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n)
= 1
,
= + .
2 4
ce
em
1. Calculer les termes
.
Démontrer que, ∀ ∈ ℕ: 0 < ≤ 1.
Tl
2.
3. Montrer que la suite est monotone, et en déduire qu’elle converge.
v.
4. Calculer la limite de la suite .
ni
sin2.
(U
: "#$ %’'((%$)'$# *: ℝ∗ ⟶ ℝ, . ⟼ *. = 1 − .
.
es
1. Calculer *4 et *−4.
nc
La fonction f est–elle injective ? Justifier.
2. Calculer lim7→ *.. ie
Sc
3. En déduire que la fonction f est prolongeable par continuité en . = 0.
Soit g le prolongement par continuité de f , écrire l’expression de 9..
s
de
5. Étudier la dérivabilité de g en . = 0.
l
cu
1 1
*. = 9. = .
~
. − 2. − 3 . − 2. + 2
1)
7
B. En utilisant le changement de variable, = tan BC calculer :
re
iè
>.
em
= .
sin .
Pr
UÉÇ vÉâÜtzx
Université de Tlemcen Faculté des Sciences Janvier 2016
Tronc Commun ST Corrigé de l’Épreuve Finale Math1
n)
2 4 4 2 4 8 64 64
ce
2. Démontrons par récurrence que, ∀ ∈ ℕ: 0 < ≤ 1.
em
a. On a 0 < ≤ 1 car = 1. ( 0.25 pt)
Tl
b. On suppose que, pour l’entier naturel fixé , 0 < ≤ 1, (0.25 pt)
et on montre que , 0 <
≤ 1.
v.
(0.25 pt)
De 0 < ≤ 1 , on a :
ni
1 1
(U
0< ≤
0 < ≤ , G. H IJ ×
2 2 4 4
es
par addition on obtient :
nc
3
0< + ≤ . G. H IJ
2 4 4
Ce qui implique que : 0 <
≤ 1. ( G. H IJie
Sc
Conclusion: De a. et b. on conclut que : ∀ ∈ ℕ, 0 < ≤ 1.
3. Montrons que la suite est monotone. Soit ∈ ℕ, On a
s
de
− = + − = − G. H IJ
2 4 4 2
lté
− = B − 1C G. H IJ
cu
2 2
L L
Comme M > 0
M − 1 ≤ − car 0 < ≤ 1, on en déduit que,
Fa
− < 0 G. H IJ. La suite est donc strictement décroissante. G. H IJ
~
Remarque: La suite est strictement positive, on peut alors comparer
⁄ à 1 :
1)
1 1 1
= + < + , )'P 0 < ≤ 1.
(S
2 4 2 4
ST
LMQR
D’où, < 1 et la suite est strictement décroissante.
LM
D
-
re
% % % %
% = + >#) U − 1V = 0, G. H IJ ×
2 4 2 2
Pr
n)
ce
WXS7 WXS7
2. lim7→ *. = lim 1 − = lim 1 − 2 = −1 , (1 pt)
7→ 7 7→ 7
em
WXS \
car lim = 1.
Tl
\→ \
v.
ni
par continuité en ce point. (0.5 pt)
(U
Son prolongement 9 est défini par :
es
9. = *. ]$ . ≠ 0,
90 = −1. G. H IJ
nc
4. Montrons que l’équation : 9. = 0, a au moins une solution dans :0, 4;.
La fonction g est continue sur :0, 4;,
ie
G. H IJ
Sc
et, 90. 94 = 90. *4 = −1 < 0. G. H IJ
s
de
5. Dérivabilité de g en . = 0.
cu
sin2.
9. − 90 2− 2. − sin2.
Fa
et . ⟼ . sont dérivables en 0.
ST
On a :
D
7→ . ′
7→ 2.
2 − 2 cos2.
re
lim >#
%%
']]$ %' *#Pc
$>é
Pc$é
0/0.
7→ 2.
iè
em
n)
ij = ℝ\l −1, 3m. G. H IJ
ce
b. 9
] >é*$$
⟺ . − 2. + 2 ≠ 0.
em
Calculons le discriminant : ∆ = −4.
Tl
Ainsi, ∀. ∈ ℝ: . − 2. + 2 ≠ 0, et io = ℝ. G. H IJ ×
2. Décomposition en éléments simples de *..
v.
ni
On a :
1 1
(U
*. = =
. − 2. − 3 . + 1. − 3
es
1 ' ?
= + G. H IJ
nc
. + 1. − 3 . + 1 . − 3
Calcul de a : En multipliant cette égalité par . + 1 et en faisant tendre . vers −1,
on trouve ' = − p. (0.25 pt) ie
Sc
Calcul de b : En multipliant cette égalité par . − 3 et en faisant tendre . vers 3,
s
de
∀. ∈ ij : *. = U − V
4 .−3 .+1
cu
1 1 1 1
Fa
1
= > = arctan + r
. G. H IJ
+1
ST
B. Calculons l’intégrale :
LM
>.
= .
sin .
re
7
Posons = tan B C , d’où :
iè
2 2 >
em
sin . =
>. = G. H IJ ×
1 + 1 +
Pr
Et par suite,
>. 1 + 2> >
= = =v w = = = ln|| + r
. G. H IJ
sin . 2 1 +
>. .
if #ù = = ln xtan B Cx + r
. G. H IJ
sin . 2