’équation des gaz
parfaits 𝑃𝑃𝑃𝑃 = 𝑅𝑅𝑅𝑅, permettent d’écrire l’équation du premier
principe 𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇 = 𝑑𝑑𝑑 − 𝑣𝑣𝑣𝑣𝑣𝑣 sous la forme

RT dT dP
=
Tds c p dT − dP =
ds c p −R
P T P
Lorsque cp ≅ constante et cv ≅ constante, on trouve

T2 P2
s2 −
= s1 c p ln − R ln
T1 P1

T2 V2
s2 −=
s1 cv ln − R ln
T1 V1
R
T2 P2 T2  p2 
s2 −
= s1 c p ln − R ln
Cp
= 
T1 P1 T1  p1 

γR
cp =
γ −1

γ −1
 T2   p2  γ Relation isentropique
  =   lorsque cp=cte.
 1  s = const .  1 
T p
h0
v2
h0 = h +
2
La valeur atteinte par l’enthalpie h lorsque le fluide est emmené au repos selon un
processus adiabatique réversible.

h0 T0
v2
∫ dh = ∫ c
h T
p dT h0 −=
h c p (T0 − T=)
2
v2
T0= T +
2c p
Remarque: Quantité Totale= Quantité de Stagnation = Quantité d’Arrêt
h0
v2
h0 = h +
2

h0
γ −1
 T0   P0 γ
  = 
T  P 
  s =const .  
v2
T0 = T +
2c p
gz1  V22 
 
 2 

gz2
 V22 
 
T01  2c p 

T2
v
M=
a
v2
a = γRT T0= T +
2c p
γR
cp =
γ −1 T0 γ −1 2
= 1+ M
T 2

Remarque: Quantité Totale= Quantité de Stagnation = Quantité d’Arrêt


• L’entropie de l’état de stagnation est la même que celle du
fluide au repos
• La température de stagnation est supérieure à la
température statique
• La différence entre ces deux températures correspond à
l’énergie cinétique du fluide

Remarque: Quantité Totale= Quantité de Stagnation = Quantité d’Arrêt


La valeur atteinte par p et ρ lorsque le fluide est emmené au
repos par un processus isentropique

γ / ( γ −1 ) 1/ ( γ −1 )
p0  γ −1 2  ρ0  γ − 1 2 
= 1+ M  = 1+ M 
p  2  ρ  2 

T0 γ −1 2
= 1+ M
T 2
On parle de quantités critiques lorsque M=1

γ / ( γ −1 ) 1
p∗  2  T∗
 2  ρ∗
 2  γ −1
=  = =
p0  γ + 1  
T0  γ + 1  ρ0  γ + 1 
Pour un écoulement isentropique dans une conduite, il est possible de
combiner plusieurs équations en une seule afin d’exprimer le débit massique
en fonction du nombre de Mach, des conditions de stagnation et de la
section de la conduite. Notamment

a= γ RT

p p p
= ρ=
m vA =
vA γ=
vA γaM A
RT γ RT γ RT

p p RT
= ρ=
m vA γ γ RT M
= A γMA 
m =M γ
γ RT γ RT pA
γ −1 1
 T0   p0   ρ0   T0 
γ γ −1
=    = ,    
RT
T   p   ρ  T 

m =M γ
pA
T0 γ −1 2
= 1+ M
T 2

γ +1
− Connaissant le nombre de Mach,
RT0  γ −1 2 2( γ − 1 ) on peut trouver facilement le débit.
m= M γ  1 +
 M  Par contre, il faut résoudre une
 
équation non linéaire pour trouver
P0 A 2 le nombre de Mach.
• Le diagramme h-s est utilisé pour représenter les
transformations dans les turbomachines
• Dans le plan h-s on peut facilement visualiser et comparer
les variations d’enthalpie entre une transformation réelle
et la transformation idéale
La thermodynamique
est 3D Nous regarderons la
projection enthalpie-entropie

Transformation irreversible

Transformation à s=cte
h01

C12/2 1 Ce graphique h-s comprend


4 plans à p=cte; p1,p01,p2, p02
Ws Wr h1

C22/2
h02
h2
C22/2 2

2s
Turbine
𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕 𝒅𝒅𝒅𝒅𝒅𝒅𝒅𝒅𝒅𝒅𝒅𝒅𝒅𝒅𝒅𝒅𝒅𝒅𝒅𝒅 𝒅𝒅𝒅𝒅𝒅𝒅𝒅𝒅 𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍 𝑊𝑊𝑟𝑟
ηs= =
é𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏 𝒕𝒕𝒉𝒉𝒉𝒉𝒉𝒉𝒉𝒉𝒉𝒉𝒉𝒉𝒉𝒉𝒉 𝒅𝒅𝒅𝒅 𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇 𝑊𝑊𝑠𝑠

Compresseur

é𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏 𝒅𝒅𝒅𝒅 𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇 𝑊𝑊𝑠𝑠


ηs= =
é𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏𝒏 𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇𝒇 𝒑𝒑𝒑𝒑𝒑𝒑 𝒍𝒍′ 𝒂𝒂𝒂𝒂𝒂𝒂𝒂𝒂𝒂𝒂 𝑊𝑊𝑟𝑟
Wr = h01 − h02 h01 − h02
h01
ηtt −T =
Ws = h01 − h02 s C1 2/2 1
h01 − h02 s
Ws Wr h1

C22/2
h02

h2
C22/2 2

2s

1 2
= h02 s − h01 h02 s − h01
C22/2
W h02
s
ηtt =
W=
r h02 − h01 C22/2
h2

h02 − h01
Wr Ws

h01

C12/2
1 2

h1 ❶
h01 − h02
Turbine ηttT =
h01 − h02 s

h02 s − h01
Compresseur ηttC =
h02 − h01
h01 − h02
Turbine ηtt =
h01 − h2 s

h2 s − h01
Compresseur ηtt =
h02 − h01
Turbine

1 1 c22
= −
ηtt ηts 2(h01 − h02 )

On constate que 𝜼𝜼𝒕𝒕𝒕𝒕 >ηts


Ws =
∆h02 s =
h02 s − h01 =
c p (T02 s − T01 )

  T02 s  
Ws =
∆h0 s =   T  − 1
c pT01  
  01  

γR γ −1   T02 s  
=
cp == cnte. Ws RT01 
   − 1

γ −1 γ  T 01  
γ −1   T02 s  
Ws RT01 
   − 1

γ   01 
T 
( γ−1)/ γ

 T02 s   p02 
Isentropique  = 
 01   01 
T p

 p  
( γ−1)/ γ

γ p01   02 
Ws − 1
γ − 1 ρ01   p01  
 
Processus décrit par 𝑝𝑝𝑝𝑝 𝑛𝑛 =cte (𝑐𝑐𝑝𝑝 demeure 𝛾𝛾𝑅𝑅⁄ 𝛾𝛾 − 1 !)

 p  
( n −1)/ n

γ p01   02 
Weff − 1
γ − 1 ρ01   p01  
 
On regarde le rapport entre le travail réel et
le travail idéal d’un étage infinitésimal

δ hs
δh η= lim →
p
δh
Compresseur

δhs
Compresseur
dhs
ηp =
dh

= dh − vdp
Tds dp / ρ dpRT / p
ηp
= =
c p dT c p dT
= dhs − vdp
Tds
2 dT R p2 dp
dh = c p dT ∫
1 T
=
c pη p ∫ p1 p
Définition
R
T2  p2  c pη p
= 
T1  p1 
Turbine
dh
ηp =
dhs

= dh − vdp
Tds c p dT c p dT
ηp
= =
dp / ρ dpRT / p
= dhs − vdp
Tds
2 dT Rη p p2 dp
dh = c p dT ∫1 T
=
cp ∫ p1 p
Rη p

T2  p2  cp
= 
T1  p1 
Compresseur
R / c pη p ( γ − 1 )/ γη p
T2  p2   p2 
= =   
T1  p1   1
p

 p / p ( γ −1)/γ − 1 
T2 s − T1 T2 s / T1 − 1  ( 2 1)  c p = cte.
=ηs = =
T2 / T1 − 1  ( p / p ) 
( γ −1)/γη p
T2 − T1 − 1
 2 1 

ηs ≤ η p
Turbine
Rη p / c p η p ( γ − 1 )/ γ
T2  p2   p2 
= =   
T1  p1   1
p

 p /p p 
η ( γ −1)/γ

T2 − T1 T2 / T1 − 1  ( 2 ) − 1  c p = cte.
=ηs = = 1

T2 s − T1 T2 s / T1 − 1  ( p / p ) 
( γ −1)/γ

 2 1 − 1 

η p ≤ ηs
 p / p ( γ −1)/γ − 1 
ηs =  ( 2 1) 
(p / p ) 
( γ −1)/γη p

ηs ≤ η p  2 1 − 1 

 p / p 
( γ −1)η /γ

( )
p

− 1
η s =  2 1 ( γ −1)/γ 
 (p / p ) − 
ηs ≥ η p  2 1 1 
L’équilibre thermodynamique
correspond au maximum de
l’entropie
= dh − vdp
2 2
Tds ∫1
Tds = h2 − h1 − ∫ vdp
1

δQ Q 2 2
ds =
T
,
m
= ∫
1
Tds = h2 − h1 − ∫ vdp
1
02
∆h0 = h02 − h01 = ∫
01
vdp (Q = 0)

W W 02
− =
∆h0 We = We = − ∫ vdp
m m 01
02
pv = cte
n
We = − ∫ vdp
01

n nR
Wp =
− ( p02 v02 − p01v01 ) =
− (T02 − T01 )
n −1 n −1
n −1
T02  p02  n
=
n p01   
( n −1)/ n

 p02  T01  p01 


Wp =
−    − 1
n − 1 ρ01   p01  
 
 p  
( γ−1)/ γ

γ p01   02 
Ws − 1 Isentropique
γ − 1 ρ01   p01  
 
 p  
( n −1)/ n

γ p01   02 
Weff − 1 Effectif
γ − 1 ρ01   p01  
 
 p  
( n −1)/ n

n p01   02 
Wp − 1 Polytropique
n − 1 ρ01   p01  
 
Turbine

Weff Weff
ηs = ηp
Ws Wp

 p  
( n −1)/ n

γ p01   02  − 1
γ − 1 ρ01   p01   (n − 1) / n
ηp =   ηp =
 p 
( n −1)/ n
 (γ − 1) / γ
n p01   02  − 1
n − 1 ρ01   p01  
 
Compresseur

Ws Wp
ηs = ηp
Weff Weff

 p  
( n −1)/ n

n p01   02  − 1
n − 1 ρ01   p01   (γ − 1) / γ
ηp =   ηp =

( n −1)/ n
 ( n − 1) / n
γ p01   p02 
  − 1
γ − 1 ρ01   p01  
 
À l’entré du rotor d’un compresseur la vitesse moyenne est C1=300 m/s. L’aire
de la section de passage est A=0.08 m2. La température et la pression de
l’environnement autour du compresseur sont respectivement T =300K et
P = 100kPa. La puissance fournie au fluide est W=300 MW. Calculez:

c1

A=0.08 m2
•Les conditions de stagnation: température, pression et
1 masse volumique à l’entrée du compresseur

•Le débit massique


2

•La pression de stagnation maximale possible à la sortie


3

Considérez un processus isentropique entre tout point de


l’environnement et l’entrée du compresseur
Considérez que la vitesse c1 est alignée avec l’axe de l’arbre
Considérez l’air comme un gaz idéal avec R~287(J/kg-K) et
cp =1010(J/kg -K)
C1=300 m/s A=0.08 m2
T =300K P = 100kPa
Conditions de stagnation à l’entrée du compresseur W=300 MW

p01 kg
T01 =300 K , p01 =100kPa → ρ 01 =1.162 3
RT01 m
Débit massique ρ1v1A1 ?
c 21
T01= T1 +
2c p
Température T1
c 21 300 2
=
T T01 − =−
300 =
255.4 K
2 × 1010
1
2c p
C1=300 m/s A=0.08 m2
T =300K P = 100kPa
Pression W=300 MW

cp 1010
p1  T1  R  255  287
=  → 100   =
56.75 kPa
p01  T01   300 

Masse volumique ρ1

 p1   56.75  kg
=ρ1 =   =  0.774 3
 RT1   287 × 255  m
C1=300 m/s A=0.08 m2
T =300K P = 100kPa
Masse volumique ρ1 W=300 MW

 p1   56.75  kg
ρ1 =   =  0.774
 RT1   287 × 255  m 3

Débit massique
 = ρ1 A1c1 = 0.774 × 0.08 × 300 = 18.57 kg / s
m
Pression maximale à la sortie
W
= h02 − h01 = c p (T02 − T01 )
m
C1=300 m/s A=0.08 m2
T =300K P = 100kPa
W=300 MW

W
T02 =+
T01 =
315.8 K
 × cp
m

cp

p02  T02  R
=   → p=
02 119.8 kPa
p01  T01 
Un compresseur centrifuge tourne à n=20000 rpm. Le diamètre extérieur est
D=300 mm et le nombre de pales est Z =15. Les conditions de stagnation à
l’entrée sont T=150C et p= 100kN/m2. Le débit massique d’air est 𝒎𝒎̇ =0.9kg/s et
la composante périphérique de la vitesse absolue à la sortie est 90% de la vitesse
tangentielle U en ce point. Le rendement polytropique du compresseur est
ηp=80%. Trouvez le rapport: P-d’arrêt-sortie/P-d’arrêt-entrée dans le rotor.

Considérez que la vitesse absolue de l’écoulement à l’entrée est alignée avec


l’axe de l’arbre (sans prérotation)
Considérez l’air comme un gaz idéal avec R=287(J/kg-K) et cp =1012(J/kg -K)
ηp =0.8

c 2u = 0.9U 2

kg
 = 0.9
m
c2 s
c2m
c2u U2 D 2 = 300mm
c1
T0 = 150 C
u1
kN w1
P0 = 100 2
m

n = 20000 rpm
. kg
m = 0.9
s
T01 = 15 C
0

W P01 = 100
kN
= ( h02 − h01 ) = (c2uU 2 − c1uU1 ) = 0.9U 2 × U 2 m2
m D 2 = 300mm
ηp =0.8
n = 20000 rpm
2π n D 2π × 20000 0.30 m
=
U2 = = 314.16 c 2 u = 0.9U 2
60 2 60 2 s

W
2
 m m2
=
0.9 ×  314.16  = 88826 2
m  s s

W m2
= h02 − h01 = c p (T02 − T01 ) = 88826 2
m s
. kg
m = 0.9
s
T01 = 15 C
0

kN
P01 = 100
m2
W 88826 m 2 s 2 D 2 = 300mm
T02 =T01 + =288 K + ηp =0.8
cpm  1012 J kg − K n = 20000 rpm
c 2 u = 0.9U 2

T02 = 375.68 K

T01 + T02
T=
02 = 331.89 → =
c p 1007.8 J kg − K
2
On a cherché une température moyenne puisque la valeur de cp
dépend de la température
. kg
m = 0.9
s
T01 = 15 C
0

kN
P01 = 100
η pcp 0.8×1007.8 m2
p02  T02 
R
 375.8 287 D 2 = 300mm
=   = 2.117 ηp =0.8
p01  T01   288  n = 20000 rpm
c 2 u = 0.9U 2
.
rp1 =1.8 η1s=82.%,(Ws1=78400J/kg)
rp2 =2.1 η2s=78%
rp3 =2.3 η3s=78%
rp4 =2.6 η4s=74%
P01 =1.5 bar, T01 =350 K , γ=1.4, ηks=rendement isentropique de l’étage k.

Calculer le rendement polytropique du premier étage. Trouver le rapport


T0entrée / T0sortie pour chaque étage. Par la suite, calculer ce rapport de
température, le rp et le ηs pour des configurations à 2,3 et 4 étages
T2 s − T1 T2 s / T1 − 1  ( p2 / p1 ) −1 
( γ−1)/ γ

=
ηs = =  
T2 − T1 T2 / T1 − 1  T2 / T1 − 1 
 
1
(( p / p ) )
( γ−1)/ γ

T2 / T1 −1 +1
ηs
2 1

(p / p ) −1   p / p ( γ−1)/ γ − 1 
( 2 1)
( γ−1)/ γ

ηs = 2 1
 ηs = 
(p / p ) 
( γ−1)/ γη pol
 T2 / T1 − 1  −
   2 1 1 
( γ −1)/ γη pol
T2  p2 
= 
T1  p1 
rp1 =1.8 η1s=82.% (p / p ) −1 
( γ −1)/γ

rp2 =2.1 η2s=78% η1s = 2 1



 T2 / T1 − 1 
rp3 =2.3 η3s=78%  
rp4 =2.6 η4s=74%

 ( rp ) −1 
( γ −1)/γ

T2 / T1  1
 +1 T2 / T1 = 1.22
 η1s 
 
( γ −1)/ γη p
T2  p2 
=  η p = 0.84
T1  p1 
T2 / T1 = 1.22
T3 / T1 =(T3 / T2 )(T2 / T1 ) =1.3 × 1.22 =1.59
T3 / T2 = 1.30
T4 / T1 = 1.30 × 1.22 × 1.34 = 2.14
T4 / T3 = 1.34
T5 / T1 = 1.30 × 1.22 × 1.34 × 1.42 = 3.05
T5 / T4 = 1.42
p3 / p1 = ( p3 / p2 )( p2 / p1 ) = 1.8 × 2.1 = 3.78

p4 / p1 = 1.8 × 2.1× 2.3 = 8.69

p5 / p1 = 1.8 × 2.1× 2.3 × 2.6 = 22.6

(p / p ) −1 
( γ−1)/ γ

η13 s 
= 3 1
 η13 s =
0.779
 T3 / T1 − 1 
 
η14 s =
0.745

η15 s =
0.70
À venir:
Les machines axiales

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