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Nibiru ou Neb-heru l’étoile

du matin

***

Introduction sur les traductions Sumériennes

Nous avons des informations sur la civilisation Sumérienne que depuis la


fin du 19ème siècle, date des premières traductions de tablettes
cunéiformes, découvertes en Irak. Cependant, il semblerait que toutes ces
traductions, jusqu’au milieu du 20ème siècle, n’aient pas été assez
fidèles à la splendeur de cette civilisation, ou aient subi un certain
nombre de censures volontaires. En effet, tous les spécialistes de notre
époque s’accordent à dire que la civilisation Sumérienne était beaucoup
plus avancée que ce qu’on pouvait imaginer jusqu’ici, voir même dans
certains cas, à la limite de l’anachronisme.

Ce fait a très certainement contribué à étouffer l’objectivité des


traductions, par peur du ridicule, mais aussi pour ne pas avoir à remettre
en cause l’histoire officielle et reconnue des origines de notre civilisation.
Les traductions des tablettes sumériennes révèlent une civilisation très avancée

(Voir Article : Des civilisations surgies du néant)

Un autre point, et non des moindres, est également à l’origine d’une


diffusion très tardive des véritables contenus de milliers de tablettes
Sumériennes découvertes ; Je parle de la religion Catholique. Là
encore, les sumérologues sont unanimes sur le fait que beaucoup de
chapitres de la Bible se retrouvent inscrits sur des tablettes
Sumériennes (avec quelques variantes), bien avant la conception de
celle-ci. Il ne faut pas oublier que les juifs ont été longtemps déportés en
Mésopotamie, à Babylone à partir de 597 avant notre ère (et
pendant 60 ans), et qu’ils ont eu largement le temps de découvrir et de
s’imprégner de la mythologie babylonienne. Beaucoup d’ailleurs
sont restés car ils y trouvaient la vie meilleure. Rappelons qu’Abraham
est né à Ur en Mésopotamie, selon la Bible, et qu’une partie des racines
culturelles des hébreux viennent de Sumer.

On comprend pourquoi les traductions des tablettes d’argile ont posé


autant de problèmes à l’église Catholique.

Mais l’implication des informations contenues sur ces documents antiques,


dépassent de très loin une quelconque revendication sur les véritables
auteurs des textes sacrés de la Bible.

Mythe d’Enki et Ninmah – l’origine de l’humanité

(Voir article : Sumer, sources des mythes & légendes du monde)

La théorie de Zecharia Sitchin, Nibiru : la 12ème planète

Zecharia Sitchin a été le premier à oser publier ses recherches sans tenir
compte des pressions scientifiques ou religieuses, ouvrant la voie
vers une certaine vérité cachée, voir interdite.

D’après lui, et en s’appuyant sur des traductions de plusieurs tablettes


mésopotamiennes, les dieux Sumériens seraient à l’origine de la
création de l’humanité. Rien de très extraordinaire, mais ici, les dieux
sont en fait de faux dieux extraterrestres venant d’une planète
nommée Nibiru (appartenant au système solaire), qui auraient créé
l’humanité pour en faire de la main d’œuvre. Cette forme d’esclavage
devait servir à extraire de l’Or venant des mines du sud de l’Afrique, pour
ces dieux Nibiriens que les Sumériens nommaient Anunnaki. L’or devait
servir à être injecté dans l’atmosphère de Nibiru, sous forme de paillettes,
pour reconstituer le bouclier atmosphérique naturel de la planète,
qui commençait à s’affaiblir dangereusement.

Nibiru – La planètes d’origine des dieux Anunnaki sumériens (d’après Zecharia Sitchin)

Cette théorie est tellement surréaliste, que personne ne peut y croire


sérieusement au premier abord. Pourtant, Sitchin a réunit beaucoup
d’indices très intéressants qui vont dans le sens de ce scénario de
science fiction. Zecharia Sitchin et Nibiru, sa fameuse 12ème planète, sont
très connus sur Internet, et divisent radicalement les opinions en trois
groupes principaux bien distincts.

Le premier groupe est composé des personnes qui ont compris que
l’histoire officielle de nos origines ne correspondait pas à la réalité,
pour de multiples raisons. Ils ont suivi les indices de Sitchin, dans ses
livres, qui ont le mérite d’expliquer la plupart des incohérences de l’histoire
antique officielle.

Le deuxième groupe correspond à ceux qui ont parfaitement compris


que ces indices pouvaient aboutir à une autre réalité, mais qu’ils ne sont
pas prêts à accepter, car cela occasionnerait beaucoup trop de
changements culturels et religieux, qui sont à la base des fondements
de notre civilisation. Ils sont prêts à ignorer, cacher et même à transformer
ces informations, pour quelles ne nuisent pas à l’ordre établi officiel.

Le retour de Nibiru vers la terre, le retour des Anunnaki ?

Le troisième groupe est l’ensemble des scientifiques, archéologues,


religieux ou simples citoyens, qui interprètent les informations selon
leur propre angle de vue, par ignorance ou par conviction, à juste titre ou
pas, mais qui dans tous les cas, ne veulent surtout pas remettre en
cause leurs précieux enseignements, sans lesquels ils seraient
complètement perdus.

Quoi qu’il en soit, on peut ne pas croire à ce récit, qui paraît bien loin de
notre réalité quotidienne et de tout ce que notre culture nous a enseigné.
Pourtant, il semble évident que Sitchin ait découvert quelque chose
qui remettra en cause la vision confortable et étriquée que nous
avons de notre passé, présent et futur. Reste à faire le tri entre les
informations cohérentes, les mauvaises interprétations et sans
oublier les informations corrompues volontairement.
Passage de Nibiru en 2012 ?

Le passage de Nibiru en 2012

Prenons par exemple Nibiru que Sitchin décrit comme étant le lieu
d’origine des Dieux. D’après lui, elle serait une planète du système
solaire, sur une orbite très excentrique, qui passerait tout près de la terre
tous les 3 600 ans. Ces passages auraient même causé de grands
bouleversements sur terre, des dérèglements climatiques comme le
déluge et même une inversion de pôle. A chacun de ces passages, les
habitants de Nibiru en auraient profité pour débarquer et coloniser
notre planète.

D’ailleurs, Sitchin prétend que le prochain passage aura lieu aux


alentours de 2012, ce qui n’a pas manqué d’être repris un peu trop
rapidement pour le compte des théories apocalyptiques ; Catastrophe
planétaire, inversion de pôle, retour des anciens dieux sur terre pour le
jugement dernier, tous les ingrédients sont là pour renforcer les
prédictions du calendrier Maya, et ceux de l’apocalypse de Saint
Jean.

(Voir article : 2012, le fin de quoi ? )


Seulement voilà, il y a quelques grains de sable dans la théorie de fin du
monde en 2012, et notamment dans l’existence de la fameuse Nibiru.

La Nasa à la recherche d’une exo-planète

Depuis la mise en orbite du télescope Hubble, la Nasa scrute le ciel à la


recherche d’une Exo-planète, proche des conditions de la terre, pouvant
accueillir éventuellement de la vie. Il va sans dire que Nibiru intrigue
les astronomes, et qui cherchent cette hypothétique planète de
l’apocalypse, qui est censée se rapprocher de nous.

La Nasa à la recherche d’une Exo-planète

Cependant, toutes les dernières découvertes astronomiques vont à


l’encontre de la thèse de Sitchin. Voici les plus grandes découvertes
qui ont bouleversé le monde scientifique :

2002 LM60 (Quaocar), découverte en 2002, possède un diamètre de


près de 1 300 km, contre 2 300 pour Pluton.

2003 EL61 (Santa), découverte en 2003. Santa, dont la forme allongée


est d’une longueur équivalente au diamètre de Pluton, possède un satellite
dénommé Rudolph.
2003 UB313 (Originellement nommé Xena, et dénommé Eris depuis
septembre 2006), son diamètre est de 2 600 km et dispose d’une petite
lune nommée Gabrielle.

2003 VB12 (Sedna), découverte le 14 novembre 2003, possède un


diamètre de 1 800 km.

2004 DW, planète naine de glace d’un diamètre de 1 600 km, découverte
le 17 février 2004.

2005 FY9 (Easternbunny) dont les dimensions sont égales à trois


quarts de celles de Pluton.

Le nombre d’Exo-planète proche du système solaire à explorer, est considérable

Celle qui se rapproche le plus de Nibiru, est Eris. Elle est plus grosse de
Pluton et son orbite autour du soleil est de 557 ans. Mais Nibiru est
censée faire le tour du soleil en 3 600 ans. Certains affirment que la Nasa
cache des informations, ou même les falsifie.
Une chose est sûre. Le nombre de planètes existant entre Pluton et
l’hypothétique Nibiru est assez important, et la Nasa reconnait n’avoir
examiné qu’une petite partie du ciel, et s’attend à en découvrir
beaucoup plus dans les dix ans à venir. Mais, nous sommes en 2012,
Nibiru est censée se rapprocher de nous, elle devait être plus grosse que
mars ou vénus, et même presque visible à l’œil nu. Où est l’erreur ?

Taille de Niribu par rapport aux autres planètes (selon Sitchin)

Les connaissances astronomiques des Babyloniens

Un autre indice ne va pas dans le sens de Sitchin. Nous savons que les
Sumériens connaissaient parfaitement Pluton, car elle était
répertoriée sur les tablettes astronomiques Babyloniennes sous le nom de
Su-pa, qui signifie : SU (main, contrôle, force) et PA (Feuille,
ramification, pousse, aile), soit « le contrôle de la ramification », la
planète qui maîtrise l’embranchement planétaire, la première de la
grande famille du système solaire. Outre le fait que l’on ne comprend pas
comment les Sumériens pouvaient connaître Pluton, les astronomes
mésopotamiens semblent avoir observé un obscur Neberu qui aurait
causé la terreur du peuple, à chacun de ses passages. Très souvent,
Nibiru est représentée comme un deuxième soleil sur les tablettes.
Mais alors pourquoi Nibiru n’est pas répertoriée dans le système
solaire par les Sumériens, ni Eris d’ailleurs, qui est quand même bien plus
grosse que Pluton, et bien plus près du soleil que l’orbite de Nibiru ?

Sur cette tablette Akkadienne on voit la lune, le soleil et Neberu

Neb-Heru dans les textes Egyptiens et les autres mythes du


monde entier

Selon Anton Park, le terme Nibiru vient de Neberu, que l’on retrouve
également dans les écrits Egyptiens sous la forme Neb-Heru, qui signifie
« Seigneur Horus » dans le livre des morts Egyptien. Pourquoi Horus,
dieu Egyptien aurait-il été associé à Neberu, aux cataclysmes survenus
sur terre et à la terreur du peuple ?

Suivant l’utilisation des Hiéroglyphes, « Heru » pouvait s’écrire de


manière différente et avoir une autre signification, ce qui donnait pour
Neb-Heru (Sachant que « Neb » a toujours été le symbole de la coupe qui
signifie « Seigneur ») :

« Seigneur Horus, Seigneur Soleil, Seigneur qui terrifie,


Seigneur des régions supérieures, Seigneur des faces, Seigneur
du jour du jugement, Seigneur du jour d’anniversaire d’Osiris,
Seigneur du jour des funérailles ».
A gauche Horus, au centre Osiris et à droite Isis

Mythe d’Osiris, Poème Egyptien :

« Geb, dieu de la Terre, et Nout, déesse du Ciel, avaient deux fils Osiris et
Seth, et deux filles, Isis et Nephtys. Osiris épousa Isis et Seth pris pour
femme Nephtys. Osiris régnait sur l’Egypte. Seth jaloux, voulut le tuer :
Seth fit réaliser un coffre à la mesure du corps d’Osiris, il l’apporta lors
d’un banquet. Il annonça qu’il le donnerait à celui qui, en s’y couchant, le
remplirait parfaitement. Lorsqu’Osiris s’y étendit, Seth rabattit
rapidement le couvercle, le cloua, et le jeta à la mer. Désespérée, Isis le
chercha jusqu’en Phénicie. Elle y retrouva le cercueil et le ramena en
Egypte. Mais Seth réussit à s’emparer du corps et le coupa en quatorze
morceaux qu’il dispersa. Isis rassembla les membres épars de son
mari, reconstitua le corps avec l’aide du dieu Anubis, l’entoura de
bandelettes et réussit à lui rendre vie. Depuis ce jour Osiris règne sur le
royaume des morts. Plus tard Horus, le fils d’Osiris, vengea son
père : il tua Seth et devint Pharaon à son tour. »

Selon la légende bien connue du combat entre Osiris et Seth, Horus est le
fils vengeur d’Osiris, sa mission est de venger son père assassiné, de
reprendre le pouvoir sur la famille de Seth, et de restaurer
l’équilibre du cataclysme céleste des dieux. Horus représente la
résurrection d’Osiris, et en quelque sorte, sa renaissance. Dans ce
sens, Horus est toujours associé symboliquement à Vénus, l’étoile du
matin, que l’on retrouve d’ailleurs dans la Bible en temps qu’étoile de la
naissance du Christ, le sauveur.

Par ailleurs, Horus porte le symbole du faucon (Royauté) et du serpent


(La connaissance), mais aussi l’étoile du matin (Le faucon) et l’étoile
du soir (Le Phénix, symbole de résurrection).
Horus porte le symbole du faucon (Royauté) et du serpent (La connaissance supérieure)

Par association, Neb-Heru représente Horus, et Horus est en lien avec


Vénus.

Et si Neb-Heru et Vénus n’étaient qu’un seul et même astre,


comme le pense Anton Park ?

Ce rapprochement n’est pas une simple intuition. Anton Park a réuni


énormément d’indices, dans les légendes du monde entier,
apportant des cohérences tout à fait sérieuses sur le fait que Vénus a
frôlé la terre à plusieurs reprises, sur une orbite folle, avant de se
stabiliser là où elle est actuellement.

Vénus aurait été le satellite d’une planète qui aurait explosé, qui
pourrait expliquer la présence du champ d’astéroïdes présent
actuellement entre Mars et Jupiter. Vénus aurait été expulsée
provoquant le désordre dans le système solaire, et de fortes
perturbations terrestres. Dans les légendes, cet épisode est vécu
comme un cataclysme céleste, une guerre entre les dieux.

Dans le Mythe Egyptien, la planète détruite est associée à Osiris


(Découpé et dispersé en 14 morceaux), et Horus est associé à Vénus la
planète vengeresse.

Vénus et la lune

Texte de Pepi, Extr. Des Lignes 443/449-452/471-488 :

« Il y a un bouleversement dans les cieux. Les anciens proclament :


‘Nous distinguons quelque chose de nouveau’… Il est dans le ciel, dans
les airs et il n’est pas renversé […] Il s’en retourne, il voyage, il
accompagne Râ. Il étreint ses temples, il met au joug le Kau, il arrache
le Kau ; il procure le malheur, il détruit le malheur. Son cœur n’est pas
refoulé. Il est Heru (Horus), il est la chair et le sang de son père Osiris
[…] Il navigue sur l’horizon comme Râ et Heru-Khuti (Horus de
l’Horizon), il est heureux avec son Ka, il vit avec son Ka… Il entre vers le
nord de Sekhet Aar, il navigue aux environs du lac de Kha, il navigue vers
l’est des cieux, il navigue vers l’est du ciel où sont nés les dieux et il devient
la planète Jupiter ».

Curieusement, ce thème existe dans d’autres légendes du monde


entier, avec d’autres mots et d’autres dieux. Dans les Védas par exemple,
Agni pourrait bien être associé à une Vénus en furie.

Agni, dieu védique, seigneur du feu sacrificiel et du foyer

Rig-Veda, Hymne 4-5 par Parasara (Tiré des Védas en Indes) :

« Tel le coursier débarrassé de ses liens et de la mer impétueuse,


tel est Agni. Qui donc peut le maîtriser ? […] Quand excité par le vent, il se
jette sur la forêt et déchire la chevelure de la Terre. Tel le cygne qui
plonge, il souffle au milieu des ondes. Eveillé dès l’aurore, il avertit les
hommes que l’heure de l’œuvre sainte est arrivée. De même que
l’excellent Soma, il naît du sacrifice. De même que l’animal au sein de sa
mère, il est faible d’abord ; bientôt il se développe et porte au loin ses
splendeurs… Et quand il allume ses flammes variées, il brille
comme le soleil dans le monde, comme un char doré dans les
batailles. Il répand la terreur de même que l’armée qu’on lance au
combat, de même que la flèche de l’archer garnie d’une pointe étincelante.
Jumeau du passé, jumeau de l’avenir, il est le fiancé des filles et
l’époux des femmes. Comme les vaches vont vers l’étable, nous, le matin
et le soir, nous venons vers lui dès l’instant qu’il brille. Ainsi, qu’une onde
impétueuse, le voilà qui pousse ses vagues enflammées, et ses
rayons s’élèvent vers la voûte du ciel »

Quant aux Romains, ils ont associé l’étoile du matin à Phosphoros


(En grec, Phôs : Lumière et Phoros : qui porte), le porteur de lumière
qui en Latin donne « Lucifer ». Il porte aussi le nom d’Éosphoros («
porteur de la lumière de l’aurore »), l’étoile du soir.

Progressivement, les Chrétiens lui donneront le nom de Satan, alors que


dans la Bible « Porteur de Lumière » n’est jamais identifié à Satan et est
considéré comme une entité distincte.

Phosphoros ou Lucifer, le porteur de lumière

Livre d’Isaïe, 14, 12/16 :


« Comment es-tu tombé du ciel, Etoile du Matin (phosphoros), fils
de l’aurore ? As-tu été jeté à terre, vainqueur des nations ? Toi qui
avait dit dans ton cœur : j’escaladerai les cieux, au-dessus des étoiles
de Dieu, j’élèverai mon trône, je siègerai sur la montagne de l’Assemblée,
aux confins du septentrion. Je monterai au sommet des nuages, je
m’égalerai au ‘’Très haut’’. Mais tu as été précipité au Shéol, dans les
profondeurs de l’abîme… Est-ce bien toi qui faisais trembler la Terre,
qui ébranlait les royaumes ? »

Markandeya Purana, Mythologie de l’Inde, où Kali représente


une vénus guerrière :

« La bouche ouverte, la langue pendante, les yeux injectés de sang, elle


emplit de ses cris les régions du ciel » (chapitre 7.8)

« Alors, Kali s’élança vers le haut du ciel, (descendit) et frappa la


Terre avec ses deux mains ; par son vacarme, tous les autres sons
furent totalement noyés » (chapitre 9.22)
Istar Déesse Mésopotamienne

Mythologie Mésopotamienne, où Istar représente


symboliquement Vénus, l’étoile du soir et l’étoile du matin :

« C’est moi la reine du ciel, la déesse du crépuscule. C’est moi la reine


du ciel, la déesse de l’aube »

« Irnini, tu es princière, ô la plus grande des Igigi, tu es puissante, tu es


princesse, tes noms sont augustes : tu es le luminaire des Cieux et de
la Terre, la fille guerrière de Sin, celle qui manie les armes, qui
suscite le combat […] Etoile de la clameur guerrière, qui fait se
battre entre eux même des frères qui s’entendent […] Ô Guséa, ceinte de
combats, vêtue d’aspects qui inspirent l’effroi, tu émets sans appel
sentence et décision, lois pour la Terre et les Cieux […] A la simple
mention de ton nom, les Cieux et la Terre tremblent, les dieux
chancellent, frémissent les Anunnaki […] Que tu sois animée ou que
tu sois tranquille, guerrière Istar, grands sont tes actes guerriers !
Flambeau brillant des Ciels et de la Terre, rayonnement sur tous
les lieux habités, elle est furieuse, mêlée irrésistible, brave au combat,
lueur céleste qui flamboie contre les ennemis, celle qui cause la ruine des
arrogants ».

« Je suis Istar qui fait trembler les Cieux et vaciller la Terre. Du feu
de mes éclairs, j’illumine le ciel, mes averses de feu flagellent l’ennemi […]
J’allume ma lumière à l’horizon des cieux, mon nom est honoré
dans les maisons des Hommes, telle est ma renommée. Je suis appelée
‘Reine de tous les Cieux’, telle est ma renommée. Je brise et j’engloutis les
montagnes du monde, telle est ma renommée ».

Quetzalcoatl le serpent à plume

On retrouve ici Quetzalcoatl, le célèbre serpent à plumes des Incas,


que l’on peut très facilement rapprocher d’Horus, dont le symbole est le
serpent et le faucon.

Mythologie Précolombienne, où Quetzalcoatl est assimilé à


Vénus :

« Le soleil, après la disparition (le passage) de Quetzalcoatl,


refusa de faire voir sa lumière, et pendant 4 jours, le monde en fut
privé. Ensuite, une grande étoile […] se montra ; on lui donna le
nom de Quetzalcoatl […]. Le ciel, pour témoigner sa colère […] fit
périr un grand nombre de personnes qui moururent de la famine et
de la peste […][L’ordre des saisons et la durée des jours et des nuits
furent perturbés] : c’est alors qu’ils [les anciens Mexicains] établirent
un nouveau décompte des jours, des nuits et des heures, en
accord avec la différence de temps… Chose remarquable d’ailleurs, c’est
depuis son apparition (de Quetzalcoatl) que date la mesure du temps…
Tlahuizcalpan-Teuctli, ou Etoile du Matin, se montra pour la première
fois après les consultions de la terre abîmée par le déluge… »

Toutes ces similitudes, qui ont survécu à travers les âges depuis les cultures
des peuples du monde entier sans contact physique, ne peuvent pas être
de simples coïncidences.

Il peut sembler vraisemblable que Zecharia Sitchin ait pu mal


interpréter les apparitions cataclysmiques de Vénus par les anciens,
comme une planète portant le nom de Neberu, sans forcément remettre en
cause son précieux travail de recherche.

Il y a donc grande chance que nous ne voyons jamais passer cette fameuse
Nibiru. Encore un élément pour ne pas croire à la théorie de fin du
monde en 2012.
Quel évènement a pu causer l’explosion d’une planète beaucoup plus grosse que vénus ?

Reste à comprendre quel évènement a pu causer l’explosion d’une


planète beaucoup plus grosse que vénus, expulsant ainsi son satellite
comme un électron libre, causant le chaos dans le système solaire.

Ceci permettrait peut être d’expliquer le fait que Vénus soit la seule planète
de notre système à tourner dans le sens inverse du nôtre. Et ce n’est pas
la seule bizarrerie, elle est la seule à ne pas posséder de satellite, elle ne
possède pas de champ magnétique, et les clichés pris de son sol relève
une cartographie extrêmement chaotique, des soulèvements
anormaux et monstrueux, ainsi que des cyclones titanesques qui
recouvrent presque la totalité de sa surface.
Double cyclones de Vénus, pris par un satellite de la Nasa

Cela permettrait également d’expliquer pourquoi les Mayas ont changé


la mesure de leur calendrier, qui avant ce cataclysme, comptait des
années de 360 jours, tout comme les Egyptiens d’ailleurs.

Informations tirées du livre « Adam Genisis » de Anton Parks

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