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Sector bancar
Le marché intérieur dans le secteur bancaire est une réalité depuis le 1er janvier 1993, date de
l'entrée en vigueur de la deuxième directive de coordination bancaire. Cette directive a établi le
principe d'un agrément unique autorisant les banques et autres établissements de crédit à
s'établir librement avec des succursales et à offrir leurs services dans toute la Communauté; elle
contient une liste des activités bancaires qui peuvent être fournies dans tous les États membres
pour autant qu'elles aient été couvertes par cet agrément. Au-delà des exigences déjà retenues
dans la première directive de 1977, cette directive exige un niveau de capital minimal pour les
banques, et elle impose des règles prudentielles concernant, entre autres, les participations
qualifiées, la bonne organisation administrative et comptable, et les procédures de contrôle
interne adéquates.
l'harmonisation essentielle pour tous les États membres des lois et des pratiques
réglementant l'accès à l'activité bancaire, les fonds propres requis aussi bien pour faire
face aux risques de crédit qu'aux risques de marché, la limitation des grands risques vis
à vis d'un même emprunteur individuel ou d'un même groupe de clients liés, la forme, le
contenu et les règles d'évaluation pour les comptes annuels et consolidés publiés par les
banques;
le contrôle par le pays d'origine ("home country control"), renforcé par la coopération
entre les autorités de surveillance nationales - ce qui signifie qu'une banque exerçant ses
activités dans d'autres États membres est soumise au contrôle des autorités
compétentes de l'État membre d'origine, c'est-à-dire du pays qui a émis l'agrément
unique et où se trouve son siège. En outre, les filiales des établissements de crédit sont
soumises à une surveillance sur base consolidée;
la reconnaissance mutuelle par les autorités nationales de surveillance des
réglementations de contrôle en vigueur dans le pays d'origine des banques qui opèrent
sur leur territoire. L'autorisation accordée à des filiales de banques ayant leur siège en
dehors de la Communauté suit, en principe, les mêmes règles, tout en respectant les
accords internationaux auxquels la Communauté a souscrit. Les États membres peuvent
cependant être contraints de suspendre l'autorisation pour ces filiales si ces pays tiers
n'octroient pas aux banques communautaires qui souhaitent s'établir sur leur territoire le
traitement national ou un accès effectif au marché. Une fois autorisée, la filiale d'une
banque ayant son siège dans un pays tiers, jouit des mêmes droits au sein de la
Communauté que ceux qui ont été accordés aux banques communautaires.
Toutefois, ce régime ne sera pas appliqué aux États signataires de l'accord de l'Organisation
Mondiale du Commerce de 1997 sur les services financiers.
Afin de garantir l'égalité de concurrence entre toutes les banques et autres établissements de
crédit dans la Communauté et afin d'éviter des transferts de siège en direction d'un pays où la
surveillance serait moins stricte, les mesures suivantes complétant la deuxième directive de
coordination bancaire ont été adoptées:
La plupart de ces mesures sont en vigueur depuis le 1er janvier 1993, à l'exception de trois
d'entre elles: la directive sur les grands risques est entrée en vigueur le 1er janvier 1994, celle
concernant les systèmes de garantie des dépôts le 1er juillet 1995 et celle concernant les règles
relatives à la surveillance des risques de marché, le 1er janvier 1996. La directive 2000/12/CE
codifie la plupart des directives relatives à l'accès à l'activité des établissements de crédit et son
exercice en les regroupant en un texte unique.
Les pouvoirs des autorités de surveillance ont été renforcés suite à l'adoption de la directive
95/26/CE. Cette directive, qui vise à modifier la directive 77/780/CEE (désormais abrogée par la
directive 2000/12/CE) et la directive 89/646/CEE concernant les établissements de crédit,
concerne également de façon horizontale des directives dans le domaine des autres entreprises
financières. Une autre proposition fait toujours l'objet de négociations. Il s'agit de la proposition de
directive visant à l'harmonisation partielle et à la reconnaissance mutuelle d'assainissement et de
liquidation des établissements de crédit.
En janvier 2001, la Commission a lancé un réseau de résolution extrajudiciaire des litiges (FIN-
NET) dans le secteur des services financiers. Ce réseau vise à aider le consommateur
mécontent du service à trouver une solution à l'amiable à son problème lorsque le prestataire est
établi dans un autre Etat membre. Cette initiative destinée à renforcer la confiance des clients
s'inscrit dans la logique du PAFS et de la communication sur une nouvelle stratégie pour les
services suite au Conseil européen de Lisbonne.
Pour toutes informations concernant les textes susmentionnés, veuillez consulter le site de la
direction générale " Marché Intérieur " de la Commission européenne.
Dernière modification le: 07.07.20
Jean-François Pons
Mesdames, Messieurs,
***
a) Banques en difficulté
***
Mesdames, Messieurs,
DOSSIER
1er mai 2004 : les grands changements de l'Union élargie
Depuis le 1er mai 2004, dix nouveaux pays font partis de l'Union
européenne (UE) : Chypre, l'Estonie, la Lettonie, la Lituanie, la
Hongrie, Malte, la Pologne, la Slovénie, la Slovaquie et la République
tchèque.
* La Commission européenne
* Le Parlement européen
Depuis le 4 mai 2004, les 162 représentants des dix nouveaux Etats
membres de l'UE, qui exerçaient jusqu'à présent leur activité en
qualité d'observateurs, ont le même statut que les 626 députés
européens actuels. Ils siègent jusqu'aux prochaines élections
européennes, qui se déroulent du 10 au 13 juin 2004.
- A partir du 1er novembre 2004 : le nombre total des voix est de 321.
La majorité qualifiée est de 232 voix.
La répartition est la suivante : l'Allemagne, la France, l'Italie et le
Royaume-Uni 29 voix, l'Espagne et la Pologne 27 voix, les Pays-Bas 13
voix, la Grèce, la République tchèque, la Belgique, la Hongrie et le
Portugal 12 voix, la Suède et l'Autriche 10 voix, la Slovaquie, le
Danemark, la Finlande, l'Irlande et la Lituanie 7 voix, la Lettonie, la
Slovénie, l'Estonie, Chypre et le Luxembourg 4 voix, Malte 3 voix.
Par ailleurs, les Etats membres constituant la majorité qualifiée
doivent représenter au moins 62% de la population de l'Union.
Pour adhérer à la zone euro, les Dix doivent faire connaître leur
volonté politique (laquelle fait actuellement défaut pour le Danemark,
la Suède et le Royaume-Uni) et remplir les conditions suivantes :
Le cas de Chypre :
Faute d'avoir trouvé un accord sur le plan proposé par les Nations
Unies, le 1er mai 2004, seule la partie grecque de l'Ile de Chypre a
intégré l'Union européenne. La ligne verte, ligne de démarcation
séparant les deux entités chypriotes, devient donc la frontière
extérieure de l'Union. Il est désormais plus difficile pour les Chypriotes
turcs de se rendre dans le Sud de l'île. Des mesures financières ont
néanmoins été attribuées "pour faciliter le développement économique
du Nord et aider les Chypriotes turcs à sortir de leur isolement
économique" a déclaré Jean-Christophe Filori, porte-parole du
Commissaire à l'Elargissement, Günter Verheugen.
En savoir plus :
Lectures utiles
Polonia
Après les changements de 1989, la Pologne a connu de nombreux bouleversements politiques, sociaux et
économiques. L'introduction de la démocratie, le passage de l'économie dirigée à l'économie de marché,
et le lancement de vastes réformes structurelles, sont des réalisations dont les Polonais peuvent être
vraiment fiers.
La déréglementation des échanges économiques internationaux fut également une révolution. Un taux de
change a été fixé entre la monnaie polonaise et certaines autres monnaies. Cela a fourni les bases d'un
développement économique dynamique. De nouveaux marchés se sont ouverts aux entreprises, leur
offrant la possibilité d'exporter vers des pays considérés comme des Ť ennemis ť non seulement
idéologiques mais aussi économiques il n'y avait pas si longtemps encore. L'Union Européenne et les Etats
Unis d'Amérique devinrent une importante direction d'exportation pour les biens polonais.
Le plan de Leszek Balcerowicz, le Ministre des Finances de l'époque, libéra les prix intérieurs, participa à
l'augmentation des importations, renforça le contrôle des salaires et la politique financière en direction des
entreprises, introduisit des taux d'intérêts supérieurs à l'inflation, stabilisa le cours zloty / dollar et le
rendit convertible. L'économie polonaise se stabilisa et s'ouvrit au monde.
Sinteze
Industria romaneasca, in perioada 1993-1996
Romania parcurge in prezent, ca si celelalte tari din centrul si estul Europei, un proces complex
de tranzitie si reforma mult mai dificil decat s-a presupus initial, care vizeaza incadrarea sa in
randul statelor democratice, cu o economie de piata eficienta, astfel incat sa fie posibila
integrarea, intr-un termen cat mai scurt, in structurile europene si in circuitul economic mondial.
Acest mod de a privi dezvoltarea industriala, in contextul economic al tarii noastre, inseamna, de
fapt, realism argumentat de faptul ca toate statele dezvoltate, cu standarde ridicate de viata
si cu pondere importanta in comertul mondial, sunt state cu o industrie puternica si
competitiva, care sunt, in acelasi timp, initiatoarele proceselor de inovare tehnologica.
Analiza evolutiei industriei romanesti, in perioada 1989-1996, scoate in evidenta doua modalitati
distincte de abordare a acesteia:
A doua, derulata in anii 1993 - septembrie 1996, cu o puternica deschidere pentru perioadele
viitoare, propune si realizeaza redresarea cresterii economice si a competitivitatii in
industrie, in conditiile in care obiectivul marturisit de perspectiva imediata, acela de aderare a
Romaniei la Uniunea Europeana, nu poate fi realizat fara modernizarea economiei romanesti.
In aceste conditii, problema primordiala si, in acelasi timp, instrumentul insanatosirii economiei
nationale il constituie, alaturi de privatizare, restructurarea sistemului productiei nationale in
ansamblul sau, in care industria are ponderea si rolul cel mai important.
Aceasta tendinta a fost stimulata de facilitatile, actiunile si masurile aplicate, intre care cele mai
importante au fost urmatoarele:
Facilitatile financiare si fiscale initiate si aplicate:
o acordarea de credite preferentiale agentilor economici care realizeaza
operatiuni de export;
o acordarea de facilitati financiare pentru operatiuni de export (scutire de
T.V.A. si de taxe vamale pentru importurile destinate productiei de export
etc.);
o creditari avantajoase pentru realizarea de obiective complexe si produse cu
ciclu lung de fabricatie, destinate exportului;
o reglementarea finantarii exporturilor aferente participarii firmelor romane
la construirea unor obiective industriale in strainatate (Combinatele
miniere Krivoi-Rog si Las Camariocas, grupurile energetice de 330 MW
de la Pucheng si Cao-Cun).
Semnarea acordurilor de asociere cu Uniunea Europeana si AELS, precum si
reacordarea clauzei natiunii celei mai favorizate de catre S.U.A.
Intensificarea contactelor la nivel guvernamental, intre Camerele de Comert si
Industrie si patronatele din Romania cu organismele similare din alte tari, pentru
promovarea schimburilor comerciale si stimularea cooperarii industriale.
Intensificarea participarii agentilor economici romani la targuri si expozitii
internationale.
Imbunatatirea informarii agentilor economici cu privire la evolutia si
conjunctura pietei internationale, precum si la oportunitatile de export in diverse
zone geografice.
In industria de prelucrare primara a titeiului s-a imbunatatit structura produselor obtinute prin
rafinare, prin cresterea ponderii produselor albe, cu valoare mai ridicata, sau care prin prelucrare
ulterioara puteau constitui materie prima (etilena, propilena, benzen, xileni etc.) pentru produsele
macromoleculare si de sinteza fina, care se valorifica superior atat in tara cat si la export.
In industria constructiilor de masini, cresteri semnificative fata de anul 1992 s-au inregistrat la
masini si echipamente (+20,3%) si la autoturisme de oras (+27,2%). In aceeasi perioada , la
constructii metalice si produse din metal, unde gradul de valorificare este mai scazut, productia
din 1995 a fost inferioara celei din 1992, ceea ce pune in evidenta o modificare favorabila a
structurii productiei in aceasta ramura.
In industria confectiilor din textile, blanuri si piele, productia a crescut de aproape 1,8 ori, in
principal pe seama exportului, care a reprezentat peste 50% din totalul productiei. Aceasta
crestere a avut loc in contextul scaderii productiei de tesaturi, sector in care competitivitatea este
mai scazuta, iar cheltuielile de capital pentru modernizare sunt relativ ridicate.
In sectorul energetic, s-a urmarit asigurarea echilibrului balantei energetice, atat prin reducerea
consumurilor specifice integrate de energie in industrie, cat si prin cresterea moderata a
resurselor de energie electrica si termica.
In anul 1996, consumul de energie electrica, raportat la productia industriala, scade cu peste
20%, comparativ cu 1992.
In anul 1995 populatia a consumat 5,8 miliarde m3 gaze naturale, fata de 3,3
miliarde m3 in 1992.
Retelele de distributie pentru gaze naturale au fost extinse in 70 de localitati,
iar in 267 localitati au fost incepute lucrarile pentru alimentarea cu gaze naturale.
Pentru imbunatatirea conditiilor de asigurare a gazelor naturale in perioada de
iarna, capacitatea de inmagazinare subterana in depozitele Bilciuresti,
Urziceni, Balaceanca si Sarmasel va creste de la 600 milioane m3 in 1992 la
1.000 milioane m3 in 1996.
S-au intocmit studiile de fezabilitate pentru cresterea capacitatii de
inmagazinare subterana la Valcele, Vata si Roman - Margineni.
Pentru transportul gazelor naturale de pe platforma continentala a Marii
Negre, este in curs montarea unei conducte de 86 km din care primii 6 km au fost
deja realizati.
A fost definitivat textul Conventiei interguvernamentale cu Federatia Rusa
pentru importul si tranzitul de gaze naturale, care dupa ratificare, va permite
inceperea lucrarilor de proiectare si executie a racordurilor cu sistemele din
Ucraina si Republica Moldova.
Pentru reducerea pierderilor la transportul si distributia gazelor naturale, au fost
realizate reparatii capitale la conducte si conducte noi de transport (252-300
km/an) si reabilitari ale retelelor de distributie si a bransamentelor (300 km pe an).
In scopul imbunatatirii asigurarii populatiei cu gaze naturale, in special pentru
perioada de iarna, a fost elaborat un program de inlocuire cu combustibili
lichizi si solizi a unor consumuri industriale, acolo unde este posibil (producerea
cimentului, furnale etc.). Se preconizeaza inlocuirea unui consum lunar de 180
milioane m3 gaze naturale cu pacura si praf de carbune.
La gaze lichefiate (aragaz), in anul 1995 au fost alocate populatiei 279 mii tone, cu 20,3% mai
mult decat in 1992 si cu 45% mai mult decat in 1989.
Au fost elaborate 35 strategii sectoriale pe termen scurt, mediu si , lung, din care 22
au fost analizate si aprobate de Guvern. Aceste strategii se refera la:
Industria extractiva (mine, geologie, titei si gaze naturale, sare si nemetalifere).
Siderurgie
Industria chimica si petrochimica (prelucrarea titeiului, ingrasaminte chimice,
medicamente, fire si fibre sintetice etc.).
Constructii de masini (autoturisme, mijloace de transportat marfuri si calatori,
tractoare si masini agricole, nave maritime si fluviale, aeronave, rulmenti, unele
categorii de utilaje tehnologice etc.).
Industriile electrotehnica, electronica si de mecanica fina.
Industria textila si a confectiilor.
Industria pielariei si incaltamintei.
Industria lemnului si a materialelor de constructii (exploatarea si prelucrarea
lemnului, productia de mobilier, celuloza si hartie, ciment, sticla si ceramica fina).
Incepand din 1993, printre criteriile care au stat la baza proiectelor de restructurare si
modernizare a capacitatilor de productie, s-au introdus si cele referitoare la
compatibilitatea activitatii industriale cu factorii de mediu, concomitent cu cele privind
utilizarea rationala a materiilor prime, materialelor si energiei, ca elemente esentiale ale
conceptului de dezvoltare industriala durabila.
Cheltuielile totale pentru protectia mediului au fost in anul 1995 de 1,8 ori mai mari decat in
1992 (in conditii comparabile de preturi).
Comparativ cu 1992, in anul 1996 gradul de subventionare a scazut in urmatoarele proportii: 17%
la plumb in concentrate, 14% la cupru in concentrate, 28% la huila bruta.
In anul 1994, dupa infiintarea Agentiei de Restructurare, pe baza H.G. nr. 445/1994, a fost
declansat procesul de elaborare a programelor de restructurare pentru 35 societati
comerciale din industrie, cu participarea unor firme de consultanta straine, prin finantarea
PHARE a Bancii Mondiale.
In anii 1995-1996, F.P.S. a alocat pentru restructurarea selectiva a acestor societati comerciale
din industrie 260 miliarde lei.
In sensul acesta, fiind deja statuat de experienta altor tari, ca economia privata este de natura sa
dinamizeze acest proces, dezvoltarea sectorului privat in industria romaneasca a constituit a
preocupare de interes, acest proces reprezentand o sursa importanta de crestere a ofertei
competitive de marfuri si servicii.
Transformarea structurii de proprietate a constituit unul din cele mai importante obiective
ale reformei si a debutat prin stimularea initiativei intreprinzatorilor privati in vederea crearii
de intreprinderi mici si mijlocii.
In prezent, sectorul privat din industrie realizeaza aproape 18% din productia industriala si
circa 30% din valoarea adaugata bruta. Continuarea procesului de reforma a vizat
cvasitotalitatea componentelor vietii economico-sociale, majoritatea acestora avand impact
si asupra activitatii industriale si restructurarii acesteia. A fost creat cadrul legislativ si s-au
organizat institutiile de baza pentru functionarea pietei de capital, a pietei fortei de munca,
restructurarea si dezvoltarea sistemului bancar si de asigurari, perfectionarea sistemului fiscal si
bugetar, stimularea investitiilor directe de capital strain, reglementarea modului de administrare a
sectorului public, liberalizarea preturilor si a comertului exterior etc.
Depuis la chute du mur de Berlin, les exportations françaises vers les PECO ont été
multipliées par 5 en 10 ans.
Avec 6% de part de marché, la France arrive aujourd'hui en 3ème position dans dix des
douze PECO candidats à l'adhésion. En termes d'investissements directs à l'étranger, la
France se situe aussi en 3ème position dans les pays candidats, se situant même en
1ère position en Pologne et en Roumanie, les deux nations les plus peuplées, et la
2ème position en Slovénie.
Les risques
Les prix, le coût de la main d'oeuvre, la fiscalité réduite ou nulle pour les
investissements étrangers, les taxes réduites, les risques de mauvaise application des
règlements de l'Union Européenne et l'absorption des fonds structures, dont bénéficie
actuellement fortement le Nord - Pas de Calais peuvent amener à des distorsions de
concurrence :
- Concurrence directe sur les produits et services
- Concurrence indirecte au travers des délocalisations et de la main d'oeuvre
Les Opportunités
Super intr
L'UE a déjà réalisé une série d'élargissements. Les Traités de Paris (1951), établissant la Communauté
européenne du charbon et de l'acier (CECA) et de Rome (1957), instituant la Communauté économique
européenne (CEE) et EUROATOM, ont été signés par six membres fondateurs :
la France
la Belgique
l'Allemagne
l'Italie
le Luxembourg
les Pays-Bas
1981 : Grèce
Toutefois, l'élargissement qui attend l'UE aujourd'hui est d'une envergue sans précédent, de par le
nombre de pays candidats, leur superficie, leur population, leur diversité et leur richesse tant culturelle
qu'historique. Il représente aussi une des chances les plus importantes pour l'UE.
Au cours des années 1990, la Communauté européenne et ses Etats membres ont conclu des accords
d'association, dénommés accords européens, avec chacun des dix pays d'Europe centrale et orientale. Ces
accords constituent la base juridique des relations bilatérales entre ces pays et l'UE. La Communauté
européenne avait déjà établi de semblables accords d'association avec la Turquie (1963), Malte (1970) et
Chypre (1972).
Chypre la Pologne
la Hongrie la Slovénie
la Lettonie la Turquie
la Lituanie
Les négociations d'adhésion ont été ouvertes en 1998 avec six pays (la République tchèque, l'Estonie, la
Hongrie, la Pologne, la Slovénie et Chypre), et deux ans plus tard, après le sommet de Helsinki (1999),
avec six autres pays (la Bulgarie, la Lettonie, la Lituanie, Malte, la Roumanie et la République slovaque).
Les négociations n'ont pas été ouvertes avec la Turquie, qui est loin de pouvoir respecter les trois critères
d'adhésion.
Cependant, le Conseil de l'UE de Laeken en Décembre 2001 a mentionné les dix pays candidats qui
peuvent être prêts pour l'adhésion en 2004. Il s'agit de la République tchèque, l'Estonie, la Hongrie, la
Lettonie, la Lituanie, Malte, la Pologne, la République slovaque, la Slovénie et Chypre.
L'adhésion de la Bulgarie et la Roumanie est envisagée, au plus tôt, en 2007.
Mis en place en 1989 pour assister les pays d'Europe centrale et orientale
dans leur transition vers le régime démocratique et l'économie de marché.
Depuis 1998, l'objectif général du programme PHARE est d'aider les pays
candidats à préparer leur adhésion à l'UE, dans le respect des critères de
Copenhague (stabilité des institutions démocratiques, respect des droits de
l'Homme, protection des minorités, économie de marché ayant la capacité de
faire face à la concurrence et aux forces du marché au sein de l'Union).
- assistance technique - une petite partie du budget ISPA finance des études
et des actions préparatoires garantissant une élaboration optimale des
projets
ISPA soutient des projets d'un coût total minimum de 5 millions d'euros et
son budget annuel est de 1,040 millions d'euros.
Le programme SAPARD
Chaque pays a défini ses priorités dans le cadre de son programme national
en sélectionnant, parmi les 15 domaines d'intervention, ceux qui
constitueraient des secteurs d'intervention stratégiques. Tous les champs
d'intervention ne sont donc pas couverts.
Le jumelage consiste à détacher des experts de l'UE dans les pays candidats
afin d'accompagner ce processus.
Beneficii aderare
Bénéfices des
négociations
et des
stratégies de
pré-adhésion
dans les
PECO et les
Etats
membres
l'émergence des démocraties stables et l'intégration pacifique des minorités
à la société
les taux de croissance forts (deux fois la moyenne de l'UE) et de meilleures
perspectives d'emplois grâce aux réformes économiques
l'aide financière et la perspective de l'adhésion à l'Union européenne
Effets
en
général
perspectives favorables en vue de la convergence des futurs Etats membres
vers le niveau communautaire
les effets liés aux flux migratoires risquent d'être plus importants que ceux
liés aux échanges commerciaux. Cependant, les premiers devrait être dilués
du fait de la rigidité du marché de la main-d'œuvre
réduction des barrières commerciales et facilitation des échanges
commerciaux
accroissement du marché unique
création d'emplois
- peu d'effets sur l'UE-15 dans la mesure où les pays candidats représentent
seulement 5% de PIB de l'UE-15
- les Etats membres vont être affectés différemment : les pays ayant une
liaison commerciale forte avec les pays candidats vont être plus bénéficiaires
que les autres, car la hausse des revenus des nouveaux entrants implique
l'augmentation des exportations et des investissements de l'UE-15
Pays candidats :
- hausse de la productivité
Investissement direct étranger (IDE) :
- les investisseurs de l'UE représentent 2/3 des IDE dans les pays candidats
- dans les secteurs marchands, la plupart des IDE communautaires semblent
avoir été motivés plus par le désir d'accroître leurs parts de marché dans les
pays candidats que par celui de substituer les exportations vers ces derniers
- à noter que : les industries à fort coefficient de main- d'œuvre attirent 1/5
des IDE. Or, une telle situation pourrait avoir des conséquences négatives
sur la main-d'œuvre non qualifiée des membres actuels de l'UE. Néanmoins,
le résultat au final, dans ces mêmes industries, peut être positif pour l'UE,
dans la mesure où les IDE accroissent les exportations communautaires vers
les pays candidats en matière de produits à forte intensité de capitaux et de
services technologiques
Investitiille francez in tarile PECO- suite
Echanges
France/UE -
Pays
candidats
Les échanges bilatéraux entre la France et les PECO continuent à afficher une
croissance très élevée et ils sont en effet soutenus par l'ouverture croissante des
économies d'Europe centrale.
Les échanges des entreprises françaises avec la région ont progressé de +25%
(en 2001) et les pays candidats représentent désormais 13% des exportations de
l'UE-15.
Exportations françaises à destination des pays d'Europe centrale et orientale
Progression des exportations
Ces exportations ont progressé plus vite vers les PECO (+15.5% en 2001)
que vers les autres zones, notamment vers la République tchèque
(+16.3%), la Hongrie (+14.1%) et aussi vers les pays de taille commerciale
plus modeste comme la Bulgarie, la Slovaquie, l'Estonie et la Roumanie
Aujourd'hui les entreprises ne semblent pas inquiètes par l'ouverture vers l'Est du
marché. La crainte d'un afflux d'immigrés, de produits importés à bas prix ou d'une
concurrence déloyale a disparu. Au contraire, les entreprises françaises considèrent
l'élargissement comme une opportunité.
PECO
LES NEGOCIATIONS POUR L’ADHESION
DES PECO A L’UE
- Les attentes des entreprises pour renforcer leur présence -
Rapport présenté par M. Jacques DERIEUX
Au nom de la commission du commerce international
Et adopté par l'Assemblée générale du 23 novembre 2000
CHAMBRE DE COMMERCE ET D'INDUSTRIE DE PARIS
PRISE DE POSITION
Alors que l’Union européenne s’engage à petits pas sur le chemin de l’élargissement aux PECO, la CCIP
invite
les entreprises françaises à se positionner sur ces nouveaux marchés qui s’offrent à elles.
Il s’agit là d’un véritable enjeu stratégique, dans la mesure où les PECO peuvent constituer demain un
nouveau
coe ur économique européen doté d’un réel potentiel de savoir-faire.
Les entreprises allemandes, autrichiennes et italiennes sont déjà bien positionnées dans cette zone
géographique. Si la performance française ne saurait être dénigrée, il importe, néanmoins, qu’elle soit
améliorée.
Les opportunités commerciales doivent être saisies sans tarder.
La spécificité des PECO mérite, néanmoins, d’être prise en compte.
De fait, les impératifs économiques et de reprise de l’acquis communautaire, conditions préalables à toute
adhésion à l’Union, entraînent inéluctablement pour les investisseurs des risques qui méritent d'être
appréciés
pays par pays et qui doivent être particulièrement pesés pour les PME les moins rodées au commerce
international.
Les standards sont encore loin d’être européanisés et la législation, qui cherche à s’adapter, est mouvante.
On
retiendra, notamment, que la somme, en dollars, des PIB des dix candidats, qui regroupent plus de cent
millions
d’habitants, reste équivalente au PIB des seuls Pays-Bas. En outre, les mentalités passées n’ont pas
totalement
disparu et les rapports de l’offre à la demande sont encore mal perçus. Les tribunaux des PECO n’agissent
pas
non plus avec la diligence nécessaire.
Autant d’éléments de mise en garde qu’il convient de porter à la connaissance des entreprises pour qu’elles
les
anticipent et agissent en connaissance de cause.
Pour faciliter la présence française dans les PECO, la CCIP plaide pour que les entreprises bénéficient
d’appuis
tant nationaux que communautaires.
A- Au niveau des appuis nationaux
Il convient de :
1. encourager la présence française dans les foires et salons : il faut, en effet, communiquer, aux PME, les
potentialités de certains marchés, les informer du caractère inéluctable de l’élargissement et de la nécessité
de s’y préparer.
2. renforcer les prestations de mise en relation commerciale : le réseau français d’appui (Postes
d’Expansion
Economique, Chambres de Commerce et d’Industrie Françaises à l’étranger, Conseillers du Commerce
Extérieur, etc.) peut jouer un rôle essentiel dans la recherche de partenaires crédibles dans les PECO.
3. renseigner les entreprises sur la solvabilité de leurs partenaires des PECO : plusieurs organismes
français
comme la Coface, les Postes d’Expansion économique, les Chambres de Commerce françaises à l’étranger
peuvent fournir un certain nombre de renseignements de notoriété aux exportateurs français sur la
solvabilité de leurs partenaires.
CHAMBRE DE COMMERCE ET D'INDUSTRIE DE PARIS
4. aider à la faisabilité juridique de l’investissement : au-delà de simples conseils sur le droit local des
sociétés,
sur la fiscalité, sur la structure d’implantation adéquate… , les PME françaises doivent pouvoir également
compter sur une aide à la faisabilité juridique de leur investissement grâce aux organismes déjà cités.
5. améliorer l’offre d’intelligence économique sur les PECO : l’intelligence économique pourrait être plus
largement utilisée par les pouvoirs publics pour faire connaître, aux entreprises françaises, les opportunités
commerciales et les risques spécifiques à une opération.
6. encourager les PME à développer des techniques de veille concurrentielle, pour définir des marchés
cibles,
évaluer les aides existantes et optimiser la structure de distribution ou d’implantation de filiale.
7. faire davantage connaître le FASEP-Garantie : la garantie donnée par le Fonds d’études et d’aide au
secteur privé bénéficie à la société-mère française et couvre 50 % du montant de l’intervention éligible ; elle
est cependant, mal connue.
8. favoriser la mise en réseau des PME françaises : les PME françaises peuvent imaginer de se mettre en
réseau pour capitaliser des moyens financiers et humains plus importants.
B- Au niveau des appuis communautaires
Il importe de :
1. relancer les financements directs aux PME : l’Union européenne est, en effet, rentrée dans une logique
d’opportunités d’affaires offertes aux entreprises qui ne bénéficient plus du programme d’aides à la
constitution de joint ventures (le programme JOP) et qui, pour la plupart d’entre elles, ne peuvent guère
remporter les appels d’offre lancés dans le cadre du programme PHARE, faute de moyens financiers.
2. favoriser l’approche sectorielle : dans le domaine des foires et salons, l’Union européenne privilégie les
Europartenariats qui, contrairement aux anciens Interprise, n’adoptent pas l’approche sectorielle que la
CCIP considère plus judicieuse.
3. renforcer la sécurité juridique des entreprises par différents biais :
a) la promotion des programmes de jumelage,
b) le rôle des organisations patronales industrielles à promouvoir (création de coopérations entre les
fédérations patronales sur l’exemple du projet Unimed dans les pays méditerranéens),
c) un étroit suivi du respect, par les PECO, de leurs engagements (en exigeant, notamment, la
modernisation de l’environnement de l’investissement),
d) des efforts particuliers en faveur de la mise aux normes,
e) un encouragement à l’expression des difficultés des entreprises (création d’une zone géographique
PECO dans la base de données « Accès aux marchés »).
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SOMMAIRE
PRISE DE POSITION 2
INTRODUCTION 7
I. - CONSEQUENCES ECONOMIQUES ET COMMERCIALES 8
A. - ETAT DES LIEUX DES ECHANGES 8
1. Les échanges des PECO se sont fortement redéployés depuis 10 ans vers l’UE … 8
2. ... et ont renforcé la prédominance de l’Allemagne sur cette zone… 10
3. … tandis que la France n’entretient pas vraiment de relations privilégiées avec les PECO 12
B. - QUELLES OPPORTUNITES AU PLAN MICRO-ECONOMIQUE ? 18
1. Des conséquences macro-économiques positives pour les PECO, globalement neutres pour les membres actuels
de l’UE 18
a) Les simulations font apparaître nettement les gains à attendre pour les PECO… 18
b) … mais une neutralité de l’effet macro-économique sur l’UE 19
2. La nécessité de tirer parti de la croissance des PECO… 19
3. ... et des avantages comparatifs des PECO 20
4. La reprise de l’acquis communautaire induit des opportunités. 21
II. - RISQUES LIES AU PASSAGE DE L'ECONOMIE DE MARCHE 22
A. - LES RISQUES MACRO-ECONOMIQUES 22
1. Les risques propres à chaque économie 25
2. Les déséquilibres budgétaires 25
B. - LES RISQUES MICRO-ÉCONOMIQUES 26
1. Les risques liés au poids de l’économie informelle 26
2. La préférence nationale 27
3. La double tarification 27
III - DIFFICULTES LIEES A L’ADOPTION DE L’ACQUIS COMMUNAUTAIRE 28
A. - LA MISE EN OE UVRE DES ACCORDS EUROPEENS 28
1. Présentation succincte des Accords européens 27
2. Les retards dans l’alignement législatif 28
3. Des décisions non conformes aux Accords européens 29
4. Des incertitudes importantes 29
B. - DES CONSEQUENCES NON NEGLIGEABLES 31
1. Une instabilité législative pesante 31
2. Des problèmes structurelles 33
a) Des formations inadéquates 32
b) La faiblesse de l'infrastructure judiciaire 32
c) La corruption et la fraude dénoncées par diverses organisations 32
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C. - UN BILAN A PONDERER 34
IV - PROPOSER LES APPUIS NECESSAIRES AUX PME 36
A. - LES APPUIS NATIONAUX 36
1. Encourager la présence française dans les foires et salons 36
2. Renforcer les prestations de mise en relation commerciale 36
3. Renseigner les entreprises sur la solvabilité de leurs partenaires des PECO 36
4. Aider à la faisabilité juridique de l’investissement 37
5. Améliorer l’offre d’intelligence économique sur les PECO 37
6. Encourager les PME à développer des techniques de veille concurrentielle (Internet, benchmarking...) 37
7. Faire davantage connaître le FASEP-Garantie 36
8. Favoriser la mise en réseau des PME françaises 37
B. - LES APPUIS COMMUNAUTAIRES 38
1. Relancer les financements directs aux PME 38
a) L’Union européenne n’octroie désormais plus aucun financement direct aux PME 38
b) L’Union européenne est, désormais, rentrée dans une logique d’opportunités d’affaires offertes aux entreprises. 41
2. Encourager l’approche sectorielle 42
3. Renforcer la sécurité juridique des entreprises 42
a) La promotion des programmes de jumelage 42
b) Le rôle des organisations patronales industrielles à promouvoir 41
c) Un étroit suivi du respect, par les PECO, de leurs engagements 43
d) Des efforts particuliers en faveur de la mise aux normes 43
e) Un encouragement à l’expression des difficultés des entreprises 42
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INTRODUCTION
La simple perspective de l’élargissement - quand bien même aucune date n’est, pour l’heure, arrêtée - offre
de
nouveaux marchés et de nouveaux secteurs aux entreprises françaises. Il importe qu’elles profitent de ces
opportunités d’affaires d’autant plus que :
- le processus d'adhésion doit permettre de poursuivre la transition économique et de limiter les
asymétries entre pays de l’UE,
- si les marchés des PECO ne représentent que 2,9% de nos exportations, ces dernières progressent
vivement et l'adhésion sera un puissant accélérateur de croissance à l'Est avec un effet retour positif
sur les exportations françaises,
- la reprise effective de l'acquis communautaire est nécessaire pour éviter toute fragmentation du marché
unique élargi ou concurrence déloyale,
- enfin, la convergence de la politique commerciale des PECO avec celle de l’UE permettra de limiter les
compensations que pourront réclamer les pays tiers dans le cadre de l’Accord OMC (art. XXIV-6).
Si les perspectives économiques et commerciales (I) dans les PECO sont encourageantes, les risques (à
pondérer par pays) liés au passage de l’économie de marché (II) et les difficultés liées à l’adoption de
l’acquis
communautaire (III) ne sauraient être minorés.
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2. La préférence nationale
A moins d'être une entreprise de taille européenne ou mondiale, le recours à un partenaire local est
fortement
conseillé dans la plupart des PECO, quelle que soit la démarche envisagée (exportation, implantation,
partenariat ou sous-traitance).
Cela s’explique par les difficultés d’appréhension des marchés locaux mais aussi par la préférence
accordée,
par les pouvoirs publics des PECO, aux nationaux. A titre d’exemple, en République tchèque, concernant
l'attribution de marchés publics, le Code du Commerce autorise les organisateurs d'appels d'offres à choisir
une
offre nationale de 10 % supérieure à la meilleure offre étrangère.
Cela conduit, d’ailleurs, beaucoup de groupes français implantés en République tchèque à conserver une
image
tchèque (raison sociale, management, communication... ), même si le management exécutif est français.
Autre exemple de discrimination, les non-résidents (personnes physiques n'ayant pas la nationalité tchèque
et
personnes morales immatriculées à l'étranger) n'ont pas le droit d'accéder à la propriété immobilière.
3. La double tarification
Depuis l'ouverture de ces pays, la pratique qui consiste à faire payer, en général, une même prestation
deux fois
plus cher par les ressortissants étrangers s'est beaucoup développée et concerne, à la fois, les entreprises
(par
exemple, les tarifs pour les exposants aux salons professionnels) et les particuliers (tarifs pour la
consommation
d'électricité, restaurants...).
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ANNEXE 1
République tchèque/Hongrie « Mission multisectorielle » Foires et Salons 24 septembre
au 1er octobre
PECO « Le marché du bricolage » Séminaire 16 octobre
Pologne/Hongrie/
République tchèque
« Mission multisectorielle » Foires et Salons 22 au 27 octobre
Roumanie « Salon INDAGRA – Equipements – Agro alimentaire
– Emballages »
Foires et Salons 8 au 12 novembre
PECO « Recherche de partenaires » Séminaire 28 novembre
Source : CCIP, Programme international 2000
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