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Jan 24, 2023
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Composition d’un système initial
Choix pédagogiques
Ce premier chapitre du programme de 1 re spécialité est consitué physique-chimie étudieront les notions de couleur
de deux parties largement indépendantes. La première introduit complémentaire, de synthèse additive et de synthèse
de nouveaux outils de détermination de la quantité de matière soustractive (Chapitre 19). La notion de vision ne repose pas
(concentration en quantité, masse molaire et volume molaire). uniquement sur celle de longueur d’onde des processus
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La seconde exploite la spectroscopie UV-visible dans le cadre de biologiques sont à l’œuvre, ce qui rend très difficile pour le
dosages par étalonnage. physicien de déterminer la couleur d’une solution, qui sera
NB : le volume molaire des gaz indépendant de la nature du gaz une couleur perçue, uniquement à partir des longueurs d’onde
ne fait pas partie des programmes 2019. absorbées.
C’est pourquoi, dans ce chapitre, nous proposons d’utiliser une
définition très opérationnelle des couleurs complémentaires
1. Position par rapport aux acquis de la classe (voir aussi §5 plus loin) : il s’agit des couleurs qui, par synthèse
de 2de et au sein de la progression de 1re additive, donnent du blanc les élèves déterminent une couleur
Outils de détermination de la composition d’un système complémentaire à partir d’un schéma simplifié, mais facile à
En classe de 2 de ont été abordées les notions de quantité de retenir et à reproduire.
Courriel
matière, d’une part, et de concentration en masse, d’autre part
le Chapitre 3 du manuel de 1re introduit la notion d’avancement.
Pour réaliser des tableaux d’avancement, les élèves doivent être
2. Grandeurs intensive et extensive ;
capables de déterminer la composition en quantité de matière grandeur quotient
d’un système chimique à partir des masses, des volumes ou des La masse molaire et le volume molaire sont des grandeurs
concentrations, selon les cas. L’objet du présent chapitre est de quotients et on aurait pu choisir de les définir comme telles.
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les y entraîner.
Dans ce chapitre sont définies de nouvelles grandeurs physiques Masse molaire
qui permettent de déterminer la composition d’un système :
La masse m d’un échantillon est proportionnelle à la quantité
concentration en quantité, masse molaire, volume molaire. Il est
de matière n qu’il contient.
également l’occasion de réinvestir la notion de masse volumique
On appelle masse molaire la grandeur quotient M telle que
et de concentration en masse. m
À ce stade, seule la notion de masse volumique est connue des M= .
n
élèves et pas celle de densité.
Spectroscopie Néanmoins, cette définition, très utilisée en 2 de, ne nous apparaît
En ce qui concerne la seconde partie de ce chapitre, la plus nécessaire en classe de 1 re, les élèves ayant été habitués à
spectroscopie, les prérequis de la classe de 2 de sont les suivants : la manipulation de ce type d’expressions.
– lumière blanche, lumière colorée L’introduction des trois grandeurs que sont la masse molaire, le
– spectres d’émission volume molaire et la concentration en quantité de matière permet
4. Choix des notations et du vocabulaire – d’autre part, comment déterminer la couleur complémentaire
de celle qui est absorbée lorsque le spectre présente deux
Lors d’un dosage spectrophotométrique, nous avons choisi de bandes d’absorption ?
noter λm la longueur d’onde du maximum d’absorption et non
λmax afin qu’il n’y ait pas de confusion avec l’intervalle de mesure Pour résoudre cette difficulté, nous proposons de scinder le
[λmin λmax]. Ainsi, [Amax = A(λm)]. Les exercices 41 et 47 du manuel spectre de la lumière visible en six zones et d’attribuer une
donnent deux exemples de situation où il n’est pas souhaitable couleur à chacune d’elles. On peut proposer un découpage
de travailler au maximum d’absorption. seulement qualitatif ou bien quantitatif aux élèves, tout en
En classe de Seconde, n désigne une quantité de matière. gardant à l’esprit qu’il s’agit d’une simplification :
Lorsque le nom de l’espèce est précisé, ce nom se substitue au
mot « matière » (recommandation de l’Union internationale de
chimie pure et appliquée). Ainsi, nous écrirons « n est la quantité M B C V J R
de matière. nCu est la quantité de cuivre ». 400 500 600 700
Par analogie, nous écrirons aussi : « c est la concentration en l (en nm)
quantité de matière. cCu est la concentration en quantité de
cuivre ». M = magenta B = bleu C = cyan V = vert = jaune R = rouge.
Cette simplification doit permettre aux élèves de mémoriser ces
six associations [intervalle de longueur d’onde] ↔ couleur.
5. Couleurs complémentaires
Afin de déterminer la couleur complémentaire de l’une de ces
En physique-chimie, une couleur est associée à une longueur six couleurs, il suffit de les placer sur un cercle deux couleurs
d’onde deux couleurs sont complémentaires si leur synthèse complémentaires se trouvent alors diamétralement opposées.
additive donne du blanc (cf. Chapitre 19).
Cela pourra être montré expérimentalement aux élèves dans le
Dans le cadre de la spectroscopie visible, ces deux définitions
Chapitre 19.
sont peu pratiques :
– d’une part, les élèves ne peuvent pas associer précisément Enfin subsiste le difficile problème des spectres présentant
une couleur à chaque longueur d’onde du spectre visible et plusieurs bandes d’absorption. Dans ce cas, la couleur transmise
la notion de couleur ne peut pas être réduite dans ce cas à résulte de la superposition des couleurs non absorbées. Là
la seule longueur d’onde : les phénomènes physiologiques encore, le cercle des six couleurs aide à déterminer la couleur de
interviennent dans la perception la solution une fois que l’élève a identifié les couleurs transmises.
Compléments pédagogiques
1 Composition
d'unsystèmeinitial
Pourobtenirdes fils de laine de différentes nuances, la laine esttrempée dans des solutions de colorant
de moins en moins concentrées.
13 25
Déterminerlaquantitédematièrecontenuedansunéchantill ondecorps puràpartir
1
desa masseet du tableau périodique. 36
Déterminerlaquantitédematièred’unsolutéàpartirdesaconcentrationenmasse
3 13 25
ouen quantitédematièreetdu volumedesolution.
38 46
Déterminerla concentrationd’un solutéà partirde données expérimentales relatives
6
àl’absorbance desolutions deconcentrations connues. 49
20 21
1 1 _ I I _1re.indb 1 1 1 :
4. Réponse B : le dioxygène.
Dans les exercices de ce chapitre, il est
fréquemment demandé de déterminer le
réactif limitant d’un système chimique,
l’équation de réaction étant donnée.
Cette compétence a été travaillée en
classe de 2 de et sera réutilisée en 1 re. Une
erreur fréquente consiste à ne pas tenir
compte des nombres stœchiométriques
lors de la recherche du réactif limitant.
Cette question permet donc de remédier
à cet oubli.
2. Réaliser
Capacités exigibles
a. Une mole d’ion perchlorate contient une mole d’atomes de
Déterminer la masse molaire d’une espèce à partir chlore et quatre moles d’atomes d’oxygène.
des masses molaires atomiques des éléments qui la mmole de ClO– = mmole de Cl + 4 × mmole d’O = 35,5 + 4 × 16,0 = 99,5 g.
4
composent.
b. De la même manière :
Déterminer la quantité de matière contenue dans un mmole de NMOR = 4 × mmole de C + 8 × mmole de H + 2 × mmole de N + 2 × mmole de O
échantillon de corps pur à partir de sa masse et du tableau
= 4 × 12,0 + 8 × 1,0 + 2 × 14,0 + 2 × 16,0 = 116,0 g.
périodique.
mmole de Pb = 207,2 g d’après les DONNÉES.
Ces deux questions sont traitées sans la notation spécifique M
Cette activité permet de construire et de manipuler la notion
de la masse molaire : il s’agit de faire prendre conscience aux
de masse molaire. Après l’avoir définie comme la masse d’une
élèves de ce qu’est une grandeur intensive.
mole d’entités chimiques, on montre que la masse molaire d’un
c. D’après le DOCUMENT , la concentration maximale de NMOR est
élément n’est pas un nombre entier, contrairement au numéro
cNMOR = 100 ng · L–1.
atomique Z ou au nombre de nucléons. L’exemple du chlore est
celui qui permet d’insister sur ce point. En effet, contrairement On utilise les ordres de grandeurs suivants :
aux éléments carbone, hydrogène, oxygène ou azote, aucun – durée d’une vie : 80 ans, soit dvie = 80 × 365,25 = 29 220 jours
isotope n’est en proportion négligeable dans l’élément. – volume d’eau absorbé quotidiennement, V = 2 L · j–1.
Soit mNMOR la masse maximale que l’on peut consommer sans
La masse molaire d’un élément tient compte de l’abondance
isotopique, et la détermination des masses molaires des risque au cours d’une vie : mNMOR = cNMOR × dvie × V.
éléments dans cette activité permet de distinguer compositon en Connaissant la masse totale et la masse d’une mole, on peut
masse et composition en quantité, et d’utiliser les pourcentages. déterminer la quantité maximale de NMOR que l’on peut
consommer sans risque au cours d’une vie :
On calcule ensuite la masse molaire d’une entité polyatomique. mNMOR cNMOR × dvie × V
L’exemple de l’ion perchlorate permet : nNMOR = =
mmole de NMOR mmole de NMOR
– de rappeler que la masse d’un ion est presque égale à celle de
l’atome correspondant ; 100 × 10-9 × 29220 × 2
Donc nNMOR = = 5,04 × 10–5 mol = 50,4 μmol.
– de montrer comment la masse molaire d’une entité poly- 116
atomique se calcule à partir des masses molaires atomiques. 3. Valider
On pourra sensibiliser les élèves à la mise à jour régulière des
a. Notons n la quantité de matière d’une espèce chimique dans
tableaux périodiques et à la nécessité de vérifier l’actualité de
un échantillon, M la masse molaire de cette espèce chimique et
ses sources.
m la masse de l’échantillon : m = n × M
Le choix de la thématique relative aux polluants permet de On pourra distinguer le cas où l’espèce chimique est pure dans
réfléchir à l’outil le plus pertinent pour qualifier une espèce l’échantillon et le cas d’un mélange ; dans ce cas, m est la masse
chimique de majoritaire : masse ou quantité de matière ? de cette espèce chimique dans l’échantillon.
2. Analyser-Raisonner
a. Par analogie avec ce qui est fait pour la masse : V = n × Vm
où n est la quantité de matière de l’espèce chimique et Vm son
volume molaire.
Le volume est extensif dans le cas d’un corps pur ou d’un mélange
idéal.
b. Les résultats obtenus à la question 1.c. montrent que dans
le cas des bouteilles de gaz de contenance V = 1,0 L à p = 14 bar
et θ = 20 °C, le volume molaire est indépendant de la nature du
gaz considéré. On peut penser que ce résultat est généralisable
à tous les gaz dans toutes les conditions de température et de
pression.
En toute rigueur, cette loi n’est valable que dans le cadre du
modèle des gaz parfaits, c’est-à-dire pour de faibles pressions
n’excédant pas quelques centaines de kilopascals. Au-delà, les
23 gaz ne se comportent pas tous de la même manière, les interac-
tions intermoléculaires ne pouvant plus être négligées.
Capacité exigible c. À la lecture des
DONNÉES, on constate que le volume molaire
d’un gaz dépend de la température et de la pression.
Utiliser le volume molaire d’un gaz pour déterminer une On peut faire constater aux élèves que le volume molaire croît
quantité de matière. avec la température et décroît avec la pression.
2. Analyser-Raisonner
a. Chaque couche de charbon a un volume V = 8,0 L.
25 D’après les DONNÉES, la masse volumique du charbon de bois est
ρ = 0,16 kg L–1.
Il vient m = ρ × V = 0,18 × 8,0 = 1,3 kg.
Capacité exigible b. D’après les DONNÉES, le charb on conti ent 78 % en masse
de carbone soit mC la masse de carbone dans une couche :
Déterminer la quantité de matière de chaque espèce dans
mC = 0,78 × m = 0,78 × 1,3 = 1,0 kg.
un mélange (liquide ou solide) à partir de sa composition.
3. Réaliser
L’exemple de la métallurgie dans les bas fourneaux a été choisi
pour trois raisons. a. La formule brute de l’hématite est Fe 2O3 sa masse molaire
Tout d’abord, il permet d’atteindre les objectifs pédagogiques s’exprime par :
fixés par le B.O. : le charbon de bois et le fer constituent un Mhématite = 2 × MFe + 3 × MO = 2 × 55,8 + 3 × 16 = 159,6 g mol–1.
mélange d’espèces chimiques dont la composition en masse b. La quantité de matière de chaque espèce dans le mélange est
est connue. m
Par ailleurs, ce sont des espèces de formule chimique simple, déterminée à partir de sa masse et de sa masse molaire : n = :
M
ce qui permet d’éviter des difficultés supplémentaires pour les mc 1,0 × 103
élèves à ce stade. • carbone : nC = = = 83 mol
Mc 12
Enfin, la transformation chimique qui a lieu dans le bas fourneau
m 2 × 103
peut être modélisée par une réaction d’oxydoréduction (étudiée • Fer : nFe = Fe = = 13 mol.
dans les chapitres suivants). Choisir un système dans lequel a MFe 159,6
lieu une transformation chimique permet de sensibiliser les c. Comparons le rapport des quantités de matière et le rapport
élèves aux proportions dans lesquelles réagissent les espèces des nombres stœchiométriques.
chimiques ; les notions de réactif limitant et de stœchiométrie, Les nombres stoechiométriques sont respectivement 3 pour le
vues en Seconde, peuvent ainsi être réinvesties. nc 83
carbone et 2 pour l’hématite = = 7.
Le contexte de la métallurgie est indissociable de l’évolution nFe 13
de nos sociétés, et il nous paraissait intéressant de décrire une nc 3
technique ancestrale que certains groupes utilisent à nouveau, La comparaison donne : . donc le réactif limitant est
nFe 2
pour la simplicité de sa mise en œuvre. l’hématite.
1. Sapproprier d. Le minerai est utilisé en tant que réactif limitant pour
s’assurer qu’il sera totalement réduit c’est l’espèce chimique
a. D’après le DOCUMENT, la température du bas fourneau est la plus précieuse.
située entre 600 °C et 1 300 °C c’est le lieu de la réduction du L’excès de carbone est très large ; une partie de celui-ci est oxydé
minerai, sa transformation se fait donc dans cette plage de en dioxyde de carbone par le dioxygène de l’air et ne participe
températures. pas à la réduction du minerai. Ainsi, la comparaison des nombres
stœchiométriques est peu pertinente dans le cas d’un système
siège de plusieurs transformations chimiques, comme cela est
probablement le cas ici.
Activité 5. Absorption de la lumière La solution de bleu brillant est de concentration 2,0 × 10–5 mol L–1
dans l’eau distillée.
P. 26 du manuel
Certains spectromètres donnent des spectres en transmittance,
d’autres en absorbance.
Tartrazine
Absorbance
3,5
3,0
2,5
2,0
26 1,5
1,0
0,5
Capacité exigible 0
400 500 600 700 800
Expliquer ou prévoir la couleur d’une espèce en solution à Longueur d'onde (en nm)
partir de son spectre UV-visible.
Bleu brillant
Cette activité doit permettre à l’élève de faire le lien, de manière
empirique, entre couleur perçue et couleur absorbée par une
solution. Elle introduit aussi la notion d’absorbance par l’étude
de spectre d’absorption. Enfin, la dernière partie de l’activité,
permet de prévoir la couleur d’une solution qui contient plusieurs
espèces chimiques colorées.
b. Chaque couleur est associée à un domaine de longueurs Longueur d'onde (en nm)
d’onde :
Couleur aune Bleu Cyan Rouge 3. Analyser-Raisonner
Longueur d’onde λ (en nm) 550-570 430-470 480-500 630-750 a. Pour la solution de tartrazine, la couleur la plus absorbée est
le bleu pour celle de bleu brillant, la couleur la plus absorbée
2. Réaliser est le rouge.
La source de lumière blanche utilisée est une lampe de bureau. On choisit de simplifier la description du spectre ; en effet, la per-
La solution de tartrazine est de concentration 5,0 × 10–5 mol L–1 ception des couleurs est subjective et il n’existe pas de frontière
dans l’eau distillée. consensuelle qui distingue l’orange du rouge. On se fie donc au
1. Sapproprier
La solution de Lugol ® est trop concentrée par rapport à
Activité 6. Un antiseptique au dosage précis l’échelle de teintes elle est également trop concentrée pour le
P. 27 du manuel spectrophotomètre qui risque de saturer. Il est donc nécessaire
RCHE N
DÉMAESTIGATIO de la diluer.
D’INV
2. Analyser-Raisonner
Le spectre d’absorption de la solution mère de diiode est réalisé
afin de déterminer la longueur d’onde de travail. La solution de
Lugol® est diluée d’un facteur 5 en introduisant 5 mL de solution
commerciale prélevé à la pipette jaugée dans une fiole jaugée
de 25 mL.
L’absorbance est mesurée à la longueur d’onde de travail
de chacune des solutions de l’échelle de teintes, puis de la
solution de Lugol® en prenant soin d’utiliser la même cuve de
spectrophotomètre.
27
Le blanc devra être réalisé avec la solution de KI ayant servi à Synthèse en images
préparer la solution mère. Le spectre d’absorption de la solution
P. 30 du manuel
mère est le suivant :
Absorbance
1,5
1,2
0,9
0,6
0,3
0
400 450 500 550 600 650 700
Longueur d'onde (en nm)
Déterminer la masse molaire d’une espèce à partir des masses molaires atomiques 16 17 44 42
7 50
des éléments qui la composent. 20 49
42 44
Déterminer la quantité de matière contenue dans un échantillon de corps pur à
8 32 36 20 19 26 45 48 50 51
partir de sa masse et du tableau périodique.
49
Utiliser le volume molaire d’un gaz pour déterminer une quantité de matière. 10 39 21 18 24 44 45
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0 ORAL Vérifier que : Étape 5 : à l’aide d’une pipette Pasteur remplie d’eau distillée,
– le calcul de la masse molaire est explicité ; ajuster le volume dans la fiole au trait de jauge.
– le raisonnement est détaillé pour chaque étape ;
– la rédaction fait apparaître des expressions littérales ; 8 ORAL
Vérifier que les aspects théoriques, mais aussi
– le résultat est exprimé avec le nombre adapté de chiffres
pratiques, sont expliqués.
significatifs.
Tout d’abord, la réalisation de la gamme étalon doit être décrite :