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Sommaire

Livret

Vocabulaire ensembliste et logique


Ensembles de nombres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . II
Géométrie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . II
Fonctions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . II
Relations et ensembles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . III
Proposition, conjonctions « et » et « ou » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . III
Implication et équivalence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . IV
Quantificateurs « pour tout… », « il existe… » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . IV
Négation d’une proposition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . V
Des outils pour démontrer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . V

Formulaire
Calcul numérique et littéral . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . VI
Probabilités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . VI
Géométrie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . VII
Suites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . VII
Fonctions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . VIII

Calculatrice Casio
Je retiens les principales touches de la GRAPH 35+ E . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . X
J’étudie une fonction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XI
J’étudie une suite définie par récurrence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XI

Calculatrice TI
Je retiens les principales touches de la TI 82-Advanced . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XII
J’étudie une fonction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XIII
J’étudie une suite définie par récurrence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XIII

Calculatrice NumWorks
Je retiens les principales touches de la NumWorks. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XIV
J’étudie une fonction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XV
J’étudie une suite définie par récurrence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XV

Écriture d’un programme


Tableau récapitulatif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XVI

LIVRET I
© Hachette Éducation 2019 - Déclic 1re Spécialité
Vocabulaire
ensembliste a Ensembles de nombres Exemples
• 59 appartient à ℕ, ℤ, 𝔻, ℚ et ℝ.
et logique Les réels et les entiers • −13 n’appartient pas à ℕ mais
• ℕ est l’ensemble des entiers naturels : appartient à tous les autres
ℕ = {0 ; 1; 2 ;…} . ensembles.
4
• ℤ est l’ensemble des entiers relatifs : ℤ = {…; − 1; 0 ; 1;…} . • appartient à 𝔻, ℚ et ℝ.
5
• 𝔻 est l’ensemble des nombres décimaux, c’est-à-dire l’ensemble 1
• n’appartient pas à 𝔻 mais il
k 3
des nombres qui s’écrivent sous la forme n avec k ∈Z et n ∈N. appartient à ℚ et ℝ.
10
• ℚ est l’ensemble des nombres rationnels, c’est-à-dire l’ensemble • 2 n’appartient pas à ℚ mais il
a appartient à ℝ.
des nombres qui s’écrivent comme quotient de deux entiers avec
b
a ∈Z et b un entier relatif non nul.
Remarque
• ℝ est l’ensemble des nombres réels, c’est-à-dire l’ensemble des On note aussi R∗ l’ensemble
abscisses des points d’une droite graduée. ℝ regroupe tous les R \ {0} des réels non nuls,
nombres connus en Première. R + l’ensemble [ 0 ; +∞[ et
R − l’ensemble ]−∞ ; 0 ] .
• R \ {a} est l’ensemble des réels autres que a. On lit « ℝ privé de a ».

Les intervalles de ℝ
Remarque
• [ a ; b ] est l’ensemble des réels compris entre a et b inclus :
Pour exclure de l’intervalle une
x ∈[ a ; b ] ⇔ a ! x ! b de ses extrémités, on tourne
• [ a ; +∞[ est l’ensemble des réels supérieurs ou égaux à a. le crochet vers l’extérieur de
• ]−∞ ; b[ est l’ensemble des réels strictement inférieurs à b. l’intervalle. Par exemple :
x ∈ ]a ; b ] ⇔ a < x ! b

b Géométrie
En géométrie plane Remarque
Pour nommer un polygone, on
AB : distance entre les points A et B, longueur du segment [AB]. nomme consécutivement ses
[AB]: segment d’extrémités A et B. sommets en suivant ses côtés.
Par exemple, les côtés du
(AB) : droite passant par A et B. quadrilatère ABCD sont [AB],
[AB) : demi-droite d’origine A passant par B. [BC], [CD]et [DA].
!!!" D C
AB : vecteur d’origine A et d’extrémité B.
ABC : triangle de sommets A, B et C.
!
ABC : angle de sommet B et de côtés [BA) et [BC). A B
Le segment [AC]est une
Avec des coordonnées diagonale de ce quadrilatère.
◗ (O ; I ; J ) désigne un repère :
• le point O est l’origine du repère.
Remarque
• la droite orientée (O ; I ) est l’axe des abscisses ; le point I définit Un repère du plan peut être :
l’unité sur cet axe. ➀ défini par trois points non
alignés O, I et J. Ce repère est
• la droite orientée (O ; J ) est l’axe des ordonnées ; le point J définit
alors noté (O ; I ; J ) .
l’unité sur cet axe. ➁ défini par
! un !" point O et deux
◗ Les coordonnées d’un point dans un repère se notent ( x ; y ) . vecteurs i et j non colinéaires.
" !"
◗ Les coordonnées d’un vecteur dans un repère se notent   .
x ( )
Ce repère est alors noté O ; i ; j .
 y
Exemple
c Fonctions 1
f :x! est la fonction
• f : x ! f ( x ) ou f : x ! y est la fonction qui à x associe f ( x ) ou y. x −1
1
• f ( x ) est l’image du réel x par la fonction f . qui à x ≠ 1 associe .
x −1
• Df est l’ensemble de définition de f , c’est-à-dire l’ensemble des D f = ℝ \ {1} ; f (2) = 1
réels ayant une image par f . Le point de coordonnées (2 ; 1)
• 𝒞f est la représentation graphique ou la courbe représentative de appartient à 𝒞f , car f (2) = 1.
la fonction f dans un repère du plan. C’est l’ensemble des points dont La courbe de f a pour équation :
les coordonnées ( x ; y ) sont telles que x ∈D f et f ( x ) = y. 1
y=
• y = f ( x ) est l’équation de la courbe 𝒞f . x −1

II
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d Relations et ensembles Exemples
• −4 ∈Z mais −4 ∉N .
Appartenance ∈ se lit « appartient à » ou « est élément de » et s’utilise • A ∈( AB )
entre un élément et un ensemble. • 0 ∉ ]2 ; 4]
Négation : ∉ .
Inclusion Exemples
⊂ se lit « est contenu dans » ou « est inclus dans » et s’utilise
entre deux ensembles. • Tout entier naturel est également
un entier relatif. Ainsi :
N⊂ Z
Lorsque deux ensembles A et B B A ℕ est un sous-ensemble (ou une
vérifient A ⊂ B , on dit que A est un partie) de l’ensemble Z .
sous-ensemble de B ou encore que Plus généralement, on a les
inclusions des ensembles de
A est une partie de B.
nombres :
Pour montrer l’inclusion A ⊂ B , on N⊂ Z ⊂ D⊂ Q ⊂ R
Un élément • Tout point du segment [AB]
montre que tout élément de l’en- de A
semble A appartient à l’ensemble B. appartient à la droite (AB). Ainsi :
[ AB ] ⊂ ( AB )
Intersection et réunion Soient I et J deux ensembles. Exemples
• L’intersection de I et de J, notée I ∩ J, est l’ensemble des éléments • Soient I = {0 ; 2 ; 4 ; 6 ; 8} et
appartenant à la fois à l’ensemble I et à l’ensemble J. J = {0 ; 1; 2 ; 3 ; 4 ; 5} alors :
• La réunion (ou l’union) de I et de J, notée I ∪ J , est l’ensemble des I ∩ J = {0 ; 2 ; 4}
éléments appartenant à au moins l’un des deux ensembles I et J. et
I ∪ J = {0 ; 1; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6 ; 8}
Lorsque les ensembles I et J • L’ensemble des réels x vérifiant
x ! 3 ou x > 4 s’écrit :
n’ont aucun élément en com- I J I J ]−∞ ; 3] ∪ ]4 ; +∞[
mun, leur intersection est • L’ensemble I des entiers pairs et
vide, on note I ∩ J = ∅ . On I∩J I∪J l’ensemble J des entiers impairs
dit alors qu’ils sont disjoints. sont disjoints. On a ainsi :
I ∩ J = ∅ et I ∪ J = ℕ
Complémentaire Soit A un sous-ensemble d’un E • Si E = ℕ et A est l’ensemble des
ensemble E. On appelle complémentaire de A dans E A entiers pairs alors son
l’ensemble, noté A , de tous les éléments de E qui complémentaire A dans E est
A l’ensemble des entiers impairs.
n’appartiennent pas à A.
• Si E = R et A = ]−∞ ; 4 [ alors :
A = [ 4 ; +∞[
Exemples
e Proposition, conjonctions « et » et « ou »
• La proposition « dans un triangle,
Définition Une proposition est une phrase (comportant un verbe) qui la somme des angles vaut 180° »
est vraie.
est soit vraie soit fausse.
• La proposition « tout entier pair
est multiple de 4 » est fausse. En
Conjonctions « et » – « ou » effet 6 est pair sans être multiple
• « et » entre deux propositions (ou entre deux événements) signifie que les de 4.
deux propositions doivent être simultanément vraies (ou les événements
réalisés tous deux).
• « ou » entre deux propositions (ou entre deux événements) signifie que
l’une des propositions au moins (ou l’un des événements) et peut-être
les deux doivent être vraies (ou réalisés).

Exemples
• « x > −5 et x < 1 » signifie « −5 < x < 1 ». Remarque
• Lors du tirage d’une carte dans un jeu de 32, obtenir « un roi » et « un Contrairement à l’utilisation
fréquente en français du « ou »
pique » signifie « obtenir le roi de pique ». comme « ou bien », le « ou » en
• « x ∈[ −1; 2] ou x ∈ ]0 ; 3] » signifie « x ∈[ −1; 2] ∪ ]0 ; 3] », soit mathématique est « inclusif »,
« x ∈[ −1; 3] ». c’est-à-dire qu’il inclut le cas où
• Lors du lancer d’un dé cubique, « obtenir un multiple de 3 » ou « obtenir les deux propositions sont vraies
un numéro supérieur à 4 » signifie « obtenir 3, 4, 5 ou 6 ». simultanément.

LIVRET III
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Vocabulaire
ensembliste f Implication et équivalence Remarque
et logique Implication
On dit dans ce cas que :
Une proposition conditionnelle ou une • P1 est vraie est une condition
implication est une propriété de la forme suivante : suffisante pour que P2 soit vraie.
• P2 est vraie est une condition
« Si la phrase P1 est vraie, alors la phrase P2 est vraie. » nécessaire pour que P1 soit
Exemples vraie.
• Si x est un entier, alors x est un réel.
• « n est un multiple de 2 » est une condition nécessaire pour « n est un
multiple de 6 ».

Équivalence Le symbole ⇔ se lit « équivaut à » ou « si, et seulement si ». Remarque


Il se place entre deux propositions P1 et P2 et signifie que l’on a On dit dans ce cas que « P1
Si P est vraie alors P est vraie est vraie » est une condition
simultanément : Si P1 est vraie alors P2 est vraie nécessaire et suffisante
 2 1 pour que P2 soit vraie (et
réciproquement).
Exemples
" triangle rectangle en A ⇔ BC = AB + AC .
• ABC 2 2 2
!!!" est!!!
un
• AB et AC sont colinéaires est une condition nécessaire et suffisante
pour que A, B et C soient alignés.
Remarque
Contraposée d’une implication La contraposée de l’implication « Si la Dès lors qu’une implication
phrase P1 est vraie, alors la phrase P2 est vraie. » est l’implication équivalente : est vraie, sa contraposée l’est
également.
« Si la phrase P2 est fausse, alors la phrase P1 est fausse. » En pratique, il peut être parfois
plus simple de démontrer
Exemples qu’une implication est vraie en
démontrant sa contraposée.
• La contraposée de « si n est un multiple de 6, alors n est un multiple de
3 » est « si n n’est pas un multiple de 3, alors n n’est pas un multiple de 6 ».
Remarque
Réciproque d’une implication La réciproque d’une implication est On retiendra que la réciproque
l’implication obtenue en permutant hypothèse et conclusion. La réciproque d’une implication vraie n’est pas
systématiquement vraie.
de l’implication « Si la phrase P1 est vraie, alors la phrase P2 est vraie. » est : Lorsqu’une implication et sa
« Si la phrase P2 est vraie, alors la phrase P1 est vraie. » réciproque sont simultanément
Cette réciproque n’est pas équivalente à la propriété initiale : elle peut vérifiées, on a alors une
équivalence.
être vraie ou fausse.

Exemples
• La réciproque de « si n est un multiple de 6, alors n est un multiple de
3 » est « si n est un multiple de 3, alors n est un multiple de 6 ». Cette
réciproque est fausse. !!!" !!!"
• La réciproque de « si AB et AC sont colinéaires,
!!!" !!!alors
" A, B et C sont
alignés » est « si A, B et C sont alignés, alors AB et AC sont colinéaires ».
Cette réciproque est vraie.

Remarque
g Quantificateurs « pour tout… », « il existe… » P1 s’énonce également « Quel
que soit le réel x ! 1, on a
• On considère les propositions vraies suivantes. x 3 ! x 2 ».
P1 : « Pour tout réel x ! 1, on a x 3 ! x 2 . » P2 s’énonce également « dans
P2 : « Quel que soit le triangle considéré, ses hauteurs sont concourantes un triangle, les hauteurs sont
en un point appelé orthocentre du triangle. » concourantes ». Le
quantificateur universel est
Les locutions « Pour tout… » et « Quel que soit… » sont appelées quanti-
sous-entendu ici.
ficateurs universels. Les propositions P1 et P2 sont appelées propositions
universelles. Exemple
Pour montrer qu’une proposition universelle est vraie, on montre qu’elle La proposition universelle « Pour
est vraie dans tous les cas (un exemple ne suffit pas !). tout réel x, on a x 3 ! x 2 » est
Pour montrer qu’elle est fausse, il suffit de trouver un cas où elle est mise fausse. En effet, x = 0 ,5 est un
en défaut. On parle alors de contre-exemple. contre-exemple.

IV
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• On considère la proposition suivante.
Remarque
« Il existe un nombre entier à la fois pair et multiple de 3. »
La locution « il existe… » signifie
Cette proposition est vraie : 6 est un entier pair et multiple de 3. « il existe au moins un… ».
La locution « il existe… » est appelé quantificateur existentiel.
Pour montrer qu’une proposition existentielle est vraie, il suffit d’exhiber
un exemple. En revanche, pour montrer qu’elle est fausse, il faut montrer
qu’elle n’est jamais satisfaite.

h Négation d’une proposition Exemples


• Soit une proposition P, on Soient deux propositions P1 et P2 • La proposition P : « ABCD est un
appelle (non P) la négation de P. Proposition P carré » a pour négation (non P) :
Négation de P « ABCD n’est pas un carré ».
Si la proposition P est vraie alors
(P et P ) ((non P1) ou (non P2)) • On tire une carte dans un jeu de
(non P) est fausse et inversement. 1 2
32 cartes. On note P1 : « la carte est
• Négation d’une proposition (P1 ou P2) ((non P1) et (non P2)) une figure » et P2 : « la carte est un
comportant un quantificateur. cœur ». Ainsi, (P1 ou P2) : « la carte
On considère les deux propositions suivantes : est une figure ou un cœur ». La
P1 : « tous les élèves de la classe aiment étudier les mathématiques » négation de (P1 ou P2) est « la carte
P2 : « il existe un réel x tel que f ( x ) > 0 » n’est pas une figure et n’est pas un
La négation de P1 est : « il existe au moins un élève dans la classe qui cœur ».
n’aime pas étudier les mathématiques ».
La négation de P2 est : « pour tout réel x, on a f ( x ) ⩽ 0 ».
Remarque
i Des outils pour démontrer La négation d’une proposition
universelle (resp. existentielle)
Contre-exemple Pour montrer qu’une proposition universelle est fausse, est une proposition existentielle
(resp. universelle).
il suffit de donner un exemple qui la met en défaut. Un tel exemple est
alors appelé un contre-exemple. Exemple
Raisonnement par l’absurde Pour montrer qu’un énoncé est vrai, on Pour montrer que la proposition
universelle « Tous les élèves de la
peut supposer qu’il est faux et aboutir à une absurdité (une contradiction, classe sont nés la même année »
un résultat faux). est fausse, il suffit de citer deux
élèves particuliers qui n’ont pas la
Exemple
même année de naissance.
Pour montrer que 0 n’a pas d’inverse, on suppose qu’il en a un noté a. Par
la définition d’un inverse, on a 0 × a = 1, ou encore 0 = 1.
Cette égalité est fausse, donc 0 n’a pas d’inverse.
Raisonnement par contraposition Pour démonter l’implication « Si la
phrase P1 est vraie, alors la phrase P2 est vraie. », on peut la remplacer par
sa contraposée « Si la phrase P2 est fausse, alors la phrase P1 est fausse. »
Exemple
Pour démontrer la proposition « Si n 2 est pair, alors n est pair », on peut
montrer que « Si n est impair, alors n 2 est impair » :
n étant impair, il existe un entier k tel que n = 2k + 1 ; on a alors :
n = 4k 2 + 4k + 1= 2(2k 2 + 2k ) + 1
2k + 2k est un entier, donc n 2 est impair.
2

Raisonnement par disjonction des cas Pour montrer qu’une proposition


universelle est vraie, on peut envisager différents cas de figure recouvrant
toutes les possibilités et montrer qu’elle est vraie dans chacun de ces cas.
Exemple
Pour montrer que, pour tout entier naturel n, A = ( n+ 1)( n+ 2) est pair,
on peut envisager deux cas : le cas où n est pair et le cas où n est impair.
1er cas : soit n un entier naturel pair.
Alors n + 2 est également pair et donc ( n + 1)( n + 2) est le produit de
l’entier pair ( n + 2) et d’un autre entier, donc A est également pair.
2e cas : soit n un entier naturel impair.
Alors n + 1 est pair et donc ( n + 1)( n + 2) est le produit de l’entier pair
( n + 1) et d’un autre entier, donc A est également pair.
Conclusion : on a montré que pour tout n ∈N, ( n + 1)( n + 2) est pair.

LIVRET V
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Formulaire Calcul numérique et littéral

Opérations sur les fractions


Modification ou simplification Addition et soustraction Multiplication Division
a c ac a c a d ad
a×k a  b ≠ 0 a c a±c × = ÷ = × =
=
 k ≠ 0
± = ( b ≠ 0) b d bd b d b c bc
b×k b b b b ( b, d non nuls ) ( b, d , c non nuls )

Opérations sur les puissances


n
Pour n et p entiers et a et a0 = 1, a1 = a a n × a p = a n+ p an 1 ( a × b )n = a n × b n  a  = a
n
= a n− p a −n =
b réels (a et b non nuls) ap an  b bn

Opérations sur les racines carrées

Pour a et b deux nombres a×b = a × b a a a2 = a , a = a


2 a+b ≠ a + b
=
positifs (b non nul) b b a et b non nuls

Développement – Factorisation – Identités remarquables


Développement
Développement
( a + b )2 = a2 + 2ab + b2
k( a + b ) = ka+ kb ( a b )2 = a2 2ab + b2
Factorisation ( a + b ) ( a b ) = a2 b2
Factorisation

Règles de calcul sur les inégalités

a!b a!b a!b a!b a!b


±c ×k>0 ×k<0 ÷k>0 ÷ k <0
⇔ a±c!b±c ⇔ ka ! kb ⇔ ka ! kb a b a b
⇔ ! ⇔ !
k k k k

Probabilités

Probabilités Variables aléatoires


• En situation d’équiprobabilité, la probabilité d’un Soit X une variable aléatoire prenant les valeurs x1, x2,
nb d’issues réalisant A …, xn de probabilités p 1, p 2, …, p n .
événement A est P ( A ) = .
nb total d’issues Valeurs xi x1 x2 … xn
• Pour tous événements A et B, on a :
Probabilités p i p1 p2 … pn
P ( A ∪ B) + P ( A ∩ B) = P ( A ) + P ( B)
( )
P A = 1− P ( A )
• L’espérance de X est :
• La probabilité conditionnelle de A sachant B est : E ( X ) = x1 × p1 + x2 × p2 +…+ x n × pn
P ( A ∩ B)
PB ( A ) = si P ( B ) ≠ 0 • La variance de X est :
P ( B)
V ( X ) = p1( x1 − E ( X )) +…+ pn ( x n − E ( X ))
2 2
On a P ( A ∩ B ) = P ( A ) × PA ( B ) .

• A et B sont indépendants lorsque : • L’écart-type de X est :


P ( A ∩ B) = P ( A ) × P ( B) σ(X ) = V (X )
Dans ce cas, on a aussi PB ( A ) = P ( A ) .

VI
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Géométrie

Géométrie repérée et configurations

Vecteurs colinéaires Produit scalaire


! ! ! ! """! """!
• u et v (non nuls) sont colinéaires s’il existe u⋅ v = AB ⋅ AC = AB × AC × cosα
! ! u
un réel k tel que v = ku .
v=k u C
C
!  x !  x′ ! !
•u et v colinéaires ⇔ det ( u ; v ) = 0 v
 y  y ′ α
v
⇔ xy ′ − yx ′ = 0
u α
Équations cartésiennes d’une droite
H A B A u H B
• Dans un repère (O ; I ; J ) , toute droite 𝒟 admet une équation
de la forme ax + by + c = 0. si H ∉[ AB ) alors : si H ∈[ AB ) alors :
! ! ! !
• Dans un repère (O ; I ; J ) , l’ensemble des points M ( x ; y ) tels u⋅ v = − AB × AH u⋅ v = AB × AH
! −b • En repère orthonormé
que ax + by + c = 0 est une droite de vecteur directeur u  
 a ! x ! x′ ! !
et ax + by + c = 0 est une de ses équations cartésiennes. Si u   et v   , alors u ⋅ v = xx ′ + yy ′ .
 y  y ′
• Dans un repère orthonormé, la droite d’équation cartésienne • Vecteurs orthogonaux
! a ! ! ! !
ax + by + c = 0 admet le vecteur n   comme vecteur normal. u et v sont orthogonaux ⇔ u ⋅ v = 0 .
 b

Longueurs – Angles – Cercles

Calcul de la norme à l’aide des coordonnées Soient A et B deux points distincts du plan. M
"""! • Pour tout point M du plan, on a : B
AB = AB = ( x B − x A ) + ( yB − y A )
2 2
"""! """! 1 Ω 𝒞
Théorème d’Al-Kashi MA ⋅ MB = MI 2 − AB2 A
4
A
"""! """!
• L’ensemble des points M du plan tels que MA ⋅ MB = 0 est le
c b cercle de diamètre [AB].
A
• Dans un repère orthonormé, un cercle de centre Ω ( x Ω ; yΩ ) et
B a C de rayon R a pour équation cartésienne :
a2 = b2 + c2 − 2bccos ̂
A ( x − xΩ )2 + ( y − yΩ )2 = R2
Formules d’aire
Carré Rectangle Parallélogramme Triangle Trapèze Disque
b
ℓ h h r
h
B
c L B
B
B×h (b + B) × h
A = c2 A= L×ℓ A= B×h A= A= A = πr 2
2 2

Suites

Suite arithmétique de raison r Suite géométrique de raison q


Pour tout n dans ℕ, u n+1 = u n + r Pour tout n dans ℕ, u n+1 = qu n
Terme général : u n = u 0 + nr = u 1 + ( n − 1) r = … Terme général : un = q nu0 = q n−1u1 = …
Somme de termes consécutifs : Somme de termes consécutifs pour q ≠ 1 :
n ( n + 1) 1− q n+1
1+ 2 + 3 +…+ n = 1+ q + q2 +…+ q n =
2 1− q

LIVRET VII
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Formulaire Fonctions

Fonctions affines

Cas a > 0 y Cas a < 0 y


+
Une fonction affine f est une b
fonction définie sur ℝ par : + b −b
−b
f ( x ) = ax + b a a
Dans un repère, elle est repré- – O x O x

sentée graphiquement par une
Sens de variation de f Sens de variation de f
droite d d’équation réduite :
y = ax + b x −∞ +∞ x −∞ +∞
Pour tous points distincts ax + b ax + b
A ( x A ; y A ) et B ( x B ; yB ) de d :
y − yA Signe de ax + b Signe de ax + b
a= B
xB − x A b b
x −∞ − +∞ x −∞ − +∞
a a
Signe de ax + b − 0 + Signe de ax + b + 0 −

Fonctions de référence
y y
Fonction carré Fonction inverse
x −∞ 0 +∞ x −∞ 0 +∞
1 0 x
x2
0 0 x x

La fonction carré est paire. Elle est représentée par une La fonction inverse est impaire. Elle est représentée
parabole symétrique par rapport à l’axe des ordonnées. par une hyperbole symétrique par rapport à l’origine
y y
Fonction cube Fonction racine carrée
x −∞ +∞ x 0 +∞

x3 0 x x
0 0 x

La fonction cube est impaire. Elle est représentée par La courbe représentative de la fonction racine est une
une courbe symétrique par rapport à l’origine. demi-parabole.
Fonctions polynômes du second degré

Une fonction polynôme du second degré est une fonction f définie sur ℝ par f ( x ) = ax 2 + bx + c avec a ≠ 0.
• La forme canonique est f ( x ) = a ( x − α )2 + β où α et β sont deux nombres réels. On a β = f ( α ) .
• f est représentée par une parabole de sommet S ( α ; β) , tournée vers le haut si a > 0 , ou vers le bas si a < 0 .
• Les racines de f , lorsqu’elles existent, sont les solutions de l’équation ax 2 + bx + c = 0 .
• Le discriminant de f est le nombre réel Δ = b2 − 4ac .
Δ<0 Δ=0 Δ>0

x0 x1 x2 x1 x2
Courbe x x x0 x x x x

a>0 a<0 a>0 a<0 a>0 a<0


Ensemble des
solutions de
ax 2 + bx + c = 0
S=∅ S= − { } b
2a
S= { −b − Δ −b + Δ
2a
;
2a }
x −∞ +∞ x −∞ x0 +∞ x −∞ x1 x2 +∞
Signe de
ax 2 + bx + c signe signe signe
f (x) signe de a f ( x ) signe de a 0 signe de a f (x) 0 0
de a de (−a) de a

VIII
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Nombre dérivée et tangente à une courbe
Taux de variation et nombre dérivé Tangente à une courbe
• Le taux de variation d’une fonction f entre • Si f est dérivable en a, sa courbe y
deux réels a et a + h est : 𝒞f admet une tangente 𝒯a.
f ′(a)
f (a + h ) − f (a) A
τa (h) = ( h ≠ 0) • Cette tangente 𝒯a passe par f (a)
h 1
• Le nombre dérivé d’une fonction f en a, A ( a; f ( a)) et admet f ′ ( a ) comme
s’il existe, est : coefficient directeur. 𝒞f
f ′ ( a ) = lim τ a ( h ) • L’équation réduite de 𝒯a est : 𝒯a
h→0
y = f ′ ( a )( x − a ) + f ( a )
O a x

Fonctions dérivées
Dérivées des fonctions usuelles Formulaire de dérivation
La fonction f … admet pour fonction dérivée f étant Somme ( u + v )′ = u ′ + v ′
définie par … f ′ définie par dérivable sur
f (x) = k f ′( x ) = 0 ℝ Produit ( ku )′ = ku ′
f ( x ) = mx + p f ′( x ) = m ℝ ( uv )′ = u ′v + u v ′
f (x) = x2 f ′ ( x ) = 2x ℝ
f ( x ) = x n avec n ! 2 f ′( x ) = n xn − 1 ℝ  1 ′ v′
Inverse  v  = − 2
1 1 v
f (x) = f ′( x ) = − ]−∞ ; 0[ ou ]0 ; +∞[
x x2

f ′( x ) =
1
]0 ; +∞[  u  ′ u ′v − uv ′
f (x) = x Quotient  v  =
2 x v2
Fonction exponentielle
La fonction exponentielle est définie et dérivable sur ℝ. Pour tous réels x et y, et pour tout entier relatif n :
• exp ( 0 ) = 1 et exp (1 ) = e ≈ 2 ,7 2 . e− x = x
1
e x+ y = e x × e y
• Pour tout réel x, on a : exp′ ( x ) = exp ( x ) = e x e
• Soit f ( x ) = e ax+b , x ∈ℝ. ex
enx = ( e x )
n
e x− y = y
f est dérivable sur ℝ et, pour tout x ∈ℝ : f ′ ( x ) = aeax+b e
Cosinus et sinus d’un nombre réel
Par enroulement de la droite des réels autour du cercle trigonométrique, J
x
le point M associé au réel x a pour coordonnées ( cos ( x ) ; sin( x )) . +
Pour tout réel x, on a :
• −1! cos x ! 1 • −1! sin x ! 1 • cos2 x + sin2 x = 1
cos x I
• cos ( −x ) = cos ( x ) • cos ( x + 2π ) = cos ( x ) O
• sin( −x ) = −sin x • sin( x + 2π ) = sin( x ) sin x
La fonction cosinus est paire et 2π-périodique. M (cos x ; sin x)
𝒞
La fonction sinus est impaire et 2π-périodique.
π
! 1 2 π
Angle IOM 0° 30° 45° 60° 90° 180°
3 J 3 π
Réel x, de π π π π 2 4
0 π π
[ 0 ; π ] , associé 6 4 3 2 2
2 6
3 2 1 1
cos x 1 0 −1 60°
2 2 2 2
45°
1 2 3
sin x 0 1 0 30° I
2 2 2
O 1 2 3 1
2 2 2

LIVRET IX
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Calculatrice Je retiens les principales touches de la GRAPH 35+ E
Casio

pour choisir le menu :


pour calculer
pour utiliser
les fonctions
de statistiques
et de probabilités
pour tracer
des courbes
et utiliser le pour choisir une
solveur graphique commande écrite
pour tabuler en bas de l’écran
une fonction
pour écrire
et exécuter
un programme

pour paramétrer
la calculatrice : angle
en degré ou radian,
quadrillage affiché
ou non, …

pour accéder à des


commandes, classées pour élever à une
par grands thèmes : puissance, exemple 23
LIST, STAT ou PRB

la variable « x »
lorsqu’on définit
une fonction dans les pour stocker une valeur
dans une variable
menus et

pour calculer ! ne pas confondre


avec des fractions ces deux touches :
pour le signe
négatif d’un nombre
pour l’opération
soustraction

X
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J’étudie une fonction

On traite l’exemple de la fonction f définie par :


1. Saisir l’expression de f : menu ou
f ( x ) = −0 ,2 5 x 2 − x + 1 sur [ −6 ; 3]
X est obtenu par

« = » est sur fond noir : pour le signe négatif de – 0,25


l’expression est sélectionnée pour l’opération soustraction

2. Dresser le tableau de valeurs de f : menu 3. Tracer 𝒞f et se déplacer sur 𝒞f : menu

a. Définir les paramètres de tabulation : SET a. Définir la fenêtre d’affichage : V-WIN

x compris entre −6 et 3
début et fin de l’intervalle d’étude }
} échelle sur (Ox)

pas de la tabulation } y compris entre −3 et 3

b. Afficher le tableau de valeurs : TABL b. Tracer 𝒞f DRAW et se déplacer sur 𝒞f TRCE

on déplace le point
on se déplace avec les flèches avec les flèches

on lit ses coordonnées

4. Utiliser le solveur graphique dans le menu 5. Calculer un nombre dérivé f ′ ( a ) dans le menu
a. Le sélectionner : G-SLV le réel a
}
pour les racines
on lit f ′ ( a ) ,
pour les extrema 3
ici f ′ (1) = −
2
pour les points d’intersection
}

l’expression f ( x )
b. Choisir l’instruction souhaitée et lire la solution
d/dx obtenu par CALC
le maximum est 2,
atteint en x = −2

J’étudie une suite définie par récurrence

On traite l’exemple de la suite ( un ) définie par un+1 = 2un + 1, avec u0 = 2 .

1. Saisir l’expression de la suite ( un ) : menu 2. Dresser le tableau de valeurs de la suite ( un )


On appuie sur TABL :
pour avoir accès à an et n

}
}

pour définir l’indice et la valeur pour définir les indices des termes on se déplace dans le
du terme initial initial et final de la tabulation tableau avec les flèches

LIVRET XI
© Hachette Éducation 2019 - Déclic 1re Spécialité
Calculatrice Je retiens les principales touches de la TI 82-Advanced
TI

pour accéder
aux commandes liées
aux graphiques
ou aux tabulations

pour accéder
aux commandes liées
aux statistiques
pour paramétrer la
calculatrice : angle pour accéder
en degré ou radian, aux commandes liées
quadrillage affiché à la programmation
ou non, …

pour accéder à d’autres


commandes, classées
par grands thèmes :
MATH, NUM ou PRB pour élever à une
puissance, exemple 23

pour stocker une valeur


dans une variable

! ne pas confondre
ces deux touches :
pour le signe
négatif d’un nombre
pour l’opération
soustraction

XII
© Hachette Éducation 2019 - Déclic 1re Spécialité
J’étudie une fonction

On traite l’exemple de la fonction f définie par :


1. Saisir l’expression de f dans f ( x )
f ( x ) = −0 ,2 5 x 2 − x + 1 sur [ −6 ; 3]

X est obtenu par

pour le signe négatif de – 0,25


« = » est sur fond noir :
pour l’opération soustraction
l’expression est sélectionnée

2. Dresser le tableau de valeurs de f 3. Tracer 𝒞f et se déplacer sur 𝒞f

a. Définir les paramètres de tabulation : a. Définir la fenêtre d’affichage :


x compris entre −6 et 3
début de l’intervalle d’étude }
échelle sur (Ox)
}
pas de la tabulation y compris entre −3 et 3

b. Afficher le tableau de valeurs : b. Tracer 𝒞f et se déplacer sur 𝒞f

on déplace le point
on se déplace avec les flèches avec les flèches

on lit ses coordonnées

4. Utiliser le solveur graphique dans le menu

a. Le sélectionner : b. Choisir l’instruction souhaitée et lire la solution


pour les racines le maximum est 2,
atteint en x = −2
} pour les extrema

pour les points d’intersection

5. Calculer un nombre dérivé f ′ ( a ) dans le menu de calculs :

le réel a
« d/dx » obtenu par
}

on lit f ′ ( a ) ,
8 : nDeriv(
on précise la ici f ′ (1 ) = − 1 ,5
variable X par x
l’expression f ( x )

J’étudie une suite définie par récurrence

On traite l’exemple de la suite ( un ) définie par un+1 = 2un + 1, avec u0 = 2 .


1. Définir le mode « Suite » : 2. Saisir l’expression u n : 3. Dresser le tableau de valeurs
de la suite ( un ) :
FONC pour définir pour définir
une fonction, l’indice et
SUITE pour une la valeur du
suite récurrente terme initial

« u » s’obtient par
on se déplace dans le
« n » s’obtient par tableau avec les flèches

LIVRET XIII
© Hachette Éducation 2019 - Déclic 1re Spécialité
Calculatrice Je retiens les principales touches de la NumWorks
NumWorks

pour choisir le menu :


pour calculer

pour utiliser
les fonctions
pour faire pour valider
des statistiques une instruction
pour étudier
numériquement
une suite pour revenir au menu
pour programmer ou à l’instruction
en Python précédente
pour paramétrer
les calculs

la variable « x »
lorsqu’on définit pour élever à une
une fonction puissance, exemple 23

XIV
© Hachette Éducation 2019 - Déclic 1re Spécialité
J’étudie une fonction

On traite l’exemple de la fonction f définie par :


f ( x ) = −0 ,2 5 x 2 − x + 1 sur [ −6 ; 3] 1. Saisir l’expression de f dans

x est obtenu par

2. Dresser le tableau de valeurs de f : Afficher les valeurs 3. Tracer 𝒞f et se déplacer sur 𝒞f : Tracer le graphique

a. Définir les paramètres de tabulation : Régler l’intervalle a. Définir la fenêtre d’affichage : Axes

début et fin
x compris entre −6 et 3
} de l’intervalle d’étude
}
(Oy) réglé de façon
pas de la tabulation automatique

b. Afficher le tableau de valeurs b. Tracer 𝒞f et se déplacer sur 𝒞

on déplace le point
avec les flèches
on se déplace avec les flèches
on lit ses coordonnées

4. Utiliser le solveur graphique

a. Le sélectionner : b. Choisir l’instruction souhaitée et lire la solution

le maximum est 2,
atteint en x = −2

5. Calculer un nombre dérivé f ′ ( a ) :

a. Menu avec Calculs, puis diff(f(x),x,a) :

b. Menu , une fois la courbe 𝒞f tracée :


Nombre dérivé à cocher, puis se déplacer sur l’abscisse
a souhaitée :

on lit f ′ ( a ) . Ici f ′ (1 ) = − 1 ,5

J’étudie une suite définie par récurrence

On traite l’exemple de la suite ( un ) définie par un+1 = 2un + 1, avec u0 = 2 .

1. Définir la suite en choisissant son « type » : 2. Afficher les valeurs et régler l’intervalle :
• un (explicite)
• un+1 (récurrente d’ordre 1)
on se déplace avec les flèches

un s’obtient par

LIVRET XV
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Écriture d’un Tableau récapitulatif
programme

Instructions CASIO TI Python


Créer un nouveau programme Mode programmation Mode programmation On lance un éditeur, puis
depuis le menu , puis, menu Nouveau on enregistre le fichier
principal, puis NEW avec l’extension .py
Entrées Menu [Prog] Touche puis menu • si A est un entier
Demander une valeur à COM CTL JUMP ? ▶ E/S, 1 :Input ou 2 :Prompt A=int(input(«Saisir A»))
l’utilisateur et la stocker dans la On sélectionne ? Syntaxe : Input "A=",A • si A est un réel
variable A Syntaxe : ? → A ou Input A A=float(input(«Saisir
ou «A=»? → A A»))
ou Prompt A
• si A est une chaîne de
caractères
A=input(«Saisir A»)
Affectation Touche Touche Symbole d’affectation =
A←5 5→A 5→A A=5

Sorties Menu [Prog] Touche puis dans le On utilise la fonction


Afficher du texte et le contenu COM CTL JUMP ? ▶ menu E/S, 3 : Disp print(texte)
de la variable A On utilise Disp «la valeur de A est» print(«la valeur de A
«la valeur de A est»↵ Disp A est»,A)
A
Exprimer une condition Menu [Prog] [test] <, >
(opérateurs de tests) COM CTL JUMP ? ▶ 1:= 2: ≠ 3: > 4 : ⩾ <= (inférieur ou égal à)
puis ▶ et REL >= (supérieur ou égal à)
=≠><⩾⩽ == (égal à)
!= (différent de)
Structure conditionnelle Menu [Prog] puis menu puis, dans le menu L’indentation des blocs
Si condition Alors COM, If Then Else I-End CTL, 1 :If 2 :Then 3 :Else est symbolisée par .
instructions si vrai
[Sinon
If condition ↵ :If condition if condition:
Then ↵ :Then bloc si condition vraie
instructions si faux]
Fin Si
… :… [elif condition 2 :
[Else ↵ [:Else ↵ bloc alternatif 2 ]
Le bloc Sinon est facultatif. …] : …] [else:
IfEnd ↵ : End bloc sinon ]
Boucle Pour Menu [Prog], COM puis ▶ puis, dans le menu L’indentation marque le
Pour K allant de 1 à 10 Faire : For To Step Next CTL, 4 :For( 7 :End début et la fin du bloc.
bloc d’instructions
Fin Pour For 1 → K To 10 ↵ : For(K,1,10) for k in range(1,11):
… :… bloc d’instructions
Next ↵ : End

Boucle Tant que Menu [Prog], COM puis puis dans le menu L’indentation marque le
Tant que condition Faire deux fois ▶ CTL, 5 :While 7 :End début et la fin du bloc.
bloc d’instructions Whle WEnd Do Lp-W : While condition ↵ while condition:
Fin Tant que
While condition ↵ :… bloc d’instructions
… : End ↵
WhileEnd ↵

def permet de construire Les paramètres (ou arguments) sont des variables.
une fonction. Certaines fonctions n’admettent aucun paramètre.

return renvoie un contenu. Il n’est pas obligatoire.

Info
importer help(fonction) donne
une une documentation sur
bibliothèque. la fonction saisie.

XVI
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