Vous êtes sur la page 1sur 6

SOMMAIRE

Sommaire………………………………………………………………
Introduction……….
I. Rentabilité économique qu’il ya à informatiser l’essai.

II. Caractéristiques d’un essai essai triaxial sur un appareil automatique.


II.1. Durée d’un essai triaxial.
II.2. Principe de l’essai triaxial.
III. Nombre minimal d’essai à réaliser pour l’amortissement .
IV. Résultats à obtenir lors de l’essai triaxial
IV.1. Proposition du principe de fonctionnement d’un essai triaxial.
IV.2. Nombre minimal de personnel à mobiliser pour un essai triaxial .
IV.3 Coûts des accessoires.
V. Avantages de l’essai piloter par ordinateur.
V.1
V.2. VI. Essai de cisaillement direct.
VI.1. Forme et Invariants du tenseur des contraintes et du tenseur des déformations.
VI.1.1.
. VI.1.2.
VI.1.3.
VI.2.Forme des tenseurs des contraintes et des déformations.
VI.2.1
VI.2.2
VI.3. Loi de comportement élastoplastiques de type Mohr Coulomb supposée :
VI.3.1.
VI.3.2

Conclusion.
Introduction
La métrologie est une branche de la physique qui se consacre à la « science des mesures et ses
applications ». Elle « comprend tous les aspects théoriques et pratiques des mesurages, quels que
soient l'incertitude de mesure et le domaine d'application », comme une des applications, notre
objectif est de proposer à un laboratoire de la place un projet pour la réalisation d’un essai triaxial
piloter par ordinateur avec l’obtention des résultats en temps réel. Pour ce faire, nous présenterons la
rentabilité du projet ; Déterminer le nombre minimal d’essai à réaliser pour l’amortissement de
l’équipement sur une période de cinq ans.

I. Rentabilité économique qu’il ya à informatiser l’essai.


1. Précision des résultats
2. Production en masse à court terme.
3. Diminution de la main d’œuvre entrainant ainsi l’augmentation du profit au laboratoire.
4. Réalisation de plusieurs essais à temps réel.
5. Obtention des résultats à temps réel.
6. Diminution du risque d’accidents de masse.
7. Pas d’augmentation du personnel.
8. Pas de temps supplémentaire
9. Rentabilisation du personnel en place.

II. Caractéristiques d’un essai essai triaxial sur un appareil automatique.


II.1. Durée d’un essai triaxial.
II.2. Principe de l’essai triaxial.
Une éprouvette de sol de forme cylindrique et de section droite circulaire (élancement proche de 2),
est placée sur une embase rigide, munie ou non d’un disque drainant, à l’intérieur d’une enceinte
étanche (cellule triaxiale).
Sur la face latérale, l’éprouvette est recouverte d’une membrane souple et imperméable.
A la partie supérieure l’éprouvette est placée une embase rigide munie ou non d’un disque drainant,
sur laquelle vient s’appuyer vient s’appuyer un piston.
La cellule est remplie d’eau. Le dispositif d’essai permet de mettre cette eau en pression et ainsi
d’appliquer à l’éprouvette une contrainte isotrope σ 3 et ¿ ¿=σ 2 σ 3 ¿et et
L’essai s’effectue en imposant a l’éprouvette une déformation axiale a vitesse constante. Il consiste a
faire croitre F en enfonçant le piston a vitesse constante tout en maintenant la pression constante.
L’éprouvette est donc soumise à :
- Une pression hydrostatique imposée à l’intérieur de l’enceinte par un liquide
- Une déformation axiale par le déplacement relatif des deux embases
Par symétrie les contraintes σ 1 et σ 3 sont respectivement verticale et horizontale.

La courbe contrainte déformation peut être enregistré tout au long de l’essai. Au moment de la
rupture, le déviateur maximal correspondant aux cercle de MOHR tangent a la courbe intrinsèque
est connu. Plusieurs essais sont réalisés à des pressions de confinement différent et représentatif du
confinement in-situ. Les caractéristiques mécaniques sont obtenues en représentant dans le plan de
MOHR l’état de contrainte à la rupture.

III. Nombre minimal d’essai à réaliser pour l’amortissement.


Soit n le nombre d’essai qu’il va falloir pour amortir ces équipement. Soit P le prix d’achat de
l’équipement.

prix d ' achat de l ' équipement


On a : n= +1
250 000∗60
prix d ' achat de l ' équipement
: n= +1
15 000 000

IV. Nombre minimal d’essai à réaliser pour l’amortissement.


(On donnera des précisions sur les références du fabricant et les ordres de grandeur des mesures à réaliser)

 1 à 3 capteurs de pression interstitielle : chaque échantillon doit être relié à un capteur pour mesurer la
pression de fluide qui s’y développe au plus près de ce dernier. Le capteur est ainsi monté sur un bloc de
saturation connecté directement sur l’un des robinets de la cellule, le plus souvent celui de l’embase
inférieure (ou piédestal). La gamme du capteur choisi sera fonction des pressions à appliquer, de la capacité
de confinement de la cellule et de celle des contrôleurs (de 1 à 3MPa en standard et jusque 64 MPa ou plus
en hautes pressions) ;
 1 capteur de force : c’est lui qui permettra de mesurer les efforts appliqués sur l’échantillon pendant
l’essai et de déterminer le déviateur à la rupture. De type externe, il se monte sous la traverse de la
presse et est utilisé pour tous les cisaillements quelle que soit la cellule. De type interne, il se monte dans la
cellule à la place du piston plein et permet de s’affranchir des frottements du piston et des calculs de
correction dus à la pression de confinement. Mais il faut alors prévoir un capteur par cellule. Ils existent
dans de multiples gammes de 1 à 64kN (ou plus pour les essais sur roches). Ils sont choisis selon son type, la
capacité de la presse, le diamètre de l’éprouvette et le type de sol testé (exemple un 5kN suffit pour la
majorité des sols « courants » type argile, limon de 38 à 50mm de diamètre) ;
 1 capteur de déplacement : il permet la mesure des déformations en cours de cisaillement (la norme
indiquant la fin de l’essai au maximum après 15% de déformation). Il sera choisi de 25 ou 50mm le plus
souvent selon la longueur de l’éprouvette (exemple d’un diamètre de 50mm : la hauteur de l’échantillon
sera de 100mm et la déformation max à mesurer de 15% soit 15mm, donc un capteur de 25mm convient).
 1 acquisition de données : elle peut être directement intégrée sur la presse triaxiale, ce qui rend le système
très compact et évite les longueurs de câble inutiles, ou déportée, en général de 4 ou 8 voies selon le besoin
(F, PI, D, capteurs locaux..). Jouant le rôle de conditionneur de signal, elle permet d’alimenter les capteurs
(+/- 5V DC) et de récupérer leurs signaux de sortie (tensions de 0 à 10VDC max) pour les transmettre à
l’ordinateur de commande via leur interface série RS 232. De résolution généralement de 16 bits, elles
assurent une bonne stabilité et fiabilité des mesures.

V. Cout d’un équipement triaxial automatisé


Nous nous sommes rendus sur un site de vente en ligne
https://french.alibaba.com/g/triaxial-test-apparatus-price.html . L’appareillage a lui coute : 103 750
dollars. Or cet appareillage doit être commandé par un ordinateur spécialisé soit un core i7 d’un prix
de 1600 dollars. D’où le prix de revient d’un équipement triaxiale sera de : 105 350 dollars.

VI. Etude comparative en termes de cout entre essai classique et essai automatisé
A la fin de notre étude il en découle un point très important au niveau du cout : l’équipement
triaxial automatisé est plus cher main en terme de rentabilité elle donne de meilleurs résultat et dans
de bref délai.

Vous aimerez peut-être aussi