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L Antique Secret Des Dieux PDF
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DES DIEUX
Marc St-Germain
L’ANTIQUE SECRET
DES DIEUX
www.mysteresdeleusis.com
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TABLE DES MATIÈRES
3. L’humanité primordiale 7
5. Un nouveau départ 10
8. La confrérie du serpent 15
9. L’Alliance Illuminati/Extraterrestre 16
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1. Une planète convoitée
Vue de l’espace, la Terre est une magnifique perle bleue. Contrairement à plusieurs
autres corps planétaires, sa position idéale dans le système solaire fait qu’elle peut
engendrer la vie sous une infinité de forme et la supporter. La diversité biologique ainsi
que les différentes richesses dont elle est nantie fait d’elle un joyau rare. Si rare, qu’il est
bien possible que l’immensité de ses ressources puisse être l’objet de convoitise par des
visiteurs, pour qui voyager d’une étoile à l’autre n’est pas de la science fiction mais bien
une réalité.
Il est également fortement probable qu’au cours des âges certaines civilisations aient pu
émerger sur d’autres planètes et développer des technologies pouvant surpasser ce que
l’on connaît actuellement en termes de voyages spatiaux. Il n’est donc pas impossible que
si de telles civilisations existaient, qu’elles aient pu visiter notre monde de par le passé en
identifiant ses différentes ressources pour les exploiter le temps venu. C’est en tous cas ce
que raconte la majorité des textes anciens provenant des quatre coins du monde. Depuis
la découverte de Troie par Einrich Schleimann à partir des poèmes d’Homère, les
historiens sont bien conscients de la valeur historique de ces textes et ce, même ceux des
sumériens : « Cependant, les annales royales, qui énumèrent les événements d’un règne,
les victoires, les constructions et contiennent des invocations aux dieux, ont pour nous
une importance particulière; c’est sur ces documents que les historiens se sont appuyés
pour retracer l’histoire du Proche-Orient antique. » Samuel NOAH KRAMER, Le
berceau de la civilisation, Time-Life, 1975, p. 126.
Toutefois, étant donné la teneur extraordinaire des certains propos racontés dans ces
écrits, les historiens préfèrent reléguer tout ce qui se rapporte aux dieux au monde de
l’imaginaire. De simples fables, des allégories, de la mythologie et du folklore : « Qui
sommes-nous? Où sommes-nous, pourquoi ou comment sommes-nous là? Les réponses
des Mésopotamiens étaient directes et sensées, quoiqu’entièrement fausses par rapport à
nos connaissances scientifiques actuelles. » Samuel NOAH KRAMER, Le berceau de la
civilisation, 1975, p. 99.
Étant donné que dans ces textes les dieux prennent une place plus qu’importante, les
historiens n’ont pas d’autre choix bien qu’à contrecœur d’aborder le sujet : « Certes, le
dieu Ŕ et donc le temple, sa demeure terrestre Ŕ était théoriquement propriétaire de toutes
les terres de l’état… » Samuel NOAH KRAMER, Le berceau de la civilisation, Time-
Life, 1975, p. 82.
Par contre, encore aujourd’hui il y beaucoup de questions restées sans réponse au sujet de
ces antiques civilisations bâtisseurs de pyramides dont les classiques ; Comment ont-ils
pu arriver à une telle précision déjà à cette époque? D’où leur vient leur science, leur
savoir? Comment ont-ils pu arriver à connaître la position et le temps de révolution des
astres invisibles à l’œil nu? Les réponses sont pourtant là, pour celui qui veut bien
prendre la peine de regarder ou plutôt de lire... Car leur histoire est bel et bien consignée
et écrite partout dans la pierre et l’argile il ne reste plus qu’à rester l’esprit ouvert et
écouter ce qu’ils ont à nous raconter…
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2. Création de l’Homme et histoire sumérienne
Dans les milieux ufologiques, même s’il est acceptable de considérer l’année 1947
comme étant la date du commencement des observations d’ovni, il est admit par certains
que de telles apparitions ont eu lieu bien avant et peut-être même tout au long de
l’histoire de notre civilisation. Les traces écrites les plus anciennes rapportant des faits de
visiteurs venus d’ailleurs interférant dans les affaires humaines nous proviennent de
l’ancienne Mésopotamie, l’Irak actuel. Surnommé par les historiens le berceau de la
civilisation, ce « pays entre les deux fleuves » comme l’appelaient jadis ses habitants,
abritent de nombreux vestiges et artéfacts remontant à plusieurs millénaires décrivant en
détail autant la vie de tous les jours que les événements exceptionnels.
Le support de leur écriture, laquelle est dite « cunéiforme » en raison de la forme des
symboles qui ressemblent à des petits clous (cuneus en latin), est l’argile. C’est en partie
grâce à ce support durable et aux conditions climatiques de cette régions qu’encore
aujourd’hui nous pouvons avoir accès à ces archives du passé. Ce n’est qu’au du début du
19e siècle qu’on a commencé à déchiffrer cette langue morte à partir des inscriptions
trilingues de la falaise de Behistun en Iran. Précurseur dans le domaine, le militaire
britannique Henry Rawlinson est vu aujourd’hui comme étant le père de l’assyriologie
car il fut un des premiers à déchiffrer l’écriture cunéiforme. Par la suite, d’autres ayant
suivis ses traces ont pu faire revivre la culture mésopotamienne et leur histoire
surprenante...
Dans les textes sumériens il ne s’agit pas d’un dieu mais plutôt de dieux*. Et de plus,
chacun de ces dieux possède entre autre; un nom bien à lui, son propre caractère, des
sœurs et des frères, un père et une mère ainsi qu’une fonction précise au sein d’une
structure hautement hiérarchisée : « Anou, père des Anounnaki, était leur roi Céleste;
Leur Seigneur Chancelier était le guerrier Enlil. Leur officier Chef était Ninourta, Et leur
Garde des Sceaux était Ennougi [1]. »
*D’ailleurs encore aujourd’hui, on peut retrouver certaines correspondances subtiles à cet effet tout au long
de l’Ancien Testament.
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Ces multiples dieux ce sont vus attribués des territoires distincts où ils pourraient
exploiter les différentes ressources grâce au travail de leurs sujets, les dieux subalternes.
« Les dieux s’étaient pris par les mains, Avaient tiré au sort et divisé.
Anou avait rejoint le ciel, [Laissé] la Terre à ses sujets.
Les mers, enfermées comme par une boucle, Il les avait données à Enki, le prince [2]. »
Mais il semble qu’en dépit de leur condition divine, les dieux subalternes n’appréciaient
guère le travail minier, lequel faisait partie de leurs tâches principales :
Depuis le départ de son père dans les « cieux », Enlil fils d’Anou est désormais
responsable des travailleurs sur Terre, les dieux subalternes. Il fera face à une violente
mutinerie à laquelle il devra trouver rapidement une solution :
Et lorsque que nous regardons la création de l’être humain dans l’Ancien Testament,
Dieu ne donne pas de raison précise pour poser un tel geste sauf peut-être parce que
« c’était une bonne chose » et aussi pour « qu’il soumette les poissons de la mer, les
oiseaux du ciel, les bestiaux, toute la terre et toutes les petites bêtes qui remuent sur la
terre [7]. »
Dans les textes sumériens cependant, on crée l’Homme pour une raison bien précise qui
est la suivante :
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3. L’humanité primordiale
Tout comme dans la Bible, la tradition sumérienne nous apprend qu’au commencement,
l’homme tel qu’on le connait aujourd’hui était absent et seuls les dieux vivaient sur terre.
Pour arriver à créer un « travailleur primitif » selon les exigences émises par les mutins, il
aurait fallut une matière de base. Dans la Genèse c’est à partir du limon de la terre que
sera confectionné Adam, le premier homme. Mais dans les textes sumériens on demande
à Enki, frère d’Enlil de faire sa part pour trouver une solution à ce problème dont il
semble détenir la réponse:
Cette histoire, telle qu’elle est raconté par les sumériens nous apprends que dans un passé
lointain des êtres ne venant pas de cette planète sont venus sur la Terre et auraient
modifiés une espèce indigène afin qu’elle puisse servir de main-d’œuvre et ainsi libérer la
charge des dieux subalternes. Les différentes théories sur le sujet affirment que s’il y a eu
une manipulation génétique faite sur une ancienne espèce, il ne peut s’agir que d’une
amélioration, qu’une augmentation des capacités cognitives. Car « logiquement » selon la
théorie de l’évolution, plus on retourne en arrière moins les êtres sont évolués.
Toutefois, en me fiant à quelques légères subtilités issues de ces divers écrits anciens, ma
théorie personnelle à ce sujet est tout autre. Il semble probable à la lumière de ce qui est
raconté dans les anciennes traditions, que des visiteurs seraient effectivement venus sur
Terre pour y exploiter des ressources et il est même possible qu’ils continuent à le faire.
Par contre à leur arrivés, ce n’étaient pas des brutes primitives dépeints par la théorie de
l’évolution qu’ils auraient trouvés mais plutôt des êtres conscients vivant en harmonie
avec leur environnement et le reste de l’Univers.
« …ils voyaient, c'est-à-dire que leur vue portait au loin. Ils voyaient beaucoup de
choses, ils savaient beaucoup de choses, ils connaissaient tout ce qui se trouve sous le
firmament. – leur vision n’avait aucune limite, ils n’avaient pas à se déplacer pour tout
connaître. Ils avaient un savoir très étendu. Leur regard traversait les arbres, les pierres,
les lacs, les mers, les montagnes, les côtes, … (ils) étaient des hommes sacrés [10]. »
Popol vuh
Ce sont des êtres qui avaient gardés un lien étroit avec le reste de la création et du
créateur. Exprimant pleinement leurs potentialités, ils n’avaient donc pas besoin de
technologie car ils étaient tous ce qu’ils voulaient être; le vent, le feu, la forêt…
À quoi bon avoir un téléphone lorsque vous pouvez communiquer avec vos semblables
par télépathie? À quoi bon utiliser un télescope lorsque vous pouvez être en lien directe
avec l’âme des astres? Vous n’avez donc besoin de rien d’autre que d’une enveloppe
charnel servant de véhicule pour votre conscience ainsi que d’une planète pouvant vous
soutenir dans cette expérience.
7
Devant cette précision, on comprend donc que nos visiteurs auraient capturés ces
autochtones pour en faire des esclaves. Et comme on ne voulait plus de contestation ni de
confrontation avec l’ordre établit, on eu recours à une légère manipulation génétique afin
d’obtenir un quotient intellectuel suffisamment élevé pour des tâches ouvrières mais
quand même inférieur au potentiel normal de l’espèce:
« …ont ensuite tenté de corriger leur œuvre, leur création. Les yeux humains ont été
embués par l’esprit du ciel. Ils ont été aveuglés comme si l’on avait soufflé à la surface
d’un miroir. Leurs yeux ont été obscurcis de sorte qu’ils ne pouvaient voir qu’autour
d’eux, ils ne voyaient que l’endroit où ils étaient. C’est ainsi que les quatre premiers
hommes ont perdu la sagesse ainsi que leurs aptitudes et c’est ainsi qu’ont été créés et
formés nos premiers aïeuls, nos premiers parents par l’esprit du ciel, l’esprit de la Terre
[11]
.»
Cette vision de l’Homme omniscient est présente également dans les textes sumériens et
bien évidemment dans l’Ancien Testament. On y remarque que, bien que l’homme ait été
créé à l’image de Dieu on lui refuse tout de même l’accès à certaines connaissances qui
pourraient faire de lui une menace contre le pouvoir divin et même devenir son égal. On
peut voir cette crainte divine qui finalement s’avèrera fondé, dans les premiers versets de
la Genèse : « Voilà que l’homme est devenu comme un dieu, pour ce qui est de savoir ce
qui est bon ou mauvais [12]. »
« Voici que l’homme est devenu comme l’un d’entre nous par la connaissance de ce qui
est bon ou mauvais [13]. »
On comprend bien dans cette citation que Dieu, qui cette fois semble être plusieurs…
veut garder l’Homme ignorant et l’empêcher d’accéder à la connaissance. Donc, s’il y a
eu une manipulation génétique sur une espèce endémique c’est plutôt pour la garder
ignorante et non pas l’aider dans son développement intellectuel!
« J’ai été informé que notre civilisation n’est pas la première à avoir existé sur cette
planète. Il y en a eu plusieurs autres et il y a même des âmes incarnées présentement qui
ont participé dans ces divers expériences passées. Il y a dans les oubliettes de plusieurs
musés des artéfacts représentant une culture au moins aussi évoluée que la nôtre mais
qui vivaient durant l’âge du charbon! [14]» Wilbert B. Smith
« Cependant, Affa nous a dit que la race humaine est incroyablement ancienne selon nos
propres standards et que nous sommes tous de même constitution. Aussi, que la race
(humaine) est distribuée de façon extrêmement étendue autant dans notre système solaire
que dans les autres [15]. » Wilbert B. Smith
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4. Une humanité que dérange
La nouvelle population humaine devenue « trop intelligente » selon l’avis des dieux fini
par prendre une ampleur considérable. Devant cette situation hors de contrôle, les dieux
sont convoqués à une assemblée pour décider du sort de cette humanité qui dérange le
sommeil du dieu Enlil:
« Lors du Conseil des Grands Dieux Enlil dit : "La rumeur des humains est devenue trop
forte. A cause de leur tapage continuel je n’arrive plus à dormir, mais je suis surtout
inquiet sur ce qu’ils manigancent. Nous leur avons déjà envoyé maladies, fièvres,
épidémies et pestilences pour les décimer, mais très vite ils se sont à nouveau multipliés.
Nous leur avons envoyé sécheresse, famines et autres fléaux sans plus de résultat. A
chaque fois d’ailleurs, Enki le prince les a aidés à s’en sortir. Maintenant il faut en finir
une fois pour toutes et envoyer sur les hommes le Déluge afin qu’il n’en reste pas un
[16]
." » Genèse sumérienne
On décida alors d’un commun accord d’exterminer cette race qui définitivement ne
concordait plus avec les plans d’origine :
Le récit tel qu’on le connait, continu avec Noé qui, selon les conseils de Dieu, construit
une arche pouvant abriter un couple de chaque animal et toute la logistique nécessaire à
leur survie. Dans la Bible, on a un peu de difficulté à comprendre les décisions divines
tant elles sont contradictoires; créer l’être humain, détruire l’être humain, sauver l’être
humain…
Mais dans les textes sumériens cependant, l’histoire devient beaucoup plus claire lorsque
l’on y voit que ces décisions ne viennent pas d’une seule personne mais de plusieurs. Il
s’agit des deux frères, Enlil et Enki, les mêmes qui ont participés à la création du premier
homme afin d’en faire un travailleur docile. Toujours à partir de ce qui nous est rapporté
des sumériens, Enlil et Enki auraient eu des vues très différentes quant au traitement de
l’espèce humaine. Pour Enlil l’Homme n’était qu’un serviteur mais pour Enki ce dernier
était le fruit de sa création et ne méritait pas un tel châtiment :
« Enki prit la parole : "J’ai créé l’homme dans l’intérêt des dieux, ne me demandez pas
d’approuver un tel cataclysme. Comment pourrais-je porter la main sur mes créatures !"
Les dieux ayant malgré tout pris la décision finale, Enki en songe prévint Atrahasis, le
Supersage, un homme de bien qui avait toujours mérité sa confiance. "Atrahasis, jette à
bas ta maison, détourne-toi de tes biens pour te sauver la vie [18]. " »
Genèse sumérienne
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5. Un nouveau départ
Dans la Bible, à la suite du déluge, Dieu ne voulant pas perdre une nouvelle fois le
contrôle qu’il avait mit tant de mal à établir prit la décision suivante :
« Je ne peux pas laisser les hommes profiter indéfiniment du souffle de vie que je leur ai
donné ; ils ne sont après tout que des êtres mortels. Désormais ils ne vivront pas plus de
cent vingt ans [19]. » Genèse
Même chose dans les textes sumériens mais toujours avec davantage de détails:
« … Mais que les hommes ne vivent pas au delà de 120 années, afin qu’ils ne puissent
jamais percer à jour nos connaissances. Ainsi, ils ne seront plus une menace pour nous !
Veillons à ce que les hommes ne s’installent jamais dans l’allégresse. Surveillons de près
leur prolifération, leur prospérité et leur joie de vivre. Et pour cela, que chez les hommes
un temps de malheur succède toujours à un temps de bien-être [20]. » Genèse sumérienne
Cette autre mesure qui on s’en doute, est une nouvelle manipulation du génome humain
serait à la base de la structure génétique de la présente civilisation. En y regardant de plus
près, cela pourrait expliquer la fameuse énigme génétique qui est que seulement 3% de
l’ADN humain est codant. Il y a donc 97% de notre code génétique dont on ne sait
absolument rien sur ce qu’il peut servir ou du moins on peut s’en douter…
Les grecs comme on le sait, on également un bagage mythologique très riche parmi
lequel, on retrouve des allusions similaire aux sumériens quant au traitement des dieux
envers les humains :
« …les dieux s’établirent dans leur région et s’y étant établis, comme le font les bergers
pour leur troupeau, ils nous nourrirent comme si nous étions leurs possessions et leur
propre bétail. C’est ainsi qu’ils dirigeaient et gouvernaient toute l’engeance mortelle.
Ainsi régnèrent-ils les uns ici les autres là, suivant les régions qui leur étaient échues en
partagé [21]. » Platon
Il est donc arrivé qu’on sépare l’espèce humaine en « troupeau » pour ensuite les installer
à l’intérieur de territoires distincts lesquels, étaient limités par des barrières naturelles;
fleuves, mers, chaînes de montagnes et rifts. Chacun de ces territoires était sous la tutelle
d’un dieu qui possédait et gérait l’ensemble comme on exploite des ressources. Ceci est à
nouveau confirmé par Platon :
« Un jour, vous le savez, les dieux se partagèrent la Terre tout entière par régions,
partage qui se fit sans dispute [22]. » Platon
10
De plus, lorsque l’on regarde la façon dont ont été construites certaines anciennes cités,
on constate que leurs habitants sont arrivés de nulle part avec leur science, leur art, leur
histoire et une écriture bien à eux :
Lorsque dans mon premier livre j’ai commencé à étudier les correspondances entre les
différentes anciennes traditions, j’étais convaincu au départ que ces similitudes étaient
issues d’un écrit originel provenant d’un seul lieu et dont tous les autres écrits dérivaient.
J’ai rapidement compris que ce n’était pas le cas, car sauf peut être pour quelques
exceptions dont la migration de peuples sémites hors de Mésopotamie, on ne trouve nulle
part d’indice laissant présager qu’une transition puisse avoir eu lieu d’un endroit à un
autre amenant un emprunt ou un transfert de culture et d’écriture.
Chacune des premières formes d’écritures issues des anciennes civilisations n’ont en
effet aucun lien direct entre elles et semblent n’être finalement que des programmations
implantées. Le but de cette séparation des langues par les dieux est souligné dans de
nombreux écrits mais le plus classique est évidemment le mythe de la Tour de Babel :
« Le Seigneur descendit du ciel pour voir la ville et la Tour que les hommes bâtissaient.
Après quoi il se dit : " Eh bien, les voilà tous qui forment un peuple unique et parlent une
seule langue! S’ils commencent ainsi, rien désormais ne les empêchera de réaliser tout ce
qu’ils projettent. Allons! Descendons mettre le désordre dans leur langage, et
empêchons-les de se comprendre les uns les autres [24]."» Genèse 11.5-7
« C’est là, en effet, que le Seigneur a mis le désordre dans le langage des hommes, et
c’est à partir de là qu’il a dispersé les humains sur la terre entière [25]. » Genèse 11.9
Nous obtenons donc des groupes d’individus épars possédant une langue et une écriture
distincte mais dont les racines mythologiques sont semblables d’un continent à l’autre. Et
pour garder un contrôle sur ces nouveaux territoires et leurs habitants, il fallait mettre en
place une structure hiérarchique efficace ainsi qu’une façon de faire régner l’ordre en
hégémonie.
11
7. Le code génétique humain, un titre de propriété?
Si comme on l’a vu jusqu’à présent, chaque dieu étaient effectivement propriétaire d’un
territoire ainsi que de l’ensemble de ses ressources, humains compris, il est raisonnable
de croire que notre civilisation actuelle puisse être issue de cette antique manipulation
génétique favorisant son contrôle. Elle aurait donc été implantée en divers lieux sur Terre
il y a plus de 5000 ans avec un marquage légèrement différent pour chacun des lieux afin
de reconnaître la provenance du « bétail » humain en cavale et de remettre ce dernier à
son maître le cas échéant.
Autrement dit, c’est à partir d’un arrangement génétique spécifique (le génome) qu’on est
en mesure de déterminer à qui exactement appartient une population ou un individu en
particulier. Bien que cette perspective puisse être troublante à notre niveau, un regard
objectif de la situation actuelle permet de croire qu’il s’agisse d’une réalité plus que
probable.
La figure suivante fait partie des nombreux indices appuyant cette théorie. Comme on
peut le voir sur le Sceau de Ninkishzidda, deux serpents sont enroulés un sur l’autre
lesquels symboliseraient l’ADN humain, le même que l’on retrouve sur le caducée
d’Hermès. De chaque côté du symbole centrale, on peut voir deux dragons ailés tenant
des armes. On pourrait donc interpréter l’ensemble de la figure comme étant le « Sceau
du Gardien-détenteur » du code génétique humain.
12
Figure 1. Le sceau de Ninkishzidda, fils d’Ea,
Des fouilles archéologiques effectuées à partir de 1939 dans le centre de la Turquie ont
permis de mettre à jour de nombreux artéfacts issus d’une ancienne cité oubliée du nom
d’Ourartou. Sur une des nombreuses tablettes d’argile qu’on y a retrouvée, on peut voir à
la figure 2, le Sceau royale d’un dieu tutélaire attestant l’ordre de retour d’une esclave
évadée ainsi que le symbole de l’arbre de vie flanqué de deux gardiens ailés.
13
Figure 2. Tablette en terre cuite VIIe siècle av. J.C., Karmir-Blour.
Dans les Annales assyriennes on décrit une campagne menée au Xe siècle avant J.C. par
Teglath-Phalasar Ier et dictée par le dieu Ashour afin de conquérir un peuple sans maître :
« Le dieu Ashour, mon seigneur et mon maître, m’a envoyé pour lutter contre les rois
lointains qui habitent le rivage de la Mer Supérieur (la Mer Noire) et qui n’ont pas de
maître [28]. »
Des rois qui n’ont pas de maître? On verra par la suite qu’en ces temps-là, on ne tolérait
pas que les hommes puissent vivres librement sur les terres des dieux : « Autrefois, les
marécages servaient aussi de refuge à ceux qui fuyaient les représentants de l’ordre. Le
nom de pêcheur devint synonyme de hors-la-loi dans certaines parties de la Mésopotamie
antique. Du temps de la domination assyrienne, une rébellion des habitants des
marécages prit une telle extension que le roi Sennacherib entreprit contre eux une
expédition punitive… [29]»
D’ailleurs une rébellion avec à sa tête un dieu-serpent semble s’être répandue sur
l’ensemble du globe si on en juge par les mythes issus des civilisations bâtisseurs de
pyramides. Il faut être aveugle pour ne pas trouver de similitude parmi les multiples
attributs de leurs différents dieux. Parmi ceux-ci, il y en a un qui retient notre attention.
Celle d’un dieu-serpent apportant la connaissance aux hommes.
14
8. La confrérie du serpent
15
Terre (KI) se rebella contre les dieux ses égaux car il était contre la cruauté
qu’infligeaient ses derniers aux humains. Pour cette raison Ea/Enki fut banni de la Terre
et on annonça cette nouvelle à l’humanité en reléguant à Ea/Enki le titre de « Prince des
ténèbres ».
La confrérie du serpent avec Ea à sa tête aurait donc pendant plusieurs siècles jouée un
rôle clé dans la tentative de libérer l’être humain de l’esclavage des dieux cosmiques.
Dans les milieux ésotériques on dit même que les Illuminati seraient les représentants
actuels de cette confrérie millénaire. Les opinions sont toutefois très partagées à ce sujet
car les Illuminati sont également dépeint comme étant la société secrète à la base de la
mise en place d’une structure mondiale servant à asservir l’espèce humaine [31].
9. L’Alliance Illuminati/Extraterrestre
Comme toutes sociétés secrètes qui se respectent, il est évident que les informations à
leur sujet sont cachées tout comme leurs plans d’ailleurs. Il y a cependant actuellement
suffisamment d’information à leur propos disséminés ici et là donnant la possibilité
d’avoir une bonne vue d’ensemble de ce qu’ils trament en secret. Un des buts majeur de
leur existence serait l’imposition d’un gouvernement mondial unique qui contrôlerait
absolument tous les différents aspects de la société; économie, éducation, alimentation,
santé et même la religion! La raison de cette unification forcée serait pour être accepté au
sein des autres peuples vivant ailleurs dans l’Univers :
« L’avenir de l’humanité est dans l’espace, nous ne pouvons coopérer avec les peuples
de l’Univers qui si nous sommes unis dans un seul monde. Il n’y aura plus de guerres,
nous imposerons un gouvernement unique auquel les hommes s’habitueront. Nous avons
expliqué notre projet à tous les gouvernements. Ou ils coopèrent, ou nous les forçons à le
faire, par des guerres, des révolutions ou des crises économiques [32]. »
La source de cette citation, bien qu’elle puisse être sujet à caution, rapporte tout de même
les grandes lignes de ce qui est connu des Illuminati et de leur plan, l’établissement d’un
Nouvel Ordre Mondial. Et en ce qui concerne cet Illuminati, il s’agirait d’un fait
accompli : «… vous voyez bien que nous y sommes déjà. Georges Bush senior l’a
instauré officiellement en 1990…[33] »
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Le 11 septembre 1990 soit exactement onze ans avant l’événement du World Trade
Center, Georges Bush père fit un discours où il prononça les paroles suivantes : « Vers un
Nouvel Ordre Mondial ». Cette même source raconte aussi que des représentants issus
d’autres planètes feraient déjà partie d’organismes gouvernementaux depuis au moins les
années cinquante et que leur but est d’aider à l’instauration d’un gouvernement unique.
« Dans les années cinquante, il y avait déjà des émissaires de ces mondes différents dans
diverses commissions, au Pentagone même. Ils nous ont encouragés à créer rapidement
un gouvernement mondial, par le biais de l’ONU [34]. »
L’établissement de cette structure secrète ne s’est cependant pas fait d’un seul coup. En
découvrant certains aspects obscurs de la dernière guerre mondiale, ayant justement trait
aux technologies secrètes et aux ovnis, on dirait bien que déjà à cette époque on en savait
bien plus sur le sujet qu’on ne le laissait croire. La raison principale du maintient du
secret entourant les ovnis par les dirigeants du monde semblerait être directement relié
avec un désir de contrôle total et absolu de notre planète et de ses différentes ressources
dont nous-mêmes faisons partie.
17
NOTES BIBLIOGRAPHIQUES
1. Zecharia SITCHIN, La douzième planète, Louise Courteau Éditrice, 2000, page 340.
2. Ibid.
3. Ibid.
5. Ibid.
7. Zecharia SITCHIN, La douzième planète, Louise Courteau Éditrice, 2000, page 346.
8. Zecharia SITCHIN, La douzième planète, Louise Courteau Éditrice, 2000, page 350.
10. Pierre DESRUISSEAUX, Pop Wooh, Popol Vuh, le livre du temps : Histoire sacrée
des Mayas quichés, Triptyque, 2002, p. 150.
15. Correspondance de Wilbert B. Smith à Georges xxxx, 12 juin 1955, boîte # 1126.3,
Fond Arthur Bray #X30-3, Archives et collections spéciales, Université d’Ottawa.
17. Marie DELCLOS, Astrologie racines secrètes et sacrées, Dervy, 1994, p. 56.
18
20. Genèse sumérienne p16 http://atil.ovh.org/noosphere/creation.php
21. Platon, Timée ; Critias, Traduction de Luc Brisson, Flammarion, 1992, 109b, c.
22. Platon, Timée ; Critias, Traduction de Luc Brisson, Flammarion, 1992, page 357.
30. http://secretebase.free.fr/civilisations/sumeriens/annunaki/annunaki.htm
31. http://secretebase.free.fr/civilisations/sumeriens/sciences/sciences.htm
32. Jan van HELSING, Livre jaune No 1, Louise Courteau Éditrice, 2010, page 204.
33. Jan van HELSING, Livre jaune No 1, Louise Courteau Éditrice, 2010.
34. Jan van HELSING, Livre jaune No 1, Louise Courteau Éditrice, 2010, page 204.
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