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Un contrat d’assurance vise à préparer sa retraite, à défiscaliser, à faciliter la succession. Souscrire tôt amène des avantages avec l’ancienneté.
L’objectif d’un contrat d’assurance vie est d’assurer le versement d’une prestation en cas de réalisation d’un risque lié à la vie humaine. Il y a la
dimension décès et la dimension invalidité. Etre en vie peut être un risque contre lequel il faut s’assurer notamment pour la dépendance,
l’invalidité. L’intérêt du contrat d’assurance vie est le bénéfice apporté par le contrat mais aussi la disponibilité puis l’environnement fiscal qui
est complexe mais qui reste un des plus avantageux aujourd’hui. L’intérêt du contrat réside dans le bénéfice qu’il apporte (capitalisation,
couverture d’invalidité et avantages fiscaux).
A. Le souscripteur assuré
C’est une personne physique ou morale avec la capacité juridique. Il fait deux choses : il souscrit le contrat, désigne l’assuré et le bénéficiaire,
paye le contrat. Quand le souscripteur assure sa propre tête, le souscripteur et l’assuré ne font qu’une seule et même personne. On peut trouver le
cas où le souscripteur et l’assuré sont deux personnes différentes. Quand l’assuré est une personne différente du souscripteur, le consentement de
l’assuré est requis. Dans cette situation, le décès de l’assuré peut apporter un bénéfice au souscripteur. Peut peser sur l’assuré le risque de mort.
L’assuré est obligatoirement une personne physique puisque les garanties essentielles sont liées à la vie humaine. Le souscripteur peut être une
personne morale quant à lui.
B. L’assureur
L’assureur assure le contrat.
Il évalue le risque détermine le tarif.
Il encaisse la prime.
Il verse la prestation en cas de réalisation du risque dans les conditions prévues au contrat.
C. Le bénéficiaire
Il est désigné par le souscripteur qui est la plupart du temps le souscripteur assuré. Il reçoit la prestation en cas de réalisation du risque.
L’assureur doit collecter un certain nombre d’informations sur le bénéficiaire. De fait, le bénéficiaire devient une partie sur laquel l’assureur a
des obligations à tenir et à vérifier en matière d’identité notamment.
II. LE CONTRAT
Un contrat est une couverture par laquelle pendant une durée déterminée ou viagère l’assureur en l’échange d’une cotisation s’engage envers le
souscripteur à verser des prestations au moment de la réalisation du risque assuré (risque en cas de vie, risque en cas de décès). En cas de vie, la
prestation est versée à l’assuré lui-même et en cas de décès à un bénéficiaire déterminé. Cela permet de développer un patrimoine financier, de
disposer d’une épargne pour faire face aux aléas, de compléter les revenus en phase de retraite mais pas que, et cela peut permettre de
transmettre un patrimoine à ses proches et de les protéger financièrement.
A. Le contrat individuel
C’est un contrat synallagmatique (obligations à la charge des deux parties), signé directement entre l’assureur et le souscripteur. Il n’y a pas
d’intermédiaires dans la relation contractuelle.
Tout changement au contrat, quelle que soit la partie à l’initiative, requiert l’accord des deux parties. On trouve très peu de contrats de cette
nature parce que pour l’assureur, la difficulté est que dès lors qu’il souhaite modifier son contrat, il doit avoir une démarche envers chaque
souscripteur de contrats pour leur faire signer des avenants.
Un contrat groupe collectif a vocation à s’adresser à un groupe qui présente globalement une ou des caractéristiques communes.
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Un contrat à adhésion facultative est un contrat qui va être proposé et va être de l’initiative et de la volonté individuelle d’y adhérer ou non.
Les membres deviennent des adhérents au contrat mais ils ne sont pas souscripteurs.
Exemple : Une mutuelle, une association souscrit un contrat auprès d’un assureur au profit de ses membres
1) Avantages
Tout changement requiert l’accord entre l’assureur et le souscripteur mais s’impose aux adhérents. Il y a un formalisme à respecter car la
modification doit être signifiée 3 mois généralement avant la mise en place.
Au lieu d’être dans un schéma individuel, il y a plus de représentants et il y a un poids dans la négociation qui est plus important.
Il y a un poids de la population adhérente qui donne dans la négociation, le rapport à l’assuré, matière à obtenir des avantages.
2) Inconvénients
Toute décision entre l’assureur et le souscripteur s’impose aux adhérents. Si le souscripteur se laisse convaincre par l’assureur
d’augmenter les tarifs, cela va s’imposer aux adhérents.
Pour les adhérents de la structure, il y a l’enjeu d’avoir une représentation auprès du souscripteur pour ne pas être en dépendance
de ses décisions.
L’adhésion peut être aussi obligatoire. Une entreprise doit souscrire des contrats d’assurance santé pour ses salariés. Les salariés
ont l’obligation d’être couverts.
Ces contrats à adhésion facultative sont beaucoup moins présents en entreprise.
La plupart des contrats d’assurance sur le marché sont des contrats groupe à adhésion obligatoire ou facultative.
IV. LA CAPITALISATION
C’est une technique de valorisation du patrimoine. Cela englobe un tas de produits et d’enveloppes juridiques et fiscales
différentes (SICAV).
Des produits de capitalisation relèvent du droit bancaire, d’autres du droit des assurances et des produits ne relèvent d’aucun droit
spécifique.
B. Traductions mathématiques
Il y a deux méthodes de calcul :
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L’année est composée en 12 périodes. Si on met 100€, chaque mois on touche des intérêts mais la somme des intérêts est créditée
au 1er janvier de l’année.
Taux mensuel :taux annuel /12
Elle s’applique aux produits réglementés.
C 1=C 0(1+intérêts)
Intérêts : 4%
C 0=100
C 1=100 x (1+0,04)
C 1=104
C 2=C 1(1+intérêts)
C 2=C 0(1+ I )(1+ I )
Cn=C 0(1+intérêts)N
La capitalisation c’est partir de la valeur actuelle pour aller et trouver la valeur future.
On parle d’actualisation pour retrouver la valeur actuelle. Si j’ai un taux à 4% et que je veux 10000 euros dans un an, combien je
dois placer maintenant ?
Cn
Pour trouver le capital initial on fait C0 = = actualisation
(1+intérêts)n
Le mécanisme de prévoyance d’un contrat d’assurance dépend de la probabilité (fréquence du risque) multiplié par le coût moyen.
IARD : P=fréquence risque x coût moyen
Le montant des primes sert à récupérer la totalité des fonds dont l’assureur aura besoin pour indemniser les assurés qui auront eu
un sinistre.
On rembourse à concurrence de la valeur du bien, on est dans le système indemnitaire.
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Quand on est en assurance vie, la prime est égale à la probabilité de décès ou de vie multiplié par le montant de la prestation
forfaitaire.
A. La répartition
Il y a un phénomène de répartition. Toutes les primes versées par les personnes assurées sont réparties entre les personnes pour
lesquelles le risque s’est réalisé.
B. L’impact de la capitalisation
Le deuxième facteur qui va venir impacter le montant de la prime est la capitalisation.
L’assureur va placer les primes avant d’avoir un premier sinistre, puis un deuxième, etc. Le montant des primes encaissées doit lui
permettre de payer les sinistres qui se sont produits.
A la fin, il ne devrait que rester les intérêts à l’assureur.
En réalité, l’assureur intègre les primes qui vont être placées, et les assureurs vont mettre de côté les intérêts pour pouvoir
diminuer au fur et à mesure les primes.
L’assureur intègre dans son calcul de primes, le fait qu’elles vont être placées et générer des intérêts. Cela fait baisser le montant
de la prime.
Il y a un effet de levier important avec le système de la répartition dans les contrats de prévoyance. On peut assurer un capital
important pour une somme modique.
La capitalisation fait baisser le montant de la prime par intégration des intérêts futurs dans le calcul.
2ème cours : 18/09
C. La contre–assurance décès
C’est l’assurance du risque de non-réalisation du risque principal. Le risque principal est d’être en vie à l’échéance (on se place du
côté assureur). L’assuré s’assure contre le fait de décéder avant l’échéance du contrat. L’assureur prend l’engagement de verser
quelque chose si l’assuré décède pendant la durée du contrat.
Dans le contrat mixte, il y avait deux types de garanties dans deux contrats distincts. La contre assurance décès est une option, une
garantie supplémentaire au contrat mais il n’y a pas de deuxième contrat.
Dans la nature des garanties, les assureurs ont proposé deux choses :
Le remboursement des primes versées
On décède avant l’échéance du contrat, les primes versées sont récupérées par le biais de la contre assurance. Il n’y a pas de
bénéfice mais il n’y a pas d’assurance à fonds perdus. Les primes sont versées mais elles ont été placées. Cela pose problème car
l’assureur a dégagé des bénéfices financiers.
Le remboursement des primes capitalisées
On récupère les primes et les intérêts. On parle de contrat à capital différé décès portant sur les primes capitalisées. L’assureur va
garder des produits financiers.
Est-ce que le fait qu’il y ait plus ou moins de décès avant l’échéance a une incidence pour l’assureur ? Non il y a aucune
incidence.
Le seul facteur qui compte est la capitalisation. C’est pour cela qu’on parle d’assurance vie épargne dans le langage usuel. Dans le
Code des assurances on parle bien de contrat de capital différé contre assuré sur les primes capitalisées. La seule dimension qui
reste est la capitalisation. Il n’y a aucun impact dans les probabilités de vie ou de décès.
Les bénéfices quand ils ne sont pas reversés immédiatement vont dans la PPBR (provisions de participation aux bénéfices et
ristournes). Même mis dans cette provision, ils restent la propriété des assurés. L’assureur décide du moment auquel il va les
redistribuer (moins de 8 ans). C’est très contrôlé par les commissaires aux comptes et l’ACPR.
A la souscription du contrat, l’assureur s’est engagé sur un taux technique garanti sur toute la durée du contrat. Pour l’année de la
souscription, l’assureur garantit un taux minimum garanti. A la fin de l’année, il a l’obligation de reverser les bénéfices qui est le
taux d’intérêt complémentaire ou encore la participation aux bénéfices.
En année 2, il va garder son taux technique (engagement contractuel), définir le nouveau minimum garanti et à la fin de l’année, il
va regarder combien il a touché, reverser 85% des bénéfices financiers et va voir comment il va le redistribuer (8 ans pour le
faire).
L’assureur ne connait le coût réel de sa prestation qu’à la fin de l’année (primes – montant des sinistres réglés). L’assureur ne
connaît sa marge technique qu’une fois l’exercice réalisé.
L’origine latine de la prime est la preuve.
Taux de rendement : (montant des intérêts/capital de départ) X 100
II. LE PORTEFEUILLE
C’est l’ensemble des valeurs mobilières et immobilières détenues (l’actif) en contrepartie des engagements pris envers les
souscripteurs (le passif).
o L’actif
Valeurs mobilières : obligations du trésor, SICAV, OAT, actions, FCP => supports financiers qui sont déplaçables
Valeurs immobilières :
Immobilier en direct
L’assureur achète de l’immobilier (immeubles de bureaux, locaux commerciaux). Derrière l’assureur loue et perçoit des loyers, un
revenu. L’objectif de l’assureur est que les placements qu’il réalise doivent lui permettre de générer des revenus pour lui permettre
de verser ce qu’il a prévu au contrat
SCPI
Société dont l’activité est de faire du développement financier dans l’immobilier, dégager des revenus à partir d’un patrimoine
immobilier. Il achète une part de cette société mais n’est pas propriétaire en direct.
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o Le passif
Le passif représente les engagements que l’assureur a pris envers les assurés. Reverser les sommes augmentées des intérêts.
L’enjeu de l’assureur est de faire en sorte qu’à tout moment, il y ait une égalité de valeurs entre les dettes que j’ai contracté dans
les contrats assurance vie et les différents investissements que j’ai fait sur des supports financiers.
Quel est le revenu généré par une action ? Elle génère un dividende. Il ne faut pas confondre avec une plus-value qui est le
bénéfice d’avoir revendu plus cher une action que l’on ne l’a acheté.
Comment s’appelle le revenu généré par une obligation ? C’est un coupon.
Le marché : L’Etat emprunte tous les jours et rembourse tous les jours et c’est un rapport de demande et d’offre. Le
marché évolue. Le coupon est fixe mais correspond toujours à un rendement. Le marché va introduire des variations de
ce coupon et faire varier le T10 (le taux d’obligation à 10 ans).
Montant : 1000€
Durée : 10 ans
Coupon : 100€ (10% par an)
Si l’assureur garanti du 5% mais qu’on peut trouver sur le marché du 10%, on peut travailler avec un assureur ou travailler tout
seul. Mais si moi assureur, je dois vendre l’OAT que j’ai acquise et qui rend 5%, est ce qu’elle va intéresser quelqu’un ? Non, je
ne vais trouver d’acheteur que si je vends l’action à 500 euros. Je vais toujours continuer à toucher 50 et que 50/500 = 10% de
rendement. L’acheteur va toucher un coupon concurrentiel sur le marché. Mais il y a 500€ de perte pour l’assureur qui la revend
500€ mais l’a acheté 1000€.
L’assureur fait alors une moins-value obligataire.
Exemple : J’ai confié 1000 euros et j’ai acheté une obligation qui rapporte 5%. Sur le marché, 10 ans plus tard, les actions
rapportent 10%. Je veux récupérer mon argent et le placer à 10%. L’action ne va intéresser personne. Il faut que l’assureur la
vende à 500 euros, pour s’aligner sur les taux du marché mais cela va constituer une perte pour l’assureur.
Pour éviter cette situation, la réglementation oblige à constituer une marge de solvabilité.
L’assureur reçoit du cash et a besoin de trouver des placements pour verser aux assurés les intérêts correspondants au contrat.
L’OAT est l’Etat et a besoin d’argent. L’émetteur est un risque. Même les Etats peuvent avoir des failles. Sur le marché, personne
n’a la main dessus.
Le taux des obligations de l’Etat français s’élève à -0,45%.
La notation des émetteurs
Cette notation est faite par des agences spécialisées. Elles vont conduire des travaux très approfondies sur les Etats et évaluer la
solvabilité des Etats, la stratégie des entreprises. Si la dette se dégrade, elles vont considérer que le risque augmente et la note va
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être dégradée. Les notes vont de AAA à EE-. Plus la note est mauvaise, plus l’Etat paye. En 2011, l’Etat s’est battu pour ne pas
passer de AAA à AA-. La notation est un élément très important.
B. La marge de solvabilité
La marge de solvabilité est une réserve que l’assureur doit constituer pour faire face comme il assume le risque financier. Il doit
constituer une réserve pour faire face à ses engagements s’il était dans une situation où il venait vendre des actifs en moins-value.
La marge est sur les contrats en euros de 4%. Il doit avoir une réserve en propre de 4% des provisions mathématiques (de la
totalité de l’épargne qui lui a été confiée).
Exemple : S’il a 100€, il doit avoir de côté 4 euros. C’est fait pour faire face à d’éventuelles moins-value mais pas fait pour faire
face à un risque systémique.
Sur les contrats en unités de compte, la marge est de 1% sur la totalité de l’épargne qui lui a été confiée ou encore les provisions
mathématiques. Le risque financier est assumé par les assurés eux-mêmes.
A. L’actif isolé
Il y a une étanchéité entre les fonds propres de l’assureur et les portefeuilles financiers des assurés.
Les fonds propres de l’assureur sont placés et les actionnaires touchent le rendement des fonds propres.
Sur un actif isolé, l’assureur continu à décider à quel type de contrat il renvoie les bénéfices entre les différents portefeuilles.
Exemple : je veux soutenir ma conquête en santé, j’augmente mes rentes etc.
Il n’y a pas de vase communicant entre les fonds propres et les portefeuilles des assurés.
B. L’actif cantonné
Chaque portefeuille est contractuellement isolé et il y a des bénéfices pour chaque portefeuille et aucun vase communicant n’est
possible. C’est plus contraignant pour l’assureur en termes de gestion et de comptabilité.
On trouve les 3 types de gestion d’actifs, beaucoup d’actif général, très peu d’actifs isolé et on trouve des actifs cantonnés
notamment sur les portefeuilles épargne.
1) Le risque de placement
C’est quand on fait un mauvais choix d’actif, on achète des mauvaises valeurs financière et/ou très relatives.
2) Le risque à la hausse des taux ou le risque de reprise du marché obligataire
Il n’y a pas d’intérêts à continuer à placer l’argent. Il y a le mécanisme de plus-value latente ou moins-value.
Aujourd’hui, tous les assureurs sont en situation de plus-value obligataire en raison du marché actuel.
3) Le risque à la baisse des taux ou le risque d’engagement de taux
Je mets sur le contrat un taux technique à 3,5%. Le marché quelques années après fournit un taux à 0,4%. L’engagement est
contractuel et exécutable. L’assureur doit servir le 3,5%. C’est ce qu’on appelle le risque d’engagement des taux. Sur le long
terme, l’assureur ne pourra pas tenir son engagement. Cela a existé à l’échelle d’un pays. Aujourd’hui, cette question se pose à
l’échelle de la France.
4) Le risque d’inadéquation ressources/charges ou le risque d’adéquation ressources/charges
insuffisante
Ce risque est généré par le fait que l’assureur n’ait pas une tarification qui soit adaptée. Les frais qu’il prélève ne permettent pas à
l’assureur de couvrir les coûts qu’il engage.
b) La règle de dispersion
Un seul élément d’actif ne peut pas excéder un certain pourcentage du montant de l’actif.
Je ne peux pas mettre plus de 10% de valeur totale pour une action. Je ne peux pas acheter une seule action pour plus de 10% de
mon portefeuille financier.
Je ne peux pas avoir un immeuble qui dépasse à lui seul 10% de la valeur de mon portefeuille immobilier.
On évalue les actifs par la différence de valeur à laquelle on les a achetées et leur valeur du marché au moment où on réalise
l’opération.
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D. Les mesures de prévention pour le risque à la baisse de taux
Pas d’engagement de taux : l’assureur propose des contrats avec un taux technique égal à 0. On ne s’engage pas à verser un taux à
2%.
On pourrait croire que pour l’assuré, ce qui lui est le plus bénéfique, c’est d’avoir un engagement de taux le plus fort possible.
A REVOIR :
Versement : 1000€
Valeur liquidative de l’UC : 100€
Nombre d’UC acquises : 10 UC
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B. L’arbitrage
C’est une opération qui permet de transférer l’épargne d’un ou des supports vers un ou plusieurs autres supports.
Je vends la totalité des actions japonaise pour acheter la totalité des actions américaines. On agit sur le stock, il n’y a pas d’apport
d’argent frais. Comme il n’y a pas de sortie, il n’y a pas de fiscalité.
Cette vente supporte des frais d’arbitrage car pour exécuter l’ordre qu’on a demandé, l’assureur va passer un ordre à un
gestionnaire financier. Les frais d’arbitrage représentent 0,3 à 1% de la somme arbitrée avec plusieurs variantes contractuelles
(montant minimum, etc.).
Il y a des contrats qui proposent l’arbitrage gratuit.
Techniquement, sur la partie vente on regarde combien il y a d’UC et on fait le nombre x le prix = un montant puis le montant / le
prix unitaire de l’UC = nombre d’UC achetées.
Comme on ne sort pas du contrat, il n’y a pas de fiscalité. La composition des actions contenues dans le contrat change avec un
arbitrage mais il n’y a pas d’argent qui sort.
1) La garantie plancher
Si le souscripteur décède en N+3, il a investi 1000€ et le bénéficiaire va recevoir 860 euros. Pour limiter cela, il y a une garantie
plancher qui ne va jouer qu’en cas de décès. Elle a été obligatoire depuis presque 30 ans et elle devient facultative. La garantie
plancher porte uniquement sur les supports en unité de compte et a pour objectif de préserver le capital en cas de
chute des marchés financiers. La garanties décès peut combler tout ou partie de la perte. Ces garanties-là sont plafonnées dans
l’absolue (à concurrence de 20000). Elles sont là pour permettre de faire une opération blanche, de limiter les pertes. Il n’y a pas
de bénéficies apportés par la garantie plancher. Elles vont être plafonnées ou dégressives selon l’âge du souscripteur. En
plafonnant l’âge, l’assureur s’est prémuni contre un risque.
2) La garantie décès
C’est une garantie qui vient majorer le capital versé au bénéficiaire. Une garantie décès est exprimée en pourcentage de l’épargne
détenue.
Elle est plafonnée ou forfaitaire. Elle peut être dégressive avec l’âge du souscripteur. Il peut avoir au-delà duquel l’assuré n’a plus
le droit à cette garantie.
S’applique sur le contrat en euros ou le support en euros.
C’est une garantie de type prévoyance. Son coût est en règle générale par l’assureur en fonction de la garantie à verser.
C. Versements programmés
Er. Juridiquement selon le code des assurances, corresponds aux versements libres. C’est une facilité proposée par l’assureur a l’assurer de lui
permettre un prélèvement mensuel, trimestriel, périodique suivant un montant minimum de prélèvement. Cela en est ainsi car l’assureur garde la
faculté de les augmenter, les diminuer ou de les arrêtés. L’assureur aime ce procédé, car la capitalisation est optimisée (intérêts produisant des
intérêts). Plus l’assuré verse plus il y a une propension sur ce qui est versé.
A ne pas confondre avec les versements périodiques. C’est comme les versements programmés, c’est prélevé a une écheance, definie, avec un
montant défini. Mais il y a un engagement réciproque. Ce qui veut dire que l’assuré s’engage à verser sur une durée prédefini un montant qui
peut être revalorisé pendant une durée et en contrepartie l’assureur s’enggage sur un montant de capital sur cette durée là.
10 euros sur une durée de l’assuré ===’ l’assureur s’engage pour qu’au bout de 10 ans par exemple cela face 10 000 euros.
Toute modification nécessite une rédéfinition de l’engagemlent, un recalcul afin de rédefinir le capital. Les contrats a versements périodiques
sont accompagnés de précompt des prêts par lequel l’assureur calcule les frais quoi dcevraient etre prélevées sur les versements et va sur les
primes gardeer le montant de ce primes.
→ Recueillir des informations : sur la situation familiale et professionnelle, sur la situation patrimoniale et les revenus de l’assuré. Cela
concerne la structure, le montant et la répartition (salaires, revenus fonciers, actifs immobiliers, leur répartition, l’objectif d’épargne
sur le long terme ou pas, financement d’un projet, vérification des critères d’américanité.
Il faut vérifier son expérience en matière financière et notamment sa sensibilité aux risques. A partir de cela on établit le :
→ Devoir de conseil renforcé : il s’agit de la préconisation d’un placement de produit formalisé par écrit. Le futur assuré doit donner son
accord sur la préconisation. Il peut refuser de fournir une ou des informations. Le tout doit être signé par le conseiller et le client.
→ souscription
Ex : si c’est une Unité de compte qu’on le fasse souscrire === » il faut lui faire passer un gestionnaire de bonne compréhension
Recueil d’info devoir de conseil préconisation ok Produit à unité décompte QBC SOUSCRIPTION
REFUS
Important (exam)
Nb : différent de l’obligation d’information
B. La souscription
Er. Etre majeur et capable. Sinon représentant légal qui agit. L’assureur au moment de la souscription a une obligation d’information. L’assureur
remet contre récépissé d’une note d’information sur les dispositions essentielles du contrat et l’exercice de la faculté de renonciation. Elle doit
comporter
Er. Si l’assuré investi en unité de compte l’assureur lui remet le Document d’information Clé pour l’Investisseur (DICI), contre récipissé. Il y a
autant de DICI que de contrat. L’objectif est le profit de risque, ensuite les couts et frais du support et enfin les perspectives de rendement. Si
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l’assureur ne respecte pas ses obligation d’information, il y a prorogation du délai de renonciation. On peut souscrire des contrats en adhésion
conjointe ou en coadhésion. En règle général cela se fait entre époux sous une communauté matrimoniale
C. La renonciation
Faculté offerte au souscripteur de renoncer suivant un délai de 30 jours. L’assureur devra rembourser sans retenue. Le point de
départ des 30 jours est variable selon les assureurs et selon le type de contrat. Sur les contrats multisupport comme il y a une variation, les
asxsureurs font courir le délai à compter de la signature. Sachant que les marchés financiers s’éffondrent, c’est l’assureur qui suppporte la perte.
En cas de non respect par l’assureur de l’obligation d’information à la souscription, cela entraine la prorofgation du délai jusqu’à ce quil
remplisse son obligation.
La limite est au max 8 ans à compter de la date a laquelle le souscripteur est infiormé que le contrat est conclu.
Ex :
Souscription pendant 30 jours prorogation jusqu’à info si manquement 8 ans max pour info
La difficulté pour le juge c’est que le texte ne fait pas l’inventaire des présomption du moment a partir duquel le contrat est conclu. La JP
instaure une présomption de connaissance mais a charge de preuve de l’assureur de fournir la borne de départ.
E. La durée du contrat
→ Contrat à durée Viagère/ vie entière : cela ne prend fin qu’au décès du souscripteur
→ Contrat à durée fixe : 1à , 20 ans etc. c’ets l’assureur qui détermine et l’assuré souscrit. Il peut y avoir une clause de prorogation. Ce
n’est pas une clause de tacite reconduction.
Contrat d’année 1 est celui de l’année 2 reconduit avec les careactéristiques initiales. Sur le contrat a durée fixe. La date de fin est repoussée
simplement. On reste sur le contrat initial. La prorogation donne lieu avec commun accord par doc que l’échéance soit repoussé de 10ans par
exemple.
Les contrats plus intéressants sont ceux viagers/ vie entière.
A. Le bénéficiaire
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Personne désignée par le souscripteur assuré pour recevoir les prestations. On parle de stipulation pour autrui (acte juridique au profit d’un
bénéficiaire). Le bénéficiaire est une personne physique ou morale. Si c’est une personne morale elle doit recevoir des libéralités (dons). Le
bénéficiaire est une personne dont on apprécie l’existence au jour de l’exigibilité des prestations (qui est celui concerné au moment ou l’assuré
est décédé).
Il peut s’agir des enfants nés ou à naître. Un enfant mineur ou incapable mahjeur ne peut pas choisir librement la désignation. La seule clause
bénéficiaire est : « héritiers (frères, sœurs et parents). La quatrième directive aujourd’hui on le sait les assureurs doivent vérifier l’identité des
bénéficiaires au jour de la souscription. Ainsi le bénéficiaire devient partie au contrat puisque l’assureur doit exercer une obligation de
vérification semblables à celles exercées sur les assurés.
B. La désignation du bénéficiaire
Rt. Peut etre effectuee a tout moment. De la souscription jusqu’à son échéance. Pas de condition de forme requise. Cela peut etre fait dans le
contrat d’origine ou dans un advenant ultérieur. Cela peut etree fait par simple lettre ou par testatment. Le seul élément est de dater. Car en cas
de disposition il faut voir celles a prendre en ciompte et signer pour marquer la volonté de l’assuré. La désignation du bénéficiaire ets facultative
et ne conditionne pas la validité du contrat.
Art du code des assurance === » partie importante « bénéfice attribué a une ou plusieurs personnes, nommément désignée ou non’’ » :
→ Bénéficiaire désigné : sans confusion. S’il est nommément désigné, on est dans une désif=gnation directe ;
→ Benéficiairedéterminable : on est sur une désignation par la qualité (enfant, frère sœurs, parents), désignation indirecte)
La clause bénéficiaire doit désigner le rang, la part revenant à chaque bénéficiaire (désignation a part égale en pourcentage, en fraction,
affectation d’une somme, l’affectation du solde le cas échéant pour les intérêts générés et le repport aux autres bénéficiaires. Tout doit être
distribuable.
Il est conseiller de mettre la mention, à défaut mes héritiers. Cela permet dans le cadre du contrat d’assurance vie
Ex : on décède, notre fils pré décède. Donc plus de bénéficiaire. Si le fils avait un fils du coup mon petit filsn ce dernier sera l’héritier des
sommes. ===== » ici bareme des droits successifs
Ex2 : décès de moi et prédécès du fils à défaut de la mention ‘’d’héritiers’’, l’assureur demande a l’assureur le certificat de notoriété qui va
indiquer que mon petit fils === » fiscalité avec un barème plafonné avec moins de pourcentage que le cas précédent. L’addition change du
coup. En cas de décès si on apporte la preuve à défaut de savoir a quelle structure AGIRA. Un organisme qui est chargé de contacter les
assureurs pour vérifier avec les assureurs qui ont 15 jours pour vérifier, si ok prendre contact avec l’hériitier qui joint une copie du certificat de
décès.
→ Désignation possible par qualité (désignation indirecte). Le conjoint désigne la personne avec qui on est marié ou PACSé.
→ Désignation par le nom ou prénom === on est dans le cadre d’une désignation indirecte.
Le code des assurances précise que « l’assurnace fait au profit du conjoint profite a ; la personne qui a la qualité au moment de l’exigibilité (cad
au momennt ou l’assureur verse).
Que se passe t-il en cas de décès ? on se marie, on divorce puis on se remarie, on décède enfin. C’est le 2 nd conjoint qui en bénéficiera.
Si on divorce avec Jacqueline puis on se remarie, si on ne modifie pas le contrat concernant la perosnne qui a la qualité de bénéficiaire il y a un
problème.
La JP fait primer plutôt la qualité sur l’identité. Qualité supérieur a l’identité.
On constate que de plus en plus que les assururs peuvent adopter la nullité de la clause bénéficiaire si les éléments ne sont pas réunis. Exetre
jeanne Dupont et ne pas s’appeler tel.
Si on désigne mon conjoint, le conjoint divorcé est exclu. A l’inverse si on désigne par son nom et prénom, on désigne jeanne dupont la première
si c’est elle qui est désignée de nom. L’ex conjoint nommément désigné conserve le droit aux prestations.
Auparavant vant le 1er janv 2005, le divorce revoquait automatiquement le conjoint bénéficiaire acceptant au terme de la convention. Il faut faire
acter dans le contrat qu’il a accepté. Ce qui fait que quand on a divorcer l’ex conjoint pourra bénéficier des fonds .
D. L’acceptation de bénéfice
C’est le fait que le bénéficiaire puisse figer les droits à recevoir le droit en cas de décès. Ça limite les droit du souscripteur et conforte ceux du
bénéficiaire.
Lla loi du 18 décembre 2007 prévoit que l’acceptation aux bénéfice doit être faite suivant certaines conditions de forme. Comme l’acceptation
posait beaucoup de problème avant 2007 la loi a donc évolué.
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Depuis 2007 l’acceptation doit revêtir :
→ Il faut un advenant
→ Un acte sous seing privé, acte authentique entre le bénéficiaire et le souscripteur et nnotifié à l’assiureur (par un notaire entre le
beneficiaire et le souscripteur dont l’un 2 notifie à l’assureur, ou par un document signé entre le et le souscripteur et ensuite notifié via
le noteur à l’assureur).
→ Notifié 30 jours avant la renonciation
Quand l’acceptation est faite dans ces conditions, elle devient irrévocable. En règle générale l’acceptation du bénéficiare fige la part du
bénéficiaire en totalité ou en partie.
Il faut l’accord du bénéficiaire acceptant pour que le souscripteur opère un retrait ou diminuer la valeur du contrat.
Sauf disposition spécifique. Car en règle générale l’assureur va suggérer au souscripteur de mettre une clause qui permet le rachat ou de retirer
ou de faire une avance sur contrat.
Le bénéficiaire ets donc sûr d’être bénéficviaire mais pas sûr du montant du capital.
Par contre la Cour de cass a prévu que l’accord du bénéficiaire n’est plus obligatoire en cas de rachat.
Comme ça reste une libéralité il y a un certains nombre de dispositions prévues par le code civ.
→ Si le bénéficiaire lève l’accord
→ La tentative de meutre du souscripteur par le bénéficaiire (motif de révocation) donc peut changer de bénéficiaire
→ Les tentatives de révocation d’acceptation de bénéfice. Ex : la loi considère que si on désigné un tiers bénéficiaire si on a pas d’enfant,
la survenance du enfant est un motif de révocation.
→ Accordée sous l’exécution d’une charges
→ L’ ingratitude du bénéficiaire
LE DISPOSITIF AGIRA 1
Il prévoit toute personne qui prétend etre bénéficiaire d’assurnace vie, qui peut s’adresser à l’agira en fournissant une copie d el’acte de décès du
souscripteur présumé, puis agira distribue a l’ensemble des sociétaires l’acte de demande. Les assureurs ont 15 jours pour répondre. 2 options :
→ S’il y a bien un contrat d’ssurance vie alors il prennent contacte avec la personne
→ Sinon sans suite
AGIRA 1 benéficiaire verts les assureurs
AGIRA 2
Est une obligation légale vers les assurés. Elle porte sur les assureurs qui doivent vérifier le décès éventuel de leur assuré. Au moins une fois par
an l’assureur doit passer le fichier sur l’ERNIPP ( répertoire de l’identificaytion des personnes physiques). En retour il a un certains nombre de
resultats puis il instruit. Ce qui veut dire qu’il a un certains nombre de personnes qui vont matcher ou pas avec les critères.
Une fois qu’il a connaissance du décès il doit rechercher les bénéficiares. Le texte du code des assurances a donc été modifié puisqu’avant c’était
a l’assuré de se manifester avec AGIRA 2 ce n’ets plus le cas. L’assureur a l’obligation d’exploiter tous les indices de décès.
Ex :Le fait d’adresser des chèques au souscripteur par exemple et que ces virement ou chèques aient été rejetés.
Une loi ECKERT qui lutte contre la déshérence des contrats d’assurance fut votée. Un certains nombre de délai a été instauré. A
partir du moment où l’assureur identifie les bénéficaiaires il doit leur écrire dans un délai de 15 jours pour adresser le capital décès qui est
adressé dan=s un délai de 30 jours max. au-dela, il doit verser des intérêts majorés de moitié pendant les 2 premiers mois et du double à partir du
30ème mois.
A compter du 3 eme mois il doit compter les intérêts majorés.
Il y a des interdictions :
→ Facturer des frais de recherche
→ Appliquer des frais de gestion qui conduiraient a une rémunération négative. Ex : je verse 1 pour cent de taux d’intérêt et je prélève 2
pour cent de taux de prêt
Il y a un taux de revalorisation prévu par decret.
A compter dui 1er janvier 2016 si l’assureur n’a pas réussi a rentre en contacte avec le bénéficiaire, a partir de cette date 10 ans après le capital de
décès est versé a la caisse de dépôt et consignations. Pendanét les 20 annnées suivantes, s’il ne se passe rien les fonds sont reversés à l’Etat.
L’assureur doit conserver les documents relatifs aux dossiers car si le bénéficiaire venait à se manifester, il peut obtenir le paiement de la
rémunération.
Il ya 2 façon de le faire :
→ L’assureur doit faire une assignation au bénéficiare 6 mois avant l’expiration du délai de 10 ans
→ On lui écrit, il reçoit le courrier , mais ne fait rien, la loi prévoit :
o Soit les sommes sont dérisoires donc en raison des démarches longues, le bénéficiaire ne touche pas la somme
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o Ou alors en raison de conflit familiaux le bénéficiaire ne souhaite pas récupérer les fonds
La caisse de dépôt publie au journal officiel pour permettre aux bénéficiaires de découvrir s’il le sont soit directement ou par désignation.
I. LES FRAIS
NB si on divise 9500 par 0,95 on trouve 10 000 qui est le montant de versement
Nouvel Enoncé
5% jusqu’à 100 000 euros de versement
3% pour la fraction exédant 100 000 versé au cumul sur le contrat
1) Ça reste pareille
EI : 134 000
NB : 90 000 parce qu’il a déjà versé 10 000 euros au départ.
17
3) EI : 50 000 x 0,97
EI : 48 500
4)
5)
EI :
NB :
La date d’effet : c’est celle qui fait référence sur le plan juridique et fiscal. Ex : un chèque daté d’aujourd’hui adressé a l’assureur,
le versement fera référence au 17 octobre. Si je décède les sommes font parti du contrat puisqu’antérieur a mon ddécès.
Ex : mje verse avant 70 ans on note la date qui concrétise la volonté de verser.
NB : Il faut noter que le 21 pas d’intérêts. Pour les autres jours, les intérêts de la veilles sont crédités .
18
CAS D’OPERATION DE RETRAIT
Enoncé
10 000 VAE ?
Solution
10 000 VAE 9965,65 ?
Exo
VAE ?
20
La méthode précédente est utilisée parce qu’il eu des opérations inverse en cours d’année. Sinon on fait un calcule mouvement par mouvement.
S’il y a pas de mouvement : on fait.
Les 4,5% dans l’énoncé pour nous faciliter la tache et montrer que c’est constant d’une année N à l’année N+.
4,5 x 0,828 = 3,726
10
10 000 x ( 1,03726) = 14417,05
ENONCE
Calculons la VA de N+2
EI = 6 000 x 0,965
= 5790
I. EN COURS DE CONTRAT
A. Le rachat
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B. L’avance
On parle de prêt ou avance sur contrat. C’ets une notion très précise dans le code des assurances.
Ex : contrat d’assurance vie ; la position est dégressive en ce qui concerne la fiscalité.
Pour permettre qu’il y ait une imposition légère les assureurs ont prévu une méthode. Et c’est celle-ci qui s’assimile à une avance. Puisque
l’épargne sert de garantie et la somme ‘’avancée’’ n’est pas retiré du contrat. C’est une forme de garantie. Pas de lien direct en la somme et la
valeur garanti, puisque l’assureur détient déjà le contrat. C’ets pour cela que ce ne sera pas imposable.
Mais l’assuré paiera des : Intérêts sur avance sinon ça serait gratuit == » du coup abus de droit.
Sur un contrat en Euros on peut prêter 80% max de la valeur acquise.
En Vc on peut 0% max.
La durée maximum est de 8 ans pour l’avance. Il y a une recommandation entre la FFA et l’ACPAR qui prévoit qu’on ne doit pas multiplier les
avances pour éviter un abus de droit par rapport à l’imposition. Donc pas dans les 3 ans contracter 2 ou plusieurs fois.
Le taux d’intérêt doit être supérieur au taux de capitalisation. Ça ne peut être un prêt à titre gratuit. Parce qu’on le sait ce n’est pas déduit de la
somme prévue au contrat.
La taux d’intérêt sur avance est toujours fixé par rapport au taux d’intérêt de capitalisation pour éviter que ça bascule en gratuit.
N N+1 N+2
L’avance permet de disposer de l’épargne sans modifier les compteurs fiscaux. On transforme ainsi les sommes de fiscalité pour les appliquer en
matière de succession en quelque sorte.
Donc l’avance permet de disposer de son épargne mais sans le recréditer au contrat pour aloudir la fiscalité appliquée au contrat.
Second intérêt est que l’avance est neutre surtout pour les personnes qui approchent des 70 ans.
(A L’EXAM POSSIBLE)
La transformation en vente : le capital est aliéné. L’assureur récupère le capital et s’engage à verser une rente (arrérage) jusqu’au
déccès puis que c’est viagère. La rente peut etre reversible , on peut désigner un corentier. Au décès celui-ci continuera à toucher
l’arrérage. La réversion peut être :
o Soit à 100 %
o Soit à 60% que va toucher le corentier
Les 60 % et les 100% jouent sur le montant et non pas sur la durée.
Ex : sans reversion on considère que la rente 2000 / trimestre.
100% → on touchera 1000 euros par trimestre (car il y a un corentier qui pourra également troucher la somme)
60% → donc 1500/ trimestre pour moi et 900 euros / trimestre pour le corentier. On a donc le capital constitutif qui est
déterminé. On a donc un contrat signé qui précise qui est le rentier ainsi que le montant de l’arrérage correspondant aisi que ses
modalités de calcul.
La rente clôture le contrat.
o Donc il faut etre en activité professionnelle ce qui veut dire que les enfants et les retraités sont exclus. Par contre il y a une
marge de tolérance pour les retraités afin de profiter des avantages fiscaux.
o Le legislateur ets parti du principe qu’une personne atteinte d’handicap peut voir son salaire réduit du fait d’une moindre
productivité. Les versement sur son contrat dépargne lui permttent d’avoir des compléments sur sa retraite afin de compenser
la perte du moindre salaire.
Pour pouvoir en bénéficier il faut un justificatif, permettant de savoir si oui ou non on reçoit les primes qui ouvrent droit à réduction
d’impôts. Il y a un plafond qui est de : 1525 + 300 euros / enfant à charge.
Le montant de la réduction d’impôt est de 25% de l’épargne investi. Ex : adulte, 2 enfants , il verse 2000 euros, et il y a 5% de frais =
1900 euros / épargne = 475 euros.
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Le spersonnes atteintes de handicap, n’ont pas d’écart de salaire avec leurs collègues en réalité. Les tutilaire du contrat ont l’obligation
de conserver au moins 6 ans le contrat. Si le contrat est conservé avec moins de 6 ans, l’économie générale peut etre remise en cause
par l’administration fiscale.
Le contrat de rente survie : Il est ouvert au profit d’une personne atteinte de handicap. L’exemple typique c’ets celui ouvert par des
parents au profit d’un enfant handicapé. L’objectif est de permettre aux parents dans un cadre fiscal adapté, afin de permettre en cas de
difficulté de subvenir aux besoins. Le dénouement de ce contrat est sous forme de rente viagère, car ça garanti a l’enfant de toucher
jusqu’à son décès.
On a execatement le même plafond. Il peut y avoiir des contrôles fiscaux chez les assurés. L’amendee est 4 fois la somme de la base
de déclaration.
Pendant la phase de capitalisation il n’y a pas de fiscalité, mais des contributions sociales qui ne sont pas impôt. Les contributions
sont perçues de 2 façons :
Pour les contrat en Euros ; support en euros / contribution sociale on vient prélever les intérêts chaque année au 31
décembre.
Pour les supports en Unité de compte/ contrat UC le prélèvement des contributions s’oppèrent sur les plus-values lors des
retraits.
Si on a un contrat multisupport en euros. On regarde s’il y a des plus-value s’il y en a pas, l’Etat fait une réduction d’impot. Au
cas ou il y a des plus-values, on va calculer le montant global des plus-values soumise a contribution sociale et les appliquer à
celles qui ont déjà été prélevées par anticipation.
Sur les contribution. L’employeur calcule et prélève les contributions puis les redistribue au FISC. On dit qu’il ets percepteur.
Les contrats de rente-survie et épargne handicape sont partiellement exonérés de contribution sociale. Pendant la capitalisation ils
sont uniquement soumis au prélèvement de 0,5 % de CRDS. Mais en cas de retrait l’employeur recalcule puis les prélève.
Il y a une autre catégorie qui bénéficie d’exonération de prestaion sociale. C’est les non-résidents fiscaux : comme il n’en profitent
pas alors il ne la financent pas.
25
CHAPITRE 3 : SUR LES PRESTATIONS
En principe en cas de retrait il y a taxation des produits. Quand on dit produits on fait référence aux intérêts crédités ou plus-
values générées. Les produits sont taxés à l’impôt sur le revenu ou par substitution au prélèvement forfaitaire libératoire.
La définition de la notion de produit c’est la différence entre ls sommes remboursées et le montant des primes versées. Il faut que
les intérêts aient dépassé les frais.
Pendnat longtemps les assureurrs mettaient des pénalités de rachat. Mais cen n’était pas très favorable ua client c’est pour cela que
ça n’existe plus.
Ex : Retrait
R = AFR – SVR
Intérêts AFR SVR = (SV- SVR) / VAE x Retrait
AFR = R - SVR
Versement SVR
IRPP OU PFL ( c’est le souscripteur qui choisis dans sa feuille de retrait il doit le préciser). Sur les supports en euros on se
retrouve avec la même que les contrats en euros.
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Supposons
Intérêts 10 000
Versement 40 000 Je souhaite retirer 5 000 euros.
C’est donc sur les 1000 euros que les intérêts vont être calculés.
PFL
0 à 4ans 35%
4 à 8 ans 15%
en 3ans donc 35%
2) s’il y a IRPP
Montant versé = 5 000 euros
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CAS PRATIQUE
CORRECTION
Taux intérêt de capitalisation + CS = 4,44 x 0,82 = 3,65% les 0,82 c’est 17% - 1
Calculons N+7
2
VAE N+7 = (11561,18 – 4 000 ) x (1,0368)
= 8127, 92
28
AFR = 8127,92 – 6540,15 = 1582, 77 euros
CAS PRATIQUE
CORRECTION
CS = 740,74 x17,2%
CS= 127,41 euros
Versements
Intérêts29
Versements
Intérêts
Versements
C2 Retrait 26/09/2017
C1 avant le 1/1/1983
CAS PRATIQUE
1/12000 1/1/2012
CORRECTION
Application de l’IRPP, il doit joindre le justificatif de l’évènement. L’administration va ensuite l’exonérer sur l’assiette fiscale.
B. La nature du contrat
Certains contrats outre le dispositif de l’assurance vie, vont pouvoir bénéficier d’un cadre dérogatoire :
L’enveloppe ficale PEP : elle peut être prise dans le cadre d’un produit bancaire ou dans le cadre d’une assurnace. Elle
limite a 92 000 euros le versement d’épargne investi. Déduction faite des frais. On ne peut avoir qu’un seul PEP par
contribuable. C’ets un contrat complètement défiscalisé après 8 ans. Si on transforme le contrat PEP en rente viagère elle
est elle aussi complètement défiscalisée. C’ets un des rares produits complètement défiscalisés. C’est un produit
transférable d’un établissmeent à un autre. Mais le problème est que dès qu’on effectue un retrait dans ce type de contrat
on peut plus faire de versement. Enfin depuis le 25 septembre 2003 ce contrat ne peut plus être souscrit.
Les contrats DSK : créés par le ministre des Finances. C’est un contrat :
o Multi support : on a des qotas qui devront être respectés. Au moins50 % investis en action. Dans ces 50% il doit
y avoir 5 – 10 % de placement à risque. Pas de fiscalité dans ce contrat, tout est défiscalisé, quelque soit l’intérêt
à retirer
Le problème dans ce contrat c’est que les 50% sont trop élevés.
Ensuite ces contrats ont été changées sous NICOLAS SARKOZY, appelé Nouveaux contrats Investis en Action (NCIA).
C’est devenu 30% d’action et 10 % en non cotés. La différence est que meme si c’est risqué, le marché établi aucune côte
en ce qui concerne le risque.
Même avantage que pour DSK, exonération après 8 ans de détention.
Transformation du contrat 100% euros en contrat multisupport en gardant la date du contrat initiale avec la contrainte d’investir au
moins 20% en unité de compte. Tous les avantages de l’ancien contrat sont gardés.
La transformation est obligatoirement totale ( c’est ce qu’on appelle du un-un). Il n’existe pas de changement d’assureur possible.
C’est l’assureur qui détermine dans son portefeuille de contrat, les contrats qu’il soumet à la transformation. Mais il y a un flou du
texte sur l transformation à propos des 20%. Si on tient compte par exemple de la fluctuation des marchés ça peut poser
problème. Après transformation il y a ouverture d’un droit à renonciation pendnat 30 jours.
31
CHAPITRE 4 : FISCALITÉ EN CAS DE DÉCÈS
Il y a un principe général d’éxonération des droits de succession sur les capitaux via un contrat reçu … le montant est limité. Il y a
un maintien des droits de succession pour le conjoint ou le partenaire Pacsé. Cette exonération peut aussi être accordée au frère ou
à la sœur mais sou certaines conditions restrictives :
Etre célibataire veuve ou divorcée
Etre agée d’au moins 50 ans ou etre affecté d’infirmité empechant la survenance a ses propres besoins
Avoir vécu avec le defunt pendant un cetains temps (5ans)
Il y a application des prélèvemlents sociaux sur les capitaux décès. 2 cas de figure
Sur les contrats en euros :
Ex : s il y a décès au bout de la 5eme année. Les capitauxseront prélevé entre la date du 1er janvier de l’année et la date du décès.
Sur les contrats en unité de compte :
Les prèlèvements sociaux sont prélevés pendant les retrait et sont prélevés sur les plus-values entre la date de souscription et la
date de décès.
C’est l’administration qui fera la synthèse selon les informations fournis par le souscripteurs. La totalité des intérêts générés
restent exonérés. C’ets le barème de droit commun qui s’applique au titre de la succession. C’est les abattements parent-enfant en
matière de succession qui peuvent être imputés la dessus également.
Exercice 1 :
Versments 183000
CORRECTION
Premier élément à répérer la date. C’est 1980 pour tous les contrats après donc 990. Tous ce qui est avant est exonéré
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Mtt versé : 670 000 – 12 100 = 657 900 euros
Exercice 2 :
Versments 183000
CORRECTION
Premier élément à répérer la date. C’est 1980 pour tous les contrats après donc 990. Tous ce qui est avant est exonéré
BASE TAXABLE : 6100 +137 000 = 198 000 + 198 00 – 30500 + 167 500
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CONCLUSION
Quels sont les critères à regarder pour choisir un contrat d’assurance vie ?
- Taux d’intérêt
- Frais/versement
- Frais de gestion
- Montant minimum (ouverture, versement)
- Support UC , monétaire , offre UC
- Garantie (décès, planché)
- Taux participation BF
- Mode sortie au terme du contrat
- Performances passées
- Durée du contrat : (contrat durée fixe ou viagère
- Modalités de versement
- Disponibilité de l’épargne (rachat, minimum + coût, solde du compte)
- CA (provisions des contrats)
- Date de valeur (versement, retrait)
- Rémunération (retrait total, décès)
- Répartition de l’actif financier (exposition actions)
- Actif général, ISDI, cantonné
- Date de création du contrat
- Qualité de la documentation et de l’information
- Ratio de frais généraux / PM
- Le ratio de solvabilité de l’entreprise d’assurance
- Support en UC
o Evolution
o Frais de gestion/ UC
o Conditions d’arbitrage = montant minimal / frais d’arbitrage
o Outils pour faire opération
EXAM : Points
Exo : raisonnement
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On peut perdre des points. En cas d’absence de réponse
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