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Calcul numérique et littéral . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . VI
Probabilités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . VI
Géométrie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . VII
Suites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . VII
Fonctions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . VIII
Calculatrice Casio
Je retiens les principales touches de la GRAPH 35+ E . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . X
J’étudie une fonction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XI
J’étudie une suite définie par récurrence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XI
Calculatrice TI
Je retiens les principales touches de la TI 82-Advanced . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XII
J’étudie une fonction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XIII
J’étudie une suite définie par récurrence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XIII
Calculatrice NumWorks
Je retiens les principales touches de la NumWorks. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XIV
J’étudie une fonction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XV
J’étudie une suite définie par récurrence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XV
LIVRET I
© Hachette Éducation 2019 - Déclic 1re Spécialité
Vocabulaire
ensembliste a Ensembles de nombres Exemples
• 59 appartient à ℕ, ℤ, 𝔻, ℚ et ℝ.
et logique Les réels et les entiers • −13 n’appartient pas à ℕ mais
• ℕ est l’ensemble des entiers naturels : appartient à tous les autres
ℕ = {0 ; 1; 2 ;…} . ensembles.
4
• ℤ est l’ensemble des entiers relatifs : ℤ = {…; − 1; 0 ; 1;…} . • appartient à 𝔻, ℚ et ℝ.
5
• 𝔻 est l’ensemble des nombres décimaux, c’est-à-dire l’ensemble 1
• n’appartient pas à 𝔻 mais il
k 3
des nombres qui s’écrivent sous la forme n avec k ∈Z et n ∈N. appartient à ℚ et ℝ.
10
• ℚ est l’ensemble des nombres rationnels, c’est-à-dire l’ensemble • 2 n’appartient pas à ℚ mais il
a appartient à ℝ.
des nombres qui s’écrivent comme quotient de deux entiers avec
b
a ∈Z et b un entier relatif non nul.
Remarque
• ℝ est l’ensemble des nombres réels, c’est-à-dire l’ensemble des On note aussi R∗ l’ensemble
abscisses des points d’une droite graduée. ℝ regroupe tous les R \ {0} des réels non nuls,
nombres connus en Première. R + l’ensemble [ 0 ; +∞[ et
R − l’ensemble ]−∞ ; 0 ] .
• R \ {a} est l’ensemble des réels autres que a. On lit « ℝ privé de a ».
Les intervalles de ℝ
Remarque
• [ a ; b ] est l’ensemble des réels compris entre a et b inclus :
Pour exclure de l’intervalle une
x ∈[ a ; b ] ⇔ a ! x ! b de ses extrémités, on tourne
• [ a ; +∞[ est l’ensemble des réels supérieurs ou égaux à a. le crochet vers l’extérieur de
• ]−∞ ; b[ est l’ensemble des réels strictement inférieurs à b. l’intervalle. Par exemple :
x ∈ ]a ; b ] ⇔ a < x ! b
b Géométrie
En géométrie plane Remarque
Pour nommer un polygone, on
AB : distance entre les points A et B, longueur du segment [AB]. nomme consécutivement ses
[AB]: segment d’extrémités A et B. sommets en suivant ses côtés.
Par exemple, les côtés du
(AB) : droite passant par A et B. quadrilatère ABCD sont [AB],
[AB) : demi-droite d’origine A passant par B. [BC], [CD]et [DA].
!!!" D C
AB : vecteur d’origine A et d’extrémité B.
ABC : triangle de sommets A, B et C.
!
ABC : angle de sommet B et de côtés [BA) et [BC). A B
Le segment [AC]est une
Avec des coordonnées diagonale de ce quadrilatère.
◗ (O ; I ; J ) désigne un repère :
• le point O est l’origine du repère.
Remarque
• la droite orientée (O ; I ) est l’axe des abscisses ; le point I définit Un repère du plan peut être :
l’unité sur cet axe. ➀ défini par trois points non
alignés O, I et J. Ce repère est
• la droite orientée (O ; J ) est l’axe des ordonnées ; le point J définit
alors noté (O ; I ; J ) .
l’unité sur cet axe. ➁ défini par
! un !" point O et deux
◗ Les coordonnées d’un point dans un repère se notent ( x ; y ) . vecteurs i et j non colinéaires.
" !"
◗ Les coordonnées d’un vecteur dans un repère se notent .
x ( )
Ce repère est alors noté O ; i ; j .
y
Exemple
c Fonctions 1
f :x! est la fonction
• f : x ! f ( x ) ou f : x ! y est la fonction qui à x associe f ( x ) ou y. x −1
1
• f ( x ) est l’image du réel x par la fonction f . qui à x ≠ 1 associe .
x −1
• Df est l’ensemble de définition de f , c’est-à-dire l’ensemble des D f = ℝ \ {1} ; f (2) = 1
réels ayant une image par f . Le point de coordonnées (2 ; 1)
• 𝒞f est la représentation graphique ou la courbe représentative de appartient à 𝒞f , car f (2) = 1.
la fonction f dans un repère du plan. C’est l’ensemble des points dont La courbe de f a pour équation :
les coordonnées ( x ; y ) sont telles que x ∈D f et f ( x ) = y. 1
y=
• y = f ( x ) est l’équation de la courbe 𝒞f . x −1
II
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d Relations et ensembles Exemples
• −4 ∈Z mais −4 ∉N .
Appartenance ∈ se lit « appartient à » ou « est élément de » et s’utilise • A ∈( AB )
entre un élément et un ensemble. • 0 ∉ ]2 ; 4]
Négation : ∉ .
Inclusion Exemples
⊂ se lit « est contenu dans » ou « est inclus dans » et s’utilise
entre deux ensembles. • Tout entier naturel est également
un entier relatif. Ainsi :
N⊂ Z
Lorsque deux ensembles A et B B A ℕ est un sous-ensemble (ou une
vérifient A ⊂ B , on dit que A est un partie) de l’ensemble Z .
sous-ensemble de B ou encore que Plus généralement, on a les
inclusions des ensembles de
A est une partie de B.
nombres :
Pour montrer l’inclusion A ⊂ B , on N⊂ Z ⊂ D⊂ Q ⊂ R
Un élément • Tout point du segment [AB]
montre que tout élément de l’en- de A
semble A appartient à l’ensemble B. appartient à la droite (AB). Ainsi :
[ AB ] ⊂ ( AB )
Intersection et réunion Soient I et J deux ensembles. Exemples
• L’intersection de I et de J, notée I ∩ J, est l’ensemble des éléments • Soient I = {0 ; 2 ; 4 ; 6 ; 8} et
appartenant à la fois à l’ensemble I et à l’ensemble J. J = {0 ; 1; 2 ; 3 ; 4 ; 5} alors :
• La réunion (ou l’union) de I et de J, notée I ∪ J , est l’ensemble des I ∩ J = {0 ; 2 ; 4}
éléments appartenant à au moins l’un des deux ensembles I et J. et
I ∪ J = {0 ; 1; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6 ; 8}
Lorsque les ensembles I et J • L’ensemble des réels x vérifiant
x ! 3 ou x > 4 s’écrit :
n’ont aucun élément en com- I J I J ]−∞ ; 3] ∪ ]4 ; +∞[
mun, leur intersection est • L’ensemble I des entiers pairs et
vide, on note I ∩ J = ∅ . On I∩J I∪J l’ensemble J des entiers impairs
dit alors qu’ils sont disjoints. sont disjoints. On a ainsi :
I ∩ J = ∅ et I ∪ J = ℕ
Complémentaire Soit A un sous-ensemble d’un E • Si E = ℕ et A est l’ensemble des
ensemble E. On appelle complémentaire de A dans E A entiers pairs alors son
l’ensemble, noté A , de tous les éléments de E qui complémentaire A dans E est
A l’ensemble des entiers impairs.
n’appartiennent pas à A.
• Si E = R et A = ]−∞ ; 4 [ alors :
A = [ 4 ; +∞[
Exemples
e Proposition, conjonctions « et » et « ou »
• La proposition « dans un triangle,
Définition Une proposition est une phrase (comportant un verbe) qui la somme des angles vaut 180° »
est vraie.
est soit vraie soit fausse.
• La proposition « tout entier pair
est multiple de 4 » est fausse. En
Conjonctions « et » – « ou » effet 6 est pair sans être multiple
• « et » entre deux propositions (ou entre deux événements) signifie que les de 4.
deux propositions doivent être simultanément vraies (ou les événements
réalisés tous deux).
• « ou » entre deux propositions (ou entre deux événements) signifie que
l’une des propositions au moins (ou l’un des événements) et peut-être
les deux doivent être vraies (ou réalisés).
Exemples
• « x > −5 et x < 1 » signifie « −5 < x < 1 ». Remarque
• Lors du tirage d’une carte dans un jeu de 32, obtenir « un roi » et « un Contrairement à l’utilisation
fréquente en français du « ou »
pique » signifie « obtenir le roi de pique ». comme « ou bien », le « ou » en
• « x ∈[ −1; 2] ou x ∈ ]0 ; 3] » signifie « x ∈[ −1; 2] ∪ ]0 ; 3] », soit mathématique est « inclusif »,
« x ∈[ −1; 3] ». c’est-à-dire qu’il inclut le cas où
• Lors du lancer d’un dé cubique, « obtenir un multiple de 3 » ou « obtenir les deux propositions sont vraies
un numéro supérieur à 4 » signifie « obtenir 3, 4, 5 ou 6 ». simultanément.
LIVRET III
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Vocabulaire
ensembliste f Implication et équivalence Remarque
et logique Implication
On dit dans ce cas que :
Une proposition conditionnelle ou une • P1 est vraie est une condition
implication est une propriété de la forme suivante : suffisante pour que P2 soit vraie.
• P2 est vraie est une condition
« Si la phrase P1 est vraie, alors la phrase P2 est vraie. » nécessaire pour que P1 soit
Exemples vraie.
• Si x est un entier, alors x est un réel.
• « n est un multiple de 2 » est une condition nécessaire pour « n est un
multiple de 6 ».
Exemples
• La réciproque de « si n est un multiple de 6, alors n est un multiple de
3 » est « si n est un multiple de 3, alors n est un multiple de 6 ». Cette
réciproque est fausse. !!!" !!!"
• La réciproque de « si AB et AC sont colinéaires,
!!!" !!!alors
" A, B et C sont
alignés » est « si A, B et C sont alignés, alors AB et AC sont colinéaires ».
Cette réciproque est vraie.
Remarque
g Quantificateurs « pour tout… », « il existe… » P1 s’énonce également « Quel
que soit le réel x ! 1, on a
• On considère les propositions vraies suivantes. x 3 ! x 2 ».
P1 : « Pour tout réel x ! 1, on a x 3 ! x 2 . » P2 s’énonce également « dans
P2 : « Quel que soit le triangle considéré, ses hauteurs sont concourantes un triangle, les hauteurs sont
en un point appelé orthocentre du triangle. » concourantes ». Le
quantificateur universel est
Les locutions « Pour tout… » et « Quel que soit… » sont appelées quanti-
sous-entendu ici.
ficateurs universels. Les propositions P1 et P2 sont appelées propositions
universelles. Exemple
Pour montrer qu’une proposition universelle est vraie, on montre qu’elle La proposition universelle « Pour
est vraie dans tous les cas (un exemple ne suffit pas !). tout réel x, on a x 3 ! x 2 » est
Pour montrer qu’elle est fausse, il suffit de trouver un cas où elle est mise fausse. En effet, x = 0 ,5 est un
en défaut. On parle alors de contre-exemple. contre-exemple.
IV
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• On considère la proposition suivante.
Remarque
« Il existe un nombre entier à la fois pair et multiple de 3. »
La locution « il existe… » signifie
Cette proposition est vraie : 6 est un entier pair et multiple de 3. « il existe au moins un… ».
La locution « il existe… » est appelé quantificateur existentiel.
Pour montrer qu’une proposition existentielle est vraie, il suffit d’exhiber
un exemple. En revanche, pour montrer qu’elle est fausse, il faut montrer
qu’elle n’est jamais satisfaite.
LIVRET V
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Formulaire Calcul numérique et littéral
Probabilités
VI
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Géométrie
Calcul de la norme à l’aide des coordonnées Soient A et B deux points distincts du plan. M
"""! • Pour tout point M du plan, on a : B
AB = AB = ( x B − x A ) + ( yB − y A )
2 2
"""! """! 1 Ω 𝒞
Théorème d’Al-Kashi MA ⋅ MB = MI 2 − AB2 A
4
A
"""! """!
• L’ensemble des points M du plan tels que MA ⋅ MB = 0 est le
c b cercle de diamètre [AB].
A
• Dans un repère orthonormé, un cercle de centre Ω ( x Ω ; yΩ ) et
B a C de rayon R a pour équation cartésienne :
a2 = b2 + c2 − 2bccos ̂
A ( x − xΩ )2 + ( y − yΩ )2 = R2
Formules d’aire
Carré Rectangle Parallélogramme Triangle Trapèze Disque
b
ℓ h h r
h
B
c L B
B
B×h (b + B) × h
A = c2 A= L×ℓ A= B×h A= A= A = πr 2
2 2
Suites
LIVRET VII
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Formulaire Fonctions
Fonctions affines
Fonctions de référence
y y
Fonction carré Fonction inverse
x −∞ 0 +∞ x −∞ 0 +∞
1 0 x
x2
0 0 x x
La fonction carré est paire. Elle est représentée par une La fonction inverse est impaire. Elle est représentée
parabole symétrique par rapport à l’axe des ordonnées. par une hyperbole symétrique par rapport à l’origine
y y
Fonction cube Fonction racine carrée
x −∞ +∞ x 0 +∞
x3 0 x x
0 0 x
La fonction cube est impaire. Elle est représentée par La courbe représentative de la fonction racine est une
une courbe symétrique par rapport à l’origine. demi-parabole.
Fonctions polynômes du second degré
Une fonction polynôme du second degré est une fonction f définie sur ℝ par f ( x ) = ax 2 + bx + c avec a ≠ 0.
• La forme canonique est f ( x ) = a ( x − α )2 + β où α et β sont deux nombres réels. On a β = f ( α ) .
• f est représentée par une parabole de sommet S ( α ; β) , tournée vers le haut si a > 0 , ou vers le bas si a < 0 .
• Les racines de f , lorsqu’elles existent, sont les solutions de l’équation ax 2 + bx + c = 0 .
• Le discriminant de f est le nombre réel Δ = b2 − 4ac .
Δ<0 Δ=0 Δ>0
x0 x1 x2 x1 x2
Courbe x x x0 x x x x
VIII
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Nombre dérivée et tangente à une courbe
Taux de variation et nombre dérivé Tangente à une courbe
• Le taux de variation d’une fonction f entre • Si f est dérivable en a, sa courbe y
deux réels a et a + h est : 𝒞f admet une tangente 𝒯a.
f ′(a)
f (a + h ) − f (a) A
τa (h) = ( h ≠ 0) • Cette tangente 𝒯a passe par f (a)
h 1
• Le nombre dérivé d’une fonction f en a, A ( a; f ( a)) et admet f ′ ( a ) comme
s’il existe, est : coefficient directeur. 𝒞f
f ′ ( a ) = lim τ a ( h ) • L’équation réduite de 𝒯a est : 𝒯a
h→0
y = f ′ ( a )( x − a ) + f ( a )
O a x
Fonctions dérivées
Dérivées des fonctions usuelles Formulaire de dérivation
La fonction f … admet pour fonction dérivée f étant Somme ( u + v )′ = u ′ + v ′
définie par … f ′ définie par dérivable sur
f (x) = k f ′( x ) = 0 ℝ Produit ( ku )′ = ku ′
f ( x ) = mx + p f ′( x ) = m ℝ ( uv )′ = u ′v + u v ′
f (x) = x2 f ′ ( x ) = 2x ℝ
f ( x ) = x n avec n ! 2 f ′( x ) = n xn − 1 ℝ 1 ′ v′
Inverse v = − 2
1 1 v
f (x) = f ′( x ) = − ]−∞ ; 0[ ou ]0 ; +∞[
x x2
f ′( x ) =
1
]0 ; +∞[ u ′ u ′v − uv ′
f (x) = x Quotient v =
2 x v2
Fonction exponentielle
La fonction exponentielle est définie et dérivable sur ℝ. Pour tous réels x et y, et pour tout entier relatif n :
• exp ( 0 ) = 1 et exp (1 ) = e ≈ 2 ,7 2 . e− x = x
1
e x+ y = e x × e y
• Pour tout réel x, on a : exp′ ( x ) = exp ( x ) = e x e
• Soit f ( x ) = e ax+b , x ∈ℝ. ex
enx = ( e x )
n
e x− y = y
f est dérivable sur ℝ et, pour tout x ∈ℝ : f ′ ( x ) = aeax+b e
Cosinus et sinus d’un nombre réel
Par enroulement de la droite des réels autour du cercle trigonométrique, J
x
le point M associé au réel x a pour coordonnées ( cos ( x ) ; sin( x )) . +
Pour tout réel x, on a :
• −1! cos x ! 1 • −1! sin x ! 1 • cos2 x + sin2 x = 1
cos x I
• cos ( −x ) = cos ( x ) • cos ( x + 2π ) = cos ( x ) O
• sin( −x ) = −sin x • sin( x + 2π ) = sin( x ) sin x
La fonction cosinus est paire et 2π-périodique. M (cos x ; sin x)
𝒞
La fonction sinus est impaire et 2π-périodique.
π
! 1 2 π
Angle IOM 0° 30° 45° 60° 90° 180°
3 J 3 π
Réel x, de π π π π 2 4
0 π π
[ 0 ; π ] , associé 6 4 3 2 2
2 6
3 2 1 1
cos x 1 0 −1 60°
2 2 2 2
45°
1 2 3
sin x 0 1 0 30° I
2 2 2
O 1 2 3 1
2 2 2
LIVRET IX
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Calculatrice Je retiens les principales touches de la GRAPH 35+ E
Casio
pour paramétrer
la calculatrice : angle
en degré ou radian,
quadrillage affiché
ou non, …
la variable « x »
lorsqu’on définit
une fonction dans les pour stocker une valeur
dans une variable
menus et
X
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J’étudie une fonction
x compris entre −6 et 3
début et fin de l’intervalle d’étude }
} échelle sur (Ox)
on déplace le point
on se déplace avec les flèches avec les flèches
4. Utiliser le solveur graphique dans le menu 5. Calculer un nombre dérivé f ′ ( a ) dans le menu
a. Le sélectionner : G-SLV le réel a
}
pour les racines
on lit f ′ ( a ) ,
pour les extrema 3
ici f ′ (1) = −
2
pour les points d’intersection
}
l’expression f ( x )
b. Choisir l’instruction souhaitée et lire la solution
d/dx obtenu par CALC
le maximum est 2,
atteint en x = −2
}
}
pour définir l’indice et la valeur pour définir les indices des termes on se déplace dans le
du terme initial initial et final de la tabulation tableau avec les flèches
LIVRET XI
© Hachette Éducation 2019 - Déclic 1re Spécialité
Calculatrice Je retiens les principales touches de la TI 82-Advanced
TI
pour accéder
aux commandes liées
aux graphiques
ou aux tabulations
pour accéder
aux commandes liées
aux statistiques
pour paramétrer la
calculatrice : angle pour accéder
en degré ou radian, aux commandes liées
quadrillage affiché à la programmation
ou non, …
! ne pas confondre
ces deux touches :
pour le signe
négatif d’un nombre
pour l’opération
soustraction
XII
© Hachette Éducation 2019 - Déclic 1re Spécialité
J’étudie une fonction
on déplace le point
on se déplace avec les flèches avec les flèches
le réel a
« d/dx » obtenu par
}
on lit f ′ ( a ) ,
8 : nDeriv(
on précise la ici f ′ (1 ) = − 1 ,5
variable X par x
l’expression f ( x )
« u » s’obtient par
on se déplace dans le
« n » s’obtient par tableau avec les flèches
LIVRET XIII
© Hachette Éducation 2019 - Déclic 1re Spécialité
Calculatrice Je retiens les principales touches de la NumWorks
NumWorks
pour utiliser
les fonctions
pour faire pour valider
des statistiques une instruction
pour étudier
numériquement
une suite pour revenir au menu
pour programmer ou à l’instruction
en Python précédente
pour paramétrer
les calculs
la variable « x »
lorsqu’on définit pour élever à une
une fonction puissance, exemple 23
XIV
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J’étudie une fonction
2. Dresser le tableau de valeurs de f : Afficher les valeurs 3. Tracer 𝒞f et se déplacer sur 𝒞f : Tracer le graphique
a. Définir les paramètres de tabulation : Régler l’intervalle a. Définir la fenêtre d’affichage : Axes
début et fin
x compris entre −6 et 3
} de l’intervalle d’étude
}
(Oy) réglé de façon
pas de la tabulation automatique
on déplace le point
avec les flèches
on se déplace avec les flèches
on lit ses coordonnées
le maximum est 2,
atteint en x = −2
on lit f ′ ( a ) . Ici f ′ (1 ) = − 1 ,5
1. Définir la suite en choisissant son « type » : 2. Afficher les valeurs et régler l’intervalle :
• un (explicite)
• un+1 (récurrente d’ordre 1)
on se déplace avec les flèches
un s’obtient par
LIVRET XV
© Hachette Éducation 2019 - Déclic 1re Spécialité
Écriture d’un Tableau récapitulatif
programme
Boucle Tant que Menu [Prog], COM puis puis dans le menu L’indentation marque le
Tant que condition Faire deux fois ▶ CTL, 5 :While 7 :End début et la fin du bloc.
bloc d’instructions Whle WEnd Do Lp-W : While condition ↵ while condition:
Fin Tant que
While condition ↵ :… bloc d’instructions
… : End ↵
WhileEnd ↵
def permet de construire Les paramètres (ou arguments) sont des variables.
une fonction. Certaines fonctions n’admettent aucun paramètre.
Info
importer help(fonction) donne
une une documentation sur
bibliothèque. la fonction saisie.
XVI
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