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PLAN
LOCAL
D' URBANISME
Approuvé par délibération du DCM du 24 octobre 2005
D2
Règlement
-1 Notice Architecturale
notice architecturale de
protection du patrimoine et
des ensembles homogènes
(au titre de l'article L.123-1-5, III, 2°)
Sommaire
SOMMAIRE DE LA NOTICE ARCHITECTURALE
Les immeubles et les ensembles remarquables ont fait l'objet d'un recensement
systématique (voir plans E4-1a et E4-1b), sur l'ensemble du territoire communal.
Les principales valeurs patrimoniales prises en compte pour le recensement sont :
- l'intérêt historique,
- l'ancienneté,
- les qualités urbaines, architecturales, artistiques,
- la qualité d'usage.
Les modes de protection ont été définis sur la base d'un classement établi sur des critères
typologiques et qualitatifs.
1.1.1- Les immeubles et les clôtures sont répartis en 14 types, en fonction de leur
implantation sur la parcelle, de leur forme et de leur modénature.
I façades planes, sans fenêtres plus hautes toitures tuiles avec caractéristiques
ornementation ni relief que larges dépassées, rive associées pour les
horizontale baies et les fermetures
II façades planes, relief fenêtres plus hautes toitures tuiles avec caractéristiques
balcons, modénatures que larges dépassées, rive associées pour les
horizontale, décors bois baies et les fermetures
ou béton moulé
III façades avec jeux de fenêtres larges ou caractéristiques
volume par rapport à carrées associées pour les
l'alignement baies et les fermetures
IV autres types et unica*
IX trame apparente,
loggias filantes ou non
X maisons mitoyennes à
redents
XI habitat groupé avec
terrasses
XII façades planes balcons
demi-pleins
XIII barres façades planes
* : "Unicum", au pluriel "unica" : terme utilisé pour définir un ou des éléments uniques dans leur forme, qui ne rentrent
pas dans une typologie.
Les immeubles dont l'intérêt patrimonial est essentiellement lié à un événement d'ordre
historique ne sont pas pris en compte dans cette classification typologique. Ils feront
l'objet, ultérieurement, d'un recensement et de mesures de protection.
TYPE CARACTERISTIQUES
1.1.3- Le cas particulier des ganteries. Elles se distinguent par leur typologie, de catégorie
I, II ou III et par leur fonction représentée par la lettre G dans la case type de bâti.
Parmi les maisons de maîtres gantiers, nous pouvons citer en particulier la Maison Xavier
Jouvin, 2 rue Saint Laurent ; la Maison Perrin, 4 rue des Dauphins et 6 rue Irvoy ; la
Maison E & S Jay, 10 avenue Alsace Lorraine. La Maison Fischl et Frères, 20 rue de
Paris et la maison Vallier 8 rue Jean Prévost sont des exemples de manufactures très
bien réhabilitées.
En 1896 il y a avait encore plus de 83 manufactures sur Grenoble.
Les immeubles et les clôtures recensés pour leur valeur patrimoniale font l'objet de
deux niveaux de protection :
* : "Unicum", au pluriel "unica" : terme utilisé pour définir un ou des éléments uniques dans leur forme, qui ne rentrent
pas dans une typologie.
Les interventions sur le patrimoine remarquable recensé seront conformes aux règles du
PLU, et en particulier à l'article 11 de la zone concernée. Toutefois, la préservation de ce
patrimoine nécessite que les règles soient complétées et adaptées aux différents enjeux
posés par sa conservation et sa mise en valeur.
Ces immeubles, qui présentent un intérêt architectural ou historique suffisant pour justifier
de leur protection, sont à conserver et à restaurer. Le principe général est l'interdiction de
leur démolition. Toutefois, leur démolition pourra être autorisée à titre exceptionnel si l'état
de l'immeuble et la qualité du projet le justifient.
2.1.2- Façades
Les gouttières et descentes d'eaux pluviales apparentes sur les façades seront en zinc
d'aspect non brillant.
Pour les immeubles des types II, III, IV, V, VIII, IX, XII et XIV, la modénature et les jeux de
volume existants seront conservés et mis en valeur.
Pour tous les types, le style et la proportion des baies, des fermetures et des stores
seront préservés.
L'ajout ou la suppression de percements seront autorisés sur la base d'une étude globale
de la façade, à condition que l'équilibre d'ensemble de celle-ci et son caractère
architectural soient préservés.
La fermeture des loggias et la couverture des terrasses en retrait sont interdites pour les
immeubles des types II, III, IV, VIII, IX, XII et XIV.
Les éléments de décors d'origine, tels que les encadrements de baies, moulures et
bandeaux, les lambrequins, garde-corps, stores, le dessin des menuiseries, etc. seront
préservés, reconstitués ou restitués.
Pour les immeubles des types I, II, III, IV, V, VIII et X, couverts par des toits en pente, les
volumes, pentes et matériaux des toitures seront conservés ou reconstitués. Les passées
de toitures, les décors, lambrequins et cheminées seront conservés ou restitués.
Pour les immeubles des types III, IV, VIII, IX, XI, XII, XIII et XIV, couverts par des toitures
terrasses, le volume et la modénature des couronnements et des acrotères seront
conservés ou restitués.
2.1.4- Clôtures
Les clôtures des types VI et VII seront conservées et restaurées avec les différents
éléments (murs bahuts, murets, grilles, piliers, portails en serrurerie) qui les composent, et
dans le respect des matériaux d'origine.
2.2.2- Façades
Les gouttières et descentes d'eaux pluviales apparents sur les façades seront en zinc
d'aspect non brillant.
Pour les immeubles des types II, III, IV, V, VIII, IX, XII et XIV, la modénature et les jeux de
volume existants seront de préférence conservés et mis en valeur.
2.2.3- Toitures
Pour les immeubles des types I, II, III, IV, V, VIII et X, les volumes, pentes et matériaux
des toitures seront conservés et mis en valeur.
Pour les immeubles des types III, IV, VIII, IX, XI, XII, XIII et XIV, couverts par des toitures
terrasses, le volume et la modénature des couronnements et des acrotères seront
conservés. Leur modification ou leur remplacement fera l'objet d'une étude d'ensemble.
Les clôtures des types VI et VII seront conservées et restaurées, ou remplacées par des
clôtures du même type et de même nature.
Les ensembles homogènes pourront subir des transformations dans le but de les faire
évoluer en cohérence avec leur organisation urbaine et leur architecture d'origine. Cette
évolution prendra en compte leurs caractéristiques urbaines et le type architectural
dominant de l'ensemble et, le cas échéant les préconisations qui s'appliquent aux
immeubles qu'ils contiennent.
2.3.2- Clôtures
3.1.1 - Immeubles
Ces immeubles sont en général inclus dans le périmètre de l'AVAP (parmi les immeubles
construits avant 1840 situés en dehors de l'AVAP, le lycée Vaucanson et les Charmilles).
Ils ont le plus souvent subi de nombreuses transformations, et peuvent renfermer des
éléments historiques et des vestiges archéologiques intéressants.
Règles et recommandations
Les règles et les recommandations qui concernent ces immeubles sont détaillées dans le
règlement de l'AVAP, qui constitue l'annexe F3-6c du PLU.
Les projets de réhabilitation, en particulier dans les cœurs d'îlots, seront précédés d'une
étude qui permettra :
- de déterminer les éléments architecturaux et les vestiges à valoriser,
Sur ces bases, les opérations de curetage à l'intérieur des îlots et la suppression de
rajouts disgracieux seront possibles.
Les parties de ces immeubles, visibles depuis les voies publiques, pourront subir des
transformations dans l'optique, soit de restituer les dispositions architecturales originelles
du bâtiment, lorsqu'elles sont connues, soit de recomposer les façades et les volumes.
Ces transformations prendront en compte le style architectural dominant de l'immeuble.
Il contient les secteurs de la ville médiévale situés sur la rive gauche de l'Isère, à
l'intérieur de l'enceinte gallo-romaine et à sa périphérie, et une partie de l'urbanisation du
dix-septième siècle, enceinte Lesdiguières.
Les immeubles constituent des fronts bâtis continus le long des réseaux viaires hérités de
l'époque médiévale et du dix-septième siècle. Les rues sont étroites, les places petites et
minérales.
Cet ensemble contient des demeures bourgeoises, des hôtels particuliers construits du
moyen-âge à la fin du dix-huitième siècle (rue Chenoise, rue Brocherie, rue Barnave, rue
Voltaire, etc.), et des édifices civils et religieux importants, tels le groupe évéché-
cathédrale, l'ancien palais delphinal, l'ancien hôtel du parlement de Dauphiné, la
collégiale saint André, la halle Sainte Claire.
Peu d'immeubles ont été construits entre la fin du dix-huitième siècle et le début du dix-
neuvième. Toutefois, les 11 à 19 rue Chenoise, les 4 à 10 rue Hector Berlioz et les
immeubles de la rue Auguste Gaché, constituent des ensembles très représentatifs de
cette époque, avec des façades planes, des premiers niveaux traités en entresols et des
arcades qui intègrent les baies du rez de chaussée et de l'entresol.
Recommandations
Recommandations
3.1.2. c- Ensemble constitué par les rues de Bonne, Saint Jacques, de la Poste
et de Sault.
Quartier entièrement loti au dix-septième siècle, après l'extension des fortifications vers
l'Ouest par Créqui, il présente une structure urbaine très homogène d'immeubles
bourgeois.
Recommandations
3.2.1- Immeubles
Les modes de construction ont évolué dès les années 1840, avec l'émergence du ciment
moulé et le début de l'urbanisation hors des fortifications, en particulier dans le quartier
Berriat.
Ces bâtiments constituent la plus grande partie des quartiers situés entre le boulevard
Edouard Rey et le Drac (Championnet, Gare, Berriat). De plus, des immeubles isolés, des
maisons, des ensembles, des bâtiments industriels construits à ces époques sont
disséminés au Sud des grands boulevards.
Cette urbanisation, qui s'est organisée le long d'avenues larges et rectilignes, autour de
vastes places publiques, donne une grande cohérence au centre ville. Elle ménage la
continuité entre le centre ancien et les quartiers modernes.
Règles et recommandations
Les immeubles construits entre 1840 et 1940 font l'objet de règles et de recommandations
spécifiques détaillées dans la notice D2-2.
Les fortifications Haxo ont permis, en 1830, de doubler la surface de la ville. La place
d'Armes, actuelle place de Verdun, constitue le centre de cette extension, qui a fait l'objet
d'une succession de plans directeurs. Elle est délimitée par des bâtiments officiels
construits après 1850. L'axe de composition Hébert-Lesdiguières ouvre des perspectives
sur le grand paysage.
Les immeubles particuliers qui composent cet ensemble sont de type "haussmannien",
façades planes avec reliefs et modénatures. Au contraire, les bâtiments officiels qui
bordent la place de Verdun présentent des façades avec des jeux de volumes, des décors
riches et des modénatures diversifiées.
Recommandations
- Les interventions, quelles soient sur le bâti ou sur l'espace public, prendront en compte
le caractère monumental de cet ensemble : les façades de la place de Verdun resteront
dégagées, aucun obstacle visuel ne perturbera l'axe de perspective Hébert-Lesdiguières,
- L'unité architecturale de chaque immeuble sera respectée,
Recommandations
Structuré par de larges avenues, par les places Hubert Dubedout et Victor Hugo, et par le
lycée Champollion, cet ensemble est particulièrement homogène, tant par son
organisation urbaine que par l'architecture des immeubles qui le bordent. Il s'étend, par la
rue Félix Poulat, jusqu'à la rue de la République, amorce des grandes percées
programmées à travers le centre historique à la fin du dix-neuvième siècle.
Recommandations
Recommandations
Il s'agit d'un quartier de maisons individuelles construites entre les deux guerres, édifiées
en léger retrait par rapport aux limites de parcelles.
Recommandations :
Recommandations
- Préserver la typologie des clôtures existantes (avec ou sans muret bas et piliers
encadrant l'entrée et serrurerie).
Edifiés entre 1930 et 1970, après le déclassement des fortifications, ils constituent, bien
que les immeubles et les écritures architecturales soient diversifiés, un ensemble urbain
doté d'une identité forte.
Recommandations
Les caractéristiques à préserver dans les immeubles existants et à retrouver dans les
constructions neuves sont :
- L'urbanisation en ordre continu, sur une grande partie du linéaire,
- La composition urbaine et la cohérence architecturale des îlots qui structurent les portes
(Catane, Paul Mistral), et les principaux carrefours (Place Pasteur, place Gustave Rivet,
carrefour Jaurès/Vallier/Libération/Foch),
- L'homogénéité des hauteurs,
- Le traitement soigné des angles de rues (modénature, retraits, rez de chaussée),
- Les modénatures des façades, loggias, terrasses en retrait, garde-corps,
- Le dessin des menuiseries extérieures,
- Les matériaux, les couleurs et le positionnement des fermetures et des stores.
Les trois tours de l'Ile Verte, posées dans un jardin public sans référence au parcellaire,
sont représentatives de l'urbanisme des années 1960 de type "charte d'Athènes".
Oeuvres des architectes Anger et Pucinelli, hautes de 100 m, elles marquent le paysage
grenoblois par leurs jeux de volume abstraits. La pâte de verre blanche qui couvre les
façades accentue les jeux de lumières créés par les loggias en creux. Leur ancrage au sol
a été travaillé de façon sculpturale.
Elles ont été distinguées par le label "patrimoine du XX° siècle", type urbanisme.
Recommandations
- Il convient de préserver l'organisation urbaine de cet ensemble, dont les bâtiments sont
implantés sur un vaste espace public paysager non clos,
- L'architecture des tours et la qualité de leur ancrage au sol ne seront pas dénaturées par
des transformations de type : fermetures de loggias, construction d'édicules ou de locaux
annexes en rez de chaussée, modification des couronnements,
Réalisé par l'architecte Maurice Novarina, ce quartier construit entre 1965 et 1968 pour
accueillir les athlètes pendant les jeux olympiques, a une vocation résidentielle.
Inséré dans une maille du plan Bernard, doté de nombreux espaces verts, il est organisé
sur le principe de la séparation des circulations. La circulation des véhicules et le
stationnement sont contenus en périphérie.
Le bâti est très homogène, composé de tours, de plots et de barres. Les tours et les plots
sont plantées librement en périphérie du quartier, les barres, en R+4, sont implantées le
long des circulations piétonnes.
Les principes de composition architecturale, l'alternance de pleins clairs et de vides
sombres, la répétition des modénatures, le traitement architectural des couronnements,
l'homogénéité des matériaux de façades (enduit clair et bois sombre), contribuent à
donner à ce quartier une identité très forte qu'il convient de préserver.
Le Village Olympique a été distingué par l'attribution du label "patrimoine du XX° siècle",
type Urbanisme.
Des préconisations d'ordre urbanistique, architectural ou paysager ont été réunies dans
une Charte Patrimoniale, approuvée par la ville et les propriétaires le 23 janvier 2001.
3.3. d- Villeneuve
Quartier construit entre 1970 et 1983 sur la base d'un plan d'urbanisme de l'AUA
(Georges Loiseau, Jean Tribel, Henri Ciriani, Borja Huidobro) et de Jean-François Parent,
son organisation urbaine se fonde sur le principe de la séparation des circulations. Sa
conception s'appuie sur la recherche de mixité sociale, et s'oppose aux grands ensembles
monofonctionnels par la création de nombreux équipements, et de zones d'activité à
proximité.
Un vaste parc, conçu par Michel Corajoud, occupe le cœur du quartier ; les immeubles
d'habitation et les équipements sont implantés dans le parc ou à sa périphérie. La
circulation automobile et le stationnement sont rejetés à l'extérieur.
Les "Résidences 2000", l'immeuble construit par Paul Chémétov allée de la Colline, et
l'école d'architecture, œuvre de Roland Simounet, sont repérés comme immeubles de
catégorie B.
caserne de l'Alma :
10 Rue Cornélie Gémond BZ0036 C2 A differentes classifications AV2a
11 Rue Cornélie Gémond BZ0046 C2 A 4019 AV2a
14 Rue Cornélie Gémond BZ0050 C2 A AV1
11 BIS Rue Cornélie Gémond BZ0047 C2 A 4019 AV2a
9 BIS Rue Cornélie Gémond BZ0042 C2 A 4019 AV2a
1 Quai Créqui BH0078 C3 B AV1
3 Quai Créqui BH0103 C3 B AV1
5 Quai Créqui BH0076 C3 B AV1
7 Quai Créqui BH0073 C3 B AV1
9 Quai Créqui BH0070 C3 B AV2a
7 BIS Quai Créqui BH0072 C2+ A ancien Hôtel de Belmont AV1
1 Rue Cujas BE0029 C2 A 4017 AV1
1 BIS Rue Cujas BE0021 C2 A 4017 AV1
musée de la résistance,
1 Rue des Dauphins BZ0087 C2+ A ancienne pisiculture 4019 AV2a
2 Rue des Dauphins BY0017 C3 B AV2a
Ganterie,
4 Rue des Dauphins BY0037 C2+ A Lycée Pierre Termier AV2a
7 Rue des Dauphins BY0035 C3 B AV2a
9 Rue des Dauphins BY0035 C3 B AV2a
11 Rue des Dauphins BY0036 C3 B AV2a
musée de la résistance,
1 BIS Rue des Dauphins BZ0086 C2+ A ancienne pisiculture 4019 AV2a
college champollion,
bâtiment côté rue
29 Rue Lesdiguières CR0015 C2+ A François Raoult déclassé 4021 AV2a
30 Rue Lesdiguières CH0001 C2+ A Lycée Champollion 4021 AV2a
32 Rue Lesdiguières CH0001 C2+ A Lycée Champollion 4021 AV2a
34 Rue Lesdiguières CH0001 C2+ A Lycée Champollion 4021 AV2a
35 Rue Lesdiguières CP0037 C2 A 4021 AV2a
36 Rue Lesdiguières CI0046 C2 A 4021 AV2a
14 BIS Rue Lesdiguières CE0011 C2 A 4020 AV2a
1 Rue de la Liberté CD0010 C2 A 4019 AV2a
2 Rue de la Liberté CD0008 C2 A 4019 AV2a
4 Rue de la Liberté CD0007 C3 B 4019 AV2a
5 Rue de la Liberté CD0014 C2 A 4019 AV2a
6 Rue de la Liberté CD0005 C2 A 4019 AV2a
7 Rue de la Liberté CD0017 C2 A 4020 AV2a
8 Rue de la Liberté CD0003 C2 A 4019 AV2a
9 Rue de la Liberté CD0018 C2 A 4020 AV2a
11 Rue de la Liberté CD0021 C2 A 4020 AV2a
1 Rue Lieutenant Chanaron CI0030 C2 A 4021 AV2a
2 Rue Lieutenant Chanaron CI0024 C2 A 4021 AV2a
4 Rue Lieutenant Chanaron CI0023 C2 A 4021 AV2a
1 Rue de Lionne BC0029 C2 A 4017 AV1
2 Rue de Lionne BE0015 C2 A 4017 AV1
3 Rue de Lionne BC0028 C2 A 4017 AV1
4 Rue de Lionne BE0016 C2 A 4017 AV1
2 Rue de Lorraine BC0059 C3 B 4017 AV1
4 Rue de Lorraine BC0003 C2 A 4017 AV1
7 Rue de Lorraine BC0034 C2 A 4017 AV1
6 Rue Louis et Auguste Lumière DE0040 C2 A 3023 AV2b