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L'acquisition d’image se fait par un scanner linéaire dans la direction X.

En utilisant la méthode de triangulation optique double les signaux de la hauteur et l’intensité pour le
module vision sont générés au niveau du scanner.

Dans les sections suivantes on va décrire la chaine de mesure et la chaine de contrôle

Pour la génération du pixel clock on utilise un oscillateur qui est relié au miroir polygonal rotative.

Et pour cela un signal de synchronisation sera suffisant. Mais pour avoir un signal de référence qui est
proportionnel à la position de la projection du laser (et vitesse) on utilise souvent un réseau optique
(réseaux de diffraction) combiné avec un collecteur de lumière (fibre optique).

Pour cette collection on utilise des photodiodes longues, un diffuseur avec plus de petites
photodiodes ou des optiques(lentilles) collecteurs spéciaux pour concentrer la lumière sur les photo-
sensor.

Pour notre cas on utilisera un seul photo-sensor dans le début de ligne de scanner.

3-1 l’impulsion du ligne

Le premier point de scan sensor se compose d’un coin(double) optique qui oriente la lumière du laser
dans deux fibres optiques.

Le positionnement se fait comme suit : toute la lumière dans la première fibre puis chaque fibre aura
la moitié de l’intensité maximal de lumière et finissant par toute la lumière dans la fibre de
fuite(sortie).

Les photodiodes dans les queues de fibre avec un état différentiel d’entrée servent à déterminer le
moment de l’intersection des intensité égales.

De cette manière, nous avons obtenu une impulsion de ligne (line pulse) indépendante de l'intensité
du spot(tache) (LP).

Ceci est nécessaire car de (petites) fluctuations de puissance laser et des variations de réflectivité des
facettes du miroir polygonal conduiraient autrement à des erreurs de position de la ligne de
balayage.

L'utilisation de fibres optiques pour guider le « LP », dans ce système, vers le bâti électronique rend
le système très immunisé contre les interférences électromagnétiques.

3-2 Oscillateur d’horloge (clock oscillator)

Une seule impulsion de synchronisation par scan et la très haute résolution du scanner (17000
scan/ligne) engendre des hautes exigences sur la stabilité de l’oscillateur d’horloge et sur le
mouvement uniforme du miroir polygonal.

Une vitesse de rotation avec le minimum de variabilité du miroir polygonal est réalisée à l’aide d’un
palier aérostatique et un moteur à turbine pneumatique. L’inertie importante du polygone (mass) et
la petite constante du moteur engendreraient un facteur de qualité important.
Les oscillateurs très stables basés sur des résonateurs à quartz sont des produits courants du marché,
mais ont normalement une très petite plage d’ajustement de fréquence (<100 ppm {partie par
million}). C'est trop petit pour suivre les variations de vitesse encore petites et très lentes du miroir
polygonale. À cet effet, un oscillateur à quartz commandé en tension (VCXO) spécial avec une plage
d'ajustement de 800 ppm a été développé. Pour verrouiller le VCXO sur le signal LP, il faut prendre en
considération les sauts de phase dans ce signal. Ceux-ci sont engendré par des erreurs de division
angulaire lors de la production des facettes du miroir polygonal. Ceci est résolu en contrôlant le VCXO
de façon que R de ses périodes s'inscrit dans une seule révolution de polygone. (R = nombre de
facettes (F) multiplié par le nombre de périodes par une ligne de scan). Ainsi, la mesure utilise des
impulsions de ligne provenant d'une seule et même facette miroir. La durée d'une révolution de
polygone est déterminée en comptant les impulsions de ligne de F, période pendant laquelle la FREQ
COMP doit également compter les impulsions R VCXO (figure 2).

L'horloge pixel doit démarrer une nouvelle période instantanément sur commande de
l'impulsion de ligne. Le facteur Q très élevé du cristal de quartz utilisé fait un changement de phase
(fréquence) rapide impossible. Un changement rapide contredirait également la forte demande de
stabilité. Par conséquent, nous utilisons un oscillateur commandé en tension (VCO) à fréquence 20
fois plus élevée. Ce VCO est verrouillé en phase sur le VCXO. L'horloge pixel se fait en comptant N
périodes de ce VCO avec un compteur programmable pré réglable. L'impulsion de ligne contrôle
directement l'entrée de réinitialisation, résultant en une phase correcte instantanée de l'horloge de
pixel.

Un deuxième avantage de cette technique est la possibilité de sélectionner la résolution


d'échantillonnage (pixels / ligne) en changeant N. En adaptant la vitesse du polygone en même
temps, la vitesse des données (fréquence d'horloge des pixels) est maintenue constante.
En augmentant ou en diminuant N à chaque position de pixel (adresse), on peut respectivement
décélérer ou accélérer le moment d'échantillonnage suivant. Pour corriger erreurs de facette
individuelle une impulsion d'index de facette (1PPO) est générée par le miroir polygonal. LP et 1PPO
génèrent les adresses des facettes des F Look Up Tables (LUT). Chaque facette a sa propre table de
correction dans laquelle le compteur de pixels vise le numéros N de pixels individuels pour le
compteur VCO.

Les données de ces tableaux sont calculées à partir des différences entre les positions de
pixels mesurées (réelles) et théoriques. C'est fait en scannant une règle précise en production ou par
un recalibrage "en service sur site". Outre l'horloge de pixel, cette partie du circuit génère le signal de
synchronisation (TRP-CLK) pour le manipulateur de la vitesse suivant Y. Tout impulsion de
restauration DC (DCR) pour le traitement PSD est également générée ici.

3-3 contrôle de vitesse du polygone

La vitesse absolue du miroir polygonal est réglée par l'unité de commande de la turbine de
telle sorte que le VCXO fonctionne nominalement à sa bande de fréquence moyenne. Cela se fait de
manière comparable au verrouillage du VCXO sur le LP dans le générateur d'horloge.

La fréquence de révolution de polygone est comparée à une fréquence de référence divisée à


partir d'un oscillateur à quartz fixe de 15 MHz.

R et F définissent le rapport de division. Le résultat de la comparaison est traité dans un


(numérique) adaptatif contrôleur proportionnel/intégrateur, ce qui entraîne le signal de commande
de la vanne pneumatique de la turbine polygonale.

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