001 C

Sous la direction d’Éric Barbazo et de Christophe Barnet
Martial Baheux
Aline Bouget
Nadine Castagnos
Maïna Cigana
Amélie Daniel
Jean-Baptiste Devynck
Dominique Grihon
Benoît Lafargue
Sébastien Maimaran
Anne Malibert
Céline Meunier
Corinne Ondriozola
Sylvie Peducasse
Florence Picart
Fanny Plassin
Sandrine Pollet
Catherine Racadot
Karine Sermanson
Chloé Ubéra
Mise en pages et schémas : Soft Office

Édition : Cécile Chavent
www.hachette-education.com
© Hachette Livre 2019, 58 rue Jean-Bleuzen, 92178 Vanves
Tous droits de traduction, de reproduction et d’adaptation réservés pour tous pays.
Sommaire
Introduction à la programmation en Python…………………………………………………………………………………………………… 5
Nombres et calculs
Chapitre 1 Nombres entiers, nombres réels…………………………………………………………………………………… 11
Fonctions
Chapitre 2 Équations et inéquations…………………………………………………………………………………………………… 27
Chapitre 3 Fonctions affines……………………………………………………………………………………………………………………… 43
Chapitre 4 Fonctions carré et cube……………………………………………………………………………………………………… 59
Chapitre 5 Fonctions racine carrée et inverse………………………………………………………………………………… 75
Chapitre 6 Variations et extremums des fonctions……………………………………………………………………… 93
Géométrie
Chapitre 7 Vecteurs……………………………………………………………………………………………………………………………………… 107
Chapitre 8 Problèmes de géométrie………………………………………………………………………………………………… 123
Chapitre 9 Droites et systèmes……………………………………………………………………………………………………………… 143
Statistiques et probabilités
Chapitre 10 Information chiffrée et statistique descriptive………………………………………………… 157
Chapitre 11 Probabilités…………………………………………………………………………………………………………………………… 169
Chapitre 12 Échantillonnage…………………………………………………………………………………………………………………… 183
3
Introduction
à la programmation
en Python
Activité 1 Coureur de fond Pour s’entraîner

1 a. Lorsque le coureur court moins de 1 h (t1), la distance 1 1.
parcourue pendant un temps t est égale à d = v × t. Donc
d = 15t.
b. Lorsque le coureur a couru plus de 1 h, il a déjà parcouru
15 km. Les kilomètres supplémentaires se font à 12 km/h,
donc la distance parcourue après une heure de course est 2. Le programme renvoie toujours 21 quelle que soit la valeur
d = 12 × (t – 1). du nombre.
On peut le prouver en développant :
(2x + 7) × 3 – 6x = 6x + 21 – 6x = 21.
c. Au bout d’une heure et demie, le coureur a parcouru 21 km. 2
2 a. distance ←15 + 12 × (t – 1)
b. La variable distance sera égale à 7,5. Le coureur aura 3
parcouru 7,5 km.
© Hachette Livre, 2019 – Guide pédagogique, mathématiques 2de, collection Barbazo
3 a. Il s’affiche la valeur 7,5. C’est la distance parcourue par

le coureur au bout d’une demi-heure.
b.
x –2 –1 0 1 2
f (x) 9 3 1 –2 –5
c. Activité 2 Jeu de dé
1 a. La variable lancers comptabilise le nombre de lancers
effectués jusqu’à l’obtention d’un 6.
b. La variable dé peut prendre les valeurs : 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6.
c. Le programme se répète jusqu’à ce que la variable dé soit
égale à 6.
d. Le script s’arrêtera quand la variable dé sera égale à 6.
Introduction à la programmation en Python 5

2 3 1. a.
lancers ← 0
dé ← 0
Tant que dé ≠ 6 Faire
dé ← nombre aléatoire entre 1 et 6
lancers ← lancers + 1
Fin Tant que
b.
3 a.
Si x = 200 km, le prix 1 est plus avantageux que le prix 2.
b. La boucle s’arrêtera quand le dé sera égal à 6.

c. La variable lancers qui comptabilise le nombre de lancers Si x = 50 km, le prix 1 est moins avantageux que le prix 2.
augmente de 1 chaque fois que le dé est différent de 6. 2. Dans les éditions 01 à 04 du manuel de l’élève, une coquille
d. s’est glissée : il faut lire « […] à partir de laquelle le Contrat 1
est plus avantageux que le Contrat 2 », et non l’inverse.
Le Contrat 1 devient plus avantageux à partir du km 126.
Pour s’entraîner Activité 3 Somme d’entiers

1 1 a. La variable entier prend comme première valeur 0.
b. La variable vaudra 10.
c. La variable somme vaudra 10.

2 a. Il s’affiche tous les entiers de 0 à 9.
b.
c.
Il faudra 28 années.
d.
Il lui faudra 4 mois.
6 Introduction à la programmation en Python

3 a. 3 1.
b.
2.
Pour s’entraîner
1
4 1. À l’étage i, il y aura i 2 oranges.
2.
3.
Dans 15 ans, il y aura environ 781 licenciés.
2 1. Si le reste de la division euclidienne de N par d est 0,

alors cela signifie que d divise N, donc d est un diviseur de N. Il y aura 385 oranges à l’étage 10.
2.
Activité 4 Cryptage affine

1 E a pour rang 4. f (4) = 21 et 21 = 0 × 26 + 21, donc le reste
de la division euclidienne de 21 par 26 est 21.
La lettre E est la lettre de rang 21. C’est donc la lettre V.
2 a. a et b sont de type entier, lettre est de type chaîne de

caractères.
b.
Le nombre de diviseurs de 100 est 9.

3.
c.
3 a. et b.
Le plus petit nombre premier (c’est-à-dire qui n’a que deux

diviseurs, 1 et lui-même) supérieur à 1 000 est 1 009.
c. Si dans la phrase, il y a un espace, on ajoute à la phrase
resultat l’espace. Sinon, on crypte la lettre avec la fonction
« crypter » et on l’ajoute à la chaîne de caractères resultat.

d. b.
Pour s’entraîner
1 La variable compteur compte le nombre de s dans la
phrase.
2 1. caractere et phrase doivent être de type chaîne de

caractères ; compteur est de type entier.
2.
3 La variable sera True.

3
4 1. Les variables N et div sont de type entier.
2.
Pour s’entraîner
1 1. Il permet de tracer la droite d’équation y = 3x sur l’in-
tervalle [–200 ; 200].
2.
3. La fonction teste si N est premier. On met au départ la

variable résultat à True. Si N n’est pas premier, il a un divi-
seur div qui rendra le reste de la division euclidienne de N
par div nul. À ce moment-là, la variable résultat prendra la
valeur False, car on sera dans l’instruction if ligne 4. Sinon, le
résultat affiché sera la variable résultat. Si aucun diviseur n’a

été trouvé, l’affichage sera True. Sinon, il sera False.
Activité 5 Fonction définie par morceaux

1 a. f (–2) = 3 ; f (2) = 3.
b. 2 1.
c.
x –5 –2 0 2 5
f(x) 24 3 –1 3 9 2. Selon la réponse des élèves.
2 a. Le programme affiche la courbe représentative de la

fonction f sur l’intervalle [–5 ; 5] avec un pas de 1 sur l’axe
des abscisses.
8 Introduction à la programmation en Python

3 1.
( 23 ) = 13 et g ( 23 ) = 13 , donc le point d’intersection a pour
3. f
coordonnées ( ; ).
2 1
3 3
4
2. On conjecture que l’abscisse du point d’intersection est

2
environ 0,67, soit sûrement .
3

1 Nombres entiers,
nombres réels
1 Les entiers sont les nombres : d. 89,56 ÷ 0,1 = 8,956

3,82 e. –5,67 + 0,67 = –5
a. = 382, b. –5 × 102 = –500 et c. 125 = 25.
0,01 5 f. 1 + 2 + 7 = 1,27
10 100
2 a. –3 × 5 = –15
b. –15 – 18 = –33 6 a. 2 – 5 = –1
3 3
c. (–6) × (–1) = 6
b. + 3 = 11
4
d. 510 = –51 5 10 10
−10
c. × 18 = 12
2
3 a. 0,1 × 0,67 = 0,067 3 7 7
b. –63,4 × 1 000 = –63 400 d. 5 ÷ 12 = 25
c. 1,714 ÷ 100 = 0,017 14 5 12
76,19 7 a. Vrai. b. Vrai.
d. = 761,9
0,1 c. Faux. d. Faux.
e. 45,7 = 0,004 57 e. Vrai. f. Vrai.
10 000 g. Vrai. h. Faux.
f. − 7,89 = –0,000 789 8 Nombres premiers : 2 ; 3 ; 5 ; 7.
10 000
4 a. 1 = 0,25 b. 1 = 0,5 9 a. 23 = 8
4 2 b. 2–2 = 0,25
c. 3 = 0,75 d. 1 = 0,2 c. 34 = 81
4 5 d. 4–1 = 0,25
e. 2 = 0,4 f. 3 = 0,6
5 5 10 a. Vrai. b. Faux.
c. Faux. d. Faux.
g. 4 = 0,8
5
11 a. 72 = 23 × 32
5 a. 0,5 × 42 = 21 b. 27 = 33
b. 0,1 × 63,4 = 6,34 c. 100 = 22 × 52
c. 1,7 – 2,5 = –0,8
Pour construire le cours
Situation 1 La nature des nombres

A O I B C
1
–3 –2 –1 0 1 2 3 4 5 6
2 a. Le point D est le milieu de [OI] puisque son abscisse est 1 . On trace donc un cercle de centre O et un cercle de centre I
2
de mêmes rayons. Les points E et F sont les intersections de ces deux cercles et équidistants des points O et I. Donc la droite
(EF) est la médiatrice de [OI]. Donc d est le point d’intersection de la droite (OI) et de la droite (EF).
Chapitre 1 Nombres entiers, nombres réels 11

E
A OD I B C
–3 –2 –1 0 11 2 3 4 5 6
2
F
b. On trace à la règle et au compas la parallèle à (IG) passant par N. D’après le théorème de Thalès, on a : AN = OE ⟺ 2 = OE
AG OI 3
puisque OI = 1. Ainsi, l’abscisse de E est bien 2 .
3
G
N
O E I
0 2 1
3
3 a. On trace le cercle de centre O et de rayon OJ, qui coupe l’axe (OI) en F d’abscisse positive. D’après le théorème de
Pythagore, dans le triangle OIJ rectangle en I, OJ = 12 + 12 = 2 . Le cercle a donc pour rayon 2. Donc OF = 2.
O I F
M N
b. La diagonale de ce rectangle mesure 22 + 12 = 5. En procédant comme à la question précédente, l’arc de cercle de

centre O et de rayon la longueur de la diagonale coupe donc l’axe (OI) en un point d’abscisse positive égale à 5. C’est 5
que cette figure permet de construire de façon exacte.

Situation 2 Dans l’absolu…
1 A B O I C
–5 –4 –3 –2 –1 0 1 2 3 4
2 a. La distance entre –2 et 3 est la distance BC : 5. La distance entre 3 et –2 est aussi la distance BC : 5.

b. La distance entre –4 et –2 est la distance AB : 2. La distance entre 3 et –2 et –4 est aussi la distance AB : 2.
3 a. La distance se calcule en soustrayant le plus petit au plus grand : c – d si c  d et d – c si c  d.

b. |d – c| est une distance, donc c’est un nombre positif.
c. |67,3 – 80| = 80 – 67,3 = 12,7.
4 |x| = |x – 0|, c’est donc la distance entre le nombre x et le nombre 0.
5 |x| = 5 équivaut à dire que la distance entre le nombre x et le nombre 0 vaut 5. Les nombres vérifiant |x| = 5 sont donc –5
et 5. Ils correspondent aux points D et E ci-dessous.
D O I E
– 6 –5 – 4 –3 –2 –1 0 1 2 3 4 5 6
12 Chapitre 1 Nombres entiers, nombres réels

6 |x| < 5 équivaut à dire que la distance entre le nombre x et le nombre 0 est inférieure ou égale à 5. Les nombres cherchés
sont donc tous les nombres compris entre –5 et 5. Ils sont représentés par l’ensemble des points appartenant au segment [DE].
D O I E
– 6 –5 – 4 –3 –2 –1 0 1 2 3 4 5 6
Situation 3 Population de bactéries
1 a. Comme la population triple toutes les heures, à 11 h il y a 1 × 3 = 3 milliers de bactéries, à 12 h, il y a 1 × 3 × 3 = 32 = 9

milliers de bactéries, etc. À 15 h, il y a 1 × 3 × 3 × 3 × 3 × 3 = 35 = 243 milliers de bactéries. De façon analogue, à 19 h, il y a
39 = 19 683 milliers de bactéries.
b. 35 × 3 × 3 × 3 × 3 = 39, donc 35 × 34 = 39.
c. Si n et m sont des entiers naturels,
a × a ×…× a a × a ×…× a = a × a ×…× a
an × am = an + m car !#####"#####$ × !#####"#####$ !#####"#####$
n fois m fois n + m fois
d. On aura 314 milliers de bactéries au bout de 14 heures, soit à 24 h ou minuit. La population aura été multipliée par 35 entre
14 9 5
19 h et 24 h. 3 9 = 3 ×9 3 = 35 d’après la question 1. c.
3 3
n n n−m + m n−m m
e. On a am = an – m car am = a m = a m× a = an – m après simplification par am.
a a a a
2 À 15 h, il y a 35 milliers de bactéries. À 16 h, il y a alors 35 × 2 milliers de bactéries. À 17 h, il y a alors 35 × 22 milliers de

bactéries. À 20 h, il y a alors 35 × 25 milliers de bactéries. Or 35 × 25 = 3 × 2 × 3 × 2 × 3 × 2 × 3 × 2 × 3 × 2 × 3 × 2 = 6 × 6 × 6 ×
6 × 6 × 6 = 65.
L’autre chercheur a donc raison.
Démonstrations et raisonnements
Comprendre une démonstration
1 On a supposé que 2 était un nombre rationnel, donc, sous cette hypothèse et par définition, il existe un entier relatif p
p p
et un entier naturel non nul q tels que 2 =, étant irréductible puisque toute fraction entre nombres entiers peut s’écrire
q q
de manière unique sous forme irréductible.
2 p2 = 2q2, or q  *, donc q2 q  *, donc 2q2 q  * et est un multiple de 2, donc p2 est pair.
3 On a admis que le carré d’un nombre impair était impair (démonstration « page de droite » dans la rubrique « Rédiger une
démonstration »), donc si p était impair, p2 serait impair. Or p2 est pair d’après la question 2, donc p, qui est un nombre entier, est
pair. Ainsi, par définition d’un nombre pair, il existe un entier k tel que p = 2k. Donc p2 = (2k)2 = 4k2, or p2 = 2q2, donc 2q2 = 4k2.
Rédiger une démonstration

1 • On considère un nombre entier n qui est impair. Par définition, il existe un nombre entier k tel que n = 2k + 1.
• Alors n2 = (2k + 1)2 = (2k + 1)(2k + 1) = 4k2 + 2k + 2k + 1 = 4k2 + 4k + 1.
⎛ 2 ⎞
!###"+###
Or 4k2 + 4k + 1 = 2 ⎜ 2k 2k$⎟ + 1 car k est un entier relatif. Donc n2 s’écrit 2q + 1 avec q entier relatif, donc n2 est impair, ce
⎝ entier relatif ⎠
qu’il fallait démontrer.
2 • Raisonnons par l’absurde, supposons que 1 est un nombre décimal.

3
Alors, il existe deux entiers naturels a et k tels que 1 = ak ; on a alors 3a = 10k.
3 10
Donc 3 est un diviseur de 10k.
• D’après le critère de divisibilité par 3, la somme des chiffres de 10k est un multiple de 3. Or cette somme vaut 1. 1 serait donc
divisible par 3. C’est absurde, donc 1 n’est pas un nombre décimal.
3

Utiliser différents raisonnements
1 Raisonnons par l’absurde, supposons que 5 = 2,236. Alors ( 5 )2 = 2,236
2
donc 5 = 4,996 96. C’est absurde, donc l’hypo-
thèse 5 = 2,236 est fausse : on a bien 5 ≠ 2,236.
2 Raisonnons par l’absurde, supposons que x + y est un nombre rationnel, qui est le contraire de ce qu’il faut montrer. Il
existe alors un entier relatif p et un entier naturel non nul q tels que x + y = p . Or x est un nombre rationnel, donc il existe
q
p p ps qr
alors un entier relatif r et un entier naturel non nul s tels que x = . On a alors r + y = , donc y = – r d’où y =
r – =
s s q q s qs qs
ps − qr
. Mais ps – qr est un entier relatif (différence de produits de nombres relatifs) et qs également (non nul puisque ni q
qs
ni s n’est nul). Alors y est un nombre rationnel, car c’est le quotient d’un entier relatif par un entier naturel non nul. C’est
absurde car d’après l’énoncé, y est un nombre irrationnel. Donc l’hypothèse « x + y est un nombre rationnel » est fausse, c’est
le contraire qui est vrai : x + y est un nombre irrationnel.
Travaux pratiques
TP 1 Multiple d’un nombre

1 a. a contient 25 et b contient 7.
b. C’est la variable r qui est modifiée au cours de l’exécution du programme.
c. r r>b?
Étape 0 25 oui
Étape 1 18 oui
Étape 2 11 oui
Étape 3 4 non
2 a. fonction1(33,10) renvoie 3 et fonction1(40,5) renvoie 0.

b. Cette fonction renvoie le reste dans la division euclidienne de a par b.
3 a. Effectuer la division euclidienne de a par b, c’est déterminer l’unique couple de réels a et b tels que a = bq + r et 0 < r  b.
b. Dans l’égalité précédente, le plus grand multiple de b inférieur ou égal à a est bq.
c.

TP 2 Nombre premier
1 a. 6%3==0 renvoie True, 13%7==0 renvoie False et 14%7==0 renvoie True.
b. a%b renvoie le reste de la division euclidienne de a par b donc a%b==0 renvoie True si a est un multiple de b et False sinon.
2 Soit n le nombre entier à tester (n  1).

reponse⟵True
Pour i allant de 2 à n–1
Si n%i==0 alors
reponse = False

TP 3 Puissance d’un nombre
1 a. n 1,5n  5 ?
1 oui
2 oui
3 oui
4 non
b. La plus petite puissance positive de 1,5 supérieure ou égale à 5 est 4.
2 a. Test u  5 n u
Étape 0 0 1
Étape 1 oui 1 1,5
Étape 2 oui 2 2,25
Étape 3 oui 3 3,375
Étape 4 oui 4 5,062 5
Étape 5 non
b. L’instruction « u ⟵ u × 1,5 » est faite pour calculer les puissances entières de 1,5 de proche en proche.
c. C’est la variable n qui contient le résultat attendu.
d. C’est le programme 2 qui convient (l’indentation n’est pas correcte dans le programme 1 et les affectations sont écrites
comme des tests dans le programme 3).
3 a. b.
On obtient n = 49. On obtient n = 4.
TP 4 Chiffrement affine
1 a. KRIJJFSYSPN.
b. Pour la cellule B2, il faut que le nom des cellules se « décale » (B1 devient C1 puis C2…) quand on tire vers la droite pour
coder chaque lettre.
Pour la cellule B3, les noms des cellules B6 et B7 font référence aux valeurs m = 17 et p = 2 qui sont fixes, les noms ne doivent
donc pas se « décaler » lorsqu’on étire la formule vers la droite (le nom de la cellule B2, lui, le doit, c’est pour cette raison
qu’elle ne comporte pas de « $ »).
2 a. HRTNNLLBLDP.
b. On constate que plusieurs lettres sont codées par la même (le « E » et le « R » sont codés par « L »). Cela rendra impossible
le décodage.
c. La fonction g définie par g(x) = 4x + 7 présente par exemple le même problème (toute fonction affine f définie par f (x) = mx + p
avec m qui n’est pas premier avec 26 posera en fait le même problème).
3 MATHEMATIQUES.

Automatismes
Calcul mental 7 |3π – 12| = 12 – 3π car 3π  3 × 4  12 donc 3π – 12  0.

1 720 = 24 × 32 × 5 8 1. Vrai, par définition d’un nombre impair.
2 Seule la liste c ne contient que des nombres premiers. 2. Faux, car 2n + 3 = 4 ⟺ n = 1 et 1  .
2 2
3 58 472 = 5,847 2 × 104 donc réponse b. 3. Vrai, car, par exemple, pour n = 3, 2n = 6 qui est pair.
4. Faux, car pour n = 2 alors 3n = 6 qui est pair.
4 1. 24 × 2–5 = 2–1
5. Vrai, par définition d’un multiple de 4.
2. 100 000 = 105
9 1. 3  [–3 ; + [
3. 1 = 10–2
100 2. 3,82  [3,81 ; 4]
15 3. π  ]3,14 ; 3,2]
4. 317 = 3–2 4. –3,5  [–4 ; 4]
3
5. 35 × 75 = (3 × 7)5 = 215 5. 784 ” 
6. 0,000 001 = 10–6 3
6. − 13 500  
5 a. 53 est premier car ses seuls diviseurs positifs sont 1 et 4
lui-même. 10 1.   
b. 1 268 n’est pas premier car il est, par exemple, divisible
2.  ˜ 
par 2.
3.   
c. 5 000 n’est pas premier car il est, par exemple, divisible
4.   
par 10.
5.  ˜ 
6.  ˜ 
Réflexes
11 1. |4| = 4
6 1. Vrai, car 33 = 11 = 275 . 2. |–4| = 4
12 4 100
3. |4| ≠ –4
1   (il peut clairement s’écrire sous la 4. |–4| ≠ –4
2. Vrai, car 2 +
1 −1 5. |3 – 4| ≠ –1
4 6. |3 – 4| = 1
7. |4 – 3| = 1
forme d’une fraction même si on n’effectue pas le calcul) et
8. |4 – 3| ≠ –1
1 – 1  0 donc 1  0 donc 2 + 1  2.
4 1 −1 1 −1 12 1. Vrai.
4 4 2. Vrai.
3. Faux, car 2,22 = 4,84 ≠ 5. 3. Faux.

4. Faux, car si n = 3 alors 33 – 1 = 26 qui n’est pas un nombre 4. Vrai.
premier puisqu’il est divisible par 2.
5. Vrai, car l’opposé de 5 est − 5 et l’inverse de − 5 est
6 6 6
− 6 = –1,2.
5
Exercices
13 Les diviseurs de 36 sont 1, 2, 3, 4, 6, 9, 12, 18 et 36. 3. La valeur de n était 27 (le plus grand diviseur d’un nombre
est lui-même).
14 Les multiples de 7 compris entre 50 et 100 sont 56, 63,
70, 77, 84, 91. 18 1. 1 350 = 2 × 33 × 52 et 3 000 = 23 × 3 × 53.
3 2 2
15 Faux, exemple : 2 + 3 = 5, et 5 est un nombre impair. 2. 1 350 = 23× 3 × 53 = 23 = 9
3 000 2 × 3 × 5 2 × 5 20
16 1. 450 = 2 × 32 × 52 et 180 = 22 × 32 × 5.
2 2
19 9 876 543 120
2. 180 = 2 × 32 × 52 = 2
450 2 × 3 × 5 5 20 420 ÷ 11 ≈ 38,1, donc le plus petit multiple de 11 supé-
17 1. L’algorithme affiche 1, 2, 3, 4, 6, 12. rieur ou égal à 420 est 11 × 39 = 429.
2. Le rôle de l’algorithme est d’afficher tous les diviseurs posi- 21 6 706 = 7 × 958, donc le plus grand multiple de 7 stricte-
tifs de l’entier n.
ment inférieur à 6 706 est 6 706 – 7 = 6 699.

22 D = −3 × (–4) × 2 = 8 = 4
10 3 10 5
2
23 1. Faux, car 3 – 5 = –2 qui n’est pas un entier naturel. 30 A = 3 = 2 = 1
4 12 6
2. Vrai : Soient a et b deux multiples de 7. Il existe alors
deux entiers relatifs p et q tels que a = 7p et b = 7q. Alors B= 2 =2× 4 = 8
3 3 3
a + b = 7p + 7q = 7(p + q). Comme p + q est un entier relatif, 4
a + b est bien un multiple de 7. 1− 1 1
3. Faux, car 2 et 3 sont des diviseurs de 12 et 2 + 3 = 5 n’est C= 2 4 = 4 =1
pas un diviseur de 12. 1 1
4 4
4. Faux, car –8 et 3 sont des entiers relatifs et −8 n’est pas
3 2 −1 −1
un entier relatif.
D= 3 = 3 = −1 × 3 = −1
2 +1 5 3 5 5
24 a. On ne peut pas savoir car le Petit Chaperon rouge a pu 3 3
manger 3 tartelettes aux pêches ou 3 tartelettes aux cerises.
b. Vrai, car le Petit Chaperon rouge a pu manger 3 tartelettes 31 A = 3 – 2 ÷ 3 = 3 − 2 × 2 = 3 − 4 = 27 − 16 = 11
4 3 2 4 3 3 4 9 36 36
aux pêches.
c. Faux, dans tous les cas de figure, ce n’est pas le cas (il B= 3 − 2 × 3 = 3 –1=– 1
4 3 2 4 4
faudrait manger au moins 4 tartelettes aux fraises pour avoir
4
autant de tartelettes aux fraises qu’aux cerises). 3
d. On ne peut pas savoir car le Petit Chaperon rouge a pu C= 1 × 3 = 4 ×2× 3 =4
2 3 2
manger 3 tartelettes aux cerises. 2
1− 1 1
25 1. Diviseurs de 1 155 : 1, 3, 5, 7, 11, 15, 21, 33, 35, 55, 77, 2 2
D=5× =5× =5× 1 = 5
105, 165, 231, 385 et 1 155. 3 3 6 6
2. Diviseurs de 1 164 : 1, 2, 3, 4, 6, 12, 97, 194, 291, 388, 582
et 1 164. 32 Il faut mettre toutes les fractions au même dénomi-
3. La fraction 1 155 n’est pas irréductible puisque 3 est un nateur pour les comparer. Le dénominateur commun est
1 164 7 × 3 × 2 × 9 = 378.
diviseur commun de 1 155 et 1 164. Ces deux nombres ne
3 = 54 ; 2 = 84 ; 2 = 28 ; 1 = 63 ; 7 = 98
sont donc pas premiers entre eux. 7 126 3 126 9 126 2 126 9 126
26 1. 34 est un multiple de 17. 34 est divisible par 17. Donc 7  2  1 3  .2
2. 18 est un multiple de 9. 18 est divisible par 9. 9 3 2 7 9
3. 12 est un diviseur de 144. 12 divise 144. 33 Il faut mettre toutes les fractions au même dénominateur
4. 5 est un diviseur de 125. 5 divise 125. pour les comparer :
27 1 = 12 ; − 1 = − 15 ; −2 = −24 ; 1 = 20 ; − 2 = − 40 ;
5 60 4 60 5 60 3 60 3 60
est divisible par 2 3 4 5 9 10
7 = 105
238 oui non non non non non 4 60
1 250 oui non non oui non oui Donc − 2  −2  − 1  1  1  7 .

3 5 4 5 3 4
1 230 oui oui non oui non oui
999 non oui non non oui non 34 Il faut mettre toutes les fractions au même dénominateur
pour les comparer :
28 1. –2  
− 7 = − 735 ; 11 = 1 815 ; 5 = 525 ; − 11 = − 1 815 ;
2. −5   11 1 155 7 1 155 11 1 155 7 1 155
2 11 = 2 541 ; 7 = 735 ; 11 = 4 235 ; − 11 = − 4 235
3.  ˜  5 1 155 11 1 155 3 1 155 3 1 155
4. 1   Donc − 11  − 11  − 7  5  7  11  11  11 .
5 3 7 11 11 11 7 5 3
5.  ˜ 
6. π ”  35 1. Faux : 1  1 .
2 3
7.   
8. 0,3   2. Faux : 1  2 .
2 3
9.  ˜ 
10. –0,333 33   3. Faux : 1  1 .
2 −3
29 A = −2 − 7 = −10 − 21 = −31 4. Faux : 1  3 .
3 5 15 15 −2 −2
B = (–3) × 3 + 1 = − +9 1 = −27 + 2 = −25
4 6 4 6 12 12
C= −15 ÷ 4 = −15 × 3 = −45
8 3 8 4 32

36 1. On considère deux nombres rationnels A et B. Il existe 41 1. –π  [–5 ; –2[ 2. 0,33 ” [ 1 ; 8]
alors deux entiers relatifs a et c et deux entiers naturels non 3
3. 4 ” ]4 ; 5[ 4. 0  [–1 ; 0]
nuls b et d tels que A = a et B = c .
b d 42 1.
Alors A × B = a × c = a × c . –4 3
b d b×d
Or a   et c   donc a × c   et b  * et d  * donc 2.
b × d  *. 5 8,5
Ainsi a × c   soit A × B  . 3.
b×d
–3
2. On considère deux nombres rationnels A et B. Il existe alors
deux entiers relatifs a et c et deux entiers naturels non nuls 4.
b et d tels que A = a et B = c . –1
b d
43 Amplitude de I1 : 1 – (–1) = 2.
Alors A + B = a + c = a × d + c × b = ad + cb .
b d b×d b×d bd Amplitude de I2 : 5 − 3 = 7 = 1,75.
2 4 4
Or a  , b  *, c  * et c   donc ad + cb   et b  *
et d  * donc bd  *.
1
Amplitude de I3 : 10 − (–1) = 19 = 9,5.
2 2
Ainsi ad + cb   soit A + B  . Amplitude de I4 : 0,54 – (–1,54) = 2,08.
bd
C’est donc I3 qui a la plus grande amplitude.
3. On considère deux nombres décimaux A et B. Il existe alors
deux entiers relatifs a et a’ et deux entiers naturels k et k’ tels 44 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7 sont tous les entiers relatifs qui appar-
a a’ tiennent à I = ]–1 ; 7].
que A = k et B = .
10 10k ’
a a’ aa’ 45 1. On cherche les nombres x dont la distance à zéro vaut 4.
Alors A × B = × = . On a donc S = {–4 ; 4}.
10k 10k ’ 10k + k ’
2. On cherche les nombres x dont la distance à zéro vaut 0.
Or a   et a’   donc aa’   et k   et k’   donc On a donc S = {0}.
kk’  . 3. On cherche les nombres x dont la distance à zéro vaut
Ainsi aa’   soit A × B  . –1, ce qui est impossible puisqu’une distance est un nombre
10k + k ’ positif ou nul. On a donc S = ∅.
37 Tessa a effectivement raison, multiplier par 2 puis diviser 46 1. [–2 ; 4[ 2. [3 ; +[
par 2 se « compensent » au terme initial, c’est-à-dire x + 3. 3. ]– ; –4] 4. ]3 ; 7]
Tom a fait une erreur dans sa simplification, il faudrait faire : 5. [–2,1 ; 4] 6. [6 ; +[
2x + 6 = 2x + 6 = x + 3 ou 2x + 6 = 2 ( x + 3) = x + 3. 7. [3,9 ; 4,1] 8. [–9,01 ; –8,99]
2 2 2 2 2
38 1. Vrai. 47
2. Vrai.

3. Vrai. 4. Faux. Valeur
Intervalle Inégalité Schéma
5. Vrai. 6. Vrai. absolue
7. Vrai. 8. Faux.
x  [2 ; 6] –2 < x < 6 2 6 x−4<
≤2
39 Le volume du bac à sable est :
V = L × l × h = 2,5 m × 2 m × 0,2 m = 1 m3 = 106 mm3. x  ]0 ; 10[ 0  x  10 x−5<
≤5
0 10
Comme chaque grain a un volume moyen de 0,1 mm3, on
106 mm3
peut estimer le nombre de grains de sable à = 107. x [ ⎡− 1 ; 3 ⎤ −− 11 < ≤≤ 33
≤≤ xx < −1 3 x− 1<
≤5
0,1 mm3 ⎣ 2 4 ⎦ 22 44 2 4 8 8
40 x  [–0,53 ; –0,53 < x x + 0,52 ≤ 10−2

–0,51] < –0,51 – 0,53 –0,51
     ≤ 10−2
x + 0,52 <
A = 0,5 non non oui oui oui x + 1<
≤ 44
x  [–5 ; 3] –5 < x < 3 –5 3
B= 5 non non non non oui
48 A = 34 × 54 = 154 B = (53)–2 = 5–6
C= 2 non non non oui oui 2 3
3 C= = 25 D = (–7)3 × (–7)–5 = (–7)–2
2−2
D = –7 non oui oui oui oui
E=
65
= 35 F=
(34 )7 28
= 3 28 = 0,328
E= 3 non non oui oui oui 25 2 28
×5 28
10
4
49 a. 315 = 3,15 × 102
F=0 oui oui oui oui oui
b. 0,291 = 2,91 × 10–1

c. 0,006 54 = 6,54 × 10–3 54 Mercure – Mars – Vénus – Terre – Uranus – Neptune –
d. 345,32 × 105 = 3,453 2 × 102 × 105 = 3,453 2 × 107 Saturne – Jupiter.
50 2 292 milliards, c’est 2 292 × 109 = 100 × 2 292 × 107. 3 4 5
55 A = 76 × 22 × 32 = 7 × 3 = 189
3
On a alors besoin de 2 292 × 10 billets de 100 € pour obtenir

7
2 ×7 ×3 2
2 4
le PIB de la France.
(3 × 5)3 × 2−2 3 3 −2 3
Or 0,1 mm = 10–7 km. B= 6 −3 2 = 36 × 5 −3× 2 2 = 53× 112 = 6 655
−7 3 × 11 × 5 3 × 11 × 5 3 ×2 108
2 292 × 107 billets × 10 km = 2 292 km
billet
C= 107 = 27 × 57 = 22 × 53 = 500
La pile de billets de 100 € atteindrait une hauteur de 2 292 km.
2 × 54
5
25 × 54
51 a. 345 = 3 × 5 × 23
b. 11 500 = 22 × 53 × 23 D=
(133 )−2 × 2−4 −6 −4
= 13−5 × 2−5 = 2
−5 13
c. 432 = 24 × 33 26 13 × 2
d. 19 448 = 23 × 11 × 13 × 17 56 Cette affirmation est vraie. En effet, soit a un nombre réel
et p un entier pair. Il existe alors un entier k tel que p = 2k.
52 Nombre de grains de blé : 7 × 7 × 7 × 7 × 7 = 75 = 16 807.
Alors ap = a2k = (a2)k. Or a2 est un réel positif (ou nul) donc
Il y a en tout 16 807 grains de blé.
(a2)k également.
53 2E7 correspond à l’écriture scientifique, c’est-à-dire
2 × 107.
Exercices
57 45 ÷ 11 = 4,090 909…
Il faut alors mettre bout à bout 38 461 539 atomes d’azote
Le 1er chiffre après la virgule est 0.
pour avoir une file d’environ 5 mm.
Le deuxième chiffre après la virgule est 9.
La séquence « 09 » se répète de manière infinie par le principe 61 17 = 170 et 18 = 180 .
de la division euclidienne. 23 230 23 230
Ainsi, lorsque la position du chiffre après la virgule est un Or 170
170
170 <<<
 173
173
173 <
<<180
180
180 .
nombre impair alors la valeur de la décimale est 0. 230
230 230
230 230 230
230 230
230
Lorsque la position du chiffre après la virgule est un nombre On peut donc proposer 173 comme nombre rationnel stric-
pair alors la valeur de la décimale est 9. 230
107 étant un nombre impair, la valeur de la décimale est 0. tement compris entre 17 et 18 .
23 23
58 40 000 × 109 km = 4 × 1013 km 8 8
62 A = 2 + =2+ = 2 + 8 × 19 = 352 + 152 =
100 000 km/h = 105 km/h 9 + 5 176 176 176
4 × 1013 km = 4 × 108 h = 5 × 107 jours ≈ 45 662 années. 504 = 63 19 19
105 km / h 3 176 22
Le vaisseau spatial mettrait environ 45 662 années pour 1 + 3− 1 3 + 18 − 2 19

B=1+ 8 4 12 =1+ 24 = 1 + 24
atteindre cette étoile. 5 + 1 + 2 5 + 2 + 12 19
6 3 6 6
59 Au bout de 30 jours, la somme de Mme Écureuil à donner
à M. Paon est : = 1 + 19 × 6 = 1 + 1 = 5
S = 100 + 100 + 100 + … + 100 = 100 × 30 = 3 000 24 19 4 4
La somme que M. Paon doit donner à Mme Écureuil double 5 5 5
chaque jour. C= 12 = 12 = 12 = 5 × 90 = 450 = 75
Pendant les 30 jours, la somme que devra donner M. Paon à 7 × 8 − 5 56 − 5 112 − 75 12 37 444 74
3 15 6 45 6 90
Mme Ecureuil sera :
S’ = 0,01 + 0,01 × 2 + 0,01 × 22 + 0,01 × 23 + 0,01 × 24
63 La diagonale du rectangle est égale à 32 + 22 = 13 .
+ … + 0,01 × 228 + 0,01 × 229
En calculant, ne serait-ce que la somme que M. Paon donnera à Comme le point P est sur le cercle de centre O et de rayon
Mme Écureuil le dernier jour, on a 0,01€ × 229 = 5 368 709,12 €. 13, alors le point P est associé au réel 13 .
M. Paon n’a pas du tout eu raison d’accepter la proposition, Les droites rouges sont parallèles, donc d’après le théorème
car il devra beaucoup d’argent à Mme Écureuil. de Thalès, on a : 5 = OU .
7 1
Donc OU =− 5 . Le point U est alors associé au réel − 5 .
60 1 pm = 10–12 m = 10–9 mm 7 7
Le diamètre de chaque atome est 2 × 65 pm = 2 × 65 × 10–9 mm
64 Soit p un entier relatif. p  ]–1 ; 3]⟺ –1  p < 3
= 130 × 10–9 mm. 3 3
On cherche le nombre n d’atomes tel que : n × 130 × 10–9 = 5 ⟺ –3  p < 9.
5 Ainsi les entiers relatifs p répondant à la contrainte sont –2 ;
donc n = ≈ 38 461 539.
130 × 10−9 –1 ; 0 ; 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6 ; 7 ; 8 ; 9.

p
Les nombres rationnels ayant pour écriture fractionnaire Or k   et k’   donc k + k’ + 1  . Ainsi 2(k + k’ + 1) est
3
et appartenant à l’intervalle sont donc : un entier pair donc a + b est un entier pair.
La somme de deux entiers impairs est donc paire.
−2 ; −1 ; 0 ; 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6 ; 7 ; 8 ; 9 .
3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3
72 1. |x – 1| = 3 ⟺ x = 1 – 3 = –2 ou x = 1 + 3 = 4 donc
65 On utilise le théorème de Thalès : les droites (BE) et (DG) 6 = {–2 ; 4}.
sont construites parallèles. 2. |x + 2| = 6 ⟺ x = –2 – 6 = –8 ou x = –2 + 6 = 4 donc
6 = {–8 ; 4}.
D 3. x − 3 = 1 ⟺ x = 3 − 1 = 7 ou x = 3 + 1 = 11 donc
4 6 4 6 12 4 6 12
{ }
C
6 = 7 ; 11 .
B 12 12
4. Pour tout x réel, |x + 4| > 0 donc 6 = ∅.
O E F G H A
0 1 1 5 73 A = 125 × 9 = (22 × 3)5 × 32 = 210 × 35 × 32 = 210 × 37
3 3 B = 18–2 × 484 = (2 × 32)–2 × (24 × 3)4 = 2–2 × 3–4 × 216 × 34 = 214
66 Soit S la somme initiale.
−3
C = 8 × 24 =
(23 ) × 23 × 3 = 2−9 × 23 × 3
−3
La première personne a 4 S.
54 × 43 2 × 33 × (22 ) 2 × 33 × 26
3
9
−6
La deuxième personne a 2 × (1 – 4 )S = 10 S. = 27 × 33 = 2–13 × 3–2
3 9 27 2 ×3
5
La troisième personne a 3 × (1 – 4 – 10 )S = 1 S D = 243 = 39 = 35 × 2–9
5 9 27 9 512 2
S − 4 S − 10 S − 1 S = 27 − 12 − 10 − 3 S = 2 S
9 27 9 27 27 74 f (–2) = 4 × (–6 × (–2)–2)2 – 3 × (–2 – 3)3= 4 × 102 – 3 × (–5)3
La quatrième personne a les 2 de la somme initiale. = 400 – 375 = 25
27
75 1. 2 × 2 × 2 = 23 = 8
67 compteur⟵0 Il y aura 8 couleurs pour une image dont les pixels sont codés
Pour i allant de 1 à n sur trois bits.
Si le reste de la division euclidienne de n par i est 0 2. Le nombre de couleurs est doublé.
compteur⟵compteur + 1 3. Il y aura 210 = 1 024 couleurs dans une image codée sur
FinSi 10 bits.
Fin Pour 4. 223 = 8 388 608 et 223 = 16 777 216, donc cette image est
y codée sur 24 bits.
68 5. 241 ≈ 2 199 × 109 et 242 ≈ 4 398 × 109, donc cette image est
codée sur 42 bits.
76 A =
( x7 )2 = x14 = x 14 – 15
= x–1
1
B A C F x15 x15

O 1 x −5
20 × x 3 = x −2 = x–2 + 12 = x10
B = x −12
x x −12
3 4
20
D C = x ×2x = x = x4 – 1 = x3
E x x
x
69 Soit x le nombre de départ. D = −7 1 3 = 1−4 = x4

x ×x x
x = 7q + 3, avec q  ,
q = 7 × 11 + 5, donc q = 82. 77 La 2e personne étant malade au bout de 4 jours, il reste-
Ainsi x = 7 × 82 + 3 = 577. rait 9 jours de travail si elle n’était pas malade. On a donc le
Le nombre de départ était 577. double de cette durée pour la personne restante, son ami
pourra finir seul le travail en 18 jours.
70 17 = 51 = 510 et 4 = 52 = 520
13 39 390 3 39 390 78 1. 28 = 0,509 090 9… A n’est donc pas un nombre
510 517 520 55
Or   .
390 390 390
décimal. 39 = 0,52. B est donc un nombre décimal.
75
On peut donc proposer 517 comme nombre rationnel stric-
390
2. B – A = 39 – 28 = 39 × 11 – 28 × 15 = 9 = 3  0
17 75 55 825 825 825 275
tement compris entre et 4 .
13 3 Donc B  A.
71 Soient a et b deux nombres entiers impairs. Alors, il existe
3. 28  0,51  39 . Donc 0,51 est un nombre décimal
deux entiers relatifs k et k’ tels que a = 2k + 1 et b = 2k’ + 1. 55 75
On a alors a + b = 2k + 1 + 2k’ + 1 = 2k + 2k’ + 2 = 2(k + k’ + 1). compris entre A et B.

On a a = bq + r donc r = a – bq = dn – dpq = d(n – pq).
4. On cherche x tel que : 28  x  39 ⟺ 420  x  429
55 75 825 825 Comme n  , p   et q   alors n – pq   donc d est
un diviseur de r.
On peut considérer x = 427 car 427 = 0,517 575 75… n’est
825 825 b. f est un diviseur de r donc il existe un entier naturel m tel
que r = fm.
pas un nombre décimal.
f est un diviseur de b donc il existe un entier naturel s tel
n + 3 n + 3 que b = fs.
79 A = x 3 = x 3n = xn + 3 – 3n = x3 – 2n
On a a = bq + r donc a = fmq + fs = f (mq + s).
(xn ) x
Comme m  , q   et s   alors mq + s   donc f est
2 5n 2 + 5n un diviseur de a.
B = x 2n× x = x 2n + 1 = x2 + 5n – 2n – 1 = x1 + 3n
x ×x x 3. On effectue la division euclidienne de a par b. On note r
le reste.
80 1. Dans D2 : =ABS(B2) , dans E2 : =C2+D2 et dans On remplace ensuite a par b et b par r. Tant que le reste est
F2 : =ABS(A2+B2) . différent de 0, on réitère le procédé. Après un certain nombre
d’itérations, on obtiendra un reste égal à 0 car les différents
2. restes sont des entiers de plus en plus petits mais toujours
supérieurs ou égaux à 0.
Le PGCD de a et de b est alors le reste précédent (c’est-à-dire
le dernier reste non nul).
494 = 143 × 3 + 65
143 = 65 × 2 + 13
65 = 13 × 5 + 0
13 est le dernier reste non nul donc PGCD(143 ; 494) = 13.
83 C’est le 2e programme et le 3e programme qui permettent
de répondre à la question. Les tests qu’ils font sont les bons
3. On peut conjecturer que pour tous nombres réels x et y : x
puisqu’ils déterminent les fractions y telles que :
|x + y| < |x| + |y|.
81 1. Cette proposition mathématique est vraie.
x
(
π  y  22 ou π – 22 − π  y  π.
7 7 ) x
Soient a et b deux multiples de 3. Il existe alors deux entiers
En effet, le premier ne convient pas parce que l’élève teste si
relatifs n et p tels que a = 3n et b = 3p.
la fraction est égale à π.
a + b = 3n + 3p = 3(n + p). Comme n   et p  , n + p  
et a + b est donc un multiple de 3. 84 1. ]1 ; 2[  [1 ; 2] 2. ]4 ; 5,3]  [3,9 ; 5,4]
Donc la somme de deux multiples de 3 est donc bien un 3. [–5 ; 4[  [–5,1 ; 4[ 4. [–10 ; 10]  
multiple de 3. 5. [2 ; 10] ˜  6. [3,4 ; 5,7] ˜ 
2. Soient b et c deux multiples de a. Il existe alors deux entiers
relatifs n et p tels que b = an et c = ap. 85 Soient x un réel strictement négatif et p un entier impair.
a + b = an + ap = a(n + p). Comme n   et p  , n + p   Comme p est impair, il existe un entier relatif q tel que
et a + b est donc un multiple de a. p = 2q + 1.
Donc la somme de deux multiples de a est donc bien un Alors xp = x2q + 1 = x2q × x = (x2)q × x.
multiple de a. Or x2  0 par définition d’un carré donc (x2)q  0. De plus,

x  0 donc, par produit (x2)q × x  0. Ainsi xp  0.
82 1. 18 = 2 × 3 × 3 et 12 = 2 × 2 × 3 donc le PGCD de 18 et
12 vaut 6. 86 Soient m et n deux entiers impairs. Alors, il existe deux
2. a. d est un diviseur de a donc il existe un entier naturel n entiers relatifs p et q tels que m = 2p + 1 et n = 2q + 1.
tel que a = dn. Alors m – n = 2p + 1 – (2q + 1) = 2p + 1 – 2q – 1 = 2p – 2q =
d est un diviseur de b donc il existe un entier naturel p tel 2(p – q).
que b = dp. Or p  Z et q  Z donc p – q  Z et par suite m – n est donc
un entier pair.
Exercices
87 |A – 1| = 123 456 789 124 − 1 = 1 88 Partie A
123 456 789 123 123 456 789 123
1. 14 11 1 427 333
|B – 1| = 123 456 789 123 − 1 = 1 30 1,272 950 4,285 2
123 456 789 124 123 456 789 124 80 2 840
Or 0  123 456 789 123  123 456 789 124 donc 30 1 760
8 950
1  1 . 284
123 456 789 123 123 456 789 124
Donc B est plus proche de 1 que A.
2. Leurs parties décimales sont périodiques.

Partie B
3. 14 = 1,27 1 427 = 4,285
11 333 1. 10x – x = 17 ⟺ 9x = 17 ⟺ x = 17
9
4. a. Les restes peuvent être égaux à 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
2. 100y – y = 157 ⟺ 99y = 157 ⟺ y = 157
et 10. Nous avons 11 possibilités pour le reste, donc si on 99
suppose que les 11 premières décimales sont différentes,
100 000z – 100z = 423 146 ⟺ 99 900z
alors la 12e sera forcément égale à une décimale d’un rang
inférieur. Ainsi, après 11 itérations au maximum, on retrouve = 423 146 ⟺ z = 423 146
99 900
un reste égal à un précédent reste.
On peut donc ainsi expliquer la périodicité dans la partie 3. Si on pose x = 0, 9 , alors 10x – x = 9 ⟺ 9x = 9 ⟺ x = 1.
décimale de 14 . 89 1. Tout nombre décimal est un nombre rationnel qui peut
11
s’écrire sous la forme ak où a est un nombre entier relatif
b. Les restes peuvent être égaux à 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6,…, 332. 10
Nous avons 333 possibilités pour le reste, donc si on suppose et k est un entier naturel.
que les 333 premières décimales sont différentes, alors la 2. L’implication est fausse. On a x = 2 ⇒x2 = 2 mais la réci-
334e sera forcément égale à une décimale d’un rang infé- proque est fausse. En effet, x2 = 2 ⟺ x = ± 2 .
rieur. Ainsi, après 333 itérations au maximum, on retrouve Néanmoins, comme on a supposé que 2 = xn , cela
un reste égal à un précédent reste. 10
implique que x est positif donc le raisonnement reste correct.
On peut donc ainsi expliquer la périodicité dans la partie
3. On sait que pour a ≠ 0, a0 = 1. C’est pour cela que Xavier
décimale de 1 427 . a traité à part le cas n = 0 car dans ce cas, 102n n’est pas un
333
multiple de 10.
c. Le développement décimal d’un nombre rationnel est
forcément périodique. 90 Il n’y en a aucun car si la somme des chiffres d’un nombre
p vaut 18, il est alors divisible par 9 donc il n’est pas premier.
Si on prend comme exemple le nombre , avec p un entier
n
relatif et n un entier naturel non nul, nous avons n possibilités 91 a. Faux, car il peut avoir des diviseurs pairs (par exemple 4
pour le reste, donc si on suppose que les n premières déci- n’a aucun diviseur impair autre que 1 mais il n’est pas premier
males sont différentes alors la (n + 1)e sera forcément égale à car il est divisible par 2).
une décimale d’un rang inférieur. Ainsi, après n + 1 itérations b. Faux, par exemple 6 est pair et il est divisible par 3, qui est
au maximum, on retrouve un reste égal à un précédent reste. un nombre impair autre que 1.
On peut donc ainsi expliquer la périodicité dans la partie c. Faux, par exemple 6 est un entier naturel et il est divisible
p par 3, qui est un nombre impair autre que 1.
décimale de .
n d. Faux, 1 n’a pas d’autre diviseur impair autre que 1 et il est
impair. (C’est le seul dans ce cas car si p est un entier impair
strictement supérieur à 1, alors il est divisible par p qui est un
entier impair autre que 1.)
SYNTHÈSE
Exercices

92 Si on plie 1 fois la feuille, son épaisseur est 0,1 × 21 mm. D = 1 – B = 1 − 777 777 777 777 774
777 777 777 777 775
Si on plie 2 fois la feuille, son épaisseur est 0,1 × 2 mm. 2
Si on plie 3 fois la feuille, son épaisseur est 0,1 × 23 mm. = 1

777 777 777 777 775
Si on plie n fois la feuille, son épaisseur est 0,1 × 2n mm.
3. 777 777 777 777 775  777 777 777 777 774 donc
On cherche donc n tel que 0,1 × 2n = 384 400 000 000
⟺ 2n = 3 844 000 000 000 ⟺ 2n = 3,844 × 1012. 1  1
777 777 777 777 774 777 777 777 777 775
Or 2 ≈ 2,2 × 1012 et 242 ≈ 4,4 × 1012.
41
Donc C  D.
Il faut donc plier la feuille 42 fois pour obtenir la distance
4. Comme C  D, A est le plus éloigné de 1.
Terre-Lune.
95 1. Vrai : 4 = 4 = 12 = 24 .
93 |p – 2| < 7 ⟺ –7 < p – 2 < 7 ⟺ –5 < p < 9
1+ 2 5 5 10
Comme p doit être un entier relatif, on a : 3 3
S = {–5 ; –4 ; –3 ; –2 ; –1 ; 0 ; 1 ; 2 ; 3 ; 5 ; 6 ; 7 ; 8 ; 9}. 2 (2 + 5 )
2. Vrai : 4 + 2 5 = =2+ 5.
94 1. Le numérateur de A est supérieur à son dénominateur 2 2
et ce sont deux nombres positifs donc A  1. 3. Faux : 3  π  4 donc 1,5  π  2 ⇒ 1  π ,
2 2
Le numérateur de B est inférieur à son dénominateur et ce
sont deux nombres positifs donc B  1. π
ainsi 1 −  0 et par suite 1− = π π – 1.
2 2 2
Donc B  A.
2. C = A – 1 = 777 777 777 777 775 – 1 4. Faux : 1,7322 = 2,999 824 ≠ 3.
777 777 777 777 774
1 5. Faux : 2–5 = 15 = 0,000 02.
= 2
777 777 777 777 774
6. Vrai.

96 1. L’amplitude de l’intervalle 102 1. A – 1 = n – 1 = n − n − 1 = −1  0
]–2,5 ; 3,8[ vaut 3,8 – (–2,5) = 6,3. n +1 n +1 n +1
2. L’amplitude de l’intervalle ⎡ 2 ; a ⎤ vaut a − 2 . Donc A  1.
⎣3 ⎦ 3
On cherche donc a tel que a − 2 = 1 ⟺ a = 2 + 1 ⟺ B – 1 = n + 1 – 1 = n + 1− n = 1  0
3 10 3 10 n n n
a = 23 . Donc B  1.
30 Ainsi A  1  B.
3. L’amplitude de l’intervalle ⎡0,8 − 1 ; 0,8 + 1 ⎤ vaut 2. a. Dans la cellule E2, on a entré la formule :
⎣ b b⎦ =ABS(C2-1) ou =1-C2 .
b (
0,8 + 1 – 0,8 − 1 = 2 .
b b ) b. D’après le tableau, on peut conjecturer que la distance de
A à 1 est plus petite que la distance de B à 1. Donc le nombre
On cherche donc b tel que 2 = 0,04 ⟺ b = 2 ⟺ b = 50. A semble plus proche de 1 que B pour tout entier naturel n
b 0,04 non nul.
c. D’après la question 1, on a : |A – 1| = 1 et |B – 1| = 1 .
97 Pout tout x différent de 1 et de –1, on a : n +1 n
2x + 3 – 5x − 7 = (2x + 3)( x − 1) – (5x − 7)( x + 1) Comme n + 1  n  0 alors 1  1 . Donc |B – 1|  |A – 1|,
x +1 x −1 ( x + 1)( x − 1) ( x + 1)( x − 1) n +1 n
2 2 2 2 on en déduit que A est plus proche de 1 que B pour tout
= 2x 2+ x − 3 – 5x −2 2x − 7 = 2x + x − 3 −2 5x + 2x + 7
x −1 x −1 x −1 entier naturel n non nul.
2
= −3x +2 3x + 4 103 On suppose que 2 est un nombre rationnel, il existe
x −1 π
2 donc un entier relatif a et un entier relatif b non nuls tels que
98 A = 15 × 26 × 28 = 3 × 5 × 2 × 13 × 2 × 2 × 7 = 2 = 4 2 = a π⟺a π = b ⟺ π = 2b donc π est rationnel, ce qui
39 25 42 3 × 13 × 5 × 5 × 2 × 3 × 7 3×5 15
π b2b2 a a
14
B = 5 = 2 × 7 × 13 × 5 = 26 est absurde. On en conclut que 2 est un nombre
21 5 3×7 3 π
irrationnel.
65 On suppose que π est un nombre rationnel, il existe donc
un entier relatif a et un entier relatif b non nul tels que
99 p entier relatif ⟺ p divisible par 7 ⟺ p multiple de 7.
()
2 2
7 π = a ⇒ ( π )2 = a ⇒ π = a donc π est rationnel, ce
Donc S = {–42 ; –35 ; –28 ; –21 ; –14 ; –7 ; 0 ; 7 ; 14 ; 21 ; 28 ; 35}. b b b2
100 1. 3 600 s/h × 24 h/jour × 365 jours/an = 31 536 000 s/an. qui est absurde. On en conclut que π est un nombre
Donc une année-lumière sera égale à 3 × 10 m/s × 31 536 000 s8 irrationnel.
= 9,460 8 × 1015 m = 9,460 8 × 1012 km. 104 1. Faux, car |5 + (–1)| = |4| = 4 or |5| + |–1| = 5 + 1 = 6 ≠ 4.
2. 150 000 000 km = 15 × 107 km et 3 × 108 m/s = 3 × 105 km/s 2. Vrai, par exemple |3 + 4| = 7 et |3| + |4| = 7.
15 × 107 km = 500 s 3. Faux, car |–3| = |3| et 3 ≠ –3.
3 × 105 km/s 4. Faux, car |3| < |–4| et 3  –4.
Donc la lumière du Soleil met environ 500 s soit 8 min 20 s 5. Faux, car –4 < –3 et |–4| = 4, |–3| = 3 donc |–4|  |3|.
pour parvenir à la Terre.

3. 4,22 années-lumière = 4,22 années-lumière × 9,460 8 105 On suppose qu’il existe un réel x différent de –2 tel que
4,22 × 9, 460 8 × 1012 km x + 1 = 1.
× 10 12 km/années-lumière = x +2
15 × 107 km/ua
≈ 266 163 ua. Alors x + 1 – 1 = 0 ⟺ x + 1− x − 2 = 0 ⟺ −1 = 0,
2,5 années-lumière = 2,5 × 106 années-lumière × 9,460 8 x +2 x +2 x +2
2,5 × 106 × 9, 460 8 × 1012 km ce qui est absurde.
× 1012 km/années-lumière = On en déduit que pour tout nombre réel x différent de –2,
15 × 107 km/ua
≈ 1,58 × 10 ua.
11
on a x + 1 ≠ 1.
100 000 années-lumière = 105 années-lumière × 9,460 8 x +2
105 × 9, 460 8 × 1012 km 106 Soit q un réel strictement positif :
× 10 12 km/années-lumière =
15 × 107 km/ua q −1 q (q − 1)(q + 1) − q2 q2 − 1− q2 −1
= 6,307 2 × 10 ua.
9
q – q +1 = q (q + 1) = q (q + 1) = q (q + 1) .
( ) −1
5
101 A = 1 5
= ( x4 ) = x20 Or –1  0, q  0 ⇒ donc q (q + 1)  0. On en déduit que
x −4
q −1 q
x 5 = x −3 = x4 q  q + 1.
−8
B = x3 × −10
x ×x x −7
107 1. p(10) renvoie False, p(11) renvoie True.
((x ) ) = ( x ) = x
4
C= 3 2 6 4 24
2. Cette fonction renvoie True si n est premier et False sinon.
( )−3 2 3. On traite le cas n = 1 car 1 n’est pas un nombre premier et

x
D= = ( x −10 )2 = x20 si on le traite dans la boucle, cela renverra qu’il est premier
x7
car il n’a pas de diviseur supérieur ou égal à 2.

4. Or 208 343 × 99 531 a pour chiffre des unités 3 et
m est un entier naturel 66 318 × 312 689 a pour chiffre des unités 2. Donc ces deux
k=0 produits 208 343 × 99 531 et 66 318 × 312 689 ne sont pas
Pour i allant de 2 à m égaux et par conséquent, les fractions 208 343 et 312 689
Si le reste de la division euclidienne de m par i vaut 66 318 99 531
0 et que p(i) est vrai ne sont pas égales.
k=k+1 109 Il faut rendre les unités homogènes.
Si k = 1
a. h = 200 km = 200 000 m ; R = 6 378 km = 6 378 000 m ;
divis_premier = i
g = 9,81 m/s2

Ou bien g
r = False V= R = 6 378 000 m × 9,81 m/s2
R+h 6 378 000 m + 200 000 m
k=2
Tant que r = False ≈ 7 789 m/s ≈ 28 040 km/h
Si le reste de la division euclidienne de m par k vaut b. h = 50 000 km = 5 × 107 m ; R = 6 378 km = 6 378 000 m ;
0 et que p(k) = True g = 9,81 m/s2
divis_premier = k
g 9,81 m/s2
r = True V= R = 6 378 000 m ×
R+h 6 378 000 m + 5 107 m
Dans les deux cas, la variable divis_premier contient le plus
≈ 2 661 m/s ≈ 9 578 km/h
petit diviseur premier de l’entier m.
108 Pour a, b, c et d quatre nombres réels avec b et d non
nuls : a = c ⟺ ad = bc.
b d
110 Questions Allegro
Questions Va piano 1. a. 3 = 3 = 28 3 28
1028 (2 × 5)28 2 ×5
3 = 3 −14 2
a.
1 000 23 × 53 b. = − 2 = − = − 02 4
6 375 625 54 2 ×5
b. −1 = −1 = 0 −1 3 2. a. Si r est un nombre décimal alors il existe un entier relatif
125 53 2 ×5
c. 7 = 7 a et un entier naturel m tels que r = ak .
40 23 × 51 10
a a
d. 5 = 54 = 4 5 0 Donc r = = k .
16 2 2 ×5 (2 × 5)k 2 × 5k

e. 3 = 3 = 0 3 0 Si a est un multiple de 2 ou 5 (ou des deux) alors r peut
1 2 ×5 p
s’écrire sous forme irréductible n avec a’ un entier
2 × 5m
Questions Moderato relatif et n et m des entiers naturels.
b. Soit r un nombre réel tel qu’il existe un entier relatif p et
1. a. 35 = 3 = 3
p
10 (2 × 5)5 25 × 55 deux entiers naturels m et n tels que r = n .
2 × 5m
p p
b. −1 = − 1 Si n = m alors r = n n = , alors r est un nombre
6 250 21 × 55 2 ×5 10n
2. Si r est un nombre décimal alors il existe un entier relatif a décimal.
p p p × 5n−m
Si n  m alors r = = = =
et un entier naturel m tels que r = ak . 2n × 5m 2n × 5m−n × 5n 2n × 5n
10 p × 5n−m
. Or n  m donc n – m  0, ce qui implique que 5n–m
Donc r = a = k a . 10n
(2 × 5)k 2 × 5k a
soit un entier et par suite p × 5n–m est un entier. Ainsi r =
Si a est un multiple de 2 ou 5 (ou des deux) alors r peut 10n
s’écrire sous forme simplifiée n a’ m avec a’ un entier relatif avec a   donc r est un nombre décimal.
2 ×5 p p p × 2m−n
Si n  m alors r = n m = m n−m m = =
et n et m des entiers naturels. 2 ×5 2 ×2 ×5 2m × 5m
m−n
p×2
. Or n  m donc m – n  0, ce qui implique que 2m–n
10m

soit un entier et par suite p × 2m–n est un entier. Ainsi r = am = 1 + 1 = 1 + 12 = 41
10 29 29 29
12
avec a   donc r est un nombre décimal. 1 1
2. Q4 = 1 + 2 + Q − 1 = 1 + 1 + Q
111 3 3
Questions Va piano 3. 2 − Q1  2 − Q2  2 − Q3  2 − Q4
1. Q1 = 1 + 1 =1+ 1 =1+ 2 = 7 Questions Allegro

2+ 1 5 5 5
2 2
1. Pour x = 2 , (x – 1)(x + 1) = x2 – 1 = 2 – 1 = 1 donc a = 2
Q2 = 1 + 1
=1+ 1 =1+ 1 est bien solution de l’équation (x – 1)(x + 1) = 1.
2+ 1 2 + 1 2 + 2
5 5 –1 n’est pas solution de (x – 1)(x + 1) = 1 donc pour x ≠ –1,
2+ 1
2 2 (x – 1)(x + 1) = 1 ⟺ x – 1 = 1 ⟺ x = 1 + 1 .
x +1 x +1
= 1 + 1 = 1 + 5 = 17
12 12 12 Donc a = 2 est aussi solution de l’équation x = 1 + 1 .
5 x +1
2. Q3 = 41 (fait à la calculatrice par les élèves).

29
()
2. f 3 = 1 +
2
1 = 1 + 1 et Q = 1 +
1+ 3 5 1
1
2+ 1
=1+ 1
5
2 2 2 2
3.
Q1 Q3 2 Q2 donc Q1 = f 3 .
2 ()
1,400 1,402 1,404 1,406 1,408 1,410 1,412 1,414 1,416 1,418 1 =1+ 1 1
f (Q1) = 1 + =1+ = Q2
1 + Q1 1+ 1+ 1 2+ 1
4. 2 − Q1  2 − Q2  2 − Q3 2+ 1 2+ 1
2 2
Questions Moderato 3. Q3 = 1 + 1 =1+ 1 = 1 + 1 = f (Q2)
2+ 1 2 + Q2 − 1 1 + Q2
1. Q1 = 1 +1 =1+ 1 =1+ 2 = 7 2+ 1
2+ 1 5 5 5 2+ 1
2 2 2
()
Q2 = 1 + 1 1 1
=1+ =1+ 4. Q1 = f 3 = 1 + 1 = 1 + 2 = 7
2+ 1 2+ 1 2+ 2 2 5 5 5
2+ 1 5 5 2
2 2
5()
Q2 = f 7 = 1 + 1 = 1 + 5 = 17
12 12 12
= 1 + 1 = 1 + 5 = 17 5
12 12 12
5
1 1
( )
Q3 = f 17 = 1 + 1 = 1 + 12 = 41
12 29 29 29
Q3 = 1 + =1+ 12
1 1
2+
2+ 1
2+
2+ 1 ( )
Q4 = f 41 = 1 + 1 = 1 + 29 = 99
5 29 70 70 70
2+ 1 29
2 2
1 5. 2 − Q1  2 − Q2  2 − Q3  2 − Q4
=1+ 1 =1+ =1+ 1
2+ 1 2+ 1 2+ 5
2+ 2 12 12
5 5

2 Équations
et inéquations
1 a. a + 6 = −3 + 6 = 3 7 a. L’ensemble des nombres réels x tels que 0 < x < 4 est

b. b + 4 = 6 + 4 = 10 l’intervalle [0 ; 4].
c. 3a = 3 × (−3) = −9 b. L’ensemble des nombres réels x tels que −2 , x < 7 est
d. − b = − 6 = −2 l’intervalle ]−2 ; 7].
3 3 c. L’ensemble des nombres réels x tels que 3 < x ,10 est
2 a. x + 3 = −4 ⇔ x = −7 6 = {−7} l’intervalle [3 ; 10[ .
b. x − 3 = −4 ⇔ x = −1 6 = {−1} d. L’ensemble des nombres réels x tels que −5 , x , 2 est
c. 3x = −4 ⇔ x = − 4
3
6= −4
3 { } l’intervalle ]−5 ; 2[.
e. L’ensemble des nombres réels x tels que x < 4 est l’inter-
d. −3x = 4 ⇔ x = − 4
3
6= −4
3 { } valle ]−` ; 4].
e. x = −4 ⇔ x = −12 6 = {−12} f. L’ensemble des nombres réels x tels que x , − 2 est l’in-
3 tervalle ]−` ; −2[ .
3 a. ( x − 2)( x + 3) = 0 ⇔ x − 2 = 0 ou x + 3 = 0 g. L’ensemble des nombres réels x tels que x > −6 est l’in-
⇔ x = 2 ou x = −3 6 = {2 ; −3} tervalle [−6 ; +`[ .
b. (2x – 5)(–x + 4) = 0 ⇔ 2x – 5 = 0 ou − x + 4 = 0 ⇔ x = 5 h. L’ensemble des nombres réels x tels que x . 6 est l’inter-
{ }
2 valle ]6 ; +`[ .
x + 4 = 0 ⇔ x = 5 ou x = 4 6 = 5 ; −4
2 2
c. x ( x + 2) = 0 ⇔ x = 0 ou x + 2 + 0 ⇔ x = 0 8 a. Pour x = −3, x + 3 = −3 + 3 = 0 < 7.
ou x = −2 6 = {0 ; −2} Donc la valeur de x proposée vérifie l’inégalité.
d. x 2 = 0 ⇔ x = 0 6 = {0} b. Pour x = 2 , x − 7 = 2 − 7 = − 33 = − 99 et
5 5 5 15
2x − 4 = 2 × 2 − 4 = − 8 .
4 a. x 2 − 2x = 0 ⇔ x ( x − 2) = 0 ⇔ x = 0 ou x − 2 = 0 ⇔ x = 0 3 5 3 15
Or − 99 < − 8 .
x − 2 = 0 ⇔ x = 0 ou x = 2 6 = {0 ; −2} 15 15
b. x 2 = 4 ⇔ x 2 − 4 = 0 ⇔ ( x + 2)( x − 2) = 0 ⇔ x + 2 = 0 Donc la valeur de x proposée ne vérifie pas l’inégalité.

( x − 2) = 0 ⇔ x + 2 = 0 ou x – 2 = 0 ⇔ x = −2 ou x = 2 c. Pour x = 0, ( x + 4 )2 = (0 + 4 ) = 16 et x − 7 = 0 − 7 = −7.
6 = {−2 ; 2} Or 16 . − 7 .
Donc la valeur de x proposée ne vérifie pas l’inégalité.
5 2,5 [ [–1 ; 4] 1 ” ]0,2 ; 5]
d. Pour y = 2 , y2 = ( 2 ) = 2 > 2.
2
5
]5 ; 8[ , [5 ; +`[ 2 [ ]1, 41 ; 1, 42[ Donc la valeur de y proposée ne vérifie pas l’inégalité.
2
1824 1824 ⎞ = ⎛ 1824 + 3 ⎞ × ⎛ 1824 +
[ ] e. Pour t= + 3 , t2 = ⎛ + 3
[ −2 ; 3] ]
˜ −2 ; 3[ π [ 3 ; 4 457 ⎝ 457 ⎠ ⎝ 457 ⎠ ⎝ 457
2
⎛ 1824 ⎞ ⎛ 1824 ⎞ ⎛ 1824 ⎞ ⎛ 1824 ⎞ 2 ⎛ 1824 ⎞
6 a. Vrai. 2
=
b.t Faux. + 3 = + 3 × + 3 = + 3 3 +2 3 × ; on a
⎝ 457 ⎠ ⎝ 457 ⎠ ⎝ 457 ⎠ ⎝ 457 ⎠ ⎝ 457 ⎠
c. Faux. d. Vrai. 2
⎛ 1824 ⎞ . 0
e. Faux. f. Vrai. d’une part ⎝ , d’autre part :
457 ⎠
g. Vrai. h. Faux.
⎛ 3 + 2 3 × 1824 ⎞ .1, 1824 ⎞
⎝ 457 ⎠ donc 3 ⎛ 3 + 2 3 × . 3.
⎝ 2 457 ⎠
1824
On en déduit donc que ⎛ + 3 ⎞ . 3 et que l’inéga-
⎝ 457 ⎠
lité est vérifiée.
Chapitre 2 Équations et inéquations 27

Situation 1 Vitesse et croisement

1 a. v = d donc v × t = d.
t
b. v × t = d donc t = d .
v
2 Si on note dc la distance parcourue par Corinne entre Poitiers et l’endroit où elle croise Mhamed, et d M la distance parcourue
par Mhamed entre Tours et l’endroit où il croise Corinne, alors dc + d M = 94.
Si t est le temps de parcours entre 10 h et l’heure à laquelle ils se croisent, alors
dc = 125 × t et d M = 110 × t d’après la question 1 a.
Ainsi, 125 × t + 110 × t = 94 , alors 235t = 94 donc t = 94 = 0, 4 heure, soit 0, 4 × 60 = 24 minutes. Corinne a parcouru
235
dc = 125 × 0, 4 = 50 km, or dc + d M = 94 donc 50 + d M = 94.
Ainsi, 50 + d M − 50 = 94 − 50, soit d M = 94 − 50 = 44.
Mhamed a parcouru 44 km.
Donc ils se croisent à 10 h 24 et à 50 km de Poitiers.
Situation 2 Identités remarquables

1 AABCD = (a + b )2 d’une part, puisque c’est un carré de côté a + b.
Par ailleurs, AABCD = a2 + b2 + ab + ab puisque ABCD est composé d’un « petit » carré de côté a, d’un grand carré de côté
b, et de deux rectangles de côtés a et b.
Ainsi, (a + b )2 = a2 + 2ab + b2.
2 Pour tout réel a et tout réel b, (a + b )2 = (a + b )(a + b ) = a2 + ab + ba + b2 (double distributivité), donc

(a + b )2 = a2 + 2ab + b2.
3 (a − b )2 = (a + (−b ))2 = a2 + 2 × a × (−b ) + (−b )2 d’après l’égalité démontrée à la question 2.
Donc pour tout réel a et tout réel b, (a − b )2 = a2 − 2ab + b2 .
Situation 3 Trop d’inégalités dans le monde… mathématique

1 a.
O I A D B E D O I E A B

0 1 a a+2 b b+2 a–30 1 b–3 a b
b. La translation qui transforme A en D transforme aussi B en E. À chaque fois, le point D est à gauche du point E.
c. Il semble donc que quelle que soit la valeur de c, on ait a + c , b + c.

2 a.
A B F G G F A B
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 – 4 –3 –2 –1 0 1 2 3 4 5 6 7 8
b. L’homothétie de centre O (origine de la droite) et de rapport c semble transformer A en F et B en G. En changeant la valeur

de c, quelles que soient les positions de A et B, il semble que lorsque c est positif, F soit à gauche de G, c’est-à-dire xF , xG
alors que si c est négatif, xF . xG .
c. Lorsque c est positif, xF , xG, donc il semble que a , b ⇒ a × c , b × c dans ce cas où c . 0.
Lorsque c est négatif, xF . xG , donc il semble que a , b ⇒ a × c . b × c dans ce cas où c , 0.
Situation 4 Collègues de travail

Les salaires d’Angélique et Nino dépendent du montant commun de leurs ventes. Si on note x ce montant, alors on peut
exprimer en fonction de x :
– le salaire d’Angélique : 2 180 + 6 x
100
– le salaire de Nino : 1650 + 10 x
100
Nino gagnera plus qu’Angélique si 1650 + 10 x . 2 180 + 6 x.
100 100
28 Chapitre 2 Équations et inéquations

On soustrait 1650
aux deux membres
}
1650 + 0,1x . 2 180 + 0,06x ⇔
On soustrait 6 x
100
aux deux membres On}
réduit
}
0,1x . 2 180 + 0,06x − 1650 ⇔ 0,1x − 0,06x . 530 ⇔
On divise par 0,04 ( positif )
les deux membres : on ne change pas le sens
}
0,04 x . 530 ⇔x . 530 ⇔ x .1325
0,04
Nino peut gagner plus qu’Angélique si le montant commun de leurs ventes est supérieur à 1 325 €.
Travaux pratiques
TP 1 Déterminer par balayage un encadrement de 2 d’amplitude 10–n

1 a.
b. encadrement(3) renvoie (1.414,1.415) et encadrement(5) renvoie (1.41421, 1.41422), ce qui est cohérent avec l’affichage
de la calculatrice.
c. On peut en déduire que :
– 1, 414 , 2 ,1, 415
– 1, 414 21, 2 ,1, 414 22
d. encadrement(10) fait planter le programme car on dépasse les capacités de la machine (boucle trop longue).
2 a.
b. encadrement(10) renvoie (1.4142135623, 1.4142135624 ) et encadrement(15) renvoie (1.414213562373094,

1.414213562373096).
c.
On obtient en saisissant encadrement(5) : (2.23606, 2.23607) donc 2,23606 , 5 , 2,23607 .
TP 2 Triplets pythagoriciens
1 Élève 1 : il n’a pas fait d’erreurs si ce n’est qu’il teste autour de 109 possibilités (il teste plusieurs fois les mêmes) et dépasse
les capacités de la machine.
Élève 2 : il ne teste que des triplets de 3 mêmes nombres et, par suite, comme il n’en existe pas, la boucle « Tant que » ne
s’arrête pas. De plus, un seul triplet serait affiché s’il en existait un de ce type.
Élève 3 : il teste les valeurs (1 ; 1 ; 1) puis (2 ; 4 ; 5) puis (3 ; 5 ; 6)… Ainsi, tous les couples ne sont pas testés et le programme
plante avant de trouver un triplet qui pourrait convenir. De plus, un seul triplet serait affiché s’il en existait un de ce type.
Élève 4 : il n’affiche que le premier triplet pythagoricien de nombres entiers consécutifs.

3 Soit n un nombre entier supérieur ou égal à 1.
L’entier précédent n est n – 1, et l’entier suivant n est n + 1.
n – 1, n et n + 1 constituent un triplet pythagoricien si et seulement si (n − 1)2 + n2 = (n + 1)2 .
Or (n − 1)2 + n2 = (n + 1)2 ⇔ n2 − 2n + 1 + n2 = n2 + 2n + 1 ⇔ n2 − 4n = 0 ⇔ n (n − 4 ) = 0 ⇔ n = 0 ou n = 4.
n = 0 ne convenant pas (n – 1 , 0 dans ce cas), le seul triplet pythagoricien d’entiers consécutifs est le triplet (3 ; 4 ; 5).
TP 3 Différents tarifs
1
Entre 0 et 7 spectacles par an, il vaut mieux prendre la formule 1, entre 8 et 17 spectacles, il vaut mieux prendre la formule 2,
et à partir de 18 spectacles, il vaut mieux prendre la formule 3.
Entre 0 et 7 spectacles par an, il vaut mieux prendre la formule 1, entre 8 et 17 spectacles, il vaut mieux prendre la formule 2
et à partir de 18 spectacles, il vaut mieux prendre la formule 3.
3 Soit x le nombre de spectacles annuel. Il vaut mieux prendre la formule 1 quand 60x ,150 + 40x et 60x , 850.
Or 60x ,150 + 40x ⇔ 20x ,150 ⇔ x , 7,5 et 60x , 850 ⇔ x , 85 avec 85 ≈ 14,2.
6 6
Donc il vaut mieux prendre la formule 1 entre 0 et 7 spectacles par an.
Il vaut mieux prendre la formule 2 quand 150 + 40x , 60x et 150 + 40x , 850.
Or 150 + 40x , 60x ⇔ 20x .150 ⇔ x . 7,5 et 150 + 40x , 850 ⇔ 40x , 700 ⇔ x ,17,5.
Donc il vaut mieux prendre la formule 1 entre 8 et 17 spectacles par an.
Donc il vaut mieux prendre la formule 3 à partir de 18 spectacles par an.

TP 4 Un carré tronqué
1
On conjecture qu’il y a deux positions possibles pour le point K : à 2 cm de A et à 4 cm de A.
2 Soit x la longueur AK en centimètres.

On a alors KB = 6 – x.
x (6 − x )
K convient si et seulement si = 4 ⇔ 6x − x 2 = 8 ⇔ x 2 − 6x + 8 = 0.
2
3 ( x − 2)( x − 4 ) = x 2 − 4 x − 2x + 8 = x 2 − 6x + 8
4 K convient si et seulement si ( x − 2)( x − 4 ) = 0 ⇔ x − 2 = 0 ou x – 4 = 0 ⇔ x = 2 ou x = 4.

On a donc bien prouvé qu’il y a deux positions possibles pour le point K : à 2 cm de A et à 4 cm de A.
Automatismes
Calcul mental 3 3,14 , π , 3,15 donc 0,14 , π − 3 , 0,15, ainsi
3 4 3 ( 4)
1 Si x = 2 et y = − 1 , 3x − 8 y = 3 × 2 − 8 × − 1 = 22 ++22==4,4, π − 3 = π − 3 > 1 . Le nombre π n’est donc pas solution
10
donc l’égalité est vérifiée. de π − 3 , 1 .
10
2 1. Faux. 2. Vrai. 4 Réponse c.
3. Vrai. 4. Faux.
5. Faux. 6. Faux. 5 Réponse d.
6 Réponse b.

Réflexes 10 1. x = −6 ⇔ x = −12 6 = {−12}
2
7 a. I = U
R
2. −3x + 1 = −4 x ⇔ x = − 1
3 3
6= −1
3 { }
3. (2 − x ) (2x − 3 ) = 0 ⇔ 2 − x = 0 ou 2x − 3 = 0 ⇔ x = 2 ou x = 3
b. b = V 2
ac
c. h = 2 A
(2(2−−x x)()2x
(2x−−33) )==00⇔
⇔22−−x x==00ou
ou2x2x−−33==00⇔
⇔x x==22ou oux x==33
2 2
6= 2; 3
2 { }
B 11 1. −3x < 5x + 1 ⇔ 8x > −1 ⇔ x > − 1 6 = ⎡− 1 ; +` ⎡
s = rv 8 ⎣ 8 ⎣
d.
t 2
2. 2x > − ⇔ x > − 1 ⎡ 1
6 = − ; +` ⎡
8 1. 3x − 2 = 5x + 6 ⇔ 2x = −8 ⇔ x = −4 6 = {−4} 3 3 ⎣ 3 ⎣
7 3 3
6 = ⎡− ; +` ⎡
2. 2x = 3 ⇔ x = 3
4 8
6= 3
8{} 3. x > −1 ⇔ x > −
3
4 x, 2 ⇔ x.− 1
7 ⎣ 7 ⎣
⎤− 1 ; +` ⎡
{ } 4. − 6 =
3. 5 x = −2 ⇔ x = − 6 6 = −6 5 5 2 ⎦ 2 ⎣
3 5 5
12 6 = ]−` ; 2[
4. 5 x = 5 ⇔ x = 6
6 7 7
6= 6
7{} 1. −5x . − 10 ⇔ x , 2
2. 6 + x < 0,9x ⇔ 0,1x < −6 ⇔ x < −60 6 = ]−` ; −60]
9 1. Faux, l’arrondi de 14,085 043 à 10–2 près est 14,09. 3. 7x , 0 ⇔ x , 0 6 = ]−` ; 0[
2. Vrai. 4. 3x + 4 , 7 ⇔ 3x , 3 ⇔ x ,1 6 = ]−` ; 1[
5. −2x + 1> 3 ⇔ −2x > 2 ⇔ x < −1 6 = ]−` ; −1]
Exercices
13 a. 2 × 3 + 4 = 11 et 5 × 3 − 7 = − 13 donc a n’est pas
4 2 4 4 17
solution de l’équation.
b. 2 × 23 − 5 = − 113 et 1 × − 23 − 3 = − 95 donc a n’est
3 12 18 2 12 24
pas solution de l’équation.
c. 8 + 4 = 12 et 8 – 7 = 1 donc a n’est pas solution de l’équation.
3 3 ( 3 )
d. 2 × − 2 + 5 = 11 et 2 × − 2 + 2 + 1 = 11 donc a est solution
3 18 1. 2x + 3y = 7 ⇔ 3y = 7 − 2x ⇔ y = 7 − 2x
3
de l’équation. 7 − 3y
2. 2x + 3y = 7 ⇔ 2x = 7 − 3y ⇔ x =
14 a. x + 3 = 2 ⇔ x = −1 6 = {−1} 2
b. −5 + x = 4 ⇔ x = 9 6 = {9} 19 a. 2x + 3 = 5x − 2 ⇔ −3x = −5 ⇔ x = − 5
3 {}
6= 5
3
c. 3x = 2 ⇔ x = 2
3
6= 2 {}
3
2
b. (3x − 1) = 0 ⇔ 3x − 1 = 0 ⇔ 3x = 1 ⇔ x = 1
3 {}
6= 1
3
{ } ( )
2
d. −5x = 4 ⇔ x = − 4 6 = −4 c. 2x + 5 5
= 0 ⇔ 2x + = 0 ⇔ 2x = − ⇔ x = − 5 5
5 5 7 7 7 14
e. −4 x = −10 ⇔ x = −10 ⇔ x = 5
−4 2
6= 5 {}
2 { }
6= − 5
14
= −1 ⇔ x = 1

f. 3 − x = −8 ⇔ x = 11 6 = {11} d. x 2
− 2 = ( x − 1) ( x + 3 ) ⇔ x 2
− 2 = x 2
+ 2x − 3 ⇔ −2x
2
x 2
− 2 = (
15 a. 13 + 3 x = 1 ⇔ 3 x = −12 ⇔ x = −12 × 2 ⇔ x = −8
x − 1) ( x + 3 ) ⇔ x 2
− 2 = x 2
+ 2x − 3 ⇔ −2x = −1 ⇔ x = 1 6= 1
2 {} 2
2 2 3
6 = {−8} 20 a. ( x − 3 ) (2x + 4 ) = 0 ⇔ x − 3 = 0 ou 2x + 4 = 0
b. 4 x + 1 = 1 x + 2 ⇔ 7 x = 5 ⇔ x = 5 × 2 ⇔ x = 10 ⇔ x = 3 ou x = −2 6 = { −2 ; 3}
3 2 2 3 3 7 21

6 = 10 { } b. (5x − 4 )(−3x + 7) = 0 ⇔ 5x − 4 = 0 ou −3x + 7 = 0 ⇔ x = 4
5
c. 3 x + 1 = 7 ⇔ 3 x = 3 ⇔ x = 1
21
−3x + 7 = 0 ⇔ x = 4 ou x = 7
5 3
{
6= 4 ;7 }
5 3
2 4 4 2 2
6 = {1} c. (6x + 4 )(2x − 1) == 0 ⇔ 6x ++44==0 0ou 2x − 1 = 0 ⇔ x = 4
6
d. x − 3 = 3 ⇔ 8x − 24 = 15 ⇔ 8x = 39 ⇔ x = 39
5 8 8 2x − 1 = 0 ⇔ x = 4 ou x = 1 ⇔ x = 2 ou x = 1
6 2 3 2
6{ = − }
2;1
3 2

6 = 39
8 { } d.
4 ( 3 )
3 x + 5 x = 0 ⇔ 3 x + 5 = 0 ou x = 0 ⇔ 3 x = 5
4 3 4 3
e. 2x − 3 = x − 1 ⇔ 6x − 9 = 7x − 7 ⇔ − x = 2 ⇔ x = −2 x = 0 ⇔ 3 x = 5 ou x = 0 ⇔ x = 20 ou x = 0

7 3
6 = {−2}
4 3 9 {
6 =
9 }
20 ; 0
e. 3x ( x − 3)2 = 0 ⇔ 3x = 0 ou ( x − 3)2 = 0 ⇔ x = 0
16 On pose a le plus petit nombre parmi les trois, on( xa−alors
3)2 = 0 ⇔ x = 0 ou x − 3 = 0 ⇔ x = 0 ou x = 3
le deuxième nombre a + 1 et le troisième nombre a + 2.
On a alors le problème suivant mis en équation : 21 Le problème 1 est associé à l’équation : 25x = 50.
a + a + 1 + a + 2 = 2 520 ⇔ 3a + 3 = 2 520 Le problème 2 est associé à l’équation : 50x 2 − x = 0.
⇔ 3a = 2 517 ⇔ a = 839 Le problème 3 est associé à l’équation : x (25 − x ) = 50.
Seuls trois nombres entiers consécutifs ont une somme de Le problème 4 est associé à l’équation : 25x + 50 = x.
2 520 : 839, 840 et 841.

22 On pose a et a + 1 deux entiers consécutifs. 33 A = 9 ( x + 3) + ( x + 3)2 = ( x + 3)(9 + x + 3) = ( x + 3)( x + 12)
2
On calcule : (a + 1) − a A. = 9 ( x + 3) + ( x + 3) = ( x + 3)(9 + x + 3) = ( x + 3)( x + 12)
2 2
(a + 1):2(−a a+2 1=)2–a−2aa2+2= 2a

On obtient a2a+2+2a
= +1−
+2a 2 2
a1–+a=1− a+2 +=
= 2a
2a =aa++ 1(a= +a 1+) .(a +B1)= ( x − 6)2 − 16 = ( x − 6 − 4 )( x − 6 + 4 ) = ( x − 10)( x − 2)
11=2a
La différence entre les carrés de deux entiers consécutifs est C = (2x − 7)2 − 3(2x − 7) = (2x − 7)(2x − 7 − 3) = (2x − 7)(2x − 10) = 2(2
égale à la somme de ces deux nombres. Muriel a(2x donc )(2x − 7 − 3) = (2x − 7)(2x − 10) = 2(2x − 7)( x − 5)
− 7raison,
mais elle n’avait pas démontré le résultat.
34 Soit x le côté du carré d’origine, on a donc à résoudre
23 Comme U = RI , alors I = U . l’équation (x + 4)2 = x2 + 20.
R
(x + 4)2 = x2 + 20 ⇔ x2 + 8x + 16 = x2 + 20 ⇔ 8x = 4 ⇔ x = 0,5
24 On cherche les antécédents de 15, on résout alors
Donc le côté du carré d’origine était de 0,5 cm.
l’équation :
15 = 4 (2x − 3)2 + 15 ⇔ (2x − 3)2 = 0 ⇔ 2x – 3 = 0 ⇔ x = 3 35 On choisit n comme nombre entier au départ, on obtient
2
15 admet un unique antécédent égal à . 3 à la fin du programme de calcul :
2 (n + 7)2 – n2 = 14n + 49 = 7 × (2n + 7).
25 1. f 2 = 1 × 2 − 1 = − 1
3 4 3 2 3 ()
Donc le résultat est multiple de 7 car 2n + 7 est un entier,
donc Lucie a raison.
2. f ( x ) = 0 ⇔ 1 x − 1 = 0 ⇔ 1 x = 1 ⇔ x = 1 × 4 ⇔ x = 2
4 2 4 2 2 2 2
36 (a + b) + (a − b) = a + 2ab + b + a − 2ab + b = 2a + 2b = a
2 2 2 2 2 2
26 1. f 1 = −2 × 1 + 3 = 13
5 5 5 ()2
(a + b)2 + (a − b)2 = a2 + 2ab + b2 + a2 − 2ab + b2 = 2a2 + 2b2 = a2 + b2
2 2
2 2 2
L’image de 1 par f vaut 13 .
5 5 37 a. Si –3 , x ¯ 2 alors –3 + 1 , x + 1 ¯ 2 + 1 donc
2. f (−4 ) = −2 × (−4 ) + 3 = 11 –2 , x + 1 ¯ 3.
Donc –4 est bien un antécédent de 11 par la fonction f. b. Si –3 , x ¯ 2 alors –3 – 1 , x – 1 ¯ 2 – 1
3. f ( x ) = 1 ⇔ −2x + 3 = 1 ⇔ −2x = − 8 ⇔ x = 4 donc –4 , x + 1 ¯ 1.
3 3 3 3
1 a un seul antécédent par f : 4 . c. Si –3 , x ¯ 2 alors 3 × (–3) , 3x ¯ 2 × 3
3 3 donc –9 , 3x ¯ 6.
27 a. Faux, car ( x − 2) = x – 4 x + 4.
2 2 d. Si –3 , x ¯ 2 alors (–5) × (–3) . –5x ˘ 2 × (–5) donc
–10 ¯ –5x , 15.
b. Vrai, grâce à l’identité remarquable
e. Si –3 , x ¯ 2 alors −3 , x < 1.
2
(a + b ) = a2 + 2ab + b2 . 2 2
c. Vrai, grâce à l’identité remarquable (a + b )(a – b ) = a2 – b2 . f. Si –3 , x ¯ 2 alors (–1) × (–3) > –x ˘ 2 × (–1) donc
d. Faux, car ( x − 1)2 = x 2 – 2x + 1. –2 ¯ –x , 3.
e. Faux, car (2x − 4 )2 = 4 x 2 – 16x + 16. g. Si –3 , x ¯ 2 alors −3 , x < 1 donc −1< − x , 3 .
2 2 2 2
2
f. Faux, car ( x + 5) = x + 10x + 25.
2
h. Si –3 , x ¯ 2 alors 2 × (–3) + 3 , 2x + 3 ¯ 2 × 2 + 3 donc
28 A = (x + 3)2 = x2 + 6x + 9 –3 , 3x ¯ 7.
B = (x – 2)(x + 3) = x2 + x – 6 38 1. Si x ¯ 2 alors 3x ¯ 6.
C = (x – 7)2 = x2 – 14x + 49 2. Si y ¯ –6 alors –4y ˘ 24.
D = (x – 4)(x + 4) = x2 – 16 3. Si x ¯ 2 et y ¯ –6 alors x + y ¯ –4.
29 1. 812 = (80 + 1)2 = 802 + 2 × 80 × 1 + 12 4. Si x ¯ 2 et y ¯ –6 alors 2x + 3y ¯ –14.
5. Si x ¯ 2 et y ¯ –6 alors –x ˘ –2 et –2y ˘ 12 donc
= 6 400 + 160 + 1 = 6 561

–x – 2y ˘ 10.
2. 482 = (50 – 2)2 = 502 – 2 × 50 × 2 + 22
= 2 500 – 200 + 4 = 2 304 39 Périmètre (ABC) = AB + AC + BC = 4 + AC + BC
3. 632 – 612 = (63 – 61) × (63 + 61) AC + BC , 5,2 + 6 donc AC + BC , 11,2.
= 2 × 124 = 248 D’où Périmètre (ABC) , 4 + 11,2.
4. 49 × 51 = (50 – 1)(50 + 1) = 502 – 12 Donc Périmètre (ABC) , 15,2.
= 2 500 – 1 = 2 499
40 1. Après l’exécution de l’algorithme, on a : n = 15.
30 • ( x − 7 )( x + 7 ) = x 2 − 7 2 = x 2 − 7 2. Julia loue un appartement à Paris à 1 000 € par mois.
• ( x − 8)( x − 1) = x 2 − x − 8x + 8 = x 2 − 9x + 8 Chaque année, le loyer augmente de 5 %. Au bout de
• x 3 − 4 x = x( x 2 − 4) = x( x − 2)( x + 2) combien d’années de location le loyer aura-t-il doublé ?
• ( x + 3)2 − 16 = ( x + 3 + 4 )( x + 3 − 4 ) = ( x + 7)( x − 1)
41 1. Dans l’encadrement considéré, on a : –1 ; 0 ; 1 ; 2.
31 A = (2 y – 4 )2 = 4 y2 − 16 y + 16 2. Dans l’encadrement considéré, on a :
B = 2 y + (3y – 5)2 = 2 y + 9 y2 – 30 y + 25 = 9 y2 − 28 y + 25 –4 ; –3 ; –2 ; –1 ; 0 ; 1 ; 2 ; 3.
C = y – ( y − 7)2 + y2 = y – ( y2 – 14 y + 49 ) + y2 = y − y2 + 14 y − 49 + y2 = 15y – 49
42 a. 0 + 3 = 3 et 0 × 2 – 7 = –7 donc l’inégalité n’est pas vraie
= y – y2 + 14y – 49 + y2 = 15y – 49
pour x = 0.
D = 2 (3y −7) + ( y + 1)2 = 6 y – 14 + y2 + 2 y + 1 = y2 + 8 y − 13
b. –2 + 3 = 1 et –2 × 2 – 7 = –11 donc l’inégalité n’est pas
y2 + 2 y + 1 = y2 + 8 y − 13 vraie pour x = –2.
c. 11 + 3 = 14 et 11 × 2 – 7 = 15 donc l’inégalité est vraie pour
32 A = 9 − x 2 = (3 + x )(3 − x ) x = 11.
B = x 2 + 2x + 1 = ( x + 1)2 d. 10 + 3 =13 et 10 × 2 – 7 =13 donc l’inégalité est vraie pour
C = 4 x 2 − 12x + 9 = (2x − 3)2 x =10.

43 1. Vrai. 2. Faux. 56 1. –3 + 4 = 1 et 5 × (–3) – 7 = –22.
3. Faux. 4. Vrai. 1 > –22, donc –3 est solution de l’inéquation.
5. Vrai. 6. Vrai. 2. 3 × 2 − 2 = 16 et 1 × 2 + 4 = 5.
3 3 2
44 Soit r le rayon en centimètres et P le périmètre du cercle 16
. 5, donc 2 n’est pas solution de l’inéquation.
3
associé en centimètres. 3. 8 + 4 = 12 et 10 × 8 – 7 = 80 – 7 = 73.
Comme r . 5 alors 2πr . 2π5. Or P = 2πr , on obtient donc 12 < 73, donc 8 est solution de l’inéquation.
P .10π.
Comme π . 3,14 alors P . 31, 4. 57 a. 4x − 3 > 2x + 5 ⇔ 2x > 8 ⇔ x > 4 6 = [4 ; +`[
Sophie a donc raison.
45 1. Si x ¯ 5 alors x − 7 < −2 : vrai. 4
2. Si x ¯ 5 alors −2x > −10 : vrai. b. 2 + x , 3 − x ⇔ 2x , 1 ⇔ x , 1 6 = ⎤⎥−` ; 1 ⎡⎢
3. Si x ¯ 5 alors 3x + 4 < 19 : faux. 2 ⎦ 2⎣
1 3
4. Si x ¯ 5 alors − x + 1> − : faux.
2 2 1
46 On pose P la masse du sac à vide en grammes. Alors 2
800 < P < 850. c. 5 + x . 3 + x ⇔ 5. 3 toujours vrai 6=R
4,2 kg = 4 200 g et 4,5 kg = 4 500 g, soit P’ la masse des provi-
sions en grammes. Alors : 4 200 < P’ < 4 500. 0
Donc 800 + 4 200 < P + P’ < 850 + 4 500 ⇔ 5 000 < P + P’ < 5 350
d. 3 − 4x < 5 + 6x ⇔ 10x > −2 ⇔ x > − 1 6 = ⎡⎢− 1 ; +` ⎡⎢
800 + 4 200 < P + P’ < 850 + 4 500 ⇔ 5 000 < P + P’ < 5 350 . 5 ⎣ 5 ⎣
Le sac plein a donc une masse comprise entre 5 kg et 5,350 kg.
47 MN . 8 et MQ . 3. −1
5
Le périmètre de ce rectangle est donné par la formule :
P = 2 × (MN + MQ).
58 Soit x la largeur en centimètres donc sa longueur en centi-
Or MN + MQ . 11,donc P . 22. mètres est 2x.
Le périmètre en centimètres est donc 2x + 2 × 2x = 6x.
48 1. 3,141< π , 3,142 On a donc à résoudre 6x , 24 ⇔ x , 4, donc la largeur, en
2. −4 × 3,142 − 7 < −4π − 7 , − 4 × 3,141− 7 ⇔ −19,568 < −4π − 7 , − 19,564
centimètres, doit appartenir à l’intervalle [0 ; 4[ .
3,142 − 7 < −4π − 7 , − 4 × 3,141− 7 ⇔ −19,568 < −4π − 7 , − 19,564
3. L’encadrement de −4π − 7 est le suivant :
59 Soit x le nombre de tirages, on a intérêt à choisir la formule
⇔ −19,567 < −4π − 7 , − 19,566. g lorsque 0,15x . 12 + 0,09x.
L’encadrement décimal n’est pas le même que la question 0,15x . 12 + 0,09x ⇔ 0,06x . 12 ⇔ x . 200
précédente, car on a utilisé déjà un encadrement de π et non À partir de 201 tirages, on a intérêt à choisir la formule avec
la valeur exacte. forfait.
49 L’arrondi au millième est 5,242, donc réponse c. 60 a. 2x + 7 > 3 − 5x ⇔ 7x > −2 ⇔ x > − 2

2 2 7
50 Si on appelle x ce nombre, on a 5,8 ¯ x , 5,9. ⎡ 2
6 = ⎢− ; +` ⎢ ⎡
⎣ 7 ⎣
b. 2 + x , − 3 + x ⇔ 2 , − 3 toujours faux. 6 = ∅

51 1, 414 21, 2 ,1, 414 22
Donc l’arrondi à 10–1 près de 2 est 1,414 2. c. − 3 x + 7 . 5 + x ⇔ − 7 x . − 23 ⇔ x , 23
5 2
4 4 4 4 7
52 407,364 , 3 × 10 − 56 × 6 , 407,365 ⎤
6 = ⎥−` ; 23 ⎡
7+3
5 2
⎦ 7 ⎢⎣
Donc l’arrondi à 10 près de 3 × 10 − 56 × 6 est 407,36.
–2
d. x + 4 > 3x ⇔ x + 4 > 21x ⇔ 20x < 4 ⇔ x < 1
7+3 7 5
⎤
6 = ⎥−` ; ⎥ 1 ⎤
53 Encadrement Arrondi ⎦ 5⎦
décimal à 10–3 près à 10–2 près
61 1. Trouver les nombres dont le double augmenté de 3 est
200 28,571, 200 , 28,572 28,57 strictement inférieur à 34.
7 7 2. 2x + 3, 24 ⇔ 2x , 21 ⇔ x , 10,5
π Les nombres dont le double augmenté de 3 est strictement
3 1,047 , π ,1,048 1,05
3 inférieur à 34 sont tous les nombres strictement inférieurs
cos(80° ) 0,173 , cos (80°) , 0,174 0,17 à 10,5.
3 7 −9 62 9T = 9 000 kg
−0,532 , 3 7 − 9 , − 0,531 –0,53 Soit x le nombre de sacs, il faut donc résoudre
2 2
50x + 1 000 ¯ 9 000.
12,4 − 4,51 1,709 , 12, 4 − 4,51 , 1,710 50x + 1 000 ¯ 9 000 ⇔ 50x ¯ 8 000 ⇔ x ¯ 160
1,71
2,7 2,7 Au maximum, on peut mettre 160 sacs dans le camion.
54 L’arrondi à 10–2 de x est –5,68. 63 Soit x le nombre d’entrées à la patinoire, il vaut mieux
prendre un abonnement lorsque 5,25x > 12 + 3,50x.
55 L’arrondi de y à 10–1 est 3,4 et son arrondi à 10–2 est 3,42.

5,25x . 12 + 3,50x ⇔ 1,75x . 12 ⇔ x . 48 AireRSTU = RU × RS = 10 × 6 = 60
7
48 ≈ 6,9, donc à partir de 7 entrées à la patinoire, il vaut On souhaite que AireRSV < 1 AireRSTU ⇔ 3x < 1 × 60 ⇔ 3x < 15 ⇔
7 4 4
mieux prendre un abonnement. AireRSV < 1 AireRSTU ⇔ 3x < 1 × 60 ⇔ 3x < 15 ⇔ x < 5 .
4 4
64 Soit x la longueur, en centimètres, du segment [SV]. x est Le point V doit donc se situer à 5 cm au maximum du point
donc un entier appartenant à l’intervalle [0 ; 10]. S pour que l’aire du triangle RSV soit inférieure ou égale à
l’aire du rectangle RSTU.
AireRSV = SR × SV = 6x = 3x
2 2
Exercices
65 a. Pour x = 0 : 72 a. x + 1> − 1 ⇔ x > − 3 ⇔ x > −3 6 = [–3 ; +`[
2 2 2 2
2(6x – 1) – 15x = 2(6 × 0 –1) – 15 × 0 = –2 ¯ 16, donc vrai.
b. Pour x = –10 :
2(6x – 1) – 15x = 2(6 × (–10)–1) – 15 × (–10) = 28 . 16, donc – 4 –3 –2 –1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
faux. b. x − 2x − 3 < 0 ⇔ 2x − 2x + 3 < 0 ⇔ 3 < 0 jamais vrai.
c. Pour x = 2 : 2 2 2
2(6x – 1) – 15x = 2(6 × 2 –1) – 15 × 2 = –8 ¯ 16, donc vrai. Donc 6 = ∅.
d. Pour x = –3 :
2(6x – 1) – 15x = 2(6 × (–3) –1) – 15 × –3 = 7 ¯ 16, donc vrai. – 4 –3 –2 –1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
c. x + 1 − 1 ⇔ x + 1. − 1 ⇔ x . − 2 . Donc 6 = ]–2 ; +`[.
66 ( 2 − 1)2 + 2 × ( 2 − 1) − 1 = ( 2 ) − 2 2 + 12 + 2 2 − 2 − 1 = 2 + 1−22 −.
2
1 = 02
2 2 − 2 − 1 = 2 + 1− 2 − 1 = 0 .
Donc 2 − 1 est solution de l’équation : –3 –2 –1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
x2 +2x – 1 = 0.
d. x + 1 − 2x − 3 < 1 ⇔ 2 ( x + 1) − 3(2x − 3) < 1 ⇔
( )
67 2x − 1 − x + 4 =x⇔ 2 2x − 1 − x − 4 = x ⇔ 4 x − 2 − x − 4 = 6x3⇔ 3x −26 = 6x6⇔ x = −2 6 6
3 6 6 ⇔ 2x + 2 − 6x + 9 < 1 ⇔ −4 x + 11< 1 ⇔ x > 5
x + 4 = x ⇔ 2 (2x − 1) − x − 4 = x ⇔ 4 x − 2 − x − 4 = 6x ⇔ 3x − 6 = 6x ⇔ x = −2 2
6 6
− x − 4 = x ⇔ 4 x − 2 − x − 4 = 6x ⇔ 3x − 6 = 6x ⇔ x = −2 6= ⎡ 5 ; +` ⎡
⎣2 ⎣
x − 4 = 6x ⇔ 3x − 6 = 6x ⇔ x = −2. Donc 6 = {−2}.
–1 0 1 2 5 3 4 5 6 7 8 9 10
68 a. 4x – 6 > 3 – (6 – 5x) ⇔ –6 – 3 + 6 > 5x – 4x ⇔ –3 > x. 2
Donc S = ]–` ; –3].
( ) 73 x − 3 − 3x < 4 x − 1 ⇔ x − 3 − 3x − 4 x < −1 ⇔
b. 1− x + 5x , 3 ⇔ 3 1− x + 2 × 5x , 3 ⇔ 3 − 3x + 10x 2 3 2 3
4 6 12 x−3 − 12 4 x − 1 ⇔ x − 3 − 3x − 4 x < −1 ⇔
( ) 3x
, 3 ⇔ 3 1− x + 2 × 5x , 3 ⇔ 3 − 3x + 10x , 3 ⇔ 7x +23 , 36 ⇔ 7x3 , 33 ⇔ x2, 33
<
3
12 12 3( x − 7
3) − 18x − 8x < −1 ⇔ 3x − 9 − 18x − 8x < −1
⇔
, 3 ⇔ 7x + 3 , 36 ⇔ 7x , 33 ⇔ x , 33 . 6 6
7
Donc 6 = ⎤−` ; 33 ⎡ . ⇔ −23x − 9 < −6 ⇔ −23x < 3 ⇔ x>− 3
⎦ 7⎣ 23
6 = ⎡− 3 ; +` ⎡
69 a. x2 + 1 . (x + 1)2 ⇔ x2 + 1 . x2 + 2x + 1 ⎢⎣ 23 ⎢⎣
⇔ 0 . 2x ⇔ 0 . x.
74 A = 9(x + 4) – (x + 4)2 = (x + 4)(9 – x – 4) = (x + 4)(–x + 5)
Donc 6 = ]–` ; 0[.
B = ( x − 8) − 144 = ( x − 8) − 122 = ( x − 8 − 12)( x − 8 + 12) = ( x − 20)
2 2
b. 3 – 4x ¯ 6(x – 2) –10x ⇔ 3 – 4x ¯ 6x – 12 – 10x
= (+x10x
− 8)¯−–12144– =3 ( x − 8) − 122 = ( x − 8 − 12)( x − 8 + 12) = ( x − 20)( x + 4 )
2 2
⇔ –4x –B6x
⇔ 0 ¯ –15 toujours faux. C = (14 x − 39) − 3(14x − 39) = (14 x − 39)(14x − 39 − 3) = (14x − 39)(1
2
Donc 6 = ∅.
(14x+ −2 ⇔
c. 3(1 – 2x)C˘=–6x 39)3 –− 6x
2
3(14x − 39+)2=⇔
˘ –6x (14x 6x)(14x
–6x−+39 ˘2− –339 − 3) = (14x − 392 )(14x − 42)
D = (9x − 4 ) − 121 = (9x − 4 ) − 112 = (9x − 4 − 11)(9x − 4 + 11) = (9x
2
⇔ 0 ˘ –1 toujours vrai. Donc 6 = R.
D = (9x − 4 ) − 121 = (9x − 4 ) − 112 = (9x − 4 − 11)(9x − 4 + 11) = (9x − 15)(9x + 7)
2 2
70 1. 2x – 10 ˘ 0 ⇔ 2x ˘ 10 ⇔ x ˘ 5. Donc 6 = [5 ; + `[.
E = (5x − 6) − 5x + 6 = (5x − 6) − (5x − 6) × 1 = (5x − 6)(5x − 6 − 1) =
2 2
2. x E = 5x − 6 –`
( )2 − 5x + 65 +`
= (5x − 6) − (5x − 6) × 1 = (5x − 6)(5x − 6 − 1) = (5x − 6)(5x − 7)
2
Signe de 2x – 10 – 0 +
75 1. L’eau se solidifie à 0 degré Celsius.
3. La valeur 5 est la valeur pour laquelle 2x – 10 = 0.
f = 1,8 × 0 + 32 = 32
71 Si ABC est rectangle en A alors BC2 = AB2 + AC2. L’eau se solidifie à 32 degrés Fahrenheit.
(x + 1)2 = 22 + (x – 2)2 ⇔ x2 +2x + 1 = 4 + x2 –4x + 4 2. On connaît f et on cherche c. On résout alors l’équation
⇔ 2x + 4x = 8 – 1 ⇔ 6x = 7 ⇔ x = 7 . suivante :
7
6 104 = 1,8c + 32 ⇔ 72 = 1,8c ⇔ c = 72 ⇔ c = 40.
Or , 2, donc ce triangle ne peut pas être rectangle en A. 1,8
6 Sa fille a 40 °C de température, Muriel doit donc s’inquiéter.

76 a. (x – 4)2 – 9 = 0 ⇔ (x – 4)2 – 32 = 0 ⇔ (x – 4 – 3)(x – 4 + 3) = 0 80 −7x + 1 − 1 < 5 − 2x − 3 ⇔ −7x + 1 − 4 < 5 − 2(2x − 3) ⇔ −7x − 3
4 4 2 4 4
⇔ ( x − 7)( x − 1) = 0 ⇔
−7x + 1 − 1 < 5 − 2x − 3 ⇔ −7x + 1 − 4 < 5 − 2(2x − 3)
⇔ x − 7 = 0 ou x − 1 = 0. ⇔ −7x − 3 < 5 − 4x + 6 ⇔ −3x < 14 ⇔ x > − 14
4 4 2 4 4 3
Donc 6 = {1 ; 7}. ⎡ 14 ⎡
6 = ⎢− ; +` ⎢
b. ( x − 4 ) + 6( x − 4 ) = 0 ⇔ ( x − 4 )( x − 4 + 6) = 0
2
⎣ 3 ⎣
⇔ ( x − 4 )( x + 2) = 0 ⇔ x − 4 = 0
⇔ ( x − 4 )( x + 2) = 0 ⇔ x − 4 = 0 ou x + 2 = 0 − 14
⇔ x = 4 ou x = −2. 3
Donc 6 = {−2 ; 4}. x − 3 − 3x < 4x − 1 ⇔ x − 3 − 6x < 4x − 3 ⇔ 3 × (−5x − 3) < 2 ×
c. (2x − 3) = 5(2x − 3) ⇔ (2x − 3)(2x − 3 − 5) = 0 ⇔ (2x − 3)(2x81 − 8) =2 0
2
3 2 3
2x − 3) ⇔ (2x − 3)(2x − 3 − 5) =x 0− ⇔ 3 −(3x2x < − 34x )(2x− −1 ⇔8) =x 0− 3 − 6x < 4x − 3 ⇔ 3 × (−5x − 3) < 2 × (4x − 3) ⇔ −15x − 9 < 8x − 6 ⇔ −23x < 3 ⇔
2 3 0 ou 2x − 8 2= 0 3
x − 3 − 6x < 4x − 3 ⇔ 3 × (−5x −⇔ 2x − 3 =
3) < 23× (4x − 3) ⇔ −15x − 9 3< 8x − 6 ⇔ −23x < 3 ⇔ x > − 3 6 = ⎡− 3 ; +` ⎡
2 3 ⇔ x = ou x = 4. Donc 6 =
2 { } 2
;4. 23 ⎣⎢ 23 ⎣⎢
d. ( x + 2) = 9 ⇔ ( x + 2) − 32 = 0 ⇔ ( x + 2 − 3)( x + 2 + 3) = 0 ⇔ ( x − 1)( x +3 5) = 0
2 2
−
= 9 ⇔ ( x + 2) − 32 = 0 ⇔ ( x + 2 − 3)( x + 2 + 3) = 0 ⇔ ( x − 1)( x + 5) = 0
2 2
23
( x + 2 − 3 )( x + 2 + 3 ) = 0 ⇔ ( )(
x − 1 x + 5 ) = 0
82
⇔ x − 1 = 0 ou x + 5 = 0 P1 P2
⇔ x = 1 ou x = −5. 2x – 7y = 0 x = 7 et y = 2 P2 ⇒ P1
Donc 6 = {−5 ; 1}.
|x| = 3 x = –3 P2 ⇒ P1
77 1. M doit être placé de telle façon que DM = MC. |x – 4| = 2 x = 6 ou x = 2 P1 ⇔ P2
Le triangle DAM est rectangle en A ; d’après le théorème de
Pythagore, on a : DM 2 = AM 2 + DA2 .
Le triangle MBC est rectangle en B ; d’après le théorème de 83 1. g ( 5 ) = (2 + 5 )(3 − 2 5 ) = 6 − 4 5 + 3 5 − 2 × 5 = −4 − 5
Pythagore, on a : MC = MB 2
g ( 5 )+=BC
2
(2 +. 5 )(3 − 2 5 ) = 6 − 4 5 + 3 5 − 2 × 5 = −4 − 5
2
On souhaite donc que AM 2 + DA2 = MB2 + BC 2 . 2. g ( x ) = 0 ⇔ (2 + x )(3 − 2x ) = 0 ⇔ 2 + x = 0

On pose AM = x, on a alors MB = 70 − x.
On souhaite donc que : g ( x ) = 0 ⇔ (2 + x )(3 − 2x ) = 0 ⇔ 2 + x = 0 ou 3 − 2x = 0 ⇔ x = −2
x + 50 = (70 – x) + 30 ⇔ x + 2 500 3
2 2 2 2 2
3 − 2x = 0 ⇔ x = −2 ou x = .
2
= 4 900 – 140x + x + 900 ⇔ 140x
2
⇔ 140x = 4 900 + 900 − 2 500 ⇔ 140x 84 1. h (−1) = (−1)2 + 2 × (−1) − 8 = −9

L’image de –1 par la fonction h vaut –9.
⇔ 140x = 3 300 ⇔ x = 3 300 ⇔ x = 165 . Or 165 ≈ 23,6.
140 7 7 2. a. ( x − 2)( x + 4 ) = x 2 + 4x − 2x − 8 = x 2 + 2x − 8 = h ( x )
Le point M doit se situer à environ 23,6 m du point A. b. h ( x ) = 0 ⇔ ( x − 2)( x + 4 ) = 0 ⇔ x − 2 = 0
165 × 50 h ( x ) = 0 ⇔ ( x − 2)( x + 4 ) = 0 ⇔ x − 2 = 0 ou x + 4 = 0 ⇔ x = 2 ou x = −4.
2. AireDAM = AM × DA = 7 = 4 125 0 a donc deux antécédents par la fonction h : 2 et –4.
2 2 7
85 1. (−3)2 − 2 × (−3) + 1 = 16
AireMBC = BM × BC =
( 70 − ) 165
7
× 30
= 4 875
La variable A contient la valeur 16 après exécution de ce
2 2 7 programme.

Les terrains des deux frères n’ont pas la même aire. 2. a. f ( x ) = x 2 − 2x + 1
b. f ( x ) = ( x − 1)
2
78 Pendant les 10 minutes de pause de la voiture, le camion 3. f ( x ) = 9 ⇔ ( x − 1) = 9 ⇔ ( x − 1) − 32 = 0 ⇔ ( x − 1 − 3)( x − 1 + 3)

2 2
90 km ⋅ h × 10 min
−1
f ( x=) =159km
⇔. ( x − 1) = 9 ⇔ ( x − 1) − 32 = 0 ⇔ ( x − 1 − 3)( x − 1 + 3) = 0 ⇔ ( x − 4 )( x + 2) = 0
2 2
aura parcouru
60 min ⋅ h−1
Soit x la distance parcourue, en kilomètres, par le camion au
f ( x ) = 9 ⇔ ( x − 1) = 9 ⇔ ( x − 1) − 32 = 0 ⇔ ( x − 1 − 3)( x − 1 + 3) = 0 ⇔ ( x − 4 )( x + 2) = 0
2 2
bout d’un temps t en heures. La voiture devra donc parcourir
pendant le même temps t la distance de (x + 15) km pour ⇔ x − 4 = 0 ou x + 2 = 0 ⇔ x = 4 ou x = −2.
rattraper le camion. Donc 9 a deux antécédents par la fonction f : 4 et –2.
Pour parcourir x km, le camion met x km = x h et
90 km ⋅ h−1 90 86 1. h ( x ) > 0 ⇔ 1 x + 4 > 0 ⇔ 1 x > −4 ⇔ x > −12
la voiture mettra
( x + 15) km x + 15
= h pour parcourir
3 3
L’ensemble des nombres réels ayant une image positive ou
110 km ⋅ h−1 110
(x + 15) km. nulle par f est [−12 ; +`[ .
Il faut donc résoudre x = x + 15 .
90 110 2. h ( x ) < − 1 ⇔ 1 x + 4 < − 1 ⇔ 1 x < − 9 ⇔ x < − 27
x = x + 15 ⇔ 110x = 90(x + 15) ⇔ 20x = 1 350 ⇔ x = 67,5 2 3 2 3 2 2
90 110 L’ensemble des nombres réels ayant une image strictement
Le camion aura parcouru 67,5 km et la voiture 82,5 km quand inférieure à − 1 par f est ⎤⎥−` ; − 27 ⎡⎢ .
2 ⎦ 2⎣
ils vont se rejoindre.
Ils auront donc roulé pendant 3 h, c’est-à-dire 45 min. 87 Soit x le montant des ventes du commercial en euros, il
4
est intéressant de choisir le salaire variable lorsque :
79 Si 2 , a , 4 alors 4 , 2a , 8. 1 500 + 0,05x . 2 000 ⇔ 0,05x . 500 ⇔ x . 10 000.
Si 5 , b , 6 alors 25 , 5b , 30. Le commercial doit faire plus de 10 000 € de ventes pour qu’il
Donc 29 , 2a + 5b , 38. soit intéressant de choisir le salaire variable.

88 On a donc bien :
P1 P2
( a2
+ b2 )(c2 + d 2 ) = (ac + bd )2 + (ad − bc )2 .
( )
2
P1 ⇒ P2 93 1. x + 1 − 1 = x 2 + x + 1 − 1 = x 2 + x
Si un nombre est plus 2 4 4 4
grand que 4, il est néces- 2. On pose x le réel cherché, on doit alors résoudre l’équation
x.4 x.3 suivante :
sairement plus grand que
3. La réciproque est fausse x + x 2 = 15,75
( )
2
(contre-exemple : 3,5). ⇔ x + 1 − 1 = 15,75 ⇔ ( x + 0,5)2 − 0,25 − 15,75 = 0 ⇔ ( x + 0,5)2
2 4
⇔
P1 ⇒ 1P22 1
Le nombre étantx + −
2 compris
4
= 15,75 ⇔ ( x + 0,5 )2
− ( )
0,25 − 15,75 = 0 ⇔ ( x + 0,5)2 − 16 = 0
entre 2 et 3 sera égale- ⇔ ( x + 0,5) − 42 = 0 ⇔ ( x + 0,5 − 4 )( x + 0,5 + 4 ) = 0 ⇔ ( x − 3,5)(
2
x [ [2 ; 3] −1 < x < 9
⇔ (ment
x + 0,5 compris
− 4 )( x entre
+ 0,5–1 + et
4 ) = 0 ⇔ ( x − 3,5)( x + 4,5) = 0 ⇔ x − 3,5 = 0 ou x + 4,5 = 0
9. La réciproque est fausse ⇔ x = 3,5 ou x = −4,5.
(contre-exemple : 0). Il y a donc deux valeurs possibles : –4,5 ou 3,5.
P1 ⇒ P2
4–3,x,4+3 94 Soit x le nombre de kilomètres qu’on peut parcourir avant
ux – 4u , 3 1< x < 7
⇔ ux – 4u , 3 d’utiliser la réserve. On doit donc résoudre :
6,2x , 60 − 5 ⇔ 6,2x , 5 500 ⇔ x , 5 500 .
P2 ⇒ P1 100 6,2
Or 5 500 ≈ 887,1 .
Si x est compris entre 8,32 6,2
et 8,34 alors x est plus On peut donc parcourir environ 887 km avant d’utiliser la
8,3 ¯ x , 8,4 8,32 < x , 8,34 grand que 8,3 et plus petit réserve.
que 8,4. La réciproque est
fausse (contre-exemple : 95 1. 1 est bien solution de l’équation mais il y a une autre
8,31). solution possible. On peut le voir en traçant la courbe repré-
sentative de la fonction x a x 2 + 3x − 4 à la calculatrice.
89 1. a. 982 − 972 − 962 + 952 = 4 2. D’après le logiciel de calcul formel, on obtient :
b. 562 − 552 − 542 + 532 = 4 x 2 + 3x − 4 = ( x − 1)( x + 4 ).
2. Si on soustrait au carré d’un entier les carrés des deux Donc x 2 + 3x − 4 = 0 ⇔ ( x − 1)( x + 4 ) = 0 ⇔ x − 1 = 0 ou
nombres le suivant et qu’on ajoute ensuite le carré du x + 4 = 0 . Donc 6 = {−4 ; 1}.
nombre suivant, alors on obtient toujours 4 comme résultat.
3. On pose a le plus petit entier naturel parmi les 4 entiers 96 1. a ( x ) = AG × AH = (8 − x ) × x = 8x − 1 x 2 = 4 x − 1 x 2
2 2 2 2 2
consécutifs.
Or 2 8 − 1 ( x − 4 )22 = 8 − 1 x 2 + 2 1 × 2x × 4 − 1 × 42 = 8 − 1 x 2 + 4 x − 8 =
On a alors : (a + 3) − (a + 2) − (a + 1) + a = a + 6a + 9 − a − 4a2− 4 − a − 2a − 12 + a 2
2 2 2 2 2
2 2
2
+ 1) + a = a2 + 6a + 9 − a2 − 4a − 4 − a2 −82a
2 2
− −1 1( x+−a4 )2 = 8 − 1 x 2 + 1 × 2x × 4 − 1 × 42 = 8 − 1 x 2 + 4 x − 8 = 4 x − 1 x 2 .
= 6a − 4a − 2a + 9 − 4 − 1 = 4. 2 2 2 2 2 2
Donc a ( x ) = 8 − 1 ( x − 4 )2
.
90 On détermine l’aire de la base triangulaire du prisme : 2
B = 5x . 2. Airecarré mauve = 14 ⇔ AireABCD − 4 × a ( x ) = 14.
2
On doit alors résoudre :
Donc V1 = B × h = 15x
2 64 − 4 ⎡8 − 1 ( x − 4 )2 ⎤ = 32 ⇔ 64 − 32 − 32 + 2 ( x − 4 )2 = 0 ⇔ 12 ( x − 4
et V2 = (21 – x) × 3 × 5 = (21 – x) × 15 = 315 – 15x. ⎣ 2 ⎦
64 − 4 ⎡ 8 − 1 ( x − 4 )2 ⎤ = 32 ⇔ 64 − 32 − 32 + 2 ( x − 4 )2 = 0 ⇔ 12 ( x − 4 )2 = 0 ⇔ x − 4 = 0
V1 = V2 ⇔ 15x = 315 − 15x ⇔ 15x = 630 ⎣ − 30x 2 ⇔ 45x ⎦ = 630 ⇔ x = 630 ⇔ x = 14
2 45 ⇔x=4
⇔ 15x = 630 − 30x ⇔ 45x = 630 ⇔ x = 630 ⇔ x = 14 Il n’y a qu’une seule valeur de x qui rendra l’aire mauve égale
45
Les deux volumes seront égaux si et seulement si x = 14. à 32 m2. Il faut prendre x = 4.
91 Pour que l’aire du grand carré ne dépasse pas 64, il faut
97 On pose x le nombre cherché différent de 38.
que sa largeur qui vaut, en centimètres, 2x + 2 ne dépasse
Le problème se pose ainsi :
pas 8. On doit donc résoudre 2x + 2 , 8 ⇔ 2x , 6 ⇔ x , 3.
23 − x = 38 ⇔ 23(23 − x ) = 38 (38 − x )
38 − x 23 On peut choisir une largeur de bande comprise entre 0 et
⇔ 529 – 23x = 1 444 – 38x
3 cm.
⇔ – 23x + 38x = 1 444 – 529
92 (ac + bd )2 + (ad − bc)2 = a2 c2 + 2acbd + b2 d 2 + a2 d 2 − 2adbc + b2 c2 = a2 c2 + b2 d 2 + a2 d 2 + b2 c2
⇔ x = 915 = 61
+ 2acbd + b2 d 2 + a2 d 2 − 2adbc + b2 c2 = a2 c2 + b2 d 2 + a2 d 2 + b2 c2 15
Le nombre cherché est 61.
(a + b )(c + d ) = a c + a d + b c + b d
2 2 2 2 2 2 2 2 2 2 2 2

Exercices
98 Si 5 , b , 6, alors –6 , –b < –5. Le produit de quatre nombres entiers consécutifs augmenté
Donc 2 – 6 , a – b , 4 – 5, d’où –4 , a – b , –1. de 1 est bien un carré parfait.
99 1. On peut conjecturer que : 103 1. a. (n + 1)2 − n2 = n2 + 2n + 1− n2 = 2n + 1
(a + b)3 = a3 + ab2 + a2b + ab2 + ab2 + a2b + a2b + b3 (n + 1)2 − (n − 1)2 = n2 + 2n + 1− n2 + 2n − 1 = 4n
= a3 + 3a2b + 3ab2 + b3. Soit k un nombre impair, il existe alors un entier naturel n tel
2. (3 – 2)3 = 13 = 1 que k = 2n + 1.
33 + 3 × 32 × (–2) + 3 × 3 × (–2)2 + (–2)3 = 27 – 54 + 36 – 8 = 1 b. D’après ce qui précède, on a 2n + 1= (n + 1)2 − n2, donc
La conjecture est vérifiée avec a = 3 et b = –2. tout nombre impair peut s’écrire comme la différence de
3. (a + b)3 = (a + b) × (a + b)2 deux carrés.
= (a + b) × (a2 + 2ab + b2) c. Soit k un multiple de 4, il existe un entier naturel n tel que
= a3 + 2a2b + ab2 + a2b + 2ab2 + b3 k = 4n.
D’après ce qui précède, on a 4n = (n + 1) − (n − 1)2 , donc
2
Donc (a + b)3 = a3 + 3a2b + 3ab2 + b3 pour tous réels a et b.
tout multiple de 4 peut s’écrire comme la différence de deux
100 La masse du cartable en kg vérifie 3, 4 , x , 3,7. La carrés.
masse y, en kg, du dictionnaire vérifie 0,9 , y , 1,1. 2. Soit N = x 2 – y2.
Donc −1,1 < y , − 0,9 . Si x et y sont pairs, alors il existe deux entiers n et k tels que
On peut écrire que 3,5 – 1,1 , x − y , 3,7 – 0,9, donc : x = 2n et y = 2k.
2, 4 , x − y , 2,8. Donc x2 = 4n2 et y = 4k2 donc N = 4n2 – 4k2 = 4(n2 – k2), donc N
Le cartable pèse à présent entre 2,4 kg et 2,6 kg. est un multiple de 4.
101 1. A ≈ 0,290 B ≈ 0,290 Si x et y sont impairs alors il existe deux entiers n et k tels que
x = 2n + 1 et y = 2k + 1.
2. On peut conjecturer que les deux nombres A et B sont
Donc x2 = 4n2 + 4n + 1 et y = 4k2 + 4k + 1 donc :
égaux.
3. A – B = 7 − 5 − 2 =
( 7 − 5 ) × ( 7 + 5 ) − 2 × 2 N = 4n2 + 4n – 4k2 – 4k = 4(n2 + n – k2 – k), donc N est un
= 7−5−2 = 0
2 7+ 5 2( 7 + 5) 2 ( 7de
multiple + 4.5 )
7− 5− 2 =
( 7 − 5) × ( 7 + 5) − 2 × 2 = 7 − 5 − 2 = 0 Si x est impair et y est pair alors il existe deux entiers n et k
2 7+ 5 2( 7 + 5) 2( 7 + 5) tels que x = 2n + 1 et y = 2k.
7 + 5) − 2 × 2 Donc = 4n + 4n + 1 et y = 4k2 donc :
2 2
x
= 7−5−2 = 0 N = 4n2 + 4n + 1 – 4k2 = 2(2n2 + 2n – 2k2) + 1, donc N est impair.
7 + 5) 2( 7 + 5)
Si x est pair et y est impair alors il existe deux entiers n et k
Donc A = B. tels que x = 2n et y = 2k + 1.
102 1. (x + c)2 = x2 + 2xc + c2 Donc x2 = 4n2 et y = 4k2 + 4k + 1, donc :
N = 4n2 – 4k2 – 4k – 1 = 2(2n2 – 2k2 – 2k) – 1, donc N est impair.
2. (a + b + c)2 = (x + c)2 = x2 + 2xc + c2
= (a + b)2 + 2(a + b)c + c2 104 1. Si a . 0, alors a3 . 0 et si b , 0 alors b3 , 0. On a donc
= a2 + 2ab + 2ac + 2bc + b2 + c2 b3 , 0 , a3 ce qui implique b3 , a3.
3. a. • 2 × 3 × 4 × 5 + 1 = 120 + 1 = 121 = 112 2. a. (a − b )(a2 + ab + b2 ) = a3 + a2 b + ab2 − ba2 − ab2 − b3 = a3 − b
(a − b)(a2 + ab + b2 ) = a3 + a2 b + ab2 − ba2 − ab2 − b3 = a3 − b3

5 × 6 × 7 × 8 + 1 = 1 681 = 412
• x × (x + 1) × (x + 2) × (x + 3) + 1
b. Si a . b > 0, alors a − b . 0 et a2 . 0, ab > 0, b2 > 0
= (x2 + x)(x2 + 3x + 2x + 6) + 1 = (x2 + x)(x2 + 5x + 6) + 1
implique a2 + ab + b2 . 0 donc par produit,
= x4 + 5x3 + 6x2 + x3 + 5x2 + 6x + 1
= x4 + 6x3 + 11x2 + 6x + 1
(a − b)(a + ab + b2 ) . 0 soit a3 − b3 . 0 ⇔ a3 . b3.
2
c. Si 0 > a . b, alors a − b . 0 et a2 > 0, ab > 0, b2 . 0

b. Soit x le plus petit de ces quatre nombres. Le produit de
implique a2 + ab + b2 . 0 donc par produit,
ces quatre nombres augmenté de 1 vaut alors :
(a − b)(a22 ++ ab
x ( x + 1)( x + 2)( x + 3) + 1 = ( x 2 + x )( x 2 + 5x + 6) + 1 = x 4 + 5x 3 + 6x x 3 + 5x)2 + 6x +3 1 3
+ b2 . 0 soit a3 − b3 . 0 ⇔ a3 . b3.
d. Dans tous les cas, on obtient a . b . Ainsi, a . b ⇒ a3 . b3 .
x + 6) + 1 = x 4 + 5x 3 + 6x 2 + x 3 + 5x 2 + 6x + 1 3. a. On a 27 , 42 et 2 . 0 donc 27 2 , 42 2 donc d’après
= x 4 + 6x 3 + 11x 2 + 6x + 1 la question 2 (27 2 ) , (42 2 ) .
3 3
c. ( x 2 + 3x + 1) = x 4 + 6x 3 + 2x 2 + 6x + 9x 2 + 1 =
2
b. On a −7 , − 2 et 5 . 0 donc −7 5 , − 2 5 donc d’après
la question 2 (−7 5 ) , (−2 5 ) .
3 3
= x 4 + 6x 3 + 11x 2 + 6x + 1
d. Donc on a x × (x + 1) × (x + 2) × (x + 3) + 1 = ( x 2 + 3x + 1) .
2

SYNTHÈSE
Exercices
⇔ 0,5 = 1 − (1 − x ) ⇔ (1 − x ) − 0,5 = 0
2 2
105 On pose x la longueur de la baie vitrée, en mètres, alors
2
2,40 < x < 3,60.
⇔ (1 − x ) − ⎛⎜ 2 ⎞⎟ = 0
2
y
⎝ 2 ⎠
D E C
⇔ ⎛⎜1 − x − 2 ⎞⎟ ⎛⎜1 − x + 2 ⎞⎟ = 0
z ⎝ 2 ⎠⎝ 2 ⎠
( )
x ⎛1 − x + 2 ⎞ = 0
⇔ 1− x − 2 = 0 ou ⎜
F 2 ⎝ 2 ⎟⎠
11 2.
3 ⇔ x = 1 − 2 ou x = 1 +
2 2
Or 1 − 2 ≈ 0,29 et 1 + 2 ≈ 1,7 .1, ce qui n’est pas possible.
2 2
A B La longueur DH est égale à 1 − 2 m soit environ 0,29 m.
Comme le triangle DAB est rectangle en A, d’après le théo- 2
rème de Pythagore, on a : 108 On pose a le plus petit entier naturel parmi les deux
DB2 = DA2 + AB2 = 72 + 82 = 49 + 64 = 113 . nombres cherchés.
On a alors : (a + 1) − a2 = 31 ⇔ a2 + 2a + 1 − a2 = 31 ⇔
2
Donc DB = 113.
Comme les droites (EF) et (DB) sont parallèles, les points C, E, ⇔ 2a = 30 ⇔ a = 15.
D et C, F, B sont alignés dans cet ordre, d’après le théorème Les deux nombres cherchés sont 15 et 16.
y
de Thalès, on a : CE = CF = EF ⇔ = z = x . 109 Volumecylindre = πr 2 h
CD CB DB 8 7 113
Donc y = 8x et z = 7x . Volumesphère = 4 πr 3
113 113 3
Comme 2,40 < x < 3,60 , alors : Volumecylindre = Volumesphère ⇔ πr 2 H = 4 πr 3 ⇔
3
2,40 × 8 < y < 3,60 × 8 . On en déduit que : ⇔ h = r.
4
113 113 3
1,80 < y < 2,71. Ainsi les deux objets ont le même volume si et seulement si
Par un raisonnement analogue, on a : on choisit h et r tels que h = 4 r .
3
2,40 × 7 < z < 3,60 × 7 . On en déduit qu’il faut
113 113 110 On pose AE = x (en mètres). On a alors 0 < x < 20.
choisir la dimension de cette découpe de telle manière que 1 de
× 20 2 = du
l’aire jardin représente, en mètres carrés, 1 × 202 = 100.
100.
1,58 < z < 2,38. 4 4
Aireallée = AireABCD − AireABC − AireEDF
106 Soit x le nombre de films regardés par mois.
Le tarif A est toujours de 30 €, le tarif B est égal à 5x € et le On souhaite alors que :
100 = 400 –100 = 400 − 20 × 20 −
(20 − x ) × (20 − x ) ⇔ 100 = 400 − 2
tarif C est égal à (2x + 10) €.
2 2
Le tarif A est avantageux si 30 , 5x et 30 , 2x + 10
⇔ x . 6 et x .10 ⇔ x100 .10.= 400 − 20 × 20 −
(20 − x ) × (20 − x ) ⇔ 100 = 400 − 200 −
(20 − x )
2
⇔
(20 − x )
2
− 100 = 0 ⇔ (20 − x ) − 2
2
x .10 ⇔ x .10. 2 2 2 2
(20 − x )
2
⇔ plus de 10−films
Ce tarif est avantageux si la personne regarde 100 = 0 ⇔ (20 − x ) − 200 = 0 ⇔ (20 − x ) − (10 2 ) = 0
2 2 2
2
par mois. ⇔ (20 − x − 10 2 )(20 − x + 10 2 ) = 0 ⇔
Le tarif B est avantageux si 5x , 30 et 5x , 2x + 10
⇔ (20 − x − 10 2 ) = 0 ou (20 − x + 10 2 ) = 0
⇔ x , 6 et x , 10 ⇔ x , 10
3 3 ⇔ x = 20 − 10 2 ou x = 20 + 10 2 .
x , 10 ⇔ x , 10 .
3 3 Or 20 + 10 2 . 20, ce qui n’est pas possible. De plus,
Le tarif B est avantageux si la personne regarde au plus 3 films 20 − 10 2 ≈ 5,86 donc 0 < 20 − 10 2 < 20.
par mois. Le point E doit se situer à 20 − 10 2 m du point A soit à
On en déduit que le tarif C est avantageux pour une personne environ 5,86 m du point A.
regardant de 4 à 9 films par mois.
D H C 111 1. f ( x ) = −15 ⇔ −4x 2 + 16x − 15 = −15
107 ⇔ −4 x 2 + 16x = 0 ⇔ 4x (− x + 4 ) = 0
E
⇔ 4x = 0 ou –x + 4 = 0 ⇔ x = 0 ou x = 4
Donc 6 = {0 ; 4} .
2. f ( x ) = 1 ⇔ −4 ( x − 2) + 1 = 1 ⇔ −4 ( x − 2) = 0 ⇔
2 2
G ⇔ x−2=0⇔ x =2
Donc 6 = {2}.
A F B 3. f ( x ) = 0 ⇔ − (2x − 5)(2x − 3) = 0 ⇔ 2x − 5 = 0
On pose x = DH = DE = BG = BF alors 0f (< x ) x=<
0 1⇔. − (2x − 5)(2x − 3) = 0 ⇔ 2x − 5 = 0 ou 2x − 3 = 0 ⇔ x = 5
3 2
Aireflèche = 0,5 . 2x − 3 = 0 ⇔ x = 5 ou x = 2 .
2
Or Aireflèche = AireABCD – 2 × AireAGE = 1− 2 × AG × AE
AireABCD – 2 × AireAGE = 1− 2 × AG × AE
2 { }
Donc 6 = 3 ; 5 .
2 2
2

c.
112 1. A = 2 + 2x = 2(1 + x ) = 1 + x (simplification fausse)
4 2×2 2 Longueur OM (en cm) 0 1 2 3 4 5 6
2. B = x 2 − 6x + 9 − ( x − 3) Longueur ON (en cm) 6 5 4 3 2 1 0
B = ( x − 3) − ( x − 3)
2
Aire du triangle OMN
B = ( x − 3)( x − 3 − 1) (erreur de factorisation) (en cm2)
0 2,5 4 4,5 4 2,5 0
B = ( x − 3)( x − 4 )
d. On peut supposer qu’il existe une solution entre 1 et 2 et
3. C = 4x 2 − 9( x + 1)2
une autre entre 4 et 5.
C = 4x 2 − (3( x + 1)) ( 9( x + 1)2 n’est pas le carré de 9( x + 1)
2
2. a. Dans la cellule B2 : =6–A2
mais de 3( x + 1))
C = [2x − 3( x + 1)][2x + 3( x + 1)] Dans la cellule C2 : =(A2*B2)/2
C = (− x − 3)(5x + 3) b. Le tableur confirme la conjecture mais ne permet pas de
répondre au problème posé. On aurait une solution entre 1,2
113 1. V = πr 2 h et 1,3 et une autre entre 4,7 et 4,8.
2. r =
V 3. a. x peut prendre n’importe quelle valeur de l’intervalle
πh [0 ; 6].
3. 1 m3 = 1 000 000 cm3 x × (6 − x)
b. AireOMN =
1 000 000 2
r=
70π
≈ 67,4 Il faut donc résoudre x × (6 − x) = 3.
2
Le rayon vaut environ 67,4 cm au millimètre près. x × (6 − x) = 3 ⇔ x(6 − x) = 6 ⇔ x 2 − 6x + 6 = 0
2
114 On peut écrire : On doit donc résoudre l’équation x 2 − 6x + 6 = 0 pour
return(a*10**(-n),(a + 1)*10**(-n)). répondre au problème posé.
c. x 2 − 6x + 6 = 0 ⇔ ( x − 3 − 3)( x + 3 − 3) = 0 ⇔ x − 3 − 3 = 0
115 1. a. OM = 1 donc ON = 5, d’où
( x − 3 − 3)( x + 3 − 3) = 0 ⇔ x − 3 − 3 = 0 ou x + 3 − 3 = 0
AireOMN = 5 × 1 = 2,5 cm2. ⇔ x = 3 + 3 ou x = − 3 + 3
2
Donc cette configuration ne fournit pas une solution au Or 3 + 3 ≈ 4,7 donc 3 + 3 [ [0 ;6] et − 3 + 3 ≈ 1,3 donc
problème. − 3 + 3 [ [0 ;6].
b. OM = 3 donc ON = 3, d’où AireOMN = 3 × 3 = 4,5 cm2. Il y a donc deux positions du point M telles que l’aire du
2
Donc cette configuration ne fournit pas une solution au triangle OMN soit égale à 3 cm2 : il faut situer M à 3 + 3 cm
problème. du point O ou à − 3 + 3 cm du point A.
116 Si c = 0, alors 6 = R.
Questions Va piano Si c ≠ 0, alors 6 = ∅.
• Si b ≠ 0, alors bx + c = 0 ⇔ x = − c .
b
1. 7,5x + 4,32 = 0 ⇔ x = −
4,32 = − 72
7,5 125
donc 6 = − 72 .{
125 }
2. Si c = 0, on obtient l’équation :
ax 2 + bx = 0 ⇔ x (ax + b ) = 0 ⇔ x = 0 ou ax + b = 0.
2. x − 1 = 0 ⇔ ( x + 1)( x − 1) = 0 ⇔ x = 1 ou x = −1 donc

2
• Si a = 0, alors ax + b = 0 ⇔ b = 0.
6 = {−1 ; 1}. Si b = 0, alors 6 = R.
3. 3 = 0, 6 = ∅. Si b ≠ 0, alors 6 = {0}.
{
• Si a ≠ 0, alors ax + b = 0 ⇔ x = − b , donc 6 = 0 ; − b .
a }
a
Questions Moderato 3. 4 x 2 + c = 0 ⇔ x 2 = − c
4
{ }
7 35 35 3 5 5 • Si c . 0, alors 6 = ∅ ((car un carré est toujours positif).
1. x + = 0 ⇔ x = − × = − donc 6 = − .
3 12 12 7 4 4 • Si c <2 0, alors x = −c = −c ou x = − −c = − −c .
21
2. x − 2 14
() ( )(
= 0 ⇔ x 2 = 14 × 10 ⇔ x 2 = 4 ⇔ x 2 − 4 = 0 ⇔ x 2 − 2 = 0 ⇔ x − 2 4 x + 22 = 0 ) 4 2
21 9
10 15
9
15 21
3 () (
9
10 ⇔ x 2 = 4 ⇔ x 2 − 4 = 0 ⇔ x 2 − 2 2 = 0 ⇔ x − 2 x + 2 = 0
3 )(
3
9
)
3
Donc 6 = −c
2 { ;−
3 −c 3
2
. }
117
⇔ x − 2 = 0 ou x + 2 = 0 ⇔ x = 2
3 3 3 Questions Va piano
2 2
x + = 0 ⇔ x = ou x = − . 2
3 1. −4 , 2a ,10
3 3
2. −18 , 3b , 3
{
6 = −2 ; 2
3 3 } 3. −22 , 2a + 3b ,13
4. −4 , − 4b , 24
3. 5 = 0, ce qui n’est jamais vrai, donc 6 = ∅.
13 5. −52 , 5a + 7b , 32
Questions Allegro Questions Moderato

1. Si a = 0, on résout bx + c = 0. 1. −3 , 3 a , 15
• Si b = 0, alors on obtient l’équation c = 0. 2 2

30 5 5 On obtient comme résultat final le nombre 15.
2. − 7 , 7 b , 7 2 2
2. x → 3 × x = 3x → 3x − 5 → (3x − 5) → (3x − 5) − 9 × x 2 = 9x 2 − 30
51 3 5 115 2 2
3. − , a + b x,→ 3 × x = 3x → 3x − 5 → (3x − 5) → (3x − 5) − 9 × x = 9x − 30x + 25 − 9x
2 2 2
7 2 7 14
Le nombre final est donc −30x + 25.
4. − 7 , − 7 b , 21
8 8 4 On résout alors : −30x + 25 = − 7 ⇔ x = 107 . Le nombre de
29 1
5. − , a + b , 3 19 4 120
6 6 4 12 départ est 107 .
120
3. On cherche à obtenir un nombre final inférieur ou égal à
Questions Allegro
−7.
1. −4 , 2a ,10 4
2. −5 , − 5b , 30 On résout alors : −30x + 25 < − 7 ⇔ x > 107 . Le nombre de
4 120
3. −9 , 2a − 5b , 40
départ doit être supérieur ou égal à 107 .
4. −18 , 7a − 4b , 59 120
5. − 37 , 2 a − 7 b , 83
12 3 4 6 Questions Allegro
6. − 73 , − 1 a + 2 b , 9
1. 2 → 3 2 → 3 2 − 5 → (3 2 − 5) → (3 2 − 5) − 9 × ( 2 ) = 18 −
2 2 2
20 4 5 10
118
2 → 3 2 → 3 2 − 5 → (3 2 − 5) → (3 2 − 5) − 9 × ( 2 ) = 18 − 30 2 + 25 − 18
2 2 2
Questions Va piano On obtient comme résultat final le nombre 25 − 30 2.

1. 0 → 3 × 0 = 0 → 0 – 5 = –5 → (–5) = 25 → 25 – 9 × 0 = 25
2 2 2. x → 3 × x = 3x → 3x − 5 → (3x − 5)2 → (3x − 5)2 − 9x 2 = 9 × x 2 − 30
25.→ 3x − 5 → (3x − 5) → (3x − 5) − 9x = 9 × x − 30x + 25 − 9x
2 2 2 2 2
→nombre
On obtient comme résultat finalx le 3 × x = 3x
On pose x le nombre initial. Le nombre final est donc −30x + 25.
2. x → 3 × x = 3x → 3x − 5 → (3x − 5) → (3x − 5) − 9 × x 2 = 9xOn −30x + 25 = 3 ⇔ x = 3 − 25 = 25 − 3 .
2 2 2 2
−résout
30x + alors
25 − :9x
−30 30
2 2
) → (3x − 5) − 9 × x = 9x − 30x + 25 − 9x
2 2 2
Le nombre de départ est 25 − 3 .
Le nombre final est donc −30x + 25. 30
On résout alors : −30x + 25 = −5 ⇔ x = 1. Le nombre de 3. On pose x le nombre de départ. On cherche à obtenir un
départ est 1. nombre final strictement inférieur à 1 x .
4
3. On cherche à obtenir un nombre final supérieur à –5. On résout alors : −30x + 25 , 1 x ⇔ 25 , 1 x + 30x.
On résout alors : −30x + 25 . − 5 ⇔ x ,1. Le nombre de 4 4
départ doit être strictement inférieur à 1. Donc 25 , 121 x ⇔ 100 , x.
4 121
Le nombre de départ doit être strictement supérieur à 100 .
121
Questions Moderato
()
2
1. 1 → 3 × 1 = 1→ 1− 5 = −4 → (−4 ) = 16 → 16 − 9 × 1
2
= 15
3 3 3
()
2
1→ 1− 5 = −4 → (−4 )2 = 16 → 16 − 9 × 1 = 15
3

3 Fonctions
affines
1 a. L’image du nombre –1 par la fonction f est 6. d. 5x – 2 > 5x + 1 ⇔ –2 > 1. L’inégalité est fausse quelles que
b. Les antécédents du nombre 4 par la fonction f sont –2 et 1. soient les valeurs de x [ R. S = ∅.
2 5 1. a. Soient x le nombre de séances de piscine et f (x) le
prix payé.
Compte n° 1 2 3 4
f (x) = 3,50x + 55
Année 1 2 400 1 000 12 000 75 000 b. Soient x la longueur du côté d’un carré et g (x) l’aire de ce
Année 2 2 484 1 035 12 420 77 625 carré.
g (x) = x2
Soit k le coefficient de proportionnalité permettant de c. Soient x le nombre de kilomètres parcourus en taxi et h(x)
passer à la somme sur le compte l’année 1 à celle sur le le prix payé.
compte l’année 2. D’après les sommes sur le compte n° 1, h(x) = 0,83x + 1,80
k = 2 484 = 1,035. 2. Les fonctions f (x) et h(x) sont de la forme mx + p, ce sont
2 400 donc des fonctions affines.
1 000 × 1,035 = 1 035
12 420 ÷ 1,035 = 12 000
77 625 ÷ 1,035 = 75 000 6 −7,8 = −6,5 = 3,38 = 5,2 = 2,6. Le premier tableau est
−3 −2,5 1,3 2
3 a. x + 7 = 0 ⇔ x = –7 un tableau de proportionnalité. Le coefficient de proportion-
S = {–7} nalité permettant de passer de la première ligne à la seconde
b. 3x – 5 = 4 ⇔ 3x = 9 ⇔ x = 3
S = {3} est k = 2,6.
c. 2x + 3 = 4x – 3 ⇔ –2x = –6 ⇔ x = 3 Aucun coefficient ne permet de passer de x = 0 à y = 2. Le
S = {3} tableau 2 n’est pas un tableau de proportionnalité.
d. –x + 7 = –2x + 1 ⇔ x = –6 7 a. La fonction f est représentée graphiquement par la

S = {–6}
droite d3.
4 a. x – 7 , 0 ⇔ x , 7 b. La fonction g est représentée graphiquement par la droite
S = ]–` ; 7[ d4.
c. La fonction h est représentée graphiquement par la droite
b. –2x – 3 , 0 ⇔ –2x , 3 ⇔ x . – 3 d2.
2
S = ]– 3 ; +`[ d. La fonction t est représentée graphiquement par la droite
2 d1.
c. 5x – 6 > 4x + 2 ⇔ x > 8
S = [8 ; +`[
Chapitre 3 Fonctions affin 43

Situation 1 Croissance d’un plan de maïs

1
Hauteur (en cm)
48 I
44
40
36
F
32
28
24
H C
20
E
16
B
12 D
A
8
4
G
Âge (en jour)
0 4 8 12 16 20 24 28 32 36 40 44
2 La troisième variété semble se démarquer des deux autres, car les points ne sont pas alignés. La croissance n’est pas linéaire.
Situation 2 Ballon sonde météorologique

1 a. Au fur et à mesure que le temps augmente, l’altitude augmente aussi.
b. Il faut environ 2 h et 1 d’heure, soit 2 h et 12 min.

5
c. L’expression de la fonction qui, au temps, associe la hauteur est f (x) = 800 + 550x où x est le temps exprimé en heures.
On vérifie pour x = 2,2. On a f (2,2) = 800 + 550 × 2,2 = 2 010.
On retrouve bien le résultat lu à la question précédente.
2 a. Au fur et à mesure que le temps augmente, la température diminue.

b. La température est positive pendant les 5 premières heures de vol, puis devient négative au-delà de 5 h de vol.
c. L’expression de la fonction qui, au temps, associe la température est fg = 18 – 3,6x où x est le temps exprimé en heures.
On vérifie pour 0 < x < 5 ⇔ g (x) = > 0 :
0 < x < 5 ⇔ g (0) > g (x) > g (5) d’après la question 2a.
⇔18 > g (x) > 0 car g (5) = 0.
On retrouve bien le résultat lu à la question précédente.

Situation 3 Signe d’une fonction affine
1 a. f (x) = x + 3
b. L’ordonnée yM est positive lorsque xM > –3.
2 a.
y
1
xM
0 1 x
yM M
b. L’ordonnée du point M devient négative pour les valeurs de xM > 2.
44 Chapitre 3 Fonctions affin

1 On utilise le Théorème de Thalès :
Dans le triangle AJM, les droites (IB) et (JM) sont parallèles, donc :
AI = BI . Or AI = 1, AJ = x, BI = y – y = m + p – p = m et MJ = y – y = y – p.
AJ MJ B P M J
On trouve donc AI = BI = 1 = m .
AJ MJ x y − p
2 Les coordonnées de M vérifient l’équation de la courbe #f, donc le point M appartient à #f .
3 Par définition des fonctions, si x est un réel donné, il n’a qu’une seule image f (x), donc il n’existe qu’un seul point de
coordonnées (x ; f (x)) donc qu’un seul point sur la courbe #f .

1 f (x0 ) = 0. Or « une fonction est croissante » signifie : lorsque les abscisses augmentent, les images augmentent également.
Donc si on prend x . x0 alors x est plus grand que x0, donc son image est plus grande que celle de x0 qui vaut 0. Cela se traduit
par f (x) . 0.
De même, lorsque x , x0 , son image est inférieure à celle de x0 , donc f (x) , f (x0).
2 Les points A et B appartiennent à la représentation graphique d de f, donc leurs coordonnées vérifient l’équation de d.
On peut donc écrire :
yB = mxB + p et yA = mxA + p.
On calcule :
yB – yA = (mxB + p) – (mxA + p) = mxB + p – mxA – p = mxB – mxA = m(xB – xA)
Or les points A et B sont distincts, donc xB ≠ xA, donc xB – xA ≠ 0.
On peut alors diviser par xB – xA :
m= B
( y − yA )
( xB − x A )
1 La proposition est vraie. En effet :
Si f est constante, alors f (x) = k pour tout réel x, donc f (x) est de la forme ax + b avec a = 0 et b = k.
2 La réciproque est fausse. On utilise un contre-exemple :
f (x) = 3x + 1. On veut démontrer que f n’est pas constante. On calcule f (0) et f (1).
f (0) = 1 et f (1) = 4, donc la fonction f n’est pas constante.
Travaux pratiques
TP 1 À la piscine
1 Les fonctions permettent de calculer les différents prix à payer selon le tarif choisi.
Le tarif A est le plus intéressant pour un nombre d’entrées inférieur ou égal à 13.

4 On résout l’inéquation 2,6x < 15 + 1,5x.
2,6x < 15 + 1,5x ⇔ 2,6x – 1,5x < 15
⇔ 1,1x < 15
⇔ x < 15
1,1
Or 15 ≈ 13,6.
1,1
TP 2 Tarif dégressif
1
x 0 100 101 500 501 1 000

f (x) 0 18 14,14 70 45,01 90
3
y
5
0 100 x
TP 3 Une fonction affine ?

3 2
1 a. f (x) = x − x2 + x − 1
x +1
b. Le programme affiche les images des nombres entiers compris entre –3 et 4 par la fonction f.

3 a. f (x) = x – 1
b. (x2 + 1)(x – 1) = x3 – x2 + x – 1
3 2
c. On a alors : f (x) = x − x2 + x − 1 =
( x2 + 1)( x − 1) = x – 1.
x +1 x2 + 1
4 f est une fonction affine.
TP 4 Fonction définie par morceaux

1 Demander une valeur de x.
Si x est strictement inférieur à 2 alors
Afficher 3x – 2
Sinon
Afficher 6 – x
2 x –5 0 2 5
f (x) –17 –2 4 1
3 y
0 1 x
TP 5 Fonctions affines et droites

1 y
0 1 x
2 y
0 1 x
f est linéaire lorsque p = 0.
3 On retrouve que si m . 0, alors f est croissante ; si m , 0, alors f est décroissante ; si m = 0, alors f est constante.

4 y
0 1 x
f et g sont parallèles si et seulement si m = n.
TP 6 Titre de transport
1 Pour 1 ticket, on paie 0,90 €, donc pour x tickets, on paie 0,90x €.
Pour le tarif 2, on paie, pour x ticket, 0,45x € auquel s’ajoute l’abonnement mensuel de 7 €. Donc on paie 0,45x + 7 €.
Pour le tarif 3, on paie de manière constante tous les mois 24 €.
2 Avec TI Avec Casio
3 De 0 à 15 trajets, le tarif 1 est le plus avantageux.

De 20 à 35 trajets, le tarif le plus avantageux est le tarif 2.
Au-delà de 40 trajets, le plus avantageux est le tarif 3.
Automatismes
Calcul mental
Réflexes

1 a. L’image de 5 par f est :
f (5) = –4 × 5 + 2 = –18. 4 a. f (1) = 2
b. On cherche x tel que f (x) = 10 : –2 est un antécédent de 10, b. 2 a un antécédent par f : x = 1.
car –4 × (–2) + 2 = 10. c. L’ordonnée à l’origine est 4.
2 5 f (x) = 3 – 2x est une fonction affine car de la forme mx + p,
x –1 0 1 2 10 et h(x) = 8x est une fonction linéaire car de la forme mx.
3
f (x) 1 3 5 7 23 6 a. f (x) = –5x + 4
b. g (x) = 7x
3 a. 2 × 3 – 6 = 6 – 6 = 0, donc 3 est solution de l’équation. c. h est de la forme mx + 3 et h(1) = 5, donc m + 3 = 5. Alors
b. 2 × − 5 = –5 ≠ 5, donc − 5 n’est pas solution de l’équation. m = 2.
2 2 h(x) = 2x + 3
c. 2 × (0 + 1) = 2 et 2 × 0 + 3 = 3, or 2 ≠ 3, donc 0 n’est pas
solution de l’équation. d. m = 2 . 0, donc la fonction est croissante.
3
d. Non, l’équation admet le réel 0 comme solution unique.
e. 3x + 1 = 3(x + 2) ⇔ 3x + 1= 3x + 2, soit 1 = 2. 7 a. Comme m = 3 . 0, alors f est strictement croissante
2
f. L’équation admet 0 comme solution seulement. sur R.
b. Comme m = –3 , 0, alors g est strictement décroissante
sur R.
c. Comme m = –1 , 0, alors h est strictement décroissante
sur R.
d. Comme m = 2 . 0, alors k est strictement croissante sur R.
3
8 1. 3 253 – 1 = 1 – 1 = 0, donc f s’annule pour x = 3 253 . 3. h(1) = 9 999 × 1+ 1 = 10 000 = 100
3 253 100 100
4. L’image est –2.
2. 1 – 0,3333333333 = 1− 0,9999999999
3 3
= 0,0000000001 ≠ 0,
3
donc g ne s’annule pas pour x = 1 .
3
Exercices
9
m p 100 100( )
x – x × t = x 1− t . Donc augmenter de t% revient à
a 3 4 multiplier par 1− (
t
100
. )
2.
b –4 1
c 1 5 Produit A B C D E F
d –2 4 Prix avant diminution 70 90 150 280 350 650
e 0 –7 Prix après diminution 63 81 135 252 315 585
f 7 0 3. g (x) = 0,9x
g −1 3 14 y
2
1 −1
h 3 3 #g
1
10 1. f (5) = –3 × 5 + 2 = –15 + 2 = –13 0 1 x
2. f (–2) = –3 × (–2) + 2 = 6 + 2 = 8
3. L’ordonnée à l’origine de la droite qui représente graphi-
quement cette fonction est 2. #h
11
#f
m p Fonction affine
a –2 1 Vrai
b Faux 15 1. Airestore = 1,40(2,50 – x) = –1,40x + 3,5.
2. y
2
c 3 0 Vrai
−2 1
d 3 3 Vrai
e Faux 1
f –1 –1 Vrai 0 1 x
12 1. On commence par prendre t% de x, donc on a x × t ,

100
puis on doit ensuite ajouter x.
( )
x + x × t = x 1+ t . Donc augmenter de t% revient à
100 100
3. Il faut que –1,40x + 3,5 > 2,8 ⇔ x < 0,5. Donc, au maximum,
x doit être égal à 0,5 m.
multiplier par 1+ (t
100 ) 16
2.
Coefficient Ordonnée Fonction
Produit A B C D E F Droite
directeur à l’origine associée
Prix avant d4 –3 2 x a −3x + 2
80 100 130 300 450 700
augmentation
Prix après d2 2 –3 x a 2x − 3
84 105 136,5 315 472,5 735
augmentation 3
d3 0 xa 3x
4 4
3. f (x) = 1,05x
d1 −2 5 x a −2x +5
3 3
13 1. On commence par prendre t% de x, donc on a x × t ,
100
puis on doit ensuite le soustraire à x.

17 a. f est associée à la droite d2 (ordonnée à l’origine égale
g (2) − g (−1)
à 3). 2. m = = 6 − 3 = 1 . 0, donc g est croissante.
b. g est associée à la droite d1 (ordonnée à l’origine égale 2 − (−1) 3
à –2). 22 1. On pose f (x) = mx + 3.
c. h est associée à la droite d3.
Si f (2) = 1, alors 2m + 3 = 1. Donc m = –1 , 0. Ce qui n’est
18 1. On considère f la fonction affine de la forme mx + p pas possible puisque f est croissante. Donc l’affirmation est
associée à la droite (AB). fausse.
f (–3) = 2 et f (3) = –2 ⇔ –3m + p = 2 et 3m + p = –2. 2. On pose g (x) = mx + 1.
Alors p = 2 + 3m, on a : 3m + 2 + 3m = –2 ⇔ 6m = –4. Si g (2) = 0, alors 2m + 1 = 0. Donc m = − 1 , 0. Ce qui est
2
6 3 ( )
D’où m = −4 = − 2 , il en résulte que p = 2 + 3 × − 2 = 0.
3
possible puisque g est décroissante. Donc l’affirmation est
vraie.
Donc, pour tout x [ R, f (x) = − x.2 h (7) − h (5) 15 − 12 3
3 3. m = = = . 0, ce qui est possible car
7−5 2 2
On calcule l’image de 6 par la fonction f : f (6) = − 2 × 6 = –4. h est croissante. Donc l’affirmation est vraie.
3
Donc l’image de 6 correspond à l’ordonnée du point C, on
en déduit que les points A, B et C sont alignés. 23 1. L’ordinateur affiche
2. On considère g la fonction affine de la forme mx + p asso- 2. La fonction affine associée est f (x) = 0,5x – 3 pour tout
ciée à la droite (DE). x [ R.
g (0) = –1 et g (3) = 11 ⇔ p = –1 et 3m + p = 11. 3.
On a : 3m – 1 = 11 ⇔ 3m = 12.
D’où m = 4.
Donc, pour tout x [ R, g (x) = 4x – 1.
On calcule l’image de –3 par la fonction g :
g (–3) = 4 × (–3) – 1 = –13 ≠ –12
Donc l’image de –3 ne correspond pas à l’ordonnée du point
F, on en déduit que les points D, E et F ne sont pas alignés. 24 1. a.
3. On considère h la fonction affine de la forme mx + p asso- −3
ciée à la droite (GH). x –` 2 +`
h(–2) = 12 et h(1) = –3 ⇔ 2m + p = 12 et m + p = –3. 2x + 3 – +
On a : p = 12 + 2m, on a : m + 12 + 2m = –3 ⇔ 3m = –15.
D’où m = –5, il en résulte que p = 12 + 2 × (–5) = 2. b.
Donc, pour tout x [ R, h(x) = –5x + 2.
x –` −4 +`
On calcule l’image de 2,53 par la fonction h : 5
h(2,53) = –5 × 2,53 + 2 = –10,65 ≠ –10,5. –4x + 5 + –
Donc l’image de 2,53 ne correspond pas à l’ordonnée du
c.
point K, on en déduit que les points G, H et K ne sont pas
alignés. x –` –7 +`
x+7 – +
19 1. Comme m = 2 . 0, alors f est strictement croissante
sur R. d.

2. Comme m= –4 , 0, alors f est strictement décroissante x –` 8 +`
sur R.
8–x + –
3. Comme m = 1 . 0, alors f est strictement croissante sur R.
4. Comme m = –1 , 0, alors f est strictement décroissante 2.
sur R.
5. Comme m = 3 . 0, alors f est strictement croissante sur R. Nombre dont l’image Nombre dont l’image
est positive par … est négative par…
6. Comme m = – 2 , 0, alors f est strictement décroissante f 2 –2
7
sur R.
g –3 3
20 1. Comme m = –2 . 0, alors f est strictement décroissante h –5 –8
sur R.
j 5 9
2. Comme m = –1 , 0, alors g est strictement décroissante
sur R.
25 1.
3. Comme m = 1 . 0, alors h est strictement croissante sur R.
3 x –` 2 +`
4. Comme m = 2 , 0, alors l est strictement croissante 3x – 6 – +
3
sur R. 2.
x –` 2 +`
21 1. m = f (6) − f (2) = 3 − 5 = − 1 , 0, donc f est
6−2 4 2 –4x + 8 + –
décroissante.

3. 29 1. La fonction donne le signe de l’image par f du nombre
x 1 x donné au départ.
–` 4 +`
2. –2 est la valeur qui annule la fonction f.
–2x + 1 + – 30 1. Si la température baisse de 1 °C toutes les 10 minutes,
2
alors elle baisse de 0,1 °C toutes les minutes,
4.
donc T = 20 – 0,1t avec t en minutes.
x –` –3 +` 2.
y
x+3 +
−4 – 20
0 20 x
26
1.
3 3. a. La température est restée positive pendant 200 minutes,
x –` +`
2 soit 3 h et 20 minutes.
2x – 3 – + b. À partir de 200 minutes, le réfrigérateur a eu une tempé-
rature négative.
2. c. Au bout de 380 minutes, c’est-à-dire 6 h et 20 minutes, la
4 température de congélation a atteint –18 °C.
x –` +`
5 4. On doit résoudre 20 – 0,1t = 0 ⇔ t = 200.
4 – 5x + – La température est restée positive pendant 200 minutes. Le
réfrigérateur a eu une température négative à partir de 200
3. minutes.
x –` –10 +` On doit résoudre 20 – 0,1t = –18 ⇔ t = 380.
1x + 5 Au bout de 380 minutes, c’est-à-dire 6 h et 20 minutes, la
– + température de congélation a atteint –18 °C.
2
4. 31 Soit m le coefficient directeur de la droite (AB) :
x –` − 3 +` m = −1− 2 = − 1 . L’ordonnée à l’origine de la droite (AB)
3 4 − (−2) 2
x 3 +1 est p = 2 − 1 × 2 = 1.
– + 2
2
Donc la fonction affine est f ( x) = − 1 x + 1, son tableau de
2
signes est :
27 1.
d1 : x –` 2 +`
x –` –3 +` – 1x + 1 + –
2
– +
d2 : 32 1. Pour tout x [ R, f (x) = 1,8x + 32.
2. L’eau gèle à 0 °C, donc f (0) = 32, soit à 32 °F.

x –` 2 +` 3. On résout : 230 = 1,8x + 32 ⇔ 198 = 1,8x,
+ – donc x = 198 = 110.
1,8
d3 : 230 °F correspondent à 110 °C.
x –` +` 4. f (x) . 0 ⇔ 1,8x + 32 . 0, donc x . − 32 ⇔ x . –17,8.
1,8
– – À partir de –17,8 °C, on a f (x) . 0.
2. La fonction f est représentée par la droite horizontale. 33 1. a. f (x) = 6x pour le tarif A, et g (x) = 4x + 16 pour le tarif B.
La fonction g est représentée par la droite passant par le b. y #
g
point B.
La fonction h est représentée par la droite passant par le
point A.
28 1. Le résultat de f (0) = –2 700 correspond au déficit de
#f
l’entreprise si elle ne vend rien. 10
2.
0 10 x
x –` 900 +`
3x – 2 700 – + 2. a. On cherche les abscisses des points de la courbe #f se
situant strictement au-dessus de #g. S = ]8 ; +`[
Pour que le bénéfice soit positif, il faut que l’entreprise vende b. f (x) . g (x) ⇔ 6x . 4x + 16
au moins 900 magnets. ⇔2x . 16
⇔x . 8

Donc S = ]8 ; +`[. 3. f (–2) = –3 × (–2) + 2 = 8
c. Pour au plus 8 visites, le tarif A est avantageux.
Pour plus de 8 visites, le tarif B est avantageux.
37 1. Casio
34 A M B
N L
K
D T C
On pose AM = x.
P(AMKN) = 2(2 + x) = 4 + 2x TI
P(TKLC) = 2(15 – x + 3)
= 2(18 – x) = 36 – 2x
P(AMKN) = P(TKLC) ⇔ 4 + 2x = 36 – 2x
⇔4x = 32
⇔x = 8
Il faut placer le point M à 8 unités de longueur du point A.
35 1. Prix (en €)
#g A 2. Affichages ci-dessus.
10 000 3. Casio
8 000 #f
6 000
4 000
2 000
0
0
0
00
00
00
00
00
00
00
00
00
TI
1
Nombre de véhicules
2. La fonction d’offre f est strictement croissante sur [0 ; +`[,
car son coefficient directeur est positif.
La fonction de demande g est strictement décroissante sur
[0 ; +`[, car son coefficient directeur est négatif.
3. Graphiquement, le point d’intersection a pour coordon-
nées (8 000 ; 10 000).
Le prix d’équilibre est donc de 10 000 €.
4. f (x) = g (x) ⇔ 0,5x + 6 000 = –0,375x + 13 000
⇔ 0,875x = 7 000 D’après le graphique, le point d’intersection a pour abscisse
⇔ x = 7000 = 8 000 x ≈ 0,69.

0,875 f (x) = g (x) ⇔ 1 x – 1 = –4x + 2
Donc f (8 000) = 0,5 × 8 000 + 6 000 = 10 000. 3
On retrouve le résultat déterminé graphiquement. 1
⇔ x + 4x = 3
3
36 1. f (5) = –3 × 5 + 2 = –13 : l’image de 5 par f est –13. 13
⇔ x=3
2. 10 = –3x + 2 ⇔ 8 = –3x, donc x = − 8 . L’antécédent de 10 3
3
par f est − 8 . Donc x = 9 ≈ 0,69.
3 13
Exercices
38 f (x) = 2x – 3. 40 1.
39 1. Le coefficient directeur de la droite est positif, donc f Prix affiché P1 en euros 15 53 93,5 125 x
est croissante sur R. Montant R en euros
2. Comme f est croissante, si –2 < x < 5 alors f (–2) < f (x) < f (5), 3 10,6 18,7 25 0,2x
de la remise
car f conserve l’ordre (lorsque les abscisses augmentent, les
Prix soldé P2 en euros 12 42,4 74,8 100 0,8x
images augmentent aussi).
Or f (–2) = –10 et f (5) = 11. 2. f (x) = 0,2x
Donc les images sont dans l’intervalle [–10 ; 11]. 3. g (x) = 0,8x
4. h(x) = x = 1,25x
0,8

41 1. f est une fonction décroissante, car lorsque les abscisses Le prix du vitrail n°2 sera alors égal à : 2 × 2 + 6 × 4 = 28,
augmentent, les images diminuent. soit 28 €.
2. y Le prix du vitrail n°3 sera alors égal à : 3 × 2 + 5 × 4 = 26,
A soit 26 €.
48 a. 3x – 5 < 7 ⇔ 3x < 12
⇔x<4
1 Donc S = ]–` ; 4].
b. 2x + 5 > –3 ⇔ 2x > –8
0 1 x ⇔x > –4
Donc S = [–4 ; +`[.
B c. 1 x – 2 < 6 ⇔ 1 x < 8
2 2
⇔ x < 16
3. f (x) = –3x + 2 Donc S = ]–` ; 16].
4.
d. – 1 x + 5 > –4 ⇔ – 1 x > –9
1 3 3
x –6 –1 0 2 5 47 ⇔ x < 27
3
Donc S = ]–` ; 27].
Image
20 5 2 1 –4 –13 –13
f (x) e. 4 x – 1 , 1 ⇔ 4 x , 4
3 3 3 3
⇔x , 1
42 Les points C et E. Donc S = ]–` ; 1[.
43 1. f. − 7 x + 2 . 3 ⇔ − 7 x . 1
5 5
Prix P1
avant 100 60 45 90 125 77 24 ⇔x , − 5
7
les soldes 5
Donc S = ]–` ; − [.
Nouveau 7
75 45 33,75 67,5 93,75 57,75 18
prix P2 g. x + 4 . 5 ⇔ 1 x . 1 ⇔ x . 2
1
2 2
2. f (x) = 0,75x S = ]2 ; +`[
3. g (x) = 4 x h. – 1 x + 1 < 0 ⇔ – 1 x < – 1 ⇔ x > 1
3 5 5 5 5
S = [1 ; +`[
44 1. On pose f (x) = 50x + B où B est le salaire de base. On a
f (10) = 1 700. 49 1. Casio
f (10) = 17 000 ⇔ 500 + B = 1 200
⇔ B + 1 200
f (x) = 50x + 1 200
2. g (x) = 120x + 710
3. On résout : f (x) = g (x) :

f (x) = g (x)⇔50x + 1 200 = 120x + 710
⇔ 50x – 120x = 710 – 1 200
⇔ –70x = –490
⇔ x = − 490 = 7. TI
−70
Avec 7 contrats vendus, les salaires sont identiques.
45 1. 3x – 5 = –2x + 7 ⇔ 3x + 2x = 7 + 5
⇔ 5x = 12
⇔ x = 12 = 2,4
5
2. 2,4 l’abscisse du point d’intersection des deux droites
représentant les fonctions affines f (x) = 3x – 5 et g (x) = –2x + 7.
46 1. Le calculateur affiche . Casio
2.
47 On pose x le prix du triangle en bleu de cobalt.

Le vitrail n°1 coûte 24 €, donc 24 = 4x + 4 × 2x = 12x.
On obtient x = 2.

TI
(
G2 1,25 + 1,5 + 1,75 + 2 ; 10,3 + 10,2 + 9,9 + 10, 4
4 4 )
Donc G2 13 ;
8 5
51 . ( )
3. L’équation de la droite (G1G2) est de la forme y = mx + p.
51 − 397
m= 5 40 = 11 et 13 × 11 + p = 51 ⇔ p = 3 121
13 − 5 40 8 40 5 320
8 8
2. f (x) = g (x) ⇔ 2x +1 = 2x+ 3
⇔ 2x +2x = 3 – 1 Donc l’équation est : y = 11 x + 3 121 .
40 320
⇔ x ( 2 + 2) = 3 − 1 4. 11 × 2,5 + 3 121 = 3 341 ≈ 10, 44
40 320 320
3 −1
⇔x = On ne peut pas utiliser cette droite pour estimer le poids d’un
2 +2
3. On obtient en valeur approchée pour x ≈ 0,21, ce qui est casque pris après 2,5 heures de fabrication car, obligatoire-
cohérent avec la résolution graphique. ment, après 2,5 heures de fabrication, le casque ne pourrait
pas être homologué.
50 On pose x le nombre de tirages.
54 1. La conclusion d’Archimède est que la couronne n’était
f (x) = 0,15x et g (x) = 12 + 0,09x.
On cherche x tels que : g (x) , f (x) ⇔ 12 + 0,09x , 0,15x pas en or.
⇔ 12 , 0,06x 2. ρ(argent) = 1000 ≈ 10,5g / cm3
95
⇔ 12 , x ρ(or) = 1000 ≈ 19,6g / cm3
0,06 51
⇔ 200 , x
3. f (x) = x × 1 + (1 000 − x ) × 1 = − 13 x + 2 000 .
À partir de 201 tirages, la formule avec forfait est la plus 19,6 10,5 294 21
intéressante. f est bien une fonction affine.
51 a. Vrai. On peut écrire une fonction linéaire comme
100
f (x) = ax + 0. 90
b. Faux. La fonction f (x) = 2x – 3 est une fonction affine mais 80
pas linéaire. A (683,85 ; 65)
70
c. Vrai. On peut écrire une fonction constante comme 60
f (x) = 0x + b. 50
d. Vrai. La représentation graphique d’une fonction affine 40
est une droite. 30
e. Vrai. Il y a proportionnalité. 20
10
f. Faux. g peut s’écrire g (x) = ax + b. a = −1− 7 = 2 et
1− 5 0
1 × 2 + b = –1 ⇔ b = –3, donc g (x) = 2x – 3. 100 200 300 400 500 600 700 800
g (–2) = 2 × (–2) – 3 = –7 4. La couronne était composée de 683,85 g d’or et de

1 000 – 683,85 = 316,15 g d’argent.
52 1. 2x + 1 = –2x + 3
55 1.
⇔ 2x + 2x = 3 – 1
⇔ ( 2 + 2) x = 2 v 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5
v 2
0,01 0,04 0,09 0,16 0,25
⇔x= 2
2 +2 Ec 0,1 0,4 0,9 1,6 2,5
2. La solution représente l’abscisse du point d’intersection
des droites représentant les fonctions f et g. 2.
2,0
53 1. 1,8
9,2 1,6
1,4
9,2
G2 1,2
9,2 1,0
9,2 G1 0,8
9,2 0,6
0,4
9,2
0,2
9,2
0 0,1 0,2 0,3
9,0
0 0,4 0,8 1,2 1,6 2,0
3. Il y a proportionnalité entre le carré de la vitesse et l’énergie
(
2. G1 0,25 + 0,5 + 0,75 + 1 ; 9,7 + 10,2 + 10 + 9,8
4 4 ) cinétique, donc l’énergie cinétique est une fonction linéaire
du carré de la vitesse de l’objet.
Donc G1 ;5
(
397
8 40
. )
Exercices
56 k(0) = 273,15 et k(–273,15) = 0. 3. (BC) // (DE), de plus les points A, C, E et A, B et D sont
k est une fonction affine de la forme : k(x) = mx + p. rangés dans cet ordre. D’après le théorème de Thalès, on a :
Alors k(0) = p = 273,15 et BC = AB ⇔ m = 1
k(–273,15) = –273,15 m + 273,15 = 0. ED AD ED 3
On en déduit que : ED = 3m.
Donc m = −273,15 = 1.
−273,15 4. Graphiquement, p = 1,5.
On en déduit que k(x) = x + 273,15 . y − yA
5. m = C = 2,75 − 1,5 = 1,25
57 1. xC − x A 1− 0
y
59 1. Pour x kilomètres parcourus, le nombre de litres utilisé
est x × 7,5 = 0,075x.
100
Donc le nombre de litres restant dans le réservoir est donné
par la fonction suivante : f (x) = 60 – 0,075x.
5 2. On calcule f (350) :
f (350) = 60 – 0,075 × 350 = 33,75.
0 5 x Pour 350 km parcourus, il reste 33,75 litres dans le réservoir.
3. En t heures, la distance parcourue est 110 t.
Donc le nombre de litres utilisé est alors 110 × 7,5t = 8,25 t.
100
2. On en déduit que : g (t) = 60 – 8,25 t.
4. 110 km sont parcourus en 1 h, donc 350 km sont parcourus
en 35 h.
11
( ) ( )
On calcule g 35 : g 35 = 60 – 8,25 × 35 = 33,75.
11 11 11
On retrouve le résultat de la question 2.
58 1. Comme f est strictement croissante, alors m . 0. 60 1. Il y a 100 points à coordonnées entières.
· et ·
2. Comme (BC) // (DE) alors les angles ACB AED sont 2. a. Il y a 15 points à coordonnées entières pour x [ [1 ; 100].
· ·
égaux. De plus, CAB = EAD . b. Pour compter le nombre de points à coordonnées entières,
Donc les triangles ABC et ADE sont semblables. on rentre l’instruction suivante :
=NB.SI(C2:C102; “entier”)
SYNTHÈSE
Exercices
61 1. Mai Lan a mis 45 minutes pour parcourir les 10 km.

x –` +`
Comme Alexandre est parti 10 minutes après Mai Lan, il a
mis 35 minutes pour parcourir les 10 km. Sa vitesse sera donc f (x)
1× 10 = 2 ≈ 0,29 km·min–1 puisque sa vitesse est constante.
35 7 3. y
D’après le graphique, Mai Lan a mis 20 minutes pour parcourir
les 5 premiers kilomètres. Alexandre quant à lui aura mis 17,5
minutes pour les parcourir, donc il la dépassera au bout de A (0,79 ; 1,41)
17,5 + 10 = 27,5 minutes, puisque Mai Lan a fait une pause 1
de 10 minutes. 0 x
1
2. D’après le graphique, Mai Lan a mis 15 minutes pour parcourir
5 km donc sa vitesse est de 1× 5 = 1 ≈ 0,33 km·min–1.
15 3
Donc c’est Mai Lan qui roulait le plus vite lorsqu’ils ont franchi 4. La solution de l’inéquation est : ]–` ; 0,79[.
l’arrivée.
5. f ( x) > 2 ⇔ −2x + 3 > 2 ⇔ x < 3 − 2
62 1. L’expression de f est de la forme : 2
f (x) = ax + b. Donc S = ⎤−∞; 3 − 2 ⎡ .
⎥⎦ 2 ⎢⎣
a = −7 − 1 = −2 et –2 × 1 + b = 1 ⇔ b = 3 6.
5−1
Donc f (x) = –2x + 3. x 3
–` 2 +`
2. –2 , 0, donc f est strictement décroissante sur R.
–2x + 3 + –

63 Partie A Coût (en €)
1. E(7 ; 210)
2. Les points d’intersection sont les points A(3 ; 90) et 400
B(15 ; 210). A
300
3. La représentation de la fonction g est la droite. #
4. L’image de 12 par la fonction g est 180.
200
5. L’antécédent de 150 par g est 9.
6. Il faut résoudre g( x) = 150 . 100
5
g( x) = 150 ⇔ 10x + 60 = 150 ⇔ 10x = 90 ⇔ x = 9
Partie B 0 100 200

1. Le tarif N correspond à la droite. Nombre de stylos
Le tarif P correspond à la courbe passant par le point E. Si p = 100, alors B(x) = 2,5x – 1,25x – 100 = 1,25x – 100
2. B(x) . 0 ⇔ 1,25x – 100 . 0
220
200 ⇔x . 100
1,25
180 ⇔x . 80
160
À partir de 81 stylos, l’entreprise fera des bénéfices.
140
Si p = 150, alors B(x) = 2,5x – 1,25x – 150 = 1,25x – 150
120
B(x) . 0 ⇔ 1,25x – 150 . 0
100
80 ⇔ x . 150
60
1,25
40
⇔ x . 120
20 À partir de 121 stylos, l’entreprise fera des bénéfices.
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 65 1. Pour x = 2 :
3. Le tarif N est plus avantageux que les deux autres entre 4 Airedomaine hachuré = 2 × 7 = 14.
et 15 voyages. Pour x = 7 :
Airedomaine hachuré = 7 × 3 + 5 × 2 + 2 × 2 = 35.
64 1. Pour tout x > 0, R(x) = 2,5x.
2. C(0) = 180. Les coûts fixes sont de 180 €. 2. a. Pour x [ [0 ; 3] : A(x) = 7x.
Le coût variable est 1,25 € par stylo. Pour x [ [3 ; 5] :
3. B(x) = R(x) – C(x) A(x) = 3 × 7 + (x – 3) × 5 = 21 + 5x – 15
= 2,5x – (1,25x + 180) = 5x + 6.
= 2,5x – 1,25x – 180 = 1,25x – 180 Pour x [ [5 ; 8] :
4. A(x) = 3 × 7 + 2 × 5 + (x – 5) × 2
Coût (en €)
= 21 + 10 + 2x – 10 = 2x + 21.
400 Pour x [ [8 ; 9] :
A(x) = 21 + 10 + 6 + (x – 8) × 9
#
300 = 21 + 10 + 6 + 9x – 72 = 9x – 35.

200 66 1. Le déplacement coûte 40 €.
2. Pour 1 h, il facture 90 €.
100
5 On détermine la fonction affine associée au prix :
f (x) = mx + 40.
0
f (1) = m + 40 = 90, alors m = 50.
100 200
Nombre de stylos Donc, pour tout x > 0, f (x) = 50x + 40.
5. Par lecture graphique, l’entreprise fera des bénéfices à Pour 5 heures de travail, on calcule alors f (5) :
partir de 145 stylos vendus. f (5) = 50 × 5 + 40 = 290.
6. R(x) . C(x) ⇔ B(x) . 0 Pour 5 heures de travail, il facturera 290 €.
⇔ 1,25x – 180 . 0
⇔ 1,25x . 180
⇔ x . 180
1,25
Donc x . 144, donc l’entreprise fera des bénéfices à partir
de 145 stylos vendus.
7. D’après le graphique, l’entreprise fera des bénéfices à partir
de 81 stylos vendus si le coût fixe est à 100 €.
D’après le graphique, l’entreprise fera des bénéfices à partir
de 121 stylos vendus si le coût fixe est à 150 €.

Questions Va piano 1. Courbe rouge : voiture de 7 CV ou plus.

Courbe bleue : voiture de 3 CV ou moins.
1.
Kilomètres 10 000
0 5 000 5 001 20 000 20 001 30 000
parcourus
8 000
Frais (en €) 0 2 050 2 049,245 5 720 5 720,286 8 580
6 000
2.
4 000
5 000
2 000
4 000
3 000 0
0
00
00
00
00
00
00
4
12
16
20
24
2 000 2. Pour réduire ses frais de moitié en changeant de voiture, il
faudrait que les frais au-delà de 20 000 km pour une voiture
1 000
de 3 CV ou moins soient de 0,20005 d.
0
68
4 0
6 0
8 0
10 00
12 00
14 00
16 0
18 00
20 00
22 0 0
0
00
00
00
00
00
Questions Va piano
0
0
0
0
0
0
2
1.
Questions Moderato x –3 –1,5 0 1 2
1. f (x) –13 –8,5 –4 –1 2
10 000
2.
y
8 000
6 000
1
4 000
0 1 x
2 000
0
0
00
00
00
00
00
00
4
12
16
20
24
3. Le coefficient directeur de la droite représentant la fonc-

2. On peut résoudre graphiquement. tion f est 3 . 0, donc f est croissante sur R.
10 000
8 000 Questions Moderato

A 1. y
6 000 (20 612,64 ;
7 503,00)
4 000
1
2 000
0 1 x
0
0
0
00
00
00
00
00
00
4
12
16
20
24
Par le calcul, on obtient 7 503 ÷ 0,364 ≈ 20 612,64 €.

3. Elle peut réduire ses frais en changeant de voiture. 2.
Si elle prend une voiture de 4 CV, ses frais seront d’environ f (b) − f (a)
a b
6 844 €, ce qui ne représente qu’une baisse d’environ 8,8 %. b− a
Si elle prend une voiture de 3 CV ou moins, ses frais seront
–3 5 3
d’environ 5 895,22 €, ce qui représente une baisse d’environ
21,43 %. 2 7 3

Questions Allegro
1. f (b) − f (a) = (3b − 4) − (3a − 4) = 3b − 3a = 3(b − a)
2. Si a < b, alors b – a > 0, donc f (b) − f (a) > 0 .
Si a > b, alors b – a < 0, donc f (b) − f (a) < 0 .

4 Fonctions carré
et cube
1 a. –25 b. 25 c. 18 5 a. 2x + 4
d. 8 e. 54 f. 1 b. –8x + 1
8 2
g. 216 h. 49 i. 24 c. x2 – 1
9 d. 2x2 – 7x – 4
2 a. Vrai.
b. Faux. e. –2x2 + 1
2
c. Faux.
d. Faux. 6 a. Faux. En effet, comme le triangle est rectangle, on doit
e. Vrai. avoir : CB2 = CA2 + AB2.
f. Faux. Or CA2 + AB2 = 6,82 + 3,22 = 46,24 + 10,24 = 56,48.
Donc CB = 56, 48 ≠ 7,5, car 7,52 = 56,25.
3 a. Produit. b. Vrai. On a AC2 + AB2 = 122 + 52 = 144 + 25 = 169 = 132 = CB2.
b. Produit. Donc, d’après le théorème de Pythagore, le triangle est
c. Somme. rectangle en A.
d. Produit.
e. Somme. 7 a. 21
f. Somme. b. 0
c. –3
4 1. Réponse a.
2. Réponse c.
Situation 1 Un lieu de points

1 et 2 Voir graphique de l’énoncé.
3 Le point N se trouve en O lorsque a = 0.

y
M 0B
ON 1 x
4 a. On a : · · = 90°.
AOM = BOM
Par ailleurs, · · , donc comme dans un triangle la somme des angles est égale à 180 °, on a :
AMO = 90 – BMO
· + BMO
BOM · + MBO· = 90 + 90 – · · = 180, donc MBO
AMO + MBO · = · AMO.
Comme les deux triangles ont deux angles égaux deux à deux, leurs troisièmes angles sont égaux deux à deux.
Les triangles OMB et OAM sont donc semblables.
Chapitre 4 Fonctions carré et cube 59

b. Comme les triangles sont semblables, on peut écrire :
OM = MB = OB , donc OM2 = OA × OB.
OA AM OM
2 2
c. L’abscisse de N est donc OM = A et l’ordonnée de N est OB = OM = a = a2 .
OA 1
Donc N(a ; a2).
Situation 2 Une aire

L’aire de la croix orange est égale à quatre fois l’aire des rectangles orange ajoutée à l’aire du carré orange central.
L’aire d‘un rectangle orange est x × 1, donc l’aire des quatre rectangles orange est 4x.
L’aire du carré central orange est x2, donc l’aire de la croix orange est x2 + 4x.
L’aire du rectangle bleu est 9x.
On cherche x tel que x2 + 4x = 9x.
x2 + 4x = 9x ⇔ x2 – 5x = 0 ⇔ x(x – 5) = 0 ⇔ x = 0 ou x = 5.
Il y a deux valeurs de x pour lesquelles l’aire de la croix orange est égale à l’aire du rectangle bleu : 0 et 5.
Situation 3 Inéquations produit

Pour les éditions 01 à 04 du manuel de l’élève, une coquille s’est glissée : il faut lire 3 à la place de –3 dans le tableau de signes.
1 On développe : (x – 4)(–x + 3) = –x2 + 3x + 4x – 12 = –x2 + 7x – 12.
2
x –` 3 4 +`
Signe de x – 4 – – +
Signe de –x + 3 + – –
Signe de (x – 4)(–x + 3) – + –
3 f (7) . 0 f (–2) , 0 f (–100) , 0
4 a. Pour x appartenant à l’intervalle ]–` ; 3], f (x) ¯ 0.

b. Pour x appartenant à l’intervalle [3 ; 4], f (x) ˘ 0.
5 L’inéquation f (x) ˘ 0 a pour ensemble de solutions : S = [3 ; 4].
Situation 4 Une comparaison d’images

1 Question sur logiciel.
2 x [ [1 ; +`[

3 On a x ¯ x2 ¯ x3.
4 Sur [0 ; 1], on a x3 ¯ x2 ¯ x.
Sur [1 ; +`[, on a : x ¯ x2 ¯ x3.
1 La phrase se traduit par : soient a et b deux nombres réels quelconques de l’intervalle ]–` ; 0] tels que a ¯ b.
2 La phrase se traduit par f (a) ˘ f (b).
3 a et b sont deux nombres négatifs. Lorsqu’on additionne deux nombres négatifs, le résultat est négatif. Donc a + b est
négatif.
4 On a utilisé la règle des signes.
5 On utilise la parité de la fonction carré.

1 • On suppose k . 0. x2 – k = x2 – k 2 = ( x − k )( x + k ).
60 Chapitre 4 Fonctions carré et cube

• On a alors :
x2 – k = 0 ⇔ ( x − k )( x + k ) = 0
⇔ ( x − k ) = 0 ou ( x + k ) = 0 Or, un produit de facteurs est nul si et seulement si l’un de ses facteurs est nul.
⇔ x = k ou x = − k .
• On suppose k = 0.
x2 = 0 ⇔ x = 0, car x2 est le produit des deux facteurs x. Un produit de facteurs est nul si et seulement si l’un de ses facteurs
est nul. Ici il n’y a que x.
• On suppose k , 0. Comme x2 est un réel toujours positif ou nul, il ne peut exister de solution à cette équation.
2 x [ [0 ; 1] ⇔ 0 ¯ x ¯ 1
• On multiplie chaque membre par x. Comme x est positif, on ne change pas le sens des inégalités :
0 ¯ x2 ¯ x
• On multiplie à nouveau chaque membre par x. Comme x est positif, on ne change pas le sens des inégalités :
0 ¯ x3 ¯ x2
• On a donc bien x ¯ x ¯ x.
3 2

1 On calcule f (–1) et f (1). On a : f (–1) = 2 × (–1)3 + 1 = –2 + 1 = –1.
De même : f (1) = 2 × 13 + 1 = 2 + 1 = 3.
f (–1) ≠ –f (1), donc la fonction n’est pas impaire.
2 On calcule g (–1) et g (1). On a : g (–1) = (–1)2 – (–1) = 1 + 1 = 2.
De même : g (1) = 12 – 1 = 1 – 1 = 0.
g (–1) ≠ g (1), donc la fonction n’est pas paire.
Travaux pratiques
TP 1 Calculer l’aire sous la parabole

1 a. Les rectangles ont pour largeur 0,1 et pour longueur l’image des nombres 0,1 ; 0,2 ; … ; 0,9 et 1 par la fonction f.
b. On doit calculer :
0,1 × f (0,1) + 0,1f (0,2) + … + 0,1 × f (0,9) + 0,1 × f (1) = 0,1(0,12 + 0,22 + … + 0,92 + 12) = 0,385
2
3 a.
b.
c. On conjecture que cette aire vaut 1 .

3

TP 2 Étudier une fonction polynôme
1
2 La fonction f semble croissante sur ]–` ; 0] et décroissante sur [0 ; +`[.
On trouve n = 708.
TP 3 Algorithme de dichotomie
1
a b b–a m m2 Test m2 . 2
1 2 1 1,5 2,25 vrai
1 1,5 0,5 1,25 1,562 5 faux
1,25 1,5 0,25 1,375 1,890 625 faux
2 Cet algorithme détermine un encadrement d’amplitude 10–1 de la solution de l’équation x2 = 2 sur l’intervalle [a ; b].

5
TP 4 Polygones variables
1
y
D F E
Aire de Aire de
1 ABD BCEF
= 7,16 = 7,29
A
0 1 B C x
Pour AB ≈ 5,3, les aires sont environ égales à 7,2.

2 On pose x = AB.
Le côté du carré BCEF est égal à 8 – x, donc son aire vaut (8 – x)2.
La hauteur du triangle ABD est égale à la longueur du côté du carré BCEF donc vaut 8 – x.
La base AB est égale à x.
L’aire du triangle ABD est : (
x 8 − x)
.
2
On cherche x tel que (
x 8 − x)
= (8 – x)2.
2
x (8 − x )
= (8 – x)2 ⇔ (
x 8 − x)
− (8 – x)2 = 0
2 2
( )
⇔ (8 – x) x − (8 − x ) = 0
2
⇔ (8 – x) ( 3 x − 8) = 0
2
⇔ 8 – x = 0 ou 3 x – 8 = 0
2
x = 8 ou x = 16 .
3
Or x . 0. Donc le point B sera tel que AB = 16 ≈ 5,3.

3
TP 5 Une équation peut en cacher une autre

1
Avec TI
On conjecture deux solutions.
Avec Casio
2 a. (3x + 7)(x – 2) = 3x2 – 6x + 7x – 14 = 3x2 + x – 14

b. (E) ⇔ 3x2 = –x + 14 ⇔ 3x2 + x – 14 = 0 ⇔ (3x + 7)(x – 2) = 0
⇔ 3x + 7 = 0 ou x – 2 = 0
7
{ 7
⇔ x = – 3 ou x = 2 S = − 3 ; 2 . }

Automatismes
Calcul mental Réflexes

1 a. 36 = 6 5 a. 1,36 , 1,37 et la fonction carré est strictement crois-
b. 32 = 3 sante sur [0 ; +`[, donc 1,362 , 1,372.
c. ( 7 ) = 7 × 7 = 49
4 b. (–π)2 = π2, car la fonction carré est paire.
d. 144 = 12 π . 3,1 et la fonction carré est strictement croissante sur
[0 ; +`[, donc π2 . 3,12 d’où (–π)2 . 3,12.
e. (−2)2 = 2
c. (–0,10)2 = 0,102, car la fonction carré est paire.
f. −3 52 = −3 × 5 = −15 0,10 , 0,11 et la fonction carré est strictement croissante sur
g. (2 − 3 )(2 + 3 ) = 4 − 3 = 1 [0 ; +`[, donc 0,102 , 0,112 d’où (–0,10)2 , 0,112.
h. (3 5 ) = 9 × 5 = 45
2
d. –2,5 , –2,4 et la fonction carré est strictement décroissante
i. (− 3 − 5 )(− 3 + 5 ) = 3 − 5 = −2 sur ]–` ; 0], donc (–2,5)2 . (–2,4)2.
j. − (−3)2 = −3 6 a. 52 , 53
{
2 a. S = 3 ; 1
2 7 } b. 0,32 . 0,33
c. 0,642 . 0,643
b. S = {0}
d. 4,72 , 4,73
c. S = {0 ; 3}
d. S = {2} 7 1. Réponse a.
{
e. S = 8 ; − 1
5 } 2. Réponse c.
3. Réponse a.
3 a. Positif.
b. Négatif. 8 a. C’est une somme de deux termes, qui sont (x + 1)2 et
c. Positif. (x + 2)2.
d. Positif.
b. C’est un produit de deux facteurs, qui sont x et (x – 5).
e. Positif.
c. C’est une somme de deux termes, qui sont x2 et –9.
f. Positif.
g. Négatif. d. C’est un produit de deux facteurs, qui sont (2x – 1) et
(2x – 1).
4 1. Faux, elle n’a aucune solution, car un carré est toujours e. C’est un produit de deux facteurs, qui sont –2 et (x – 4).
positif. f. C’est une somme de deux termes, qui sont x(x – 1) et 3x.
2. Faux, la fonction carré est croissante sur [0 ; +`[ et décrois-
sante sur ]–` ; 0]. 9 a. Positif.
3. Vrai, car (2 2 ) = 4 × 2 = 8 . b. Positif.
2
4. Faux (contre-exemple : (–1)3 = –1 et 13 = 1). c. Négatif.

5. Vrai, car (2x)2 = 4x2 et (–2x)2 = 4x2. d. Positif.

6. Vrai, car (–2)2 = 4 ¯ 4. e. Négatif.
7. Faux, car (2 × 1 + 3)(1 – 4) = 5 × (–3) = –15 , 0. f. Positif.
Exercices
10 1. Pour tout réel x, on a : f (–x) = –(–x)2 + 1 = –x2 + 1 = f (x). 13 1. C’est faux. Contre-exemple : (1 + 3)2 = 42 = 16 est dif
La fonction est paire. férent de 12 + 32 = 1 + 9 = 10.
2. On a alors f (–250) = f (250). 2. C’est vrai : si x = 2, alors x2 = 22 = 4.
11 1. A(x ; 2) [ C ⇔ x2 = 2 ⇔ x = − 2 ou x = 2 . 3. C’est faux : si x2 = 4, alors x = 2 ou x = –2.
Comme x ¯ 0, x = – 2 . 4. C’est vrai : comme la fonction carré est décroissante sur ℝ—,
B(x ; 7) [ C ⇔ x2 = 7 ⇔ x = − 7 ou x = 7 . si –4 , x , –1, alors (–4)2 . x2 . (–1)2.
Comme x ˘ 0, x = 7 . 5. C’est faux : si 1 , x2 , 16, alors 1 , x , 4 ou 4 , x , –1.
L’écart entre les abscisses de A et B est : xB – xA = 7 + 2 . 6. C’est vrai : si –2 ¯ x ¯ 2, alors –2 ¯ x ¯ 0 ou 0 ¯ x ¯ 2.
2. D’après la calculatrice, écart ≈ 4,06. Comme la fonction carré est décroissante sur ℝ—, si –2 ¯ x ¯ 0
12 1. Comme 2,3 ¯ R ¯ 2,4 et que la fonction carré est crois- alors 4 ˘ x2 ˘ 1.
sante sur [0 ; +`[, on a : 5,29 ¯ R2 ¯ 5,76. Comme la fonction carré est croissante sur ℝ—, si 0 ¯ x ¯ 2
2. Le cylindre a pour volume V = hπR2 = 10πR2. alors 0 ¯ x2 ¯ 4.
5,29 ¯ R2 ¯ 5,76, donc 10π × 5,29 ¯ 10πR2 ¯ 10π × 5,76, donc Dans les deux cas, x2 ¯ 4.
166,19 cm3 ¯ V ¯ 180,96 cm3. 7. C’est faux. Contre-exemple : –1 , 0 , 2 et pourtant 0 n’est
Comme 1 000 cm3 = 1 dm3 = 1 L, on a : 0,17 L ¯ V ¯ 0,18 L. pas compris entre 1 et 4.

14 • f (x) = 0 ⇔ (x + 1)2 = 0 ⇔ x + 1 = 0 ⇔ x = –1, donc l’anté- 3. Bénéfice = Recette – Coût
cédent de 0 par f est –1. D’après le graphique, la boulangerie ne fait pas toujours des
• f (x) = 4 ⇔ (x + 1)2 = 4 ⇔ (x + 1)2 – 4 = 0 ⇔ (x + 1 – 2)(x + 1 + 2) = 0 bénéfices puisque la courbe de la recette n’est pas toujours
⇔ (x – 1)(x + 3) = 0 ⇔ x – 1 = 0 ou x + 3 = 0 ⇔ x = 1 ou x = –3, au-dessus de celle de la fonction Coût.
donc les antécédents de 4 par f sont –3 et 1. 23 a. S = {− 6 ; 6 }
• f (x) = 10 ⇔ (x + 1)2 = 10 ⇔ (x + 1)2 – 10 = 0
⇔ ( x + 1− 10 )( x + 1 + 10 ) = 0 b. L’équation n’a pas de solution. S = ∅.
⇔ x + 1 – 10 = 0 ou x + 1 + 10 = 0
⇔ x = –1 + 10 ou x = −1− 10 ,
{
c. S = − 2 ; 2
2 2 }
donc les antécédents de 10 par f sont −1 + 10 et −1− 10 . d. S = {−2 2 ; 2 2 }
15 1. énergie(10,12) retourne 0,5 × 10 × 122 = 720 joules. e. S = {−9 ; 9}
f. S = {−12 ; 12}
2.
24 a. x 2 + 1 = 5 ⇔ x 2 = 4 S = {−2 ; 2}
b. x 2 + 3 = −2 ⇔ x 2 = −5 S=∅
c. 2x 2 − 18 = 0 ⇔ x 2 = 9 S = {−3 ; 3}
16 La pièce a pour hauteur e = 0,1 cm et pour rayon R = 1 cm. d. 3x2 + 1 = 10 ⇔ x2 = 3 S = {− 3 ; 3 }
Donc la masse de la médaille est égale à : 25 a. 3x 2 − 5 = x 2 − 1 ⇔ 2x 2 = 4 ⇔ x 2 = 2
m = πhR2 × MV = π × 0,1 × 12 × 19,3 = 1,93 × π.
Comme 3,14 , π , 3,15, alors 6,06 g , m , 6,08 g. S = {− 2 ; 2 }
b. −2x 2 + 6 = 3x 2 ⇔ 5x 2 = 6 ⇔ x 2 = 6
5
17 Les 4 parties mauves forment un disque de rayon x .
2
La partie verte s’obtient en ôtant le disque mauve de rayon x
2
S= −{ 6
5
; 6
5 } {
= − 30
5
; 30
5 }
au carré de côté x. 2
c. x − 2 = 1 ⇔ x 2 − 2 = 5 ⇔ x 2 = 7
L’aire du motif vert est donc égale à : 5
() ( ) S = {− 7 ; 7 }
2 2
x2 – π x = x2 – π x = x 2 1− π .
2 4 4
2
d. 4 x − 1 = 5 ⇔ 4x2 – 1 = 15 ⇔ 4x2 = 16 ⇔ x2 = 4
18 1. L’antécédent de 2 est 1,3 au dixième près. 3
2. L’antécédent de –2 est –1,3 au dixième près, car la fonction S = {–2 ; 2}
cube est impaire.
26 On applique le théorème de Pythagore dans le triangle
19 1. Pour tout x [ ℝ, f(–x) = –2(–x)3 = 2x3 = –f(x). Donc la EFG rectangle en E :
fonction f est impaire. EF2 + EG2 = FG2 ⇔ 52 + EG2 = 72 ⇔ EG2 = 49 – 25 ⇔ EG2 = 24
2. La courbe représentative de la fonction f est symétrique Donc EG = 24 = 2 6 ≈ 4,9.
par rapport à l’origine du repère.
27 On cherche à déterminer la position du point F tel que
3. f (200) + f (−200) = 0, car f (–200) = –f (200).
FS = FT. On pose AF = x, donc FB = 4 – x.
20 1. f(x) = –5x3 + 2 On calcule alors FS2 et FT2.
2. f (−2) = −5 × (−2)3 + 2 = 42 Le triangle SAF est rectangle en A et le triangle FBT est
3. Il faut résoudre : rectangle en B. On peut donc appliquer le théorème de

f(–x) = 2 ⇔ –5x3 + 2 = 2 ⇔ –5x3 = 0 ⇔ x3 = 0 ⇔ x = 0. Pythagore dans chacun de ces triangles :
Le nombre utilisé est 0. FS2 = AS2 + AF2 = 22 + x2 = 4 + x2
et FT2 = FB2 + BT2 = (4 – x)2 + 32 = 16 – 8x + x2 + 9 = x2 – 8x + 25
21 1. g(1) = 13 + 1 = 2 g(−1) = (−1)3 + 1 = 0 FS2 = FT2 ⇔ 4 + x2 = x2 – 8x + 25 ⇔ 4 – 25 = –8x ⇔ –21 = –8x
2. g(−1) ≠ g(1) , donc g n’est pas impaire.
3. On vient d’utiliser un contre-exemple. ⇔ x = −21 ⇔ x = 2,625.
−8
22 1. R(x) = 0,85x Donc il faut placer F à la distance 2,625 de A.
2. On trace les courbes des fonctions R (en rouge) et 28 1.
C (en bleu) sur [0 ; 1].
Lorsque les lunettes tombent au sol, leur hauteur est donc

nulle. Par lecture graphique, on obtient : x ≈ 3,2 s.

2. Il faut résoudre f (x) = 0 ⇔ –5x2 + 50 = 0 ⇔ –5x2 = –50
(–50)
⇔ x2 = ⇔ x2 = 10.
(–5)
Il y a alors deux solutions : x = − 10 ou x = 10.
Or le temps est positif, donc l’unique solution est x = 10 ≈ 3,2.
Au bout d’environ 3,2 s, les lunettes atteindront le sol.
29 On note x la longueur du côté du prospectus. Donc la
longueur de la zone imprimable est x – 4.
L’aire de la zone imprimable est 144 cm2, donc l’aire est égale
à (x – 4)2. 3. Résoudre x3 = 2x – 1 revient à déterminer graphiquement
On résout : (x – 4)2 = 144 ⇔ (x – 4)2 – 144 = 0 ⇔ x – 4 – 12 = 0 les abscisses des points d’intersection des courbes associées
ou x – 4 + 12 = 0 ⇔ x = 16 ou x = –8. aux fonctions g et h. Graphiquement, on obtient : x ≈ –1,62
Or la longueur est positive, donc l’unique solution est x = 16. ou x ≈ 0,62.
La longueur du côté du prospectus est de 16 cm.
33 1. I < J = [–1 ; 5,5]
30 On considère deux entiers naturels consécutifs, on pose
x le plus petit des deux et x + 1 le suivant. I
On résout l’équation suivante : (x + 1)2 – x2 = 31 I <J
x2 + 2x + 1 – x2 = 31, on a alors : 2x = 31 – 1. –3 –2 –1 0 1 2 3 4 5 6 7
J
On obtient alors 2x = 30, d’où x = 30 = 15.
2 2. I < J = ]–` ; 5[
Les deux entiers naturels consécutifs sont 15 et 16.
I
31 1. I <J
V U
–5 –4 –3 –2 –1 0 1 2 3 4 5
J
Aire de P N 3. I < J = [0 ; +`[
AMUV
= 113,8 I
Aire de
MBNP I <J
= 28,45 –3 –2 –1 0 1 2 3 4 5 6 7
A AM = 10,67 M B J
AireAMUV 113,8 4. I < J = [–5 ; –4] < [–2 ; +`[

= =4
AireMBNP 28, 45 I
I <J
D’après la figure, il faut que M soit positionné à environ –6 –5 –4 –3 –2 –1 0 1 2 3 4
10,67 unités de A pour que l’aire du carré AMUV soit le
J

quadruple de l’aire du carré MBNP.
2. On pose AM = x où x [ [0 ; 16], donc MB = 16 – x.
34 1. Vrai, car 2 [ [–5 ; 4].
On cherche à déterminer x tel que :
AireAMUV = 4 × AireMBNP ⇔ AM2 = 4MB2 2. Faux, car 0 ” ]–` ; 0[ et 0 ” ]0 ; +`[.
3. Faux, car –1 ” ]–` ; –2[ et –1 ” ]0 ; +`[.
⇔ x2 = 4(16 – x)2 ⇔ x2 – 4(16 – x)2 = 0
⇔ (x – 2(16 – x))(x + 2(16 – x)) = 0 4. Vrai, car 1 [ [0 ; 3].
2
⇔ (3x – 32)(–x + 32) = 0
35 1. x2 ¯ 9 ⇔ x2 – 9 ¯ 0 ⇔ (x – 3)(x + 3) ¯ 0
⇔ x = 32 ou x = 32. Or x ¯ 16, donc S = 32 .
3 3 { } x –` –3 3 +`
32 1. x3 – 2x + 1 = 0 ⇔ x3 – 2x + 1 + 2x – 1 = 2x – 1 ⇔ x3 = 2x – 1 Signe de x – 3 – – 0 +
2. Signe de x + 3 – 0 + +
Signe de (x – 3)(x + 3) + 0 – 0 +
Donc S = [−3 ; 3].
2. x2 . 4 ⇔ x2 – 4 . 0 ⇔ (x – 2)(x + 2) . 0
x –` –2 2 +`
Signe de x – 2 – – 0 +
Signe de x + 2 – 0 + +
Signe de (x – 2)(x + 2) + 0 – 0 +
Donc S = ]−` ; − 2[ ¯ ]4 ; +`[ .

3. x2 > 16 ⇔ x2 – 16 > 0 ⇔ (x – 4)(x + 4) > 0 c. 4x2 – (x + 1)2 ˘ 0 ⇔ (2x – x – 1)(2x + x + 1) ˘ 0
x ⇔ (x – 1)(3x + 1) ˘ 0
–` –4 4 +`
Signe de x – 4 – – 0 + −1
x –` 1 +`
3
Signe de x + 4 – 0 + +
Signe de (x – 4)(x + 4) + 0 – 0 + Signe de x – 1 – – 0 +
Donc S = ]−` ; − 4] ¯ [ 4 ; +`[ . Signe de 3x + 1 – 0 + +
4. x2 , –2 : un carré est toujours positif, donc S = ∅. Signe de (x – 1)(3x + 1) + 0 – 0 +
36 1. 2x2 – 3 ¯ 6 ⇔ 2x2 ¯ 9 ⇔ x2 ¯ 4,5 S = ]–` ; − 1 ] < [1 ; +`[

3
S = [− 4,5 ; 4,5]
39 1. 50 km = 50 000 m et 1 h = 3 600 s.
2. –x2 + 4 , 2 ⇔ –x2 ¯ –2 ⇔ x2 ˘ 2
50 000 ⎞ 2
S = ]–` ; − 2 [ ¯ ] 2 ; +`[ Par temps sec : d = kv2 = 0,08 × ⎛ ≈ 15, 43 m.
⎝ 3 600 ⎠
3. –7x2 + 5 ¯ 2x2 – 11 ⇔ –9x2 ¯ –16 ⇔ x2 ˘ 16 50 000 ⎞ 2
9 Par temps mouillé : d = kv2 = 0,14 × ⎛ ≈ 27 m.
4 4 ⎝ 3 600 ⎠
S = ]–` ; − [ ¯ ] ; +`[
3 3
2. d = kv2 ⇔ 150 = 0,08v2 ⇔ v2 = 150
4. –5x2 + 10 . x2 – 8 ⇔ –6x2 . –18 ⇔ x2 , 3 0,08
⇔ v= 150 ≈ 43,3 m/s, car v est positive.
S=] − 3 ; 3[ 0,08
37 a. −3
x –` 4 +` 40 1. y
2
2x + 3 – + +
x–4 – – + 1
(2x + 3)(x – 4) + – + 0 1 x
S = ⎤− 3 ; 4 ⎡
⎦ 2 ⎣
b. x –` 2 +` S=R
–3x + 6 + – 2. S = ]−` ; 1]
x–2 – + 41 1. x3 – 4x = x(x2 – 4) = x(x – 2)(x + 2)
(–3x + 6)(x – 2) – – 2.
c. (2x + 8)( x + 4) . 0 ⇔ 2( x + 4)( x + 4) . 0 ⇔ 2( x + 4)2 . 0 x –` –2 0 2 +`
S = ]−` ; −4[ ¯ ]−4 ; +`[ Signe de x – – + +
Signe de x – 2 – – – +
38 a. x(2x + 1) + x(3x – 4) ¯ 0 ⇔ x(2x + 1 + 3x – 4) ¯ 0
Signe de x + 2 – – + +
⇔ x(5x – 3) ¯ 0
Signe de x3 – 4x – + – +
x 3
–` 0 5 +`
42 D’après l’exercice 41, S = ]−` ; −2] ¯ [2 ; +`[ .
Signe de x – 0 + +
Signe de 5x – 3 – – 0 + 43 Le volume du ballon est V = 4 πR3 .
Signe de x(5x – 3) + 0 – 0 + 3
On résout 4 πR3 < 2 200 ⇔ R3 < 2 200 × 3
3 ⎤. 3 4π
Donc S = ⎡0 ;
⎣ 5⎦ ⇔ R3 < 525,21 ⇔ R < 8,07
b. (2x + 1)( x − 3) + (2x + 1)(3x + 4 ) , 0 On utilise la courbe de la fonction cube.
⇔ (2x + 1)( x − 3 + 3x + 4 ) , 0
⇔ (2x + 1)( 4 x + 1) , 0
x –` −1 −1 +`
4 2
Signe de 2x + 1 – – 0 +
Signe de 4x + 1 – 0 + +
Signe de (2x + 1) (4x + 1) + 0 – 0 +
Donc S = ⎤− 1 ; − 1 ⎡ .
⎦ 4 2⎣

⎡⎣(10−10 + 2 000) + (10−10 − 2 000)⎤⎦
= (10−10 + 2 000 − 10−10 + 2 000)
(10−10 + 2 000 + 10−10 − 2 000)
44 • Si 0 ¯ x ¯ 1, alors 0 ¯ x3 ¯ x2 d’après le cours. On multi- = 4 000 × 2 × 10−10
plie chaque membre par –2 , 0. On change alors le sens des = 8 000 × 10−10
inégalités : –2x3 ˘ –2x2. Donc A – B . 0, donc A . B.
• Si x ˘ 1, alors x3 ˘ x2 d’après le cours. On multiplie chaque
membre par –2 , 0. On change alors le sens des inégalités : 46 a. 0 ¯ 0,3 ¯ 1, donc 0,33 ¯ 0,32 ¯ 0,3 d’après le cours.
–2x3 ¯ –2x2. b. 5,6 ˘ 1, donc 5,6 ¯ 5,62 ¯ 5,63 d’après le cours.
() ()
3 2
45 A − B = (10−10 + 2 000)2 − (10−10 − 2 000)2 c. 0 ¯ 1 ¯ 1, donc 1 ¯ 1 ¯ 1 d’après le cours.
3 3 3 3
= ⎡⎣(10 + 2 000) − (10 − 2 000)⎤⎦
() ()
−10 −10 3 2
1
d. 0 ¯ ¯ 1, donc 1 ¯ 1 ¯ 1 d’après le cours.
π π π π
⎡⎣(10−10 + 2 000) + (10−10 − 2 000)⎤⎦
= (10−10 + 2 000 − 10−10 + 2 000)
(10−10 + 2 000 + 10−10 − 2 000)
= 4 000 × 2 × 10−10
= 8 000 × 10−10
Exercices
3. (x – 2)2 ˘ 81 ⇔ (x – 2)2 – 81 ˘ 0
47 1. 2x2 + 3 = –x2 + 4 ⇔ 3x2 = 1 ⇔ x2 = 1 ⇔ x = − 1
3 3 ⇔ (x – 2 – 9)(x – 2 + 9) ˘ 0 ⇔ (x – 11)(x + 7) ˘ 0
3 3 3 {
ou x = − 1 , donc S = − 3 ; 3 . } x –` –7 11 +`
2. (x + 2)2 = 2x2 + 4x ⇔ x2 + 4x + 4 = 2x2 + 4x ⇔ 4 – x2 = 0 x+7 – + +

⇔ (2 – x)(2 + x) = 0 ⇔ 2 – x = 0 ou 2 + x = 0 ⇔ x = 2 ou x = –2,
x – 11 – – +
donc S = {–2 ; 2}.
3. (x – 3)(x + 3) = 20 ⇔ x2 – 9 = 20 ⇔ x2 = 29 ⇔ x = 29 Produit + – +
ou x = − 29 , donc S = {− 29 ; 29 } .
S = ]−` ; −7] ¯ [11 ; +`[
4. 4(x2 + 1) = 15 ⇔ 4x2 + 4 = 15 ⇔ x2 = 11 ⇔ x = − 11
4 4
50 1. x2 – 1 , 0 ⇔ (x – 1)(x + 1) , 0
11
ou x = 4 , donc S = − {
11
2
; 11
2
. } x –` –1 1 +`
48 1. x3 + x = 0 ⇔ x(x2 + 1) = 0 ⇔ x = 0 ou x2 + 1 = 0 ⇔ x = 0 Signe de x – 1 – – 0 +
ou x2 = –1, donc S = {0}.
2. 2x3 – 3x = 0 ⇔ x(2x2 – 3) = 0 ⇔ x = 0 ou 2x2 – 3 = 0 ⇔ x = 0 Signe de x + 1 – 0 + +
ou x2 = 3 ⇔ x = 0 ou x = 3 ou x = − 3 , Signe de (x – 1)(x + 1) + 0 – 0 +
2 2 2
{ } S = ]–1 ; 1[

donc S = 0 ; 6 ; − 6 . 2. 3x2 – 2 ˘ 0 ⇔ 3x2 – 2 ˘ 0 ⇔ ( 3 x − 2 )( 3 x + 2 ) ˘ 0
2 2
3. 4x3 + 2(x – 3) = –6 ⇔ 4x3 + 2x – 6 = –6 ⇔ 4x3 + 2x = 0
x –` − 6 6 +`
2 2
⇔ x(4x + 2) = 0 ⇔ x = 0 ou 4x + 2 = 0 ⇔ x = 0 ou x = − 1 ,
2 2 2
2
Signe de 3x − 2 – – 0 +
donc S = {0}.
49 1. x2 + 9x ˘ 0 ⇔ x(x + 9) ˘ 0 Signe de 3x + 2 – 0 + +
x –` –9 0 +` Signe de ( 3x − 2 )( 3x + 2 ) + 0 – 0 +
x – – +
S = ⎤−` ; − 6 ⎤ ¯ ⎡ 6 ; +` ⎡
x+9 – + + ⎦⎥ 3 ⎥⎦ ⎣⎢ 3 ⎣⎢
x(x + 9) + – + 3. –x2 – 4 . (–2x2 + 5) ⇔ –x2 – 4 – (–2x2 + 5) . 0
S = ]–` ; –9] < [0 ; +`[ ⇔ x2 – 9 . 0 ⇔ (x – 3)(x + 3) . 0
2. –x2 + 2x , 0 ⇔ x(–x + 2) , 0 x –` –3 3 +`
x –` 0 2 +` Signe de x – 3 – – 0 +
x – + +
Signe de x + 3 – 0 + +
–x + 2 + + –
x(–x + 2) – + – Signe de (x – 3)(x + 3) + 0 – 0 +
S = ]−` ; 0[ ¯ ]2 ; +`[ S = ]−` ; − 3[ ¯ ]3 ; +`[

S = ⎤−` ; 1 ⎡¯ ]1 ; +`[
2
4. x − 4 . 3 ⇔ x 2 − 4 . 6 ⇔ x 2 − 10 . 0 ⎦ 5⎣
2
⇔ ( x − 10 )( x + 10 ) . 0
52 Sur l’axe des abscisses, on a, de gauche à droite :
x –` – 10 10 +`
−2 7 , − 3 7, − 7 , − 1 7 , 1 7, 7 , 3 7 , 2 7 .
2 2 2 2
Signe de x – 10 – – 0 +
Sur l’axe des ordonnées, on a, de bas en haut :
Signe de x + 10 – 0 + + 7 , 7, 63 , 28.
4 4
Signe de ( x – 10 )( x + 10 ) + 0 – 0 +
S = ⎤⎦−` ; − 10 ⎡⎣ ¯ ⎤⎦ 10 ; +` ⎡⎣
53 1. 2x2 – 7 < 0 ⇔ ( 2x – 7 )( 2x + 7 ) < 0
x –` − 14 14 +`
51 1. (x + 1)(x –3) < (x + 1)(4x +3) 2 2
⇔ ( x + 1)( x − 3) − ( x + 1)( 4 x + 3) < 0 Signe de 2 x − 7 – – 0 +
⇔ ( x + 1)[( x − 3) − ( 4 x + 3)] < 0
⇔ ( x + 1)( x − 3 − 4 x − 3) < 0 Signe de 2 x + 7 – 0 + +
⇔ ( x + 1)(−3x − 6) < 0
x –` –2 –1 +` Signe de ( 2 x − 7 )( 2 x + 7 ) + 0 – 0 +
Signe de x + 1 – – 0 +
S = ⎡− 14 ; 14 ⎤
Signe de –3x – 6 + 0 – – ⎢⎣ 2 2 ⎥⎦
Signe de (x + 1)(–3x – 6) – 0 + 0 – 2. –3x + 9 , 0 ⇔ 9 – 3x2 , 0 ⇔ (3 − 3x )(3 + 3x ) , 0
2
S = ]−` ; −2] ¯ [−1 ; +`[ x –` − 3 3 +`

2. x2 , x(–4x + 3) ⇔ x2 – x(–4x +3) , 0
⇔ x [ x − (−4 x + 3)] , 0 ⇔ x ( x + 4 x − 3) , 0 Signe de 3 − 3x + + 0 –
⇔ x (5x − 3) < 0
3 Signe de 3 + 3x – 0 + +
x –` 0 +`
5
Signe de x – 0 + + Signe de (3 − 3x )(3 + 3x ) – 0 + 0 –
Signe de 5x – 3 – – 0 +
S = ⎤⎦−` ; − 3 ⎡⎣ ¯ ⎤⎦ 3 ; +` ⎡⎣
Signe de x(5x – 3) + 0 – 0 +
3. 5(x2 – 2) + 4 > 3 ⇔ 5x2 – 10 + 1 > 0
S = ⎤0 ; 3 ⎡ ⇔ 5x 2 − 9 ˘ 0 ⇔ ( 5x − 3)( 5x + 3) ˘ 0
⎦ 5⎣
3. x2 – 9 > (x +3)(3x –2) ⇔ x2 – 9 – (x +3)(3x –2) > 0
⇔ ( x + 3)( x − 3) − ( x + 3)(3x − 2) ˘ 0 x –` −3 5 3 5 +`
5 5
⇔ ( x + 3)[( x − 3) − (3x − 2)] ˘ 0
⇔ ( x + 3)( x − 3 − 3x + 2) ˘ 0 Signe de 5x − 3 – – 0 +
⇔ ( x + 3)(−2x − 1) ˘ 0 – 0 + +
Signe de 5x + 3
x –` –3 −1 +`
2 Signe de ( 5x − 3)( 5x + 3) + 0 – 0 +
Signe de x + 3 – 0 + +
Signe de –2x – 1 + + 0 – S = ⎤−` ; − 3 5 ⎤ ¯ ⎡ 3 5 ; +` ⎡
⎦⎥ 5 ⎦⎥ ⎣⎢ 5 ⎣⎢
Signe de (x + 3) (–2x – 1) – 0 + 0 – 4. 8 – (6 – x2) , 1 ⇔ 8 – 6 + x2 – 1 , 0 ⇔ 1 + x2 , 0 ⇔ x2 , –1
S = ⎡−3 ; − 1 ⎤ Comme un carré est toujours positif, S = ∅.
⎣ 2⎦
54 On utilise le théorème de Pythagore dans le triangle ABC
4. 25x2 – 1 . (10x – 2)(2x + 1) ⇔ 25x2 – 1 – (10x – 2)(2x + 1) . 0
⇔ (5x − 1)(5x + 1) − 2 (5x − 1)(2x + 1) . 0 rectangle en B : BA2 + BC2 = AC2.
⇔ (5x − 1)[(5x + 1) − 2 (2x + 1)] . 0 Comme le triangle ABC est isocèle en B, BC = BA. De plus,
AC = 20 . Donc :
⇔ (5x − 1)(5x + 1− 4 x − 2) . 0
2 BA2 = 20 ⇔ BA2 = 10 ⇔ BA = − 10 ou BA = 10 .
⇔ (5x − 1)( x − 1) . 0
Comme BA ˘ 0, BA = 10 ≈ 3,162.
x 1
–` 1 +`
5 55 Le nombre x cherché vérifie x 3 = 49x ⇔ x3 – 49x = 0
Signe de 5x – 1 – 0 + + ⇔ x(x2 – 49) = 0 ⇔ x(x – 7)(x + 7) = 0
⇔ x = 0 ou x = –7 ou x = 7.
Signe de x – 1 – – 0 +
56 Si deux nombres a et b sont impairs et consécutifs, il existe
Signe de (5x – 1)(x – 1) + 0 – 0 +
un entier n tel que a = 2n – 1 et b = 2n + 1.

a2 + b2 = (2n – 1)2 + (2n + 1)2 = 4n2 – 4n + 1 + 4n2 + 4n + 1 Or x est une longueur. Donc x . 0. Donc la longueur initiale
= 8n2 + 2 = 2(4n2 + 1) du carré est x = 50 cm.
C’est bien un entier pair.
64 1. Soit AR = x.
57 Si A(x, x) appartient à la courbe de la fonction carré, alors x doit appartenir à l’intervalle [0 ; 4].
x2 = x ⇔ x(x – 1) = 0 ⇔ x = 0 ou x = 1. AireATSR = x2 AireABCD = 4 × 5 = 20 cm2
Les points A1(0, 0) et A2(1, 1) ont cette propriété.
Donc 1 AireABCD = 1 × 20 = 5.
4 4
58 1. Pour tout x [ R, on a f (x) = –0,5x3 + 1. On résout x2 , 5 ⇔ x2 – 5 , 0 ⇔ ( x − 5 )( x + 5 ) , 0
2.
x –4 –2 –1,5 –1 0 2,5 4 5,5 7 x –` − 5 5 +`
f (x) 33 5 2,6875 1,5 –1 –6,812 5 –31 –82,187 5 –170,5 – – 0 +
Signe de x − 5
3. Pour calculer f ( 7 ) , il faut mettre f (sqrt(7)).
4. a. Quand x augmente, il semble que f (x) augmente. Signe de x + 5 – 0 + +
b.
Signe de ( x − 5 )( x + 5 ) + 0 – 0 +
Définir seuil_f ()
n←0 Comme x [ [0 ; 4], S = ⎡⎣0 ; 5 ⎡⎣.
Tant que f (n) ˘ –1 000
Donc on doit placer R à une distance de A comprise dans
n ← n + 1
Renvoyer n ⎡⎣0 ; 5 ⎡⎣.
2. 20 AireABCD = 0,2 × 20 = 4
59 Si on note n le premier entier naturel cherché, l’entier 100
consécutif sera n + 1. On résout x2 . 4 ⇔ x2 – 4 . 0 ⇔ (x – 2)(x + 2) . 0
On cherche n tel que n(n + 1) – 2 561 = n + (n + 1) x –` –2 2 +`
⇔ n2 + n – 2 561 = 2n + 1 ⇔ n2 – n – 2 652 = 0.
Signe de x – 2 – – 0 +
(n − 52)(n + 51) = 0 ⇔ n2 − 52n + 51n − 2 652 = 0
Signe de x + 2 – 0 + +
⇔ n2 − n − 2 652 = 0
Donc résoudre le problème revient à résoudre l’équation Signe de (x – 2)(x + 2) + 0 – 0 +
(n − 52)(n + 51) = 0 . Comme x [ [0 ; 4], S = ]2 ; 4] .
(n – 52)(n + 51) = 0 ⇔ n – 52 = 0 ou n – 51 = 0 ⇔ n = 52
Donc on doit placer R à une distance de A comprise dans
ou n = –51.
Comme n est un entier naturel, il est positif. Donc n = 52 et ]2 ; 4] .
les entiers cherchés sont 52 et 53. 65 1. Faux puisque 0,52 = 0,25 et 0,25 , 0,5.
60 n3 − n = n(n2 − 1) = n(n − 1)(n + 1) = (n − 1) × n × (n + 1) 2. Vrai puisque un nombre au carré est toujours positif, donc
3
Donc le nombre n − n est le produit de trois entiers consé- il sera toujours supérieur à un nombre négatif.
cutifs qui sont (n − 1) et n et (n + 1) . 3. Faux, car 0,53 = 0,125 et 0,5 . 0,125.
4. Faux puisque (–0,5)3 = –0,125 et –0,5 , –0,125.
61 1. 1 , ϕ , 2 5. Faux puisque (–0,5)2 = 0,25, (–0,5)3 = –0,125 et –0,125 , 0,25.

2. On utilise l’algorithme de balayage :
1er tableau : Début de la table 1,4 et Pas : 0,1. 66 Soit n un entier naturel.
2e tableau : Début de la table 1,6 et Pas : 0,01. Soit 3 entiers naturels consécutifs : n – 1, n et n + 1.
3e tableau : Début de la table 1,61 et Pas : 0,001. Si ces 3 nombres sont les côtés d’un triangle rectangle, alors
3. 1,618 , ϕ , 1,619 (n + 1) est obligatoirement la longueur de l’hypoténuse.
D’après le théorème de Pythagore, on a :
62 1. (10n + 3)2 = 100n2 + 60n + 9 n2 + (n − 1)2 = (n + 1)2 ⇔ n2 + n2 − 2n + 1 = n2 + 2n + 1
2. Quel que soit le nombre entier naturel p se terminant par 3, ⇔ n2 − 4n = 0 ⇔ n(n − 4) = 0 ⇔ n = 0 ou n = 4.
il existe un entier naturel n tel que p = 10n + 3. Donc les trois entiers consécutifs qui sont les longueurs d’un
Donc p2 = (10n + 3)2 = 100n2 + 60n + 9. triangle rectangle sont 3, 4 et 5.
Les nombres 100n2 et 60n sont des multiples de 10. Donc ils
se terminent par 0, donc p se termine par 9. 67 1.
Donc le chiffre des unités d’un entier qui se termine par 3
est 9.
63 Soit x la longueur initiale du côté du carré. L’aire du carré
initial est x2.
La longueur du nouveau carré est (x + 5) et son aire est (x + 5)2. 2.
On veut résoudre (x + 5)2 = x2 + 0,21x2 ⇔ (x + 5)2 = 1,21x2
⇔ (x + 5)2 – 1,21x2 = 0 ⇔ ( x + 5 − 1,21x )( x + 5 + 1,21x ) = 0
⇔ x + 5 – 1,1x = 0 ou x + 5 + 1,1x = 0 ⇔ –0,1x + 5 = 0 ou
2,1x + 5 = 0 ⇔ x = 5 = 50 ou x = − 5 .
0,1 2,1

3. N correspond au nombre de points de la courbe représen- 70 1. Les deux courbes se coupent en deux points, il y a donc
tative de la fonction carré, dont l’abscisse est un entier naturel deux solutions à l’équation.
et dont l’ordonnée est strictement inférieure au seuil donné. Les solutions sont : x ≈ –2,4 et x ≈ 0,4.
68 1. 2. a. Pour tout réel x, on a :
(x + 1)2 – 2 = x2 + 2x + 1 – 2 = x2 + 2x – 1.
b. x 2 = –2x + 1 ⇔ x 2 + 2x – 1 = 0 ⇔ (x + 1) 2 – 2 = 0
⇔ ( x + 1− 2 )( x + 1 + 2 ) = 0 ⇔ x + 1 – 2 = 0
2. ou x + 1 + 2 = 0 ⇔ x = 2 – 1 ≈ 0,41
ou x = – 2 – 1 ≈ –2,41.
71 1. Les deux courbes se coupent en deux points, il y a donc
deux solutions à l’équation.
2. y
69 On pose AF = x où x [ [0 ; 4]. 10
On détermine l’aire du triangle AEF rectangle et isocèle en

A et celle du trapèze AGCD.
2
AireAEF = base × hauteur = AF × AE = x × x = x
2 2 2 2
( petite base + grande base) × hauteur
AireAGCD =
2
( DC + AG ) × AD ( 4 + 7) × 4 – Le point A a pour coordonnées (0 ; 0) et C (1 ; 1).
= = = 21
2 2 1
Donc yA = x A2 et yC = x A2 .
On cherche alors à résoudre : Aire AEF = 1 × Aire AGCD. 0 1 10 xquation y = x 2.
2
3 Donc A et C appartiennent à la parabole d’é
On résout : x = 1 × 21 = 7 ⇔ x 2 = 14 ⇔ x = − 14 D’après le zoom utilisé, la conjecture
– Le point Q a pour coordonnées ( AE ; QE ).précédente est fausse,
2 3
il y aurait en effet trois solutions.
ou x = 14 . Comme x est une longueur et 14 ∈[0 ; 4] , alors construction, AEil y=a1trois
ParGraphiquement,
3. AB = 1 × 1= 1 .
solutions :4
4 4
x = 14 cm. xLes
≈ –1,6 ; x ≈(QH
droites 0,6 ;)xet ( EB) sont sécantes en A et les droites
= 1.
(QE ) et ( BH ) sont parallèles.
QE AE
D’après le théorème de Thalès, = .
HB AB
Exercices Donc
QE 1
HB 4
= .
72 On pose AE = x. Donc QE = 1 HB.

4
L’aire de l’allée est g ( x ) = AireABC − AireDEF Par construction, HB = 1 HC = 1 × 1 = 1 .
4 4 4
= AB × BC − ED × DF
()
2
2 2 Donc QE = × = 1 1 1 .
2 (20 − x )2 (20 − x )2 4 4 4
= 20 − = 200 − Donc yQ = xQ2 .
2 2 2
( 20 − x )2
Donc Q appartient à la parabole d'équation y = x 2.
g ( x ) = 1 Airejardin ⇔ 200 − = 1 × 202
4
(20 − x )2
2 4
(20 − x )2 ( )
– De façon analogue, R 1 ; 1 . Donc yR = x R2 .
2 4
⇔ 200 − = 100 ⇔ 100 =
2 2 Donc R appartient à la parabole d’équation y = x 2 .
⇔ (20 − x ) = 200 ⇔ 20 − x = 200 ou 20 − x = − 200
( )
2
– De façon analogue, S 3 ; 9 . Donc yS = xS 2 .
⇔ x = 20 − 200 ≈ 5,86 ou x = 20 + 200 > 20 4 16
Donc S appartient à la parabole d’équation y = x 2 .
Or x [ [0 ; 20], donc x = 20 − 200 ≈ 5,86 .
(74 + n(n+21+
n2 1. )(n2+−1)n(n+21−) =n (+(n12) =+ 1(()n+2 n+)1(()n+2 n+)1(()n−2 n+)1) − n)
73 Dans le repère (A, B, D) :
= (n2 +=1)(n2 2−+n1)
22 −n
= n 4 2+=2n
n24 + 1−
2n2n2+ 1−
= nn4 2+=n2n 4++1 n2 + 1
– Le point A a pour coordonnées (0 ; 0) et C (1 ; 1).
2. On a pour tout entier naturel n,
Donc yA = x A2 et yC = x A2 .
n 4 + n2 + 1 = (n2 + n + 1)(n2 − n + 1) .
Donc A et C appartiennent à la parabole d’équation y = x 2. Si n 4 + n2 + 1 est premier, alors nécessairement un des deux
– Le point Q a pour coordonnées ( AE ; QE ). facteurs (n2 + n + 1) et (n2 − n + 1) est égal à 1.
(n2 + n + 1) . 1 , donc (n2 + n + 1) ≠ 1 pour tout entier
Par construction, AE = 1 AB = 1 × 1 = 1 .
4 4 4 naturel n.
Les droites (QH ) et ( EB) sont sécantes en A et les droites On a donc (n2 − n + 1) = 1 ⇔ n2 − n = 0 ⇔ n(n − 1) = 0
(QE ) et ( BH ) sont parallèles. ⇔ n = 0 ou n = 1.
QE AE Si n = 0, alors n 4 + n2 + 1 = 1, donc ce n’est pas un nombre
D’après le théorème de Thalès, = .
HB AB premier.
QE 1 Si n = 1, alors n 4 + n2 + 1 = 3.
Donc = .
HB 4 Donc n 4 + n2 + 1 est premier pour n = 1.
Donc QE = 1 HB. Chapitre 4 Fonctions carré et cube 71
4
1 1 1
75 1. On note A(0 ; –2). Donc g (x) = Airerectangle = OA × OM = 2x. 76 1.
= MB × MB (5 − x )
2
2. On note B(5 ; 0). Donc f (x) = Aire = .
triangle
2 2
3.
2. On conjecture que l’équation f (x) = 0 admet deux solutions.

3.
(5 − x )2
4. f (x) = g(x) ⇔ = 2x ⇔ (5 – x)2 = 4x ⇔ x2 – 14x + 25 = 0
2
en développant.
Par ailleurs :
(x – 7)2 – 24 = 0 ⇔ x2 – 14x + 49 – 24 = 0 ⇔ x2 – 14x – 25 = 0. La conjecture reste la même (une seule solution entre 1 et 2).
On a bien l’équivalence entre les deux équations.
5. f (x) = g (x) ⇔ (x – 7)2 – 24 = 0 ( )
4. a. ( x − 1, 4 )( x − 2 )( x + 2 ) = ( x − 1, 4 ) x 2 − 2
2
⇔ ( x − 7 − 24 )( x − 7 + 24 ) = 0 = ( x − 1, 4 )( x − 2) = x − 2x − 1, 4 x + 2,8
2 3 2
⇔ x − 7 − 24 = 0 ou x − 7 + 24 = 0 Donc f ( x ) = ( x − 1, 4 )( x − 2 )( x + 2 ).
⇔ x = 7 + 24 ≈ 11,9 ou x = 7 − 24 ≈ 2,1 b. f ( x ) = 0 ⇔ ( x − 1, 4 )( x − 2 )( x + 2 ) = 0
Or x [ [0 ; 5], donc x = 7 − 24 . ⇔ x − 1, 4 = 0 ou x − 2 = 0 ou x + 2 = 0
⇔ x = 1, 4 ou x = 2 ou x = − 2
L’erreur vient du fait que 2 ≈ 1, 41 est très proche de 1, 4.
SYNTHÈSE
Exercices
77 1. Si x = 2, alors z = x + 1 = 3, y = z2 = 9, y = y – z = 6 et (1− x )2
Il faut résoudre = 0,25 ⇔ (1− x )2 = 0,5
2
y
y=
x
= 3 . Donc la fonction renvoie y = 3. ⇔ (1− x )2 − 0,5 = 0 ⇔ (1− x − 0,5 )(1− x + 0,5 ) = 0
Si x = –1, alors, z = x + 1 = 0, y = z2 = 0, y = y – z = 0 et ⇔ 1− x − 0,5 = 0 ou 1− x + 0,5 = 0
y ⇔ x = 1− 0,5 ≈ 0,3 ou x = 1+ 0,5 ≈ 2,7
y = = 0 . Donc la fonction renvoie y = 0.
x Comme x [ [0 ; 1], DH = 1− 0,5 .
2. z = x + 1, donc y = z2 = (x + 1)2 puis y = y – z = (x + 1)2 – (x + 1).

y ( x + 1)2 − ( x + 1) x 2 + 2x + 1− x − 1 80 1. Il existe 2 points répondant au problème : E(–11,17 ; 4)
Donc f (x) = = =
x x x et F (7,17 ; 4).
2 x ( x + 1) y
= x +x = = x + 1.
x x
78 1. Coline a raison, car Roman n’a pas essayé les nombres
compris entre 0 et 1.
2. Le carré de tout nombre réel négatif et de tout nombre
E C F
réel positif supérieur ou égal à 1 est supérieur ou égal à ce
nombre. 1
79 Puisque l’aire de la flèche est de 0,5 m2 et que l’aire du A B

0 1 x
carré est de 1 m , la somme des aires des 2 triangles isocèles
2
rectangles restants est de 0,5 m2. Donc l’aire d’un triangle

isocèle rectangle est de 0,25 m2. 2. On cherche les points M(x ; 4) tels que AM = AB = 10.
Si on note DH = x, alors l’aire d’un triangle isocèle rectangle est AM = 10 ⇔ AM2 = 100 ⇔ (x + 2)2 + 42 = 100 ⇔ (x + 2)2 = 84
2
aussi de (1− x) . ⇔ x + 2 = 84 = 2 21 ou x + 2 = − 84 = −2 21
2 Donc x = −2 + 2 21 ≈ 7,17 ou x = −2 − 2 21 ≈ −11,17.
Donc il existe 2 points répondant au problème :
M1(−2 + 2 21 ; 4) et M2 (−2 − 2 21 ; 4).

81 1. 2. Si y est la hauteur, alors x est le périmètre du disque supé-
rieur, donc 2πR = x ⇔ R = x .
2π
( )
2
Donc V1 = π × R2 × h = π × x × y
2π
π × x 2 × ( 42 − x ) x 2 × ( 42 − x )
= = .
4π2 4π
y
3. Si x est la hauteur, alors 2πR = y ⇔ R = .
2π
2. 2x 3 − 8 = 0 ⇔ 2x 3 = 8 ⇔ x 3 = 4
Donc V2 = π × R2 × h = π ×( ) y 2
2π
×x=
π × y2 × x (42 − x)2 × x
4π2
=
4π
.
3. D’après la calculatrice, x ≈ 1,6. x 2 ( 42 − x ) x ( 42 − x )2

4. V1 = 8V2 ⇔ = 8×
4π 4π
⇔ x 2 ( 42 − x ) = 8x ( 42 − x )2
⇔ x 2 ( 42 − x ) − 8x ( 42 − x )2 = 0
⇔ x ( 42 − x )( x − 8 ( 42 − x )) = 0
⇔ x (42 − x )(9x − 336) = 0
⇔ x = 0 ou x = 42 ou x = 336 ≈ 37,33
9
Or x [ ]0 ; 42[ , donc x = 336 ≈ 37,33
9
et y = 42 − x = 14 ≈ 4,66.
3
82 1. On conjecture qu’il y a deux solutions : 0 et 1. 84 On note x la longueur du pavé droit et y sa largeur.

2. x – x = 0 ⇔ x (x – 1) = 0 ⇔ x = 0 ou x – 1 = 0 ⇔ x = 0
3 2 2 2 Volumepavé droit = longueur × largeur × hauteur = 8 xy
ou x = 1 S = {0 ; 1}. 2
Volumeprisme droit = Airebase × hauteur = z × 8 = 4z 2
3. Pour tout x [ ]–` ; 1], f (x) ¯ 0, et pour tout x [ [1 ; +`[, 2
f (x) ˘ 0. (z étant la longueur du côté du triangle rectangle isocèle)
4. x3 – x2 = 0 ⇔ x2 (x –1) = 0 ⇔ x2 = 0 ou x – 1 = 0 ⇔ x = 0 Comme le triangle est rectangle isocèle, on peut appliquer le
ou x = 1. y 2y
théorème de Pythagore, et on trouve : z = = .
x –` 0 1 +` 2 2
Donc Volumeprisme droit = 2y2.
x2 + + +
On veut Volumepavé droit = 3 × Volumeprisme droit .
x–1 – – +
Donc 8xy = 6y2 ⇔ 4xy – 3y2 = 0 ⇔ y(4x – 3y) = 0 ⇔ y = 0
f (x) – – +
ou 4x – 3y = 0.
5. S = {1, 47} En appliquant le théorème de Thalès sur la face du dessus
du cube, on obtient :
8 − z = x ⇔ z = 8 − x (la diagonale du carré est égale
8 8 2 2
à 8 2)
y
Or z = , donc y = 8 2 − x.
2
4x – 3y = 0 ⇔ 4x – 3( 8 2 − x ) = 0 ⇔ 7x = 24 2 ⇔ x = 24 2
7
Donc la pièce centrale a pour hauteur 8, pour longueur
6. x = 24 2 et pour largeur y = 8 2 − 24 2 = 32 2 .
7 7 7
x 1 +`
85 1. a. y
f (x)
0
7. f (1,46) = 1,46 – 1,462 = 0,612 4
3
f (1,47) = 1,473 – 1,472 = 1,015 623 1 M

On a 0,612 4 , 1 , 1,015 623, donc, comme f est strictement
A
croissante sur [1 ; +`[, la solution de l’équation f (x) = 1 est x
comprise entre 1,46 et 1,47. 0 1
N
8. La solution de l’équation f (x) = 1 appartient à l’intervalle
[1,46 ; 1,47].
b. Le point M semble appartenir à la courbe de la fonction carré.
83 1. Puisque le périmètre de la feuille rectangulaire est 84 cm,
on a 2x + 2y = 84 d’où y = 42 – x. (
2. N [ d, donc N x ; − 1 .
4 )
M appartient à la droite perpendiculaire à d passant par N, 2. Soit x la longueur AB. Soit y la longueur AD.
donc M(x ; y). Comme le périmètre de ABCD est 50 cm, 2x + 2y = 50
M appartient à la médiatrice de [AN], donc AM = NM. ⇔ y = 25 – x.
( ) ( ) On utilise le théorème de Pythagore dans le triangle DCE

2 2
AM = NM ⇔ AM 2 = NM 2 ⇔ x 2 + y − 1 = ( x − x)2 + y + 1
4 4
rectangle et isocèle en E : DC2 = 2EC2 ⇔ EC = DC
( ) ( )
2 2
1 1
( )
2
⇔ x + y− = y+ 2
⇔x =y 2 2
4 4 x
2 2
Donc le point M appartient à la courbe de la fonction carré. AireDCE = EC = 2 = x
2 2 4
86 1. E AireABCD = x × y = x(25 – x) = 25x – x2
2
AireABCD = AireDCE ⇔ x = 25x – x2 ⇔ x2 = 4 × (25x – x2)
4
⇔ 5x2 – 100x = 0 ⇔ 5x(x – 20) = 0 ⇔ x = 0 ou x = 20.
Aire de DCE
= 100 Donc il faut que AB = 20 pour que les deux aires soient égales.
D C
Aire de ABCD
= 100
A B
AB = 20
87 88
Questions Va piano Questions Va piano
1. 1. AireBMEF = x2
2. AireMCH = base × hauteur = x(8 − x)
2 2
3.
2. D’après le graphique, l’ensemble des solutions semble être

]–` ; –2] ¯ [0 ; 2], donc Clément a faux.
Questions Moderato
1. 2x < 8x ⇔ 2x 3 − 8x < 0
3

D’après le graphique, l’ensemble des solutions semble être Questions Moderato
]–` ; –2] ¯ [0 ; 2]. 1. AireBMEF = x2
2. 2x 3 − 8x = 2x( x 2 − 4)
2. AireMCH = base × hauteur = x(8 − x)
3. 2 2
x –` –2 0 2 +` 3. Il faut résoudre x =
2 x(8 − x) ⇔ x2 = 4 x − 1 x2
2 2
x
x2 – 4
–
+
–
–
+
–
+
+
3
2
2
(
3
⇔ x − 4x = 0 ⇔ x x − 4 = 0
2 )
2x3 – 8x – + – + 3
⇔ x = 0 ou x − 4 = 0.
2
Donc la solution de l’inéquation est S = ]–` ; –2] ¯ [0 ; 2].
Donc, comme x . 0, on a x = 8 .
3
Questions Allegro
1. 2x < 8x ⇔ 2x 3 − 8x < 0
3
Questions Allegro
x –` –2 0 2 +`
1. AireMCH = x(8 − x) = 4 x − 1 x 2
x – – + + 2 2
x2 – 4 + – – + 1 2 1 2
− ( x − 4) + 8 = − ( x − 8x + 16) + 8
2x – 8x
3
– + – + 2 2
Donc la solution de l’inéquation est S = ]–` ; -2] ¯ [0 ; 2]. = − 1 x2 + 4 x − 8 + 8 = − 1 x2 + 4 x
2 2
2. Clément divise par 2x alors que 2x peut être négatif, donc 1
il faut changer le sens de l’inégalité et 2x peut être égal à 0, Donc AireMCH = − ( x − 4)2 + 8.
2
et on n’a pas le droit de diviser par 0. 2. L’aire maximale de MCH est 8.
3. 3x 3 < 27x 3. L’aire est maximale pour x = 4.

5 Fonctions
racine carrée
et inverse
1 a. 36 = 6
5 a. Vrai, car 1 = − 1.
b. 144 = 12 −2 2
c. − 100 = –10 b. Faux. L’opposé de x est –x.
d. 1 = 1 c. Vrai. Comme 1 est positif, la règle des signes donne que 1
x
2 a. 10 est positif, car 1 × x = 1.
x
b. –23
c. 1 d. Faux. 1 + 1 = 3 a pour inverse 2 ≠ 3.
2 2 3
d. 21
6 AB = 13 , car AB est un nombre positif.
3 a. Vrai.
b. Faux. 7 a. 1 ou 0,5.
c. Faux. 2
d. Faux.
b. 2 ou 0,4.
e. Vrai. 5
f. Faux. c. − 1
15
4 a. 0,5
b. 3 d. 9
7
c. –0,25 e. 0
d. 10
e. –0,4 f. − 7
3
f. − 1
3 8 a. 5
2
b. 1
10
c. 9
20
d. 4
5
Situation 1 Une notation d’Einstein

1. On calcule γ = 1 ≈ 1,005. Donc m ≈ 1,005 m0.
30 0002
1−
300 0002
2. On calcule γ = 1 ≈ 1,342. Donc m ≈ 1,342 m0.

200 0002
1−
300 0002
Chapitre 5 Fonctions racine carrée et inverse 75

2
3. On a : 1− v2 = c2 − v 2 = c2 − v2 , donc 1 = 1 = c2 = c .
c c2 c2 c2 2
c2 − v 2 c − v2
2
c − v2
2
1− v2
c c2
Situation 2 Piste de KL
1
x 0,25 0,375 0,5 1 2 3 4 5 6

y 4 3 2 1 0,5 0,3 0,2 0,2 0,17
2 On établit que y = 1 .
x
Situation 3 Volume d’un gaz

1
y
1
0,18
0 10 50 x
On conjecture que le volume est d’environ 0,18 dm . 3
2
y
1
0,4
18
0 2 x
Il est environ à 18 mètres.
3 V= 1
P
Situation 4 Placement financier

1 y× x = 360, donc y = 36 000 .
100 x
2 On peut mettre la fenêtre ci-dessous.
36 000
3 On cherche graphiquement x tel que = 15 000.
x
On trouve x = 2,4 soit un placement à 2,4 %.
76 Chapitre 5 Fonctions racine carrée et inverse

36 000
4 On résout : = 15 000
x
36 000 36 000
= 15 000 ⇔ 36 000 = 15 000x ⇔ x = 15 000 = 2,4.
x

1 On a utilisé la propriété : (xy)2 = x2 × y2.
2 Un nombre positif a une seule racine carrée. Or ici, on trouve deux nombres qui ont pour carré a. Donc ces deux nombres
sont égaux.
(x)
2
3 On a utilisé la propriété : 1 = 12 .
x
4 On a utilisé la propriété déjà démontrée : xy = x × y .
5 On a utilisé la propriété démontrée juste avant : 1 = 1 .

x x

1 Les réels a + b et a + b sont tous les deux positifs.
On a alors : ( a + b ) = a + b et ( a + b ) = a + 2 a b + b = a + b + 2 a b.
2 2 2 2
Or, le réel a b est positif, donc a + b + 2 a b . a + b.

Comme la fonction carré est croissante, les images sont rangées dans le même ordre que les antécédents.
Donc a + b . a + b ou encore a + b , a + b.
2
2 a2 est un réel positif, donc son carré vaut : a2 = a2.
|a| est la distance du réel a à 0, donc si a > 0, la distance de a à 0 est a. Si a < 0, la distance de a à 0 est –a.
On a alors |a|2 = a2 si a > 0 et |a|2 = (–a)2 = a2 si a < 0, donc dans tous les cas : |a|2 = a2.
Les deux réels positifs a2 et |a| ont pour carré a2. Par unicité de la racine carrée d’un réel positif, on a alors a2 = |a|.

1 La fonction racine carrée est croissante sur l’intervalle [0 ;+`[.
2 Comme 5 , 11, on a alors 5 , 11, car les images par une fonction croissante sont rangées dans le même ordre que
les antécédents.
3 La fonction inverse est décroissante sur l’intervalle ]0 ; +`[. Les images par une fonction décroissante sont rangées dans
l’ordre inverse des antécédents.
4 On a 5 , 11, donc 1 , 1 .
11 5
Travaux pratiques
TP 1 Approcher le nombre d’or

1 Il y a 4 radicaux.

3
À la calculatrice : 1 + 5 ≈ 1,618 033 989.

2
TP 2 Compter des points à coordonnées entières

1 a. Si f (i) est égale à sa partie entière, cela signifie que f (i) = k est un entier, donc l’ordonnée du point de la courbe est entière.
i
b.
c. Pour k = 24, on trouve 8 points. Pour k = 1 672, on trouve 16 points. Pour k = 2 017, on trouve 2 points.
2 a. Chercher la courbe #k revient à chercher k.

On écrit une fonction qui calcule le nombre de points à coordonnées entières sur la courbe k.
b. On écrit une fonction qui détermine la courbe i qui possède le plus grand nombre de points à coordonnées entières, pour
i allant de 1 à k.
On trouve avec k = 3 000 :

La courbe 2 520 contient le plus grand nombre de points à coordonnées entières : 48.
TP 3 Calculer la longueur d’un toboggan

1

3 a.
b. On prend une grande valeur de n.
TP 4 Position d’un point

1 Figure dans logiciel.
2
y
AP
1
J
I
0M 1 x
3 Le point P semble être sur la courbe de la fonction inverse.
4 D’après le théorème de Thalès :

OA = OI = IA , donc OA = OJ × OI = 1 .
OJ OM MJ OM x
Le point P a donc pour abscisse x = OM et pour ordonnée OA = 1 .
x
TP 5 Résolution graphique
1
Casio TI

2 On conjecture une solution x ≈ –2,3.
3
Casio TI
Automatismes

5 1. Vrai.
1 a. 3 b. 1 c. 8
4 2 2. Vrai.
2 a. 6 b. 3 c. 7 3. Faux.
d. 12 e. 2 f. –15 4. Vrai.
g. 1 h. 45 5. Vrai
i. –2 j. –3 6. Vrai.
3 a. 1 = 0,25 b. 0,1 6 1 2 5
4 3 3
c. –5 d. 3 1
7 y= = 5 000. Il faudra 5 000 cm, soit 50 m.
0,000 2
e. 2 f. − 1
2
8 C’est le rectangle 4.
4 A = 1,25
B = 11 9 –1 , − 1 , − 1 , − 1 , − 1 , − 1
C = 10 3 π 4 7 8
D= 6 10 a. Positif.
5 b. Négatif.

c. Négatif.
d. Négatif.
11 a. Négatif.
b. Positif.
Exercices
12 a. La racine carrée de 3,6 existe, car 3,6 > 0. 13 a. 3,92 = 3,9
b. La racine carrée de –4 n’existe pas, car –4 , 0. 2
b. 39 = 39
c. La racine carrée de 0 existe, car 0 > 0.
2
c. −4 3 = –12
d. La racine carrée de − −11 n’existe pas, car − −11 , 0.
−13 −13
d. (2 7 ) = 28
2
e. La racine carrée de 3 existe, car 3 > 0.
f. La racine carrée de π existe, car π > 0. e. 20 × 5 = 10
4 4
g. La racine carrée de π – 3 existe, car π – 3 > 0. f. 3 × 12 = 6
h. La racine carrée de 2 – 1 existe, car 2 – 1 > 0. g. 36 + 64 = 14
i. La racine carrée de 10–4 existe, car 10–4 > 0.
h. 36 + 64 = 10
i. 7 16 – 16 = 24

14 D’après le théorème de Pythagore : 25 1. Pour que x − 4 existe, il faut que x – 4 > 0 ⇔ x > 4.
2 2 2 2
EG = GF − EF = 7 − 5 = 24 2. x − 4 > 2 ⇔ x – 4 > 4 et x > 4 ⇔ x > 8 et S = [8 ; +`[.
= 4 × 6 = 4 × 6 = 2 6.
26 L’image de 3 est 1 ≈ 0,333.
15 a. 48 = 16 × 3 = 16 × 3 = 4 3 3
b. 80 = 16 × 5 = 16 × 5 = 4 5 L’image de 4 est 1 = 0,25.
4
c. 288 = 144 × 2 = 12 × 2 = 12 2 L’image de 5 est 1 = 0,2.
5
d. 150 = 25 × 6 = 25 × 6 = 5 6
L’image de 11 est 1 ≈ 0,091.
e. 8 × 48 = 4 × 2 × 16 × 3 11
= 4 × 2 × 16 × 3 L’image de 13 est 1 = 13 ≈ 0,277.
13 13
=2× 2 ×4× 3 =8 6
f. 600 = 100 × 6 = 100 × 6 = 10 6 L’image de– 4 est 1 = 3 = 0,75.
3 4 4
3
16 1. Ces valeurs sont des valeurs approchées, car 13 et − 5
L’image de –32 est 1 = –0,031 25.
ne sont pas des nombres décimaux. −32
2. On cherche x tel que : L’image de 0,002 est 1 = 500.
f (x) = 1 ⇔ 3x2 – 3x + 1 = 1 0,002
⇔ 3x2 – 3x = 0 ⇔ 3x(x – 1) = 0 1
L’image de –10 000 est −10 000 = –0,000 1.
⇔ x = 0 ou ⇔ x = 1.
Il faut donner à x la valeur 0 ou la valeur 1 pour que le résultat
soit 1. 27 1. 1 = 1× 3 = 3
3 3× 3 3
17 a. On prend comme fenêtre : 2. 1 = 1× x = x
Xmin = 0 Xmax = 100 Ymin = 0 Ymax = 10. x x× x x
b. On prend comme fenêtre :
Xmin = 16 000 Xmax = 36 000 Ymin = 126 Ymax = 190. 28 1 = 1 = 1 = x
c. On prend comme fenêtre : 1+ 1 x + 1 x + 1 x +1
Xmin = 0 Xmax = 0,01 Ymin = 0 Ymax = 0,1. x x x x
d. On prend comme fenêtre : 29 a. On prend comme fenêtre :
Xmin = 10–10 Xmax = 10–4 Ymin = 10–5 Ymax = 10–2. Xmin = 1 000 Xmax = 2 000 Ymin = 0,000 5 Ymax = 0,001.
b. On prend comme fenêtre :
18 112 ,212⇒ 112 , 212 , car la fonction racine carrée
Xmin = –4 Xmax = –1 Ymin = –0,25 Ymax = –1.
est croissante et conserve donc l’ordre.
30 1.
19 La fonction racine carrée est croissante et conserve donc
l’ordre.
2,05
2,15
2,25
2,35
2,45
1. x [ [1 ; 36]⇒1 < x < 36 ⇒ 1 < x < 36 x
2,1
2,2
2,3
2,4
2
⇒1 < x < 6
2. x [ [2 ; +`[ ⇒ 2 < x ⇒ 2 < x
0,487 8
0,476 2
0,465 1
0,454 5
0,444 4
0,434 8
0,425 5
0,416 7
0,408 2
f (x)
0,5
20 1. 3 . 2 ⇒ 3 . 2 , car la fonction racine carrée est

croissante et conserve donc l’ordre.
2. En enlevant 1 à l’inégalité précédente, on obtient
3 – 1 . 2 – 1.
2,55
2,65
2,75
2,85
2,95
x
2,5
2,6
2,7
2,8
2,9
3. Comme la fonction racine carrée conserve l’ordre, on a

donc 3 − 1 . 2 − 1.
0,392 2
0,384 6
0,377 4
0,370 4
0,363 6
0,357 1
0,350 9
0,344 8
21 a. 4 x = 0 ⇔ x = 0 ⇔ x = 0 et S = {0}.
0,339
f (x)
0,4
b. 5 x = 5 ⇔ x = 1 ⇔ x = 1 et S = {1}.
c. −3 x + 1 = 0 ⇔ x = 1 ⇔ x = 1 et S = 1 .
3 9 9 {} 2. On prend comme fenêtre :
d. 2 x – 3 = x + 2 ⇔ x = 5 ⇔ x = 25 et S = {25}. Xmin = 2 Xmax = 2,95 Ymin = 0,339 Ymax = 0,5.
3.
22 1. Pour que x − 1 existe, il faut que x – 1 > 0 ⇔ x > 1.
2. x − 1 = 4 ⇔ x – 1 = 16 et x > 1 ⇔ x = 17 et S = {17}.
0,11
0,12
0,13
0,14
0,15
0,16
0,17
0,18
0,19
x
0,1
23 1. Pour que 3 − x existe, il faut que 3 – x > 0 ⇔ x < 3.

2. 3 − x = 1 ⇔ 3 – x = 1 et x < 3 ⇔ x = 2 et S = {2}.
9,090 9
8,333 3
7,692 3
7,142 9
6,666 7
5,882 4
5,555 6
5,263 2
6,25
f (x)
10
24 a. x < 3 ⇔ 0 < x < 9 et S = [0 ; 9].

b. x > –2 est toujours vrai, donc S = [0 ; +`[.
c. 2 x < 8 ⇔ x < 4 ⇔ 0 < x < 16 et S = [0 ; 16]. On prend comme fenêtre :
d. −3 x > 6 est impossible, donc S = ∅. Xmin = 0,1 Xmax = 0,2 Ymin = 5,2 Ymax = 10.

31 1. A(0 ; 1 000) ” #, car 0 n’est pas dans l’ensemble de c. x [ [–4 ; –1], donc –4 < x < –1, donc − 1 < 1 < − 1 ,
définition. 1 x 4
donc 1 [ [–1 ; − 1 ] .
B(–0,000 001 ; 0) ” #, car un inverse n’est jamais nul. x 4
d. x [ [–5 000 ; –3 000] ⇒ –5 000 < x < –3 000
C(–80 ; –0,012 5) [ #, car 1 = –0,012 5.
−80 1 1 ⎡ 1 1 ⎤
1 ⇒ −5 000 > 1 > −3 000 ⇒ 1 [ ⎢− 3 000 ; − 5 000 ⎥
D(60 ; 0,016 66) ” #, car n’est pas décimal donc différent x x ⎣ ⎦
60 1
de 0,016 66. e. x [ [10 ; 10 ]⇒10 < x < 10 ⇒10 > > 10
6 15 6 15 –6 –15
x
E(0,006 25 ; 160) [ #, car 1 = 160. ⇒ 1 [ [10–15 ; 10–6]
0,006 25 x
F (–0,012 ; –83,33) ” #, car 1 = 250 n’est pas décimal f. x [ ⎡− 3 ; − 1 ⎤ ⇒ − 3 < x < − 1 ⇒ − 5 > 1 > –2
−0,012 3 ⎣ 5 2⎦ 5 2 3 x
donc différent de –83,33. 1
⇒ [ −2 ; −⎡ 5 ⎤
2. a. Ce programme détermine le premier entier dont l’in- x ⎣ 3⎦
verse est inférieur à 0,003. 35 1. C’est faux, la fonction inverse n’est pas définie pour le
b. À la fin de l’exécution, la variable x contient la valeur 334. nombre 0.
32 1. et 2. a. 2. C’est faux, elle est aussi décroissante sur [0 ; +`[.
y 3. C’est faux, elle est symétrique par rapport au centre O du
repère.
1 +2
x 36 1. Réponse a.
2. Réponse b.
1
0
37 1. C’est faux, car la fonction inverse étant décroissante
1 x
1 sur ]0 ; +`[, il faut inverser l’ordre.
x
1 < x < 3⇒1 > 1 > 1 ⇒ 3 > 3 > 1 ⇒ 3 [ [1 ; 3]
x 3 x x
1 1
2. –2 < x < –1 ⇒ − > > –1⇒–1 > > –2 2
2 x x
2
⇒ [ [–2 ; –1]
b. On obtient la seconde courbe en translatant la première x
!
par le vecteur u (0 ; 2).
38 3 < 3 + 1 et comme la fonction inverse est décroissante
33 1. On écrit B2 = 1/(A2 + 3).
sur R+*, elle inverse l’ordre 1 > 1 .
2. Dans la case B12, on essaie de faire le calcul de l’image de 3 3 +1
A12 = –3, ce qui entraîne une impossible division par 0.
39 a. 1 = –1 ⇔ x = 1 ⇔ x = –1 et S = {–1}.
3. x −1
5E+14
x 2 3 {}
b. 1 = 3 ⇔ x = 2 et S = 2 .
3
{ 22 }.
4E+14
3E+14 c. 1 = 2 ⇔ x = 1 ⇔ x = 2 et S =
x 2 2
2E+14 1
d. = 10–3 ⇔ x = 103 et S = {103}.

1E+14 x
– 6 – 4 –2 0 2 4 6 e. 1 = 0,33 ⇔ x = 1 ⇔ x = 100 et S = 100 .

x 0,33 33 33 { }
4. Le résultat n’est pas satisfaisant, car la valeur « infinie »
prise par l’image incorrecte de –3 écrase la courbe sur l’axe x π {}
f. 1 = π ⇔ x = 1 et S = 1 .
π
des abscisses.
En enlevant la valeur –3, on obtient le graphique suivant. x 2 3 3 {3}
40 a. 2 = 3 ⇔ x = 1 ⇔ x = 2 et S = 2 .
b. − 5 = 0,01 ⇔ − x = 100 ⇔ x = –500 et S = {–500}.

3 x 5
2
1 x 7 7 { }
c. − 1 = 7 ⇔ –x = 1 ⇔ x = − 1 et S = − 1 .
7
d. 3 1
= ⇔ x = 4 ⇔ x = 12 et S = {12}.
–5 – 4 –3 –2 –1 0 1 2 3 4 5 x 4 3
{}
–1
–2 e. 1 –5 = 0 ⇔ 1 = 5 ⇔ x = 1 et S = 1 .
x x 5 5
f. 1 = 0 c’est impossible, donc S = ∅.

34 a. x [ [5 ; 20]⇒5 < x < 20 ⇒ 1 > 1 > 1 3x
5 x 20
⇒ 1 [ ⎡ 1 ; 1⎤ 41 L’équation 3 = 0,8 a pour solution x = 3,75.
x ⎣ 20 5 ⎦ x
b. x [ [1 000 ; 2 000]⇒1 000 < x < 2 000 42 Soient deux nombres entiers naturels consécutifs. On
1 1 ⎡ 1 1 ⎤ 1 , 1.
⇒ 1000 > 1 > 2 000 ⇒ 1 [ ⎢ 2 000 ; 1000 ⎥ peut les écrire n et n + 1. Comme n + 1 . n, on a
n +1 n
x x ⎣ ⎦

On a alors : 1 − 1 = n + 1− n = 1 . 48
n n + 1 n (n + 1) n (n + 1) y
La différence de leurs inverses est l’inverse de leur produit.
43 a. x − 1 = 0 ⇔ x – 1 = 0 et 2x ≠ 0 ⇔ x = 1 et x ≠ 0 et S = {1}.
2x
b. x − 2 = 0 ⇔ x – 2 = 0 et x – 4 ≠ 0 ⇔ x = 2 et x ≠ 4 et S = {2}. 1
x−4
c. 5x + 3 = 0 ⇔ 5x + 3 = 0 et 3x – 4 ≠ 0 ⇔ x = − 3 0 x
3x − 4 5 1
et x ≠ 4
3 { }
et S = − .3
5
d. x + 7 = 3x + 1 ⇔ x + 7 – 3x + 1 = 0
x−3 x−3 x−3 x−3
⇔ −2x + 6 = 0 ⇔ –2x + 6 = 0
x−3
et x – 3 ≠ 0 ⇔ x = 3 et x ≠ 3 et S = ∅.
1. 1 < 4 ⇔ x , 0 ou x > 1 ⇔
44 1. P = 4 186 (90 − 20) ≈ 3 256 W x 4
90 donc S = ]–` ; 0[ ¯ ⎡ 1 ; +` ⎡ .
4 186 (90 − 20) 293 020 ⎣4 ⎣
2. P = = 1 1
d d 2. > 2 ⇔ 0 , x < ⇔ donc S = ⎤0 ; 1 ⎤ .
3. x 2 ⎦ 2⎦
y
3. , –2 ⇔ 0 . x > − ⇔ donc S = ⎤− 1 ; 0 ⎡.
1 1
x 2 ⎦ 2 ⎣
1 1
4. . ⇔ x . 0 ou x , –2 ⇔
x 2
donc S = ]–` ; –2[ ¯ ]0 ; +`[.
49 1. x –` –3 2 +`
2 000
4x – 8 – – 0 +
x+3 – 0 + +
0 10 x
Il faut un peu moins de 60 secondes pour chauffer l’eau avec 4x − 8
x+3 + – 0 +
une puissance de 5 000 W.
2. S = ]–` ; –3[ ¯ [2 ; +`[
45 1. C’est vrai : 1 < 1 avec x . 0 ⇔ x > 1, donc S = [1 ; +`[.
x 50
1
2. C’est faux : < –1 avec x , 0 ⇔ x > 1, donc S = [–1 ; 0[. 1.
x y
x–2
46 Comme 1 , x , 1 et que la fonction inverse est décrois- B
10 1
sante sur ]0 ; +`[ : 10 . 1 . 1.
x 0 1 x
1. 1 . 10 est donc une proposition fausse. 3
x x
A
2. 1 , 1 < 10 est donc une proposition vraie.
x
3. 0 , 1 , 100 est donc une proposition vraie.
x
2. f (xA) = f (–1) = 3 = –3 = yA , donc A [ #f .
47 L’algorithme affiche 10 + 1.
6 −1
f (xB) = f (3) = 3 = 1 = yB , donc B [ #f .
3
g(xA) = g(–1) = –1 – 2 = –3 = yA , donc A [ #g.
g(xB) = g(3) = 3 – 2 = 1 = yB , donc B [ #g.
Les points A et B sont donc communs à #f et Cg.
3. On en déduit graphiquement que S = [–1 ; 0[ ¯ [3 ; +`[.
51 a. x –` 0 3 +`
x – 0 + +
x–3 – – 0 +
x
x−3 + 0 – +

b. x –` 0 1 +` e. x –` –7 0 +`
1–x + + 0 – x – – 0 +
5x – 0 + + x+7 – 0 + 0 +
1− x x
5x – + 0 – x +7 + – 0 +
c. x –` –1 4 +` − x – + 0 –
x +7
x+1 – 0 + +
4–x – – 0 + f. x –` –3 2 +`
x +1 –3 – – –
4−x + 0 – +
x–2 – – 0 +
2x + 6 – 0 + 0 +
d. x 3
–` –4 +`
2 −3( x − 2)
– + 0 –
2x + 6
2x – 3 – – 0 +
x+4 – 0 + 0 +
2x − 3
x+4 + – 0 +
Exercices
52 Sur l’axe des abscisses, les graduations sont :
⇔ ⎡− 1 x + 2⎤ [x] = 0 ⇔ − 1 x + 2 = 0 ou x = 0 ⇔ x = 6 ou x = 0
⎣ 3 ⎦ 3
−2 7 ; − 3 7 ; − 7 ; − 7 ; 0 ;
2 2 et S = {0 ; 6}.
7 ; 7 ; 3 7 ; 7.
2 2 55 1. x2 – 13 = ( x − 13 )( x + 13 )
Sur l’axe des ordonnées, les graduations sont : 2. 5t2 + t = t(5t + 1)
0 ; 7 ; 7 ; 63 ; 28. 3. v(v – 2) – v(3v + 1) = v[(v – 2) – (3v + 1)]
4 4 = v[–2v – 3]
53 1. (3x – 1)(x + 2)(4x – 5) = 0 ⇔ 3x – 1 = 0 ou x + 2 = 0 ou 4. 9x2 – 7 = (3x − 7 )( x3 + 7 )
4x – 5 = 0 56 1. (x + 2)(3x – 8) + x2 – 4 = 0
⇔ x = 1 ou x = –2 ou x = 5 et S = −2 ; 1 ; 5 .
3 4 3 4 { } ⇔ (x + 2)(3x – 8) + (x + 2)(x – 2) = 0
⇔ (x + 2)[(3x – 8) + (x – 2)] = 0
2. (x + 2)(x + 5) = 0 ⇔ x + 2 = 0 ou x + 5 = 0 ⇔ x = –2 ou x = –5

⇔ (x + 2)[4x – 10] = 0
et S = {–5 ; –2}. ⇔ x + 2 = 0 ou 4x – 10 = 0
3. 7x(–2x + 5) 1 x + 4 = 0( )
2
⇔ 7x = 0 ou –2x + 5 = 0 ou 1 x + 4 = 0
{
⇔ x = –2 ou x = 5 et S = −2 ; 5 .
2 2 }
2
{
⇔ x = 0 ou x = 5 ou x = –8 et S = −8 ; 0 ; 5 .
2 2 } 2. x2 + 6x + 9 – (4x – 1)(x + 3) = 0
⇔ (x + 3)2 – (4x – 1)(x + 3) = 0
54 1. (3x + 4)2 – x2 = 0 ⇔ (x + 3)[(x + 3) – (4x – 1)] = 0
⇔ [(3x + 4)–x][(3x + 4) + x] = 0 ⇔ (x + 3)[–3x + 4] = 0
⇔ [2x + 4][4x + 4] = 0 ⇔ x + 3 = 0 ou –3x + 4 = 0
2x + 4 = 0 ou 4x + 4 = 0 ⇔ x = –2 ou x = –1 et S = {–2 ; –1}.
2. (–x + 2)2 – (5x – 3)2 = 0 3 {
⇔ x = –3 ou x = 4 et S = −3 ; 4 .
3 }
⇔ [(–x + 2) – (5x – 3)][(–x + 2) + (5x – 3)] = 0
57 1. (3x – 1)(x + 2) = (x + 2)2
⇔ [–6x + 5][4x – 1] = 0
⇔ (3x – 1)(x + 2) – (x + 2)2 = 0
⇔ –6x + 5 = 0 ou 4x – 1 = 0 ⇔ x = 5 ou x = 1 ⇔ (x + 2)[(3x – 1) – (x + 2)] = 0
6 4
{
et S = 1 ; 5 .
4 6 } ⇔ (x + 2)[2x – 3] = 0
⇔ x + 2 = 0 ou 2x – 3 = 0
( ) ( ) { }
2 2
3. x + 1 – 2 x − 1 = 0
1 ⇔ x = –2 ou x = 3 et S = −2 ; 3 .
3 3 2 2
⇔ ⎡
⎣3
1
( 2
3 ) ( ⎦ 3 ) ( 3 ) (
x + 1 − x − 1 ⎤ ⎡⎣ 1 x + 1 + 2 x − 1 ⎤⎦ = 0 ) 2. 7x(–2x + 3) = (–2x + 3)(x + 1)
⇔ 7x(–2x + 3) – (–2x + 3)(x + 1) = 0
⇔ (–2x + 3)[7x – (x + 1)] = 0
⇔ (–2x + 3)[6x – 1] = 0

⇔ –2x + 3 = 0 ou 6x – 1 = 0
− 3 3
{
⇔ x = 3 ou x = 1 et S = 1 ; 3 .
2 6 6 2 } x –`
5 5
+`
58 1. (2x + 1) – (4x + 2)(x – 3) = 3(2x + 1) x− 3 – – 0 +

5
⇔ (2x + 1) – 2(2x + 1)(x – 3) – 3(2x + 1) = 0
⇔ (2x + 1)[1 – 2(x – 3) – 3] = 0
x+ 3 – 0 + 0 +
⇔ (2x + 1)[–2x + 4] = 0 5
⇔ 2x + 1 = 0 ou –2x + 4 = 0
Produit + 0 – 0 +
{
⇔ x = − 1 ou x = 2 et S = − 1 ; 2 .
2 2 }
S = ⎤⎥−` ; − 3 ⎤⎥ ¯ ⎡⎢ 3 ; +` ⎢⎡
2. x + 3 (x – 1) = (x – 1)2 ⎦ 5⎦ ⎣ 5 ⎣
2 4. 8 – (6 – x2) , 1 ⇔ 1 + x2 , 0 impossible S = ∅.
⇔ 1 (x + 3)(x – 1) – (x – 1)2 2
2 60 1. A2 = 7 − 4 3 = 7 − 4 3 = 7 – 4 3
⇔ (x – 1) ⎡ 1 ( x + 3) − ( x − 1)⎤ B2 = ( 3 − 2) = 3 – 4 3+ 4 = 7 – 4 3
2 2
⎣2 ⎦
1 5
⇔ ( x − 1) ⎡− x + ⎤ = 0 2. Comme A2 = B2, alors A = B ou A = –B.
⎣ 2 2⎦
Comme A . 0 et B , 0, alors les deux nombres sont opposés.
⇔ x – 1 = 0 ou − 1 x + 5 = 0
2 2 61 1. C’est faux, (a + b)2 = a2 + 2ab + b2 ≠ a2 + b2 sauf si a ou
⇔ x = 1 ou x = 5 et S = {1 ; 5}.
b est nul.
3. x2(x – 1)2 = x2(x – 1)
2. ( n + 1 − n )( n + 1 + n ) = n + 1 − n = n + 1 – n = 1
2 2
⇔ x2(x – 1)2 – x2(x – 1) = 0
⇔ x2(x – 1)[(x – 1) – 1] = 0
⇔ x2(x – 1)[x – 2] 62 1. 5 72 − 3 8 = 5 36 × 2 − 3 4 × 2
⇔ x2 = 0 ou x – 1 = 0 ou x – 2 = 0 7 2 7 2
⇔ x = 0 ou x = 1 ou x = 2 et S = {0 ; 1 ; 2}.
= 5 36 × 2 − 3 4 × 2 = 5 × 6 × 2 − 3 × 2 × 2
7 2 7 2
59 1. 2x2 – 7 < 0 ⇔ x2 − 7 < 0
2 = 30 × 2 − 6 × 2 = 24 2 = 24
( )( ) 7 2 7 2 7
⇔ x− 7 x + 7 <0
2 2 2. 48 − 12 = 16 × 3 − 4 × 3 = 16 × 3 − 4 × 3
27 9×3 9× 3
x − 7 7
–`
2 2
+` = 4× 3 −2× 3 = 2 3 = 2
3× 3 3× 3 3
x− 7 – – 0 + 63 Comme le triangle est rectangle en B,
2 2
AB2 + BC2 = AC2 ⇔ AB2 + AB2 = 20
⇔ 2AB2 = 20 ⇔ AB2 = 10
x+ 7 – 0 + 0 +
2 ⇔ AB = 10 ≈ 3,162
Produit + 0 – 0 +
64 P = 18+ 98 + 50 = 9 × 2 + 49 × 2 + 25 × 2
S = ⎡− 7 ; 7 ⎤ = 9 × 2 + 49 × 2 + 25 × 2
⎣⎢ 2 2 ⎦⎥ = 3 × 2 + 7 × 2 + 5 × 2 = 15 2
2. –3x + 9 , 0 ⇔ x2 – 3 > 0
2
⇔ ( x − 3 )( x + 3 ) > 0 65 1. 1 = 1 × 2 −1= 2 −1
2
2 +1 2 +1 2 −1 2 − 12
x –` − 3 3 +`
= 2 −1= 2 −1= 2 – 1
2 −1 1
x− 3 – – 0 +
2. 1 = 1 × 5 + 1= 5 + 1
2
x+ 3 – 0 + 0 + 5 −1 5 −1 5 +1 5 − 12
Produit + 0 – 0 + = 5 + 1= 5 + 1
5−1 4
S = ⎤⎦−` ; − 3 ⎡⎣¯⎤⎦ 3 ; +` ⎡⎣
66 1. f ( x ) = 1 − 1 = x − ( x + 1) = −1
3. 5(x2 – 2) + 4 > 3 x +1 x x ( x + 1) x ( x + 1)
= − 1
⇔ 5x2 – 9 > 0 ⇔ x2 − 9 > 0 x ( x + 1)
5
( )( )
2
⇔ x− 3 x + 3 >0 2. g(x) = 3 + x = 9 + x
5 5 x 3 3x
2 (2x − 1) − ( x − 3)
3. h(x) = 2 – 1 =
x − 3 2x − 1 ( x − 3)(2x − 1)
= 4x − 2 − x + 3 = 3x + 1
( x − 3)(2x − 1) ( x − 3)(2x − 1)

67 1. a. P × 2 = 1⇒P = 1 = 0,5 bar 2. 3x + 1 = 1 ⇔ 3x + 1 − 1 = 0
2 x−3 x−3
b. 5 × V = 1⇒V = 1 = 0,2 dm3 ⇔ 3x + 1− x + 3 = 0 ⇔ 2x + 4 = 0
5 x−3 x−3
2. P(x) = 1 + x ⇔ 2x + 4 = 0 et x – 3 ≠ 0
10
a. À la surface, la pression est : P(0) = 1 + 0 = 1 bar. ⇔ x = –2 et x ≠ 0 et S = {–2}.
10
P × V = C ⇔ 1 × 6 = C, donc la constante C vaut 6. 3. − x + 4 = –2 ⇔ − x + 4 + 2 = 0
2x + 1 2x + 1
P(5) = 1 + 5 = 1,5 bar et V = C = 6 = 4 dm3. ⇔ − x + 4 + 4 x + 2 =0
10 P 1,5 2x + 1
P(30) = 1 + 30 = 4 bars et V = C = 6 = 1,5 dm3.
10 P 4 ⇔ 3x + 6 = 0 ⇔ 3x + 6 = 0 et 2x + 1 ≠ 0
2x + 1
b. P(x) × V(x) = 6, donc V(x) = 6 = 6 = 6 ⇔ x = –2 et x ≠ − 1 et S = {–2}.
P(x ) 1 + x 10 + x 2
10 10
=6× 10 = 60 . 72 1. Faux : un nombre x et son inverse 1 sont de même
10 + x 10 + x x
c. signe.
y
2. Vrai : si x ≠ 0, − 1 = 1 .
x −x
2
3. Faux : si x ≠ 0, 1 = x.
1
0 10 x x
4. Faux : la fonction inverse est décroissante sur ]–` ; 0[ et sur
68 1. a. fraction(2) renvoie la valeur 2 . ]0 ; +`[, elle inverse donc l’ordre si les deux nombres sont de
3 même signe.
b.
n 1 2 3 4 5
73 1. 2 < 3 ⇔ 1 < 3
f (n) 0,5 0,66 0,6 0,625 0,615 x x 2
⇔ x , 0 ou x > 2
2. La valeur approchée est donnée par fraction(5), elle 2 3
vaut 0,615.
et S = ]–` ; 0[ ¯ ⎡ 2 ; + ` ⎡ .
⎣3 ⎣
69 1. −3 = 0 ⇔ –3 = 0 et x ≠ 0, c’est impossible, donc S = ∅. 2. − 3 . 6 ⇔ 1 , –2 ⇔ x , 0 et x . 1 et S = ⎤− 1 ; 0 ⎡ .
x x x 2 ⎦ 2 ⎣
2. 4 = 3 + 2 ⇔ 4 − 3 –2 = 0 ⇔ 1− 2x = 0 3. − 1 + 3 > 0 ⇔ 3 > 1
x x x x x
{}
x x
⇔ 1 – 2x = 0 et x ≠ 0 ⇔ x = 1 et x ≠ 0 et S = 1 .
2 2 ⇔ x , 0 ou x > et S = ]–` ; 0[ ¯ ⎡ 1 ; +` ⎡ .
1
3 ⎣3 ⎣
3. − 5 + 2 = 3 – 1 ⇔ − 5 + 2 − 3 + 1 = 0 3 4 1
x x x x 4. + 1 < ⇔ 1 < ⇔ x . 0 et x < 1 et S = ]0 ; 1].
−8 + 3x x x x
⇔ = 0 ⇔ –8 + 3x = 0
x
et x ≠ 0 ⇔ x = 8 et x ≠ 0 et S = 8 .
3 3 {} 74 1. 2 < x < 8 ⇒ 1 > 1 > 1

2 x 8
4 1
4. + = 0 ⇔ 8 + x = 0 ⇔ 8 + x = 0 et 2x ≠ 0 ⇔ x = –8 et
x 2 2x 2. 2 < x < 8 ⇒ > > ⇒ − 3 < − 3 < − 3
1 1 1
2 x 8 2 x 8
x ≠ 0 et S = {–8}.
3. 2 < x < 8 ⇒ 1 > 1 > 1 ⇒ 2 > 2 > 2
70 1. Il affiche les valeurs de f pour x allant de –5 à 5 par pas 2 x 8 2 x 8
de 0,5. ⇒ 2 −1 > 2 − 1 > 2 – 1 ⇒ 1 > 2 − 1 > − 3
2. a. Le message d’erreur est dû à la division par 0 lors de la 2 x 8 x 4
tentative de calculer l’image de 2, qui est la valeur interdite. 4. 2 < x < 8 ⇒ 1 > 1 > 1
b. On ajoute un test pour éviter la division par 0. 2 x 8
⇒− 1 < − 1 < − 1
2 x 8
⇒− 1 + 4 < − 1 + 4 < − 1 + 4
2 x 8
7
⇒2 < − +4<1 31
x 8
5. 2 < x < 8⇒ > 1 > 1 ⇒ 2 > 2 > 2
1
2 x 8 2 x 8
c. La fonction semble décroissante sur [–5 ; 2[ et sur ]2 ; 5].
⇒ + > + > + ⇒ > + > 3
2 1 2 1 2 1 3 2 1
2 2 x 2 8 2 2 x 2 4
71 1. 3 = –2 ⇔ 3 + 2 = 0 ⇔ 3 + 4 x = 0 6. 2 < x < 8 ⇒ 1 < x – 1 < 7⇒1 > 1 > 1
2x 2x 2x x −1 7
⇔ 3 + 4x = 0 et 2x ≠ 0 ⇔ x = − 3 et 2x ≠ 0
4
{ }
et S = − 3 .
4

75 1. x − 2 < 0 77 1. V(x) = hx2
x +3 2. S(x) = 2x2 + 4xh
x –` –3 2 +` 3. V(x) = 1 ⇒ hx2 = 1 ⇒ h = 12
x–2 – – 0 + x
4. S(x) = 2x + 4x 2 = 2x + 4
2 1 2
x+3 – 0 + + x x
x−2
+ – 0 + 5. Avec la calculatrice, on obtient que l’aire est minimale
x+3
quand x vaut 1.
S = ]–3 ; 2] 6. S(1) = 2 × 12 + 4 = 6
1
2. 2x + 1 , 0 3
x−4 S(x) – S(1) = 2x + 4 – 6 = 2x − 6x + 4 .
2
x x
x –` −1 4 +` Par ailleurs :
( x + 2) (2x − 4 x + 2)( x + 2)
2 2
2(x – 1)2 =
2x + 1 – 0 + + x x
3 2 2 3
x–4 – – 0 + = 2x + 4 x − 4 x − 8x + 2x + 4 = 2x − 6x + 4
x x
2x + 1 ( x + 2 )
+ 0 – + On a bien S(x) – S(1) = 2(x – 1)2 .
x−4 x
( x + 2)
Comme pour tout réel x . 0, 2(x – 1)2 > 0, on a alors
S = ⎤− 1 ; 4 ⎡ x
⎦ 2 ⎣ S(x) – S(1) > 0 pour tout réel x . 0, donc S(1) = 6 est bien le
3. –x + 1 > 0 minimum atteint quand x vaut 1.
–3x + 2
2 78 1. 2x + 1 < 0
x –` 1 +` x−3
3
–x + 1 + + 0 – x –` −1 3 +`
2
–3x + 2 – 0 + +
2x + 1 – 0 + +
x−2
x+3 – + 0 – x–3 – – 0 +
2x + 1
+ 0 – +
S = ⎤ 2 ; 1⎤ x−3
⎦3 ⎦
4. −2x −4 ,0
2x + 2
S = ⎡− 1 ; 3 ⎡
⎣ 2 ⎣
x –` –2 –1 +`
–2x – 4 + 0 – – 2. –x + 2 > 0
−2x + 1
2x + 2 – – 0 +
x 1
–` 2 2 +`
−2x − 4
2x + 2 – 0 + –
–x + 2 + + 0 –
S = ]–` ; –2[ ¯ ]–1 ; +`[ –2x + 1 + 0 – –
76 1. −x + 2
y −2x + 1 + – 0 +
J
1
S = ⎤⎦−` ; 1 ⎡⎣ ¯ [2 ; +`[
M’ M 2
0 I1 x
3. 3x , 1 ⇔ 3x – 1 , 0 ⇔ 3x − x + 2 , 0
x−2 x−2 x−2
2. M(x ; 0), I(1 ; 0), J(0 ; 1) et M’(0 ; y), 2x + 2
!!!" ⎛ x ⎞ !!!!" ⎛ –1⎞ ⇔ ,0
x−2
donc JM ⎜ ⎟ IM ′ ⎜ ⎟ .
⎝ –1⎠ ⎝ y⎠
!!!" !!!!" x –` –1 2 +`
Les vecteurs JM et IM ′ étant colinéaires, on a : 2x + 2 – 0 + +
!!" × y!!!!" – y!!!" × x !!!!" = 0 ⇒ xy – 1 = 0 ⇒ y = 1 .
x!JM IM ′ JM IM ′ x x–2 – – 0 +
2x + 2
x−2 + 0 – +
S = ]–1 ; 2[

79 1. Figure à faire avec GeoGebra.
2. Les trois trapèzes semblent avoir tous la même aire égale
( )
5. E 8 ; 1 E’(8 ; 0)
8
Le trapèze DEE’D’ a pour aire :
à 0,75.
1 + 1
2( )
3. A 1 ; 2 A’( 1 ; 0)
2
B + b ×h= 8
2 2
4 × 4 = 3.
4
B(1 ; 1) B’(1 ; 0) 80 1. (x – 1)(x – 4) = x2 – 4x – x + 4
( )
C 2 ; 1 C’(2 ; 0)
2
= x2– 5x + 4
2. A(3 ; 2) et B(7 ; –2), donc m = −2 − 2 = –1 et p = yA – myxA
( )
D 4 ; 1
4
D’(4 ; 0)
= 2 – (–1) × 3 = 5.
7−3
4. Le trapèze ABB’A’ a pour aire : La droite (AB) a pour équation y = –x + 5.
B + b ×h=1+ 2 × 1 = 3. On cherche alors M(x,y) appartenant à la droite et à l’hyper-
2 2 2 4
bole : y = –x + 5 et y = 4
Le trapèze BCC’B’ a pour aire : x
1 +1 4 = – x + 5 ⇔ x 2 − 5x + 4 = 0 ⇔ ( x − 1)( x − 4 ) = 0
B + b ×h= 2 × 1 = 3. x x x
2 2 4 ⇔ x – 1 = 0 ou x – 4 = 0 et x ≠ 0.
Le trapèze CDD’C’ a pour aire : La droite et l’hyperbole se coupent en deux points, de
1 + 1 coordonnées :
B + b ×h= 4 2 ×2= 3.
2 2 4 x = 1 et y = 4 = 4, et x = 4 et y = 4 = 1.
1 4
Exercices
y
81 1. A(–3 ; 0), donc f (–3) = 0 ⇔ −3a + b = 0
−9
⇔ b = 3a.
Par ailleurs, B(0 ; –2), donc f (0) = –2 ⇔ b = –2 ⇔ b = 6.
−3 1
On en déduit que a = b = 2. A
3 0 1 x
(2x + 6) B
On a bien f (x) = .
(2x − 3)
2. f (x) = 4 ⇔ 2x + 6 = 4 82 1. a. Faux : on a aussi (−9)2 = 9, donc –9 est une autre
2x − 3
solution.
⇔ 2x + 6 = 4(2x – 3) et x ≠ 23 b. Faux : on a aussi (−2)2 + 1 = 5, donc –2 est une autre
⇔ 2x – 8x = –12 – 6 et x ≠ 3 . solution.
2
c. 2 x = x ⇔ 2 x = x, car x est forcément positif.

⇔ –6x = –18 et x ≠ 3 x +1 x +1
2 x = x ⇔ x2 + 1 = 1 ⇔ x = 0
3
⇔ x = 3 et x ≠ S = {3}. x2 + 1
2
y 2. a. x + 1 = 2 ⇔ x + 1 – 2 = 0
x−3 x−3
4
⇔ + 1− 2x + 6 = 0
x
x−3
⇔ − x + 7 =0
1 x−3
A 3
0 x
⇔ –x + 7 = 0 ⇔ x = 7 et S = {7}.
1
B b. x + 1 > 2 ⇔ x + 1 − 2 > 0 ⇔ x + 1− 2x > 0
x x x
⇔ − x + 1 >0
3. f (x) = 1 ⇔ 2x + 6 = 1 x
2x − 3
⇔ 2x + 6 = 2x – 3 et x ≠ 23 x –` 0 1 +`
⇔ 6 = –3 et x ≠ 3 . –x + 1 + + 0 –
2
Cette égalité est impossible. L’équation n’a pas de solution. x – 0 + +
On le retrouve graphiquement, car la droite horizontale ne −x +1
– + 0 –
coupe jamais la courbe de la fonction. x

S = ]0 ; 1] Il faut donc corriger la troisième ligne de l’algorithme.
c. x + 1 , 0
x
x –` –1 0 +`
x+1 – 0 + +
x b.
– – 0 +
x +1
x + 0 – +
S = ] –1 ; 0[
3. a. L’instruction affiche 1 186,89 et 44,7.
83 Aire = x × 1 = 1. L’aire est constante et toujours égale à 1. b. Ces valeurs correspondent au minimum de la fonction A(x)
x sur [4 ; 100].
84 1. Il faut 2 mètres de chaque côté de la longueur, donc Ce minimum est donc égal 1 186,89 m2 et il est atteint pour
x . 2 × 2 = 4. x ≈ 44,7 m.
Il faut 1 mètre de chaque côté de la hauteur, donc
y . 2 × 1 = 2. 85 On veut résoudre l’équation x2 = x pour x > 0.
2. a. On note l la largeur et h la hauteur de l’espace en herbe. Comme les deux membres sont positifs, on peut élever
On a l = x – 4 et h = y – 2. chaque membre au carré.
l × h = 1 000 ⇔ (x – 4)(y – 2) = 1 000 x2 = x ⇔ x4 = x
⇔ x4 – x = 0
⇔ y – 2 = 1 000 ⇔ y = 1 000 + 2 ⇔ x(x3 – 1) = 0
x−4 x−4
⇔ x = 0 ou x3 = 1
⇔ x = 0 ou x = 1.
S = {0 ; 1}
Les deux courbes se coupent en O(0 ; 0) et A(1 ; 1).
SYNTHÈSE
Exercices
86 1. C(2) = 2 + 40 = 42 : le coût est de 42 €. 2.
C(50) = 50 + 40 = 90 : le coût est de 90 €.
2. a. C(2) = 2 × 5 = 10 : la recette est de 10 €.
C(50) = 50 × 5 = 250 : la recette est de 250 €.
b. R(x) = 5x
3. a. B(x) = R(x) – C(x) = 5x – x – 40 = 4x – 40
b. B(x) > 0 ⇔ 4x – 40 > 0 ⇔ x > 10
Le bénéfice est positif à partir de 10 kg de bonbons.
4. Bm(x) = 4 x − 40 = 4 – 40
x x
Au bout de 20 h et 15 min, la batterie affiche « Piles faibles ».
a. Bm(15) = 4 – 40 = 20 ≈ 1,33
15 15 3. On résout 1,5 – 0,2 t = 0,6.
b. Bm(x) > 3 ⇔ 4 – 40 > 3 ⇔ 1 > 40 1,5 – 0,2 t = 0,6 ⇔ 0,2 t = 0,9
x x
x ⇔ t = 0,9
⇔1 < ⇔ 40 < x 0,2
40
⇔ t = 4,5
Il faut plus de 40 kg de bonbons.
⇔ t = 20,25
87 1. On retrouve bien qu’au bout de 20 h et 15 min, la batterie
affiche « Piles faibles ».
4. L’élève utilise sa calculatrice 1,25 heure pendant
30 semaines soit en tout 37,5 h. Il devra donc changer les
piles une seule fois.
88 1. Fonctions utilisées :
x → x sur [0 ; 4]
x → – x sur [0 ; 4]
x → x sur [–4 ; 0]
x → – x sur [–4 ; 0]
x → x3 sur [–1,6 ; 1,6]
x → –x3 sur [–1,6 ; 1,6]

91 1. Réponse c.
2. 1 = 1, donc B(1 ; 1) [ # x et 13 = 1, donc B(1 ; 1) [ Cx3.
2. Réponse a.
3. yH = x H = 4 = 2
3. Réponse c.
Donc d’après le théorème de Pythagore :
OH = 42 + 22 = 20 = 2 5. 92 1. Cette fonction est définie si x ≠ k.
Le cercle a pour rayon 2 5 . 2. Figure.
4. a. G(xG ; yG ) [ # ⇔ OG = 20 3. Il y a une seule solution si k = 1, et 2 solutions dans les
⇔ xG2 + yG2 = 20 autres cas.
G(xG ; yG) [ #x3 ⇔ yG = xG3 93 1. OP > ON, donc x > 3 et NP < 2, donc x < 3 + 2 = 5,
On a donc xG2 + xG6 = 20. donc x [ [3 ; 5].
b. On trace la fonction x + x6 avec la calculette et on cherche !!!"A(2 ; 2)
2. P(x
!!!" ; 0) T(0 ; y)
l’antécédent de 20. !!" (x –!2!!"; –2)
!AP AT (–2 ; y – 2)
On obtient xG ≈ 1,6, puis yG ≈ 1,63 ≈ 4,2. AP et AT sont colinéaires, donc :
c. G(1,6 ; 4,2) E(1,6 ; –4,2)
(x – 2)(y – 2) – 4 = 0 ⇔ y – 2 = 4
F (–1,6 ; –4,2) D(–1,6 ; 4,2) x−2
d. Reproduction du logo par l’élève.
⇔y = 4 + 2 = 4 + 2x − 4 = 2x ,
x−2 x−2 x−2
89 1. Faux : la fonction inverse est décroissante sur ]–` ; 0[ et donc OT = 2x .
sur ]0 ; +`[, donc si les deux nombres sont de même signe, x−2
l’ordre est inversé : 5 + 1 . 5 + 1 . La fonction OT = 4 + 2 est décroissante sur [0 ; +`[.

a b x−2
2. Vrai, car la fonction inverse est décroissante sur ]–` ; 0[ et Si x = 3, OT = 2 × 3 = 6.
sur ]0 ; +`[, et la fonction opposée est décroissante sur R. Si 3−2
les deux nombres sont de même signe, l’ordre est deux fois Si x = 5, OT = 2 × 5 = 10 ≈ 3,3.
5−2 3
inversé et donc finalement conservé : − 1 , − 1 . 3. La hauteur maximale est donc égale à 6 m et la hauteur
a b
1 1 minimale à 3,3 m.
3. Faux, avec a = –1 et b = 1, a , b et , .
a b
4. Vrai, car la fonction inverse est décroissante sur ]–` ; 0[ et 94 1. V = 1 × B × h = 1 × πR2 × h, comme V = 60, alors
3 3
sur ]0 ; +`[, et la fonction opposée est décroissante sur R. Si
les deux nombres sont de même signe, l’ordre est deux fois h= 60 = 180 .
1 × πR2 πR2
inversé et donc finalement conservé : − 1 , − 1 . Ensuite, en 3
a b 2
multipliant par 2 et en ajoutant 1, on ne modifie pas l’ordre. 2. h < 18⇒ 1802 < 18 ⇒ 102 < 1 ⇒ πR > 1
πR πR 10
⇒R2 > 10 ⇒R > 10 ≈ 1,8.
π π
90 1. f (0) = 10 × 0 + 1 = 1 = 0,05, donc 5 % des jeunes
10 × 0 + 20 20 Le rayon doit être supérieur à 1,8 cm.
sont informés. 95 1. 2x + 1 . 1 ⇔ 2x + 1 −1 . 0 ⇔ 2x + 1− 4 + x . 0
4−x 4−x 4−x
f (3) = 10 × 3 + 1 = 31 = 0,62, donc 62 % des jeunes sont
10 × 3 + 20 50 3x − 3

⇔ .0
informés. 4−x
2. f (x) = 0,75 ⇔ 10x + 1 = 0,75 x –` 1 4 +`
10x + 20
3x – 3 – 0 + +
⇔ 10x + 1 – 0,75 = 0
10x + 20 4–x + + 0 –
⇔ 10x + 1− 7,5x − 15 = 0 ⇔ 2,5x − 14 = 0
3x − 3
10x + 20 10x + 20 4−x – 0 + –
⇔x = 14 = 5,6
2,5 S = ]1 ; 4[
Il faut attendre presque 6 mois pour que plus de 75 % des
jeunes soient informés. 2. 1 < 1 ⇔ 1 −1 < 0 ⇔ 1− 2x + 4 < 0
2x − 4 2x − 4 2x − 4
3. f (x) = 0,90 ⇔ 10x + 1 = 0,90 ⇔ 5 − 2x < 0
10x + 20 2x − 4
⇔ 10x + 1 – 0,90 = 0 5
10x + 20 x –` 2 +`
2
⇔ 10x + 1− 9x − 18 = 0
10x + 20 5 – 2x + + 0 –
⇔ x − 17 = 0
10x + 20 2x – 4 – 0 + +
⇔ x = 17 5 − 2x
2x − 4 – + 0 –
Il faut attendre 17 mois pour que plus de 90 % des jeunes
soient informés.

S = ]–` ; 2[ ¯ ⎡ 5 ; +` ⎡ x –` 0 2 +`
⎣2 ⎣
x – 0 + +
3. 1 – 1 < 0 ⇔ x − 2 − x < 0 ⇔ −2 < 0
x x−2 x ( x − 2) x ( x − 2) x–2 – – 0 +
⇔ 1 >0
x ( x − 2) 5 − 2x
2x − 4 + – +
S = ]–` ; 0[ ¯ ]2 ; +`[
96 97
Questions Va piano Questions Va piano
1. On cherche a tel que a = 2.
3
1.
y
a est donc la solution de l’équation x3 = 1. Avec la calculatrice,
on trouve environ 1,26.
1
2. f (x) = g(x) ⇔ x2 = 2 ⇔ x2 − 2 = 0
x x 0 x
3
1
⇔ x − 2 =0
x
⇔ x3 – 2 = 0 ⇔ x3 = 2 2. Graphiquement, on observe que :
3. a. Voir calculatrice. - sur ]–` ; 0[, on a x , x2 ;
b. Les deux courbes se coupent en (1,26 ; 1,59). - sur ]0 ; 1[, on a x2 , x , x ;
Questions Moderato - sur ]0 ; + `[, on a x , x , x2.
Les trois fonctions sont égales quand x vaut 0 ou 1.
1. On cherche la valeur du côté x du cube telle que x3 = a.
x est l’abscisse du point d’intersection entre la courbe Questions Moderato
représentative de la fonction cube et la droite horizontale 1. Soit x un réel positif.
2
d’équation y = a. x < x ⇔ x < x2, car tous les nombres sont positifs.
⇔ x < x2
2. x3 = 2 ⇔ x2 = 2 , ce qui revient à chercher les points d’in-
x 2. Étude sur [0 ; +`[ :
tersection des courbes de la fonction carré et de l’hyperbole x – x2 = x(1 – x)
correspondant à la fonction x ∞ 2 .
x x –` 0 1 +`
3. Pour a = 2, on obtient x ≈ 1,260.
Pour a = 3, on obtient x ≈ 1,442. x – 0 + +
Pour a = 5, on obtient x ≈ 1,710.

1–x + + 0 –
Questions Allegro
x –x 2
– 0 + 0 –
1. et 2.
3. Sur [0 ; 1], on a x2 < x ⇔ x < x .
Sur [1 ; +`[, on a x < x2 ⇔ x <x.
Questions Allegro
1. Voir la question 3 de Moderato.
2. x > 1 ⇔ x > 12 , car la fonction carré est croissante sur
x x
3. Valeur avec un côté égal à 3 : ]0 ; +`[.
⇔ x3 > 1, car on a multiplié par x2 strictement positif.
⇔ x > 1, car la fonction cube est croissante sur ]0 ; +`[.
Sur ]0 ; 1[, on a x , 1 .
x
Sur ]0 ; +`[, on a x . 1 .
x
1 < x2 ⇔ 1 < x3, car on a multiplié par x strictement positif.
x
⇔ 1 < x, car la fonction cube est croissante sur ]0 ; +`[.
Sur ]0 ; +`[, on a 1 < x2.
x

6 Variations
et extremums
des fonctions
1 a. L’image de 3 est 2. 4
b. f (1) ≈ 1,5 y
c. Un antécédent de 2 est 3.
d. f (1) = –1 1
e. 0 a pour image 1. 0 x
1
2 a. (–0,2) = 0,2
2 2
b. (− 3 + 1) ˘ (− 2 + 1)
2 2
5 Les fonctions c et d.
c. − 1 , 1 6 a. 10
0,2 0,2
b. –15
( ) , ( 71 )
3 3
d. − 1 c. –5,015 et 3,65.
7
7 1. f (7) = 11
3 f (12) = 176
y
⎧⎪ 3x − 10 si x < 10
2. f (x) = ⎨ 2
⎪⎩ x + 3x − 4 si x .10
1
0 1 x
Situation 1 Des fonctions particulières

1 La courbe semble être symétrique par rapport à l’axe des ordonnées.
2 On peut conjecturer que f (–x) = f (x).
Situation 2 Variation dans un intervalle

1 a. a et b varient dans ]–` ; m] et a ¯ b.
b. f (a) ¯ f (b)
c. La fonction est croissante sur l’intervalle ]–` ; m].
2 a. a et b varient dans [m ; n] et a ¯ b.
b. f (a) ˘ f (b)
c. La fonction est décroissante sur l’intervalle [m ; n].
Chapitre 6 Variations et extremums des fonctions 93

Situation 3 Efficacité d’un médicament
a. Durée d’efficacité
· Pour le médicament A
La concentration augmente très rapidement. Elle atteint un maximum, puis elle est décroissante sur l’intervalle [2 ; +`[
(la borne 2 est approximative, ce sera l’occasion de parler de valeurs exactes ou approchées).
Le maximum est au-dessus des concentrations indésirables. La période thérapeutique est d’environ 6 heures (sur l’intervalle
]0 ; 6]).
· Pour le médicament B
La durée d’efficacité est environ aussi longue que le médicament A, mais il n’est jamais dangereux.
· Pour le médicament C
Le médicament C n’est jamais efficace. La concentration n’atteint jamais les concentrations thérapeutiques.
b. Risques encourus
Ce médicament présente donc un danger même si le produit a presque disparu au bout de 24 heures.
La concentration reste toujours en dessous des concentrations indésirables (son maximum est inférieur à 6 mg/l), et n’est
plus efficace au bout de 7 heures environ.
Le produit a disparu au bout de 24 heures. Ce médicament est plutôt conseillé.
Il ne présente pas de danger, car il ne dépasse jamais les concentrations indésirables. Il reste encore présent dans le sang au
bout de 24 heures (l’image de 24 est environ 1 mg/l).
Ce médicament n’est pas efficace. Il est sûrement à déconseiller.
c. Durées d’absorption
La concentration reste longtemps au-dessus des concentrations indésirables (environ dès la première demi-heure jusqu’à
4 heures après l’administration).
Introduire à cette occasion la notion f (x) > k en comparant c avec 6.
La période thérapeutique est assez longue (sur l’intervalle [1 ; 7] environ, soit 6 heures).
Il est assez lent à être absorbé.
d. Durées d’élimination
Il est éliminé au bout de 6 heures.
Il est éliminé au bout de 7 heures environ.

Il est assez lent à être éliminé.
Situation 4 Aire maximale

1 On conjecture AD ≈ 3,37.
2 Le graphique permet de conjecturer une valeur identique environ.

y
3,37
0 1 x
3 a. L’aire totale est x2.

Le côté du carré bleu est x, donc l’aire du carré bleu est 9x.
Le côté du carré rouge est 9 – x, donc l’aire du carré rouge est (9 – x)2.
Le côté du carré jaune est x – (9 – x) = 2x – 9, donc l’aire du carré jaune est (2x – 9)2.
L’aire du rectangle hachuré est alors : f (x) = 9x – x2 – (9 – x)2 – (2x – 9)2.
94 Chapitre 6 Variations et extremums des fonctions

En développant, on trouve : f (x) = 9x – x2 – 81 + 18x – x2 – 4x2 + 36x – 81 = –6x2 + 63x – 162.
On développe l’autre expression : (2x – 9)(18 – 3x) = 36x – 6x2 – 162 + 27x = –6x2 + 63x – 162.
On a bien f (x) = (2x – 9)(18 – 3x).
b. Le maximum est l’ordonnée du point de la courbe situé sur l’axe de symétrie.
Le point de l’axe des abscisses situé sur l’axe de symétrie a pour abscisse : 4,5 + 6 = 5,25.
2
L’ordonnée du point de la courbe situé sur l’axe de symétrie est donc f (5,25) = 3,375.
On retrouve une valeur proche de celle conjecturée.
1 On cherche à savoir quel est le réel le plus grand entre f (a) et f (b).
2 On utilise la règle des signes d’un quotient. Si le numérateur et le dénominateur sont de même signe, alors le quotient
est positif. Sinon, il est négatif.
3 Si on prouve que la fonction est décroissante sur ]0 ; +`[ , alors elle sera aussi décroissante sur ]–` ; 0[. En effet, par symétrie
par rapport à l’origine :
y fonction
décroissante
1 M
0
0 1 x
M’
fonction
décroissante
4 Si la fonction est paire et décroissante sur ]–` ; 0[ , alors elle est croissante sur ]0 ; +`[.

1 · Soient a et b deux réels appartenant à ]0 ; + `[ tels que a ¯ b.
On veut savoir si f (a) = a est supérieur ou inférieur à f (b) = b .
On étudie donc le signe de b – a .
· On a ( b − a ) × ( b + a ) = b − a = b – a. Donc b − a = b − a .
2 2
· On a : a ¯ b, donc b – a ˘ 0. Le numérateur est positif. b + a

Le dénominateur est une somme de deux racines carrées, donc il est positif.
· D’après la règle des signes, le quotient est alors positif.
· On en conclut que b ˘ a ou encore a ¯ b . La fonction racine carrée est donc croissante.
2 · On considère un point M d’abscisse x, appartenant à #f. On a alors M(x ; f (x)).

· Le point M’, symétrique de M par rapport à l’origine, a pour coordonnées les opposés des coordonnées de M. Donc M’(–x ; –f (x)).
· Comme f est impaire, on a –f (x) = f (–x). On en déduit donc que les coordonnées de M’ sont (–x ; f (–x)) et donc vérifient
l’équation de la courbe #f . Donc M’ appartient à #f .
On vient de montrer que le symétrique de tout point de #f est sur #f .
Réciproquement, si on prend un point M’ appartenant à #f , il est le symétrique de son symétrique par rapport à O. Donc il
est le symétrique d’un point de #f .
· On en conclut que la courbe #f est symétrique par rapport à O.

· Parité de f .
On calcule f (1) et f (–1).
f (1) = 12 + 2 × 1 + 1 = 4 ; f (–1) = (–1)2 + 2 × (–1) + 1 = 0.
On a f (–1) ≠ f (1), donc f n’est pas paire.
De même, f (–1) ≠ –f (1), donc f n’est pas impaire.
· Parité de g.
Soit x un réel. On calcule g(–x).
g(–x) = (–x)3 + 3 × (–x) = –x3 – 3x = –(x3 + 3x) = –g(x).
La fonction g est impaire.

Travaux pratiques
TP 1 Les variations d’une fonction

1
2 a. La variable sens permet de savoir si la fonction peut être croissante sur l’intervalle considéré. Si f (b) – f (a) est négatif,
alors la fonction ne peut pas être croissante.
b. La variable N découpe l’intervalle en N parts égales de longueur b − a . La variable pas donne le pas d’incrémentation de
N
la variable x, égal à la subdivision de l’intervalle de départ.
c. La fonction renvoie True, car f (–1) = f (2). Or la fonction n’est pas croissante sur [–1 ; 2].
Si on teste la fonction variation avec la fonction f définie sur [–1 ; 3], la fonction renvoie False car la fonction f n’est pas
croissante sur cet intervalle.
Il faut donc que f (a) ≠ f (b).
d. La fonction variation renvoie True.
TP 2 Recherche d’extremums
1
2 a.

b.
TP 3 Prolifération bactérienne
1 N(0) = 150. Le nombre de bactéries initial est 150 000 000.

3
4 a. 4,6 minutes.
b. 12,7 minutes.
TP 4 Le réflexe affine
1
2
TP 5 Pose d’une canalisation

1 On conjecture que la distance la plus courte est environ 1,5 km.
y
d = 1,5
A
1 M
0 1 x
( x − 3)2 + ( f ( x ) − 2)2 = ( x − 3)2 + (− x 2 + 4 − 2) = ( x − 3)2 + (2 − x 2 )

2 2
2 A(3 ; 2) et M(x ; f (x) = (–x2 + 4)), donc AM =
3 On écrit dans une calculatrice la fonction AM en fonction de x et on cherche son minimum.

TI Casio

TP 6 Pic pétrolier
1 a. Reproduction de l’élève.
b.
4 000
3 000
2 000
1 000
0 5 10 15 20 25
2 La production a été maximale en 2011.
4
0,15
0,10
0,05
0
5 10 15 20 25
–0,05
–0,10
–0,15
La variation maximale est d’environ 0,14. La variation minimale est d’environ –0,18.

Automatismes
Calcul mental c. –4 . –7 et la fonction inverse est décroissante sur ℝ–, donc

1 a. f (1) = 2
b. f (–2) = 11 − 1 , − 1.
4 7
()
c. f 1 = 1 d. f 3 = 4
2 2 () d. − , 0 et 1 . 0, donc − 1 , 1 .
1
8 2 8 2
2 Le minimum de la fonction est 3 puisque pour tout x [ ℝ,
2(x – 1)2 ˘ 0, donc 2(x – 1)2 + 3 ˘ 3. 6 a. Faux.
b. Faux.
3 1. f (1) = f (–1) = 4 + 3 = 7
c. Vrai.
2. f (0) = 0 + 3 = 3
d. Vrai.
4 1. f (2) = 7 f (6) = 15, donc f (6) . f (2). e. Vrai.
2. g(–1) = 4 g(1) = –2, donc g(–1) . g(1). f. Faux.
7 a. 2 , 3,5 et f est décroissante sur [1 ; 5], donc f (2) . f (3,5).

Réflexes
b. 4 . 1,3 et f est décroissante sur [1 ; 5], donc f (4) , f (1,3).
5 a. 3,1 . 4,7 et la fonction carré est strictement croissante
sur ℝ+, donc 3,12 . 4,72.
8 1. Réponse a.
b. –2,4 . –2,7 et la fonction carré est strictement décroissante 2. Réponse a.
sur ℝ–, donc (–2,4)2 , (–2,7)2. 3. Réponse b.
Exercices
9 1. Pour tout x [ ℝ, –x [ ℝ 15 1. Fonction impaire
et f (–x) = 2 × (–x) – 1 = 2x – 1 = f (x).
2 2 y
La fonction est donc paire sur ℝ.
2. Comme la fonction est paire, sa courbe est symétrique par
rapport à l’axe des ordonnées.
10 Pour tout x [ ℝ, –x [ ℝ et 1
g(–x) = (–x – 1)2 + 2 × (–x) 0 1 x

= x2 + 2x + 1 – 2x
= x2 – 2x + 1 + 2x
= (x – 1)2 + 2x = g(x).
La fonction est donc paire sur ℝ.
11 1. Pour tout x [ ℝ, –x [ ℝ et 2. Fonction paire
f (–x) = 2 × (–x)5 – 3 × (–x)3 + (–x) y
= –2x5 + 3x3 – x = –f (x).
La fonction est donc impaire sur ℝ.
2. Comme la fonction est impaire, sa courbe est symétrique
par rapport à l’origine O. 1
12 h(–1) = (–1 – 1)3 = –8 et h(1) = (1 – 1)3 = 0. 0 1 x

Comme ces deux images ne sont ni égales ni opposées, la
fonction n’est ni paire ni impaire. 16 1. Quand le temps passe, le volume diminue. C’est une
fonction décroissante du temps.
13 g(–1) = −12+ 1 = 0 et g(1) = 12 + 1 = 1 . 2. Quand la masse augmente, le tarif augmente. C’est une
(−1) + 3 1 +3 2 fonction croissante de la masse.
Comme ces deux images ne sont ni égales ni opposées, la 3. Quand le temps passe, le caillou commence par s’élever
fonction n’est ni paire ni impaire.
avant de retomber.
14 Si une fonction f est linéaire, alors il existe un réel a tel Son altitude augmente, puis diminue. C’est une fonction
que pour tout réel x, f (x) = ax. croissante, puis décroissante du temps.
Pour tout x [ ℝ, –x [ ℝ et f (–x) = a × (–x) = –ax = –f (x). 4. Quand la longueur du côté augmente, le volume augmente.
La fonction est donc impaire sur ℝ. C’est une fonction croissante de la longueur.

17 1. D = [–3 ; 7] 23 a. –1 [ [–2 ; 5] et 3 [ [–2 ; 5].
2. –1 , 3 et k est strictement décroissante sur [–2 ; 5], donc
x –3 –1 5 7 k(–1) . k(3).
b. D’après le tableau de variation, k(6) [ [–6 ; 0] et k(8) [ [0 ; 1],
4 5 donc k(6) ¯ k(8).
f (x) c. On ne peut pas comparer k(8) et k(9,1). Ils appartiennent
–1 0 tous les 2 à l’intervalle [0 ; 1].
d. D’après le tableau de variation, k(0) [ [–6 ; –3] et
18 On a B(5 ; 2) [ #, f (5) = 2 et C (6 ; 5) [ #, f (6) = 5. k(10) [ [0 ; 1], donc k(0) , k(10).
Comme 5 ¯ 6 et f (5) ¯ f (6), l’ordre est conservé. On ne peut
24 Quand x vaut 0, le point P est confondu avec le point O
donc pas affirmer que la fonction est décroissante.
et l’aire du rectangle est nulle.
19 1. Vrai : dans le tableau, on a h(–2) = –1. Quand x vaut 1, le point P est confondu avec le point A et
2. Faux : il y en a un autre entre 3 et 5, car les images passent l’aire du rectangle est nulle.
de 4 à –2. Entre les deux, l’aire du rectangle croît puis décroît.
3. Faux : elle est croissante sur [–1 ; 3], puis décroissante sur Si on veut déterminer précisément pour quelle valeur de x
[3 ; 4]. l’aire cesse de croître, il faut observer que la figure présente
4. Vrai, car la fonction est décroissante sur [–6 ; –2]. une symétrie et que les rectangles sont semblables quand
Donc si –6 ¯ x ¯ –2, alors f (–6) ˘ x ˘ f (–2)3 ˘ x ˘ –1. OP = x et quand OQ = x. L’aire sera donc maximale quand
5. Faux : –6 ¯ –2 ¯ 3, alors h(–2) = –1 ” [3 ; 4]. OP = OQ, c’est-à-dire quand le rectangle est carré. Dans ce
cas, OMP est rectangle et isocèle de côté x. D’après le théo-
20 1. L’ensemble de définition de f est [–2 ; 5]. rème de Pythagore, dans ce triangle, 2 × OP2 = OM2 = 12 = 1.
2. 0 a 4 antécédents.
3. a. f est négative sur [2 ; 4]. On en déduit que OP = 1 = 2 et l’aire du rectangle (carré)
2 2
b. f est strictement décroissante sur [1 ; 3]. vaut OP2 = 1 .
4. Si x [ [1 ; 5], alors f (x) [ [–5 ; 4]. 2
5. a. 6 n’a pas d’image par f. Tableau de variation.
b. –6 n’a pas d’antécédent par f. 2
c. –3 a exactement 2 antécédents par f. x 0 1
2
21 1. 1
x –2 0 1 2 5 A(x) 2
0 2 0 0
f (x)
25 1. 1 , 5,5 et f est décroissante sur ℝ, donc f (1) . f (5,5)
–3 0 d’où f (5,5) , 0.
2. 2. 1 . –3 et f est décroissante sur ℝ, donc f (1) , f (–3) d’où
y
f (–3) . 0.
1 26

0 x x –` 1 +`
1
2
f (x)
3. La fonction est négative sur [–2 ; 1]. 27 1. Le minimum de f sur [–3 ; 5] est égal à –2 et il est atteint
4. D’après le tableau de variation, f (0,5) , 0 et f (1,5) . 0,
en 2.
donc f (0,5) , f (1,5).
2. Le maximum de f sur [–3 ; 5] est égal à 3 et il est atteint en 4.
22 1. Dg = [–4 ; 5] 3. Le maximum de f sur [–3 ; 2] est égal à 2 et il est atteint
2. en –2.
y 4. Le minimum de f sur [0 ; 4] est égal à –2 et il est atteint en 2.
28 1. C’est bien une fonction, car à chaque heure correspond
1 exactement un prix.
2. Le prix maximal est d’environ 2 043 € et il est atteint le
0 1 x 8 février vers 2 h.
3. Le prix passe de 2 025 à 2 043 €, il augmente de
⎛ 2 043 − 1⎞
⎝ 2 025 ⎠ × 100 ≈ 0,9 %.
29 1. Vrai, car f est croissante sur [0 ; 1].

2. Le tableau ne permet pas de l’affirmer.

3. Faux, car h(2) = –4 et comme –2 ¯ h(–2) ¯ –1, h(2) ¯ h(–2). 30 1. La longueur d’onde maximale vaut environ
4. Le tableau ne permet pas de l’affirmer.
470 nanomètres.
5. Faux, le maximum vaut 4. 6
6. Vrai, d’après le tableau, il vaut –4. 2. θ = 2,89 × 10 ≈ 6 149 kelvins
470
Exercices
2
31 1. Pour tout x [ I, –x [ I. Le périmètre est : p = 2x + 2y = 2x + 8 = 2( x + 4) .
x x
f (− x) + f ( x)
g(− x) = = g( x) , donc g est paire. Le périmètre est minimum pour x = 2 et sa valeur est 8.
2
2. Pour tout x [ I, –x [ I. 36 1. –2 , 0, donc f est strictement décroissante sur ℝ.
f (− x) − f ( x) 2. Soit a [ ℝ et b [ ℝ tels que a , b. Montrons que f (a) . f (b),
h(− x) = = −h( x) , donc h est impaire.
2 c’est-à-dire :
3. g( x) + h( x) = f (x) f (a) – f (b) . 0
4. Toute fonction peut s’écrire comme somme d’une fonction f (a) – f (b) = (–2a + 3) – (–2b + 3)
paire et d’une fonction impaire. = –2a + 2b = 2(b – a) . 0,
32 Soit AN = x. donc f est strictement décroissante sur ℝ.
D’après le théorème de Thalès, BN = BM = MN . 37 1. A(1 ; 0) et M(x ; x2), donc

BA BC AC
f (x) = AM = ( x − 1)2 + ( x 2 − 0)
2
Donc 10 − x = MN , donc MN = 7(10 − x) = 7 − 0,7x.
10 7 10
D’où f (x) = AireANMP = AN × MN = x 2 − 2x + 1 + x 4
= x(7 – 0,7x). = x 4 + x 2 − 2x + 1
Donc l’aire du rectangle est maximale pour x = 5. 2. Avec la calculatrice, on obtient que la distance est mini-
33 1. male quand x vaut environ 0,59.
y Les coordonnées de M sont alors (0,59 ; 0,348 1).
38 1. D’après l’écran, la fonction semble croissante sur ℝ.
2. Avec une fenêtre plus zoomée, il semble qu’en fait la fonc-
tion soit décroissante sur [–0,09 ; 0,09].
1 3.
0
x –` –1 1 +`
1 x
–2,005
Variation de f
1,95
39 1. a. f (b) – f (a) = (b – 3)2 + 1 – (a – 3)2 – 1

= b2 – 6b + 9 + 1 – a2 + 6a – 9 – 1
= b2 – 6b – a2 + 6a = b2 – a2 – 6(b – a)
2. = (b – a)(b + a) – 6(b – a)
x 0 5 10 = (b – a)(b + a – 6)
b. Comme a, b ˘ 3, b + a – 6 ˘ 0 et comme a ¯ b, on a
17,5
b – a ˘ 0.
f (x) c. Le produit (b – a)(b + a – 6) étant positif, f (b) – f (a) ˘ 0 et
0 0 f (b) ˘ f (a).
d. Comme 3 ¯ a ¯ b, alors f (b) ˘ f (a), l’ordre est conservé et
34 1. C(0) = 0,000 5 × 03 – 0,06 × 02 + 2,5 × 0 + 63 = 63. la fonction est croissante sur [3 ; +`[.
Le coût fixe est de 63 €. 2. a ¯ b ¯ 3
C(120) = 0,000 5 × 1203 – 0,06 × 1202 + 2,5 × 120 + 63 = 363. • f (b) – f (a) = (b – 3)2 + 1 – (a – 3)2 – 1
Le coût pour 120 coques fabriquées est de 363 €. = b2 – 6b + 9 + 1 – a2 + 6a – 9 – 1
2. R(x) = 2,5x = b2 – 6b – a2 + 6a = b2 – a2 – 6(b – a)
3. La courbe qui représente la recette R est la courbe #g. = (b – a)(b + a) – 6(b – a)
4. a. La fonction C est croissante. = (b – a)(b + a – 6)
b. Par lecture graphique, il faut vendre entre 40 et 110 coques • Comme a, b ¯ 3, b + a – 6 ¯ 0 et comme a ¯ b, on a b – a ˘ 0.
pour que l’entreprise réalise des bénéfices. • Le produit (b – a)(b + a – 6) étant négatif, f (b) – f (a) ¯ 0 et
f (b) ¯ f (a).
35 Soit x la largeur et y la longueur.
• Comme a ¯ b ¯ 3, alors f (b) ¯ f (a), l’ordre est inversé et la
L’aire est égale à 4 cm2, donc xy = 4 ⇔ y = 4 . fonction est décroissante sur ]–` ; 3].
x
40 1. a. Quand x = 0,5 le ballon est à 3 m de haut. 41 1. La fonction semble atteindre un minimum m = 3 quand
b. Le ballon semble rester toujours en dessous de 5 mètres, x vaut 3.
il n’atteint donc jamais 5,5 m de haut. 2. f (x) – 3 = x2 – 6x + 12 – 3
2. Avec la calculatrice, on obtient que la hauteur maximale = x2 – 6x + 9 = (x – 3)2 ˘ 0.
du ballon est égale à 5,025 m, et elle est atteinte quand x La valeur f (3) = 3 est bien le maximum de la fonction.
vaut 2,75.
Exercices
42 1. a. (b – a)(a2 + ab + b2) = a2b + ab2 + b3 – a3 – a2b – ab2 a. • f (0) = (3 × 0 – 2)2 – 16 = (–2)2 – 16
= b – a = f (b) – f (a)
3 3
= 4 – 16 = –12
b. Comme a ¯ b, on a b – a ˘ 0. • f (–1) = (3 × (–1) – 2)2 – 16
Comme a, b ˘ 0, on a a2 + ab + b2 ˘ 0. = (–3 – 2)2 – 16 = (–5)2 – 16
c. f (b) – f (a) = (b – a)(a2 + ab + b2) est positif, car c’est le produit = 25 – 16 = 9
de deux nombres positifs. • f (3) = (3 × 3 – 2)2 – 16 = (9 – 2)2 – 16
Donc f (b) ˘ f (a). = 72 – 16 = 49 – 16 = 33
d. Comme a ¯ b et f (a) ¯ f (b), l’ordre est conservé, la fonction b. • On cherche x tel que :
cube est croissante sur [0 ; +`[. f (x) = 0 ⇔ (3x – 6)(3x + 2) = 0
2. • f (b) – f (a) = (b – a)(a2 + ab + b2) ⇔ 3x – 6 = 0 ou 3x + 2 = 0
• Comme a ¯ b, on a b – a ˘ 0. ⇔ x = 2 ou x = − 2 .
Comme a, b ¯ 0, on a ab ˘ 0 et donc on a toujours 3
a2 + ab + b2 ˘ 0. La valeur 0 a donc deux antécédents : 2 et − 2 .
3
• f (b) – f (a) = (b – a)(a2 + ab + b2) est positif, car c’est le produit • On cherche x tel que :
de deux nombres positifs. f (x) = –16 ⇔ (3x – 2)2 – 16 = –16
Donc f (b) ˘ f (a). ⇔ (3x – 2)2 = 0 ⇔ 3x – 2 = 0
• Comme a ¯ b et f (a) ¯ f (b), l’ordre est conservé, la fonction
⇔ x = 2.
cube est croissante sur ]–` ; 0]. 3
On a donc démontré que la fonction cube est croissante La valeur –16 a donc un unique antécédent : 2 .
3
sur ℝ. • On cherche x tel que :
2 2 f (x) = –25 ⇔ (3x – 2)2 – 16 = –25
43 1. a. f (b) – f (a) = 12 – 12 = a 2− 2b ⇔ (3x – 2)2 + 9 = 0.
b a a b
C’est impossible.
( a − b )( a + b ) La valeur –25 n’a donc pas d’antécédent.
=
a2 b2 c. On étudie le signe de f (x) = (3x – 6)(3x + 2) à l’aide d’un
b. Comme a ¯ b, on a a – b ¯ 0. tableau.
Comme a, b ˘ 0, on a a + b ˘ 0 et on a toujours a2b2 ˘ 0.
x –` −2 2 +`
( a − b )( a + b ) 3
f (b) – f (a) = est donc négatif, car c’est le produit

a2 b2 3x – 6 – – 0 +
de deux nombres de signes contraires. 3x + 2 – 0 + +
Donc f (b) ¯ f (a). f (x) + 0 – 0 +
c. Comme a ¯ b et f (a) ˘ f (b), l’ordre est inversé, la fonction
est décroissante sur ]0 ; +`[. La fonction est donc positive sur :
2. • f (b) – f (a) =
( a − b )( a + b ) ]–` ; − 2 ] < [2 ; +`[.
3
a2 b2
• Comme a ¯ b, on a a – b ¯ 0. ( )
d. Comme pour tout réel x, f (x) = (3x – 2)2 – 16 ˘ –16 = f − 2 .
3
Comme a, b ¯ 0, on a a + b ¯ 0 et on a toujours a2 b2 ˘ 0.
La fonction admet un minimum égal à –16 en x = − 2 .
( a − b )( a + b ) 3
f (b) – f (a) = est donc positif, car c’est le
a2 b2 45 Pour x baisses de 10 centimes, le bénéfice réalisé est égal
produit de deux nombres de même signe.
Donc f (b) ˘ f (a). à:
• Comme a ¯ b et f (a) ¯ f (b), l’ordre est conservé, la fonction B(x) = (3,5 – 1,1 – 0,1x)(200 + 10x)
est croissante sur ]–` ; 0[. = (2,4 – 0,1x)(200 + 10x)
= –x2 + 4x + 480 = –(x – 2)2 + 484
44 1. a. A = (3x – 2)2 – 16 B(x) = –(x – 2)2 + 484 ¯ 484 = B(2)
= 9x2 – 12x + 4 – 16 Le bénéfice admet donc un maximum égal à 484 € pour une
= 9x2 – 12x – 12 vente à 3,50 – 2 × 0,1 = 3,30 €.
b. A = (3x – 2)2 – 16 = (3x – 2)2 – 42 Il vendra alors 200 + 2 × 10 = 220 litres.
= (3x – 2 – 4)(3x – 2 + 4)
= (3x – 6)(3x + 2)
2. f (x) = (3x – 2)2 – 16

46 1. On note ABCD le rectangle et H le milieu du côté [BC] d. L’aire maximale d’un rectangle inscrit dans un cercle de
de façon que OH = x. rayon 5 est 50.
Dans le triangle OHB rectangle en B, on applique le théorème Elle est atteinte quand le rectangle est un carré, son côté est
de Pythagore : alors x ≈ 3,53.
( ) ()
2 2
OB2 = OH2 + HB2 ⇔ HB = OB2 − OH 2 47 x – x2 = – x − 1 + 1 ¯ 1 = 1 – 1
2 4 4 2 2
= R2 − x 2 et l = 2HB = 2 R2 − x 2 .
La valeur maximale obtenue est donc 1 , obtenue avec le
2. L’aire du rectangle jaune vaut L × l = 2x × 2 R2 − x 2 4
= 4 x R2 − x 2 . nombre 1 .
2
a. La variable R contient le rayon du cercle.
48 Avec x . 0, x + 1 – 2 = x − 2x + 1 = ( x − 1) ˘ 0, donc
2 2
La variable N sert à définir en combien de morceaux on
x x x
découpe l’intervalle [0 ; R].
x + 1 ˘ 2 = 1 + 1.
b. On détermine le pas avec lequel x parcourt l’intervalle x 1
[0 ; R]. La valeur minimale obtenue est donc 2, obtenue avec le
c. Cette fonction permet de déterminer la valeur maximale nombre 1.
de l’aire du rectangle jaune.
SYNTHÈSE
Exercices
49 1. x [ [0 ; 8] DM = ( xM − xD )2 + ( yM − yD )
2
2. La fonction semble croissante pour x variant de 0 à 4, puis

= ( x − 8)2 + ( 4 − 0)2
décroissante pour x variant de 4 à 8.
3. D’après le théorème de Thalès, = ( x − 8)2 + 16
MR = BR ⇔ MR = 8 − x ⇔ MR Elle parcourt donc : 6 + ( x − 2)2 + 16 + ( x − 8)2 + 16 .
CA BA 6 8
2. a. Avec la calculatrice, on trouve que le trajet le plus petit
6 (8 − x )
= =6−3x possible vaut 16 km.
8 4
( )
f (x) = AR × MR = x 6 − 3 x = 6x − 3 x 2
4 4
b. Toujours avec la calculatrice, on obtient qu’il est atteint
quand x = 5.
c. Quand x = 5 :
4.
DT = ( x − 2)2 + 16
= (5 − 2)2 + 16 = 32 + 16
= 9 + 16 = 25 = 5
DM = ( x − 8)2 + 16
= (5 − 8)2 + 16 = (−3)2 + 16
On conjecture que le maximum est 12.
= 9 + 16 = 25 = 5
5. f (x) = 6x – 3 x 2 = − 3 (x – 4)2 + 12 ¯ 12 = f (4) Le triangle est donc isocèle en D.
4 4
La fonction admet donc un maximum égal à 12, atteint quand
x = 4.
52 La fonction semble être constante sur ⎡ 1 ;2 ⎡ puisque la
⎣2 ⎣
courbe semble être horizontale.
50 1.
53 Quand x augmente, l’aire du trapèze diminue. L’aire du
x –` –0,5 1,5 +` trapèze correspond donc à la droite rouge et l’aire du triangle
3 à la bleue.
f (x)
–4 Prenons maintenant x = 5. Dans ce cas, les points A et M sont
2. a. f (x) = 4 S = {2,3} confondus.
b. f (x) = –1 S = {–1,2 ; 0,7 ; 2} D’après le graphique, !CMB = 10 et en faisant le calcul, on
3. f (x) ˘ 1 S = [–1 ; 0,3] < [2,3 ; +`[ obtient que !CMB = MB × AD = 5 × AD . On en déduit que
4. 2 2
AD = 4.
x –` –1,1 0,4 2,1 +`
D’après le graphique, !ADCM = 6 et en faisant le calcul, on
f (x) – 0 + 0 – 0 +
obtient que !ADCM = AD × DC = 4 × DC . On en déduit
51 1. Elle parcourt DT + TM + MD 2 2
que DC = 3.
DT = ( xT − xD )2 + ( yT − yD )
2
Prenons maintenant x = 2. Dans ce cas, le triangle CMB est
2
= ( x − 2) + ( 4 − 0) 2 rectangle en M et, d’après le théorème de Pythagore :
= ( x − 2)2 + 16 CB2 = CM2 + MB2 ⇔ CB = 42 + 22

= 20 = 2 5 .
Quand x = 0, AireABCD = 16 4. a. Graphiquement, on a f (x) = 4 quand x vaut environ –1,8.
( AB + DC ) b. f (x) = 4 ⇔ 1 = 4 ⇔ 1− 4 x − 8 = 0
⇔ × AD = 16 ⇔ ( AB + 3) × 4 = 16 ⇔ AB = 5 .
2 2 x +2 x +2
⇔ −4 x − 7 = 0 ⇔ –4x – 7 = 0 et x + 2 ≠ 0 ⇔ x = − 7 = 1,75.
54 1. x +2 4
y
5. f (x) – 2 = 1 –2= 1− 2x − 4 = −2x − 3
x +2 x +2 x +2
1 6.
x –` –2 –1,5 +`
0 1 x
–2x –3 + + 0 –
x+2 – 0 + 0 +
2. La fonction semble décroissante sur ]–` ; –2[ et sur ]–2 ; +`[. f (x) – + 0 –
3. On considère a, b [ ]–2 ; +`[ avec a ¯ b.
1 – 1 = a + 2−b−2 f (x) ¯ 2 ⇔ f (x)–2 ¯ 0 ⇔ −2x − 3 ¯ 0
a. f (b) – f (a) = x +2
b + 2 a + 2 ( b + 2 )( a + 2 )
S = ]–` ; –2[ < [–1,5 ; +`[
= a−b
( b + 2 )( a + 2 ) 55 1. Pour que l’entreprise soit rentable, il faut que la recette
b. Comme a ¯ b, on a a – b ¯ 0 et comme a, b [ ]–2 ; +`[, soit supérieure au coût de production.
a + 2 ˘ 0 et b + 2 ˘ 0. C’est le cas de 500 à 2 000 tonnes.
c. f (b) – f (a) = a−b ¯ 0, d’après la règle des signes 2. Le bénéfice est maximal quand l’écart entre les deux
( b + 2 )( a + 2 ) courbes est maximal.
des produits et quotients. C’est le cas pour 1 250 tonnes.
d. Comme f (b) – f (a) ¯ 0, on a f (b) ¯ f (a). L’ordre est donc La recette est de 215 000 € et le coût de production de
inversé et la fonction est décroissante sur ]–2 ; +`[. 150 000 €, donc le bénéfice est de 65 000 €.
1.
Questions Va piano 1. B(b) – B(a) = − 1 +2− −1 +2
b + 0,5 (a )
y =− 1 + 1
b + 0,5 a + 0,5
= −a + 0,5 + b − 0,5
(b + 0,5)(a + 0,5)
1
= b−a
(b + 0,5)(a + 0,5)
0 1 x

2. a ¯ b ⇔ b – a ˘ 0
a [ [0 ; 5] et b [ [0 ; 5], donc a + 0,5 . 0 et b + 0,5 . 0.
On en déduit que b−a ˘ 0 d’où B(b) – B(a) ˘ 0,
2. Il faut vendre 50 lunettes pour que le bénéfice soit de (b + 0,5)(a + 0,5)
10 000 €. donc B(a) ¯ B(b).
3. Avec 4 centaines de lunettes, le bénéfice est de L’ordre est conservé, B est donc croissante sur [0 ; 5].
B(4) = − 1 + 2 ≈ 1,778. Pour la vente de 400 lunettes,
4 + 0,5 57
l’entreprise réalise un bénéfice d’environ 17 778 €. Questions Va piano
1. y
Questions Moderato
1. Il faut résoudre f ( x) = 1:
f ( x) = 1 ⇔ − 1 + 2 = 1 ⇔ x + 0,5 = 1 ⇔ x = 0,5.
x + 0,5
Il faut donc vendre 50 lunettes pour que le bénéfice soit de 1
10 000 €. 0 x
1
2. D’après la calculatrice, B est croissante sur [0 ; 5].
3. Le bénéfice est maximum pour 500 lunettes vendues.

2. La fonction g admet un minimum égal à 0 en x = 1 (courbe 3. h(x) = f (x) + g(x)
rouge). = x2 – 4x + 1 + 2x2 – 4x + 2
La fonction f admet un minimum égal à –3 en x = 2 (courbe = 3x2 – 8x + 3
verte).
( )
2
h(x) = 3 x − 4 − 7
3. Voir courbe bleue. 3 3
4. Non, les minima ne s’ajoutent pas. 4. La fonction h admet un minimum égal à − 7 en x = 4 .
3 3
La fonction h admet un minimum égal à environ –2,3 ≠ 0 – 3. 5. Non, les minima ne s’ajoutent pas.
La fonction h admet un minimum égal à − 7 ≠ 0 – 3.
3
Questions Moderato
Questions Allegro
1. f (x) = (x – 2)2 – 3
g(x) = 2(x – 1)2 1. h(x) = f (x) + g(x)
= x2 – 4x + 1 + 2x2 – 4x + 2
x –` 2 +` = 3x2 – 8x + 3
( )
2
2. h(x) = 3 x − 4 − 7
f (x) 3 3
La fonction h admet un minimum égal à − 7 en x = 4 .
–3 3 3
3. p(x) = f (x) – g(x)
x –` 1 +` = x2 – 4x + 1 – 2x2 + 4x – 2
= –x2 – 1
4. La fonction p n’admet pas de minimum mais un maximum
g(x) égal à –1 en x = 0.
0 5. Si on prend f (x) = (x – 2)2 – 3 et g(x) = 2(x – 2)2 + 5, ces deux
fonctions admettent un minimum en x = 2 valant respecti-
2. D’après les tableaux de variation ci-dessus :
vement –3 et 0.
• la fonction f admet un minimum égal à 0 en x = 1.
Leur somme admet un maximum égal à 2 = –3 + 5 en x = 2.
• la fonction g admet un minimum égal à –3 en x = 2.

7 Vecteurs
1 1. a. A(–2 ; –1) ; B(1 ; 2) ; C(2 ; –1). 2 AC2 = 62 = 36

b. A(–2 ; –1) ; B(2 ; 0) ; C(1 ; 2). AB2 + BC2 = 4,82 + 3,62 = 36
2. 1re figure On a donc AC2 = AB2 + BC2 donc d’après le théorème de
y
B Pythagore, le triangle ABC est rectangle en B.
1 3 A = 25 = 5 B = 64 = 8
C = 1= 1 D = 121 = 11
0 x
A 1 E = 49 F = 144 G = 81 = 9
C
4 F1 en F2 : homothétie de centre F et de rapport 2.
F1 en F3 : translation qui transforme A en F.
F1 en F4 : symétrie de centre F.
D F1 en F5 : symétrie d’axe (AB).
Donc D(–1 ; –4).
5 a. 12,6 × 1,9 = 23,94 et 5,8 × 4,2 = 24,36. Les produits
2e figure
y
C
en croix n’étant pas égaux, les grandeurs x et y ne sont pas
proportionnelles.
D 5,2 × 9
1 b. Le nombre manquant est : = 6.
B 7,8
0 1 x 6 a. y
A A
Donc D(–3 ; 1).

C
3. 1re figure
y
B E
B
1
1
0 1 x
0 1 x
A C Donc A(6 ; 5).
b. y
Donc E(5 ; 2). C
2e figure E
E B
y 1
C
0 1 x
1
Donc E(0 ; 2).
0 1 B x
A
Donc E(5 ; 3).
Chapitre 7 Vecteurs 107

Situation 1 Comprendre un dispositif mécanique

1 y 2 Les segments [AB], [FF’], [GG’] et [HH’] sont parallèles et
de même longueur.
A F G
uur
3 L’image de G par la translation de vecteur uurAB est le point
H G’. L’image de H par la translation de vecteur AB est le point H’.
uuur uuuur uuuur uur
4 Les vecteurs FF ’ , GG’ et HH ’ sont égaux au vecteur AB .
5 Le quadrilatère ABF’F est un parallélogramme car les

côtés [AB] et [FF’] sont parallèles et de même longueur.
B F’ G’ 6 On est sûr alors que les côtés [AF]
uuuret [BF’]
uuur sont aussi paral-
lèles et de même longueur, donc AF = BF ’.
0 H’ x
Situation 2 Dérive d’un iceberg

1 Le camp part du point A le lundi, il se déplace de 2,5 km vers l’est puis de 1 km vers le nord pour atteindre le point B le
mardi ; il se déplace de 2 km vers l’est pour atteindre le point C le mercredi ; il se déplace de 3 km vers le sud et de 1 km vers
l’ouest pour atteindre le point D le jeudi.
2 Le vendredi, le camp est installé sur la croix bleue. Du jeudi au vendredi, il s’est déplacé de 2,5 km vers l’est puis de 2 km
vers le nord.
B C
N D
O E
1 km
S
3 Il s’agit de calculer la distance totale, c’est-à-dire AB + BC + CD + DE où E est le point représenté par la croix bleue.
D’après le théorème de Pythagore, AB = 2,52 + 12 = 7,25 ≈ 2,693 km ; BC = 2 km.
D’après le théorème de Pythagore, CD = 32 + 12 = 10 ≈ 3,162 km.

D’après le théorème de Pythagore, DE = 2,52 + 22 = 10,25 ≈ 3,202 km.
Donc le camp a dérivé d’environ 2,693 km + 2 km + 3,162 km + 3,202 km ≈ 11,057 km.
Les scientifiques ont donc raison.
Travaux pratiques
TP 1 Émission radio
1 a. Cette fonction calcule la distance entre deux points A(xA ; yA) et B(xB ; yB) dans un
repère orthonormé.
b. Cette commande va renvoyer une valeur approchée de la distance entre les points
A(3 ; 0) et B(5 ; 2) soit une valeur approchée de (5 − 3)2 + (2 − 0)2 = 8 soit environ
2,83.
2 a. (voir ci-contre)
b. Pour le récepteur B, reception(6,4) renvoie False donc le récepteur B ne peut
réceptionner les ondes émises depuis le point A.
Pour le récepteur C, reception(-6,-2) renvoie False donc le récepteur B ne peut récep-
tionner les ondes émises depuis le point A.
Pour le récepteur D, reception(0,-4) renvoie False donc le récepteur D ne peut récep-
tionner les ondes émises depuis le point A.
108 Chapitre 7 Vecteurs

TP 2 Étude d’une ligne brisée
uuuur r ⎛ xA − xA ⎞ ⎛ x A ⎞ ⎛ 2⎞
1 a. On a A0 A1 = 2 i donc ⎜ 1 0 ⎛ 2⎞
⎟ = ⎝ ⎠ ⇔ ⎜ ⎟ = ⎝ ⎠ donc A1(2 ; 0).
1
⎜⎝ yA − yA ⎟⎠ 0 ⎜
⎝ A1 ⎟⎠
y 0
1 0
uuuur r ⎛ xA − xA ⎞ ⎛ x A − 2⎞ ⎛ 4 ⎞ ⎛ x A ⎞ ⎛ 6⎞
On a A1 A2 = 4 i donc ⎜ 2 1 = ⎛ 4⎞ 2
⎟ = ⎝ 0 ⎠ ⇔ ⎜⎜ y ⎟⎟ = ⎝ 0⎠ donc A2(6 ; 0).
2
⎟ ⎝ ⎠ ⇔⎜
⎜⎝ yA − yA ⎟⎠ 0 ⎜ y
⎝ A2 ⎠ ⎟ ⎝ 2⎠A
2 1
uuuur r ⎛ xA − xA ⎞ ⎛ ⎞ ⎛ x A − 6⎞ ⎛ ⎞ ⎛ xA ⎞
On a A2 A3 = 6 i donc ⎜ 3 2 = 6 3 6 3 ⎛ 12⎞
⎟ ⎝ 0⎠ ⇔ ⎜⎜ y ⎟ =⎝ ⎠ ⇔ ⎜ ⎟ = ⎝ ⎠ donc A3(12 ; 0).
⎜⎝ yA − yA ⎟⎠ ⎝ A3 ⎠ ⎟ 0 ⎜ y
⎝ A3 ⎠⎟ 0
3 2
uuuuur r ⎛ xA − xA ⎞ ⎛ x A − 12⎞ ⎛ ⎞ ⎛ xA ⎞
⎛ 8⎞ 8 ⎛ ⎞
On a A3 A4 = 8 i donc ⎜ 4 ⎟ = 20 donc A4(20 ; 0).
3 4 4
⎟ =⎝ ⎠ ⇔ ⎜ ⎟ =⎝ ⎠ ⇔ ⎜
⎜⎝ yA − yA ⎟⎠ 0 ⎜
⎝ y A ⎟
⎠ 0 ⎜
⎝ y A ⎟
⎠ ⎝ 0⎠
4 3 4 4
b. En procédant de la même manière, on obtient A10(110 ; 0).
2 a. Si on considère le point S1’ symétrique de S1 par rapport à l’axe des abscisses, comme A0S1A1 est isocèle rectangle en S1,
xA + xA
A0S1A1S1’ est un carré. On a donc xS1 = 0 1
= 2 = 1 et yS1 = 1 A0A1 = 1.
2 2 2
Donc S1(1 ; 1).
En réitérant le même raisonnement, on obtient S2(4 ; 2), S3(9 ; 3) et S4(16 ; 4).
uuuuuur r
On a yS = 1 An – 1An par le raisonnement précédent et An−1 An = 2 × n i d’après l’énoncé.
n 2
Donc yS = 1 × 2n = n.
n 2
b. Pour passer de l’abscisse de S1 à celle de S2, on ajoute 3 = 1 + 1 + 1, pour passer de l’abscisse de S2 à celle de S3, on ajoute
5 = 2 + 2 + 1.
c.
d. On obtient S10(100 ; 10).
3 a. On a, d’après le théorème de Pythagore : 2SnAn2 = An – 1An2.

D’où SnAn2 = 1 An – 1An2 = 1 × (2n)2 = 2n2. Donc SnAn = 2n2 = n 2 .
2 2
b.
TP 3 Un carré bordé
1 a. F
G
D C
A B
E
H
b. EFGH semble être un carré quelle que soit la position et la valeur de a.
uur uuur
( )
2 a. ABCD est un carré de côté 1. On a donc ( AB ) ⊥ ( AC ) et AB = AD = 1. Donc le repère A ; AB , AD est bien un repère
orthonormé. uur uuur
(
b. On a A(0 ; 0), B(1 ; 0) et D(0 ; 1) par définition du repère A ; AB , AD .
uuur uur )
Comme DC = AB car ABCD est un carré donc un parallélogramme, on obtient C(1 ; 1).
uur uur ⎛ x − xB ⎞ ⎛ a⎞ ⎛ x − 1⎞ ⎛x ⎞
On a BE = a AB donc ⎜ E ⎟ = ⎜ ⎟ ⇔ ⎜ E ⎟ = ⎛⎜ a ⎞⎟ ⇔ ⎜ E ⎟ = ⎛⎜ a + 1⎞⎟ donc E(a + 1 ; 0).
⎝ yE − yB ⎠ ⎝ 0⎠ ⎝ yE ⎠ ⎝ 0⎠ ⎝ yE ⎠ ⎝ 0 ⎠

uur uuur ⎛ x − xC ⎞ ⎛ 0⎞ ⎛ x − 1⎞ ⎛x ⎞
On a CF = aBC donc ⎜ F ⎟ = ⎜ ⎟ ⇔ ⎜ F ⎟ = ⎛⎜ 0⎞⎟ ⇔ ⎜ F ⎟ = ⎛⎜ 1 ⎞⎟ donc F(1 ; a + 1).
⎝ yF − yC ⎠ ⎝ a ⎠ ⎝ yF − 1⎠ ⎝ a ⎠ ⎝ yF ⎠ ⎝ a + 1⎠
uuur uuur ⎛ x − x D ⎞ ⎛ −a ⎞ ⎛ x ⎞ ⎛x ⎞
On a DG = aCD donc ⎜ G ⎟ = ⎜ ⎟ ⇔ ⎜ G ⎟ = ⎛⎜ −a ⎞⎟ ⇔ ⎜ G ⎟ = ⎛⎜ −a ⎞⎟ donc G(–a ; 1).
⎝ yG − yD ⎠ ⎝ 0 ⎠ ⎝ yG − 1⎠ ⎝ 0 ⎠ ⎝ yG ⎠ ⎝ 1 ⎠
uuur uuur ⎛ x − xA ⎞ ⎛ 0 ⎞ ⎛x ⎞
On a AH = aDA donc ⎜ H ⎟ = ⎜ ⎟ ⇔ ⎜ H ⎟ = ⎛⎜ 0 ⎞⎟ donc H(0 ; –a).
⎝ yH − yA ⎠ ⎝ −a ⎠ ⎝ yH ⎠ ⎝ −a ⎠
uur ⎛1− (a + 1)⎞ uur ⎛ − a ⎞ uuur ⎛ − a − 0 ⎞ uuur ⎛ − a ⎞ uur uuur
c. EF ⎜ ⎟ ⇔ EF ⎜ ⎟ et HG ⎜ ⎟ ⇔ HG ⎜ ⎟ donc EF = HG et EFGH est donc un parallélogramme.
⎝ a + 1− 0 ⎠ ⎝ a + 1⎠ ⎝1− (−a ) ⎠ ⎝1+ a⎠
FH = (1− 0)2 + (a + 1− (−a ))2 = 2 + 4a2 + 4a
EG = (a + 1− (−a ))2 + 12 = 2 + 4a2 + 4a
EFGH est donc un parallélogramme dont les diagonales ont la même longueur, c’est donc un rectangle.
EH = (a + 1− 0) + (0 − (−a )) = 2a2 + 2a + 1
2 2
EF = (a + 1− 1)2 + (0 − (a + 1))2 = 2a2 + 2a + 1

EFGH est donc un rectangle avec deux côtés consécutifs de même longueur, c’est donc bien un carré.
Automatismes

uur uur
1 1. (32 + 42 ) = 5 2. (22 + 32 ) = 13 9 AB ⎛ 12 + 4 ⎞ soit AB ⎛ 16 ⎞ .
⎝ ⎠
−5 − 3 ⎝ −8⎠
3. (52 + 122 ) = 13 4. ( 4 − 2)2 + (−5 − (−2))2 = 13 uuur ⎛
DC 2 + 14 ⎞ uuur ⎛ ⎞
DC 16
uur uur ⎝ 3 − 11 ⎠ soit ⎝ −8⎠ .
2 AB ⎛ −7 − 3⎞ soit AB ⎛ −10⎞ . uur uuur
AB = DC donc ABCD est un parallélogramme.
⎝ 2 + 4⎠ ⎝ 6 ⎠
r r r r r r 10 AB = ( 4 − 2)2 + (0 − 3)2 = 13
3 2u ⎛ 8 ⎞ −3 v ⎛ −6⎞ u + v ⎛ 6⎞ u − v ⎛ 2 ⎞
⎝ −2⎠ ⎝ −9⎠ ⎝ 2⎠ ⎝ −4 ⎠
AC = (10 − 2)2 + ( 4 − 3)2 = 65
r
4 u ⎛ −4 ⎞
⎝ 6⎠ CB = ( 4 − 10)2 + (0 − 4 )2 = 52
r r r r r AC2 = AB2 + CB2 donc le triangle ABC est rectangle en B.
5 − u ⎛ −2⎞ u + v ⎛ −3⎞ 3u − 2 v ⎛ 16⎞
⎝ −6⎠ ⎝ 9⎠ ⎝ 12⎠
r 11 1. Vrai. 2. Faux. 3. Vrai.
6 i u i = (−3)2 + 42 = 5 uur uur
12 La propriété est vraie car si RE = ST , RETS est un paral-
7 1. AB = ( 4 + 1)2 + (−7 − 2)2 = 106 lélogramme et, par suite, ses diagonales [RT] et [ES] ont bien

2. BC = (0 − 4 )2 + (3 + 7)2 = 116 le même milieu.
8 1. A(5 ; 4) 2. B(4 ; 3) 3. F(4 ; –8) 13 1. Vrai. 2. Faux.

3. On ne peut pas savoir. 4. Vrai.
5. Vrai.
Exercices
14 1. a. Vrai. b. Faux. 16 1. Faux. 2. Vrai.
c. Faux. d. Vrai. 3. Vrai. 4. Faux.
e. Faux. f. Faux. uuur uur uuuur
uur uuur uur uuur uuur uuur 17 1. MN = QP u=urNM ’
2. AB = CD = EF 3. EG = HF = BD uuur
En
uuureffet, r = QP car MNPQ est un parallélogramme, et
uuuuMN
15 B MN = NMuu’ rcar M’ est le symétrique de M par rapport à N.
uuuur
u 2. Donc QP = NM ’ et, par suite, QPM’N est un parallélo-
a gramme. Ses diagonales [NP] et [QM’] ont donc le même
A b milieu. Ainsi I milieu de [NP] est également le milieu de [QM’].
v
c

uur uur uuur uuur r
18 24 1.uuu
a.r ABuu=r − BA
ur uuur − GH
uur b. GH uuur = 0uur
2. ua.urAC u+uurCI +r IJ = AJ b. MB
uur uuur =uuCB
+ CM r
b c. KL + LK = 0 d. AB − AC = CB
D B
25 1. E a1
j
d C u
c b1
A
e v
a
2.
uuur uuur uuur
19 1. AF uur uur et KG .
2. AN
uuur a2
ur etuuu
3. uAD r .
CF 4. NA
5. LI et HE .
20 1.
u E
b2
v
u
v
T
2.
26 R(4 ; 3) S(2 ; 0) T(–2 ; –1) U(–2 ; 2)
T
u 27 y
D
B
1
G F
0 1 x
v
A C
3. u E
T
28 y
C
v
B
21 D C E 1
E A
0 x
F D1
29 1. Zoé n’a pas atteint la cible à chaque lancer car le point

D n’est pas dans la cible.
A B 2. Point A : 5 points
Point B : 20 points
22 M
Point C : 20 points
Point D : 0 point
Point E : 20 points
Point F : 5 points
C Cela fait un score total de 70 points.
uur uuur
30 AB ⎛⎝ 3⎞⎠ GH ⎛ −3⎞
N 1 ⎝ 5⎠
uur uAuur uuur B uur uuur uuur r r
23uu1.
r ABuu+r BDur u = AD 2. CB + BD = CD u ⎛ 4⎞ v ⎛ −2⎞
⎝ −1⎠ ⎝ −2⎠
3. IK + KL = IL

r r r r uur r r uur ⎛ ⎞ uuur uuur
r r
31 u = −2 i + 2 j v = 2 i + 3 j AB = 5 i − 2 j AB −3 et CD ⎛ −3⎞ donc −CD ⎛ 3⎞ .
⎝ 2⎠ ⎝ −1⎠ ⎝ 1⎠
32 • x B1 + xur = 32 + 60 = 92 ≠ xT : la balle du joueur numéro 1 uur uuur ⎛ ⎞ uu r uuur ⎛ ⎞
Donc AB − CD −3 + 3 ⇔ AB − CD 0 .
n’atteindra pas le trou. ⎝ 2 +1⎠ ⎝ 3⎠
• x B2 + xvr = 50 + 78 = 128 = xT et yB + yvr = 13 + 23 = 36 ≠ yT : uuur uur uuur ⎛ x N − 2⎞ ⎛ 0⎞ ⎛ xN ⎞ ⎛ 2 ⎞
2 Or AN = AB − CD donc ⎜ ⎟ = ⎝ 3⎠ ⇔ ⎜ y ⎟ = ⎝ 4 ⎠ .
la balle du joueur numéro 2 n’atteindra pas le trou. y
⎝ N − 1 ⎠ ⎝ N⎠
• x B +xwr = 174 – 46 = 128 = xT et yB + ywr = 65 – 31 = 34 = yT : Ainsi N(2 ; 4).
3 3
la balle du joueur numéro 3 atteindra le trou.
42 1. AK = (3 − 4 )2 + (−1− 3)2 = 17
33 y
D BK = (3 + 1)2 + (−1− 0)2 = 17
C B 2. On a donc AK = BK donc K appartient à la médiatrice de
[AB].
( 21 − 4) + (3 − 3) = 72
u 2
2
3. AL =
A
( 21 + 1) + (3 − 0) = 245
2
2
v
1
BL =
On a donc AL ≠ BL, donc L n’appartient pas à la médiatrice
0 1 x de [AB].
uur uur uuur ⎛ uur
34 AB ⎛ 5 + 3 ⎞ ⇔ AB ⎛ 8 ⎞ AC 3 + 3⎞ ⇔ AB ⎛ 6 ⎞ 43 AB = (−3 + 1)2 + (6 − 2)2 = 20
⎝ −1− 2⎠ ⎝ −3⎠ ⎝ 1− 2 ⎠ ⎝ −1⎠
uur ⎛ uur BC = (−7 + 3)2 + (−1− 6)2 = 65
CB 5 − 3 ⎞ ⇔ AB ⎛ 2 ⎞
⎝ −1− 1⎠ ⎝ −2⎠
AC = (−7 + 1)2 + (−1− 2)2 = 45
uur uur uuur ⎛ uuur AB2 + AC2 = BC2 donc d’après le théorème de Pythagore, le
35 AB ⎛ 3 + 2 ⎞ ⇔ AB ⎛ 5 ⎞ DC 5 − 0 ⎞ ⇔ DC ⎛ 5 ⎞ triangle ABC est rectangle en A.
⎝ −1− 0⎠ ⎝ −1⎠ ⎝ 4 − 5⎠ ⎝ −1⎠
uur uuur
Donc AB = DC et par suite ABCD est un parallélogramme. 44 AB = (0 − 0)2 + (1 + 1)2 = 2
r
36 i u i = (−12)2 + 52 = 144 + 25 = 169 = 13 BC = ( 3 − 0) + (0 − 1)2 = 2
2
r
( 41 ) + ( 43 )
2 2
= 10 = 10 ( 3 − 0) + (0 + 1)2 = 2
2
37 i u i = AC =
16 4
r r AB = BC = AC donc le triangle ABC est équilatéral.
38 ur = 0, 4 j − 0,3 i donc u ⎛⎜ −0,3⎞⎟
r uuur uuur uuur ⎛ uuur
⎝ 0, 4 ⎠ 45 1. RK ⎛ −3 − 2⎞ ⇔ RK ⎛ −5⎞ ML −4 − 1⎞ ⇔ ML ⎛ −5⎞
r ⎝ 0 + 5⎠ ⎝ 5 ⎠ ⎝ 7−2⎠ ⎝ 5⎠
2
et i u i = (−0,3) + 0, 4 = 0,5. 2 uuur uuur
Donc RK = ML et par suite RKLM est un parallélogramme.
r
39 wr ⎛ −2 + 2 × 0⎞ donc w ⎛ −2⎞ . 2. RK = (−5)2 + 52 = 50
⎝ 1+ 2×3 ⎠ ⎝ 7⎠
1 RM = (1− 2)2 + (2 + 5)2 = 50
r⎛ − 3 × 2 + 2 × 0 ⎞ r ⎛ −6⎞
RKLM est donc un parallélogramme qui a deux côtés consé-
t⎜ ⎟ donc t ⎜ 9 ⎟ .
⎜ −3 × (−1) + 1 × 3⎟ ⎝ 2⎠ cutifs de même longueur. C’est donc un losange.
⎝ 2 ⎠

uuur uuur 46 1. AE = (3 − 1)2 + (2 − 1)2 = 4 + 1 = 5
40 DE ⎛ 11− 3 ⎞ ⇔ DE ⎛ 8 ⎞ Donc E appartient bien au cercle de centre A et de rayon 5 .
⎝ −3 + 2⎠ ⎝ −1⎠
r r ⎛ 2 × 1+ 3 × 2 ⎞ r r⎛ 8⎞
( 25 − 1) + ( 25 − 1)
2 2
2u + 3 v ⎜ ⇔ 2u + 3 v ⎜ ⎟ 2. AF = = 9 + 9 = 9 ≠ 5
⎝ 2 × (−2) + 3 × 1⎟⎠ ⎝ −1⎠ 4 4 2
uuur r r Donc F n’appartient pas au cercle de centre A et de rayon 5 .
Donc DE = 2u + 3 v .
47 1. DA = (3 + 5)2 + (−1 + 2)2 = 65
41 1. Soit M(xM ; yM).
uuur ⎛ x − xO ⎞ uuur ⎛ x ⎞ DB = (3 + 4 )2 + (−1− 3)2 = 65
OM ⎜ M ⎟ ⇔ OM ⎜ M ⎟ DC = (3 + 4 )2 + (−1 + 5)2 = 65
⎝ yM − yO ⎠ ⎝ yM ⎠
uur ⎛ uu r 2. DA = DB = DC = 65 donc A, B et C appartiennent au cercle
AB −1− 2⎞ ⇔ AB ⎛ −3⎞ de centre D et de rayon 65.
⎝ 3−1 ⎠ ⎝ 2⎠
uuur ⎛ uuur 2 2
3. DE = (3 − 10) + (−1− 3) = 65 .donc le point E appartient
CD −3 − 0 ⎞ ⇔ CD ⎛ −3⎞ aussi à ce cercle.
⎝ −5 + 4 ⎠ ⎝ −1⎠
uur uuur ⎛ uur uuur DF = (3 − 6)2 + (−1 + 7)2 = 45 ≠ 65 donc le point F n’ap-
Donc AB + CD −3 − 3⎞ ⇔ AB + CD ⎛ −6⎞ .
⎝ 2 −1 ⎠ ⎝ 1⎠ partient pas à ce cercle.
uuur uur uuur ⎛ x M ⎞ ⎛ −6⎞
Or OM = AB + CD donc = . Ainsi M(–6 ; 1). 48 1. A(–3 ; 1) B(2 ; 3) C(0 ; –2)
⎜y ⎟ ⎝ 1⎠
⎝ M⎠ 2. AB = (2 + 3)2 + (3 − 1)2 = 29
2. Soit N(xN ; yN).
uuur ⎛ x N − x A ⎞ uuur ⎛ x − 2⎞ BC = (0 − 2)2 + (−2 − 3)2 = 29
AN ⎜ ⎟ ⇔ AN ⎜ N ⎟ AB = BC donc le triangle ABC est isocèle en B.
⎝ yN − yA ⎠ ⎝ yN − 1⎠

55 1.
Exercices d2
uuur uuur r r
49 a. FK = 1 ur + 1 vr b. QM = 3 u − 3 v B C
2 2 2 2
uur r r uuur uur r r
c. FR = − u + 3 v d. WU +IH = − 1 u − 1 v
uuur uur 2 r 2 2 O A
e. MH + RS = − u d1
50 1. D 2. d2
B D
F
B
C O A d1
uuur uur A 56 a. Rose. b. Jaune.
uurCDuuu
2. =rAB donc ABDC est un parallélogramme et par suite c. Bleu. d. Rouge.
CA = DB. uur e. Vert. f. Violet.
uuurF est
3. uurl’image de A par la translation de vecteur CB donc
uur = CB
57 1.
uAF uur . Ainsi, AFBC est un parallélogramme et par suite E
AC = FB.
51 1. Soit U(xU ; yU).
uuur ⎛ x − xT ⎞ uuur ⎛ x − 8 ⎞
TU ⎜ U ⎟ ⇔ AN ⎜ U ⎟
⎝ yU − yT ⎠ ⎝ yU + 2⎠
uur uur
SR ⎛ −1− 5⎞ ⇔ SR ⎛ −6⎞
⎝ 3 + 4⎠ ⎝ 7⎠ uuur uur C
RSTU est un parallélogramme donc TU = SR donc :
⎛ xU − 8 ⎞ ⎛ −6⎞ ⎛ xU ⎞ ⎛ 2⎞ D B
⎜ y + 2 ⎟ = ⎝ 7 ⎠ ⇔ ⎜ y ⎟ = ⎝ 5⎠ . A
⎝ U ⎠ ⎝ U⎠ uuur uuur uuur
Ainsi U(2 ; 5). 2. DC = DA + AC
uuur uur uuur
2. Soit V(xV ; yV). DC = − 1 AB + AC
uuur ⎛ xV − xT ⎞ uuur ⎛ x + 1⎞ 4
uur uur uuur
RV ⎜ ⎟ ⇔ RV ⎜ V ⎟ 3. BE = BA + AE
⎝ yV − yR ⎠ ⎝ yV − 3 ⎠ uur uur uuur
uur uur BE = − AB + 4 AC
uur uur uuur uur
(
uur uuur
TS ⎛ 5 − 8 ⎞ ⇔ TS ⎛ −3⎞
⎝ −4 + 2⎠ ⎝ −2⎠ uuur uur
4. On a donc uurBE =uuu −rAB + 4 AC , soit BE = 4 − 1 AB + AC
4 )
RVST est un parallélogramme donc RV = TS donc : ou encore BE = 4 DC .
ur ur
⎛ xV + 1⎞ ⎛ −3⎞ ⎛ xV ⎞ ⎛ −4 ⎞ 58 IJ ⎛ 7 − 1 ⎞ ⇔ IJ ⎛ 6⎞
⎜ y − 3 ⎟ = ⎝ −2⎠ ⇔ ⎜ y ⎟ = ⎝ 1 ⎠ ⎝ 2 + 5⎠ ⎝ 7⎠
⎝ V ⎠ ⎝ V⎠ uuur ⎛ uuur ⎛ ⎞
⎞
LK 16 − 10 ⇔ LK 6
Ainsi V(–4 ; 1). ⎝ 4 + 3⎠ ⎝ 7⎠
uur uuur ur uuur
52 OI = 1 DB donc k = 1 . Donc IJ = LK et par suite IJKL est un parallélogramme.
uuur 3r
uuu 3 ur
u
3 ur
u IJ = 62 + 72 = 85
DB = AC 3
donc k’ = . IB = − 5 IA donc k’’ = − 5 .
2 2 4 4 IL = (10 − 1)2 + (−3 + 5)2 = 85
53 1. K A B L IJKL est donc un parallélogramme qui a deux côtés consé-
cutifs de même longueur. C’est donc un losange.
uuur uur uur uuur uur uur uur uur uur
2. a. LK = LB + BA + AK = − 5 AB − AB − 4 AB 59 AB ⎛ 12 − 10⎞ ⇔ AB ⎛ 2⎞
2 uur 3 ⎝ 2 +1⎠ ⎝ 3⎠
( )
uur uuur ⎛ uuur ⎛ ⎞
5 4
= − − 1− AB = − AB 29 18 − 16 ⎞ 2
2 3 6 DC ⇔ DC
⎝ −2 + 5⎠ ⎝ 3⎠
b. On a donc : uur uuur
uuur uur uur Donc AB = DC et par suite ABCD est un parallélogramme.
LK = i LK i = i − 29 AB i = i 29 AB i
uur 6 6 AC = (18 − 10)2 + (−2 + 1)2 = 65
= 29 i AB i = 29 = AB = 29 × 6 = 29 (en centimètres).
6 6 AB 6 uuur uuur BD = (16 − 12)2 + (−5 − 2)2 = 65
54 ABCDuuur est un
uuur uur uuur uuurdoncuurBC r= AD .
parallélogramme, ABCD est donc un parallélogramme qui a ses diagonales de
Ainsi AC + BC + CA − AD = AC + CA = 0 . même longueur. C’est donc un rectangle.
uuur uuur
60 NO ⎛ 7 − 4 ⎞ ⇔ NO ⎛ 3⎞
⎝ −4 + 6⎠ ⎝ 2⎠
uur ⎛ ⎞ uur ⎛ ⎞
QP 9 − 6 ⇔ QP 3
⎝ −7 + 9⎠ ⎝ 2⎠

uuur uur
r r ( )
65 a. 5u + 3 v = 0 ⇔ ⎛⎜ 5 × −4 + 3a⎞⎟ = ⎛ 0⎞ ⇔ ⎛⎜ −20 + 3a ⎞⎟
Donc NO = QP et par suite NOPQ est un parallélogramme. r
NP = (9 − 4 )2 + (−7 + 6)2 = 26 ⎝ 5 × 5 + 3b ⎠ ⎝ 0⎠ ⎝ 25 + 3b ⎠
QO = (6 − 7)2 + (−9 + 4 )2 = 26 ⎛ 20 ⎞
= ⎛ 0 ⎞ ⎛ a ⎞
⇔ ⎜ ⎟ = ⎜⎜
3 ⎟
NOPQ est donc un parallélogramme qui a ses diagonales de ⎝ 0⎠ ⎝ b ⎠ ⎜ − 25 ⎟⎟
même longueur. C’est donc un rectangle. ⎝ 3⎠
NO = 32 + 22 = 13 Donc a = 20 et b = − 25 .
3 3
NQ = (6 − 4 )2 + (−9 + 6)2 = 13 ⎛ 2 × (−4 )⎞ ⎛ − 3 a ⎞ ⎛− 8⎞
r r 3
NOPQ est donc un rectangle qui a deux côtés consécutifs de 2
b. u = − 3 v ⇔ ⎜ ⎟ = ⎜ 4 ⎟ ⇔ ⎜ 3⎟
3 4 ⎜ 2 × 5 ⎟ ⎜⎜ − 3 b ⎟⎟ ⎜ 10 ⎟
même longueur. C’est donc un carré. ⎝ 3 ⎠ ⎝ 4 ⎠ ⎜⎝ ⎟
3 ⎠
61 1. AB2 = (9 – 6)2 + (2 + 4)2 = 9 + 36 = 45
AC = (3 – 6) + (5 + 4) = 9 + 81 = 100
2 2 2
=
⎛ − 3 a⎞
⎜ 4 ⎟ ⎛ a
⇔⎜ ⎟ =⎞ ⎜ 3 ( )
⎛− 8 × − 4 ⎞
3 ⎟ ⎛ ⎞
⇔ ⎜ ⎟ =⎜ 9 ⎟
a
⎛ 32 ⎞
BC2 = (3 – 9)2 + (5 – 2)2 = 36 + 9 = 45

⎜ − 3 b⎟
⎜⎝
4 ⎠
⎟ ⎝ 3 ( )
⎝ b ⎠ ⎜ 10 × − 4 ⎟
3 ⎠
⎝ b ⎠ ⎜ − 40 ⎟
⎜⎝ ⎟
9⎠
On a AB = BC = 45 donc le triangle ABC est isocèle uuren uB.uur
2. ABCD est un parallélogramme si et seulement si AB = DC . Donc a = 32 et b = − 40 .
uur uur uuur ⎛ 3 − x ⎞ 9 9
⎛ 3 ⎞
Or AB ⎛ 9 − 6 ⎞ soit AB ⎛ 3⎞ et DC ⎜ D
⎟. r r ⎛ 2 × (−4 )⎞ ⎜ − 4 a ⎟ ⎛ ⎞
⎝ 2 + 4⎠ ⎝ 6⎠ ⎝ 5 − yD⎠
3
c. 2u = − v ⇔ ⎜ ⎟ = ⇔ ⎜ −4 2 ⎟
4 ⎝ 2 × 5 ⎠ ⎜− b⎟ ⎜ 3 ⎟ ⎝ 5 2 ⎠
⎧⎪ 3 − x D = 3 ⎧⎪ x = 0 ⎝ 4 ⎠
On a donc ⎨ ⇔ ⎨ D d’où D(0 ; –1).
⎪⎩5 − yD = 6 ⎪⎩ yD = −1
3. ABCD est un parallélogramme et, d’après la question 1, il =
⎛ − 3 a⎞
⎜ 4 ⎟ ⎛ a ⎞
⇔ ⎜ ⎟ =⎜
( )
⎛ −4 2 × − 4 ⎞
3 ⎛ ⎞
⎟ ⇔ ⎜ ⎟ =⎜ 3 ⎟
a
⎛ 16 2 ⎞
a deux côtés consécutifs de même longueur. ABCD est donc

un losange.
⎜ − 3 b⎟
⎜⎝
4 ⎠
⎟ ⎝ ( )
⎝ b⎠ ⎜ 5 2 × − 4 ⎟
3 ⎠
⎝ b ⎠ ⎜ 20 2 ⎟
⎜⎝ − ⎟
3 ⎠
62 EA = (11− 8)2 + (0 + 2)2 = 13 Donc a = 16 2 et b = − 20 2 .

3 3
FA = (6 − 8)2 + (1+ 2)2 = 13 66 C’est le point rouge qui est en trop.
GA = (5 − 8)2 + (−4 + 2)2 = 13
67 1. PA = (1− 2)2 + (−2 − 1)2 = 10
EA = FA = GA = 13 donc E, F et G appartiennent au cercle
de centre A et de rayon 13. PB = (1− 2)2 + (−2 + 5)2 = 10
PC = (1 + 2)2 + (−2 + 3)2 = 10
⎛ xM ⎞
63 Soit M ⎜ ⎟. PA = PB = PC = 10 donc A, B et C appartiennent au cercle
⎝ yM ⎠ de centre P et de rayon 10 .
uuur uuur ⎛ x − 3 ⎞ ⎛ 2 + 5⎞ ⎛x ⎞ ⎛ ⎞
a. AM = BC ⇔ ⎜ M = ⇔ ⎜ M ⎟ = 10 donc 2. MB = (0 − 2)2 + (−4 + 5)2 = 5
⎟
⎝ yM + 4 ⎠ ⎝ −1− 0⎠ ⎝ yM ⎠ ⎝ −5⎠ MC = (0 + 2)2 + (−4 + 3)2 = 5
M(10 ; –5). uur uuur MB = MC donc M appartient à la médiatrice de [BC].
b. ABMC parallélogramme ⇔ AB = CM ⇔ ⎛ −5 − 3⎞
⎝ 0 + 4⎠ Comme PB = PC, P appartient également à la médiatrice
⎛ xM − 2 ⎞ ⎛ x M ⎞ ⎛ −6⎞ de [BC].
=⎜ ⎟ ⇔ ⎜ y ⎟ = ⎝ 3 ⎠ donc M(–6 ; 3).
⎝ yM + 1⎠ ⎝ M⎠ Ainsi la droite (PM) est la médiatrice de [BC] et par suite (PM)

uuur uuur r est perpendiculaire à (BC).
c. 2 AM + 3MB = 0
⎛ 2 ( x M − 3) + 3(−5 − x M )⎞ ⎛ 0⎞ 68 1. Cette fonction compte le nombre de points à coordon-
⇔⎜ =
⎝ 2 ( yM + 4 ) + 3(0 − yM ) ⎟⎠ ⎝ 0⎠ nées entières comprises largement entre –5 et 5, appartenant
⎛ − x − 21⎞ ⎛ 0⎞ ⎛x ⎞ ⎛ ⎞ strictement au disque de centre A(1 ; 2) et de rayon r.
⇔⎜ M ⎟ = ⇔ ⎜ M ⎟ = −21 donc M(–21 ; 8). 2. y
⎝ − yM + 8 ⎠ ⎝ 0 ⎠ ⎝ yM ⎠ ⎝ 8 ⎠
uuur uuur B C D
64 MA ⎛ 1 + 1 ⎞ ⇔ MA ⎛ 2 ⎞
⎝ −1− 5⎠ ⎝ −6⎠ F A E
uuur ⎛ ⎞ uuur ⎛ ⎞
EG 7 − 5 ⇔ EG 2 1
G H I
⎝ 1− 7 ⎠ ⎝ −6⎠
uuur uuur
Donc MA = EG et par suite MAGE est un parallélogramme. 0 1 x
circle(2) renvoie 9.
MG = (7 + 1)2 + (1− 5)2 = 80
AE = (5 − 1)2 + (7 + 1)2 = 80 69 1.
MAGE est donc un parallélogramme qui a ses diagonales de A B C
même longueur. C’est donc un rectangle.
MA = 22 + (−6)2 = 40 uuur uur uuur uur uuur r uur uur uuur r
uur uuur r
2. AC = AB + BC donc 3 AB − 2 AC = 0 ⇔ 3 AB − 2 AB + BC
uur uur uuur r uur uur uuur r ( )= 0⇔
ME = (5 + 1)2 + (7 − 5)2 = 40
MAGE est donc un rectangle qui a deux côtés consécutifs de uur uuur r
( uur
)
3 AB − 2 AC = 0 ⇔ 3 AB − 2 AB + BC = 0 ⇔ 3 AB − 2 AB − 2BC = 0
uuur
même longueur. C’est donc un carré. ⇔ AB − 2BC = 0 ⇔ AB = 2BC

uuur uuur r
70 Soit I le milieu de [OA]. Comme OAB est équilatéral, (BI) 74 1. 20MA + 30MB = 0
uuur uuur uur r
est la médiatrice de [OA] donc ( BI ) ⊥ (OA).
x + xA uuur
(
⇔ 20MA + 30 MA + AB = 0
uuur
)
uur r
On a donc xB = xI = O = 1. ⇔ 20MA + 30MA + 30 AB = 0
2 uuur uur r
De plus, d’après le théorème de Pythagore, dans le triangle ⇔ 50MA + 30 AB = 0
uuur uur uuur uur
IAB rectangle en I : ⇔ 50 AM = 30 AB ⇔ AM = 3 AB
AI2 + BI2 = AB2, et on a également AI = BI. 5
Donc 2BI2 = 22 ⇔ BI2 = 2 ⇔ BI = 2 . 2. Le mobile est en équilibre lorsque le point M est situé aux
3 du segment [AB] en partant du point A.
Or yB = BI donc yB = 2 . 5
D’où B (1 ; 2 ). uuur uuur uuur uuur uur uuur uur uuur
uuur uur uuur uur uur uuur
71 AN = AB + BN = AB + AB + 1 AC = 2 AB + 1 AC
uur uuur (
uuur uur
) (
75 1. MR + 2MS – 3MT = MT + TR +2 MT + TS – 3MT
uuur uur uuur
)
uuur uuur 2 2 = MT + TR + 2MT + 2TS – 3MT
Ainsi AN = AM donc les points M et N sont confondus. uuur uuur uuur uur uur
uuur uuur uuur uur uuur uur D’où
uuurMR + 2MS
uuur – 3MT
uuur r = TR +
uur . uur r
2TS uur uur
(
72 1. MR = 1 MP = 1 MR + RP = 1 MR + 1 RP ) 2. MR + 2MS − 3MT = 0 ⇔ TR + 2TS = 0 ⇔ TR = 2ST
uuur 2uuur 2 uur uuur 2 uur 2uuur uur
D’où MR = MR + RP ⇔ MR = 1 RP ⇔ MR = RP.
1 1 1 S
uuur uur2 uur 2uuur uur2 uur 2 uur uuur uur uur
2. OM + OP = OR + RM + OR + RP = 2OR + RM + RP = 2OR
d’après
uur lauquestion
uur uur 1. uuur uur uuur T
3. a. OS
uur= OM uu+r OP −
uuu2ON
r ur u−uu2ON
=u2OR r d’après
uur lauuuquestion
r uuur2.
(
Ainsi OS = 2OR − 2ON = 2 OR − ON = 2 OR + NO = 2NR .) ( )
b. O
N R
76 Rayon du cercle #1 : OA = (−1− 0)2 + (3 − 0)2 = 10 . Or

P
M R l’abscisse de P est positive donc xP = 10 . De plus, P appar-
tient à l’axe des abscisses donc yp = 0. Donc on a P( 10 ; 0).
uur uur uurS uur uuur
73 1. RS = RA + AS = 1 AB + 1 AC B appartient à la droite perpendiculaire à (OP) passant par
uur uur uur uu4r u6uur uur uuur P donc xD = xP = 10 .
2. a. ST = SA + AB + BT = − 1 AC + AB + 1 BC Rayon du cercle #2 : OB = (−5 − 0)2 + (−3 − 0)2 = 34 .
6 2 On a également ODP rectangle en P donc d’après le théo-
b. On a donc :
uur uuur uur uur uuur
ST = − 1 AC + AB + 1 BA + AC
6 uuur uur 2 uur ( ) rème de Pythagore : OP2 + DP2 = OD2 avec OD2 = 34 puisque
D appartient au cercle #2.
uuur uur uuur
= − 1 AC + AB + 1 BA + 1 AC = 1 AB + 1 AC . On a donc 10 + (yD – 0)2 = 34 ⇔ yD2 = 24.
uur 6 uur uuur 2 2 2 3 Or l’ordonnée de D est négative, donc yD = 24 .
1
3. ST = AB + AC et 1 Au final, D ( 10 ; 24 ).
uur u2ur u3uur
(
uur uuur
)
uur
RS = AB + AC = 1 1 AB + 1 AC = 1 ST .
1 1
4 6 2 2 3 2
Exercices
uur uuur
77 1. Donc AB = DC et par suite ABCD est un parallélogramme.
AC = (1− 3)2 + (10 + 4 )2 = 200
BD = (9 + 5)2 + ( 4 − 2)2 = 200
ABCD est donc un parallélogramme qui a ses diagonales de
même longueur. C’est donc un rectangle.
AB = (−8)2 + 62 = 100 = 10
AD = (9 − 3)2 + ( 4 + 4 )2 = 100 = 10
ABCD est donc un rectangle qui a deux côtés consécutifs de
même longueur. C’est donc un carré.
On peut conjecturer C(1 ; 10) et D(9 ; 4) (ce n’est pas la seule uur
78
uur • Vuuest
r l’image de S par la translation de vecteur RT donc
solution).
uur uur SV = RT . uuur
2. AB ⎛ −5 − 3⎞ ⇔ AB ⎛ −8⎞ •uuu
Wr estuuul’image
r de T par la translation de vecteur RU donc
⎝ 2 + 4⎠ ⎝ 6⎠ TW = RU . Enuconséquence,
uur uur TWUR est un parallélogramme
uuur ⎛ uuu
r
DC 1− 9 ⎞ ⇔ DC ⎛ −8⎞ et, par suite, UW = RT .
⎝ 10 − 4 ⎠ ⎝ 6⎠

uuur uur 82 1. a. B1
Des deux paragraphes ci-dessus, on déduit que UW = SV . En
conséquence, SVWU est un parallélogramme. B
uuur uuur uuur uuur uuur uuur uuur uuur
79 1. MR = MP + 2MN = MQ + QN + NP + 2 ( MQ + QN )
uuur uuur uuur uuur uuur
= MQ + QN + NP + 2MQ + 2QN A
uuur uuur uuur uuur
Donc MR = 3MQ + 3QN + NP C
uuur uuur uuur uuur uuur uuur r
2. Or NQ = 1 NP ⇔ 3NQ = NP ⇔ 3QN + NP = 0 b. B1
uuur 3uuur
D’où MR = 3MQ .
B
80 1. y
D A
C
C1
c. L’image de A par h1 est A car c’est le centre de l’homothétie.
C d. L’image du triangle ABC par h1 est le triangle AB1C1. Le
1
O A triangle ABC et son image le triangle AB1C1 sont semblables
B
0 car les longueurs de tous les côtés ontuuétér multipliées
uuur par 2.
uuuur uuur uuur uur uuur uuur
( )
1 x
e. B1C1 = B1 A + AC1 = 2BA + 2 AC = 2 BA + AC = 2BC
L’ordonnée de D semble être égale à 3a.
2. Soit y l’ordonnée du point D. On a A(3 ; 0), B(3 + a ; 0), 2. B 1
C(3 + a ; 1) et D(0 ; y).
AD = (0 − 3)2 + ( y − 0)2 = 9 + y2 B
2
2
AC = (3 + a − 3) + (1− 0) = a + 1 2 C2
A2
2 2
CD = (0 − 3 − a ) + ( y − 1) = a + 6a + y − 2 y + 10
2 2
A
Or le triangle ACD est rectangle en A, donc, d’après le théo-
rème de Pythagore, on a DC2 = AD2 + AC2. B2
C
Ainsi a2 + 6a + y2 – 2y + 10 = 9 + y2 + a2 + 1 ⇔ 6a – 2y C1
= 0 ⇔ y = 3a. uuur uur uuur uur uuur uuur
uur uur uuur r 3. a. AB1 = 2 AB et AB2 = − 1 AB donc AB1 = −4 AB2 .
81 1. On a 3GA + 4GB − GC = 0 uuur uuur uuur 2 uuur
uur uur uur uur uuur r b. AB1 = −4 AB2 ⇔ AB2 = − 1 AB1 .
(
⇔ 3GA + 4 GA + AB − GA + AC = 0
uur uur
) (
uur uur uuur r
) 4
B2 est donc l’image de B1 par l’homothétie de centre A et de
⇔ 3GA + 4GA + 4 AB − GA − AC = 0
uur uur uuur r rapport − 1 .
4
⇔ 6GA uur =r0
ur −uAC
uur + 4uAB uur uur uuur uur uuur uuur uuur uuur
2. 6GA + 4 AB − AC = 0 ⇔ 6GA = −4 AB + AC ⇔ GA c. AC1 = 2 AC et AB2 = − 1 AC
uur uuur uuur uur uuur 2 uuur
uuur uuuur uuuur

= − 4 AB + 1 AC ⇔ AG = 2 AB − 1 AC donc AC1 = −4 AC2 ⇔ AC2 = − 1 AC1 .
6 6 3 6 4
3. Ainsi C2 est bien l’image de C1 par l’homothétie de centre A
B
et de rapport − 1 .
4
G 4. L’homothétie de centre A et de rapport –1 est définie pour
uuuur uuur
tout point M du plan par AM ’ = − AM ⇔ A milieu de [MM’].
Donc l’homothétie de centre A et de rapport –1 est la même
transformation que la symétrie de centre A.
A
C
SYNTHÈSE
Exercices
⎛ x − 3 ⎞ ⎛ −5⎞ ⎛ x B ⎞ ⎛ −2⎞
83 1. Vrai. 2. Faux. 3. Faux. 2. Soit B(xB ; yB), on a alors ⎜ B ⎟ = ⎝ 2 ⎠ ⇔ ⎜ y ⎟ = ⎝ −5⎠ ,
y
⎝ B + 7 ⎠ ⎝ B⎠
4. Vrai. 5. Faux.
donc réponse a.
⎛ 1⎞ ⎛ ⎞
uur 1 − uur − 1
84 1. AB ⎜ 3 2⎟ ⇔ AB ⎜ 6 ⎟ , donc réponse c.
⎜1− 3 ⎟⎟ ⎜− 7 ⎟
⎜⎝ ⎜⎝ ⎟
6 4⎠ 12 ⎠
AC = (9 − 7)2 + (−4 − 4 )2 = 68
⎛ −4 − x A ⎞ ⎛ −2⎞ ⎛ x A ⎞ ⎛ −2⎞ BD = ( 4 − 12)2 + (1 + 1)2 = 68
3. Soit A(xA ; yA), on a alors ⎜
2 − y ⎟ = ⎝ 8 ⎠ ⇔ ⎜ y ⎟ = ⎝ −6⎠ , ABCD est donc un parallélogramme qui a ses diagonales de
⎝ A ⎠ ⎝ A⎠
donc réponse c. même longueur. C’est donc un rectangle.
uuur uuur uuur uuur
85 1. AC ⎛⎜ 2 3 − 3 ⎞⎟ ⇔ AC ⎛⎜ 3 ⎞⎟ 91 RS ⎛ 4 − 7 ⎞ ⇔ RS ⎛ −3⎞
⎝ 0−2 ⎠ ⎝ −2 ⎠ ⎝ −1− 1⎠ ⎝ −2⎠
uur ⎛ ⎞ uur ⎛ ⎞ uuur ⎛ uuu
r
AB ⎜ − 3 − 3 ⎟ ⇔ AB ⎜ −2 3 ⎟ TU 6 − 9 ⎞ ⇔ TU ⎛ −3⎞
⎝ 7−2 ⎠ ⎝ 5 ⎠ ⎝ −4 + 2⎠ ⎝ −2⎠
uuur uur ⎛ ⎞ uuur uur ⎛ ⎞ uur uuur
Donc AC − AB ⎜ 3 + 2 3 ⎟ ⇔ AC − AB ⎜ 3 3 ⎟ . Donc RS = TU et par suite RSUT est un parallélogramme.
⎝ −2 − 5 ⎠ ⎝ −7 ⎠
RU = (6 − 7)2 + (−4 − 1)2 = 26
2. Soit D(xD ; yD). ABCD est un parallélogramme si et seule-
uuur uur uuur ST = (9 − 4 )2 + (−2 + 1)2 = 26
ment si AC = AB + AD (règle du parallélogramme). RSUT est donc un parallélogramme qui a ses diagonales de
uuur uur uuur uuur uur uuur uuur uur
Or AC = AB + AD ⇔ AC − AB = AD ⇔ AC − AB même longueur. C’est donc un rectangle.
uuur ⎛ ⎞ ⎛ x − 3⎞ ⎛x ⎞ ⎛ ⎞ RS = (−3)2 + (−2)2 = 13
= AD ⇔ ⎜ 3 3 ⎟ = ⎜ D ⎟ ⇔ ⎜ D ⎟ = ⎜ 5 3⎟
⎝ −7 ⎠ ⎝ yD − 2 ⎠ ⎝ yD ⎠ ⎝ −7 ⎠ RT = (9 − 7)2 + (−2 − 1)2 = 13
Ainsi D (5 3 ; − 7). RSUT est donc un rectangle qui a deux côtés consécutifs de
même longueur. C’est donc un carré.
86 AB = (6 − 3)2 + (3 + 4 )2 = 58
92 ur ; 0),
uuur 1. uA(0 uuurB(1 ; 0), D(0 ; 1) par définition du repère.
AC = (12 − 3)2 + (−6 + 4 )2 = 85 AC = AB + AD par définition d’un parallélogramme (un carré
BC = (12 − 6)2 + (−6 − 3)2 = 117 est un parallélogramme) donc C(1 ; 1).
uur uur ⎛ 1 (1− 0) ⎞
⎛ x − 1⎞
DE = (7 − 14 )2 + (−14 + 17)2 = 58 2. Soit E(xE ; yE). BE = 1 AB ⇔ ⎜ E = ⎜2 ⎟
⎟
2 ⎝ yE − 0⎠ ⎜⎝ 1 (0 − 0)⎟⎠
DF = (16 − 14 )2 + (−8 + 17)2 = 85 2
⎛ x E − 1⎞ ⎛ 1 ⎞ ⎛ xE ⎞ ⎛ 3 ⎞
EF = (16 − 7)2 + (−8 + 14 )2 = 117 ⇔⎜ ⎟ = ⎜ 2⎟ ⇔ ⎜ y ⎟ = ⎜ 2⎟
Les triangles ABC et DEF ont leurs côtés deux à deux de ⎝ yE ⎠ ⎝ 0 ⎠ ⎝ E ⎠ ⎝ 0⎠
même longueur. Ils sont donc égaux.
uur ⎛ (6x − 4 )2 − (2x − 4 )⎞ uur ⎛ 36x 2 − 48x + 16 − 2x + 4⎞
3
Donc E 2 ; 0 .
uur ⎛ 36x 2 − u50x ur + 20 uuu⎞r 1
⎛ xF − 1⎞ ⎛ 2 (1− 1) ⎞
( )
x −1
87 RS ⎜ ⎟ ⇔ RS ⎜
⎝ ⎟
⎠
⇔Soit
RSF(x
⎜
⎝ F 6x; y ). CF = 1 BC⎟
⎠ ⇔ ⎜ y − 1⎟ = ⎜ ⎟ ⇔ ⎛⎜ F ⎞⎟
⎝ 7x − 3 − x ⎠ 6x − 3 F −3 2
⎝ F ⎠ ⎜ 1 (1− 0)⎟ ⎝ yF − 1⎠
uur ⎛ 36x 2 − 48x + 16 − 2x + 4⎞ uur ⎛ 36x 2 − 50x + 20⎞ ⎝2 ⎠
− (2x − 4 )⎞
−x ⎟⎠ ⇔ RS ⎜⎝ 6x − 3 ⎟⎠ ⇔ RS ⎜⎝ 6x − 3 ⎟⎠ ⎛ 0⎞ ⎛ x ⎞ ⎛ 1⎞
= ⎜ 1⎟ ⇔ ⎜ F ⎟ = ⎜ 3 ⎟
uur ⎛ (9x − 2)( 4 x − 3) − (15x − 14 )⎞ uur ⎛ 36x 2 − 27x − 8x + 6 − 15x + 14⎞ ⎝ 2⎠ ⎝ yF ⎠ ⎝ 2 ⎠
UT ⎜ ⇔ UT ⎜
15x − 14 )⎞
⎝
uu r
x − 3 − ( x − 6x )
2
2
2
⎛ 36x − 27x − 8x + 6 − 15x + 14⎞

⎟
⎠ ⎝ ⎟
x 2 − 3 − x 2 + 6xDonc F ⎠1 ; 3 .
2 ( )
⎟⎠ ⇔ UT Soit G(x ; y ).
6x ) ⎜⎝ x 2 − 3 − x 2 + 6x ⎟⎠ uuur
G G
⎛ 1 (0 − 1)⎞
uuur
DG = 1 CD ⇔ ⎛ xG − 0⎞ = ⎜ 2 x
⎟ ⇔ ⎛⎜ G ⎞⎟
uur ⎛ ⎜ y − 1⎟
36x 2
− 50x + 20 ⎞ 2 ⎝ G 1
⎠ ⎜ (1− 1) ⎟ ⎝ yG − 1⎠
⇔ UT ⎜ ⎟⎠ ⎝2 ⎠
⎝ −3 + 6x
uur uur ⎛ − 1⎞ ⎛ x ⎞ ⎛ − 1⎞
Donc RS = UT et par suite RSTU est un parallélogramme. =⎜ 2⎟ ⇔ ⎜ G ⎟ =⎜ 2⎟
⎝ 0 ⎠ ⎝ yG ⎠ ⎝ 1 ⎠
88 1. BIEN JOUE
2. 2122–12–2211 Donc G − 1 ; 1 .
2 ( )
Soit H(xH ; yH).
89 1. uuur uuur ⎛ 1 (0 − 0)⎞ ⎛ 0 ⎞
⎛ x H − 0⎞ x
1
AH = DA ⇔ = ⎜2 ⎟ ⇔ ⎛⎜ H ⎞⎟ = ⎜ 1 ⎟
2 ⎜ y − 0⎟ ⎜ 1 ( ⎝ yH ⎠ ⎝ − 2 ⎠
⎝ H ⎠ ⎝ 0 − 1) ⎟⎠
2
Donc H 0 ; − 2 .
1
( )
⎛ ⎞ ⎛ ⎞
uur 1− 3 uur − 1
2.
3. EF ⎜ 2 ⎟ ⇔ EF ⎜ 2 ⎟
⎜ 3 − 0⎟ ⎜ 3 ⎟
⎜⎝ ⎟⎠ ⎜⎝ ⎟
2 2 ⎠
⎛ ⎞ ⎛ ⎞
uur uur uuur − 1 − 0 uuur − 1
⎜ 2 ⎟ ⎜ 2 ⎟
90 AB ⎛ 12 − 7 ⎞ ⇔ AB ⎛ 5 ⎞ HG
⎜ 1+ 1 ⎟
⇔ HG
⎜ 3 ⎟
⎝ −1− 4 ⎠ ⎝ −5⎠ ⎜⎝ ⎟ ⎜⎝ ⎟
uuur ⎛ uuu
r 2 ⎠ 2 ⎠
DC 9 − 4 ⎞ ⇔ DC ⎛ 5 ⎞ uur uuur
Donc EF = HG et par suite REFGH est un parallélogramme.
⎝ −4 − 1⎠ ⎝ −5⎠
uur uuur
(− 21 − 23 )
2
Donc AB = DC et par suite ABCD est un parallélogramme. EG = + (1− 0)2 = 5

D’où M(2 ; 0).
( )
2 2. Soit P(xP ; yP).
FH = (0 − 1)2 + − 1 − 3 = 5 uur uur uuur r ⎛ x − 4 + 2 ( xP + 2) − ( xP + 3)⎞
2 2 PA+ 2PB − PC = 0 ⇔ ⎜ P
EFGH est donc un parallélogramme qui a ses diagonales de ⎝ yP + 1 + 2 ( yP − 2) − ( yP + 1) ⎟⎠
même longueur. C’est donc un rectangle. ⎛ 2x − 3 ⎞ ⎛ 0⎞ ⎛ xP ⎞ ⎛ 3 ⎞
= ⎛ 0⎞ ⇔ ⎜ P
( ) () = ⎝ ⎠ ⇔ ⎜ ⎟ =⎜ 2⎟
2 2
EF = − 1 + 3 = 5 ⎝ 0⎠ ⎟
⎝ 2 yP − 4 ⎠ 0 ⎝ yP ⎠ ⎝ 2 ⎠
2 2 2
EH = (0 − 3 ) + (− 1 − 0)
2
= 5
2 ( )
D’où P 3 ; 2 .
2
2 2 2 3. Soit Q(xQ ; yQ).
EFGH est donc un rectangle qui a deux côtés consécutifs de uur uur uuur r
QA + QB − 2QC = 0 ⇔ ⎜
(
⎛ xQ − 4 + xQ + 2 − 2 xQ + 3 ⎞ )
même longueur. C’est donc un carré. ⎟
Q
(
⎝ yQ + 1 + yP − 2 − 2 yQ + 1 ⎠ )
93 1. R P
⎛ 0⎞ ⎛ −8⎞ ⎛ 0⎞
= ⎝ ⎠ ⇔ ⎝ ⎠ = ⎝ ⎠ , ce qui est impossible.
0 −3 0
uur uur uuur r
Donc il n’existe aucun point Q vérifiant QA + QB − 2QC = 0.
M N
97 1. Faux. 2. Faux. 3. Vrai.
4. Faux. 5. Vrai. 6. Faux.
S
uuur uuur uur uuur uuur
( 43 − 31 ) + (0 + 23 )
2 2
2. a. MR = MQ + QR = MQ + 3 MN 98 RS = = 13
4 9
uur uuur uuur uuur uuur
RT = (2 − 1 ) + (−1 + 2 ) =
b. NS = NM + MS = − MN − MQ 4 2 2
26
uuur uuur 3 uuur uuur uur 3 3 9
( )
uuur
3. MR = MQ + 3 MN = − 3 − 4 MQ − MN = − 3 NS
ST = (2 − 4 ) + (−1 + 0) =
2
4 4 3 4 2 13
3 9
94 1. Soit U(xU ; yU).
On a donc RS = ST et RS2 + ST2 = RT2 donc le triangle RST est
uuur ⎛ x − 4 ⎞
SU ⎜ U rectangle isocèle en S.
⎟
⎝ yU − 6 ⎠
uur uur ⎛ 2 (−2 − 4 ) − 2 + 2⎞ uur uur ⎛ −12⎞ 99 RS = (1− 4 )2 + (2 + 3)2 = 34
2SR + RT ⎜ ( ⎟ ⇔ 2SR + RT
⎝ 2 −8 − 6) + 8 + 8⎠ ⎝ −12⎠ RT = (14 − 4 )2 + (0 + 3)2 = 109
uur uur uuur ⎛ x − 4 ⎞ ⎛ −12⎞ ⎛ xU ⎞ ⎛ −8⎞ TS = (14 − 1)2 + (0 − 2)2 = 173
2SR + RT = SU ⇔ ⎜ U ⎟ = ⎝ −12⎠ ⇔ ⎜ y ⎟ = ⎝ −6⎠
y
⎝ U − 6 ⎠ ⎝ U⎠ UV = (13 − 7)2 + (−7 − 3)2 = 136
D’où U(–8 ; –6).
uur uur uuur uur uur uuur uur uur uuur UW = (−13 − 7)2 + (−3 − 3)2 = 436
2. 2SR + RT = SU ⇔ SR + RT = SU + RS ⇔ ST = RU donc
RSTU est un parallélogramme. VW = (−13 − 13)2 + (−3 + 7)2 = 692
uur uuur RS = 34 = 34 = 1 = 1
95 ABCD est un parallélogramme donc AB = DC . UV 136 136 4 2
uuur uur uur uuur uur uuur uuur uur
Or AV = 2 AB ⇔ AB = 1 AV et CS = 2CD ⇔ DC = 1 SC . RT = 109 = 109 = 1 = 1
uuur uur u2uur uur 2
UW 436 436 4 2
D’où 1 AV = 1 SC ⇔ AV = SC donc AVCS est un parallélo-

2 2 TS = 173 = 173 = 1 = 1
gramme. Ses diagonales [VS] et [AC] ont donc le même VW 692 692 4 2
milieu.
Donc RS = RT = TS , donc les triangles RST et UVW
96 1. Soit M(xM ; yM). UV UW VW
sont semblables car les longueurs de leurs côtés sont
uuur uuur r ⎛ 2 ( x M − 4 ) + ( x M + 2)⎞ proportionnelles.
2MA + MB = 0 ⇔ ⎜
⎝ 2 ( yM + 1) + ( yM − 2) ⎟⎠
⎛ 3x M − 6⎞ ⎛ 0⎞ ⎛x ⎞
= ⎛ 0⎞ ⇔ ⎜ ⎟ = ⇔ ⎜ M ⎟ = ⎛ 2⎞
⎝ 0⎠ ⎝ 3yM ⎠ ⎝ 0⎠ ⎝ yM ⎠ ⎝ 0⎠

Questions Moderato
1. y
B
100 I J
C
Questions Va piano A
1. x
y
C
J L K
B
D
1 I
2. Soit I(xI ; yI).
1
0 1 x uur uur ⎛ x − x A ⎞ ⎛ 2 ( x B − x A )⎞ x − xA⎞
K AI = 1 AB ⇔ ⎜ I = ⎜ ⎟ ⇔ ⎛⎜ I
A 2 ⎟
⎝ yI − yA ⎠ ⎜⎝ 1 ( yB − yA )⎟⎠ ⎝ yI − yA ⎟⎠
2
⎛ 1x − 1x ⎞ ⎛1 1 ⎞
L
⎜ 2 B 2 A
⎟ ⎛ xI ⎞ ⎜ 2 x B + 2 x A ⎟
= ⇔⎜ ⎟ =
⎜ 1y − 1y ⎟ ⎝ yI ⎠ ⎜⎜ 1 y + 1 y ⎟⎟
⎜⎝ B ⎟⎠ ⎝ 2 B 2 A⎠
D 2 2 A
2. Soit (xI ; yI). ⎛ x + x A yB + yA ⎞

⎛ 1 (3 − 2) ⎞ Donc I ⎜ B ; ⎟⎠ .
uur uur ⎛ xI − 2 ⎞ x − 2⎞ ⎝ 2 2
1
AI = AB ⇔ ⎜ = ⎜2 ⎟ ⇔ ⎛⎜ I
2 ⎟ 1
⎝ yI + 1⎠ ⎜⎝ (2 + 1)⎟⎠ ⎝ yI + 1⎟⎠ Soit J(xJ ; yJ).
1
2 uur uuur ⎛ x J − x B ⎞ ⎛ 2 ( xC − x B )⎞ x − xB ⎞
⎛ 1⎞ ⎛ 5⎞ 1
BJ = BC ⇔ ⎜ ⎟ =⎜ 1 ⎜ ⎟ ⇔ ⎛⎜ J
⎛ xI ⎞ 2 − ⎝ yJ − yB ⎟⎠
⎝ 2 ( yC − yB )⎠
2 y
⎝ J yB⎠ ⎟
= ⎜ ⎟ ⇔ ⎜ ⎟ =⎜ 2⎟
⎜ 3⎟ ⎝ y I ⎠ ⎜⎜ 1 ⎟⎟
⎜⎝ ⎟⎠ ⎝ 2⎠ ⎛ 1x − 1x ⎞ ⎛1 1 ⎞
2
⎛ x J ⎞ ⎜ 2 xC + 2 x B ⎟
( ) = ⎜ 2 C 2 B
⎟
Donc I 5 ; 1 . ⇔⎜ ⎟ =
2 2 ⎜ 1y − 1y ⎟ ⎝ yJ ⎠ ⎜⎜ 1 yC + 1 yB ⎟⎟
⎜⎝ C ⎟⎠ ⎝2
Soit (xJ ; yJ). 2 2 B 2 ⎠
1
uur 1 uuur ⎛ x J − 3⎞ ⎛ 2 (15 − 3)⎞ x − 3⎞
BJ = BC ⇔ ⎜ ⎟ =⎜ 1⎜ ⎟ ⇔ ⎛⎜ J Donc J ⎜ C
⎛ x + x B
; C
y + y B⎞
2 y
⎝ J − 2 ⎠ ⎝ ( 4 − 2) ⎟⎠ ⎝ yJ − 2⎟⎠ ⎝ 2 2 ⎟⎠ .
2
⎛ x J ⎞ ⎛ 9⎞ Soit K(xK ; yK).
= ⎛ 6 ⎞ ⇔⎜ ⎟ = uuur ⎛ 1 ( x − x )⎞
uuur ⎛ xK − xC ⎞ x − xC ⎞
⎜2 ⎟ ⇔ ⎛⎜ K
D C
⎝ 1⎠ ⎝ y J ⎠ ⎝ 3⎠ = 1 CD ⇔ ⎜ =
yK − yC ⎟⎠
CK ⎟ ⎜1 ⎝
⎝ 2 ( yD − yC )⎠
Donc J(9 ; 3). 2 y
⎝ K − y C⎠ ⎟
Soit (xK ; yK).
1 ⎛ 1x − 1x ⎞ ⎛ 1x + 1x ⎞
uuur uuur ⎛ x − 15⎞ ⎛ 2 (8 − 15) ⎞ x − 15⎞ ⎛ xK ⎞
CK = 1 CD ⇔ ⎜ K = ⎜ ⎟ ⇔ ⎛⎜ K = ⎜ 2 D 2 C
⎟ ⇔ ⎜ y ⎟ =⎜ 1
⎜2 D 2 C⎟
2 ⎟
⎝ yK − 4 ⎠ ⎜ 1 (−5 − 4 )⎟ ⎝ yK − 4 ⎟⎠ ⎜ 1y − 1y ⎟ ⎝ ⎠ ⎟
⎝2 ⎠ ⎜⎝ D ⎟ K ⎜⎝ yD + 1 yC ⎟⎠
2 2 C⎠ 2 2
⎛ −7 ⎞ ⎛ 23 ⎞ ⎛ x + x B yC + yB ⎞
⎜ 2 ⎟ ⎛ xK ⎞ ⎜ 2 ⎟ Donc K ⎜ C ; ⎟⎠ .
= ⇔⎜ ⎟ = ⎝ 2 2
⎜ −9 ⎟ ⎝ yK ⎠ ⎜⎜ − 1 ⎟⎟
⎜⎝ ⎟⎠ ⎝ 2⎠ Soit L(xL ; yL).
2
⎛ 1 ( x − x )⎞
( )
uuur uuur ⎛ xL − xD ⎞ x − xD ⎞
23 1 ⎜2 ⎟ ⇔ ⎛⎜ L
A D
Donc K ;− . 1
DL = DA ⇔ ⎜
2 2 − ⎟ =⎜ 1 ⎝ yL − yD ⎟⎠
D ⎠ ⎝ ( y A − yD )⎟
2 y
⎝ L y
Soit (xL ; yL). 2 ⎠
uuur uuur ⎛ 1 (2 − 8) ⎞ ⎛ 1x − 1x ⎞
⎛ xL − 8 ⎞ x − 8⎞ ⎛ 1x + 1x ⎞
DL = DA ⇔ ⎜1 =⎜ 2 ⎟ ⇔ ⎛⎜ L ⎟ ⎜ 2 A 2 D
⎟
⎛ xL ⎞
⎟ ⇔ ⎜ 2 A 2 D⎟
2 1
⎝ yL + 5⎠ ⎜⎝ (−1 + 5)⎟⎠ ⎝ yL + 5⎠ =
⎜ 1y − 1y ⎟ ⎜ y ⎟ =⎜ 1
2 ⎜⎝ A ⎟ ⎝ L ⎠ ⎜ y + 1 y ⎟⎟
⎛ −3 ⎞ ⎛ xL ⎞ ⎛ 5 ⎞ 2 2 D⎠ ⎝ 2 A 2 D⎠
= ⇔⎜ ⎟ =⎝ ⎠
⎝ 2⎠ ⎝ yL ⎠ −3 ⎛ x + x D yA + yD ⎞
Donc L ⎜ A ; ⎟⎠ .
Donc L(5 ; –3). ⎝ 2 2
⎛
ur 9 − 5
⎞ ⎛ ⎞
ur 13 3. IJ ⎜ 2 2 (
ur ⎛ 1 xC + 1 x B − 1 x B + 1 x A ⎞
2 2 ) ur ⎛ 1 xC − 1 x A ⎞
⎟ ⇔ IJ ⎜ 2 2 ⎟
3. IJ ⎜
⎜ 3 − 1⎟
⎜⎝
2 ⎟
⎟
⇔ IJ ⎜ 2 ⎟
⎜ 5⎟
⎜⎝ ⎟⎠
⎜1y + 1y − 1y + 1y ⎟
⎝2 C (
2 B 2 B 2 A ⎠ ) ⎜1y − 1y ⎟
⎝ 2 C 2 A⎠
⎛
uuur 23 − 5
2⎠
⎞
2
⎛ ⎞
uuur 13 LK ⎜
1
2
1
2 (
uuur ⎛ x D + xC − x A + x D ⎞ 1
2
1
2 ) ⎟
uuur ⎛ 1 xC − 1 x A ⎞
⇔ LK ⎜ 2 2 ⎟
LK ⎜ 2
⎜ − 1 + 3⎟
⎜⎝
⎟ ⇔ LK ⎜ 2 ⎟
⎟⎠
⎜ 5⎟
⎜⎝ ⎟⎠
⎜1y + 1y − 1y + 1y ⎟
⎝2 D
ur2 uuur 2
C ( A )
2 D ⎠
⎜1y − 1y ⎟
⎝ 2 C 2 A⎠
2 2 On a donc IJ = LK .
ur uuur
On a donc bien IJ = LK . On peut en déduire que IJKL est un parallélogramme.
4. On peut en déduire que IJKL est un parallélogramme.

Questions Allegro Questions Moderato
1. B 1.
J G
C
I K
D C
F
D
L
ur Aur u uur uur uur uur uuur uur uuur
2. a. IJ = IA + AB + BJ = 1 BA + AB + 1 BC = 1 AB + 1 BC E
ur uur uuur u2ur uuur 2uuur 2 2
( )
A B
1 1
b. = AB + BC = AB + BC = AC
IJ 1 1
uuur2 uuur 2uuur u2uur uuur uuur2 uuur uuur uuur 2. Le triangle DGE semble isocèle rectangle en G.
uur uuur
3. a. LK = LD + DC + CK = 1 AD + DC + 1 CD = 1 AD + 1 DC
uuur uuur uuur u2uur uuur 2 uuur 2 2 ( )
3. a. Dans le repère orthonormé A ; AB , AD , on a A(0 ; 0),
2 (
b. LK = 1 AD + 1 DC = 1 AD + DC = 1 AC
ur 2 uuur 2
) 2
B(1 ; 0) et D(0 ; 1).
De plus, uur étant
uuur ABCD uuur un carré, c’est un parallélogramme,
4. On a donc IJ = LK . donc AC = AB + AD et on obtient C(1 ; 1).
On peut en déduire que IJKL est un parallélogramme. Soit E(xE ; yE).
uur uur ⎛ x − 1⎞ ⎛ 3(1− 0) ⎞ ⎛ x − 1⎞
101 BE = 3 AB ⇔ ⎜ E ⎟ =⎜ ⎟ ⇔⎜ E ⎟
⎝ yE − 0⎠ ⎝ 3(0 − 0)⎠ ⎝ yE − 0⎠
Questions Va piano
⎛ 3⎞ ⇔ ⎛ xE ⎞ ⎛ 4 ⎞
1. D C F =
⎝ 0⎠ ⎜ y ⎟ = ⎝ 0⎠
⎝ E⎠
D’où E(4 ; 0).
Soit G(xG ; yG).
3 3
uuur uur uuur ⎛ x − 1⎞ ⎛ (1− 0) + 2 (0 − 0)⎞ x −1
CG = 3 AB + 3 AD ⇔ ⎜ G ⎟ = ⎜ 2 ⎟ ⇔ ⎛⎜ G ⎞⎟
2 2 y − 1 ⎜ 3
⎝ G ⎠ ⎝ (0 − 0) + (1− 0)⎠ 3 ⎟ ⎝ yG − 1⎠
2 2
A B E ⎛ 3 (1− 0) + 3 (0 − 0)⎞ ⎛ 3⎞ ⎛ 5⎞
2 2 ⎛ xG − 1⎞ ⎜ 2 ⎟ ⎛ xG ⎞ ⎜ 2 ⎟
2. BEFC semble être un rectangle. ⎜ ⎟ ⇔⎜ = ⇔ ⎜ ⎟ =⎜ ⎟
uur uur uur uur uur uur ⎜ 3 (0 − 0) + 3 (1− 0)⎟ ⎝ yG − 1⎟⎠ ⎜ 3 ⎟ ⎝ yG ⎠ ⎜ 5 ⎟
3. BE = 2 AB et CF = 2 AB donc BE = CF et par suite, BEFC 2 ⎝ 2 ⎠ ⎜
⎝ 2⎠⎟ ⎝ 2⎠
est un parallélogramme. uur uuur D’où G (
5;5 .
)
( )
4. Dans le repère orthonormé A ; AB , AD , on a A(0 ; 0), 2 2
B(1 ; 0) et D(0 ; 1). b. DE = ( 4 − 0)2 + (0 − 1)2 = 17
De
uuurplus,
uurABCDuuur étant un carré, c’est un parallélogramme donc
( ) ( )
2 2
AC = AB + AD et on obtient C(1 ; 1). EG = 5 − 4 + 5 − 0 = 17
2 2 2
Soit E(xE ; yE).
( ) ( )
2 2
uur uur ⎛ x − 1⎞ ⎛ 2 (1− 0) ⎞ ⎛ xE − 1⎞ DG = 5 − 0 + 5 − 1 = 17
BE = 2 AB ⇔ ⎜ E ⎟ = ⎜ ⎟ ⇔⎜ 2 2 2
⎝ yE − 0⎠ ⎝ 2 (0 − 0)⎠ ⎟
⎝ yE − 0⎠

On a donc EG = DG et DE2 = EG2 + DG2 donc le triangle DGE
⎛ ⎞ est rectangle en G.
= ⎛ 2 ⎞ ⇔ xE = ⎛ 3⎞
⎝ 0⎠ ⎜ y ⎟ ⎝ 0⎠
⎝ E⎠
D’où E(3 ; 0).
Questions Allegro
Soit F(xF ; yF).
uur uur ⎛ x − 1⎞ ⎛ ⎞ ⎛ x F ⎞ ⎛ 3⎞ 1.
CF = 2 AB ⇔ ⎜ F ⎟ = 2 ⇔ ⎜ ⎟ = F D C
⎝ yF − 1⎠ ⎝ 0⎠ ⎝ yF ⎠ ⎝ 1⎠
D’où F(3 ; 1).
BF = (3 − 1)2 + (1− 0)2 = 5
EC = (3 − 1)2 + (0 − 1)2 = 5 G
BEFC étant alors un parallélogramme dont les diagonales
ont la même longueur. C’est donc bien un rectangle. E A B
2. Le triangle DGE semble isocèle rectangle
uur uuur en G.
( )
3. Dans le repère orthonormé A ; AB , AD , on a A(0 ; 0),
B(1 ; 0) et D(0 ; 1).

De plus,
uuur ABCDuur étantuuur un carré, c’est un parallélogramme,
donc AC = AB = + AD et on obtient C(1 ; 1).
Soit E(xE ; yE). 2(
D’où G a + 1 ; a + 1 .
2 )
uur uur ⎛ x − 1 ⎞ ⎛ a (1− 0) ⎞ ⎛ x − 1⎞ DE = (a + 1− 0)2 + (0 − 1)2 = a2 + 2a + 2
BE = a AB ⇔ ⎜ E ⎟ =⎜ ⎟ ⇔⎜ E
⎝ yE − 0⎠ ⎝ a (0 − 0 )⎠ ⎝ yE − 0⎟⎠
( 2a + 1− a − 1) + ( 2a + 1− 0)
2 2
⎛ ⎞ EG =
= ⎛⎜ a ⎞⎟ ⇔ xE = ⎛⎜ a + 1⎞⎟
⎝ 0⎠ ⎜y ⎟ ⎝ 0 ⎠ 2 2 2
⎝ E⎠ = a + a +a +1 = a +a +1
D’où E(a + 1 ; 0). 4 4 2
( ) ( )
2 2 2 2
Soit G(xG ; yG). DG = a + 1− 0 + a + 1− 1 = a + a + 1 + a
uuur uur uuur ⎛ xG − 1⎞ 2 2 4 4
CG = 3 AB + 3 AD ⇔ ⎜ ⎟ a 2
2 2 ⎝ yG − 1⎠ = +a +1
2
⎛ a (1− 0) + a (0 − 0)⎞ ⎛ a⎞
⎛ xG − 1⎞ ⎜ 2 ⎟ ⎛ xG ⎞ On a donc EG = DG et DE2 = EG2 + DG2, donc le triangle DGE
= ⎜ 2 2 ⎟ ⇔⎜
a a ⎝ y − 1⎟⎠ = ⎜ a ⎟ ⇔ ⎜ ⎟ est rectangle en G quelle que soit la valeur de a.
⎜ (0 − 0) + (1− 0)⎟ G ⎜⎝ ⎟⎠ ⎝ yG ⎠
⎝2 2 ⎠ 2
⎛ a + 1⎞
=⎜ 2 ⎟
⎜a ⎟
⎜⎝ + 1⎟⎠
2

8 Problèmes
de géométrie
1 A(ABC) = AH × BC Donc 3 = 4 = 2 .
2 AE 4 + 3 DE
(2 cm + 5 cm) × 3 cm
= = 10,5 cm2 D’où DE = 7 × 2 = 3,5 (cm) et AE = 7 × 3 = 10,5 (cm).
2 4 4
Comme C [ [AE], on a CE = AE – AC = 10,5 – 3 = 7,5 (cm).
A(ABH) = AH × BH = 2 cm × 3 cm = 3 cm2
2 2 2. Les longueurs des côtés des triangles ABC et ADE sont
A(ACH) = AH × HC = 5 cm × 3 cm = 7,5 cm2 proportionnelles d’après la question 1. Donc ces triangles
2 2 sont semblables.
!!" !!!" !!" !!!" 4 1. On a DC = AB et AD = BC, car ABCD est un parallélo-
2 1. AB ⎛ 1 ⎞ et CD ⎛ 1 ⎞ donc AB = CD et par suite ABDC
⎝ −4 ⎠ ⎝ −4 ⎠ gramme. Ainsi les triangles ABD et BCD ont leurs trois côtés
est un parallélogramme. deux à deux de même longueur. Ces triangles sont donc
2. AB = 12 + (−4 )2 = 17 égaux.
2. Si ABCD était un carré, chacun de ces triangles serait
3 1. Le point C appartient à la droite (AE), le point B appar- rectangle isocèle.
tient à la droite (AD) et les droites (BC) et (DE) sont parallèles,
donc d’après le théorème de Thalès : AC = AB = CB .
AE AD DE
5
Parallélogramme Losange Rectangle Carré
Les côtés opposés sont parallèles deux à deux. Vrai Vrai Vrai Vrai
Faux Faux
Deux côtés consécutifs sont perpendiculaires. Vrai Vrai
(sauf cas particulier) (sauf cas particulier)
Les côtés opposés ont même longueur. Vrai Vrai Vrai Vrai
Faux Faux
Les quatre côtés ont même longueur. Vrai Vrai
Les diagonales se coupent en leur milieu. Vrai Vrai Vrai Vrai
Faux Faux
Les diagonales ont même longueur. Vrai Vrai
Faux Faux
Les diagonales sont perpendiculaires. Vrai Vrai
Chapitre 8 Problèmes de géométrie 123

Situation 1 Aire d’un parallélogramme

1 A(ABCD) = A(ADNJ) + A(DPQ) + A(QBC) + A(KJB) + A(KNPB) donc, comme les triangles DPQ et AIJ sont égaux, tout comme les
triangles QBC et ALD, ainsi que les triangles KJB et MDL, alors A(ABCD) = A( ADNJ ) + A( AIJ ) + A( ALD ) + A( MDL ) + A(KNPB)
!########"########$
donc A(ABCD) = A(AMNI) + A(KNPB). A( AMNI )
2 a. Comme AMNI est un rectangle et que les triangles DPQ et AIJ sont égaux, alors MN = AI =!!! DP.
"
Or le repère étant orthonormé d’origine A, les coordonnées du point D sont celles du vecteur AD donc D(x’ ; y’). Or P a la
!!!"
même abscisse que B et la même ordonnée que D. Donc P(x ; y’). Ainsi, le vecteur DP a pour coordonnées ⎛⎜ x − x’ ⎞⎟ , soit
⎝ y’ − y’ ⎠
⎛ x − x’ ⎞ . Donc DP = ( x − x’ )2 + 02 = ( x − x’ )2 = ux – x’u = x – x’ car on a supposé que 0 , x’ , x. Finalement, MN = x – x’.
⎜⎝ ⎟
0 ⎠
b. A(AMNI) = MN × AM = (x – x’) y’ car M a la même ordonnée que D, qui est y’.
c. A(KNPB) = PB × KB = PB × MD = (y’ – y)x car P a la même ordonnée que D, qui est y’.
d. D’après la question 1, A(ABCD) = A(AMNI) + A(KNPB)
= (x – x’)y’ + (y’ – y)x’
= xy’ – x’y’ + y’x’ – xy’
donc A(ABCD) = xy’ – x’y.
3 a. Dans le cas d’un parallélogramme aplati, A(ABCD) = xy’ – x’y = 0 puisque!l’aire !" est alors nulle. On a donc xy’ – x’y = 0.
b. On suppose que les points A, B et D sont distincts, c’est-à-dire que le vecteur AB n’est pas le vecteur nul, alors x ≠ 0 ou y ≠ 0.
– Si x = 0, alors y ≠ 0 et on a xy’ – x’y = 0. Cela implique que x’y = 0. Comme y ≠ 0, alors dans ce cas x’ = 0. Donc les vecteurs
!!" ⎛ 0⎞ !!!" ⎛ 0 ⎞
AB ⎜ ⎟ et AD ⎜ ⎟ ont des coordonnées proportionnelles puisque 0 × y’ = y × 0. On montrerait la même chose si y était nul
⎝ y⎠ ⎝ y'⎠
et x était non nul. !!!"
– Si x ≠ 0 et y ≠ 0, comme le vecteur AD n’est pas le vecteur nul et que xy’ – x’y = 0 ⇔ xy’ = x’y, alors les coordonnées des
!!" ⎛ x ⎞ !!!" ⎛ x’ ⎞
vecteurs AB ⎜ ⎟ et AD ⎜ ⎟ sont proportionnelles.
⎝ y ⎠ !!" ⎝ y’!!! ⎠"
Comme les vecteurs AB et AD ont la même !!!" direction,
!!" grâce à la définition du produit
!!!" d’un vecteur
!!" par un réel vue au chapitre
« Vecteurs », on aurait pu justifier que AD = AD AB s’ils ont le même sens, ou AD = – AD AB s’ils n’ont pas le même sens,
AB AB
puis que leurs coordonnées étaient proportionnelles.
Situation 2 Plus courts chemins

1 Le chemin qui semble le plus court est le Chemin 2, car c’est un segment de droite, qui est le plus court chemin pour aller
d’une extrémité à l’autre de ce segment.

2 Chaque ami emprunte donc un segment de droite pour rejoindre le train, chacun en un point différent. Le segment [AL]
semble perpendiculaire au chemin de fer. Si les trois amis courent tous à la même vitesse, c’est celui ou celle qui prend le plus
court chemin jusqu’au train qui arrivera en premier. Dans le triangle ALW1, rectangle en L, on a AL2 + LW12 = AW12, or LW1 . 0,
donc AL2 . AW12, comme AL et AW1 sont des nombres positifs, on en déduit que AL . AW1. Avec le même raisonnement
dans le triangle ALW2, rectangle en L, on démontre que AL . AW2.
Ainsi, c’est Angélique qui arrivera en premier.
1 Le point H est le projeté orthogonal de A sur la droite d, donc par définition, la droite (AH) est perpendiculaire à d. Donc
le triangle AHM est rectangle en H.
2 Si le point M est confondu avec le point H, alors on ne dispose que d’une distance et on ne peut pas en comparer deux.
Or pour montrer que AH est la plus petite, il faut en considérer une autre, différente de AH.
3 Si A appartient à d, alors il n’y a plus de triangle rectangle, donc le théorème de Pythagore ne s’applique pas.
124 Chapitre 8 Problèmes de géométrie

1 • Comme u! et v! sont colinéaires, alors, par définition, il existe un nombre réel k tel que v! = ku! (si c’est u! = kv! , les calculs
sont similaires et la démonstration est analogue).
! r ⎧ x’ = kx ! !
• v = ku ⇔ ⎨ où (x, y) et (x’, y’) sont respectivement les coordonnées de u et v.
y’ = ky
! ! ⎩ ! !
* Si u et v sont colinéaires, on a alors xy’ – x’y = x × ky – kx × y = kxy – kxy = 0 donc det (u , v ) = 0.
* Réciproquement, supposons xy’ – x’y = 0.
! ! ! ! ! !
– Si u = 0 ou v = 0, alors comme le vecteur nul est colinéaire à tous les vecteurs, u et v sont colinéaires.
– Sinon, si x = 0, alors y ≠ 0 et on a xy’ – x’y = 0. Cela implique que x’y = 0. Comme y ≠ 0, alors dans ce cas x’ = 0. Donc les vecteurs
! ⎛ 0⎞ !⎛ 0 ⎞ ! y’ !
u ⎜ ⎟ et v ⎜ ⎟ sont tels que v = u (y ≠ 0).
⎝ y⎠ ⎝ y’ ⎠ y
On montrerait la même chose si y était nul et x était non nul.
y’ ! ⎛ x ⎞ ! ⎛ x’ ⎞ ! !
– Si x ≠ 0 et y ≠ 0, xy’ – x’y = 0 ⇔ xy’ = x’y ⇔ = x’ , alors les vecteurs u ⎜ ⎟ et v ⎜ ⎟ sont tels que v = x’ u. Donc, par définition,
y x ⎝ ⎠
y ⎝ y’ ⎠ x
ils sont colinéaires. ! ! ! !
On a démontré l’implication et la réciproque, donc u et v sont colinéaires si et seulement si det (u , v ) = 0.
2 • Figure :
C
Côté opposé Hypoténuse

à l’angle α
α
B
A Côté adjacent
à l’angle α
Par définition, on a cos (α) = AB et sin (α) = AC .

BC BC
Théorème de Pythagore
}
( ) ( ) AB2 + AC 2 BC 2
2 2
• On calcule cos (α) + sin (α) =
2 2 AB + AC = = =1
2
BC BC BC BC 2
donc quel que soit l’angle aigu de mesure α d’un triangle rectangle, cos (α) + sin (α) = 1.
2 2

1 Connaissant la valeur de cos ( Ĵ ) dans un triangle IJK rectangle en K, l’angle Ĵ étant alors nécessairement aigu, on peut
utiliser la propriété :
Soient ABC un triangle rectangle en A et α un angle aigu de ce triangle.
On a : cos2(α) + sin2(α) = 1.
2 a. Les hypothèses sont :
– ABC est un triangle rectangle ;
– α est la mesure d’un des deux angles aigus de ce triangle.
b. On peut alors conclure que cos2(α) + sin2(α) = 1.

3 a. IJK est bien un triangle rectangle, en K. L’angle Ĵ est bien un angle aigu puisque :
Iˆ + Ĵ + K̂ = 180° ⇔ Iˆ + Ĵ + 90° = 180° ⇔ Iˆ + Ĵ = 90°. Donc Ĵ = 90° – Iˆ , 90°.
Ainsi les hypothèses sont bien vraies.
b. On peut en déduire que cos2 ( Ĵ ) + sin2 ( Ĵ ) = 1.
()
c. sin2 ( Ĵ ) = 1 – cos2 ( Ĵ ) = 1 – 3 = 1 – 9 = 16 . Or d’après le cours de trigonométrie, le sinus d’un angle aigu est un rapport
2
5 25 25
de deux longueurs, donc c’est un nombre positif.
Donc sin2 ( Ĵ ) = 16 ⇒ sin ( Ĵ ) = 16 = 4 donc sin ( Ĵ ) = 4 .
25 25 5 5
Travaux pratiques
TP 1 Balayage d’un écran

!!" ⎛ 107 + 10⎞ !!" !!!" ⎛ x + 10 ⎞
1 AB donc AB ⎛ 117 ⎞ . Soit M ( x ; y ) alors AM ⎜ .
⎝ −4 − 100 ⎠ ⎝ −104 ⎠ ⎝ y − 100⎟⎠
!!!" !!" !!!" !!"
( )
Donc M(x ; y) [ (AB) ⇔ AM et AB sont colinéaires ⇔ det AM , AB = 0 ⇔ (x + 10) × (–104) – (y – 100) × 117 = 0
Or dans le programme, a = x + 10 et b = y – 100. Donc M(x ; y) [ (AB) ⇔ –104a – 117b = 0 ⇔ 117b + 104a = 0.
Le travail de Lucas est donc correct.

2 3
TP 2 Longueur d’une courbe

1 L1 = πR1 = 1 π ; L2 = L1 + πR2 = 1 π + π = 3 π.
2 2 2
En réitérant le raisonnement, on obtient L5 = 15 π.
2
2 3

4 a. S = 1 + 2 + 3 + … + 98 + 99 + 100 et S = 100 + 99 + 98 + … + 3 + 2 + 1.
On peut donc écrire S + S = (1 + 100) + (2 + 99) + (3 + 98) + … + (98 + 3) + (99 + 2) + (100 + 1).
Ainsi 2S = 101 × 100 puisque chacun des 101 termes entre parenthèses vaut 100.
b. On a donc S = 101× 100 = 5 050.
2
c. L100 = 1 π + π + 3 π + 2π + 5 π … + 50π = 1 π (1 + 2 + 3 + … + 98 + 99 + 100)
2 2 2 2
L100 = 1 π × 5 050 = 2 525π
2
TP 3 Vol d’un canadair
On conjecture que la distance est minimale lorsque a = 5,1 c’est-à-dire lorsque le point M a pour coordonnées (5,2 ; 0).

2 a. Soit Q le symétrique de P par rapport à l’axe des abscisses.
Pour tout point M, on a PM + MF = QM + MF par symétrie.

De plus, on a d’après l’inégalité triangulaire QM + MF ¯ QF.
Soit M le point d’intersection de (QF) et de l’axe des abscisses.
On a PM + MF = QM + MF par symétrie et QM + MF = QF car M [ [QF]. C’est donc bien la distance minimum possible.
!!!" !!!" !!!" !!!"
( )
b. Soit M(x ; 0). M [ (QF) ⇔ QM et QF colinéaires ⇔ det QM , QF = 0 ⇔ (x + 3) × 8 – 5 × 13 = 0 ⇔ 8x + 24 – 65 = 0
⇔ 8x = 41 ⇔ x = 41 = 5,125.
8
Automatismes
Calcul mental 4 Le triangle BTS est rectangle en T puisque la droite (BT)

est tangente en T au cercle de centre S. La distance du point
1 a. Le tableau n’est pas un tableau de proportionnalité car B à la droite (ST) est donc la distance BT.
5 × 5 – 8 × 3 = 1 ≠ 0. D’après le théorème de Pythagore, on a BS2 = ST2 + BT2 donc
b. Le tableau est un tableau de proportionnalité car BT2 = 32 – 22 = 5 d’où BT = 5 .
4,5 × 20 – 5 × 18 = 0.
c. Le tableau n’est pas un tableau de proportionnalité car 5 La distance du point R à la droite (ST) est la distance RH
– 1 × 6 – 8 × 2 = –18 ≠ 0. car (RH) ⊥ (ST). D’après le théorème de Pythagore, dans le
3
d. Le tableau n’est pas un tableau de proportionnalité car triangle RHT rectangle en H, on a RT2 = RH2 + HT2 donc
–3 × (–12) – 18 × (–2) = 72 ≠ 0. RH2 = 52 – 32 soit RH2 = 16 d’où RH = 4.
(5)
2
6 On sait que cos2α + sin2α = 1 donc cos2α = 1 – 4 soit
x A + xB 2 − 1 1
2 Comme F est le milieu de [AB], xF = = = cos2α = 9 .

2 2 2 25
et yF =
yA + yB 5 − 4 1
2
=
2
= donc F
2
1 1
; .
2 2 ( ) Donc cos α = 3 ou cos α = – 3 .
5 5
Or 0 ¯ cos α ¯ 1 donc cos α = 3 .
x + xC −1− 3 5
Comme G est le milieu de [BC], xG = B = = –2 et
2 2
yB + yC −4 + 6 Réflexes
yG = = = 1 donc G(–2 ; 1).
2 2
!!" ⎛ x − x ⎞ !!" !!"
7 1. AB ⎜ B A ⎟ ⇔ AB ⎛ 2 + 4 ⎞ ⇔ AB ⎛ 6 ⎞
⎛− 2⎞ ⎛ 4⎞ ⎝ yB − yA ⎠ ⎝ 1− 3 ⎠ ⎝ −2⎠
!" !"
! !"
!
3 1. Les vecteurs u1 ⎜ 7 ⎟ , u2 ⎜ 7 ⎟ et u3 ⎛ 10⎞ sont colinéaires !!!" ⎛ xC − x D ⎞ !!!" !!!"
⎜ − 1⎟ ⎜ 2⎟ ⎝ 7⎠
⎜⎝ ⎟
5⎠
⎜⎝ ⎟⎠
5 DC ⎜ ⎟ ⇔ DC ⎛ 0 + 6 ⎞ ⇔ DC ⎛ 6 ⎞
⎛ 2⎞ ⎝ yC − yD ⎠ ⎝ −2 − 0 ⎠ ⎝ −2⎠
!⎜ 7 ⎟ !!" !!!"
àu . Comme AB = DC , le quadrilatère ABCD est un
⎜ 1⎟
⎜⎝ ⎟⎠ parallélogramme.
5 uur uuur
! ⎛ 2⎞ !
2. Soit x le réel tel que v = ⎜ ⎟ et u soient colinéaires.
⎝ y⎠
2. Aire ABCD
= det AB , AD ( )
r r
On a donc ⇔ det (u ; v ) = 0 ⇔ 2 y − 2 = 0 ⇔ 2 y = 2 ⇔ y = 2 × !7!"=⎛ 7 6⎞ !!!" !!!"
7 5 7 5 2 5 et AD ⎛ −6 + 4 ⎞ donc AD ⎛ −2⎞ .
5 AB
r r
t (u ; v ) = 0 ⇔ 2 y − 2 = 0 ⇔ 2 y = 2 ⇔ y = 2 × 7 = 7
⎝ −2 ⎠ ⎝ 0−3 ⎠ ⎝ −3⎠
7 5 7 5 5 2 5 !!" !!!"
2y− 2 = 0⇔ 2y = 2 ⇔ y = 2 × 7 = 7
7 5 7 5 5 2 5
AireABCD = det AB , AD = ( )
= u6 × (–3) – (–2) × (–2)u = u–18 – 4u = u–22u = 22
⇔ 2y = 2 ⇔ y = 2×7 = 7
7 5 5 2 5

3. Le centre du parallélogramme ABCD est le milieu I de [AC] !!" !!" !!" !!"
8 1. OA ⎛ −3⎞ , OB ⎛ 6⎞ donc OB = −2OA .
qui a pour coordonnées : ⎝ ⎠ −1 ⎝ ⎠
2
!!" !!"
x A + xC −4 + 0 y + yC 3 − 2 1 OB et OA sont colinéaires donc les points O, A et B sont
xI = = = –2 et yI = A = = donc alignés.
2 2 2 2 2
(
I −2 ; .1
2) ( !!" 2 !"! 2 )
2. I −3 + 6 ; −1 + 2 donc I 3 ; 1 .
2 !!"2 ( !!"
)
3. a. AI = IB b. AI = 1 AB
!!" !"
! !"
! 2 !!"
c. BA = 2IA d. IB = − 1 BA
2
Exercices
!!" !!!" !!" !!!"
9 1. AB ⎛ 2 ⎞ et BC ⎛ 1⎞ , donc : 14 1. ABCD est un parallélogramme, donc AB = DC .
⎝ −4 ⎠ ⎝ 4⎠ !!" ⎛ 3⎞ !!!" ⎛ −1− x ⎞
!!" !!!"
( )
det AB , BC = 2 × 4 – 1 × (–4) = 12. AB
⎝ 5⎠ et
DC ⎜ D
⎟ . On a alors :
⎝ 4 − yD ⎠
!!!" !!!"
2. AC ⎛ 3⎞ et DB ⎛ −5⎞ , donc : ⎪⎧ −1− x D = 3 ⎪⎧ x D = −4
⎝ 0⎠ ⎝ 0⎠ ⎨ 4 − y = 5 ⇔ ⎨ y = −1
!!!" !!!"
( )
det AC , DB = 3 × 0 – 0 × (–5) = 0. ⎩⎪ D
Le point D a pour coordonnées (–4 ; –1).
⎩⎪ C
!!!" !!" !!!"
!!" !!!"
10 1. AB ⎛ 2⎞ et AC ⎛ 6⎞ , donc : ⎝ 2⎠ ( )
2. AD ⎛ −6⎞ det AB , AD = u3 × 2 – 5 × (–6)u = u36u = 36
⎝ 1⎠ ⎝ 3⎠ ABCD a une aire égale à 36 unités d’aire.
!!" !!!"
(
!!" !!!"
)
det AB , AC = 2 × 3 – 1 × 6 = 0. !!"
15 1. AB ⎛⎜ 0 −(−2)⎞⎟ ⇔ AB ⎛ 2 ⎞
!!"
2. Les !!" AB et AC sont colinéaires.
!!!" vecteurs ⎝ −1− 1 ⎠ ⎝ −2⎠
3. AC = 3 AB !!!" ⎛ 4 −(−2)⎞ !!!" ⎛ 6 ⎞
AC ⎜ ⇔ AC
11 1. v! = 3 u! donc u! et v! sont colinéaires. ⎝ −5 − 1⎟⎠ ⎝ −6⎠
r r ! ! !!!" !!" !!!" !!"
2. det (u, v ) = −3 × 2 − 1× 6 = −6 − 6 = −12 ≠ 0, donc u et v 2. AC = 3 AB donc AC et AB sont colinéaires donc les points
ne sont pas colinéaires. A, B et C sont alignés.
! ! ! !
3. det (u , v ) = 7 × 15 − 5 × 4 = 0, donc u et v sont colinéaires. !!!" !!!"
3 7 4 16 1. KN ⎛ 5 − 2⎞ ⇔ KN ⎛ 3⎞
! ! ! ⎝ 5 − 3⎠ ⎝ 2⎠
4. det (u , v ) = 2 2 × 2 − (−1) × (−4 ) = 4 − 4 = 0, donc u et
! !!!" ⎛ 2 −(−1)⎞ !!!"
v sont colinéaires.
ML ⎜ ⇔ ML ⎛ 3⎞
⎝ 0 −(−2)⎠ ⎟ ⎝ 2⎠
12
!!" 1. a.!Par
!!" construction, A est le
!!"milieu
!!!de
" [BC], donc on a : !!!" !!!"
2. KN = ML , donc les droites (KN) et (ML) sont parallèles.
AB = − AC , donc les vecteurs AB et AC sont opposés (et
!!" !!"
donc également colinéaires).
!!!" ⎛ xC − 1 ⎞
17 1. AB ⎛⎜ 2 −(−2)⎞⎟ ⇔ AB ⎛ 4 ⎞
!!" !!" !!!" ⎝ 2−4 ⎠ ⎝ −2⎠
b. AB ⎛ 2⎞ et AC ⎜ ⎟ , de plus AB = − AC donc on a : !!!" ⎛ 3 −(−5)⎞ !!!" ⎛ 8 ⎞
⎝ 3⎠ +

y
⎝ C 2 ⎠ CD ⎜
⎝ ⎟⎠ ⇔ CD ⎝ −4 ⎠
⎧⎪ xC − 1 = −2 ⎧⎪ xC = −1 !!!"−4 − 0!!" !!" !!!"
⎨ y + 2 = −3 ⇔ ⎨ y = −5 2. CD = 2 AB , donc AB et CD sont colinéaires, donc (AB) et
⎩⎪ C ⎩⎪ C (CD) sont parallèles, donc ABDC est un trapèze.
Le point C a pour coordonnées (–1 ; –5). !!" !!"
!!!" !!!"
2. a. Les vecteurs AM et AN sont colinéaires par définition. 18 EF ⎛⎜ 20 − 0 ⎞⎟ ⇔ EF ⎛ 20⎞
⎝ 2 −(−6)⎠ ⎝ 8⎠
!!!" !!!" ⎛ x N − 1 ⎞ !!!" ⎛ −2x N + 2⎞ !!!" ⎛ 30 − 0 ⎞ !!!" ⎛ 30⎞
b. AM ⎛ 1⎞ et AN ⎜ ⎟ , donc −2 AN ⎜ ⎟. EG ⎜ ⇔ EG
⎝ 6⎠ ⎝ yN + 2⎠ ⎝ −2 yN − 4 ⎠ ⎝ 6 −(−6)⎟⎠ ⎝ 12 ⎠
!!" !!!"
Les vecteurs étant égaux, ils ont les mêmes coordonnées. ( )
det EF , EG = 20 ×!!12 " – !8!!× " 30 = 240 – 240 = 0
⎧ −2x + 2 = 1 ⎧x = 1 Donc les vecteurs EF et EG sont colinéaires, donc les points
⎪ N ⎪ 2
Donc ⎨ ⇔⎨ N E, F et G sont alignés.
−2 y − 4 = 6
⎩⎪ ⎩⎪ yN = −5
( ) ( )
N
19 1. Soit S le milieu de [RC]. S −3 + 2 ; −1 + 4 ⇔ S −1; 3
Le point N a pour coordonnées 1 ; −5 . ( ) 2 2 2 2
!!" ⎛ 3⎞ !!!" ⎛ 3⎞
2
2( 2 ) ( )
Soit U le milieu de [ET]. U −4 + 3 ; 1 + 2 ⇔ U −1; 3
2 2
13 1. AB et DC . Comme S = U, les diagonales du quadrilatère RECT se
⎝ 1⎠ ⎝ 1⎠ !!" !!!" coupent en leur milieu donc RECT est un parallélogramme.
Les vecteurs ont les mêmes coordonnées donc AB = DC , on
en déduit que ABCD est un parallélogramme. 2. RC = (2 + 3)2 + ( 4 + 1)2 = 25 + 25 = 50
!!!" !!" !!!"
( )
2. AD ⎛ 1 ⎞ , det AB , AD = u3 × (–5) – 1 × 1u = u–16u = 16.
⎝ −5⎠
ET = (3 + 4 )2 + (2 − 1)2 = 49 + 1 = 50
Les diagonales du parallélogramme RECT ont la même
ABCD a une aire égale à 16 unités d’aire. longueur, donc RECT est un rectangle.

!!!" !!!" Le point B a pour coordonnées
20 1. MN ⎛ 2 ⎞ et NP ⎛ 2 ⎞ : les vecteurs ont les mêmes coor- !!" (4 !!"; –1).
⎝ 4⎠ ⎝ 4⎠ 2. Par construction, on a : TS = SR
données,
!!!" !donc
!!" ils sont égaux. !!" ⎛ x − 1⎞ !!" ⎛ ⎞ ⎪⎧ x − 1 = 1 ⎪⎧ x = 2
2. MN = NP , donc N est le milieu de [MP]. SR ⎜ R ⎟ et TS 1 donc ⎨ R ⇔⎨ R
− ⎝ −5 ⎠ − = −5
y
⎝ R 2 ⎠ ⎩⎪ Ry 2 ⎩⎪ yR = −3
21 1. Soit S le milieu de [AC]. Le !point
!" !R !"a pour coordonnées (2 ; –3). !!" !!"
(
S −1 + 1 ; 4 − 1 ⇔ S 0 ; 3
2 2 2 ) ( ) 3. SB = AS donc S est le milieu de [AB] et TS = SR , donc S
est le milieu de [RT]. Les diagonales du quadrilatère ATBR se
Soit U le milieu de [BD]. coupent en leur milieu.
(
U 3−3 ; 2 + 1 ⇔ U 0 ; 3
2 2 2 ) ( ) On en déduit que ATBR est un parallélogramme.
2. Comme S = U, les diagonales du quadrilatère ABCD se !!!" ⎛ x + 2⎞ !!"

⎛ 5⎞
26 1. Soit D(xD ; yD). Alors AD ⎜ D ⎟ . Or AB ⎝ −4 ⎠ donc
coupent en leur milieu, donc ABCD est un parallélogramme.
!!" !!" y
⎝ D − 4 ⎠
On!aurait
!!" pu également montrer l’égalité des vecteurs AB 2 AB ⎛ 10 ⎞ .
et DC . ⎝ −8⎠
!!" ⎛ 4 ⎞ !!!" ⎛ 4 ⎞ !!!" uur ⎪⎧ x + 2 = 10 ⎪⎧ x = 8
AB DC AD = 2 AB ⇔ ⎨ D ⇔⎨ D
⎝ −2⎠ ⎝ −2⎠ ⎪⎩ yD − 4 = −8 ⎪⎩ yD = −4
Donc D(8 ; –4).
22 1. Calculons les coordonnées du milieu de [RT] : !!!" ⎛ x + 2⎞
Soit E(xE ; yE). Alors AE ⎜ E ⎟.
( 3 −2 3 ; −4 2+ 4 ) soit (0 ; 0). Il s’agit des coordonnées du !!!" !!!"
⎝ yE − 4 ⎠
point O origine du repère, donc O est bien le milieu de [RT]. Or AC ⎛ −3⎞ donc 2 AC ⎛ −6⎞ .
2. a. Soit U(xU ; yU). Alors le milieu de [US] a pour coordonnées ⎝ −4 ⎠ ⎝ −8⎠
!!!" uuur ⎧⎪ x + 2 = −6 ⎧⎪ x = −8
⎛xU + 5 yU − 2⎞ . AE = 2 AC ⇔ ⎨ E ⇔⎨ E
⎜⎝ 2 ;
2 ⎟⎠ ⎩⎪ yE − 4 = −8 ⎩⎪ yE = −4
⎧ xU + 5
⎪⎪ 2 =0 ⎧⎪ x = −5 Donc E(–8 ; –4).
Ainsi O milieu de [US] ⇔ ⎨ ⇔⎨ U !!!" !!!" !!!"
⎪ yU − 2 = 0 ⎪⎩ yU = 2. 2. a. On a alors DE ⎛ −16⎞ et BC ⎛ −8⎞ donc 2BC ⎛ −16⎞ .
⎝ 0 ⎠ ⎝ 0⎠ ⎝ 0 ⎠
⎪⎩ 2 !!!" !!!"
On a donc U(–5 ; 2). On a donc bien DE = 2BC .
!!!" !!!"
b. O est donc le milieu de [RT] et de [US]. Ainsi les diagonales b. Les vecteurs DE et BC sont donc colinéaires et par suite,
du quadrilatère RSTU ont le même milieu et par suite RSTU les droites (DE) et (BC) sont parallèles.
est un parallélogramme.
!!" !!!" ⎛ 8 ⎞ ( ) AB
ABC = AC donc AB =
27 1. tan ! 5
tan(55°)
≈ 3,5 cm.
23 1. AB ⎛ 5 ⎞ et BC ⎜ 3 ⎟
⎝ −1⎠ −
⎝ 2⎠ sin( !
ABC ) = AC donc BC = 5 ≈ 6,1 cm.
!!" !!!" BC sin(55°)
!!"
( !!!"
) 2 ( )
det AB , BC = 5 × − 3 − (–1) × 8 = 1 ≠ 0
2 2. AireABC = AB × AC ≈ 3,5 cm × 5 cm
2 2
AB et BC ne sont pas colinéaires, donc les points A, B et C AireABC ≈ 8,75 cm2. ABC a une aire d’environ 8,75 cm2.
ne sont pas alignés.
(
2. I −3 + 2 ; 2 + 1 donc I − 1 ; 3 .
2 2 2 2 ) ( ) ( ) ! , 39,81.
! = RT = 5 donc 39,80 , RST
28 tan RST
RS 6
!"
! !"
! !!" !!" ! = 90° − RST ! , – 39,80 et
! alors –39,81 , –RST
Or RTS
3. a. IA = −IB b. BI = 1 BA !
!!" !"
! ! 2!"
!" ! 90 – 39,81 , 90 – RST , 90 – 39,80.
c. AB = 2IB d. IB = −IA ! , 50,20.
Alors 50,19 , RTS
24 1. Soit S le milieu de [AC]. ( ) BC 8
ABC = AC = 6 donc !
29 1. sin ! ABC ≈ 49°.
(
S −4 + 4 ; 2 − 1 ⇔ S 0 ; 1
2 2 )2 ( ) tan( !
ADC ) = AC = 6 = 3 donc !
ADC ≈ 56°.
Soit U le milieu de [BD]. AD 4 2
(
U 1− 1 ; 3 − 2 ⇔ U 0 ; 1
2 2 ) 2 ( ) 2. Dans le triangle ABC, d’après le théorème de Pythagore,
on a : BC2 = AB2 + AC2.
2. Comme S = U, les diagonales du quadrilatère ABCD se Donc AC2 = BC2 – AB2 = 82 – 62 = 28, alors AC = 28 = 2 7 .
coupent en leur milieu.
AireABC = AC × AB = 6 cm × 2 7 cm = 6 7 cm2 ≈ 15,87 cm2
On en déduit que ABCD est un parallélogramme. 2 2
!!" !!!" ABC a une aire d’environ 15,87 cm2.
3. AB ⎛ 5⎞ et AD ⎛ 3 ⎞ .
⎝ 1⎠ ⎝ −4 ⎠
!!" !!!" 30 1. Par construction, H est le milieu de [OI] et (HM) ⊥ (OI).
( )
det AB , AD = u5 × (–4) –1 × 3u = u–23u = 23
Donc (HM) est la médiatrice de [OI] et OI = 1 OH = 1 × 2 = 1.
ABCD a une aire égale à 23 unités d’aire. 2 2
AireABCD 23 De plus, la symétrie conservant les longueurs, on a MO = MI,
4. AireABC = = = 11,5 donc OMI est un triangle isocèle en M.
2 2
ABC a une aire égale à 11,5 unités d’aire. IOM est donc un triangle isocèle avec un angle de 60°, c’est
!!" !!" donc un triangle équilatéral. 1
25 1. Par construction, on a : SB = AS
!!" ⎛ x − 1⎞ !!" ⎛ ⎞
(
2. cos IOM
OM )
! = OH donc cos (60°) = 2 = 1 .
1 2
⎪⎧ x − 1 = 3 ⎪⎧ x = 4
SB ⎜ B ⎟ et AS 3 donc ⎨ B ⇔⎨ B (!
sin IOM = )
MH donc sin(60°) = MH = MH .
⎝ yB − 2⎠ ⎝ −3 ⎠ ⎪⎩ By − 2 = −3 ⎪⎩ yB = −1 OM 1

Or dans le triangle OHM, d’après le théorème de Pythagore, 37 La distance du point A à la droite (BC) est la distance AH
on a : OM2 = MH2 + OH2. car (AH) ⊥ (BC).
()
2
Donc MH2 = 1 − 1 .
2 AireABC = AB × AC = 13 × 3 = 19,5
MH2 = 3 2 2
4 Dans le triangle ABC rectangle en A, d’après le théorème de
Alors MH = 3 . Pythagore :
2
BC2 = AB2 + AC2 = 132 + 32 = 178 donc BC = 178 .
On en déduit que sin( 60°) = 3 .
2 AireABC = AH × BC = AH × 178
MH 3 ! = 30°. 2 2
3. cos (30°) = = MH = car OMH
OM 2 Donc AH × 178 = 19,5 AH = 2 × 19,5 = 39 .
⇔
2
De même, sin(30°) = OH = 1 . 178 178
OM 2
38
31 Dans le triangle RST rectangle en R : y
( )
! = RT donc RT = 7 × cos (40°) ≈ 5,36 (cm). A
cos RTS
ST
( )
! = RS donc RS = 7 × sin (40°) ≈ 4,50 (cm).
sin RTS
ST
Dans le triangle RTH rectangle en H :
(
sin RTH )
! = RH donc RH = 7 cos (40°) × sin (40°) ≈ 3,45 (cm).
RT B
1
! !
32 RST = STR or RS = RT = RS’ donc RTS’ est isocèle en R et 0 1 x
! = TS’R
par suite RTS’ !.
Dans le triangle SS’T, on a :
! + S’ST
SS’T ! = 180°⇔ RTS’
! + STS’ ! + STS’
! + STR ! = 180°. H
! ! ! ! ! = 180° et C
Or RTS’ + STR = STS’ , on a alors : STS’ + STS’
! !
2STS’ = 180°⇔ STS’ = 90°.
Le triangle TSS’ est rectangle en T.
!!" !!!" ⎛ 6 ⎞ !!!" ⎛ 10 ⎞ 39 1. Le projeté orthogonal du point D sur la droite (BC) est
33 AB ⎛ 4 ⎞ BC AC
⎝ 3⎠ ⎝ −8⎠ ⎝ −5⎠ le point C car (DC) ⊥ (BC).
AB = 42 + 32 = 16 + 9 = 25 = 5 2. Le projeté orthogonal du point D sur la droite (AC) est le
point O car les diagonales d’un carré sont perpendiculaires.
BC = 62 + ( −8)2 = 36 + 64 = 100 = 10
3. La distance du point A à la droite (BC) est AB = 10 car
AC = 102 + ( −5)2 = 100 + 25 = 125 = 5 5 (AB) ⊥ (BC).
AC2 = 125 et AB2 + BC2 = 25 + 100 = 125. 4. La distance du point O à la droite (AD) est 5 (la moitié de
On a AC2 = AB2 + BC2, d’après la réciproque du théorème de la longueur d’un côté).
Pythagore, le triangle ABC est rectangle en B. 5. Dans le triangle OBC rectangle en O, d’après le théorème
Donc cos !ACB = BC soit cos !ACB = 10 . de Pythagore, OB2 + OC2 = BC2.
AC 125 On pose x = OB = OCx, donc 2x2 = 100, donc x2 = 50, d’où
On a alors !
ACB ≈ 63,4°.
x = 50 = 5 2 .
34 On sait que cos2 α + sin2 α = 1 donc cos2 α = 1 – 0,82 = 0,36. La distance du point B à la droite (AC) est OB = 5 2 .

Donc, comme 0 ¯ cos α ¯ 1, on a alors cos α = 0,36 = 0,6. 40 Supposons que le point S est le projeté orthogonal du
! = 180° – (90° + 45°) = 45° ! = 90°.
point R sur la droite (UT). On a alors RSU
35 1. HOM
!
De plus, RUS = 180° – 136° = 44° et
Donc un triangle ayant deux angles de même mesure est
! = 180° – 90° – 45° = 45°.
URS
isocèle, donc OMH est isocèle. ! + RUS! + URS ! = 90° +
On pose MH = HO = x. On a donc, dans le triangle RUS : RSU
Dans le triangle OHM rectangle en H, d’après le théorème 44° + 45° = 179° ≠ 180°, ce qui n’est pas possible car dans un
de Pythagore, on a : triangle, la somme des angles fait toujours 180°.
OM2 = MH2 + HO2 d’où 1 = x2 + x2 ⇔ 2x2 = 1 ⇔ x2 = 1 Ainsi, le point S n’est pas le projeté orthogonal du point R
2 sur la droite (UT).
Comme x ˘ 0, on a x = 1 = 1 = 2 .
2 2 2 41 1. La distance du point A à la droite (BC) est la distance
2. Dans le triangle OHM rectangle en H,
AH avec H projeté orthogonal de A sur la droite (BC).
2 2 B
cos (45°) = OH = 2 = 2 et sin (45°) = MH = 2 = 2 .
OM 1 2 OM 1 2
H
36 1. Dans le triangle ABD rectangle en A, d’après le théo-
rème de Pythagore :
C
BD2 = AD2 + AB2 donc BD2 = 52 + 52 = 50 donc BD = 50 = 5 2 .
2. Dans le triangle DHB rectangle en D, on a : A
! = DH = 5 = 1 = 2 et DBH ! ≈ 35°. Dans le triangle ABH rectangle en H, d’après le théorème de
tanDBH
DB 5 2 2 2 Pythagore, on a :
AB2 = AH2 + BH2
AH2 = AB2 – BH2 = 22 – 12 = 3

Comme le triangle est isocèle en A, la hauteur et la médiane
Donc AH = 3 (cm).
issues de A sont confondues, le pied H de la hauteur est donc
2. On a alors :
le milieu du côté [BC].
AireABC = AH × BC = 3cm × 2 cm = 3 cm2 ≈ 1,73 cm2
2 2
46 Comme le triangle MNP est rectangle en N, alors N est
42 R 6 cm S le projeté orthogonal de M sur la droite (NP). La distance du
point M à la droite (PN) est donc la distance MN.
2 cm D’après le théorème de Pythagore, on a :
MP2 = MN2 + NP2 ⇔ MN2 = 132 – 52 = 169 – 25 = 144
U T
Donc MN = 144 = 12.
1. AireRSU = 2 cm × 6 cm = 6 cm2 47 M1
2
2. AireRSTU = 2 × AireRSU = 12 cm2
43 M B
A
M
A
B L’ensemble des points situés à 5 cm du point A est le cercle de
centre A et de rayon 5 cm. L’ensemble des points se situant
AM = 65 = 4 225
2 2
à 5 cm de la droite (AB) est formé de deux droites parallèles
AB2 + BM2 = 162 + 632 = 256 + 3 969 = 4 225
à (AB) et contenant chacune un point situé à 5 cm de (AB).
Donc AB2 + BM2 = AM2.
L’ensemble des points se situant à 5 cm de la droite (AB) et à
D’après la réciproque du théorème de Pythagore, ABM est
5 cm du point A sont donc les points d’intersection du cercle
rectangle en B.
et de ces deux droites : M et M1.
Donc la distance de M à la droite d est égale à la distance
BM donc 63 cm. 48 Il faut montrer que la distance du point K à la droite (AB)
44 1. y vaut le rayon du cercle, c’est-à-dire BK. Cela revient à montrer
que le triangle ABK est rectangle en B.
U On calcule les distances AB, AK et BK :
AB = (10 − 2)2 + ( −6 + 12)2 = 82 + 62 = 100 = 10
AK = ( 4 − 2)2 + (2 + 12)2 = 22 + 142 = 200 = 10 2
BK = ( 4 − 10)2 + (2 + 6)2 = ( −6)2 + 82 = 100 = 10
AK2 = 200 et AB2 + BK2 = 100 + 100 = 200.
On a AK2 = AB2 + BK2, d’après la réciproque du théorème de
1 Pythagore, le triangle ABK est rectangle en B. Donc la droite
O R S (AB) est tangente au cercle de centre K passant par B.
0 1 x
49 1. Faux.
2. Vrai. 3. Vrai. 4. Faux.

(
2. Le point T, milieu de [OU] a pour coordonnées 4 ; 7 .
2 ) 50 L’ensemble des points se situant à 3 cm de la droite (AB)
On se place dans le triangle OUS :
est formé de deux droites parallèles à (AB) et contenant
– Les points O, T et U et O, R et S sont alignés ;
chacune un point situé à 3 cm de (AB).
– (TR)//(US) car (TR) ⊥ (OS) et (US) ⊥ (OS).
1 B
D’après le théorème de Thalès, on a : OT = OR ⇔ 1 = OR . 0
OU OS 2 OS
Donc OR = 1 , d’où OR = 1 OS. On en déduit que R est le C 1 x
OS 2 2
milieu de [OS].
R est sur l’axe des abscisses donc son ordonnée est nulle, et il
A
a la même abscisse que le point T puisque (TR) est perpendi-
culaire à l’axe des abscisses, lui-même perpendiculaire à l’axe
des ordonnées, donc (TR) est parallèle à l’axe des ordonnées. D
Les coordonnées de R sont donc (4 ; 0).
45 Soit H le projeté orthogonal de A sur [BC]. La droite (AH) 51 1. Réponse b. 2. Réponses a, c et d.
est donc la hauteur issue de A du triangle ABC. 3. Réponses a, b et c. 4. Réponses a, b et c.
5. Réponses b et c.

Exercices
!!!" !!!"
52 1. MN ⎛⎜ 5 −(−1)⎞⎟ ⇔ MN ⎛ 6⎞
!!!" !!" ⎧ x − xO = 3( x A − xO ) ⎧ x − 0 = 3(1− 0) ⎧x
2. OC = 3 OA ⇔ ⎨ C ⇔⎨ C ⇔⎨ C
⎝ 4−2⎠ ⎝ 2⎠ ⎩ yC − yO = 3( yA − yO ) y
⎩ C − 0 = 3 (3 − 0 ) ⎩ yC
!!" ⎛ 2 − xQ ⎞ ⎧ xC − xO = 3( x A − xO ) ⎧ x − 0 = 3(1− 0) ⎧x = 3
Soit Q(xQ ; yQ). Alors QP ⎜ ⎟ . ⎨ ⇔⎨ C ⇔⎨ C
⎝ −3 − yQ ⎠ ⎩ yC − yO = 3( yA − yO ) y
⎩ C − 0 = 3 (3 − 0 ) ⎩ yC = 9
Donc C(3 ; 9).
MNPQ est un parallélogramme : !!!" !!" ⎧ x − xO = 3( x B − xO ) ⎧⎪ x D − 0 = 3(2 − 0) ⎧x
!!!" !!" ⎧⎪ 2 − xQ = 6 ⎧⎪ xQ = −4 OD = 3 OB ⇔ ⎨ D ⇔⎨ ⇔⎨
⇔ MN = QP ⇔ ⎨
−3 − yQ = 2
⇔⎨
y = −5 ⎩ yD − yO = 3( yB − yO ) y − 0 = 3(−5 − 0)
⎩⎪ D ⎩y
⎩⎪ ⎩⎪ Q
Donc Q(–4 ; –5). ⎧ x D − xO = 3( x B − xO ) ⎧⎪ x D − 0 = 3(2 − 0) ⎧x = 6
⎨ ⇔⎨ ⇔⎨ D
y
⎩ D − yO = 3 ( yB − yO ) y
⎪⎩ D − 0 = 3 ( −5 − 0 ) ⎩yD = −15
2. Soit R(xR ; yR). Alors :
!!!" ⎛ x R −(−1)⎞ !!!" ⎛ x R + 1⎞ !!!" ⎛ 5 − 2 ⎞ !!!" ⎛ 3⎞ Donc D(6 ; –15).
MR ⎜ ⎟ ⇔ MR ⎜ y − 2⎟ PN ⎜ ⎟ ⇔ PN 3. I est le milieu de [AB], donc :
⎝ yR − 2 ⎠ ⎝ R ⎠ ⎝ 4 −(−3)⎠ ⎝ 7⎠
x + xB 1 + 2 3 y + yB 3 − 5 −2
MRNP est un parallélogramme : xI = A = = yI = A = = = –1, donc
uuur !!!" 2 2 2 2 2 2
Donc R(2 ; 9).

⇔ MR = PN ⇔ ⎨
⎧x R + 1 = 3
⎩ yR − 2 = 7
⇔⎨
⎧x R = 2
⎩ yR = 9. ( 2 )
I 3 ; −1 .
x + xD 3 + 6 9
le milieu de [CD], donc xJ = C
( )
2 − 4 9 − 5 J est = =
3. Soit S le milieu de [RQ]. Alors S ; ⇔ S(–1 ; 2). 2 2 2
2
On remarque que S et M ont les mêmes coordonnées, donc
2
y J
=
y C +
2
yD
=
2 2 (
9 − 15 = −6 = –3, donc J 9 ; −3 .
2 )
M est le milieu de [RQ].
!!" ⎛ 3 ⎞ !!" ⎛ 9 ⎞
53 1. Les vecteurs sont colinéaires si et seulement si 4. Comme OI ⎜ 2 ⎟ et OJ ⎜ 2 ⎟ ,
! ! ⎝ −1⎠ ⎝ −3⎠
det (u , v ) = 0 ⇔ 5 × (x – 2) – 11 × 3 = 0 !!" !!"
⇔ 5x – 10 – 33 = 0 ⇔ 5x = 43 ⇔ x = 43 det(OI , OJ ) = 3 × (–3) – (–1) × 9 = 0.
5 2 !!" !!" 2
! ! Donc les vecteurs OI et OJ sont colinéaires. Donc les points
Donc il existe bien une valeur de x telle que u et v soient
colinéaires. O, I et J sont alignés.
2. Les! vecteurs sont colinéaires si et seulement si
! 56 1.
det ( w, t ) = 0 ⇔ x × 2 – (2x + 1) × ( – 3) = 0
⇔ 2x + 6x + 3 = 0 ⇔ 8x = – 3 ⇔ x = – 3
F
! 8!
Donc il existe bien une valeur de x telle que w et t soient
colinéaires.
3. Les vecteurs sont colinéaires si et seulement si
! !
det (r , s ) = 0 ⇔ x × (3x – 1) – (2x – 3) × (x + 1) = 0
⇔ 3x2 – x – 2x2 – 2x + 3x + 3 = 0 ⇔ x2 + 3 = 0 ⇔ x2 = –3, D C
ce qui est impossible car un carré est toujours positif.
! !
Il n’existe donc aucune valeur de x telle que r et s soient

colinéaires.
54 A!!" I !!!
B" E
Saisir x, y
Si –6(x + 2) – 5(y + 1) = 0 2. a. Dans le repère (A ; AB , AD ), on a A(0 ; 0), B(1 ; 0) et
D(0 ; 1).
( ) ( )
Renvoyer Vrai
Sinon I est le milieu de [AB], donc I 0 + 1 ; 0 + 0 ⇔ I 1 ; 0 .
2 !!!" 2!!" 2
Renvoyer Faux Comme ABCD est un carré, on a DC = AB , et on obtient
rapidement C(1 ; 1).
55 1. y
Soit E(xE ; yE).
10 C
On a alors E symétrique de I par rapport à B ⇔ B milieu de
⎧x + 1
5 ⎪ E 2 =1 ⎧x = 3
A ⎪ ⎪
[EI] ⇔ ⎨ 2 ⇔⎨ E 2
O ⎪ yE + 0 ⎩ E 0
⎪ y =
⎪⎩ 2 =0
0 I 5 x
–5
B
J ( )
Donc E 3 ; 0 .
2
Soit F(xF ; yF).
!!!" uuur ⎧x − 0 = 3(0 − 0) ⎪⎧ x = 0
On a alors AF = 3 AD ⇔ ⎨ F ⇔⎨ F
⎩yF − 0 = 3(1− 0) ⎪⎩ yF = 3
–10
Donc F(0 ; 3).
–15 !!" ⎛ 3 − 1⎞ !!" ⎛ 1 ⎞ !!" !!"
D b. On a CE ⎜ 2 ⎟ ⇔ CE ⎜ 2 ⎟ et CF ⎛ 0 − 1⎞ ⇔ CF ⎛ −1⎞ .
⎝ 0 − 1⎠ ⎝ 3 − 1⎠ ⎝ 2⎠
⎝ −1⎠

!!" !!" !!" !!" 61 y
On a donc CF = –2 CE , les vecteurs CE et CF sont coli- N
néaires, donc les trois points C, E et F sont alignés. M
U
57 y
A H
C
T
B 0,2
1
0 0,2 x
0 1 x
(− 41 − 1920 ) + ( 75 − 85 ) = 3725 et
2 2
MU =
!!!" ⎛ 1, 4 ⎞ !!!" ⎛ 7 ⎞ !!!" !!!"
1. a. AH ⎜ et AC donc AC = 5 AH .
MT = ( 3 − 19 ) + ( 2 − 8 ) = 37 .
⎝ −0,2⎠⎟ ⎝ −1⎠ 2 2
!!!" !!!" 4 20 5 5 25
Ainsi les vecteurs AC et AH sont colinéaires et le point H Comme MU = MT, M appartient à la médiatrice de [TU].
appartient donc à la droite (AC).
(− 41 − 1011) + ( 75 − 74 ) = 389
2 2
b. De plus, NU = et
200
AB2 = (3 – 2)2 + (2 – 5)2 = 10
( 43 − 1011) + ( 25 − 74 ) = 389
2 2
AH2 = 1,42 + (–0,2)2 = 2 NT =
200
HB2 = (3,4 – 3)2 + (4,8 – 2)2 = 8 Comme U = NT, N appartient à la médiatrice de [TU].
Donc AB2 = AH2 + HB2, donc le triangle ABH est rectangle Donc (MN) est bien la médiatrice de [TU].
en H.
Ainsi, on a bien (BH) ⊥ (AC). 62 1. OA = OC = 1
Or OAD est un triangle équilatéral, donc OD = OA = 1.
2. Donc la distance du point B à la droite (AC) est la distance
BH, elle vaut donc 8 = 2 2 . Comme H est le milieu de [OA], OH = 1 OA = 1 .
2 2
!!" !!!"ODH est rectangle en H, donc, d’après le théorème de
58 1. M appartient à la droite (AB). Donc AB et AM sont Pythagore :
colinéaires.
!!" !!" ⎛ 2⎞ OD2 = OH2 + DH2 ⇔ 1 = 1 + DH2 ⇔ DH2 = 3 ⇔ DH = 3 .
2. AB ⎛ 5 − 3⎞ ⇔ AB ⎝ ⎠ !!" 4!!!" 4 2
⎝ 5 − 2⎠ 3
!!" !!" !!" !!" !!!"
(
2. Dans le repère O ; OA , AC , on a A(1 ; 0) et C(0 ; 1). )
!!!" ⎛ x − 3⎞ !!!" ⎛ x − 3⎞
Soit M(x M ; y M). On a alors AM ⎜ M ⇔ AM ⎜ M OB = OA + AB = OA + OC donc B(1 ; 1).
⎟
⎝ 0 − 2⎠ ⎝ − 2 ⎟⎠
!!!" !!!" !!!" !!" !!!" !!!" !!!"
OD = OH + HB = 1 OA + 3 OC car DH = 3 , et HD et OC
(yM = 0 car M appartient à l’axe des abscisses). 2 2 2
( )
!!" !!!"
AB et AM colinéaires colinéaires et de même sens. Donc D 1 ; 3 .
2 2
⇔ 2 × (–2) – 3(xM – 3) = 0
On note F le milieu de [AB]. Par un raisonnement analogue à
⇔ –4 – 3xM + 9 = 0 ⇔ xM = 5 .
3 celui de la question 1, on a : FE = 3 et AB = 3 OA. Comme
2 !2!" !!"
!!" !!"
59 Soit K le milieu de [AH]. = 3 OA.
B FE et OA colinéaires et de même sens, on a FE

Soit I le point d’intersection de la !!!" !!" !!!" !!" !!" 1 !!!" !!" 2
OE = OA + AF + FE = OA + OC + 3 OA
médiatrice de [AH] et du segment 2 2
( ) ( )
H !!" !!!"
[AC]. 3
J = 1+ OA + OC . Donc E 1 + 3 ; 1 .
1
Soit J le point d’intersection de la 2 2 2 2
( )
médiatrice de [AH] et du segment !!!" !!!"
K 3. CD (xD – xC ; yD – yC)⇔ CD ; 1 3 −1
[AB]. 2 2
( )
La droite (IJ) est la médiatrice A I C !!" !!"
CE (xE – xC ; yE – yC)⇔ CE 1 + 3 ; − 1
de [AH] donc (IJ) ⊥ (AH). On a 2 2
( ) ( )( ) ( )
!!!" !!"
(AH) ⊥ (BC) donc (IJ) // (BC).
D’après le théorème de Thalès, on a !AK = AI = IK . ( 1
det CD ,CE = × − − 1 +
2 )
1
2
3
2 2
3 −1 = − 1 − 3 −1 = 0
4 4
( ) ( )( ) ( )
!!" !!"AC HC
(
AH
) 1
det CD ,CE = × − − 1 + 1
2 AI 2= 1
3 3 1 3
− 1 = − − − 1 = 0.
2 !2!!" !!" 4 4
Comme K est le milieu de [AH] alors AK = 1 donc
AH 2 AC 2 Donc CD et CE colinéaires et par suite, les points C, D et E
d’où I est le milieu de [AC].
sont alignés.
De même, J est le milieu de [AB].
60 Si les point H et H’ sont confondus alors le rectangle 63 1. Il faut montrer que, si on appelle K le milieu de [AD],
donc le centre du cercle de diamètre [AD], le point B vérifie
ABCD est un carré.
BK = KA.
En effet, s’ils sont confondus, cela veut dire que les points A,
C, H et H’ sont alignés et comme (AH) ⊥ (BD) par construc- (
K 2 + 9 ; 3 + 4 ⇔ K 11 ; 7
2 2 2 2 ) ( )
( ) ( )
tion, on a donc les droites (AC) et (BD) perpendiculaires. Un 2 2
BK = 11 −3 + 7 − 1 = 25
rectangle ayant ses diagonales perpendiculaires est un carré. 2 2 2
(2 − 112) + (3 − 72 )
2 2
KA = = 25
2

Donc BK = KA et le point B appartient bien au cercle de 2. y
E
diamètre [AD].
y
E
C K
D
K 1
A F B 0 x
1
A
1
B
0 x !!!" !!"
1 Par construction : BD = 2BA .
!!!" !!!"
2. Par définition, K est le milieu de [BE], donc BK = KE . !!!" ⎛ x + 2⎞ !!" ⎛ 6 ⎞
Or si D(xD ; yD), alors BD ⎜ D ⎟ et 2BA .
Ces vecteurs ont donc les mêmes coordonnées, donc : ⎝ yD ⎠ ⎝ −2⎠
⎛ 11 ⎞ ⎛ 5⎞
!!!" 2 − 3 !!!" 2 ⎪⎧ x + 2 = 6 ⎪⎧ x = 4
BK ⎜ ⎟ ⇔ BK ⎜ ⎟ . On a alors : ⎨ D ⇔⎨ D
⎜ 7 −1⎟ ⎜ 5⎟ y
⎪⎩ D = −2 ⎪⎩ yD = −2
⎜⎝ ⎟⎠ ⎜⎝ ⎟⎠
2 2
Le point D a pour coordonnées (4 ; –2).
⎛ 11⎞
!!!" xE − 2 !!!" !!" !!" !!!" !!!"
De plus, si E(xE ; yE) alors KE ⎜ ⎟. 3. BC ⎛ −1⎞ et BE ⎛ −2⎞ , on a donc BE = 2BC , les vecteurs BC
⎜y −7⎟ ⎝ 6⎠
⎜⎝ E ⎟ !!" ⎝ 3 ⎠
2⎠ et BE sont colinéaires, on en déduit que les points B, C et E
⎧ x − 11 = 5 sont alignés.
On a donc ⎨
⎪ E 2 2 ⇔ ⎪⎧ xE = 8 !!!" !!!" !!!" !!!"
7 5 ⎨y = 6 4. AC ⎛ −4 ⎞ et ED ⎛ 8 ⎞ , on a donc ED = −2 AC , les vecteurs
⎪ yE − = ⎩⎪ E ⎝ 4⎠ ⎝ −8⎠
⎩ 2 2 !!!" !!!"
Le point E a pour coordonnées (8 ; 6). !!!" !!!" ED et AC sont colinéaires, on en déduit que les droites (AC)
3. Par définition, D est le milieu de [EF], donc ED = DF . et (ED) sont parallèles.
!!!" !!!"
Ces vecteurs ont donc les mêmes coordonnées, donc : 5. K est le milieu de [ED] donc KE = 1 DE et par suite
!!!" !!!" !!!" ⎛ x − 9 ⎞ !!!" !!!" 2 !!!" !!!"
ED ⎛ 9 − 8 ⎞ ⇔ ED ⎛ 1 ⎞ . De plus, si F(xF ; yF), alors DF ⎜ F ⎟. KE ⎛ −4 ⎞ . De plus d’où AC ⎛ −4 ⎞ . On a donc AC = KE . On
⎝ 4 − 6⎠ ⎝ −2⎠ ⎝ yF − 4 ⎠ ⎝ 4⎠ ⎝ 4⎠
en déduit que ACEK est un parallélogramme.
⎧⎪ x − 9 = 1 ⎧⎪ x = 10
On a donc : ⎨ F ⇔⎨ F
⎩⎪ yF − 4 = −2 ⎩⎪ yF = 2 AHB = !
66 On a · AHC = 90°.
! = 90° donc BAH
De plus, BAC ! = 90°− CAH ! et comme la
Le point F a pour coordonnées (10 ; 2).
!!" !!!" !!" !!!" somme des angles du triangle ABH fait 180°, on a :
4. AB ⎛ 1 ⎞ et DF ⎛ 1 ⎞ . AB et DF ont les mêmes coordon-
⎝ −2⎠ ⎝ −2⎠ ·
(
· = 90°− BAH
ABH = 180° − 90° + BAH ·
)
nées, donc ils sont égaux. On en déduit que ABFD est un
parallélogramme.
(
· = CAH
= 90° − 90° − CAH ·.
)
Les triangles BAH et CAH ont donc deux angles de mêmes

64 1. Soit E(2,5 ; yE). mesures deux à deux, ils sont donc semblables. Donc les
!!!" !!!" ⎛ −0,5 ⎞ longueurs de leurs côtés sont proportionnelles.
On a : AC ⎛ −2⎞ et AE ⎜
⎝ −3⎠
!!!" !!!"
⎝ yE − 1⎟⎠
.
BH AH (
AB )
D’où AH = CH = AC . Ainsi AH2 = BH × CH.
E [ (AC)⇔ AC et AE colinéaires 67 On pose r = AB le rayon du cercle cherché.
⇔ x !AC!!" × y!!" – x !!" × y!!!" = 0
EA EA AC
(BC) est la tangente au cercle au point B donc le triangle ABC
⇔ (–2) × (yE – 1) – (–0,5) × (–3) = 0 est rectangle en B.
⇔ –2yE + 2 – 1,5 = 0 ⇔ yE = 0,25 D’après le théorème de Pythagore : AC2 = AB2 + BC2.
2. Soit F(xF ; 2,5) , on note (d) la parallèle à (AC) passant par B. Or AC = AD + DC = r + 9 car D est un point du cercle.
!!!" !!!" ⎛ x − 7⎞ On obtient alors : (r + 9)2 = r2 + 212 ⇔ r2 + 18r + 81 = r2 + 441.
On a : AC ⎛ −2⎞ et BF ⎜ F Donc 18r = 360 ⇔ r = 360 = 20.
⎝ −3⎠ ⎝ −1,5 ⎟⎠ 18
!!!" !!!" Le rayon de ce cercle est de 20.
F [ (d)⇔ BF et AC colinéaires ⇔ x !AC !!" × y!!!" − x !!!" × y!!!" = 0
BF BF AC
⇔ (–2) × (–1,5) – (xF – 7) × (–3) = 0 68 y F
⇔ 3 + 3xF – 21 = 0 ⇔ xF = 6
65 1. AB = (−2 − 1)2 + (0 + 1)2 = (−3)2 + 12 = 10 D
BC = (−3 + 2)2 + (3 − 0)2 = (−1)2 + 32 = 10 G
AC = (−3 − 1)2 + (3 + 1)2 = (−4 )2 + 42 = 32

Comme AB = BC, le triangle ABC est isocèle en B. 1
0 1 x
E
1. G ne semble pas être le projeté orthogonal de F sur (DE).

x
2. Supposons que G est le projeté orthogonal de F sur (DE). On veut AireOHM = 1 ⇔ = 1 ⇔ ux u = 2 ⇔ x = –2 ou x = 2.
2
Alors le triangle DGF est rectangle en G.
Donc pour que l’aire du triangle OHM vaille 1 cm2, il faut que
Or DF = (13 − 7)2 + (7 − 5)2 = 62 + 22 = 40 H soit confondu avec le point A ou avec le point B.
FG = (10 − 13)2 + (3 − 7)2 = (−3)2 + (−4 )2
72 y
FG = 25 = 5
DG = (10 − 7)2 + (3 − 5)2 = 32 + (−2)2 = 13 B
DF2 = 40 et FG2 + DG2 = 25 + 13 = 38.
DF2 ≠ FG2 + DG2, donc le triangle DGF n’est pas rectangle
en G. C
G n’est donc pas le projeté orthogonal de F sur (DE). A
1 b
69 1. On se place dans le triangle PAH :
– Les points P, X et A et P, H’ et H sont alignés dans le même 0 O 1 x
ordre ;
Soit M(–4p + 3 ; 4p + 1) avec 0 ¯ p ¯ 1.
– (XH’) // (AH) car (XH’) ⊥ (PH) et (AH) ⊥ (PH).
Montrons que les points M, B !et !!"A sont
!!" alignés. On calcule
D’après le théorème de Thalès, on a : PX = XH ’ ⇔ 3 = XH ’ . les coordonnées des vecteurs BM et AB.
PA AH 5 4,8
Donc XH’ = 3 × 4,8 = 2,88. !!!" ⎛ x M − x B ⎞ !!!" ⎛ −4 p + 3 + 1⎞ !!!" ⎛ −4 p + 4 ⎞
5
La pie est perchée à 2,88 m du sol. BM ⎜
y − y ⎟ ⇔ BM ⎜⎝ 4 p + 1− 5 ⎟⎠ ⇔ BM ⎜⎝ 4 p − 4 ⎟⎠
⎝ M B⎠
2. On considère le point H’’ le projeté orthogonal de X sur !!" ⎛ x B − x A ⎞ !!" ⎛ !!" ⎛ ⎞
⎞
(AH). AB ⎜ ⎟ ⇔ AB −1− 3 ⇔ AB −4
On se place dans le triangle APH : ⎝ yB − yA ⎠ ⎝ 5−1 ⎠ ⎝ 4⎠
!!!" !!"
– Les points A, X et P et A, H’’ et H sont alignés dans le même
ordre ;
( )
det BM , AB = (−4 p + 4 ) × 4 − ( 4 p − 4 ) × (−4 )
!!!" !!" = –16p + 16 + 16p – 16
– (XH’’) // (PH) car (XH’’) ⊥ (AH) et (PH) ⊥ (AH).
( )
det BM , AB = 0 !!!" !!"
D’après le théorème de Thalès, on a : AX = XH ” ⇔ 2 = XH ” Donc les vecteurs BM et AB sont colinéaires, on en déduit
AP PH 5 PH
D’après le théorème de Pythagore, dans le triangle APH que le point M appartient à la droite (AB).
rectangle en H, on a : Or comme 0 ¯ p ¯ 1 alors –4 ¯ –4p ¯ 0 (on multiplie chaque
PH2 = AP2– AH2 = 52– 4,82 = 25 – 23,04 = 1,96. membre de l’inégalité par un nombre négatif, donc le sens
Alors PH = 1,96 = 1,4. de l’inégalité change). On a alors :
–4 + 3 ¯ –4p + 3 ¯ 3, ⇔ –1 ¯ xM ¯ 3.
Donc XH’’ = 1, 4 × 2 = 0,56.
5 (De même, comme 0 ¯ p ¯ 1 alors 0 ¯ 4p ¯ 4. On a alors
La pie se trouve à 0,56 m soit 56 cm du mur. 1 ¯ 4p + 1 ¯ 4 + 1, donc 1 ¯ yM ¯ 5.)
70 A Le point M appartient donc au segment [AB].
27° 2.
5m
P
H dmin = 32 + 12
x=3
y=1
4,5 m
Pour k allant de 0 à 100

( ) ( )
2 2
d = − 4k + 3 + 4k + 1
100 100
Si d , dmin alors
H’ S dmin = d
On doit déterminer la distance AH’. x = − 4k + 3
Le triangle AHP est rectangle en H : 100
y = 4k + 1
( )
· = AH
cos PAH
AP

100
Donc AH = 5 × cos (27°) ≈ 4,46.
Or PS = HH’ = 4,50 73 1. I ⎛⎜ x A + x B ; yA + yB ⎞⎟
⎝ 2 2 ⎠
AH’ = AH + HH’ ≈ 4,46 + 4,50
x B + xC yB + yC ⎞
AH ≈ 8,96 J ⎛⎜ ; ⎟⎠
⎝ 2 2
Les pâles horizontales doivent être situées à environ 8,96 m
x + x D yC + yD ⎞
du sol sur le mât. K ⎛⎜ C ; ⎟⎠
y
⎝ 2 2
71
x + x A yD + yA ⎞
L ⎛⎜ D ; ⎟⎠ .
M 1 ⎝ 2 2
2. a. Le milieu de [IK] a donc pour coordonnées :
A H B ⎛ x A + xB x + x D yA + yB y + yD ⎞
+ C + C
0 1 x ⎜ 2 2 ; 2 2 ⎟ soit
⎝ 2 2 ⎠
1. OH = ux u avec x [ [–2 ; 2].
1× x x ⎛ Ax + x + x + x y + y + y + y D⎞.
2. AireOHM = OH × HM =
B C D
= ⎜⎝ ; A B C
⎟⎠
2 2 2 4 4

Le milieu de [JL] a donc pour coordonnées : d1 // (BC) donc (AB’) // (BC).
⎛ x B + xC x + x A yB + yC y + yA ⎞ d3 // (AB) donc (AB) // (B’C).
+ D + D
⎜ 2 2 ; 2 2 ⎟ soit AB’CB a ses côtés opposés parallèles deux à deux, c’est donc
⎝ 2 2 ⎠ un parallélogramme.
⎛ x A + x B + xC + x D yA + yB + yC + yD ⎞ d1 // (BC) donc (AC’) // (BC).
⎜⎝ ; ⎟⎠ . d2 // (AC) donc (AC) // (BC’).
4 4
Ainsi les milieux des segments [IK] et [JL] sont bien C’ACB a ses côtés opposés parallèles deux à deux, c’est donc
confondus. un parallélogramme. !!!" !!!"
b. [IK] et [JL] ont le même milieu donc IJKL est un b. AB’CB est un parallélogramme, donc !!!"BC !=!!AB’
" .
parallélogramme. C’ACB!!! est un
" !!!" parallélogramme, donc BC = C ’ A .
D’où C ’ A = AB’ , donc A est le milieu de [B’C’].
74 c. d2 // (AC), donc (AC) // (A’B).
B
d2 // (AB), donc (AB) // (A’C).
ACA’B a ses côtés opposés parallèles
!!" !!!" deux à deux, c’est donc
c a un parallélogramme, donc AB = CA’ . !!" !!!"
h
AB’CB!!! est
" un!!!parallélogramme,
" donc AB = B’C .
H D’où B’C = CA’ donc C’ est le milieu de !!![A’B’].
" !!"
A C
b ACA’B est un parallélogramme, donc A’B !!" =!CA !!".
1. a. Dans le triangle ABH rectangle en H, on a : C’ACB!!! est un
" !!!" parallélogramme, donc CA = BC ’.
! = BH = h donc h = c sin A ! D’où A’B = BC ’ donc B est le milieu de [A’C’].
sin A
AB c 2. a. d
!
AireABC = AC × BH = b × h = bcsin A .
1
A B’
2 2 2 C’ ∆2
· ∆3
b. De façon analogue, AireABC = absinC et
2
· d2
AireABC = acsinB . C
2
!
2. AireMNP = MN × MP × sinM B
∆1
2
d3
7 cm × 6 cm × sin(53°)
AireMNP = ≈ 16,77 cm2
2
75 1. Soient d1 la médiatrice de [BC] et d2 la médiatrice de [AC]. A’
Comme O [ d1 alors OB = OC. ∆1 passe par le point A milieu de [B’C’] et est perpendiculaire
Comme O [ d2 alors OC = OA. à (BC). De plus, on sait que (BC) // (B’C’) donc ∆1 ⊥ (B’C’). On
D’où OA = OB = OC. en déduit que ∆1 est la médiatrice de [B’C’].
2. Comme OA = OB = OC, on en déduit que B et C appar- ∆2 passe par le point B milieu de [A’C’] et est perpendiculaire
tiennent au cercle de centre O et passant par A. à (AC). De plus, on sait que (AC) // (A’C’) donc ∆2 ⊥ (A’C’). On
3. Soient d3 la médiatrice de [AB] et K le projeté orthogonal en déduit que ∆2 est la médiatrice de [A’C’].
de O sur (AB). ∆3 passe par le point C milieu de [A’B’] et est perpendiculaire
Comme OA = OB, alors O appartient à d3. à (AB). De plus, on sait que (AB) // (A’B’) donc ∆3 ⊥ (A’B’). On
en déduit que ∆3 est la médiatrice de [A’B’].
76 1. a.

d1 B’ b. Puisque ∆1, ∆2 et ∆3 sont les médiatrices des segments [B’C’],
A
[A’C’] et [A’B’], elles sont concourantes (voir exercice précé-
C’
dent). Comme elles sont les hauteurs du triangle ABC, on
d2 en déduit que les hauteurs d’un triangle sont concourantes.
C
B
d3
A’
Exercices
uuur ⎧ x M − xC = 2x ⎪⎧ x = 2x − 4 !!!" !!" !!!" !!!"
!!"
77 1. CM = xu ⇔ ⎪⎨
r
⇔⎨ M 78 1. a. CM = CB + BM = − BC + 1 AB .
⎪⎩ yM − yC = 5x ⎪⎩ yM = 5x − 2 !!!" !!!" !!!" !!!" !!!" !!!2" !!!" !!!" !!!"
!!!" ⎛ 2x − 7⎞ b. CN = CD + DA + AN = – DC – AD + 3 AD = – DC + 2 AD .
D’où M(2x – 4 ; 5x – 2). Donc AM ⎜ .
⎝ 5x − 9⎟⎠ 2. Si ABCD est un parallélogramme, alors :
!!" !!!" !!!" !!!"
!!!" !!!"
AB = DC et BC = AD .
!!" !⇔
2. M [ (AB) !!" AB et AM colinéaires
( )
⇔ det AB , AM = 0 ⇔ 5(5x − 9) + 5(2x − 7) = 0
!!!" !!!" !!" !!!" !!!" !!!"
Donc CM = − BC + 1 AB = − AD + 1 DC = −2CM . Donc CM
!!!" 2 2
!!!"
⇔ 25x – 45 + 10x – 35 = 0 ⇔ x = 80 ⇔ x = 16 et CN sont colinéaires et par suite C, M et N sont alignés.

35 17

!!!" !!" !!" !!" !!" !!"
79
C
(
2. a. AQ = 3 CA + CB = 3 CA + CA + AB
2 2 ) ( )
!!" !!" !!!" !!"
E 2
3
(
= 2CA + AB = 3 −2 AC + AB
2 ) ( )
!!!" !!!" !!"
A F B
3
2 (
b. AQ = −2 AC + AB )
!!!" !!" !!!"
(
= −3 2 AC − AB = −3 AP
2 !2!!"
)
!!!"
Ainsi, les vecteurs AQ et AP sont colinéaires et par suite,
les points A, P et Q sont alignés.
D
81 1. a. AireJAE = JA × AE et le projeté orthogonal B’ de B
2
!!" !!!" sur la droite (JA) est tel que BB’ = AE, donc AireJAB = JA × AE .
(
On se place dans le repère orthonormé A ; AB , AC . On a ) 2
A(0 ; 0), B(1 ; 0) et C(0 ; 1). On en déduit que JAE et JAB ont des aires égales.
Soit D(xD ; yD). b. L’image du triangle JAB par la rotation de centre A et
uuur uuur ⎧x − 0 = −2 (0 − 0) ⎧x D = 0
AD = −2 AC ⇔ ⎨ D ⇔⎨ d’angle 90°, dans le sens horaire est le triangle CAM.
⎩yD − 0 = −2 (1− 0) ⎩yD = −2 Donc AireJAB = AireCAM.
Donc D(0 ; –2).
Soit F(xF ; yF). c. AireFAM = FA × AM et le projeté orthogonal C’ de C sur la
2
uuur uur ⎧ x − 0 = 2 (1− 0)
⎪ F ⎧⎪ x = 2 droite (AM) est tel que CC’ = FA, donc AireCAM = FA × AM .
2
AF = AB ⇔ ⎨ 5 ⇔⎨ F 5 2
5 On en déduit que FAM et CAM ont des aires égales.
⎪⎩ yF − 0 = 2 (0 − 0) ⎪⎩ yF = 0 d. AireJKEA = AireAFNM
5
( )
Donc F 2 ;0 . 2. a. Dans le triangle rectangle CEB rectangle en E, on a :
( ) ( )
5
E est le milieu de [BC] ⇔ E 1 + 0 ; 0 + 1 ⇔ E 1 ; 1 .
2 2 2 2 cos ·( )
ACB = CE
CB
⎛ 1 −0⎞
!!!" 2
⎜
⎛ 1⎞
!!!" 2
⎜
⎛ 1 − 2⎞
!!" 2 5
⎛ 1⎞
!!" 10 Donc CE = CB × cos · ACB . ( )
⎟ ⎟ ⎜ ⎟ ⇔ FE ⎜ ⎟
D’où DE
⎜ 1 + 2⎟
⎜⎝ ⎟⎠
⇔ DE
⎜ 5⎟
⎜⎝ ⎟⎠
et FE
⎜ 1 − 0⎟
⎜⎝ ⎟⎠
⎜ 1⎟
⎜⎝ ⎟⎠
AireLCEK = CL × CE = CA × CB × cos ! ACB ( )
!!!"
2
!!"
2 2
!!!" !!"
2 De même, Aire = CI × CD = CB × CA × cos !
CIHD ACB . ( )
D’où DE = 5FE . Ainsi les vecteurs DE et FE sont colinéaires b. AireLCAJ = AireLCEK + AireJKEA donc :
et les points D, E et F sont alignés.
CA2 = CA × CB × cos ! ACB + AireJKEA. ( )
80 1. a. b. AireCIGB = AireCIHD + AireDHBG donc :
( )
Q
CB2 = CA × CB × cos ! ACB + AireDHGB.
B
AireABOM = AireAFNM + AireFBON donc :
C A AB2 = AireAFNM + AireFBON.
Donc AB2 = AireJKEA + AireDHGB.
( )
P
Donc CA2 + CB2 = 2CA × CB × cos · ACB + Aire + Aire JKEA DHGB
,
c. On conjecture que les points A, P et Q sont alignés. d’où CA + CB = 2CA × CB ×cos ( !

2 2
ACB) + AB . 2
SYNTHÈSE
Exercices
!!" !!!" !!!" !!"
82 1. On a AB ⎛ 1⎞ et AC ⎛ −4 ⎞ , donc AC = −4 AB . 83 A S 2a B
⎝ 1⎠ ⎝ −4 ⎠ x
!!" !!!"
Les vecteurs AB et AC sont donc colinéaires et par suite, les x
points A, B et C sont alignés. a
!!" !!!" ⎧ xE − x B = 5( x D − x B ) ⎧xE − 3 = 5( 4 − 3) ⎧x = 8 H
2. BE = 5BD ⇔ ⎨ ⇔⎨ ⇔⎨ E
y
⎩ E − yB = 5 ( yD − yB ) y
⎩ E − 2 = 5 ( −1− 2 ) ⎩yE = −13
D C
⎧ xE − x B = 5( x D − x B ) ⎧xE − 3 = 5( 4 − 3) ⎧x = 8
⎨ ⇔⎨ ⇔⎨ E 1. Le triangle DAB est rectangle en A, d’après le théorème de
y
⎩ E − yB = 5 ( yD − yB ) y
⎩ E − 2 = 5 ( −1− 2 ) ⎩yE = −13 Pythagore, on a : BD2 = AD2 + AB2 = a2 + 4a2 = 5a2
Donc E(8 ; –13).
Donc BD = a 5 .
!!!" !!" !!" !!!"
3. AD ⎛ 2 ⎞ et CE ⎛ 10 ⎞ , donc CE = 5 AD . 2. AireABD = AD × AB = a × 2a = a2
⎝ −2⎠ ⎝ −10⎠ 2 2
!!!" !!" AH × DB AH × a 5
Les vecteurs AD et CE sont donc colinéaires et par suite, les AireABD = =
2 2
droites (AD) et (CE) sont parallèles. 2
Donc AH × a 5 = a2 ⇔ AH = 2a = 2a 5 .
2 a 5 5

· = 90°– x. On a BD2 = AB2 + AD2, d’après la réciproque du théorème de
3. HAB
! = 90°, donc : Pythagore, le triangle BAD est rectangle en A. Donc (AD) et
Or DAB
· ! − HAB ! = 90°– (90°– x) = 90°– 90 + x. (BC) sont perpendiculaires.
DAH =DAB ⎛ 55 ⎞ ⎛ 106 ⎞
·
Alors DAH = x. !!" 17 !!!" 17
De plus, AB ⎜ ⎟ et AC ⎜ ⎟
4. Dans le triangle DAB rectangle en A, on a : ⎜ − 330 ⎟ ⎜ − 636 ⎟
⎜⎝ ⎟ ⎜⎝ ⎟
tan( x ) = AD = a = 1 . 119 ⎠
!!" !!!"
119 ⎠
2a 2
( )
AB
Dans le triangle DAH rectangle en H, on a : tan( x ) = DH . Donc det AB , AC = 55 × −636 − 106 × −330 = 0 donc
AH 17 119 17 119
A [ (BC).
Donc DH 1 1
= d’où DH = × AH = × 1 2a 5 = a 5 . Ainsi le point A est le projeté orthogonal de D sur la droite
AH 2 2 2 5 5 (BC).
5. On se place dans le triangle ABD, les points B, S et A et B,
H et D sont alignés dans le même ordre. 2. AireDBC = BC × AD
2
On calcule séparément les quotients suivants : BH et BS .
( ) ( )
2 2
BD BA BC = (10 − 7)2 + − 30 + 12 = 32 + − 18 = 9 + 324
BH = BD°– DH = a 5 − a 5 = 4a 5 7 7 7 49
5 5
= 765
4a 5 49 3 85 × 32 85
BH = 5 = 4a 5 = 4 = 0,8
BD a 5 5a 5 5 AireDBC = BC × AD = 7 51 = 3 × 32 × 85 = 80
2 2 2 × 7 × 51 7
BS = 0,8BA = 0,8 L’aire du triangle DBC est égale à 80 .
BA BA 7
86 1. Soit H le projeté orthogonal de R sur (ST), comme le
On a donc : BH = BS , d’après la réciproque du théorème de
BD BA triangle RST est isocèle en R, H est le milieu de [ST] donc
Thalès, les droites (SH) et (AD) sont parallèles. SH = 4.
84 1. Il semble que dans ce cas, E est situé au tiers du La distance du point R à la droite (ST) est donc la distance RH.
segment [AB]. Le triangle RHS est rectangle en H, d’après le théorème de
!!" !!!"
( )
2. Dans le repère A ; AB , AD , on a A(0 ; 0), B(1 ; 0), C(1 ; 1), Pythagore on a :
RH2 = RS2°– SH2 = 52°– 42 = 25°– 16 = 9.
( )
D(0 ;1), K 1 ;0 , E(x ; 0),
2
Donc RH = 3.
F(x ; ,x) et G(0 ; x). R
( ) ( )
!!!" !!!"
3. On a KD − 1 ;1 et KF x − 1 ; x
2 uuur uuur 2 H’
(
F [ ( DE ) ⇔ det KD , KF = 0 )
( 2 )
⇔ − 1 × x −1 × x − 1 = 0 ⇔ − 1x − x + 1 = 0 ⇔ x = 1
2 2 2 3
Ceci valide la conjecture.
S H T
85 1. A est le projeté orthogonal de D sur (BC) si et seule-
ment si le triangle BAD est rectangle en A et A [ (BC). 2. AireRST = RH × ST = 3 × 8 = 12
2 2
L’aire du triangle RST est de 12 cm2.
( ) ( ) ( ) ( )
2 2 2 2
AB = 7 − 64 + − 12 − 18 = 55 + − 330 3. Soit H’ le projeté orthogonal de S sur la droite (RT).
17 7 17 17 119
La distance du point S à la droite (RT) est donc la distance SH’.

= 3025 + 108 900 = 15 125
289 14 161 833 AireRST = SH ’ × RT = 12
2
AB = 55 5 Comme RST est isocèle en R, on a RS = RT = 5.
7 17 Donc :
( ) ( )
2 2
BD = (0 − 7)2 + − 10 + 12 = (−7)2 + − 34 SH ’ × RT = 12 ⇔ SH ’ × 5 = 12 ⇔ SH’ = 12 × 2 = 24 = 4,8 (cm)
3 7 21 2 2 5 5
4. Soit H’’ le projeté orthogonal de T sur la droite (RS).
= 49 + 1 156 = 22 765
441 441 La distance du point T à la droite (RS) est donc la distance
22 765 TH’’.
BD =
21 AireRST = TH ” × RS donc :
2
( ) ( ) ( ) ( )
2 2 2 2
AD = 0 − 64 + − 10 − 18 = − 64 + − 224 TH ” × RS = 12 ⇔ TH’ = 12 × 2 = 24 = 4,8 (cm)
17 3 17 17 51 2 5 5
87 y d
= 4 096 + 50 176 = 87 040
289 2 601 2 601 A
AD = 32 85 1 D
51 C
BD =
2 22 765 0 1 x
441 A
AB2 + [AD]2 = 15 125 + 87 040
833 2 601 B H K C
= 15 125 × 153 + 87 040 × 49
833 × 153 2 601 × 49 1. Soit D(xD ; yD).
2 314 125 + 4 264 960 = 6 579 085 = 22 765 . ⎛ 5 ⎞
= !!!" ⎛ x D − 11⎞ !!!" 2
127 449 127 449 441 Alors AD ⎜ 1 ⎜ ⎟
⎟ et 4 AC ⎜ 7 ⎟ ,
⎝ yD − 3 ⎠ ⎜⎝ − ⎟
4⎠

⎧ x − 11 = 5 ⎧ x = 27 !!" ⎛ 5 −(−2)⎞ !!"
uuur uuur ⎪ D 2 ⎪ D 2 3. AB ⎜ ⎟ ⇔ AB ⎛ 7 ⎞
1
AD = AC ⇔ ⎨ ⇔⎨ ⎝ 6−2 ⎠ ⎝ 4⎠
4 7
⎪ yD − 3 = − ⎪ yD = 5 !!!" ⎛ 4 − x D ⎞
⎩ 4 ⎩ 4 Soit D(xD ; yD). Alors DC ⎜ ⎟
Le point D a pour coordonnées 27
2 4
5
; . ( ) ABCD est un parallélogramme :
⎝ 1− yD ⎠
( ) ( ) ( ) ( )
2 2 2 2 !!" !!!" ⎧⎪ 4 − x D = 7 ⎧⎪ x D = −3
DB = 6 − 27 + −4 − 5 = − 15 + − 21 ⇔ AB = DC ⇔ ⎨ ⇔⎨
2 4 2 4 1− yD = 4 y = −3
225 441 1 341 3 149 ⎩⎪ ⎩⎪ D
= + = = Donc D(–3 ; –3).
4 16 16 4
DC = 21− 27 2
+ −4 − ( 5 2
) (
2
= 15 + − 21
2
) ( ) ( ) ( 2 2)
4. I 4 − 3 ; 1− 3 ⇔ I 1 ;−1 ( ) 2
2 4 2 4 ⎛ 3− 1 ⎞ ⎛ 5⎞
225 441 1 341 3 149 !!" 2 !!" 2
= + = = 5. IM ⎜ ⎟ ⇔ IM ⎜ ⎟
4 16 16 4 ⎜ 19 −(−1)⎟ ⎜ 22 ⎟
Donc DB = DC, on en déduit que le point D appartient à la ⎜⎝ ⎟⎠ ⎜⎝ ⎟⎠
3 3
médiatrice (d) de [BC].
2. Soit K le milieu de [BC], il a pour coordonnées 27 ;−4 . Il
appartient à la droite (d).
2 ( ) !!!" ⎛ 3 − 5 ⎞
BM ⎜ 19
− 6⎟
!!!" ⎛ −2⎞
⇔ BM ⎜ 1 ⎟
⎝ 3 ⎠ ⎝ 3⎠
!!!" ⎛ 0 ⎞ !!!" ⎛ 0 ⎞ !!" !!!"
On considère les vecteurs KD ⎜ 21⎟ et AH
⎝ −7⎠
. ( )
det IM , BM = × − 22 × (–2) ≠ 0
!!" !!!" 2 3 3
5 1
!!!" !!!" ⎝ 4 ⎠
KD( AH )
det KD , AH = x !!!" × y!!!" − x !!!" × y!!!" = 0 × (−7) − 0 × 21 = 0
AH KD 4
Donc IM et BM ne sont pas colinéaires et par suite, les points
I, M et B ne sont pas alignés.
x !!!"
KD
× y!!!" − x !!!" × y!!!" = 0 × (−7) − 0 × 21 = 0
AH AH KD
!!!" !!!" 4
( 2 2 )
6. J −2 + 5 ; 2 + 6 ⇔ J 3 ; 4 ( ) 2
Donc les vecteurs KD et AH sont colinéaires, on en déduit !!" ⎛ 3 −(−3)⎞ !!" ⎛ 9 ⎞
que les droites (AH) et (d) sont parallèles. 7. DJ ⎜ 2 ⎟ ⇔ DJ ⎜ 2 ⎟
3. (AH) est parallèle à la médiatrice de [BC] donc (AH) ⊥ (BC). ⎜⎝ 4 −(−3)⎟⎠ ⎝ 7⎠
!!!" !!!" !!!" !!!"
Par ailleurs, BH ⎛ 5⎞ et BC ⎛ 15⎞ donc BC = 3BH donc B, C et !!" ⎛ 1 − 5 ⎞ !!" ⎛ − 9 ⎞
⎝ 0⎠ ⎝ 0⎠ BI ⎜ 2 ⎟ ⇔ BI ⎜ 2 ⎟
H sont alignés et par suite H [ (BC). ⎝ −1− 6⎠ ⎝ −7 ⎠
Ainsi H est le projeté orthogonal de A sur la droite (BC). !!" !!" !!" !!"
On a BI = − DJ donc les vecteurs BI et DJ sont colinéaires,
AireABC = AH × BC donc les droites (DJ) et (BI) sont parallèles.
2
⎛ 3⎞ ⎛ 3⎞
AH = 02 + 72 = 7 et BC = (21− 6)2 + (−4 + 4 )2 = 152 = 15. !!!" 3 − 2 !!!" !!!" ⎛ 9 ⎞
8. JM ⎜ ⎟ ⇔ JM ⎜ 2 ⎟ donc 3JM ⎜ 2
⎟
Alors : AireABC = AH × BC = 7 × 15 = 105 = 52,5. ⎜ 19 − 4 ⎟
⎜⎝ ⎟⎠
⎜ 7⎟
⎜⎝ ⎟⎠ ⎝ 7⎠
2 2 2 3 3
L’aire du triangle ABC est de 52,5.
!!" ⎛ x − 3 ⎞
88 1. Soit N(xN ; yN). Alors JN ⎜ N 2 ⎟ .
⎜⎝ yN − 4 ⎟⎠
y
N
!!" !!!" ⎧x − 3 = 9 ⎧⎪ x = 6
⎪
JN = 3JM ⇔ ⎨ N 2 2 ⇔ ⎨ N
⎪⎩ yN − 4 = 7 ⎪⎩ yN = 11
Donc N(6 ; 11).
M !!!" !!!"
B 9. BC ⎛ 4 − 5⎞ ⇔ BC ⎛ −1⎞
⎝ 1− 6 ⎠ ⎝ −5⎠
J !!!" ⎛ 6 − 5 ⎞ !!!" ⎛ 1⎞
BN ⇔ BN
⎝ 11− 6⎠ ⎝ 5⎠
A !!!" !!!" !!!" !!!"
C On a BN = − BC donc les vecteurs BN et BC sont colinéaires
1
et par suite, les points B, N et C sont alignés.
!!" !!!"
( )
0 1 x
89 A. Dans le repère A; AB , AD , on a A(0 ; 0), B(1 ; 0) et
I
D D(0 ; 1). !!!" !!" !!!"
1. ABCD est un carré donc !!" AC!!!"= AB + AD. Ainsi C(1 ; 1).
BEFG est un carré donc EF = BG et par construction, comme
!!!" ⎛ 4 −(−2)⎞ !!!" !!!" ⎛ 2 ⎞
2. AC ⎜ ⎟ ⇔ AC ⎛ 6 ⎞ donc 1 AC ⎜ 1 ⎟ G est le milieu de [BC],
!!!" !!!" !!!" !!" !!"
⎝ 1− 2 ⎠ ⎝ −1⎠ 3 − BG = 1 BC = 1 AD et BE = 1 AB.
⎝ 3⎠
!!!" ⎛ 5 − x M ⎞ 2 2 2
MB ⎜ On a donc :
⎟ !!!" !!" !!" !!" !!" 1 !!" !!!" 3 !!" 1 !!!"
⎝ 6 − yM ⎠ AF = AB + BE + EF = AB + AB + BG = AB + AD donc
( )
2 2 2
!!!" 1 !!!" ⎧ 5 − xM = 2
⎪
⎧ xM = 3
⎪ F 3 ;1 .
MB = AC ⇔ ⎨ ⇔ ⎨ 2 2
3 1 19
⎪⎩ 6 − yM = − 3 ⎪⎩ yM = 3 EIJH est un carré et par construction, comme H est le milieu
!" !!!" !!" !!!" !!!"
de [EF], IJ = EH = 1 EF = 1 BG = 1 AD
(
Donc M 3 ; 19 .
3 ) 2 2 4

!!" !!" !!" 91 A B
EI = 1 BE = 1 AB. K
2 4
!!" !!" !!" !!" !"
On a donc AJ = AB + BE + EI + IJ H
!!" !!" !!" !!!"
= AB + 1 AB+ 1 AB + 1 AD
2 4 4
!!" 1 !!!"
4 4 (
= AB + AD donc J 7 ; 1 .
7
) 4 4
D C
1. Pour Mickaël et Nina qui reçoivent les terrains ADH et AHB,
⎛ 3 − 1⎞ ⎛ 1 ⎞ ⎛ 7 − 1⎞ ⎛ 3 ⎞ cela représente la moitié du rectangle ABCD soit une aire de
!!" !!" !!" !!"
2. CF ⎜ 2 ⎟ ⇔ CF ⎜ 2 ⎟ et CJ ⎜ 4 ⎟ ⇔ CJ ⎜ 4 ⎟ . 30 m × 40 m = 600 m2.
⎜ 1 − 1⎟ ⎜ − 1⎟ ⎜ 1 − 1⎟ ⎜ − 1⎟ 2
⎜⎝ ⎟ ⎜⎝ ⎟ ⎜⎝ ⎟ ⎜⎝ ⎟
2 ⎠ 2⎠ 4 ⎠ 4⎠ 2. Cette aire est celle du triangle ABD qu’on peut aussi
!!" !!" !!" !!"
Ainsi CJ = 3 CF . Les vecteurs CJ et CF sont donc colinéaires calculer par la formule AH × BD .
2 2
et par suite, les points C, J et F sont alignés. 3. Par définition, la distance du point A à la droite (BD) est
B. 1. la distance AH.
Or on a, d’après ce qui précède :
AH × BD = 600 ⇔ AH = 1 200
2 BD
Or dans le triangle ABD rectangle en A, d’après le théorème
de Pythagore :
BD2 = AD2 + AB2 = 302 + 402 = 2 500.
Donc BD = 2 500 = 50.
2. En faisant tourner l’algorithme, on obtient : Ainsi AH = 1 200 = 24.
50
4. Dans le triangle ADH rectangle en H, d’après le théorème
de Pythagore :
AD 2 = AH 2 + DH 2 donc DH 2 = 30 2 – 24 2 = 324, d’où
DH = 324 = 18.
Pour Mickaël :
AireADH = AH × HD = 24 m × 18 m = 216 m2.
2 2
Pour Nina :
AireABH = 600 m2 – 216 m2 = 384 m2.
3. Les résultats semblent être de plus en plus proches de 4 . Par symétrie, on obtient :
3
4. Cela signifie que la « somme infinie » des aires des carrés Pour Jérémy : AireBCK = AireADH = 216 m2.
roses semble être proche de 4 . Pour Martin : AireDCK = AireABH = 384 m2.
3
92 1. Dans le triangle SAB rectangle en A, on a d’après le
90 D 5 cm C
théorème de Pythagore :
SB2 = SA2 + AB2 donc SA2 = 72 – 6 = 13 donc SA = 13 (cm)
d’où SA ≈ 3,6 (cm).
3 cm
2. Dans le triangle SAB rectangle en A, cos SBA! = AB = 6

60° · SB 7
donc SBA ≈ 31°.

A H B J 3. AB2 + AC2 = 62 + 4,52 = 56,25 et BC2 = 7,52 = 56,25.
Donc AB2 + AC2 = BC2 donc, d’après la réciproque du théo-
1. AireABC = AB × CJ = 5 × 3 = 7,5 (cm2) rème de Pythagore, ABC est rectangle en A.
2 2
2. AireABCD = 2 × AireABC = 15 (cm2) D’où AireABC = AB × AC = 4,5 cm × 6 cm = 13,5 cm2.
2 2
3. Dans le triangle ADH rectangle en H,
Mais on a également AireABC = × CB .
IA
!
tan A = DH donc AH = 3 = 3. 2
AH tan60° 7,5 × IA 2 × 13,5
D’où = 13,5 ⇔ IA = ⇔ IA = 3,6 (cm).
Donc AireADH = AH × DH = 3 × 3 = 3 3 . 2 7,5
2 2 2
4. DHBC est un trapèze et AireABC × SA 13,5 × 13
4. a. VolumeSABC = = 3
AireDHBC = AireABCD – AireADH = 15 − 3. 3
5. a. Comme (CJ) ⊥ (AB) et (DH) ⊥ (AB) par construction, on = 4,5 13 (cm )
3
a (CJ) // (DH). De plus, (AB) // (DC) et J [ (AB) et H [ (AB), b. VolumeSUTBC = VolumeUTSCBA – VolumeSABC
alors (HJ) // (DC). Donc le quadrilatère DCJH est un paral-
lélogramme car il a ses côtés opposés parallèles deux à deux. VolumeSUTBC = 13,5 × 13 cm3 − 4,5 13 cm3
D’où HJ = DC = AB = 5 cm. = 49 13 cm3
AJ = AH + HJ = 3 + 5 (cm). 5. Les droites (MN) et (BC ) sont parallèles, donc d’après le
b. AireADCJ = AireADH + AireDCJH théorème de Thalès, on a :
Or DCJH est un parallélogramme avec un angle droit, donc SN = SM = NM donc MN = BC × SM = 7,5 × 4,2 = 4,5 (cm).
c’est un rectangle. SC SB BC SB 7
Ainsi AireADCJ = 3 3 + 3 × 5 = 3 3 + 15 (cm2)
2 2

93 3. On a MA = r + 2r = 3r et (OH) // (AH’) donc d’après le théo-
Questions Va piano rème de Thalès, on a :
MO = MH = OH donc MH = OH ⇔ 2r = r , donc
1. MN MA AN MA AN 3r AN
d’ d 3
AN = r.
H’ A 2
Questions Allegro
d
d’ N H’ A
O H
O H
2. OHAH’ est un rectangle puisqu’il y a 3 angles droits. De

plus, OH’ = OH = 5 puisque ce sont deux rayons du cercle,
donc OHAH’ est un carré.
3. Puisque M est le symétrique d’ d
M
de A par rapport à H, H est le N H’ A
milieu de [AM] donc OHAH’ est un rectangle puisqu’il y a 3 angles droits. De plus,
AM = 2 × AH = 10 (cm). OH’ = OH = r puisque ce sont deux rayons du cercle, donc
On a (OH) // (AH’) donc d’après OHAH’ est un carré.
le théorème de Thalès, on a O H On a (OH) // (AH’) donc d’après le théorème de Thalès, on a :
MO = MH = OH MO = MH = OH donc MH = OH ⇔ a − r = r .
MN MA AN MN MA AN MA AN a b
donc MH = OH ⇔ 5 = 5 . Donc (a – r) × b = ar ⇔ ab – rb = ar ⇔ r(a + b) = ab ⇔ r = ab .
MA AN 10 AN a+b
M
94
Donc AN = 10 (cm).
Questions Va piano
Questions Moderato · = 45° et comme I est le
1. Comme ABCD est un carré, IAM
1. projeté orthogonal de M sur (AC), on a :
d !
AIM = 90° d’où comme la somme des angles dans un triangle
d’ H’ A ! = 45°.
est 180°, on en déduit que IMA
Donc AMI est un triangle isocèle rectangle en I.
! = sin 45° = IM
2. Dans le triangle AMI rectangle en I, sin A
AM
donc = AM × sin 45° = 7 2 .
O r H 20
3. Dans le triangle AMN rectangle en A, tanM! = tan 45° = AN
AM
donc AN = tan 45° × AM = 0,7.
4. Dans le triangle CMB rectangle en B,
tanC! = MB = 1− 0,7 = 0,3 donc MCB· ≈ 17°.
CB 1
Questions Moderato
1. Comme ABCD est un carré, IAM! = 45° et comme I est le
2. OHAH’ est un rectangle puisqu’il y a 3 angles droits. De
plus, OH’ = OH = r puisque ce sont deux rayons du cercle, projeté orthogonal de M sur (AC), on a :
!
AIM = 90° d’où comme la somme des angles dans un triangle
donc OHAH’ est un carré.
! = 45°.
est 180°, on en déduit que IMA
d
d’ Comme NAM = 90° et IMA = 45°, on en déduit que !
! ! ANM = 45°.
N H’ A
Donc AMN est un triangle isocèle en A.
! = 90°, AMN est un triangle isocèle rectangle.
Et comme MAN
2. AN = AM = 0,6 donc DN = AD – AN = 0,4 et
MB = AB – AM = 1 – 0,6 = 0,4.
O H
Dans le triangle CDN rectangle en D, d’après le théorème
de Pythagore :
CN2 = C2 + DN2 donc CN2 = 12 + 0,42 = 1,16 donc CN = 1,16 .
Dans le triangle CBM rectangle en D, d’après le théorème
de Pythagore :
CM2 = CB2 + BM2 donc CM2 = 12 + 0,42 = 1,16 donc CM = 1,16.
M Donc le triangle CNM est isocèle en C.

3. Comme I est le projeté orthogonal de M sur (AC), Questions Allegro
(MI) ⊥ (CI). Donc le projeté orthogonal de C sur (MN) est ! = 45° et comme I est
le point I. 1. Comme ABCD est un carré, IAM
4. Soit E le projeté orthogonal de I sur (AB). La distance du le projeté orthogonal de M sur (AC), on a !AIM = 90° d’où
point I à la droite (AB) est donc la distance IE. comme la somme des angles dans un triangle est 180°, on
AMN étant un triangle rectangle isocèle en A, NAM ! = 45°. ! = 45°.
en déduit que IMA
Donc le triangle IAM qui est rectangle en I a un angle de 45°, · ! = 45°, on en déduit que ·
Comme NAM = 90° et IMA ANM = 45°.
il est donc également isocèle en I. La hauteur issue de A de Donc AMN est un triangle isocèle rectangle en A.
ce triangle est donc également la médiatrice de [AM] et par 2. AMN est isocèle rectangle en A donc AN = AM = 3 − 1.
suite, d’après le théorème de Pythagore dans ce triangle, on D’où DN = AD – AN = 2 − 3 et MB = AB – AM = 2 − 3 .
a 2IA2 = AM2 soit 2IA2 = 9 donc IA = 9 . L’aire du triangle Dans le triangle CDN rectangle en D, d’après le théorème
25 50 de Pythagore :
CN2 = CD2 + DN2 donc CN2 = 12 + (2 − 3 ) = 8 − 4 3 donc
2
9 cm × 9 cm
IAM vaut donc 50 50 = 9 cm2. Or l’aire de ce CN = 8 − 4 3 .
2 100
De la même manière, dans le triangle CBM rectangle en D,
triangle vaut également IE × AM .
2 on démontre que CM = 8 − 4 3 .
IE × 3 Dans le triangle ANM rectangle en A, d’après le théorème
On a 5 = 9 ⇔ IE = 3 (cm).
2 100 10 de Pythagore :
Soit F le projeté orthogonal de I sur (AD). Par un raisonne- NM2 = AM2 + AN2 donc NM2 = ( 3 − 1)2 + ( 3 − 1)2 = 8 − 4 3
ment analogue, on montre que le triangle IAN est rectangle donc NM = 8 − 4 3 .
isocèle en I puis que IF = 3 (cm). On a ainsi NM = CM = CN, donc CMN est bien équilatéral.
10

9 Droites
et systèmes
1 a. C1 d. −3x − 8 = −4 x − 8 ⇔ −3x = −4 x ⇔ x = 0
b. C4 S = {0}
c. C2
e. 2x + 3 = 5 ⇔ 2x + 3 = 10 ⇔ x = 7
d. C3 2 2
e. C5 S= 7{}
2
2 a. Vrai car si x = 4, chaque membre de l’égalité vaut 0.
b. Faux car si y = 1, le membre de gauche vaut 3 et le
4 a. f (3 )= –4
1 b. f (–5) = 28
membre de droite vaut 0.
c. Vrai car f (2) = −1. c. f ( x ) = 2 ⇔ −4 x + 8 = 2 ⇔ x = 3
2
3 a. 6x − 1 = 2 ⇔ x = 1 d. f ( x ) = 4 ⇔ −4 x + 8 = 4 ⇔ x = 1
2 e. f ( x ) = 0 ⇔ −4 x + 8 = 0 ⇔ x = 2
S= 1
2 {} 5 a. −6 × 5 − 9 × 3 = −57 : les vecteurs ne sont pas
b. −3x + 5 = 0 ⇔ x = 5 colinéaires.
3
S= 5
3 {} b. 3 × (−6) − 5 × 4 = −38 : les vecteurs ne sont pas colinéaires.
c. −6 × (−6) − 9 × 4 = 0 : les vecteurs sont colinéaires.
c. −2x + 1 = 2x − 3 ⇔ −4 x = −3 − 1 ⇔ −4 x = − 7 ⇔ x = − 7 uur uuur
2 2 2 8 ( )
6 det AB ,CD = 6 × 12 − (−4 ) × (−18) = 0 : (AB) et (CD)
S = −7
8 { } sont parallèles.
uur uuur
( )
7 det AB , AC = 5 × (−4 ) − (−1) × 8 = −12 : A, B et C ne sont
pas alignés.
Situation 1 Un nouveau type d’équation

1 a. 2 × 1− 3 + 1 = 0 donc le couple (1 ; 3) est solution de (E).
2 × (−2) − (−3) + 1 = 0 donc le couple (–2 ; –3) est solution de (E).
b. (a ; 0) est solution de (E) ⇔ 2a + 1 = 0 ⇔ a = − 1 .
2
c. (0 ; b) est solution de (E) ⇔ −b + 1 = 0 ⇔ b = 1 .
d. (– 1 ; c) est solution de (E) ⇔ −2 −c + 1 = 0 ⇔ c = −1 : le couple (–1 ; –1) est solution de (E). On pourrait ainsi trouver une
infinité de couples solutions.
2 a. y b. On peut conjecturer que ces points sont alignés.

A
c. 2 × 0,5 − 2 + 1 = 0 : le couple (0,5 ; 2) est solution de (E).
1
D
C
0 1 x
E
Chapitre 9 Droites et systèmes 143

Situation 2 Des droites et des vecteurs
uur ⎛ 6 ⎞
1 a. AB ⎜
⎝ 4 ⎟⎠
uuur ⎛ x + 5 ⎞
b. AM ⎜ ⎟
⎝ y+2 ⎠
uur uuur uur uuur
( )
c. AB et AM sont colinéaires donc det AB , AM = 0 donc 6 ( y + 2) − 4 ( x + 5) = 0 donc 6 y − 4 x − 8 = 0.
2 a. On a démontré que si un point M(x ; y) appartient à la droite (AB), alors le couple de ses coordonnées est solution de
l’équation −4 x + 6 y − 8 = 0.
b. Graphiquement, le point de coordonnées (–2 ; 0) semble appartenir à (AB).
−4 × (−2) + 0 − 8 = 0 : le couple de coordonnées de ce point est bien solution de l’équation −4 x + 6 y − 8 = 0.
Situation 3 Balade en mer

1 a. Le groupe devrait payer 370 € + 430 € soit 800 € : ils n’ont pas assez d’argent.
b. Deux enfants doivent payer 430 € – 370 € soit 60 €. Le prix d’une place enfant est donc 30 €.
c. 5 adultes doivent payer 370 € – 4 × 30 € soit 250 €. Le prix d’une place adulte est donc 50 €.
2 Il existe de nombreuses façons, plus ou moins expertes, de chercher la réponse à cette question. L’objectif de cette ques-
tion est surtout de faire prendre conscience aux élèves de l’intérêt de traduire l’énoncé par des écritures littérales et de s’en
servir pour déterminer les valeurs cherchées, quand bien même ils ne trouveraient pas ces valeurs.
Soient x le prix d’une limonade et y le prix d’un jus d’orange.
On peut écrire : 3x + 4y = 17,3 et 7x + y = 16,2 donc 28x + 4y = 64,8.
On a donc 28x – 3x = 64,8 – 17,3 donc 25x = 47,5 donc x = 1,9.
On en déduit que 5,7 + 4y = 17,3 donc y = 2,9.
Émilie devra payer 9,6 €, elle aura donc assez d’argent.
uur ⎛ x B − x A ⎞
1 AB ⎜ ⎟
⎝ yB − yA ⎠
r r
2 det (u , v ) = xur × yvr − yur × xvr
uuur
3 AM et ur sont colinéaires car ce sont deux vecteurs directeurs de la droite d.

4 Non, car on n’aurait pas démontré la réciproque, c’est-à-dire que si les coordonnées d’un point vérifient l’équation
ax + by + c = 0, alors il appartient bien à la droite d.

1 A( x A ; yA )[d donc yA = ax A + b . De même, yB = ax B + b.
yA − yB
Donc yA − yB = a( x A − x B ) . Or A et B sont distincts donc x A ≠ x B donc a = .
x A − xB
Par ailleurs, si x = 0, alors y = p donc le point de coordonnées (0 ; p) appartient à d.
Donc p est l’ordonnée du point d’intersection de d avec l’axe des ordonnées.
2 Soient d et d’ deux droites de coefficients directeurs respectifs m et m’.
Alors d a pour équation y = mx + p soit mx – y + p = 0 et d’ a pour équation y = mx + p’ soit mx – y + p’ = 0.
r⎛ 1 ⎞ ur ⎛ 1 ⎞
Donc d et d’ admettent pour vecteurs directeurs respectifs u ⎜ ⎟ et u' ⎜ .
d et d’ sont parallèles ⎝ m ⎠ ⎝ m' ⎟⎠
r ur
⇔ u et u' sont colinéaires
r ur
( )
⇔ det u ,u' = 0
⇔ m'− m = 0
⇔ m = m'
144 Chapitre 9 Droites et systèmes

1 Supposons que x 2 + y2 = 4.
OM2 = x2 + y2 donc OM2 = 4 donc OM = 2 (car OM . 0), donc M appartient au cercle de centre O et de rayon 2.
Réciproquement, supposons que M appartient au cercle de centre O et de rayon 2.
Alors OM = 2 donc OM2 = 4 donc x2 + y2 = 4.
2 x 2 + y2 = 4 ⇔ OM 2 = 4 ⇔ OM = 2 ⇔ M appartient au cercle de centre O et de rayon 2.
Travaux pratiques
TP 1 Pièces et billets
1 x et y représentent le nombre de pièces de 1 € et de 2 €. Franck a 79 pièces, x et y peuvent donc varier entre 0 et 79.
3 x = 58 et y = 21 : Franck a 58 pièces de 1 € et 21 pièces de 2 €, ce qui donne bien 100 € avec 79 pièces.
TP 2 À toute vitesse
1 a. y = 5x ; y = 50 ; y = –5x + 400.
b.
c. 35 km . h–1
2 a.
b. Cédric rentre chez lui au bout de 114 minutes. Le programme trace 10 points par minute, d’où le choix de la valeur 1 140.
TP 3 Enveloppe
1 Ces lignes permettent de tracer les segments représentant le haut et le bas de l’enveloppe.

TP 4 Une résolution de système automatisée
1 Formule saisie en E2 : =$A4*A2
Formule saisie en E4 : =-$A2*A4
On s’est ramené au système :

{
10x + 15y = 5
−10x + 4 y = −24 .
2 et 3 .
Formule saisie en A8 : =(C2-B2*B8)/A2

Formule saisie en B8 : =G6/F6
4 Cette feuille de calcul ne permet pas de résoudre un système dans lequel on aurait a = 0 ou a’b − ab’ = 0.
TP 5 Équidistance
1 a. M est le point d’intersection en la médiatrice de [AH] et la perpendiculaire à l’axe des abscisses en H.
b. M appartient à la médiatrice de [AH] donc MA = MH. De plus, M appartient à la perpendiculaire à l’axe des abscisses en H,
donc H est bien le projeté orthogonal de M sur l’axe des abscisses donc la distance de M à l’axe des abscisses est bien égale
à MH donc à AM.
M est donc équidistant de A et de l’axe des abscisses, donc il appartient à l’ensemble (E).

On a représenté l’ensemble (E).
[ ( E ) ⇔ AM = MH ⇔ ( x − 1)2 + ( y − 2)2 = y2
3 a. MM[
b. ( x − 1)2 + ( y − 2)2 = y2 ⇔ x 2 − 2x + 1+ y2 − 4 y + 4 = y2 ⇔ x 2 − 2x + 5 = 4 y ⇔ y = 1 x 2 − 1 x + 5
4 2 4
c. C’est la courbe représentative de la fonction f définie sur R par f ( x) = 1 x 2 − 1 x + 5 .
4 2 4
Automatismes
Calcul mental 2 1. Comme elle passe par l’origine, elle a pour équation
y = −3x .
1 Le coefficient directeur de la droite (AB) est :
yA − yB 67 − 78 2. Elle a une équation de la forme y = −3x + p.
m= = = 11. Comme R (4 ; –2) [ d, on a :
x A − xB 5−6
yR = −3x R + p ⇔ −2 = −3 × 4 + p ⇔ −2 = −12 + p ⇔ 10 = p.
L’équation est y = −3x + 10 .

3. L’ordonnée à l’origine est égale à 8 donc l’équation réduite 8
de la droite est y = −3x + 8. y
4. Elle a une équation de la forme y = −3x + p.
Comme R (–2 ; 0) [ d, on a :
yR = −3x R + p ⇔ 0 = −3 × (−2) + p ⇔ 0 = 6 + p ⇔ −6 = p .
L’équation est y = −3x − 6.
3 1. L’ordonnée du point est 11. 1
4
2. L’abscisse du point est 4 . 0 x
1
3. L’abscisse du point est −6.
4 On a 2x A − 5 = 2 × 1− 5 = −3 = yA
{{ {{ {{ {{ {{ {{
et −5x A + 2 = −5 × 1+ 3 = −3 = yA . 9 1. y = 2x − 4 y = 2×3− 4 y=2
y== 4 ⇔y = 2 ×2 3
2x − − − 4 ⇔y = 2 2
Le point A appartient aux deux droites. Comme les deux y =xy 2x3− 4 4⇔⇔y =xy 2=
= 2x = ×3 3× −3 4− 4⇔⇔y =xy 2=
=3
x= 3 ⇔ x= 33 ⇔ x=3
droites ne sont pas parallèles, elles sont bien sécantes en A. xLa 3= 3
=x solution estx( x=x =3= −6 ; y = −2).x =x 3= 3
LaLa solution est ( x( = =−6 ; y; =y =−2).
{{ {{ {{ {{ {{ {{ {{ {{
y solution
2. Lay solution = −2 estest ( x =x −6 y−6 =; y−2 = −2). −2). y = −2 y = −2
=y =−2−2 ⇔y =y =−2−2 ⇔y = =−2−2 ⇔y =y =−2−2
Réflexes y =x −2 +y+8=0 ⇔⇔y =x − −22 + 8 = 0 ⇔⇔y =xy −2 +6=0 ⇔⇔y =x −2 = −6
x +x +y +y + 8 = 0⇔ 0 ( xxx=−−x −6 2+88 = 0⇔ 0 xx ++x 6+ 66 = 0 ⇔ x = =−6−6
xLa y + 8 =8 0=est
+ solution 2− +2; 8+y = 0= −2). = 0= 0 x =x −6
La solution est ( x( = −6−6
=1 ; y =y =−2). −2). 4 3
5 1. L’affirmation est vraie car x A = −2 . LaLa 1solution estest
( x =x⎧ −6 ; y; =
{{ {{
⎧
⎪
solution
x − 4= 0 ⎪ x =4 4 4 −2). ⎪⎧ x =4 4× ×3 3 x = x=4
3. ⎧⎪11⎧⎨x31 −x − 44 3= 0 ⇔ ⎧ 1 1 ⎧
2. L’affirmation est fausse car elles sont respectivement paral-
⎪⎧⎨ 3⎪⎨⎪xy3 −+ 43 3= 0= 0
⇔ ⎧⎪⎨13⎧⎪⎨xx3 ==
x =43 3⇔⇔ ⎧⎪ x⎧⎪⎨=
=x = 3×
43 × 31 1⇔⇔x =xy = =4 4
4 = 0 ⇔⇔ ⎪ ⎨⎪⎩ y3 = −4 ⎪ x
3⇔⇔⎨ ⎨⎪⎩ y =3 −4 31⇔ 1 ⇔y = 4−4−4
lèles à l’axe des ordonnées et l’axe des abscisses. ⎨⎩⎪3y⎩+ 4 3 =0 ⎨ 3 3
⎪ y =y =−4−4 ⎩⎪ y⎩⎪=y =−4−4⎨ = −4
y =y −4
3. Les droites sont parallèles car elles ont le même coefficient ⎪⎩ yLa 4+ =4 0= 0 est⎪⎩⎩(yx⎩⎪==
⎩⎪+y solution −4
4 ; y = −4). ⎪⎩ y = −4
LaLa solution
solution est ( x = 4 ; y =
= ;4y; =y −4). −4).
= −4).
estest
( x(=x 4
( ) La solution
{{ {{
⎧ 5+y=3
{{ {{
directeur car 15 = 5 . x + y = 3 x + y = 3 ⎧−⎧⎪55−
3 4. x +x +y =y = 33 ⇔ x +x +y =y = 33⇔ ⎧⎪−⎪⎨2− +25+ +y =y =
33
x +x − y =y 3= −8( L1 + L2⇔ ) ⇔x +2xy == −5 3 ⇔⇔ ⎪⎨ ⎨2x 2= y− =5 3
4. 1 × 1 + 0,17 = 49 et 49 ≠ 0,5. Le point de coordonnées x − y = =−8( L + +L2L) ⇔ 2x2x= =−5−5⇔ ⎨⎪ x⎪⎩= − 5 25
3 300 300 x −x y− =y −8( −8(
L11L+1 L 2 )2
) 2x = −5 ⎪⎩=x − = 52−
⎪⎩⎩x11
(1 ; 0,5) n’appartient pas à la droite. ⎧ y = 3 +5 5 = 1111 22
⎧ y⎪⎧= 3 + 5 25= 11 2
⇔ ⎧⎪ y = 3 + =
6 1. Un vecteur directeur est u(3 !
; 2). ⇔ ⎪⎨y⎪⎨⎨=x 3= +− 252 2= 22 2
! ⇔⇔ ⎨⎪ x⎪⎩= − 55 25
⎪⎩x⎪⎩=x − = 2−
( )
2. Un vecteur directeur est u(−1 ; 1).
La solution est x = 5− 5⎩ ; y =1111 5 2 2.
( ) (( ( )) )
! = − = 11
3. Un vecteur directeur est u − 3 ; − 1 . LaLa solution
La solution solution est x
estestx =x − = 2− ; y; =y =2 .. .
5 ;
2 y 11 2
4 3 22 22
!
4. Un vecteur directeur est u(−1 ; − 1).
10 1. Les droites n’ont pas la même pente, elles sont donc
7 1. L’équation réduite de la droite tracée est y = 2 x − 1. sécantes.
3
2. Les droites sont respectivement parallèles à l’axe des
2. Sa parallèle a une équation réduite de la forme y = 2 x + p .
3 ordonnées et l’axe des abscisses, elles sont donc sécantes.
Comme yF = 2 xF + p ⇔y50 =22 × 300 + p 2
F = 33x F + p ⇔ 50 = 3 × 300 + p 3. Les droites sont parallèles à l’axe des ordonnées et non
3
⇔ 50 = 200 + p ⇔ 50 p ==−150
200 + p ⇔ p = −150 confondues, elles sont donc strictement parallèles.
4. Les deux droites ont la même pente mais pas la même
L’équation réduite est y = 2 x − 150. ordonnée à l’origine, elles sont donc strictement parallèles.
3
Exercices
!
11 1. Un vecteur directeur est u(3 ; − 1). 14 Une équation cartésienne de la droite d est de la forme
!
2. Un vecteur directeur est u(2 ; − 2). 2x + y + c = 0.
!
3. Un vecteur directeur est u (1 ; 2) . Comme A appartient à d , on a :
! 2x A + yA + c = 0 ⇔ 2 × 6 − 2 + c = 0 ⇔ c = −10.
12 Le vecteur v(6 ; − 4) est un autre vecteur directeur de Une équation cartésienne de la droite d est 2x + y − 10 = 0.
la droite. !!!" !!!" !!!"
15 1. a. AC ( xC − x A ; yC − yA ) AC (3 − 2 ; − 1− 4) AC (1 ; − 5)
13 !!!" y !!!" !!!"
AC ( xC − x A ; yC − yA ) AC (3 − 2 ; − 1− 4) AC (1 ; − 5)
uuur
A b. Comme AC est un vecteur directeur de la droite ( AC ) ,
une équation cartésienne de la droite est de la forme :
−5x − y + c = 0.
1
Comme A appartient à ( AC ) , on a :
0 1 x −5x A − yA + c = 0 ⇔ −5 × 2 − 4 + c = 0 ⇔ c = 14.
Une équation cartésienne de la droite ( AC ) est
−5x − y + 14 = 0.
B !!!" !!!" !!!"
2. BC ( xC − x B ; yC − yB ) BC (3 + 1 ; − 1− 5) BC (4 ; − 6).

uuur
Comme BC est un vecteur directeur de la droite ( BC ) , une 22 y
d2
équation cartésienne de la droite est de la forme : D A
−6x − 4 y + c = 0.
C d1
Comme B appartient à ( AB) , on a : 1
−6x B − 4 yB + c = 0 ⇔ −6 × (−1) − 4 × 5 + c = 0 ⇔ c = 14
0 1 x
Une équation cartésienne de la droite ( BC ) est
−6x − 4 y + 14 = 0. B
16 1. Une équation cartésienne de la droite tracée est 23 • Le coefficient directeur de la droite est m = − 1 .
2
− x + y − 4 = 0.
• Le coefficient directeur de la droite est m = 4 .
2. Une équation cartésienne de la droite tracée est 3
2x − 5y + 10 = 0 . 24 1. L’ordonnée est y = −13 × 0,5 + 2 = −4,5 = − 9 .
3. L’équation réduite de la droite tracée est de la forme 2
2. On cherche x tel que :
y = −2x + p. 1 = −13x + 2 ⇔ 13x = − 1 + 2 ⇔ 13x = 11. ⇔ x = 11 ⇔ x = 11
Comme B(−5 ; 3) est sur la droite, 6 6 6 6 × 13 78
= −13x + 2 ⇔ 13x = − 1 + 2 ⇔ 13x = 11 ⇔ x = 11 ⇔ x = 11
yB = −2x B + p ⇔ 3 = −2 × (−5) + p ⇔ 3 = 10 + p ⇔ p =1 −7
Une équation cartésienne de la droite tracée est : 6 6 6 6 × 13 78
y + 2x + 7 = 0.
25 1. « Impossible ».
2. 2.
17 1. y
3. Cette fonction calcule le coefficient directeur de la droite
d’ quand c’est possible.
4. Algorithme :
d
A
0 1 x
2. Comme x A − yA + 5 = −3 − 2 + 5 = 0 , le point A appartient
à la droite d’.
18 y
26 1. y
1 B
x
0 1
1
A
d’

0 1 x
19 a. L’équation réduite de la droite est y = −3x + 1.
2. Le coefficient directeur de la droite est :
b. L’équation réduite de la droite est y = x + 2. y − yB 1− 3 2
m= A = = .
c. L’équation réduite de la droite est y = 5 x − 1 . x A − xB 2 − 7 5
3 3
y 3. L’équation réduite de la droite est de la forme y = 2 x + p.
20 5
Comme A(2 ; 1) est sur la droite,
d1
d4 yA = 2 x A + p ⇔ 1 = 2 × 2 + p ⇔ 1 = 4 + p ⇔ p = 1 .
d2 d3 5 5 5 5
4. L’équation réduite est y = 2 x + 1 .
1 5 5
2 1 2 1 201
5. 5 xC + 5 = 5 × 100 + 5 = 5 ≠ yC donc le point C n’ap-
0 1 x
partient pas à la droite d.
21 1. −2x A − 5 = −2 × (−1) − 5 = −3 ≠ yA = 7 donc le point A 27 La droite passe par A(5 ; 4) et B(0 ; 2). Elle a pour vecteur
n’appartient pas à la droite d. !!"
directeur BA(5 ; 2) et donc comme pente m = 2 .
2. −2x B − 5 = −2 × 2 − 5 = −9 = yB donc le point B appartient 5
à la droite d. L’équation réduite est y = 2 x + 2.
5
3. −2xC − 5 = −2 × 13 − 5 = − 13 − 5 = −11,5 ≠ yC = 1,5 donc 28 L’équation réduite de la droite verte est y = −2x + 4.
4 2
le point C n’appartient pas à la droite d. L’équation réduite de la droite rouge est y = 1 x − 2.
3
29 L’équation réduite de la droite d1 est y = 2.
L’équation réduite de la droite d2 est y = −3x + 2.

L’équation réduite de la droite d3 est y = 5x . !!"
37 La droite ( RS) a pour vecteur directeur RS (−12 ; 6) et
L’équation réduite de la droite d4 est x = 3.
donc comme pente m = 6 = − 1 .
L’équation réduite de la droite d5 est y = 1 x + 1. −12 2 !!"
5
La droite ( RT ) a pour vecteur directeur RT (4 ; − 2) et donc
30 Les deux droites ont des pentes différentes, elles sont
comme pente m = −2 = − 1 .
donc sécantes. 4 2
Les deux droites sont donc parallèles et les trois points
31 1. La droite passe par A(−3 ; 1) et B(5 ; 4) . Elle a pour alignés.
!!" !!!"
vecteur directeur AB(8 ; 3) et donc comme pente m = 3 . 38 La droite (UV ) a pour vecteur directeur UV (−3 ; − 6) et
8
!!!" par C(2 ; − 2) et D(5 ; 1) . Elle a pour vecteur
La droite passe donc comme pente m = −6 = 2.
directeur CD(3 ; 3) et donc comme pente m = 1. −3 !!!"
La droite (VW ) a pour vecteur directeur VW (6 ; 12) et donc
Les deux droites ayant des pentes différentes, elles sont
sécantes. comme pente m = 12 = 2.
6
2. La droite passe par A(−3 ; 1) et C(2 ; − 2). Elle a pour Les deux droites sont donc parallèles, les trois points alignés
!!!"
vecteur directeur AC (5 ; − 3) et donc comme pente m = − 3 . et donc U appartient à la droite (VW ).
5
La droite passe par B(5 ; 4) et D(5 ; 1). Elle est donc parallèle
à l’axe des ordonnées et donc pas parallèle à ( AB).
Les deux droites sont sécantes.
39 1. {
2 × (−2) − 3 × 1− 1 = −4 − 3 − 1 = −8 ≠ 0
2 × (−2) + 7 × 1− 11 = −4 + 7 − 11 = −8 ≠ 0
.
Le couple (−2 ; 1) n’est pas solution du système.

32 Les droites d1 et d5 sont toutes les deux parallèles à l’axe
des abscisses, elles sont parallèles.
Les droites d4 et d6 sont toutes les deux parallèles car elles
{
2. 2 × 2 − 3 × 1− 1 = 4 − 3 − 1 = 0 .
2 × 2 + 7 × 1− 11 = 4 + 7 − 11 = 0
Le couple (2 ; 1) est solution du système.
ont la même pente égale à 2.
33 a. La droite passe par E(−1 ; 5) et F(5 ; − 2). Elle a pour
!!"
vecteur directeur EF (6 ; − 7) et donc comme pente m = − 7 .
{ x−y=4
{ x = y+4
40 1. 2x + 5y = −6 ⇔ 2 ( y + 4 ) + 5y = −6 ⇔ 2 y + 8 + 5y = −6 ⇔ 7 { x = y+4
{ x
!!!"
x−y=4
La droite passe par G(−1 ; 2) et H(5 ; 4). Elle
2x + {
a 5y
pour
=
⇔
vecteur
−6 2 ( y +{
6x = y + 4
4 ) + 5y = −6
⇔
x = y+4
2 y + 8 +{ 5y = −6
⇔
x = y+4
7 y = −14 { ⇔
x=2
y = −2 {
directeur GH (6 ; 2) et donc comme pente m = 3 = 1 . Le couple (2 ; − 2) est solution du système.
6 3
Les deux droites ayant des pentes différentes, elles sont
sécantes. {
3a + b = 3
{
b = 3 − 3a b = 3 − 3a
2. 5a + 2b = −4 ⇔ 5a + 2 (3 − 3a ) = −4 ⇔ 5a + 6 − 6a = −4 ⇔ −a = { b=3
{
{ { { { {
b. La droite passe par E(−1 ; 5) et G(−1 ; 2). Elle est donc
3a + b = 3 b = 3 − 3a b = 3 − 3a b = 3 − 3a b = −27
parallèle à l’axe des ordonnées. ⇔ ⇔ ⇔ ⇔
5a + 2b = −4 5a + 2 (3 − 3a ) = −4 5a + 6 − 6a = −4 −a = −10 a = 10
La droite passe par F(5 ; − 2). et H(5 ; 4). Elle est donc paral-
Le couple (10 ; − 27) est solution du système.
lèle à l’axe des ordonnées.
⎧y = 6
{ { {
Les deux droites sont strictement parallèles. − x + 10 y = −1 −2x + 20 y = −2 25y = 6 ⎪
⇔ ⇔ ⇔ 25
!!" 41 1. 2x + 5y = 8 2x + 5y = 8 2x + 5y = 8 ⎨
34 1. La droite a pour vecteur directeur AB(−1 ; − 4) et donc ⎪⎩2x + 5 ×
comme pente m = −4 = 4. ⎧y = 6 ⎧y = 6
−1
L’équation réduite est de la forme y = 4 x2x + p. {
− x + 10 y = −1
+ 5y = 8
⇔ {
−2x + 20 y = −2
2x + 5y = 8
⇔
25y = 6
{
2x + 5y = 8
⇔⎨
⎪ 25
6
⇔⎨
⎪ 25
17
yC = 4 xC + p ⇔ 1 = 4 × 2 + p ⇔ p = −7 ⎪⎩2x + 5 × =8 ⎪⎩ x =
25 5
L’équation réduite de la droite est y = 4 xuuu −r7 . Le couple ( ; 17 6 ) est solution du système.
5 25
{ { { {
2. La droite a pour vecteur directeur AC (4;−2) et donc
2a + 5b = −3 10a + 25b = −15 21b = −21 b = −1
comme pente m = −2 = − 1 . 2. 5a + 2b = 3 ⇔ 10a + 4b = 6 ⇔
10a + 4b = 6
⇔
10a + 4 × (−
4 2
{ { { { {
1
L’équation réduite est de la forme y = −2ax++5bp.= −3 10a + 25b = −15 21b = −21 b = −1 b = −1
2 ⇔ ⇔ ⇔ ⇔
1 1
yB = − x B + p ⇔ −1 = − × (−3) + p ⇔ p = − 5a + 2b 5= 3 10a + 4b = 6 10a + 4b = 6 10a + 4 × (−1) = 6 a =1
2 2 2 Le couple (1 ; − 1) est solution du système.
L’équation réduite de la droite est y = 1 x − 5 . ⎧y = 5
{ { {
2 2 4 x − 5y + 3 = 0 4 x − 5y + 3 = 0 −7 y + 5 = 0
42 1. ⎪ 7
⇔ ⇔ ⇔⎨
35 −5xS − 11 = −5 × (−3) − 11 = 4 = yS donc le point S appar- 2x + y − 1 = 0 4x + 2y − 2 = 0 2x + y − 1 = 0 ⎪⎩2x + 5
tient à la droite d. 5 5 7
{ { {
⎧y = ⎧y =
x − 5y
2xS + 10 = 2 × (−3) + 10 = 4 = yS 4donc le point 4 x − 5y + 3 = 0
+ 3 = S0n’appartient −7 y + 5 = 0 ⎪ 7 ⎪ 7
⇔ ⇔ ⇔⎨ ⇔⎨
pas à la droite d’. 2x + y − 1 = 0 4 x + 2 y − 2 = 0 2x + y − 1 = 0 ⎪⎩2x + 5 − 1 = 0 ⎪⎩ x = 1
7 7
Comme les deux droites ne sont pas parallèles, elles sont
Le couple ( 1 ; 5 ) est solution du système.
bien sécantes en S. 7 7
⎧3 × 59
36 La droite a pour vecteur directeur AB(−
uur
201
7
66
;− ) et
7
2. 3a
4a {
−
−
b
3b
−
−
21 = 0
4 = 0
⇔
4a − 3b{
9a − 3b − 63 = 0
− 4 = 0
⇔
5a − 59 {
3a − b − 21 = 0
= 0
⇔⎨
⎪
=
5
59
( )
⎪⎩ a
donc comme pente m = − 66 ÷ − 201 = 22 . ⎧3 × 59 − b − 21 = 0 ⎧b = 72 5
7
La droite d1 a pour pente m = 1 . Les
sécantes.
{
3a 7− b − 21
67= 0
⇔
deux droites sont4adonc
3 4a − 3b − 4 = 0
{
9a − 3b − 63 = 0
− 3b − 4 = 0
⇔ {
3a − b − 21 = 0
5a − 59 = 0
⇔⎨
⎪
⎪⎩a = 59
5
5
⇔⎨
⎪
⎪⎩a = 59
5
5
Le couple ( 59 ; 72 ) est solution du système.
5 5

43 1. ⎧⎪ 1 x = y + 2
3 ⇔⎨
⎪⎧ x − 3y = 6 ⎪⎧ x − 3y = 6 ⎪( )
⎧ x = 3 × − 2.13 C’est
4
+ 6 vrai,
droites
⎧ xdeux droites confondues sont parallèles. Deux
15
⎪ = − 4non confondues sont dites strictement
parallèles
⎨ 1 ⇔ ⎨−2 y = 13 ⇔ ⎨ ⇔⎨
⎪⎩− x + y = 1 ⎪⎩− x + y = 2 ⎪⎩ 2 ⎪⎩ y = − 13 parallèles. ⎪⎩ y = − 13
2 4 3. C’est faux. Deux 4 droites peuvent être strictement
+2
⇔⎨
⎪⎧ x − 3y = 6
⇔⎨
⎪⎧ x − 3y = 6
⇔⎨
⎧x = 3 × −
⎪ ( ) 13
4
+6
⇔⎨
⎧x = −
⎪
15
4
parallèles.
4. C’est vrai, par exemple le second système de l’exercice 44
1 13
= 1 ⎪⎩− x + y = 2 ⎪⎩−2 y = 2 ⎪⎩ y = − 13 ⎪⎩ y = − 13 a une infinité de solutions.
2 4
( )
4
Le couple − 15 ; − 13 est solution du système.
4 4 48 Avec le logiciel de géométrie, Rémi a obtenu des valeurs
⎧2 a + b = 1 ( )⎧2 × − 25approchées 27
{ {
+ 5b = 5 des ⎧bsolutions.
⎪5 2a + 5b = 5 2a + 5b = 5 ⎪ 17 ⎪ = 17
2. ⎨ ⇔ ⇔ ⇔⎨ Elles ne sont⇔ ⎨pas exactes car elles ne vérifient pas les
⎪⎩a − 1 b = −2 15a − 5b = −30 17a = −25 ⎪⎩a = − 25équations : ⎪⎩a = − 25
3 17 17
( )
⎧2 × − 25 + 5b = 5 ⎧b = 27
{ {
2a + 5b = 5 2a + 5b = 5 4 × 0, 429 − 1 = 0,716 ≠ 0,714
⎪ 17 ⎪ 17
⇔ ⇔ ⇔⎨ ⇔⎨ et −3 × 0, 429 + 2 = 0,713 ≠ 0,714.
15a − 5b = −30 17a = −25 ⎪⎩a = − 25 ⎪⎩ a = − 25
17 17 Pour obtenir les valeurs exactes des coordonnées, il faut
( )
résoudre le système :
Le couple 25 ; 27 est solution du système. ⎧x = 3
17 17
{ {
y = 4x − 1
⇔
−3x + 2 = 4 x − 1
{
⇔
−7x = −3
⇔⎨
⎪ 7 ⇔
{ { {
6x − 4 y = 1 18x − 12 y = 3 18x − 12 y = 3 y = −3x + 2 y = −3x + 2 y = −3x + 2 ⎪ y = −3 × 3 +2
44 1. ⇔ ⇔ ⎩ 7
⎧x = 3 ⎧x = 3
{ { {
−9x + 6 y = 5 −18x + 12 y = 10 y0 == 413x − 1 −3x + 2 = 4 x − 1 −7x = −3 ⎪ ⎪
⇔ ⇔ ⇔⎨ 7 ⇔⎨ 7
C’est impossible, le système n’a pas de solution. y = −3x + 2 y = −3x + 2 y = −3x + 2 ⎪⎩ y = −3 × 3 + 2 ⎪⎩ y = 5
2. −3a
{ + 9b = 6
⇔
a
{ − 3b = −2
⇔ a − 3b = −2 ⇔ a = 3b − 2
7 7
{ {
2a − 6b
−3a + 9b = 6 = −4 a − 3b
a − 3b = −2 = −2 49 1. Chercher un couple d’entiers (m, n) compris entre 0 et
⇔ ⇔ a − 3b = −2 ⇔ a = 3b − 2
2a − 6b = −4 a − 3b = −2
Le système a une infinité de solutions, tous les couples de la
forme (3b − 2 ; b) avec b [ R. {
5 111 vérifiant le système :
5m + 2n = 20 430
m + n = 5112
.
Exemple de problème :
{
3x + y = 112
45 1. 2x + 2 y = 94 On répartit 20 430 bonbons dans deux sortes de paquets, les
uns contenant 5 bonbons, les autres 2. Sachant qu’il y a 5112
{
2x + 2 y = 94 {
x + y = 47 {
2. 3x + y = 112 ⇔ 3x + y = 112 ⇔ 2x = 112 − 47 = 65 ⇔ x =paquets,
x + y = 47 { { 32,5 combien y en a-t-il de chaque sorte ?
y = 475m− 32,5
+ 2n==14,5
20 430
{⇔
5m + 2n = 20 430
⇔ { 3m = 10 206
{⇔
m = 34
{ { {
2. m + n = 5112 2m + 2n = 10 224 m + n = 5112 n = 51
112 3x + y = 112 2x = 112 − 47 = 65 x = 32,5
⇔ ⇔ ⇔
= 94 x + y = 47 x + y = 47
3. Un menu « adulte » coûte 32,5 € et un
14,5 €.
{ y = 47 −
5m + 2n = 20 430
m +menu
32,5
{
enfant coûte
n = 5112
= 14,5
⇔ {
5m + 2n = 20 430
2m + 2n = 10 224
⇔
3m = 10 206
m + n = 5112 {
⇔
m = 3 402
n = 5112 − 3 402 = 1 710
Les valeurs affichées sont 3 402 et 1 710.
46 1. Soient x le prix d’un livre de la série A et y le prix d’un 50 On note x le nombre d’adultes et y le nombre d’enfants.
{ { { {
livre de la série B. 45x + 30 y = 510 90x + 60 y = 1020 9x = 72 x=8
Les données peuvent se traduire par le système : ⇔ ⇔ ⇔
27x + 20 y = 316 81x + 60 y = 948 27x + 20 y = 316 27 ×
{ 4 x + 5y = 103
5x + 3y = 99,5
.
{
45x + 30 y = 510
27x + 20 y = 316
⇔ {
90x + 60 y = 1020
81x + 60 y = 948
⇔
9x = 72
{
27x + 20 y = 316
⇔
x=8
27 × 8 + 20 y = 316
⇔{ x=8
y=5 {

{
4 x + 5y = 103 x = 14,5
2. 5x + 3y = 99,5 ⇔ y = 9 { Il y a dans le groupe 8 adultes et 5 enfants.
Un livre de la série A coûte 14,5 € et un livre de la série B

coûte 9 €.
{
7x − y − 9 = 0 y = 7x − 9 {
51 3x − y − 1 = 0 ⇔ y = 3x − 1 ⇔ 7x − 9 = 3x − 1 ⇔ 4 x = 8 ⇔
y = 7x − 9 {
y = 7x − 9 {
{
47 1. C’est faux, par exemple le premier système de l’exercice
44 n’a pas de solution.
3x − y − 1 = 0
7x − y − 9 = 0
⇔ {
y = 3x − 1
y = 7x − 9
⇔
y = 7x − 9 {
7x − 9 = 3x − 1
⇔
4x = 8
y = 7x − 9
⇔
x=2
y=5 { {
Les deux droites se coupent en A(2 ; 5).
Exercices
52 1. La droite passe par A(2 ; 2) et C(10 ; 1). Elle a pour La droite passe par B(5 ; 3) et D(1 ; − 2). Elle a pour vecteur
!!!" !!!"
vecteur directeur AC (8 ; − 1) et donc comme pente m = − 1 . directeur BD(−4 ; − 5) et donc comme pente m = 5 .
8 4
L’équation réduite est de la forme : y = − 1 x + p. L’équation réduite est de la forme : y = 5 x + p.
8 4
Comme A(2 ; 2) est un point de la droite,
Comme B(5 ; 3) est un point de la droite,
2= −1 ×2+ p⇔ p= 9
8 4 3 = 5 × 5 + p ⇔ p = − 13
L’équation réduite est de la forme : y = − 1 x + 9 . 4 4
8 4 L’équation réduite est de la forme : y = 5 x − 13 .
4 4

⎛ !!" !!!!!"
⎧y = − 1 x + 9 ⎧ 5 x − 13 = − 1 x + 9 ⎧11 x = 11 57 On se place dans le repère orthonormé A ; 1 AB , 1 AD⎞ .
⎪ 8 4 ⇔ ⎪4 4 8 4 ⇔⎪8 2 ⎧⎪ x = 4 ⎧⎪ x = 4 ⎜⎝ 8 5 ⎟⎠
2. ⎨ ⎨ ⎨ ⇔ ⎨La droite5 (EG)
13a⇔ pour⎨ équation
7 : y = 2.
⎪⎩ y = 5 x − 13 ⎪⎩ y = 5 x − 13 ⎪⎩ y = 5 x − 13 y= ×4− y=
4 4 4 4 4 4 ⎩⎪La droite
4 (DB)4 a pour⎩⎪ équation
4 : y = − 5 x + 5.
8
⎧ 5 x − 13 = − 1 x + 9 ⎧11 x = 11 = =
⎪ 4 ⇔⎪8 ⎧⎪ x = 4 ⎧⎪ x = 4 ⎧
⎪ y 2 ⎧
⎪ y 2 ⎪ =2
⎧ y
⇔ ⎨4 4 8
⎨
2 ⇔⎨ 5 13 ⇔ ⎨ 7 ⎨ 5 ⇔ ⎨ 5 ⇔ ⎨5 x = 3 ⇔
⎪⎩ y = 5 x − 13 ⎪⎩ y = 5 x − 13 ⎪y = 4 × 4 − 4
⎩ ⎪y = 4
⎩ ⎪⎩ y = − 8 x + 5 ⎪⎩2 = − 8 x + 5 ⎪⎩ 8
4 4 4 4
Les diagonales se coupent en 4 ; 7 .
4 ( ) ⇔⎨
⎧⎪ y = 2
x = 24 F 5 ; 2
24
( )
53 1. La fonction peut renvoyer les valeurs False ou True. Or E (0 ; 2) donc : ⎩⎪ 5
2. Les deux droites sont parallèles à l’axe des ordonnées, la
EF = 24 et ! EFD = 1 × EF × DE = 1 × 24 × 3 = 36 .
fonction devrait renvoyer True. 5 2 2 5 5
3. Les deux droites ont la même pente, la fonction devrait Comme G (8 ; 2), FG = 8 − 24 = 16 et ! FBG = 1 × FG × GB = 1 × 16
renvoyer True. 5 5 2 2 5
FG = 8 − 24 = 16 et ! = 1 × FG × GB = 1 × 16 × 2 = 16
4. 5 5 FBG 2 2 5 5
! EABF = AB × AE − ! FBG = 8 × 2 − 16 = 64
5 5
et ! DFGC = DC × DE − ! EFD = 8 × 3 − 36 = 84
5 5
58 On note x le nombre de tirages. Avec le premier tarif on

paye 0,15x et avec le second 12 + 0,09x .
12 + 0,09x < 0,15x ⇔ 12 < 0,06x ⇔ 200 < x .
Le second tarif devient plus rentable que le premier à partir
5. de 200 tirages.
59 On note x le nombre de bonnes réponses à des ques-
tions difficiles et y le nombre de bonnes réponses à des
questions faciles.
Alice à répondu à 17 bonnes questions donc x + y = 17.
54 1. Réponse b. Alice a eu 70 points donc 5x + 2 y = 70.
2. Réponse b. x + y = 17
5x + 2 y = 70
⇔ {
2x + 2 y = 34
5x + 2 y = 70
⇔
3x = 36 {
x + y = 17
⇔
y=5
x = 12 { {
55 ⎧⎪ y = 2x − 4
⎨ y = − 3 x + 13
⎩⎪ 2 2
⇔
⎧⎪ y = 2x − 4
⎨− 3 x + 13 = 2x − 4
⎩⎪ 2 2
⇔
⎧⎪ y = 2x − 4
⎨− 7 x = − 21
⎩⎪ 2 2
⇔
y = 2×3− 4
Alice
x=3
a
faciles.
bien ⇔
répondu
y=2
x=3
à 12 {
questions {
difficiles et 5 questions
⎧⎪ y = 2x − 4
⎩⎪ 2 2
⎧⎪ y = 2x − 4
⎨− 3 x + 13 = 2x − 4 ⇔ ⎨− 7 x = − 21 ⇔ x = 3
⎩⎪ 2 2
y = 2×3− 4
⇔
x =3 {
y = 2 A(3 ; 2)
{
60 x correspond au nombre d’années écoulées depuis le
1er janvier 2018, y à la somme déposée après x années et
{ {
⎪⎧ y = 2x − 4 ⎪⎧ y = 2x − 4 ⎪⎧ y = 2x − 4 y = 2 × 1−S la
4 somme accumulée .
y = −2
⎨ y = 1 x − 9 ⇔ ⎨ 1 x − 9 = 2x − 4 ⇔ ⎨− 7 x = − 7 ⇔ x = 1 ⇔
L’algorithme
x = 1 ne convient pas. Le bon algorithme est :
⎪⎩ 4 4 ⎪⎩ 4 4 ⎪⎩ 4 4
{ {
= 2x − 4 x←0
⎪⎧ y = 2x − 4
y = 2 × 1− 4 y = −2 C(1 ; −2)
1 x − 9 = 2x − 4 ⇔ ⎨ 7 7 ⇔ ⇔ y ← 2 743
⎪⎩− 4 x = − 4 x =1 x =1
4 4 S ← 2*y
⎧y = 1 x − 9 ⎧y = 1 x − 9 ⎧y = 1 x − 9
{
⎧ Tant
1 que 9 y < S y = −1
⎪ 4 4 ⇔⎪ 4 4 ⇔⎨
⎪ 4 4 ⇔ ⎪ y = 4y ×←5 y− +487 ⇔
⎨ ⎨ ⎨ x=5
⎪⎩ y = − 3 x + 13 ⎪⎩− 3 x + 13 = 1 x − 9 ⎪⎩− 7 x = − 35 ⎪⎩ x = 5x ← x + 1
2 2 2 2 4 4 4 4
1x− 9 ⎧y = 1 x − 9
{
1 9 On peut tracer les droites d’équation y = 2 743 + 87x et
4 4 ⇔⎨
⎪ 4 4 ⇔ ⎧⎪ y = 4 × 5 − 4 ⇔ y = −1 B(5 ; −1)
⎨ x=5 y = 5 486.
+ 13 = 1 x − 9 ⎪⎩− 7 x = − 35 ⎪x = 5
⎩
2 4 4 4 4 !!!" !!!"
56 On se place dans le repère orthonormé A ; AK , AD . ( 2 )
61 1. V1 = 1 × x × 5 × 3 = 15 x
2
La droite (DK) a pour équation : y = − x + 1.
et V2 = (21− x) × 5 × 3 = 315 − 15x.
La droite (BL) a pour équation : y = − 1 x + 1 . 2. Graphe :
4 2 y
⎧⎪ y = − x + 1. ⎧⎪ y = − x + 1. ⎧⎪ y = − x + 1
⎨ y = − 1 x + 1 ⇔ ⎨− x + 1 = − 1 x + 1 ⇔ ⎨− 3 x = − 1 ⇔
⎪⎩ 4 2 ⎪⎩ 4 2 ⎪⎩ 4 2
⎧y = − + 12 ⎧y = 1
⇔⎨
⎪
⎪⎩ x = 2
3 ⇔ ⎨
⎪
⎪⎩ x =
3 E 2; 1
2 3 3 (
105 )
3 3
( )
!!!" !!!" uuur uuur 50
Comme AE ; 2 1 1
et AC (2 ; 1) , on a AE = AC . Les deux 14
3 3 3 0 x
2
vecteurs sont colinéaires et donc les trois points alignés.
Les deux droites se coupent en (14 ; 105).

⎧ y = 15 x 4. On calcule :
⎧⎪ y = 15 x
⎨ 2
⎩⎪ y = 315 − 15x
⇔
⎪
⎨
2
⎪⎩315 = 45 x
2
⎧⎪ y = 15 × 14
⇔⎨ 2
⎩⎪ x = 14
⇔
y = 105
x = 14 { AB = ( x B − x A )2 + ( yB − yA )2 = (3 − 2)2 + (−1− 1)2 = 5
DB = ( x B − x D )2 + ( yB − yD )2 = (3 − 1)2 + (−1+ 2)2 = 5
Cela signifie que quand x = 14 cm les deux solides ont le DA = ( x A − x D )2 + ( yA − yD )2 = (2 − 1)2 + (1+ 2)2 = 10
même volume, ce volume est égal à 105cm3.
Comme DA2 = DB2 + BA2 , d’après la réciproque du théo-
{
62 1. y = − x + 4
y = 2x − 2
rème de Pythagore, le triangle ABD est rectangle en B et les
droites sont perpendiculaires.
2.
{
y = −x + 4
y = 2x − 2
⇔ {
y = −x + 4
− x + 4 = 2x − 2
⇔
y = −x + 4
6 = 3x {⇔
y=2
2=x { 64 1. a. Si la droite est parallèle à l’axe des ordonnées, la
fonction renvoie ’Droite verticale’ ainsi que la valeur de a
On retrouve bien un point d’intersection de coordonnées de son équation du type x = a .
(2 ; 2). b.
{
3. x = 3
y = 2x − 2
⇔
x=3
{
y = 2×3−2
⇔
x =3.
y=4 {
Elles sont sécantes en (3 ; 4).
{ x=3
y = −x + 4
⇔
x=3
{
y = −3 + 4
⇔ {
x = 3.
y =1
Elles sont sécantes en (3 ; 1).
2. a. Si la droite n’est pas parallèle à l’axe des ordonnées, la
63 1. d1 : y = −2x + 5 et d2 : y = 1 x − 5 ne sont pas paral- fonction renvoie sa pente et son ordonnée à l’origine.
2 2
lèles car elles n’ont pas la même pente. b. Voir ci-dessus.
{ {
⎧ y = −2x + 5 ⎧ y = −2x + 5 ⎧ y = −2x + 5 y = −2 × 3 + 5 y = −1
2. ⎪ ⎪ ⎪
⎨ y = 1 x − 5 ⇔ ⎨−2x + 5 = 1 x − 5 ⇔ ⎨15 = 5 x ⇔ x = 3 65 Si t ⇔ < 1 alors
x =3
⎩⎪ 2 2 ⎩⎪ 2 2 ⎩⎪ 2 2
{ {
= −2x + 5 ⎧⎪ y = −2x + 5 y = −2 × 3 + 5 y = −1 B (3 ; –1). distance = 10t
1 5 ⇔ ⎨15 5 ⇔ ⇔ Sinon
x+5= x− ⎪⎩ 2 = 2 x x=3 x=3
2 2 distance = 20 t + 10
3. −2x A + 5 = −2 × 2 + 5 = 1 = yA donc A ∈d1 3 3
1 x − 5 = 1 × 1− 5 = −2 = y donc D ∈d
2 D 2 2 2 D 2
Exercices
66 2. a. En posant x = a2 et y = b2 , on se ramène au système
B précédent donc a2 = 5 et b2 = 4 .
b. Les couples solutions sont donc ( 5 ; 2) , (− 5 ; 2) ,
( 5 ; − 2) et (− 5 ; − 2).
( )
!!" !!!"
A 68 On se place dans le repère orthonormé A ; 1 AB , 1 AD
11 10
dans lequel H (1 ; 1) , C (11 ; 10) , F(10 ; 9)

La droite ( AH ) a pour équation y = x.
Pour la droite (CF ) : m = 10 − 9 = 1 :
j
O i 11− 10
! ! p = yF − 1× xF = 9 − 10 = −1.
On se place dans le repère orthonormé (O ; i , j ) où O repré- L’équation de la droite est y = x − 1.
sente le pied de l’échelle, le sol l’axe des abscisses orienté Les deux droites sont donc strictement parallèles et pas
de gauche à droite et l’axe vertical orienté vers le haut l’axe confondues.
des ordonnées. Dans ce repère, on considère les points
O (0 ; 0) , A(50 ; 80) et B(130 ; yB ), A représentant le sommet 69 xA, yA, xB, yB, xC, yC représentent les coordonnées des trois
en bas à gauche de la caisse et B le sommet de l’échelle. points.
1. La droite (OA) a pour équation y = 80 x. Si (xB − xA) × (yC − yA) − (yB − yA) × (xC − xA) = 0 alors :
50
Comme B appartient à cette droite , on a : Réponse ← Vrai
yB = 80 x B = 80 × 130 = 208. Sinon :
50 50 Réponse ← Faux
L’échelle touche le mur à 2,08 m.
2. OB = ( x B − 0)2 + ( x B − 0)2 = 1302 + 2082 ≈ 245 70 On note x mon âge actuel et y son âge.
L’échelle mesure environ 2,45 m. J’avais y ans il y a x − y ans, il avait alors y − ( x − y) = 2 y − x.
{ { { { {
On a donc x = 2(2 y − x) ⇔ 4 y − 3x = 0.
67 1. 2x − 3y + 2 = 0 ⇔ 4 x − 6 y + 4 = 0 ⇔ 2x − 3y + 2 = 0Il ⇔ 2 × 5 − 3y + 2 = 0
aura x ans dans x − y ⇔
y=4
ans, j’aurai alors x + ( x − y) = 2x − y.
5x − 2 y − 17 = 0 15x − 6 y − 51 = 0 11x − 55 = 0 On a donc
x = 5 x + 2x − y = 63 ⇔ x =3x5 − y = 63.
{4x − 6y + 4 = 0
15x − 6 y − 51 = 0
⇔ {
2x − 3y + 2 = 0
11x − 55 = 0
⇔
x=5 {
2 × 5 − 3y + 2 = 0
⇔
y=4
x=5 { {
4 y − 3x = 0
3x − y = 63
⇔ {
4 y − 3x = 0
3y = 63
⇔ { {
4 × 21− 3x = 0 x = 28
y = 21 y = 21
Le couple (5 ; 4) est solution du système. J’ai donc 28 ans (et il en a 21).

71 1. y
72 1. 2 < x < 6 et 1< y < 3.
2. ( DE) : m = 2 p = 3 − 2 × 2 = 5 L’équation réduite de la
3 3 3
1 droite est y = 2 x + 5 .
3 3
0 1 x (EC ) : m = −2 p = 5 − (−2) × 5 = 15 L’équation réduite de
la droite est y = −2x + 15 .
Pour que M( x ; y) soit à l’intérieur du triangle, il faut que
y < 2 x + 5 , y < −2x + 15 et y > 3.
Comme 0 − 2 × 0 − 1, 0 , il faut hachurer le demi-plan qui ne 3 3
contient pas l’origine. 73 1. L’algorithme compte le nombre d’entiers de la forme
2. y = 1 x + 5 avec x est compris entre 0 et 30.
y 3 3
Pour que y = 1 x + 5 soit entier, il faut que x + 5 soit un
3 3
multiple de 3.
1 C’est le cas quand x vaut 1, 4, 7, 10, 13, 16, 19, 22, 25 et 28.
Cela fait donc 10 valeurs.
0 1 x La fonction retourne la valeur 10.
2. C’est le nombre de points à coordonnées entières sur la
droite d’équation y = 2 x + 5 entre 0 et 29.
3 3
SYNTHÈSE
Exercices
( )
!!!" !!!"
74 On se place dans le repère orthonormé O ; BC , 1 BO 76 1. ( AB) : m = 4 − 0 = 4 p = 4 L’équation réduite de la
0+3 3 1,2
dans lequel C (1 ; − 1,2) et D (6 ; − 2,2). 4 x + 4.
droite est y =
(CD) : m = − 1 = −0,2 p = −1,2 − (−0,2) × 1 = −1. 3
5 4
2. [CD] : y = x − 4 et x [ [0 ; 3].
L’équation réduite de la droite est y = − 1 x − 1. 3
5
On cherche le point de (CD) d’ordonnée : [ BC ] : y = − 43 x − 4 et x [ [−3 ; 0] .
1
−1,5 ⇔ −1,5 = − x − 1 ⇔ x = 2,5.
5
Il faut placer la marque à 2,5 m du bord O.
[ AD] : y = − 43 x + 4 et x [ [0 ; 3] .
77 y
( )
!!" !!!"
75 On se place dans le repère orthonormé A ; 1 AB , 1 AD dans lequel E (0 D; 1) , C (8 ; 4 ) , B(8 ; 0) et D (0 ; 4C )
8 4
)
!!" !!!" G
1
AB , AD dans lequel E (0 ; 1) , C (8 ; 4 ) , B(8 ; 0) et D (0 ; 4 ).
4
(EC ) : m = 3 p = 1 L’équation réduite de la droite est E
8
3
y = x + 1. 20
8
A B
( BD) : m = − 1 p = 4 L’équation réduite de la droite est 0 F x
2 20
y = − 1x + 4.
2
On cherche alors les coordonnées de F , point d’intersection (EF ) : m = 0 − 38 = − 2 38 = − 2 × 19 + p ⇔ p = 152
76 − 19 3 3 3
des deux droites : L’équation réduite de la droite est y = − 2 x + 152 .
⎧y = 3 x + 1 ⎧− 1 x + 4 = 3 x + 1 ⎧ x = 24 ⎧ x = 24 3 3
⎪ 8 ⎪ 2 8 ⎪ 7 ⎪ Par7symétrie par rapport à la droite d’équation x = 76, la
⎨ ⇔ ⎨ ⇔ ⎨ ⇔ ⎨
⎪⎩ y = − 1 x + 4 ⎪⎩ y = − 1 x + 4 ⎪⎩ y = − 1 × 24 + 4 = 16 (FG) a pour équation y = + 2 x − 152 .
⎪⎩ y droite
2 2 2 7 7 3 3
⎧y = 3 x + 1 ⎧− 1 x + 4 = 3 x + 1 ⎧ x = 24 ⎧ x = 24 Le point G est alors le point d’intersection des droites d’équa-
⎪ 8 ⎪ ⎪ ⎪
⎨ ⇔⎨ 2 8 ⇔⎨ 7 ⇔⎨ 7
tions y = + 2 x − 152 et x = 190.
1
⎪⎩ y = − x + 4 1
⎪⎩ y = − x + 4 1
⎪⎩ y = − × 24 +4 ⎪⎩ y = 16 3 3
2 2 2 7 7
Ses coordonnées sont donc x = 190, y = + 2 × 190 − 152 = 76 .
Dans le triangle DEF, la hauteur issue de F a pour longueur 3 3
yF = 24 cm et la base DE = 4 − 1 = 3 cm. Le triangle a donc
7 78 On note x le nombre de vidéos visionnées.
pour aire 1 × 3 × 24 = 36 cm2. Avec le tarif A, ça coûte f ( x) = 30 , avec le tarif B, ça coûte
2 7 7
Dans le triangle CBF, la hauteur issue de F a pour longueur g( x) = 5x et avec le tarif C, ça coûte h( x) = 10 + 2x.
On résout :
8 − 24 = 32 cm et la base 4 cm. Le triangle a donc pour aire h( x) < g( x) ⇔ 10 + 2x < 5x ⇔ x > 10
7 7 3
1 × 4 × 32 = 64 cm2. f ( x) < h( x) ⇔ 30 < 5x ⇔ x > 6
2 7 7
Entre 0 et 3 vidéos, c’est le tarif B qu’il faut choisir, puis entre
Le nœud a donc pour aire 36 + 67 = 103 cm cm22. 4 et 6 c’est le tarif C, enfin au-delà de 6 c’est le tarif A.
7 7 7

79 1. La droite passe par K (−1 ; − 1) et P (3 ; 1) . On calcule 2. On considère dans ce cas la droite d’équation y = 2x + 1.
m= 1+ 1 1 1
= et −1 = × (−1) + p donc p = − . 1 0 = 2x + 1, c’est-à-dire x = − 1 .
3 +1 2 2 2 2
p
1
L’équation de la droite est y = x − . 1 3. De façon générale, le résultat affiché est x = − si m ≠ 0.
2 2 m
2. On cherche les coordonnées du point H intersection de la 82 1. a.
droite (KP) avec la droite d’équation y = −2x + 12.
⎧⎪ y = −2x + 12
⎩⎪ 2 2
⎧⎪ y = −2x + 12
⎨ y = 1 x − 1 ⇔ ⎨−2x + 12 = 1 x − 1 ⇔ x = 5
⎪
⎩ 2 2
{
y = −2 × 5 + 12
⇔
y=2
x {
=5
H(5 ; 2)
{ {
−2x + 12 ⎧⎪ y = −2x + 12 y = −2 × 5 + 12 y=2
1 x − 1 ⇔ ⎨−2x + 12 = 1 x − 1 ⇔ x = 5 ⇔
x =5
H(5 ; 2)
2 2 ⎪⎩ 2 2
Reste à vérifier que le triangle HPL est bien rectangle en H.
Comme : PL2 = (7 − 3)2 + (−2 − 1)2 = 25 et PH 2 + LH 2 = (5 − 3)2 + (2 − 1)2 + (5 − 7)2 + (2 + 2)2 = 25
− 1) = 25 et PH 2 + LH 2 = (5 − 3)2 + (2 − 1)2 + (5 − 7)2 + (2 + 2)2 = 25,
2
d’après la réciproque du théorème de Pythagore, le triangle

est bien rectangle en H et (LH) est bien la hauteur issue de L.
b. On obtient deux droites, ce qui correspond aux deux équa-
80 1. Le résultat de Thomas est correct, 17 lapins et 32 tions de droites que l’on a rentrées. On obtient toujours deux
poules, cela fait bien 49 têtes et 132 pattes. solutions (les droites sont sécantes) sauf quand r vaut 2,5 où
2. a. B2: =49-A2 , C2: =A2*2+B2*4 , D2: =C2-132 , E2: =D2/2 , les droites sont strictement parallèles.
F2: =B2-D2 , G2 : =49-F2
b.
{
5x + 6 y − 10 = 0 {
5x + 6 y − 10 = 0 {
2. rx + 3y − 4 = 0 ⇔ 2rx + 6 y − 8 = 0 ⇔ 2rx − 5x + 2 = 0 ⇔ (2r −
5x + 6 y − 10 = 0 5x + {
{
rx + 3y − 4 = 0
5x + 6 y − 10 = 0
⇔ {
2rx + 6 y − 8 = 0
5x + 6 y − 10 = 0
⇔ {
2rx − 5x + 2 = 0
5x + 6 y − 10 = 0
⇔ {(2r − 5)x + 2 = 0
5x + 6 y − 10 = 0
Si r = 2,5 le système devient : {
2=0
5x + 6 y − 10 = 0
Le système n’admet aucune solution.
Si r ≠ 2,5 le système devient :
⎧ x = −2 ⎧ x = −2 ⎧ x = −2
⎪ 2r − 5 ⎪ 2r − 5 ⎪ 2r −
⎨ ⇔⎨ ⇔⎨
5 × −2 + 6 − 10 = 0 −10 + − 10(2r − 5) = = 10r
⎪⎩ y ⎪⎩ 6 y 0 ⎪⎩ y
2r − 5 2r − 5 2r − 5 6r
C’est bien Thomas qui a raison, c’est la seule configuration ⎧ x = −2
⎧ x = −2 ⎧ x = −2
qui fonctionne. ⎪ 2r − 5 ⎪ 2r − 5 ⎪ 2r − 5
{
⎨ ⇔⎨ ⇔⎨
x + y = 1350 −2 −10 10(2r − 5) 10r − 20
3. 3x + 5y = 4 190 ⎪ 5 × + 6 y − 10 = 0 ⎪ + 6 y − = 0 ⎪ y =
⎩ 2r − 5 ⎩ 2r − 5 2r − 5 ⎩ 6r − 15
Avec x = 1 000 , on obtient y = 350 dans ce cas 83 1. Comme la droite n’est pas parallèle à l’axe des ordon-
3x + 5y = 4 750, il y a 4 750 − 4 190 = 560 en trop. nées, elle est sécante avec les droites d’équations x = 0 et

x = 1. On note respectivement A(0, y ) et B(1, y ) les points
Cela fait donc 560 = 280 de trop pour le y . On a donc
A B
5−3 d’intersection.
y = 350 − 280 = 70 et x = 1 000 + 280 = 1280. 2. a. f ( x A ) = ( yB − yA ) × 0 + yA = yA
et f ( x B ) = ( yB − yA ) × 1+ yA = yB donc A et B appartiennent
81 1. La fonction renvoie une valeur approchée au centième à la courbe.
de l’abscisse du point d’intersection d’une droite d’équation b. La droite considérée est donc la représentation graphique
y = mx + p avec l’axe des abscisses. x est l’abscisse de ce de la fonction affine f ( x) = ( yB − yA ) × x + yA .
point.
84 2. 2,5 × 80 + 20 = 220, la courbe passe donc bien par ce

Questions Va piano point.
Cela signifie qu’un appartement de 80 m2 se vend 220 000 €.
1. y
3. On résout l’équation :
220
2,5x + 20 = 180 ⇔ x = 180 − 20 = 64 .
2,5
Avec 180 000 €, il pourra acheter au maximum 64 m2.
50
80
0 50 x

Questions Moderato 5. Aymeric a donc passé 2h30 sur l’autoroute et 1h30 sur les
routes secondaires.
1. La droite passe par A(30 ; 95) et B (50 ; 145). On calcule
m = 145 − 95 = 2,5 et 95 = 2,5 × 30 + p donc p = 20.
50 − 30 Questions Moderato
L’équation de la droite est y = 2,5x + 20.
1. v = d ⇒ 110 = d ⇒ t = d et t' = d ' comme t + t' = 4 ,
2. y = 2,5 × 75 + 20 = 207,5 : un appartement de 75 m2 est
t t 100 70
estimé à 207 500 €. d d '
on obtient que + = 4.
3. On résout l’équation 2,5x + 20 = 200 ⇔ x = 200 − 20 = 72.
100 70
2,5
2. Comme d + d ' = 380, on obtient le système :
Avec 200 000 €, elle peut acheter jusqu’à 72 m2 donc 70 m2.
Questions Allegro
⎪⎧d + d ' = 380 ⎪⎧d ' = 380 − d
⎨ d + d ' = 4 ⇔ ⎨ d + 380 − d = 4 ⇔ d = 275
⎩⎪110 70 ⎩⎪110 70
d ' = 380 − 275
⇔
d ' = 105
d = 275 { {
{ {
⎪⎧ d + d ' = 380 ⎪⎧ d ' = 380 − d d ' = 380 − 275 d ' = 105
1. On détermine l’équation de la droite ( AB) avec A(30⎨ ; d95) d ' ⇔⎨ d 380 − d ⇔ ⇔
⎪⎩110 + 70 = 4 ⎪⎩110 + 70 = 4 d = 275 d = 275
et B (50 ; 145).
On calcule m = 145 − 95 = 2,5 et 95 = 2,5 × 30 + p donc 3. Il a parcouru 275 km sur autoroute et 105 km sur routes
50 − 30 secondaires.
p = 20 donc l’équation de la droite est y = 2,5x + 20.
y = 2,5 × 80 + 20 = 220 ≠ 190 donc la droite ne passe pas par
le point C (80 ;190). Questions Allegro
Ce tableau ne correspond donc pas à une fonction affine. On note t et d le temps et la distance sur autoroute et t’ et d’
2. On détermine l’équation de la droite ( BC ) avec B (50 ; 145) le temps et la distance sur routes secondaires à l’aller.
et C (80 ; 190). On sait que t + t' = 4 et d + d ' = 380 ⇔ 110t + 70t' = 380.
On calcule m = 190 − 145 = 1,5 et 145 = 1,5 × 50 + p donc On résout donc le système :
80 − 50
p = 70 donc l’équation de la droite est y = 1,5x + 70 .
Avec cette estimation, un appartement de 100 m2 se vendra
t + t' = 4
110t + 70t' = 380
⇔
t' = 4 − t
110t + 70(4 − t) = 380
⇔ {
t' = 4 − 2,5
t = 2,5
⇔ {
t' = 1,5
t = 2,5 { {
{ { { {
y = 1,5 × 100 + 70 = 220 000 €. t + t' = 4 t' = 4 − t t' = 4 − 2,5 t' = 1,5
⇔ ⇔ ⇔
85 110t + 70t' = 380 110t + 70(4 − t) = 380 t = 2,5 t = 2,5
d = 110 × 2,5 = 275 et d = 70 × 1,5 = 105.
Questions Va piano Au retour, sa vitesse est de 110 − 20 = 90 sur autoroute, il
1. v = d ⇒ 110 = d ⇒ d = 110t fait les 275 km en 275 = 55 heures.
t t 90 18
2. d ' = 70t' Au retour, sa vitesse est de 70 − 20 = 50 sur route, il fait les
3. On sait que t + t' = 4 et d + d ' = 380 ⇔ 110t + 70t' = 380.
4. On résout donc le système : 105 km en 105 = 21 heures.
50 10
t + t' = 4
110t + 70t' = 380
⇔
t' = 4 − t
110t + 70(4 − t) = 380
⇔
t' = 4 − 2,5
t = 2,5
⇔ Il
{
t = 2,5 { 18 10 {
1,5 parcouru les 380 km en 55 + 21 = 232 = 5,15 heures
t'a=donc
45 {
{ { {
à la vitesse moyenne de v = 380 ≈ 73 km.h−1.
t + t' = 4 t' = 4 − t t' = 4 − 2,5 t' = 1,5 5,15
⇔ ⇔ ⇔
110t + 70t' = 380 110t + 70(4 − t) = 380 t = 2,5 t = 2,5

Information
10 chiffrée et
statistique
descriptive
1 1. 65 4 La moyenne signifie que si on réduit toute l’entreprise à

2. 12 un salarié, il gagne 2 480 €.
3. 415 La médiane signifie que la moitié des salariés gagnent moins
4. 100 de 1 984 €.
5. 225 L’étendue signifie que la différence entre le salaire le plus
élevé et le salaire le plus bas est de 2 738 €.
2 1. 7,8 %
2. 0,3 5 1. 15 %
3. 10 2. 186
3. 198°
3 1. 153
2. 164 6 1. 83 jeunes.
3. 157,6 2. 18,1 % ont moins de 12 ans.
4. 151
5. 161,5
Situation 1 Préparer les soldes

1 Un article qui valait 40 € soldé à 30 % vaut 28 €.
2 =C1*0,3
3 =C1-C2
4 Tous les prix ont été multipliés par 0,7.

5 Le prix était de 75 €.
6 La baisse est de 40 %. On applique donc pour un prix P donné, le calcul :
P – 0,40P = P(1 – 0,4) = P × 0,6.
Situation 2 Étudier une population de bactéries

Pendant les trois premières heures, les bactéries ont progressé de :
1,25 × 1,25 × 1,30 = 2,031 25.
Elles ont donc plus que doublé.
Les deux dernières heures, les bactéries ont baissé de 0,8 × 0,7 = 0,56. Elles ont donc baissé de 44 %.
Chapitre 10 Information chiffrée et statistique descriptiv 157

Situation 3 Notes à un DS commun
25 + 57 + ... + 1× 18
1 a. Classe A : moyenne = = 9,8
35
Classe B : moyenne = 0,04 × 4 + 0,16 × 6 + … + 0,04 × 20 = 11,4
b. On ne peut pas calculer la moyenne globale, car on ne connaît pas l’effectif de la classe B.
2 a.
2de A
Note 5 7 8 9 10 11 12 14 16 18
Effectif 2 5 6 5 6 3 4 1 2 1
Effectif cumulé croissant 2 7 13 18 24 27 31 32 34 35
2 B
de
Note 4 6 9 10 11 12 13 15 17 20
Fréquence 4% 16 % 12 % 8% 20 % 8% 8% 12 % 8% 4%
Fréquence cumulée croissante 4 20 32 40 60 68 76 88 96 100
b. La médiane pour la classe A est la 18 note, soit 9.
e
La médiane pour la classe B est celle qui est telle que 50 % de la série lui soit inférieur ou égal. C’est donc 10.
c. On ne peut pas calculer la médiane globale, car on ne connaît pas la répartition des notes dans chaque série.
Situation 4 Découpage d’une liste de températures

1 On ordonne la liste dans l’ordre croissant. La médiane est 18.
2 Q1 = 16
3 Q3 = 21
Travaux pratiques
TP 1 Performances au handball
1 a.
b. n contient l’effectif de la valeur a.

c. L’instruction renvoie la fréquence de la valeur a.
2 a.
Il a marqué 127 buts.

b.
Le nombre moyen de buts par match est 5,08.
TP 2 Déterminer un taux d’inflation

1 P’ = 1 + ( 100a ) P
2 P’’ = (1 + a )(1 + b ) P
100 100
158 Chapitre 10 Information chiffrée et statistique descriptiv

3
TP 3 Lancers de dés
1 a.
b. L’affichage est 3.
2 a.
b.
c.
TP 4 Étudier le prix de vente du lait

1 =C2-B2
2 =C2/B2
3 =PRODUIT(C4:I4) . On trouve 1,114 5, soit une augmentation de 11,45 %.
TP 5 Étude statistique en grande surface

1
TI Casio
2 Il y a eu 6 jours où le nombre de ballons vendus a été de 14 ces jours-là.

3

Automatismes
Calcul mental 7 1. La médiane de la série de 7 valeurs est la 4e valeur,

soit 11. Q1 = 6 ; Q3 = 14.
1 1. La fréquence de gain à ce jeu est égale à : 3 .
10 2. La médiane de la série de 8 valeurs est la moyenne des 4e
2. La fréquence des droitiers en France est égale à :
et 5e valeurs, soit 12 + 78 = 45. Q1 = 4 ; Q3 = 342.
88 % = 0,88. 2
3. La fréquence de Français ne parlant aucune langue étran-
Réflexes
gère est égale à : 4 .
10
4. La fréquence des filles dans la classe de ma voisine est 8 1. Vrai, car augmenter une quantité de 100 % revient à la
égale à : 3 . multiplier par 1 + 100 = 2.

5 100
2. Faux, car augmenter une quantité de 400 % revient à la
2 1. Le nombre de sportifs réguliers est égal à : 40 × 30 = 12.
100 multiplier par 1 + 400 = 5.
150 100
2. = 50 % des 300 passagers d’un avion annoncent avoir
300 3. Faux, car baisser une quantité de 15 % revient à la multi-
peur lors du décollage.
plier par 1 – 15 = 0,85.
3. Le nombre d’externes dans le lycée est égal à : 100
20 × 1 000 = 200. 4. Vrai, car augmenter une quantité de 7 % revient à la multi-
100
plier par 1 + 7 = 1,07.
100
3 1. Le prix final du pantalon est égal à :
9 1. Non, car la moyenne est comprise entre les deux
( )
70 × 1− 20 = 70 × 0,8 = 56 €.
100 valeurs extrêmes.
2. Le prix final du produit est égal à : 2. Pas nécessairement (voir exemple de l’exercice 6).
3. Pas nécessairement (voir exemple 2 de l’exercice 7).
( )
250 × 1 + 10 = 250 × 1,1 = 275 €.
100 4. Oui, par exemple dans la série : 5,5 ; 9 ; 9 ; 9,5 ; 10 ; 10 ; 10.
5. Oui, par exemple dans la série : 9 ; 9 ; 9 ; 10.
4 La proportion des plus de 70 ans dans ce village est égale
10 1. Si on augmente toutes les notes d’un point, alors la
2 400
à : 60 × 40 = = 24 %. moyenne augmente également d’un point (linéarité de la
100 100 10 000
moyenne).
5 1. La valeur finale de la quantité est égale à : 2. Il n’est pas possible que toutes les notes soient inférieures à
( ) ( )
200 × 1 + 10 × 1− 10 = 200 × 1,1 × 0,9 = 198.
100 100
la moyenne, car la moyenne est comprise entre la plus grande
et la plus petite note.

2. La valeur finale de la quantité est égale à :
11 1. 1 ; 1 ; 1 ; 1.
( ) ( )
500 × 1 + 20 × 1 + 10 = 500 × 1,2 × 1,1 = 660.
100 100 2. 1 ; 1 ; 100 000.
1 + 0 + (−16)
3. 1 ; 0 ; –16. Médiane = 0 et moyenne = = –5.
6 La moyenne de l’élève est égale à : 3
4. –4 ; 4.
13 + 16 + 14 = 43 ≈ 14,3. 5. 4 ; 4 ; 4.
3 3
Exercices
12 1. La population étudiée est l’ensemble des voitures 13 1. 6 385 opérations quotidiennes en France en 2016
vendues par une entreprise. étaient des chèques (en milliers).
La sous-population étudiée est l’ensemble des voitures 2. 30 465 ≈ 0,542 5 ≈ 54,25
56 156 100
électriques.
Les paiements par virement représentent environ 54,25 %
2. 1 605 000 = 0,15 = 15 du total des montants quotidiens.
10 700 000 100
Les voitures électriques représentent 15 % de la population 3. 30 465 est la proportion de paiements par virement dans
56 156
totale. les opérations quotidiennes en France en 2016.

14 1. La population étudiée est l’ensemble des logements Le dollar a augmenté de 2,8 %.
français au 1 janvier 2017 (hors Mayotte).
er 1,13
b. Entre janvier 2017 et janvier 2019, on a : ≈ 1,056.
2. Les sous-populations étudiées sont l’ensemble des rési- 1,07
5,6
dences principales, celui des résidences secondaires et celui Or 1,056 = 1 + 0,056 = 1 + .
100
des logements vacants. Le dollar a augmenté de 5,6 %.
3. 8, 4 × 35,7 = 2,998 8
100 21 On note x le prix unitaire du produit avant remise, P1 le
Au 1er janvier 2017, il y avait 2,998 8 millions de logements prix unitaire avec la 1re offre et P2 celui avec la 2de offre.
vacants en France (hors Mayotte).
Avec la 1re offre, 2x = 3P1, soit P1 = 2 x .
3
15 On note x le nombre total d’insectes dans cette
population. Avec la 2de offre, x + 1 x = 2P2, soit 3 x = 2P2, soit P2 = 3 x.
2 2 4
1,5 x = 2 000, soit x = 2 000 × 100 ≈ 133 333. Donc, si on considère le prix unitaire payé, la 1re offre est plus
100 1,5 intéressante.
Il y a environ 133 333 insectes dans cette population. Mais si on considère le prix total payé par l’acheteur, il paye
davantage avec la 1re offre, mais il a plus de produit !
16 1. 30 × 60 = 1 800 = 0,18 = 18 = 18 %
100 100 10 000 100 22 1. L’algorithme calcule le coefficient multiplicateur corres-
2. 50 × 50 = 2 500 = 0,25 = 25 = 25 % pondant à deux évolutions successives.
100 100 10 000 100 2. a. L’algorithme affiche la valeur :
= 0,008 = 0,8 = 0,8 %
( )( )
3. 1 × 80 = 80
100 100 10 000 100 1 + 10 1− 12 = 1,1 × 0,88 = 0,968.
100 100
17 Il s’agit du coefficient multiplicateur correspondant à une
hausse de 10 % suivie d’une baisse de 12 %.
Garçons Filles Total Si on note T le pourcentage d’évolution global, on a :
5 × 800 7 × 1 200 1 + T = 0,968, soit T = –0,032, soit T = –3,2.
100 100 40 + 84 100 100
Chez eux
= 40 = 84 = 124 Donc le pourcentage d’évolution associé à une hausse de
10 % suivie d’une baisse de 12 % est une baisse de 3,2 %.
À 20 × 800 15 × 1 200 160 + 180 b. L’algorithme affiche la valeur :
l’étranger 100
= 160
100
= 180
= 340
( )( )
1 + 32 1 + 32 = 1,32² = 1,742 4.
100 100
Autre Il s’agit du coefficient multiplicateur correspondant à deux
800 – 40 – 160 1 200 – 84 – 180 600 + 936 hausses successives de 32 %.
région
= 600 = 936 = 1 536 Si on note T le pourcentage d’évolution global, on a :
française
800 + 1 200 1 + T = 1,742 4, soit T = 0,742 4, soit T = 74,74.
Total 800 1 200 100 100
= 2 000 Donc le pourcentage d’évolution associé à deux hausses
1. 75 % des garçons partent dans une autre région que la leur. successives de 32 % est une hausse de 74,74 %.
c. L’algorithme affiche la valeur :
2. 180 = 0,09 = 9 , donc 9 % de la population totale sont
( )( )
2 000 100
1− 5 1− 30 = 0,95 × 0,7 = 0,665.
des filles partant à l’étranger. 100 100
Il s’agit du coefficient multiplicateur correspondant à une
18 1. 250 + 35 = 285, donc il y a 285 salariés dans l’entreprise baisse de 5 % suivie d’une baisse de 30 %.
après le recrutement. Si on note T le pourcentage d’évolution associé, on a :
2. 35 = 0,14 = 14 , donc les embauches représentent 1 + T = 0,665, soit T = –0,335, soit T = –33,5.
250 100 100 100
14 % de l’effectif des salariés de 2018. Donc le pourcentage d’évolution associé à une baisse de 5 %
3. 285 + 12 = 297, donc il y aura 297 salariés dans l’entreprise suivie d’une baisse de 30 % est une baisse de 33,5 %.
en 2020.
V − VI 15,8 23 1. Faux, car augmenter un prix de 20 %, puis le diminuer
4. t = F = 297 − 250 ≈ 0,158 ≈ de 20 % revient à le multiplier par :
VF 297 100
Donc le taux d’augmentation du nombre de salariés entre
2018 et 2020 est d’environ 15,8 %.
( 100 ) ( 100 )
1 + 20 × 1− 20 = 1,2 × 0,8 = 0,96 ≠ 1.
2. Vrai, car augmenter un prix de 60 %, puis le diminuer de
40 % revient à le multiplier par :
19 t = VF − VI = –0,15, donc le prix du téléviseur a baissé
VF
de 15 % dans le magasin 1, baisse plus importante que celle
( 100 ) ( 100 )
1 + 60 × 1− 40 = 1,6 × 0,6 = 0,96, ce qui correspond
au coefficient multiplicateur de la question 1.
du magasin 2.
20 a. Entre janvier 2017 et janvier 2018, on a : 1,10 ≈ 1,028.

1,07
( ) ( 100 ) = 1,25 × 1,1 = 1,375
24 1. 1 + 25 × 1 + 10
100
Or 1,028 = 1 + 0,028 = 1 +
2,8 . 2. (1 + 30 ) × (1− 30 ) = 1,3 × 0,7 = 0,91
100 100 100

( ) ( )
3. 1− 42 × 1− 8 = 0,58 × 0,92 = 0,533 6
100 100
3. La fréquence des véhicules quittant la ville sur la tranche
horaire 19 h-20 h est égale à : 900 ≈ 0,14 ≈ 14 %.
(
4. 1 + 2
100 ) ( )
× 1− 1 = 1,02 × 0,99 = 1,009 8
100
6 400
4. La fréquence des véhicules quittant la ville entre 16 h et
6 400 − 800
25 On note x le prix initial fixé par l’antiquaire. Son bénéfice 20 h est égale à : = 0,875 = 87,5 %.
6 400
est alors égal à : 20 × x = 0,2x. 32 1. a. La moyenne est égale à : 74 = 14,8.
100 5
Le coût est donc 0,8x. b. La moyenne est égale à : 2 = 0,25.
Ce prix baisse de 20 %. Donc le prix après les soldes est égal à : 8
2. Par linéarité de la moyenne, on ajoute aussi 6 à la moyenne
( )
1− 20 x = 0,8x.
100 pour obtenir 20,8.
Donc le bénéfice de l’antiquaire est nul. 3. Par linéarité de la moyenne, on multiplie la moyenne par 2
et on lui enlève 5 pour obtenir –4,5.
26 Le fleuriste a tort car habituellement, il vend ses orchidées
33 On note x le chiffre d’affaires que le vendeur doit réaliser
par pot.
(100 )
6 × 1 + 30 = 7,8 € et réalise donc un bénéfice de 1,8 € au 4e trimestre pour obtenir un chiffre d’affaires trimestriel
moyen de 87 000 €.
100 (
Après les soldes, chaque pot est vendu 7,8 × 1− 25 = 5,85 €. ) 92 400 + 78 800 + 82 200 + x
4
= 87 000
Donc le fleuriste perd 0,15 € par pot. 253 400 + x
⇔ = 87 000
4
27 1. La fréquence de filles dans la classe de Martin est égale ⇔ 253 400 + x = 4 × 87 000
à: 12 = 12 .
12 + 13 25 ⇔ x = 348 000 – 253 400 ⇔ x = 94 600
2. La fréquence de garçons dans la classe de Nina est égale à : 34 Le nombre moyen d’appareils connectés à internet par
7 ≈ 47 %. foyer est égal à :
15 0 × 0,06 + 1 × 0,14 + 2 × 0,2 + 3 × 0,26 + 4 × 0,04 + 5 × 0,12
3. La fréquence de filles dans l’ensemble des deux classes est + 6 × 0,12 + 7 × 0,06 = 3,22.
égale à : 12 + 8 = 50 %.
25 + 15 35 1. Le prix moyen du billet payé par les membres du club
28 1. est égal à : 5 × 54 + 8 × 96 + 12 × 123 ≈ 9,21.
54 + 96 + 123
Couleur Rouge Jaune Bleu Vert Noir 2. Le pourcentage des membres du club qui ont payé le prix
le plus élevé est égal à : 123 ≈ 0,451 ≈ 45,1 %.
10 × 45 15 × 45 54 + 96 + 123
Effectif 45 81 25 9 25
=2 = 27 36 1. On prend le centre de chaque classe. La distance
moyenne qui sépare l’entreprise du domicile des employés
Fréquence 81× 25 9 × 25
25 45 10 45 15 est égale à : 2,5 × 20 + 10 × 60 + 22,5 × 105 ≈ 16,28 km.
en % 20 + 60 + 105
= 45 =5

2. D’après la calculatrice, σ ≈ 7,43.
2. On étudie la couleur des boules. C’est donc un caractère 3. x – 2σ ≈ 1,42 et x + 2σ ≈ 31,14.
qualitatif. Le pourcentage d’employés pour lesquels la distance séparant
l’entreprise de leur domicile appartient à [ x − 2σ; x + 2σ]
29 1. =SOMME(B2:F2) est égal à 100 %.
2. = B2 ou B2/$G2 37 1. La fréquence des valises pesant plus de 15 kg est égale à :
1 556
30 1. Cette fonction renvoie le nombre d’élèves ayant une 25 + 86 = 0,888.
25 + 86 + 14
note supérieure ou égale à 10. 2. On prend le centre de chaque classe. La masse moyenne
2. d’une valise dans cet avion est égale à :
12,5 × 14 + 17,5 × 25 + 22,5 × 86 = 20,38.
14 + 25 + 86
38 1. Vrai : la somme est 13 × 20 = 260.
2. Faux : si le plus jeune a 3 ans, le deuxième a 10 ans et le troi-
sième a 11 ans, la moyenne des âges est 8 ans et non 7 ans.
3. Faux. Par exemple, pour la série 2 ; 2 ; 6 ; 8 ; 1.
Moyenne globale : 19 = 3,8.
5
31 1. La population étudiée est l’ensemble des véhicules qui Moyenne du groupe 2 ; 2 : 2 ; moyenne du groupe 6 ; 8 ; 1 : 5.
quittent la ville entre 16 h et 22 h. Demi-somme des moyennes des deux groupes : 3,5.
2. On étudie la tranche horaire durant laquelle les véhicules 4. Vrai : linéarité de la moyenne.
quittent la ville. C’est un caractère quantitatif continu. 5. Faux : elle augmente de 0,6.

39 1. D’après la calculatrice, Me = 9,5, Q1 = 9 et Q3 = 11. 2. D’après la calculatrice, x ≈ 9,81 et σ ≈ 1,34.
Au moins 25 % des souris ont une taille inférieure ou égale La taille moyenne des souris est environ égale à 9,81 cm.
à 9 cm. 3. D’après la linéarité de la moyenne, si la taille de chaque
Au moins 50 % des souris ont une taille inférieure ou égale souris augmente de 1 cm, la moyenne augmente aussi
à 9,5 cm. de 1 cm. Donc la nouvelle moyenne sera environ égale à
Au moins 25 % des souris ont une taille supérieure ou égale 10,81 cm.
à 11 cm.
Exercices
40 1. Si cette évolution reste la même, comme il y a 4 ans entre
2019 et 2023, le SMIC horaire brut en 2023 sera égal à :
Variables
10,03 × 1,0184 ≈ 10,77.
i 1 2 3 4
43 Club 1 : il y a 65 × 400 = 260 garçons médaillés et
pop 3 000 2 940 2 881 2 824 2 767 100
60 × 280 = 168 filles médaillées.
2. La fonction compte le nombre d’habitants restant au bout 100
de n années. Club 2 : il y a 95 × 200 = 190 garçons médaillés et
100
41 1. On range les 12 valeurs dans l’ordre croissant : 8 ; 10 ; 90 × 340 = 306 filles médaillées.
100
11 ; 12 ; 12 ; 12 ; 15 ; 18 ; 20 ; 22 ; 22 ; 22. Sur l’ensemble, il y a donc 168 + 306 = 474 filles médaillées
Comme N = 12 est pair, la médiane pour la série des filles est sur 280 + 340 = 620.
donc la moyenne de la N = 6e et de la N + 1 = 7e valeurs : Donc le pourcentage de filles médaillées sur l’ensemble est
2 2
12 + 15 = 13,5. égal à : 474 ≈ 76,45 %.
2 620
N Sur l’ensemble, il y a donc 260 + 190 = 450 garçons médaillés
2. = 3, donc Q1 est la 3e valeur, soit Q1 = 11. sur 400 + 200 = 600.
4
3N = 9, donc Q est la 9e valeur, soit Q = 20. Donc le pourcentage de garçons médaillés sur l’ensemble
4 3 3
3. On range les 13 valeurs dans l’ordre croissant : 3 ; 7 ; 8 ; 14 ; est égal à : 450 = 75 %.

600
14 ; 15 ; 16 ; 18 ; 22 ; 22 ; 22 ; 36 ; 43. Donc le second journaliste a raison.
Comme N = 13 est impair, la médiane pour la série des
44 1.
garçons est donc la N + 1 = 7e valeur : Me = 16.
2
4. N = 3,25, donc Q1 est la 4e valeur, soit Q1 = 14.
4 2.
3N = 9,75, donc Q est la 10e valeur, soit Q = 22.
4 3 3
5. On compare la médiane des filles et le premier quartile 45 On note x le prix d’un repas sans la TVA.
( )
des garçons (valeurs assez proches) : au moins 25 % des filles
passent moins de 13,5 h par semaine devant la télévision, Avec une TVA à 7 %, il coûte 1 + 7 × x = 1,07x au
100
alors qu’au moins 50 % des garçons y passent un temps consommateur.
similaire.
consommateur.
(
Avec une TVA à 10 %, il coûte 1 + 10 × x = 1,1x au
100 )
42 1. a. L’évolution du SMIC horaire brut entre 2015 et 2016 Le pourcentage d’évolution entre ces deux TVA est égal à :
VF − VI 9,67 − 9,61 VF − VI 1,1x − 1,07x 1,1− 1,07
est égale à : = ≈ 0,62 %. = = ≈ 2,8 %.
VI 9,61 VI 1,07x 1,07
b. L’évolution du SMIC horaire brut entre 2016 et 2017 est Donc l’affirmation du restaurateur est fausse.
V − VI 9,76 − 9,67
égale à : F = ≈ 0,93 %. 46 1. Le salaire mensuel moyen des ouvriers de l’entreprise
VI 9,67
c. L’évolution du SMIC horaire brut entre 2018 et 2019 est A est égal à : 260 000 = 1 300 €.
200
V − VI 10,03 − 9,88
égale à : F = ≈ 1,52 %. Le salaire mensuel moyen des ouvriers de l’entreprise B est
VI 9,88
2. Le pourcentage d’évolution du SMIC horaire brut entre égal à : 132 000 = 1 100 €.
120
10,03 − 9,61 Le salaire mensuel moyen des ouvriers de l’entreprise A est
2015 et 2019 est égal à : ≈ 4,37 %.
9,61 donc supérieur à celui des ouvriers de l’entreprise B.
3. Si le SMIC horaire brut augmente de 1,8 % à partir de 2019, 2. Le salaire mensuel moyen des cadres de l’entreprise A est
1,8
alors il sera multiplié chaque année par 1 + = 1,018. égal à : 97 200 = 2 700 €.
100 36

Le salaire mensuel moyen des cadres de l’entreprise B est Comme N = 30 est pair, la médiane est donc la moyenne de
égal à : 177 000 = 2 950 €. la N = 15e et de la N + 1 = 16e
60 2 2
Le salaire mensuel moyen des cadres de l’entreprise A est Médiane = 80 + 80 = 80
inférieur à celui des cadres de l’entreprise B. 2
3. Le salaire mensuel moyen des employés de l’entreprise A est b. N = 7,5, donc Q1 est la 8e valeur, soit Q1 = 73.
4
égal à : 260 000 + 97 200 + 97 200 + 47 500 = 1 673 €. 3N = 22,5, donc Q est la 23e valeur, soit Q = 84.
200 + 54 + 36 + 10 4 3 3
Le salaire mensuel moyen des employés de l’entreprise B est L’écart interquartile est Q3 – Q1 = 11.
égal à : 132 000 + 18 000 + 177 000 + 31 800 = 1 794 €. 4. a. Le nombre moyen de bpm de cette classe est égal à 79,5.
120 + 12 + 60 + 8
b. Le nombre moyen de bpm sur l’ensemble des deux classes
Donc le salaire mensuel moyen des employés de l’entreprise
B est supérieur à celui des employés de l’entreprise A. est égal à : 30 × 79,5 + 20 × 74 = 77,3.
30 + 20
4. L’écart type des salaires mensuels des ouvriers de l’entre-
prise A est environ égal à 733 €.
49 Le nombre de clients ayant noté l’établissement est égal
L’écart type des salaires mensuels des ouvriers de l’entreprise à : 8 + 14 + 20 + 55 + 126 + 93 = 316.
B est environ égal à 941 €. 1re condition vérifiée, car le pourcentage de clients ayant
5. Entreprise A : x – 2σ ≈ –166 et x + 2σ ≈ 2 766. donné une note inférieure ou égale à 1 est égal à :
Seuls les cadres ont un salaire mensuel moyen hors de l’in- 8 + 14 ≈ 7 %.
tervalle [ x − 2σ; x + 2σ] . Donc le pourcentage d’employés 316
dont le salaire mensuel moyen appartient à [ x − 2σ; x + 2σ] 2e condition vérifiée, car le pourcentage de clients ayant
200 + 54 + 36 donné une note supérieure ou égale à 3 est égal à :
est égal à : ≈ 96,7 %.
200 + 54 + 36 + 10 55 + 126 + 93 ≈ 87 %.
Entreprise B : x – 2σ ≈ –88 et x + 2σ ≈ 3 676. 316
Seuls les cadres ont un salaire mensuel moyen hors de l’in- 3e condition vérifiée, car la moyenne des notes données par
tervalle [ x − 2σ; x + 2σ] . Donc le pourcentage d’employés les clients est égale à :
dont le salaire mensuel moyen appartient à [ x − 2σ; x + 2σ] 8 × 0 + 14 × 1 + 20 × 2 + 55 × 3 + 126 × 4 + 93 × 5 ≈ 3,8.
316
est égal à : 120 + 12 + 60 = 96 %.
120 + 12 + 60 + 8 Les trois conditions étant respectées, l’hôtel obtient la
mention « Très bien ».
47 1. On note x le salaire de l’employé supplémentaire.
1 200 × 12 + x 14 400 + x 50 1. a. Le troisième quartile est égal à 11. Donc au moins
= 1 200 + 50 ⇔ = 1 250
13 13 75 % des élèves de la classe A ont une note inférieure ou
⇔ 14 400 + x = 16 250 ⇔ x = 1 850
2. On note x le salaire de l’employé supplémentaire. égale à 11. Or 75 × 30 = 22,5, donc au moins 23 élèves de
100
1 200 × 12 + x
13 (
= 1 + 2 × 1 200
100 ) la classe A ont une note inférieure ou égale à 11, soit au plus
7 élèves ont eu une note supérieure ou égale à 12. Donc cet
14 400 + x élève fait partie des 10 premiers.
⇔ = 1 224
13 b. Au moins 75 % des élèves ont obtenu une note inférieure
⇔ 14 400 + x = 15 912 ⇔ x = 1 512

ou égale à 13. Or 75 % de 33 est égal à 24,75. Donc au moins
48 1. La population étudiée est l’ensemble des élèves d’une 25 élèves ont obtenu une note inférieure ou égale à 13. Donc
classe de Seconde. au plus 8 élèves ont obtenu une note supérieure à 13. On ne
Le caractère étudié est leur rythme cardiaque au repos peut donc pas savoir pour cet élève de 2de B.
(nombre de battements par minute). 2. En comparant les notes extrêmes des deux classes, on peut
2. a. La fréquence des élèves ayant un nombre de bpm de 72 dire que l’élève qui a obtenu la note la plus faible et celui qui
a eu la meilleure note au devoir surveillé sont tous les deux
est égale à : 3 = 10 %.
30 dans la classe A.
La fréquence des élèves ayant un nombre de bpm inférieur L’étendue des notes de la classe B est inférieure à celle de
ou égal à 75 est égale à : 9 = 30 %. la classe A, donc les résultats sont plus homogènes dans la
30 classe A.
La fréquence des élèves ayant un nombre de bpm supérieur En comparant la médiane de la classe B avec le troisième
ou égal à 82 est égale à : 12 = 40 %. quartile de la classe A, on peut dire qu’il y a davantage
30 d’élèves qui ont une note supérieure à 11 dans la classe B
b. L’angle serait de 36 °.
(au moins 50 %, au lieu d’au moins 25 %).
3. a.
51 1.
bpm 69 70 72 73 75 77 78 79
k 3 4 2 9
Effectif 2 1 3 1 2 1 1 2
test Faux Faux Vrai Faux
bpm 80 82 83 84 85 86 88 90 min 3 3 3 2 2
Effectif 5 2 1 2 2 1 3 1

2. 4.
0 × 6 + 1× 9 + 2 × 16 + 3 × 16 + 4 × 12 + 5 × 8 + 6 × 4 + 7 × 1 + 8 × 2 ≈ 3
6 + 9 + 16 + 16 + 12 + 8 + 4 + 1 + 2
53 1. Muriel : e = 0,08 ; x ≈ 11,87 ; Me = 11,88 ; Q1 = 11,87 ;

Q3 = 11,89 et Q3 – Q1 = 0,02.
Quitterie : e = 0,08 ; x ≈ 11,88 ; Me = 11,87 ; Q1 = 11,86 ;
Q3 = 11,91 et Q3 – Q1 = 0,02.
52 1. Marque A : x = 2,6 et σ ≈ 1,62. 2. a. S’il privilégie la régularité, l’entraîneur doit choisir Muriel,
Marque B : x ≈ 3,4 et σ ≈ 1,94. car sa moyenne est meilleure.
2. À la calculatrice : Marque A : Me = 3 et Q3 – Q1 = 5 – 2 = 3. b. S’il cherche à égaler ou battre le record de 11,87 s, l’en-
Marque B : Me = 3 et Q3 – Q1 = 4 – 1 = 3. traîneur doit choisir Quitterie, car sa médiane est égale au
3. Comme les deux marques ont la même médiane et le premier quartile de Muriel : dans au moins 50 % des cham-
même écart interquartile, on compare les moyennes et écarts pionnats, Quitterie a eu une performance inférieure ou égale
type : en moyenne, il y a davantage d’interventions sur la à 11,87 et Muriel ne l’a obtenue que dans au moins 25 %
photocopieuse de la marque B. des cas.
Exercices
54 Une unité du produit coûte un certain prix P. Si, pour le 6e valeur. Donc une série répondant au problème est : 1 ; 1 ;
même prix, on a 25 % de produit en plus, cela signifie que 1 ; 1 ; 1 ; 3 ; 3 ; 3.
1,25 unité coûtera le prix P. Donc pour une unité, le prix est 2. Dans une série avec 5 valeurs, la médiane est la 3e valeur.
Donc pour trouver une série correspondant au problème, on
de P = 0,8P. Le prix unitaire P a baissé de 20 %. fixe la 3e valeur (ici 1) et on choisit les quatre valeurs restantes
1,25
55 1. de façon que les deux premières valeurs soient inférieures
ou égales à la médiane, que les deux dernières soient supé-
Consom Variation rieures ou égales à la médiane et que la somme des 5 valeurs
Prix du Variation
mation relative de soit égale à 50 fois la médiane (ici 50) : 1 ; 1 ; 1 ; 23 ; 24.
Année paquet de relative
(en millions la consom 3. Dans une série avec 7 valeurs, Q1 est la 2e valeur. Donc
cigarettes du prix
d’unités) mation pour trouver une série correspondant au problème, on fixe
2004 5 54 801 la 2e valeur (ici 2) et on choisit les 6 valeurs restantes de
2005 5 0,00 % 55 772 1,77 % façon que la 1re valeur soit inférieure ou égale à la 2e et que
la somme des 7 valeurs soit égale à 7 fois la moitié de Q1
2006 5 0,00 % 54 945 –1,48 %
(ici 7) : –5 ; 2 ; 2 ; 2 ; 2 ; 2 ; 2.
2007 5,35 7,00 % 53 589 –2,47 %
2008 5,5 2,80 % 54 980 2,60 %
57 1. x = 149,98 et σ ≈ 2,01.
2. Les deux premières conditions sont vérifiées d’après la
2009 5,5 0,00 % 54 924 –0,10 % question précédente.
2010 5,65 2,73 % 54 797 –0,23 % La 3 e condition est aussi vérifiée, car x – 2σ ≈ 145,96
2011 5,95 5,31 % 54 108 –1,26 % et x + 2σ ≈ 154.
Seules 3 bouteilles sur 100 ont une contenance hors de l’in-
2012 6,3 5,88 % 51 456 –4,90 %
tervalle [ x − 2σ; x + 2σ] .
2013 6,7 6,35 % 47 527 –7,64 % Donc le pourcentage de valeurs de l’échantillon appartenant
2014 7 4,48 % 45 014 –5,29 % à [ x − 2σ; x + 2σ] est égal à 97 %.
2015 7 0,00 % 45 457 0,98 % Les trois conditions étant respectées, la production de cette
usine semble conforme.
2016 7 0,00 % 44 926 –1,17 %
2. Le taux d’évolution global du prix entre 2004 et 2016 est
58 1. Ce nombre correspond à la somme des valeurs prises
par le caractère.
V − VI
égal à : T = F = 7 − 5 = 40 %. ∑x
VI 5 2. L’effectif total de la classe est égal à : ≈ 27.
x
3. Le taux d’évolution global de la consommation entre 2004
et 2016 est égal à : 3. La nouvelle moyenne est égale à : x = 275 + 19 = 10,5.
28
V − VI 4. Avant de rajouter cette note, l’effectif total était N = 27.
T’ = F = 44 926 − 54 801 ≈ –18 %.
54 801
VI Comme il est impair, la médiane est la N + 1 = 14e valeur. Si on
4. L’affirmation semble valide sur une longue période (de 2
2004 à 2016). Il n’est pas certain que seule la hausse des prix rajoute la note, le nouvel effectif N’ = 28 étant pair, la médiane
entraîne une baisse significative de la consommation. est la moyenne de la N ′ = 14e et la N ′ + 1 = 15e valeur.
2 2
56 1. Dans une série avec 8 valeurs, la médiane est la Comme on ne connaît pas la 15 e valeur, on ne peut pas
moyenne des 4e et 5e valeurs, Q1 est la 2e valeur et Q3 est la calculer la nouvelle médiane.

SYNTHÈSE
Exercices
4 073
59 1. a. Taux d’évolution de 2017 à 2018 : 8,6 ≈ 1,012, soit ⇔x= ⇔ x ≈ 3 954
8,5 1,03
une augmentation de 1,2 % environ. 3. Le taux d’évolution du CAC 40 entre le 1er janvier 2015 et
8,73 le 1er janvier 2019 est égal à :
b. Taux d’évolution de 2018 à 2019 : ≈ 1,008, soit une
8,66 V − VI 4 810 − 4 073
augmentation de 0,8 % environ. T= F = ≈ 18 %.
VI 4 073
8,73
2. Taux d’évolution global de 2016 à 2019 : ≈ 1,027, soit
8,5 65 1.
une augmentation de 2,7 % environ.
Classe
[15 ; 25[ [25 ; 35[ [35 ; 45[ [45 ; 65[
60 Dans l’entreprise A, les salaires ont été multipliés par : d’âge
(1 + 1002 ) × (1 + 1003 ) = 1,050 6. Effectif

Fréquence
64
0,16
176
0,44
91
0,227 5
69
0,172 5
Soit une augmentation de 5,06 %.
Dans l’entreprise B, les salaires ont été multipliés par : 2. 0,16 + 0,44 = 0,60. 60 % des spectateurs avaient moins de
( ) ( )
35 ans.
1 + 4 × 1 + 1 = 1,050 4. 3. En considérant le centre des classes, l’âge moyen des spec-
100 100
Soit une augmentation de 5,04 %. tateurs est égal à :
Donc les salaires ont davantage augmenté dans l’entreprise A. 20 × 64 + 30 × 176 + 40 × 91 + 69 × 55 = 34,987 5.
400
61 1. Le prix de vente d’un pantalon est égal à : L’âge moyen est d’environ 35 ans.
(
25 × 1 + 40 = 35 €.
100 ) 66 1. a. 1 113 – 152 – 143 – 164 – 189 – 157 – 163 = 145 passa-
Le magasin réalise donc une marge de 35 – 25 = 10 € par gers ont emprunté ce vol mercredi.
pantalon. b. Le nombre moyen de passagers par jour est égal à :
100 (
2. Le prix après réduction est égal à : 35 × 1− 25 = 26,25 €.) x =
1 113
7
= 159.
62 Banque A : on note x le montant réellement retiré. 2. On range les données dans l’ordre croissant : 143 ; 145 ;
( )
x × 1 + 2 = 122,4 ⇔ 1,02x = 122,4
100
152 ; 157 ; 163 ; 164 ; 189.
L’effectif total N = 7 est impair. Donc la médiane est la
122, 4 N + 1 = 4e valeur de la série, soit Me = 157.
⇔x= ⇔ x = 120 €
1,02 2
Banque B : on note x le montant réellement retiré. N = 1,75, donc Q est la 2e valeur, soit Q = 145.
x× 1+ ( 3,25
100 )
= 113,575 4 1 1

⇔ 1,032 5x = 113,575 4 3 3
113,575 3. En moyenne, la fréquentation est similaire sur les deux

⇔x= = 11 € lignes.
1,032 5

Par contre, comme la médiane et l’écart interquartile de la
63 On note c le coefficient multiplicateur associé au taux 2e série sont plus faibles que ceux de la 1re série, la fréquenta-
1 tion varie davantage selon le jour de la semaine sur le trajet
réciproque d’une hausse de 20 % : c = ≈ 0,833. Bordeaux-Paris.
1 + 20
100
Ce coefficient multiplicateur correspond à une baisse de
67
(1 – 0,833) ≈ 17 %. Partie 1
La météo marine doit donc annoncer une baisse d’au moins 1. L’effectif total N = 25 est impair. Donc la médiane est la
17 % pour que Vincent puisse sortir en kite. N + 1 = 13e valeur de la série, soit Me = 12.
2
64 1. N = 6,25, donc Q est la 7e valeur, soit Q = 10.
4 1 1
Année 2015 2016 2017 2018 2019
4 3 3
Valeur du CAC 40 2.
4 073 4 317 4 563 5 056 4 810
au 1er janvier x = 3 + 4 + 5 + 2 × 7 + 5 × 10 + 2 × 11 + 5 × 12 + 3 × 13 + 14 + 2 × 15 + 16 + 18 = 11
25
Taux d’évolution Partie 2
par rapport au 1er 1. Indécidable, car la médiane de la classe Rouge est égale à
+3 % +6 % +5,7 % +10,8 % –4,9 %
janvier de l’année 10 et son 3e quartile est 12. Donc on sait seulement qu’il y a
précédente au moins 25 % des élèves de la classe Rouge dont la note est
2. On note x la valeur du CAC au 1er janvier 2014. comprise entre 10 et 12.
( )
x × 1 + 3 = 4 073 ⇔ 1,03x = 4 073
100
2. Faux, car la médiane de la classe Jaune est égale à 12, ce
qui correspond au 3e quartile de la classe Rouge. Donc on

sait seulement qu’il y a au moins 75 % des élèves de la classe 4. Il y a environ 34 valeurs supérieures à la moyenne (si on
Rouge dont la note est inférieure ou égale à 12. prend les valeurs de la classe [200 ; 205[), ce qui correspond
68 1. D’après la calculatrice, x = 201. à 34 ≈ 56,7 % des services.
60
3.
Vitesse Effectif
[190 ; 195[ 13
[195 ; 200[ 13
[200 ; 205[ 14
[205 ; 210] 20
69
Questions Va piano 2. Le pourcentage de nombres premiers baisse régulière-
ment. Entre 99 000 et 100 000, il y en a 8 %.
1. D’après la définition, 1 n’est pas un nombre premier, car il
est supérieur à 2 et parce qu’il n’admet qu’un unique diviseur, 70
lui-même. Questions Va piano
D’après le tableau, 73 est le 21e nombre premier.
501 n’est pas un nombre premier, car il est divisible par 3. Score
D’après le tableau, 397 est le 78e nombre premier. Score
(ordonné)
2. a. La fréquence de la première centaine (entre 1 et 100) est
17 2 Moyenne 13,0666667
égale à 25 soit 25 %.
100 13 3 Q1 7,5
La fréquence de la deuxième centaine (entre 101 et 200) est
égale à 21 soit 21 %. 26 4 Médiane 12
100
3 7 Q3 16,5
La fréquence de la troisième centaine (entre 201 et 300) est
égale à 16 soit 16 %. 12 8 Etendue 26
100
La fréquence de la quatrième centaine (entre 301 et 400) est 26 9
égale à 16 soit 16 %. 7 11
100
La fréquence de la cinquième centaine (entre 401 et 500) est 16 12
égale à 17 soit 17 %. 28 13
100
b. D’après les calculs précédents, leur fréquence ne semble 14 14

pas diminuer régulièrement.
11 16
9 17
Questions Moderato 2 26
1. Cette fonction permet de tester si un nombre entier supé- 4 26
rieur à 2 est premier ou pas.
Elle renvoie 1 si le nombre est premier et 0 sinon. 8 28
2. En utilisant cette fonction dans une boucle, on obtient le
centième nombre premier, qui est 541.
Questions Moderato
Questions Allegro 1. Les valeurs obtenues à l’aide du tableur ne correspondent
pas à celles obtenues à la calculatrice OU ce ne sont pas des
1.
valeurs de la série.
2. a. La somme des scores est égale à 196. Donc, pour
augmenter la moyenne de 1 point, il faut que la somme
augmente de 15 points. Comme on ne veut changer qu’un
score, il faut ajouter 15 à une des valeurs.
b. Dans une série avec 15 valeurs, la médiane est la 8e valeur.
La médiane étant 12, pour l’augmenter de 1 point (c’est-à-
dire arriver à 13, qui est actuellement la 9e valeur), il faut donc
ajouter 15 à l’une des 6 premières valeurs. On peut changer
la première valeur égale à 2 en 17.

Score 2. Pour enregistrer un 16e score tel que la moyenne soit
Score égale à 13,5, il faut que la somme des scores soit égale à
(ordonné)
13,5 × 16 = 216, c’est-à-dire qu’elle augmente de 20 points.
17 3 Moyenne 14,0666667
Il suffit donc de rajouter un score de 20.
13 4 Q1 8,5
Score
26 7 Médiane 13 Score
(ordonné)
3 8 Q3 17 17 2 Moyenne 13,5
12 9 Etendue 25 13 3 Q1 7,75
26 11 26 4 Médiane 12,5
7 12 3 7 Q3 17,75
16 13 12 8 Etendue 26
28 14 26 9
14 16 7 11
11 17 16 12
9 17 28 13
17 26 14 14
4 26 11 16
8 28 9 17
2 20
Questions Allegro 4 26
1. Il suffit d’augmenter de 1 la 5e valeur et de diminuer de 1 8 26
la 12e valeur.
20 28
Score
Score
(ordonné)
17 2 Moyenne 13,0666667
13 3 Q1 7
26 4 Médiane 12
3 6 Q3 17
12 8 Etendue 26
26 9
7 11
16 12
28 13
14 14

11 16
9 18
2 26
4 26
8 28

11 Probabilités
1 1. 1 3 1. 1
2 4
2. Certain. 2. 2
3. Improbable ou peu probable. 5
4. Improbable ou peu probable. 4 La probabilité d’obtenir un 3 vaut 1 .
5. Improbable. 20
6. Impossible. 5 1. 30 personnes.
2. 30 %
2 1. La probabilité que j’ai de gagner à ce jeu vaut 27 .
50 3. 0,15
2. La probabilité qu’un Français choisi au hasard soit droitier
vaut 0,88.
6 1. 23
79
3. La probabilité qu’un Américain choisi au hasard parle 2. 17
anglais en famille vaut 0,3. 79
4. La probabilité qu’un étudiant choisi au hasard ait des diffi-
cultés à trouver un logement vaut 0,6.
Situation 1 Tomber à plat

1 Formule saisie en B14 et recopiée vers la droite : 4 La fréquence de 0 semble se stabiliser autour de 0,33, on
peut donc estimer que la probabilité de tomber sur la partie
=B13/B11
2 d et f. plate est voisine de 1 .
3
3
0,4
0,3
0,2
0,1
0,0
10
30
50
70
90
0
11
21
17
15
25
13
23
19
Fréquence de 0 en fonction du nombre de lancers cumulés
Situation 2 Les jeunes et le portable

1 a. Le jeune choisi ne possède pas de téléphone portable. 3 a. P(L < T) =
33 + 76 + 38 + 2 = 149
– 250 250
b. P(T) = 147 et P(T) = 103 . 147 40 187
250 250 b. P(T) + P(L) = + =
– 250 250 250
c. P(T) = 1 – P(T) On ne retrouve pas le même résultat, car en calculant P(T) + P(L),
–
T est l’ensemble de toutes les issues qui ne sont pas dans T, on prend en compte deux fois les issues qui sont dans T et
ce qui explique que la somme des probabilités de ces deux dans L.
évènements est égale à 1. c. P(L < T) + P(L > T) = P(T) + P(L)
2 P(L > T) =
38 = 19
250 125
Chapitre 11 Probabilités 169
Situation 3 Arbre
1 Banane 2 Il y a 9 issues équiprobables dont 2 correspondent à l’évè-
Jaune Fraise nement « Le client gagne ». La probabilité de cet évènement
Pomme
Banane est donc 2 .
Violet 9
Fraise
Pomme
Banane
Rouge Fraise
Pomme
1 a. A > B = {ωi + 1 ; ωi + 2 ; … ; ωj}
b. A < B = {ω1 ; ω2 ; … ; ωi ; ωi + 1 ; ωi + 2 ; … ; ωj ; ωj + 1 ; ωj + 2 ; … ; ωn} = {ω1 ; ω2 ; … ; ωn}
2 Ce sont les probabilités des issues de A > B.

1 Toutes les issues ont la même probabilité, que l’on notera p.
La somme des probabilités des n issues est égale à 1, donc np = 1, donc p = 1 .
n
1
2 Soit n le nombre d’issues de Ω. La probabilité de chaque issue vaut .
n
La probabilité de A étant égale à la somme des probabilités des issues composant l’évènement A, on a donc :
nombre d’issues de A .
P(A) = nombre d’issues de A × 1 =
n nombre d’issues de Ω

a. Vrai.
b. Faux.
c. Faux.
d. Vrai.
e. Vrai.
f. Vrai.

g. Faux.
Travaux pratiques
TP 1 Les jetons
1 A
B
C
C
C
D
D E
C
D
E
E
E
F
G
2 a.
1
8
b. 0
c. 3
8
170 Chapitre 11 Probabilités

3 a.
i 1 2 3
Pas –1 –1 1
Position C B C
b.
c.
d. On trouve une valeur proche de 1 .

8
TP 2 Paradoxe de Saint-Pétersbourg
1 On mise successivement 1 €, 2 €, 4 €, puis 8 € et on reçoit 16 €. On a donc gagné 1 €.
2 while victoire==False and reserve>0:
3 La valeur renvoyée représente le gain du joueur (mises déduites).
5 On peut conjecturer que la probabilité de gagner de l’argent est d’environ 0,999.
TP 3 Somme des dés

1 Ω = {2 ; 3 ; … ; 12}
2 Il y a 3 façons possibles d’obtenir 4 sur 36 couples possibles de dés, on peut conjecturer que la probabilité d’obtenir 4
est de 3 , soit 1 .
36 12
Remarque : une conjecture correcte n’est pas nécessairement attendue à ce stade de l’exercice.
3 a. En B2 et en B3 : =ALEA.ENTRE.BORNES(1;6)
En B4 : =B2+B3
b. En B6 : =NB.SI($B4:B4;4)

Remarque : en ligne 6, il est préférable de faire afficher le nombre d’apparitions de l’issue 4 sur les n premiers lancers, les
valeurs n étant données en ligne 1. On peut ainsi observer la stabilisation des fréquences en ligne 7.
En B7 : =B6/B1
4 On peut estimer que la probabilité d’obtenir une somme égale à 4 est environ égale à 0,08.
5
Somme 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12
Probabilité 0,03 0,06 0,08 0,11 0,14 0,17 0,14 0,11 0,08 0,06 0,03
6
1 2 3 4 5 6
1 2 3 4 5 6 7
2 3 4 5 6 7 8
3 4 5 6 7 8 9
4 5 6 7 8 9 10
5 6 7 8 9 10 11
6 7 8 9 10 11 12
On constate que pour modéliser cette expérience, il est préférable de choisir un univers dont les issues sont équiprobables,
et de considérer les 11 résultats possibles comme des évènements :
Ω = {(1,1( ; )1,2( ; … ; )6,6)}
Soit A l’évènement « La somme est égale à 4 ».
A = {(1,3) ; (2,2) ; (3,1)}, donc P(A) = 3 = 1 .
36 12
Automatismes
Calcul mental c. On ne connaît ni le nombre d’élèves ni la pointure des

élèves qui correspondrait aux différentes issues de l’univers.
1 Comme la somme des fréquences est toujours égale à 1, d. Ω correspond à l’ensemble des douze couples associés au
pour calculer la fréquence manquante, on calcule : lancer de pièce et à la face du dé obtenue.
1 – 0,21 – 0,4 – 0,18 = 0,21. Ω = {(P ; 1) ; (P ; 2) ; (P ; 3) ; (P ; 4) ; (P ; 5) ; (P ; 6) ; (F ; 1) ; (F ; 2) ;
Issue 1 3 4 7 (F ; 3) ; (F ; 4) ; (F ; 5) ; (F ; 6)}
Fréquence 0,21 0,4 0,21 0,18 Chaque issue a la même probabilité égale à 1 .
12
– 5 1. Soit l’évènement A : « Prendre son train en retard ».
2 1. P(A) = 1 – P(A) = 1 – 0,4 = 0,6
–

2. P(B) = 1 – P(B) = 1 – 0,8 = 0,2 P(A) = 1 .
3. P(A < B) = P(A) + P(B) – P(A > B) 10
2. Soit l’évènement B : « Avoir un accident de la route l’an
= 0,4 + 0,8 – 0,5 = 0,7
4. P(A < B) = 1 – P(A < B) = 0,3 prochain ». P(B) = 5 = 1 .
100 20
3 1. P(« rouge ») = 0,1 + 0,3 = 0,4 3. L’évènement C « Les gagnants à la loterie ont tenté leur
chance » est un évènement certain.
2. P(« 2 ») = 0,3 + 0,1 + 0,2 = 0,6
3. P(« bleu et 2 ») = 0,2 6 a. On considère les évènements V : « La carte tirée est un
4. P(« vert ou 1 ») = P(« vert ») + P(« 1 ») – P(« vert et 1 ») valet » et P : « La carte tirée est un pique ».
= 0,3 + 0,1 + 0,1 + 0,3 + 0 – 0,3 On a équiprobabilité. Donc :
= 0,5
P(V) = nombre de valets = 4 = 1
nombre total de cartes 32 8
Réflexes P(P) = nombre de piques = 8 = 1 .
nombre total de cartes 32 4
4 a. Lorsqu’on lance cette pièce 2 fois successivement, b. On considère les évènements A : « La carte tirée n’est ni
Ω comporte 4 issues possibles : un as ni un cœur ».
Ω = {(P ; P) ; (P ; F) ; (F ; P) ; (F ; F)}. Dans un jeu de 32 cartes, il y a 8 cœurs et 4 as, soit 11 cartes
(car il ne faut pas compter deux fois l’as de cœur).
Chaque issue a la même probabilité égale à 1 .
4 On a équiprobabilité. Donc :
b. Ω correspond aux deux couleurs possibles, c’est-à-dire
deux issues possibles : Ω = {bleu, rouge}. P(A) = nombre de cartes n’étant ni un as ni un cœur
nombre total de cartes
P(« rouge ») = 2 P(« bleu ») = 3 = 32 – 11 = 21
5 5 32 32

7 a. Un tableau ou un diagramme. 8 1. On lance une pièce de monnaie équilibrée, puis un dé
b. Un tableau. cubique non truqué.
c. Un arbre. 2. L’expérience aléatoire comporte 12 issues :
Ω = {(P ; 1) ; (P ; 2) ; (P ; 3) ; (P ; 4) ; (P ; 5) ; (P ; 6) ; (F ; 1) ; (F ; 2),
(F ; 3) ; (F ; 4) ; (F ; 5) ; (F ; 6)}
Exercices
9 L’univers Ω est composé de trois secteurs, il y a donc trois 15 1. Nine a la plus grande probabilité de tirer une boule
issues possibles à cette expérience aléatoire : rouge puisqu’elle n’a que des boules rouges.
Ω = {vert, beige, rouge}. 2. La probabilité qu’Anis tire une boule rouge est :
On détermine la loi de probabilité associée à l’expérience :
P = 10 = 10 = 1 .
P(« vert ») = 1 10 + 30 40 4
2 On cherche x le nombre de boules noires que Nine doit avoir
P(« beige ») = P(« rouge ») = 1
4 pour que la probabilité qu’elle tire une boule rouge soit P = 1 .
4
10 Situation n° 1 : Tomber sur le 6 est un évènement certain Donc P = 5 = 1 , donc 5 × 4 = 5 + x ⇔ x = 20 – 5 = 15.
de probabilité 1, les autres évènements sont donc des évène- 5+x 4
Il faut que Nine ait 15 boules noires pour qu’elle ait une
ments impossibles de probabilité nulle.
Cette situation est représentée par la loi de probabilité C. probabilité égale à 1 de tirer une boule rouge.
4
Situation n° 2 : Le dé n’étant pas truqué, c’est une situation 16 1.
d’équiprobabilité, donc chaque issue a une probabilité égale
Issue Secteur 1 Secteur 2 Secteur 3 Secteur 4
à 1.
6 1 2=1 4=1 1
Cette situation est représentée par la loi de probabilité A. Probabilité
8 8 4 8 2 8
Situation n° 3 : La somme de toutes les faces du dé est égale
à 21. La probabilité de la face étant proportionnelle à son 2. P(A) = 2 + 1 = 3
8 8 8
numéro, on a alors :
3. P(B) = + 2 + 4 = 7
1
P(« 1 ») = 1 P(« 2 ») = 2 8 8 8 8
21 21 4.
P(« 3 ») = 3 1
= P(« 4 ») = 4
21 7 21
5 Secteur
P(« 5 ») = P(« 6 ») = 6 = 2 2
21 21 7
Secteur
Cette situation est représentée par la loi de probabilité B. 3
Secteur
11 1
Secteur
Issue Noire Blanche Rouge Autre 4
41 73 28 = 7 58 = 29
Probabilité
200 200 200 50 200 100 17 Il y a 4 + 3 + 2 + 1 = 10 jetons.
P(« Autre ») = 200 – (41 + 73 + 28) = 58 1. P(A) = 1 + 3 = 4 = 2

200 200 10 10 10 5
12 1. P(« Tirer une boule blanche ») = 2. P(B) = 3 + 4 = 7
nombre de boules blanches = 12 = 3 10 10 10
–
nombre total de boules 20 5 18 1. O
2. –
2. V : « La neige n’est pas verglacée ».
3. O < V : « La piste est ouverte ou la neige est verglacée ».
– –
4. O > V : « La piste est fermée et la neige n’est pas verglacée ».
19 On a équiprobabilité. Donc :
1. P(H) = nombre de jetons portant une consonne = 6 = 2
nombre total de jetons 9 3
2. P(F > G) = nombre de jetons carrés portant la lettre B =2
nombre total de jetons 9
13 On note x la probabilité d’obtenir « Face ». La probabilité
d’obtenir « Pile » est donc égale à 3x. 3. P(F > K) = nombre de jetons carrés et triangulaires = 0 = 0
Comme la somme de toutes les probabilités est égale à 1, on nombre total de jetons 9
a : x + 3x = 1 ⇔ 4x = 1 ⇔ x = 1 . 3 6
4. P(F < H) = P(F) + P(H) – P(F > H) = + – = 2 7
4 9 9 9 9
La probabilité d’obtenir « Face » est donc égale à 1 , et celle
4 5. P(H < K) = P(H) + P(K) – P(H > K) = 6 + 2 – 2 = 6 = 2
d’obtenir « Pile » à 3 . 9 9 9 9 3
4
14 a. P3 b. P5 c. P4 d. P1 e. P2

20 1. P(A) = nombre de mots finissant par un r = 5 23 1. 20 élèves font les deux options.
nombre total de mots 8 80 – 20 = 60 élèves ne font que l’option A.
2. P(B) = nombre de mots finissant par un e = 3 180 – 20 = 160 élèves ne font que l’option B.
nombre total de mots 8 300 – 60 – 20 – 160 = 60 élèves ne font aucune option.
3. P(A > B) = nombre de mots ayant un e et finissant par un r
nombre total de mots Option A Option B
=2=1 80 80
8 4
4. P(A < B) = P(A) + P(B) – P(A > B) 60 20 160
=5+3–2=6=3 60
8 8 8 8 4
–
5. P(A) = 1 – P(A) = 1 – 5 = 3
8 8 2. a. P(A) = nombre d’élèves faisant l’option A = 60 = 1
– nombre total d’élèves 300 5
21 1. Faux : P(A) = 1 – P(A)
= 1 – 0,52 = 0,48 ≠ 0,6. b. P(A > B) = nombre d’élèves faisant les deux options
nombre total d’élèves
2. Faux : P(A < B) = P(A) + P(B) – P(A > B)
= 0,2 + 0,5 – 0,1 = 0,6 ≠ 0,8. = 20 = 1
300 15
3. Faux : P(A < B) = P(A) + P(B) – P(A > B) c. P(A < B) = P(A) + P(B) – P(A > B)
= 1 + 1 – 1 = 1 ≠ 13 .
3 7 7 3 21 = 60 + 160 – 20 = 240 = 4
– 300 300 300 300 5
4. Faux : P(A) = 1 – P(A) = 1 – 0,4 = 0,6
–
et P(B) = 1 – P(B) = 1 – 0,2 = 0,8. 3. P(A) + P(B) = 80 + 180 = 260 = 13
P(A < B) = P(A) + P(B) – P(A > B) 300 300 300 15
On ne retrouve pas le résultat de la question 2.c, car dans
= 0,6 + 0,8 – 0,1 = 1,3 ≠ 0,8.
les évènements A et B, il y a les élèves ayant choisi les deux
22 P(C1 < C2) = P(C1) + P(C2) – P(C1 > C2) options, ils sont donc comptés deux fois.
= 0,76 + 0,59 – 0,47 = 0,88
24 À la gare, sur deux guichets A et B, l’un au moins est
toujours ouvert, donc P(A < B) = 1.
On a P(A < B) = P(A) + P(B) – P(A > B),
donc P(A > B) = P(A) + P(B) – P(A < B)
P(A > B) = 0,73 + 0,54 – 1 = 0,27.
La probabilité que les deux guichets soient ouverts est de
0,27.
25 1.
Acceptée Refusée Total
Valable 95 000 – 1 900 = 93 100 2 × 95 000 = 1 900 100 000 – 5 000 = 95 000
100
Non valable 5 000 – 1 000 = 4 000 20 × 5 000 = 1 000 5 × 100 000 = 5 000
100 100

Total 93 100 + 4 000 = 97 100 1 900 + 1 000 = 2 900 100 000
2. a. On a équiprobabilité. Donc : 27 L’univers est composé de 50 issues.

P(A) = nombre de pièces acceptées = 97 100 = 971 . Homme Femme Total
nombre total de pièces 100 000 1 000
b. Le risque de l’acheteur est : Droitier 28 17 45
nombre de pièces non valables et acceptées = 4 000 Gaucher 2 3 5
nombre de pièces acceptées 97 100 Total 30 20 50
= 40 . 1. P(« Droitier ») = 45
Le risque du vendeur est : 971 50
2. P(« Femme ») = 20 =2
nombre de pièces valables et refusées = 1 900 = 19
50 5
nombre de pièces refusées 2 900 29
3. P(« Femme droitière ») = 17
26 a. P(S) = 40 = 2 50
100 5 28 1. La première épreuve comporte 3 issues.
–
b. P(T) = 25 = 1 2. La deuxième épreuve comporte 4 issues.
100 4 3. L’expérience aléatoire comporte 3 × 4 = 12 issues.
c. P(S > T) = 30 = 3
100 10
d. P(S < T) = P(S) + P(T) – P(S > T) = 40 + 75 – 30 = 85
100 100 100 100

29 1. 0,2 0,40 On a équiprobabilité. Donc :
0,2 0,5
1,0
0,70
1,20 P(A) = nombre d’issues de A = 12 = 3
nombre total d’issues 20 4
0,2 0,40
0,2 0,5 0,70 31 1. V
1,0 1,20 V R
Ω
0,2 0,70 B
0,5 0,2 0,70 V
1,0 1,50 R R
0,2 1,20 B
1,0 0,2 1,20 V
0,5 1,50 B R
2. Il y a 12 issues possibles. B
P(A) = 2 = 1 2. Il y a 9 tirages possibles : (V ; V) ; (V ; R) ; (V ; B) ; (R ; V) ; (R ; R) ;
12 6 (R ; B) ; (B ; V) ; (B ; R) ; (B ; B).
–
P(B) = P(A) = 1 – 1 = 5 3. E1 = {(V ; R) ; (V ; B) ; (R ; V) ; (B ; V)}
6 6
P(C) = 3 = 1 nombre d’issues de E1 4
12 4 Donc P(E1) = = .
nombre total d’issues 9
P(D) = 6 = 1 E2 = {(V ; V) ; (V ; R) ; (V ; B) : (R ; V) ; (B ; V)}
12 2
30 1. nombre d’issues de E2 5
L2 Donc P(E2) = = .
N1
L1
N2 32 1. L’arbre commence par 5 branches (une pour chaque
N3 lettre).
L1 Au deuxième niveau, il n’y a plus que 4 branches à suivre
N1 (une lettre en moins).
L2
N2 Au troisième niveau, il n’y a plus que 3 branches à suivre
N3 (encore une lettre en moins).
L1 Cela fait finalement 5 × 4 × 3 = 60 « mots » formés.
L2 2. On obtient une seule fois le mot TAS, sa probabilité est
N1
N2 donc égale à 1 .
N3 60
On obtient une seule fois le mot MAT, sa probabilité est donc
L1
L2 égale à 1 .
N2 60
N1 3. Les anagrammes de SAM sont SAM, SMA, ASM, AMS, MAS
N3 et MSA. Cela fait 6 issues.
L1
La probabilité d’obtenir un anagramme de SAM est donc
L2
N3
N1 égale à 6 = 1 .
60 10
N2
2. On note A : « On obtient un chocolat de chaque sorte ».

L’évènement A a 12 issues :
(L1 ; N1) ; (L1 ; N2) ; (L1 ; N3) ; (L2 ; N1) ; (L2 ; N2) ; (L2 ; N3) ; (N1 ; L1) ;
(N1 ; L2) ; (N2 ; L1) ; (N2 ; L2) ; (N3 ; L1) ; (N3 ; L2).
Exercices
33 1. La probabilité de choisir un billet de 500 € sachant que l’urne
Sport Loisir est verte est : P = 1 .
155 105 235 10
La probabilité de choisir une urne rouge est : P = 2 .
10
La probabilité de choisir un billet de 500 € sachant que l’urne
2. a. On note S : « La personne pratique un sport » et L : « La
personne a une activité de loisir ». est rouge est : P = 2 .
5
–
P(S) = 235 = 47 La probabilité de choisir une urne orange est : P = 1 .
500 100 10
– – 500 – (155 + 105 + 235) La probabilité de choisir un billet de 500 € sachant que l’urne
b. P(S > L) = = 5 = 1
500 500 100 est orange est : P = 1 .
3
34 Il y a 7 + 2 + 1 = 10 urnes. Donc la probabilité de tirer un billet de 500 € est :
7 1 2 2 1 1 11
La probabilité de choisir une urne verte est : P = 7 . P= × + × +
10 10 10 5 10 3 60
× = .
10

35 On a P(A) = 0,36. 2. Second cas.
P(B) = 0,23
P(A > B) = 0,15
P(A < B) = P(A) + P(B) – P(A > B)
= 0,36 + 0,23 – 0,15 = 0,44
Donc P(A < B) = 1 – P(A < B) 40 1. Réponses b et d, car P(E) = P({1}) + P({3}) + P({5})
–
= 1 – 0,44 = 0,56. = 0,15 + 0,2 + 0,4 = 0,75 et P(E) = 1 – P(E) = 0,25.
La probabilité qu’un client n’achète aucun des deux articles 2. Réponse c, car P(E > F) = P({1}) + P({3}) = 0,15 + 0,2 = 0,35.
est 0,56. 3. Réponse a, car P(E < F) = P({1}) + P({3}) + P({5}) + P({2})
= 0,15 + 0,2 + 0,4 + 0,1 = 0,85.
36 4. Réponse d, car P(F) = P({1}) + P({2}) + P({3})
2 4 8 16 32 64 = 0,15 + 0,1 + 0,2 = 0,45.
2 4 6 10 18 34 66
41 1.
4 6 8 12 20 36 68
8 10 12 16 24 40 72 Blanches Rouges Jaunes Total
16 18 20 24 32 48 80 Jacinthes 45 50 30 125
32 34 36 40 48 64 98 Tulipes 105 200 70 375
64 66 68 72 80 96 128 Total 150 250 100 500
P(« Multiple de 16 ») = nombre de sommes multiples de 16 2. P(J) = 125 = 0,25

nombre total des sommes 500
4 150
= =1 P(B) = = 0,3
36 9 500
37 Cette fonction choisit aléatoirement un entier entre 1 et P(T) = 375 = 0,75
500
1 000, puis retourne « blanche » quand il est compris entre
1 et 575 ou « noire » quand il est compris entre 576 et 1 000. P(R) = 250 = 0,5
500
La fréquence des boules blanches est donc égale à :
3. P(J > B) = 45 = 0,09
575 = 0,575, et celle des boules noires à 0,425. 500
1 000 125 + 150 – 45 = 0,23
S’il y a 17 boules noires, il y a 17 = 40 boules au total, et P(J < B) =
0,425 500
–
donc 40 – 17 = 23 boules blanches. P(B) = 1 – P(B) = 1 – 0,3 = 0,7
38 1. Il y a 8 issues possibles : (P ; P ; P) ; (P ; P ; F) ; (P ; F ; P) ; 4. P(J < B) = 200 + 70 = 0,54

500
(P ; F ; F) ; (F ; P ; P) ; (F ; P ; F) ; (F ; F ; P) ; (F ; F ; F). C’est la probabilité de n’avoir ni une jacinthe ni une fleur
2. On a équiprobabilité, donc : blanche.
P(A) = nombre d’issues de A = 1 P(J > B) = 1 – P(J > B) = 1 – 45
= 1 – 0,09 = 0,91
P(B) = 3
C’est la probabilité de ne pas avoir une jacinthe blanche.
8
P(J > B) = 200 + 70 = 0,54

P(C) = 7 500
8
3. A : « Léa n’obtient pas trois faces », donc : C’est la probabilité de ne pas avoir de jacinthe et de ne pas
avoir de fleur blanche.
P(A) = 1 – P(A) + 1 – 1 + 7 .
8 8 P(J < B) = 375 + 250 + 100 – 200 – 70 = 0,91
500
39 1. Premier cas. C’est la probabilité de ne pas avoir de jacinthe ou de ne pas
avoir de fleur blanche.
On remarque que P(J < B) = P(J > B) et que P(J > B) =
P(J < B).
42
Natation Volley-ball
12 13 7
1. On note N : « L’élève pratique la natation » et V : « L’élève

pratique le volley-ball ».
a. P(N < V) = 28 – 13 = 15
28 28
b. P(N > V) = 12 + 7 + 13 – 28 = 4 = 1
28 28 7

43 On représente la situation par un tableau à double entrée. 2. a.
Pas de
Défaut B Total
défaut B
Défaut A 30 50 80
Pas de défaut A 80 840 920
Total 110 890 1 000
– –
A : « L’appareil n’a pas le défaut A » avec P(A) = 920 = 23 .
1 000 25
– –
B : « L’appareil n’a pas le défaut B » avec P(B) = 890 = 89 .
1 000 100 b. D’après la simulation de l’expérience aléatoire 1 000 fois,
A < B : « L’appareil a le défaut A ou le défaut B » avec on suppose que le résultat le plus probable est une différence
P(A < B) = P(A) + P(B) – P(A > B). égale à 1.
Donc P(A < B) = 80 + 110 – 30 = 160 = 4 46 Premier algorithme : Dans une urne, on a 2 boules
1 000 1 000 1 000 1 000 25
blanches et 3 boules noires. On tire au hasard une boule, on
Le contraire de « A ou B » est « Ni A ni B », a gagné si elle est blanche. La probabilité de gagner est de
– –
donc P(A > B) = 1 – P(A < B) = 21 . 1 et celle de perdre de 4 .
25 5 5
44 1. On pourrait représenter la situation par un arbre. Second algorithme : On lance une pièce équilibrée. Si on
1re 2e 3e obtient « Face », on a perdu.
personne personne personne Si on obtient « Pile », on lance un dé cubique équilibré. Si
obtient « 1 », on gagne, sinon on a perdu.
1 1
1 5 2
3
P
4
2 5
6
Ω 3
F…
La probabilité de gagner est égale à :
4 1 = 1 .
5 47 1.
5 –
T T Total
2. a. Il y a 5 × 5 × 5 = 125 issues possibles.
Il y a 5 issues possibles qui permettent aux trois personnes C 8 9 17
–
de descendre au même étage. C 2 81 83
Donc P = 5 = 1 . Total 10 90 100
– 125 25 2. a. C > T : « La personne achète un lot de chaises et une
b. A : « Les personnes ne descendent pas toutes au même
table ».
étage ».
–
3. B : « Aucune personne ne sort au 5e étage ». P(C > T ) = 8 = 2
Si aucune personne ne sort au 5 e étage, il y a – 100 25
b. C > T : « La personne achète un lot de chaises mais
4 × 4 × 4 = 64 issues possibles. n’achète pas de table ».
– –
Donc P(B) = 64 P(C > T) = 9
125 100
–
P(B) = 1 – P(B) = 1 – 64 = 61 . 3. a. C < T : « La personne a acheté au moins l’un des deux
125 125 articles ».
45 1. a. On entre en B2 la formule suivante : b. P(C < T ) = P(C) + P(T) – P(C > T)
=ALEA.ENTRE.BORNES(1;6) = 17 + 10 – 8 = 19
On entre en C2 la formule suivante : 100 100 100 100
=ALEA.ENTRE.BORNES(1;6) 48 1. Non, car si deux personnes tirent leur prénom, la troi-
b. On entre en D2 la formule suivante : sième aussi.
=MAX(B2;C2) – MIN(B2;C2) 2.
Prénom tiré Prénom tiré Prénom tiré
par Alexia par Stéphanie par Benoît
Stéphanie Benoît
Alexia
Benoît Stéphanie
Alexia Benoît
Stéphanie
Benoît Alexia
Alexia Stéphanie
Benoît
Stéphanie Alexia

a. On note A : « Tout le monde gagne » d’où P(B) = 3 = 1 .
6 2
P(A) = nombre d’issues de A = 1 . c. On note C : « Personne ne gagne » d’où
b. On note B : « Une seule personne gagne » d’où P(C) = 2 = 1 .
6 3
Exercices
49 On détermine l’aire du carré ABCD : AireABCD = 4 m2. 52 On note A : « La somme des trois pièces est supérieure
On détermine l’aire du demi-disque : Airedemi-disque = π , car ou égale à 0,75 € ».
2 D’où P(A) = nombre d’issues de A = 12 = 1 .
le rayon du demi-disque est de 1 m et l’aire d’un disque est nombre total d’issues 24 2
donnée par la formule π × rayon2.
1re 2e 3e
On détermine l’aire des quarts de disque : pièce tirée pièce tirée pièce tirée Somme
Airequart-disque = π , or on considère le rectangle associé à ces 0,1 0,4
4 0,1
0,5 0,8
deux quarts de disque, l’aire des parties colorées est donc : 0,1 0,4
0,2 0,1
Airerectangle –2 × Airequart-disque. 0,5 0,8
0,1 0,8
( )
Airelogo = π + 2 – 2 × π = π + 2 – π = 2
0,5
0,1 0,8
2 4 2 2 0,1 0,4
La probabilité cherchée est donc égale à : 0,2
0,5 0,8
Airelogo 0,2 0,4
=1.
0,1 0,1
0,5 0,7
AireABCD 2 0,1 0,7
50 1. a. 0,5
0,2 0,8
0,1 0,4
0,2
0,5 0,8
0,2 0,4
0,1 0,1
0,5 0,7
0,2 0,8
0,5
0,1 0,7
0,1 0,8
0,2
0,1 0,8
0,2 0,8
0,5 0,1
0,1 0,7
0,2 0,8
0,1
0,1 0,7
b. Face
Face
Pile 53 On note R1, R2 et B les jetons du sac, et R’, B’1 et B’2 les
Face
Face
Pile jetons du chapeau.
Pile
R’
Face
Face R1 B’1

Pile
Pile B’2
Face
Pile
Pile R’
R2 B’1
P(A) = 1 – P(« Obtenir 3 “Pile” ») = 1 – 1 = 9 B’2
8 8
2. R’
B2 B’1
B’2
On a 9 issues équiprobables, dont 4 correspondent à l’évè-

nement « Tirer deux jetons de la même couleur », donc la
probabilité est 4 .
9
51 1. Il y a 8 × 4 = 32 issues équiprobables.
2. C1 > B : « Le jeton tiré provient de l’urne C1 et il est blanc ».
P(C1 > B) = 4 = 1
32 8
3. P(B) = 2 × 2 + 5 × 1 + 1 × 3 = 12 = 3
32 32 8
4. La probabilité serait identique.

SYNTHÈSE
Exercices
54 L’univers admet 2 400 issues, chaque issue étant Il y a 10 × 9 = 90 issues possibles et 5 × 5 × 2 = 50 issues qui
équiprobable. permettent d’obtenir un produit négatif.
1. a. H > V : « Le vélo choisi est un vélo homme et un vélo
Donc la probabilité cherchée est : 50 .
sport ». 90
b. P(H) = 1 320 = 11 (1er tableau par sexe) Comme 50 . 5 , il vaut donc mieux faire le pari d’obtenir
2 400 20 90 10
1 300 un produit négatif en tirant successivement et sans remise
P(V) = = 13 (1er tableau par type de vélo) deux cartons que d’obtenir un nombre négatif en tirant un
2 400 24
seul carton.
P(H > V) = 500 = 5 (1er tableau par sexe)
2 400 24 57 1. Il y a 23 = 8 issues.
c. P(H ¯ V) = P(H) + P(V) – P(H > V) 1
1
= 1 320 + 1 300 – 500 = 2 120 = 53 1
2
2 400 2 400 2 400 2 400 60 1
2
1 080 2
2. P(F) = = 9 (2e tableau par sexe) 1
2 400 20 1
2
P(V > H > P1) = 300 = 1 (on peut prendre n’importe lequel 2
1
2 400 8 2
du 1er tableau de chaque catégorie) 2
P(S > H > P2) = 640 = 4 2. P = 2 = 1

2 400 15 8 4
55 • Obtenir 3 fois la même face quand on lance trois fois 58 1. Il y a 36 issues :
une pièce de monnaie équilibrée : Dé 1 1 2 3 4 5 6
F Dé 2
F
P 1 (1 ; 1) (2 ; 1) (3 ; 1) (4 ; 1) (5 ; 1) (6 ; 1)
F
F
P 2 (1 ; 2) (2 ; 2) (3 ; 2) (4 ; 2) (5 ; 2) (6 ; 2)
Ω P
F 3 (1 ; 3) (2 ; 3) (3 ; 3) (4 ; 3) (5 ; 3) (6 ; 3)
F
P 4 (1 ; 4) (2 ; 4) (3 ; 4) (4 ; 4) (5 ; 4) (6 ; 4)
P
F 5 (1 ; 5) (2 ; 5) (3 ; 5) (4 ; 5) (5 ; 5) (6 ; 5)
P
P
6 (1 ; 6) (2 ; 6) (3 ; 6) (4 ; 6) (5 ; 6) (6 ; 6)
Il y a 8 issues possibles et 2 issues permettant d’obtenir 3 fois
2. a. On note A : « La somme des deux dés est égale à 12 ».
la même face, donc on a P = 2 = 1 . On a équiprobabilité, d’où :
8 4
• Obtenir 2 fois le même nombre quand on lance deux fois P(A) = nombre d’issues de A = 1 .
un dé cubique équilibré : nombre total d’issues 36
1 b. D’après le tableau, le résultat le plus probable est :
2 « La somme des deux dés est égale à 7 ».
3
1 c. On note B : « La somme des deux dés est impaire ».
4
5 On a équiprobabilité, d’où :
6
1 P(B) = nombre d’issues de B = 18 = 1 .
2
3 59 Cette expérience peut consister à lancer deux dés
2
4
5 cubiques équilibrés.
3 Si leur somme est impaire, on lance une pièce équilibrée, si
6
4
5 on obtient « Pile », on gagne.
6
1 2 3 4 5 6
En faisant l’arbre, on s’aperçoit qu’il y a 36 issues possibles et
1 2 3 4 5 6 7
qu’il y a 6 issues permettant d’obtenir 2 fois le même nombre,
2 3 4 5 6 7 8
donc : P = 6 = 1 .
36 6 3 4 5 6 7 8 9
Donc on a plus de chances d’obtenir 3 fois la même face 4 5 6 7 8 9 10
quand on lance 3 fois une pièce de monnaie équilibrée que 5 6 7 8 9 10 11
d’obtenir 2 fois le même nombre quand on lance 2 fois un 6 7 8 9 10 11 12
dé cubique équilibré.
Il y a 36 sommes possibles, et pour chaque somme deux
56 Il y a 10 cartons et sur 5 cartons figure un nombre négatif, issues : « Pile » ou « Face ».
donc la probabilité d’obtenir un nombre négatif en tirant un Soit 72 issues au total.
seul carton est : 5 = 1 . Pour gagner, il faut une somme impaire et un « Pile », soit
10 2 18 possibles.
Pour que le produit soit négatif, il faut que l’on tire un La probabilité de gagner est donc égale à :
carton figurant un nombre positif, puis un carton figurant 18 = 1 .
un nombre négatif ou le contraire. 72 4
60
En simulant avec un tableur, il semble que la somme la plus 62 1.

probable soit 8. –
S S Total
On a réalisé une feuille avec le lancer de 3 dés avec :
T 560 30 590
B1 =ALEA.ENTRE.BORNES(1;4) . –
On a ensuite calculé la somme des dés : B1 + B2 + B3. T 140 270 410
Puis les effectifs : =NB.SI($B4:AE4;3) . Total 700 300 1 000
61 En partant du point R, elle arrive donc à son premier point, 2. P(S > T) = 560 = 14
1 000 25
le point C, ensuite elle doit partir sur une des 3 arêtes.
On peut représenter la situation par un arbre pour en déduire 63 1.
les différentes issues possibles. Attrape Ouvre Allume
On note : Rat Total
le fromage une trappe une lumière
C : « La fourmi arrive sur le sommet C ». Dressé 36 7 17 60
A : « La fourmi arrive sur le sommet A ».
Sauvage 18 4 18 40
B : « La fourmi arrive sur le sommet B ».
H : « La fourmi arrive sur le sommet H ». Total 54 11 35 100
D : « La fourmi arrive sur le sommet D ». 2. a. D’après le tableau, P(A) = 0,54 et P(B) = 0,60.
E : « La fourmi arrive sur le sommet E ». b. A > B est l’évènement « Le rat choisi est dressé et capable
F : « La fourmi arrive sur le sommet F ». d’attraper le fromage ».
G : « La fourmi arrive sur le sommet G ». P(A > B) = 0,36
E c. A ¯ B est l’évènement « Le rat choisi est dressé ou capable
A B d’attraper le fromage ».
D P(A ¯ B) = P(A) + P(B) – P(A > B)
E
B F B = 0,54 + 0,60 – 0,36 = 0,78
–
G d. A est l’évènement « Le rat choisi n’est pas capable d’at-
G traper le fromage ».
C B –
D P(A) = 1 – P(A) = 1 – 0,54 = 0,46
E 3. a. On teste 10 rats.
F G b. K contient le nombre de rats qui savent attraper le fromage.
B L contient le nombre de rats qui savent ouvrir la trappe.
G
G C D M contient le nombre de rats qui savent allumer la lumière.
B
E

H G
D
E
A B
D
G
D C D
B
D
H G
E
L’arbre dénombre 27 issues pour le 4e sommet rencontré :
P(« Le point E est le 4e sommet rencontré ») = 6 .
27

64
Questions Va piano
1. On a le choix entre 10 abscisses et 10 ordonnées pour le
point A : 10 × 10 = 100.
Il y a 100 choix possibles pour le point A.
2. On a OA = xA2 + yA2 .
A appartient à la zone rouge si OA < 10, donc xA2 + yA2 < 10.
3.
4. Il y a 69 points qui sont dans la zone rouge, donc P = 69 . Questions Allegro

100
5. Aire de la zone rouge = πr = 25π et aire du carré = 100.
2
1. On choisit au hasard n couples de réels x et y appartenant
4 à [0 ; 10].
Donc P = 25π π
= et P = 69 , donc π = 69 × 4 ≈ 2,76. Parmi ces couples, on calcule la fréquence de ceux qui
100 4 100 100 correspondent à des points de la zone rouge c’est-à-dire qui
6. Cette méthode ne donne pas une bonne approximation
vérifient x2 + y2 , 100.
puisque l’on ne prend que très peu de points. Plus on prendra
2. a.
de points plus l’approximation sera bonne.
Questions Moderato
1. A est dans la zone rouge si OA < 10, c’est-à-dire
x 2 + y2 < 10 .
2.
Avec mille lancers, on obtient une estimation de l’aire égale

à 78,7.
b. Un quart de cercle de rayon 10 a pour aire 1 × π × 102 = 25π.
4
Pour obtenir une estimation du nombre π, il suffit de diviser
par 25 la valeur obtenue à la question précédente.
2
3. 3. Cette fois-ci, il faut que y2 , x .
10
Nombre de points 100 1 000 10 000
Fréquence 0,8 0,775 0,785
4. On en déduit que l’aire rouge vaut environ :
0,785 × 10 × 10 ≈ 78,5.
5. La surface rouge est un demi-cercle de rayon 10, son aire
vaut 1 × π × 102 ≈ 78,5.
4
Le résultat obtenu avec l’algorithme fournit une bonne
approximation de l’aire.
Avec un grand nombre d’itérations, on obtient que l’aire est

environ égale à 33,4.

12 Échantillonnage
1 2. Faux : cela revient à multiplier par 0,9.
3. Faux : cela revient à la multiplier par 0,9, puis par 1,15, soit
Résultat 1 2 3 4 5 6
par 1,035, ce qui correspond à une hausse de 3,5 %.
Effectif 0,157 0,193 0,15 0,174 0,161 0,165 4. Faux : cela revient à le multiplier par 0,9, puis par 1,1, soit
par 0,99, ce qui correspond à une baisse de 1 %.
2 C’est la phrase b.
5 1. 50
3 1. 0,54 2. 0,2
2. 0,76
3. 0,78
6 1. p [ [0,6 ; 0,8]
2. q [ [0,5 ; 0,7]
4 1. Vrai : une augmentation de t % correspond à un coef-
3. r [ [0,3 − 1 ; 0,3 + 1 ]
ficient multiplicateur de 1 + t . n n
100
Situation 1 Lancers d’une pièce

1 a. La formule permet de simuler le lancer d’une pièce équilibrée, car on a une chance sur 2 d’obtenir 0 et une chance sur
2 d’obtenir 1.
b. =NB.SI(B2:B101;1)/100
c. Au regard des échantillons, une fréquence de « Pile » égale à 0,44 ne semble pas exceptionnelle, la réflexion de Bertrand
n’est donc pas pertinente.
d. En B103 : =NB.SI.ENS(102:102;”.=0,4”;102:102;”,=0,6”)/200
On pourra faire constater aux élèves que ce pourcentage est presque toujours au moins égal à 95 %.
2 a. et b. On pourra faire constater aux élèves que ce pourcentage est presque toujours au moins égal à 95 %.
c. La fréquence théorique de « Pile » est 0,5. On constate que plus la taille des échantillons est grande, plus les fréquences
observées dans les échantillons sont proches de cette fréquence théorique.
Situation 2 Étude démographique

1 En B2 : =SI(ALEA(),0,5;“G”;“F”)
En B66 : =NB.SI(B2:B65;“G”)/NB.SI(B2:B65;“F”)
2 Pour répondre au problème posé, on peut calculer le pourcentage de villes dont le sexe-ratio est supérieur à celui constaté
dans cette ville du Mexique, soit 37 .

27
On peut constater que dans les simulations, ce pourcentage est presque toujours supérieur à 10 %. Ce sexe-ratio ne semble
donc pas exceptionnel, et le hasard seul peut tout à fait expliquer cette observation statistique.
Chapitre 12 Échantillonnage 183

Travaux pratiques
TP 1 Réussir en mathématiques
1 Cette fonction permet de simuler un échantillon de 50.
k : numéro de l’élève tiré au sort dans l’échantillon.
tirage : nombre entier aléatoire entre 1 et 4, qui permet de simuler le tirage au sort d’un élève de la classe (si tirage contient
1, 2 ou 3, l’élève pense qu’il est important de réussir en mathématiques, si tirage contient 4, c’est le contraire).
math : nombre d’élèves qui pensent qu’il est important de réussir en mathématiques.
frequence : fréquence d’élèves qui pensent qu’il est important de réussir en mathématiques.
2 Voici un exemple de réponse possible, qui affiche les fréquences des 100 échantillons.
Pour aller plus loin, on peut aussi programmer une fonction qui compte le nombre d’échantillons dont la fréquence se trouve
entre deux bornes a et b données.
3 On peut par exemple compter combien d’échantillons ont une fréquence entre 0,7 et 0,8 : on en trouve environ la moitié.
On pourrait en conclure que l’affirmation du professeur n’est pas vraiment validée, mais tout dépend bien sûr du seuil choisi
et de l’interprétation de l’affirmation du professeur, assez imprécise. Quoi qu’il en soit, on peut constater que la taille de
l’échantillon, qui est ici égale à 50, peut générer des écarts assez conséquents par rapport à la fréquence théorique de 0,75.
TP 2 Probabilités
1

2
3 Il est bien difficile de répondre à cette question par des simulations, car la fréquence est toujours très proche de 0,5.
Pour aller plus loin, on peut éventuellement programmer une fonction qui compte le nombre total d’issues de cette expérience
(variable issue) et le nombre d’issues donnant une somme strictement supérieure à 10 (variable somme).
184 Chapitre 12 Échantillonnage

Cette fonction montre qu’il y a 108 issues favorables sur 216 issues équiprobables, soit une probabilité exactement égale à 0,5.
TP 3 Nuage de points
1 a. Ce bloc simule un échantillon de taille 400 et calcule la fréquence d’une issue dont la probabilité est égale à 0,7.
b. Ce bloc trace un point bleu si la fréquence de l’échantillon est comprise entre 0,65 et 0,75, et un point rouge sinon. La
fréquence est en ordonnée, le numéro de l’échantillon est en abscisse.
c. et d. On constate que la plupart des échantillons sont représentés en bleu, donc que la fréquence observée est généra-
lement dans l’intervalle [0,65 ; 0,75].
2 a. On étudie 100 échantillons de taille 400.

b. Il suffit de remplacer 400 par 10 000 aux lignes 6 et 9. On peut constater que les fréquences observées sont plus souvent
proches de 0,7.
c. On peut remplacer 0,65 par 0,69 et 0,75 par 0,71. On peut constater qu’une très grande partie des fréquences observées
sont dans ce nouvel intervalle.
3 Exemple d’énoncé : Une usine fabrique un produit et souhaite que 70 % de sa production respecte un certain calibre. Pour
tester si sa production respecte cette contrainte, elle prélève un échantillon de 400 produits et constate que 391 exemplaires
respectent le calibre. Que peut-elle en penser ?
TP 4 Influence de la taille d’un échantillon
1 En A2 : =SI(ALEA(),0,4;1;0)
2 a. En A3 : =A2+1
En B2 : =1/RACINE(A2)
b. SOMME(Echantillons!A$2:A2)/$A2 représente la fréquence de l’issue ω dans l’échantillon qui est simulé dans la colonne
A de l’onglet « Echantillons ».
Ce qui est calculé en D2 est donc l’écart entre cette fréquence et la probabilité de ω.
c. En C2, on calcule le nombre d’échantillons dont l’écart entre la fréquence et la probabilité de ω est inférieur à 1 .
d. On peut constater que ce pourcentage est proche de 95 %. n
e. L’amplitude de cet intervalle est d’autant plus faible que la taille de l’échantillon est grande.
TP 5 Risque de grippe
2 On choisit une personne à risque au hasard : on représente par 1 une personne qui se fait vacciner et par 0 une personne
qui ne se fait pas vacciner.
3 =SOMME(B2:B101)/100
4 =(NB.SI(B102:AY102;”.=0,36”)-NB.SI(B102:AY102;”.=0,56”))/50
5 Les simulations semblent aller dans le sens de l’affirmation du médecin.

Exercices
1 1. On a constitué 500 échantillons. 6
2. Chaque échantillon a pour taille 1 000.
2 1. On a constitué 1 000 échantillons.
2. Chaque échantillon a pour taille 100.
3 1. La population étudiée est l’ensemble des grains de café.
Le caractère étudié est la variété du café.
La proportion théorique de la variété « Robusta » est 0,3.
La taille de l’échantillon est 153.
2. La fréquence de la variété « Robusta » dans l’échantillon
est 45 . 0,29.
153
4 1. La population étudiée est l’ensemble des femmes
âgées de 30 à 34 ans de l’UE.
2. Le caractère étudié est leur niveau d’études supérieures.
3. La proportion théorique du caractère étudié est 0,434.
4. La taille de l’échantillon est 1 000.
5. La fréquence du caractère étudié dans l’échantillon est
480 = 0,048.
1 000 1. Dans la cellule B2, on rentre la formule
5 1. La population étudiée est l’ensemble des entreprises =ALEA.ENTRE.BORNES(0;1)
créées en France en 2016 dans le secteur marchand non 2. Dans la cellule B102, on rentre la formule
agricole. =NB.SI(B2:B101;‘’=1‘’)/100
2. Le caractère étudié est le fait qu’elles soient des micro-en- 3. La proportion de femmes au conseil municipal est de 0,42.
treprises ou pas. On remarque que les fréquences observées dans la simula-
3. La proportion théorique du caractère étudié est tion fluctuent entre 0,36 et 0,63.
222 800 . 0,40. On peut donc considérer que 0,42 est une fréquence
554 000 « normale » et rejeter l’objection du conseil municipal.
4. La taille de l’échantillon est 5 % de 554 000 soit
5 × 55 400 = 27 700. 7 1.
100
5. La fréquence du caractère étudié dans l’échantillon est
6 980 . 0,25.
27 700
6. La probabilité est égale à la proportion du caractère étudié

dans l’ensemble de la population, soit 222 800 . 0,40.
554 000
94 – 35 – 97 – 40 – 25 – 90 – 83 – 18 – 86 – 10 – 14 – 66 –
87 – 82 – 92 – 51 – 47 – 01 – 95 – 05 – 40 – 58 – 09 – 64 – 18
En caractères maigres, les filles et en caractères gras, les
garçons.
On compte 4 familles avec deux filles ; 6 familles avec deux
garçons et 15 familles avec fille et garçon.
2. Dans cette simulation, six familles ont deux garçons.
3. La fréquence des familles ayant deux garçons dans cet
échantillon est 6 = 0,24.
25
4. Les fréquences sont différentes dans les différents
échantillons.
Sur les 35 échantillons obtenus par les élèves de la classe,
toutes les fréquences sont comprises entre 0,10 et 0,40.

8 1.
On obtient une fréquence environ égale à 0,1.

11 1. Cet algorithme permet d’estimer la fréquence d’appa-
rition du 6 lors du lancer d’un dé cubique équilibré.
2. Réponse variable selon l’expérience. 2. Pour améliorer la précision de cette estimation, il faut
augmenter la taille de l’échantillon.
9 Il est impossible de modéliser cette expérience, il faut
donc la répéter un très grand nombre de fois et estimer la
12 1. Cette fonction peut permettre d’estimer la probabilité
probabilité à partir de la fréquence observée de l’évènement. d’apparition de deux « Pile » lors du lancer de deux pièces
équilibrées.
10 Exemple de fonction : 2. Dans cet exemple, on utilise un échantillon de taille 100.
3. Cet évènement a une probabilité théorique de 0,25.
Exercices
13 1. On étudie chez les téléspectateurs le fait qu’ils aient 15 1. Cet algorithme permet de réaliser le tirage d’une boule
regardé la chaîne. dans une urne qui contient trois sortes de boules avec des
La proportion théorique de ce caractère est de 0,31. probabilités égales respectives de 0,5, 0,3 et 0,2.
La taille de l’échantillon est de 260. 2. et 3.
La fréquence du caractère étudié dans cet échantillon est
260
de 1 000 = 0,26.
2. Avec la simulation, on obtient des fréquences comprises
entre 0,27 et 0,35.
L’affirmation de la chaîne de télévision n’est pas conforme à
cette fluctuation et peut être remise en cause.
14 1. Cet algorithme permet de tester si la flèche atteint la
surface peinte en bleu.
2.
Compteur = 0
Pour i allant de 1 à 100 000
x ← nombre aléatoire entre 0 et 1
y ← nombre aléatoire entre 0 et 1

if y , x2 alors compteur = compteur + 1
frequence = compteur/100 000 4. On réalise 100 tirages pour créer un échantillon de taille
3. 100.
Dans cet échantillon, la fréquence de boules rouges est de
0,35.
On peut alors estimer qu’une valeur approchée de la proba-
bilité des boules rouges dans l’urne est de 0,35.
16 Sur le groupe observé de 1 438 + 704 = 2 142 personnes,
500 ont été admises soit 23,3 %.
Parmi les 1 438 femmes, 312 ont été admises soit 21,7 %.
Parmi les 704 hommes, 188 hommes ont été admis soit
26,7 %.
En réalisant à l’aide de Python 100 simulations d’une propor-
tion de 23,3 % dans un échantillon de 2 142, on obtient que
la fréquence des admis fluctue entre 20,9 % et 25 %.
Le taux de réussite chez les hommes est donc anormalement
élevé.
4. Cette fonction permet d’estimer l’aire de la surface bleue

à environ 0,33 unités d’aire.

Exercices
17 1. 19 En réalisant 100 simulations sur un échantillon de taille
870 avec une proportion de 79,1 %, on obtient que la
fréquence fluctue entre 75,7 % et 83,1 %.
La fréquence chez les personnes convoquées étant de
339 . 0,39, soit 39 %, il est effectivement légitime de
870
considérer que cette constitution est partiale.
20 1. On munit le plan du repère orthonormé
( A ; AB1 AB , AD1 AD).
uuur uuur
2. Pour que le lancer soit gagnant, il faut que les coordonnées

x, y du centre de la pièce vérifient :
1,1 , x , 8,9 et 1,1 , y , 8,9.
2. et 3.
3. Avec ce programme, on obtient une fréquence d’environ

3 % de retours à la case départ.
On peut donc estimer que la probabilité que le pion retourne
à son point de départ est d’environ 3 %.
18 1. La formule permet de renvoyer 1 si la fréquence est
supérieure ou égale à 0,4, et 0 sinon.
2. La formule permet de renvoyer 1 si la fréquence est supé-
rieure ou égale à 0,4 et si elle est inférieure ou égale à 0,6.
3. et 4. On trouve une proportion environ égale à 95 %.
En simulant 1 000 parties, on obtient que la fréquence de

parties gagnantes est d’environ 0,3.
4. On peut estimer que p ≈ 0,3.

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Sous la direction d’Éric Barbazo et de Christophe Barnet

Mise en pages et schémas : Soft Office

Introduction à la programmation en Python…………………………………………………………………………………………………… 5

Chapitre 1 Nombres entiers, nombres réels…………………………………………………………………………………… 11

Chapitre 2 Équations et inéquations…………………………………………………………………………………………………… 27

Chapitre 3 Fonctions affines……………………………………………………………………………………………………………………… 43

Chapitre 4 Fonctions carré et cube……………………………………………………………………………………………………… 59

Chapitre 5 Fonctions racine carrée et inverse………………………………………………………………………………… 75

Chapitre 6 Variations et extremums des fonctions……………………………………………………………………… 93

Chapitre 7 Vecteurs……………………………………………………………………………………………………………………………………… 107

Chapitre 8 Problèmes de géométrie………………………………………………………………………………………………… 123

Chapitre 9 Droites et systèmes……………………………………………………………………………………………………………… 143

Chapitre 10 Information chiffrée et statistique descriptive………………………………………………… 157

Chapitre 11 Probabilités…………………………………………………………………………………………………………………………… 169

Chapitre 12 Échantillonnage…………………………………………………………………………………………………………………… 183

Activité 1 Coureur de fond Pour s’entraîner

3 a. Il s’affiche la valeur 7,5. C’est la distance parcourue par

Introduction à la programmation en Python 5

Si x = 200 km, le prix 1 est plus avantageux que le prix 2.

b. La boucle s’arrêtera quand le dé sera égal à 6.

Le Contrat 1 devient plus avantageux à partir du km 126.

Pour s’entraîner Activité 3 Somme d’entiers

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Il lui faudra 4 mois.

6 Introduction à la programmation en Python

2 1. Si le reste de la division euclidienne de N par d est 0,

Activité 4 Cryptage affine

2 a. a et b sont de type entier, lettre est de type chaîne de

Le nombre de diviseurs de 100 est 9.

Le plus petit nombre premier (c’est-à-dire qui n’a que deux

Introduction à la programmation en Python 7

2 1. caractere et phrase doivent être de type chaîne de

3 La variable sera True.

3. La fonction teste si N est premier. On met au départ la

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Activité 5 Fonction définie par morceaux

2 a. Le programme affiche la courbe représentative de la

8 Introduction à la programmation en Python

2. On conjecture que l’abscisse du point d’intersection est

Introduction à la programmation en Python 9

1 Les entiers sont les nombres : d. 89,56 ÷ 0,1 = 8,956

Pour construire le cours

Situation 1 La nature des nombres

Chapitre 1 Nombres entiers, nombres réels 11

b. La diagonale de ce rectangle mesure 22 + 12 = 5. En procédant comme à la question précédente, l’arc de cercle de

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2 a. La distance entre –2 et 3 est la distance BC : 5. La distance entre 3 et –2 est aussi la distance BC : 5.

3 a. La distance se calcule en soustrayant le plus petit au plus grand : c – d si c  d et d – c si c  d.

4 |x| = |x – 0|, c’est donc la distance entre le nombre x et le nombre 0.

12 Chapitre 1 Nombres entiers, nombres réels

Situation 3 Population de bactéries

1 a. Comme la population triple toutes les heures, à 11 h il y a 1 × 3 = 3 milliers de bactéries, à 12 h, il y a 1 × 3 × 3 = 32 = 9

2 À 15 h, il y a 35 milliers de bactéries. À 16 h, il y a alors 35 × 2 milliers de bactéries. À 17 h, il y a alors 35 × 22 milliers de

Rédiger une démonstration

2 • Raisonnons par l’absurde, supposons que 1 est un nombre décimal.

Chapitre 1 Nombres entiers, nombres réels 13

TP 1 Multiple d’un nombre

2 a. fonction1(33,10) renvoie 3 et fonction1(40,5) renvoie 0.

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2 Soit n le nombre entier à tester (n  1).

14 Chapitre 1 Nombres entiers, nombres réels

On obtient n = 49. On obtient n = 4.

Chapitre 1 Nombres entiers, nombres réels 15

Chapitre 1 Nombres entiers, nombres réels…………………………………………………………………………………… 11

Chapitre 2 Équations et inéquations…………………………………………………………………………………………………… 27

Chapitre 3 Fonctions affines……………………………………………………………………………………………………………………… 43

Chapitre 4 Fonctions carré et cube……………………………………………………………………………………………………… 59

Chapitre 5 Fonctions racine carrée et inverse………………………………………………………………………………… 75

Chapitre 6 Variations et extremums des fonctions……………………………………………………………………… 93

Chapitre 7 Vecteurs……………………………………………………………………………………………………………………………………… 107

Chapitre 8 Problèmes de géométrie………………………………………………………………………………………………… 123

Chapitre 10 Information chiffrée et statistique descriptive………………………………………………… 157