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Avant-propos

cet
Tout en préparant les élèves à la spécialité Mathématiques de l'épreuve du baccalauréat,
ouwage sera utile à to'us ceux qui souhaitent approfondir leurs connaissances dans
l'optique
d,une poursuite d'étu6les supérieures ayant une composante importante en mathématiques.

Cet ouwage est un recueil d'exercices allant de la simple application du cours à des exer-
cices difflciles. Il s'articule autour de 5 chapitres.
l. Equations
2. Suites numériquies
3. Fonctions
4. Géométrie
5. Probabilités

Dans chaque chapitre, vous trouverez:


. Des sous-chapitr:es composés d'un bref résumé du cours, d'exercices d'application puis
d'exercices d' approfondissement.
. Des exercices pour préparer l'examen de fln d'année, en cas d'abandon de la spécialité.
. Des exercices pour se préparer à la poursuite des études dans cette spécialité. Ces exer-
cices sont plus difficik:s, mêlent plusieurs notions ou abordant des thèmes qui ne sont plus au
programme de première mais dont la maîtrise sera un atout pour la poursuite d'études.
. Les corrigés détaillés de tous les exercices.

Ie remercie Anne LE Vr\N RA et Antoine BOUTROIS pour leurs relectures attentives.


Table des rnatières

I Equations 7
1.1 Pol)mômes du second degré . 7
1.1.1 Point de cours 7
L.1.2 Exercices d'application de cours B
1.1.3 Exercices d'approfondissement t0
1.2 Equations du second degré . 1B
1.2.1 Point de cours . 1B
1.2.2 Exercices d'application de cours 1B
1.2.3 Exercices d'approfondissement 2T
1.3 Inéquations 26
1.3.1 Point de cours 26
L3.2 Exercices d'application de cours 26
f.3.3 Exercices d'approfondissement 27
1.4 Préparer l'examen 32
1.5 Aller plus loin . 39

2 Suites numériques 47
2.1 Suites numériq'ues 47
2.t.1 Point de cours 47
2.t.2 Exercices d'application de cours 48
2.t.3 Exercices d' approfondissement 49
2.2 Suites arithmétiques 56
2.2.1 Point de cours 56
, r') Exercices d'application de cours 56
2.2.3 Exercices d'approfondissement 59
2.3 Suites géométriques 65
2.3.L Point de cours 65
2.3.2 Exercices d'application de cours 65
2.3.3 Exercices d' approfondissement 66
2.4 Sommes des termes d'une suite 91
2.4.1 Point de cours 91
4 TABLEDESMATIÈRES

2.4.2 Exercices d'applicaüon de cc,urs 92


2.4.3 Exercices d'approfondissemcnt 94
2.5 Préparerl'examen. Il0
2.6 Aller plus loin . . . 116

3 Fonctions 135
3.1 Nombre dérivé r35
3.1.1 Point de cours r35
3.1.2 Exercices d'application de ccurs 135
3.f.3 Exercices d'approfondissement 141
3.2 Fonction dérivée 143
3.2.1 Point de cours 143
3.2.2 Exercices d'application de cc urs t44
3.2.3 Exercices d'approfondissemr:nt t46
3.3 Variations d'une fonction 152
3.3.1 Point de cours . 152
3.3.2 Exercices d'application de ccurs 152
3.3.3 Exercices d'approfondissement 155
3.4 Fonction exponentielle 165
3.4.1 Point de cours 165
3.4.2 Exercices d'application de ccurs 165
3.4.3 Exercices d'approfondissement t67
3.5 Foncüonstrigonométriques. . . . 186
3.5.1 Point de cours 186
3.5.2 Exercices d'application de cours tB7
3.5.3 Exercices d'approfondissement 189
3.6 Préparerl'examen. 200
3.7 Aller plus loin . 209

4 Géométrie 233
4.1 Produit scalaire 233
4.1.1 Point de cours 233
4.1.2 Exercices d'applicaüon de cours 234
4.1.3 Exercices d'approfondissemt:nt 236
4.2 Trigonométrie 245
4.2.1 Point de cours 245
4.2.2 Exercices d'application de cours 246
4.2.3 Exercices d'approfondissement 249
4.3 Géométrie repérée 255
4.3.1 Point de cours . 255
4.3.2 Exercices d'application de cours 255
4.3.3 Exercices d'approfondissement 259

i-
TABLE DES MËTIÈRES 5

4.4 Préparer l'examen . 26s


4.5 Allerplusloin . . . . . 268

5 Probabilités 289
5.1 Probabilités conditionnelles 289
5.1.1 Point de cours 289
5.1.2 Exercices d'application de cours 290
5.1.3 Exercices d'approfondissement 293
5.2 Variables aléatoires réelles 316
5.2.1 Point de cours 316
5.2.2 Exercicers d'applicaüon de cours 3t7
5.2.3 Exercicers d'approfondissement 319
5.3 Préparer l'exarrLen 338
5.4 Aller plus loin . 344

6 Corrigés 377
6.1 Polynômes du siecond degré 377
6.2 Suites numériques 413
6.3 Fonctions 463
6.4 Géométrie 528
6.5 Probabilités 573
I
Chapitre I

Equations,

[.[ Polynômes du second degré

1.I.f Point de cours

Définition I : une fonction polynôme du second degré est une fonction / définie sur R par
f @) = ax2 + b x + c oit aL, b et c sont des réels donnés avec a # O.

Définition 2: une fonction polynôme de degré n est une fonction / définie sur R par:
f @)= arxn+an-t)cn-l*...*a1x*agoîtan,an-t,...,a1 Etagsontdesréelsdonnés etarl0.
Définition 3 : xs est unrl racine du polynôme / si et seulement si / (xs) = g.

Propriété I : pour toute fonction polynôme du second degré déflnie sur R par /( x) = ax2 +bx+c
avecalO,onpeuttrouverdeuxréelsaetBtelsque,pourtoutréel x:f(x)=a(x-u)2+F.
Cette écriture est appelie la forme canonique du trinôme axz + bx + c.

Propriété 2 : les variations de la fonction /(.r) = ax2 + bx + c sont données par les tableaux
suivants :

.Sia>0 .Sia<g

b b
)c -oo 2o +oo x -oo )a +oo
r(-*)
r r
îl*)
b
/admetunminimtrm /admetunmaximumeî-
"n-32a Za
8 CHAPITRE r. EQUATIONS

1.1.2 E>rercices d'application de courli


Exnncrcr I 5 minutes
Les fonctions suivantes sont-elles des fonctj ons polynômes?
t, l@) = tc2 + x+t 5. f (x) = 13 +2x--2019
I
6' I@ = ^ -x+9
I
z.'lfxil=-r/2+x-3x2
3. f (x) = x2 +3r,[i-, 7' f @) =3x2
'*:--3
a. Î@)=Çffj
-) vz ta.u
s. /(x)=4TF'

Exrnclcn 2 Sminutes
Déterminer le degré de chaque fonction polynôme :
l. f (x) =3x5 + x2 -g 4. f @) = .r3 + 2x-2
2. T@) = | +9x + 4x8 s. f (x) - -6)c201 + 4x1o2 +B
3. f (x) = x2 -2xa +6x3 6. /(*) = f -2x2 +l
Exnnctcn 3 s minutes
Sans développer les expressions, donner pour chaque polynôme son degré, le coefficient du
plus haut degré et le coefficient du degré le plus bas.
t. f(x)= (x2 +x-B)(x3 -zx2 + x+2) 4. f(x) =(x3 +2x-z)(-zxs +6f -7x)
z. f G)=(2x2 +3.r+4)(sxs +lx3 -zx) s. f (x) = (-6xzot +4xto2 +e)(x28+oxro-9)
3. f(x)=(*'-zxa +6x3)Qx-9) 6. f(x)=(r'-zx2+t)(t-zx+zx2)

Exnncrcn 4 5 minutes
Sachant que P, Q et R sont des fonctions pc,lynômes de degrés respectifs 2,3 et 5. Quel sera le
degré des polynômes PQ, PR, QR et PQR?

Exsncrcn 5 Sminutes
Soit P une fonction polynôme de degré n.
Exprimer, en foncüon de n,le degré des pol'pômes suivants
l. (*' +x+r)xP(x)
2. p3=pxpxp
3. Pk avec k un entier naturel non nul.
4. LPavecLréelnonnul.
ExsncrcE 6 5 minutes
Dans chaque cas, vérifler eue .rs est une racrne de la fonction polynôme.
l. f(x)=x2+2x-3etxs=1 +. f(x)=x3-3x2*4etxs=l
2. 1@)=5+9x+4xBetx6=-1 5. f(x)--6x2or+4xr02-t2etxs=l
3. f (x)= x2 -2xa +6xs etx6 -0 6. f G)= x3 -2x2 *l etx6 = ]
1.1. POLYNÔMES DU SECOND DEGRE 9

EXERCICE 7 5 minutes
Déterminer les racines de chaque fonction polynôme.
l. 1)
f (x) = (x-2) (x+ +. f (x) = (x- l) (x+ 1)
z. f(x)-(2x+3)(x+2) 5. f(x)=(x-2)2
3. /(x) =(2-x)(1-3x) 6. /(x) =(x-2)(1-x) (2x+3)
EXERCICE 8 10 minutes
Déterminer la forme canonique de chaque fonction polynôme.
t. f (x) = x2 +2x -3 +. f(x) = x2 -2x -3
2. f (x) = x2 +4x+9 5. lG) = x2 - l0r+ l0
3. ,f(x) = x2 -6x-l 6. f (x)= x2 + 18x+30

Exrncrcr I l0minutes
Déterminer la forme ca:nonique de chaque fonction polynôme.
f . .f (x) = x2 + x+l +. f (x) = x2 -3x-3
2. f (x) = x2 +3x+4 5. f (x) = x2 -7x+l0
3. f (x) = x2 -9x+g 6. l@) = x2 + l5x+30
EXERCICE IO lO minutes
Déterminer la forme canonique de chaque foncüon polynôme.
t. f (x) =2x2 +4x-3 4. l@) =5x2 -Bx-3
2, f (x) =3x2 - x+9 5. /(x) = -4x2 -l0x+2
3. f6)=-2)c2-6x+3 6. /(x)=-5x2+l2x+3
EXERCICE II l0 minutes
Etablir le tableau de variations de chaque fonction polynôme.
t. f(x)=x2+2x-3 4. f(x)=-5x2-2x+4
Z. f (x) = -3x2 +4x+g 5. f (x) = x2 - 10x+ 10
3. f (x) = 4x2 -6x- 1 6. f (x) =3x2 + 1B.x+30
EXERCICE 12 l0 minutes
Soit la fonction / définie sur R par I (x) = 2# - 3x2 - 4x + 5.
l. Développer, réduire et ordonner l'expression (x - 1) (axz + bx + c).
2. Déterminerlesréels a,betctelsque: f (x)= (x-l) (ax2+bx+c).
ExERcIcE 13 l0 minutes
Soit la fonction / définie sur R par f (ù =2x3 +5x2 -2x-8.
l. Développer, réduire et ordonner l'expression (x + 2) (axz + bx + c)
2. Déterminer les réels a, b etc tels que T@) = (x+2)(axz +bx+ c).

EXERCICE 14 5minutes
Soit la fonction / définie sur R par f @) =3x3 +7x2 + x-2.
Sans développer, déterrniner les réels a et c tels que /(x) = (x + 2) (ax2 + bx + c)
t0 CIIAPITRE I. EQUATIONS

ExrncrcE 15 S minutes
Soit la foncüon déflnie sur R par f (il = x2 + x2 + .r + t.
/
sans développer, déterminer les réels a et c tels que /(.r) = (x + t) (axz + bx + c).

ExnncrcE 16 Sminutes
Soit la fonction /
déflnie sur R par /(r) = -lix3 - 32x2 - 6.r + 36.
Sans développer, déterminer les réels a et c tels que /(x) = (r + 6) (ax2 + bx + c).

EXERCICE 17 5 minutes
Soit la fonction / définie sur R par /( i = #- 6x2 + t2x - B.

l. Sans développer, déterminer les réels a e t c tels que /(x) = (x - 2) (ax2 + bx + c).
2. En développant l'expression avec les vallurs de a et c obtenues, déterminer le réel b.
3. En déduire une factorisation complète d3 /.

EXERCICE 18 5minutes
Dans chaque cas, rechercher une racine « éridente » de la fonction polynôme.
L f@)=x2+x-2 +. f(x)=f +3x2+3x+1
2.f@)=2x3+3x2+x 5. f(x)=-6x2-l}x+4
3.f@)=x2-x-Z 6. î(x)=x3-x2-x+l
1.1.3 Exercices d'approfondissement
EXERcICE l9 l0minutes
Soit M un point du segment lABl de longuour l. On construit deux carrés de côtés respectifs
IAM) et [MB]. Soit x la longueur AM etA(t) la somme des aires des deux carrés.
1. Déterminer A(x).
2. Pour quelle position du point M l'alre Alx) sera-t-elle minimale?

EXERCICE 20 l0minutes
Pour surveiller la zone de baignade, un maîr:re-nageurveut délimiter un rectangle le long de la
plage, pour cela, il dispose d'un cable de bo "rées d'une longueur de 150 mètres.
Quelle sera l'aire maximale de la zone ainsi lélimitée?

EXERCTcE 2l l0minutes
On coupe une flcelle de I mètre de longuetLr pour entourer un carré et un rectangle deux fois
plus long que large.
Où doit-on couper la flcelle pour que la sorrLme des deux aires soit minimale?

EXERCICE 22 l0 minutes
Soit D un disque de centre O et de diamètre [AB] tel que AB =2.
Soit M un point du segment [AB]. On construit les disques D1etD2 de diamètres [AM et
l,MBl.
Soit.4(x) l'aire comprise entre les disques. On pose AM = x.

L
1.1, POLYNÔMES DU S:ECOND DEGRÉ, 1l

l. Dans quel intervalle f varie x?


2. Calculer l'aire des disques D,Dt etD2.
3. En déduire que A(x)'2= -!xz +nx.
4. Dresser le tableau de variations de "4 sur l'intervalle 1.
5. En déduire la positi«tn du point M pour laquelle "4 est maximale. Quelle est alors la valeur
de l'aire?

EXERCICE 23 l0 minutes
l. Dans la figure ci-contre AEFG, AHII etABCD sont des car-
A 2 ,E H.J,B rés. CalculerAH en fonction de x; en déduire l'aire deAHII
puis préciser, dans la liste ci-dessous, la (ou les) expres-
sion(s) algébrique(s) qui correspond(ent) à l'aire de la par-
GF tie hachurée.
4 M = (4- x)2 -22 N = (4- x-Z)2 P = 42 - x2 -22
2. Développer et réduire l'expression Q = (4 - ù2 - 4.
I I 3. Factoriser Q.
D C 4. Calculer Q pour x = 2. Que traduit ce résultat pour la fl-
gure?

EXERCICE 24 15 minutes
Soit la fonction / défini:e sur R par I 6) = Qx - l)2 - (2x - 1) (x + 5).

l. Développer, réduire et ordonner l'expression de /.


2. Déterminer une forrne factorisée de /(x).
3. Déterminer la forme canonique de /(x).
4. En utilisant la forme, de /(x) la plus adaptée, répondre atx questions suivantes

a. calculer I e), f(i),rf , +,/4 etr(i)


b. Déterminerle mLinimum de / sur R.
c. Déterminer les racines de /.
ExERcrcE 25 lS minutes
Soit la fonction / défini e sur R par I @) = (2 x - 3)z + (-r + 5) (2x - 3).
l. Déterminer une forrne factorisée de /(x).
2. Développer, réduire et ordonner l'expression de /.
3. Déterminer la forme canonique de f (x).
4. En utilisant la forme, de /(x) la plus adaptée, répondre aux questions suivantes :

a. calculer/(o), /(;), /(/5)"r(*)


b. Déterminer le mLinimum de / sur R.
c. Déterminer les racines de /.
t2 CIIAPITRE 1. EQUATIONS

EXERCICE 26 l5 minutes
Soit la fonction / définie sur R par /( x) = 4x2 - g + (Zx +3) (x - f ).
l. Déterminer une forme factorisée de /(x),
2. Développer, réduire et ordonner I'expresr;ion de /.
3. Déterminer la forme canonique de /(x).
4. En utilisant la forme de /(r) la plus adaptée, répondre atx quesüons suivantes

a. Calculer,f (0),,f (1), T(A"r(-i,t


b. Déterminer le minimum de / sur R.
c. Déterminer les racines de /.
EXERCTCE 27 15 minutes
Soitlafonction/ définie surRpar/(r) = 16- x2 -(x+6) (r+4).
l. Développer, réduire et ordonner I'expresriion de /.
2. Déterminer une forme factorisée de /(x)
3. Déterminer la forme canonique de f (x).
4. En utilisant la forme de /(.r) la plus adap lée, répondre atx questions suivantes :

a. calculer f Q), I eq, f pA)" , (-';)


b. Déterminer le maximum de / sur R.
c. Déterminer les racines de /.
EXERCTcE 28 : DÉuousrRATroN l0 minutes
Etablir la forme canonique du trinôme de forme générale f @) = ax2 + bx + c.

ExERcIcE 29 5minutes
La fonction polynôme du second degré / admet pour racines I et 2.
Sachant de plus que /(0) = 2, déterminer la lbrme développée de la fonction /
ExERcIcE 30 5 minutes
Lafonction polynôme du second degré / admet pour racines -3 et 4.
Sachant de plus que /(0) = -2, déterminer lir forme développée de la fonction /
EXERCICE 3I 5 minutes
fonction polynôme du second degré f admet pour racines -2 et2.
[^a
Sachant de plus que /(0) = 8, déterminer la lbrme développée de la fonction /
EXERCTCE 32 20 minutes
Démontrer que la fonction polynôme f @) = f - sx2 - 7 x +26 est diüsible par x - 2.
En déduire une factorisation de /(x).

EXERCICE 33 l0 minutes
Démontrer que la fonction polynôme l@) = x3 -Bxz +25x-26 est diüsible par x-2.
1.1. POLYNÔMES DU SECOND DEGRÉ l3

En déduire une factorisation de /(x)


EXERCICE 34 15 minutes
Soit la fonction polynôrne P(x) -- xa -Bx3 -50x2 +264x+945.
1. Calculer P(-5), P(-11), P(7).
2. En déduire une factorisation de P sous forme d'un produit de quatre polynômes de degré I
3. En déduire la quatrii)me racine du polynôme P.

ExERCTCE 35 l5 minutes
Soit la fonction polynôrne P(x) - 2xa +3x3 -21x2 +2x+24.
l. Calculer P(-4), P(-L), P(2).
2. En déduire une factorisation de P sous forme d'un produit de quatre polynômes de degré 1.
3. En déduire la quatrir)me racine du polynôme P.

Exrncrcr 36 l0 minutes
Déterminer le coeffrcient apour que la fonction polynôme f @) = x3 + ax2 + x + 6 soit divisible
par x-2.

Exrncrcr 37 15 minutes
Soit la fonction polynôme f (x) = x3 + ax2 + 3x + 9. Montrer que l'on peut déterminer quatre
entiers relatifs a, b, c et d tels que /(x) - (x + $ (x2 + cx + d).

Exrnclcn 38 l0 minutes
Montrerquequelsquersoientlesréels petQ,lepolynôme P(x) = x3+(p-q)x2+p1p-q)x-p2q
est divisible par x - q.
Factoriser le polynôme P.

Exrnctcn 39 lO minutes
l. Développer, réduire et ordonner (x8 + x6 + x4 + x2 + t) (ru - ,u + x4 - x2 + t).
2. Le nombre N= 1000100010001000f est-il premier?

ExEncrcn 40 15 minutes
Soit la fonction polynôrne f (û = xa + L.
l. La fonction / admel-elle des racines réelles?
2. Déterminerlesréels aetbtelsque/(x) =(x2 + ax+l)(x2 +bx+t).
3. En remarquant que .f (x) = xa +2xz +l-2x2 , gràce à deux factorisations successives retrouver
la factorisation de la question précédente.

ExnncrcE 4l l0 minutes
En s'inspirant de l'exercice précédent, décomposer en produit de deux facteurs de degré 2 le
polynôme P(x) = xa + 4.
l4 CIIAPITRE 1. EQUATIONS

ExnncrcE 42 15 minutes
SoitlafonctionpolynômedéfiniesurRpar l(x)=6(x-a)(x-b)+3a(x-b)+2b(x-a),avec
a et b deuxréels positifs distincts.
l. Calculer 1@), fb) et/(0).
2. Montrer, sans développer /(x), que le p rlynôme /(x) admet detx racines et qu'elles sont
toutes deux positives.

EXERCICE 43 15 minutes
Soit P"(x) = xn -l avec n)2.
l. Développer, réduire et ordonner l'expresr;ion (x - 1) (xn-r + xn-2 +. .. +x+ I)
2. Vérifier que I est une racine du polynôm: Pr.
3. Déduire des questions précédentes une f actorisation de Pn.
4. Factoriser Pz@) et Ps(x).

ExERCTcE 44 15 minutes
Soit P"(x) = xn - I avec n)2.Soient aetb rletxréels non nuls.
r. calculer ,"(i)
2. En utilisant la question précédente et le .:ésultat de l'exercice précédent, démontrer l'iden-
tité : an - bn = (a - b) (an-r + a'-2 b+''' -f abn-2 + b"-r).
3. En déduire une factorisation des expressions suivantes :
a, a2 -b2
b. a3-b3
A ,L
c. a'- D'
d. x3 -zZ
EXERCTCE 45 15 minutes
Soit P une fonction polynôme de degré n > l). Soit Q une fonction polynôme déflnie par
Q(.r; =P(x+l) -P(x).
l. Expliciter Q lorsque P(x) = 1ç2.

2. Expliciter Q lorsque P(x) = a3.


3. Quel est le degré de Q lorsque P est de de gré n?
4. Soit P un polynôme périodique, de période 1, en raisonnant pir l'absurde sur le degré de P
et en considérant Q, montrer que P est une fonction constante.
re Un polynôme P défini sur R est périodiqtLe, de période 7, si pour tout.r € R,
P(x+T)=P(x).
1.1. POLYNÔMES DU Sr]COND DEGRE l5

ExERcIcE 46 20minutes

Une entreprise décide de fabriquer et de commercialiser 2000 -ie


un produit. 1500 rit
Sa capacité maximale de production est de 20 tonnes. La 1000
courbe e ci-jointe représente le coût de production C(.r),
500
exprimé en milliers d'euros, en fonction du nombre x de
tonnes produites.
ü 5 101520
l. Après une étude de marché, I'entreprise espère vendre son produit 84 milliers d'euros la
tonne.
a. Déterminer, en [onction du nombre x de tonnes produites, la recette R(x) en milliers
d'euros espérée par cette entreprise.
b. Tracer la représe,ntation graphique  de la fonction -R sur le graphique ci-dessous, pour
r e [0; 20].
Déterminer graprhiquement à quel intervalle doit appartenir x pour assurer un bénéflce
à l'entreprise.
c. Déterminer graphiquement, à une tonne près, le nombre de tonnes à produire pour
assurer un bénéfice maximum.
2. On considère maintr:nant que C(x) = x3 - 30.12 + 300x avec x > 0.
Pour affaiblir la conr:urrence, l'entreprise décide de vendre son produit le moins cher pos-
sible sans perdre d'argent.
C(x)
Soit C-(.r) = : le coût moyen de fabrication.
x
a. Exprimer C*(x) en fonction de x.
Etablir le tableau de variations de C- (r) sur l'intervalle [0 ; 20].
b. En déduire la valeur x* quiassure un coût moyen minimum. Quel est alors le prix d'une
tonne?

EXERCICE 47 2Ominutes
n
l. Soitlasomme Sr =,I, k= | +2+...
+n
k=l
a. Déterminer une fonction polynôme P, de degré 2,vérifiantpour tout réel x

P(.r+1)-P(x)=x
b. Prouverque 51 == P (n+ 1) -P(l)
n'n;
c. En déduire n"" ,t, = " .

2. Soit la somme sz = .L k2 = 12 +22 + ..- + n2


k:=l
l6 CIIAPITRE 1. EQUATIONS

a. Déterminer une fonction polynôme ,J, de degré 3, vérifiant pour tout réel r

QQ:+f) -Q(x)=x2.
b. Prouverque 52 = Q( ,2+ 1) - Q(l).
n(n+1)(2n+l)
c. En déduire eue 52 =
6

3. Soit la somme S, = É k3 = 13 +23 +...+ n3.


k=r
En s'inspirant des questions précédentes, montrer que 53 =1"'7" l' .

EXERCTcE 48 2ominutes
*...i a1x* a4,
Soit la fonction polynôme P de degré n, déftrie sur R par P( x) = anxn + an_txn-r
oÎ)an, an-1,'.., ay,40 sontdesréelsdonn(res avecanlOetnentierstrictementpositif.
l. Enutilisantuneidentitéétabliedansl'exercice44,montrerque,pourtoutréela,P(x)-P(a)
se factorise par (x - a).
2. Endéduire que pour tout polynôme P de degré n > 1 et tout réel a, il existe un polynôme Q
de degré n - I tel que P(.r) = (x - a) Q@) + P(a).
3. Etablir la propriété: « Un polynôme de rlegré n) lpeutse factoriser par r- a si et seule-
ment si P(a) = Q v,.

Exrnclcn 49 : ALGoRITHME DE HÔnNEn 30 minutes


Soit la fonction polynôme P définie sur R par P(x) = asÉ + a2x2 + a1x* a4. Soit a un réel fixé.
l, Coefftcients da Htirner associés à a
Onpose:h3- a3,
hz= az+ ah3,
ht= at+ahz,
ho= ao+ ahv,
a. Calculer les coeffrcients de Hôrner avec P(r) = 2f -3x2 + 5x -9et c = 3.
b. Programmer en Python, une fonction coeffIlornêt(a3,a2,a1,as,a) qtlj comme son nom
l'indique va calculer les coefficients cle Hôrner pour un polynôme donné.
2. h.IcaldaP(a)
a. Vérifierque P(x) =l@r** a2) x+ a1 x+ aa.
b. En déduire que P (u) = l1o.
c. Comparer le nombre de multiplications et d'additions nécessaires pour le calcul de
P(a):
. avec l'écriture initiale de P(.r);
. avec l'algorithme de Hôrner.
3. Factorkatianpar (x - a)
D'après l'exercice précédent, il existe un polynôme Q tel que P(x) = (x - a) Q(x) + P (a).
Lobjectif, ici, est de trouver rapidement llne expression de Q(x).
1.1. POLYNÔMESDU SECOND DEGRE t7

a. Prouver que P(.x) = (x - a) (h3x2 + h2x + h1) + hs.


b. Conclure.
c. Programmer en Python, une fonction donnantles coeffrcients du polynôme Q(r).

4. Appli,catîons
a. Soit la foncüon polynôme P, déflnie sur R, par P(x) - 2f -3x2 + 5.r -9.
Calculer P(3) puLis factoriser P par (r - 3).
b. Soit la fonction polynôme P, définie sur R, par P(x) = 5É + 2x2 - 3x - 4.
Calculer P(1) puLis factoriser P par (x - 1).

Remarques : Le calcul ,Ces coefficients et les résultats obtenus se généralisent à un degré quel-
conque.
Les liens entre les coefficients h; et la factorisation ont été étudiés par Hôrner (1786- 1837), mais
le calcul de P (a) était ctéjà utilisé par Newton.

Exnnclcn 50: PoTyNÔMEs D,INTERPoLATIoN DE LAGRANGE S0minutes

l. Soit a, b et c trois réels deux à deux distincts, a, B et 7 trois réels donnés.


Montrer qu'il ne peut pas exister deuxpolynômes P et Q distincts, de degré inférieur ou égal
à 2 vérif,ant:
P(a) = Q@) = a, P(lt) = Q@) = F, P(c) = Q@) =y.
2. Onconsidère les trois pollmômes :
(x- b)(x- c) (x- c)(x- a) (x- a)(x- b)
Ly(x) = = et rs(x) =
@_ D@_ rj,Lr(*) b_;@_; G:frc_b).
îL Calculer Lt(a) , l|z(a) , L{a) , h(b) , Lz(b) , Lz(b) , Lt@), Lz@) et Lt@) .

b. On pose P(x) - ,ah@) + BL2@) +Th@).


Calculer P(a), P(b) etP(c).
Vérifier que P est un polynôme de degré inférieur ou égal à 2.

3. Enoncer un résultat général établi dans les questions précédentes.


Remarque : Le polynôme P est le polynôme de Lagrange associé aux réels a, b et c.Lamé-
thode se généralise rà plus de trois coefficients.
4. Applications:
a. Déterminer le polynôme P, de degré inférieur ou égal à 2, vérifiant : P(0) = 2, P(-l) = 3
et P(2) = 5.
b. Déterminer le polynôme P de degré inférieur ou égal à 2, qui prend les mêmes valeurs
que la fonction .f (x) = \Æ aux points -3, -2 etl.
On dit que P réerlise une interpolation de degré 2 de f .
c. Quel est le nombre maximal de régions que déterminent z droites du plan (n) l)?
lg On admettra que ce nombre s'écrit P(n), P étant un polynôme de degré 2. On com-
mencera par calculer P(l), P(2) et P(3).
l8 CIIAPITREI. EQUA?IONS

1.2 Equations du second degré


1.2.1 Pointde cour:st

Définition I : Une équaüon du second degré, d'inconnue ,, est une équation qui peut s'écrire
sous la forme axz + bx + c = 0 oir a, b et c so.rt trois réels données (a étant non nul).
Définition 2 : on appelle discriminant du trinôme axz + bx + c, le nombre L = bz - 4ac.
Propriété I : Soit  le discriminant du trinôrne axz + bx + c.
. Si  > 0 alors l'équation axz +bx+ c = 0 admet deuxsolutions distinctes:

xt = -b- \tt\Et x2=-n+tFt .


Z-- 2o
. Si  = 0 alors l'équation a* + bx +c = 0 admet une solution uni.Que:.rs = -b
.
ü.
Si A < 0 alorsl'équation ax2 +bx+c= 0n'itdmetpasde solutionréelle.
Propriété 2 : Lorsque le trinôme ax2 + bx+ c admet detx racines distinctes ou confondues, leur
somme S et leur produit P sont donnés par les relations r S = -!aaet P = 9.
Propriété 3 : Deux réels ont pour somme S el pour produit P si et seulement si ils sont solutions
de l'équation : x2 -Sx + P = 0.

1.2.2 Exercices d'application de cours

EXERcICE 5l l0minutes
Résoudre les équations du second degré suivantes en utilisant la méthode du discriminant :
l. x2+J*l=0 4.Lx2+zx+g=o
2.3x2-2x-l=0 s.2*r*x_6=0
3. -x2+3x+9=0 6. x2-Z=O
EXERCTcE 52 lO minutes
Résoudre les équations du second degré suivantes en utilisant la méthode du discriminant:
l. x2+5x-6=0 4. -Sx2-3x+2=O
2, x2+x-2=0 5.4x2+l2x+4=O
3. -2x2 +3x+4=0 6. -3x2-4x=O
EXERCTcE 53 minutes 15
Résoudre les équations du second degré suirrantes en utilisant la méthode du discriminant :
^1 I
l. x2+9x+20=o 4' x"-
o'-o=o
2. -3x2 +2=0 5. 2x'^+ -x+5
I
=0
3. -5x2*r=0 3
6. 3* +2xt/6+2=o
1.2. EQUATIONS DU S-IICOND DEGRÉ l9

EXERCICE 54 l0 minutes
Résoudre les équations du second degré suivantes en factorisant :

l. (r+t)2-(zi+3)2=0 4. 81-(x2+6x+s)=o
2. x2+2x+l+(2x-3)l:r+l) =0 5. (3.r -l)(2x+5)-(1-*)(2r+5) =0
3. x2 - 16+ (r+4)(.r-ti) = g O. (2x+3)z -2(2x+3) + I = 0

EXERCICE 55 l0 minutes
Résoudre les équations du second degré suivantes en utilisant la forme canonique :

r. x2+4x+t=0 n.
f1+8x-25--o
0
2. x2 -3x+4 = 5. x+2=O
=x'+
3.2x2+x-2=o g.2-s*r-3x+2=o

EXERCICE 56 5minutes
Soit l'équation x2 + 14r'- 15 = 0.

l. Donner une solutiotr évidente.


2. Enutilisant la propriété 2, déterminer la seconde solution.

E1ER6TCE 57 l0 minutes
Résoudre les équationsi du second degré suivantes en utilisant la méthode de l'exercice ptécé-
dent:
l. x-2=o 4. -x2+3x=0
x2 + 1^ I
5. -xt +-x-l=0
2. x2 - x-2=O 22
3.2x2-x-1=0 6. x2-x-20=O

EXERCTcE 58 l0 minutes
Résoudre les équationsi du second degré suivantes en utilisant la méthode la plus adaptée :

1.9x2*x=o 4.5-x2=o
2.x2-t/2x-3=O 5. (x+2){3x-4)=x+2
3.x2+4x+4=0 6.5x2-9x+12=O

EXERCTcE 59 15 minutes
Chacune des courbes r:i-dessous est la représentation graphique d'une fonction / définie sur
Rpar/(x) =ax2+bx+'c.

l. Dans chaque cas, déterminer graphiquement les signes des réels a et c, ainsi que le signe du
discriminant.
2. Dans chaque cas, driterminer le signe de b.
20 CIIAPITRE 1. EQUATIONS

\v I v \ v t( 3

\ I "1 \^ I
1 I 7 \ \ /
\ / t- \
I ] , t0 x I 3 I t0 t
x I I 2 0 lx
I \( 2

v \ v I
U5 v U6

\ I
\ I
\ ) I
I ] , t0 x I I [0 x + I 10 ix
I
\
/ 1t 4 I
^/
I \
Exnncrcn 60 5 minutes
Ecrire une équation de la forme x2 + bx + c =, 0 dont les solutions sont :
l.3et7 3. rtet-t/E
2. 2 et-6 4. I + ,/5 ett- rfi.
EXERCTcE 6l lOminutes
Déterminer, s'ils existent, deux réels x et y connaissant leur somme S et leur produit p, en
supposant x ( .lr:
l. S=letP=-l 3. S=Zt/Setp=l
2. S=I2etP=36 4. S=-7etp=-41
EXERCTCE 62 lominutes
Déterminer, s'ils existent, deux réels x et y connaissant leur somme S et leur produit P, en
supposant r < y:
l. S=OetP=3 3. S=-t/2-t/Setp=\h0
2. S=l+netP=n 4. S=20I9et p=21lg
EXERCICE 63 l0 minutes
Résoudre les systèmes suivants :

x+y =4
l.
xy Jc
,.{ x+y =12
Jcy =36
, x+y =2 x+y _'7

=l *.{ xy
)cy =10
1.2. EQUATIONSDU STICOND DEGRÉ 2t

EXERCICE 64 l0 minutes
Déterminer les dimensirlns d'un rectangle d'aire 126 cm2 et de périmètre 50 cm.

EXERCICE 65 lO minutes
Déterminer les dimensi,cns d'un rectangle d'aire 3569 m2 et de périmètre 252 m

1.2.3 Enercices d'approfondissement

EXERCICE 66 5 minutes
Soit l'équation (E) : (m'+2)x2 +2(3m- l)x+ (m+2) =0.
l. Pour quelles valeurs de ml'éqtration admet-elle une solution double?
2. Calculer cette solution.

EXERCICE 67 l0 minutes
Soit l'équation (E) : x2 +-6mx+ (6rn + l) = 0.
1. Pour quelle(s) valeur(s) de ml'êqrntion admet-elle une des solutions égale à2?
2. Endéduire l'autre solution.

EXERCICE 68 Sminutes
Soit l'équation (.E) : xz t-2(3m- l)x+ (m+2) =O.
l. Pour quelle valeur dr,- ml'équation admet-elle une des solutions égale à -1?
2. En déduire l'autre solution.

EXERCICE 69 15 minutes
Démontrer la propriété 1.

EXERCICE 70 15 minutes
l. Démontrer la proprirlté 2
2. Démontrer la propririté 3

EXERCICE 71 15 minutes
Résoudre les systèmes suivants :

x+y srÆ-s
,{ -E 1

3.
x+y 4

xy=-i xy I
x+y = x-y I
,{ +
4.
xy=i xy 6
rs Pour le dernier système, on pourra poser Y = -/.
22 CHAPITRE I. EQUATIONS

Exrncrcr 72 l0 minutes
On considère l'équaüon (E) : 2x2 + (zt/z y'5
-t )x - =0
l. Résoudre (E).
2. Montrer que (zrls + 1)2 = tg + +t/3.
3. En déduire une expression simplifiée der; solutions de l'équation (E).

Exsncrcr 73 lO minutes
Résoudre les équations suivantes en posanl X = x2 :
l. x4 -B4xz +243 = o B. Zxa +Sx2 +2 =o
2. xa+Bx2-g=o 4. -xa+x2+2=o
EXERCICE 74 2Ominutes
Résoudre les équations suivantes en utilisatrt un changement d'inconnue
l. x6-3x3+2=o 4.2(sinx)2-7sinx+3=0
2.2(cosx)2-3cosx+t=0 5.
1l
-j(x-7)'^- x-7 -7=o
3. x+ 1/x-2=O 6. (2x-S)-3t/Zx-S+2=O
EXERCICE 75 lO minutes
l. soit P un polynôme défini sur R par P (x) = f - x2 - l4x + 24.
a. Calculer P(2).Endéduire une factorisation de P(x).
b. Résoudre dans R l'équation P(-r) = g
2. Endéduire les solutions des équations srrivantes :

a. x6 - x4 -l4x+24=o
8428 +24=0.
b. -=--=-
xrx'x
ExERcIcE 76 l0 minutes
Résoudre, dans R, les équations
l. 5- x=zt/Zx1 2. 2+ x- \Æx+3

EXERCTcE 77 15 minutes
Résoudre les équations suivantes
I
l. x+-=4 3.
x x-l
x 3x+4 4x
,
35
x-2 x+3
4. 2x+m 3x
x x+rn =2avecmunréeldonné,
-!--)
1.2. EQUATIONS DU SJïCOND DEGRÉ, 23

EXERCICE 78 15 minutes
Résoudre les équaüons suivantes

l.
x2 + x+I x+4 l3
3.
-2x+2
x2 x+1 x-l xz
15 -*-=0
2. ----=-+--3 4. l7-x+2= \/x{.
xz -4 x+2
EXERCTCE 79 : LOGTQUTE 15 minutes
Soit / une fonction pol'ynôme définie sur R par f @) = axz + b x + c avec a * 0.
On considère la proposition Pl : « Si ac < 0 alors l'équation f @) = 0 admet deux solutions
distinctes ».

l. proposition P1 est-elle waie? Iustifier.


La
2. a. Enoncerlaréciproque de P1, onla notera P2.
b. La proposition P2 est-elle waie? Iustifier.
3. a Enoncerlacontraposée de P1, onlanotera P3.
b. La proposition P3 est-elle waie? Justifier.
EXERCTcE 80 l0minutes
Alfred possède deux terrains rectangulaires de même aire. Le grand côté du premier terrain
mesure 130 mètres de plus que son plus petit côté. Le grand côté du second terrain mesure 150
mètres de plus que le grand côté du premier terrain et son petit côté mesure 154 mètres.
Quelles sont les dimenr;ions des deux terrains d'Alfred?

EXERCICE 8l l0minutes
La largeur d'un rectangle mesure 4 dm de moins que sa longueur. Sachant que son aire est égale
à 8,25 dm2, quelles sont les dimensions de ce rectangle?

EXERCICE 82 1O minutes
En multipliant par 2 puis en ajoutant 1 cm à chaque côté d'un triangle équilatéral, son aire
augmente de 10r/3 cm']. Quelle est la longueur du côté du triangle d'origine?

EXERCICE 83 l0minutes
En multipliant par /5 puis en enlevant I m à chaque côté d'un triangle équilatéral, son aire

diminue d" m2. Quelle est la longueur du côté du triangle d'origine?


f
ExBncrcr 84 : Uw PRoBLÈME nr Nrwrou IO minutes
Laire d'un rectangle est 540 m2 et les diagonales mesurent 39 mètres. Quel est le périmètre de
ce rectangle?

EXERCTCE 85 l0 minutes
Un triangle de dimensions 5, 6 et I n est pas rectangle. Peut-on, en ajoutant ou en retranchant
une même longueur sur les trois côtés, obtenir un triangle rectangle?
24 CIIAPITRE 1. EQUATIONS

ExEncrcr 86 lS minutes
Soit ABCD un rectangle tel que AB = I cm ct BC = 5 cm. Soit M un point de IAB), À/ un point
de [BC], Punpointde [CD] et Q unpointd: tD,Al tels AM= BN= Cp = De = x.
l. Sur quel intervalle varie x?
2. Déterminer l'aire du quadrilatère MNP() que I'on notera /4(.r).
3. Pour quelle(s) valeur(s) de x cette aire esl-elle minimale?
4. Pour quelle(s) valeur(s) de x cette aire esl-elle égale à 22 cmz?

EXERCTcE Bz ls minutes
Un train se dirige vers un tunnel à ütesse constante. Une vache, située à 5 mètres du milieu du
tunnel, entend le train lorsque celui-ci se situe à 3 km de l'entrée du tunnel.
Quelle que soit sa direction, la vache arrive au bout du tunnel au même instant que le train.
Quelle est la longueur du tunnel?

Exnncrcs 88 20minutes

l. Factoriser les expressions x2 + 2x -8 et 3.r2 - 7 x + 2.


3 x _^
2. Résoudre l'équation '----*
xz +2x-B 3xz -7 x+2

Exnncrcr 89 ---u. 15 minutes

l. Factoriser les expressions I + x - 2 et2it + x - 6.


2. Résoudre l'équation , ?* ^- --=
Jt- g.
xz+x-2 Zxz+r--6^ =
Exnnctcn 90 20 minutes
l. Déterminer le format d'un rectangle de krngueur I et de largeur 5, c'est-à-dire le rapport :

longueur
r largeur

2. Onconsidèreunrectangle ABCD delongueur AB= x etdelargeur AD= I avecl<x<2.


Soit E le point de [AB] et F le point de [DC] tels que AEFD soit un carré.
a. Exprimer les formats des rectangles IIBCD et BEFC en fonction de x.
b. Le rectangle AB CD est dit « rectangle d'or » s'il a le même format que le rectangle BEFC .

Quelle valeur doit-on donner à x pou r que ABCD soit un rectangle d'or. On note <D cette
valeur.
c. Déterminerles valeurs exactes de (D -. I et de O(O - 1).
d. Montrer que I'inverse de (D est O - 1.

EXERCICE 9I 15 minutes
l. Soit P le polynôme défini sur R par P(x) == f -Z* -l9x+20.
tL Calculer P(l). En déduire une factoririaüon de P(x).
25
1.2. EQUATIONS DU SE:COND DEGRÉ

b. Résoudre dans R l'équation P(x) = 0.


2. En déduire les soluti«rns dans R des équations suivantes
?L -zxa - L9x2 + 2o = o
x6
L219
b. x"x
"- "--+20=0.
EXERCICE 92 15 minutes
Soit l'équation (E) : x3 -- x2 - Sox - 48.
l. Résoudre, dans R, l'équation x2 -2x-48 = 0.
2. Vérifier que -1 est solution de (E).
3. Déterminerles réels a, b, ctels que f - x2 -50x- 48= (x+l)(ax2 +bx+ c).
4. Résoudre, dans R, l'équation (E).

EXERCICE 93 l5 minutes
Soit l'équation (E) : 3x3 - x+lo.
- Bxz

1. Résoudre, dans R, l'é'quation 3x2 - 2x -


5 = O.
2. Déterminer une solution « éüdente » de (E), on la notera x6.
3. Déterminerlesréels A, b, ctelsque 3x3 -Bx2 -x+10= (x-*s) (axz+bx+c).
4. Résoudre, dans R, l'é,quation (E).

Exrncrcr 94 15 minutes
Soit l'équation (E) : xa - 8f + l2x2 + 5x - 10 = 0.

l. Résoudre, dans R, l'érquation x2 - 5x - 5 = 0.


2. Déterminer deux solutions « éüdentes » de (E), on les notera x3 et x4.
3. Déterminerlesréels a,b,ctelsque xa-Bx3+I2x2+5x-10=(r-xr)(x- x)(axz+bx+c).
4. Résoudre, dans R,l'érquation (E).

EXERCICE 95 25 minutes
Un triplet pÿhagoricien est un triplet (x; y; z) d'entiers naturels non nuls vérifiant la relation :

x2+y2-22.
l. Existe-t-il des tripletrs pythagoriciens constitués d'entiers consécutifs?
2. Ecrire une fonction, en langage $rthon, qui affiche les triplets pythagoriciens pour x et y
inférieurs ou égaux ài 100 et x ( y.

Exnnclcp 96 25 minutes
Onconsidèrel'équatiorrdusecond degré ax2 +bx+c=0, où a, b, csonttrois réelseta*0.
Dans un repère orthonormal (O, I, n,on considère les points A(a; O), 8 (a; b) et C (a - c; b).
Soit P le point de coord,onnées (-l; a), avec o un réel quelconque et Mle point d'intersection
des droites (OP) et (AB).
l. Déterminer les coordonnées du point M.
26
CIIAPITRE 1. EQUATIONS

2. Démontrer que le triangle OMC est rectangle en M si et seulement si a vérifie l,équation


ax2+bx*c=0.
3. Donner une construction géométrique )ermettant de résoudre graphiquement l,équation
ax2+bx+c=0.
4. Appliquer cette méthode aux équations ;uivantes :
a. x2+6x-B=0 c.4x2-Sx+6=O
b. x2+x+L=0 d. gx2+6x+1=0
5. A quelle condition géométrique existe-t-il des solutions?

Exrncrcn g7 2O minutes
Alors qu'une colonne de l'armée de / km de long, avance àvitesse constante, un messager part
de l'arrière-garde, galope pour aller délivrer un message à l'avant, puis revient à l'arrière-garde.
Il arrive à l'arrière-garde exactement au mo rrent oùr la colonne à parcouru / kilomètres.
Quelle est la distance totale parcourue par l: messager?
rs Non, il n a pas parcouru 2/ kilomètres!

1.3 Inéquations
1.3.1 Point de cours

Propriété : Soit la fonction polynôme définie sur R par P(x) = ax2 + bx + c avec a 10.
. Si  > 0, P admet deuxracines 11 et x2 (x1 < x2).

x -oo X1 X2 +oo
Signe de P(x) signe de a 0 signe de -a 0 signe de a

. Si  = 0, P admet une racine double x6.

x -oo .Ig +oo


signe de P(x) sigpe de a 0 dea

. Si A < 0, P(x) est toujours du signe dtréel a.

1.3.2 E>rercices dapplication de courli


EXERCICE 98 2Ominutes
Etablir le tableau de signes des polynômes suivants :
l. P(x) = x2 + x+l 3. P(-r) =2x2 +3x-S
2. P(x)=-3x2+x+10 4. P(x)=2)c2-2xJ6+3
27
1.3. rNÉQUATTONS

20 minutes
EXERCICE 99
Etablir le tableau de sig:nes des polynômes suivants :
f. p(x) =s-zxt/5+i2 S. P(x) =x2-zx-Ls
z. pfx) = -xz +4x-B 4. P(x) = ',/2x2 +(tÆ-z'/lx+2'/6

Exrncrcp 100 2Ominutes


Etablir le tableau de signes des polynômes suivants :

f. P(x) =-6x2-5x+6 3. P(x)=-x2-4x+4


2. P(x) = -6x2 - x -l 4. P(x) = x2 + x+3
EXERCTCE 101 2ominutes
En choisissant la méthode la plus adaptée, établir le tableau de signes des polynômes suivants :

t. P(x)-(3x-2)(2x+3) t. p(x)=(x+Z)2-9(x-t)2
2. p(x)- (3x+ r)(x-2"t -(Sxz +Sx) 4. p(x) - -2- (2x-9)2
EXERCICE IO2 2Ominutes
Résoudre les inéquations suivantes :

l. x2+x+1<0 3. 2x2 +3x-5)O


2. -3x2 +x+ 10 ( 0 4. 2x2 -2xt/6+3>0
EXERCICE IO3 20 minutes
Résoudre les inéquations suivantes :
l. -6x2-5x+6(0 3. -x2 -4x+420
2. -6x2 -x- I ( 0 4. x2 + x+3) O
EXERCICE I04 20 minutes
Résoudre les inéquations suivantes
t. 3-2xt/5+ x2 >o t. x2-2x-15(o
2. -x2+4x-8<0 +. t/2x2 + (/6- zJ4*+2,/a<o

1.3.3 Exercicesdapprofondissement
EXERCICE IO5 lO minutes
Résoudre les inéquations suivantes :

l. (x+2)2 ( (3x-5)2 2, x2 +6x-4{2x2 -9x-B


EXERCICE I06 lOminutes
Résoudre les inéquatiorrs suivantes
l. -x2 +4x+5)- -2xz +3x+4 2. 3x2 -2x+3) x2 -2x+7
Exnncrcp 107 lO minutes
Résoudre les inéquations suivantes :

l. x2 +3x+ 5 ( 12 - xt-} 2. (3x-42 > (x+3)2


28
CHAPITREI. EQUATIONS

Exnncrcr l0B
15 minutes
Résoudre les inéquations suivantes :

l. x3+3x+2 ( x3 -zxz - 4x-g


2. (2x+D2 > Gx-t)2
3. -5x2 +x+2(3x2+ Zx-Z

Exnncrcn 109 l0minutes


Soit une droite D d'équatio n ÿ = - x - 4 et u: le parabole ? d'équatio n y = Zx2 + 3 x 4.
-
l. Résoudre l'équation 2x2 + 3x - 4 = -x - 4.
2. En déduire les points d'intersection de D et 3.
3. Résoudrel'inéquation 2x2 +3x-4 ( -x.-4.
4. En déduire les positions relatives de D et P.

EXERCICE I l0 lO minutes
En utilisant la méthode de l'exercice 109, étudier les positions relatives de la droite D d'équa-
-
tion y = 3x + 2 et dela parabole P d'équatiotr y 3x2 - 8x - 2.

EXERCICE lll l0minutes


En s'inspirant de la méthode de l'exercice ll)9, étudier les positions relaüves des paraboles ?1
d'équation ÿ = - x2 + 6x - I et pzd'équation ÿ = x2 - 5x + 3.

EXERCICE II2 l0 minutes


Etablir le tableau de signe des polynômes suivants :
1. P(x) - (x+2)(A*'-5x-6) 2. P(x)=(3-2x)(x2 -Zx+Z)

ExERcIcE II3 10 minutes


Etablir le tableau de signes des polynômes suivants :

r. P(r) =(-*2 -ax+a)g-2x) 2. P(x)- (*'*x-z)(x2 -5x+6)

ExERcIcE II4 l0 minutes


Résoudre les inéquations suivantes
l. (.x+ D(6x2 -5x-6)< o 2. (3-29(x2 -3x+2))o

EXERCICE 115 lO minutes


Résoudre les inéquations suivantes :

r. (-*'-ax+a)(6-2.r) ( o 2. (*' + x-2)(.r2 -sx+o) >o

ExnncrcE I l6 : DÉuoNsrRATIoN lOminutes


Démontrer la propriété des tableaux de signes des trinômes du second degré.

Exnncrcs 117 : LocreuE 15 minutes


Soit /(r) une fonction polynôme de degré 2 et  son discriminant.
SoitlapropriétéP1: <<S'ilexistedeuxréels xl etrz telsque/(xr) 1@ù <0alorsÀ>0.
29
r.3. INÉQUATIONS

l. a. Enoncer la réciproque de la propriété P1, floüs la noterons P2'


b. La propriété P2 est-elle vraie? Justifier.
2. a. Enoncer la contraposée de la propriété P1, rloüs la noterons P3'
b. La propriété P3 est-elle waie? Justifier.
c. La propriété P1 est-elle waie? Iustifier.

EXERCTCE I l8 15 minutes
Soit P(x) = 6x4 - 4lx3 + 69x2 + 6.r - 40.

l. Déterminer un polynôme Q tel que, pour tout réel x: P(x) = (x - f ) (x - 4) Q(x).


2. Après avoir détermirré les racines de Q, résoudre l'inéquation P(x) ( 0.

EXERCTCE I l9 15 minutes
Soit P(x)= - l3x - 2lO.
-6x4 + 13x3 + 96x2
l. Déterminer un polynôme Q tel que, pour tout réel x: P(x) = (.r - 5) (x +2) Q@).
2. Après avoir déterminé les racines de Q, résoudre l'inéquation P(x) ) 0.

EXERCICE I2O 15 minutes


Soit P(x) = -Bx4 + l4x3 + 47 x2 - 4lx - 30.
l. Déterminer un polynôme Q tel que, pour tout réel x : P(x) - (x + 2) (x - 3) Q(x)
2. Après avoir déterminé les racines de Q, résoudre l'inéquation P(x) > 0.

EXERCICE l2l lSminutes


soitP(x) =-x4+(t/r-'/s-z)f +(t/o-zt/5+z'/2+s)x2+(z'fo+s'fs-st/\x-st/6.
l. Dérerminer un polynôme Q tel que, pour tout réel x : P (x) = (x - 14 @ * y'5) Qtrt.
2. Après avoir déterminé les racines de Q, résoudre l'inéquation P(x) < 0.

EXERCTCE 122 lsminutes


Discuter, suivant les va.leurs du paramètre réel rz, le nombre de solutions réelles de l'équation
2x2 + (l - m)x +2(m- ll) = g.

EXERCTCE 123 15 minutes


Discuter, suivant les valeurs du paramètre réel m, le nombre de solutions réelles de l'équation
x2+mx+(2m-3)=0.
EXERCTcE 124 l5minutes
Sur route sèche, la distance de fteinage d'une voiture est donnée par la formu rc a. = I ,, *! ,,
où d est exprimée en mrètres et z en km/h
150 5

Quelles sont les ütesses permettant de s'arrêter en moins de 10 mètres ? En moins de 30 mètres ?
30
CTIAPITRE 1. EQUATIONS

EXERCICE I25 15minutes


Résoudre l'inéquation suivante
(3x2 +zx- I)(x2 + x+z)
:
(a- @-;d->o'
ExrncrcE 126 15 minutes
Résoudre les inéquations suivantes

l. 3x2 +l x-2 2x-5


_+_<2.
)2x. 2.
x+4 x+ I x-2
Exrncrcr 127 15 minutes
Résoudre les inéquations suivantes :
433x2 x 2x+3
I
-- 2- x Jc+z' 4- x2' 2x+3 - x
-f -\_

EXERCICE I28 15 minutes


Résoudre les inéquations suivantes :

,.
- (6x -3)(x -
, -='(2t'. txsï€ 2s. ,.n-'*-Ti_-!l!!tt'**'t
4)
*0.

EXERCICE I29 15 minutes


Résoudre les inéquations suivantes :
7x+3
r _\_ 2-3x -3x2 -7x+6 8x-3
3x+2'3xz+5x+2 2xz-l3x+20 - 5-2x
ExERcIcE I30 20 minutes
Résoudre les inéquations suivantes
5x-2 4-3x x-3 2-3x
x-2 x+2 xz-2x-15 - 5-x
ExERcIcE I3I 15 minutes
Résoudre les inéquations suivantes:
3 -2x 12- 4x 3x-L 2x-3
x+2' 2x+I xz-2x+I - x-l
ExERcIcE I32 20minutes
Résoudre les inéquations suivantes :

x2 +5x+6 x2 -3x-ro -
x2 x-30
t-
xz -3x-4 x+ I
2. -2<.^(2
- 8+2x-x'

EXERCICE I33 15 minutes


Résoudre l'inéquation suivante :

llr
x-l x x+I'
-+-+->x,
31
r.3. rNÉQUATTONS

EXERCICE I34 20minutes


On considère la fonctiorr polynôme P définie sur R par P(x) = x2 + ax+g oùr a est un nombre
réel.
l. Discuter le nombre cle racines de P en fonction des valeurs de a.
2. Déterminer les valeurs de a telles que pour tout réel x, P(x) > -3.

EXERCICE I35 20minutes


On considère la fonctiotr polynôme P définie sur R par P(x) = 3x2 + 6x -7.
l. Dresser, en justifiant, le tableau de variations de P.
2. En déduire l'extremuLm de P(.x) sur R. Quelle est la nature de cet extremum?
3. Résoudre l'inéquation P(x) ( 0.
4. Déterminer les valeurs de x telles que -1 < P(.r) < l.

EXERCICE I36 15 minutes


on considère la fonctiorn e(x) définie par e(.r) =
#*
1. Déterminer l'ensemble de définition de Q.
2. Montrer que pour tout réel x, -6 < Q(r) < S.

EXERCICE I37 25 minutes


on considère la fonctiorn Q déf,nie par Q(x) = ?*'^-'
x2 +2x+2=
l. Déterminer l'ensemble de définition de Q.
2. Montrer que pour tout réel x, -2 < Q(x) ( 4.

3. Calculer Q
4- \/E
Montrer que le maximum de Q est l+ \/8.
2

4. Calculer Q
-3 + \/5 Montrer que le minimum de Q est l- \/i.
2

EXERCICE I38 25 minutes


On considère la fonction Q déflnie par Q(x) = x2-*'-!2+2'
^.
-2x
l. Déterminer l'ensemble de définition de Q.
2. Montrer que pour tout réel x, 0 ( Q(x) ( 6.
3. Calculer a(t/4. Montrer que le maximum de Q est 2+ t/2.
4. Calculer a?{4. Montrer que le minimum de Q est 2- rt

EXERCTCE 139 2sminutes


On considère les fonctions polynômes P et Q définies sur R par P(x) = xz -3x+l et
Q(x) = 4x3 + 4x2 - 9x + .t, de courbes représentations respecüves €p et eq.
l. a. Donnerlaforme canonique deP(-r).
b. En déduire l'extr,smum de la fonction P(x).
32
CTIAPrTRE 1. EQUAmONS

c. Déterminer les points d'intersection de la courbe 8p avec l'axe des abscisses.


2. u Donner une racine évidente de e(-r), on la notera a.
b. En déduire un polynôme R(.r) tel qu : pour tout réel x :
e{.r; = (x - a)R(x).
c. Déterminer les racines de e(x).
d. Dresser le tableau de signes de e(x).
3. Déterminer les points d'intersection des courbes €p et eq.

1.4 Préparer l'examen


ExERcrcr r4o : QCM ls minutes
Cet exercice est un questionnaire à choix mulüple (QCM) comportant cinq questions.
Pour chacune des questions, une seule des rluatre réponses proposées est correcte.
Question I
Soit a, b et c trois réels, a I 0 et soit / la fon ction définie
sur R par : f(x) = axz + bx+ c.
La représentation graphique de la fonction / dans un
repère orthonormé est donnée ci-contre, Soit son
discriminant. On peut affirmer que : ^ l
a.a<0etA<0 c.a<Oet^>0
b.a>OetÂ<0 d.a>OetA>0

Question 2
IJinéquation x2 +2x+B)- 0
a. n a pas de solution c. a pour ensemble de solutions l'intervalle [-4; 2l
b. a une unique solution d. a pour solution l'ensemble des réels.
Question 3
Soit / une fonction polynôme de degré ll dont la re-
présentation graphique dans un repère orthonormé
est donnée ci-contre. Par lecture graphicue, on peut
affrrmer qu'une forme factorisée de / est :
a I,5(x+2)(x-L)
b.1,5(x-2)(x+ 1)
c. -1,5(x+2)(x - 1)
d. -1,5(x-2)(x+ f; -1

Question 4
On considère, dans un repère du plan, la parabole P d'équatiof y = x2 +l1x +25.
a. P n admet aucun point d'intersection av(rc l'axe des abscisses
b. ? admet un unique point d'intersecüon rLvec l'axe des abscisses
c. ? admet detx points d'intersection avec l'axe des abscisses
1.4. PRÉPARERI:EXAMEN 33

d. ? admet trois points rf intersection avec l'axe des abscisses.

Question 5
On considère la fonction / définie sur R par T @) = 2x2 - x + B.
Le tableau de variations de la fonction / est :
I I
x -oo n +oo )c -oo 4 +oo

îL b.
r r
\.//
r4 I
x -oo +oo x -oo n +oo

c. d.
r \\ r \,/
,/
EXERCTCE l4r : QCM lsminutes
Cet exercice est un questionnaire à choix multiple (QCM) comportant cinq quesüons.
Pour chacune des queslions, une seule des quatre réponses proposées est correcte.
Question 1
Soit a, b et c trois réels, a I 0 et soit / la fonction définie
sur R par : I (x) = a x2 + b' x+ c La représentaüon graphique
de la fonction / dans un repère orthonormé est donnée
ci-contre. Soit  son discriminant. On peut affirmer que :
ua<0etÂ<0 c,,a<0etÀ>0
b.a>OetÂ<0 d.a>0etÂ>0
Question 2
Linéquation x2+x-2:i0
solution
a" rt'a pas de c. a pour ensemble de solutions l'intervalle l-2; ll
b. a une unique solution d. a pour solution l'ensemble des réels.

Question 3
Soit / une foncüon polynôme de degré 2 dont la re-
présentation graphique dans un repère orthonormé 2

est donnée ci-contre. Par lecture graphique, on peut I


affirmer qu'une forme factorisée de / est:
a. (x+ r)(x+3) c. (r- 1)(x-3)
b. -(x+ 1)(x+3) d. -(x- 1)(x-3)
-t

Question 4
On considère, dans un repère du plan, la parabole I d'équatio î ÿ = - x2 + 2x - 3.
a ? n admet aucun point d'intersection avec l'axe des abscisses
b. P admet un unique point d'intersection avec l'axe des abscisses
c. ? admet der-rx points d'intersection avec l'axe des abscisses
34 CHAPITRE 1. EQUATIONS

d. P admet trois points d'intersection avec l'axe des abscisses.

Question 5
I- équation -2x2 + x - 4 = 0 admet detx sok tions. Leur somme S et leur produit P sont :

aS=letP --4 I
c.S=-etP=2
b.s=-let D-_.) 2
2 d.S=-letP=-4.
Exnncrcr f 42: QCM tsminutes
Cet exercice est un questionnaire à choix m rltiple (QCM) comportant cinq questions.
Pour chacune des questions, une seule des iluatre réponses proposées est correcte.
Question I
/
Soit la fonction définie sur R par /( x) = (x - D (xz + x + t). La fonction / :
a. n a pas de racine réelle, c. a exactement deux racines réelles,
b. a exactement une racine réelle, d. a exactement trois racines réelles.
Question 2
I-inéquation x2 -gx - 4> O a pour ensemble de solutions :

uE=@, c.§=l-oo; -Un[4; +oo[,


6.§=[-t;4], 4.3={-r;a}
Question 3
Soit / une fonction polynôme du second de gré dont le tableau de signes est donné ci-dessous :

x -oo -3 2 +oo
fG) 0 + 0

Une expression de /(x) peut être :


u-x2-.r+6, c.g-x2,
b.x2+x-6, d.-x2+x+6
Question 4
On considère la fonction / définie sur R par f @) = -Sx2 +3x+2.
Le tableau de variations de la fonction / est :

)c -oo -roa +oo x -oo *Â +oo

a. c.
f r ,/\
x -oo _3tn +oo x -oo
3
lô +oo

b. d.
r r \,/
1.4. PREPARERI:Fjr'AMEN 35

Question 5
Léquation 3x2 + x- 10 == 0 admet detrx solutions. Leur somme S et leur produit P sont :

a.§=tetP=-l0
-i'- *"10 ^ 1 - l0
c'S=:etP=-=-
b.S=-letp=-I 3 3 3
3--- d.S=-letP=-10.
EXERCTCE 143 : QCM 15 minutes
Cet exercice est un questionnaire à choix multiple (QCM) comportant cinq questions.
Pour chacune des questions, une seule des quatre réponses proposées est correcte.

Question I
Soit la fonction / défini,e sur R par f @) = 3x2 - 3x - 6.
Parmi les propositions siuivantes, laquelle est exacte?
a.f(x)-(3x+3)(3x-6) c.fG)=3(x-l)(x+2)
b./(x) = 3(x+ r)(x-2) d. f fxl = (3x-3)(3x+6)

Pour les quatre questions suivantes, on se place


dans un repère orthonormé du plan, on a tracé la
courbe représentative d'une fonction g déflnie sur
Rpar g(x) = ax2 +bx+ c où a,b et c sonttrois réels,
a*0.

Question 2
IJéquation S(x) = 0 a pour solution(s) :
a. B c.-2et4
b. 0 d..4.
Question 3
Léquation S@) =9 adnret :
a. aucune solution c. deux solutions
b. une unique solution d. trois solutions
Question4:
Linéquation g(r) > 5
a. a pour solution l'ensermble des nombres réels
b. a pour ensemble de solutions I'intervalle [-l ; 3]
c. a pour ensemble de s,olutions l'intervalle ] - f ; 3[
d. n a pas de solution

Question 5:
Soit  le discriminant de g. On peut affirmer que :
a.a>0etÂ>0 c.a<Oet^>O
b.a>}etA<0 d,.a<}etÀ<O
36 CHAPITRE 1. EQUATTONS

Exnncrcn 144 :Vner/Feux lS minutes


Soit la fonction / définie sur R par f (x) = - Z(x + t)2 + +.
Pour chacune des cinq affirmations, dire si elle est vraie ou fausse. Chaque réponse devra être
justifiée.
l. La forme développée de /
est f @) = -2s:2 +2.
2. Le tableau de variations de la fonction est : /
x -c(, -I +oo
4
r
3. La courbe représentative de la fonction.,l" admet un sommet de coordonnées (4 ; -l).
4. Lafonction / admet un maximum en (-1 ; 4).
5. Le tableau de signe de /(r) est:

x -q) -2 t +oo
Signe de /(x) 0 + 0

ExEncrcr 145 : VRAr/FAUX lS minutes


Pour chacune des cinq affirmations, dire si elle est waie ou fausse. Chaque réponse dewa être
justifiée.
l. Soit / la fonction définie sur R par lG) = axz +bx où a et b sont deux réels strictement
positifs.
La courbe représentative de /, dans un r-père orthonormé est tracée ci-dessous :

:
l II I

2. Soitl'équation axz +bx+ c = 0 où a,b el csonttroisréels, a 10.


Si a et c sont de signes contraires alors l'rlquation admet deux solutions réelles distinctes.
3. Lensemble des solutions dans R de l'équ at ion x2 = 5x - 4est S = I
{ }.
4. Lensemble des solutions de l'inéquation -x2 + 2x +3 > 0, otr ï estun réel, est S = ]-1 ; 3[.
5. Lescourbesreprésentativesdesfonctior. f@)=5x2+3x-2etg(x)=4x2+2x+lontdetx
points d'intersection.
1.4. PRÉPARER I: EXAM:EN 37

EXERCTcE 146 20minutes


Un maître nageur veut délimiter la zone de baignade surveillée. Il souhaite réaliser une zone
rectangulaire dont un c,ôté est matérialisé par la plage et les trois autres par un cordon flottant
amarré à la limite sable - eau. Il dispose de 200 mètres de cordon. Il souhaite délimiter une zone
d'aire maximale.
Soit x la longueur, en dizaine de mètres, du côté de la zone perpendiculaire à la plage.
On appelle fonction qui à x associe A(x)l'ure de baignade.
"4la
l. Quelles sont les vale'urs possibles pour x?
2. Yérifrer que.4(x) = --2x2 +20x.
3. Démontrer que la forme canonique de A(x) est -2(r - 5;2 + 50.
4. Parmi les courbes suivantes, identifler celle qui représente la fonction .4.

70

60

50

40

30

20

l0

2 2 4 810121416

5. Dresser le tableau de variation de la fonction,4.


6. Pour quelle valeur de x l'aire de la zone de baignade est-elle maximale? Quelle est alors la
valeur de cette aire?

EXERCTCE 147 2ominutes


Un agriculteur veut délimiter un parc pour ses poules et un autre pour ses chèwes. Il souhaite
réaliser deux zones carrées indépendantes (il ny a pas de côté commun aux deux parcs). Il
dispose pour cela de I00 mètres de grillages.
Soit x la longueur, en rrLètres, du côté du parc des poules .
On appelle "4 la fonction qui à r associe A(x) l'ure de totale des deux parcs.
l. Quelles sont les valeurs possibles pour x?
2. Vérifler que.4(x) = 2*2 - SOx + 625.
3. Démontrer que la forme canonique de A(x) est 2(x - 12,5)2 + 312,5.
4. Dresser le tableau de variation de la fonction.4..
5. Pour quelle valeur dr: r l'aire totale est-elle minimale ? Quelle est alors la valeur de cette aire ?
3B CIIAPITRE I. EQUATIONS

EXERCICE I48 20 minutes


D GC
Soit,4BCD un rectangle tel que AB = 4 cm ct BC = 3 cm.
Sur les côtés de ce rectangle, on place les points E, F, G et H H
comme sur la flgure ci-contre tels que : AE .= BF = CG = DH.
On pose AE = x cm.
On appelle la fonction qui à x associe A(x) l'ure du quadri- F
"4
latère MNPQ.
A B
E

l. Quelles sont les valeurs possibles pour x ?

2. Vérifier que la somme des aires des quatre triangles AEH, BEF, CFG et DGI{ est égale à
7 x -2x2.

3. En déduire que Ax = 2x2 -7 x + 12.


2
4. Démontrer que la forme canonique de A(x) est2 x--7 + 47
4 I
5. Dresser le tableau de variation de la fonc tion "4.
6. Existe-t-il une position de E pour laquell : "4 est minimale ? Si oui, quelle est sa valeur ?

7. Résoudre, dans R, l'équation 2x2 -7x +5 = 0


8. Existe-il une position du point E pour lacluelle "4 est égale à7 cm2?

EXERCICE I49 20 minutes

Dans son champ, Bob possède un poulailler de forme


rectangulaire, de dimensions 6 m et 3 m. Il souhaite lais- , C
ser plus d'espace à ses poules, pour cela il ve rt construire
un enclos comme l'indique la figure ci-cont:e.
M
Bob dispose de 21 m de clôture.
Le poulailler est représenté par le rectangle hachuré, la
pafiie en blanc représente la partie extérieure pour les
poules.
On pose AB = x. On appelle,4 la fonction qrri à -r associe 4
l'aire extérieure.
n B

"4(.r) correspondant à

l. Démontrer que AD = L5- x.


2. Démontrerque A=-x2 +I5.x-18.
2 ts3
3. Démontrer que la forme canonique de A(x)*, - (r-
i) +-4
4. Dresser le tableau de variation de la fonc ion "4.
5. Pour quelle valeur de x l'aire "4 est-elle rr aximale? Quelle est alors la valeur de cette aire?
1.5. ALLERPLUSTOIN 39

1.5 Allerplusloin
EXERCTcE 150 l5minutes
Pour un réel x,l'unique nombre dont le cube est égal à x s'appelle la racine cubique de x et se
note ffi.
,g on a donc pour tous réels x et y, (ÿ-ù3 = x et |Fÿ = î/ x {y.
Soitr= y6r-1/G-.
l. Montrerque f3 +3t--4=0.
2. Montrerqu'ilexistetroisréels a,betctelsqueVr€R:F+3t-4=(f-l)(at2+bt+c).
3. En déduire que f est un nombre entier.

EXERCTCE l5l lOminutes


Deux points My et M2 sont mobiles sur un même axe x'Ox. Leurs mouvements commencent
à l'instant de date r = 0, Léquation horaire du mouvement de M1 est xr = -t2 + l0ü, celle du
mouvement de M2, xz == -EP +7 t + 20, xl et .r2 désignant les abscisses des points Mt et Mz à
l'instant f.
l. Montrer que les mob,iles M1 et M2 se rencontrent une fois et une seule au cours du mouve-
ment. Dire à quel instant et en quel point.
2. Calculer les ütesses instantanées des deux mobiles à I'instant de leur rencontre.
lg Si un point A se driplace selon une trajectoire d'équation x = f G) , sa vitesse à I'instant fs
sêrâ u6 = lt(tù.
EXERCTCE 152 l5 minutes
Lors d'une course hippique, les chevaux sont numérotés de I à z. Un des chevaux, blessé, ne
prend pas le départ,la somme des numéros des partants est 260.
Combien y a-t-il eu de çrartants et quel est le numéro du cheval non partant?

EXERCTCE tsg 15 minutes


Des enfants se partagent un sachet de bonbons. Le premier enfant en prend un et le sixième de
ce qui reste, le 2e en prend 2 et le sixième de ce qui reste, le 3e en prend 3 et le sixième de ce qui
reste, et ainsi de suite jusqu'au dernier enfant qui lui prend tout ce qui reste.
Combien y avait-il d'enfants et combien chacun a-t-il pris de bonbons, sachant que tous les
enfants ont eu le même nombre de bonbons?

EXERCTCE 154 lominutes


Existe-t-il des valeurs n e N, telles que les derx racines du polynôme P(x) = x2 + nx+l soient
rationnelles?
40 CHAPTTRE 1. EQUATTONS

EXERCICE I55 20minutes


Soit [AB] un segment de longueur 2, e1
le demi-cercle de centre O et de diamètr,l
e2
IABI, ez le demi-cercle de centre,I et de dia-
mètre [AO].
Soit 11 un point du segment [AO]. La per-
pendiculaire à (AB) passant par If coupe e 1

enNet e2enM. T
o B
A
Où placer le point H de sorte que
-2 lrflf = 1i

EXERCTCE 156 lominutes


Comment choisir les constantes réelles a., b et c pour que la fonction polynôme P définie sur
R par P(r) = axz + bx + c vérifre l'équation .cpt(x) - 2p(x) = gz

EXERCTcE ls7 2Ominutes


l. Déterminer les entiers relatifs a, b, c et rl tels que, pour tout réel x, on ait

x3 + ax2 + 4x --8 - (x+ g (xz + cx + d).


Attention, il y a plusieurs solutions.
2. Soit p un nombre premier donné, supérieur à 2, déterminer, en fonction de p, les entiers
relatifs a, b, c et d tels que, pour tout rétl x, on ait

x3 + ax2 +4x1 p - @+ b1(x2 + cx+ d)

Exrncrcn l5B 20minutes


l. Décomposer le polynô me x4 + 4 en prod uit de detx facteurs du second degré.
2. Endéduire que 5 est le seul nombre prernier de la forme Na + 4, avec N entier naturel.
3. Montrer que si N n'est pas un multiple de 5, Àüa + 4 est un multiple de 5.

ExERCTcE 159 20minutes


Dans I'ensemble des polynômes à coefficierrts réels d'une variable x, on considère les cinq po-
lynômes Ao, At, A2, A3,A4définispar
Ao(x) - l, Ar(x) - x - I, A2(x) = (x - l)(x -2),
A3(x) = (x - l)(x -2)(x -3), A+(x) = (x - l)(x -2)(x- 3)(.r- 4).
l. Montrer que tout pobmôme P qui possèrle un degré inférieur ou égal à 4 admet une expres-
sion, et une seule, de la forme
P=aoAo*ayA1 1a2A2*a3A3*aaAaott40, at, a2, aseta4sontdesconstantesréelles.
2. Onchoisit le polynôme P défini sur R par P(x) = 1ç4.
Calculer les coeffrcients correspondants à ce polynôme.
1.5. ALLERPLUSLOIN 4l

EXERCICE 160 20minutes


Déterminer le réel a potr que l'équation x2 -5x+ a = 0 admette deux solutions réelles distinctes
comprises entre 1 et 9.

EXERCICE 161 15 minutes


tana+tanb
l. Démontrer que tan (,2+ b) = :-I-tanaxtanb'.
* kn (k eZ), tana=
t't'.
n€ Pour tout réel o * 1z cosa
2. On suppose que tan,, et tan b sont les solutions de l'équation x2 + px + q = O.

Déterminer la relation errtre pet q pour qlre a+ A = 1.


J

ExERCTcE 162 l5minutes


l. Sachantquel'équatiottx4-3x3-12x2+4Bx-64=0admetdeuxsolutionsréellesopposées,
déterminer ces deux solutions.
2. En déduire une factorisation du polynôm e P(x) = x4 - 3x3 - l2x2 + ABx - 64.
3. Montrer que l'équation n'admet que deux solutions réelles.

EXERCICE 163 lSminutes


On considère l'ensemble (E) des équations de degré 4, à coefficients réels, de la forme

(1) x4 + ax3 +bxz + ax*l=0.


l. Vérifier que 0 n est pas solution de l'équation (t).
2. Après avoir divisé l'équation par x2 et posé u. = x +1, *orrtre, que la nouvelle inconnue u
est solution de l'équation : (2) uz + au+ b -2= 0. '
3. En déduire les solutir:ns de l'équation x4 + x3 -4x2 + x+ 1= 0.

EXERCTCE 164 : MÉrnoDE DE nEr Frnno 30 minutes


Le but de l'exercice est tl'établir une formule permettant de résoudre les équations de degré 3.

l. Enposantx=t-;!,-o.rt."rquetouteéquationdedegré 3,ax3+bx|+cx+d=0peutse
5A
ramener à une t3 + pt + q = O
équalion de la forme
2. Endéveloppant (u+u)s,montrereue f = u+uestsolutiondel'équation 13+ pt+q=gsi
us+u3 = -q
uu=-Ë
3. En posant X = u3 et Y =u3, montrer que X vérifie l'équation (D U2 + qtJ -Ç = O.

4. Résoudre l'équation (E).


5. En déduire les valeuls de a et rl en fonction de p et q.
6. En déduire une solution exacte de l'équation ax3 + bx2 + cx + d = O, eîfonction de a, b, c et
d.
7. Déterminer une solution exacte de chaque équation :
42 CTIAPITRE 1, EQUATIONS

a. x3 +3x+2=0
b.f +3xz -2x+4=0.

EXERCICE 165 Sominutes


On appelle polynôme réciproque de degré ,?, tout polynôme de degré n tel que, pour tout réel
.r non nul : P [1] = ao,r,.
\x/ Jcr'

l. Démontrer que si a est une racine non nulle de P, alors f est aussi une racine de P.
2. Onconsidère le polynôme P(x) =2x4 -2x3 -sxz -z*+1.
a. Démontrer que P est un polynôme riciproque de degré 4.
I
b. Pour tout réel x non nul, on pose X == .tr + . Calculer X2.
c. Démontrer que pour tout réel x non rul, rËsoudre l'équation P(x) =0 revient à résoudre
l'équation Q (X) = 0, où Q est un pol'n:rôme de degré 2 que l'on déterminera.
d. Déterminer les racines de Q.
e. En déduire les racines de P.

3. on considère
l(t - ttx2 +2]x
le polynôme P(x) = ,n +2i,-*=
10
+ t.

a. Démontrer que P est un polynôme riciproque de degré 4.


b. Déterminer une racine « éüdente » de P, que l'on notera x1.
c. En déduire une autre racine de P, que l'on notera.r2.
d. Déterminer un polynôme Q tel que lrour tout réel x : P(x) - (x - xù (x - rcù Q@).
e. Déterminer les racines de Q.
f. En déduire toutes les racines de P.

4. Soit le polynôme P(x) = axs + bx4 + cx3 .r cxz + bx + a.

a. Démontrer que P est un polynôme r Sciproque.


b. Démontrer que -l est une racine de P.
c. Déterminer un polynôme Q tel que, pour tout réel x, P(x) - (x + I)Q(x). Que peut-on
dire du polynôme Q?
d. Que peut-on en déduire pour la recherche des racines d'un polynôme réciproque de
degré 5?
e. Déterminerles racines de Plorsque a= l, b -- 2 et c = -3
EXERCICE 166 15 minutes
Mettre sous forme de produit de trinômes du second degré la fonction polynôme
f@)=xB+xa+1.
EXERCTCE 167 lsminutes
Soient trois fonctions polynômes :
A(x) = a2x2 + a1 x * a4, B (x) = b2xz + b1 x *.tts, C(x) = c2x2 + c1 x * cs.
Les constantes ao, ar, a2, bo, bt, b2, co, cr trt c2 sont réelles et choisies de telle façon que, pour
1.5. ALLERPLUSLOIN 43

tout réel .r, on ait A2(x) + n2(x) - C2(x).


De plus as, bs Êt c0 sont tous trois non nuls.

l. Montrer que, si deur de ces trois pollmômes admettent une racine commune, cette racine
est aussi racine du troisième.
2. Montrer que, si les cleux polynômes B(x) - C(x) et B(x) + C(x) admettent une racine com-
mune, cette racine est également racine de B(x) et de C(r).

EXERCTcE 168 30minutes


Soit n un entier naturel supérieur ou égal à 2.
l. SoitQ unefonctionpolynômedéfiniesurRparQ(x) = l+x+ x2 +...+ sc'-r.
a. Calculer (x - l)(l(x) et en déduire, pour x I I we expression de Q(x) sous forme d'une
fonction rationnelle.
b. A l'aide d'une dérrivation, en déduire une autre expression du polynôme
| +2x +3x2 +... + (n - l)xn-2.
2. Soit p un nombre rérll, 0 < p < l. Un coureur s'entraîne sur un parcours comportant n haies,
numérotéesde1àn.Pourchaqueentierltelquel<r<n,laprobabilitéderenverserla
i - ème haie est p. Le coureur poursuit son parcours jusqu'à la n - ième haie, quel que soit
le nombre de haies renversées.
Soit X la variable alé,atoire définie par

x- n+l si aucune haie rt'estrenversée


k si k est le numéro de la première haie renversée
a. Calculer en fonction de p et k la probabilité P (X = k).
b. Préciser P(X - l) et P(X = n*l).
c. Vérifier que P (-X' = 1) + P (X = 2) + ... + P (X = n + l) = l.
d. Calculer l'espéraLnce de X en fonction de n et p.
Exsncrcr 169 : PolyNr)urs oB TcHrnycnrv B0 minutes
On définit une suite de polynômes (Ir) en posant To = l, Tt = X etÿ n e N Tn+z = 2XTn+t- Tn.
Ces polynômes sont appelés polynômes de Tchebychev.

l. Expliciter 72, 73, Ta et T5.


2. Conjecturer le degré de Tn etla valeur de son coeffrcient dominant.
3. En supposant que les polynômes 7, et 72.,1 soot de degrés respectifs n et n + l, montrer
qu'alors le polynômrt Tn+z est de degré n +2.
4. En supposant que lers coefficients dominants des polynômes 7, Et Tnal sont respectivement
2n-r et2u, montrer qu'alors le coefficient dominant de Tra2 est 2tx+1.
5. En utilisant les résultats de la première question, conjecturer la parité du polynôme T,r.
6. En supposant que 7'n est une fonction paire et T211 €st une fonction impaire, démontrer
qu'alors Tna2 estunr: fonction paire.
44 crrAPtTRE r. EQUATIONS

7. En supposant que T, est une fonction impaire et Tnal est une fonction paire, démontrer
qu'alors Tn,r2 ê,stune fonction impaire.

EXERCTCE 170 55 minutes


Soit une équation du second degré, x2 - sx t p = 0, admettant, par hypothèse, deux solutions
réelles distinctes a et p.
PartieA
Dans cette question, on désigne par P la forrction polynôme déflnie par P(-r) = ax + b, où a et
b sont detx réels donnés.
A chaque couple (a;b) correspond donc une fonction P.
On représente par P(-x) l'image de .r par la fonction P.
l. Montrer qu'il existe toujours une fonctio r P et une seule telle que l'on ait
P (a) = Aet P(P) = a, où A et B sont deurnombres fixés arbitrairement.
Calculer les valeurs correspondantes de n et b àl'atde de a, p, A et B.
2. A chaque entier naturel n, orr associe la fonction Pr, une fonction P particulière, définie par
les deux conditions Pn(a) = an et Pn(F) = F".
Soit la fonction Qn = Pn+r - aPn.
a. Calculer Q,@) et Q" (B).
b. En déduire que l'on a (l)
Qn@) = F' @ - a).
c. )
Montrer que l'on a , pour tout n 1, les relations
q" = BQ"-1 et (2) Pn+t sPn + pPr-1= Q.
-
Partie B
On désigne par un la dérivée (constante) de chaque fonction Pr.

t. Etablirlarelation (3) u,= Y.


p-a
2. Démontrer les égalités suivantes :
poûr n>0, (4) ttn+t- du.r= Pn et(4t) un+r- frun= a'.
etpour n) l, (5) un+r- sun* pu.n-1 = 0.
3. En déduire que o et p sont racines de tot te équation de la forme xn = u.nx- pun-t.
4. Si n et ,æ sont deux entiers naturels quelt:onques, vérifier etul ttnayn = undm + u*F'.
5. Etablirlaformule (6) un+m= s.unum- p-(unum-1 *ulnun-1).
Partie C : Application à la résolution approchée d'une équation

l. Expliquer la possibilité de calculer les termes successifs de la suite (u) en utilisant systè-
matiquementlarelation (5) àpartir deuç= 0et u1= 1.
2. Onsuppose lal < l§l.Montrer, d'après (3), que la suite (xr) déf,nie pour n ) I par xn = @
un
tend vers B lorsque ntend,vers l'infini.
x"- §
3. Montrer , d'après (4) et (4t),que les rapl)orts successifs
' forment une suite géomé-
Xn-ü
ü
trique de raison
p
1.5. ALLERPLUSLOIN 45

4. Soit l'équation x2 - 6x -1 g
= 0 dont les solutions sont a = -
y'to < 0 et p = 3 + /10 > 0

a. Calculer les termes de la suite (ur) correspondante pour n ( 5.


b. Calculer les termes de la suite (.rr) pour f ( n ( 4.
c. Vérifler que B est compris entre \ et x2.
lg Plus généralement, le nombre B est encadré par detx termes consécutifs quelconques
de la suite (x").
Chapitre2

Suites nurnériques

2.1 Suites numériques


2.1.1 Point de coursi

Définition: une suite nrumérique u est une fonction déflnie sur N, àvaleurs dans R :
u:N-*R
n Lt(n',,aussi noté zr.
-
On note cette suite (uàn>o ou même (zr).
Représentation graphirque: une suite numérique (u") peut être représentée par un nuage de
points de coordonnées (niuà.
Notations: la suite u se note (zn).
Le terme de rang n dekt suite (ur,) se note un.
Défnition erplicite : la suite (uù est déflnie par son terme général i Ltn = /(n), où / est une
fonction déf,nie sur N.
Définition par récurrence : soient / une fonction définie sur R et aunréel, une suite (ur) peut
être définie par i us = a et pour tout entier naturel fi, un+t = f (uà.

Sens devariation:
Soit (tzr) une suite de nombres réels. On dit que :
. la suite (ur) est croissante lorsque pour tout entier fl, unal) u.ni
. la suite (ar) est décroiissante lorsque pour tout entier fi,, u.na1 { uni
. la suite (ur) est monotone lorsque la suite est croissante ou décroissante.

Encadrement d'une suite :


on dit qu'une suite ( ur) est maiorée s'il existe un réel M tel que, pour tout entier n : u, { M ;
on dit qu'une suite (zn) est minorée s'il existe un réel m tel que, pour tout entier n: un) m.
Une suite maiorée et minorée est dite bornée.
48 crrAPrrRE 2. surrrs NUrÉatquns

2.1.2 Enercices d'application de couni

EXERCICE 17I l0 minutes


Calculer les 5 premiers termes des suites (u r) suivantes :

l. Pour to;cttn€N, u, =n2-3n+1. 4' PourtoutneN' u2 =5-3n'


2. Pourtoutn.fXf*,rr=f 5' Pourtoutn)2,u
7L'wn -2n+l
-1"
n n ,L-
3. Pour tolrtn>3, un=3\/f-n 6. Pourtout n € N, u, = ti"(i)

EXERCICE I72 lOminutes


Soit la suite (un) définie pr un = y' n tr 1- nq.
l. Calculer lto, ttt, u2etu3.
2. Calculer la somme S = u0 * u1 * uz*. -. ). uztts.

EXERCTCE 173 lominutes


Calculer les 5 premiers termes des suites (u ,) définies par une relation de récurrence :

4. ll,g = | etV n€ N, u;2a1 =


--1 -.
l. ug=letVn€N, =yn*I.
U411 Un+ L
2. u1 =2etYn€N*,ura1 =Zttn. 5. ug=1 etVzEN,u,al =\Ei.
3. ltg=OetVn€N, u7211 =2ur+3. 3
6. ,1 =0etVn e N*,un+L=
A.,
EXERCTCE 174 lS minutes
Calculer les I0 premiers termes des suites lc giques (ur), puis exprimer unal En fonction de un.
l. 1,4,7,10,13. 3. 27,24,21
2.1,2,4,8. 4. l,-3,9,-27,81
EXERCICE I75 l0 minutes
Calculer les cinq termes suivants des suites logiques:
l. 1, 1,2,3,5,8. 3. L,2,6,42, 1806.
2. t, tt, 2r, tztt, tttz2t 4. 4,6,15,105.
EXERCICE 176 5 minutes
Calculer les 5 premiers termes des suites (z r) déflnies par:

l. u, estle nè*" chiffre après la ürgule dar s l'écriture décimale de ]11


2. un estle chiffre des unités de7n.

EXERCICE I77 5 minutes


Calculer les 5 premiers termes des suites (z r) définie par:
l. un est le reste de la diüsion euclidienne Ce 3z + 5 par 7.
2. u, estla somme des inverses des n prerr iers entiers naturels non nuls.
EXERCICE I78 l0 minutes
na -2n3 +Lln2 +l4n+24
La suite (u") est déflnie pour tout n e N par u" = 24
2,1, ST]ITES NUMÉRIQUES 49

l. Calculer les cinq premiers termes de la suite.


2. Conjecturer une forrnule explicite plus simple poûr un
3. Calculer 25. Conclure.

EXERCICE I79 l0 minutes


n3 -3n2 +gn
La suite (uà estdéfinie par u1= I et pour tout n e N* par u.nq1 = ttnt
6
1. Calculer u2, us, u4Etu5.
2. Conjecturer une forrnule explicite plus simple pour un.
3. Calculer u6. Conclure.

ExERcIcE I80 5 minutes


Représenter sur un axe [es six premiers termes de la suite (an) déflnie par :

1
l. Vn€N*, ilr=-
n
2. u, = (-l)n
EXERCICE I8I 5 minutes
Représenter dans le plan les six premiers termes de la suite (ur) définie par
n7I
l. un COS
4 )
2. u, \/i

2.1.3 Enercices dapprofondissement

EXERCTCE 182 15 minutes


l. Soit la suite (tn), où /, est le nombre de points d'un réseau triangulaire à z étages, comme
sur les figures suivanLtes :

a aa
o ao aaa
tr=l tz =3 ts =6

a. Calculer t4, t5 êt t6.


b. Exprimer tnal Ên fonction de tr.
c. On conjecture I'existence de trois réels a, b et c tels que tn = a,n2 + bn + c. Calcrl/rer a, b
et c.
50 CHAPITRE 2. SUITES NUMERIQUES

d. Démontrer cette conjecture.


e. Combien y a-t-il de points dans un rriseau triangulaire à 2019 étages?

2. Soit la suite (cr), où c, est le nombre de points d'un réseau carré à n étages, comme sur les
flgures suivantes :

a aa

a a a ao

a a o a aa
cl=l ci =4 ca=9

a. Calculer c4, c5 Et c6.


b. Exprimer cn11 ert fonction de cr.
c. Exprimer c, en fonction de z.
d. Combien y a-t-il de points dans un rriseau carré à 2019 étages?

EXERCICE IB3 lO minutes


l. Dans un repère (o,7,7) orüonormal, représenter la droite D, d'équation y - .r et la
courbe représentative de la fonction T 6, = 3{ x + I.
2. Soit la suite (u") définie par us = | et un+ L = 3 \/ u n + L.
a. Placer us surl'axe des abscisses.
b. Vérifler eue u1 = f (uù, placer alors 21, puis le reporter sur l'axe des abscisses en utili-
sant la droite D.
c. En procédant de la même manière, placer u.2, us ct u.4.
3. Représenter les 4 premiers termes de la suite (u) en supposant maintenant eue uç = lQ.

EXERCTcE 184 lominutes


I
Soit la suite (ur) définie par us = I Et un+t = ,*
l. ^.
En utilisant la méthode de l'exercice 183 représenter les 3 premiers termes de la suite (u").
2. Conjecturer le comportement de la suite : sens de variation, bornes et limite.

EXERCTCE lB5 l0 minutes


Soit la suite (un) déflnie par us= f un+t == 3 + uzn.
Z "a
1. En utilisant la méthode de l'exercice 183 représenter les 3 premiers termes de la suite (u").
2. Conjecturer le comportement de la suite : sens de variation, bornes et limite.
2. 1. SUTTES NUMÉRIQTTES 5l

EXERCTCE 186 l5 minutes


Etudier la monotonie de la suite de terme général un = f (n) à I'aide des variations de la fonction
f:
l.un-z+ a32"Zn-L 2l.un=5-'- 3. un- n2 -2n 4. ur-'+
nn
ExERcrcE 187 15 minutes
Etudier la monotonie der la suite (ur) à I'aide de la « méthode des différences, :

l. Ll,r=, - (à)' 3. ur=2n-n


ll 1 4. uO-Ietunal=ttn-3
2. ur- 1+;+5+ +-n
EXERCICE I88 15 minutes
Etudier la monotonie de la suite (nr) à l'aide de la « méthode du quotient »
l. lt,n=nx2n
3. Lt-=
3nrfr.
I 1 1 "5n
2. lt,n=lx-x - x... x
3 n 4. - x (0,99)'?
tl,n= 2019

EXERCTcE 189 15 minutes


En utilisant dans chaque cas une des méthodes des exercices 186, 187, 188, étudier la mono-
tonie de la suite (a").
l. un=l t,I 3. ttn=
n+l
n3 - n2 +5n-3
k=1
4. u"= jî
2. un- 2O2Ox l,O2n

EXERCICE I90 l0 minutes


Montrer que les suites (izr) sont bornées.
I
l. ur-l+- nI 3. ltn=3- -;
3n-S
2. ltn=Z-sinn 4. u-=
" 3n+5
EXERCICE I9I l0 minutes
Soit la suite (zr) définie pour tout n )- I par un" = **
lx2 :2x3+
... + +.
n(n+l)
1. Calculer les 4 premiers termes de Ia suite (u
").
I I I
2. Démontrer que pour tout n > 1,
n(n+l) n n+l
3. En déduire une expression simpliflée de un
4. Montrer que la suite (zn) est bornée.

EXERCICE I92 15 minutes


Soit la suite (ur) définie pour z ) L par un = 2+... + 2+ t/2 (n radicaux)
l. Exprimer üna1 ert fonction de un.
52 CIIAPITRE 2. SU/TES NUMÉRIQUES

2. Tracerlacourbedelafonctionf,;r')=t[c+Zetladroited'équationy=.rpourxeR+
3. Représenter graphiquement les premiers termes de la suite.
4. Conjecturer son comportement.

ExERcrcE 193 2ominutes


Soitlasuite(zn)définieparsonpremierterme uo=2etpourtoutFl €N, ural =\/u;T3.
On admet que pour tout n e N, u, > 0.
1. Tracerlacourbedelafonctionf(x)={c+3etladroited'équationy=.rpourxeR+.
2. Placer les 3 premiers termes de la suite ( zr).
3. Conjecturer le sens de variations et la linrite de la suite (ur).
4. Démontrerquesilasuite (zr) convergeversl aTorsl vérifiel'équation P -( -3=0.
5. On admet que la suite (u,r) converge ver; l. Déterminer la valeur exacte de (.

ExERcrcE 194 : Surrp np FrnoNeccr 15 minutes


Soitlessuites(ur) et(uà définiesparuo=L,ut =1etpourtoutn€N, Ltn+2=y.n*y.n11,
.. Un+7
un+l _
- un
-- les l1 premiers termes de la suite (zr).
l. Calculer
2. Calculer les 10 premiers termes de la suire (ur).
3. Conjecturer la limite de la suite (ur).
4. Ecrire une fonction en Python qui détennine le plus petit n tel que
t+/5 ( to-to.
2"n

I,
It+r/s
5. En déduire la valeur de n tel que -'" ( to-to
EXERCICE I95 15 minutes
Soit z la suite déflnie Pæ uo = 2 et, Vn e N, pàr unal = 2ltn * 2n2 - n.
On considère également la suite u définie, \/ z e N, par u n = un I 2n2 + 3n + 5
l. Voici un extrait de feuille de tableur:

A B C
1 n u U

2 0 2 7
3 I 4 L4
4 2 I 28
5 3 24 56
6 4 63
1

Quelles formules a-t-on écrites dans les :ellules C2 et 83 et copiées vers le bas pour afficher
les termes des suites u et u2.
2. Conjecturer une expression de un etde un en fonction de n uniquement.
2. 1. SIltrES tttUruÉAtq.Ues 53

EXERCTCE 196 : MooÈrn nr Merrnus 20 minutes


Lorsque Malthus publie son Essaien lB00 :
. I-Angleterre compte B millions d'habitants et la population augmente de2Vo chaque année;
. Lagriculture anglaise permet de nourrir 10 millions d'habitants et son amélioration permet
de nourrir 0,4 millions «l'habitants supplémentaires par an.
1. Modéliser la population pn l'année 1800 + n suivant ces hypothèses avec po = 8.
2. Modéliser le nombre d'habitants an que peut nourrir l'agriculture en 1800 + n avec ao = lO.
3. En utilisant la calculatrice ou un tableur, déterminer proo et a1s6 pour l'année 1900.
4. Ecrire un programme en Python qui permet de déterminer l'année à partir de laquelle l'agri-
culture anglaise ne permet plus de nourrir la population anglaise suivant ce modèle.

Exencrcr 197 : MooÈLE DE VoLTERRA 25 minutes


Le mathématicien Volterra a proposé en 1926 un modèle décrivant l'évolution conjointe des
sardines et des requins constatée par des pêcheurs de l'Adriatique : les effectifs des deux es-
pèces varient de façon périodique en fonction du temps, avec la même période mais en étant
décalée dans le temps.
Il s'agit, plus généralemrlnt, de l'étude de l'évolution de deux populaüons (proies et prédateurs)
ayant une incidence l'une sur l'autre.
On note z, le nombre de lièwes (les proies) et unle nombre de lynx (les prédateurs) l'année z.
. En l'absence de prédateurs, le taux de reproduction des lièvres est de SVo par an (les proies
sont supposées avoir urne source illimitée de nourriture et se reproduire si elles ne sont sou-
mises à aucune prédation).
. En l'absence des proir:s, le taux de mortalité des prédateurs est de 3Vo par an (il est supposé
constant dans ce modèle : il représente la mort naturelle des prédateurs).
. Le taux de mortalité des proies dû aux prédateurs est supposé, dans ce modèle, proportionnel
au nombre de prédateurs: soit dans notre cas 0, 17o.
. Le taux de reproducti,on des prédateurs en fonction des proies mangées est supposé, là en-
core, proportionnel , so.it dans notre cas 0,O2Vo.
Un+l- Un
0,05 - 0,001 u, équation des proies
Un
On a donc Un+l- Un
-0,03 + 0,OOO2u, équation des prédateurs
un
l. Exprimer unalEtun--1 cîfonction deunetun.
2. Que se passe-t-il en I'absence de proies?
3. Que se passe-t-il en l'absence de prédateurs?
4. On suppose que un;l O et un I 0. Montrer qu'il existe des conditions initiales u0 et u0 pour
lesquelles le nombre de proies et de prédateurs reste constant.
5. Ecrire un programmr3 en Python qui permet de calculer la population de proies et de préda-
teurs pour fl, Its et r0 paramètres donnés en entrée, soit la fonction population(n,u,u).
6. Compléter ce programme pour qu'il trace la courbe des detxpopulations jusqu'à l'année n
donnée.
7. Tester le programme pour n = 20 puis pour n = 100, uo = 300 et t,l6 = §Q.
54 CTIAPITRE 2. SUITES NUMEPr:QUES

EXERCTcE 198 : MonÈrr »n VnnHursr 25 minutes


On étudie la dynamique de croissance de lractéries au cours du temps. Soit us la population
initiale exprimée en centaines de bactéries 2t un la population après z heures.
On suppose que cette dynamique obéit à detx règles :
. les bactéries se reproduisent chaque année avec un taux o donné,
. les ressources nutritives du milieu n étant :as illimitées, les bactéries ont un taux de mortalité
dû à la concurrence avec les bactéries déjà présentes.
Pierre Verhulst propose en IB40 la loi suivarrte :
O < uo< 1 etpourtout n € N, u211 = (1 +a) il- uù.

l. Calculer les six premiers termes de la suite dans les cas suivants :

A. UO=0,2etA=L
b. Uo=O,5eta=l
C. U0=0,9etA=L
2. Ecrire un programme en Python qui dernande la valeur de us et a et détermine le nombre
de bactéries présentes au bout de 100 heures.
3. Tester le programme pour :
â. U,g=0,2, ü=0,5 f. llg=0,5,ü=0,5 k. Ll,o = 0,9, d, = 0,5
b. ll0 = 0,2, ü, - | g. uo=0,5, a - | l. llo=0,9,a-l
c. ttg = Or2, ü = l,B h. llg=0,5,A=1,8 IIl. UO=0,9,4=1,8
d. tlo = 0,2, ü =2,5 i. Ug=0,5, A =2,5 n. ltg=0,9, A=2,5
e. UO = 0,2, A = 2,55 t. üg=0,5, A =2,55 o. ll.g=0,9,A=2,55
4. Observer les résultats obtenus.

EXERCTCE 199 20minutes


Dans un territoire donné, on s'intéresse à l'évolution couplée de derx espèces : les buses (les
prédateurs) et les campagnols (les proies).
Des scientiflques modélisent, pour tout entier naturel n, cette évolution par :

bs I 000
Cg I 500
bn+t O,3bn+O,5c,
cn+l -O,5bn + l,3cn

où b, représente approximativementle nonrbre debuses etcnle nombre approximatif de cam-


pagnols le 1"' juin de l'année 2000 + n (où n désigne un entier naturel) .

l. Calculer les dix premiers termes des suit:s (b") et (c").


2. Lucie propose I'algorithme ci-dessous.
2.1. SUITESNUMÉRIQUES 55

N.-0
fi .- lggg
Ç .- 15gg
Tantque B>2ouC>2
N.- 1ur* 1

ft.-6
B 0,3R+0,5C
-
C--0,5R+1,3C
Fin Tant Que
Affrcher N

Programmer cet algo,rithme et l'exécuter.


Quelle conclusion Lucie peut-elle énoncer pour les buses et les campagnols?
3. On admet que, pour tout entier naturel z non nul, on a
b = t000 x 0, Bu .
n 0, Bn et cn -1 500 x 0, Bu + Y n * O,Bn
"x
etn<10x1,12. =,?
a" En déduire les lirnites des suites (b") et (c").
b. Des mesures effectuées dans des territoires comparables montrent que la population de
campagnols restre toujours supérieure à au moins 50 individus.
A la lumière de ces informations, le modèle proposé dans l'exercice vous paraît-il cohé-
rent?

Exrncrcp 200 : Vrai/Faux lO minutes


Onconsidère la suite (ur) définie pour n e N* : u1 = I et un+t = (;.#)""
us Notation : Vn € N*, t'tt = n x (n l) x ... x I et 0! = 1
-
n
l. Vrai/Fatrx: Pour n€ [N*, u, = (, + L)!
2. Vrai/Faux: La suite (ur) est croissante.
3. Vrai/Fatx : Quel que soit n 6 N*, si n) 2alors 0 -( z, ( r, (X)"-'
4. Vrai/Faux: La suite (ur) tend vers 0 lorsque n tend vers l'infini.

Exrnctcn 201 20 minutes


Soit la suite (ur) déflnie par uo = 100 et pour n € N I un+t = O,75un.
l. Ecrire une foncüon ern Python permettant de calculer 1" nème terme pour n donné.
2. Modifier la fonction pour qu'il affrche tous les termes jusqn'art nème.

EXERCICE 202 20 minutes


Le ler janvier, Math dépose 1000 € sur un liwet qui rapporte 2Vo chaque premier janvier. Math
ne touchera pas à I'argent déposé sur son livret tant que la somme sera inférieure à 2000 €.
Soit (s") la somme sur le liwet l'année n après le premier dépôt.
56 CIIAPITRE 2. SUITES NUMERIQUES

l. Déterminer so, calculer s1, s2.


2. Détermin€r s2-.1 en fonction sn.
3. Ecrire un programme en Python permetlant de savoir en quelle année la somme sur le liwet
dépassera les 2000 €.
4. Au bout de combien d'années, Math por rra retirer de l'argent sur son livret?

Exrnctcn 203 20 minutes


Onconsidèreunesuite (7") telle que 11 =I,Tz = 2 etpourtout n 22, Tn+t = 1* IrTz...Tn.
l. Déterminer 73, T4 et 75.
2. Ecrire une fonction en Python qui retourne, pourun n donné, laliste des 77. pou I ( k { n .

Exnnctcs 204: SuIrr DE PRouHEr-Tnur-Monsr 2Ominutes


Soit la suite ( fr) définie pirr fo = 0 et pour to at n € N, f24 = tn ct t2n+t = | - tr.
1. Calculer t2üs et t2s2s.
2. Ecrire une fonction en Python qui, pour n donné, retourne la valeur de f,

2.2 Suitesarithmétiques
2.2.1 Point de cours

Définition: une suite (ur) est arithmétique s'il existe un nombre réel r tel que, pour tout entier
naturel ft, Ltn+t = ttn * r.Le réel r est appelé raison de la suite (un).

Forme explicite : si la suite (u") est arithmé :ique de raison r et de premier terme ua, alors pour
tout entier naturel n, un = ug 4 nr.
Plus généralement, pour tous entiers natur(rls n et p, un = up + (n - p)r.

2.2.2 Exercices d'application de courli


EXERCTcE 205 l0 minutes
Les suites (u,r) sont-elles arithmétiques? Si rui, donner la raison.
l. un-2n+3. 3. un+t= un-2. i. ur= \/2017 -2OL6n.
n+l
2. ltr=-----).
n
4. Lrr=n2--n+3. 6. Lr,n=un_1 *fr-L.

EXERCICE 206 l0 minutes


Les suites (ur) sont-elles arithmétiques? Si rui, donner la raison.
l. tts=2etuna1=3-ttn. 3. Suitedes entiersnaturelspairs. 5. un- n(n-2).
2. uo - - rt et ttn+r = 2 + un. 4. Suite der nombres premiers. 6. un-(n+l)2-n2
2.2. SUTTES ARITHMÉTïQUES 57

EXERCTCE 207 5 minutes


Déterminer les cinq premiers termes de la suite arithméüque (uù de premier terme us et de
raison r:
l. ltg=2etr=1,5. 3. uO=3etr=-2.
2. us=0etr=0,3. 4. uo=-l234etr=5
Expncrcp 2OB 5 minutes
Exprimer z, en fonction de n sachant que la suite (un) est arithmétique de raison r :

l. tts=3etr=2. 3. uy=gs1 y=\n.


2. u2=Setr=-3. 4. ug=,etr=1.
EXERCICE 209 5 minutes
Soit (ur) une suite arithmétique de raison r.
l. Calculer us et ux sachant Que u6 = 2 et r = -5.
2. Calculer u261e sachâIrtque uz = -5 et r = 3.
3. Calculer u2s2s sachatrt que u0 = | sl 7 = \,/2.

Exnncrcn 210 5 minutes


Déterminer le premier terme us et la raison des suites arithmétiques suivantes
l. urc = 6 et u.z8 = T,5 3. us - 19 et u1s = 2OL7
2. tt6 = 9 et u12 = $$ 4. tt3 = 2019 et Uzotg = 3.
EXERCICE 21I 5 minutes
Déterminer le premier terme u9 et la raison des suites arithmétiques suivantes :

l. tt1=Setu2=g 3. us- 2019 et Uzots=S


2. uz-3etu6=7 4. urc=Betuzo=2
ExERcIcE 2I2 lO minutes
Déterminer la forme explicite des suites (u") défrnies par:
l. Uç=IetUnal=tln-3 3. u1 = -7 et unal = Ur*Z
2. uo-9etuna1 =lln*2 4. l.l2 = 1Æ et ural = un + \/i

EXERCICE 2I3 l0minutes


Déterminer la forme explicite des suites (u") défrnies par:
l. - ur-!3
ttg=3etuna1 3.
3. us=9etun+t- u"+6
ug=9etuna1 =u-*2
2. u,s=Oeturay= un-lÉ 4. u5= -3y'5et Ltn+t= un+\/i
EXERCICE 2I4 5 minutes
Montrer que si la suite (ur) est arithmétique, de premier terme us,
U71a1 I Un-1
alors pour fl ) 0, Ll,n =
2
5B CI IAPITRE 2, SUITES NUMERIQUES

ExERCICE 215 lOminutes


Soit (zr) une suite arithmétique de raison r et de premier terme zs.
Montrer que les suites (ar), (b") et (cr) sont des suites arithmétiques dont on précisera la raison
et le premier terme.
an = 2un - 15 bn = rt3n cn = uzn*, - 42n

EXERCICE 216 lO minutes


Soit (zr) une suite arithmétique de raison r et de premier terme us.
Etudier le sens de variations de la suite (zr) en fonction de r.

EXERCTcE 217 Sminutes


Soit (un) une suite arithmétique de raison r et de premier terme u6.
Démontrer que un= tto+ nr.

EXERCTCE 218 S minutes


Soit (u") une suite arithmétique de raison ;' et de premier terme up, p étaîtun entier naturel
quelconque.
Démontrer qlue un= up* (n- p)r.
ExERCICE 219 15 minutes
Tous les 5 ans, on effectue un relevé de la population d'une ülle A. En 2000, ce relevé a donné
125 milliers d'habitants. Les relevés suivarts montrent une augmentation régulière de 3750
habitants.
Soit Rn, la valeur (en milliers d'habitants) clu relevé de rang n (Rç = 125 en 2000, R1 relevé en
2005 etc.).
l. Calculer R1, R2 et R3.
2. Exprimer Rn+l en fonction de ^Rr. En détluire la nature de la suite (Rr) et préciser le premier
terme et la raison.
3. Exprimer Rn en fonction de z.
4. Si cette évolution se poursuit, quelle po[,ulation peut-on prévoir pour l'an 2O3O?
5. En quelle année la population dépassera 163 milliers d'habitants?

EXERCICE 220 15 minutes


Math décide de s'entraîner pour le marathor r qui se déroulera dans sa ville le premier dimanche
du mois de septembre. Il commence son entraînement la première semaine (incomplète) du
mois de janüer et décide de courir 5 km troir; fois par semaine la première semaine, puis d'ajou-
ter 500 m à ses trois entraînements chaque semaine.
Soit (un) la suite définissant le nombre de cilomètres parcourus par Math lors d'un entraîne-
ment de la semaine z, ainsi ut = 5.
l. Calculer uzetu3.
2. Exprimer un+L et fonction de ur.
3. Quelle est la nature de la suite (zrr) ?
4. En déduire une expression de z, en fon«:tion de n.
59
2.2. SUTTES ARITHMEIryQUES

5. Combien de kilomètres dewa courir Math lors de ses trois entraînements de la dernière
semaine du mois d'août?

2.2.3 Exercices d'approfondissement


ExERcrcE 221 lominutes
Déterminer une progression arithmétique de 4 termes ayant pour raison 6 et telle que le pro-
duit de ses termes soit égal à 385.

EXERCICE222:YNAJIFIÜX 20 minutes
I 2
Onconsidèrelasuite (uàdéfrniequ uo=0, ttt=letVn€N, u2a2 =
,un*r* Uu".
On définit les suites (u ) et (w à pü u n = ttn+r - un et w n = ttn+t *|ur.
Les aff,rmations suivantes sont-elles waies ou fausses? Iustifier la réponse.
1. Lasuite (un) estarithmétique.
2. La suite (ur) est constante.
3. Pour tout n € N, on trttn=lf*r- rr'r.
4. La suite (uù dapas de limite finie.

EXERCTCE 223 : Vner/I'eux lO minutes


Pour tout entier naturel n > 3, on désigne pat un le nombre de diagonales d'un polygone
convexe ayant z côtés.
Les affrrmations suivantes sont-elles vraies ou fausses? Iustifler la réponse.
l. tt5=6etu6=19.
2. Pour tout n ) 3, on iL LLnat = lln* tt- l.
3. La suite (ur) est arithmétique de raison n - 1.

4. Pourtoutn )3,on irLtr=ry=

EXERCTcE 224 l0 minutes


Le le' septembre 2017, Tom décide de mettre de l'argent de côté pour ses vacances d'été. il
dépose 500 € le ler seçrtembre, puis 30 € de moins par rapport au mois précédent chaque ler
du mois.
Soit f, la somme mise rle côté le z-ième mois. On pose ,0 = 500.
l. Exprimer tn',1 Ert fo.nction de tn.Endéduire la nature de la suite (f").
2. Endéduire f, en fonctionde n.
3. De combien disposera Tom le 3l juillet 2018.

EXERCICE 225 lO minutes


Soit (ur) la suite défini,e par us= 5 et Vz e N, par Ltn+t =Ti
Pour tout entier naturel n, on pose un'" = -!-.
Un-l
60 CITAPITRE 2. SUITES NUMÉRIQUES

x (": l).
l. Démontrer que un+t -1 = un+2
2. Démontrer que la suite (ur) est une suite arithmétique de raison ]
3. Pour tout entier naturel z, exprimer u, puis u, en fonctio., d" ,. 3
4. En déduire la limite de la suite (zr).

Exrncrcr 226 l0 minutes


Math dispose de 4000 € qu'il place à intérêts simples au taux annuel de 5%. Les intérêts simples
sont des intérêts perçus qui ne produisent [,as eux-mêmes d,intérêts (seul le capital de départ
produit des intérêts).
On note C6 le capital de départ et C, le capiral constitué après n années de placement.
l. Calculer Cy etC2.
2. Exprimer cn+t en fonction de cr. En déduire la nature de la suite (cr).
3. Exprimer C, en fonction de z.
4. De quelle somme disposera Math s'il lais;e son argent placé pendant 15 ans?

Exnncrcr 227 l0 minutes


Math dispose de l0 000 € qu'il place à intér€ ts simples au taux annuel de 3%.
On note Ce le capital de départ etCrle capilal constitué après n années de placement.
l. Calculer C1etC2.
2. Exprimet Cn+r en fonction de Cr. En déduire la nature de la suite (Cr).
3. Exprimer Crenfonction de n.
4. De quelle somme disposera Math s'il laisrie son argent placé pendant 10 ans?

ExERcrcE 228 lO minutes


Math dispose de 5000 € qu'il place à intérêtr; simples au taux annuel de 6%.
On note Cs le capital de départ et C, le capital constitué après n années de placement.
l. Calculer C1etC2.
2. Exprimer Cn+r en fonction de Cn. En déduire la nature de la suite (Cn).
3. Exprimer Cn enfonction de n.
4. De quelle somme disposera Math s'il laisie son argent placé pendant 5 ans?

EXERCICE 229 l0 minutes


9
On définit pour tout entier naturel z la suite (uù pr uo = -3 et unal= b-
= un
Soit la suite (ur) déflnie par : V n € N, u, =
,=
l. Démontrer que la suite (un) est une suite arithmétique de raison
- -].3
2. Déterminer u, puis u, en fonction de n.
3. Calculer la limite de la suite (zn).
2.2. SUITES ARITHMÉTIQUES 61

EXERCICE 230 lOminutes


On considère la suite (r,ur) dont les termes vérifient, Vn € N* : zilr, - (n+l)wr_t* I et us = l.
Le tableau suivant donne les dix premiers termes de cette suite.

Wg W1 U2 W3 W4 W5 W6 U7 Ug Ug

1 3 5 I l1 l3 l5 t7 l9
l. Détailler le calcul p€rrmettant d'obtenir ,r1s.
2. Donner la nature de la suite (u"). Calcular w2sss.

EXERCTCE 231 lsminutes


Pierre se constitue une tirelire afi.n d'acheter un vélo qui coûte 150 €.
Après un dépôt initial dans cette tirelire de B €, il décide qu'à la fin de chaque mois, il déposera
une somme de plus en plus $ande : la somme déposée à la fin de chaque mois sera augmentée
de 2 € par rapport à celle du mois précédent. Ainsi, à la fin du premier mois, il déposera 10 €
et la tirelire contiendra lB €.
On note p(0) le dépôt initial et p(n) la somme déposée à la fin du n-ième mois. On obtient
ainsi une suite notée p.

l. Calculer p(l) etp(2).


2. Montrer que la suite p est arithmétique et donner sa raison. En déduire qrre p(n) = 2n + 8.
3. a. Quelle somme tr:tale contiendra la tirelire au bout de deux mois?
b. Montrer que la s,omme totale contenue dans la tirelire au bout de z mois est (n +l) (n +8).
4. Un ami de Pierre lui fait remarquer qu'il dewa attendre I mois pour pouvoir acheter son
vélo. Iustifler cette affirmation.

EXERCTCE 232 15 minutes


Soit la suite (ur) définie par us = | Êt un+t = . !"
L+ un
l. Calculer ur, u2 et u3,.Lasuite (zr) est-elle arithmétique?
2. Onadmet que Vn ) O, un> 0. Soit la suite (ur) déf,nie pu, ,n - L.
un
a. Calculer les qualre premiers termes de la suite (ur).
b. Démontrer que la suite (zr) est une suite arithmétique dont on précisera la raison.
c. Exprimer u, en.lonction de n.
3. En déduire l'expression de u, en fonction de n.

Exnnclcr 233 lSminutes


A la naissance de leur lils en 2007, des parents bloquent une somme d'argent afin de pouvoir
flnancer d'éventuelles ritudes à sa majorité.
La banque B leur propose un placement à intérêts simples à 5% par an. Ils décident de simuler
un placement de 5000,€.
On note B, la somme disponible l'année (2007 + n) suite au placement.
62 CIIAPITRE 2. SUITES NUMEPr:QUES

l. Dans le tableau suivant, on donne la corrie de la simulation réalisée sur un tableur. Detx
nombres ont été effacés, les retrouver et (:ompléter le tableau.
A B A B
I annee banque B 1l 2016 7250,00
2 2007 5 000 t2 20t7 7 500,00
3 2008 I3 2018 7 750,00
4 2009 t4 2019 8 000,00
5 20to 5 750,00 15 2020 8250,00
6 20t1 6 000,00 16 2021 8500,00
20t2 6 250,00 t7 2022 I750,00
I 2013 6 500,00 18 2023 9 000,00
I 20L4 6 750,00 19 2024 9250,00
10 20t5 7 000,00 20 2025 I500,00
2. Exprimer Bn+l en fonction de Br. Quelle est la nature de la suite (Br) ? Préciser sa raison.
3. Dans le tableau, quelle formule a-t-on entrée dans la cellule 83 et recopiée vers le bas?
4. Calculer le taux d'évolution exprimé en p )urcentage, arrondi au centième, du capital à la fin
des dix-huit années.
5. Les parents déposent 10 000 €, au lieu de 5 000 €. Quelle sera la somme disponible à la ma-
jorité de leur fils?

EXERCICE 234 lsminutes


Un corps tombe en chute libre. La distance parcourue chaque seconde forme une suite arith-
métique. Ainsi, il parcourt 4,9 m pendant lir première seconde, 14,7 m pendant la deuxième
seconde, 24,5 m pendant la troisième secon Ce et ainsi de suite.
Soit dr la distance parcourue pendant la ze seconde.

l. Déterminer la forme explicite de la suite l,r.


2. Déterminer la distance parcourue pendant la dixième seconde.
3. A l'aide d'un programme, déterminer la ciistance parcouru par le corps en 10 secondes?

EXERCTCE 235 l5 minutes


Un cône est formé de huit disques concent:iques empilés. Les diamètres de ces disques sont
les termes successifs d'une suite arithmétiqrre. Le plus petit disque a un diamètre de 4 cm et le
plus grand un diamètre de 12,4 cm.
l. Déterminer la raison de cette suite.
2. Déterminer le diamètre de tous les disqu,:s.

EXERCTCE 236 15 minutes


Math dispose de 20000 € à intérêts simples au taux annuel de tTo, après 12 ans de placement,
il dispose de 25040 €.
On note C6 le capital de départ et Cnle capilal constitué après n années de placement.
2.2. SUITES ARITHME'TIQUES 63

l. Exprimer Cnal Enfonction de Cn etde r. En déduire la nature de la suite (Cr)


2. Exprimer Cn en fonction de n etde t.
3. Déterminer r.

EXERCICE 237 15 minutes


Math dispose de 15000 € à intérêts simples au tarD( annuel de f%, après 5 ans de placement, il
dispose de 18000 €.
On note Cs le capital dedépart et Cn le capital constitué après n années de placement.
l. Exprimer Cn+t êt fonction de Cn et de f. En déduire la nature de la suite (Cr).
2. Exprimer Cn en fonction de z et de ,.
3. Déterminer t.

ExERcrcE 238 15 minutes


Une entreprise fabrique des boîtes. La machine fonctionne tous les jours. La production est de
2500 boîtes le 31 mars.
A partir du ler awil, la production augmente de 35 boîtes par jour. La producüon du 15 au 30
avril est vendue à un seul client.
On note anlaprodttction du iour n du mois d'avril.
l. Exprimer a, en fonc:tion de n.
2. Calculer le nombre «le boîtes produites du awil.
15 au 30
3. Chaque boîte est vendue 2, f 0 € TTC. Calculer le montant de la facture TTC pour le client.

EXERCTcE 239 15 minutes


Une entreprise met de .[a farine en sacs de I kg. La machine fonctionne tous les jours. La pro-
duction est de 2000 sacs le 30 novembre.
A partir du ler décembre, la production augmente de 75 sacs par jour. La production du 5 au.23
décembre est achetée par Math.
On note /, la production du jour n du mois de décembre.
l. Exprimer/, en fonction de n.
2. Calculer le nombre de sacs stockés du 5 au 23 décembre.
3. Chaque sac de farinr: est vendu 0,50 € TTC. Calculer le montant de la facture TTC de Math.

Exnnclce 240 20 minutes


Une entreprise fabrique des boîtes. La machine fonctionne tous les jours. La production est de
2500 boîtes le 31 mars
A partir du ler awil, la production augmente de b boîtes par jour. I-entreprise produit 39050
boîtes du l0 au 20 awil,
On note a, la production du jour n du mois d'avril.
l. Exprimer an en fonction de z et de b.
2. Exprimer la production du l0 au 20 awil en fonction de b.
3. En déduire b.
M )HAPTTRE 2. SUTTES NUMÉRTQUES

EXERCICE 241 z0minutes


1. Vérifler que, Vn e N, (an +l)2 - a(an2 +2n) +1.
2. Soit la suite (u") de terme général un = an + I oùr a est un entier quelconque fixé.
Démontrer que la suite (zn) contient unr inflnité de carrés.
3. Démontrer que si u, = 3n + 4,la suite (v, ) contient une infinité de carrés.
4. Démontrer plus généralement que si u)n = an + b (a et b étant detrx entiers fixés), la suite
(r.ur) contient une infinité de carrés.

ExERcrcE 242 20 minutes


Un film plastique est enroulé sur un cylindre de 40 mm de diamètre formant un rouleau de
130 mm de diamètre. Le film a une épaisserr de 0, I mm. On suppose que le premier tour est
complet. On assimile le film enroulé à un ensemble de cercles concentriques.
1. Déterminer le nombre total de tours.
2. Montrer que les circonférences de chacurr des cercles constituant le rouleau sont les termes
d'une suite arithmétique dont on précisera la raison et le premier terme.
3. Calculer la longueur total du film.
4. a. Calculer le volume occupé par le fllm, en notant ( lalargetr du film.
b. En considérant le film comme un pa::allélépipède rectangle, déterminer la longueur du
film. Comparer ce résultat à celui oblenu à la question 3.

EXERCICE 243 20 minutes


Soit? une parabole d'équation y = x2. Soit
A6 un point de ? d'abscisse aû > 0. On
construit les points An et Bn de ? tels qu e :
. (AoBo), (AtBù,... , (ArBà sont des droites
de coefftcient directeur -f.
3',
. (BoAr), (BtAù, ..., (Bn-tAr) sont des
droites de coefficient directeur 1.
2
On désigne par an l'abscisse du point A, et
par bn l'abscisse du point Br. -2 -l t2
l. Déterminer une relation entre an et bn.
2. Déterminer une relation entre anal et bn.
3. Démontrer que les suites (a,r) et (b") sont deux suites arithmétiques dont on précisera la
raison.

EXERCICE 244 20 minutes


On se propose de trouver une suite réelle (uù vériflant :

uo=l et Vne N, Ltn+t=-##


1. On suppose que la suite (ur) existe.
2.s. surras cnotwÉrateuEs 65

a. Démontrer que, pour tout n e N, u, I -2.


b. Démontrer que Ia suite (zr), définie sur N par ,, =*# est une suite arithmétique.

c. Exprimer (ur) puis (uù enfonction de z.


2. Déterminer la limite de la suite (ur,).
3. Déterminer les valeurs de n telles que un soit un entier relatif.

2.3 Suites géométriques


2.3.1 Point de cours

Définition: une suite (ur) est géométrique s'il existe un nombre réel 4 non nul tel que, pour
tout entier naturel tt,ltn+t = 4un.
Le réel q est appelé raision de la suite (u").

Forme explicite : si la suite (zr) est géométrique de raison q etde premier terme ,r0, alors pour
tout entier naturel fi., ttz = ttgQn.
Plus généralement, pouLr tous entiers naturels n et p, un= Ltoqn-P.

2.3.2 Exercices d'aprplication de cours


EXERCICE 245 l0 minutes
Calculer les six premiers termes de la suite géométrique (uà, déflnie par
l. us-3etq-z. 3. Its=6etq=-9,9.
2. uç=-letq=1/j. 4. u,s=Oetq=1/234.
EXERCTcE 246 1O minutes
Calculer les trois premiers termes de la suite géométrique (un), définie par son premier terme
et sa raison 4, puis donner la forme générale de un enfonction de z.
l. u,s=2etq=9,5. 3. tl,2=4096et4=0,5.
2. Lt1 =-letq=tfi. 4. uzotg=0etq=I,4.
EXERCTCE 247 l0 minutes
Vérifier que les suites suivantes ne sont pas géométriques :
l. uO-3, ltt= EtLt2=,$.
4 3. ut- 6, tty=3, Lt3=1,5 et u4=Q,7.
2. us = l, ur = rt.t u, = t15 4. uo -- O, tt4 =!.
EXERCICE 248 l0 minutes
Les suites (ur) sont-elles géométriques? Si oui, donner la raison.
l. ur- -7n+2. 3. un+t,- rtun. 5. ttn=2Ùl6n.
2. ur-
n+l
n
4. un- n2 + n+3. 6. Ltn=2un-1 +2
-.
66 CHAPITRE 2. SUITES NUMÉRIQUES

EXERCICE 249 lO minutes


Les suites (zr) sont-elles géométriques? Si rrui, donner la raison.
l. ug = 2 Et Llr*1 = yzn.
3. uo- l etunal= Lln 0,2un. 5. un- 4n + n4.
5n1
2. u, - (- 1)'. 4. u, = 6. u.s = 4 et un+L = .
,;:1. -
EXERCICE 250 5 minutes
l, (un)est géométrique, u6 = 128 et q = -; Calculer u4, u.7 Qt u1s

2. (un)est géométrique, u1 = = 3. oalculer u3, u7 êt uys.


h,"r4
EXERCICE 25I 5 minutes
l. (u") est géométrique, u6 = -2 et 4 = 3. Ciùculer u2, u5 ct u12.
2. (ur) est géométriqte, u2 = - 1 et q = JS. (lalculer u5, t)7 Êt u1s.

EXERCICE 252 S minutes


Déterminer le premier terme uo et la raison (q > O) des suites géométriques suivantes :
l. un=6etut2=1,5. 2. us= Bl et u13 =729.
Exrncrcn 253 Sminutes
Exprimer u, en fonction de n sachant que lir suite (rzr) est géométrique de raison 4
l. u.s=3etq=2. 3. =letq=1/2.
u1
2. u2=5etq=-3. 4. uo-Zetq=!.

2.3.3 Exercices d'approfondissement


EXERCICE 254 l0minutes
Soit la suite géométrique (uù de premier tel'me u0 et de raison 4
l. Démontrer que Vn e N, Ltn = ttoQn.
2. Démontrer que pour tous entiers n et p, ,1n- yrqn-P.

EXERCTCE 255 l0 minutes


Le premier microprocesseur,l'Intel 4004, intégrait en 1971, 2300 transistors.
En 1975, Gordon Moore, co-fondateur d'In1 el, a prédit que le nombre de transistors intégrés
dans un microprocesseur devait doubler tcus les deux ans. Cette prédiction s'est vériflée de
1971 à 2003.

l. On note u0 le nombre de transistors ccntenus dans un microprocesseur en 197I, u1 ce


nombre en 1973, u2enl975, etc.
Montrer que l'on déf,nit ainsi une suite g3ométrique finie dont on donnera la raison.
2. Exprimer unenfonction de n.
3. Donner le nombre de transistors contemrs dans un microprocesseur en 2003.
2.s. sutras cnotwÉrmqurs 67

Exnncrcr 256 15 minutes


On place un capital C6 := I ggg € à.3,5Vo par an à « intérêts composés » sur un liwet d'épargne.
rs Dans un placement à intérêts composés, les intérêts d'une année, s'ils ne sont pas retirés,
s'ajoutent au capital, l'année suivante ils génèrent etx aussi des intérêts.
Soit C, le capital obtenu au bout de z années.
l. Calculer Ct, CzetCt.
2. Exprimer Cn+r en fonction de Cr.
3. Quelle est la nature rie la suite (C") ?
4. En déduire une expression de C, en fonction de n.
5. Donner une valeur arrondie au centime de Cro.

EXERCTCE 257 minutes


15
Lors de sa naissance, les grands parents de Math placent sur un liwet d'épargne 2000 € à inté-
rêts composés au tatx ilnnuel de 1,25ÿo.
Aucun nouveau versernent, ni aucun retrait ne sont effectués. Soit u, la somme présente sur le
livret dans z années.
l. Calculer u1etu2.
2. Démontrer qtre (u) est une suite géométrique dont on déterminerala raison.
3. De quelle somme disposera Math le jour de ses 18 ans?
EXERCICE 258 2O minutes
Math place un capital Cs = 7596 € às%o par an à « intérêts composés ».
Soit C, le capital obtenu au bout de n années.
l. Calculer Cy, C2 etC11.
2. Exprimer Cn+t en fo,nction de Cn.
3. Quelle est la nature de la suite (Cr) ?
4. En déduire une expression de C, en fonction de n.
5. De quelle somme disposera Math s'il laisse son argent placé pendant 10 ans?
6. Au bout de combienL d'années le capital initial aura-t-il doublé?

ExERcrcE 259 l0 minutes


Une société possède un gisement pétrolifère dont la réserve totale exploitable est estimée en
décembre 2005 à 850 millions de barils de pétrole (l'unité choisie pour l'exercice est le million
de barils). On note unlaréserve e:çloitable restante en décembre de l'année (2005 + z). On
à i us - 850. Chaque année le pétrole extrait représente 2O Vo du total de la réserve exploitable
restante.
l. Iustifier eue u1 = 6t10. Puis calculer les quantités restantes u2 et u3 respectivement en dé-
cembre 2007 et2ÛOti.
2. Exprimer alors unal Ert fonction de z, puis u, en fonction de n (on justifiera clairement
chaque réponse).
3. Le tableau suivant est une copie d'une partie de la feuille de calcul d'un tableur.
6B CIIAPITRE 2. SUITES NUMERIQUES

A B
n Un
0 850
il I 680
2
Ii 3
(i 4
5
tl 6
Ir 7
ll I

Quelle formule à recopier vers le bas fatLt-il inscrire dans la cellule 83? Que devient cette
formule en 87?
4. Le gisement sera considéré comme épuis i lorsque la réserve exploitable sera inférieure à un
million de barils. Déterminer à partir de rluelle année le gisement sera épuisé.
5. Déterminer la production totale de pétrole extrait entre 2006 et?Ol7 inclus. Le résultat sera
arrondi au millième.

EXERCTCE 260 l0 minutes


Le vendredi ler septembre 2017, Math promet à Tom de lui donner tous les vendredis du cho-
colat pour son aide précieuse en mathématiques. Le ler septembre, il lui offre un carré et dit
qu'il doublera la quantité toutes les semaines.
Soit c,, le nombre de carrés reçus par Tom la z-ième semaine. On pose cl = l.
l. Exprimer cnal En fonction de cr. En dédr ire la nature de la suite (cn).
2. En déduire cn en fonction de z.
3. Combien de tablettes de chocolat Math clonne-t-il à Tom le 29 décembre 2017 s'il respecte
sa promesse? (Les tablettes de chocolat de Math ont24 carrés).

EXERCICE 261 15 minutes


Soit (zr) la suite définie par uo = 200 et un+L=O,8ur+3.
l. Calculer u1 etu2.
2. Yérifrer que la suite (ur) n'est ni arithmétique, ni géométrique.
3. Soit (u")lasuite définie pü un= un-15.
a. Démontrer que la suite (yr) est une riuite géométrique dont on donnera la raison et le
premier terme.
b. En déduire u, en fonction de z.
c. Exprimer u, enfonction de n.

EXERCICE 262 15 minutes


Soit (zn) la suite définie pü ur = O êt un+r = Zun -7.
l. Calculer u2etu3.
2. Vérifler que la suite (ar) n est ni arithmétique, ni géométrique.
3. Soit (u")lasuite déflnie par un= un-7.
2.s. suITES cnovÉra.tQuEs
69

la raison et le
a. Démontrer que la suite (ur) est une suite géométrique dont on donnera
premier terme.
b. En déduire ?n en fonction de n.
c. Exprimer an en lbnction de n.

EXERCICE 263
15 minutes
Soit ( un) la suite définie PT uo = 2 ct un+t = 0,9 un + 3
l. Calculer u1 etu2.
2. Yérifrer que la suite (un) n est ni arithmétique, ni géométrique'
3. Soit (uàlasuite définie Pü un= ttn* a.
a. Déterminer la valeur de a pour que la suite (ur) soit une suite géométrique dont on
donnera la raison et le premier terme.
b. En déduire u, en fonction de n.
c. Exprimer un en:flonction de n.

EXERCTCE 264 I
15 minutes
Onconsidèrelasuite (an) définiepar : u6 = | et,Vn€N un+t = -ttn* 4.
5
Onpose, pourtoutnombre entiernaturel tt, un= un-6.
l. Pour tout nombre entier naturel z, calculer unal Err fonction de un. Quelle est la nature de
la suite (u") ?
I
2. Démontrer que pour tout nombre entier naturel ttlttn= -§ +6.
3
3. Etudier la convergerrce de la suite (zr).

EXERCICE 265 15 minutes


Math achète une voiture de grosse cylindrée à 50000 €.
Mathilde achète une voiture de petite cylindrée à 25000 €.
Les voitures perdent de leur valeur chaque semestre : 15% pour la grosse rylindrée et 10% pour
la petite cylindrée.
Au bout de combien de semestres la voiture de Mathilde aura-t-elle plus de valeur que celle de
Math?

Exrnclcn 266 15 minutes


Math voudrait disposer de 10000 € dans 10 ans. Quel capital doit-il placer aujourd'hui s'il opte
pour un placement à intérêts composés au tatx de 3%?

EXERCTcE 267 15 minutes


Math a placé 15000 € il y a 5 ans. Il dispose aujourd'hui d'un capital de 20551,30 €. Quel est le
taux du placement, sac.hant qu'il s'agit d'un placement à intérêts composés?
70
CIIAPITRE 2. SU/TES ]VUMERIQUES

Exnncrcn 268 : Vner/Feux


l0 minutes
soit (42)r.q1 et (bn)n€N deux suites réelles «léflnies par leur premier terme
ao = 2, bo = 4, res-
pectivement et les relations, pour tout entier naturel n,

1. I
n@"+3b") et
an+t= bn+r=
|{Sa"+bn)
on désigne par A, et B, les points de l'axe orienté d'abscisse a, et bnrespectivement.
Les affirmations suivantes sont-elles waies ou fausses? Iustifier les réponses.

l. La suite Ltn = ûn + bn est constante.


2. La suite u n = an - b n est une suite géomé trique convergente.
3. Pour tout n e N, les segments [ArBÀ ont ]e même milieu I, qui est le point de (O-r) d'abscisse
3.
4. Pourtout n € N, on ài a., =, - * Et b, = r. *.

Exrncrcn 269 2O minutes


Une balle est lachée d'une hauteur de 2 m. Elle rebondit plusieurs fois. La hauteur atteinte à
chaque rebond est égale à 85% de la hauteul du rebond précédent.
Soit h, la hauteur en centimètres du nè*, rebond.

l. Calculer h1, h2eth3.


2. Exprimer hrenfonction de z.
3. Calculerà 10-3 prèslahauteurduBe rebond.
4. A partir de quel rebond la hauteur devien dra inférieure à5 mm?

ExERcrcE 270 20 minutes


L empreinte carbone est un indicateur des érnissions de gazà effet de serre qui intègre les émis-
sions directes des ménages français (logements et voitures), les émissions de la production na-
tionale (hors exportations), et celles associér:s atrxproduits importés.
Le tableau ci-dessous indique les émissions de COz de la France selon I'empreinte carbone
entre 1995 et 2015. Les émissions sont exprfunées en million de tonnes équivalent CO2.

Année 1995 2rlO0 2005 20r0 20ts


Rang de l'année (.r;) 0 5 10 l5 20
Emission de COz (y;) 477 :,34 592 573 532
Sou;ce: SOeS d'après Citepa, Eurosta.t, Insee, Douanes, N$2016

On a représenté, dans un repère orthogonal, le nuage de points de coordonnées (x; ; y;)


associé à cette série statistique.
7T
2.s. Si.//TES CF;OrutBrn'rqUrS

'Y'i"T YL'tr?:Y r! "-:"\-fi'


::lri
.i:llii. I

'' I , :
i:
lii.ili
l iilli il I
t:l
600 ili+i i- rti

r.ili,.i l.iiil-
l.ilil.
:

.,1':
:li: iiil.i.
500
l .illi.i
-ili,ii ,illil
Tiiiil
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400 tlti
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iii.lii
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ll
300 :il .i.li :i
rii ..1 ll

:' -. i i I l .il:li
l.iil
.

ii

200

i..il.
l:r.il
100
ii: l:
ilri.
i:; :l iii
.: ii.ll. ofl ilt
,i
0
0 510152025303540

Al'issue de la conftirence sur le climat en 2016, la France s'est engagée, d'ici 2030, à réduire
ses émissions de COz de 4oÿo,par rapport à leur niveau en 1990, estimé à 468 millions de tonnes
équivalent CO2.
Le but de I'exercicer est de prévoir la quantité de COz émise en 2030 à partir de detrx modé-
lisations différentes.
Les parties A et B sctnt indépendantes.

PartieA
On propose de modélir;er l'évolution des émissions de COz par la fonction / définie sur l'inter-
valle [0; 39] par : f (x) == -0,8x2 + Lg,Zx + 470.
l. Déterminer la fonction dérivée /' de la fonction / sur l'intervalle [0 ; 39].
72 1IIAPTTRE2. SUITESNUMERTQUES

2' Etudier le signe de Ia fonction


/' et en déduire le tableau de variations de la foncüon
l'intervalle [0; 39]. / sur
3' a Compléter le tableau de valeurs suivmt. Les résultats seront arrondis à l,unité.
x 0 5 10 15 20 25 30 35 39
f@)
b. En utilisant le tableau de valeurs pré cédent, tracer la courbe représentative de la fonc_
tion / sur l'intervalle t0; 391 dans le r epère orthogonal précédent.
4. D'après ce premier modèle, l,engageme nt de la France sera-t-il tenu
en 2030? Iustifier la
réponse.

Partie B
on fait l'hypothèse qu'à partir d e 20l5,les érnissions de Co2 baissent
annuellement de 3 zo. on
modélise alors les émissions de co2 à l'aide d'une suite numérique (ar).
Pour tout entier naturel n, un estégal aux émissions de CO2, en million
de tonnes équivalent
CO2, durant l'année (2015 + n). Ainsi, uo Sll2.
=
l. a. Montrer eue u1 = 516,04.
b. Quelle est la nature de la suite (ur) ? I,réciser son premier terme et sa raison.
c. Pour tout entier n, exprimer a, en forrction de n.
2. D'après ce second modèle, l'engagement de la France sera-t-il tenu en 2030? Iustifier la ré-
ponse.

EXERCTcE 271 20minutes


Un entrepreneur achète à crédit le }llOll2CO3 une machine coûtant 500 000 €. Il rembourse
son prêt en l0 annuités en versant le ler janvier de chaque année (à partir du 01/0r/20o4), la
somme de 64752,29 € qui se décompose en derx parties :
. Les intérêts 5 % sur ce capital restant dû l'année précédente;
. Lamortissement du prêt (le capital rerrboursé).
Voici le détail de ces premiers versements donné à l'aide d'un tableur :

A B C D E
I Dates Annuité Intérêts Amortissement Capital restant

2 01/01/2003 500000,00
3 oLl0Ll2004 64752,29 25 000,00 39752,29 460247,71
4 0r/01/2005 u752,29 23012,39 41739,90 4lB 507,81
5 01/0r/2006 64752,29 20925,39 43 826,90 374 680,91
6
Ainsi, les intérêts payés le 0l/01/2004 représr:ntent les 5 7o du capital restant dû au 0l /01/2003.
La somme amortie en 2003 étant la différence entre le montant de l'annuité et les intérêts payes
en 2003.
Toutes les sommes seront données auec deux câcimales.
73
2.s. sutras csoNIÉrntQUEs

l. Vérifler que les somnnes indiquées en C3 et D3 sont correctes. Faire de même avec les sommes
indiquées en C4 et Dr4. Compléter alors Ia ligne 6 de ce tableau.
2. Dans la cellule D3 a r3té entrée la formule : =B3- C3 qui, par copier-glisser a permis de com-
pléter la colonne D.
a. Donner, de la même façon, la formule entrée en C3. Que devient cette formule si on la
recopie enC4z.
b. Donner la formule entrée en E3 qui, par « copier-glisser »a permis de compléter la co-
Ionne E.
3. On définit les suites (ir) , (aù et (cr) pour n) I par
Dates Annuité Intérêts Amortissement Capital restant dt
01/01/(2003+n) t64752,29 in an cn

Par exemple,ir = 25 000 représente les intérêts au 01/01 /2004.


Donnerlesvaleurs clei2, i3, i4, at, az, al, a4, ct, c2, c3Etc4'
4. Sachant qu'une de ces trois suites et une seule est géométrique, déterminer laquelle en pré-
cisant votre méthocle. Quelle est la raison de cette suite? (On arrondira les calculs à IO-2
près)
5. Déterminer, sans calcul et en justifiant, la somme dy * a2* "' * a1s.
6. Par la méthode de votre choix, déterminer le montant total des intérêts payés par l'entre-
preneur.

ExurrctcgzT2 S0minutes
En 2010, un opérateur de téléphonie mobile avait un million de clients. Depuis, chaque année,
l'opérateur perd 10 % de ses clients, mais regagne dans le même temps 60 000 nouveaux clients.
l. a. On donne l'algorithme ci-dessous. Expliquer ce que I'on obtient avec cet algorithme.
ft.-6
NbClients 1000000
Tantque k -< 8
ft-1ça1
I,lbClients 0, 9 x NbClients + 60000
-
Itffrcher NbClients
Fin Timt que
b. Compléter le tableau ci-dessous avec toutes les valeurs afflchées pour k de 0 jusqu'à 5.
k 0 I 2 3 4 5
NbClients
2. En supposant que cette évolution se poursuit de la même façon, la situation peut être mo-
délisée par la suite (U") définie pour tout entier naturel n, par i

I uo
Ur*,
= 1000
I = 0,9Ur?+60.
74 CTTAPITRE 2. SUITES NUMÉRIQUES

Le terme U, donne une estimation du nc mbre de clients, en milliers, pour l'anné


e 2olo + n.
Pour étudier la suite (Ur), on considère a suite (Vr) définie pour tout entier naturel n par
Vn= Un-600.

a. Montrer que la suite (ÿr) est géométlique de raison 0,9.


b. Déterminer l'expression de Vn enfor ction de n.
c. Montrer que pour tout entier naturel z, on a Un= 400 x 0,gu + 600.
d. Montrer que la suite (Ur) est décroisr;ante. Interpréter le résultat dans le contexte de ce
problème.

3. A la suite d'une campagne publicitaire cc nduite en 2013, l'opérateur de téléphonie observe


une modification du comportement de sx clients.
Chaque année à compter de l'année 2Ol4 ,l'opérateur ne perd plus que 8 Zo de ses clients et
regagne 100 000 nouvearx clients.
on admet que le nombre de clients comp tabilisés en 2014 était égal à g60000.
En supposant que cette nouvelle évolution se poursuive durant quelques années, détermi-
ner le nombre d'années nécessaire pour que l'opérateur retrouve au moins un million de
clients.

ExERcrcE 273 B0minutes


Un apiculteur souhaite étendre son activité de producüon de miel à une nouvelle région. En
juillet 2Ol4,il achète 300 colonies d'abeilles,lu'il installe dans cette région.
Après renseignements pris auprès des services spécialisés, il s'attend à perdre B % des colonies
durant l'hiver. Pour maintenir son actiüté et la développeS il a prévu d'installer 50 nouvelles
colonies chaque printemps.

1. On considère l'algorithme suivant:

c.-300
n-o
Tânt que C < 400 faire
I c- c-cxo.oB+50
1 n*n+t
I

FinTant

a. Recopier et compléter le tableau ci-d:ssous en ajoutant autant de colonnes que néces-


saire. Les résultats seront arrondis à l'entier le plus proche.

Test C < 400 wiu


Valeurde C 300 326
Valeurde n 0 I
b. Quelle est la valeur de n à la fin de l'exicution de cet algorithme? Interpréter cette valeur
dans le contexte de ce problème.
2.s. surras cÉovtnrntQuEs 75

2. Onmodélise l'évolulion du nombre de colonies par une suite (Cr) le terme C, donnant une
estimation du nombrre de colonies pendant l'année 2OI4 +n. Ainsi Co = 300 est le nombre
de colonies en20l4.

a. Exprimer pour tout entier n le terme C2a1 €rl fonction de Cn.


b. On considère la rsuite (I/r) définie pour tout entier n pat V, = 625 - Cn.
Montrer que pour tout nombre entier n on a Vn+r = 0,92 x Vr.
c. En déduire que pour tout entier naturel n, on a Cn = 625 - 325 x 0,92n .
d. Combien de colonies l'apiculteur peut-il espérer posséder en juillet 2024?
3. tJapiculteur espère doubler son nombre initial de colonies. Il voudrait savoir combien d'an-
nées il lui faudra pour atteindre cet objectif.

a. Comment modi:ûer l'algorithme pour répondre à sa question?


b. Donner une réponse à cette question de l'apiculteur.

EXERCTCE 274 25 minutes


On considère la suite (ur) définie par us = 65 et pour tout entier naturel fl i ttnal = 8un + lB.
0,

l. Calculer u1 et u2.
2. Pour tout entier natrLrrel n, on pose z t)r= vn-gg.
a. Démontrer que la suite (ur) est géométrique de raison 0,8 et préciser la valeur de us.
b. Démontrer que, pour tout enüer naturel tl 1 Ltn = 90 - 25 x 0, Bn.
3. Ecrire un programrne permettant de résoudre l'inéquation u"2 85.
4. La société Biocagette propose la livraison hebdomadaire d'un panier bio qui contient des
fruits et des légumer; de saison issus de l'agriculture biologique. Les clients ont la possibilité
de souscrire un abonnement de 52 € par mois qui permet de recevoir chaque semaine ce
panier bio.
En juillet 2Ol7 ,65 pilrticuliers ont souscrit cet abonnement.
Les responsables de la société Biocagette font les hypoüèses suivantes :
. d'un mois à l'auü:e, enüron 20 7o des abonnements sont résiliés;
. chaque mois, 18 particuliers supplémentaires souscrivent à l'abonnement.
a. Iustifier que la rsuite (zr) permet de modéliser le nombre d'abonnés au panier bio le
n -ième mois qui suit le mois de juillet2ÛI7.
b. Selon ce modèle, la recette mensuelle de la société Biocagette va-t-elle dépasser 442O €
durant l'ann ée ',lOl.B? Iustifler la réponse.
c. Selon ce modèll, vers quelle valeur tend la recette mensuelle de la société Biocagette?
Argumenter la réponse.

EXERCICE 275 20minutes


Alice débute au jeu de fléchettes. Elle effectue des lancers successifs d'une fléchette. Lorsqu'elle
atteint la cible à un lancer, la probabilité qu'elle atteigne la cible au lancer suivant est égale à
I3',. ao.rqr'"lle a manqué la cible à un lancer, la probabilité qu'elle m:rnque la cible au lancer
76 CIIAPITRE 2. SUITES NUMERIQUES

L
suivant est égale à on suppose qu'au premier lancer elle a autant de chances d'atteindre la
i.5
cible que de la manquer.
Pour tout entier naturel n strictement positit, on considère les évènements suivants :
An: « Nice atteint la cible au ze coup »,
B, Alice rate la cible au ze coup
: « ».
On pose pn = P(Aù.

Pour les questions l. et2, on pourra éventuellement utiliser un arbre pondéré.

l. Déterminer pr et montrer que O, =


#. 2L
2. Montrer que, pour tout enüer naturel z ),2, pn = -
TUPn-r+
3. Pour n )|
onpose un = pn -fr
. Vto.rtr., Ore la suite (zn) est une suite géométrique, dont
on précisera le premier terme u1 etlarais on 4.
4. Ecrire z, puis pn enfonction de n.
5. Conjectur", interpréter ce résultat.
n!y*pn,
ExERCTcE 276 l5minutes
Un site internet propose un jeu en ligne :

. si l'internaute gagne une partie,la probalrilité qu'il gagne la partie suivante est égale à
];
c
. si l'internaute perd une partie, la probabjlité qu'il perde la partie suivante est égale à f .
c
Pour tout entier naturel non nul z, on dési1;ne par Gr l'évènement « l'internaute gagne la n -
ième partie » et on note prlaprobabilité de l'évènement Gr.
Linternaute gagne toujours la première partle et donc pr = l.
l. Compléter l'arbre pondéré suivant :

Gn+t

Pn Gn
Gn+t

Gn+t
l- Pn Gn

Ç
2. Montrer r
que, pour tout z entier naturel 1,)n nUI, Pn+t = ' I 1

SP"* i
3. Pour tout n entier naturel non nul, on pore u, = p, -I.
77
2.s. sutras cÉotutÉrruQuns

1
a. Montrer qtue {up)n21est une suite géométrique de raison et de premier terme ul à
i
préciser.
1 \,1 -l I
b. Montrer que, pour tout n entier naturel non nul, n, =l' *n
5 )
c. Déterminer la li:mite de P"

ExERcrcE 277 25 minutes


Dans un stand de tir, un tireur effectue des tirs successifs pour atteindre plusieurs cibles. La

probabilité que la première cible soit atteinte est ].


2
Lorsqu'une cible est atrteinte, la probabilité que la suivante le soit est ]'n,
Lorsqu'une cible n est llas atteinte, la probabilité que la suivante soit atteinte est
7.
On note, pour tout entier naturel n non nul :
. An l'évènement: « la -ième cible est atteinte ».
n
. A, l'érè.rement : « la n -ième cible n'est pas atteinte ».
. anlàprobabilité de l'évènement An
. bnlaprobabilité de l'évènement An.
l. Donner a1etb1.
2. Calculer a.2 et b2. On pourra utiliser un arbre pondéré.
3. Montrer que, pour tout z E N, n )- I : Anal ='Ao^ *LOr,
11
puis : aral an * -
- -;4'2
4. Soit (uÀ lasuite délfinie pour tout n € N* , par un = on -?.
J
a. Montrer que la r;uite (ur) est une suite géométrique. On précisera la raison et le premier
terme il\.
b. En déduire l'eqrression de un en fonction de n, puis l'expression de an en fonction de
n.
c. Déterminer la limite de la suite (a").
d. Déterminer le püus peüt entier naturel n tel que : ar)- O,6665.

Exrncrcn 278 : Vnat/lFeux 15 minutes


On considère les suites (ur) et (ur) définies pour n e N par:

Lts=l, uo= J2, ,n+r='y, t)n+r=T#


l. Vrai/Faux:lasuite (wùdéfiniepüwn=t)n un estunesuitegéométriquederaison)-A.
2. Vrai/Faux: quel que soit n e N, u, ( vr.
3. Vraii Faux: la suite (:u,x) est décroissante.
78 1HAP|TRE2. SUITESNUMERTQUES

4. Vrai/Faux: les suites (uù et (ur) tendent yers la même limite.

EXERCTcE 279 lS minutes


On définit les suites (aà et (bà par ao = O, bo = l2et pour tout entier naturel n,

an+t ='"";u" etbnal - ,ib


on considère les suites (uà et (vr) déflnieri, pour tout entier naturel n, par Ltn = bn - an et
un=3an+ Abn.
l. Montrer que la suite (ur) est géoméûiqutr. En préciser la raison.
2. Donner l'expression de u, enfonction de l'entier naturel z.
3. Montrer que la suite (zr) est constante et préciser son premier terme.
4. En déduire une expression de a, et b, en fonction de z.

ExERcIcE 280 30 minutes


On considère la suite de nombres réels (zr) rléfinie sur N par :

uo = -1, u, = Tet, pour tout entier naturel n, Ltn+2 = un+r - Tr,


l. Calculer u2 eten déduire que la suite (url n est ni arithmétique ni géométrique.
2. On déflnit la suite (ur) enposant, Vn e N t)n = Ltn+t -;"r.
a. Calculer us.
b. Exprimer unal êî fonction de un. En rléduire la nature de la suite (ur).
c. Exprimer u, en fonction de n.

3. On définit la suite (wn) enposant, pour trrut entier naturel n: wn - b.


un
a" Calculer il.rs.
b. Enutilisantl'égalité Ltn+t=rn*lun,exprimer u)na1 ên fonction deunetdeun.
z
c. En déduire la nature de la suite (rzr).
d. Exprimer wnenfonction de n.
4. Montrer que pour tout entier naturel fi) un ='#
EXERCTcE 2Bl 20minutes
On étudie un modèle de propagation d'un vi:us dans une population, semaine après semaine.
Chaque indiüdu de la population peut être, irl'exclusion de toute autre possibilité :

. soit susceptible d'être atteint par le ürus, on dira qu'il est « de type S »;
. soit malade (atteint par le ürus);
. soit immunisé (ne peut plus être atteint prr le virus).
79
2.s. IIIITES cÉovnratQurs

a guéri après avoir été atteint par


Un indiüdu est immunisé lorsqu'il a été vacciné, ou lorsqu'il
le virus.
est défini par les règles suivantes :
Pour tout entier naturel n, le modèle de propagation du virus
. Parmi les individus de type S en semain e n, oîobserve qu'en semaiîe n+ 1 : 85 % restent de
type S, 5 % deviennent malades et 10 % deviennent immunisés;
n + | : 65To restent
. les individus malades en semaine n, on observe qu'en semaine
Parmi
malades, et35ÿosont guéris et deviennent immunisés'
. n+
Tout individu immu,nisé en semaine n reste immunisé en semaine
1.

suivants :
on choisit au hasard urn individu dans la population. on considère les évènements
Sn : « l'indiüdu est de type S en semaine n »;
Mn i ,, l'individu est malade en semaine z »;
1, : « I'indiüdu est immunisé en semaine n ».
En semaine 0, tous les indiüdus sont considérés « de type § », or a donc
les probabilités sui-
vantes :

P(So) = | ; P (Mù = 0 et P(Io) = 0'

PartieA
On étudie l'évoluüon de l'épidémie au cours des semaines I et 2'

l. Compléter l'arbre die probabilités donné ci-dessous :

S1

S6

M1

I
11

2. Montrer que P (Iz) =O,2025.


3. Sachant qu'un ind.ividu est immunisé en semaine 2, quelle est la probabilité, arrondie au
millième, qu'il ait été malade en semaine 1?

Partle B
On étudie à long term,e l'évolution de la maladie.
Pourtoutentiernaturel n,on:un=P(Sr),un=P(MùEttilr=P(1r)lesprobabilitésrespec-
üves des évènements Sr, Mn et In.
l. Iustifier que, pour tout entier naturel n, on a : un + u n + w n - L
On admet que la suite (ur) est définie p&r unal =O,65un+O,OSun.
BO
CIIAPITRE 2. SUITES NUMEP{IQUES

2. A l'aide d'un tabreur, on a calculé les prerniers termes


des suites (uà, (uà et (wn)
A B C D
I n un un wn
') 0 I 0 0
3 I 0,850 0 0,050 0 0,100 0
4 2 0,7225 0,075 0 0,2025
5 3 0,614 I 0,084 9 0,3010
6 4 0,5220 0,085I 0,392 I
7 5 o,4437 O,OBI9 0,4744
B 6 0,377 I 0,0754 0,547 4

20 l8 0,053 6 0,013 3 0,933 0


2L l9 1,045 6 0,01I 3 0,943 I
22 20 ),038 I 0,009 6 0,951 6

Pour répondre aux questions a- et b. suiuc'.ntes, on utilisera la


feuiile de calcul reproduite ci-
dessus.
a' Quelle formule, saisie dans la cellule rJ3, permet par recopie vers le bas, de calculer les
termes de la suite (un) ?
b. on admet que les termes de (ur) auilmentent, puis diminuent à partir d,une certain
rang N, appelé le « pic épidémique » : c'est I'indice de la semaine pendant laquelle
la
probabilité d'être malade pour un indiüdu choisi au hasard est la plus grande.
Déterminer la valeur du pic épidémiq le prévue p.r ce modèle.
3. a Iustifier que, pour tout entier naturel lu, on a i ttn+L = 0,g1un.
b. En déduire l'expression de un enfoncrion de n.
4. On admet que pour tout enüer naturel nt' u'= '
i(0'85t1 -0'65n)'
carculerlalimite dera suite (ur).
Que peut-on en déduire quant à l'évolution de l'épidémie prévue à long terme par ce mo-
dèle?

EXERCICE 282 20 minutes


l. Soit la suite (ur) définie par u1= 1 la relation de récurre Unal =
I I
Z"a _ rtarelatl()n(IerecurrenCet
par
6U"+ i.
a. Soit la suite (ur) définie pour n ) I par t)n = un- l. O4orrar"r que (ur) est une suite
5
géométrique dont on précisera la rais«rn.
b. En déduire l'expression de u, en fonction de n puis celle de ur.
2. On considère deux dés, notés A et B. Le dé A comporte trois faces rouges et trois faces
blanches. Le dé B comporte quatre faces rruges et detxfaces blanches.
On choisit un dé au hasard et on le lance : si on obtient rouge, on garde le même dé, si on
obtient blanc, on change de dé. Fuis on relance le dé et ainsi de suite.
On désigne Par An l'évènement « on utilise le dé A au n-ième lancer r, par en l'évènement
contraire de An, par Rr l'évènement « on obtient rouge au n-ième lancer », par Fl l'évène-
ment contraire de Rr, pü an et r, les prob abilités respectives de An et Rn.
2.s. sutras caowtÉrn'quns 8l

a. Déterminer a1.
b. Déterminer rl. Pour cela, on pourra s'aider d'un arbre.
c. En remarquant que, pour tout n) l, Rn= (Rnr\ Aùu (^,no,),

montrer qlJe rn= -'u"r*|.


d. Montrer que, potr tout n ) l, An+r = lArn Rr), (e"A).
e. En déduire que, pour tout n ) l, an+r ='uor+ déterminer I'expression de an en
|, nri,
fonction de n.
f. En déduire I'erpression de rn en fonction de n puis Ia limite de r, quand n tend vers
+oo.

EXERcTCE 283 20 mfurutes


Le premier janvier 2014, Monica ouwe un livret d'épargne sur lequel elle dépose 6 000 euros.
Elle décide de verser 9010 euros sur ce liwet chaque premier janvier à partir de 2015 jusqu'à
atteindre le plafond autorisé de 19 125 euros.
On suppose dans tout cr:t exercice que le taux de rémunération du liwet reste fixé à2,257o par
an et que les intérêts sont versés sur le livret le premier janvier de chaque année.

ParüeA

1. Calculer le montant des intérêts pour I'année 2Ol4 et montrer que Monica disposera d'un
montant de 7 035 euros sur son liwet le premier janüer 2015.
2. OnnoteMnlemontanteneurosdisponiblesurleliwetlepremierjanvierdel'année2Dl4+
n.
On a donc Mo = 6000 et M1 = f 0f,,$.
Montrer que pour torut entier naturel n : M na1 = 1,022 SMn + 900.
Partie B
Monica souhaite savoir en quelle année le montant de son liwet atteindra 19125 €
l. Première méthode:
On considère la suite (Gr) définie pour tout entier naturel fl, pü Gn = Mn + 40000.

a. Montrer que la suite (Gr,) est une suite géométrique de raison 1,0225. On précisera le
premier terme.
b. Donner l'expression de G, en fonction de z.
En déduire que, pour tout entier naturel fl, Mn - 46 000 x l,O225n - 40 000.
c. Déduire de l'expression de M, obtenue en b. l'année à partir de laquelle le plafond de
19 125 euros sera atteint.

2. Deuxième méthode :

Lalgorithme ci-dessrrus permet de déterminer l'année à partir de laquelle le plafond sera


atteint.
82 CHAPITRE 2. SUITES NUMERIQUES

LIGNE
I MONTANT 6000
2 ANNEE -
3 -2014
4 Tant que MONTANT < 19125
5 MONTANT *1,0225 xMOITTANT +900
6 ANNEE +1
7 -ANNEE
B AfÊcher « læ plafond du liwet sera atteint en
I AfficherANNEE

a. Il suffit de modifier deux lignes de cet algorithme pour qu'il détermine l'année à partir
de laquelle le plafond est atteint porrr un montant versé iniüalement de 5000 euros et
des versements annuels de 1000 euros.
Indiquer les numéros des lignes et le s modifications proposées.
b. Proposer une modification de la bc ucle conditionnelle pour que I'algorithme affiche
également à l'écran le montant disprlnible au premier janvier de chaque année.

Exrncrcn 284 2O minutes


A partir de l'année 2010, Pierre verse le ler janüer de chaque année 9000 € sur un compte
rémunéré à un tatx annuel de 67o à intérêts composés. Ainsi, chaque ler janüer, il ajoute g 000€
au capital déjà acquis.
On note unle capitaldisponible au ler janvier2OtO+ n, ainsi rh = g000.
l. Montrer Que u1 = I8540 et que ttn+r = l,O6un + 9000.
2. Soit la suite ( ur) telle qrte u n = un * 150 0 00.
a. Calculer uçetu1.
b. Montrer QnE unal = l,O6un. En déduire la nature de la suite (yr).
c. Exprimer un, puis z, en fonction de n.
3. A partir de quelle année Pierre disposera-t-il de plus de 200000 €?

EXERCICE 285 2Omlnutes


(ur) définie par : u1 = 1 et, pour tout n )
+=un
Soit la suite
2'2 l, un+t =3 .

l. Calculer u2etu3.
La suite (zr) est-elle arithmétique? géonrétrique? Iustifler vos réponses.
2. Pourtolutn2-l,onpose t,ln =3-un.
a. Montrer que la suite (ur) ainsi définie est une suite géométrique de raison
'2 |.
b. Exprimer u, en fonction de n .
c. En déduire u,, en fonction de z.
d. Calculer la limite de la suite (ur).

EXERCTCE 286 20 minutes


Déterminer les progressions géométriques rle sept termes (à termes réels) telles que la somme
2.s. sutras cÉottern: tquns B3

des trois premiers termes est égale à 2 et la somme des trois derniers termes est égale à 1250.

EXERCT6E 287 20minutes


Soient a, b et c trois nombres réels distincts avec a I O.
Sachant que les trois nombres a, b et c sont trois termes consécutifs d'une suite géométrique
et que les trois nombres 3a, 2b et c sont trois termes consécutifs d'une suite arithmétique,
calculer la raison de la siuite géométrique.

Exnncrcr 288 20minutes


Trouver trois réels a., b et c tels que :
. c, a et b sont trois tenîes consécutifs d'une suite arithmétique,
. a, b et c sont trois termes consécutifs d'une suite géométrique,
. abc=8.
ExnncrcB 289 : VneI/Flux lO minutes
On considère les suites (uù et (u") définies pour n e N par
11 II
Ltn=l*
" 2l+...+-î,nl' êt Un= Lln- l+ -nl
-I! * =

Les afÊrmations suivantes sont-elles waies ou fausses. Iustifier les réponses.


l. Pour n € N, un est la somme des n premiers termes d'une suite géométrique de premier
1
terme I et de.oi.o,n+l
2. La suite (ur) est décroissante.
3. La suite (ur) est croissante.

ExnncrcE 290 : Vnar/Ihux lO minutes


On considère les suites (ur) et (ur) définies par

3
IIO=;

un+l
'-z Et Ur=
un-2
--------=
Un- I
- ---------=
un- 3
On admet que quel que soit n € N, on a: I < un <2.
Les affirmations suivantes sont-elles waies ou fausses. Iustifler les réponses.
l. La suite (un) tendverrs une limite flnie.
2. (uù est une suite géométrique de raison 2 et depremier terme uo = -1.
3. Pour tout n € N, on it u.," =t + .-1- .
|+2n
84 CHAPITRE 2. SUI?ES NUMÉRIQUES

EXERCICE 29I 20minutes

Mathilde a placé une somme S. A la


fin de ct aque année, l'intérêt de ce placement est CSA a l
'25
de la somme placée au début de cette même année. Mathilde peut percevoir l'intérêt ou bien
le laisser placé à son tour. Elle choisit cette seconde solution.

l. De quelle somme dispose Mathilde à la fin de la deuxième année? de la troisième année? de


la n-ème année?
2. Pendant combien d'années, au moins, lui faudra-t-il poursuiwe son placement pour que
Mathilde dispose d'une somme supérieure à 25?

EXERCICE 292 l5 minutes


On considère la suite (ur) définie par

UO I et, pour tout entier naturel n,


/ n +1\
Un+l
1r"*,)""'
On définit la suite ( un) par : pour tout entier naturel n, u n = (n + l) un.

A B C
l. La feuille de calcul ci-contre présente les valeurs I n un un
des premiers termes des suites (uà et lün), ar 2 0 1,000 00 1,000 00
rondies au cent-millième. 3 I 0,250 00 0,50000
Quelle formule, étirée ensuite vers le bas, peut- 4 2 0,083 33 0,25000
on écrire dans la cellule 83 de la feuille de calcul 5 3 0,03125 0,125 00
pour obtenir les termes successifs de (url? 6 4 0,012 50 0,062 50
2. u Conjecturer l'expression de u,, en fon :tion de 7 5 0,005 21 0,03125
n. I 6 o,oo223 0,015 63
b. Démontrer cette conjecture. 9 1
I 0,00098 0,007 B1
3. Déterminerla limite de la suite (zr). l0 B 0,00043 0,003 91
l1 I 0,000 20 0,00195

ExERcrcE 293 20minutes


On considère un triangle équilatéral P6 de «ôté l. Chaque côté est ensuite divisé en trois par-
ties égales et on construit sur le segment drr milieu de chacun des côtés un nouveau triangle
équilatéral à l'extérieur de Ps. On obtient airrsi le polygone P1.
En procédant de manière analogue avec le lrolygone P1, on obtient le polygone P2, puis en ré-
itérant le processus on construit une suite d: polygones Pr.
2.3. SUITES CnOLnrntquns 85

F,o P1

Pour Pr, on note c, le nombre de côtés de Pn, /, la longueur de chaque côté, p, son périmètre
et a, son aire.
l. Calculer co, lo, Po, a<t, ct, lt, pt, atpuis c2, lz, pz, az.
2. Exprimet cnal ên fonction de cr. En déduire une expression de c, en fonction de n.
3. Exprimer lnal ënfonction de lr. En déduire une expression de /, en fonction de n.
4. En déduire l'expressi. on de pnen fonction de z. Quelle est la nature de la suite (pn)? Conjec-
turer la limite de cette suite.
5. Exprimer an+L en fcrnction de an. En déduire une expression de (aù en fonction de n. A
l'aide de la calculatriice, conjecturer la limite de la suite ar.

EXERCTCE 294 minutes


2O
Depuis qu'il est à la retraite, un homme tond sa pelouse tous les samedis, il recueille chaque
fois l20litres de gazon rqu'il stocke dans un bac à compost de 300 litres.
Chaque semaine les matières stockées perdent, après décomposition ou prélèvement les trois
quarts de leur volume.
Soit V1, V2, V3les volumes en litres stockés respectivement les premieç deuxième et troisième
samedis après la tonte.
De manière générale, soit Vn le volume stocké le z-ième samedi après la tonte.

l. a" Montrerque h,= 120 litres, Vz=I!}litres, V3 = 157,5litres.


b. Calculer les volumes V4,V;,V6 exprimés en litres, stockés respectivement les quatrième,
cinquième, sixième samedis après la tonte.
2. ExprimerVn+t en fonction deVr.
3. On définit, pour tout n)- l, trpar: tn = 16O - Vn.
1
a. Montrer qtue (tn) est la suite géométrique de premier terme h = 4O et de raison
;.
b. En déduire les e:çressions de t, puis de V, en fonction de z.
86 crrAPrrKE 2. suI?ES NUMÉRTQUES

c. Déterminer la limite de (tà puis celle de (Vn)

ExnncrcE 295 20 minutes


Une étude est réalisée chaque hiver sur un: population composée de personnes qui peuvent
pratiquer le ski de piste ou le snowboard.
Létude révèle que :
Si une personne pratique le ski de piste, alors la probabilité qu'elle pratique le snowboard
- l'hiver suivant est égale à 0,2.
Si une personne pratique le snowboarC, alors la probabilité qu'elle pratique le ski de piste
- l'hiver suivant est égale à 0,3.

On note pour tout entier naturel z :

Pn la probabilité qu'une personne przrtique le ski de piste lors du n-ième hiver;


-
s,, la probabilité qu'une personne pratique le snowboard lors du n -ième hiver.
-
On suppose que la population initiale ne rromporte que des personnes pratiquant le ski de
piste, on a donc po = let s6 = Q.

PartieA

l. Calculer pL, st, p2 et s2.


2. Exprimer pn+t et sr11 en fonction de p, et de sr.
3. Montrer que pour tout entier naturel n, cür a p n+t = 0,5 p, + 0,3.
4. Ecrire un programme qui détermine, portr n donné, pn et sn.

Partie B
Soit la suite (ur) déflnie pour tout entier nalurel n par un - pr-0,6.
l. Démontrer que la suite (zr) est une suitr géométrique de raison 0, 5 et préciser la valeur de
Ug.
2. En déduire l'expression de un enfonctiorr de n puis l'expression de pn enfonction de z.
3. Déterminer la limite de la suite (p") interpréter le résultat.
"t
EXERCTCE 296 20 minutes
Ondéfinitlasuiteréelle(uàpariuo =0, ül =aetun+2=pun+t-@- 1)zrotrpestunréel
strictement positif différent de I etde2.
l. OnposeVneN, u)n=ttn+t-ur.Montrelque(ra,r)estunesuitegéométriqueetcaTculerwn
en fonction de p, n et a.
2. On pose Vz € N, f, = Ltn+r - (p - l) ur. IVlontrer que (ür) est une suite constante et calculer
f, en fonctiond,e a.
3. Calculer u, en fonctionde wn et fn, puis en fonction de p, n et a.
2.s. stJtrES cÉoptnrn.tQuEs 87

EXERCICE 297 2Ominutes

5 t
Soit (ur) la suite définie par uo = 3, ur = 6 et, pour tout entier naturel fl | ttnq2 = Zun*, iu"
Le but de cet exercice esrt d'étudier la limite éventuelle de la suite (ur)

PartieA
On souhaite calculer les valeurs des premiers termes de la suite (uà àl'al.de d'un tableur.
On a reproduit ci-dessous une partie d'une feuille de calcul, où figurent les valeurs de us et de
U1.

A B
1 n un
2 0 3
3 1 6
4 2
5 3
6 4
n
I 5

l. Donner une formule qui, saisie dans la cellule 84, puis recopiée vers le bas, permet d'obtenir
des valeurs de la suite (ur) dans la colonne B.
2. Recopier et complét,er le tableau ci-dessus. On donnera des valeurs approchées à 10-3 près
de zn pour n allant de 2 à 5.
3. Que peut-on conjeclurer à propos de la convergence de la suite (u") ?

Partie B : Etude de la suite


On considère les suites (uù et (zun) définies pour tout enüer naturel npar:-

I
Un = lln+l et Wn = ttn -7.
iU"
l. a Démontrer que l:rn) est une suite constante.
b. En déduire que, pour tout entier naturel n, un+t = ! u, *2].
4'," 4
2. a. Démontrer que l:.wà est une suite géométrique dont on précisera le premier terme et la
raison.
n-l
b. En déduire que, pour tout entier naturel n, u,n = f - (i)
c. Calculer la limite de la suite (u").
88 CITAPITRE 2. SUITES NUMÉRIQUES

Exnncrcn 298 20minutes


Un document statistique donne les renselgnements suivants, concernant la région Rhône-
Alpes:
«Lapopulationtotaleaugmenterégulièrement del,2ÿopar:rn;lapopulationagricolediminue
régulièrement de 3 Topar an.
Au ler janvier 1990, la population totale est de 4650000 habitants, et la population agricole
représente 9ÿo de la population totale. »

l.a Quelle était la population théorique totale au ler janüer l99l ?


b. Quelle était celle au ler janvier t992?
c. on désigne par p(n) la population totale prévue au ler janvier (1990 + z), où n est un
entier positif.
Démontrer que p(n) = (l,Olz)n x p((r).
d. Quelle population totale peut-on pr(voir au ler janvier 19g5?
2.u Quelle est la population agricole au I er janvier lgg0?
b. On désigne par a(n) la population a€picole au ter janüer (1990 + n). CalclJrer a(n).
c. Quelle population agricole peut-on 1rrévoir au ler janüer lg95?
3. a. Exprimer le rapport r(n) = 9- de n.
P@) "rfilncüon
b. Calculer la valeur minimale de n pou r laquelle r(n) ( 0,03.

Expncrcr 299 20 minutes


En 2005, année de sa création, un club de rimdonnée pédestre comportait 80 adhérents. Cha-
cune des années suivantes on a constaté qu: :

lOVo des participants ne renouvelaient pas leur adhésion au club;


-
20 nouvelles personnes s'inscrivaient au club.
-
On suppose que cette évolution reste la mêrne au fil des ans.

PartieA
On donne l'algorithme suivant :

X- ]0
Pour i allantde I àn
X *9,9Y*rO
Fin Pour
x .- E(x)

E(X) étant la fonction paftie entière du réelle X.


1. Pour la valeur n = 2 saisie, quelle est la veleur de X à la fin de cet algorithme?
2. Interpréter dans le contexte du club de randonnée, pour la valeur z = 2 saisie, la valeur de
X à la fln de cet algorithme.
89
2.3. IUITES ceowtÉrntquns

Partie B

l. On considère la suite (ar) définie at ao = B0 et, pour tout enüer naturel n, anal = 0,9an+20.
p

Pour tout entier naturel n, on pose : bn = 6n- 200.


a. Démontrer que (br) est une suite géométrique; préciser sa raison et son premier terme.
b. Exprimer b, en [onction de z.
2. En déduire que, pour tout entier naturel n, on a : o.n = lQ[ - 120 x 0, 9n.
3. Quelle est la limite dle la suite (ar) ?

Partie C

t. Lobjectif du présidr:nt du club est d'atteindre au moins 180 adhérents. Cet objectif est-il
réalisable?
2. Même question si l'r:bjecüf du président du club est d'atteindre au moins 300 adhérents.

Exsncrct 300 2Ominutes


Dans la commune de Clirouette, detx partis s'affrontent aux élections tous les ans.
En 2015, le parti Hiron«lelle l'a emporté avec707o des voix contre 30 % au parti Phénix.
On admet qu'à partir d,e l'année 2015 :
. l4vo des électeurs votant pour le parti Hirondelle à une élection voteront pour le parti Phénix
à l'élection suivante.
. 6 % des électeurs vot€u1t pour le parti Phénix à une élection voteront pour le parti Hirondelle
à l'élection suivante.
. Les autres ne changent pas d'avis.
On considère un électeur de Girouette choisi au hasard.
On note hrle terme de la suite donnant le pourcentage des électeurs votant pour le parti Hi-
rondelle l'année 2Ol5+ n et pnle terme de la suite donnant le pourcentage des électeurs votant
pour le parti Phoenix.
l. a. Calculerht, pr, h2etp2.
b. Exprimer hnaletpn+tErt foncüon dehnetpn.
2. u Montrer que pollr tout entier naturel z, on a: hral= O,Lhn+ 0, 06.
b. On définit la suite (u) par: pour tout entier naturel n, Ltn = hn-O,3.
Montrer que la suite (u r) est une suite géométrique.
c. Montrer que pour tout entier naturel z, hn = 0,3 + 0,4 x 0, 8n.
3. A partir de combiert d'années la probabilité qu'un électeur choisi au hasard vote pour le
parti Hirondelle sera-t-elle strictement inférieure à 0,92?
90 crrAPrrRE 2. surrEs NuuÉatquts
EXERCIcE 301 Zgminutes
Soit une suite (ur) déflnie par ses deux prenriers termes ua et u1 et la relation (l) :Vn ) Z,
ll'n=Stln-1 -GUr-2.
l. On donne la suite géométrique (ur) telle que un= ru. Montrer qu,il existe deuxvaleurs de r
telles que la suite géométrique vérifie (t).
On notera (a") et (br) ces deux suites.
2. Soit une suite (ur).

a. Montrer qu'il existe a et P réels, tels c ue


Wg üaû + frbo
W1 üat + §bt
b. Démontrer que si Vn e N, wn = a,An t. pbn alors (wà vérifiela relation (l)

EXERCICE 302 2Ominutes


Soit a un réel strictement positif différent de l.
I +.aun
On définit une suite (uù par uo = 2 etVn e ûJ, Ltn+r = .
a+ un
l. Montrerqtueun>0 unal)0.
-
2. Soit la suite ( u,r) définie pour tout n e N par ' u n = 1.
un+L

a. Montrer que la suite (un) est géométrique de.uiro., 11.


' a+l
b. Exprimer u, puis u, en fonction de r.
3. Etudier la limite de la suite (ur). En dédujre la limite de la suite (zr).

Exnncrcn 303 20 minutes


Soit(un)lasuitedéfiniepar: n4-I
etpour:toutentiernaturel n,un+r =0,85un +1,8.
l. Sur une feuille de papier millimétré cons iruire un repère orthonormé (unité I cm), où l'axe
des ordonnées est placé à gauche de la feuille.
a. Dans ce repère, tracer les droites d'éq uations respectives / = 0, BSx + l, I et y = .r.
b. Dans ce repère placer u6 sur l'axe der; abscisses puis, en utilisant les droites précédem-
ment tracées, construire sur le même àxÈ u1, u2 et u3. On laissera apparents les traits de
construction.
c. A I'aide du graphique, conjecturer la. imite de la suite (ur).
2. Soit (uàla suite déflnie pour tout entier traturel n,par un= ün-12.
a. Démontrer que (un) est une suite gécrmétrique dont on précisera le premier terme et la
raison.
b. Exprimer, pour tout entier naturel n, un eî fonction de z. En déduire que, pour tout
entier naturel n, Ltn = 12 - 4 x 0, 85n.
c. Donner le sens de variation de la suite (uà.En déduire celui de la suite (ur).
d. Déterminer la limite de la suite (ur).
3. Un magazine est vendu uniquement par abonnement. On a constaté que :
2.4. SOMMES DES TERMES D'UNE SUITE 9I

il y a I 800 nouveaux abonnés chaque année;


- réabonnent pas'
d'une année sur l'autre, 15 % des abonnés ne se
-
En 2008, il y avait I 000 abonnés.
a. Montrer que ce6e situation peut être modétisée parlasuite (ur) otr a, désigne le nombre
de milliers d'abonnés en (2008 + z).
b. En utilisant la question 2. b., calculer une estimation du nombre d'abonnés en?Ol4-

EXERCT6E 904 2O minutes


Soit la suite (zr) définie par us= 1 et pour tout entier naturel tl pàl unal ='#.
l. Calculer u1, u.2Etu3.
2. Le plan est rapporté à un repère orthonormal (O, 7, 7)funitOs graphiques :2 cm).
n
/ la fonction définie sur l'intervalle [0 ; +oo[ par /(r) ='* 3!
Soit .

a. Tracer la représentation graphiq';Le d de la fonction / ainsi que la droite  d'équation


ÿ=x'
b. En utilisant d et L,, construire u1, tt2 Et u3.
c. Conjecturer l'aide de la construction d'un grand nombre de termes de la suite
,lllr*r"à
(u").
3. On considère la suit,e (ur) définie pour tout entier naturel npar un= un- 4.
a. Montrer que la suite (ur) est une suite géométrique dont on précisera la raison et le
premier terme.
2 n
b. Exprimer z, en [onction de n et en déduire que un = 4 - 3
3
c. Quelle est la limite de la suite (ur) ?

2.4 Sommes des termes d'une suite


2.4.1 Point de couns

Somme des z premierru enüers naturels:


n(n+l)
I+2+--.+n
2
Sommedes n premiersr termes d'une suite arithmétique:
S= uo *u1*...*u,r= n+l)(uû+ un)
2
nombre de termes x (premier terme + dernier terme)
Plus généralement: S =
2
Somme des n premiersi termes d'une suite géométrique :
. Si 4 = l, alOrS S = UO * u1*... * un = (n+l)un
. si Q *1, arors s = u0 * u1* ... * ttn = uo#.
92 CHAPTTHE 2. SUITES NUMÉRIQUES

2.4.2 Exercices d'application de cours


EXERCICE 305
5minutes
Expliciter les sommes suivantes :
5 l5 t2
l. 51=fk 2. Sz= » l:2 3. 53=f tst++l
k=r k=8 È=0

Exnncrcr 306 5minutes


Ecrire avec le symbole f les sommes suivarrtes
l. 51 = I +3+ 5+7 +...+97+99
2. 32 =4 +8 + 16+32+... +4096
3. 53 = I -3+9 -27 +81-243+... +59049

EXERCICE 3OZ 5 minutes


Calculer la somme des cent premiers termr)s de la suite arithmétique (uù de premier terme
UO=3etderaiSOnr=5.
Exnncrcn 308 5 minutes
Calculer la somme des vingt premiers term-'s de la suite arithmétique (uà de premier terme
ur = I et de raison r -- -2.

Exnncrcp 3Og 5minutes


Soit (zr) une suite arithmétique telle eüe ua= 9 et S = u.o + ur i ..' * ue = §§.
Déterminer us etlaraison de la suite.

EXERCICE 3IO 5 minutes


Soit (ur) une suite arithmétique telle eue u6 = 2 et S = uo* ut * ...+ u2s - 63.
Déterminer us etla raison de la suite.

EXERCICE 3I I 5minutes
Calculer les sommes suivantes
l. s = L2+15+ lB+... + 1002 2.
ll35
S=-+-+-+1+-+ 39
+-+10
424 4 4

EXERCICE 3I2 5 minutes


Soit (ur) une suite géométrique de raison q = L premier terme uo = -2
4',"tde
Calculer:
1. 56= tto*ut*"'-lU6 2. S:2=tto*U1 -l"'*u12

EXERCICE 313 Sminutes


Calculer la somme des cent premiers termeti d'une suite géométrique de premier terme uo = 2
I
et de raison a = ,2 -.
93
2,4. SOMMES DES TER.MES D'UNE SUITE

314 Sminutes
EXERCICE 10
Soit (ur) une suite géométrique de raison 4 =0,3telle que sro = L- un=2885'709174'
r=0

Déterminer u6.

ExERcrcE 315 l0minutes


Soit (zr) une suite géométrique de raison q > O etde premier t€rn€ us = 2 telle que
2
Sz= t un=lB.
n=O
Déterminer 4.

EXERCICE 316 lsminutes


Le OIlOLt2Olg, un nouyel employé dans une entreprise se voit proposer deux formules pour
l'évolution de son salaire mensuel : dans la formuleA il est augmenté tous les ans, au le' janvier,
de 20 euros; dans la formule B, il est augmenté tous les ans, au le' janvier, de l,SVo.
Son salaire mensuel initial durant l'année 2019 est de 1200 euros. On note u, (resp. ur) le sa-
Iaire annuel selon la formule A (resp. B) durant l'année 2Ol9 + n.
l. Expliquer pourquoi, en 2019, on â : u6 = uo = f4400.
2. Expliquer pourquoi, en2O2O, oflà.: u1= 14640 i /r = 14616.
3. Donner, en justifiant la réponse, la nature des deux suites étudiées. Préciser la raison pour
chacune de ces deux suites.
4. Exprimer un et un, en fonction de n.
5. Calculer et comparer les deux formules en 2019 puis en 2039. (Arrondir les résultats au cen-
time d'euro).
6. Cet employé partira à la retraite, au bout de 42 années complètes de travail dans cette en-
treprise. Il décide de calculer combien il aurait gagné d'argent dans toute sa carrière.
On appelle S, et T,lles sommes des termes des deux suites étudiées, définies par :

Sn= lto* u1t...*ltn et Tn= uo*u1*'..* un

Calculer combien l'employé aurait gagné dans toute sa carrière selon chacune des formules
AetB.

EXERCTcE 317 l0minutes


Le ler septembre 2017,Tom décide de mettre de l'argent de côté pour ses vacances d'été. il
dépose 500 € le ler septembre, puis 30 € de moins par rapport au mois précédent chaque ler
dumois.
Soit fn la somme épargrée le n -ième mois. On pose ,r = 500.
l. Exprimer tnal et fonction de tr.En déduire la nature de la suite (/r).
2. Endéduire t, en fonctionde n.
3. Soit S, la somme totale mise de côté par Tom depuis le ler septembre. Exprimer S,, en fonc-
tion de z.
4. De combien disposera Tom le 3l juillet 2Ol8?
94
CHAPITRE 2. SU/TES NUMEP{,QUES

EXERCICE 3I8 lO minutes


Le vendredi ler septembre2OLZ, Matt promr lt à Tom de lui donner tous les vendredis du choco_
lat pour son aide précieuse en mathématiql res. Le ler septembre, il lui offre
un carré et dit qu,il
doublera la quantité toutes les semaines.
Soit c, le nombre de carrés reçus par Tom l: L n -ième semaine. On pose cr l.
=
l. Exprimer cna,1 Ert fonction de cn. En dédr rire la nature de la suite (cr).
2. En déduire c, en fonction de n.
3. Soit S, le nombre total de carrés de chor olat reçus par Tom depuis le ler septembre. Expri-
mer S,, en fonction de n.
4. Combien de tablettes de chocolat, au toti il, Matt aura-t-il donné à Tom le 29 décembre 2OIZ
s'il respecte sa promesse? (Les tablettes t le chocolat de Matt ont24 carrés).

2.4.3 Exercices d'approfondissement


EXERCICE 319 1O minutes
l. Démontrerquevn eN, l+z+3+...+ n=n(n-+l)
2
2. Calculer la somme des n premiers nombres pairs.
3. Calculer les sommes suivantes :

200

I
500 2020
a. S1= f k
/c=10
b. Sz
c=25O
k c. $=L2k
k=s0

EXERCICE 320 l0 minutes


qn*'
l. Démontrer que Vn e N et q I l,L+ q + q)t + * an
' =l- t-q
n
2. Endéduire L qo.
k=p

EXERCICE 32I lO minutes


Soit (zn) une suite arithmétique de raison r et de premier terme uo.

l. Démontrer que = uo i u1* .. . + u, =


S 9 r+l)(uo+ u")
2
2. Exprimer S en fonction de u4, n et r.

EXERCICE 322 l0 minutes


Soit (zr) une suite géométrique de raison 4 I L et de premier terme us.
I- qn
l. Démontrerque S, = ttol ut* "' * ttn-,th r-q'
2. Exprimer la somme suivante en fonction de up, q, k et n : up + up+t * * un.
95
2.4. SOMMES DES TEÂiMES D'UNE SUITE

323 15 minutes
ExERcrcE
Simplifier les sommes sruivantes :
nnnnnn+l
r. s1= iu'-irtr-rl' 2. s2=io-L-,
[=t i=l
3. s3= .Lr'- P=3-L^o'
k=2
k=t k=3
324 5 minutes
EXERCICE
sachant que,
Calculer le premier terrne, la raison etle ne terme d'une progression arithmétique
quel que soit n, la somme de ses n premiers termes a pourvaleut Sn=J772 a5n'

EXERCICE 325 2O minutes


?
Soit la suite de terme grénérale u" = potx n) l'
e;;fun *l)
ab +
l. Déterminer a et b tels que V n e N, un =
Tii S,,rn,ru1*
S'
2. En déduire une exp:ression simple de la sommê = u2* *un-
3. Déterminer la limitr: de Sn lorsque z tend vers I'infini.

EXERcTCE 326 15 minutes


lientreprise Iron SA exploite un filon de minerai de fer depuis 1950. La première année d'ex-
traction l'entreprise arécupéré 20000 tonnes de fer. Cependant depuis 1950, en raison des
difficultés croissantes rl'extraction, de l'appauvrissement du filon, les quantités extraites dimi-
nuent delÿo paran.
On appelle T, le nombrre de tonnes extraites I'année (f 950 + n). On a donc To = 20000.
Les résultats seront arrondis à la tonne.

1. Iustifier que T1 - 1SlB00 puis calculer T2 et T3.


2. Exprimer Tn+r en fonction de Tn.
3. Quelle est la nature de la suite (Tr) ? En déduire I'expression de Tn en fonction de n.
4. Quelle est la quantité extraite en 2008?
5. Montrer que la quantité totale extraite entre 1950 et l'année (1950 + z) est :
sn = 2000000, (t -.0,99,*l).
6. En 1950, les géologues estimaient que ce filon recelait f 000000 de tonnes de métal. En
quelle année théoriquement le filon sera-t-il épuisé?

EXERCICE 327 20 minutes


On considère un segment [AB] tel que AB = 8. On note A6 le milieu de lABl, A1 est le milieu de
lAoBl, A2 estle milieu de [ArB].
On construit une suite de points A, tels que, pour tout entier n supérieur ou égal à 1, ;{, est le
milieu de [An+rB].
On pose dn = AAo et prs111 19u1 entier n ) l, dn = An-tAn.
l. Calculer d.1et d.2.
2. Exprimet dn+t en frrnction de dn. En déduire la nature de la suite (dr).
3. Donner l'expression de dn enfonction de n.
96
CTIAPITRE 2. SUITES NUMERIQUES
n
4. On pose S, = L dr. Montrer que S,x = B l- (;)".']
t=0
5. Conjecturer la limite de (Sn).
6. Existe-t-il une valeur de z telle que Sn = [i?
7. Déterminer le premier indice n tel que l'( cart entre Sn et I soit inférieur à l0-3.

EXERCTcE 328 2O minutes


Le fonctionnement de certaines centrales g(rothermiques repose
sur l'utilisation de la chaleur
du sous-sol' Pour pouvoir exploiter cette cha eur naturelle, il àst nécessaire de
creuser plusieurs
puits sufôsamment profonds.
Lors de la construction d'une telle centrale, on modélise le tarif pour le forage du premier
puits
par la suite (ur) définie pour tout entier nattuel z non nul, par :

un=2Or)Ox 1,008'-1

où z, représente le coût en euros du forage <le la n-ième dizaine de mètres.


On a ainsi ut = 2o0o êt tt2 = 2016, c'est-à-rlire que le forage des dix premiers mètres coûte
2 000 euros, et celui des dix mètres suivants coûte 2 016 euros.
Dans tout I'exercice, arrondir les résultats obt?nus au centième.

l. Calculer u3 puis le coût total de forage deri30 premiers mètres.


2. Pour tout entier naturel z non nul :
a. Exprimer unal Ên fonction de un et pr éciser la nature de la suite (ur).
b. En déduire le pourcentage d'augmentation du coût du forage de la (n + I)-ième dizaine
de mètres par rapport à celui de la n-ième dizaine de mètres.
3. On considère l'algorithme ci-dessous :

u .-2OOO
S 2000
- n
Saisir
Pouriallantde2àn
u.* Lt x l,008
s-s+u
Fin Pour

La valeur de z saisie est 5.

a. Faire fonctionner l'algorithme précéd:nt pour cette valeur de n.


Résumer les résultats obtenus à chaqtLe étape dans le tableau ci-dessous ( compléter en
ajoutant autant de colonnes que nécessaire).
Valeur de i 2
Valeur de z 2 000
Valeur de S 2000
97
2.4. SOMMES DES TET'iNIES D'UNE SUITE

b. de l'algorithme? Interpréter cette valeur


Quelle est la val:ur de s à la fin de l'exécution
dans le contexte de cet exercice.
4. onnotesr=ut*uz*...+unlasommedesnpremierstermesdelasuite(un),nétantun
entier naturel non nul. On admet que

Sn = -250000 +250000 x 1,008u.


Le budget consenti pour le forage du premier puits est de 125000 enros. On souhaite
déter-
miner la profondeur maximale du puits que l'on peut espérer avec ce budget.
a. Déterminer la profondeur maximale par la méthode de votre choix.
b. Modifier l'algor:ithme précédent afin qu'il permette de répondre au problème posé'

EXERcTCE 329 S0minutes


Après ses trois entretiens d'embauche, Bob a reçu trois propositions, pour une embauche le ler
juillet 2017 :
. I-ientreprise A lui propose un salaire mensuel de 1300 € et une augmentation de 100 € chaque
ler juillet.
. I-ientreprise B lui propose un salaire mensuel de 1400 € et une augmentation de 5% chaque
ler juillet.
. Lentreprise C lui propose un salaire mensuel de 1500 € et une augmentatiotde2ÿo plus 30€
chaque ler juillet.
l. On désigne par ao le salaire de départ de Bob s'il choisit l'entreprise A.
a. Déterminer a4 et a1.
b. Exprimer anal tlrt fonction de an eten déduire la nature de la suite (4").
c. En déduire une expression de a, en fonction de as et de n.
d. Soit (Ar) la suite représentant la somme de tous les salaires que Bob aura perçu du Ie'
juillet 2OL7 au 31 juin de l'année 2Ol7 + n, s'il choisit l'entreprise A.
Montrer que Â', = 600(n +l)(n+26)
2. On désigne par bs le salaire de départ de Bob s'il choisit l'entreprise B.
a. Déterminer bs et b1.
b. Exprimer bnal t)n fonction de bn eten déduire lanature de la suite (br).
c. En déduire une expression de b, en fonction de b6 etde n.
d. Soit (8") la suite représentant la somme de tous les salaires que Bob aura perçu du ler
juillet 2Ol7 au 31 juin de l'année 2Ol7 +n, s'il choisit I'entreprise B.
Montrer que Br,= 336 000(1,05n+l - l).
3. On désigne par c6 le salaire de départ de Bob s'il choisit I'entreprise C.
a. Déterminer cs «tt c1.
b. Exprimer cnal êrt fonction de c, et en déduire la nature de la suite (cr).
c. Soit (u") la suite déûnie par un = cn* d. Déterminer la valeur de a pour que la suite (u,r)
soit géométrique de raison 1,02.
98
CIIAPITRE 2. SUITES NUMERIQUES

d. En déduire une expression de z, puir;de c, en fonction de n.


e' Soit (C") la suite représentant la somme de tous les salaires que Bob
aura perçu du ler
juillet 2ol7 au3r juin de l'année 2oli +n, s,il choisit I'entreprise
c.
Montrer que C, = I 260 000 (1, 02n+l . - 7 t).
- ù 20O(n +
4' En utilisant le tableur de la calculatrice et en se Iimitant aux 15 prochaines
années, aider Bob
à choisir son entreprise en fonction du nombre d'années qu'il pense
rester dans l,entreprise.

ExERcrcE 33o
2ominutes
Marc postule pour un emploi dans deux enüeprises.
La société ALLCAUR propose à compter drr ler janvier 2018, un contrat à durée déterminé
(CDD) de 2 ans avec un salaire net de l80l) euros le premier mois, puis
une augmentation
de 0,7 % chaque mois sur la période des 2 ans.
La société CAURALL propose un salaire de dripart de I 750 euros augmenté de 20 euros chaque
mois.
PartieA: Uülisaüon d,un tableur
Marc utilise un tableur pour üsualiser les propositions des deux entreprises.
Voici les résultats qu'il obtient:

A B C ) E F G
I Mois ALLCAUR CAURALL
2 Salaire Salaire cumulé Salaire Salaire cumulé
3 I r 800 1 800 I 750 r 750
4 2
5

l. La cellule F4 contient le salaire, proposé à Marc le deuxième mois par l'entreprise CAURALL.
Quelle formule destinée à être recopiée ve rs le bas, faut-il écrire dans la cellule F4?
2. La formule saisie dans la cellule C4 est: = C3 * 1,007.
Cette formule est recopiée vers le bas. Qur{le formule se trouve alors dans la cellule C5?
3. Parmi les trois formules suivantes, déternLiner toutes celles que l'on peut écrire dans la cel-
lule G4 et qui permettent de connaître pa:recopie vers le bas les salaires cumulés proposés
par l'entreprise CAURALL.
a. =$G$3+F4
b. =G3+F4
c. = SOMME($F$3:F4)

Partie B : Etude de la rémunération propos(e par ALLCAUR


On note U" le salaire proposé à Marc paTALLCAUR au z-ième mois de son CDD.

l. Déterminer (11, lJ2, t\ et[Ja arrondis à lt -2.


99
2.4. SOMMES DES TERiMES D,UNE SUITE

2. u Exprimer fln11 Eîfonction de Un.


b. En déduire la nature de la suite (Uù, enprécisant son premier terme et sa raison'
c. Exprimer (J, enfonction de n.
3. Déterminer Ie salairr: que percewait Marc, au centime près, au dernier mois de son CDD'
4. Démontrer que la somme S des n premiers termes d'une suite arithmétique (ur) est égale
a
S=Ut *U2*...*ltn=nrry
S. Démontrer que la somme S des z premiers termes d'une suite géométrique (uà de raison
4 I I est donnée par:

S = ut * uz* "' * l.l,n = u, *#


6. Calculer le montant. total S des salaires qui seraient versés à Marc sur les 2 ans, arrondi au
centime.

EXERCTCE 331 l0minutes


Un corps tombe en chLute libre. Ces distances sont les termes consécutifs d'une suite arith-
métique. Ainsi, il parcourt 4,9 m pendant la première seconde, 14,7 m pendant la deuxième
seconde, 24,5 mpendaLnt la troisième seconde et ainsi de suite.
Soit dn la distance par,courue pendant 1u nème seconde et Sn la distance parcourue depuis le
début de la chute.
1. Déterminer la formro explicite de la suite (dr).
2. En déduire la forme explicite de la suite (Sn).
3. Quelle distance aura parcouru le corps en 15 secondes?
4. Le corps tombe d'u;n avion volant à 3900 m d'altitude. Au bout de combien de secondes, le
corps arrivera-t-il au sol?

ExERCICE 332 l0 minutes


La suite (ur) est définie par uo= I et Vn E N, u2a1 = +n - t.On définit la suite (ur) par
T1,
un=4ttn-Bn+24.
l. Démontrer que (ur) est une suite géométrique décroissante dont on donnera la raison et le
premier terme.
2. Démontrerque vn,= N, un =z (;)'. 2n - 8.

3. Vérifier que Vz € N, u, = xn * yn oit (xù est une suite géométrique et (yr) une suite arith-
métique dont on pr,écisera pour chacune le premier terme et la raison.
4. En déduire l'expressiion de Sn = L W en fonction de n.
É=0
100 CIIAPITRE 2. SUITES NU MÉNQUES

EXERCICE 333
15 minutes
Florent a besoin d'économiser au moins l2 50 € pour acheter un scooter. pour
cela, il décide
d'effectuer un dépôt chaque mois.
Avec un tableur, il effectue une simulation d e detxformules d'économies possibles
:
Formule A : le ler mois, il fait un dépôt de I i0 €; il augmente ensuite chaque dépôt
mensuel
de 20 €.
Formule B : le ler mois, il fait un dépôt de 1,10 €; il augmente ensuite chaque dépôt mensuel
de20Vo.
On appelle An et Bn les montants respectifs du n -ième dépôt mensuel de Florent avec la for-
mule A et la formule B.

A B C
I Mois (n) An Bn
2 I 150 r30
3 2 t70 156
4 3
5 4
6 5
7 6

l. Quelles formules destinées à être recopié:s vers le bas Florent a-t-il écrites dans les cellules
83 et C3 pour compléter les colonnes B et C?
2. u Déterminer la nature de la suite (A; Jtpréciser son terme initial et sa raison.
b. Déterminer la nature de la suite (Br) rlt préciser son terme initial et sa raison.
3. Exprimer An et Bn en fonction de n.
4. Florent souhaite acheter son scooter danri6 mois.
a. Quel sera le montant du 6e dépôt, itrrr)fldi à l'euro, pour chaque formule?
b. Quelle somme Florent aura-t-il éconc,misée au bout de six mois, arrondie à l'euro, avec
chaque formule?
c. Quelle formule va-t-il retenir pour aclreter son scooter?

EXERCICE 334 25 minutes


Soit/ une fonction déflnie sur [0 ; 3] par /(x. = x2 et€ sa courbe représentative dans un repère
orthonormal.
On note l'aire comprise entre la courbe e et l'axe des abscisses pour x e [0 ; 3].
"4
On note Ao, At, A2,...,4, les points d'absc.sses respectives g, 1, 9,"', 3.
-nn
Soit .86, Br, 82,.-. ,Br les images des points Ao, Ar, A2,... , An PT /. Ainsi le point B, a pour
3n
abscisse 'avecO(p(n.
n

l. Tracerlacourbee etpourn=6,placerle;points Ao, Ar, A2,..., AnetBo, Bt,82,..., B,


2.4. SOMMES DES TERMES D'UNE SUITE 101

2. Déterminer les coordonnées des points A, et Bo pour 0 ( p ( n.


3. Soit unl'aire obtentre en additionnant les aires des rectangles de largeur [ArAr*11 et de
longueur lArBolpour 0 ( p ( n - f.
a. Calculer l'aire d'un rectangle.
b. En déduire une expression de u, en fonction de n.

rs on rappelle que t2 + 22 +32+.'. + n2 - n(n l)(zn l) .


+ +
6
4. Soit url'aire obtenule en additionnant les aires des rectangles de largeur lerer*rl etde
longueur f,+r*fip*tlpour0( p( n-1.
a. Calculer l'aire d'un rectangle.
b. En déduire une expression de z, en fonction de z.

5. Par construction, on aV n € N*, u, ( "4


( un.
a. Donner un encarlrement de "4 pour n =20puis pour z = 100.
b. Déterminer n tel que un- un< 10-3.
c. En déduire une laleur approchée de.4.

Exnncrcn 335 25 minutes


En s'inspirant de l'exercice précédent, déterminer l'aire comprise entre la courbe représenta-
tive de la fonction f (ù .= .f et l'axe des abscisses pour 0 ( x ( 1.
* on rappelle que : 13 -rz3 + ...+ n3 - n2(n + l)2
4
Extnctcn 336 25 minutes
En s'inspirant de l'exercice précédent, déterminer I'aire comprise entre la courbe représenta-
tive de la fonction lG) .= er et I'axe des abscisses pour 0 ( r ( l.

EXERCICE 337 30 minutes


Soit la foncüon / définie sur [0 ; 3] par /(x) = 3x, soit € sa courbe représentative dans un repère
orthonormal.
Par rotation autour de l';axe des ordonnées, e engendre un cône de révolution, soit V ce volume.

;, ;,-.. , ,.
On note Ao,At, A2,... , A, les points d'abscisses respectives O,
SoitBg, Br,82,...,8, lesimagesdespoints As, A1, A2,..., Anpüf.AinsilepointBrapour
abscisse 1! uu""o ( p'( n.
n
Soit C, le point d'abscisse 0 et de même ordonnée que le point Br.
l. Déterminer les coordonnées des points Ap, Bp et Cp pour 0 ( p ( n.
2. Déterminer le rayon du cercle de centre C, et de rayon BrCr.
3. Déterminer le volume u, d'un cylindre de centre Cp, de rayon BoCo et d'épaisseur CpCp+v
n-l
4. Calculer Sn=Lup.
P=o
t02 CHAPITRE 2. SUITES NUMÉRIQUES

5. Calculer S, pour n=LOO, n = 1000, n = ,.0000 etn= 100000. En déduire une valeur appro-
chéedeVà10-1.
6. Calculer la valeur exacte de V en utilisan t la formule du volume d'un cône.
7. Ecrire un programme, en Python, qui p:rmet de déterminer le plus petit entier n tel que
ÿ - sn< lo-4.

EXERCTCE 338 3ominutes


En s'inspirant de l'exercice précédent, déterminer le volume engendré par la parabole d'équa-
tion /(r) = 16 - x2 pour 0 .r a. ( (
EXERCICE 339 SOminutes
On considère la suite de nombres réels (u") définie sur N par:

1l ttn+t
Ito = -L, ut = et, pour tout entier naturel fl, rtn+Z =
i. iu"
l. Calculer u2 eter: déduire que la suite (u, ) n'est ni ariümétique ni géométrique.
2. Ondéfinitla suite (uà enposant, Vn e N i un= un.1 -;"r.
a- Calculer us.
b. Exprimer unal etr foncüon de ur. En déduire la nature de la suite (ur).
c. Exprimer u, en fonction de n.
3. On définit la suite (rur) en posant, pour lout entier naturel n: u, - b.
un
a. Calculer u,6.

b. Enutilisantl'égalité ttn+r= rn*f,ur,exprimer tünalett fonction de unetde un.


c. En déduire la nature de la suite (rzr),
d. Exprimer wnenfonction de n.

4. Montrer que pour tout entier naturel n : un -'+ 2n


;=,
5. Pourtoutentiernaturel z, on pose: Sn = I uk= tto+ur+... * un.
k=0
n+2 2n+3
on admet qre É k2r-k = 4 -
2"-l
Déntontrer que pour tout n de N : S, =2- Zn .
k=0

EXERCICE 340 15minutes

Une petite ülle des Pyrénées décide de rela ncer sa station de ski, en faisant certains investis-
sements et de la publicité. Le directeur fait des prévisions. A I'aide d'un tableur, iI construit le
tableau suivant, donnant pour chaque saisc n de ski :
. le prix du forfait « journée »;
. le nombre de forfaits « journée » vendm;
2.4. SOMMES DES TERMES D'UNE SUITE r03

. la recette correspondante.

Pendant la saison 2OOG1ZOO7, vendu 18 540 forfaits « journée » au prix de 16 euros l'unité.
il a été
Le directeur de la station décide d'augmenter le prix du forfait de 1,20 € par an, jusqu'à la saison
20l2t2}l3.Il obtient alors la suite des prix unitaires, en euros, notée (ur) en colonne C sur la
feuille de calcul proposrie ci-dessous. On a donc ur = 16.

A B C D E
I Saison Rang Prix du « forfait journée » en euros Nombre de forfaits vendus Recette en euros
2 200612007 I 16 1B 540 296640
3 2007 t2008 2 t7,2 19 003 326851,6
4 200812009 3
5 2009120to 4
6 20tol20tt 5
7 20tÿ2012 6
B 2012120t3 7
I TOTAL
10

Partie A : Etude de la suite (uù des prix du forfait « iournée »

l. Quelle est la nature de la suite (ur) ? Préciser sa raison.


2. Quelle est la formuler à saisir en C3 et à recopier vers le bas pour compléter la colonne C?
3. Si on complétait le tiableau jusqu'à la saison 20l2l2Dl3, quel serait le nombre obtenu dans
la cellule C8?

Partie B : Etude de la strite des nombres de forfaits « journée » vendus


l. Quel est, en pourcentage, le taux d'évolution du nombre de forfaits vendus entre les saisons
200612007 etzÛO7l2t008? (on arrondira à 0,1 7o près).
2. Le directeur de la srtation suppose que chaque saison le taux d'augmentation sera celui
trouvé àlaquestionprécédente etobüent ainsiencolonne D lasuite notée(uà desnombres
de forfaitsvendus.
Onadonc ur = 18540.
îL Quelle est la fonnule à saisir en D4 et à recopier vers le bas pour compléter la colonne
D?
b. Quel serait alors le nombre obtenu dans la cellule DB?
Partie C : Etude de la recette
l. Quelle estla formuler à saisir en E2 et à recopier vers le bas dans la plage E3:E8?
2. Quelle formule peut-on saisir en E9 afin de calculer la recette totale des 7 saisons?

EXERCICE 341 2ominutes


Sophie et Iean Durand veulent acheter une maison. Leurs économies ne suffisant pas, ils ont
besoin d'emprunter 150 000 €.
104 CIIAPITRE 2. SUITES NUMERIQUES

Afin d'obtenir les meilleures conditions pou : leur prêt, ils ont contacté plusieurs banques; deux
d'entre elles attirent particulièrement leur attention :
. La banque AA leur propose de rembourser le prêt sur 20 ans, avec des remboursements men-
suels fixes de 1047 €.
.La banque BB leur propose également de rembourser le prêt sur 20 ans, mais aux conditions
suivantes:
la première année, chaque remboursr ment mensuel sera de l2OO €,
-
les années suivantes, les remboursemr)nts mensuels seront à chaque fois en baisse deZ%o
- par rapport aux remboursements mersuels de l'année précédente.
PartieA: Proposition de labanque BB
On note z, le montant, en euros, d'un remlloursement mensuel au cours de la n-ième année
de remboursement. On a donc ut = 1200.
l. Calculer u2prtis u3.
2. Montrer que la suite (zn) est une suite géométrique dont on précisera la raison.
Partie B : Utilisaüon d'un tableur
Afin de mieux visualiser les propositions des banques AA et BB, Sophie et Iean créent une feuille
de calcul à l'aide d'un tableur.
On en donne un extrait ci-dessous :

A B C
I Année n de remboursement Mrntant (en €) du Montant (en €) du
rembourr;ement mensuel lors de remboursement mensuel up
lir n-ième année lors de la n-ième année
BanqueAA Banque BB
2 I to47 r200
3 2 to47
4 3 to47

2t 20 to47

l. Quelle formule, destinée à être recopiée s ur la plage C4:C2l Sophie et |ean peuvent-ils écrire
dans la cellule C3?
2. Calculer la valeur de la cellule C21. On arrondira le résultat à 0,01 près.
Partie C : Comparaison des deuxpropositirtns
l. Calculer le montant total des rembours:ments sur les 20 ans si Sophie et Iean s'engagent
avec la banque AA.
2. Calculer le montant total des rembours:ments sur les 20 ans si Sophie et Jean s'engagent
avec la banque BB.
105
2.4. SOMMES DES TER)VES D'UNE SUITE

EXERCTcE 342 2O minutes


Le ler janüer suivant la date de sa naissance, les grands parents de Katia lui ouwent un livret
d'épargne et déposent u.n capital de 100 euros. Ils déposent ensuite 100 € sur ce livret tous les
ler janvier suivants.
Ce placement est à inté:rêts composés au taux annuel de 3To fixe pour toute la durée du liwet
d'épargne. Les intérêts sont versés tous les ler janvier.
On pose co = 100. Soit z un nombre entier supérieur ou égal à l.
On note c, le capital, e.xprimé en euros, se trouvant sur le liwet le ler janvier au terme d'un
nombre n d'années de placement. On définit ainsi une suite c telle que co = 100 et c1 = 293.
l. Calculer c2etca.
2. La suite c peut-elle être arithmétique? Peut-elle être géométrique? fustifier chaque réponse.
3. Le tableau ci-dessours est un extrait d'une feuille de calcul obtenue à l'aide d'un tableur.
Il donne notammenl, les premiers termes de la suite c. Le format d'affichage est un format
numérique à deux d(icimales.
A B C D
t Valeurs de n Capital se trouvant Intérêts acquis au Taux
sur le liwet au cours de l'année
terme de n années
de placement
2 0 100,00 3,00 0,03
3 I 203,00 6,09
4 2 309,09 9,27
5 3 418,36 12,55
6 4
Donner des formulers qui, entrées dans les cellule 83 et C3, permettent par recopie vers le
bas d'obtenir la plagr: de cellules 83 : C20.
4. On admet que, pour tout nombre entier n supérieur ou égal à l,
cn = loo(1 + 1,03+ 1,032 +... + 1,03n).
Montrer que le capit:rl total se trouvant sur le liwet de Katia le soir du le' janüer suivant son
seizième anniversair,e sera égal à2176,16 euros.

Exnncrcr 343 : Vner/Frrux 15 minutes


On considère la suite (S,a) nerv- définie, pour tout entier naturel n non nul, par

" _s n2-_tn2'_2n2 *... * -;


k n

Les affirmaüons suivantes sont-elles waies ou fausses. Iustifier les réponses.

l. n+l
Pour tout entier z > 0. on a : S. - 2n
2. Pour tout entier n > 0, on a: 0 ( S, < :.
z
106 CIIAPITRE 2. SUITES NUMÉRIQUES

3. Ona: lim Sz=0.


n++æ
4. La suite (Sn)neru. est croissante.

ExrncrcE 344 : Vner/Feux 2Ominutes


On effectue le programme de construction :i-dessous
1,0 Etape I:
C . (ln divise chaque côté d'un triangle équilatéral de
0,8
côté I en 3 segments de même longueur (par exemple
C3 Cr B2 les s egment s : IA Czl, [Cz Cl et [Cr C]).
0,6 B3 o Sur chacun des côtés du triangle, on construit,
o,4 à l'ertérieur du triangle, un üiangle équilatéral ayant
pou:: base le second segment (par exemple le triangle
0,2 CtCtCs ayant pour base le segment [Cz Cr ] pour le côté
A1 Az B tA ct).
Etap es suivantes :
o,2 0,8 1,0
-o,2 Sur chaque triangle obtenu à l'étape précédente, on
cons truit deux nouveaux triangles équilatéraux selon le
mênre procédé de construction que celui de l'étape 1.
1,0 1,0

0,8 0,8

0,6 0,6

0,4 0,4

0,2 0,2

0,2 0,4 0,6 0,8 1,0 o,2 0,8 1,0


-0,2 -0,2

Etape 0 Etape I
1,0 1,0

0,8 0,8

0,6 0,6

o,4 0,4

o,2 o,2

o,2 0,8 1,0 0,2 0,8 1,0


-0,2 -0,2

Etape2 Etape 3
Pour tout entier naturel n, on pose :
. unll nombre de triangles construits àl'élape n,
107
2.4. SOMME.S DES TER\VES D'UNE SUITE

. { nlalongueur du côtÉi d'une triangle équilatéral construit à l'étape n,


. hn la hauteur d'un triturgle équilatéral construit à l'étape n'
. sn lâ surface de la figure à l'étape n.
Les afftrmations suivantes sont-elles vraies ou fausses' Iustifier les
réponses'
I
l. hr=--
2, ,/l I
2. La suite (t àn>oest une suite géométrique de raison q = 3'

3. hn-*"
n
2
3x/§x
9
4. Si n ) l, alors s, =
I
ExERcrcE 345 20minutes
On considère la suite (un) définie sur l\1, par son premier terlr€ us = 5 et, pour tout entier n, par
la relation de récurrenc'è unal = aun+ 4 (a est un réel).
On pose un = un- 6 pour tout entier naturel z.

1. Déterminer le réel a pour que la suite (yn) déflnie sur l\ soit une suite géométrique dont on
déterminera le premier terme et la raison.
2. Dans la suite de l'exercice, on prend o=1,
3
Calculer u, en fonction de n.
3. Déduire de la questi,on précédente la limite de (u") lorsque z tend vers +æ.
4. a. Calculer la somnne Sn = uo I u1l- ... i un en fonction de n.
b. Etudier la convergence de la suite (Sr) définie sur [\1.
c. Endéduire lalinüte dela somm" L u*= tto+ ut*... + ur lorsque z tendvers +æ.
k=0

Exrnctcn 346 2Ominutes


Une colonie de bactéries est mise en culture avec du glucose.
Pendant la tre période rle 10 minutes, la masse de glucose absorbé par la colonie de bactéries
est égale à lB,3 femtogrammes (l gramme est égal à lOls femtogrammes).
Pendant la 2e période cle 10 minutes, la masse de glucose absorbé par la colonie de bactéries
augmente de26Vo par rapport à la masse de glucose absorbé pendant la lre période.
l. Iustifier que la mass,e de glucose absorbé pendant la 2e période de 10 minutes est égale à
23,058 femtogrammes.

Dans la suite, on étudierl'évolution de la masse de glucose absorbé par la colonie de bactéries


en prenant le modèle suivant :

pour tout entier naturel z supérieur ou égal à l, on rrote un la masse, en femtogrammes,


- de glucose absorbé pendant la n-ième période de l0 minutes;
108 crrApITRE2. SUITESNUMERTQUES

pour tout entier naturel n supérieur ou égal à r, la masse de glucose


- la colonie de bactéries pendant la (n rl)-ième période
zr*1 absorbé par
de l0 minutes augment e de 26To
par rapport à la masse de glucose z, absorbé pendant la
n-ième périodÀ de l0 minutes
précédente.

2. u Préciserlesvaleurs de u1 etu2.
b. Quelle est la nature de la suite (zr) ? lustifier votre réponse.
c. Pour tout entier naturel n supérieur cu égal à 1, exprimer un eîfonction
de z.
d. Calculer la masse de glucose absorbr! pendant la 7" période de l0 minutes. on
donnera
un résultat arrondi à 0,1 femtogramroe.
3. On considère l'algorithme suivant :

n*-l
u -- 18,3
Tanr:que a( 100
n- n+l
u * L,26x u
Fin'lant que

Quelle est la valeur de la variable n à la fin de I'exécution de l'algorithme? Interpréter ce


résultat dans le contexte de l'exercice.
Dans la suite de l'exercice, on s'intéresse à la masse totale de glucose absorbé depuis le début
de la mise en culture. Dans ce cadre, on exllloite la feuille de calcul suivante obtenue à l'aide
d'un tableur :

A B C
I n un sn
2 I 18,3 18,3
3 2 23,058 41,358
4 3 29,05308 70,41108
5 4 :!6,6068808 107,017961
6 5 ,16,1246698 153,142631

4. a. Interpréter la valeur de la cellule C4 «lans le contexte de l'exercice.


b. Quelle formule a été entrée dans la r:ellule C3 pour obtenir, par recopie vers le bas, les
valeurs suivantes de la colonne C?
5. Exprimer S, en fonction de n.
6. Déterminer le nombre d'heures nécessaire, depuis le début de la mise en culture, à l'absorp-
tion de 1 gramme de glucose par la color ie de bactéries (on rappelle que I gramme est égal
à 10ls femtogrammes).
109
2.4. SOMMES DES TERAIES D'UNE SUITE

15 minutes
Exencrcr 347: VRAI/ F,\ux 4
(x) = 3 -
Soit / la fonction définier sur R+ pat f 1+2'
On considère les suites (uù et(ur) déflnies
pour n e N par

ug= 4 un+l
êt Un=
Un+l = f (un) Un- Z

On admet que les suites (ur) et (u à sont bien déflnies'


les réponses'
Les affirmations suivantes sont-elles vraies ou fausses. Justifler
l. (un) est une suite géométrique de raison 4'
l5 410-l
2. Lrr=t)sx 3
2u-+l
3. Pourtoutn€ N, un Un- L ==

4. La suite (2") tend vers -i lorsque n tend vers l'inflni.

15 minutes
EXERCICE 348 : VNET/FEUX
On considère la suite (rrlr) définie, pour tout n e N, par un = e * (:)'
Les affrrmations suivantes sont-elles vraies ou fausses' Iustifier les réponses'
l.YnEN,0(4"(e+1.
2. La suite (ur) est croissante.
3. lim un=0.
n en+l -l
4. V n. N, uk = tto -t u1 I uz *' " * ttn - @+ L) e +
-I
k=0
e\e - L)'

EXERCTcE 349 20 minutes


Pour mettre en place la fabrication d'un modèle de fenêtre de toit, l'entreprise doit investir
dans une nouvelle machine d'une valeur de 40000 €.
Pour financer cet achat, le gestionnaire contacte deux organismes bancaires A et B.
l. Proposition de labanque A
La banque A propos,e un prêt sur 10 mois remboursé en l0 mensualités formant les termes
consécutifs d'une suite arithmétique de ler terme Ut =2000 et de raison r = 460.
On note Ç le montant de la n -ième mensualité versée pour le remboursement de ce prêt.
a. Montrer que pour tout entier naturel compris entre I et l0 on a: Un = 1540 + 460n.
b. Quel serait le montant du dernier versement?
c. IJentreprise souhaite connaître le montant total qu'elle devra rembourser dans ce cas.
Ecrire un algorithme permettant de répondre à cet objecüf.
d. Déterminer le montant total que dewa rembourser l'entreprise si le prêt est contracté
auprès de la barrque A.
2. Proposiüon delab:rnque B
La banque B proporse un prêt sur 5 mois remboursé en 5 mensualités constantes au taux
annuel de5,75Vo.
ll0 crrAprTRE2. SUTTESN UMÉRTQUES

a' Montrer que le taux mensuel équivalent au


tau( annuel de S,zsroest d,enüro no,46z vo.
b' Déterminer le montant de la mensralité constante
versée dans ce cas, arrondi à 0,01
près.

3. Quelle sera la proposition de prêt la plus avantageuse pour lentreprise?


Iustifier.
e on rappelle Ia formule permettant de calculer le montant
d'une mensualité constante :
a,=Cx
l-(l+i)-n
où c est le montant emprunté, i est le taux mensuer et n re nombre de mensuarités.

EXERCICE 350
2Ominutes
Calculerla somme sn = l + 2x +3* +... + r, xn-t.

2.5 Préparer I'examen


Exnncrcr 35f : QCM
lS mlnutes
Cet exercice est un questionnaire à choix mrrltiple (QCM) comportant cinq questions.
Pour chacune des questions, une seule des (Uatre réponses proposées est correcte.
Question I
Soit (un ) une suite arithmétique telle \ue u2 = 35 et uz =20. La raison de la suite (un) est égale
à:
20
a. -15 b. -3 c.-35 d.3

Question 2
soit ( zr) une suite géométrique de premier erme ut = 2o4}et de raison q =
1 terme u5 est
:.Le
égal à:
a.64 b.128 c.256 d.2050

Questlon 3
On considère I'algorithme suivant, écrit en lirngage usuel :

Suite(n)
U *!i
Pourkallantdelàz
(J*3xU+2
FinPortr
,er u
Pour la valet)r n = 6, le résultat renvoyé sera
111
2.5. PRÉPARERI:F;AMEN

a"6 b.485 c.1457 d..4373

Quesüon4
Soit (ur) une suite ariümétique de premier terme uo = 3 et de raison 5.
La somme S déflnie par S = ust u1* u2* "'* uto est égale à:
a.38 b.255 c.308 d.364

Question 5
Soit (ur) définie pü uo,= 3 et pour tout entier naturel rt, ttn+t = 0,5ttn + 3 est :
a. arithmétique mais pa.s géométrique c. ni arithmétique, ni géométrique
b.géométriquemaispasarithmétique d. à la fois arithmétique et géomé-
trique
ExERcrcE 352 20minutes
Le ler ÿ;jrr, 2020, Bob place 10000 € sur un livret rémunéré à3ÿo par an. Chaque ler juin, il
ajoute 1000 €.
On appelle a, la somme disponible sur le compte de Bob l'année 2O2O+ n, oît n est un entier
naturel. On a donc uo = 10000.
l. Démontrer Que u1 = I1300.
2. Iustifier que, pour tout enüer naturel z, un+t = l,O3un + 1000.
3. Bob veut savoir de quelle somme il disposera s'il retire son argent au bout de 10 ans. Il veut
pour cela créer un programme en Pyhon.
Compléter le prograrmme suivant pour qu'il remplisse cette tâche.

def placementQ :

u = 10000
for i in range(...)
U=...
return

4. Onpose (ur) lasuite définie, pourtoutentiernaturel n,pü t)n= un.


ry
a. Démontrer que lasuite (zr) est géométrique de raison 1,03.
b. Exprimer u, en lbnction de n.
c. En déduire l'exp.ression de un en fonction de n.
5. Calculer, à l'aide de la formule précédente, la somme disponible sur le livret de Bob au bout
de l0 ans.

EXERCICE 353 2O minutes


Un parc d'attraction U a ouvert ses portes en 2018. En 2018, le parc a accueilli 200000 visiteurs.
Le directeur du parc prévoit une augmentation deSVo par an de la fréquentation du parc.
Soit n un entier naturel. On note z, le nombre de visiteurs, en milliers, du parc d'attraction
pour l'année (2018 + n), On a donc uo = 2OO.
lt2 crrAPrrRE 2. surrEs NuuÉruqu ns

l. Etude de la suite (ur).


tL Calculer le nombre de üsiteurs en 2([g.
b. Justifier que la suite (zr) est géométr ique. préciser sa raison.
c. Exprimer a, en fonction de z.
2. Un autre parc d'attraction V étafidéjà irnplanté dans la ville. En 2018, iI a accueilli 300000
üsiteurs. Avec l'ouverture du parc(f ,le lrarc V prévoit de perdre 15000 üsiteurs par an.
Pour ,2, entier naturel, on note un, le nonrbre de üsiteurs, en milliers, accueillis dans le parc
ÿ l'année (2018 + z). On a donc ,,0 = 300
rL Quelle est la nature de la suite (un)?
b. On donne le programme suivant, écrit en Python.

def parc):
n=O
u=2OO
u=300
while u < u
ll= tl*l
u=I.05*u
u = u-15
return n

Quelle est la valeur renvoyée lors de l'exécution de la fonction parc0 ?

Interpréter ce résultat dans le contexte de l'exercice.

Exrncrcn 354 2O minutes


Un bassin perd chaque semaine 5ÿo de son volume d'eau par évaporation. Le bassin contient
100 m3 après son remplissage.

l. Démontrer que ce bassin contient 95 m3 d'eau une semaine après son remplissage.
2. On ne rajoute pas d'eau dans le bassin et l'eau continue à s'évaporer.
On modélise le volume d'eau contenue lans le bassin par une suite (un), pour tout entier
naturel n, on note z, la quantité d'eau err m3 contenue dans le bassin z semaines après son
remplissage. Ainsi uo = 100.
a. Justifler que pour tout entier nature. n, un+t = O,95un et préciser la nature de la suite
(u,r) ainsi définie.
b. Exprimer u, en fonction de n.
c. Quelle quantité d'eau contient le bassin au bout de 6 semaines?
3. Pour compenser en partie les pertes d'eeu par évaporation, on décide d'ajouter 3 m3 d'eau
chaque semaine dans le bassin.
On souhaite déterminer au bout de comlrien de semaines, le volume d'eau contenu dans le
bassin devient inférieur à 75 m3.
Compléter la fonction, écrite en Python, afin que I'appel de jours(7S) renvoie le nombre de
113
2.5. PRÉPARERI:WAM]1N

semaines à partir duquet le volume d'eau du bassin sera inférieur à 75 m3

defjours(V) :

n=O
u= 100
while...)'
n= n+l
U=,..
return...

ExnnCrcr 355 20 minutes


Durant l'année 2018, le nombre de familles qui ont loué un emplacement au « camping de la
plage » est 500. Le directeur prévoit pour l'avenir une augmentation annuelle de 5V".
On désigne par : us le nombre de familles reçues par le camping en 2018 (ao = 500) et unle
nombre de familles reçu.es par le camping en 2ol&+ n.
1. Calculer u1 êt u2.
2. Exprimer un+t en fonction de un.
3. En déduire la nature de la suite (uù etpréciser sa raison.
4. En supposant que la tendance se poursuive, combien de familles le directeur peut-il espérer
pour l'année 2025?

EXERCTcE 356 20 minutes


Le responsable du foyer: des jeunes d'un village a décidé d'organiser une brocante annuelle.
Pour la première brocante, en 2019, il a recueilli 110 inscriptions.
D'après les renseignemr3nts pris auprès d'autres organisateurs dans les villages voisins, il es-
time que d'une année sur l'autre, 90 % des exposants se réinscriront et que 30 nouvelles de-
mandes seront déposéers.
On désigne ptr un le nombre d'exposants en (2019 + n) avec n un entier naturel.
Ainsi us est le nombre d'exposants en 2019, soit zs = 110.
1. Quel est le nombre d'exposants attendu pour 2O2O?
2. Iustifler que, pour tout entier naturel fl, un+t = 0, 9 un + 30.
3. Vu la configuration eLctuelle de la manifestation dans le village, le nombre d'exposants ne
peutpas excêder22O.
Ecrire un programmr: qui permet de déterminer l'année à partir de laquelle l'organisateur
ne pourra pas accepter toutes les demandes d'inscription.
4. Pour tout entier naturel n, on pose u n = Ltn - 300.
a. Démontrer que la suite (ur) est une suite géométrique de raison 0,9.
b. En déduire que pour tout entier naturel n, Ltn = -190 x 0,9n + 300.
5. I-organisateur décidr: d'effectuer une démarche auprès de la mairie pour obtenir assez de
place pour ne jamaisi refuser d'inscriptions. Il affirme au maire qu'il suffit de lui autoriser
300 emplacements.,A-t-il raison de proposer ce nombre? Pourquoi?
l14 CTIAPITRE 2. SUITES NUMERIQUES

EXERCTCE 3SZ 2O minutes


Dans un üllage, l'association de gymnastique volontaire possédait S0 adhérents
en 2000.
Depuis cette date, la trésorière a remarqué rlue chaque année elle reçoit lg nouvelles
adhésions
et que 85 % des anciens inscrits renouvellerrt leur adhésion.
On note a, le nombre d'adhérents pour l,arnée2}O}+ n.
l. Exprimer anal Ert foncüon de a, etpréciser la valeur de a6.
2. Soit la suite (ur) déflnie pü un = dn 12 0 pour tovt n> O.
a- Montrer que la suite (ur) est une suite géométrique dont on précisera la raison et le
premier terme.
b. Démontrerque, pourtoutentiernalurel n, ctn=lZO-ZO x 0,g5r1.
c. Déterminer la limite de la suite (ar) quand n tend vers I'infini. Interpréter ce résultat.
3. Chaque semaine, 60 % des adhérents s'. nscrivent pour une heure de gymnastique et 40 %
pour deuxheures de gymnastique.
a. Exprimer en fonction de nle nombre d'heures de gymnasüque à prevoir par semaine
pour I'an 2000 + n.
b. Une séance de gymnasüque dure une heure et est limitée à 20 personnes. Onveut déter-
miner à partir de quelle année l'assor:iation devra prévoir plus de 8 séances par semaine.
Démontrer qu'alors n doit vérifier I'inéquation 98 x 0,85n < 8.
Résoudre cette inéquation et conclure.

EXERCTCE 358 20 minutes


Une association caritative a constaté que, ciraque année, 2OTo des donateurs de I'année précé-
dente ne renouvelaient pas leur don mais r1ue, chaque année, 300 nouveaux donateurs effec-
tuaient un don.
On étudie l'évolution du nombre de donateurs au fil des années.
Lors de la première année de l'étude, l'asso:iation comptait I 000 donateurs.
On note u, le nombre de donateurs lors de la n -ième année; on a donc ur = 1000.
l. Calculer u2etu3.
2. Montrer que, pour tout entier naturel n rton nul, orràz ttnal = 0,I x u, +300.
3. Dans un repère orthonormal d'unité grrLphique I cm pour 100 (on prendra I'origine du re-
père en bas à gauche de la feuille), reprér;enter les droites d'équaüon ÿ = x et ÿ = 0, 8r + 300.
A I'aide d'une construction graphique, rimettre une conjecture sur le comportement de la
suite (zr) quand n tendvers l'infini.
4. Afin de démontrer cette conjecture, on furtroduit la suite (v") définie pour tout entier naturel
non nul n,pü un= ISOO- un.
tL Montrer que ( yr) est une suite géom étrique. Préciser sa raison et son premier terme.
b. Calculer la limite de (uà; en déduinr la limite de (u").
Que peut-on en déduire pour l'évoltLtion du nombre de donateurs de l'association?
115
2.5. PRÉPARERI:H."1'MIJN

BxERcrcE 359 20 minutes


Le « continent de plastique » est la plus grande des plaques de déchets plastiques évoluant sur
les océans. ElIe occupe actuellement dans l'océan Paciflque une surface dont l'aire est évaluée
à plus de 1,6 million de limz, entre Hawaï et la Californie.
En2OlZ, des scientifiques ont estimé la masse totale de déchets plastiques dans les océans à
300 millions de tonnes e,t ont prévu une augmentation de 5,47o par an au cours des prochaines
années.
On modélise l'évolution de la masse totale de ces déchets plastiques, si rien n est fait pour la
réduire, p:u une suite gércmétrique (ur) de raison 1,054 et de premier t€rlrl€ u6 = 300. Llarrondi
au centième du terme u, représente la masse totale de ces déchets, exprimée en million de
tonnes, pour l'année (2017 + n),

l. Calculer ur et u2.
2. Exprimer unenfonction de n.
3. On souhaite déterminer en quelle année la masse totale de ces déchets plastiques aura pour
la première fois augmenté de 50 % par rapport à sa valeur de 2Ol7 .

a. Voici un programme écrit en langage Python

defannee(n):
u=300
while u < 450
n=...
U=...
return n

b. Quelle est la valeur renvoyée lors de l'appel de la fonction annee(2017) ?


Interpréter ce résultat dans le contexte de l'exercice.

Exnncrcr 360 2ominutes


Lors du lancement d'un nouveau jeu, 3 000 exemplaires ont été vendus.
Une étude de marché prévoit une progression des ventes de 107o chaque semaine pour les six
prochains mois.
On modélise le nombre de jeux vendus par une suite (ur) où zn représente le nombre de jeux
vendus durant la n-ième semaine après le lancement.
On a donc zo = 3000.

l. Calculer ur et u2.Interpréter ces résultats dans le contexte de l'exercice.


2. Brprimer uneîfonction de n.
3. Voici une fonction écrit en langage Python :
116 CHAPITRE 2. SUITES NUMERIQUES

defjcuxfl:
a = 3000
S = 3000
fl =O
uhile S < 100000
n= n+l
u= u* l.l
S=S+z
ft)turn n

La fonction retourne 15.


Interpréter ce résultat dans le contexte rle l'exercice.
4. Déterminer le nombre total de jeux venrlus au bout de six mois.

2.6 Aller plus loin


Exrnclcr 36I : MÉruoDE DEs coRDEs oU MÉTHoDE DE LAGRANGE 3ominutes
Soit / la fonction définie sur [0;2] par /(.r) = +33-, * ] € sa courbe courbe représentative
",
dans le plan muni d'un repère orthonormaL (O;7,7). On prendra comme unité l0 cm.
l. Etudier les variations de /.
2. Construire la courbe e .
3. Montrer que l'équatio"
x3 * I
t -, 5 = 0
,rdmet deux solutions dans [0;2] dont une notée a
dans [;2].
4. Soit A et B les points de la courbe € d'at scisses respectives 1 et 2.
a. Construire la droite (ÂB), qui coupe l'axe des abscisses ên rfl1.
b. Placer le point Ml de e ayant pour abscisse rz1.
c. Construire la droite (BMù qui coup,: l'axe des abscisses et ït2.
d. Placer le point M2 de e ayant pour abscisse rn2.
e. Construire la droite (BMù.
f. Que remarquez-vous?
5. On se propose de calculer avec une calct üatrice des valeurs approchées des abscisses de M1 ,

Mz, "'
Soit l le point de 0 d'abscisse a, àveu,c ai!2.
+9a-2
Montrer que la droite (1,B) coupe l'axe de s abscisses au point M d'abscisse x = -2a3 .
+ 2
-2as +9a-2 -Ç3a
6. Soit la fonction g déf,nie sur [0;2[ par g(d "'-- -a3 +3a+2
Soit as = 1 l'abscisse de A.
a. Déterminer en fonction des termes,le la suite (a"): g(aù, g(aù, g(aù.
tt7
2.6. ALLERPLUSLOIN

les premiers termes de la


b. En utilisant Ia touche « Rep » de la calculatrice, déterminer
suite (ar).
c. pour obtenir un encadrement de a à 10-l près, à partir de quelle valeur de n le nombre
an appartient-il à l'intervalle correspondant?
d. Même question e:n remplaçant 10-l par 10-2, puis par l0-a'

15 minutes
EXERCICE 362
à 10-3 Près d'une racine
En utilisant la méthode de Lagrange, déterminer une valeur approchée
de la fonction /(x) = x3 --.r + I dans l'intervalle t-2 ; 0l'

363 minutes 15
EXERCTCE
près de la racine
En utilisant la méthode de Lagrange, déterminer une valeur approchée à 10-3
de la fonction /(x) = x4 -r x -2 dars l'intervalle l-2; Ol'

EXERCTCE 364 : MÉUTODE NEWTON


DES TANGENTES OU UIÉTHODE DE 25 minutes
x3 1^et e sa courbe courbe représentative
x+
Soit / la fonction définir: sur [0;2] par /(x) =
; - i
dans le plan muni d'un rcpère orthonormal (O;-i ,j).On prendra comme unité l0 cm'

l. Etudier les variations de /.


2. Construire Ia courbe e ainsi que les tangentes auxpoints d'abscisses 0 et 2.
x3 * 1
= 0 admet deux solutions dans [0;2] dont une notée a
3. Montrer que l'équatio"
? -, ;
dans [1;21.
4. u Tracer la tangent,e à la courbe e au point B, elle coupe I'axe des abscisses en fi.
b. Tracer la tangent,e à la courbe e au point T1, d'abscisse /1, elle coupe l'axe des abscisses
en t2.
c. Tracer la tangente à la courbe e au point ?2, d'abscisse t2, elTe coupe l'axe des abscisses
en f3.
d. Quelle remarque peut-on faire?
5. Soit,I un point quelc,onque de la courbe €, soit b son abscisse (b I D.

a. Déterminer une rSquation de la tangente à e au point,I.


b. En déduire que l'abscisse du point d'intersection de la tangente avec l'axe des abscisses

Veflne l -t'=
2b3 -L
3(b2 -r)'
-- 2b3-l
6. Soit la fonction h définie sur [0; 1 tU] l; 2l par h(b) =
_ t)
3 @2
Soit bs = 2l'abscisse de B.
a. Déterminer en fcrnction des termes de la suite (bù : h(bù, h(bi, h(bù.
b. En utilisant la touche « Rep » de la calculatrice, déterminer les cinq premiers termes de
la suite (b").
c. Comparer b5 aveclavaleur obtenue avec la commande « solve » de la calculatrice.
llB CHAPITRE 2. SUITES NUMEPÜ/QUES

EXERCICE 365
l5 minutes
En utilisant la méthode de Newton, détenniner une valeur
approchée à l0-3 près de la racine
de la fonctio n I @) = 3 f + 2x I dans l,inl ervalle
- lO ; Zl.

Exnncrcr 366
15minutes
En utilisant la méthode de Newton, déternüner une valeur
approchée à l0-3 près du zéro de la
fonction f @) = er +.r dans I'intervalle t-2; Ol.

ExEncrcr 367
2Omlnutes
Soit la suite (xr) définie par ro = I et Vz e IJ . *n+l
' r- . , -2xr+3
- -".2
l. Démontrer que ces relations permetterrt de définir une suite de réers, (xo, xt, x2, . ) dont
chaque terme est positif.
z. que xfr < 3 puis montrer que porrr tout entier naturel n, xtr <r
*r*, < J.
Jerfer
3. En déduire le sens de variations de la suite (xr). -
4. on admet que la suite admet une limite finie. Déterminer cette limite.

EXERCICE 368
20 minutes
l. Calculer, pour tout entier naturel n) Z, (,.*)(,-;)
2. carcurer o,=(r-;)(r-#) (r-*
3. En déduire P2s1e.

EXERCICE 369 20 minutes


On considère la suite (zr) définie paï ur=
:l
., pour tout n) l : un+r = -Lur* ll
t2'
et la suite (yn) définie pour tout z e N par u'n= ur-*.
l. Démontrer que la suite ( u,r) est géométr ique et préciser sa raison et son premier terme.
2. Exprimer ur, puis u, en fonction de n.
3. A une date donnéeAlfred et Bérénice décident de se téléphoner régulièrement. On désigne
par Brl'évènement :« Bérénice téléphorre àAlfred 1" nème jour qui suit leur décision ».

La probabilité que Bérénice téléphone àAlfred le premier jour est P (Bl) = I.


Sachant que :
. Si Bérénice a téléphoné àAlfred le nè^' iorr,la probabilité pour qu'elle l'appelle le lende-
1
main est de
5;
. Par contre si Bérénice n a pas appelé r\lfred 1" nème jour, la probabilité qu'elle le fasse le
lendemain est de I.
t2
a. Enoncer Ç, évènement contraire de Br.
b. Montrer que P (8r.. I B r) - tfrl et que, (u n*, n u r) = (Uù
1
|f #,
119
2.6. NLERPLUSLOIN

c. En déduire Que.F'|(87a1 1= -|efrr) . i;.


4. En utilisant les questions et2.,déterminer une valeur approchée à 10-3 près de la proba-
l.
bilité pour que Bérénice téléphone àAlfred le 60e jour.

EXERCTcE 370 20 minutes


Denx constructeurs d'automobiles lancent simultanément deux modèles de voitures 4 et b.
Afin de promouvoir leur produit, ils font appel à des sociétés de publicité qui procèdent à des
sondages. La campagne publicitaire dure plusieurs mois. Chaque mois on interroge les mêmes
individus.
On définit les évènements suivants :
A, : « L individu interrogé se déclare favorable au modèle a au n-ième mois ».
B, : « uindiüdu interrogé se déclare favorable au modèIe b at n-ième mois ».
On pose : pn = probabilité de An et qn = probabilité de Bn.
l. On suppose qu'un inrdividu interrogé est obligé de se déterminer soit pour le modèle a, soit
pour le modèle b.Ecrire alors une relation errtre pn et qn.
2. On constate qu'un individu favorable au modèle a à un moment donné, garde une fois
sur detx le même airis le mois suivant, alors qu'un individu favorable au modèle b garde
le même aüs sept fois sur dix le mois suivant.
Déterminer dans cesrconditions les probabilités conditionnelles suivantes :

Pa,(Bn+r) et Ps,(Bn,,)
3. Démontrerque: P(8"îBn+t) =0,7 x 4n etque P(AnnBral) =0,5x Pn.
En déduire que P(8,,*1) =0,74n+O,Spr.
4. Montrer 9te qn+t=t0,2qn*0,5.
5. Démontrer que la suLite (ur), définie sur N, de terme général i un= 4n-0,625 est une suite
géométrique de raison 0,2.
6. Déterminer la limite de (uù puis celle d" (q n), en déduire la limite d" (p
").
EXERCICE 371 15 minutes
Une suite (ur) est définie par son premier terme us et V n€ N*, u, = ! un-, + g.
4
l. Etudier le cas où uo =- 4.
2. Onsuppose uo*4.
a. Montrer qu'il existe une suite géométrique (ur) telle que un- u, soit indépendantde n.
b. Exprimer zn en lbnction de n et de u6.
c. En déduire que la suite (ur) tend vers une limite lorsque n tend vers l'infini et calculer
cette limite.

Exsncrcn 372 : Vner/Feux l0 minutes


Soit (ur) la suite définie, pour tout n e N,par un = (-t)'? + 2 x sin

Les affrrmations suivantes sont-elles waies ou fausses? Justifler les réponses.
t20 CTIAPITRE 2. SUITES NUMERIQUES

l. Pour tout entier naturel n, orr a ; Ltnag ),t.n.


2. Pour tout entier naturel n, on a: -3 ( ur, ( 3
3. La suite (ur) est monotone.
lim 2=0.
4. n-+(n
n

EXERCTcE 373 20 minutes


On pose a= 2 + tÆ et b =2- {5.
l. Calculer a2,b2, a3 etb3.
2. Montrerques'ilexistedeuxentiers unetuntelsque a.n = u.n*unJjetbn = yn-unt/i,alors
il existe deux entiers unal ct ur.,1 tels qu? an+l = un+t * unalt/3 et bn+L = Ltn+t un+trt.
-
Exprimer unt,1 êt unal Efi fonction de un et un.
3. Etablir les égalités u2, - 3 uzn = L et u, ny n*j - Lt n+ | u n = I.
4. En déduire que lafraction
fi, ""rirrédu:tible.
Exnncrcr 374 : Vner/Feux 15 minutes
BHo
ABC est un triangle rectangle enA tel qu€AB = H2
4 et BC = B. On définit la suite des points (I1,,)
Ha
ainsi : 116 =B et Hn+t est le projeté orthogoniil
de Hn sur (AC) si n est pair et sur (BC) si z e;t
impair. On déflnit les suites (l et (Là par
( n = HrHnal et Ln = (o -l ( 1 + ")
"' + ( n. C
Arü H3
H5
Les affirmations suivantes sont-elles waies ou fausses? Iustifler les réponses.
l. (1= H1H2=).
2. Quel que soit n e N, le triangle HnHnalHna2 est un demi-triangle équilatéral.
3. La suite (( est géométrique.
")
4. Quand n tend vers +æ, Ln tend vers un lrombre fini inférieur à 30.

ExERcrcE 375 25 minutes


Un biologiste souhaite étudier l'évolution d: la population d'une espèce animale dans une ré-
serve.
Cette population est estimée à f 2 000 indiürlus en 2016. Les contraintes du milieu naturel font
que la population ne peut pas dépasser les (i0 000 indiüdus.

Partie A : Un premier modèle


Dans une première approche, le biologiste e stime que la population croît de 5 % par an.
tiévolution annuelle de la population est air.si modélisée par une suite (un) où u7 représente le
nombre d'indiüdus, exprimé en milliers, en 2016+ n.Onadonc u6 = 12.

l. Déterminer la nature de la suite (ur) et drnner l'expression de un en fonction de n.


2. Ce modèle répond-il aux contraintes du tnilieu naturel?
2,6. ALLERPLUSLOIN t2t

Partie B: Un second modèle


Le biologiste modélise ensuite l'évolution annuelle de la population par une suite (un) définie
par us = 12 et,pour tout entier naturel n, Ltn+r = -ftu'r+ l,lun.
l. On considère la foncrlion g définie sur R par S(x) = -#r'+ 1,lx.
a. I est croissante sur [0 ; 60].
Iustifler que
b. Résoudre dans R l'équation S@) = x.
2. Onremarquera etua u,na1 = g(uà.
a. Calculer la valeur arrondie à 10-3 de uy.Interpréter.
b. Démontrer que, si 0 ( un ( 55 alors 0 ( z"*r ( 55.
c. Démontrer que lie suite (ur) est croissante.
d. En déduire la convergence de la suite (zr).
e. On admet que la limite { de la suite (uà vérifre g(l) = /. En déduire sa valeur et l'inter-
préter dans le co,ntexte de l'exercice.
3. Le biologiste souhaite déterminerle nombre d'années au bout duquel la population dépas-
sera les 50 000 indivirlus avec ce second modèle.
Il utilise l'algorithme suivant.

n-O
u+12
Tant Que .

ll+
ll-
FinTant Q)ue
Afflcher . ,...
Compléter cet algorithme afin qu'il affiche en sortie le plus petit entier r tel que u, )- 50.

EXERCICE 376 3O minutes


PartieA
Pour participer à la finale du jeu « Super Game », organisée par un magasin de jeu vidéo, deux
enfants, Ulysse et Victor; s'entraînent chaque jour, pendant les vacances. Pour être sélectionné,
un joueur doit obtenir un minimum de 2 000 points avant la date de la flnale et contacter l'or-
ganisateur qui l'inscrit alors sur la liste des participants au concours.
Le premier jour de son « entraînement », Ulysse, féru de jeu vidéo, obtient un très bon score
de 1500 points. Victor, qui est plus jeune, marque 1000 points. Au fur et à mesure des jours,
Ulysse remarque que, quotidiennement, son score progresse de 3 % alors que celui de Victor
augmente de 70 points.
On note us êt us les sco res obtenus respectivement par Ulysse et Victor le premier jour de leur
entraînement, soit le 30 juin (on a donc uo = 1500 êt tts = 1000).
De même, Ltn et un corr,espondront aux scores obtenus le z juillet.
122 1IIAPTTRE 2. SU/TES NUtutÉruqUAS

l. Calculer ur, u2 et u3 en arrondissant le score au point supérieur.


2. Calculer u1, u2ctt\.
3. Quelle est la nature de chacune des suites (u) et (ur) ? Iusüfier.
4. Exprimer un et u, en fonction de n.
5. La finale a lieu le 14 juillet. Qui sera sélrctionné pour y participer? Iustifier la réponse par
un calcul.
6. A l'aide de la calculatrice, pour chacun des enfants, déterminer la date à laquelle il aura
atteint le score fatidique des 2 000 points.

PartieB
On considère la fonction / définie sur [0; ll;] par f G) = x3 - t}xz + 2Sx + t2OO.
l. a On note ftladérivée de la foncüon.," sur t0; I5l. Déterminer //(.r).
b. Montrer que /'(x) = (3, - 5)(x - 5).
c. Etudier le signe de // et dresser le talrleau de variations de la foncüon / sur [0; 15]
2. La courbe e ci-dessous est la représentarion graphique de la foncüon / précédente.

2500

2000

1500

1000

500

0
0 5 l0 x

A l'aide de cette courbe, résoudre graphir luement l'équatio n


I @) = 2 000. On fera apparaître
sur le graphique le tracé utilisé.
3. Un troisième joueur, Fabrice, s'est également entraîné à partir du 30 juin pour la finale du
jeu « Super Game ». La fonction précéde rte correspond arx points obtenus par Fabrice, où
x représente le nombre de jours écoulés depuis le 30 juin.
a. Que représente /(0) ?
b. Utiliser le résultat de la question 2. pour déterminer si ce joueur sera sélectionné pour
la flnale du t4 juillet. A quelle date?
Qui, entre Ulysse, Victor et Fabrice sr:ra sélectionné le premier?
2.6. ALLERPIUSIOIN t23

Expncrcs 377 30 minutes


Parüe A: Croissance des lapins
EnlZ2B, Léonard de Pisre (surnommé Fibonacci c'est-à-dire « fils de Bonaccio ») publiait dans
un recueil intitulé Liber Abacile problème suivant :
« On place dans un enclos un couple (mâle et femelle) de lapereaux. Chaque couple âgé de deux
mois donne naissance chaque mois à un nouueau couple (mâle et femelle). Si aucun lapin ne
Tneurt, combien y aura-Fil de couples le n-ième mois? r,

l. On note Fn le nombre cherché. Vérifier les égalités I F1 = l, F2 = l, Fz = 2 et F4 = 3


2. Vérifierlarelaüon Fr,r+z= Fn+Fna1 pow n)1.
3. En déduire lavaleur de F, pour n {20
Partie B: La suite de Fibonacci
Ff=1 , Fz=l
C'est la suite (F2)r21 définie par
Fn+Z=Fn+t+Fn
l.
t+Jset r-JE
On pose a = P = -------:-.
;
Montrer que o et p sont solutions de l'équatio n x2 -r- 1 = 0.
2. En déduire les égalitris :

a. a2 = ü+l
b, B2 = p+l
c. a+B=1
d. a- fr= t/S
e. a2+§2=3
B. Prouver alors l'égalit é: Fn = - O")
ft|""
4. Montrer que pour tout tt ) 2 : F2, = Fn-tFn+t * l.

BXERCTCE 378 25 minutes


Soit (un) la suite définie par us = 0, ttt = 1 et, V z e N, vn+2 = sn+t I u" (l).
l. Calculer u2, u3, u4 el. us.
2. Soit a et ples deuxracines de l'équation: x2 - x- I = 0.
Donner les valeurs exactes de o et É (on notera B la plus petite valeur).
3. Montrer que la suite définie pour tout entier naturel n, p{ un = JLün + pBn est soluüon de
( 1).
4. Déterminer h et p telles eue us = Ito Et ut = ut.
On admet désormais que Vn € N, u, = ur.
n

(t *
r- \/E (r-l0
/s-)-
Llnil. I t+ t/E
5. Démontrer que ---::-- =
-ltnZ -
'-(ï#)'
t24 CIIAPITRE 2. SU/TES NUMÉRIQUES

6. Donner un encadrement entre detx entiers naturels consécutifs de


l- \Æ
-------
l+ÿ5
7. En déduire la limite ,orro,r. z tend vers +oo.
" (#)'
un+l
8. Conjecturer la limite O" lorsque n r.end vers +oo.
lln

Exrncrcn 379 20 minutes


A partir d'un nombre donné, on construil une suite (u) de la façon suivante: u2a1 êst lâ
somme des carrés des chiffres de un.
Ainsi, si ut = 1234, u2 = 12 + 22 + 32 + 42 = 2t;
u3=22 +82 = 68.
l. Calculer les dix premiers termes de la su te (uù de premier terme ur = 2}lg.
2. a. Calculer les dixpremiers termes de lil suite (uù de premier terme ur = Bg.
b. En déduire u2s1e.
3. a Vérifier que si u1 < 101r alors pour tcut n ) 2, u, < 1000.
b. Ecrire un programme en Python, qui permet de calculer un pour tout z1 < 1000.
c. Adapter le programme pour calculer uzots àyêc u1 = 12345678g.
Exrncrcr 380 30 mfunutes
l. En informatique, un mot est une suite de 0 et de 1. Par exemple : 010011 est un mot.
a. Combien peut-on former de mots de n chiffres (n non nul)?
b. Expliquer pourquoi un mot d'au mc ins 4 chiffres comporte forcément, dans son écri-
ture, deuxblocs de chiffres consécut.fs identiques.
2. On considère la transformation P qui op ère sur les mots en remplaçant chaque 0 par 01 et
chaque I par 10.
Ainsi : P(0) = 0t et P(l) = 10.
Par exemple P(010) = (0I)(r0)(01) = 011001
Déterminer P(000), P(tll) et P(1001).
3. LasuitedeProtéus(rn)estdéfinieainsi:/6=0; fi=P(fo)itz=P(tiih=P(fz)...c'est-à-
dire pour tout entier n) 0, tnal = P (tà.
a. Déterminer t1, t2 et fu.
b. Déterminer en fonction de nle nomlrre de chiffres qui composent tn. Expliquer.
c. Y a-t-il toujours autant de 1 que de t) dans chaque mot tn de la suite de Protéus, pour
tout entier n strictement positif? Expliquer.
4. Pour tout mot m, ott note m le mot oblenu en remplaçant dans nz le chiffre 0 par I et le
chiffre 1 par 0.
Par exemple si m = 10101 alors m = 01010.
a. Déterminer r @) et r [t).
b. Pour tout mot rn, comparer p 0nù et ptml.
2.6. ALLERPLUSLOIN r25

c. En observant les mots h, tz êt f3 vérifier qu'on peut construire simplement f2 à partir de


que t3 à Partir de 12.
f1 ainsi
d. Expliquer pourquoi cette relation se poursuit de proche en proche et comment on peut
construire fral à partir de f, pour tout entier n.
e. Comment peut-on retrouver à partir de cette relation le nombre de 0 et de I dans un
mot quelconque tn?
f. Quels sont les deux derniers chiffres du mot f2e1e ?

Exnnctcp 381 : SuIrn DE sYRACUsT or L. Cor,l.pirz 20 minutes


On choisit un entier naturel:
. Si le nombre est paiç on le divise par 2 eton obtient le terme suivant de la suite.
. Si le nombre est impaLir, on le multiplie par 3, on ajoute I au résultat et on obtient le terme
suivant de la suite.
On recommence la procédure avec le nombre obtenu.
. On obtient ainsi une suite de nombres, appelée vol du nombre de départ,
. les nombres de la suit,e sont appelés les étapes duvol,
. le plus grand nombre obtenu dans la suite est appelé l'altitude maximale de la suite,
. le nombre d'étapes arrant de passer sous le nombre de départ est appelé la durée du vol en
altitude,
. le nombre d'étapes avant d'obtenir I est appelé la durée duvol.
l. On choisit 9 pour entier de départ.
a. Calculer les terrnes de la suite jusqu'à obtenir l.
b. En déduire le vol de 9 : Ies étapes du vol, l'altitude maximale du vol, la durée du vol en
alütude et la durée du vol.
2. Onchoisit 1 pour entier de départ.
a. Calculer les terrnes de la suite jusqu'à obtenir à nouveau 1.
b. En déduire le vol de I : les étapes du vol, l'altitude maximale du vol, la durée du vol en
altitude et la durée du vol.
3. Exprimer un+t en fonction de un.
4. Ecrire un programme qui demande un entier et calcule les étapes du vol.
5. Ecrire un programrne qui demande un nombre et calcule l'altitude maximale du vol et la
durée du vol.

ExERcrcE 382 3o minutes


On se propose d'étudie:r les fonctions / dérivables sur [0 ; +æ[ vérifiant la condition

(1)
pour tout .r e [0 ; +oot, /(x)/'(x) = |
/(0) = I
PartieA
/ qui vérifle (1).
On suppose qu'il existe une fonction
La méthode d'EULER permet de construire une suite de points (Mr) de coordonnées (xn, yn),
126 CIIAPITRE 2. SUITES NUMEPL:QUES

proches de la courbe représentative de la fonction


/.
Nous allons tracer la courbe sur l'intervalle I = [0 ; l0]
Pour cela, on divise I en nintervalles et or choisit n =!.On prend n=2O.On aura donc
n
Xn+l = Xn+0,5.
1. Vériflerque Jo = 0 et yo = 1.
2. Montrer gte ÿn+r = ÿn+W
3. calculer les coordonne", ËË, points Mt, M2, M3, - - - , M2s (onarrondira au millième les va-
leurs trouvées) puis les placer dans un relrère du plan. En déduire une ébauche de la courbe.

Partie B
On se propose de démontrer qu'une fonction vérifiant (l) est nécessairement strictement po-
sitive sur [0 ; +oo[.
1. Montrer que fonction / vérifie (1) alrrrs .f ne s'annule pas sur [0 ; +oo[.
si la
2. On suppose que la fonction / vérifie la condition (1) et qu'il existe un réel a strictement
positif tel que /(a) < 0.
En déduire que l'équation /(x) = 0 admet au moins une solution dans l'intervalle lO; al.
3. Conclure.

EXERCICE 383 30 minutes


On considère les fonctions Pr, définies sur R par:
Pr (x) - x2 - | etpour tout n ) l, P na1(x) = l>zr(x) - t.
l. Calculer Pz6) etPa(x).
2. Résoudre dansRles équations: Pr(x) =1, Pz(x) = 0 etPe(x) = 0.
3. Déterminer le nombre de solutions de ct.acune des équations :
Pr@) = l, Pz@) = 1 et Ps(x) = 1.
4. Déterminer une solution de l'équation Pzs1e(x) = Q.
5. Déterminer le nombre de solutions de cette équation.

EXERCTCE 384 30 minutes


On définit une suite (ur) par la donnée de r:es deux premiers termes u1 et u2 et la relation de
récurrence : (l) Vn)2, un+t = aun+ bun-1 aetb étantdeuxréels non nuls donnés.
Le but de I'exercice est de trouver une expression explicite de la suite, solution de l'équation
x2 - ax - b = 0. On notera q, et B ses solutiorrs si elles existent.

l. Calculer tt3, u4, us, u6et u7 enfonction le ut, u2, aetb.


2. Onsuppose qrrc a2 + 4b > O
tL Montrer qu'il existe deux réels distinr:ts a et p tels que d + B = a et d, B = -b.
b. Montrer que la suite (ur) définie pàr unal = un+t- üun pour n ) I est une suite géomé-
trique de raison p.
c. Que peut-on en déduire pour la suite (arr) définie pü un+t = ttn+t - Fun?
2.6. ALLERPLUSLOIN t27

d. Exprimer unay Et na1 Qîfonction de ut, u2, ü,P et n'


e. En déduire une expression de un en fonction de uI, u2, a,P et n'


3. On suppose qtJe a2 +'4b = O

a. Montrer que la relation (l) peut s'écrire un+r- d'ttn= a(un- üun-i.
b. On pose Ltn = ün Sn. Montrer que la suite (s,?) est une suite arithmétique'
c. En déduire l'expression de s, puis de un enfonction de u1, tt2, d et n.

EXERCICE 385 15 minutes


Soit (ur) la suite définie par us = 5 etV ne N, par Ltn+t =
T;
Pourtoutentiernaturel n, onpose un=
'" --]
un- -.
I
1. vérifler ttn+r-r=3tiu"--l) .
un+2
I
2. Démontrer que la suite (ur) est une suite arithmétique de raison
5
3. Pour tout entier naturel n, exprimer un puis z, en fonction de n.
4. En déduire la limite rle la suite (ar).

EXERCTcE 386 15 minutes


Onconsidèrelasuite(u:r)définiepar:us=L,Ltt=2etpourtoutn €N, un+z=6ttn+r-Sun.
l. Calculer u2, u3 Et u4..
2. Résoudre l'équation x2 - 6x + 5 = O.
3. Déterminer detx réells a et b tels que Ltn = a x 5n + b.
4. En déduitê uy5.
5. Calculer S, = I u7. en fonction de n.
k=0

EXERCICE 387 15 minutes


On considère la fonction / déflnie sur I - oo ; 6[ par f @) = ]- b-J
On définit pour tout enrlier naturel n la suite (uà par
Ug -3
lli+t f (u")
On considère la suite (ur) définie par: V ,4 € N, un = l-;.
Un- 5
l. Démontrer que la suite (un) est une suite arithmétique de raison -]3
2. Déterminer u, puis un en fonction de n.
3. Calculer la limite de la suite (un).

Exrnclcr 388 3O minutes


Une cagnotte contient autant de pièces de I € etde2 € que nécessaire.
On prélève dans cette cagnotte une somme de 5 € : cela peut se faire en utilisant cinq pièces de
128 CHAPITRE 2. SUITES NUMEPÙ:QUES

I € et deux pièces de 2 € :
. cine pièces de I €, alignées surla table, d,nnent le nombre lllll;
' trois pièces deet l€
une pièce de2€ donnent les nombres lLlz,ll2l,l2ll et2lll;
. une pièce de I € et deux pièces de 2 € dorment les nombres l2z, zlz etzzl.
Pour résumer la situaüon, on dira que la sornme de 5 € génère huit nombres différents, ce que
l'on note: 55 = g.
Que vaut S12?

EXERCTCE 389 lS minutes


Les faces d'un dé tétraèdrique sont numérc tés de I à 4. Le dé est posé sur la table, la face « I »
contre cette table. Une étape consiste à faire basculer le dé autour de l'une quelconque des
arêtes de sa base. A l'issue de chaque étape, on note le numéro de la face contre la table. On fait
la somme s de tous ces nombres après 20lg étapes, en comptant le « I » initial.
l. Donner la valeur maximale et la valeur nrinimale que l'on peut obtenir pour s.
2. La somme S peut-elle prendre toutes les valeurs enüères entre ces deuxvaleurs?

Exnncrcr 390 2Ominutes


l. Soit (un) lasuite définie ptr uo = O, Ltt= ,] et Vn € N, u2a2 =X.un*, -;"^.
a. Calculer u2, u3 ct u4.
I
b. Vérifler que, pour tout nombre entie
.:naturel ft, Itn+\=
,un+3.
c. Dans un repère orthonormaltracerlx droites d'équations ÿ = x et y = ! * *5.
Placer ug, êrrutilisant ces detx droites, placer u4, u2 Èt u3 sür l'axe des abscisses.
Que peut-on conjecturer sur les varirLtions et la convergence de cette suite?
2. Soit (u")lasuite définie, pourtoutentiernaturel n,par un= Ltn-6.
a. Montrer que la suite (ur) est une suile géométrique dont on précisera le premier terme
et la raison.
b. Exprimer u, puis u, en fonction de ll.
c. En déduire que la suite (2") est convr)rgente et déterminer sa limite.

ExERCICE 391 2Ominutes


On s'intéresse à une population de tortues vivant sur une île et dont le nombre d'indiüdus
diminue de façon inquiétante.
PartieA
Au début de l'an 2000, on comptait 300 tortr es. Une étude a permis de modéliser ce nombre de
tortues par la suite (zn) définie par:

Jw=0,3
un*, O,9un(I
I - - ur)
où pour tout entier naturel n, un modélise le nombre de tortues, en milliers, au début de l'an-
née20OO+ n.
2,6. ALLERPLUSLOIN 129

l. Calculer, dans ce modèle, le nombre de tortues au début de I'année 2001 puis de l'année
2002.
2. On admet que, pour tout entier naturel n, un et I - un appartiennent à l'intervalle [0; f ] .
a. Montrer que, pour tout entier naturel n, 0 < un+r ( O,9un.
b. Montrer que, pour tout entier naturel n, 0 { un ( 0, 3 x 0, 9n.
c. Déterminer la lirnite de la suite (ur). Que peut-on en conclure sur l'avenir de cette po-
pulation de tortttes?
3. Des études permett€?nt d'affirmer que, si le nombre de tortues à une date donnée est infé-
rieur au seuil critiqure de 30 indiüdus, alors l'espèce est menacée d'extinction.
Ecrire un programme qui atûche la dernière année avant laquelle il reste au moins 30 tor-
tues.
Partie B
Au début de l'année 2010, il ne reste que 32 tortues. Afin d'assurer la pérennité de l'espèce, des
actions sont menées pour améliorer la fécondité des tortues. I-iévolution de la population est
alors modifiée et le nombre de tortues peut être modélisé par la suite (ur) définie par :

uto = 0,032
t)n+t = l,O6Un0-Un)
où pour tout entier naturel n) LO, un modélise le nombre de tortues, en milliers, au début de
l'année 2O0O+ n.
l. Calculer le nombre cle tortues au début de l'année 2011 puis de I'année 2012.
2. On admet que, dans ce modèle, la suite (ur) est croissante et convergente. On appelle / sa
limite. Montrer que r4 vérifie : { = l,O6((l - {).
3. La population de tortues est-elle encore en voie d'extinction?

EXERCTCE 392 3O minutes


Dans un texte intitulé « De la mesure du cercle r, fuchimède imagine la première méthode per-
mettant, en théorie, le r:alcul de z avec une aussi grande précision que l'on désire.Cet exercice
reprend les idées d'Arctrimède avec les méthodes d'aujourd'hui.

Soit e un cercle de rayon 1, on


) I deux poly-
construit, pour tout n
gones réguliers Pn et Qn, ayant3 x 2n
côtés, P, étant inscrit dans I et Q"
exinscrit à €.
Nous admettons que ler périmètre de
e est encadré par ceux des deux po-
lygones. Dans la suite, on note pn et
q r, les demi-périmètre,s respectifs de

Pn et Qn. Qr
Ainsipr<fr<4n.
130 CHAPITRE 2. SUITES NUMEP{:QUES

l. Casz=1
Montrer gue pr = 3 et 4t = 2J5.
2. a. Déterminer, en fonction de n, l'angle au centre qui intercepte un côté de P, ou de er.
b. En déduire 9\e p n = 3 x 2nri" (5fi;)
et Q n - s z" tan(ufu)
"
3. Relations de récurrence
a. on pose = Exprimer pn et Qnen fonction de n etde a.
" 1fu.
b. Exprimer sin(2a) et I + cos (2a) enfcrnction de sina et cosc.
c. En déduire que, pour tout ,? ,- r, f pn+t = \/ù4,-t.
,=;(;,. *,)"
d. A l'aide des relations précédent"r,'Jrr"r", Qz et pz.
4. Ecrire un programme qui permet d'afflclrer un encadrement de z à la précision demandée,
ainsi que la valeur de n.

EXERCTcE 393 20minutes


Soit (4r) une suite d'entiers naturels, croiss ante et dont le premier terme qo est supérieur ou
égalà2.
Soitlasuite(ur) définie paruo=l a* ' *...* t
€N, ur=
4o",pourtoutn 4o 4oQt 4o4r"'4n
l. Montrer que la suite (ur) est croissante.
2. Montrer que la suite (ur) est majorée pal une suite convergente ne dépendant que de 4s.
3. En déduire que la suite (ur) a une limite qui appartient à l'intervalle l0 ; U.

ExERcrcE 394 20 minutes


l. Soit deux urnes U1etU2,la première contient 6 boules blanches et 4 boules noires; la se-
conde contient B boules blanches et 2 boules noires.
D'une des deux urnes, choisie au hasard il y a équiprobabilité pour ce choix), on extrait une
r

boule que l'on remet dans l'urne:


si la boule est blanche on recommence le tirage dans la même urne;
si la boule est noire on recommence le tir:age dans l'autre urne.
Cette règle est appliquée à chaque tirag: et on suppose que dans chaque urne les ürages
sont équiprobables.
Soit P, la probabilité pour que le n- iènte tirage se fasse dans l'urne U1.
a. DéterminerPl.
b. Déterminer P2. Onpourra s'aider d'u n arbre de probabilité.
c. Démontrer qu'il existe une relation c e récurrence vérifiée par la suite (Pr) de la forme :

Vn) 2, Pn= aPn-r+ b où aetb sonldes réels que l'on déterminera.


2. Soit la suite (zr) déflnie par ut =I"rporr n) I, un+t =?"r*I.
a. Déterminerleréelatelquelasuite(rrrldéfiniepourn)-Lparun=un-ü soitunesuite
géométrique.
b. En déduire une expression de u, en lbnction de z.
2.6. ALLERPLUSLOIN 131

c. Déterminer la lirnite de P, lorsque n tend vers l'infini.

EXERCICE 395 20minutes


1
Llobjet de cet exercice r:st l'étude de la suite (u,r) définie par son premier terme ar =
2 "11u
nun+ I
relation de récurrencr )i üna1 =
Z@*t).
Parüe A: Algorithmique et coniectures
Pour calculer et affiche:r le terme ze de la suite, un élève propose l'algorithme ci-dessous. Il a
oublié de compléter deuxlignes.
n+l
u+1,5
Tant que ,? < I
u+...
n+...
Fin Tant que
Afflcher la variable u

l. Compléter les deuxlignes de l'algorithme oùr figurent des points de suspension.


2. Comment faudrait-il modifler cet algorithme pour qu'il calcule et affiche tous les termes de
la suite de u2 jusqu'Èr ze ?
3. Avec cet algorithme modiflé, on a obtenu les résultats suivants, arrondis au dix-millième :
n I 2 3 4 5 99 100
un 1,5 o,625 0,375 0,265 6 0,206 3 0,0r0 2 0,010 1

Au vu de ces résultats, conjecturer le sens de variation et la convergence de la suite (ur).


Partie B: Etude mathérmatique
On définit une suite auriliaire (u à par : pour tout entier n )- l, u n = nun - l.
l. Montrer que la suite (vr) est géométrique; préciser sa raison et son premier terme.
t + (0' 5) n
2. En déduire que, pour tout entier naturel n ) l, on a i ttn - .
n
3. Déterminer la limite de la suite (zr).
1+ (1 + 0'571)(0'5)n.
4. Iustifler que, pour to,ut ît ) r , onâ.1 ttnal - en
tt- -=-
n@+r)
En déduire le sens de variation de la suite (ur).
Partie C : Retour à l'algorithmique
En s'inspirant de la partie A, écrire un algorithme permettant de déterminer et d'afficher le plus
petit entier n tel que un <O,OOL.

EXERCTCE 396 20 minutes


Soit la suite (ur) définier sur N par i u.ç = I et : u na1 ='iur+ ] n+f.

l. a. Calculer ur, u2, u3 et u4. On pourra en donner des valeurs approchées à l0-2 près.
b. Formuler une cornjecture sur le sens de variation de cette suite.
2. a. Démontrer que lpour tout entier naturel n, un { n +3.
t32 CHAPITRE 2. SU/TES NUMEP{:QUES

b. Démontrer que pour tout entier natrLrel n, un+t - un = *, - ur'1.


c. En déduire une validaüon de la conjr:cture précédente.
!f,
-
3. On désigne par (u) la suite définie sur N par un= ttn- n.

a. Démontrer que la suite (u,r) est une suite géométrique de raison l.3
b. En déduire que pourtoutentiernaturel n, Ltn= ,(1)" .
"
c. Déterminer la limite de la suite (zr,).
sn
4. Vn€N,onpose:S, =iur=uo+u1 *...*un et ,n- n
t=0
a. Exprimer Sn en fonction de n.
b. Déterminer la limite de la suite (7r).

EXERCICE 397 2O minutes


Dans cet exercice :

* I désigne l'intervalle lO,4; O,7l;


* a est le réel tel que e-a = di on admet qlre c € 1;
* g est la fonction définie sur R par g( x) = e- x ;
* u est la suite récurrente définie par
Uû 0,4
Un+l 9@")
lg Inégalité des accroissements finis :
Soit/unefonctiondérivablesurla; b[.S'ileristeunréelMtelquepourtout.x e]a;b[,]/'frl;ç
M alors Vtal -/tall E Mlb - al.

l. Montrer qu'on a, pour tout.r € 1.


a. <p(x)el.
b. 1Et(x)l < 0,7.
c. IEQ)-al{O,7lx-al.
2. a. Montrer qu'on a, pour tout n € N, lltn+t- al {0,71u"- al, puis en déduire par récur-
rence qu'on a, pour tout n € N,

lun-- al ( 0,3 x (0,7)".


b. Conclure alors quant à la convergenc e de la suite u.
3. Déterminer un entier p tel que, pour n ) p, onaitlur- al ( l0-3, puis donner à l'aide de la
calculatrice une valeur approchée de u, ù 10-3 près.

Exrncrcr 398 20 minutes


Soitla suite définie par: us = 0 et Vn e N, 1.2n= tl.netr.t2na1 =l- yn.
1. Calculer u2s1s.
2. Déterminer le nombre d'indices z, inféri:urs ou égatx à 2018, tels \tte un = g.
133
2.6, ALLERPLUSLOIN

EXERCTcE 399 2o minutes

Soient (un) et(ur) deux suites définies par th = 6 , uo = 4 etVn eN, un+l = lu,-!" "'
un+r=
43
iu"+ iu". et )l
Existe-t-il un entier naturel k tel que u k=7 u p =

EXERCTCE 400 2O minutes


l. Soit n unentiernaûurelnonnul, démontrerquel'équatiottxn +x2+x-1= 0 admetune
unique solution posiitive, que l'on îoteta un.
2. Montrerquepourtout n €N*, ona0 ( u, ( a, otr o estlasolutionpositivedel'équation
x2+x-l=o. I
3. Montrer que pour tout n € N*, on a: (ur)n + (un- a) un* -d -0.
4. En déduire que la suite (ur) converge et déterminer sa limite
5. Montrer que la suite (zr) est croissante.
Chapitre 3

Fonctions

3.1 Nombre dériivé

3.1.1 Pointdecoursi
Définiüon l:
Soit une fonction / déflnie sur un intervalle I et aunréel appartenant /. On dit que / est dé-
à
rivable en a lorsque le taux d'accroissement de / en a admet une limite finie I en a, c'est-à-dire
lorsque:

lim r@)- r@) = , ou encore


. f @+ h)- T@) = t
,i\
x-4. X- A n
Dans ce cas, I est appelS le nombre dérivé de / en a, onle norc ft@).
Définition 2:
Soit / une fonction déri.vable en a.
On appelle tangente à lia courbe représentative de / au point A@, f @)) la droite passant par A
et de coeffrcient directeur l'@).
Propriété:
La tangente à la courbe représentative de / au point d'abscisse a est d'équation :

y=7'ta)(x-a)+î(a)

3.1.2 Enercices dapplication de cours


EXERCTcE 401 5 minutes
/
Soit la fonction définie sur [-3; 5], de courbe représentative e tracée ci-dessous. La tangente
au point d'abscisse 1 paLsse par l'origine du repère.
136 CIIAPITREs. FONCTTONS

;........2

-J r1 4
i T
; -t.

l:,
:-2
--,-------i--3

-4-

l. Déterminer graphiquement /(1).


2. Donner un encadrement à 0, 5 de /(- l), I Q), f Q) et /(3).
3. Déterminer par lecture graphique f' çt), f' l), f' e) et /'(3).
4. Sachant que la tangente au point d'abscisse 0 est parallèle à la tangente au point d'abscisse
1, déterminer.f'(0).

ExERcrcE 402 s minutes


Soit la fonction / définie sur [-3;5], de courbe représentative € tracée ci-dessous. La tangente
au point d'abscisse I passe par l'origine du t:epère.

-l I
i
., , .,!,

:
:

-3-

l. Déterminer graphiquement,f (- 1), /(0), /(t) et f (2).


2. Déterminer par lecture graphique 1' ?l), î' (L), 1'(â) r',rr.
"
3. Donner l'équation de la tangente à la corube au point d'abscisse 2.
4. Donner l'équation de la tangente à la corrbe au point d'abscisse -l
s.t. NaMBREoÉnrvÉ t37

EXERCICE 403 lO minutes


définie et dérivable sur l'intervalle Le plan estmuni d'un
On considère une fonctiion / [-'' ;l
repère orthonormal.
. La courb" (gf) représentée ci-dessous est celle de la fonction /'
. Les points A(0; 2), B (l; e) et C (2; 0) appartiennent à la courbe (€1).
. Le point de la couLrbe (ey) d'abscisse (-5) a une ordonnée strictement positive.
. La tangente (I) e'nA à la courbe (ey) passe par le point D(-2 ; 0).
. La tangente en B à la courbe (e1) est parallèle à l'axe des abscisses.

-i3

---'--i' '---1-

(r)

l. On note //(0) le nombre dérivé de la fonction / en 0. Quelle est sa valeur?


2. Pour quelle(s) valeur:(s) de x a-t-on ft@) = O?
3. Donner, par lecture lEaphique, une équation de la droite (AC).
4. Donner, par calcul, une équation de la droite (AB).
5. Donner une équation de la droite (7).
138 CHAPITRE3. FONCTIONS

Exrncrcn 404 5 minutes


Par simple lecture graphique, déterminer le; foncüons dérivables en 0

iC; i iy
'1.
,t' :

I 0
1
0 I *i 0 x

EXERCTcE 405 l0 minutes


Dans le repère ci-dessous, on a tracé la cotLrbe représentative e1 d'une fonction / définie et
dérivable sur l'intervalle l-2 ;41 ainsi que pJusieurs tangentes à ey :

o 12 est la tangente au point B de coordonnées (O; 2e),


. 73 est la tangente au point C de coordonnées (1 ; 3).

On sait que la tangente T1 est parallèle à I'are des abscisses et que la tangente 73 passe par le
point D de coordonnées (2 ; t).

v
Tg
: ll

I
..5

..4

..3

.1.

0 x
:...,,..,.:.........:.... vl.

l. Déterminer //(-l), /'(0) et /'(f).


2. Déterminer une équation de la tangente à la courbe €y au point C.
3.1. NOMBREDÉRr/É 139

EXERCICE 406 5 minutes

On donne ci-contre la représentation


graphique C d'une fon«:tion / définie 3

sur [0 ; 10]. La tangenter à la courbe C


au point A d'abscisse 5 ,est tracée. A
Parmi les quatre courbes ci-dessous,
déterminer laquelle représente gra-
phiquement la fonctiorr dérivée /' de
l
la fonction /.

34567 910 1

-1
-1
t2 I -3
34567 910 -2
-4 -2
-5 -4
-4 -6 -4 -5

a. Courbe I b. Courbe 2 c. Courbe 3 d. Courbe 4

EXERCICE 407 5 minutes

Dans le repère ci-contre, on a tracé la courbe


t-
représentative ey d'une fonction / définie
et dérivable sur l'intervalle l-4; 41. \
3 2 I

-2
'l
l. Tracer la tangente ?r €y au point d'abs- I

cisse 2 sachant que .ft(21 = 2.


2. Tracer la tangente ii e1 au point d'abs-
\
cisse -4, sachant que ft(-+'1 = -4.
3. Tracer la tangente ii ey au point d'abs-
\ /
cisse 0, sachant que /'(0) = 0.

EXERCICE 408 5 minutes

Dans le repère ci-contre, on a tracé la courbe


représentative e7 d'unLe fonction / définie
3 f
et dérivable sur I -æ;0[ et sur ]0;+ool
\
l. Tracer la tangente ii €7 au point d'abs-
cisse -2 sachant fte2) = -!.
qu,?
4
2. Tracer la tangente ii e1 au point d'abs- L

cisse 1, sachant que /'(1) = -1. \


3. Tracer la tangente ii €7 au point d'abs-
cisse '
,,
sachant qt,,, r'(-1\ = -1.
\ Z) 4
140 CI]APITREZ. FONCTIONS

EXERCICE 4Og 5minutes


Dans le repère ci-contre, on a tracé la courbe
e
représentative €1 d'une fonction / définie
et dérivable sur l'intervalle [-3 ; 3].
\
l. Tracer la tangente à ey au point d'abs-
I
4- iL \ IL
cisse -2 sachant que /'(-2) = g. I
2. Tracer la tangente e, au point d'abscisse
0, sachant que //(0) = -3.
3. Tracer la tangente à ey au point d'abs-
cisse l, sachant que /'(l) = 0.

ExERCICE 410 l0 minutes


Soit la fonction / déflnie sur R par |G) = ::2 +3x- 5 et e1 sa courbe représentative dans un
repère orthogonal.
Soitles points A, B, C etD de €7, d'abscisses respectives -1, 0, 3 et 7.
l. Calculer le coeffrcient directeur de la conle (AB).
2. Calculer le coefficient directeur de la conle (AC).
3. Calculer le coefficient directeur de la corrle (AD).
4. Calculer le coefficient directeur de la conle (BC).
5. Calculer le coefficient directeur de la conle (CD).
EXERCICE 4I I lO minutes
Soit la fonction / définie sur R* par l@) = 5.tr + a
x+l ",
efr sa courbe représentative dans un
repère orthogonal.
Soit les points A, B, C et D de €1, d'abscisser; respectives 0, 1, 3 et 7.
l. Calculer le coefficient directeur de la cor«[e (AB).
2. Calculer le coefficient directeur de la corrle (AC).
3. Calculer le coefficient directeur de la cortle (AD).
4. Calculer le coefflcient directeur de la cor«le (BC).
5. Calctrler le coefficient directeur de la cor«le (CD).
ExrncrcE 412 lO minutes
Calculer la limite en 0 des fonctions suivantes :
l- l@) = x2 +3x-l
2. l@)=
x-3 3. /(x) =\/ri{+s
*4, a. f@) =3sinx
EXERCICE 413 lOminutes
Simplifier /(x) pour x I a,puis déterminerla limite de /(x) lorsque x tend vers a.
x2 +Zx+l x-S
l. /(x)--pi
= aveca=-I 3.,f(x) = --=------= avec a = 5
\/x_ \/s
2x2 - x-15
2. f(x)= avec a=3 4. ï(x)=Æ= aveca=4
x-3
3.1. NOMBREDERI]/É T4L

EXERcICE 414 l0 minutes


Soit la fonction / définier sur R par î(x) = f -zx2 - l, de courbe représentative e.
Soient Aet B deux points de la courbe e, d'abscisses respectives I et -2.
l. Calculer l'ordonnée cles points A et B.
2. En utilisant la calcularrice, déterminer //(1) et ft eD.
rs Sur « NUMWORKS » : dans mode calcul, boîte à outils, diff(foncüon, abscisse)
Sur « T.I. » : math-nbreDririvé et compléter (pour les anciens modèles (f onction,x,abscisse))
Sur « Casio » : OPTN-CAIC-d/dx et compléter (pour les anciens modèles (f onction, absci sse))
3. Déterminer l'équatiorr réduite de la tangente à la courbe e au point A.
4. Déterminer l'équation réduite de la tangente à la courbe € au point B.

EXBRCTCE 415 l0minutes


Soit la fonction / définie sur R par f @) = -x4 + x+2, de courbe représentative e.
Soient A et B deux points de la courbe e , d'abscisses respectives 0 et - J.
l. Calculer l'ordonnée cles points A et B.
2. En utilisant la calculaLtrice, déterminer /'(-l) et //(0).
3. Déterminer l'équation réduite de la tangente à la courbe e au point A.
4. Déterminer l'équation réduite de la tangente à la courbe € au point B.

EXERCTcE 416 Sminutes


Sachant que /'(3) = 4 el que la courbe passe par le point A(3 ; -I), déterminer l'équation ré-
duite de la tangente à la courbe représentative de / au point A.

EXERCICE 417 minutes


5
La droite D d'équatiort )t - -5x + 2 est tangente à la courbe représentative de / au point d'abs-
cisse 4. Déterminer ft$.1 et T(4).

EXERCTCE 418 5 minutes


La droite D d'équation'v = 6x est tangente à la courbe représentative de / au point d'abscisse
-2. Déterminer f'(-2) et f eD.

3.1.3 E>rercices dapprofondissement


EXERCICE 419 l0 minutes
On considère la foncüorr / définie sur R par f @) = 3 x2 - 2x - 4.
l. Calculer /(1) et f (t + h).
2. En déduire le rapporl- fG+h)-,f(tt
h
3. Déterminer le nombre dérivé de / en 1
4. Ecrire une équation de la tangente à la courbe représentative de / au point d'abscisse 1.

Exnncrcp 420 5minutes


l. Vérifier que x3 - JF = (, - y)(x2 + xy +y2) pour tous réels x et y.
t42 CTIAPITRES. FONCTIONS

2. u En déduire une factorisation de (3 + h)3 - ZZ.


b. Déterminer alors le nombre dérivé <[e la fonction : x -* en 3.f #
c. /
Ecrire une équation de la tangente à la courbe représentative de au point d'abscisse 3.

EXERCICE 421 l0 minutes


Soit / une fonction déflnie et dérivable sur l'intervalle [-4 ; 6]. On note // sa fonction dérivée.
I
La courbe représentative de la fonction J'dans un repère orthonormal est tracée ci-dessous
ainsi que la droite  d'équation y = x. La cor rbe I et la droite  se coupent au point E d'abscisse
2. On sait par ailleurs que :

courbe I admet des tangentes par:üèles à l'axe des abscisses auxpoints B(-2;6,5) et
- laC(l; L,75),

- la droite (EF) est la tangente à la courbe f au point E; F est le point de coordonnées


(a; 3).

Déterminer par lecture graphique :

l. les valeurs de /'(-2) et f t(2);


2. les valeurs de x dans I'intervalle [- 4; 6] vérifiant
î'(x) ) o;
3. les valeurs de x dans l'intervalle [-4; 6] vérifiant
/(x) ( x.

-5-4-3-2 0123456

EXERCICE 422 l0 minutes


Déterminer ft (a) pow tout nombre réel a, avec :
l. f (x) = x* k avec k une constante réelle quelconque. 3. a> O, f (x) = tfi.
I
2. f(x)=x2. 4. alO, f (x) = -.

ExERcIcE 423 l0 minutes


Démontrer que la fonction / définie sur R lrar 1@) = lxl n est pas dérivable en 0.

EXERCTCE 424 l0 minutes


Démontrer que la fonction / définie sur [0 +oo[ par f @) = /x n est pas dérivable en 0.

EXERCICE 425 lOminutes


Lafonction / déflnie sur R par f @) = \/E-\est-elle dérivable en 1?
3.2. FONCTIONDERIV,ÉE 143

3.2 Foncüon dér'ivée


3.2.1 Pointdecours
Propriété:
Une fonction / est dérirable sur un intervalle l si elle est dérivable en tout point a de I.
Propriétés:
. les fonctions polynômes sont dérivables sur R;
. les fonctions rationnelles sont dérivables sur leur ensemble de définition.

Dérivées usuelles

Fonction / Domaine de dérivabilité Fonction dérivée //


k constante R 0

x R I

xn R nxn-l

Ix l-oo;0[ ou ]0;+ool
x2
I

1
rti l0;+ool
2li

Sommes et produits:
. La somme et le produiit de deux fonctions dérivables sur I a; b I sont dérivables sw la; b[.
ff * d' qx) = ft(x) +g'(sc) (f d' rxl = ft(x)g(x) + f (rc)gtoc)
. Linverse d'une fonction dérivable qui ne s'annule pas sur la;blestdérivable surla;bl.
r 1 \' f'(x)
IIJ t'' = -Gorr
Fonctions composées : Si / dérivable sur un intervalle 1, de dérivée f' et ax + b e 1 alors
(f@x+b))'= ax ft(ax+b)
144 CHAPITRE3. FONCTIONS

3.2.2 E>rercices d'application de count


EXERCTcE 426 20 minutes
Pour chaque fonction /, préciser l'ensemble de définition et l'ensemble de dérivabilité, puis
calculer /'(r).

s. |k)-Ë-x2--x-r 9.l@)-4xr23-lix+'fr89
t. f (x) =3x+4 93
2. f (x) = -6x+ {2 6. f @)=5f +2tr r0.,f(x)=---xt
3. /(x) =x2+x-4 7. f @) = x2or8 +i,y'i rr. /(x) =3xe -gxs - rt
a. f @) =3x2 -2x+7 8. /(x) = x4 +l- ,mn I
12. f(x)=-*+5\/i
EXERCTCE 427 t0 minutes
Pour chaque fonction /, préciser l'ensemble de définition et l'ensemble de dérivabilité, puis
calculer /'(x).
L f (ù=(zx3 -sx)(xa +sf -sx) t. f @) = (3.r4 +zxz +r)(ox3 +ox)
2. f@)= (x3+sx)5 a. l@)= (3.x6++.f +s)201e

EXERCTCE 428 l0 minutes


Pour chaque fonction /, préciser l'ensemble de définition et l'ensemble de dérivabilité, puis
calculer /'(x).
3x+2 x2 +3 n4 t')
l. f(x) =
5x-3 2. f(x)=
+x'z
3. f(x)=
1

.' a.T(x)=;#
EXERCICE
-429 l0minutes
Pour chaque fonction /, préciser l'ensemble de définition et l'ensemble de dérivabilité, puis
calculer /'(x).
_l
r. 1@)=x3-rt+Jj 3. f(x)=ÿ3r+; 5. /(r) = \Æx-5
2. 1@) =3\/i- \/zors +. f(x)=t/3x+2 6. f(x) = 72 a3yffi

ExERcICE 430 5 minutes


/
Soit la fonction définie et dérivable sur l0 ; +æ[ par f (x) =31Æ.
l. Déterminer l'équation de la tangente à Ir courbe représentative de / au point d'abscisse 3.
2. Déterminer l'équation de la tangente à lir courbe représentative de / au point d'abscisse 9.

EXERCTCE 431 sminutes


Soit / la fonction déf,nie et dérivable sur l0 ; +oo[ par f @) = xz +3x +1.
x
1. Déterminer l'équation de la tangente à lir courbe représentative de / au point d'abscisse 1.
2. Déterminer l'équation de la tangente à lir courbe représentative de / au point d'abscisse 5.
s.2. FoNCTtoN oÉarutin 145

EXERCTCE 432 5 minutes


Soit/lafonctiondéflniersur [-4; +oo[etdérivablesur]-4; +oo[par 1@)=lzrc+S
l. Déterminer l'équation de la tangente à la courbe représentative de / au point d'abscisse -2.
2. Déterminer l'équation de la tangente à la courbe représentative de / au point d'abscisse 5.

EXERCTCE 433 l0 minutes


Soit / la fonction déflnie et dérivable sur R par f @) = 2x3 + 4x + 2.

l. Déterminer l'équation de la tangente à la courbe représentative de / au point d'abscisse 0.


2. Déterminer l'équation de la tangente à la courbe représentative de / au point d'abscisse 1.
3. Déterminer l'abscisse d'un point de la courbe représentative de / dont la tangente est pa-
rallèle à la tangente au point d'abscisse 1.

ExERCTcE 434 l0 minutes


€ La dérivée de la positionf G), par rapport à ,, donne sa vitesse instantanée u(t),la dérivée
de sa ütesse instantanée donne son accélération a(t).
Un point se déplace le lc,ng d'une droite x suivant l'équation x(fl = s3 -2P +7, où -r(f) exprime
la distance, en mètre, du point à l'instant f, à partir du point de départ.
1. Déterminer la position, la vitesse et l'accélération du point à l'instant f = 0.
2. Déterminer la position, la vitesse et l'accélération du point à I'instant f = 10.

EXERCICE 435 l0 minutes


Une particule se déplac:e le long d'une droite .r suivant l'équation x(t) - t2 +3t +5, où .r(r)
exprime la distance, en:mètre, du point à l'instant /, à partir du point de départ.
l. Déterminer la position, la ütesse et l'accélération de la particule à l'instant f = 0.
2. Déterminer la position, la ütesse et I'accélération de la particule à l'instant / = 4.

EXERCTCE 436 lominutes


Une entreprise fabriqur., des objets dont le coût de production s'exprime en fonction de la
quantité q par: c(q) = c13 - t5oq2 +350q + 2000.
Le coût marginal pour une quantité 4 produite est égal au coût de fabrication d'une unité sup-
plémentaire : C*(Q) = C'(q +l) - C(q).
l. Calculer le coût marS;inal Cm@). En déduire C,QO).
2. Calculer C'(q).Pndéduire CtQq.
3. Calculer E(q) = C' (q) - C*(q).
,* lf'tA) I représente ll'erreur commise lorsqu'on assimile le coût marginal à C' (q) .
4. A parür de combien rl'unités produites cette erreur est-elle inférieure à 1?

EXERCTCE 437 lominutes


Dans une entreprise, le coût total de fabrication de q objets est donné en centaines d'euros
Par : C(q) = O,0O2q3 - 0,6q2 + 3004.
IJentreprise fabrique au maximum 500 objets par jour.
t46 CIIAPITRES. FONCTIONS

On note C' la dérivée de la fonction C. Ceü e foncüon représente une estimation du coût mar-
grnat.
C(*)
Le coût moyen d'un article est donné par le formul e: Cru@) = .
x
l. Calculer le coût marginal pour q = 500.
2. Calculer le coût moyen lorsque q objets sont fabriqués.
3. Calculer le coût moyen d'un objet si 500 objets sont produits.
4. Tracer sur la calculatrice la courbe représentative de Cy en choisissant judicieusement la
fenêtre.
5. Pour quelle valeur de qle coût moyen d'un objet semble-t-il minimal?

3,2.3 Exercices dapprofondissement


EXERCICE 438 15 mlnutes
Soit / et g deuxfonctions dérivables sur un intervalle l de R.
l. Démontrerque (l,f Aù' = Lf'{u-).
2. Démonrrer que (lt*'t *g(x))' = ft 1x) + gt (x).

EXERCICE 439 15 minutes


Soit / et g detxfonctions dérivables sur un intervalle l de R.

Démontrer que (1tx)g( x))t = ft(x)g(i + f @){(x).


EXERCICE 440 l5 minutes
Soit / la fonction définie et dérivable sur R par l$) = xn avec n e N.
l. Factoriser an - bn
2. En déduire une simplificaüon de l'expre;s' o, f @) - f @) .
a-x
s. Endéduire ly"f# de
4. En déduire la dérivée f (x) = xn.
EXERCTCE 441 l0 minutes
La courbe représentative de la foncüon / définie sur R par î(x) = # admet-elle des tangentes
de coefficients directeurs I et -3?

ExERcrcE 442 l0 minutes


La courbe représentative de la fonction / c éfinie sur R par 1@) = É +2x admet-elle des tan-
gentes de coefficients directeurs I et -1?
s.2. FoNCTtoNonnruÉn 147

EXERCTCE 443 20 minutes


e 1, e2 et €3 sont les courbes représentant les fonctions /, g et h définies sur R par : f (x) = xz +L,
t. I
S(x) = )x2 + x + )et hb) = -x2 + 4x - l.
l. Déterminer la dérivér: des fonctions f , g et h.
2. Montrer que :
a. le point A(l;2) est commun à e 1, €2 et e3;
b. les trois courbes admettent en A la même tangente f.
3. Ecrire une équation cle T et étudier la position de chacune des courbes par rapport à 7.
4. Chacune des courbes er ez et e3 admet-elle une tangente parallèle à la droite d'équation
ÿ = x? Si oui, préciser en quel point, et écrire leur équation.

ExERcrcE 444 15 minutes


I-objectif de cet exercice est de tracer point par point la courbe représentative d'une fonction
dont on connaît la dérivée et une valeur donnée en un point (condition initiale).
Soit la fonction / définie sur [0; 6] par /(0) = 1 et // (x) = x - 2.
l. En utilisant l'approximation f (a+ h) - l@) = ft(a)h et en prenant h = 0,5, compléter le
tableau suivant:
x 0 0,5 I 1,5 5 5,5 6
r@) I
2. En utilisant les donn,ées précédentes, construire une approximation de la courbe représen-
tative de /.
3. Ecrire un programme en Python permettant de calculer les points de la courbe pour un
intervalle et un pas donné.

EXERCTCB 445 15 minutes


La fonction logarithme népérien (qui sera étudiée en Terminale) est déflnie sur l0 ; +oo[ par :

.ln(1)=0
I
. ln est dérivable sur l0 ; +oo[ et Vx e ]0 ; +oo[ : ln' x = 1.
En utilisant la méthode vue dans l'exercice précéder#, représenter graphiquement une ap-
proximation de la courbe représentative de la fonction ln
l. sur lO,2 ; 2l avec le pas h = 0,2
2. sur 12 ; l5l avec le pas h = 1.

EXERCTCE 446 15 minutes


La fonction arc-tangentre est définie sur R par :
. arctan(O) =O
. arctanest dérivable sur R et Vr € R.: arctanttrl = :-L.
l+xL
En utilisant la méthode vue dans l'exercice 444, représenter graphiquement une approxima-
tion de la courbe représ,entative de la fonction arcta.n:
148 CIIAPITRE3. FONCTIONS

l. sur [0 ; 2] avec le pas h = 0,2


2. sur [2; 15] avec le pas h = l.
3. La fonctioî arctan étant impaire, en drlduire une approximation de la courbe représenta-
üve de la fonction sur [-15 ; 0].
os Rappel: une fonction / définie sur l est impaire si Vx e I, -xe I et f ?il = -f @).

EXERCICE 447 lO minutes


Soit la fonction / déflnie sur R par
/( x) = xr -2x, de courbe représentative €.
l. Déterminer une équation de la tangente 7 à la courbe € au point d'abscisse l.
2. Vérifierquepourtoutnombre réelx: # -3x+ 2= (x-l)(xz + x-2).
3. En déduire la position de e par rapport ir T.

ExERcIcE 448 15 minutes


soit la fonction / définie sur R par f @) = xtt - x2 -2x, de courbe représentative e.
l. Déterminer une équation de la tangente ? à la courbe e au point d'abscisse -l
2. Factoriser le polynôme P(x) = x3 - x2 -lix-3.
3. En déduire la position de € par rapport ir I.

EXERCICE 449 l0 minutes


on cherche une courbe e qui passe par les :oints o(0;0), B(3;-3) et qui admet pour tangentes
en O et B les droites (OC) et (BD) où C(-r; -5) et D(5;1).
Soit / une fonction dérivable sur R dont € serait la courbe représentative.
Est-il possible de trouverf(x) sous laforrre f @) = aË +b* +cx+d oùa,b,cetd sont des
nombres réels?

EXERCTcE 450 minutes 15


Soit / et g deux fonctions dérivables sur u r intervalle f de R, la fonction g ne s'annulant pas
sur 1.
I g'(x)
l. Démontrer que
g(-) - --------------;.
(s(x))'
2. Démontrer que f@t ' r'@)g@) - rT)g'(x)
g(x) (stxt;2

EXERCICE 45I 15 MiNUtCS


Pour chaque fonction /, préciser l'ensemble de définition et l'ensemble de dérivabilité, puis
calculer /'(.r).

t. f(x)=h a.fQ)=\/4-5i
3
7, f (x) = (x2 +sx)6
2. f(ù=\Ex+B 5' r@)= s. 1@) = (zxs -Jxs +zx)s
L- f +x2 rÿz
3. fG)=;ru-t/sx 6. /(x) =\ExJ 9. /(x) = (src7 +3xa -sxz - zoto)s
s.2. FaNCTI2NoÉnrur,e 149

ExERcrcE 452 15 minutes


Pour chaque fonction f', préciser I'ensemble de déflnition et l'ensemble de dérivabilité, puis
calculer /'(x).

I
r. /(x) = (x2 + 4x3 - sr't) (sx6 - +x3 +z) 5' -f (x) =
2+
r*-
x2 +3x-4 (x+l)(x-2)
2. f(x)=
f +2x\6 6. /(x)= -
(x - l)(x +2)
3. f (x) = (x2 + 3x - +) (uu - zx3 + a)
_Zx+2 7. f (x) = +z,,rx)
3x2
4. -f(x)=-----T----:- [,'- i) @3
xz -4 g. /(x) (x-r)z (4- *')
=
lg Rappel / dérivable
: Si sur 1, de dérivée f' et ax + b e 1 alors (l@x + b))' = a x ft (ax + b)
EXERCTCE 453 l0minutes
Dans le repère orthonormé (o, 7, 7), o" donne les points A(0,4 ;3,6), B(3 ; l), C(l ; 1),
D(l; 2), E(0; 2), F(l ; 0), G(3 ; 3) et H(2; l).
Soit u et u deux fonctions définies sur l'intervalle [0 ; 3] de courbes représentatives respectives
eueter.
On donne les informations suivantes:
. La droite (OA) est tangente à 8u à l'origine du repère .
. La droite (AB) est tangente à e u au point B.
. Les droites (EF) et ((11{) sont tangentes à e , respectivement auxpoints E etG.
. e u et e , admettent respectivement aux points D et C une tangente horizontale.

Déterminer, en justifian.t, si les affirmations suivantes sont vraies ou fausses.


l. 3.
u'(3) = 3. [1)'(1) = u'(l).
2, ut1o1=g. \u )
4, (u x u)'(3) = t.
EXERCTCE 454 minutes 15
Un point A se déplace sur une ligne droite (Ox) et la distance parcourue sur cette droite à partir
du point O et au bout d'un temps f est donnée par la formule : d(t) = 4t - 3 t2 .
l. Déterminer la vitesse et l'accélération du point A en fonction de r. On rappelle que la ütesse
du point est donnée par la dérivée et l'accélération par la dérivée seconde de la fonction d.
rssoit/unefonctiondetxfoisdérivablesurunintervalle I,VxeI, ftt(x) = (/')'(r).
2. Au bout de quel temps le point A s'arrête-t-il pour rétrograder et après avoir parcouru quelle
distance?
3. Au bout de quel temlps le point A repasse-t-il par le point O? Quelle est alors sa vitesse?
4. Etudier les variations de la distance et de la ütesse en fonction du temps.

EXERCICE 455 15 minutes


Montrer que latangente àla courbe € d'équation y,5=!x5 -Zf ++xaupoint d'abscisse I est
150 CIIAPITRE 3. FO]VCTIONS

parallèle aux tangentes à la courbe en trois points que l'on précisera.

EXERCTCE 456 15 minutes


On dit que deux courbes sont orthogonal:s lorsqu'elles se coupent et admettent en leur(s)
point(s) d'intersection des tangentes perpe ndiculaires.
l. Soit / une fonction dérivable sur un inte rvalle I, de courbe représentative e .Soit A et B detx
points de e, d'abscisses respecüves a el b. Tn et fB sont les tangentes à e respectivement
enAetB.
Démontrer qrue TaLTs e
ft @) x ft (L) = -1.
2. Soitlesfonctions /etgdéfiniessurRpar 1@)= x2 etg{x) = -I*'* f, a"courbes repré-
sentatives ey et es. Vérifier que les cour tes ey et €g sont orthogonales.
fonctior/(x) = I 8(x) =
'l
3. Les courbes représentatives des Ls tort-"lles orthogonales?
; ", ;
EXERCTcE 457 20minutes
Soit la fonction/ définie sur R par /( x) = it + 5x - 2, de courbe représentative ?.
l. Déterminer une équation de la tangente à P au point d'abscisse a.
2. En quels points de P peut-on mener un( tangente passant par l'origine?
3. Existe-t-il des points de P dont la tanger te passe par le point de coordonnées (4 ; 1) ?
4. Existe-t-il des points de ? dont la tanger te passe par le point de coordonnée s (-2; 2)?

ExERcrcE 458 lS minutes


Soit / et g deuxfonctions définies sur R par f @) = x2 et g(x) = x2 - 4x-2, de courbes repré-
sentatives Py et9g.
SoitÏune droite d'équation ÿ = ax+ b. On suppose que Testtangente à Pl au point A d'abs-
cisse a et à Ps au point B d'abscisse B.

r.Montrerr""li f ::, = 1f;;_^,


2. Calculer a et B.
3. Existe-t-il une tangente commune à ?y et à ?g?

Exnncrcn 459 20 minutes


l. Soit la fonction polynôme P(x) = gxa - gf -24x2 +16.
.L Vérifier que 2 est une racine de P.
b. En déduire une factorisation de P.
c. On admet ici que P n'admet que derx racines réelles. En utilisant la calculatrice déter-
miner une valeur approchée à l0-3 cle la seconde racine.
2. Soit f et g deuxfonctionsdéfinies surN par f @)= f etg(x) = x2 +4x,decourbesrepré-
sentatives 91 et?s.
Existe-t-il une tangente commune à91 <:tàPg?
s.2. FoNCTtoxoÉaruÉe 151

EXERCTCE 460 minutes 15


Les antibiotiques sont dr:s molécules possédant la propriété de tuer des bactéries ou d'en limi-
ter la propagation.
Le tableau ci-dessous donne la concentration dans le sang en fonction du temps d'un antibio-
tique injecté en une seulle prise à un patient.

Temps en heure 0,5 I 1,5 2 3 4 5 6 1


I B I 10
Concentration en mg/l 1,6 2 1,9 1,6 1,2 0,9 0,8 0,7 0,6 0,5 0,4 0,4

Ces données conduisent à la modélisation de la concentration en fonction du temps par la


fonction g définie sur l'intervalle [0 ; 10] par

s(t)=;i
Lorsque f représente le temps écoulé, en heures, depuis l'injection de l'antibiotique, g(f) re-
présente la concentration en mg/l de l'antibiotique.
Le graphique suivant représente les données du tableau et la courbe représentative de la fonc-
tion g.
l. Par lecture graphique donner sans justification : 2,0

a. fonction g sur [0 ; 10];


les variations de.[a
b. la concentraüon maximale d'antibiotique lors des
10 premières heures;
1,5
c. l'intervalle de tennps pendant lequel la concentra-
tion de I'antibiotique dans le sang est supérieure
àl,2mgll.
2. a. La fonction g est dérivable sur l'intervalle [0 ; l0] 1,0

et sa dérivée est g'.


q(t - 12)
Montrer que: g'(r) =
' ;i---j.
(tz +r). 0,5
b. En utilisant l'exprression de g'(t), montrer que la
concentration maximale serait, avec cette modé-
lisation, atteinte exactement t heure après l'injec- t
tion.
0
r2345678910
3. On définit la CMI (cr)ncentration minimale inhibitrice) d'un antibiotique comme étant la
concentration au-derssus de laquelle les bactéries ne peuvent plus se multiplier.
La CMI de l'antibiotique injecté est 1,2 mg/l.
Déterminer, par le calcul, le temps d'antibiotique utile c'est-à-dire la durée pendant laquelle
la concentration de l'antibiotique étudié est supérieure à sa CMI.
152 CTIAPITREZ. FONCTIONS

ExERcrcE 461 25 minutes


Soit a un réel et n un entier naturel non nul. On dit qu'une fonction polynôme est factorisable
par (r - a)n s'tl existe une fonction polynôrne R telle que P(x) = (x - a)n R(x).
l. On rappelle que pour toute fonction polynôme P de degré supérieur ou égal à I et tout réel
a, il existe une fonction polynôme Q tel que P(x) = P(a) + (x - a)e@).
a. Démontrer que Pt(a) = Q@).
b. En déduire que P est factorisable par (.r - a)2 si etseulement si p(a) = p,(a) = O.
c. Démontrer que P est factorisable par (x- a)3 si et seulement si p(a) = p, (a) = p,, (a) = 0.
m Plus généralement : Pour tout n > l, P est factorisable par (x - a)n si et seulement si
P(a) = Pt(a) = ... - Otn) g) - O

avec P@) la dérivée nè*" de p.


2. Soit P(x) = x5 - 5x4 + 4Ox2 - 80.r + 48.
a. Montrer que P est factorisable par (:c - 2)4.
b. Résoudre l'équation P(x) = 0.
3. Soit P(x)- -x7 +3x6 +6xs -22x4 +3x3 r39x2 -4ox+lZ.
a, Montrer que P est factorisable par (:; + 2)2 et par (x - l)4.
b. Résoudre l'équation P(x) = 0.

3.3 Variations d'une fonction


3.3.1 Pointdecours
Propriété I : Soit / une fonction dérivable tiur un intervalle 1.
. Si Vx e I, ft(x'1> 0 (resp. l'Q) <0) sauf pe ut-être en un nombre fini de valeurs où .,f/ s'annule,
alors / est strictement croissante (resp. strictement décroissante) sur L
. Si Vx e I, f'(x) = 0 alors / est constante stLr 1.
Fropriété 2: Soit / une fonction dérivable r;ur un intervalle ouvert I et x6 un réel appartenant
à I. Si // s'annule en .r0 en changeant de si1pe, alors .f (xo) est un extremum local.

3.3.2 Enercices dapplication de counr


ExERcIcE 462 5 minutes
Compléter les tableaux de variations suivar ts sachant que /(f ) = 3 et g(-2) = 6.
l. 2.
x -oo I +oo x, -oo -2 +oo
r'@) 0+ g'(x) +0
r ôo
3.3. VARIATION S D'UN,E FONCTION 153

EXERCICE 463 Sminutes


Compléter les tableaux rie variations suivants
l. 2.
x -9-229 x -oo -l I +oo
r'@) r'@)
5 6 2 +oo
I \,/ \
-2
î
3 -oo -oo -oo
ExERcIcE 464 Sminutes
Compléter les tableaux rle variations suivants sachant que :
l. (-I) =2 , (-9) = (9)=5et (2) = -3.
x -oo -l 2 +oo x -9 -2 ) 9

r'@) 0+ f'(x) 0 0+
+oo
r I
-oo
EXERCICE 465 l0 minutes
Soit la fonction f (x) = 3xz - 7 x+2
l. Déterminer le domaine de définition et le domaine de dérivabilité de /
2. Déterminer la dérivée de /.
3. Etudier le signe de //.
4. En déduire le tableau de variations de /.
EXERCICE 466 10 minutes
Pour chaque fonction, r,eprendre les questions de l'exercice précédent
l. f@)=-2x2+8x+3 2. f(x)=r*-!*
ExERcIcE 467 20 minutes
Etablir le tableau de variations des foncüons suivantes
+. f(x)=-x3+9x2-27x+6
r.ï (x) = - xz +3x-2r
x3
2.r (x) = 3# +5x2 -4x+6 s. /(x) =;n
3.r (x)=x3-3x2+3x-r9 6. t@)=#
EXERCICE 468 5 minutes
Soit / la fonction définie et dé-
1-
rivable sur [-4;4], de corurbe re-
présentative e représentée ci-
I
contre.
Déterminer les extrema de e.
t54 CIIAPITRE7. FONCTIONS

EXERCICE 469 5minutes


Soit / la fonction définie et
dérivable sur [-3,6;3,6], de
courbe représentative e repré-
sentée ci-contre. 4 -,3 12 i
Déterminer les extrema de e . t-__i,____;..-_4

EXERCICE 470 5minutes


Soit /
la fonction définie et dérivable
sur l-n;nl,
de courbe représentative
e représentée ci-contre.
Déterminer les extrema de € (avec la ;2
précision permise par le graphique).
-+-

ExERCTcE 471 15 minutes


On considère une fonction définie et dérivable sur I = [0 ; 1a]. Sa représentation graphique est
la courbe € ci-dessous. Elle passe par le poi rt A(7 ; 2), et la tangente en A à e est la droite A qui
passe par le point B(9 ; -l).

i+

o
j
B . .L...... ....

l. Par lecture graphique :

a. Dresser le tableau de variations de/,


Indiquer le signe de //(x) sur I.
b. Donner le nombre de solutions de l'riquation 1@) = -2 sur I.
c. (
Donner I'ensemble des réels tels que : 0 /(x) 2. (
2. Que valent
t
f (7) et f «)? Ecrire une équa tion de À.
3.3. VARIATION S D'UNE FONCTION 155

3. Dresser le tableau de variation a" I ,r, lr; 10t.


T

3.3.3 Exercices d'approfondissement

EXERCICE 472 15 minutes


La fonction / est définit) pour tout r réel par : f (x) = f -6xz -9x+ 1.

l. Etudier le sens de varriation de /.


2. u La fonction possrède-t-elle des extrema locaux?
b. La fonction poss,ède-t-elle des extrema (globaux) ?

EXERCICE 473 15 minutes


(X_I)z
La fonction / est définit) pour tout.r el2;+oo[ par: /(x) =
-;.
l. Etudier le sens de va:riation de /.
2. a. La fonction poss,ède-t-elle des extrema locaux?
b. La fonction possède-t-elle des extrema (globaux) ?

EXERCICE 474 lOminutes


On considère une fonction / :
. définie et dériveLble sur l'intervalle
[-1; +oo[; I'
o strictement croissante sur l'intervalle
A E
lo; 2l; û
. strictement décroissante sur les inter-
valles [-1 ; 0] et [Il; +oo[. 4
3
La courbe €, tracée ci-«:ontre, représente la
2
fonction / dans le plarn muni d'un repère
orthogonal.
Elle passe par les points A{-L; 6), B(O; -2),
4
D(l ; 2) et E(2; 6). $
Elle admet au point D une tangente passant
par le point G(0 ; -a).
I

*3
Elle admet au point B et au point E une
*4
tangente horizontale.
i- '*5

l. Déterminer /'(t) et ft(z).Iustifier les réponses.


2. Déterminer une équiation de la tangente à la courbe e au point D.
3. Montrer que sur l'intervalle [-l ; 0], l'équation f @) = 0 admet une unique solution que I'on
notera rI.
156 CHAPITRE3. FONCTIONS

4. On admet que l'équation /(*) = 0 admet, sur l'intervalle t-l ; +oo[, deux autres solutions
que l'on notera x2 et x3, avec x2 < 13. Dr:sser le tableau de signes de la fonction /.
5. Parmi les trois courbes suivantes, et, ez, €3, préciser, en justifiant la réponse, celle qui re-
présente //.

6
4
7
3
4 e
-'5
6 .2
3
) 4 ,1
1 3 o
2 .;..-2
3 :'+
.l -1 4 I ,--31
., o -4
23
-6

EXERCICE 475 l0 minutes


Etudier les variations de la fonction f (x) - ,E+ x - tEi pour -1 ( .r ( 2.

EXERCICE 476 15 minutes


Soitla fonction / définie sur [-10;10] par f @) = # -+xz +4x+3.
l. Etudier les variations de / sur [-10; f 0].
2. Démontrer que l'équation f @) = 0 admet une unique solution x6.
3. Déterminer un encadrement d'amplitude 10-2 de xs.

EXERCICE 477 15 minutes


l. Soit / la fonction déflnie sur R par f (x) == f -3x2 +2
a. Etudier le sens de variation de /.
b. Calculer lç20) et/(30).
c. Déterminer le nombre de solutions «[e l'équation f (x) = 0 (justifier)

2. Voici un algorithme :
Sia>balors
c*b
b*a
A,- C

FinSi
Si,ftfl"f@)(0Alors
Tantque b- a> 10-s Faire
t"(ry)x/(a)( )
a+b
b--
2
3.3. UARIATION S D'UNE FONCTION 157

a+b
Sinon a
2
FinSi
FinTânque
FinSi
Alficher aetb

a- Que peut-on dire de l@) etde l@) lorsque f @), /(a) ( 0?


ü*b parrapportàaetb?
-,
b. Quereprésente
c. Que fait cet algor:ithme?
d. Programmer cet algorithme en Python.
e. Que se passe-t-il si l'utilisateur entre les valeurs :

i. a=-ZoetZr=30? ii. a=-2Oetb=3? iii. a=Oetb=3?


f. Comment peut-on s'assurer de trouver la solution souhaitée?

ExERCICE 478 15 minutes


Quelle somme minimale peut-on obtenir en ajoutant un nombre strictement positif et son in-
verse?

EXERCICE 479 15 minutes


Dans un tronc d'arbre circulaire, on découpe une poutre
de forme parallélépipéclique rectangle. La résistance à la
flexion de cette poutre varie comme le produit I x h2 oit I
et ft sont les deux dimensions ci-contre. B
On prend comme unit,é de longueur le rayon du tronc
I
d'arbre.
h o
l. Montrer queh2 =4--12.
2. En déduire que lh2 == -13 + 41.
3. Soit f @) = -x3 + 4x pour x ) 0. C D

.L Etudier le sens de variation de / sur [0;2] .


b. Comment choisir I et hpour que la poutre résiste
au mierx à la flerion? {
4. Quel est l'angle a correspondant à 0, l'près?

Exnncrcn 480 15 minutes


Un industriel doit fabriquer une boîte fermée de volume 1dm3 ayant la forme d'un parallélépi-
pède rectangle de hauteur y et dont la base est un carré de côté -r > 0. L unité de longueur est le
décimètre.
I
l. Iustifier que y =
x2.
2. Endéduire que l'airer totale de la boîte est : S(-r) = 2x2 + !.
x
158 CHAPITRE3. FONCTIONS

(x-t)(xz + x+t)
3. Montrer que pour -r > 0, S'(x) = J-;-
4. a. En déduire le sens de variation de S rLr Ri.
b. Donner les dimensions de la boîte d'aire minimale.

EXERCICE 48I 2O minutes


D C

Sur la flgure ci-contre, ABCD est un rec-


tangle et BEC est un triangle rectangle. On
donne les longueurs AB = 2 et CE = 1, on
A B E
poseBE=Javec0<x-( 1.

2 x

l. Exprimer l'aire /(x) du trapèze en foncü,rn de .r.

2. Calculer f'@) etvérifier que f' (x) = -2*'- !" 1


.
ztft-p
3. Etudier les variations de /.
4. Pour quelle(s) valeur(s) de x I'aire est-ell: maximale?

Exnnctcn 482 15 minutes


Un grand lessiüer commercialise son prodrrit pour lave-vaisselle sous forme solide. Les doses
se présentent sous forme de parallélépipèdtrrectangle de dimensions .r, y etZx encentimètres
(1 ( x ( 2). Chaque lavage nécessite une dose d'un volume d'environ 12 cm3.
Pour économiser l'emballage, on cherche à avoir une surface totale minimale.

l. Faire un schéma et exprimer y en fonction de x.


2. u Montrer que la surface totale de ce p uallélépipède est S(r) = 4x"^36
+ : sur [1;2].
x
b. Montrer que S'(x) a même signe que .f - :.
2
3. Etude d'une fonction annexe:

a. Dresser le tableau de variation de la lbnction u déflnie sur [1;2] par u(x)= ,'- l.
b. En déduire que l'équation z(x) = 0 a une unique solution , Aurrc tr;21 ei dorrI". rrr"
".,
valeur approchée à la calculatrice à C,1 près.
c. En déduire le signe de u(x) suivant lts valeurs de .r.
4. En déduire le tableau de variations de S.
5. Quelle valeur de x rend S minimale?

EXERCTCE 483 25 minutes


On considère un carré ABCD de côté a.
Soient I et I/ detx cercles intérieurs au carré et tangents. f est tangent aux côtés lABl et lADl,
f' est tangent aux côtés [CB] et [CD].
3.3. VARIATIONSD'UN-EFONCTION 159

Soit S la somme des aires des cercles f et I', quelles sont les maximum et minimum de E?

EXERCICE 484 15 minutes


*'
l. Soit la fonction / définie sur R par f 6) = x2?*+ x+l'. .

Etudier les variationsi de la fonction / et tracer sa courbe représentaüve €y dans un repère


orthonormal.
2. Soitlafonction g, définie surR/{1}, par g(.r) =, l,t'=}llill 1''.
(x-r)[xz+x+1)'
a. (2x + f ).
Etudier le signe cle (.r - 1)
b. En déduire une expression de g(x) sans valeur absolue.
c. Etudier la dérivabilité de g en -:.z
d. Comment peut-on déduire la courbe représentative de la fonction g de la courbe e;?

EXERCICE 485 15 minutes


Soit e un demi-cercle «le rayon l. €s et €1 e

sont demi-cercles tangents entre-eux et tan-


gents à €. Soit x le rayon de €0.
Déterminer la valeur de x pour laquelle
l'aire hachurée est maximale.

EXERCICE 486 15 minutes

ABCD est un carré de côté 1, I est un quart


D C

de cercle de centre C, passant par B et D.


M est un point variable du segment [AB], N
distinct de A et B. Par le point M on trace T
la tangente à Q qui coupe [AD] en N. Soit T
le point de contact de la. tangente avec 9.
On pose AM = xet AN - y avecO < x< I et
o<y<1. A
M
B

l. Démontrer que MN = \FTÿ et MN= 2- x- y,

2. Endéduirequey- 2*+
x-2
3. Pour quelle valeur de x, la distance MN est-elle minimale? Quelle est alors cette distance?
4. Pour quelle valeur der x l'aire du triangle AMN est-elle maximale ? Quelle est alors cette aire ?

ExERcrcE 487 20 minutes


On considère le triangle, isocèle ABC dans lequel AB = AC = | et BC = 2x, avec O x( .
<
Soit H le pied de la hauteur issue de A.
On construit sur la base BC le carré BCDE. Soit E(x) l'aire du pentagone ACDEB.
160 CITAPITRE3. FONCTIONS

l. Exprimer AH enfonction de x etde l.


2. Exprimer E(x) en fonction de x etde I
(lvi?
+@+, mtx)(,rZz-e*o-t/nxt)
3. DémontrerqueE'(x)
4. En déduire les variations de S(-r) sur [0;l'].
{vî -?
5. Pour quelle valeur de x I'aire sera-t-elle rnaximale?

EXERCICE 488 l5 minutes


PartieA
La fonction / est définie pour tout réel x de I'intervalle [l; 7] par :

f @) = 1,5:;3 - 9xz +24x+48.

l. Pour tout réel x de l'intervalle [1; 71, calculer /'(x)


2. Etablir le tableau de variations de /.
Partie B
Une entreprise fabrique et commercialise urr article dont la production est comprise entre 1 000
et 7 000 articles par semaine.
On modélise le coût de fabrication, exprimri en milliers d'euros, par la fonction / définie dans
la partieA où x désigne le nombre de milliers d'articles fabriqués.
On note c la fonction définie sur [ ; 7] repré sentant le coût moyen par article fabriqué, exprimé
f G) ÿ.
en euros. on a, par conséquent, pour tout r de [1 ;
JCX
7) : c{x) -
= I,S x2 - g x + z+ +
On admet que la fonction c est dérivable sur [1; 7]. On note c/ sa fonction dérivée.

+ x+a)
l. Montrer que, pourtout.r de l'intervalle It;71, ona: c'(x) -3(x-4)(xz .
x2
2. a. Etudier les variations de la foncüon r) sur l'intervalle [; 7].
b. Déterminer, en milliers, le nombre C'articles à fabriquer pour que le coût moyen par
article soit minimal.

Exnncrcp 489 15 minutes


Soit la fonction / définie sur R par î(x) = x2 - +lx -3| .

l. Etudier la dérivabilité de /.
2. Etudierles variations de la fonction /.
EXERCICE 490 25 minutes
Dans un disque en carton de rayon R , on Cécoupe un secteur angulaire correspondant à un
angle de mesure a radians. On superpose les bords afin de créer un cône de révolution. On
souhaite choisir l'angle o pour obtenir un c ine de volume maximal.
3,3. UARWTIONS D'UNE FONCTION 16r

a
R

On appelle ( le rayon der la base circulaire de ce cône et h sa hauteur.


On rappelle que :

le volume d'un cône de révolution de base un disque d'aire .d et de hauteur h est '=A n,
- 3
la longueur d'un arc de cercle de rayon r et d'angle 0, exprimé en radians, est r0.
-
l. On choisit.R = 20 cm.
a. Montrer que le volume du cône, en fonction de sa hauteur = l, 1+OO - h') h.
lz, est V (h)
J
b. Iustifier qu'il exisite une valeur de h qui rend le volume du cône maximum. Donner cette
valeur.
c. Comment découper le disque en carton pour avoir un volume maximum? Donner un
arrondi de o au degré près.
2. Langle a dépend-il clu rayon R du disque en carton?

EXERCTcE 491 20minutes


On se propose de trouver dans quel cas la fonction /(x) = x3 + axz + bx + c n admet aucun
extremum sur R.
l. Etudier le signe du trinôme 3x2 + Zax + b (discuter en fonction des paramètres a et b) .
2. Expliquer pourquoi les propriétés (Pr) et (Pù sont équivalentes :
(Pr) : « / n adrnet pas d'extremum sur R ».
(Pù : «/'(x) erst toujours du même signe ».
3. Donner une condition nécessaire et suffisante pour que / n admette aucun extremum réel.
4. En déduire deuxvalelurs A et b pour lesquelles la fonction / n'admet aucun extremum réel.

EXERCTCE 492 30 minutes


Lentreprise BBE (Bio Bois Energie) fabrique et vend des granulés de bois pour alimenter des
chaudières et des poëles chez des particuliers ou dans des collectivités.
IJentreprise produit entre I et 15 tonnes de granulés par jour.
. Le coût de fabrication quotidien est modélisé par la fonction C définie sur l'intervalle [f ; 15]

par : C(x) = 0,002x4 - * + ++ 7, oir x désigne la quantité de granulés en tonnes et C(x) le


coût de fabrication quotidien correspondant en centaines d'euros.
t62 CIIAPITRE7. FONCTIONS

. Dans l'entreprise BBEIe prix de vente d'une tonne de granulés de bois est de 300 euros.
La recette quotidienne de l'entreprise est donc donnée par la fonction R définie sur l'inter-
valle [1 ; 15] par : R(x) = 3x, otr x désigne la quantité de granulés en tonnes et R(,r) la recette
quotidienne correspondante en centainr )s d'euros.
. On définit par D(x) le résultat net quotidien de l'entreprise en centaines d'euros, c'est-à-
dire la différence entre la recette R(x) et le coût C(x), où x désigne la quanüté de granulés
en tonnes.

Partie A : Etude graphique


Sur le graphique ci-dessous, on donne e et  les représentations graphiques respectives des
fonctions C et R dans un repère d'origine O.
54 -r- -l - T - l- -r- -t- -T - r -T -t- -l- T - T -t- -l-1
52 -t--1 -T-T-t-- -T ïr -T-t--ï-T -t-
50 -t--1 -T-r-r-- -I -r--t--ï--f -l- I
4B -t--t-t-r-t-- --t t -f--t--1 -t -l- --l
46 -t--.t-+-t--t-- -+ t- -r-t-r€+ f- -t-
44 -t-J-+-t--t-- -+ + -t---t-J-+ t--
42 -t--l-+-I--t-- -+ + - t-- -t- -+ - + |-
r4l
--.1

40 -t--.1 -+-+--t-- -+ + -t---l- -l-


I -L-t- J_ t-
3B
36
-t--l-+-L-t--
_l__l_f_L_t_ --l I _L _t_ J_ -
L - l- -.']
--.1

_r__l_t__L_t_ -_I
__I I _L _l_ I L _t_ J
34
32 _r__l_t__L_r_ __I I L _I I L _t_ J
30 _l_l_r_t_t_ _t I L I I _t_t
I

28 _t_t_t_t_t_ __t l_ I I
l_ _t_l
ltrtl tl
26 -t-t-T-r-r- -l I I

-l
I

i- -r- I-l
I

24 -r-l-T-f-r- --I -l
I

T i- -r-
22 -r--l-T-T-t- r t-T -l ï f -r- -l
20 -t--l-T-r--t- r r -l l- T T -t---l
1B -t- -1 -T-T-t- -1- T-
-1
T -r
r r- -l- T r - l- -'1
l6
l4
-t- -t - t- r-
-1-J-
-f- T r -t- -
-t- J-1 + -t-. t -1 - f t- -t- -1
t2 -t- -{ + -t- l-+- t- -l + -1 - f- -t- -l
10 -t- --l F -t- l-+- I -l +- + t- -t- -t
B -t- t- -t- I-+- t-- -l +- + t- - t- --l
6 +-L-t--.1 -+ -t---t- -l- + t- - t- -..1

4 -t -r-L-t- -l- I L J
2 --l-f- _t _ _I _L_L_t_ _l_ f L -l-
_t_ _l
0
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 101112131415
Dans cette partie § répondre aux question s suivantes à l'aide du graphique, et avec la préci-
sion permise par celui-ci. Aucune iustification n est demandée.
l. Déterminer la quantité de granulés en tonnes pour laquelle le coût quotidien de l'entreprise
estminimal.
2. a. Déterminer les valeurs C(6) et R(6) [uis en déduire une estimation du résultat net quo-
tidien en euros dégagé par l'entreprise pour 6 tonnes de granulés fabriqués et vendus.
b. Déterminer les quantités possibles de granulés en tonnes que l'entreprise doit produire
et vendre quotidiennement pour dégager un résultat net positif, c'est-à-dire un béné-
fice.
3.3. VARIÆTIONS D'UNE FONCTION r63

Partie B : Etude d'une frrnction


On considère la fonctiorr g déflnie sur l'intervalle tf ; par : g(x) = -0,008x3 * n * I
151
x
On admet que la fonction I est dérivable sur l'intervalle [1 ; 15] et on note g' sa fonction dérivée.

l. a Calculer g'(x) pour tout réel x de l'intervalle [r ; 15].


b. En déduire que la fonction g est décroissante sur l'intervalle [1 ; 15].
2. a. Dresser le tableau de variation de la fonction I sur l'intervalle [1; 15], en précisant les
valeurs g(1) et g(15) arrondies à l'unité.
b. Le tableau de variation permet d'affrrmer que l'équation g(x) = 0 admet une unique
solution a surl'intervalle [l; l5].
Donner une valeur approchée de o à 0,1 près.
c. Déduire des quer;tions précédentes le tableau de signe de g(r) sur l'intervalle [f ; 15].
Partie C : Application é,conomique

1. Démontrer que pour tout réel .r de l'intervalle [1 ; 151, on a : D(x) = -0,002x4 + 4x - j -,


2. On admet que la fonction D est dérivable sur l'intervalle [1; 15] et on note D/ sa fonction
dérivée.
Démontrer que pour tout réel x de l'intervalle [; 15], on a Dt(x) = g,Qc), où g est la fonction
étudiée dans la partie B.
3. En déduire les variations de la fonction D sur I'intervalle [1; 15].
4. u Pour quelle quarLtité de granulés I'entreprise va-t-elle rendre son bénéfice maximal? On
donnera une val-,ur approchée du résultat à 0, I tonne près.
b. Calculer alors le bénéfice maximal à l'euro près.
EXERCICE 493 25 minutes
Lors d'une compétition d'athlétisme, un entraîneur analyse la technique d'un lanceur de poids,
et plus particulièremenr[ la trajectoire du poids lors du lancer.
On considère la fonction /
donnée par f (x) = -0, 08x2 + 0, 8x + I ,92 pour tout nombre réel x
appartenant à l'intervalle [0; 12].
Cette fonction donne ler hauteur (en mètres) du poids en fonction de la variable x (exprimée
également en mètres). Cette variable x mesure la longueur entre les pieds du lanceur et I'ombre
au sol du poids (en conr;idérant que cette ombre au sol est à la verticale du poids).

l. Compléter, à I'aide de la calculatrice le tableau de valeurs suivant. Les résultats seront don-
nés au centimètre près.

x (en mètres) 0 0,5 I 1,5 2,5 4,5 5 5,5 6 6,5 I I 10 1l T2

/(x) (en mètres)

2. Dériver la fonction f'.


3. Etudier les variationr; de la fonction / sur l'intervalle [0; 12].
4. Déterminer la haute.ur maximale atteinte par le poids (au cm près).
5. A quoi correspond la (ou les) valeur(s) de x, solution(s) de l'équation /(x) = 0 sur l'intervalle
[0; 12] ?
t64 CIIAPITRE3. FONCT/ONS

6. a. Montrer que, pour tout nombre réel x appafienant à l'intervalle [0; I2],

f @) = -0, 08(x + 2) (x - 12)

b. Quelle est la longueur du lancer?

EXERCICE 494 30 minutes


on considère la fonction / définie sur l'intervalle tl ; r0l par : /(x) = + x - t.
;2*'L
On admet que la fonction / est dérivable sur l'intervalle [f ; l0] et on note // sa fonction dé-
rivée. Soit e la courbe représentative de la fonction / sur l'intervalle [1; f 0] dans un repère
orthonormé.
PartieA
l. Soit la fonction h défrnie sur [1 ; 10] par ,h(x) = x2 - tffi + t.

a. Démontrer que pour tout réel x e [t tol, ht(x) =


*(.* +)
b. Etablir le tableau de variation de la fonction h sur [1 ; 10].
c. Montrer que sur l'intervalle [1; l0], l'équation h(x) =0 admetune unique solution a.
d. Déterminer une valeur approchée à t0-2 près de a.
e. En déduire le signe de h sur [1 ; l0].

-?ex + t)2
-'r \--'-
@2
2. Démontrer que pour tout nombre réel x de l'intervalle tr; tOl on
"- a : f/(x)
@z +t)2
3. a Vérifier que pour tout réel x e [l ; lO), (* + t)2 -zïx = (x2 + t/Zex + ù (*' - tEx + t).
b. Montrer que sur I'intervalle [; 10], o; est l'unique solution de l'équation /'(x) = 0
c. Placer sur le graphique fourni ci-des;ous le point de la courbe e d'abscisse a.
4. Déterminer l'ensemble des solutions sur I'intervalle [; 10] de l'inéquation f'(x) ) 0.
5. En déduire les variations de la fonction J' sur l'intervalle [1; 10].

t
\\

x
I ) I ( I I n1
3.4. F ONCTION EXPONENTIELLE 165

Partie B
Uentreprise « COQUE EIrI STOCK », fabrique et commercialise des coques pour téléphone por-
table.
Son usine est en mesure de produire entre 100 et 1000 coques par jour.
La fonction / permet der modéliser le coût de production d'une coque en fonction du nombre
de centaines de coques produites par jour. Ainsi, si x désigne le nombre de centaines de coques
produites alors /(r) représente le coût, en euros, de production d'une coque.
l. Calculer, au centime près, le coût de production d'une coque dans le cas de la fabrication
de 500 coques parjour.
2. a. Montrer que prorluire2T2 coques par jour permet de minimiser le coût unitaire de pro-
duction.
b. En déduire le cotrt minimal de production d'une coque, en euros, au centime près.

Partie C
Le prix de vente d'une cr)que peut être modélisé par la fonction g définie sur l'intervalle [l; l0]
1
par : g(x) = -:x + 6, où -r désigne le nombre de centaines de coques produites et g(x) le prix
4
de vente d'une coque en euros.
Estimer les quantités de coques à produire par jour afin d'assurer un bénéfice à l'entreprise.

3.4 Fonction exponentielle


3.4.f Point de cours
Définition: il existe une unique fonction / dérivable sur R telle que
"f' -I et"f (0) = 1. C'est la
fonction exponentielle, notée exp(x).
Propriétés algébriques: Pour tous réels x et y, et tout entier relatif k,
. exp(x)>o . exp(x+ y)= exp(x)xexp(y) . exp(x)x exp(-x)=l
Sens de variation : La fcrnction x - exp(x) est dérivable sur R et (exp(i)' = exp(x) > o.
La fonction x - exp(tc) est donc strictement croissante sur R.
Notation:
.exp(L)=ex2,7l$
. Pour tout réel x, exp(tc) = ex.

3.4.2 E>rercices d'application de cours


EXERcICE 495 5 minutes
Soit a et b deux réels sr[rictement positifs. Simplifier les expressions suivantes sous la forme
anbm'.
166 CHAPITREs. FONCTIONS

l. a3ra7xb5xb6 a. (a-zbz):t(asU-af z. (a203)a (a-su-ef


z. (ab2)5 5. o3962to-2s62oo568 g. a2b-sb3a6o7y-8

e_ a3b7
"' azbs
a3b-2
6. --; "
a'D-u
s'l-7pp)
o665o-6oo12
1

EXERCICE 496 5 minutes


Simplifier les expressions suivantes :
l. exp(2x) x exp(Sx) 5. exp(Zx) x exp(4x) x exp(-6x)
2. exp(3x) x exp(-6x) 6. exp(Sx) x exp(3y) x exp(z)
3. (exp(sù)2 7. (exp(x) x exp(2y) * exp(-fl)3
. exp(9x)
^ exp(3x) x exp(2y)
exp(Bx) exp(2x) x exp(-y)

ExERcIcE 497 Sminutes


Simplifier les expressions suivantes
e, e2'
L (ezx+r1s x (e-tx1z 3.
ex+l 5._
et + e-x
,_ et + e-x e4*
e-x
ex 4. 6. eo x ,3x , *
(et)2 , e "2-3x

ExERcIcE 498 Sminutes


Simplifier les expressions suivantes :

l. (e* + e-')2 r )
- (ex - ç-x'2 3' (e')5xg-Zx s. î/æ , (î/r)'
D2x+3 ele
2.:_ 4. e2r+e-2*_(ex_g-x12 6.
e'* ' er,z î/e
s Rappel : 1/i = xi et î/ x = xà
ExERcIcE 499 lO minutes
Résoudre, dans R, les équations suivantes :
l. ex=-2 l. e*=e9 5. ex = e-x
2. e2t=e 4. ex-I=t) 6. e-x = e3
EXERCICE 5OO lOminutes
Résoudre, dans R, les équations suivantes :

1. - ,3 3. ,*+tzx+}S - 1 5. (e' + B) (e-x'z++ - r'*) =o


"x2+3x+L
Z. e5* = s-3x 4. (e* -D(e* - r.) =0 6. 2xex -6ex =O
Exnncrcn 501 l0 minutes
Résoudre, dans R, les inéquations suivantes :
l. e* 21 3. (2x - l)ex > O 5. (e'-l)(e-*-1)>0
2. e2*<e 4. ex-e-*<o 6. 2xex -6ex )0
3.4. F ON CTION WPONTENTIELLE t67

Exrncrcn 502 lOminutes


Calculer la dérivée de ctraque fonction après avoir déterminé son intervalle de dérivabilité.
t. f (x) = ex - x2 +2 l. f (x) = (x+2)ex
2.f(x)=(e*-1)(ex+I) +. f(x)=(ex-ù(e'+x2)

EXERCTCE 503 10 minutes


Calculer la dérivée de ctraque fonction après avoir déterminé son intervalle de dérivabilité.
t. f (x) - * ,-2x 3. /(x) ='?
ex+e-x
"3x ex+7
xe-x+l
2. Î@)=oi-o-;
er _ e_t +. f(x) = x\ |
EXERCTCE 504 l5 minutes
Cet exercice est un questionnaire à choix multiples. Chaque question cornporte quatre réponses
possibles. Pour chacune de ces questions, une seule des quatre réponses proposées est exacte.
l. Pour tout réel a. rrorr nul, le nombre réel e- * est égal à :
.r. I 1
A. -ea b. r G.- d. ea
ea ea
2. Pour tout réel a, le nombre réel et est égal à :

ea
a. t/e, b. {z d. efr
3. f
".b
@) = )ce-x est dérirrable sur R et on note /' sa fonction dérivée. Alors, pour tout nombre
réel x, on a:
a. ft(x) = e-x b. f'(x) = -e-t
c. f t@) = (l - x)e-x d, f'(x) = (l + x)e-x
4. Léquation de la tangente à la courbe de la fonction f (x) = xe-* au point d'abscisse 0 est :

ù y=zx b, y=r-l
c. y=x d. y=z*-l

3.4.3 E>rercices dapprofondissement


EXERCICE 505 l0 minutes
Démontrer l'unicité de lia fonction / dérivable sur R telle que l' = f et /(0) = I.
rs On commencera par démontrer que la fonction / ne s'annule jamais en posant une fonction
O(x)=fG)"fr;x).
EXERCICE 506 15 minutes
Soit / une fonction dérivable sur R telle que "f' = f et f (O) = 2.
g est la fonction déflnie sur R par g(x) = Or.
f,f
l. Vérifier que g est dérivable sur R et que : g' = g et g(0) = 1.
2. En déduire l'expression de g(x).
3. En déduire I'expression de /(x).
168 CHAPITREs. FONCTIONS

4. Déterminer une foncüon ft dérivable su.: R telle que: ht = h eth(0) =


à.
ExERcrcE 507 l0minutes
Démontrer que pour tous réels a et b, ,a+b
- eo x eb.
m Onpourraposerunefonction<D(x) = f (u+b- ù x
f @) avec f fonctionexponentielle.
ExERcIcE 508 lOminutes
l. '-.
I
Démontrer que pour tout réel x, e-x -
:,y
2. Démontrer que pour tous réels x et ÿ, \: = ex-v
'' eJ'

EXERCICE 509 l0 minutes


Démontrer que la fonction exponentielle est strictement positive et croissante.

EXERCICE 5IO n
lOminutes
Soit la suite un = 1+-I On admet que lorsque n deüent très grand, untendvers e.
n
l. Ecrire une fonction en Python qui calcule le terme unpour un entier n donné.
2. En déduire u.\0, u2o, uso.
3. Modifier la fonction pour qu'elle déternrine la valeur de n correspondant pour laquelle la
différence entre un et2,7l&28l8 est infét:ieure à 10-7.

EXERCICE 5II 15 minutes


l. Démontrerque (n2*)' =zez'.
2. Soit n e N, démontrer que si (enx)' = nen* alors (e(n+t) *)' = (n * l)s(n+t)x
l€ On admettra que Vz e N, Vx € R, (eu't' = nen'.
3. Démontrer que (e-')' = -e-x.
4. Détermin", II]'.
\enx J

5. En déduire la dérivée de /(x) = eax+b avec aet b entiers relatifs.

EXERCTCE 512 lsminutes


On se propose de déterminer une fonctior / strictement positive et dérivable sur R, dont la
courbe représentative € possède la propriété suivante :
« Pour tout point M de la courbe, si P est le point d'intersection de la tangente T en M avec
I'axe des abscisses et ll le projeté orthogoniil de M sur cet axe, alors la distance PI{ est égale à
l».
In segment IP H] est appelé sous-tangente en M à la courbe e.

1. On note a l'abscisse d'un point quelconrlue M de e . Ecrire, en fonction de a, une équation


de la tangente 7 en M àla courbe e.

2. Montrer que l'abscisse du point P est égüe à o- fr::)=.


f'@)
3. 4, F ON CTION EXPONENTIELLE 169

l(a) I I
3. En déduire que la fonLction / cherchée vérifie la condition
f'@)l
4. Conclure que la fonct;ion / vérifie l'une des égalités l' = f orr 1' - -f '

EXERCICE 513 lominutes


Etudier les variations de, la fonction / définie sur R par f @) = e-x. Conjeûurer les limites aux
infinis en utilisant la cal:ulatrice.

ExERCICE 514 lOminutes


Etudier les variations de la fonction / déflnie sur R par l(x) = x2e*.Conjecturer les limites aux
inflnis en utilisant la cal,culatrice.

EXERCICE 5I5 l0minutes


e' +r,e-*
l. Etudier les variations de la fonction ch déf,nie sur R -
par ch(x)
2
Conjecturer les limites auxinfinis en utilisant la calculatrice.
rs Cette fonction est la fonction cosinus hyperbolique.
2. Etudier les variations de la fonction sh définie sur R par sh(x) = "*
='-*
2
Conjecturer les limites aux infinis en utilisant la calculatrice.
rs Cette fonction est la fonction sirus hyperbolique.

EXERCICE 5I6 l0 minutes


Soit la fonction th définîesur R par th(x) = ..'
"=
ex + e-x
-"=

t?!'l
l. Vérif,er que pour tout réel x, th(x)=
ch(x)
.

2. Etudier les variationsrde la fonction f h.


3. Conjecturer les limites atx inflnis en utilisant la calculatrice.
rs Cette fonction est la f'onction tangentehyperbolique.

ExERCTcE 517 lOminutes


ex
Etudier le domaine de drSfinition et les variations de la fonction / définie par /(x) = -. Conjec-
turer les limites aux infinis et au voisinage de 0 en utilisant la calculatrice.

EXERCICE 5I8 15 minutes


Etudier et représenter grraphiquement la fonction / définie par /(x) = (l - x)ex .

EXERCICE 5I9 15 minutes


Soit la fonction / déflnir-'sur R/{I} par f (x) = , '*
lx- 1l=,.
l. Exprimer / sans valeur absolue.
2. Déterminer //.
t70 CIIAPITRES. FONCTIONS

3. Conjecturer les limites aux infinis et au rroisinage de I en utilisant Ia calculatrice.


4. Etudier les variations de / sur R/{U.

EXERCICE 520 25 minutes


Soit la fonction / définie sur [-2 ; 1] par
"f(.r) =
ezx -2ex+t
Le plan est muni d'un repère orthonormal (O, ;,î) On appelle e la courbe représentative
/
de dans ce plan.

l. Etudier les variations de /. Dresser le taltleau de ses variations.


2. Calculer:
a. l'ordonnée du point A de e d'abscisie 0;
b. les coordonnées du point B en lequel la tangente à e est parallèle à l'axe des abscisses.
3. Donner:
a. une équation de 16 tangente à € en.4;
b. une équation de 11 tangente à € en li. Déduire des questions précédentes la position de
e par rapport à Ir;
c. les coordonnées du point G, interse(:tion de ?6 et T1.

EXERCTCE 521 20minutes


Dans un laboratoire, des scientifiques ont étudié pendant 10 ans l'effet de la pollution sur une
population d'insectes car ils craignaient l'e:rtinction de cette espèce. Une étude a été effectuée
sur un échantillon de 25 000 insectes.
l. Une étude a permis de montrer que la p opulation d'insectes diminue très rapidement lors
des quatre premières années. La populat ion peut être modélisée par la fonction / définie sur
l'intervalle [0; 4] par |G) = 25"-o'5t, où t est le temps exprimé en années et TG) le nombre
de milliers d'insectes.
Calculer le pourcentage de diminution clu nombre d'insectes la première année. Arrondir à
lTo.
2. Après de longues recherches, un biologiste a mis au point un traitement pour essayer de
sauver cette espèce. Ce traitement est arlministré aux insectes à partir de la quatrième an-
née.
Lévolution de la population est alors nrodélisée par la fonction g définie sur I'intervalle
t4; 101 par : g(t) - 2g"-o,rÊ + t - 4,65.
oL On désigne par g'la fonction dérivée de la fonction g.
Montrerquepourtoutréel t de14; l0l, g/(r) - -4s"-0,tt2 a1.
lg Soit a une fonction dérivable sur un intervalle 1, de dérivée u' alors la fonction x .-
eu(*) estdérivable sur I et (eu{xl1r - tl (x1su(x') .
b. On admet que la fonction g' est strictement croissante sur l'intervalle t4; fOl.
Montrer que l'équation g'(r) = 0 a urre solution, et une seule, a dans l'intervalle t4; f 0l.
Donner la valeur arrondie au dixième de a.
c. En déduire le signe de g'(r) sur l'intervalle t4; f 0l.
3.4. FONCTION FJ@.ONENTIEILE t7l

d. Donner le sens dr: variation de la fonction g sur l'intervalle [ ; 10]'


e. Que peut-on suplposer quant à l'effet du traitement sur la population d'insectes?

ExERcrcE 522 20 minutes


PartieA
On considère la fonctiorr / définie sur [0 ; 3] par : f (x) = (x2 -3x+ 3)er - 4.

1. Etudier les variations de / sur [0 ; 3].


2. Montrer que l'équation f @) = 0 admet une solution unieue .re appartenant à l1 ; 2[. Donner
une valeur arrondie àL 10-3 de -16.
3. Déduire des résultats précédents le signe de f (x) sur [0 ; 3].
Partie B
Une entreprise fabrique un produit, en quantité x exprimée en tonnes, sa capacité de produc-
tion ne pouvant dépasser 3 tonnes. Le coût total de fabrication de ce produit, en centaines de
milliers d'euros, est donné par : Cr(x) - (x - 3)er + 3.r + 4.
C'.!:)
Le coût moyen est défini sur l0 ; 3l par la formule suivante : C*(x) = .
x
l. Pourtout.rdel0; 3lr:alculer C'*(x)etvériflerquel'égalitésuivanteestvraie :Cl(x)- f V) .
x2
En déduire le sens de variation de C* sur ]0 ; 31.
2. Pour quelle productir:n l'entreprise a-t-elle un coût moyen minimum?
Quel est le coût moyen minimum (arrondi au millier d'euros) d'une tonne de ce produit?
Partie C
Une tonne du produit fa.briqué est vendue 300 000 euros; toute la production est vendue.
l. a. Le bénéfice algébrrique, en centaines de milliers d'euros, réalisé après la fabrication et la
vente de.r tonnes du produit est noté B(x).
Montrer que B(.r) = (3 - x)ex - 4.
b. Etudier le sens de variation de B sur t0 ; 31.
c. Quelle est la production pour laquelle le bénéfice est maximum?
2. En traçant la courbe représentative de B sur la calculatrice, déterminer à 0,1 près les quan-
tités à produire pour que l'entreprise réalise un gain.

EXERCICE 523 25minutes


Soit la fonction / déflnir: sur R par l@) = ex -l - x.
l. Etudier le sens de variation de / et en déduire son tableau de variations.
2. Montrer que pour tout.r réel, 1 + x ( er.
3. En déduire que pour o 1 x 11,' ,*. ]-.
l-xn n+
4. Montrer que pour torut n e N*; 1+-I <e< 1+-I
n n
5. Ecrire une fonction en Python qui détermine la valeur de z pour laquelle on obtient un
encadrement d'amplitude inférieur à l0-5 de e.
172 CHAPITRES, FONC?IONS

EXERCICE 524 25 minutes


On considère la fonction / déflnie sur [0 ; t0] par f $) = )* *
"-È**t
On note 0 sa courbe représentative dans urr repère orthonormal (o,7,7)
PartieA: Etude de / et tracé de e
l. Résoudre dans [0; l0] l'inéquation : ,-]x+s tr 1.
2. Calculer l'expression de ft(x) pour.r élément de [0 ; l0].
3. Etudier le signe de f t(x) et en déduire le sens de variation de /.
4. Dresser alors le tableau de variation de .1'.
Partie B : Application économique
Un atelier fabrique .r unités d'un produit. Ce nombre .r est limité à 10.
/(x) représente, en euros, le coût moyen de fabrication d'une unité lorsqu'on en fabrique x.
l. Quel est le nombre d'unités à produire p our avoir un coût moyen de fabrication minimal?
2. Chaque unité est vendue 5 €. On désire déterminer le nombre d'unités pour lequel l'atelier
réalise un bénéfice.
Indiquer une méthode de résolution grlphique puis l'appliquer pour répondre à la ques-
tion.

EXERCTcE 525 25 minutes


Lorsque la queue d'un lézard des murailles casse, elle repousse toute seule en une soixantaine
de jours.
Lors de la repousse, on modélise la longuetLr en centimètres de la queue du lézard en fonction
du nombre de jours.
Cette longueur est modélisée par la fonctio r / déûnie sur [0 ; +oo[ par : f (x) = 19"u(x)
où u estla fonction définie sur [0 ; +oo[ par : u(x) = -e2-fr .

On admet que la fonction / est dérivable stLr [0 ; +oo[ et on note /' sa fonction dérivée.
On admet que dérivée de la fonctioî x * eujc) est ut1y,1su(x) où z' est la fonction dérivée de u.
l. Vérifier que pour tout .ï positif on a /'(.r) = -u(Jc)eu(x). En déduire le sens de variations de
la fonction / sur [0 ; +oo[.
2.u Calculerf(20).
En déduire une estimation, arrondie au millimètre, de lalongueur de la queue du.lézard
après üngt jours de repousse.
b. Selon cette modélisation, la queue du lézard peut-elle mesurer l1 cm?
3. On souhaite déterminer au bout de com bien de jours la ütesse de croissance est maximale.
On admet que la ütesse de croissance ar r bout de x jours est donnée par f ' (x) .
On admet que la fonction dérivée /'est d érivable sur [0; +oo[, on note //'la fonction dérivée
de // et on admet que : /"(r) = lu(x)e,,( i (t + u(x)).
a. Déterminer les variations de // sur [t) ; +oo[.
3.4, F ON CTION EXPOATENTIELLE t73

b. En déduire au bout de combien de jours la ütesse de croissance de la longueur de la


queue du lézard r:st maximale.

EXERCICE 526 25 minutes

Soit P, le polynôme définie, pour n entier naturel,


x2# r--
xn lxk
\
' nl - -kt
*L-_^
On rappelle que pourtout n >0, n!= nx (n- l) t "'x2x I et0! = I.
Soit /, la fonction déflnie sur R par : fs(x) = sx -1
1n@)=ex-Pn(x)
l. Etudier et représenter graphiquement les fonctions /6 et fi.
2. u Monter que la fonction Fn déflnie, sur R, par Fn(x) = f"G) + 1"?x) est paire.
b. Monter que la fonction G, déflnie, sur R, par Gn(x) = l"@) - f"Gx) est impaire.
c. Etudier et représr-.nter graphiquement les fonctions Fe et G6.
3. Vérifier que, pour tout.ï réel, ln6) = flr*r{x) et que ,f"(0) = O.
4. Montrerque : fi(x) > 0 si 0xl
ïz@) >'0 si x > 0
fz@) ..0 si x < 0
Plus généralement, dliscuter le signe de f"6) en fonction du signe du réel non nul .r et de la
parité de l'entier naürrel n.
5. Montrerque pour x.< 0 : 1 +.r < e' < l+ * * *.
2
6. En déduire un encadrement de e-0'1.
7. Comment pourrait-on obtenir un encadrement plus précis?
EXERCICE 527 20minutes
ParüeA
Soit / la fonction définir: sur l'intervalle [- 10 ; 30] par f @) = 5 a *"o'2x-r

1. Soit /' la fonction dérivée de la fonction /.


Montrer que, pour to,ut réel x de l'intervalle t-10 ; 301, //(r) = (0,2x * l)s0'2r-1.
2. En déduire le sens de variation de / sur l'intervalle [-10 ; 30].
3. Justifier que l'équation /(x) = 80 admet une solution unique a dans l'intervalle [0; 20] et
donner un encadrerrrent de a à 0, I près.
Partie B
En 2010, un sryliste a décidé d'ouwir des boutiques de vêtements à prix modérés, tout d'abord
dans son pays d'origine,, puis dans la communauté européenne et au niveau mondial.
Il a utilisé la fonction I' définie dans la partie A mais seulement sur l'intervalle [0 ; 20] pour
modéliser son développement et a désigné par TQ) le nombre de magasins de son enseigne
existant en 2010 + x.
1. Calculer /(O) et interpréter le résultat.
2. En utilisant la partie A, indiquer à partir de quelle année la chaîne possédera 80 boutiques.
t74 CIIîPITRE?. FONCTIONS

EXERCICE 528 25minutes


Plusieurs projets de train à très haute vitesse et à propul-
sion électromagnétique sont en préparatior,, à l'image de
l'Hlperloop.
Les wagons ont une forme cylindrique et sont propulsés
dans un tube à basse pression afin de réduire les frotte-
ments.
Les ingénieurs ont fixé comme objectif impératif pour le
départ de chaque wagon d'atteindre en moins de 2 mi-
nutes une vitesse instantanée de 400 km.h-I.

On noteÏ(t) la distance parcourue par le lragon, en km, à l'instant , en minute. On suppose


que/estunefonctiondelavariablef définiesurl'intervalle[0;3] parf(t)=75(e0,2t -l)-15r.
1. Déterminer Tt(t).
2. Résoudre sur l'intervalle [0 ; 3] I'inéquati tn l'G) > O.
3. En déduire les variations de la fonction.,;'sur l'intervalle [0; 3].
4. On rappelle que /(r) correspond à la distance parcourue par le wagon, en km, à l'instant f,
en minute.
Déterminer le nombre de kilomètres parcourus au bout d'une minute. Arrondir le résultat
au dixième.
5. a. La vitesse instantanée du wagon, en kilomètres par minute, à l'instant t, correspond à
l'G)'
En déduire la ütesse instantanée, er kilomètres par minute, du wagon à t = 2 minutes.
Arrondir le résultat au dixième.
b. L objectif des ingénieurs est-il attein t? Iustifier la réponse.
6. Etablir une équation de la tangente 7 à la courbe e au point d'abscisse 2.

Exrnclcr 529 25 minutes


PartieA
eo'r' + 20
On considère la fonction C définie sur l'inte rvalle t5 ; 60] par : C(x) - x
.

l. On désigne par C'la dérivée de la fonction C.


0' l'xe0'Ir --e0'1' - 20.
Montrer que, pour tout r e [5 ; 60], ct(x) =
2. Onconsidère la fonction / définie sur [5; 60] par 1@) =0, 1xe0,l' - eo,r' - ZO.
a. Montrer que la fonction / est strictetnent croissante sur [5; 60].
b. Montrer que l'équation /(x) = 0 possède une unique solution a dans [5; 60].
c. Donnerun encadrement àl'unité de a.
d. En déduire le tableau de signes de f tx) sur [5; 60].
3. En déduire le tableau de variations de C sur [5; G0].
3.4. FONCTION EXPON'ENTIELLE L75

4. En utilisant le tableau de variations précédent, déterminer le nombre de solutions des équa-


tions suivantes :

a. C(x) =2.
b. C(x) = 5.
Partie B
Une entreprise fabrique chaque mois x vélos de course, avec r appafienant à l'intervalle [5 ; 60].
Le coût moyen de fabric:ation, exprimé en milliers d'euros, pour une production de x vélos de
course, est donné par la fonction C définie dans la partieA.
Déterminer le nombre de vélos à produire pour que le coût de fabrication moyen soit minimal.

EXERCICE 530 25 minutes


PartieA
Onconsidèrelafonction/définiesur [0; +oo[par : f (x) =(-+xz +S)e-r+S.
On note € la courbe représentative de la fonction / dans un repère orthogonal.
On note // la fonction d,érivée de la fonction / sur l'intervalle [0 ; +oo[.
l. Démontrerquepourtoutréel xde [0; +æ[, ona://(x) =(4x2 -Bx-5)"-'.
2. Etudier le signe de la fonction // sur l'intervalle [0 ; +oo[.
3. En utilisant la calculurtrice, conjecturer la limite de / en +oo.
4. Dresser le tableau de variation de la foncüon /.
5. Justifier que l'équation /(.x) = 3 admet une unique solution xs dans I'intervalle [0 ; +oo[.
Donner une valeur a;rprochée de .ro à 10-2 près.

Partie B
Une entreprise produit «le la peinture qu'elle vend ensuite. Toute la production est vendue.
Le coût moyen unitaire rie cette production peut être modélisé par la fonction / de la parüe A :
pour .r hectolitres de pr:inture fabriqués (avec x e [0,5 ; 8]), le nombre f @) désigne le coût
moyen unitaire de procluction par hectolitre de peinture, exprimé en centaines d'euros (on
rappelle qu'un hectolitrr-. est égal à 100 litres).
Dans la suite de l'exerci«:e, on utilise ce modèle. On pourra utiliser les résultats de la partie A.
l. Déterminer le coût moyen unitaire de production en euros, arrondi à I'euro près, pour une
production de 500litres de peinture.
2, a. Combien de litrr:s de peinture l'entreprise doit-elle produire pour minimiser le coût
moyen unitaire de production? Quel est alors ce coût, arrondi à I'euro près?
b. Le prix de vente rl'un hectolitre de peinture est fixé à 100 €. A l'aide de la question pré-
cédente, déterminer si l'entreprise peut réaliser des bénéfices.
3. Le prix de vente d'un hectolitre de peinture est fixé à 300 €.
On appelle seuil de rentabilité la quantité à partir de laquelle la production est rentable,
c'est-à-dire qu'elle permet à l'entreprise de réaliser un bénéfice.
Quel est le seuil de rentabilité pour cette entreprise?
176 CHAPITRE3. FONCTIONS

EXERCTcE 531 30minutes


soit / la fonction définie sur [0; 10] par f @'. = (x +2,s) et-0'5x , de courbe représentative e1.

l. a Démontrerque/'(.r) = (-0,5.r-0,z!l)el-o,s*.
b. Etudier le sens de variation de la fonction /.
c. Etablir le tableau de variations de la fonction /.
d. Tracer la courbe ey sur la calculatric e.
2. Soit g la fonction définie sur [0; l0] par É (r) = 0,3x + l, de courbe représentative €,
Soit la fonction h défrnie sur [0;10] par lt(x) = T(x) - g(x).

a. Tracer la courbe e, surla calculatrice (en conservant la courbe e1).


b. Démontrer que pour tout .r e [0;10], h'(x) <0.
c. Dresser le tableau de variations de kL fonction h.
d. En déduire que l'équati on h(x) = 0 a dmet une unique solution que l'on notera a.
e. Donner un encadrement de a d'amlllitude l0-2.

3. Un produit est vendu p euros, 0 ( p( 10. La demande est modélisée par la fonction / et
l'offre par la fonction g.

a. Donner le prix d'équilibre, c'est-à-dire le prix pour lequel l'offre est égale à la demande.
b. Vérifier que, pour un prix de 3, 10 €, si le prix augmente de l7o, la demande diminue de
ITo.

4. La fonction E est définie sur l'intervalle [0;10] par E(x) = *f',?), .En économie, E désigne
Ï(x)
l'élasticité de /.
a. Vérifler que, pour tout .r € [0; lo1, E(:c) = -o'sx2.:oa-zsx .
x+2,5
b. Résoudre l'équation E(x) = -1.
c. Donner une valeur approchée à 10-:| près de la solution.
d. Interpréter ce résultat dans le cadre le l'exercice.

EXERCICE 532 minutes 15


@) = k +\ 1ax + b1e*,
On considère une fonction / déf,nie sur R pr u une expression de la forme f-4
où a, b et k sont des nombres réels que l'orr se propose de déterminer.
Sur la flgure ci-dessous, on peut lire la représentation graphique de la fonction / obtenue sur
l'intervalle [0 ; 3] à l'aide d'un logiciel de trz.cé. On précise que :
o A est le point de la courbe d'abscisse 3,
. Au point A, la courbe admet une tangentr: parallèle à l'axe des abscisses,
. Le point B(0 ; 4) est un point de la courbrr,
. La droite (BC) est tangente à la courbe atL point B, avec C(2;2,5).
3.4. FON CTION EXPON'ENTIELLE t77

I
0
2 3
l. Détermineruneequatiorlaetaaroitel^ao.
2. Donner les valeurs des nombres ,f (0), /'(0) et /'(3).
3. Calculer l'expression de f t (x) en fonction de a, b et k, f t désignant la fonction dérivée de /.
4. Déduire des résultats des questions 2. et 3. les valeurs des réels a, b et k. Vérifier que pour
tout .r réel: f (x) = s t-lni - qe* .

ExERCICE 533 l0 minutes


On considère la fonction / déflnie sur R par /( x) = (ax + b)s*-r * c, où a, b et c sont trois réels
que l'on se propose de dléterminer.
La courbe € représentative de / dans le plan rapporté à un repère orthonormal est représentée
ci-dessous.
. La courbe e passe par le point A(1 ; 5), elle admet la droite D comme tangente en ce point.
. Le point B(0 ; 2) appal'tient à la droite D.
. La courbe € admet égzüement une tangente horizontale au point d'abscisse -].2

o t2
-5 -4 -3 -2
t7B CHAPITRE3. FONCT/ONS

l. a. Préciserlesvaleursde/(1)
"/'(-;)
b. Déterminer le coefficient directeur <[e la droite D. En déduire /,(l)
2. Montrer que, pourtoutréel x, ft(x) = (ax* a+b)ex-r.
( a+b+c = 5
3. Montrer que a, b et cvérifientle système : { a+2b = 0 .

lza+a = 3
Déterminer les valeurs de a, b et c.

EXERCICE 534 lOminutes

On considère la fonction / définie sur N


dont la courbe représentaüve C est tracér: v
ci-contre dans un repère orthonormé. A
On suppose que / forme
est de la
l@) = (b- x)eax où a et b désignent deur
constantes.
\ D
On sait que : \ xi
. Les points A(0; 2) et D(2; 0) appar- \
tiennent à la courbe C. \
. La tangente à la courbe C au point lr I
(-
est parallèle à l'axe des abscisses.

On note //la fonction dérivée de /, définie sur R.

l. Donner les valeurs de f (2) et /'(0).


2. Calculer //(.r).
3. En utilisant les questions précédentes, rnontrer que a. et b sont solutions du système sui-
vant
b-2=0
ab-l = 0
4. Calculer a et b et donner l'expression de /(x)
EXERCICE 535 l5 minutes
On considère les fonctions /,9 et h définies sur R par

f (x) = e-x, g@) =-x+L et h(x) = 1(x) - g(x).


On note 01 la courbe représentative de la lonction / et  la droite représentant la fonction g
dans un repère orthonormé du plan.

l. vérifier, par le calcul, que la tangente à Cy au point d'abscisse 0 est la droite a.


2. a. Montrer que pour tout r e R, h',(x) = I - e-r.
b. Etudier le signe de h'(x) suivant les raleurs de x.
c. En déduire le sens de variation de la [onction h sur R.
3.4, F ONCTION EXPOATENTIEILE 179

3. Enutilisantlesquestionsl.et2.,étudierlapositionrelativedelacourbe€;etdesatangente
au point d'abscisse 0,

EXERCTCE 536 20 minutes


On note /la fonction déflnie pourtout réel rpar ft9. Qx-.1:-:
_\
On note € sa courbe représentative dans un repère orthogonal [O' , , "l ,|.
l. Etude des variations de /
a. Calculerlafonctiondérivée/'delafonction/,puisdémonterque,pourtoutréelx, ft(x)
est du signe de (-2x+3).
b. Dresser le tablearu de variations de la fonction /
2. Représentations graphiques.
a. Déterminer l'abscisse du point d'intersection de la courbe e avec l'axe des abscisses.
b. Déterminer une équation de chacune des tangentes T1 et Tz àla courbe e aux points
3tet--.
d'abscisses -2"Z
c. Tracer T1, T2 etla courbe e dans le repère (o,7,7)
3. a. Vérifierque, pourtoutréel x, f(x) = - lt (x) +2e-x.
b. En déduire une fronction F telle Que F' = .;Ê
€ F est une primitive de /.
EXERCTCE 537 _2 30 minutes
Soit / la fonction déflni,e dur R par l@) = *2rx-r - ^- .
2
l. Tracer la courbe sur une calculatrice.
A l'observation de ce,tte courbe, conjecturer :

a. Le sens de variation de /.
b. La position de la courbe € par rapport à l'axe des abscisses.
2. Première conjecture.
a. Calculer (x) po,ur tout réel x, et l'exprimer à l'aide de la fonction g(x), où g est la fonc-
/'
tion définie sur SR par 8(x) = (x +2)ex-r - l.
b. Etablir le tableau de variations de g (on déterminera les limites à I'aide de la calcula-
trice).
c. Montrer que l'équation g(r) = 0 admet une solution unique dans R que l'on notera a.
d. Montrer que 0,211 < u <0,2L.
e. Déterminer le signe de g(x) en fonction de r.
f. En déduire le signe de f t@).
g. Que penser de la. première conjecture?
3. Deuxième conjecture.
_a3
a. Sachant que g(a) = 0, démontrer que 1(a) =
2@_Z).
180 CIIAPITRE7. FONCTIONS

b. On considère la fonction h définie sr

Etabrir re tabreau de variation o" , , î',îï lÏl îl** ,*ÉAcadrement de r @).


c. Démontrer que, sur ]0; +oo[, l'équalion l(x) = 0 admet une solution unique, que l'on
notera B.
d. Déterminer une valeur approchée dr: B à l0-2 près.
e. Que penser de la deuxième conjecture?
4. Compte-tenu des résultats précédents, tracer la partie de la courbe e sur l'intervalle
l-0,2;0,41avec les unités : I cm pour 0,05 unité en abscisses, cm pour 0,00I unités en
l
ordonnées.

EXERCTCE 538 20 minutes


Une entreprise fabrique des poulies utilisrles dans l'industrie automobile. On suppose que
toute la production est vendue.
IJentreprise peut fabriquer entre 0 et 3 600 poulies par semaine. On note x le nombre de mil-
liers de poulies fabriquées et vendues en ur e semaine. (x varie donc dans l'intervalle [0; 3,6]).
Le bénéûce hebdomadaire est noté B(x), il rrt exprimé en milliers d'euros.
I-objet de cet exercice est d'étudier cette frrnction B. Les partiesA et B peuvent être traitées
indépendamment I'une de l'autre.

Partie A : Etude graphique


15-
14-
13-
L2-
1l -
On a représenté, ci-contre, la fonction l0-
B dans un repère du plan. 9-
8-
Chaque résultat sera donné à cent
poulies près ou à cent euros près sui- 6-
5-
vant les cas. 4-
3-
2-
t:
-l - 0,2 '0,4 1,4 1,6 r,8 2,,0'2;2'2;4
l. Déterminer dans quel intervalle peut va'ier le nombre de poulies pour que le bénéfice soit
supérieur ou égal à 13 000 euros.
2. Quel est le bénéfice maximum enüsageable pour l'entreprise? Pour quel nombre N de pou-
lies fabriquées et vendues semble-t-il être réalisé?

Partie B : Etude théorique


Le bénéflce hebdomadaire noté B(-r), exprirné en milliers d'euros vaut B(x) = -5 + (4- x)ex
l. a. Montrerquepourtoutréelxdel'intr:rvallel= [0;3,6],ona:B'(x) =(3-x)ex.
b. Déterminer le signe de la fonction d( rivée B/ sur l'intervalle 1.
3.4. F ON CTION EXPONIENTIELLE 181

c. Dresser le tableatt de variation de la foncüon B sur l'intervalle 1. On indiquera les valeurs


de la fonction B enx bornes de l'intervalle.
2. u Justifier que l'équaüon B(x) = 13 admet deux solutions .r1 et x2,l'uîe dans l'intervalle
[0 ; 3] l'autre dans I'intervalle [3 ; 3,6].
b. A l'aide de la calculatrice, déterminer une valeur approchée à 0,01 près de chacune des
deux solutions.

EXERCTcE 539 20 minutes


Soit la fonction /, déflnie sur R par fn@) = e-'i oitn est un entier naturel strictement positif.
On appelle e , h courbe représentative de /, dans un repère orthonormé (O, 7, 7).
1. Etablir le tableau de rrariation d" f".
r§- Rappel : u étantune fonction dérivable, de dérivée u' , (eu(x)1' - ut(x1su(x)
2. a.Montrer que la dririvée seconde de /, s'annule pour deux valeurs opposées an et bn. On
note An et B, les points de €n d'abscisses respectives a, etbr.
b. Montrerquequand nvarie dansN*,lespoints AnetBnrestentsurunemêmedroite.
c. Montrer que quand n varie dans N*, les tangentes en An et B, à la courbe e ,, passent
p.u un point fixe que l'on déterminera.
3. Tracer les courbes €r et es. On placera en particulier les points A1, 81, A3 et 83.

EXERCTCE 540 15 minutes


Soit k un réel strictement positif. On considère les fonctions ft déflnies sur R par:
f*@)=x+ke-x.
On note e; la courbe représentative de la fonction ft dans un plan muni d'un repère ortho-
normé.
On a représenté ci-dessous quelques courbes €p pour différentes valeurs de k.

I N IN
I
I \\', NI
I I

\\
I
t \\ t \ Ir /
\ /
\ \ \\\ \.
\ \ \\ N 7
\
\-
=
t v
4--3-2 -l 0 I 2 3 4 5 6 7 I

Pour tout réel k strictement positil la fonction /p admet un minimum sur R. La valeur en la-
quelle ce minimum est artteint est I'abscisse du point noté Ap de la courbe €1. Il semblerait que,
tgz CTIAPITRE3. FONCTIONS

pour tout réel k strictement positif, les poirLts Ak soient alignés.


Est-ce le cas?
rsInfoutile:PourtoutxeRetpourtouty€ R+*:er =y e x=lny,lnlafonctionlogarithme
népérien sera étudiée en terminale.

EXERCICE 54I 15 minutes


Soient / et g les fonctions déflnies sur I'ensemble R des nombres réels par

f @) = ex et 8(x) = e-x.
On note €y la courbe représentaüve de la fc nction / et e, celle de la fonction g dans un repère
orthonormé du plan.
Pour tout réel a, on note M le point de ey d'abscisse a et N le point de e* d'abscisse a.
La tangente en M à €; coupe l'axe des abscisses en P, la tangente en N à e* coupe l'axe des
abscisses en Q.
A l'aide d'un logiciel de géométrie dynamique, on a représenté la situation pour différentes
valeurs de a et on a relevé dans un tableur la longueur du segment [PQ] pour chacune de ces
valeurs de a.

A B
I Abscisse a Longueur PQ
2 -3 2
3 -2,5 2
n
L 4 -2 2
5 - 1,5 2
/ 6 -l 2
I -0,5 2
'/ \ B 0 2
9 0,5 2
10 I 2
-12 =1 x
1l 1,5 2
:
:
t2 2 2
13 2,5 2
l4

Les questions I et 2 peuvent être traitées de manière indépendante.

1. Démontrer que la tangente en M à e1 es t perpendiculaire à la tangente en N à €r.


2. u Que peut-onconjecturer pourlalongueur PQ?
b. Démontrer cette conjecture.
3.4. FONCTION WPON'ENTIELLE 183

EXERCTCE 542 25 minutes


Un protocole de traitemr:nt d'une maladie, chez I'enfant, comporte une perfusion longue durée
d'un médicament adapt,é. La concentration dans le sang du médicament au cours du temps est
modélisée par la fonction C définie sur l'intervalle [0 ; +oo[ par : C(f) =
|F - ,-#t)

. C désigpe la concentration du médicament dans le sang, exprimée en micromole par litre,
. tle temps écoulé depuis le début de la perfusion, exprimé en heures,
. d le débit de la perfusion, exprimé en micromoles par heure,
. artîparamètre réel strictement positif, appelé clairance, exprimé en litres par heure.
Le paramètre a est spécifique à chaque patient.
En médecine, on appelle « plateau » la limite en +oo de la fonction C.

Parüe A: Etude d'un cas particulier

La clairance a d'un certtrin paüent vaut 7, et on choisit un débit d égal à84.


Dans cette partie, la fonr:tion C est donc définie sur [0 ; +oo[ par : C(t) = l2l t- e-#t )
l. Etudier le sens de variation de la fonction C sur [0 ; +oo[.
2. Pour être effrcace, le plateau doit être égal à f 5. Le traitement de ce patient est-il efflcace?
Partie B : Etude de foncrtions
l. Soit / la fonction définie sur l0 ; +oo[ par : f(x) =T - r-*').
(t
Démontrer que, pour tout réel x de I0 ; +oo[, î'(*) ='ÿY,où g est la fonction définie
sur [0; +oo[par:

3x 3- + e- no^
3-
8@) = 4ge-æ^ -1.
2. On donne le tableau de variation de la fonction g :

x 0 +oo
0

ôo

-1
En déduire le sens de variation de la fonction /.
On ne demande pas l,es limites de lafonction f .
3. Montrer que l'équation /(x) = 5,9 admet une unique solution sur l'intervalle [1 ; 80]
En déduire que cette équation admet une unique solution sur l'intervalle l0 ; +oo[.
Donner une valeur alrprochée de cette solution au dixième près.
184 CIIAPITRE3. FONCTTONS

Partie C : Détermination d'un traitement irdéquat

Le but de cette partie est de déterminer, pour un patient donné, la valeur du débit de la perfu-
sion qui permette au traitement d'être efficace, c'est-à-dire au plateau d'être égal à 15.
Au préalable, il faut pouvoir déterminer la r:lairance a de ce patient. À cette fin, on règle proü-
soirement le débit d à105, avant de calculer le débit qui rende le traitement efficace.
On rappelle que la fonction C est définie sur l' intervalle [0 ; +oo[ par :

c(t) =.411- ,-*'1I


a\
l. On cherche à déterminer la clairance a d'un patient. Le débit est proüsoirement réglé à 105.
a. Exprimer en fonction de alaconcerrtration du médicament 6 heures après le début de
la perfusion.
b. Au bout de 6 heures, des analyses p€rmettent de connaître la concentration du médica-
ment dans le sang; elle est égale à 5,9 micromoles par litre.
Déterminer une valeur approchée, iru dixième de litre par heure, de la clairance de ce
patient.
2. Déterminer la valeur du débit d delaperfusion garantissant l'efûcacité du traitement.

EXERCICE 543 20 minutes


/est la fonction définie sur [0; l2l par l@) = 2xe-x .

PartieA
Un logiciel de calcul formel donne les résultats suivants

I Dériver(2xxxexp(-x))
-2 * x * exp(-t) + 2 x exp(-x)
2 Factoriser(-2 * x x exp(-x) + 2 x exp(-x))
2 * (l - x) *. exp(-x)
3 Dériver(2 x (1 -.r) * exp(-x))
2* x* -x)-4* -x)
4 Factoriser(2 x r x exp(-.r) - 4 x exp(-x))
2x(x-2) xexp(-x)

l. Vérifier le résultat de la ligne I donné par le logiciel de calcul formel.

Dans la suite, on pourra utilker les résultats donnés par le logiciel de calcul formel sans les justi-
fier
2. Dresser le tableau des variations de la fo nction / sur l'intervalle [0 ; 12] en le justifiant.
3. Démontrer que l'équation I G) -- 0, 5 ad net detx solutions dans l0; l2).
Donner à l'aide de la calculatrice une valeur approchée au centième de chacune de ces so-
lutions.
3. 4. F ON CTION EXPONENTIELLE 185

Partie B
Le taux d'alcoolémie d'une personne pendant les 12 heures suivant la consommation d'une
certaine quantité d'alcool est modélisé par la fonction / :
. x représente le ternps (exprimé en heures) écoulé depuis la consommation d'alcool;
. f(x) représente le tauxd'alcoolémie (exprimé en g/L) de cette personne.

l. a. Décrire les variatjlons du tatrx d'a]coolémie de cette personne pendant les 12 heures sui-
vant la consommation d'alcool.
b. A quel instant le taux d'alcoolémie de cette personne est-il maximal?
Quelle est alors sil valeur? Arrondir au centième.
2. Le Code de la route interdit toute conduite d'un véhicule lorsque le taux d'alcoolémie est
supérieur ou égal à 0,5 g/L.
Une fois l'alcool consommé, au bout de combien de temps le tarx d'alcoolémie de l'auto-
mobiliste reprend-il une valeur conforme à la législation?

EXERCICE 544 40 minutes


e^ +e -
La fonction cosinus hyperbolique, notée ch, est définie sur R par : chx = ,
ex - e-x
La fonction sinus hlperbolique, notée sh, est définie sur R par : shx = ,
On note € et 3 les courbes représentatives respectives des fonctions ch et sh dans un repère
orthogonal.
l. Etude de la fonction ch
a. Démontrer que l'axe des ordonnées est axe de symétrie de e .
b. Démontrer que pour tout.r réel, chtx = shx.
c. Etudier le sens de variation de la fonction ch sur l'intervalle [0;+oo[.
2. Etude de lafonction sh
iL Démontrer que l'origine du repère est centre de symétrie de E.
b. Démontrer que pour tout .r réel, shtx = chx.
c. Etudier le sens de variation de la fonction sh sur l'intervalle [0; +oo[.
3. Représentations gralphiques
a. Démontrer que la courbe € est au-dessus de la courbe E.
b. Tracerles courbes e et3.
4. Des formules
a- Vérifier que pourtous nombres réels a etb,
ch(a + b) = cha c'hb + sha shb;
sh(a+ b) = sha chb + shb cha.
b. En déduire que pour tout réel x :
ch(2x) = ch2 x + sh2 x et sh(2x) = 2shx chx.
c. Démontrer que pour toutréel x : ch2 x - shz x = l.
186 CHAPITRE3. FONCTIONS

3.5 Foncüons trigonométriqur:s


3.5.1 Pointdecours
Définitions
l. fonction sinus est la fonction qui, à tout réel x, associe sinx.
La
2. La fonction cosinus est la fonction qui, ir tout réel x, associe cos x.
Périodicité: VxeR,sin(x+24)=sin(x) et cos(x+2n)=cos(r)
On dit que les fonctions sinus et cosinus so nt périodiques, de période 2t.

Conséquence : Pour tracer la courbe repré;entative des fonctions sinus et cosinus, il suffrt de
tracer chaque courbe sur un intervalle d'anrplitude 2n,puis de compléter par des translations
successives de vecteur 2ni ot -2nî.

Parité : Vx e R, sin (-x) = - sin (x) el cos (--r) = cos (r).


On dit que la fonction sinus est impaire et lr fonction cosinus est paire.
Conséquence: Dans un repère orthogonal,la courbe de la fonction sinus est symétrique par
rapport à l'origine du repère. La courbe représentative de la fonction cosinus est symétrique
par rapport à l'axe des ordonnées.

Dérivées

Fonction Dérivé:s Intervalle de validité

/(x) = cosx f'@) = -riinx R

/(.r) = sinx /'(t) = cosx R

f @)=cos(ax+b) (alo) f'@) = -asin (ax+b) R

l@) = sin(ax+ b) (alO) f'@) = acos .ax+b) R


3.5. FONCTTONS TP{]GONOMÉTRTQUES t87

3.5.2 E>rercices d'application de coursl


EXERCTCE 545 l0 minutes
Les fonctions suivantes, définies sur un intervalle 1, sont-elles paires?
f. /(x)=cos2x+r2,f=,p. 3. /(x)=.rcos*,.[=R.
2 I - t 7t ltt
(x) = sinrz^ *
2. f
fi,,/= R/{-1;U. 4- T@) = cos3x+
.orr-,
I=
l-itil'
e Rappel : Une fonction est paire si son intervalle de définition l est syrnétrique par rapport à
0 et si pour tout.r e I, f (-x) = f (x).

ExERcrcE 546 l0 minutes


Les fonctions suivantes, définies sur un intervalle 1, sont-elles impaires?
L f(ù=sin2x-2x5,1=R. 3..f(x)=xsinx,f=R.
2x X _ t 1r 1tt
2. f @) = sinx3^* 4. f G) = sin3x- 1=
l-
fi,1=[4tl-2;21. .o.r, +rrl.
e Rappel : Une fonctiorL est impaire si son intervalle de déflnition / est syrnétrique par rapport
à0etsipourtout xeI, "f (-x)=-l@) (ouencore f@)+,f(-x) =0).

EXERCICE 547 l0 minutes


Donner l'ensemble de définition, puis étudier la parité des fonctions suivantes
sinx - cos2 x- xzsin3x
r. l@)=;-:-::j:.
I + COS'.[
3. f@l=#. Xz + I
2. f G) = .r2 cos .tr - 3x3 siin 2x. a. 1(x) = (ex - e- x) sin(2x) .

ExERcrcE 548 l0 minutes


Vérifier que les fonctions suivantes sont périodiques, de période I.
r. /(;)=cos3retr='-?. 3.,f(x)=3cos(r+3)-2sin(4-3x)etT=2n.
3
2. r@)=.ir(;) etr=4n.
a'|.x)=""'(i)-t't(i) etr=r2'
!s Rappel : / est périodique de période T (ou T-périodique) si /(x + T) = 1@)

ExERcIcE 549 l0 minutes


Déterminer la périodicit.é des fonctions suivantes :

r. rG)=.r(#)*"o'(f).
2. r@)=3cos(#) ,,,'(#)
188 CIIAPITRE7. FONCTIONS

EXERCICE 550 l0minutes


Calculer la dérivée des fonctions suivantes, définies et dérivables sur I
L. /(x) = ssg 3xetl=R. 5. /(x) - (2x + 3) cos2x et / = R.
sinx 1 7t fit
2. f(x)=sin (j) o r= m. -- rf(x)=-et1=r--.
6. \--, COSx -- - I 2,
,L
3. f (x) = 3cos (* + 3) - 2sin (4 - 3x) et 1 = R. 7. f @) = xcos x - 2xsinx et 1= R.
xfi xlr \l
s. /(x) =;o.r*.rr_: erl= I
4. /(x) = cos 3 sln n.3nl
3 Jetl=R.
2
)-l' 4l'
EXERCTCE 551 lominutes
l. Etudier la fonction f @) = sin.r sur [0;z]
2. Tracer la courbe représentative de la fonction sur [0;z]. /
3. /
Sachant que est impaire et2n-périod que, tracer la courbe pour -32 ( x( 32.

EXERcICE 552 l5 minutes


l. Etudier la fonction f (x) = cos.x sur [0; z] ,
2. Ttacer la courbe représentative de la fonction / sur [0;z].
3. Sachant que / est pafue et2n-périodiqu e, tracer la courbe pour -32 ( x( 32.

EXERCTCE 553 l0 minutes


Soitdetxfonctions I etg définiessurRpa:: f(x)=2cosx et g(.r) =cos2.trreprésentéesdans
le repère ci-dessous.
Associer chaque courbe à sa fonction en justifiant la réponse.

42,
l2

,/ v tt v

EXERCTCE 554 l0 minutes


Les deux courbes suivantes sont les courberi représentatives de fonctions de la forme
f @) = asinox. Retrouver a eta dans chaqrre cas.

)ta ,]L IL é IL J L .|
i\
-:
3.5. FONCTTONS TRTGONOMÉTRTQUES 189

ExERCICE 555 lOminutes


Les deux courbes suivantes sont les courbes représentatives de fonctions de la forme
f @) = acosax. Retrouvr:r a et ar dans chaque cas.

\
t.tL vL IL tf, 3 r[ +

3.5.3 Enercices d'approfondissement

EXERCTCE 556 l0 minutes


Soit la fonction / définie sur R par l@) = cos2x + 2 sin r.
l. Démontrer que la fonction / est de période 2n. En déduire une restriction de l'intervalle
d'étude de la fonction.
/ n est ni paire, ni impaire.
2. Vérifier que la fonction
3. Démontrer que f' @) =4cosx (i - t*4 En déduire les variations de /.
4. Déterminer une équation de la tangente T à la courbe représentative de / au point d'abs-
cisse 0.

EXERCICE 557 15 minutes


Soit la fonction / définie sur R par I @) = sin x (7 + cos (2x))
l. Comparer lÇx) et/(.r).
2. Comparer f (n - x) et 16).
3. Montrer que /'(x) = 2l cos x + 6 cos3 x. En déduire les variations de / sur l'intervalle
lr'il
4. Représenter la courbr: représentative de / sur .
[0; ;]
5. En utilisant les résult;ats des questions l.et2., construire la courbe sur [-z;z].
EXERCICE 558 lsminutes
Soit / la fonction définier sur R par : f (x) = cos(2x) - x.
l. Déterminer la dérivée de /.
2. Dresser le tableau de variation de / sur
ltril.
3. Montrer que l'équation (E) : cos (2x) = r admet une unique solution a dans l'intervalle
I fi'l
lo'rl'
190 CIIAPITRE3. FONCTIONS

4. Déterminer une valeur approchée au centième par défaut de cette solution.

Exsncrcn 559 15 minutes


Soit la fonction / définie sur R par 1@) = c,)sr - cos2 r.
1. Etudier la parité et la périodicité de /.
2. Etudier les variations de / sur [0; z].
3. Construire sa courbe représentaüve € p rur 0 ( -r( z.
4. Déduire de la question l.la courbe I pour -2n { x {2n
ExERcIcE 560 15 minutes
Soit / la fonction définie sur R par /(x) = (:os3r),. (cos3 x).
l. Etudier la parité et la périodicité de /.
2. Exprimer f (n - x) en foncüon de /(x)
1T
3. Démontrer que f'@) = -3cos2 xsin4x. lln déduire les variations de / sur 0
I 2
4. Construire sa courbe représentative 0 p rur 0 ( -
"i.{ x {2n.
5. Déduire des questions l. et 2. Ia courbe e pour -2n

ExERcIcE 56I 20minutes


Déterminer la dérivée de la fonction /, définie et dérivable sur R dans les cas suivants :
l. f(x)=cosxsinx +. f(x)=crs(2x+1) 7. f(x)= sins (2-zx)
sinx 5. /(x) =4r-cosx B. /(x) = xcos(2x)
2. t(ù=
sinx+ 2 cosx sin (2x) + 2
3. /(x) - (sinx)3 6' /(x) =;rr*3 9' /(r)=
cos(2x) +2
-
EXERCICE 562 15 minutes
Soit / la fonction déflnie par f (x)= tan.r =
l. Déterminer l'ensemble de déflnition de la "o.rW.
fonction f.
2. Etudier la parité et la périodicité de la fonction /.
3. Conjecturer à l'aide de la calculatrice les limites atxbornes de 1=
|l-itil
z',2t
l,
4. Démontrer que sur 1, -//(x) = = | +tar.2 x.
cosz r
5. En déduire les variations de /.
6. Tracer la courbe représentative de / str [-2n;2n1.

ExERcIcE 563 l0 minutes


Soit la fonction / définie sur R par I @) =c,rs3 x - |2 "o, *.
l. Etudier la parité et la périodicité de /.
2. Etudier les variations de / sur [0;z].
3. Construire sa courbe représentative € p,rur 0 ( x ( z.
4. Déduire de la question l.la courbe e pour -2n { x {2n
3.5. FONCTTONS TNGON OMÉTRTQUES 191

EXERCICE 564 15 minutes

l. Démontrer que uqltn@ =r


",lr$9§TE = o.
2. En déduire les limites suivantes :

/cos(2x)-1\
a. liml
r-o\ x ) I
,-o\[2sinx-5'r]
b. ,'.,' Hrr l'3ti"]
4x / ". ,-o\ x / d. ,-o\
tirrr Itit3''l
x )
EXERCICE 565 l0 minutes
Soit la fonction / définlie sur R par |U) = sin6x+cos6.t-Âcos(4r), où rt est une constante
réelle.
l. Calculer la dérivée de f.
2. Vérifierque, pour L ==1,/ est constante.

EXERCICE 566 20 minutes

1. Démonstration.
sinh
Prérequis,l\ h =1.
. sin (a + b) = sila"os b + sinbcosa.
. cos (a + b) = cos acos b - sin a sin b.
.1-coso =2sin2!.
2

a. a et h désignent des nombres réels, avec h I 0.


h
sin(a+ h)-sina sinT h
Montrer que x cos a1--:
h h 2

b. Etudier la dérivalbili té en aae ta forltion sinus et déduire que, Vx € R, sin'x = cos.r


2. Application
Soit / la fonction délinie sur ln;2tr) par : f (x)= :i"i
x-7t
a. Conjecturer à l'aide de la calculatrice, la limite de /(x) quand x tend vers z.
b. Utiliser la question l. pour démontrer cette conjecture.

EXERCICE 567 lO minutes


1. Exprimer sin
?.i) en fonction de cosx.
2. Exprimer cos
F.i) en fonction de sinx.
3. Sachant que sin'x cos.r en déduire la dérivée de
= cos x.

EXERCICE 568 2Ominutes


sinx
Soit la fonction / définie par /(x) = --------------
cos .r + sin r
L92 CHAPITRES. FONCTIONS

l. Déterminerl'ensemble de définition de f.
2. Montrer que / est périodique, de période z.
3. Etudierles variations de / *, ]-i,i I
7t 3n
4. Construire sa courbe représentative e pour
4 4

EXERCTcE 569 l0minutes


soit / une fonction définie sur R par f @) = I@- 3) I @ +3) et ne s'annulant pas sur R.
Démontrer que / est l8-périodique.

EXERCTcE 570 lO minutes


soit / une fonction définie sur R par f Q) = T @ - l) I @ + 1) et ne s'annulant pas sur R.
Déterminer la période de /.

EXERCICE 57I 2Ominutes


Soit la fonction / définie sur R par /(x) = sir2 x + cos3 x.
l. Etudier la parité et la périodicité de /. Err déduire l'intervalle d'étude de /.
2. Etudier les variations de / sur l'intervalle lD;trl.
3. Représenter la courbe représentaüve de f sur [0; z].
4. En utilisant les résultats de la question I , construire la courbe sur [-32;3n].

EXERCICE 572 2Ominutes


Soitlafonction/déflniepar/(x)=
I *l.
cos.I sln.r
l. Déterminer l'ensemble de définition de .f.
2. Exprime r f (x + 2n), f @ + n) f (i- r) fonction de /(x)
", ".,
En déduire l'intervalle d'étude de /.
(sin 'r - cos r) 1 + sin x cos x)
(
3. Démontrer que /'(x) -
srn- xcos2 J
En déduire les variations de / ,,r. ]o; iloli,"l.
4. Représenter la courbe représentative de f r"r
5.
]0, f I
En uülisant les résultats de la question 2,, construire la courbe sur l-2n;2n1.
"li,"l
EXERCICE 573 2Ominutes
r)
Soitlafonction/définie par l@)= # 2x)
1. Déterminer l'ensemble de définition de " 1.
2. Etudier la parité et la périodicité de /.
3. Exprimer f (n - x) en fonction de /(x). Er r déduire I'intervalle d'étude de /
x + c\
r)
4. Démontrer que 1' (x)'&) -
=-sinx(4co-s2
2cos2 x
En déduire les variations de / sur l'inten'all " lotil
3. 5. F ONCTIONS TÀTGONOMÉTRIQUES 193

5. Représenter la courbr: représentative de / sur [0; ; ] .


6. En utilisant les résultats des questions l. et 2., construire la courbe sur l-2n;2nl

ExBnctcr 574 20minutes


sinx+cosx
Soit la fonction / déflnie par f (x) =
,irr, _
l. Déterminerl'ensemtrle de définition de "o., /.
2. Etudier la périodicité de f . En déduire l'intervalle d'étude de /.
3. Etudier les variations de / sur l'intervanu" l-11,1
I 4' 4l'[.
4. Représenter la courb,e représentative de / *r ]
- i' i ]
5. En utilisant les résultats de la question 2., construire la courbe sur l-2n;2nl

EXERCICE 575 20 minutes


Soit la fonction / définie sur R par f (x) = sin x + cos.r + sin x cos x.

l. Etudier la périodicité de /.
t 7r\
2. Vérifierque pourtout.re R, cosx+sinx = VZsin[x+;J.
3. Etudier les variationsr de / sur I'intervalle l0; 2nl.
4. Représenter la courbe représentative de / sur [0 ; 2z].
5. En utilisant les résultats de la question 1., construire la courbe sur l-2n;2n)

EXERCICE 576 15 minutes


soit la fonction / définir-. .r, [-],0[ "lo,i[ nar /(x) = #ffi
Etudier les variations de / sur l'intervall
" l-irol")or|f
ExERcIcE 577 15 minutes
Soit les fonctions / et g définies sur R par /(x) = sinxe-x et g(x) = e-x.
l.Vérifler que pour tout réel .r, cos.tr - sin r = 12 cos(- .
i).
2. Etudier les variations; de / sur R.
3. Démontrer que pour tout.r réel, -g(r) ( /(x) ( g(x).
4. Résoudre les équations /(x) = g(.r) et f 6) = -g(x).
5. Tlacer les courbes représentatives des fonctions 1, g et - g.

EXERCICB 578 l5 minutes


Soit les fonctions / et g définies sur R par /(x) = cos.re-' et g(x) = e-x
ît
1. Vérifier que pour tou.t réel r, cos.tr + sin.r = t/Zcos( x--
4)
2. Etudier les variationri de / sur R.
3. Démontrerquepoütout xréel, -g(x) (/(x) (S(x)
4. Résoudre les équations /(x) = g(x) et 1@) = -g(r).
194 CIIAPITRE?. FONCTIONS

5. Tracer les courbes représentatives des fc nctions


l, g et -g
EXERCICE 579 2O minutes
Soit la fonction / déflnie sur R par f @) = nx-2sinx et € sa courbe représentative dans un
repère orthogonal (o, 7, 7)
l. Etudier la parité de /.
2. Calculer ,f'(x) puis étudier les variations de /, sur [0;z].
3. Etudier les variation de / sur [0; z].
4. Tracer la courbe e sur [0;z] puis sur [-n nl.
5. Exprimer f (x + 2n) en fonction de /(x). En déduire la construction de e sur R.

Exrncrcr 580 lS minutes


-3
Soientfi et lz deux fonctions définies sur R par fi ( x) = x -sin x et fz@) = x -
; - sin x.
l. Etudier les variations de fi sur R.
2. Etudier les variations de /2 sur R.

3. En déduire que pour tout x)0, x-f; a'.rr, * ,.


4. Donner un encadrement de sin0,0l. En déduire une valeur approchée à l0-2 de sinO,0l.

E*ER.ICE 5Bl
- x2rsTninutes
Soientfiet/2detxfoncüonsdéfiniessurRparfi(*l=I-î-cosxetf2@l=t-î+L-cos.r.
12
l. Etudier les variations de fi sur R.
2. Etudier les variations de /2 sur R.

3. Endéduirequepourtout.re R,I-f; a.or, *-+.*


4. Donnerunencadrementdecos0,0l.Endéduireunevaleurapprochéeà10-5decos0,01.

EXERCICE 582 20minutes


Soit (o; oî,oË)un repère orthonormé dti
plan. M est un point du quart de cercle drr
centre O et de rayon l.
La tangente au quart de cercle en M couptr
(OA) en C et (OB) en D.
On recherche la position du point M ren.
dant la longueur CD minimale.
On pose x = OA OM o A

l. Sur quel intervalle varie x?


2. Démontrer que CD = OC xOD puis que CD cosxsinx= sin, 'r= ..
(2.r)
3. Soit / la fonction définie ,r, ]o; ilr* I @) = # Déterminer /,(x)
3.5. FONCTTONS TRIGON OMÉTRIQUES r95

4. Démontrer que / adrnet un minimum. Quel est ce minimum?

EXERCICE 583: COURBI] PANAMÉTRÉE 20minutes


Soient x et y deuxfonctions définies sur R par r(f ) = cos t et y(t) = 3sin t.
1. Etudier ta parité et la périodicité des fonctions xety.
2. Etudier les variations de la fonction *
"",lOrl
3. Etudier les variations de la fonction y t"t [o; ]
4. Soit I l'ensemble des points M(t) de coordonnées (x(r);y(r)).
Calculerles coordonnées de M(r) pour t = O, t =l, t =I,, =! ü s =!.
Placer les points danrs un repère orthonormé et tracer l'allure de f sur .
[0; ; ]
5. Déterminer les coorclonnées de M(-t) et M(fi - f). En déduire les éléments de symétrie de
f.
6. Tracer l'allure de I str R.

ExERcrcE 584 : Counnn peneùrÉrnÉs 20 minutes


Soient x et y deux fonctions déflnies sur R par x(t) = çst2s et y(t) = sin3/.
1. Etudier la parité et la périodicité des fonctions x et y.
2. Etudier les variationsi de la fonction x sur [0; z].
3. Etudier les variationsi de la fonction y sur [0;z].
4. Soit I I'ensemble desi points M(t) de coordonnées (x(r);y(r)).
Calculer les coordonnées de M(f) pour t = 0, t =1, , =I, , =I, , =T, , ='*, , =T,
5n
t= et t = n. Placer les points dans un repère orthonormé et tracerl'allure de f sur [0;z].
*6
5. Déterminer les coorclonnées de M(-t). En déduire un élément de symétrie de I.
6. Tracer l'allure de I sur R.

EXERCICE 585 3Ominutes


Un publicitaire souhaite imprimer le logo ci-dessous sur un T-shirt

Il dessine ce logo à l'aide des courbes de deuxfonctions / et g définies sur R par :

f(x)= e-'(-cosx+sinx+1) et g(x) =-e-xcosx.


On admet que les fonctions / et g sont dérivables sur R.
I96 CIIAPITRE7. FONCTIONS

l. Iustifier que, pour tout .r e R : -e-r ( /( r) ( 3e-r.


2. En utilisant la calculatrice, conjecturer lr limite de / en +æ.
3. Démontrer que, pour tout -r e R, /'(x) = e-x(2cosx- l) où f, est la fonction dérivée
4. Dans cette question, on étudie la fonctic,n / sur l,intervalle l-n ; nl.
de /.
tL Déterminer le signe de f'@) pour r lppartenant à l'intervalle l-t ; nl.
b. En déduire les variations de sur / [-z ; z].
5. Etudier la position relative de la courbe e1 par rapport à la courbe e, sur R. En déduire la
courbe e, sur le logo.

EXERCTCE 586 4O minutes


Dans cet exercice, on s'intéresse au volume d'une ampoule basse consommaüon.
ParüeA: Modélisation de la forme de l'ampoule
muni d'un reoère orthonormé [O, î ,l).
Le plan est
on considère les points Àf-, , 1), B(0; tl, è:+; 3), D(7; 0), E(4 ; -3), F(o ; -I) et G(-1 ; -l).
On modélise la secüon de l'ampoule par urr plan passant par son axe de révolution à I'aide de
la figure ci-dessous :

A B-. \
\
l D
o
I I
( I F-\,
/
\.E

La partie de la courbe située au-dessus de l'axe des abscisses se décompose de la manière sui-
vante:
. la portion située entre les points A et B est.la représentation graphique de la fonction
constante h définie sur l'intervalle [- t ; 0] par h(x) = 1;
. la portion située entre les points B et I est la représentation graphique d'une fonction /
définie sur l'intervalle t0;41 par f (x) = a+bsin(c*l*),où a, b et c sont des réels non
nuls fixés et où le réel c appartient à l'intervalle lO; fr);
. la portion située entre les points C et l) est un quart de cercle de diamètre [CE].

La partie de la courbe située en-dessous dr: I'axe des abscisses est obtenue par symétrie par
rapport à l'axe des abscisses.

l. a On appelle /' la fonction dérivée de la fonction /. Pour tout réel x de l'intervalle [0; 4],
déterminer /'(x).
r97
3. s. F ON CTTONS TnrGONoMÉTRTQUES

la fonc-
on impose que les tangentes aux points B et c à la représentation graphique de
b.
tion / soient parallèles à l'axe des abscisses. Déterminer la valeur du réel c'
2. Déterminer les réels a etb'
Partie B : Approximation du volume de Pampoule
Par rotation de la figun: précédente autour de I'axe des abscisses, on obtient
un modèle de
l'ampoule.
Afln d,en calculer le volume, on la décompose en trois parties comme illustré ci-dessous
:

A B

G F

E
Vue dans le plan (BCE)

On rappelle que :

. le volume d'un cl,lindre est donné par la formule nr2 h otr r est le rayon du disque de base
et h est la hauteur;

. le volume d'une boule de rayon r est donné par la formurclof .

on admet également que, pour tout réel , a"t'itt"'*utte [0; 4], fl1=2- cos(f;x).
Soit O'le milieu du segment [CE].

l. Calculer le volume clu cylindre de section le rectangle ABFG.


2. Calculer le volume cle la demi-sphère de section le demi disque de diamètre [CE].
3. Pour approcher le volume du solide de section la zone grisée BCEE on partage le segment
[OO'l en n segments de même longueur 1 puis on construit z cylindres de même hauteur
n
4
n
a. Cas particulier : dans cette question uniquement on choisit z = 5.
Calculer le volume du troisième cylindre, grisé dans les figures ci-après, puis en donner
la valeur arrondie à l0-2.
l98
CHAPITRE 3. FONCrIONS

B
Ë tl.r:
l Ëi li. I D
o o'
F i,

Vue dans te pt# fncnl Vue dans l'espace


b. Cas général : dans cette question, z rlésigne un entier naturel quelconque
non nul.
On approche le volume du solide d-'section BCEF par la somme des volumes des z
cylindres ainsi créés en choisissant une valeur de n suffisamment grande.
Compléter l'algorithme suivant de sor:te qu'à Ia fin de son exécution, la variable ÿ conüenne
la somme des volumes des n ryIindns créés lorsque l'on saisit n.

I ÿ._0
2 Pourkiüantde...à
3 lÿ *-...
4 FinPour

EXERCTcE s8z 30 minutes


Un lapin désire traverser une route de 4 mèû'es de largeur. Un camion, occupant toute la route,
arrive à sa rencontre à la vitesse de 60 km/h. Le lapin décide au dernier moment de traverser,
alors que le camion nest plus qu'à 7 mètrer; de lui. Son démarrage est foudroyant et on sup-
pose qu'il effectue la traversée en ligne dro. te au maximum de ses possibilités, c'est-à-dire à
...30km/h!
Lavant du camion est représenté par le segnrent [cc'] sur le schéma ci-dessous.
Le lapin part du pointA en direction de D.
Cette direction est repéréeparl'angle 0 = B7D avec 0 <0 <! (en radians).
CIAL

4m 0
7m
CBD
l. Déterminer les distances AD et CD en fonction de 0 et les temps \ et t2mis par le lapin et le
camion pour p{ucourir respectivement ler distancesAD et CD.
7L
2. Onpose /(0) = - +2tNt0 -
""* la route avant le passage du camion si et seulement si
Montrer que le lapin aura traversé
1@) >o'
199
3.5. FONCTTONS TRIGONOMETRTQUES

3. Conclure.

ls Rappel : La fonction .r
- tan.r est dérivabl" ,r. [O
, îl"a pour dérivée (tanx)/ =
.h
30 minutes
Exnnclcr 588

Lors d'un match de rug;by, un joueur doit


Terrain vu de dessus
transformer un essai qui a été marqué au
point E (voir figure ci-contre) situé à l'ex-
térieur du segment [ABI. 0) (ü
La transformation consiste à taper le bal- (Ë
L
lr
0)
lon par un coup de pied depuis un point T \o)
que le joueur a le droit de choisir n importe
B t H

t\
A 0) 0)
oir sur le segment tEM'l perpendiculaire à bo H
la droite (AB) sauf en E. Latransformation Fl
est réussie si le ballon 'passe entre les po-
\rT Fl

E M
teaux repérés par les points A et B sur la î
flgure.
pour maximiser ses ch:mces de réussite, le joueur tente de déterminer la position du point I
qui rend l'angle frB te plus grand possible.
Lebut de cet exercice est donc de rechercher s'il existe une position du point T sur le segment
[EM] pour laquelle l'angle -â18 est maximum et, si c'est le cas, de déterminer une valeur
ap-
prochée de cet angle.
Dans toute la suite, on lnote x la longueur EI, qu'on cherche à déterminer.

Les dimensions du terrain sont les suivantes : EM = 50 m, EA =25 met AB = 5,6 m ' On note
o la mesure en radian de l'angle ÉîÀ, pla mesure en radian de l'angle ÉTB etT la mesure en
radian de I'angle Z7B.

l. En utilisant les triarigles rectangle s ET A et ET B ainsi que les longueurs fournies, exprimer
tana et tanP en fonction de x.
La fonction tangent,e est définie sur l'intervall
")0, i[ Pur,ur, =
H.
2. Montrer que la fonction tan est strictement croissante sur l'intervall" lO , i I
J 2L
S. Langle fB admetune mesure ï appartenant à l'intervall ")0, i[, résultat admis ici, que
I'on peut observer sur la figure,
tana-tanb
On admet que, pour tous réels a et b del'intervalle lo, b) =
il,tan(a- l+t"""rt""b
Montrerquetanl=
- I'u'
+765'
x2
4. lJangle ffB estmarimum lorsque sa mesure T est maximale. Montrer que cela correspond
à un minimum sur I'intervalle l0; 501 de la fonction / déflnie par : /(x) = x+
-.
2OO CHAPITRE3. FONCTIONS

Montrer qu'il existe une unique valeur cle x pour laquelle l'angle ZD
est maximum et dé-
terminer cette valeur de x au mètre pràr ainsi qu'une mesure àe l'angle
près.
frB a0,01 radian

EXERCICE 589
15 minutes
Un mouvement rectiligne est défini par la kri horaire x(t)
= çssz y,

l. Montrer qu'il s'agit d'un mouvement vibratoire simple.


rs Un mouvement rectiligne est dit übratoire simple
si sa Ioi horaire est de la forme
r(r) - Acos (at + tp) + a.
x6 est le centre et,4
l'amplitude du mou\ement.
2. En déterminer le centre et la période du nouvement.
3. Déterminerla position du mobile à l,instant / = 0.
4. Etudier les variations de la ütesse et de l'accélération du mobile.
r§ Rappel : la vitesse correspond à la dérivée de la loi
horaire, l'accélération à la dérivée de
la vitesse.

EXERCICE 590
15 minutes
un mouvement rectiligne est défini par horaire x(ù = vE cos fi r + sin rr,
ra lo i
-I
l. Montrer qu'il s'agit d'un mouvement übr.atoire simple.
2. En déterminer le centre et la période du rnouvement.
3. Déterminer la position du mobile à l'inst mt f = 0.
4. Etudier les variations de la ütesse et de l'rlccélération du mobile.

3.6 Préparer l'examen


Exsncrce 59f : eCM 20minutes

l. Soit / une fonction définie et dérivable srr l,intervalle l-l;21.


On note // sa foncüon dérivée.
Le tableau de variation de / est donné ci-dessous.

I
x I z 2

Variation 4

de,f
-3/
Parmi les quatre affirmations suivantes, lz.quelle est correcte?
3.6. PREPARERI:EXAMEN 201

I
a. f(0)=,
b. I-équation /(x) = -2admetune solution
c. "r lr1) oositif
\4) "*
d. La représentationLgraphique de / est un segment de droite.

2. Pour la fonction / der la question l, parmi les quatre tableaux suivants, lequel est correct?

a. C.

x -l 2 JT

signe de /'(x) + signe de /'(r) +0


b. d.
t x
x -I L2 ') -1 2
signe de /'(x) 0+ signe de (x)

3. Soit g la fonction dérfinie sur R par g(r) = x2(2x + 1). Parmi les affrrmations suivantes, la-
quelle est correcte?
a- g'(x) =2f + x2 c. {@) =6x2 +2x
b. g'(x)=Ax d. g'{x) =2x2+2.
EXERCICE 592 2O minutes
Une entreprise fabriquer chaque jour des rouleaux de tissu en coton.
La production quotidienne varie entre I et 10 kilomètres de tissu.
On note x la production de tissu en kilomètres.
Le coût moyen de production d'un kilomètre de tissu, en euros, pour r kilomètres produits, est
ls.f-l2o*+500x+750
donné par la fonction / définie sur [ ; 10] par 1@) =_
l. Calculer le coût moyen de production d'un kilomètre de tissu lorsque l'entreprise fabrique
3 kilomètres de tissu.
2. On admet que / est rIérivable sur [1 ; l0] et on note f' sa fonction dérivée.

Démontrer que pour tout réel appartenantà [l ; 10], 1' @) =3O#


- L2Ox2 -750
.
x2
3. Vérifier que x3 - 4x2 -25 = (x - g(xz +.r+ 5).
4. En déduire le tableau de variaüon de / sur [1 ; 10].
5. Déterminer le nomtrre de kilomètres de tissu à fabriquer pour que le coût moyen de pro-
duction d'un kilomètre soit minimal, ainsi que la valeur de ce coût minimal.

ExencIcp 593 2O minutes


Les trois parties de l'exercice sont inüpendantes
PartieA
On a tracé dans le repère ci-dessous les représentations graphiques e1 et €g de deux fonctions
/ et g définies sur l'intervalle [-3 ; 9].
202 CIIAPITRE7. FONCTIONS

I
La droite est la tangente à la courbe représentative de la fonction
/ au point M(f ; 6).
La droite 7 passe parle point de coordonn(res (-2 ; 0).

Répondre aux questions suivantes par lecture graphique sans justification

l. Résoudre l'inéquation f @) > 0 sur l'intervalle [-3 ; 9].


2. Donner les solutions de l'équatioî 1@) == g(r) sur l'intervalle [-3 ; 9l
3. Déterminer le coefficient directeur de la langente T.
Partie B
Pour chacune des trois affrrmations, dire si slle est waie ou fausse. Chaque réponse dewa être
justifiée.
On étudie une fonction h définie sur l'inten'alle [-15 ; 20].
On donne ci-dessous le tableau de signe de sa fonction dérivée ht .

Valeur de x -15 -5 4 20

Signe de h'(.r) + 0 0+
De plus, on sait que h(-5) =20 et h(4) =2.
Affirmation I : La fonction h est croissante ;ur l'intervalle 14;201.
Affirmation 2 : IJéquation réduite de la tan3ente à la représentation graphique de la fonction
h au point d'abscisse x = -7 est y - -3-r + 5.
Affirmation 3 | ht(3) est négatif.
I:WAM:EN 203
3.6. PRÉ,PARER

Partie C

on considère Ia fonctio n B définie sur l'intervalte [-5 ; 5] par B (x) = f + 4x2 - 3x' on note B/ la
fonction dérivée de B.
l. Pour -r appartenant ià l'intervalle [-5 ; 5], déterminer B'(x).
2. Résoudre, sur l'intervalle [-5 ; 5], l'équation 3x2 + 8x - 3 = 0.
3. En déduire le tableap de variation de la fonction B sur l'intervalle [-5 ; 5].

EXERCTCE 594 20 minutes


Pour chacune des cinq affirmations, dire si elle est waie ou fausse. Chaque réponse dewa être
justifiée.
La courbe € ci-dessous est la représentation graphique dans un repère orthonormé d'une fonc-
tion / définie et dérivable sur l'intervalle [-9 ; 3]. On note /' sa foncüon dérivée.
La droite T représente la tangente à la courbe représentative de / au point d'abscisse 0.
On admet que Ia droitr: T passe par les points A et B de coordonnées respectives (l ; -l) et
(-4;2).

l. I- /(r) = 0, d'inconnue .r, admet exactement une solution dans l'intervalle [-g ; 3]
équation
2. tiéquation f'(x) = 0, d'inconnue r, admet exactement deux solutions dans l'intervalle
[-e; 3].
3. /'(o) = -0,6.
4. Léquation réduite de la tangente T est ÿ = 3x - L

5. La dérivée de / e,st positive sur [ ; 2].


204 CITAPITRE?. FONCTIONS

EXERCICE 595
20 minutes
PartieA

\ v \ \ I I r) ^ I

o ù I \ ,) r o
v I
I

Courbe de fi Courbe de /2 Courbe de /3 Courbe de /a


Les courbes ci-dessus représentent quatre lbnctions ft, fz, fs et 1+ définies et dérivables sur
l-2; rl.
l. On donne ci-dessous les tableaux de signes de ces fonctions.

x l, -l I x t, -l I
Signe de la forr"tionl 0+0 Signe de la a""O"rl +0+0
Tableau a Tableaub

x t 2 -1 I x I 2 -1 I
Signe de la for"tiorrl 0 0 sicne de la foncüonl +0 0

Tableauc Tableaud
Compléter le tableau suivant à l'aide de lir lettre a, b, c ou d qui conüent
Fonction fi fz fs f+
Tableau de
signes
2. On ces

I I
x -2 -l 3 1 x 2 2 I
Variations

Tableau a
,/\r/
t /ariations

Tableau b
\,/

x -2 -1 I3 I x 2 I2 1

Variaüons

Tableauc
\,/\
t /ariations

Tableaud
,/\

Compléter le tableau suivant à l'aide de lir lettre a, b, c ou d qui conüent :


3.6. PRÉPARERI:Fj{AMEN 205

Fonction ft fz fs ï4
Tableau de va-
riations

3. On donne ci-dessousi les tableatrx de signes des dérivées de ces fonctions.

I,
x -2 -1 1
2 I x l, -1 t
iigne de la dérivée + 0 +0 Signe de la acrreel 0 -0 +

Tableau a Tableau b

I3 I
x t 2 -l 1 x -2 -l 3
I
sisne de la dérivéel 0 +0 Signe de la dérivée +0 0+
Tableauc Tableaud
Compléter le tableatr suivant à l'aide de la lettre a, b, c ou d qui convient :

Fonction ft fz fs îs
Tableau de
signes des
dérivées

Partie B

Dans cette partie, on considère la fonction g, déflnie sur [-2 ; 1] par : g(x) = (1 - x) x (x + l)2
1. Vérifier que g(r) = -.r3 - x2 + x+L.
2. Déterminerladérivéie g' de g.
Vérifier que g'(x) = (x + l) (1 - 3x).
3. Etudier le signe de g' sur l-2; l).
En déduire le tableau de variations de g.
4. EnfaitlafonctionS,estl'unedesquatrefonctions fr, lz, fsouf+delapartieA.
Quelle est cette fonction? Iustifier votre réponse.

EXERCICE 596 20minutes


Soient les fonctions / et g définies sur [0; 22] par

l'@) =O,O5x2 -2x+20,35 et g(x) = 0,7x+3,9.


Les deux fonctions sont représentées ci-dessous.
206 CIIAPITRE3. FONCTIONS

20

l8
l6
t4
t2
l0
I
6

0
0 l 2 3 4 5 6 7 I I 10111213141516171819202t22

Partie A : lectures graphiques


l. Par lecture graphique, donner l'image de 3 par la fonction /.
2. A l'aide du graphique, donner une valeur approchée des coordonnées du point d'intersec-
tion des deux courbes.
Partie B : calculs
l. a. Montrer que l'équation /(x) = g(r) est équivalente à l'équation suivante

(E): O 05x2 -2,7x+ 16,45 = 0.

b. Résoudre l'équation (E).


c. En déduire les coordonnées du poirrt d'intersection des deux courbes sur l'intervalle
lo;22).
2.u Montrer que la fonction dérivée ft delafonction / est définie par ft(x) = 0,lr - 2 pour
tout .r appartenant à l0 ; 221.
b. Etudier le signe de la dérivée /' sur l' intervalle l0;221.
c. Dresser le tableau de variations de la fonction / sur l'intervalle [O;22].

Exrncrcn 597 20 minutes


Une entreprise fabrique et vend un produil désinfectant liquide. Chaque jour, elle fabrique x
hectolitres de désinfecftmt avec .x compris entre 0 et 12. On considère que l'entreprise vend
toute sa production.
Le coût de fabrication, en dizaine d'euros, de x hectolitres de ce produit est modélisé par la
fonction C déflnie sur l'intervalle [0 ; 12].
Le chiffre d'affaires pour la vente de x hectolitres de produit est R(.r), exprimé en dizaines d'eu-
ros.
Dans un repère orthogonal du plan, on a trrLcé les représentations graphiques des fonctions C
et R.
3,6. PRÉPARERI:MAM:EN 207

ttrNl!ll il t

*r*-.1 _l_!*i*_i*J*1_ *t*


,t000 Nlllll§i î-r
]LBOO
_{_J--r*l.-L-l--.i*l* I_L
til tt

rt600 -t* *.t * + * + * l"* -t* --{ * 4 *.i- * "-t
tiilt§ill I
§ù 1400 -t*T*r-T-*r*§*r-T l* f
L
o
il§t{iT
*r*T*-I-ï-*T*r*T *t- *t I I
1200 T
§
1000 *t* t*-i.*l_*L I L i
_i
ttxli I i I t I

§ 800 -{ * -{. L
-",t J* _L -t- J
*t* -"t * + À - h- -l*
I I § I
ô
è 600 -È-l-"- -t* -..f

ll tt I tt
*ï-r *t* T
I I
400 r-r" T
-l- *t
I I
200
0
0 I 234567BI 1011
1. On considère la proctuction d'une journée. Par lecture graphique :

a.Déterminer le ctriffre d'affaires réalisé pour la vente de 4 hectolitres.


b.Déterminer le coût de fabrication de 4 hectolitres.
c.En déduire le bé.néflce réalisé pour la vente de 4 hectolitres.
d. Ce bénéfice est-il maximal pour la production et la vente de 4 hectolitres? Iustifier.
2. Par lecture graphique, donner sous forme d'intervalle, le nombre d'hectolitres que doit pro-
duire l'entreprise pour réaliser des proflts, c'est-à-dire un bénéflce strictement positif.
3. La représentation graphique de la fonction R est une droite qui passe par l'origine du repère
et par le pointA de coordonnées (4 ; 600).
Déterminer l'expression de R(x).
4. On note B la foncüorr qui modélise le bénéfice de l'entreprise en fonction du nombre d'hec-
tolitres de désinfectant vendus. Pour .r appartenant à l'intervalle [0; 12] , on a :

B(x) = -2x3 +lïi +84x-50.


a. On note B' la fonction dérivée de la fonction B. Calculer Bt(x).
b. Résoudre l'équation -6xz +3Ox+84 = 0.
c. Recopier et compléter le tableau de variations ci-dessous :

x 0 7 t2
Signe de 0
Bt(x)

Variations
deB

d. Pour quelle quarrtité de désinfectant produite etvendue le bénéfice est-il maximal? Quel
est alors le bénélflce?
208 CIIAPITRE3. FONCTIONS

Exrncrcn 598 2O minutes


PARTIEA
soit / la fonction définie sur l'intervalle t0 ; :|001 par f (x) = - x2 + 4so.r - 20 000.
On admet que / est dérivable sur l'intervall: [0 ; 300] et on note /' sa fonction dérivée.
l. Résoudre dans l'intervalle [0; 300] l'équation /(x) = 0.
2. u Calculer //(.r).
b. Etudier les variations de la fonction f sur l'intervalle [0; 300] et dresser son tableau de
variations.
c. En déduire que la fonction f admet un maximum et préciser en quelle valeur il est at-
teint.
PARTIE B
Une entreprise est spécialisée dans la prod uction de tablettes tactiles. Cette entreprise a une
capacité de production hebdomadaire pou\ant aller jusqu'à 300 unités.
Pour les valeurs entières de la variable x, qui représentent le nombre de tablettes tactiles fa-
briquées et vendues par semaine, on admet que /(x) représente le résultat, en euro, de cette
entreprise.
l. A partir de combien de tablettes tactiles p roduites et vendues par semaine l'entreprise réalise-
t-elle un résultat positif, c'est-à-dire un bénéfice?
2. Déterminer le nombre de tablettes tactiles fabriquées et vendues permettant de réaliser le
bénéfice hebdomadaire maximal et calctüer la valeur de ce bénéfice.

Exrncrcs 599 2O minutes


Soit / la fonction définie sur l'intervalle t0; , 0l par /(x) - (2x-S)e-x+a +ZO.
PartieA
l. Montrer que, pour tout.r de l'intervalle [l); 10], f'6) = ?2x+7)e-x+4.
2. En déduire le sens de variation de / et dresser le tableau de variations de / sur l'intervalle
[0; 101.
Si nécessaire, arrondir au millième les valeurs présentes dans le tableau de variations.
On admet que /(1,60) = 0, placer cette vtüeur sur le tableau de variations.

Parüe B
Une entreprise fabrique entre 0 et I 000 obje ts par semaine.
Le bénéfice, en milliers d'euros, que réalise lette entreprise lorsqu'elle fabrique et vend r cen-
taines d'objets est modélisé par la fonction ,e déflnie sur [0; l0] par : f (x) = (2x -5)e-x+4 +20.
Répondre aux questions suivantes en utilisant les résultats de la partie A et en arrondissant les
résultats à l'unité.

l. Quel est le nombre d'objets à vendre pour réaliser un bénéfice maximum?


Quel est ce bénéfice maximal en euros?
2. A partir de combien d'objets fabriqués el vendus l'entreprise réalise-t-elle un bénéfice po-
sitif?
3,7. ALLERPLUSLOIN 209

EXERCICE 600 20minutes

Lévolution de la population d'une station balnéaire pour l'été 2015 a été modélisée par une
fonction /, définie sur l'intervalle [0; 70], dont la courbe représentative est donnée ci-dessous.

10 rylt'j'S ___l____r__
Lorsque x est le nombre de jours
I
I

écoulés après le 1"' juillet, 1@) dé- I ttl I


I ---{ F --+---+---l---
tl
+ ---t--
signe la population en rnilliers d'habi- I I I I I

I I tt I I I
tants. ll
r ---1---r
I I I I
6 ---t--- T -t--
Ainsi x = 30 correspond au 3l juillet I I ll I I I

et /(30) représente la prcpulation qu'il I I tt I I I

4 J--- L --J---I- ---t---+---l--


est prévu d'accueillir le 3l juillet. I I tl tll
I tt ttt
On estime qu'un hatritant utilisera
I
tl ttl
r - - - - r - - -t-ttt- - T - - -l- -
I I
2 -'t--- -'t-
chaque jour entre 45 et 55 litres d'eau I I

par jour. I I nombretde jours


0
0r0203040506070
Partie A Dans cette parüe, les réponses sont à fournir par lecture graphique.
l. a. Estimer le nomtlre maximal d'habitants présents dans la station balnéaire selon ce mo-
dèle durant l'étér 2015 et préciser à quelle date ce maximum serait atteint.
b. La commune est en capacité de fournir 600 000 litres d'eau par jour, est-ce suffrsant?
2. Estimer le nombre rle jours durant lesquels le nombre d'habitants de la station balnéaire
dewait rester supérieur à 80 % du nombre maximal prévu.

Parüe B
On admet que la fonction / est déflnie sur I'intervalle t0; 70] par /(x) = 2 + 0,2xe-0'025r+I.
l. Calculer /(9) puis vérifler que la consommation d'eau le 10 juillet serait, selon ce modèle,
au plus de 324890 litres.
2. u Démontrer que //(x) = (0,2- 0,005x)e-0,02s'+l où /' est la fonction dérivée de /.
b. Etudier le signe de ft@) sur l'intervalle [0; 70].
c. En déduire la da.te de la consommation d'eau maximale.

3.7 Aller plus loin


EXBRCTcE 601 2O minutes
On suppose qu'une fonLction / définie sur I'ensemble des entiers naturels N et à valeurs dans N
vérifie la propriété (D : f (m* n) = 1(m) + f(f @)) pour tout rz de N et tout n de N.
l. Déterminer la valeur de
"f
(/(0)). En déduire la valeur de /(0).
2. Montrer que : /(/(n )) = 1@) pour tout n de N.
3. Exprimer f (m+ l) enfonctionde f (m) etde/(f).
2to CHAPITRE3. FONCTIONS

4. Montrer que T(m) = rnf (l).


5. Déterminer toutes les foncüons / vérifiart la propriété (p)

EXERCTCE 602 2ominutes


Lobjectif de I'exercice est de déterminer un,l fonction / définie sur l'ensemble des entiers na-
turels N et à valeurs dans N quivérifie les deux conditions :
./(1)=l
. Pour tous entiers naturels m et n, 1 (m + n', = f (m), f @) + f (ù + f On)
l. On suppose qu'une telle fonction / existc.
a. Calculer /(0) (on pourra poser n = 0 et m = l).
b. Calculer Te), lG) et /(6).
2. Montrer que, pour tout entier naturel fl , r' (n + D = 2 f @) + I
3. On pose pour tout n € N, g@) = 1(n) + t.
Vérifier que, pourtous les entiers naturels m et n: g(n+ m) = g(n) x g(m).
4. Donner une fonction / qui réponde au p:oblème.

Exnncrcs 603 2Ominutes


Soit la fonction / déflnie sue [;+oo[par,f(.1) = JC- x-1+3+ x-6lx-l+5.
l. A l'aide de la calculatrice, étudier le comportement de / sur l'intervalle [ = [5;10]. Quelle
conjecture suggère cette méthode?
2. Démontrer cette conjecture. On pourra poser .r = u2 + | avec u)- O.
3. DonneruneexpressionsimplifiéedefstLrlesintervallcs12=[1;5]et13=[10;+oo[.
4. Etudier la dérivabilité de f sur [1;+oo[.
5. Etudier les variations de / sur [; +oo[.
6. Tracerla courbe représentaüve de / pour I ( x ( 15.

EXERCICE 604 30 minutes


On considère une fonction définie sur l0;r.oo[ dont on donne le tableau de va]eurs suivant :

JE 2 3 4 5 6 I B

f@t 3,0103 4,7712 6,9897 7,7815 8,4510


x I 10 100 r000 r0000 1000000 10v
f@)
Cette fonction vérifie la propriété suivante :
Pour tous réels strictement positifs x et y, f (x x y) = f (x) + î(y).
Ainsi, par exemple : /(6) = f (2 x 3) = f Q) + /'(3) = 3, 0103 + 4,77 \2 = 7,7815.
Partie A: Etude mathématique
l. Déterminer f (D puis compléter le tableau précédent.
2. Calculer f (245).
3. Quelle est l'image de 1 par cette fonction I
4. Démontrer que, pour tout réel y strictem -'nt positif, / (|) = -r,,,
3.7, ALLERPLUSLOIN
2tr

Partie B:Application
Le décibel (dB) est une unité servant à exprimer f intensité acoustique d'un
son. Pour simplifler,
(silence presque
sur l,échelle des décibels (qui n est pas linéaire), le son audible le plus faible
total) auquel nous affectons l'indice I mesure 0 dB. Par exemple, un son d'indice 5 (5 fois plus
fort) s'élève à presque 7 dB.
En réalité, la fonction de la partie A fait correspondre à l'indice de I'intensité d'un son perçu
par une personne sa me,sure en décibel.
l. Iustifier que si l'indi«:e d'intensité d'un son donné est décuplé, la mesure en dB de celui-ci
augmente de 10 dB.
2. Une conversation normale est mesurée à 60 dB. A quel indice d'intensité cela correspond-il?
3. Un son commence à devenir douloureux au-delà de 80 dB et dangereux à partir de 100 dB.
Le son en discothèque est souvent de 110 dB. A quel indice d'intensité cela correspond-il?
4. Dans un supermarché, vous êtes face à deux lave vaiselle. Le produit A fait un bruit mesuré
à 39 dB alors que le produit B est mesuré à 36 dB. Vous discutez avec le vendeur en lui disant
que vous préférez la machine B car moins bruyante, mais le vendeur qui doit écouler son
stock de machines A vous répond « Oh ! Pour 3 petits décibels, ça ne change pas grand chose
... ».
En calculant le rapport des intensités, trouver un argument à opposer au vendeur.

EXERCTCE 605 l0 minutes


l. Calculer la dérivée de la fonction /, définie sur R par l@) = e2'sin(zx).
2. Etudierle signe de f'(x)pour 0 < ,<
;.
ExERCICE 606 15 minutes
Dans chaque cas , on n:cherche une fonction / connaissant sa dérivée //. Est-ce possible de
trouver plusieurs fonctions / pour une dérivée /' donnée?
t. 3. lt Qù = Sxa +3x2 +2
f,(x1 = z
2.'f'@) =2x+3 4. ît@) = *'*
rs Remarque
i
: / est r.rne primitive de //.
EXERCICE 607 lO minutes
l. Trouver une fonction polynôme P telle que g(x) = exP(x) ait pour dérivée
g' (x) = dc (x - L)(x -:2).
2. Etudier la fonction g'obtenue.

ExERcrcE 608 2o minutes


On considère l'ensemble t des fonctions polynômes de degré inférieur à 3, c'est-à-dire de la
forme f (ù = ax3 + bxz + cx + d telles que pour tout .r e [-t; I], on a -l ( /(x) ( l.
l. Déterminer trois fonctions affines non constantes appartenant à t.
2. On cherche à déterminer les fonctions du second degré à coefficients entiers appartenant à
t.
212
CIIAPITRE7. FONCTIONS

a. Montrer que d ne peut prendre que .es valeurs _l; 0 et l.


b. Premier cas d = 0.
i. calculer (-r) +,f (l) et en dédrrire les vareurs possibres de b.
"f
ii. Déterminer complètement /.
c. Deuxième cas d = -l ou d = l.
i. Montrer que le point S(0, d) est nécessairement le sommet de la parabole d'équa-
tion y = f (x) dans un repère du plan.
ii. Déterminercomplètement/.
3. Soit / une fonction appartenant à t. on définit les fonctions g et h sur R par
sk) = fG) f ?x) et h(À _ 1@) - ÎG
+ r)
2 --'-'--' 2
Prouver que g et h appartiennent à t.
4. On cherche, dans cette parüe, la plus grimde valeur possible de M pour lal quand
/ est un
élément de t.
a. f
A l'aide de la question 3, démontrer (lue si est un élément de t, alors lal ( 4.
b. Montrer que la fonction p(x) = 4x3 -3x est un élément de t.
c. Endéduirelavaleur de M.

Exrncrcn 609 25minutes


On considère la fonction /, définie sur R* par:
. si x e l0;4, f 6) = -4x2 +Bx
. si xel2;41,l(x) = -2x2 +L2x-16
1
. si r > 4, f(x) = q).
)fft* -D + f@ -
1. Tracer la courbe représentative de / pou r 0 ( I( 8.
2. Quelles sont les images des entiers naturels par la fonction /?
EXERCICE 610 15 minutes
La fonction /, déflnie sur R, possède les deuxpropriétés suivantes
o poür tout réel x, (x + t0) =
f /(f 0 - .r)
o pour tout réel x, + x) = - f (20 - x).
ï(ZO
Démontrer que la fonction / est impaire et 1rériodique.

EXERCICE 611 40minutes


Rappel : un nombre premier est en entier rutturel ayant exacternent deux diuiseurs positifs dis-
tincts. Ainsi par exemple l, 4 et lB ne sont pus premiers mais 2,5 et Lg le sont.
Les huit plus petits nombres premiers sont :2',, 3, 5, 7, 11, 13, 17 et lg.
On admet qu'il existe une infinité de nombres premiers.
f
On admet qu'il existe une fonction définir sur R par:
. f @) = I signifie que p est un nombre prernier,
. pourtous réels x et y, on a f (xx y) = xx I U)+ f (x) x y.
2t3
3.7. ALLERPLUSLOIN

PartieA
Dans cette paftie on ne s'intéresse qu'aux entiers naturels'
1. Iustifier que /(f3) = 1 et que /(6) = S.
2. Démontrer que "f (O) = 0 puis que /(1) = 0.
3. Compléter, sans justifier, les tableaux suivants :

n 0 1 2 3 4 5 6 1
I 8 I
f@) 0 0 I I 1 5 I
n IO 1l t2 l3 t4 15 16 t7 1B 19 20
1
l@t 1

4. a. Démontrer que si p et q sont deux nombres premiers alors /(p x q) = p + q.


b. En déduire f (2Og).
c. Trouver tous les entiers naturels N s,écrivant sous la form e N = p x q où p et 4 sont deux
nombres premierrs tels que /(M = 30.
5. On admet que si p e,st un nombre premier quelconque et nunentier naturel non nul alors
r b")' npn-,.
a. Vérifiercettepropriétépour n=l,n =2puis n =3.
b. Calculer f (4s), J"(392) puis / (/1ssz1).
6. Donner quatre nombres de la forme nn quivérifient la relatioî I (nn) = nn.

Partie B
Dans cette partie on s'i:ntéresse aux entiers relatifs.
l. Déterminer/(-f).
2. Pour tout n e N, exprimer f (-n) en fonction de f (n)
Partie C
Dans cette partie on s'intéresse auxnombres rationnels.
6 Rappel : Tout nombrc rationnel peut s'écrire sous laforme !0, ott a est un entier relatif et b un
entier naturel non nul.

r. calcule'/(;)
Ctl bl@) Q),
2. Démontrer que / 1; )
- - -af
b2 'vsu
où a est un entier relatif et b un entier naturel non
nul.
3. Calculer / (#)
Partie D
Calculer / (6/5)
214
CIIAPITRE1. FONCTIONS

EXERCICE 612
40 minutes
Une image numérique en noir et blanc est composée de petits carrés (pixels)
dont la couleur
va du blanc au noir en passant par toutes lel i nuances de gris. Chaque
nuance est codée par un
réel x de la façon suivante :
. = 0 pour le blanc;
Jc

. x=lpourlenoir;
' x = 0, 01; x = O,O2et ainsi de suite jusqrr'à x = 0, 99 par pas de 0, 01 pour toutes les nuances
de gris intermédiaires (du clair au fon:é).

IJimage A, ci-après, est composée de quatre cixels et donne un échantillon de ces nuances avec
leurs codes.
Un logiciel de retouche d'image utilise des fo nctions numériques dites « fonctions de retouche ».
Une fonction / définie sur I'intervalle [0; ]l est dite «fonction de retouche» si elle possède
au-moins les trois propriétés suivantes :
o /(Q) = 0;
o /(|) = l;
. / est croissante sur l'intervalle [0; l].
Une nuance codée , est dite assombrie par la fonction / si f G) > x, et éclaircie, si /(x) < x.
Ainsi,si fG)=x2,l)npixeldenuancecodét,0,2prendralanuancecodée0,22-0,04.IJimage
A sera transformée en I'image B ci-dessous.
Si /(x) = 1/i,la nuance codée 0,2 prendra lir nuance codée ,/02
= 0,45. Limage A sera trans-
formée en l'image C ci-dessous.

û,16

ffi
ImageA lnage B Image C

PartieA
1. On considère la fonction
fi définie sur l'in-
tervalle [0; U par 4f -6x2 +3x.
: f11x1= 1,0
.L Démontrer que la fonction fi est tLne
fonction de retouche.
b. A l'aide du graphique, quelles sont les
nuances codées r appartenant à l'inter- 0,5
valle l0;1[ qui seront éclaircies par la
fonction fi ?
c. Résoudre par le calcul l'inéquatlon
0
/r(x) ( x.
0 0,5 I0
215
3.7. N-I-ERPLUSIOIN

, a. Proposer une f'onction de retouche /2 définie sur [0;1] assombrissant tout nuance '
appartenant à ll'intervalle l0; I [.
b. Proposer une fonction de retouche /3 définie sur [0;U éclaircissant tout nuance 'x ap-
partenant à I'irrtervalle l0; I [.

Partie B

l. Soit une fonction polynôme du second degré 91 définie sur [0;l] vériflant 91 (i)= 3
Sachant eue Sr est utne fonction de retouche, justifler qu'elle est définie sur [0;U par
2^ 1
Br(x)= 3*"* Z.
2. On cherëhe màintenant une fonction de retouche g2 définie sur [0; l] qui, après l'application
de la fonction de retouche g1, permettrait de revenir aux nuances initiales.

a. Donner les valeurs d" gz(0), gz(t) et (3)


/1\ "
b. calculer
" [;]
c. Résoudrel'équationdevariable )c,çt(x) -yavecxe [0;U etye [0;U.
d. En déduire l'exp,ression de la fonction de retouche g2 eui, après l'application de la fonc-
tion de retouche gt, permet de revenir ar.Ix nuances iniüales.

EXERCICE 613 lSminutes


Soit /la fonction qui à tout couple d'entiers naturels (x;y) associe l'entier naturel tel que :

TQ;ÿ - y +t,/(x;0) = f(x-l;1), /(x+ 1;y+ l) = f (x; f(x+l;ÿ).


Calculer lQ;D et lQ;11).

ExERCICE 614 30minutes


Quatre amis se réunissent pour rêlever le défl suivant trouvé dans un vieux liwe de mathéma-

Trouver toutes les fonr:tions / déûnies sur R vérifiant la propriété (P) suivante
Pour tous réels a et b, (a - fu1 x f (a + b) - (a + b) x f (a - b) = 4 ab (az - b2).

l. a. Ali, Ben et Chang testent la propriété (P) avec des fonctions particulières.
Ali utilise la fonction JC - x, Ben utilise la fonction x * x2 et Chang utilise la fonction
x*f.
Lequel des trois aura trouvé une fonction vérifiant la propriété (P) ?
b. Dorice affirme que : « la fonction .r - sin, ne vérifie pas la propriété (P) ».
Pour cela, elle a remplacé les rêels a et b par deux valeurs pafiiculières. Quelles valeurs
de a et b a-t-elle pu choisir?
2. Ali affirme que : « Sii une fonction / définie sur R vérifie la propriété (P), alors / est une
fonction impaire ».

a. Montrer qu'Ali u raison.


b. La fonction x* x4 vérifie-t-elle la propriété (P)?
216
CTIAPITRE 3. FONCTIONS

c. Chang s'interroge sur le fait eüe : « S une fonction définie sur


paire, alors / vérifie la propriété (p) ? ».
/ R est une fonction im_
euelle réponse lui donner?
3. a. Ben affirme que :« si une fonction / rléfinie sur R vérifie la propriété (p) alors
lQ)-2T0) =6».
Montrer que Ben a raison et expliquer sa démarche.
b. Le groupe d'amis annonce avoir état li une relation
"",r" , (;) f e).euelle
et est cette
relation?
4. Déterminer, pour tout réel r, une relatiorr entre f(x) et /(l). De quelle forme sont les fonc-
tions vériflant la propriété (p)?
5. Relever le défl posé par les quatre amis.

ExERCTcE 615 30minutes


Comment calculer tfr39 auec une calculatric,z ne posséd.ant que les opérations ék4mentaires et les
parenthèses
PartieA: Moüvation
l. Ecrire r/56 sous la forme atFU où a erit un entier naturel et b une fraction d'entiers ap-
partenant à l'intervalle I0; 1[.
2, De même, trouver des décompositions [,our y'139 dont l'une où a = 18 que l'on utilisera
dans les applications numériques ultérier rres.
3. Montrer que, pour tout entier naturel n, ,E admet une telle décomposition.
Partie B : Approximaüon sur [0;U de /: x -' y'f - x par des polynômes

r. Déterminer /(r), f Q),1[;) ", r (3) .*, forme de fractions.


2. Donner d'autres nombres appartenant ir l0;1[ dont on peut calculer l'image par / sous
forme d'une fraction.
3. Onpose Lr@) = l; Lz6) = x et Ls(x) = x(.r- l).
Oncherche r, s, f tels que /(x) = rlr(x) + sLzG) + tLs@)pour r = 0, r =t =
Etablir le système associé et le résoudre.
"t, 1.

4. Quelle est la précision obtenue pour le calcul de y'tgg ?

ExERcrcE 616 20 minutes


On considère la fonction / définie dans R par
l@) = (x+ t) -2(x+ 2) +3(r+3) -4(x+4) + .. +2019(x+2019) -2020(x+2020).
l. Résoudre, dans R,l'équation /(r) = 0.
2. Montrerque,pourtoutenüerrelatifimpairk,f(k)estunentiermultiplede2O2O.
3. Existe-t-il un entier k tel que l]c) =2020i'

Exnnclcn 617 2Ominutes


Combien de soluüons réelles négaüves l'équation xa -Sf -4x2 -7x+4= 0 possède-t-elle?
217
3.7. ALLERPLUSLOIN

lg On pourra étudier les variations d'une certaine fonction ' et utiliser Ia calculatrice.

3Ominutes
EXERCICE 618
Soit ABC un triangle non aplati quelconque ' d'aite A'
Soit Il le pied de Ia hauteur issue
Notons a = BC, b = CA et c -- AB les longueurs de ses côtés'
et posons h = BH'
de B : supposons que Ii'appartienne au segment tACl
SoientquatrepointsPeltQappartenantausegment|AC|,Rappartenantausegment[ABlets
rectangle'
appartenant au segmenl [Bcl, de sorte que PQRs soit un
Notonsenfinr=PQ.
l.Exprimerl'aireldurectanglePQRSenfonctiondeslongueursx,hetb.
2.a.Pourquelle(s)vaüeur(s)dexl'airelest-ellemaximale?
b. Dans ce cas, que:I est le rapport des aires f ?
3. a. Est-il possible qre le rectangle PQRS soit un caruê?
b. Si oui, ce carré peut-it être d'aire maximale parmi tous les
rectangles PQRS possibles?

25minutes
EXERCICE 619
Partie A
Soit la fonction g définie dans R par QG) = er + x + 1'
l. Etudier le sens de variation de ç et ses limites en +æ et -oo'
2. Montrer que l'équation g(x) = 0 a une solution et une seule o et que l'on a :
-1,28<a<-1,27.
3. En déduire le signe de g(x) sur R.

Partie B uoX
Soit la fonction / définie sur par l@) = !!- et (e)
R sa courbe représentative dans un repère
ex+1
orthonormal ( O, l,J du plan.

l. Montrerque : /'(x) = :'=":!r.


(er + l)z
En déduire le sens cle variation de /.
2. Montrer que /(c) = ü * ! et en déduire un encadrement de f (a).
3. Soit T la tangente à e au point d'abscisse 0. Donner une équation de T et étudier Ia position
de e par rapport à:r.
4. Dresser le tableau dle variations de /.
5. Tracer, pour -2 ( r ( 4, € et T.

ExERcICE 620 1 I
2O minutes
Onconsidère les fonctions/etgdéfinies surRpar: f (x) = f a", et8(r) = l +e-,
On note e et f les courbes représentatives des fonctions I et g dans un repère orthonormal
(o,7,7).
l. a Etudier les variations de / sur R.
2I8 CIIAPITRE|. FONCTIONS

b' Soit M et M/ deux points de la courlre e, d'abscisses


respectives x et x/. soit
de coordonnées (re; yç2).
o le point
on suppose que.M et M/ sont syrnetriques par rapport
à o, établir alors une relaüon
entre /(x) et f @\.
c. Prouver que le point O de coordonn,
ties
/ I\
est centre de symétrie de e.
[0; 7j
d' On note I la tangente à € au point o. Déterminer le
coefficient directeur de ,^.
e. Représenter I et €.
2. u Enobservantque,pourtoutnombre :éerx,onag(x) = î(-x),montrerquerestyimage
de e par une syrnétrie que l,on déterrninera.
b. Vérifier que, pour tout nombre réel.r, on a
l@)+ g(ï) = l.
En déduire que r est l'image de g par une autre symétrie que
lon déterminera.
c. Déterminer cæfflcient directeur de ra tangente
re r/ à r au point o.
d. Représenter I/ et I sur la figure de la quesüon l.

EXERCICE 62I 40 minutes

On appelle partie entière d'un réel x, notéel7(x), le plus grand enüer


inférieur ou égal à x, c,est-
(
à-dire que l'on a: pour tout réel x, E(t) x < E(x) + t.
Parexemple : E(2,4) =2; E(-2,4) = -3; E (nZ =1; E(5) 5 et E(-n)
= = -4.
Soit / la fonction définie sur R par /(x) -46E(r) + 13

Llobjet de cet exercice est la résolution de l,r[uation.;t(.r)


= g.
l. Déterminer la partie entière de \m, puis vérifier que ce réel est solution de l,équation
.f(x) = 6'
2. a. Vérifier que I n est pas solution de l,é,1uation /(r) = g.
b. Montrerquesix< (danscecasE(r) (0),I,équation,f(x) =0nadmetpasdesoluüon.
1
3. On note p la fonction polynôme définie srrr R par p(x) = x2 - 46x+IZ.
a. ( r, montrer que pour tout réel x, p(x) ( /(x).
En utilisant I'inégalité E(x)
b. En déduire que si -r est un réel vérifiant p(x) > 0, alors le réel x n'est pas solution de
l'équation /(x) = O.

4. Etablir le tableau de signe de p(x).


En déduire que toute solution de l'équati«rn,f(x) = 0 est strictement inférieure à 46.
5. a Déduire de l'inégalité x - | < E(x) qu€, pour tout réel x, l@) < p(x) + 46.
b. Montrer alors que toute solution de l'rlquation /(x) = 0 est strictement supérieure à 44.
6. a. Quelles sont les valeurs possible pour la partie entière des solutions de l'équation
f @) =o?
b. En déduire que l'équation /(x) = 0 ad net deux solutio ns, 'ffi et une autre û dont on
précisera la valeur exacte.
2t9
3,7, ALLERPLUSLOIN

l0 minutes
EXERCICE 622
Soit / une fonction dériLvable en a'

l. Montrer que Ia limitr: o" llY49lorsque


x-a
x tend vers a, x f a,est égale à f (a)- af'(a)
e On pourra Pose r ic = a + h'
2. Application:
x3a- a3x -
a. a"T
Déterminerlalirmite lorsque xtendvers a'
lx-*cosx - lt
b.Déterminerlalimited"Tlorsquextendvers5
r- 3

l0 minutes
EXERCICE 623
Soit la fonction / définie sur R par 1@) = (l- x+lxl) ex

1. Simplifier l'écriture de /(x) dans chacun des deux cas : x )- 0 et x < 0'
2. Calculer /'(x) Pour x < 0.
3. Déterminerlalimitr:u"
/(r)-r lorsquextendvers0danslesdeuxcas x>oetx<o'
x
4. La fonction / est-elle dérivable en 0?
S. Etudier les variations de / et construire sa courbe représentative sur l-5;21.

3Ominutes
EXERCICE 624
Préliminaires
somme et P leur
l. Soit x et y deux nombres réels strictement inférieurs à 1. On note S leur
produit.
Montrer que S < P'+ t. I
2. Déterminer le sens de variation de la fonction /, définie sur l0;+oo[par f @) = x- -

Recherche de triPlets I 1 I
Ons'intéresse auxtrip,lets(a,b,c) tels que 0 < a( b{c, abc>leta+b+ c'à* A* i'
3. Montrer que pour un tel triplet, a < l.
4. Se peut-il que b < I ?
rs On pourra utiliser les préliminaires.
5. Se peut-il que b = JL? l
6. Aliceaffrrme:«Siar <l<betb( *,alorsonpeuttrouverunréelctelqueletriplet(a,b,c)
\/a
soit solution. » A-t-elle raison?
7. Bob ajoute : « ces conditions ne sont pas nécessaires. » A-t-il raison?

625 minute§ 15
EXERCTCE
fixer
Un organisateur de sçrectacle organise un concert dans une salle de 800 places. Il souhaite
que :
le prix du billet pour optimiser sa recette. une étude du marché lui apprend
220
CIIAPITRE7. FONCTIONS

. Si le prix du billet est de 50 €, il vend 300 t illets.

' Chaque baisse de 0,06 € sur le prix du bill,:t lui permet


de vendre un billet supplémentaire.
Déterminer le prix du billet pour que la recette soit maximale.

EXERCTCE 626 25 minutes


on considère le programme suivant, nommé TAyLoR(a,b,c,d,f)
dans lequel a, b, c, d, t, x
sont des nombres, f , ft, fz, p sont des fonc:ions.

TAY LOR(a,b,c,d, t)
l(x):=af+bx2+cx+d
fi := dérivée de /
f2:= dérivée de f1
p@) := f O) + fr:i;(x - t) + !:-9@ - ,)r.
Afficher /z(r)
Afficher p(x)

l.on exécute T Ay LOR(1,0, 0, 0, 0) . Qu,obtie nt_on en sortie ?


Même question pour T Ay LOR(I, 0, l, 0, l).
Lorsque fz@ # 0, nous dirons que la représentation graphique de la
fonction p est la « pa-
rabole de Tâylor » de / au point d,abscisse /; on le noterà
1ej.
2. Onexécute T AY LOR(1,1, l, l, 0).
sur la figure ci-dessous, on a tracé la courlre e représentant la fonction /.
i

I 2
:

-l
I

e
-2

a. Vérifier que l'on obtient fz@1 = Z et p(.c) = x2 + x + l.


b. Tracer ?s, la «parabole de Taylor» au 1r6i11 d,abscisse 0.
Quelle conjecture peut-on faire sur la position relative de ?s et e ?
c. Etudier la position relative de p6 et e .

3. On exécute T Ay LOR(a, b, c, d,r), on obtient :

fz1) = 6at +2b


3.7. ALLERPTUSLOIN 221

puc) = at3 +btz + ct + d+(tat2 +zbt + c){x-,.9!+p@- ù2.

a. Démontrer que J"(x) - p(x) = a(x - t)3 .


b. Tester le résultat précédent p o:ur (a, b, c, d, f) = (1, 0, l, 0, 1)
c. Pour f réel quelc,cnque, étudier la position relative de 96 et e

ExERcICE 627 I-n*'


lO minutes

Soit la fonction / définir: sur R par /(x) = -2x+5. On note e sa courbe représentaüve dans

le plan muni d'un repère orthonormal (O, 7, 7).


l. a. Donner l'équatiOn de la tangente Ts à la courbe e au point d'abscisse 0.
b. Soit a un réel non nul, on appelle 1, la tangente à e au point d'abscisse a.
Montrer queTo r:t T6 se coupent en un point I dont on précisera l'abscisse en fonction
de a.
c. Déduire de la qu,esüon précédente un procédé simple de construction de la tangente Ï,
lorsque a est dotrné.
d. Sur la figure donnée ci-dessous, on a tracé € et Ts. Construire avec précision et s,rns
utiliser le calcul de la dérivée, les tangentesTa,T6 etT7.

-5

0 5
I

2. Ondéflnit la « parabole dérivée » P de la parabole e comme l'ensemble des points de coor-


données ff'@); f (xl) où x décrit l'ensemble des réels.

a. Calculer /'(x), puis montrer Qü€ r = 2f' {x) + +.


b. Montrer que la« parabole dérivée» P de e apour équation y = x2 +l-
c. Sur la figure ci-d.essous, on a tracé e et ?.
Construire avec précision et sans calcul de dérivée, les tangentes à e aux points d'abs-
cisses 2, 4 et 6.
222 CIIAPITRE 3. FONCTIOAIS

-l'i
i

il
i
'l

..-+

rD

0 2

-l

EXERCTCE 628 Bominutes


On suppose qu'il existe une fonction / déflrrie sur N vérifiant la propriété :
(E) : pourtous.r et y appartenantà N, /(x+ n1= xy.1(x)|U)-
Le but de cet exercice est de déterminer toutes les fonctions / vérifiant la propriété (E).

Préliminaire
Démontrer que /(0) = l. On pourra admettre ce résultat dans les pafties suivantes.

PartieA: Un premier exemple : on suppos€ ici que (f ) = g.


"f
l. Calculer /(2) puis /(3).
2. Montrer par deux calculs disüncts que /i4) = 60 et que /( ) = 63. Conclure.
Partie B : Un second exemple: on suppose ici que,f(t) = O.

l. Calculer f (D, [G) et l@).


2. Conjecturer l'expression de f @) enfoncr:ion de z.
3. Démontrer cette conjecture.
4. Prouver que pour la fonction trouvée aur:questions 2 et 3, la propriété (E) est bien vériflée.

Partie C: Cas général


l. f (I) = a
On note
a. Exprimer f (2) et,f(3) en fonction de z.
b. Exprimer f (D enfonction de ade deuxmanières différentes.
c. En déduire eue a=0 ou a=2.
2. On suppose ici que f G) =2.
Exprimer f @) enfonction de n.
223
3.7. ALLERPLUSLOIN

EXERCICE 629 30 minutes


Déterminer toutes les frrnctions / définies de N dans N telles que pour tous ,n et n entiers
naturels, f ù = (J' @x)) + f (f fO).
(m + f
lg On pourra enüsager ]es cas m = O et rn = | pour n entier quelconque.

EXERCTCE 630 30 minutes


L objet de cet exercice est d'étudier l'ensemble I des couples (x, y) de réels tels que r et y sont
les mesures des longueuLrs de deux côtés d'un triangle rectangle dont le périmètre est égal à 1.
l. Parmi les couples suivants, lesquels appartiennent à g?
/1 r\
a' l.;';] 1\
b' /r[a'a] c' /13 1\
l.r'a]
2. Ondésigne par (a,b) un couple appartenant à l'ensemble 9.
a. Le couple (b,a) appartient-il à 9?
b. Démontrer que l:s rêels a et b apparüennenttous les deux à l'intervalle
],,; I
3. On désigne par ABCi un triangle rectangle en C dont le périmètre est égal à 1 et on pose
a= BC,b= AC elc=, AB.
a. Démontrer que Zr = ]:2"-
2(t- a)
b. Exprimer c en fonctionde a.
t
4. Soient / et g les fonctions définies rrr l, '
l-2x 1
r",IP*'
f@)= zG_û =-x+ zG_fl.
etg(r:)

vérifler que pour tout.r . lo, I [, 1". et (.r, g(x)) appartiennent g.


1 2t' "o,rpl"s /(x))
(.r, à

5. Dans le plan muni d'un repère orthonormé, on a représenté ci-dessous l'ensemble des points
M(x,y) où (x,y) app'artient à 9.

0.6

0.41

0.2

.0 O:4 0;6

Déterminer les valetrs de y pour lesquelles il existe quatre couples distincts (rr, y), (*r,y),
(*r, y), (xa, y) apparl.enant à l'ensemble 9
224 CHAPITRE 3. FONCÏONS

EXERCTcE 631 4ominutes


Les embouteillages sur une route sont en général dus à des différences de ütesse entre les vé-
hicules et au nombre de véhicules circulanr .
On se déplace sur une route avec une seule file de véhicules qui se suivent. Les ütesses sont
exprimées en kilomètres par hauteur (km.h-l) ou en mètres par second (m.s-l; et les distances
en kilomètres (km) ou en mètres (m) suivarLt les cas.
l. Distance d'arrêt
Lorsqu'un véhicule freine sur route sèche, il lui faut une certaine distance pour s'arrêter.
Cette distance d'arrêt, exprimée en m, es t proportionnelle au carré de sa ütesse u, exprimée
en m.s-I, c'est-à-dire qlue ; da = C, t)2 c ù C désigne un nombre réel.
a" Compléter le tableau suivant:

enkm.h-l t'en m.s- dt


u d.4enrJi u2
50 13,9 12,l 0,0627
90 39, I
100 48,3
130 8l
r50 108,4
t70 139,9
(Source : Gendarmerie nationale)
b. Donner une valeur moyenne de C à t0-2 près.
2. Distance de réaction
Un conducteur ne réagit en général pas tout de suite à I'allumage des feux de « STOP« du
conducteur qui le précède : le temps dr: réaction noté f dépend d'un certain nombre de
facteurs, mais on considère qu'une duréa moyenne d'une seconde est raisonnable.
Iustifier que la distance parcourue, exprimée en m, pendant cette seconde est :
dn = u si u est exprinLée m.s-r
10u
an= =0,277u si uestexpriméeenkm.h-I.
to
3. Iæs véhicules
On considère que, sur la route, il y a B0(zo de véhicules légers d'une longueur moyenne de
4,50 m et20ÿo de camions d'une longuel[ moyenne de 12 m.
Quelle est la longueur moyenne I d'un véhicule?
4. Le débit routier
Quand on fait couler de l'eau d'un robir et, le débit D du robinet est la quanüté de liquide
écoulée par unité de temps; le débit est «lonc lié à la vitesse d'écoulement.
On désire exprimer le débit routier en ter ant compte des éléments précédents. Pour cela, on
suppose que les véhicules circulant sur lzLroute forment un train continu roulant à la vitesse
u, exprimée en m.s-l et que les conduct3urs respectent exactement les distances d'arrêt et
de réaction avec le véhicule précédent.
On veut exprimer le débit routier en nonrbre de véhicules par heure.
225
3.7. ALLERPLUSLOIN

a. Montrer que, si la, ütesse est exprimée en m.s-l, le débit est donné par la formule
3600u
D(u)=
0§67+t,+B'
b. Etudier les variatlons de D en fonction de u.
c. Montrer qu'il existe une vitesse umax potu laquelle le débit est maximum; préciser ce
débitmaximum.
On donnera les résultats en m.s-r puis en km.h-l pour la ütesse et en véhicules par
heure pour le débit.
5. Surlautoroute
Vous souhaitez réguler le traflc sur une portion d'autoroute un jour de départ en vacances.
Vous savez que le dtibit maximal de cette portion à trois voies est de 3900 véhicules par
heure.
Quelle vitesse conseillée allez-vous afficher sur les panneaux d'information à destination
des conducteurs?

ExEncrcr 632 3O minutes


Dans cet exercice, on considère des fonctions / admettantle tableau de variations (7) suivant:

x -oo 2014 +oo


+oo +oo
r \./
20t5

1. Donner un exemple de fonction / définie sur R admettant le tableau de variaüons (I). On


répondra par une expression de /(x) en fonction de x et on donnera l'allure de la représen-
tation graphique de la fonction.
2. On considère maintenant une nouvelle fonction / détnie sur R telle que :
. Vx e R, .f (x) = aJc2 + bx + c, où a, b et c sont trois nombres réels;
. / admet le tableau de variations (T).
Déterminer le signe rle chacun des trois réels a, b et c.
3. On considère mainternant une nouvelle fonction / définie sur R telle que :
. / est le carré d'une fonction trinôme du second degré, c'est-à-dire que pour tout réel x,
f @) = p(x)z avec pGu) = uxz + ux+ w, u, u et rz désignant trois nombres réels, u#O:
. / admet le tableau de variations (I).
I-lexpression développée réduite de /(x) peut s'écrire sous la forme
1 @) = axa + b x3 + c tc2 + d x + e, oit a, b, c, d ete sont des nombres réels.
Déterminer le signe (strictement positif ou strictement négaüf) de chacun des cinq réels
a, b, c, d et e. On prendra soin de vérifier que chacun des cinq réels est non nul
226 CHAPITHES. FONCTIONS

Exrncrcr 633 40minutes


La partieA est indépendante des parties B et C
PartieA
Une banque propose un contrat d'assurance üe qui fonctionne de la façon suivante. À l,ouver-
ture du contrat en janvier 2016, le client dépose 5 000 euros. Le 3l décembre de chaque année,
la banque ajoute des intérêts à hauteur de 2To. Puis chaque année, le l"' janüer, le client dé-
pose 500 euros. Les intérêts produits une ar née engendrent eux-mêmes des intérêts les années
suivantes.
on note 1, le solde de l'assurance üe au l"' janüer de l'année (2016 + n). Ainsi
/o = 5000.

l. Calculer 11, 12 et ft.


2. Montrer que pour tout entier fi, In+t = l,OZIn+ 500.
3. On note (Kn) la suite déflnie pour tout r,, par K, = In t 25 000. Montrer que la suite (Kr) est
géométrique.
4. En déduire l'expression de Ç puis celle de In en fonction de z.
5. Iustifier que la suite (1n) tend vers *oo.
Ecrire un algorithme permettant de déte rminer l'année au bout de laquelle le solde de l'as-
surance serait supérieur à 20 000 euros. I)éterminer cette année.
Partie B
Soit / la fonction définie pour r ) L parf(r)' = Y-
l5x-2f
On note e h courbe représentaüve de / dals un repère orthogonal.
l. Calculer /(1). Déterminer la limite de / en +æ. Que peut-on en déduire quant à la courbe
représentative de /?
2. Monrrer que pourto ut x > t, ft 6)=
(*læ
3. Dresser le tableau de variation de / poul'-r ) l.
Partie C
Un cadre de la banque enüsage la commer,:ialisation d'un produit financier dont la valeuS en
centaines d'euros à la fin de I'année (20f 6 + n), serait modélisée par la suite (ur) déflnie par :

uo= l etpourtotrtentier fl, un+t= l @")


l. Montrer pour entier n, I < un {2 I ( un+t {2.
On admettra pour la suite que pour- tout entier n, | { u, {2.
2. On introduit la suite (y") définie pour to rt n par

lïun-20
un=
l1ur-12
a. Expliquer pourquoi la suite (u,r) est trien définie.
b. Calculer us, uy et u2.
Démontrer que la suite (ur) est géonrétrique de premier terme -l39 a" rdron I
"t
227
3,7. ALLERPLUSLOIN

c. Exprimer un en fi:nction de z.
d. Après avoir donné l'expression de un enfonction de ur, démontrer que

4x\n +4x9n
Un=
5x5n+3x9n
Exrncrcr 634 20 minutes
x.
Soit / Ia fonction définir: sur [0; +oo[ par I @) = e-
1. Etudier les variatiorui de / sur [0;+oo[.
2. Etablir le tableau de'variations de / sur [0;+oo[.
ns Rappel:,!i{;e-, = o.

3. En utilisant la méthode vue dans l'exercice 334, calculer l'aire comprise entre la courbe re-
présentative de / et ll'axe des abscisses pour r e [0;+oo[.

EXERCTCE 635 25 minutes


Soit fi fi(x) = ex et îz@) = e-r.
et /2 deux fonctions définies sur R par
Soit e 1 et e2 leurs courtres représentatives respectives dans un repère orthonormal (O, 7, 7).
Soient trois points A, Mr etM2 d'abscisse m (m e R). Le point A appaftient à l'axe des abscisses,
M1 àla courbe e1 et M22 à la courbe €2. On note Tr et T2 les tangentes respectivement à 81 en
M1 et à e2 en M2.
l. Tracer les courbesr et €z dans le repère (O, 7,
e 7).
2. Etablir une équation de T1 et T2.
3. Démontrer que T1e1.T2 sont perpendiculaires.
4. Tl et T2 se coupent €rn un point P.
Démontrer que P esrt de coordonnées (* - 'i .. ' , -:
\ e*+e-m' -i em+e-m)
-).
5. Soit 1le milieu de lMhMzl.
a. Déterminer les coordonnées de 1 en fonction de m.
b. Tracer f, l'ensernble des points f, sur la même figure que e1 et €2.
6. a. Calculer les coordonnées des vecteurs TF fonction de m.
b. "tF
Calculer la distance AP. Que peut-on en déduire?",
c. Démontrer que la droite (1P) est tangente en I à f.

Exsncrcr 636 2O minutes


Soit / la fonction définie sur R par f @) = (x2 + x+t) e'.
On note fo = 1' , l(2) = f" , fG), ... , f(n) ,les dérivées successives de f pour n) l.
l. a. Calculer 7{t) 7'{z).
"1
b. Vérifierquel'ona/tl)1a) -(*'*afi+b1)exet7@çç1-(*'*a2x+b2)e',où a1, a2,b1
et b2 sont des entiers que l'on déterminera.
2. Onsuppose qu'il existe deux entiers a, et bntels que f@ @) = (x2 + anx+ bn)er. Montrer
qu'alors l@+D (i = lirx2 + anlyx i bn*t) e' oît anal et bnal sont deux enüers que I'on expri-
mera en fonction de an et bn.
228 CIIAPITRES. FONCTIONS

3. Démontrer que la suite (a), determe général antrorréprécédemment, est une suite arith-
métique.
En déduire l'expression de an enfonction de z.
4. Vérifierque Vz > 0, br= an_ri an_z+...+ ao+ bo.
En déduire l'expression de bn en fonction de n.
5. Etablir la forme générale de /tn)1r, en fonction de n.

Exnncrcr 637 lS minutes


Soit / la fonction définie sur [-l;2] pæ f (x', = E(x)sin(z*).
l. Etudier les variations de / sur t-t;Z).
2. Tracerla courbe représentative de / dans un repère orthogonal.
lg Rappel : E(x) est la fonction partie entière. Par exemple E(2,6) = 2 et E(-2,6)
= -3.
EXERCTCE 638 l0 minutes
Discuter en fonction du réel m le nombre d,-. soluüons de l'équation e* + tne-x = |
rs On pourra multiplier les deux membres de l'équationpar ex, puis faire un changement de
variable.
le-Pour xréeletyréelstrictementpositif : e'' =ÿ €=) r=lny(lafonctionlogarithmenépérien
(notée ln) sera étudiée en terminale).

ExnncrcE 639 2o minutes


Une usine produit deuxtypes E et F de motr)urs.
Le bénéfice B, exprimé en milliers d'euros, lour une production journalière de x moteurs E et
y moteurs F est: B(r; y) = -0,05 x2 -O,OByt +0,6x+0,7y.
Onadmetquelaproductiontotale estvendueetque0 ( x( l0; 0 ( y ( 8.

l. Calculer le bénéflce réalisé avec :

a. Une production de 7 moteurs E et de 5 moteurs F.


b. Une production de 10 moteurs E et aucun moteur F.

2. La fonction B est représentée par la surfirce S (figure ci-dessous).


Lusine veut obtenir un bénéfice dépassant 3 000 €. Par lecture graphique de B :

a. Si l'usine fabrique 6 moteurs I indiqrrer le nombre de moteurs E qu'il faut produire pour
atteindre cet objectif. Préciser les dif :érentes possibilités.
b. Si l'usine fabrique 8 moteurs E, indiquer le nombre de moteurs F qu'il faut produire
pour atteindre cet objectif. Préciser l:s différentes possibütés.
229
3.7. AILERPLUSLOIN

Représentation graphique du bénéfice B

È
0)
3
!
q)

...-i
2 3-4 |

0)
ffi 2-3
0)
o : r-2
.o
\o I I 0-1
!
N .)

0l
0 0
2
3
,t 4
norràre 6
f
7
de rrroteurs B 7
È 108
1l

3. La demande contraint l'usine à fabriquer autÉrnt de moteurs E que de moteurs F. Dans ce


cas:
a. Exprimer, en fonction de x, le bénéfice B réalisé, lorsque x varie de 0 à 8.
b. Déterminer la production permettant de réaliser le bénéfice maximal. Calculer ce béné-
fice maximal exprrimé en euros.

EXERCICE 640 45 minutes

Les parties A, B et C de ce problème sont, dans une lnrge mesure, indépendantes.


En économie, l'élasticité de la demande d'un produit mesure la sensibilité de cette demande
par rapport aux variations de prix du produit. Lobjet de ce problème est d'étudier I'élasticité
d'un produit, afln de déterminer le prix le mieux adapté à la demande.
Étant donné un produit dont le prix est noté r et dont la demande /(x) varie en fonction du
prix selon une fonction / strictement positive et dérivable de dérivée l' , on appelle élasticité
de la demande par rapprort au prix la quantité :

E(x)=-,#.
Partie A: Recette et élasticité
Le tarif mensuel d'accèr; à une salle de sports est de 30 €. Pour ce prix, il y a 1800 adhérents.
230 CTIAPITRE3. FONCTIONS

on étudie un modèle selon lequel pour un tarif mensuel p (nombre entier compris
entre 30 et
119), le nombre d'adhérents.f(p) est égal à 2400
-2\p.Ainsi, on a bien /(30) = iAOO.
l. vérifier que pour tout entier naturel p c.mpris entre 30 et 119, E(p) = p
2. on dit que la demande est élastique, c'est-à-dire qu'elle est sensible de prix,
si ",1.'< "l?$u.ns
E(p) < - 1. Quels sont les wv p pour lesr luels ra demande est érastique ?
3. on note R(p) la recette mensuelle obtenue pour le prtxp, de sorte que
R(p)=p,f@).
On admet dans cette question que la re(:ette mensuelle R(p) est maximale lorsque l'élasti-
cité E(p) vaut -1. Calculer cette recette rnensuelle maximale.
4. Retrouver ce résultat en étudiant les va:'iations de la suite (R(p)), définie pour tout entier
naturel p compris entre 30 et I 19.

Partie B : Etude d'un cas particulier


La demande hebdomadaire d'un produit informatique est modélisée par la fonction / définie
par : /(x) - (2x +10)g-0'sx pour re [1;+oo[.
Le nombre /(x) est la quantité demandée, e:primée en milliers d'objets, lorsque le prixunitaire
est égal à x, en centaines d'euros.

l. Etude dela fonction demande


a. Etudier les variations de / sur [;+oc [.
b. En utilisant la calculatrice, détermir er la limite de / en +oo. En quoi ce résultat est-il
cohérent?
c. La recette R est définie sur [1;+oo[ pir R(.t) = x x f (x). Déterminer le prix de ce produit
informatique à l'euro près pour que la recette soit maximale.
2. Etude de l'élasticité de la demande par I'apport au prix

a. Vérifier que pour tout r )- l, E(x) = -'!;!!


Zx+ 10 '',puis donner le signe de cette expression.
b. On admet que l'élasticité est une alrproximation du tarx de variation de la demande
pour une variation de lÿo d'un prix r donné. Calculer une valeur approchée du taux de
variation de la demande lorsque le p rix passe de 1000 à 1010 €.
c. Résoudre l'équation E(x) = -3, 15. Interpréter ce résultat.
d. On dit que la demande est peu élastirlue si l'élasücité de la demande par rapport au prix
est comprise entre -1 et 0 (dans ce r:as, la demande est peu sensible arx variations de
prix).
Pour quels prixla demande de ce prc,duit est-elle peu élastique?
Partie C : Etude théorique
Dans cette partie, si / désigne une fonction ne s'annulant pas sur l0; +oo[, de dérivée /' sur cet
intervalle, on note E1(x) l'élasticité de la forLction / par rapport à la variable x, de sorte que :
E7@) = *"
f'k) pour .r elO; +oo[.
7d
3.7. ALLERPLUSLOIN 23t

l. Vérifier que l'élasticité d'une fonction puissance x lcn aYec n entier supérieur ou égal à
1 est constante sur l0;+oo[.
-
2. Règlesopératoires
Soient un réel zt et dr:ux fonctions I et g ne s'annulant pas sur l0;+oo[, dérivables sur cet
intervalle. Montrer que pour tout., > 0 :
u E»r@)=El@).
b. E1*g@)=Ef@)+Er@).
c. E1@)=Ef@)-Es(x).
3. Enutilisantcesrègler;opératoires,déterminerl'élasticitédelafonctionhdéfiniesurl0;+oo[
2Ol7ex
Par h(x) =
'X.
-------.

a
Chapitre 4

Géométrie

4.1 Produit scakrire

4.1.1 Pointdecours
Propri,été 1------
Soit AB etCD deuxvecteurs colinéaires et non nuls. Alors :

. s'ils sont de même ,"n, , AÉ . Cô = AB x CD


. s'ils sont de sens contraires ,TÉ .Cô = - AB x CD

Propriété 2
Soit les points A, B, C et D avec A et D
B distincts.
Soit C' et D' les projetésr orthogonaux
C
de C et D sur la droite (.48), alors
A
AB.CD = AB.CtDl
C, Dt

Propriété 3
Soit trois points A, B et C avec Aet B C

distincts.
Soit Il le projeté orthog;onal de C sur
(AB), alors AB. AC = AB. AH
A B
H
Propriété 4 Pour tous vecteurs 7 et 7 non nuls, 7 .ï = llill* il7il, cos (7,7)

Propriétés 5
. Si l'un des deuxvecteurs est nul, le produit scalaire est nul d .ï = 7.1' =0
. Le produit scalaire est symétrique, c'est-à-dire:ï .ï =i .i
234
CTIAPITRE , CNONTATHE

' Le produit scalaire de 7 par lui-même, alrpelé carré scalaire est noté û2 etiz = llïllz.
Propriété6 Soit, dans un repère orüonormé, deuxvecteurs 7 et 7 de coordonnées respectives
(x;y) et(*';y'),alors 7 .ï = xxt + yyt.

Propriété 7 î .ï = 0 si, et seulement si, res vecteurs 7 et 7 sont orthogonaux.

4.1.2 Exercices d'application de courr


EXERCICE 64I l0 minutes
soit (o, ;,T) un repère orthonormé d'un:té I carreau. Déterminer, dans chaqu .i ,
" "u",î
'ii

-+
u U

l.
u

4.
u

, u

5.

6.
3.

ExERCICE 642 lO minutes


Soit ABCD un carré de centre O et de côté 11. Déterminer les produits scalaires suivants :
+ '.+ + +
I. AB,AC 4. DA.OD
2. AB.AD
+ +
5. OB.OC
3. AB,CD 6. OB.OD
4.1. PRODUITSC1.IAIR,E 235

EXERCICE 643 l0 minutes


Soit ABCD un rectangle de centre O, tel que AB = 5 et AD = 3. Déterminer les produits scalaires
suivants: +
I. AB .CD 4. OA.OC
-+ I
2. AC,DC 5. OB.BD
..+
+
3. AB.AD 6. AD .AO

EXERCICE 644 10 minutes


Soit 7 et 7 deuxvecteurrs définis dans le plan muni d'un repère orthonormé (o,7,7)
Dans chaque cas, calcul .ï
"rï
l. u (2;3) et u (l;7) +. ï o;olet7(-t;o)
z. i (-t;z) et 7 (o,s;;s) s. î 1'/5;-t/4 etî (ttl;r/4
++
3. u (l;1) et u (-2;1) o. i (t;-s) etï o;-zl
EXERCICE 645 lO minutes
Soit 7 et 7 deux vecterlrs déflnis dans le plan muni d'un repère orthonormé o,;,î
(,

Déterminer, dans chaque cas, le réel atelque les vecteurs î sont orthogonaux
"tî
l. u (l;a) et u (2;3) 4. u (l;a) et u (-l;a)
2. 1 @;z)et; (-t;0 s. i (a;6) ï ?t;t/t
"t
t ï g;,/2)eti (a;t) e. i t;-5) et ï ra;s't

EXERCICE 646 l0minutes


Soit 7 unvecteur déflni dans le plan muni d'un repère (O, 7, 7) orthonorme.
Déterminer, dans chaque cas, les coordonnées de deuxvecteurs î "ti orthogonaux à 7.
l. u (-1;3) 4.u (-2;o)
2. u (l;-2) 5.u (fr;-J4
3. u (l;0) 6.u (6;-s)
EXERCICE 647 Sminutes
Dans le plan muni d'un repère (O, 7, 7), roi les points A(-1;B), B(l;2)et C(4;3)
Démontrer que le triangle ABC est rectangle en B.

EXERCICE 648 5minutes


Dans le plan muni d'un repère (o, 7, 7), roi les points A(Z;3), B g;a)et C(l;B)
Le triangle ABC est-il rectangle?

EXERCICE 649 lO minutes


Soit o une mesure en ra.dian de l'angle
@)
Calculer le produit scalaire î -i aun les cas suivants :
236 CTIAPITRE4. GÉOMÉTRIE

+fi
l. il;il =z,ll; ll= 1 s1 s =2! . 4. llu ll = L, llu ll = | sr q = :
3 3
2. ll;ll=s, llTll =r/leto=1.
6"'-4-
s. il;il =r/j,llill=gs1q=!.

3. il;il = r/2,llill=+"to=T. 6. il7il =,Æ,1iil= tft etr=+.


EXERCICE 650 l0 minutes
Déterminer, dans chaque cas, une mesure e n radian de l'angle
" = (; i).
l. llril =z,llî.ll=teti.ï =r. s. il;il =z,llîll=y'Set;.; =-r/s,
z. ll;ll=s, llTll =1/2etï.i =s12. 4. ll;lt=rfa,lti|= y'3eti.ï =2.

4.1.3 Exercices dapprofondissement


EXERCICE 651 5minutes
Démontrer que :

i .ï = 0 si, et seulement si, les vecteurs 7 :t 7 sont orthogonaux.


Exrncrcr 652 : Fonuurr o'Ar-Kessr 15 minutes
Soit ABC un triangle quelconque.
l. En écrivantlÉ =fr +CB', dé-o.rtrer rlue AB2 = ACz + BCz -zACx BCcosô.
2. Que deüent cette relation lorsque le triargle ABC est rectangle en C?
3. Déterminer la longueur AB sachant que AC = 2, B C = 3 et ô = 30".
4. Déterminer la longueur AC sachant que AB = 4, BC = 5 et.Ê = 60".
5. Déterminer une mesure en degrés de  sachant que AB = 6, BC =7 et AC = B.

EXERCICE 653 l5 minutes


Soit deux points A et B du plan ? tels que AB = 4 et l le milieu de [AB].
l. Exprimer Yt*w,n' enfonction deM).
2. Exprimer MA.MB enfoncüon de MI.
3. Construire l'ensemble 11 des points M du plan ? tels que M,4 + MBz = lO.
4. Construire l'ensemble 12 des points M du plan PE§qr" M A . M B = I
5. Déterminer atel que les points M vérifrant MA . MB = a appartiennent à 11.

EXERCICE 654 5 minutes


Démontrer que quels que soient les vecteur s î ,ï , on a:

; ; =i (tt;.7ll' - ll;ll'- llTll')


EXERCTCE 655 lO minutes
1. Soit A el B detx points disüncts du plan, Déterminer l'ensemble des points M du plan tels
que MA. MB =O.
237
4.1. PRODUIT SCAIAIR]]

En déduire une équation du cercle de diamètre [AB] avec


A(2;5) et B (-3; 3) '
2.
15 minutes
EXERCICE 656

Soit A(l;3), B(-1;1) etC(3;-2) trois points du plan muni d'un repère orthonormé (o,7,7)'
l. Calculer nCetf.î"iô.
2. Soit H le projeté orthogonal de A sur (BC)'
a. Pourquoi a-t-on ,Bî' 'Bd =Ert 'gd I
b. Pourquoi H appartient-il au segment [BC]?
c. En déduire BH etCH.

EXERCICE 657
l0 minutes
Soit ABCD un paralléloigramme tel que AB = 4, AD = 5 et BAD = 60''
t-
l. Démontrer que + eD
[a,A -t2 = 61 et IAB ) BD.^ - AD
-t2 ) =21'
2. Endéduire les longu,eurs AC et
3. Déterminer une mesure de I'angle BAC.

EXERCICE 658 15 minutes


On pose llî ll2 = a,ll; llz = b eti 'î = t.
Exprimer en fonction de, a, b et c les produits scalaires suivants :

r. (s7 +2;).(-zi *ù) 3. (r; -s;) (-;.r)^


,. (; +s;)i +. (zi *ï)' *(zï -i)'

EXERCICE 659 15 minutes


Démontrer que

ll7
*ill'* ; -;ll 2
=z(uz + u2). ,. ll;.rll' ll7-7ll'=+î.i
'.
Exnncrcr 660 25 minutes
r. Démontrer que
llT ll = ll; ll
.t et seulement si 7 + I "tî - 7 sont orthogonaux.
2. Démontrer que ï 7 *", orthogonatx si et seulement si
ll7
* 7ll =
ll7 -
;
"i ll

3. Soit 7 ,., ,r""t"rr urritaire, c'est-à-dire tel que il 7 il = t.


Démontrer que, quel que soit 7, l" u""t"r ri =(ï
\/ ';); -7 est orthogond à 7'
EXERCTCE 661 15 minutes
Soit ABC un triangle quelconque, l le milieu de [BCl.
l. Démontrer que :

.1É .fr = AI2 -!nc'


4
. AB2 + AC2 =Zeÿ +lnCz
2
238 cHAprrRE4. cÉomnrrun

. AB2 - ACz =27î.Ed


ns ces trois relaüons sont connues
sous le nom de « théorème de la médiane ».
2' calculer la longueur des médianes du triangl e ABC sachant que
AB = 4, BC= 5 et AC = 6.

EXERCICE 662
Le plan est rapporté à un repère orthonormé direct
[o, ;,
7). soient a et ba*'rffi::i
considère les points A€t,B du cercle trigonrmétrique images répecüves
des réels a etb.
on a ainsi ainsi (7,
oî) = a (mod z"l et ôd) = a finoa zl,ol.
ll,
l. Déterminer une mesure de l,angle (oË ) oî)en fonction de a etb. En
déduire une expres-
sion de OB .OA.
2. Déterminer les coordonnées des points A et B dans le repère
(o, 7, 7). E" déduire une
seconde expression ae OÉ .oî.
3. Encomparantlesdetxelpressionsobterrues,démontrerquecos (a_b)=cosacosb+sinasinb.
4. En déduire que cos (a + b) = cos acos b - sin a sin b.
5. Démontrer que sin (a - b) = cos ((i. u) -
6. En déduire que sin (a - b) = sin acos b - sin")b cos a.
7. En déduire que sin (a + b) = sin a cos b + riin b cos a.

EXERCICE 663 l5 minutes


l. Soit A, B et C trois points alignés dans cet ordre, I{ un point sur la perpendiculaire à (AB)
en.4.
qr" aE' .tld = HAz + AË .-,ô .
Démontrer
2. Déterminerl'angle EEe sachant que Ali =20, BC =Z et AH = 4O.

EXERCTCE 664 lE minutes


SoilA et B detx points du plan tels que AB = 5 et 11 I'ensemble des points M tels que
MA -MB = )".
l. Construire, si possible, f1 dans les cas suivants :
L= -g À.= -4 L=0 ,[ = B.
2. Soit C un point tel que ,4BC équilatéral. (lomment choisir I pour que C soit un point de f1?

EXERCTCE 665 15 minutes


Soit A, B et C trois points non alignés du pJan P, I le milieu de tBCl et A/ le symétrique de A
par rapport à 1.
l. Simplifier les expressions d = tutË + uct -2Mî etî = twÉ + Md - Mî.
2. Déterminerl'ensemble despoints Mtels qr" ü .î =0.
3. Déterminer l'ensemble des points M tels q*
lld ll = llT ll
239
4.1, PRODïJIT SCALAIR,E

20 minutes
Exnncrcn 666
Soit Ie triangle ABC telolue : AC = I fit, îee = 40" et
ACB = 25" '
et ADEIe triangle tel que
-6ÆD le milieu du segment IACI
Soit
85", ffiÈ = 5d" e,t tel que E et B soient de part et d'autre du segment [AC]
=
1. Faire une flgure
2. Calculer les valeurs arrondies au mm des longueurs AE et AB'
3. Calculer les valeurs arrondies au cm2 des aires des triangles ABC et ADE'
(AE)' On obtient
4. Construire l'image dr: la flgure ABCDE par la symétrie orthogonale d'axe
alors le contour d'un cerf-volant à recouvrir de tissu'
recouwement de la
S. Calculer la valeur arrondie au dm2 de la surface de tissu nécessaire au
structure de ce cerf-rrolant.

15 minutes
EXERCICE 667
On considère le triangler ABC telque AC =24 cm, BC =28 cm et AB = 40 cm'

I ËïliiJifilJ:;r" en degrés de range rôB du rriangre ABC. Arrondir à r0-2


3. On admet pour la suite que I'angle ÂCB a une mesure égale à 100,3 '.
Calculer l'aire S du triangle ABC. Arrondir à l0-1.
4. On appelle Il le piedt de Ia hauteur issue du point C'
Donner l'expression de l'aire du triangle ABC enfonction de CII'
En déduire CH.
5. Calculer la mesure en degrés de I'angle EZe. Arrondir à l0-1.
6. En utilisant un résultat admis au 3. et le résultat obtenu au 5., calculer une valeur approchée
de la mesure de I'anlgle 67.
EXERCTcE 668 l0 minutes
En physique, on peut utiliser le produit scalaire pour calculer la résultante de deux forces.
Soit un point P soumis à deuxforces Fr et F2 formant un angle de 40', d'intensités respectives
500 N et 300 N.
Calculer I'intensité deli +Ë .
lg On pourra utiliser le résultat de I'exercice 654.

EXERCTcE 669 15 minutes

Soit un point P soumis à trois forces Fy , F2 et F3

= Boo N, = eoo N 500 N


llrl ll ll.; ll " llr; ll
F1

(fr;B) = Bo' et (E;E) = 16o'.


240
CIIAPITRE 4. COOTT,TÉrAE

ExERcIcE 670
En physique, le travail I4l d'une force
l0 minutes
F' est égal au produit scalaire du vecteur force F par le
vecteurdéplacementV :W =î .V.
une dépanneuse remorque une voiture jus<1u'au garage
distance d'un kilomètre en ligne droite.
Le câble de traction fait un angle de 30o avec la route
et exerce une tension de 1500 N.
l. Quel est re travail effectué par la dépann euse sur ra voiture ?
2' A travail égal, quelle dewait-êüe l'intensité de la tension si le câble
était parallèle à la route?

EXERCICE 67I
15 minutes
ABC est un triangle rectangle rectangle en,{.
l. DeTontr.er qu'il existe ununique point itf disünct de A tel que
MA.MB =OetMA.MC =0.
2. Déterminer ce point.

EXERCICE 672
15 minutes
Soit ABC un triangle quelconque.
l. Déterminer l'ensemble, f 1, des points M tels qu" Uî . MË = O.
2. Déterminer l'ensemble, 12, des points M tels qr" 7f' . Crt O.
=
3. Démontrer que f 1 et 12 ont detx points r)ommuns si, et seulement si : o . eË .fr < enz

EXERCTcE 673 lS minutes


Soit ABC un triangle quelconque.
t. Deryonger que,pour tout point M on a :
AM.BC +BM .CA +CM.AB =O
2. En déduire que les hauteurs d'un triangl(rsont concourantes.

EXERCTCE 674 15 minutes


Démontrer que dans un triangle « la somm: des carrés des longueurs des médianes est égale
atx trois quarts de la somme des carrés des Jongueurs des côtés ».

Exnnclcn 675 lS minutes


Soit e et e' deux cercles de centre O. Soienr OAC et OBD deux triangles rectangles en O tels
quelespoints AetC appartiennentà€, Bet D appartiennentàe', Ce(OD)etAe(OB).
Démontrer que la médiane issue de O dans le triangle OAD est la hauteur issue de O dans le
triangle OBC.
rs on pourra s'intéresser à: (oî + ôdl .B i
2\ )

EXERCTcE 676 lS minutes


Soit ABCD un carré de côté 2a, I, f , K et I I -'s milieux respectifs des côtés ,48, BC, CD et DA.
Le segment [A,Il coupe [D1] en P et [BK-] en Q.
Le segment [CI] coupe [D1] en S et [BK] en R.
4.1. PRODUITSCNÀIÂiE 241

l. Démontrer que 4 Dî,= q- -*


2. Démontrer que PS . ID = AL .AD .

3. En déduire une expression de PS en fonction de a.


4. Quelle est la nature clu quadrilatère PQRS?
5. Exprimer l'aire de P(IRS en fonction de a.

ExERcrcE 677 15 minutes


Soit ABC un triangle quelconque, ABDE et ACFG deux carrés extérieurs au triangle. Soit 1 le
milieu de [BC].
Démontrer que (41) est perpendiculaire à (EG).

EXERCICE 678 lOminutes


Soit ABCD un trapèze rectangle en A et D tel que AB = a et DC = 2a et AD = h.
l. Calculer AC .BD en fonction de a et h.
2. Déterminer la valeur de h pour laquelle [AC] et [BD] sont orthogonales.

EXERCTCE 679 2O minutes


Soit ABC un triangle quelconque de centre de gravité G et f une application qui à tout point
M du plan associe f (IW.t = MA2 + MBz + MCz.
l. Démontrer que 1(U) = |,G) +3MG2.
2. En déduire Iy, l'ensermble des points M tels que f (M) = k.
I=CC'
3. Démontrer à l'aide du théorème de la médiane que GAz + GB2 = * le}'.
22
4. Etablirdetxrelationrsanaloguesetendéduire qtreGAz+GB2+GCz=!1ea'+BCz+Ce2).
3'
5. Déterminer l'ensemble des points M tels que f(M) = AB2 + BCZ + CAz.

EXERCICE 680 20 minutes


Soit A et B detx points du plan tels que AB =3.
Soit l'application qui à tout point M du plan associe
/ f (M = AË .ffi .

t. Déterminer As, l'ensemble des points Mtels que /(M) = 0.


2. Soit Ilun point de (,48) tel que d(A, m = k. Déterminer f(IO.
3. En déduire Àp, l'ensemble des points Mtels que /(M) = 3k.
4. Déterminer À3, Â-6 ,et Ârz.
5. Déterminer l'ensemlcle des points M tels que -6 ( /(M) < e.
6. Déterminer I'ensemlole des points Mtels que 0 < f (M) <tZ.

EXERCICE 681 l5 minutes


SoitAetBdetxpointsduplantelsque AB=4,llemilieudusegmentlABl.Soit/l'application
qui à tout point M du plan associe l(Ivt) = MA2 - MBz.
l. Démontrer que pour: tout point M du plan f @D = 27rt .1Ë .
2. En déduire À6, Âs et A-s ensembles des points Mtels qlue f(M = O, f (M = I et /(M) = -8.
242 CIIAPITRE . CEOUÉTruN

3. Déterminerl'ensemble des points Mtekr que -B < f (M <8.


Exnncrcr 682 lO minutes
Soit ABC un triangle quelconque, G son cerrtre de gravité et f le milieu de [AC].
Déterminer l'ensemble des points M tels qtLe :
I ( MA _2MB + MC .MA =0.
)
, MA+MB +MC MA =0

ExBncIcE 683 20minutes


SoitABCuntriangle. Onnote AB = c, AC =b,BC = a,Ék = a,ffiZ = BetfrB =y.
l. Soit I/ le pied de la hauteur issue de B d:rns le triangle ABC.
a. Iustifier que BH = AB x sina.
I .
b. En déduire que l'aire du triangle AB(l est donnée par ,A = Tbcsina.
2
c. '22 =lacsi.r! =Lot"i^,n.
Démontrer de même oue-A

d. Endéduirelesésalités sinc - thÉ,= ti'Ï.


abc
2. Soit ABC untriangle tel que :

a. AB = 4, îEe = 25" et Ék = l2O" . D( terminer AC, BC et frù.


b. AB=6,8C=7 etfrÈ =55'.Déterrr.iner AC,ffie etÉk,.
Exrnctcr 684 25 minutes
Soit (EGFIO un carré de côté 6 cm, D le poi:rt du segment [EF] tel que ED = 2 cmet 1 le milieu
de [FG].
l. Construire le point K de tHG)tel que diR = 67".
2. Calculer la distance DI.
a.
b. Calculer l'angle 57F (donner sa mesrre au degré près).
c. En déduire l'ange F7G.
3. a. Calculer la distance KI.
b. Calculer l'aire du triangle DIK. Donrrer sa mesure au mm2 près.
4.u Calculer la distance KD.
b. Calculer l'angle (D7. Donner sa mesure au degré près.

Exnncrcs 685 lS minutes


Soit ABC un triangle rectangle en A, At le rnilieu du [BC], Il le pied de la hauteur issue de A
dans le triangle ABC , I et rf les projetés orth()gonaux de 11 respectivement sur [AB] et sur [AC] .

l. Calculer AAt .IJ .


2. En déduire la position relative des droiter; (AA\ et (I D.
4.1. PRODUIT SCAI.ilR,E 243

Exnncrcn 686 15 minutes


Quelle est l'aire du trianl$e au centre de la figure?

74cmz l16cm2

A B

370cm2

EXERcICE 687 15 minutes


; 6) ert C(-3 ; 2) trois points du plan rapporté au repère (o, 7, l),
Soit A(2 ; 3), B(-l no, n,
et Hçle pied des hauteurs issues respectivement de A, B et C dans le triangle ABC.
1. Déterminerune équaLtion de la droite (BC).
2. Calculer BA .BC, en déduire les coordonnées du point ÈIn.
3. En procédant de marLière analogue, déterminer les coordonnées des points H6 et Hç.

EXERCICE 688 15 minutes


Soit A(-2 ; 0), B(0 ;3) et C(7; 2) trois points du plan rapporté au repère (O, 7, T), Ho, ns
"t
Hs Ie pied des hauteurs issues respectivement de A, B et C dans Ie triangle ABC.
En utilisantlaméthode de I'exercice précédent, déterminerles coordonnées des points He, Ha
et Hç.

Exrnclcn 689 l5 minutes


Soit ABCD un quadrilatère tel que AB = 2OO, ffie = 48", dED = 25", dTD = 26o et ffiD = 44".
Déterminerlalongueur des côtés AC, BC, BD etCD.

EXERCICE 690 15 minutes


Soit ABCD un quadrilatère tel que AB = 10, Éh = 90", îR = lED = 30o et eîD = 5O' .

l. Déterminer la valeur exacte de AD et BD.


2. Déterminer une valeur approchée au centième de AC et BC.
3. En déduire une valeur approchée au centième de DC.

EXERCICE 691 15 minutes


Soit ABC un triangle qu,elconque et G son centre de gravité. Soit M un point du plan.
l. Démontretqr" C7 ,-CÉ *Gd = O'.
2. Démontrerque AB2-+ BCz +CA2 =l(Ce2 +GBz +GCz).
244 CITAPITRE 4. CNOTUTTTAN

3. Exprimer l(M = uË . t td * t td . t tî + Mî - MÉ en fonction de MGet des longueurs du


triangle ABC.
4. Déterminer I'ensemble f des points M lels que /(M) = 0.

ExERcrcE 692 lS minutes


Soit ABC un triangle équilatéral, de côté de longueur a et f l'ensemble des points M du plan
tels que 2MA2 + MB2 + MCz = k2, k étant rm réel donné.
Discuter en fonction de k et de a l'ensemble f.

EXERCICE 693 l5 minutes


l. Soit A, B etC trois points du plan. Cons:ruire le pointD tel que DA - DB + DC = 0 .
On distinguera le cas où A, B et C sont alignés et celui otr ils ne sont pas alignés.
2. En utilisant le point D précédent, déte rminer l'ensemble des points M du plan tels que
MA2 - MB2 + MCz = k (k constante réelle donnée).

Exnncrcn 694 lS minutes


Soit A, B, Cet 2des p,oBts fixes dqggn, M un point quelconque et les vecteurs i ,î
telsque u =MA+MB,u =MC +MD e.w =MC -MD. "ti
t. Déterminer l'ensemble 11 des points M tels qr" 7 .i = O.
2. Déterminer l'ensemble f2 des points M tels qr" 7 .i = 0.

Exrncrcn 695 20 minutes


Soit A, B et C trois points du plan tels que ,lC = 3a, BC = 5a et AB = 4a (a réelpositif donné).

l. Démontrer que Ui + tttË -zUd =i fi étant un vecteur donné du plan).


2. Déterminerl'ensemble despoints Mdu plantels qu" Utî. +ffi -\fr =d.
3. Déterminer I'ensemble des points M du plan tels que MAz + MB2 -3MC2 = Sa2

EXERCTcE 696 lE minutes


Soit A, B etC trois points du plan ?.

l. Démontrer que, quel que soit le point n' aansf , Uî Ai + trlË . Ca + l,td .1Ë = o.
2. Déterminer un point M deP tel que les MA .BC = MB .CA = MC . AB .

ExERcrcE 697 25 minutes


Soit ABC un triangle, At , Bt et C/ les milieur respectifs des côtés IBC), îCAl et [,48], G le centre
de graüté du triangle ABC.
Onpose BC = a., AC = b et AB = c.

l. Démontrer que pour tout M du plan M,l2 + MBz + MC2 = JMG| * !3'h' + b2 + c2).
',

2. Encalculant (Mî . uË + Md)' de derxmanières différentes, établir que:


t
zMA . MAt + MB . MC =3MG2 - à(", + b2 + c2).
4.2. TRIGONOMÉTRIE 245

3. On considère les poirLts communs atx cercles de diamètres [AA'] et [BC], montrer que, lors-
qu'ils existent, ces points appartiennent à un cercle de centre G dont on précisera le rayon
en fonction de a, b el" c.

4.2 Trigonométrie
4.2.1 Point de cours
Définitions : le plan est muni d'un repère orthonormal (O, 7, 7). I
. Le cercle trigonométrique est le cercle de centre O, de rayon I orienté
dans le sens direct.
Par enroulement de la droite réelle sur le cercle trigonométrique € on peut
associer à tout réel x un unique point M de €.
. Soit x un réel et M un point du cercle trigonométrique repéré par r.
On dit que r est une mesure en radians de l'angle orienté (Oi ,ffi)

Par convention on note alors (Oi , Ort) = x + Zkn


otr k est un entier relatif et on dit que ( oI,oM u po,rr mesure x radians à 2z près.
)
Mesure principale : la rnesure principale d'un angle orienté est l'unique mesure de cet angle
appartenant à l'intervalle I - n ; nl
Définition: I
soit x une mesure en radians de l'angle orienté(ô7, Ort) ott u x
est un point du cercle trigonométrique.
o cûs
. point M.
Le cosinus de x, noté cos x, est I'abscisse du
. Le sinus de x, noté sin*, est l'ordonnée du point M.

Propriétés : pour tout rê.el x, pour tout entier relatif k, on a


r -l ( cosx ( 1 et -l ( sin.r( 1
.cos2Jr+sin2x=1
. cos (x + k2n) = cos r et sin (x + k2n) = si11ç
. cos (-.r) = cos .r et sin (-r) = - sin.x.
246 CIIAPITRE . GEOMÉTRIE

Valeurs remarquables

E îT ît 7T
e 0 ;o 4 3 ,
,Æ \/2 1
cos0 I 0
2 2 2

I ,/2 \/3
I
sin0 0
2 T .)

4.2.2 Exercices dapplication de courr


Expncrcn 698 5 minutes
Compléter le tableau suivant :

lt ,t 3n 5n
radians lt
0
6 , 4 T
degrés 45 60 150 270

ExERcIcE 699 5minutes


Compléter le tableau suivant :

degrés 15 22,5 160 315

It 4tt 7n Str l6tr


radians I
18 T T 4 I

EXERCICE 7OO 5minutes


Pour chaque point déterminer un réel qui kr repère sur le cercle trigonométrique :

G
4.2. TRIGONOMÉTHIE 247

EXERcTCE 701 lOminutes


Pour chaque point déter:miner trois réels qui le repèrent sur le cercle trigonométrique, dont un
appartenant à l'intervall .e l-n ; rl :

B
..C,

EXERCICE 702 l0minutes


1T 3n n3n5n
Placer sur le cercle trigornométrique, les points correspondants à: n,2n,
7n ît 5n 7n lln n 2n 4n 5n
O,
, T 1' 4' 4'
4 6 6'6' 6'3'3'3'3
ExERcIcE 703 10 minutes

19'
.29n .
4' -r\n
4' 6 ' -lln
Placer sur le cercle trigonométrique, les points correspondant, à , . .7n -
6' 2'
lln 15n.2020n.
34:u 57ln
2'-"'"'evev'r' 3 ' 4

EXERCICE 704 l0 minutes


23n lSln n
Déterminer la mesure principale des angles suivants : 2gn, 302n, . .2o2ln .
2' 4' 6 ' -37
3

EXERCICE 705 lO minutes


234n 24ln 8764n 273n 9876n
Déterminer la mesure principale des angles suivants
5 7 r3 I 5
EXERCICE 706 lOminutes
Compléter le tableau suivant, en donnant les valeurs exactes :

2n 3n 5n 7n 5n 4n 3n 5n lln
0 ît
3 4 6 6 4 3 2 3 6

cos0

sin0
248 CHAPITRE4. CÉOPTATruN

EXERCICE 707 l0 minutes


Compléter le tableau suivant, en donnant k:s valeurs exactes

5n 9n 13n L7n 5n 7n 17n Bn


0 -3n
3 4 6 6 4 3 2 3

cos0

sin0

ExERCICE 708 l0 minutes


Dans chaque cas, en s'aidant du cercle trigcrnométrique, déterminer la mesure de l'angle 0, en
radians, dans I'intervalle lO; 2n[, puis dans f intervalle ]-n;n[.

l. cosg = 1
22 sing = -É. E
y'3
",/= 3. coso = - 22",.rrra = -1
2. cosl - -ÿ' et sinig=Ë 4. cosO = 0 et sin0 = -1.
22
EXERCTCE 709 l0 minutes
Dans chaque cas, en s'aidant du cercle trigc,nométrique, déterminer la mesure de l'angle 0, en
radians, dans l'intervalle lO; 2nl, puis dans l'intervalle l-r;nl.

l. I et sinp \/3
cosp = --22 - --
-E
ÿ3
3. coso
22etsino =-fr
=-12
2. cosl= 4. -l et sin0 = 0.
22"tsing = -1. cosO =

EXERCTcE 7lO l0minutes


Dans chaque cas, en s'aidant de la calculatrice et du cercle trigonométrique, déterminer la me-
sure de l'angle 0, en radians, dans l'intervalle IO; Znl, puis dans l'intervalle ]-n;n[. Le résultat
sera arrondi à 10-2 près.

l. cosg = l = -2t/' . 3. cosg = -l* et sino = 1.


33"asino 44
2. cos? = -0, B et sinO = -0,6. 4. cos0 = 0,6 et sin0 = -0,8.
rs Attention, la calculatrice donne des résultats pour:
Arccos (ou cos-l) dans l'intervalle [0;,nl.,
ît ît
Arcsin(ou sin -1) dans l'intervale
] 2'2
Exrncrcn 7l I l0 minutes
Dans chaque cas, en s'aidant de la calculatrice et du cercle trigonométrique, déterminer la me-
sure de l'angle 0, en radians, dans l'intervale lO;2n1, puis dans I'intervalle lD;2n[. Le résultat
sera arrondi à 10-2 près.
l. cosp = 0,1 et sinp = \/dÆ. 3. cosg = -0,3 et sing = \Æ,9'1.
2. cos? = -0,9 et sin0 = -/0;I9. 4. cos0 = ÿ0,l9et sin0 = -0,9.
4.2. TRIGONOMÉTRIE 249

EXERCICE 7I2 l0minutes


Sans calculer x, déterminer la valeur exacte de sinr sachant que :
l. cosx=0, 15etxe [0;;r]. 4. cosx=-0, 15etxeln;2n\.
2. cosx = -O,2 et xe [0;zr]. 5. cos.r =O,2et xeln;2n).
3. cosx= 0, 15 etxel-fi;Ol. 6. cos.r= -0, I et xel0;nl.
EXERCICE 713 l0 minutes
Sans calculer r, déterminer la valeur exacte cos.r sachant que :

l. 1 .fi1
4. sinx = -0,15 I lt.n1
sinx = 0,15 et x e
[0; ;1. et x e
t-r,rl
7t
ln.3n .7t I
2. sinx = -0,2 et x e
lz'T
5. sinx =0,2 et xe
,'rl'
n.3nl
3. sinx=0, 15etxe Il- .ît
)t
6. sinx=-0, letxe
t'1 |T l'
ExERcIcE 7I4 l0 minutes
Compléter le tableau de signes

x -fi -ioi 7t
sfi
?
2n
cos.r
sln.r

ExERcIcE 7I5 5 minutes


Soit x e R, donner un encadrement des expressions suivantes
l. cos.r+2. 3. 2' 5cos2x.
2.3sinx-I. 4. l-2sinSx.

4.2.3 Exercices d'ap;profondissement


EXERCTCE 716 lominutes
Soit ABCD un quadrilatère tel que AB = BC =2x, AD = DC = x etÉîD = ÉeD =1.
2
Soit 0 = IEè. que vaut r;inO?

EXERCTCE 717 l0minutes


Soit ABC un triangle isocèle en A tel que E7Ô = 37o et BC = 10.
Quelle est la longueur du segment [AB]?

ExERcrcE 718 2ominutes


Soit A et B deux points d'un cercle de centre O et de rayon R. On note 0 = frB en degrés.
l. Exprimer la longueur de I'arc Æ enfonction de R et g.
2. Une fourmi se déplace sur un cercle de rayon 3 m à la vitesse de 5 km.h-l . Partant du point
A, elle arrive au point B après 36 minutes de déplacement.
Quelle est la valeur de 0 ?
250 STTAPITRE 4. cÉotutÉrarc

EXERCICE 7Ig l0 minutes


Démontrer que pour tout .r réel, cosz x + sfur2 x = 1.

EXERCICE 720 lO minutes


Soit ABCD un carré de côté 1.
1. Déterminer AC et l'an$e frÈ.
2. Endéduire lavaleur exacte de cos ! etsin!
44
ExERcIcE 72I l0 minutes
Soit ÂBC un triangle équilatéral de côté 1, [/le pied de la hauteur issue de C,

l. Déterminer C H,les angles eÿe etÉeÈ'.


2. En déduire la valeur exacte de cos !, 1 1.
3' 6 et sin 6
3' "in!.cos
ExnnctcsT22 minutes 15
Ecrire, en Python, une fonction principa, (a, b) permettant de déterminer la mesure princi-
pale d'un angle donné sous la lorme !.b
EXERCICE 723 25 minutes
Résoudre, dans R, les équations suivantes :

'l. cosx = \/3 tD'


5. sinx = -- 9. cosSx = -l
-2?
2. cosx = --:-2
rt 6. sinr=--2
1
10. sin2x =
6
2
I J'
7. coszx- :-
3. cos.r= -2 2
ll. sin3.r = -rt2
J3 ,tÆ
4. sinx - 2
8. cos3x = --:-
2
12. sinTx = -l

EXERCICE 724 15 minutes


Pré-requis : pour tous réels a et b
cos (a + b) = cos acos b - sin asinb
sin (a + b) = sin acos b + cos asinb
En utilisant les pré-requis et la parité de sinus et cosinus,démontrer les égalités suivantes :

1. cos (a
- b) = cos acos b + sin a sin b.
2. sin(a - b) = sin acos b - cos asin b.
3. cos2a= cos2 a-sinz a=2cos2 a-l=l--2sinz a.
4. sinZa = 2cos asina.
4.2. TRIGONOMETRIE 251

EXERCTCE 725 lO minutes


En utilisant les résultats de l'exercice précédent, démontrer les égalités suivantes :

l. cos (x + y) cos (x - y),= cos2 x - sinz y = cos2 y - sinz x.


2. sin(x+y)sin(x-y) =, sinzx-sin2 y=cos2 y-cos2.r.
3. cos (t + y) sin (x - y) == cos x sin x - cos y sin y.
4. cos (x - y) sin (x + y) := cos r sin x + cos y sin y.

EXERCICE 726 l5 minutes


l. Calculer Y
34-Y.
2. Exnrime.
7t 1I
a et sin a en fonction dercosS'cos7 1T îT
, "o. 12 12
srn -et
3
sln
4
3. En déduire lavaleur r:xacte de cos L
t2 "rrinL.
t2

EXERCICE 727 15 minutes


ît ît
l. Calculer-+-.
34
7n 7tcos;,
decos I, 7t fi1r
2. Exprimer cos et,inlTen fonction ) sin - et sin -.
12 lZ 34
3. En déduire la valeur exacte de cos A
L2", "rn?.
12

EXERCICE 728 10 minutes


.a l-cos2x
l. Démontrer que pour tout J réel, cos2 * =l*T"2o Sln'-f =
2 ", 2
2. En déduire la valeur exacte de cos ! rln!.
BB
"t
EXERCICE 729 l0 minutes

1.
Soit a et b deux réels appartenant à l'interval rc
lo ; iltels que cos a =
| "t "o, f =
Calculer sin(2a+ b) etsin(a-2b).

EXERCICE 730 15 minutes


kn(keZ), sin3-r cos3x
Montrer que, pour tout réel * I
lg
i sirr* o"* =2.
On pourra utiliser les formules démontrées dans l'exercice724.

EXERCICE 73I 15 minutes


sinB-r
1. Démontrer que pour tout ré el x I kn (k e Z), cos x cos 2x cos 4x =
S ÿ_*
2. Calculer
n cos 2n:
cos:
4n
777
ît
3. Calculer cos - cos
2n: 4n
999
252 CHAPITRE4. CEOTWNTruT,

EXERCIcE 732 l0 minutes


Soit la fonction / définie sur R par lU) = cr)sr + y'5sin.r.
l. Déterminer derx réels a et b tels que /(:0 = acos(x - b).
2. Démontrer que, dans l'intervalle l};2n1, l'équation f @) = ,/2 admetderx soluüons que l'on
déterminera.

EXERCTcE 733 lominutes


l. Déterminer deux réels a et b tels que po ff tout réel x : cos.r + sin x = acos (x + b).
2. En déduire un encadrement de cosx + sin-r.

EXERCICE 734 lO minutes


Résoudre dansl - r;nl les inéquations suivmtes :
l. I - 2sinx > 0. 3. sinxcosr ) 0.
2. l+2cosx>0. 4.2cosx+y'5<0.
EXERCICE 735 l0 minutes
Résoudre dans R les équations suivantes
l.2cos2x-3cosx+l=0.
2. sin2 .-(r.+) sinx+3rt -0 2

Exnncrcn 736 20minutes


l. Résoudre dans R l'équation (E) :ïxa - 8;;2 + I = 0.
2. Résoudre l'équation cos4z = O.
3. Exprimer cos4z en fonction de cosz.
4. Déduire des questions précédentes la valeur de cos 1 *.
88
", "o,
EXERCICE 737 lO minutes

l. Pour quelles valeurs de a le point T


existe-t-il?
2. Exprimer 1I en fonction de OH et HM.
I 3. On pose 1I = tana. Retrouver l'expres-
sion de tan a en fonction de cos a et sin a.
4. Déterminer a tel que tana = l.
4.2. TRIGONOMÉTRIE 253

EXERCICE 738 l5 minutes


Démontrer les expressions suivantes :

tana+l:.anb
l. tan(a
r' !ur\w lfo)
I Y/ =
l-tanatanb'
tana-|:anb
2. tan(a_D-
l+taIratarlb
--
2tana
3. tan(2a) = :------------;-.
I-taî"
--:-. a
4. En déduire lavaleur exacte de tana
12"rr*r?t2
EXERCICE 739 3O minutes
Soit ABCuntriangleis«rcèle enAtelqueBC= I et fÈ = f.5 mbirr".trice del'angle Æè
coupe lACl en D.
l. Démontrer que les triangles ADB et BCD sont isocèles.
2. Démontrer que AB = 2cos!.
5
3. Endéduire que DC ='2cos1
5
- l.
4. En se plaçant dans le triangle BCD, montrer que OC = +cosz T - 2.
c
5. Endéduireque +coslt!-2cos !-t=0.
55
6. Résoudre, dans R, l'équation 4x2 - 2x - |=O
7. En déduire la valeur exacte de cos 1.
5
8. Déterminer la valeur exacte de sin 1.
5

EXERCICE 740 l0 minutes


'2+
\/2
Soitae[0;z]tel que COS;(J = z
l. Calculercos(2a).
2. Endéduire la valeur rle a

EXERCICE 74I 15 minutes


Soit a e [0;z] tel que cosa
{u:'
= .
4
l. Calculer cos(2a) et cos (4a).
2. En déduire la valeur ,Ce a.

ExERcIcE 742 l0 minutes


l. Soit p et q deuxréels quelconques, démontrer les relaüons suivantes :

a. cos p + cos4 znor(\!)"o"(L3\


- -"""\ 21"""\ z )'
254 cIrAPrrRE4. cÉouarrue

b. cosp -cosq - -zsin(?!-!)"^(\3)


c. sinp+sin4 - z"h(ry)*"(T).
d. sinp-sin4- 2sh(ry)*"(.
r )

2. Transformer l'expression suivante en prlduit : cos.r + 2cosZx + cos3x.


3. Transformer l'expression suivante en prrlduit : sinx + sin2x + sinTx + sinBx,

Exrncrce 743 2O minutes


Démontrer les égalités suivantes :

l. cos4x-sinax =coszx.
2. cos2 2x - sin2 x = cos x cos 3x.
3. sin3xsin3 x + cos3.rcos3.r = cos3 2x.
4. 4cos3xsin3 x + 4sin3xcos3 r = 3sin4.x
5. (cosx+sinx)2 = I +sin2x.

Exrncrcn 744 20 minutes


Démontrer les égalités suivantes, en précisrmt à chaque fois leur domaine de validité :

1-cosx x
l. _;_ = tan ,-
sln.tr
[2n
2. sinlx-- +sinx+sin
\s (..'*)=o
3. tan_r_
t2
tanJ= tan2x
-
EXERCTcE 745 20 minutes
Démontrer les égalités suivantes, en précisent à chaque fois leur domaine de validité :

tanJ
l. tanZx- tanr =
cos2x
2sinx
2. tanZx -tan, =
cos x + cos3x
2tan2 x tan22x
3.
1 + tan4 .r 2 + tarÊ 2x'
EXERCICE 746 15 minutes
Soit l'équation '/5cos (3.r) + sin (3x) = m.

l. Résoudre cette équation pour m = I.


2. Pour quelles valeurs de rz cette équation a-t-elle des solutions?
4.3. GEOMÉTRIE REPÉIIÉE 255

4.3 Géométrie rerpérée


4.3.1 Pointdecours
+
Repère duplan: soit (O,1,/) un repère du plan. Si on pose 7 = OI et j = O,I, alors ce repère se
/_:?\
note également
[O;1, i J.

Coordonnées de 7E : soit A et B deux points de coordonnées respectives (x,a; ya) et (x6;y6)


/. :-?\
dansunrepère
lO;i, I ).
Le vecteur AË u port co,ordonnée. (ra - xe; ÿn - ÿ7').
Repère du plan : trois points non alignés définissent un repère du plan.

NormeduvecteurAË:soit AetBdetxpointsdecoordonnéesrespectives(xe;ye)et(xs;ys)
dansunrepère (o;î,1)
La norme du vecteur aÏl notées AB correspond à la longueur du segment lABl
onaarors (xa-xd)2+(ya-yo)'
lliÊll=
ns Pour utiliser les notions de distance ou d'orthogonalité, le repère utilisé doit obligatoirement
être orthonormé.
Vecteurs colinéaires : srrit 7 et 7 deux vecteurs de coordonnées respectives (x; y) et (x' ; y')
dansunrepère (o'i7)
Deux vecteurs non nuls u et tr sont colinéaires signifie qu'ils ont la même direction, c'est-à-
dire qu'il existe un réel I; tel qtr" 7 = kï .

Critère de colinéaritêi,î et7 sont colinéaires si et seulementsi det (; U x v' v'x' 0.


)
Vecteur normal, vecteur directeur: soit D une droite d'équation ax + by + c = O

. Le vecteur 7 de coordonnées (a;b) estnormal à la droite D.


. Le vecteur 7 de coordonnées (-b; a) est un vecteur de la droite D.
Equation d'un cercle : soit e un cercle de centre O (rn ; lo) et de rayon R.
€ est d'équation : (ï - x9)2 + (l - p)z = pz.

4.3.2 Enencices dapplicaüon de cours


ExERcIcE 747 5 minutes
Soit ABCDEF un hexagone régulier. Construire les points M, N et P tels que :
1.+'++-
AM =AB +AE - 2-AD, AN =BF +DC +2F8, PA+PB =PF
256 CTIAPITRE4. CPOTWÉrruE

EXERCICE 748 5minutes


Soit ABCD un quadrilatère.

l. I l_
Construire les points E et Ftels que , =:AË +-2 AD et AF = AC -:DC
AIi
2
2. Exprimerlevecteur EF a"irt.2
"nfonction
EXERCTCE 749 5 minutes
On considère un parallélogramme ABCD. Le syrnétrique de B par rapport à A s'appelle 1et le
symétrique de D par rapport à C s'appelle ,'.
Comparer I A et C J et en déduire la nature lu quadrilatère I AI C.
r

EXERCICE 750 lO minutes


Soit A et B deux points distincts.
On se propose de construire un point M tel que : zMÀ-3MÉ =d
1. Démontrer que le point M appartient à la droite (AB).
2. Construire le point M.

EXERCICE 751 l0 minutes


Soit A, B et C trois points non alignés.

' ai
Les points N et P sont tels qrr" = 1 oÈr- aô et BF =
2 ?Aô.
5-
l. Faire une figure.
2. Expliquer pourquoi (e;fr ,ft)est un n:père du plan.
3. Quelles sont les coordonnées des points A, B, C et N dans ce repère ?
4. Calculer les coordonnées du point P.
5. Montrer que les points A, P et N sont alignés.

Exnncrcr 752 l0 minutes


Soit A, B etC trois points non alignés. Les points D, E etF sont définis par
a_
AD =3A8,'2 AE = -AC etBF =28C.
Démontrer que les points D, E et F sont alil;nés.

EXERCICE 753 lO minutes


Soit ABCD un parallélograrnme. Soient 1 et / les milieux respectifs de IAB) et lADl et K le point
3-+
tel que BK = -BD .

l. Iustifier q.r" (e; fr ; Aô)est un repère du plan.


2. Donner les coordonnées des points A, B , D et C.
3. Déterminer les coordonnées des points .r, I et K.
4. Déterminer les coordonnées des vecteu rc Ki ,1î qi = Ci + sli
Æ. GÉOMETRIE REPÉhLÉE 257

ExERcrcE zs4 r_ _\ jomigtes


1
On considère le carré ABCD, E et F les points définis par AE = + oe) et BF =2CB
I [r,
.

l. Iustifier qr" (a; 1Ë | 16)est un repère du plan.


2. Donnerles coordonnées des points A, B, C, D, E ü!.
3. Déterminer les coordonnées des vecteurs AE et AF .
4. Que peut-on en dédurire en ce qui concerne les points A, E et F.

EXERCTCE 755 l5 minutes


Soit ABCD un rectangl: tel que AB = 4 et BC = 3. Soit les points E, F, G et Il définis par:
1.+ -+ I- l- +
AE =-AB.BF =-BC.GC
434 - =-DC etAH =2HD.
Lobjectif de l'exercice er;t d'établir la nature du quadrilatère EFGH piar deuxméthodes.
l. Méthodevectorielle
+ +
a. Exprimer EF en fonction de AB et BC.
b. exprimer ad de eË etBd.
c. "rfonction
En déduire la nature du quadrilatère EFGH.

2. Méthode analytique
a. Justifier qr" [a ; aË ; eD' )
\) un repère du plan.
"rt
b. Donnerlescoord,onnéesdespoints A, B, C, D, E, F, GetËldanslerepère (e;1Ë ,1Ë ).
c. Calculer les coordonnées des vecteurs rt qEd aurrr le repère (e; fr t 1ô
).
d. En déduire la nature du quadrilatère EFGH.

EXERCICE 756 10 minutes


Soit ABCD un parallélogramme de centre O et I , L K et I les milierx respectifs des côtés [AB],
lBCl,lCDl etlDAl.
l. Leplanestmunidurepère (O, Oi t OÏ) Déterminerlescoordonnéesdespoints O,I,LK,
L, A, B, C, D puis desivecteurs 1î , AË et B?.
2. Même question dans le repère (e,1É , o6).

EXERCrCET5T + ]------ Ijominutes


Soit ABCD un carré de r;ôté 3, E et F deux points tels que AE = - AB et DF = - D A.
En utilisant un repère orthonormé, démontrer que les droites (CE) et (BF) sont perpendicu-
laires.

EXERCICE 758 l0 minutes


SoitABCDuntrapèzerectangleenBetCtelque AB=6,8C=CD=3,EetFlesmilieuxres-
pectifs de [AB] et[ADl.
258 oITAPITRE . cÉoptnrrut

En choisissant un repère orthonormé, dénLontrer que les droites (EF) et (CE) sont perpendi-
culaires.

EXERCICE 759 l0 minutes


Dans le plan muni d'un repère (o, 7, 7), ,," considère les points A(l; t), B(2; o),
C(0; I), D(2;3) etG(-6; 0).
l. Déterminerles coordonnées des points P et Q tels que fr =zCË etd = 388 .

2. En déduire que les points P, Q et G sont alignés.

ExrncrcE 760 l0 minutes


Soit ABCD un carré de côté 1, M un point du segment [AC] distinct de A et de C, P et Q les
projetés orthogonaux de M respectivemenl sur [AD] et [DC].

l. Déterminer les coordonnées de B, M, P et Q dans le repère orthonormé (e'1Ë,fr).


2. Calculer Bd Fd
3. Que peut-on en conclure?

EXERCTCE 761 lsminutes


Pour chaque droite, déterminer un vecteur normal à la droite, un vecteur directeur et un point
de cette droite :
l.2x+3y+l=0. 4. y= 3x 5.
2.8x-y+6=0. 5. y=
1 2
fr
3. -x+ rty-t=0, 6. -x +-v+5=0
2 3"
EXERCICE 762 lO minutes
Déterminer une équation cartésienne de la droite D de vecteur normal T passant par le point
A.
l. n (l;3) etA(l;1). a. i,fz;-s) er A(2;-3)
, n (-2;1) etA(0;-2) 5. n (5; -1) et A(2;2).
3. -l I s\
, 1 2\
* ;(- ,,i)"t A(0;1)
[-5'i)etA(r;0)
EXERCICE 763 l0 minutes
Les droites D et À sont-elles perpendiculaires?
l. D : x-3y +2=0 et : 6x+2y -8=0.
2. D : 4x+ y + 13=OetÀ: x- 2y - tÆ=0,
3. D: x+(r+ {4y*2=oetÀ: x+ (t-l\y-B=0.
ExERCTcE 764 l0 minutes
Soit D la droite d'équation réduite y
"3=?* * 5.
l. Déterminer un vecteur normal à D.
2. Déterminer une équation de la droite  rassant pas le point A(2;3) et perpendiculaire à D.
4.3. GEOMETRIE REPÉ]LÉE 2s9

4.3.3 Exercices d'approfondissement


ExERcIcE 765 15 minutes
Dans un repère orthonormé (o,7,7) , on trace un carré
C B
OABC de côté 3 et un camê ADEF de côté 1.
l. Exprimer les coordonnées de tous les points de la figure
. I -.-\
dans le repère
[O,
,, I J.
2. Etablir une équation de (OF), (CE) et (BD).
3. Déterminer P le point d'intersection des droites (OF) et
GN,
4. Les droites (OF), (CE:) et(BD) sont-elles concourantes?

EXERCICE 766 15 minutes


Dans un repère orthonormé O, l,J on trace un carré
)
OABC de côté 3 et un carré ADEF de côté l.
l. Exprimer les coordonnées de tous les points de la figure
. (. -, -\
dans le repère
[O, , .lJ.
2. Etablir une équation de (OF), (CE) et (BD).
3. Déterminer P le point d'intersection des droites (OF) et
(cE). A

4. Les droites (OF), (CIi) et (BD) sont-elles concourantes?

EXERCICE 767 10 minutes

Soit ACBD un carré de côté l, DCI et BDJ A B


deux triangles équilatérinux.
l. Déterminer les coordonnées des points I
A, I et I dans le repèrre (o t od , ,î).
2. Démontrer que les çroints A, I et,I sont
alignés. D C

ExERcrcE 768 5 minutes


Dans un plan rapporté à un repère orthonormé (O,
\
î , /'l , soit D une droite de vecteur normal
n (a; b) passant par le point A (x a; y d), M (x; y) un point de D.
l. Démontrer qu',np érluation de D est de la forme ax + by + c = 0.
2. Démontrer que u (-b;a) est un vecteur directeur de D.
260 cHAPrrRE4. cÉotvterms

EXERCICE 769 lo minutes


Soit O (ro ; y.r) et M(x; y) deux points du lllan rapporté à un repère orthonormé o, ',7),
€ un cercle de centre O et de rayon -R.

l. Etablir une relation liant O, M et R.


2. En déduire qu'une équation de € est de la forme (x - xr)z + (y - ya)z = n2 .
3. Démontrerréciproquementque siM(x;y)vérifiel'équation (x-xr)2*(y-yn)' =R2alors
M ee.

EXERCTcE 770 l0 minutes


Déterminer une équation du cercle de cent:e O et de rayon R :

f. O(0;0)etÂ=2. 5. 0(6;-4)etR=Æ.
2. O(-1;B)etR=9. 6. O(-5;-2)etR=12.
3. O(3;2)etR=3. 7. O(3;-3)etR=7.
4. O(-1; -1) etÂ= 1. S. O(0 i -AetR=tÆ.

Exnnclcr 771 15 minutes


En utilisant la forme canonique, détermine r l'ensemble des points M(x ; y) tel que :
l. x2+2x+y2+6y+6=0. 5' x2+y2+2x-2y+l=0'
2. x2-4x+yz+gy-7=0.
*ï*' i
1,.-.,
4. x2+x+yz+ÿ=01
-r;-:=; i. {.; !rr,':;:iiri:ri
8. x2+y2+3x-3y=0.

EXERCTCE 772 lS minutes


Soit e un cercle d'équation x2 + y2 -Bx+4-, + 1l = 0
l. Déterminer le centre et le rayon de e .
2. Déterminer les coordonnées des points rl'intersection de e avec les axes du repère.
3. Etablir une équation des tangentes à e e r ces points.

EXERCICE 773 15 minutes


Dans le plan rapporté au repère orthonorm( (o,7,7) , on considère les points A(l ;2); B (3 ; 0)
et C(-2 ; 4).
l. Déterminer une équation de la hauteur issue de â dans le triangle ABC
2. Déterminer une équation de la hauteur issue de B dans le triangle ABC
3. En déduire les coordonnées de l'orthocentre I/ du triangle ABC.

EXERCICE 774 15 minutes


-*,7).
Soit A(- 1 ; 2) et B (3 ; 4) deux points du plarr rapporté à un repère orthonormé ( o,
1. Déterminer une équation du cercle e de diamètre [AB].
2. Déterminer une équation de la droite D perpendiculaire à l,4Bl et passant par P(k ; 0).
3. Discuter en fonction de k le nombre de roints d'intersection de D et e. Déterminer les va-
leurs exactes des coordonnées de ces po nts.
Æ. GÉOMETRIEREPEIIEE 261

EXERcTCE 775 15 minutes


Soit ABC un triangle rectangle eî A, At le milieu du [BC], Il le pied de la hauteur issue de A
dans le triangle ABC, I et / les projetés orthogonaux de I{ respectivement sur [AB] et sur [AC].
On définit un repère orthonormé (e;î , 7) tet que B(b; 0) et C(0 ; c).

l. Déterminer les coordonnées des points A' , I et J.


2. Calculer AAt .IJ.
3. En déduire la position relative des droites (AA\ et Un.

ExERcIcE 776 , + +\ 15 minutes


Dans un repère orthonormé ,
[O, , J J,
on considère les points A(1 ; 0) et B(0 ; Z),ladroite D
d'équation ÿ = x. Soit 1 ert / les projetés orthogonaux respectivement de A et B sur D, ,FI le pied
de la hauteur issue de O dans le triangle OAB.
Démontrer que -Ff appartient au cercle de diamètre [1/].

ExERcrcE 777 minutes.15


tiobjectif de l'exercice est de montrer que si les sommets d'un triangle ABC sont situés sur une
hlperbole }C d'équatio n y = ! alors I'orthocentre du triangle est aussi un point de ÎC.
'x
On désigne par a, b et c les abscisses des points A, B etC.
l. Déterminer une équettion de D6, la hauteur issue de C dans le triangle ABC.
2. En déduire les coordonnées xH et yH du point H, intersection de D6 avec ÿf.
3. Montrer, sans calculs, que Ff est l'orthocentre du triangle ABC.

EXERCTCE 778 15 minutes


Soit ABC un triangle rectangle en A, non isocèle. On construit extérieurement au triangle ABC
les carrés ABDE et ACFG.
1. Démontrer que les points A, D et G d'une part et A, E et C d'autre part sont alignés.
2. Démontrer que les droites (BC), (F D) et (GE) sont concourantes.

EXERCTCE 779 15 minutes


Soit ABCD un rectangle de côtés de longueurs AB = 5 et AD = 3,
Ele pointtel que rË =:rd .
25
Démontrer que les droites (AC) et (BE) sont perpendiculaires.

ExERcIcE 780 20 minutes


Soit ABC un triangle quelconque du plan, G son centre de graüté. On note f et 1'les repères
définis par 1= (e, eË ; 7d)
"t
î' = (G; ca' ; d).
l. Déterminer les coordonnées de At, Bt et C' milieux respectifs des segments [BC], [CA] et
[AB], dans le repère 1R.
2. Exprimer les coordonnées des vecteurs GB' et d dut t le repère 1.
3. En déduire que 1' est bien un repère du plan.
262 CIIAPITRE 4. CÉOtr,tÉfRrc

4. Déterminer les coordonnées des points A, B , C, At , Bt et Cf dans le repère f.,.


5. Quels sont les points ayant les mêmes ci)ordonnées dans les detxrepères?

EXERCICE 78I 25 minutes


Soit ÂBC un triangle tel que dans un repère orthonormé (o, 7, 7) aro,ol, B(-4; -2) etc(s; 4)
l. Déterminer les coordonnées de At, Bt '>t Ct les milieux respectifs des côtés IBCL 1ACI et
LABI.
2. a. Déterminer une équation de la médiane du triangle ABC issue de A.
b. Déterminer une équation de la médiane du triangle ABC issue de B.
c. Déterminer une équation de la médiane du triangle ABC issue de C.
d. Déterminer les coordonnées du point d'intersection des droites (AAt) et (BBl), on no-
tera G ce point.
e. Vérifier que G appartient à QC\. Qrre représente ce point pour le triangle ABC?
3. a. Déterminer une équation de la médiatrice du segment [AB], notée Âc.
b. Déterminer une équaüon de la médiatrice du segment [BCL notée Âa.
c. Déterminer une équation de la médiatrice du segment [AC], notée Âs.
d. Déterminer les coordonnées du point d'intersection des droites Âp et Â6, on notera O
ce point.
e. Vérifier que O appaftient à Ân. Que représente ce point pour le triangle ABC?
4. u Déterminer une équation de la haut eur du triangle AB C issue de A, notée D a.
b. Déterminer une équation de la haut eur du triangle AB C issue de B , notée D s .
c. Déterminer une équation de la hauteur du triangle ABC issue de C, notée D6'.
d. Déterminer les coordonnées du poir d'intersecüon de D n et D ç, on notera 11 ce point.
Lt

e. Vérifier que I{ appafiient à Ds. Que représenre ce point pour le triangle ABC?
5. Démontrer que les points G, O et Il sonl alignés.
ts Cette droite est appelée droite d'Euler.

EXERCTCE 782 15 minutes


Soit ABC un triangle quelconque de centre de gravité G, d'orthocentre Èf et de centre du cercle
circonscrit O.
r. Démontrerque @ =@ *@ *@
2. DémontrerqueOâ +OB +OC =3OG.
3. En déduire que les points O, G et,E[ sont alignés.

EXERCICE 783 15 minutes


Déterminer I'intersection du cercle e de cerrtre O et de rayon R avec les axes.
r. O(3;3)etR=S. 3. O(Iil)etR=y'5.
2. O(-l; 2) et R = 6. 4. O (0 ; -2) et R= fr.
4.3. GEOMETHIE REPÉ]?ÉE 263

EXERCICE 784 l0 minutes


Dans le plan muni d'un repère orthonormé (O, 7, 7), o" définit la famille ep des cercles de
centre O (0 ; k) et de raycn k avec k réel positif. Ay et Bp sont deux points de 0p d'ordonnée k.
l. Démontrer que tous les cercles gk ont un point commun.
2. Déterminer I'ensemtrle des points Ap et l'ensemble des points Bp.

ExERcrcE 785 15 minutes


Dans le plan muni d'un repère orthonormé (O, 7, 7), o" définit trois points A(-2;l), B@;2)
et C(2;5). Soit A/, Bt et C' les pieds des hauteurs issues respectivement de A, B et C dans le
triangle ABC.
l. calculer Bî .1ô , Bî -Ed et det(Bî ;a_d). e" déduire les coordonnées de ,4'.
2. De manière analogue, calculer les coordonnées de Bt etCt.

EXERCICE 786 l0minutes


SoitABCDuncarréde«:ôtésdelongueur4,llemilieudetBClet/lepointtelque rî =+ri.
4
e le cercle de diamètre lI l) et de centre C).
Démontrer que e est tangent en 1à la droite (AI).
e I l- 1-------\
on pourra se placer clans le repère I iDA
lo; noc ).
ExERcrcE 787 15 minutes
SoitDladroited'équation ax+by+c=0et Mo(xo; /o)unpointduplan?.Ondésigne puri
le vecteur de coordonn ées (a ; b) et I{ le projeté orthogonal de Ms sur D.

1. Etablir que D est l'enLsemble des p3ints du plan tels que Ort'ï = -r.
2. Etablir que MsH est colinéaire à z .
Dans la suite de l'exe'rcice on désigne par,t le réel tel qu" Mfr = A'i .
OMs'n+c
3. Démontrer que zt = --
lln ll2 + +
ns On pourra uüliser la relation OH = OMs + )"n .

4. En déduire que la disirance du point M6 à la droite D estd.(Mo; D) =|"ry:!i#;'l .

ExERcrcE 788 15 minutes


Enutilisant le résultat obtenu dans l'exercice précédent déterminer dans chaque cas ladistance
du point M àladroite D.
l. M(l;3)D:3x+2y-rL=O
,. ,(O; 0) D: 3x+2y-rr=O
3. M(-2; {ùD 2x-7y+3=o
4. Me, -l.l l: v = €;x+ I
[2', 3)
264 CIIAPITRE4. CAOMATNrc

EXERCICE 789 lO minutes


Dans chaque cas, écrire l'équation du cercll de centre O tangent à la droite À.
f. O(3 ; 2) et Ld'équation x+y+ I = 0.
2. O (-1 ; 5) et À d'équation 4x-3y -l =0

ExERCTcE 790 l0minutes


Démontrer que les droites Dp d'équatiors y = lç1a y'ffi (k étant un nombre réel) sont
tangentes à un cercle de centre O et de rayon R à préciser.

Exnncrcr 791 lSminutes


Soit ABC un triangle équilatéral de côtés de longueur a. On construit, à l'extérieur du triangle,
les carrés ABDE, BCFG et ACHI, de centrrs respectifs J, K et L.
L objectif de l'exercice est de montrer que J K L est un triangle équilatéral.

on note o le milieu de tABl et P le centre dn triangle ABC. onpor" 7 = lTË etî = *Of
aOP
l. Vérifier que le repère (O, i ; 7) est orthonormé.
2. Déterminerles coordonnées des points .4, B etC.
3. Déterminer les coordonnées des points r?, f puis J, K et L.
4. Démontrer que le triangle IKL est équikrtéral.

Exrncrcn 792 l0 minutes


Dans le plan muni d'un repère orthonormé
[O,
7, 7), on dennit €1 le cercle de centre A(-t;z)
et de rayon lE ete2le cercle de centre B(l;4) et de rayon 3.
Déterminer une équation de la droite passant par les points d'intersection des cercles.

EXERCTcE 793 lSminutes


Dans le plan muni d'un repère orthonormé, soit trois points A, B et C de coordonnées respec-
tives (2;3), (-4;5) et (6;-7)
l. Etablir une équation des médiatrices des segments lABl etlAcl.
2. En déduire les coordonnées du point C), .ntersection des médiatrices du triangle ABC.
3. Calculer le rayon du cercle circonscrit au triangle.ABC.
4. Etablir une équation du cercle circonscrit au triangle ABC.

EXERCTCE 794 25 minutes


l. Etablir une équation du cercle passant p u les points A, B et C, de coordonnées respectives
(l;1), (2;3) et (4; l).
lg On pourra s'inspirer très largement dr l'exercice précédent.
2. Etablir une équation du centre circonscr. t à un triangle équilatéral de côtés de longueur a.
rs On commencera par choisir judicieus:ment un repère orthonormé.
4,4. PREPARERI:UAM,SN 265

4.4 Préparer l'examen


Exrncrcn 795: QCM 20minutes
Cet exercice est un quesrLionnaire à choix multiple lqCM comportant cinq questions.
Pour chacune des questions, une seule des quatre réponses proposées est correcte.
f . Le qu,adrilgtère ABC,D est yn carré. On a: + +
a. AB .AB =O b. AB .AC =O .AD
c. AB = 0 d. AB .CD =0.
2. Un vecteur directeur de la droite d'équation 3x - 4y + 2 = 0 est :
++
uu(3;-4) b.uQ;4 c.u(4;-3) d.u(4;3).
3. Dans un repère orthonormg du plan, on considère les points A(2 ; 3),8(-5 ; 4) et C(7 ; 2).
Le produit scalaire AB . AC est égal à:
a. -36 b.2 c.36 d. 14.

4. Soit A, B elC trois points du plan tels que AË .É = 12. Alors :

a. AB =3, AC =8 et Iûô = 60'


b.AB=6,AC=2etllC=7
c. ABC est un triangle rectangle en A tel que ÀB =3 et AC = 4
d. Dans un repère orlhonormé du plan : A(l ; 2), B(5 ; 2) et C(-2 ; 4).
5. Dans le plan rapportrS à un repère orthonormé, l'ensemble des points M(x; y) tels que
x2+y2+4x-6y-3==0est:
a. une droite b. un cercle c. une parabole d. üde.

EXERCICE 796: QCM 20minutes


Cet exercice est un questionnaire à choix multiple (QCM) comportant cinq questions.
Pour chacune des quest.lons, une seule des quatre réponses proposées est correcte.
l. D*alEle plan muni d'un repère orthonormé, on considère les vecteur. 7(s ; o) et 7(2 ; -3)
u .u estégalà:
a. -12 b.0 c,2l d..24.
2. Soit ABC wtriangle tel que AB =3, BC = 5 etffie= 60o, alors AC est égal à :
u t/sa b.4 c. y'rg d. 15.
3. Dans le plan muni d'un repère orthonormé, une équation du cercle de centre A(3;-4) et de
rayon 5 est :
a. x2 +6x+y2 -By=0 b. x2 +6x+ y2 -By-25=O
c. x2 -6x+ y2 +8y =g d. x2 -6x+ y2 +By -25 =0.
4. Dans le plan muni d'un repère orthonormé, la droite passant par le point A(t ; -3) et de
vecteur normal a (3 ; 6) a pour équation :
a.3x+6y + 15 =0 b.3x-Gy - 15 = 0
c.6x+3y*3 = 0 d.6.x-3y- 15 = 0.
5. Dans le plan muni d'un repère orthonormé, onrconsidère les points A(-l ; 4), B(4; 1), la
droite D d'équation llx+ 5y +7 = 0 etlevecteur u (3 ; -5) :
a. le vecteur z est normal à la droite D;
266 CIIAPITRE4. CEOTWZTruN

b.la droite D est parallèle à la droite (AIl);


c. la droite D est perpendiculaire à la droite (AB);
d. le point A appartient à la droite D.

Bxsncrcr 797 : Vner/Feux 20 minutes


Pour chacune des cinq affrrmations suivantes, dire si elle est waie ou fausse. Chaque réponse
doit être justiflée.
Dans le plan muni d'un repère orthonorm(, on donne les points : ,4(-l ; 2), B(3; 4), C(l ; -l)
etD(4; 2).
Affirmation I : Les droites (AB) et (AD) sorrt perpendiculaires.
Affirmaton 2 : Une équation de la droite prlrpendiculaire à (AC) passant par le point B est
2x+3y -6 =0.
Affirmation3:UneéquationducercledecentreApassantparBest:x2+2x+1P-4y-15=0.
Affirmaüon4:Uneéquationdeladroitepzrallèleàladroited'équation2x-5y+l=0passant
parCest -4x+l0y-4=0.
Affirmation sz(TË: Ad)= Bo".
\)
Exrnclce 798 : VRAr/FAUX 20 minutes
Pour chacune des cinq affirmations suivan les, dire si elle est waie ou fausse. Chaque réponse
doit être justifiée.
Affirmaüon I z ABCest un triangle tel que AB =7, AC =8 etÉæ = 1 ,lor,
t)
fr .fr
=28{5.
Affirmation 2 z ABCD est un carré de centr3 O et de côté de longueur 1, alors AË .OË = 0,5.
Affirmation3:7 et7 rorrtdetxvecteur;orüogonauxtels que il7il =2et il7il = 3, alors
(; -;) (s7 * zi)= -n.
Affirmation 4: Dans le plan muni d'un repère orthonormé, les droites et (D) d'équations
respectives 3x-2y +3 = 0 et -6x+ 4y +l = 0 sont sécantes. ^
Affirmation 5 : Dans le plan muni d'un repèr e orthonormé, Ia droite passant par le point A(5 ; -2)
z\
et de vecteur ,
normal'( a Pour équatio n 5x - 2Y - 16 = 0.
[_r/
EXERCTCE 799 20 minutes

Une société conçoit et fabrique des crics hy.


drauliques.
A, B, C sont les trois points repérés du crir:
sur le schéma.
Dans le plan muni d'un repère orthonormé,
on définit les points A, B et C par leurs co.
ordonnées : A(84; 233), B(274; 123) e.
C(0; 55).
1. Déterminer les coordonnées des vecteurs Eî .

2. Calculer le produit scalaire Eî .Ed . "tEd


4.4. PRÉPARERI:WAM,EN 267

3. Calculer les normes ites vecteurs aî .

4. "tdd
Pour assurer un bon lbnctionnement du cric, l'angle ffie nedoit pas dépasser 45'
Cette contrainte est-elle respectée ?

EXERCICE 8OO 20minutes

La maille PétaleMr est constituée : A


. d'un triangle PLE rectangle et isocèle en P tel
que PE =PL= 4i T
. d'un triangle LET tel que tel que fET = 30o et
L
TE=5;
. d'un triangle l,AI r:ectangle et isocèle enA.
l. Calculer la longueur JLE.

2. En appliquant la formule d'Al-Kashi dans le tri-


angle LEI calculer la longueur LL
On anondirale résul,tat au dixième.
3. Calculer la longueur'IA.
On arrondira le résultat au dtxième. P E

EXERCICE 8Ol 20 minutes


Dans un repère orthonormé du plan, on considère le cercle e de centre O(-3 ; 4) et de rayon 5.
l. Démontrer qu'une équation de e est x2 + 6x + y2 - By = O.
2. Vérifier que le point,4(l ; 7) appartient à e.
3. Que peut-on dire de J[a tangente à e au point A et de la droite (OA) ?
4. Déterminer une équation de la tangente à e au point A.
5. Déterminer les coordtonnées des points d'intersection de e avec les axes.

EXERCICE 802 20 minutes


Dans un repère orthono,rmé du plan, on considère le point A(2 ; -D et la droite A d'équation
cartésienne x+2y+l=0.
l. Placer le point A et üacer la droite A dans le repère du plan.
2. Déterminer les coordlonnées d'un vecteur normal à À.
3. Déterminer une équation cartésienne de la droite (d), perpendiculaire à À et passant par A.
4. En déduire que le p«rint 1{, projeté orthogonal de A sur la droite Â, a pour coordonnées
(3; -2).
5. En déduire la distance entre le point A et la droite Â.

EXERCICE 803 20 minutes


Dans le plan est rapporl-é à un repère orthonormé, on considère les points A(1 ; 0), B(7 ; 6) et
C(7 ;2).
Soit g le cercle circonscrit au triangle ABC.
268 CHAPITRE4. CÉOTWÉTruT

l. Placer les points A, B et C dans le plan puis construire e.


2. Vérifier que la droite (D) d'équation , + y -Z = 0 est la médiatrice du segment [,48]
3. Déterminerles coordonnées du point B , milieu du segment [AC].
4. Déterminer une équation de la droite (I/) médiatrice du segment [AC].
5. Déterminer les coordonnées du point O, centre de e .
6. Calculer la valeur exacte du rayon de e.
7. En déduire une équation de e.

ExERcrcE 804 2ominutes


Dans le plan est rapporté à un repère orthonormé, on considère les points A(-2; l), B(2; -l)
et C(-3 ; 4).
l. a. Vérifier qr" af' .Ad = -10.
b. Déterminer la valeur exacte des Æ' il et 7d il || il .

c. Démontrer que cos (oË , fr) = -y7.En déduire la mesure de l'angte (oË , É)
2. a. Vérifier qu'une équation cartésienniide la droite (AC) est 3.r + y + 5 = 0.
b. Déterminer les coordonnées du point H, pied de la hauteur du triangle ABC issue du
sommet B.

4.5 AIIerplus loin


ExrncrcE 805 15 minutes
Soit ABCD un carré de côté a et de centre O. On associe à tout point M du plan la fonction /
définie par f (M =3MA + MB -ZMC -ztylD .

l. Démontre, qu", JM est un vecteur colrstant que l'on déterminera.


2. Endéduire l'ensemble des points M du lrlan tels que . twÉ * tttd + *ill= lffi il
f(M
Exrncrct 806 : FonuuLE DE HÉnoN 25 minutes
Soit ABC un triangle d'aire A on note Il le oied de la hauteur issue de B dans le triangle ABC,
l=
BC = a, AC = b, AB = c,p le demi-périmètre du triangle ABC soit p = t, + b + c).
z

l. Démontrer que A = ! bc sinÂ.


2
b2+c2-a2
2. A I'aide de la formule d'Al-Kashi, démontrer que cosâ =
2bc
3. Démontrerque (sinÂ)2 =
(o' - (o - cl2) (fu + c)2 - a2)
4bi c2
ts On pourra utiliser une formule de trigonométrie puis une identité remarquable.
4p(p-a)(p-b)(p-c)
4. En déduire que (sinÂ)2 =
b2c2
4.5. ALLERPLUSLOIN 269

5. Al'aide des questions précédentes, démontrer la formule de Héron:


"Q= p(p - a)(p - (p-c)
lg0(sinÂ<t.
6. Déterminerl'aire du triangle ABCtelque AB =5, BC =6et AC =7

Exrncrcn 807 15 minutes


l. Soit î @;ù etî @';y') deuxvecteurs du plan muni d'un repère orthonormé (o, 7, 7)
a. Démontrer que quels que soient les vecteurs u et u :

(; .;)' * (a,t(1î,î) )' = ll; ll" ll; ll'


b. En déduire que pour i "ti non nuls ,lart(l ,î )l = ll; ll , ll; ll ' 'i" (7;7)
2. Soit ABCuntriangle quelconque d'aire A.
Démontrer que A =,llar, (eË, od)
I

3. Soit A(2;8), B(-3;5) e*C(7;-2). Déterminerl'aire du triangle ABC.

EXERCICE 808 15 minutes


Dans le plan muni d'un repère orthonormé (o, 7, 7), o" appelle point entier tout point M
dont les coordonnées .r et y sont detx entiers relatifs.
Un polygone à sommets entiers est un polygones dont tous les sommets sont des points entiers.
l. Montrer que l'aire d'un parallélogramme à sommets entiers, non aplati, est toujours supé-
rieure ou égale à t.
lg On utilisera le résultat de l'exercice précédent.
2. Soit ABC tn triangk: équilatéral. En exprimant I'aire du triangle de deux manières diffé-
zlaut[É.fr)l
rentes, montrer que )--\E;--JJ = ,/3.
3. En déduire qu'il n exiLste pas de triangle équilatéral à sommets entiers.

EXERCTCE 809 : FonMULE DE Bnennecupte l5 minutes


On considère un quadrilatère convexe ABCD inscrit dans un cercle. On note a, b, c, d les lon-
gueurs des côtés IABI, IBCI,lCDl,IDAI, p le demi-périmètre et l'aire du quadrilatère.
"4
l. Etablir la formule Z(ab + c d) cos(u î, ud) = a2 + b2 - c2 - d2 .

2. Démontrer que S = (p-a)(p-b)(p-c)(p-d)


3. Soit A(1;0), B(4;l), C(4;3) et D(l;4).
a. Vérifler que les quatre points appartiennent au cercle de centre O(2;2) et de rayon /5.
b. Déterminerl'aire duquadrilatère ABCD.
270 cIIAPrrHE4. cÉovÉrarc

Exnncrcr 810 lSminutes


Soit ABC un triangle quelconque du plan, D une droite coupe (BC), (AC) et (AB) respective-
ment en P, Q et R. +
Ondéflnitlespointsl,/etKtelsqueA/ =AQ +AR,BJ =BP +BR etCK =CP +CQ.
Démontrer que les points I, J et K sont alignés.

EXERCTcE 8l I l5 minutes
Déterminer les équaüons des droites passant par A et tangentes au cercle € lorsque :

l. A(2;3) ete : x2 + y2 -Zx+! =0.


5
2. A(o;o) ete : x2 + y2 -2x-2y -2=0.

Exrnctcr 812 20 minutes


Définitionetpropriétédubarycentre:Soit(Ai;a;),(1<i(n),unsystèmedepointspondérés
de masse totale m = i
i=r
ornon nulle.

(1) Il existe un unique point G, appelé baryr:entre du système, tel que


i=l
i orCfi =d .

On peut noter : C = bar{ (Ati ai, (Azi az),..., (An; a r)1.


t
(2) Pourtoutpoint M,o,.ututd É oiiiÉ.
= m7=r
Remarque : Si Vi e N*, tzi = l, G est le centr-'de gravité du polygone A1A2... An.
l. Démontrer l'unicité du point G.
2. Démontrer la relation (2).
3. Dans un repère (O, 7, 7), o" pose Â; (t:a,;yt,). Déduire de la question précédente les co-
ordonnées de G.
4. Démontrer qu'on ne change pas le baqcentre de plusieurs points en remplaçant certains
d'entre eux par leur barycentre affecté d: la somme (non nulle) des coefficients correspon-
dants.
5. Soit ABCDun parallélogramme. Constnrire le point C= bil{(A; l), (B; L),(C;2) ,(D;+)1.

EXERCICE 8I3 l0 minutes


Soit ABC un triangle et G le barycentre de ( A; l), (8, 3) et (C; -2).
l. Construire le barycentre I de,(8,3) et(Ci-z).
2. Démontrer que GA + G/ = 0 .

EXERCICE 8I4 5 minutes


Soit les points A(2;3), B(-t;4) et C(4;-Z).
l. Déterminer les coordonnées du point G, isobarycentre du triangle ABC.
2. Déterminer les coordonnées du barycentre des points (A;2), (B;3) et (C; 1)
4.5. ALLERPLUSLOIN 271

EXERCICE 815 15minutes


Soit ABC un triangle quelconque, A' , B' et C/ les milierx respectifs des segments [BC], tCAl et
IAB), Lle milieu de lACti et Mle symétrique de A' par rapport à C.
l. Ecrire I comme baryr:entre de A et B et M comme barycentre de B et C.
2. Calculer sù *zBi,.
3. En déduire que les po,ints Bt , L etM sont alignés.

EXERCICE 816 20minutes


Soit A, B, C etD quatre points non alignés du plan, G le centre de gravité du triangle ABC et I
le barycentre de (A;2) et (D;1).
+ + + +
1. Exprimer M jJ M!_! MC enfonction de MG .
2. Exprimer2MA + MLt en fonction de MI .
3. En déduire l'ensemble des points Mtels o"" + t tÉ. rAil =llrffi . ffi
llrî ll
4. En s'inspirant des qur:stions précédentes, déterminer l'ensemble des points M tels que
ll*i . uÉ * *d ll ==lV*Ë - rd ll

EXERCICE 817 15 minutes


Soit ABC un triangle et j\1un point d" plu".* +
onpose r(M =MA+ilMB +4MC etg(M =2MA-MB -MC
l. Exprimer /(M) en utilisant le point I barycentre de (A; l), (B;3) et (C;4).
2. Démontrer que B(M) est un vecteur constant, que l'on précisera.
3. En déduire l'ensemble des points M tels il
rf
+ 3 MË . n*d =
o* ll llrffi- MÉ - rd ll
4. En s'inspirant des questions précédentes, déterminer I'ensemble des points M tels que

lMî . r,rÉ *r*dll=ll*É - Mdl


Exuncrcr 818 15 minutes
Soit ABC un triangle qu,elconque, G = bar ru = aarl(A;2),(B;I), (c;a)| et
Ite,zl,(B;r)|,
t = b ar (B; r),tc; s)
|.
1(A;2),
1. Démontrer que
a. [zeA. aafi -0
+
b. siMlGalors zMA + MB loll il

c. En déduire que G réalise le minimum de


il
2MA + MB

2. Quel point réalise le minimum de ll 2MA + MB +4MC ?

3. Démontrer que 1réalise le minimum de MG +MC


272 cHAPrrRE4. cÉotwÉrarc

EXERCICE 819 2O minutes


Soit ABC un triangle quelconque, on pose BC = a., CA= b et AB = c.
h-
l. Soit D le barycentre de (,B, b) et (C,c). Ctn définit les points 86 et Cs par A86 = D+C AB et
C -
ACo . AC.
= b+c -
a. DB AB
Démontrer que D vérifle
-rC
= OC.
b. Quelle est la nature du quadrilatère ABsDCs ?
c. En déduire que (AD) est la bissectrir:e intérieure issue de A dans le triangle ABC.
2. En déduire le centre du cercle inscrit du triangle ABC est le barycentre de (,4, a), (B,b) et
(c, c).

ExERCTcE 820 25 mfunutes


On désigne par f I l'ensemble des points M du plan tels que =k avec k un réel strictement
positif.
#
l. Déterminer 11. On suppose pour la suitr: de l'exercice qlue k I l.
2. Montrer que M e 11 <- (ffi * o*î) (Mî - wË) = o.
3. En déduire que fp est le cercle de diamètre lIJf , avec t = Oarl(A;l), (B;k)I et
I =aarl@;t),(B;-k)|.
4. Construire l'ensemble des points M tels que k = 3.
5. Construire l'ensemble des points M telt',que k = uu", a et bdeux réels distincts stricte-
f,
ment positifs.

EXERCTCE 821 lS minutes


Soit D1 et D2 deux droites perpendiculaires et sécantes en O, M un point du plan distinct de
O, Ml et Mzles projetés orthogonarx de M respectivement sur 21 etD2.

l. Déterminer l'ensemble des points M tel; que M1M2 = a avec a réel strictement positif.
2. Déterminerl'ensemble des points Mtel; que (MrMù soit parallèle à une droite  donnée.
ls On pourra travailler avec des coordonné:s en choisissant judicieusement un repère.

EXERCICE 822 lS minutes


Soit ABC un triangle rectangle et isocèle err .4 avec AB = AC = A, où a est un réel donné stric-
tement positif.
l. Déterminer le barycentre G du système lrfer+t,(B;-l), tC;-f )).
2. Déterminer l'ensemble 11 des points M tels qrrc +N!i)z - M,gz - MC2 = -2a.2.
3. Démontrerquelafonction/définiepar.Ê(M) =2MA-MB -MC estunefoncüonconstante
que l'on précisera.
4. Déterminerl'ensemble 12 des points M tels que2MA2 - MB2 - MC2 = -2a2
4.5. ALLERPLUSIOIN 273

EXERCICE 823 l5 minutes


Dans le plan muni d'un repère orthonormé O, l,l
(, on considère? la parabole d'équation

y = x2,F'le point de c6ordon.re". (o' M point de


i) " D la droite d'équation = -1, un
y
? distinct de O, H et m les projetés orthogonaux de M respectivement sur D et sur l'axe des
abscisses. La tangente T à 3 en M coupe I'axe des abscisses en I

l. Déterminer, en fonction de x, les coordonnées des points m, H et T.


En déduire que 7 est le milieu de [FII] et de lOml.
2. Démontrer que ï est la médiatrice de [F1{].
En déduire une construcüon géométrique des points et tangentes de ?.
3. Montrer que ? est l'ensemble des points M tels que M H = MF.
rs La droite D est appel3e la directrice et F le foyer de la parabole ?.

EXERCICE 824 25 minutes


Soit ABFE un carré de centre / et de côté de E K F
longueur 2, D, C et G les milierx respectifs
de [AE],lBFlet[AB]. N
Soit 1 un point quelconque de [DC]. La
droite (41) coupe (EF) en K, la perpendi- I
culaire à (41) passant par l coupe la droite D C

(AE) en N. On dédigne par Mle syrnétrique


M
de N par rapport à 1.
Llobjectif de l'exercice est de déterminer
A B
l'ensemble ?1 des pointrs M obtenus lorsque
1 décrit le segment [DC.l. G

l. a. Préciser les positions de M lorsque 1 est en D puis en,I.


b. Quelle est la nature du quadrilatère AMKN?
c. En déduire que AitA= MK et que K est le projeté orthogonal de M sur la droite (EF).
d. Montrer que Pl €rst inclus dans une parabole P dont on précisera le foyer et la directrice.
2. On munitle plan du repère orthonormé @rrt,fr).
a. Donner une équation de ?.
b. Préciser I'ensemble des abscisses de M quand 1décrit [DC] et donner les coordonnées
des extrémités de ?.

Exnncrcr 825 : THÉoni)un D'UNqUHART 2Ominutes


E
Lobjectif de l'exercice est de démontrer
D
le théorème d'Unquhart :
F
SiAB+BF=AD+DF
A C
alors AC+ CF = AE + E.F
274 cHAPrrRE4. cÉoltÉrarc

l. ,i I c ac c a+
Démontrer o,re
' b=Talors b= b+d=a
2. Soit RSI un triangle. On note (Sm) = r (7SF) = s et (S?h) = r.

r-s
Sf+ fR _2
Démontrer ,RS r+s
2
b t d
3. Démontrer que'=2222 1 =
.i .o,
"o, "'r"T! ro"4
iUOrS Srn
a-d c+b Sln a+d c--b
Sln
222ir. = --.
4. Démontrer -
le théorème -
d'Urquhart.

Exrnclct 826 : THÉonÈuE »B ProrÉruÉr 2O minutes


«Soit un quadrilatère convexe inscrit dans un cercle, le produit de ses diagonales est égal à la
somme des produits des côtés opposés ».
soit ABCD le quadrilatère, o rr"gl"f a§.,- iryi ", fÆîs mesures com-
prises enüe 0 etzn des angles ;oC et ;oe).
[oe;oa J, [rla ),loc;oo J [oo
l. Exprimer AC x BD en fonction de a, p, J', ô et R.
2. Exprimer AB x CD + ADx BC enfoncticnde a, p,y, 6 et R.
3. Démontrer que pour tous réels x et y : c«rs (x - y) - cos (x + y) = 2 sin xsin y.
4. Conclure.

EXERCICE 827 l5 minutes


Soit ABC un triangle, I le pied de la bissectrice intérieure de l'an$e E7Ô

l. Démontrer
IB AB
-- oue
-*" rc= -AC'
-
2. Démontrer AB AC = IB x IC + AIz .
que x
3. En calculant l'aire du triangle ABC de dt,ux manières différentes, démontrer que
zbccosA
z
nI
^f --
b+c
EXERCICE 828 15 minutes
Soit,R le --
rayon du cercle inscrit au triangle ,lBC, d'aire S et de demi-périmètre p.
Onpose a= BC, b = AC et c = AB.
l. Etablir que S= pR.
2. Montrer -
que ,R = --!!- 511n.
a+b+c
4.5. ALLERPLUSLOIN 275

Exnncrct 829 15 minutes


La mairie d'un üllage fait appel à un graphiste pour le logo du nouveau skate-parc. Le graphiste
propose le modèle suivant:

SI(ATE
PARC

Partie A : Etude de la rarrnpe de skateboard

Afin d'étudier au mieur ce logo, on se place dans le repère orthonormal (o, 7, 7). our.
""
repère, la rampe de skal,eboard est constituée du segment horizontal [OA], du segment vertical
[OB] et de la courbe représentative e d'une fonction / reliant le point A au point B.
Les points A et B ont pour coordonnées respecüves A(4 ; 0) et B(0 ; 3).
Les tangentes à e en A et B sont horizontales.
Lafonction/estdéfinir-'surl'intervallet0;al par:f(x)=ax3+bxz+cx+doùa,b,cetdsont
des nombres réels à dél.erminer.

l. Donner l'expression l'@) de la foncüon dérivée de /.


2. a. Ecrire un systèmLe d'équations vériflé par les nombres réels a, b, c et d.
b. Résoudre ce système d'équations.
3. Onadmetquelafonction/estdéfiniesurl'intervallet0;4lpar/(x) =*.*'-§*'*Z.
a. Compléter le tableau de valeurs suivant :

x 0 0,5 1 1,5 2 2,5 3 3,5 4


f@t
On arrondira les résultats au dixième.
b. Tracer la courbe € dans le repère ci-dessous.
276 CITAPITHE4. CNOTWNTArc

3,5

3,0

2,5
C

2,0

1,5

\ \
1,0

0,5

A
0
0 0,5 1,0 1,5 2,0 2,5 3,0 3,5 4,0 4,5 5,0

Partie B : Etude de quelques éléments de la planche de skateboard


l. Les roues de la planche de skateboard so:rt constituées de deux cercles de centres respectifs
C(1,5 ; 2,5) etD(3 ; 1) et de rayon l.
:r" Donner une équation cartésienne du cercle de centre C et de rayon 0, 1.
b. Donner une équation cartésienne du cercle de centre D et de rayon 0, 1.
2. La planche est constituée de deux segments parallèles à la droite (CD) reliés par deux demi-
cercles. On appelle E le point d'abscisse jl situé sur la rampe de skateboard.
a. Calculer l'ordonnée du point E.
b. La tangente à la rampe au point E esl -elle parallèle à la planche de skateboard?

EXERCICE 830 25 minutes


Une entreprise souhaite reproduire des arr,phores gallo-romaines sur le modèle original ci-
dessous.
4.5. ALLERPLUSLOIN 277

IJamphore est obtenue par rotation autour d'un axe horizontal d'un profil ? constitué de la
réunion de la courbe € cl'une fonction / et de deux segments [AB] et [CD].

Le but de l'exercice est de compléter le tracé du profil? sur le graphique donné en fin d'exercice.

Sur ce gtaphique, le segment vertical [AB] représente le fond de I'amphore et le segment hori-
zontal [CD] représente l,e col de l'amphore, matérialisé par des pointillés sur Ia photo ci-dessus.
1
Dans le repère orthonormé de ce graphique, le point A a pour coordonnées -nt, ,le point

B a pour coordonnées (-4 ; 0), le point C a pour coordonnée. (rt ;) et le point D a pour

coordonnée'(r'
;)
Partie A: Etude du profil du corps de l'amphore

La fonction/ est déflnie sur [-4 ; 2] par f @)' =-*16\(r' + oxz - +o).
e est la courbe représentative de / dans le repère orthonormé précédent.

l. a. Calculer //(x).
b. Etudier le signe cle3x2 + 12r sur R.
t@) et Ie tableau de variation de sur l'intervalle
c. En déduire le sig:ne de f / l-4; 2l
d. /
En quelle valeur la fonction atteint-elle son maximum?
Donnerlavaleur de ce maximum.
2. Iustifler que la courbe € passe par les points A et C.
3. Ï
Quel est le coefficient directeur de la tangente au point C?
4. Tracer, sur le graphique ci-dessous, la tangente T et la courbe e ?

Partie B : Tracé d'une arnse et du profil de l'amphore


On modélise l'anse supririeure de l'amphore par un arc du cercle I d'équation
1
(x-2)" +(y-I)z = -.

l. Donner les coordonnées du centre C) de ce cercle et la valeur exacte de son rayon r.


2. Déterminer les coordonnées des points d'intersection du cercle I et de la droite d'équation
v=-.I
"2
I
En déduire les coordonnées du point E, intersection du cercle et du segment [CD].
3. Compléter le graphirlue, en traçant I'arc du cercle f représentant l'anse supérieure de l'am-
phore.
4. Compléter le graphirlue en traçant le symétrique du profil P et de l'anse par rapport à l'axe
des abscisses.
278 STTAPITRE 4. cÉotutrrrue

r- T - T-----r--.-
j5 f4 j3 -j2 - t, 5
::ii -.1:

t"'-..1.'':"':"'."-:--r-." -2:

-3:..

EXERCICE B3I 15 minutes

On s'intéresse dans cet exercice à la con< ep-


tion de ce minuteur formé d'un cône et d'ane
sphère tronquée. Le rayon de la sphère esr: de
3 cm et la hauteurtotale du minuteur est 9 r:m.
Ce minuteur est un solide de révolut.on,
construit par rotation autour d'un axe verlical
d'un arc de cercle et d'un segment.

S
ParüeA 6

Sur le graphique ci-contre, on a représent3 le


profil du minuteur dans un repère orthonolmé 5
/++\
[o,',;J'
Un arc de cercle de centre O et de rayon joint 4
3
les points A et B. Un segment joint les po nts
A et S. Les points B et S ont pour coordonnées 3

B(0 ; -3) et S(0; 6). Le point I est le milieu du


segment [os]. 2
Al
H est le pied de la hauteur issue de A dans le
triangle OAS. I
On a un raccord lisse » entre la partie sphé-
«
l
rique et la partie conique. La droite (AS) est
donc tangente à l'arc de cercle au point A. -1 4
Dans cette partie, on cherche à déterminer -l
les coordonnées exactes du point de raccord
A. Pour des raisons d'ergonomie, on souhiüte
-2
aussi que l'angle au sommet du cône n'exc,ide
pas 65'.
-3
B
4.5. ALLERPLUSLOIN 279

l. Iustifier que le triangle OAS est rectangle en A.


2. En déduire que A ap partient au cercle de centre f et de rayon 3.
3. Prouver que le trianplle OAl est équilatéral.
4. lJangle au sommet du cône est-il bien inférieur à 65'?
s. Montrer que le point A a pour coordonnée, , [* 2 ',2)
:)
\ '
Partie B

Le concepteur souhaite tTue la masse du minuteur soft inférieure à3OO gra,mrnes.

l. Le volume d'un cône est égal au tiers du produit de sa hauteur par l'aire de sa base.

a. Déduire de la question précédente la hauteur du cône et le rayon de sa base.

b. Endéduirequesonvolumevaut V,=81=n u.
"du minuteur, réalisée en plastique, sachant
c. Déterminer la rnasse de la partie
"orri&"
que la masse volumique du plastique est de 900 kg/m3 (arrondir le résultat au gramme
près).

2. Le volume d'une sphère tronquée est donné


nhz '
ParV= J^ (3R-h)
où R désigne le rayon de la sphère tronquée, et
h sa hauteur (sur la figure ci-contre, h =HB). t,-
R
I
a. Déduire de la question À 5 la valeur de h. I

b. En déduire que le volume de la sphère tron-


243n
ouée vaut Y: = :-:::
I cnl3.

c. Cette partie du minurleur comporte une caüté de 30 cm3. Déterminer la masse de cette par-
tie, réalisée en aluminitrm, sachant que la masse volumique de l'aluminium est de2700 kg/m3
(arrondir le résultat au gramme près).
d. Dans la cavité, on loge un mécanisme de 100 grammes. La masse totale du minuteur est-elle
bien inférieure à300 grimmes?

ExERcrcE 832 20minutes


Le palais de l'Alhambra à Grenade est réputé pour ses ornements muraux représentants dif-
férents pavages du plan. Lun des plus célèbres est représenté ci-dessous. Il est constitué de
motifs pajarita.
2BO crrAPITRE4. cÉouÉrata

Partie A : Construcüon d'un motif pajarita à partir d'un triangle équilatéral


On veut compléter un triangle équilatéral IBC afin de construire le motif pajaritareprésenté
ci-après.

l. Placer les points At, Bt etC'milieux rr)spec-


tifs des segments lBCl,lACl et [AB].
2. Construire les droites Â, À/ et A// rrédia-
trices respectives des segments [ABt], lBCt)
etlCA'1.
On note :

- 1le point d'intersecüon de  et \/ u

- I le point d'intersection de À' et A/'


- K le point d'intersection de Â/' et Â.
3. Construire les arcs de cercle, internes au tri-
angle ABC, de centres respectifs I, I et X. et re-
liant respectivement les points B et Ct , C et
At et A et B' puis leurs symétriques fl)spec-
tifs par rapport aux points Ct, At et B' pour
obtenir le motif pajarita.
C
Parüe B: Quelques propriétés géométriqurs
I
On considèr e le motlf p aj ar ita obtemt àpart ir
du triangle équilatéral ABC, construit dans la
partieA et représenté ci-contre. Les sommet:s A,
de ce motif pajaritasont les points A, B et C'.
Les points I, I et K construits dans la queri- K
tion 2. de la partie A sont les centres respecti::s
des arcs de cercle reliant les points B et Ct , i \
etAt et AetBt. A B

I
4.5. ALLERPLUSLOIN 2Bt

l. Tangente commune
a. Sur quel segment de la figure ci-contre se trouve le centre de l'arc de cercle reliant les
points B/ et C? JuLstifier.
b. Prouver que les arcs de cercle reliant les points A et Bt et B/ et C ont la même tangente
au point B/.
Iustifier.
2. Tangente ausommet
a. Iustifier que les clroites W') et (1, sont perpendiculaires.
b. En déduire que l''angle B'C,I est droit.
c. Quelle est la tanfJente en C l'arc reliant les points At et C? Justifier.

EXERCICE 833 2O minutes


Dans cet exercice, on s'intéresse à derx méthodes de construction d'une ellipse.
Les deux parties de cet e:rercice sont largement indépendantes.
Partie A : Construcüon d'une ellipse par la méthode du « jardinier ».

F
M M

G E

Pour tracer une ellipse, .Paul plante deux piquets en A et B. Il fixe une extrémité d'une ficelle au
piquet A et l'autre extrémité au piquet B. Il tend la ficelle avec un bâton, il déplace le bâton en
maintenant la ficelle terrdue et il contourne les deux piquets. Son bâton trace une ellipse sur le
sol.

Paul a tracé une ellipse dont les uu(es mesurent respectivement 15 m et 9 m.

l. a. Exprimer la longueur I dela flcelle en utilisant les points M, A et B.


b. En considérant I:s cas otr M est en G et en E, montrer que GA = BE puis que
| = 15 mètres.
2. u Exprimer / lorsque M est en F. Déterminer la longueur FA.
b. Montrer que OA = 6 mètres.
282 oHAPITRE 4. cÉouÉrarc

c. Quel est l'écartement entre les deux :iquets Aet B?


3. Lellipse est tracée dans un repère orthorrormé (O ; Oi , OT)

a. Lire les coordonnées des points A, B,


EetF.
b. On admet qu'une éguation-.rcarté-
sienne de l'ellipse est + = t.
.i. ..: ...i.........i....O
i:):ti
'i'':'',:''"i.''t'- i "
, I.:...1....i...:..

Le point M(6
# fu
; 2,7) appartient-il à
l'ellipse?

Partie B : Construction de cette ellipse à prrtir d'un cercle


Dans cette partie, on cherche à établir une dutre méthode pour construire l'ellipse étudiÉe dnns
ln partie A.

l. On considère le point N cos(/) ; 7, 5 sin(r)) où t est un nombre réel fixé


(7, 5
Montrer que le point N appartient au ce::cle 0 de centre O et de rayon 7,5.

2. On a placé un point N sur la flgure ci-corrtre.


La perpendiculaire à (Ox) en N coupe l'axe
des abscisses en K.
On considère le point P du segment [NrC] tel
queKP =0,6KN.
a. Quelles sont, en fonction de t, les l:oor-
données du point K? du vecteur KN ?
b. Montrer que les coordonnées du point P
sont (7,5cos(r) ; 4,5sin(f)).
c. En déduire, par le calcul, que le point P
appartient à l'ellipse.

EXERCICE 834 25 minutes


Soit ABC un triangle dont les mesures des trois côtés sont des entiers tels que l'angle ,É-est le
double de e.
Donner, dans I'ordre croissant les mesures c es trois côtés sachant que AC a la plus petite valeur
possible.

Expnctcs 835 : VRAI-FAUX 15 minutes


Soit A, B, C trois points distincts non alignés du plan et r e R. On définit les points M et N par
+ l+ + + l-
AM = ;AB + (l- x)AC et AN = (l- x)AB + _ AC .
22
Les propositions suivantes sont-elles vraies ou fausses?
4.5. ALLERPLUSLOIN 283

l. pour x=3, Mestlebarycentredusystème pondéré (C, -2)}.


{(r, ;),
2. Pour * ='=, il existe deux réels b et c tels que M soit le barycentre du système pondéré
2',
a),(c, c)|.
Ita,
3. Pour toute valeur de ,x, le point Àü appartient à la droite (BC).
4. Il existe une valeur dr: .r pour laquelle BCNM est un parallélogramme.

ExEncIcn 836 : VRAI-FAUX 15 minutes


Soit :

. ABC un triangle équilatéral de côté 3;


. G le centre de gravité du triangle ABC;
. Hle syrnétrique de A par rapport à G;
. lle milieu du segmerLt [BC];
. ? le plan passant par A et perpendiculaire à la droite (IIC)
Les affirmations suivantes sont-elles vraies ou fausses?
l. Le point Él est le ba4rcentre du système de points pondérés
{ta, fl ;
(8, -2) ; (C, -2)l
2. onu, aÀ.Hô=3.
3. Pour tout point M de I , on u, Hrt .fr = 3.
4. Le plan ? est l'ensemLble des points M de l'espace vérifiant:
( MA_zMB _zMC HC=-9

Exrncrcr 837 20minutes


Soit ABC un triangle rectangle en A, dont l'hlpoténuse mesure 4 cm. On désigne par O le milieu
du segment [BC] et par,S le cercle circonscrit au triangle,ABC.
Soit 1le milieu du segmr:nt [OA].
A tout point, M1lgplan, gn aslgie les points P,et Q dgfinis par :

MP =2MA + MB + Mt: et MQ =zMA - MB - MC .


l. Montrer que / est barycentre des points A, B et C affectés respectivement des coefflcients 2,
letl.
2. ExprimeriÉ deirt,puislvfq enfonction delî.
"nfonction
3. En déduire que les points P et Q sont les images respectives de M par une homothétie et
une translation dont on précisera les éléments.
4. Dans cette questiorr, M décrit le cercle 8.
a. Déterminer les ensembles f1 et 12 eue décrivent respectivement les points P et Q.
b. Montrer que le segment [PQ] conserve une longueur constante.
c. Montrer que le segment [PQ] contient toujours le point O/ slmrétrique de O piu rapport
àA.
284 cI:TAPITRE 4. cÉontÉrarc

EXERCICE 838 25 minutes


Le plan est rapporté au repère orthonormé (o, 7, 7) onpose oî. =1 etoË =21.
l. Soit M un point quelconque du plan de r:oordonnées (x ; y). On pose : d1= flsg ,MB
d, = d, t (rutË, Md) et d4 - ae t (rrrd, w.Â).
a. Calculer d1, d.2 et d3 en fonction de ;; et y et prouver que d1 + d2 + dt I O.

b. Endéduirelarelation, ort =f,1art;+aaoa') rrl.


2. Soit l le point tel que rt =?ffi
3
et a un réel strictement positif.
On suppose qtue M est le barycentre du riystème pondéré {(0, a), (A,l),(8,2)1.
a. Démontrer que M appartient au segment [O1].
b. Exprimer OM enfonction de OA, CtB etu.
c. En déduire, en utilisant la relation (l), que ds =2dz et d.1= 6flr.
d. Démontrer que Aire(MAB)- ax Aire(MOB)etAire(MOA1=2x Aire(MOB).

EXERCICE 839 15 minutes


Dans le plan orienté, une unité étant choisi,l, oD coflsidère un rectangleABCD tel queAB = 1Æ,
AD = 1 ; (AB , AD ) est un angle droit direct; 1désigne le milieu de [AB]
Soit t l'ensemble des points M du plan tels que MDz - MBz = l.
l. Vérifier que les points C et 1 appartiennrrnt à t.
2. Déterminer t.
3. En déduire que les droites (BD) et (C1) sont perpendiculaires.

EXERCTCE 840 25 minutes


Dans le plan, on considère le triangle ABC isocèle en â, de hauteur [AI{ tel que â.FI = BC = 4.
On prendra le centimètre pour unité.
l. En justifiant la construction, placer le point G, barycentre du système de points pondérés
16; 2); (B ; 1); (C ; 1)).
2. On désigne le point M un point quelconque du plan.
a. Montrer que le vecter. 7 = 2MÀ-itrÉ - Mô est un vecteur dont la norme est L
b. Déterminer et construire l'ensemble tr des points M du plan tels que
ZMA+ MB + MC = ttrtt
ll
3. On considère le système de points pordérés { (A; 2);(B ; n);(C ; n)
I où z est un entier
naturel fixé.
a. MontrerquelebarycentreG, deces'1stèmedepointspondérésexiste.Placer Go, Gr, Gz.
b. Montrer que le point Gn appartient iru segment [AÈI].
c. Calculer la distance AGn enfonctiorr de n et déterminer la limite de AGn quand z tend
vers + oo.
Préciser la position limite de G, quand z tend vers + oo.
4.5. ALLERPLUSLOIN 285

d. Soit t, l'ensemble des points M du plan tels que


llr*À. nt tÉ + "*ôil= , llÿ ll
Montrer que t, est un cercle qui passe par le point A, dont on précisera le centre et le
rayon, noté Rn.
e. Construire t2.

EXERCTCE 841 25 minutes


Soit A, B et C trois points distincts non alignés du plan, on note a, b et c les longueurs des côtés
du triangle ABC : a = Bll, b = C A et c -- AB.
t
Soit l'ensemble des points M du plan tels que : MA2 + MBz + MC2 = a2 + b2 + c2.
t. Soit G le centre de grravité du triangle ABC etsoit l le milieu du segment [BC].
a. Calculer AB2 + AC2 en fonction de AI2 etde BCz.
b. Endéduire : AGz =LgtOa' +zcz - a2).
)

c. Ecrire de même les expressions de BG2 etde CGz.


d. Montrer que AG2t + BG2 + CGz =l=(o'+
3' bz + c2).
2. Déterminer l'ensemble t.
3. Onchoisit a=5,b =,[etc= 3,placertroispoints A,B,Cetdessinert danscecasparticulier.

EXERCICE 842 25 minutes


l. On considère dans le plan un cercle € de centre O et de rayon R.
Soit M un point du p lan et D une droite passant par M et coupant le cercle € en deux points
AetB.
A'le symétrique
Soit de A par rapport à O.

a. Etablir que MA-MB = MA-MAl


b. Endéduire quettZî.ttÉ =rud-n2.
2. Soit EFGH un quadrilatère inscrit dans un cercle et dont les diagonales (EG) et (FI{) se
coupent en un point_l
Démontrer que IE . ,[G = IF -IH .

3. Soit e r et €z deux celcles de centres 01 et 02, de rayons R1 et ,R2.

a. Déterminer l'ensemble t des points M du plan tels que MO? - n? = ruOZ - n3.
b. Représenter et,(1zett pourÂr = 3 cm, R2=2cmetOtOz= 6cm.

Exrncrcp 843 25 minutes


Soit ABC un triangle rerctangle en A tel que AB = a et AC = 2a,I le milieu de [AC] et G le
barycentre du système .l ta, sl; (8, -2); (C, I ) .
)
l. Construire le point G: et préciser la nature du quadrilatère AB IG.
2. Exprimerles distances GA, GB etGC en fonction de a.
3. A tout point M du plan, on associe le nombre réel f (M =3MA2 -2M82 + MCz.
a. Exprimer l(M enfonction de MG etde a.
286 CTIAPITRE . GÉOMETRIE

b. f (M = 2a2.
Déterminer et construire l'ensemble T des points M du plan tels que
4. A tout point M du plan, on associe le no nbre réel h(M = 3MA2 -2M82 - MCz.
a. Démontrer qu'il existe un vecteur 7 .ron nul tel qte h(M = t tË .î - zo' .
b. On désigne par ? l'ensemble des points M du plan tels que h(M = -2a2.
Vérifier que les points I et B appartiennent à ?, préciser la nature de cet ensemble.
Construire ?.
5. ? et T sont sécants en deux points E et Ir. Montrer que les triangles GEC et GFC sont équi-
latéraux.

Exnnctcn 844 25 minutes


Soit A et B deux points distincts du plan r:t G le barycentre du système de points pondérés
(4,2); (8,-l)
{ I
l. Démontrer que le point,4 est le milieu du segment [GB].
2. Montrer que l'ensemble I des points N l els qr" = {2 estun cercle de centre G dont on
#
précisera le rayon en fonction de AB.
3. Soit C un point de I et,C l'ensemble des points M du points M du plan tels que
2MA2 - MB2 - MCz =0.
a. Montrer que lepoillg appa,rtient.C,
_ +
b. En écrivant MA = MC + CA et MB = MC + CB , montrer que pour tout point M de L,
onu Md.cd = o.
c. Déterminer alors l'ensemble ,C.

EXERCTCE 845 2o minutes


Soi! ABCD yn quadrilatère, l le milieu de [ACl, / le milieu de [BD]. Soit K le point tel que
KA = -2KB,Ilepointtelque LC = -2LD etMle milieu de [IKl.
Le but de l'exercice est de montrer que les p oints M , I et J sont alignés et de donner la position
du point M sur la droite (1/).
l. Justifier l'existence du barycentre G du système f (8,2);(C,l);(D,2)1.
{ta, l;
En regroupant les points de différentes :hçons, montrer que G appartient atx droites (KI)
et (I D.
2. MontrerqueGesten M,qreM,IetlscrntalignésetdonnerlapositiondeMsurll/1.
3. Faire une figure soignée otr tous les points considérés seront reportés.

EXERCICE 846 20 minutes


Soit ABCD un carré, de côté de longueur 2o. Ole milieu du côté [AD].
l. Déterminer trois réels a, b et c pour que le point O soit barycentre du système

Ite,ol;@,b);(c,dl.
2. Déterminerl'ensemble des points Mtelri que :
zMd .Mî .ffi + .frd = 422.
-ffi uî

I
4.5, ALLERPLUSLOIN 287

EXERCICE 847 20 minutes


l. Déterminer les valeurs de x, en radians, vérifiant la relation :
2sinxcosx + (/5- t) cosz x - (r/5+ t) sinz x = 0.
2. Déterminer, au cenüème de degré près, les valeurs de x vériflant la relation :

2sin.rcosx + (/5- t) cos2 x - (r/5+ t) sin2 x = 0, 1.

EXERCICE 848 2Ominutes


l. Soitl'équation (E): zzcosx+ bsinx= c.

.L onpose r = tao' jl. Montrerqu'alors cos., = !. . '- -"-'-= :L.


-'-"'-"- 1.1,
L' | + t2 "tsinr | + t2'
b. En déduire que (E) s'écrit alors (a+ c)tz -2bt + (c - a1 = g.
c. Résoudre cette équation.
d. En déduire les solutions de (E).
2. Applicati on: (m- 1) cos x + (m -l) sin x = l13m + t).
2'
Pour quelles valeurs de m cette équation a-t-elle des solutions?

EXERCICE 849 20minutes


Résoudre I'inéquation \E+zcosx > 2sinx dans l'intervalle l}l;2n1.
ExERcIcE 850 15 minutes
Calculer u.",urr l + a.ct,lrr l + arctu.r 1.
258
rs' Rappel : pour tout.x :f I + kn (k eZ),tanr = y ê
'2 x = arctany.
Chapitre 5

Probabilités

5.1 Probabilitésconditionnelles

5.1.1 Pointdecoursi

Définition : une loi de pr16fn6i1ité P est définie sur un ensemble O.


Soit A et B deux événements avec p (A) I O,la probabilité de l'événement B sachant A réalisé,
notée Pa (B) est définie par: Pa(B) =
o+#
Propriété : une loi de pr:obabilité P est définie sur un ensemble C).
Soit A etB deuxévénementstels P(A) l0 alorsl- P(AoB) = P(A)x Pe(B).
Remarque: siP(B)l0alors: P(AnB)=P(B)xPs(A)
La notion de probabilité conditionnelle a déjà
été rencontrée lorsqu'une situation est modéli- Pa@)
B
sée par un arbre. p(A)
Ainsi, en considérant deux événements A et B,
l'arbre ci-contre modélise la situation:
E
Pe(B)
Probabilité totale: Pv@)
B
B = (AîB), (7n a) er: les événements A n B
p(A)
etAn B sont incompatibles, on en déduit alors
E
que P(B) = P (An B) + P(a.a). Pv@)
Indépendance:
.DirequedetxévénerrLentsAetBsontindépendantssignifieque:P(AnB)=P(A)xP(B)

. Si A et B sont deux évtinements indépendants, alors 7 et B sont aussi indépendants.


290 CHAPITRE 5. PROBABILITÉS

5.1.2 E:rercices d'application de couni

Exnncrcn 85f : QCM 5 minutes


On considère l'arbre de probabilités suivanr.

0,2
B
0,15
E

0,6
B
0,85

0,4 E

Ql : Pa (a) a pour valeur


. 0,85 . 0,4 . 0,8

Q2: P(B) a pour valeur


. 0,54 . 0,8 . O,l2

EXERCICE 852 Sminutes


On considère I'arbre de probabilités ci-dessous

0,2
B
0,6 A
B

0,3
B
À
\ B

Quelle est la probabilité de l'événement B?

Exnncrcr 853 l0 minutes


Une société de hotline fait une enquête sur le niveau de satisfaction des personnes qui ont re-
cours à leurs services par téléphone. Elle dfu pose de deux centres d'appel : un situé à Marseille,
un autre situé à Lille.
Lenquête consiste à demander à chaque p€rsonne ayant téléphoné si elle est satisfaite ou non
du service que la hotline lui a proposé.
La société estime que 58 7o des appels reçus l'ont été par le centre de Marseille.
5. 1. PROBABILITÉS CO,VDITIONNELLES 291

De plus, parmi les appells reçus par le centre de Marseille, on constate un taux de 34To de per-
sonnes satisfaites; alors que pour le centre de Lille, on constate un taux de 44ÿo de personnes
satisfaites.
On choisit au hasard une personne ayant téléphoné.
On considère les événernents suivants:
M : <<lapersonne a téléphoné au centre de Marseille »,

S : « la personne est satir;faite du serüce proposé ».

1. a. Etablir un arbre cle probabilité illustrant la situation.


b. Déterminer la probabilité que la personne ait téléphoné au centre de Marseille et soit
satisfaite.
c. Montrer que la probabilité que la personne ayant téléphoné soit satisfaite est p = 0,382.
2. Sachant que la personne ayant téléphoné a été satisfaite, quelle est la probabilité que cette
personne ait téléphoné au centre de Lille? Arrondir le résultat à 0,001 près.

Exnnclce 854: QCM l0minutes


Dans une population, on estime qu'il naît SLVo de garçons et49ÿo de filles. Dans cette popula-
tion si le premier enfant d'une famille est une fille, dans 75Vo des cas il y a un deuxième enfant.
Si le premier enfant est Lrn garçon, il y a un deuxième enfant dans 20 7o des cas.
On choisit, au hasard dams cette populaüon, une famille ayant au moins un enfant.
On considère les événernents suivants :

F : « le premier enfant rCe cette famille est une fille »,

D :« cette famille a eu un deuxième enfant ».

l. On aP(D) =
a 0,469 5 b.'0,75 c.0,367 5 d.0,530 25
2. La probabilité que la famille choisie ait au moins detx enfants et que le premier soit une fiIle
est :

u 0,122 5 b. 0,49 c. 0,367 5 d. t,24

Exnncrcn 855 lominutes


Un circuit électronique L,st composé de deux composants identiques numérotés I et 2. On note
D1 l'événement « le cornposant I est défaillant avant un an » et orr note D2 l'événement « le
composant 2 est défaillemt avant un an ».
On suppose que les deux événements D1 et D2 sont indépendants et que
P(Dù=P(Dù=0,39.
Detx montages possibbs sont enüsagés, présentés ci-dessous :
292 CIIAPITRE 5. PROBABIUTÉS

Circuit en parallèleA Circuit en série B

l. Lorsque les deux composants sont monl és « en parallèle », le circuit A est défaillant unique-
ment si les deux composants sont défaillants en même temps. Calculer la probabilité que le
circuitA soit défaillant avant un an.
2. Lorsque les deux composants sont monlés « en série », le circuit B est défaillant dès que l'un
au moins des deux composants est déf üllant. Calculer la probabilité que le circuit B soit
défaillant avant un an.

EXERCTCE 856 5 minutes


Démontrer la propriété : si A et B sont deur:événements indépendants, alors 7 et B sont aussi
indépendants.

EXERCICE 857 5 minutes


Les événements A et B étant indépendants, calculer An B et A u B sachant que
l. p(A) =0,2 etp(B) = 0,9; 3. p(A) = p(F).= 0,5;
2. p(A) = 0,35 et p(B) = 0,25i 4. p(A) = p (-B) = o, o.

EXERCTCE 858 5 minutes


SoitAetB detxévénementstelsque p(A) =='=, OrouAl=! etp(B)= p;rvECO(
JJ
p( 1.
Calculer p dans les cas suivants :

l. I et B sontindépendants.
2. AetB sont incompatibles.
3. A est une partie de B.

ExERcrcE 859 5 minutes


Un objet est composé de trois élèments électroniques Ct, Cz et C3. Sachant que 5% des com-
posants C1,3To des composants C2 et27o dets composants C3 sont défaillants.
Les défaillances des trois éléments sont indépendantes et une seule défaillance empêche l'ob-
jet de fonctionner.
Quelle est la probabilité que l'objet fonctiorrne correctement?
5. 1. PROBABILITNS COI,I OTTIONNETLES 293

Exrncrct 860 5 minutes


Les événements A et B r;ont-ils indépendants sachant que :

l.p(A) = 0,2, p(B) = 0,7 et p (An B) = 0, 14;


2.p = 0,35, p(B) = 0,25 et p (An B) = 0, 163 ;
3.p t)tp(AuB) =0,9775;
A = O@)= 0,15
a. p@) = r(E)= 0,3 et p(Ânp) = o,zr.

5.1.3 Enercices dapprofondissement

EXERCICE 86I 15 minutes


Dans chaque cas compléter le second arbre en utilisant les données du premier
l. 0,85
B A
0,4 o=1 a/
0,15 E À
0,15
B A
0,6 -A</
0,85 E À
, 0,25
B A
0,5 3-'-
0,75 E Â
0, 15
B A
0,5 -A<<
0,85 B À
EXERCICE 862 15 minutes
Dans chaque cas compléter le second arbre en utilisant les données du premier
l. 0,1
B A
0,9 B/
0,9 E À
0,9 B A
0, I
0, 1
E Â
294 CIIAPITRE 5. PROBABILITÉS

, 0,45
B A
0,3
E À

B A

0,8 E À
EXERCTCE 863 lS minutes
Dans le cadre d'une campagne de sensibilir,ation au tri des ordures ménagères, une enquête a
été menée auprès de I 500 habitants d'une'rille, répartis de la manière suivante :
. moins de 35 ans :25Vo;
. entre 35 et 50 ans : 40 %;
. plus de 50 ans :35To.
A la question : « Triez-vous le papier? »,

. BOVo des moins de 35 ans ont répondu « oui »,


. 70 7o des personnes âgés de 35 à 50 ans ont répondu « oui »,
. 60 Vo des personnes de plus de 50 ans on t répondu « oui ».

On interroge au hasard une personne parmi celles qui ont répondu à cette enquête. On consi-
dère les événements suivants :
. I : la personne interrogée a moins de 3 5 ans »;
<<

. M : « la personne interrogée a un âge co:npris entre 35 et 50 ans »;


. S : u la personne interrogée a plus de 50 rms »;
. T : « la personne interrogée trie le papier:».
l. En utilisant les données de l'énoncé étatùir l'arbre de probabilités illustrant la situation :

2. u Définir par une phrase l'événement t n f.


b.Calculer la probabilité de l'événemerrt S n T.
3. Calculer la probabilité de l'événement : <rla personne interrogée a moins de 35 ans et trie le
papier ».
4. On note p la probabilité que la personn€ interrogée trie le papier. Montrer que p = 0,69.
5. Calculer la probabilité, arrondie au cen ième, que la personne interrogée ait moins de 35
ans sachant qu'elle trie le papier.

ExERcIcE 864 l5 minutes


A une sortie d'autoroute, la gare de péage comporte trois voies.
Une étude statistique a montré que :

a ZBV" des automobilistes empruntent la'roie de gauche, réservée aux abonnés; un automo-
biliste empruntant cette voie franchit to ujours le péage en moins de 10 secondes;
s. 1. pRoaABturÉs co;vortorvlrgllrs 295

. 52ÿo des automobilistes empruntent la voie du centre, réservée au paiement par carte ban-
caire; parmi ces derniers,TSVo franchissent le péage en moins de 10 secondes;
. les autres automobilistes empruntent la voie de droite en utilisant un autre moyen de paie-
ment (pièces ou billerts).
On choisit un automobiliste au hasard et on considère les événements suivants :

. G : « l'automobiliste emprunte la voie de gauche »;


. C ; « l'automobiliste emprunte la voie du centre »;
. D :« l'automobiliste emprunte lavoie de droite »;
. T :« I'automobiliste franchit le péage en moins de l0 secondes ».

l. Construire un arbre pondéré traduisant cette situation.


Cet arbre sera complété au fur et à mesure de l'exercice.
2. Calculer la probabilil,é P(C nT).
3. tiétude a aussi monrlré que TOVo des automobilistes passent le péage en moins de I0 se-
condes.
a. Iustifier que P(D n T) = 9,93.
b. Calculer la probabilité qu'un automobiliste empruntant la voie de droite passe le péage
en moins de 10 s,econdes.

Exencrcr 865 l5 minutes


Dans un supermarché, on réalise une étude sur la vente de bouteilles de jus de fruits sur une
période d'un mois.
. 4OVo des bouteilles vendues sont des bouteilles de jus d'orange;
. 25ÿo des bouteilles dle jus d'orange vendues possèdent I'appellation « purius ».

Parmi les bouteilles qui ne sont pas de jus d'orange, la proportion des bouteilles de « pur jus »
est notée x, où x est un réel de l'intervalle [0 ; I].
Par ailleurs, 2O %o des bouteilles de jus de fruits vendues possèdent I'appellation « pur jus ».
On prélève au hasard une bouteille de jus de fruits passée en caisse. On définit les événements
suivants:
R : la bouteille prélevée est une bouteille de jus d'orange;
/ : la bouteille prélevée est une bouteille de « pur jus ».
1. Représenter cette situation à l'aide d'un arbre pondéré.
2. Déterminer la valeur exacte de x.
3. Une bouteille passée en caisse et prélevée au hasard est une bouteille de « pur jus ».
Calculer la probabilité que ce soit une bouteille de jus d'orange.

EXERCTCE 866 l0 minutes


Un maraîcher produit ses fraises dans deux serres notées A et B; 55 % des fleurs de fraisier se
trouvent dans la serre A, et 45 Vo dans la serre B. Dans la serre A, la probabilité pour chaque fleur
de donner un fruit est égale à 0,88; dans la serre B, elle est égale à 0,84.
296 CHAPITRE 5. PROBABILITÉS

Pour chacune des propositions suiuantes, indiquer si elle est uraie oufausse en justifiant la ré-
ponse. Une réponse non justifiée ne sera pas prise en compte.
Proposition l:
La probabilité qu'une fleur de fraisier, choisie au hasard dans cette exploitation, donne un fruit
est égale à 0,862.
Proposition 2:
On constate qu'une fleur, choisie au hasarcl dans cette exploitation, donne un fruit. La proba-
bilité qu'elle soit située dans la serreA, arrondie au millième, est égale à 0,439.

EXERCTCE 867 lS minutes


Un fabricant d'ampoules possède deux mirchines, notées A et B. La machine A fournit 65 %
de la production, et la machine B fournit le reste. Certaines ampoules présentent un défaut de
fabrication:
à la sortie de la machine A, 8 % des amp oules présentent un défaut;
- à la sortie de la machine 8,5 Vo des ampoules présentent un défaut.
-
On déflnit les événements suivants :

A : « l'ampoule provient de la machinel.»;


- B : « l'ampoule proüent de la machine [, »;
- D : « l'ampoule présente un défaut ».
-
l. On prélève une ampoule au hasard parnri la production totale d'une journée.
a. Construire un arbre pondéré représrrntant la situation.
b. Montrer que la probabilité de tirer u le ampoule sans défaut est égale à 0,930 5.
c. IJampoule tirée est sans défaut. Calculer Ia probabilité qu'elle provienne de la machine
A.
2. On prélève l0 ampoules au hasard parnri la production d'une journée à la sortie de la ma-
chine A. La taille du stock permet de considérer les épreuves comme indépendantes et d'as-
similer les tirages à tirages avec remise.
Calculer la probabilité d'obtenir l0 amp,rules sans défaut.

ExERCICE 868 minutes


15
Un institut effectue un sondage pour connaître, dans une population donnée, la proportion de
personnes qui sont favorables à un projet d'aménagement du territoire. Pour cela, on interroge
un échantillon aléatoire de personnes de cr tte population, et l'on pose une question à chaque
personne.
Dans cette partie, on suppose que, parmi les personnes sondées qui ont accepté de répondre à
la question posée, 29 To affirment qu'elles sont favorables au projet.
Linstitut de sondage sait par ailleurs que la question posée pouvant être gênante pour les per-
sonnes interrogées, certaines d'entre elles ne sont pas sincères et répondent le contraire de leur
opinion véritable. Ainsi, une personne qui se dit favorable peut:
soit être en réalité favorable au projet si elle est sincère;
-
s. 1. pRoBABIurÉs cotu otuoNNErrrs 297

soit être en réalité défavorable au projet si elle n est pas sincère.


-
Par expérience, l'institurl estime à 15 ÿo le taux de réponses non sincères parmi les personnes
ayant répondu, et admet que ce taux est le même quelle que soit l'opinion de la personne in-
terrogée.
Le but de cet exercice erst, à partir de ces données, de déterminer le tatx réel de personnes
favorables au projet, à l,'aide d'un modèle probabiliste. On prélève au hasard la flche d'une
personne ayant répondu, et on définit :
. F l'événement la personne
« est en réalité favorable au projet »;
. F l'événement « la personne est en réalité défavorable au projet »;
. Al'événement « la personne affirme qu'elle est favorable au projet » ;
. 7l'événement « la personne afÊrme qu'elle est défavorable au projet ».

Ainsi, d'après les donnér3s, on a p(A) = 0,29.


1. En interprétant les d«rnnées de l'énoncé, indiquer les valeurs de Pr(A) et ft(A).
2. On pose .r = P(F).
a. Etablir l'arbre de probabilité illustrant la situation?
b. En déduire une égalité vériflée par.x

3. Déterminer, parmi les personnes ayant répondu au sondage, la proportion de celles qui sont
réellement favorablers au projet.

EXERCICE 869 l5 minutes


Le chikungunya est une maladie ürale transmise d'un être humain à l'autre par les piqûres de
moustiques femelles infectées.
Un test a été mis au poirrt pour le dépistage de ce virus. Le laboratoire fabriquant ce test fournit
les caractéristiques suivlntes :

la probabilité qu'une personne atteinte par le virus ait un test positif est de 0,98;
- la probabilité qu'une personne non atteinte par le ürus ait un test positif est de 0,01.
-
On procède à un test de dépistage systématique dans une population « cible ». Un indiüdu est
choisi au hasard dans certte population. On appelle :
M l'événement : « I- indiüdu choisi est atteint du chikungunya »;
- T l'événement : « Le test de l'indiüdu choisi est positif ».
-
On noteraM (respective:ment D l'événement contraire de l'événement M (respectivement f).
On note p (0 ( p < l) la, proportion de personnes atteintes par la maladie dans la population
cible.

l. a. Etablir un arbre cle probabilité


b. Exprimer P(M nfl, n(tt nf) puis P(1) en fonction de p.
2. u Démontrer que lia probabilité de M sachant f est donnée par la fonction / définie sur
to; rl Par : f (P)' =-jq4-
97p+l
298 CHAPITRE 5. PROBABILITÉS

b. Etudier les variations de la fonction f.


3. On considère que le test est fiable lorsqrre la probabilité qu'une personne ayant un test po-
sitif soit réellement atteinte du chikungrmya est supérieure à 0,95.
En utilisant les résultats de la question ll., à partir de quelle proportion p de malades dans
la population le test est-il flable?

EXERCICE 870 25minutes


l. Resütution organisée de connaissanceti :

Prérequis : On rappelle que deux événernents A et B sont indépendants pour la probabilité


p si et seulement si: p(AnB) = p(A) x p(B).
Soient A et B deux événements associés à une expérience aléatoire
a. Démontrer que p(B) = p(B n A) + pl anZ)
b. Démontrer que, si les événements / et B sont indépendants pour la probabilité p, alors
les événements 7 et B le sont égalerrent.
2. Application : Chaque matin de classe, Stéphane peut être üctime de detx événements in-
dépendants:
. R : « il n entend pas son réveil sonner »;
. S : « Son scooter, mal entretenu, tom le en panne ».

II a observé que chaque jour de classe, ll probabilité de R est égale 0, I et que celle de S est
égale à 0,05. Lorsque qu'au moins l'un des derx événements se produit, Stéphane est en
retard au lycée sinon il est à l'heure.

a. Calculer la probabilité qu'un jour de classe donné, Stéphane entende son réveil sonner
et que son scooter tombe en panne.
b. Calculer la probabilité que Stéphane , soit à l'heure au lycée un jour de classe donné.
c. Au cours d'une semaine, Stéphane se rend cinq fois au lycée. On admet que le fait qu'il
entende son réveil sonner un jour dr: classe donné rlinflue pas sur le fait qu'il l'entende
ou non les jours suivants.
Quelle la probabilité que Stéphane entende le réveil tous les jours d'une semaine?
Arrondir le résultat à la quatrième drlcimale.

Exnncrcn 871 20minutes


Dans une classe de 30 élèves, 14 sont des f lles. Par ailleurs, B filles et 4 garçons sont internes.
Les autres élèves sont externes.
On choisit un élève au hasard dans cette cliLsse.
On considère les événements suivants :
A : « l'élève choisi est interne »;
B : « l'élève choisi est un garçon ».
Tous les résultats seront donnés sous forme de fractions simpliflées et seront justifiés.
s. 1. aRaBABILITÉs coNorctoNNELLEs 299

l. Calculer la probabilité de l'événement A puis de l'événement B.


2. a. Calculer pe(B), «:'est-à-dire la probabilité que l'élève choisi soit un garçon, sachant qu'il
est interne.
b. Déterminer la probabilité de l'événement A n B.
3. Calculer pn(A).
4. Calculer la probabilité de l'événement A u B, à partir des questions précédentes, ou par une
justification directe.

EXERCTCE 872 20 minutes


Une classe est compos(ie de 17 flllFs dont 8 étudient le russe et 9 I'allemand et de 23 garçons
dont 12 étudient le russe et 11 l'allemand.
Chaque élève étudie une et une seule de ces deux langues üvantes.
On choisit un élève au hasard dans la classe et on définit les événements :
F l'événement :« Lélève choisi est une fille »;
G l'événement : « Lélève choisi est un g.uçon »;

R l'événement: « l-lélèrve choisi étudie le russe r;


A l'événement :« Iiélèrve choisi étudie I'allemand».

Chaque résultat sera exprimé sous forme décimale exacte ou sous la forme d'une fraction irré-
ductible.
l. Calculer P(G), P(R n G) et P(R).
2. Quelle est Ia probab:ilité que l'élève choisi soit une fille qui étudie l'allemand?
3. L élève choisi étudie le russe. Calculer la probabilité que cet élève soit un garçon.
4. On procède success.ivement deux fois au choix d'un élève de la classe. Le même élève peut
être choisi deux fois.
Calculer la probabilité de l'événement : « Les deux élèves choisis n'étudient pas la même
langue r.

EXERCTCE 873 2O minutes


Tous les résultats seront donnés sous forme de fractions irréductibles.
Un mélange de graines de fleurs contient :

50 graines de typr: A;
-
90 graines de typr: B;
-
60 graines de typr: C.
-
Toutes les graines n'ont pas le même pouvoir de germination. On conüendra qu'une graine
germe correctement si celle-ci donne naissance à une plante qui fleurit.
On considère que la probabilité pour qu'une graine germe correctement est de :

0,5 pour une graine de type A;


-
0,8 pour une graine de type B;
-
300 CHAPITRE 5. PROBABILITÉS

0,6 pour une graine de ÿpe C.


-
On sème une graine prise au hasard dans le mélange.
l. Quelle est la probabilité que ce soit une lpaine de typeA?
2. Quelle est la probabilité que ce soit une g:aine de t)?e A et que celle-ci germe correctement ?
3. Quelle est la probabilité que la graine sernée soit une graine qui germe correctement?
4. Quelle est la probabilité que la graine s,.'mée soit une graine de type C qui ne germe pas
correctement?

EXERCTcE 874 lS minutes


Lors d'une promotion, un hlpermarché verLd par paquets de un kilogramme des clémentines
et des oranges, en provenance de l'union etLropéenne (Italie, Espagne) et du Maroc.
Le nombre de kilos mis en vente est donné par le tableau suivant :

Origine Italie Espagne Maroc


Fruits
Clémentines 100 250 200
Oranges 350 450 650
l. Un acheteur pressé prend au hasard un p aquet de fruits. Quelle est la probabilité de chacun
des événements suivants :

a. Acheter des clémentines.


b. Acheter italien.
2. a. Quelle est la probabiité p1 d'achete r des clémentines, sachant que l'acheteur ne veut
que des produits « européens »?
b. Quelle est la probabilité p2 d'acheter « européen r, sachant que des clémentines ont été
choisies?

EXERCTCE 875 l0 minutes


Trois dés cubiques sont placés dans une urne.
Detx de ces dés sont normaux : leurs faces sont numérotées de I à 6.
Le troisième est spécial : trois de ses faces sont numérotées 6, les trois autres sont numérotées
1.
On tire de l'urne, simultanément et au hasar d, deux dés parmi les trois et on les lance.
On note A l'événement : « les deux dés tirés r;ont normaux».
On note B l'événement : « les deux faces supérieures sont numérotées 6 ».

l. a. Définir l'événement contraire de  q re l'on notera 7.


b. Calculer les probabilités de AetdeÂ?
2. a. Calculer PilB), probabilité de B sach ant que A est réalisé, puis P (B n A).
b. Calculer P(B).
3. Calculer Pa(A), probabilité de A sachant que B est réalisé.
5. 1. PROBABILITÉS CCINDITIONNELLES 30r

EXERCTCE 876 25 minutes


Une boîte de chocolats contient 50% de chocolats au lait, 307o de chocolats noirs et 20%o de
chocolats blancs. Tous lles chocolats de la boîte sont de même forme et d'emballage identique.
Ils sont garnis soit de pr:aliné soit de caramel et, parmi les chocolats au lait, 56 % sont garnis de
praliné.
On choisit au hasard un chocolat de la boîte. On suppose que tous les choix sont équiprobables.
On note :
. L:l'événement « le chocolat choisi est au lait »;
. N : l'événement «r le chocolat choisi est noir »;
. B : l'événement « le chocolat choisi est blanc »;
. A;l'événement « le chocolat choisi est garni de praliné »;
. 7 : l'événement « le chocolat choisi est garni de caramel ,.
Tous les résultats seront donnés sous forme décimale.

l. Traduire les données du problème à l'aide d'un arbre de probabilité.


2. Donner la probabililté que Ie chocolat choisi soit garni de praliné sachant que c'est un cho-
colat au lait.
3. Déterminer la probarbilité que le chocolat choisi soit au lait et garni de praliné.
4. Dans la boîte, 2lÿo cles chocolats sont noirs et garnis de praliné.
Montrer que la probabilité que le chocolat choisi soit garni de praliné, sachant que c'est un
chocolat noiS est égale à 0,7.
5. Dans la boîte, 60 % cles chocolats sont garnis de praliné.
a. Déterminer la p:robabilité que le chocolat choisi soit blanc et garni de praliné.
b. En déduire la probabilité que le chocolat choisi soit garni de praliné sachant que c'est
un chocolat blanc.
6. On dispose de detx boîtes de chocolats identiques à celle décrite précédemment. Une per-
sonne prend au hasaLrd un chocolat dans la première boîte, puis un chocolat dans la deuxième
boîte (les tirages sor:Lt indépendants).
Déterminer la probaLbilité de l'événement : « l'un des chocolats choisi est garni de praliné et
I'autre est garni de caramel ».

EXERcICE 877 lO minutes


On dispose de detx urnes U et V et d'un jeu de 32 cartes ; l'urne U contient trois boules blanches
et cinq boules noires, inLdiscernables au toucher; l'urne V contient six boules blanches et quatre
boules noires, indiscernables au toucher.
Les questionsl. et2. sont indépendantes.
l. Une première expérience consiste à tirer une boule de l'urne U puis une boule de l'urne V
Calculer la probabilité de tirer:
a. deuxboules noires;
302 CHAPITHE 5. PROBABILITÉS

b. deux boules de couleurs différentes.


2. On réalise maintenant une detrxième e4rérience consistant en le tirage d'une carte du jeu
suivi du tirage d'une boule dans I'une deri urnes.
Une carte est une figure si c'est un ROI, une DAME ou un VALET. Il y en a douze.
On tire une carte du jeu; si cette carte esl une figure, on tire une boule de I'urne U.
Si la carte n est pas une figure alors on tire une boule de l'urne V
On note F l'événement « la boule provierrt de l'urne U », G l'événement « la boule proüent
de l'urne V » et B l'événement « la boule t irée est blanche ».

a. Montrer \te pp(B)= 3.trrdéduire f,@nF).


b. Calculerdemême p(B .rG).
c. Calculer la probabilité d'obtenir une boule blanche.

ExERcrcE 878 15 minutes


Un supermarché commercialise des gaufret:es vendues par paquets pour lesquels :
. dans 5% des cas l'emballage n est pas intar:t;
. dans 70%o des paquets d'emballage non inl act, il y a au moins une gaufrette cassée;
. 90% des paquets d'emballage intact ne corrtiennent aucune gaufrette cassée.
l. Un client achète au hasard un paquet de ces gaufrettes.
On note 1l'événement : « l'emballage est intact » et C l'événement :« au moins une gaufrette
est cassée ».

a. Calculer la probabilité de I.
b. On considère les événements suivanls :
E : « l'emballage n'est pas intact et aucune gaufrette n'est cassée »;
F : « I'emballage est intact et aucune lSaufrette n'est cassée ».
Exprimer E et F en fonction de 1,7 etC .
Calculer les probabilités de E et F.
En déduire la probabilité de C puis cr:lle de C.

2. Lors d'une vente promotionnelle dans ce supermarché, ces gaufrettes sont vendues par lots
de cinq paquets. Un client achète au haard un tel lot. On suppose que les tirages des pa-
quets formant un lot sont indépendants.
Quelle est la probabilité pour que dans cc lot il n y ait aucune gaufrette cassée? On donnera
les résultats à lO-a près.

EXERCICE 879 2O minutes


Un sondage effectué dans une région montagneuse à propos de la construction d'un barrage
donne les résultats suivants :
. 657o des personnes interrogées sont contnr la construction de ce barrage;
o parmi les personnes qui sont contre cette oonstruction, 70% sont des écologistes;
o parmi les personnes favorables à la constnrction, 20ÿo sont des écologistes.
On note:
5.1. PROBABILITES CONDITIONNEILES 303

C l'événement :« la personne interrogée est contre la construction ,, et ô l'événement contraire.


E l'événement :« la personne interrogée est écologiste »;
F l'événement :« la personne interrogée est contre la construction et n'est pas écologiste ».

l. Déterminer p(C), pc:(E) et pe@.


2. Calculer la probabillité pour qu'une personne interrogée soit contre cette construction et
soit écologiste.
3. Calculer la probabilité pour qu'une personne interrogée soit pour cette construction et soit
écologiste.
4. En déduire la probabilité qu'une personne interrogée soit écologiste.
5. Montrer que p(F) = rJ,195.
6. On choisit au hasarcl 5 personnes parmi celles qui ont été interrogées lors du sondage. On
suppose que les choix des 5 personnes sont indépendants les uns des autres.
a. Quelle est la probabilité qu'aucune personne ne soit contre la construction du barrage
et ne soit pas écologiste?
b. En déduire la probabilité qu'il y en ait au moins une qui soit contre la construction du
barrage et ne soit pas écologiste.

EXERCTCE 880 20 minutes


Des pièces mécaniques sont fabriquées en grande série sur une chaîne; on esüme que 99% des
pièces sont bonnes. Sur chaque pièce on effectue un test de qualité.
Lorsque la pièce est bonne, le test le confirme avec une probabilité avec une probabilité de
0,995.
Lorsque la pièce est mauvaise, le test le confirme avec une probabilité de 0,99.
On note :
B l'événement « la piècr: est bonne »,
I l'événement « le test indique que la pièce est bonne ».
Les résultats des questircns suivantes seront données à t0-4 près par défaut.

r. carculer n@ nt)"t r (a n7).


2. En déduin p(T),puis p(I).
3. On décide d'écarter de la vente toute pièce dont le test indique qu'elle est mauvaise.
a. Déterminer la probabilité pour qu'une pièce écartée de la vente soit bonne.
b. On tire au hasard successivement et avec remise 20 pièces parmi celles écartées de la
vente.
Calculer la probabilité de tirer au moins une bonne pièce.

ExERCICE 881 l0minutes


Les questionsl. et2. peuuent êffe traitées de façon indépendnnte. On prendra n x 3,14.
Des parachutistes débuLtants sautant d'un avion atterrissent tous sur un terrain de un hectare
(c'est-à-dire 10 000 m2), constitué de la façon suivante :
. une cible circulaire de 60 m de diamètre;
304 CTIAPITRE 5. PROBABIUTES

. un champ de luzerne, rectangulaire, cle B0 m de long et 50 m de large;


. une mare d'une superficie de 800 m2;
. le reste étant en friche.

On assimilera un parachutiste à un point mrrtériel et on supposera que la probabilité qu'un pa-


rachutiste débutant tombe sur une pafiie drr terrain est proportionnelle à l'aire de cette partie.
l. Déterminer les probabilités des événemr:nts suivants :

A: «Le parachutiste tombe sur la cible »;

B : « Le parachutiste tombe dans la mal:e »;


C : « Le parachutiste tombe dans la luzr:rne »;
D: <<Le parachutiste tombe dans la friche ».

2. On admet que la probabilité pour qu'un parachutiste tombe sur la cible est 0,28.
Quatre parachutistes sautent l'un après l'autre de l'avion. Déterminer les probabilités des
événements suivants :
E : « Aucun d'entre eux rlarrive sur la cible »;
F : « Lun d'entre eux au moins arrive srr la cible ».

ExERcrcE 882 lO minutes


Tous les résultats seront arrondis àlO-2 près.
Une entreprise produit en grande quantité des stylos. La probabilité qu'un srylo présente un
défaut est égale à 0,1.
l. On prélève dans cette production, successivement et avec remise huit stylos. On note X la
variable aléatoire qui compte le nombre ,le stylos présentant un défaut parmi les huit stylos
prélevés.
Calculer la probabilité des événements srrivants :
A :« il n'y a aucun srylo avec un défirut »;
B :« il y a au moins un stylo avec ur défaut r.
2. En vue d'améliorer la qualité du produit vendu, on décide de mettre en place un contrôle
qui accepte tous les stylos sans défaut etZÙVo des stylos avec défaut.
On prend au hasard un stylo dans la prorluction. On note D l'événement « le stylo présente
un défaut », et E l'événement « le stylo esl accepté ».
a. Calculer la probabilité qu'un srylo soit accepté au contrôle.
b. Iustifier que la probabilité qu'un stylo ait un défaut sachant qu'il a été accepté au contrôle
est égale à0,022 à t0-3 près.
3. Après le contrôle, on prélève, successivcment et avec remise, huit stylos parmi les srylos
acceptés.
a. Calculer la probabilité qu'il ny ait aucun stylo avec un défaut dans ce prélèvement de
huit stylos.
s. 1. aRaBABILITÉs co'NotrroNNELLEs 305

b. Comparer ce résultat avec la probabilité de l'événement A calculée à la question l. Quel


commentaire peut- on faire ?

EXERCTCE 883 minutes


15
Suite à une panne technique, un distributeur de boissons ne tient aucun compte de la com-
mande faite par le client.
Cette machine distribur: soit un expresso, soit du chocolat, soit du üé en suivant une program-
mation erronée.
Chaque boisson peut être sucrée ou non.
I
. La probabilité d'obtenir un expresso est
7.
. La probabilité d'obtenir un thé sucré est :I .

5
. Si l'on obtient un expresso, la probabilité qu'il soit sucré est
I
t
. Si l'on obtient un chocolat, la probabilité qu'il soit sucré est
3

. La probabilité d'obtenir une boisson ,r"ré" II


"rt
On pourra considérer les événements suivants
7 : « On a obtenu un thré »
E : « On a obtenu un exlpresso »
C : « On a obtenu un chocolat »
S : « La boisson obtenue est sucrée ».

l. Construire un arbre probabiliste modélisant la situation.


2. Calculer la probabilité d'obtenir un expresso sucré.
3. Démontrer que la probabilité d'obtenir un chocolat ,rcré est l.
4. En déduire la probabilité d'obtenir un chocolat
5. Une personne obtient une boisson sucrée. Quelle est la probabilité que cette boisson soit
un thé?

Expnclcs 884 l0minutes


Deux joueurs Roger et Itaphaël disputent un match de tennis.
Dans cet exercice, on s'intéresse auxpoints gagnés par Roger lorsqu'il sert (c'est-à-dire lorsqu'il
effectue la mise en jeu),
A chaque point disputé, Roger dispose de detx essais pour son service. S'il rate ces deux essais,
il perd le point (on parl,e de double faute).
Roger s'apprête à servir. On note :

Al'événement « Iloger réussit son premier service »,


-
B l'événement « ltoger réussit son second service »,
-
306 CIIAPITRE 5. PROBABILTTES

G l'événement « Roger gagne le point


- r».

On note respectivem entÂ, f et G les événernents contraires respectifs des événements A, B et


G.
Une étude sur les précédents matchs de Ro6;er a permis d'établir que, lorsque Roger sert :

. il réussit dans 75 7o des cas son premj er essai et lorsque ce premier service est réussi, il
gagne le point dans 92 7o des cas.
. s'il ne réussit pas son premier essai, il réussit le second dans g6% des cas et lorsque ce
second service est réussi, il gagne le p,lin1 dans 70 7o des cas.
On va décrire la situation précédente p:u un arbre pondéré :

G
A
G
G
B
Â< G
E
Les probabilités demandées seront données sotts forme décimale arrondie, si nécessaire, au mil-
lième.
l. Reproduire l'arbre ci-dessus et le pondér:r à l'aide des données du texte.
2. Quelle est la probabilité que Roger fasse rrne double faute?
3. Quelle est la probabilité que Roger rate srn premier service, réussisse le second et gagne le
point?
4. Montrer que la probabilité que Roger gagne le point est de 0,858.
5. Sachant que Roger a gagné le point joué, quelle est la probabilité qu'il ait réussi son premier
service?
6. Les deux joueurs disputent quatre pointri de suite (Roger servant à chaque fois). On admet
que chaque point joué est indépendant «les points joués précédemment. Quelle est la pro-
babilité que Roger ne gagne pas la totalit,l des quatre points?

EXERCTCE 885 lO minutes


Le quart de la population est vacciné contr€ une maladie contagieuse. De plus, on estime que
sur la population vaccinée,92Vo des indiüdus ne tombent pas malades. Sur la population to-
tale, on estime aussi que l0 % des indiüdus sont malades.
On choisit au hasard un indiüdu dans cette population.
l. Montrer que la probabilité de l'événeme nt « l'indiüdu n est pas vacciné et tombe malade »

est égale à 0,08.


2. Quelle est la probabilité de tomber mala«le pour un indiüdu qui n est pas vacciné?
5. 1. PROBABII1TÉS CONDITIONNELLES 307

ExERcrcE 886 l0 minutes


Une entreprise conditionne du sucre blanc provenant de detx e:rploitations U et V en paquets
de 1 kg et de différentes qualités.
Le sucre extra fin est conditionné séparément dans des paquets portant le label n extra fin ».
Dans tout l'exercice, les résultats seront arrondis, si nécessaire, au millième.
On admet que 3 % du rsucre provenant de I'exploitation U est extra fin et que 5 % du sucre
provenant de I'exploital.ion I/ est extra fin.
On prélève au hasard un paquet de sucre dans la producüon de l'entreprise et, dans un souci
de traçabilité, on s'intér'esse à la provenance de ce paquet.
On considère les événements suivants :

. U : « Le paquet co,ntient du sucre provenant de l'exploitation U »;


. V : « Le paquet contient du sucre provenant de l'exploitaüon V»;
. E i <<Le paquet porte le label "extra fin" ».

l. Dans cette question, on admet que I'entreprise fabrique3Dÿo de ses paquets avec du sucre
provenant de l'exploitation U et les autres avec du sucre provenant de l'exploitation V, sans
mélanger les sucres ,Ces detx exploitations.
a. Quelle est la pro babilité que le paquet prélevé porte le label « extra fin » ?
b. Sachant qu'un praquet porte le label « extra fin », quelle est la probabilité que le sucre
qu'il contient prrcüenne de I'exploitation U?
2. lientreprise souhaitre modifler son approüsionnement auprès des detx exploitations afin
que parmi les paquets portant le label « extra fin », 30 7o d'entre etx contiennent du sucre
provenant de l'exploitation U.
Comment doit-elle sr'approvisionner auprès des exploitations U et ÿ?

Exnncrcr 887 l0 minutes


Une agence de voyages propose exclusivement trois destinations : la destination A, la destina-
tion G et la destination M.
50 % des clients choisissent la destination A;
30 % des clients choisissent la destination G;
2OTo des clients choisissent la destination M.

Au retour de leur voyagre, tous les clients de l'agence répondent à une enquête de satisfaction.
Le dépouillement des réponses à ce questionnaire permet de dire que 90% des clients ayant
choisi la destination M sont satisfaits, de même que B0 % des clients ayant choisi la destination
G.
On prélève au hasard un questionnaire dans la pile des questionnaires recueillis.
On note les événementrs :
r A :« le questionniaire est celui d'un client ayant choisi la destination A »;
. G : « le questionn;aire est celui d'un client ayant choisi la destination G »;
. M :« le questionnaire est celui d'un client ayant choisi la destination M >»;
308 CIIAPITRE 5. PROBABILITES

. S : « le questionnaire est celui d'un cli,:nt satisfait »;


. 3 n le questionnaire est celui d'un clie rt insatisfait ».

l. rbre de probabilité.
Traduire les données de l'énoncé sur un
2. u TraduireparunephraselesévénementsG n SetMnSpuiscalculerlesprobabilités
P(GnS) etP(MnS).
b. L enquêtemontre qtre 72 % des clienr:s de l'agence sont satisfaits. En utilisant la formule
des probabilités totales, calculer P(/ n S).
c. En déduire Pa(S), probabilité de l'évrlnement S sachant que l'événement A est réalisé.
3. Le questionnaire prélevé est celui d'un r:lient qui est satisfait. Le client a omis de préciser
quelle destination il avait choisie.
Déterminer la probabilité qu'il ait choftri la destination G (on donnera le résultat sous la
forme d' une fraction irréductible).
4. On prélève successivement au hasard trois questionnaires dans la pile d'enquêtes. On sup-
pose que le nombre de questionnaires trst suffisamment élevé pour considérer que les ti-
rages successifs sont indépendants.
Calculer la probabilité de l'événement : ,r les trois questionnaires sont ceux de clients insa-
tisfaits » (on donnera le résultat anondi du millième).

ExEncrcr 888 : Vnar/Feux l0 minutes


60 % des candidats au concours de la FESI(I sont des filles. Parmi elles, 30 % ont suivi l'ensei-
gnement de spécialité de mathémaüques err terminale.
Par ailleurs, 20% des candidats sont des giuçons qui ont suiü l'enseignement de spécialité de
mathématiques en terminale. Les affrrmatic ns suivantes sont-elles waies ou fausses?
l. On interroge un candidat au hasard. La trrrobabilité que ce soit une fille qui ait suivi l'ensei-
gnement de spécialité de mathématiqueri en terminale est de 30%.
2. On interroge un garçon qui est candidat. La probabilité qu'il ait suivi l'enseignement de
spécialité de mathématiques en termina e est de 20 7o.
3. 38To des candidats ont suiü l'enseignement de spécialité de mathématiques en terminale.
4. On interroge un candidat qui a suivi l'ens eignement de spécialité de mathématiques en ter-
minale. La probabilité qu'il s'agisse d'unc fille est
Ë.
Exrnctcr 889 : Vnet/Feux lO minutes
Soit n un entier supérieur ou égal à 3. On dir;pose de deux urnes U et V
Lurne U contient 2 boules blanches et n boules noires; I'urne V contient n boules blanches et
2 boules noires.
On choisit au hasard l'une des deux urnes, ruis on tire detx boules de cette urne, successive-
ment et sans remise. On désigne par :
. U l'événement : « on choisit I'urne U »;
. V l'événement : « on choisit l'urne V»;
. B l'événement : « les deux boules tirées sc nt blanches ».
Les affirmations suivantes sont-elles waies ou fausses?
s. 1. pRoBABtLITÉs co.wotrtoNNEtlEs 309

l. On a:p(BnU) - ln
, -2)(n
' + l)
n2 - rt+z
2. on a: p(B) =
@+2)(n+t).
3. on a:psUJ)= ,2 ^.
' nz-n+2
4. Pour $te pn(A < 0,1, il suffrt que n ) 4.

Exnncrcp 890 20 minutes


Un artisan est contacté à domicile par ses clients sur appel téléphonique et dispose d'un ré-
pondeur.
Quand l'artisan est absent, il branche systématiquement son répondeur. Quand iI est présent,
il le branche une fois sur trois.
Quand un client téléphr:ne, il a quatre chances sur cinq d'obtenir le répondeur et une chance
sur cinq d'obtenir l'arüsian.
Un client téléphone à I'artisan.
On note :
R l'événement « le cliernt obtient le répondeur »;
A l'événement « l'artis,an est présent »;
7l'événement contraiire de A;

l. Déterminer la probabilité P(R), ainsi que les probabilités conditionnelle Pa(R) et PÀ(R).
2. a. Exprimer P(R) en fonction de Pa(R), &(R) et P(A).
b. En déduire l'égalité ! = -!nW+ I et calculer la probabilité que l'artisan soit présent.
3. Un client téléphone; il obtient le répondeur. Déterminer la probabilité que l'artisan soit
présent.

ExERCICE 891 20minutes


Dans un lycée général et technologique, il y a 1400 lycéens : des élèves de seconde, première
ou terminale, et des étudiants en section de technicien supérieur (STS).
Pour pouvoir disposer des collections de manuels scolaires, tous les lycéens doivent adhérer à
la coopérative scolaire et payer une location annuelle d'un montant de 50 € pour les élèves et
60 € pour les étudiants.
Sur l'ensemble des adh,érents à la coopérative scolaire, 62,57o sont les élèves de seconde, pre-
mière ou terminale. Les autres sont les étudiants de STS.
Depuis quelques années, les élèves de seconde, première ou terminale disposent de chèques-
lire avec lesquels ils peuLvent régler cette location :
. 4Oÿo paient leur location à I'aide de chèques-lire,
. SâVopaient par chèque bancaire,
. les autres paient par mandat ou en liquide.
310 CHAPITRE 5. PROBABILITÉS

Les étudiants de STS ne disposent pas de clLèques-lire :

. 96Vo paient par chèque bancaire,


. les autres paient par mandat ou en lirluide.
Ics deux parties sont indépendantes.
ParüeA
Les 1400 lycéens, élèves comme étudiants, adhèrent à cette coopérative.
l. Calculer le montant des versements effe:tués par chèque bancaire.
2. Calculer le pourcentage du montant total des locations que cette somme représente.
Partie B
On prend au hasard la fiche d'un adhérent iLla coopérative scolaire parmi les 1400 flches.
On note:
. L l'événement « I'adhérent est un élève »;
. E l'événelr€nt « l'adhérent est un éturliant en STS »;
. C l'événement « l'adhérent paie avec ries chèques-lire »;
. B l'événefir€nt « l'adhérent paie avec rm chèque bancaire »;
. A l'événefirêflt « l'adhérent paie par utr autre moyen de paiement ».

l. Ttaduire à l'aide d'un arbre pondéré la situation décrite ci-dessus.


2. u Calculer la probabilité que l'adhérerrt soit un élève ayant payé sa location à l'aide de
chèques-lire.
b. Calculer la probabilité que l'adhérerLt soit un étudiant en STS ayant payé sa location à
l'aide d'un chèque bancaire.
c. Démontrer que la probabilité que l'adhérent ait payé par chèque bancaire est de 0,71.
3. Un adhérent apayé par chèque bancaire, Calculer le probabilité que ce soit un élève.

EXERCICE 892 l0 minutes


Les deux parties sont indépendantes.
ParüeA
On réalise une expérience aléatoire. A désigne un événement et 7 son événement contraire.
On pose p(A) = x.

l. Exprimer f (-a) en fonction de x.


2. Déterminer les valeurs possibles de x sa«:hant que : p(A) x n(À) = O,Z+.
Partie B
La « Revue Spéciale d'économie » et le « Guic:e des Placements en Bourse » sont deux magazines
mensuels offrant à leurs lecteurs la possibilité d'abonnement communs.
On s'intéresse à I'ensemble des lecteurs de l'une ou l'autre de ces deux revues.
Parmi ces lecteurs, certains sont abonnés. Les abonnés ont souscrit soit l'un des deux abonne-
ments, soit les deux abonnements simultanément.
Une étude a permis de constater que :
5.1. PROBABILTTÉ,S COND/TIONNEILES 311

60 % de l'ensembl.e des lecteurs ont souscrit un abonnement à la « Revue Spéciale d'éco-


-
nomie », et parml eu, I5 ort aussi choisi l'abonnement au « Guide des Placements en
Bourse »;
10 % des lecteurs :rfayant pas choisi l'abonnement à la « Revue Spéciale d'économie », ont
- souscrit I'abonne.ment au « Guide des Placements en Bourse ».

On note :

A l'événement : « le lecteur a choisi l'abonnement à la "Revue Spéciale d'économie" »;


B l'événement : « le lecteur a choisi l'abonnement au "Guide des Placements en Bourse" »

On interroge un lecteur au hasard.

l. Déduire de l'énoncé les probabilités p(A), nll pA@).


"t
Compléter I'arbre suivant :

2. u Traduire paruner phrase l'événement An B.Donner sa probabilité.


b. Traduire par un€r phrase l'événementÀnE. Donner sa probabilité.
3. Calculer p(B). En déduire la probabilité qu'un lecteur soit abonné à la « Revue Spéciale
d'économie » sachant qu'il est abonné au « Guide des Placements en Bourse ».
4. On interroge au hasud 3 lecteurs indépendamment les uns des autres.
a. Calculer la probabilité pour qu'aucun d'eux n ait choisi l'abonnement au « Guide des
Placements en Bourse ».
b. En déduire la probabilité pour qu'au moins l'un d'eux ait choisi l'abonnement au « Guide
des Placements en Bourse ».

ExERCICE 893 l0 minutes


Dans cet exercice, tous les résultats seront arrondis àlO-3 près.
Une étude sur le taux d'équipement en téléphonie des ménages d'une ville a permis d'établir
les résultats suivants :

9OTo des ménager; possèdent un téléphone fixe;


-
parmi les ménagers ne possédant pas de téléphone fixe, 87 Vo ont un téléphone portable
- ;

BOÿo des ménager; possèdent à la fois un téléphone fixe et un téléphone portable.


-
On choisit un ménage au hasard et on note :
312 CIIAPITRE 5. PROBABIIJTES

F l'événement: « le ménage possède trn téléphone fixe »;


-
T l'événement : « le ménage possède rrn téléphone portable
- ».

l. a" Grâce aux données de l'énoncé, donrer P(F nT), p(F) et pFe).
b. Calculer Pe(T).
2. Démontrer que la probabilité de l'événelnent I est 0,887.
3. Sachant que le ménage choisi n a pas de téléphone portable, quelle est la probabilité que ce
soit un ménage possédant un téléphone fixe?
4. On choisit successivement au hasard et rle manière indépendante trois ménages.
Quelle est la probabilité qu'il y en ait au lrlus detx ayant un téléphone portable?

Exrncrcn 894 l0 minutes


Maths a trois bonnets et deux chapeaux. QrLand il va acheter un pain, il prend un couwe-chef
au hasard. Sachant qu'il prend 3 fois sur 5 un pain complet et qu'une fois sur trois il oublie
de s'habiller, quelle est la probabilité que I\taths soit revenu de la boulangerie en pÿama, un
chapeau sur la tête et un pain non complet ii la main?

EXERCTCE 895 l0 minutes


On considère une épreuve aléatoire à deux issues : S (succès) et E (échec), la probabilité d'un
succès est P(S) - p.Oî répète n fois cette épreuve aléatoire, chaque épreuve étant indépen-
dante des autres.
l. Déterminer p(E).
2. Quelle est la probabilité d'avoir z succès au cours de ces n épreuves?
3. Quelle est la probabilité d'avoir z échecs au cours de ces z épreuves?
4. En déduire la probabilité d'obtenir au-moins un succès au cours de ces n épreuves.

EXERCICE 896 l0minutes


Une urne contient detx boules rouges et trc is boules vertes. Une expérience aléatoire consiste
à tirer une boule (premier tirage), à la reme [tre dans l'urne en ajoutant une boule de la même
couleur et à tirer une nouvelle fois une boul: de l'urne (second tirage).
Le but de l'exercice est de montrer que la probabilité de tirer une boule rouge est la même dans
les deux tirages.
On note : .R1 l'événement : « Ia première bou le tirée est rouge » ;
.R2 l'événement : « la deuxième boule tirée e it rouge »;

l. (Rr),, (tr), pn, (Rz)et p*;(Rz).


Calculer p
2. Endéduire p (Rr n n2l, p(n1n A2).
3. Calculer p(R) etconclure.

EXERCTCE 897 15 minutes


Une entreprise de bateaux propose chaque iour une croisière sur le Rhône. Les relevés météo-
rologiques permettent d'affirmer que, dans la région, l'événement, noté B, « le temps est au
5,1. PROBABILITÉS CONDITIONNEILES 313

beau flxe » se réalise lB0 jours par an; l'événement, noté N, « le temps est nuageux sans pluie »
se réalise 120 jours par irn; l'événement, noté P, « le temps est pluvieux» se réalise 65 jours par
an. On suppose qu'une année compte 365 jours.
On note pr@) laprobalbilité d'un événement E sachant qu'un événement F est réalisé.
On donnera les valeurs exactes des probabilités demandées.
Un jour est choisi au hasard.
l. Calculer les probabiJlités p(B), p(!ÿ'),p(P) pour que, ce jour-là, le temps soit respectivement
beau, nuageuxsans pluie, pluüeux.
2. Soit ÿ le nombre de billets vendus ce jour-là.
On considère les événements :

A1 :«0( ÿ(15» A2:<<15<ÿ(30» A3:«30<ÿ(50»


On dispose des rensr:ignements suivants :

i=l i=2 j=3


I 3 4
Probabilité de A, sachant B
I I I
2 3 3
Probabilité de A, sachant N
I 8 B
5 2 I
Probabilité de A, sâchant P
B B I
Exemple de lecture : la probabitité pour que« 15 < ÿ ( 30 sachant que B est réalisé » est esate al...
Calculer p(hîB) puis p(Ai.
De manière analogue, on trouverai t p (Aù ='# et p (h) ='#,,résultats que l'on admet-
tra.
3. On considère que le bilan quotidien de I'entreprise est positif si elle avendu au moins seize
billets.
a" Calculer la probabilité pour que le bilan soit positif.
b. Si le bilan est positif, quelle est la probabilité pour que le temps ait été nuageux?
EXERCICE 898 l0 minutes
La municipalité d'une lpande ülle dispose d'un stock de DVD qu'elle propose en location aux
usagers des différentes médiathèques de cette ülle.
Afin de renouveler son offre de location, la municipalité décide de retirer des DVD de son stock.
. Parmi les DVD retirés, certains sont défectueux, d'autres non.
. Parmi les 6To de DVD défectueux sur I'ensemble du stock, 98 % sont retirés.
. On admet par ailleurs que parmi les DVD non défectueux, 92 70 sont maintenus dans le stock;
les autres sont retirés.
On choisit un DVD au hLasard dans le stock de la municipalité.
On considère les événements suivants :
. D : « le DVD est défectueux »;
314 CHAPITRE 5. PROBABILITES

. R : «leDVD estretirédu stock».

On note D et E les événements contraires rc spectifs des événements D et R


l. Démontrer que la probabilité de l'événernent R est 0,134.
2. Une association caritative contacte la m,rnicipalité dans l'objectif de récupérer l'ensemble
des DVD qui sont retirés du stock. Un r,:sponsable de la ülle affirme alors que parmi ces
DVD retirés, plus de la moitié est compor;ée de DVD défectueux.
Cette afflrmation est-elle waie?

EXERCTCE 899 l0 minutes


Elsa a préparé un grand saladier de billes de chocolat pour son anniversaire.
On y trouve :

. 40Vo de billes au chocolat blanc, les arrtres étant au chocolat noir;


o parmi les billes au chocolat blanc, 60(6 sont fourrées au café; les autres sont fourrées au
praliné;
r parmi les billes au chocolat îoir,7O%,' sont fourrées au café; les autres sont fourrées au
praliné.

Un invité prend une bille de chocolat au hasard dans le saladier.


On déf,nit les événements suivants :

B : « l'invité prend une bille au chocoli Lt blanc »;


-
C: « l'invité prend une bille fourrée au café ».
-
l. Représenter la situation à l'aide d'un arb :e de probabilités.
2. Montrer que la probabilité que l'inüté prenne une bille fourrée au café vaut 0,66.
3. Sachant que la bille est fourrée au café, quelle est la probabilité que l'inüté ait pris une bille
au chocolat blanc?

EXERCICE 900 lO minutes


Sofla souhaite se rendre au cinéma. Elle peut y aller à vélo, dans ce cas la probabilité qu'elle
mette entre 12 et 14 minutes est égale à 0,409, ou en bus, dans ce cas la probabilité qu'elle
mette entre 12 et 14 minutes est égale à 0,667. Sofla hésite entre le bus et le vélo. Elle décide de
lancer un dé équilibré à 6 faces.
Si elle obtient 1 ou 2, elle prend le bus, sinorL elle prend son vélo. On note :

B l'événement « Sofla prend le bus »;


-
V l' événement « Sofia prend son vélo »';
-
C l'événement « Sofia met entre 12 et 14 minutes pour se rendre au cinéma ».
-
l. Démontrer que la probabilité, arrondie à l0-2, que Sofia mette entre 12 etl4 minutes est de
0,495.
5. 1. PROBABILITES COJ\IDITIONNELLES 315

2. Sachant que Sofla a rnis entre 12 etl4 minutes pour se rendre au cinéma, quelle est la pro-
babilité, arrondie à 110-2, qu'elle ait emprunté le bus?

EXERCTcE 9Ol 15 minutes


Une urne contient 8 jetons : trois jetons noirs et carrés, trois jetons noirs et ronds, un jeton vert
et carré, un jeton vert et rond.
IJépreuve consiste à extraire, au hasard, deux jetons de l'urne selon une procédure qui est dé-
terminée par le lancer d'une pièce truquée :
. si l'on obtient « PILE », on extrait les deux jetons simultanément,
. si l'on obtient « FICE », on extrait les deux jetons successivement avec remise.

Lors du lancer de la piè«:e, la probabilité d'apparition de « PILE,


".t ].15
On note :

P l'événement on obti,ent PILE »;


«

F l'événement « on obti,ent FACE »;


A l'événement « les deur jetons tirés ont la même forme OU la même couleur , ;
E1 l'événement « obtenir deux jetons de la même couleur » ;
E2 l'événement « obtenir detx jetons de la même forme r;
E3 l'événement « obtenir deux jetons de la même forme ET de la même couleur ».
Les résultats seront dorutés sous forme de fractions.

l. On lance la pièce, on suppose que l'on a obtenu « PILE ».

a. Déterminer la probabilité des événements E1, E2 et E3.

b. En déduire que la probabilité de l'événement A, sachant que P est réalisé, est '14 *.
2. On lance la pièce, on suppose que I'on a obtenu « FACE ».

a. Déterminerla probabilité des événements 81, E2 et E3.


b. En déduire que lil probabilité de l'événement A, sachant que F est réalisé, est '16 -.
3. Quelle est la probabilité de l'événement A?

EXBRCICE 902 : VneI/Elux l0 minutes


Un acteur est sujet à des trous de mémoire.
S'il relit son texte avant d'entrer en scène, la probabilité qu'il ait un trou de mémoire pendant
la représentation vaut , tandis que s'il ne relit
]UJ pas son texte, cette probabilité uaut ].
S'il a eu un trou de mérnoire au cours d'une représentation, il relit forcément son texte avant
la représentation suivante; mais s'il nla pas eu de trou de mémoire, il ne relit son texte qu'avec
nrobabilité de
une ,2 :.I
On suppose que l'acteur a relu son texte le soir de la première représentation.
Les affirmations suivanltes sont-elles waies ou fausses.
316 CIIAPITRE 5. PROBABI.1TÉS

l. La probabilité qu'il ait eu un trou de m( moire lors de la première et de la derxième repré-


sentation est de 1.
I
2. La probabilité qu'il ait eu un trou de mérnoire à la deuxième représentation est a" 4.
3. Sachant qu'il rla pas eu de trou de mén,oire le soir de ta premiOre, la probabmte qïl'it n en
ait pas eu non plus à la derxième représ,:ntation est de ].
On note pn (n étantun entier naturel non nul) ta proUaflinté de l'événerr€nt « l'acteur a eu
un trou de mémoire lors de la n-ième représentation ».
4. Pour tout entier n) l, pn+r ='ï" .

5.2 Variables aléatoires réelles

5.2.1 Pointde cours


Définiüon I : on appelle univers associé à une expérience aléatoire l'ensemble O de tous les
résultats possibles de cette expérience.

Définiüon 2: une variable aléatoire X est tLne fonction définie sur C) à valeurs dans R.
Si x1, x2,... ,xn désignent les valeurs prises par X, on note (X = x) l'évènement « X prend la
valeur x; ,.
Définition 3 : établir la loi de probabilité rl'une variable aléatoire X, c'est associer à chaque
valeur prise par X une probabilité.
Xi )c1 X2 lcn
On la présente souvent sous forme d'un tableau
p(X=xi) Pr Pz Pn
La somme des probabilités p1 + pz+... * p,,doit être égale à f.
Définition 4: I'espérance de Ia variable alé:Ltoire X est le nombre réel:
E(X) = L *rp, = ItPt + xzPz +... + xnpn.
i=l
Propriété I : loi des grands nombres.
Après un grand nombre de réalisations de l'e xpérience aléatoire associée à X, lavaleur moyenne
prise par X se rapproche de l'espérance de K.

Définition 5:
n
.lavariance de X estle nombre réel: ÿ(X) =Lpi(xi- e(X))2;
i=l
. l'écarttÿpe de X estle nombre réel o (X) == \/VTn.
Propriété 2:
. après un grand nombre de réalisations de l'expérience aléatoire associée à X, l'écart ÿpe de
ALÉ,AT 2IRES RÉELIE,S 3L7
5.2. VARIABLES

la série statistique obtenu se rapproche de o (X);


. l'écart type mesure la rlispersion autour de l'espérance'

5.2.2 Enercices d'application de cours

EXERCICE 903 l0 minutes


Une loi de probabilité de X est définie dans un tableau.
Dans chaque cas, calculer l'espérance, la variance et l'écart ÿpe de X
l.
Xi 1 2 3 4 5
p(X=xi) 0, I 0,15 0,2 0,25 0,3

,
lci -5 -2 -1 3 5
p(X=xi) 0, 1 0,25 0,3 0,25 0, I

EXERCTCE 904 lO minutes


Un jeu consiste à lancer un dé à 6 faces, numérotées de I à 6, la mise est de 2 €.
Si la face supérieure affiche un nombre npair,le joueur gagne n€.
Si la face supérieure affiche un nombre n impair, le joueur ne gagne rien.
Soit X la variable aléatoire associant à chaque lancer le gain algébrique (en euros).
l. Quelles sont les valeurs prises par X?
2. Etablir la loi de probabilité de X.
3. Calculer E(X), inteqlréter le résultat.
4. Calculer la variance et l'écart type de X.

EXERCTCE 905 l0 minutes


Un jeu consiste à lancer deux dés à 4 faces, numérotées de I à 4. On regarde le numéro indiqué
sur la face inférieure.
Si les derx dés indiquent le même numéro, le joueur gagne la somme obtenue en ajoutant les
des deuxnuméros.
Si les deux numéros sont différents, le joueur gagne la somme correspondant au plus petit nu-
méro.
Soit X la variable aléato,ire associant à chaque lancer le gain du joueur en euros.
1. Quelles sont les valeurs prises par X?
2. Etablir la loi de probabilité de X.
3. Calculer E(X), interpréter le résultat.
4. Calculer la variance et l'écart type de X.
3lB CHAPITRE 5. PROBABILITES

EXERCTCE 906 lO minutes


Une loi de probabilité de X est définie dans le tableau suivant:

Xi 0 t 2 3 4 5
p(X=xi) 0,05 0, l5 0,2 0,35 0,15 0, I
l. Calculer et interpréter la probabilité pe: > 3).
2. La fonction de répartition de X est défin e sur R par F(x) p (X
= ( x).
Compléter le tableau suivant :

Xi 0 I 2 3 4 5
F (x)

3. Représenter graphiquement la fonction rle répartition de la variable aléatoire X

EXERCTCE 907 l0 minutes


Un sac contient cinq jetons numéros l, l, 2 2, 3.
On extrait simultanément deux jetons et on désigne par X la somme des nombres inscrits sur
les deux jetons. Tous les tirages sont équip(rbables.
l. Etablir la loi de probabilité de la variable X?
2. Calculer et interpréter la probabilité P (X < 4).
3. Représenter graphiquement la fonction «le répartiüon de la variable aléatoire X.
4. Calculer l'espérance, la variance et l'écarl ÿpe de la variable X.

EXERCTcE 908 15 minutes


Un même devoir a été donné dans les trois classes de première du lycée notées P1, P2 etP3. Les
résultats sont donnés dans le tableau suivar t :
Notes 0 I 2 3 4 5 6 7 B , 10 1l t2 13 l4 I5 16 t7 19 20
P1 0 I 0 2 I 2 3 2 5 ) 7 4 3 2 0 0 1 0 1 I
P2 I I 3 4 3 u I I I r) 0 0 ) 3 4 5 3 I I 0
P3
,)
0 0 2 I 3 0 2 I ,1 2 3 I 0 3 0 0 5 0 ,
I . Calculer la moyenne et l'écart type pour r:hacune de ces trois variables aléatoires.
2. Quelle est la classe la plus homogène?
3. Quelle est la classe la plus hétérogène?
4. Quelle est la classe ayant la meilleure moyenne?

Expncrcr 909 l5 minutes


Une loi de probabilité de X est définie dans [e tableau suivant

Xi I 2 3 4 5 6
p(X = xi) 0,09 0, lti 0,23 0,27 0,14 0, ll
319
5. 2. VARIABLES ALÉ,ATI)IRES RÉELI,ES

l. Calculer E(X),V(X) eto(X).


2. Onpose Y = X +2, 2i = X -3 etT =2- X'
a. Etablir la loi de p,robabilité de chacune des ces variables aléatoire'
b. Calculer l'espérance, la variance et l'écart ÿpe de ces trois variables aléatoires'
c. pour tout réel b, conjecture une expression de E {x + b), v (x + b) et o (x + b) en fonc-
tion de E (X), V li,.X) et o (X).

EXERCICE 9IO 15 minutes


Une loi de probabilité dte X est définie dans le tableau suivant:

xi I 2 3 4 5 6
pli,.X= xi) 0,09 0,16 0,23 0,27 0,14 0, 11

1. Calculer E(X), V (X) et o(X).


2. Onpose Y =2X, Z == -3X etT =2X+3.
a. Etablir la loi de llrobabilité de chacune des ces variables aléatoire.
b. Calculerl'espérance, lavariance etl'écarttype de ces troisvariables aléatoires.
c. pourtout réela,conjectureuneexpressionde E(aX),V(aX)eto(aX) enfonctionde
E (X) , V (X) et o (X).

5.2.3 Enercices da;rprofondissement

EXERCICE 9l I 15 minutes
Soit X une variable alÉiatoire d'espérance E(X), de variance y(X) et d'écart type o(X), a et b
deux nombres réels.
Démontrer les égalités suivantes :

l. E(X + b) = E(X) + b et E(aX) = aE(X).


2. V (X + b) = V (X) et V (aX) = azv (X).
3. o(X + b) = o(X) etcr(aX) = lalo(X).

EXERCICE 912 15 minutes


Démontrer que

,. ;L(xi-t)2 = (;F- .?) - -)


x'.

2. v(X)=r(tx -E(x))z )= e(xr)-@($)2.


3. V (aX + b) = a2V (li).
320
CHAPITRE 5. PROBABILITÉS

EXERCICE gI3
15 minutes
Soit X une variable aléatoire de loi de probabilité :

Xi X1 X2 xn
p(X = xi) Pt Pz Pn

On pose pour tout x € R, /(.r) = E ((X - x)2),= i r, r*, - x)2 et gi(x) = (xi - x)2.
i=l
l. Déterminer gti(x).
2. Démontrer que pour tout .r € R, //(r) = 2.r - 2E (X).
3. Etablir le tableau de variations de /.
4. En déduire la valeur de x pour laquelle / est minimale. A quoi correspond ce minimum?

EXERCTcE gl4 20minutes


Dans cet exercice nous allons simuler un jeu de Pile-Face et calculer pour un grand nombre
de lancer la différence entre la fréquence d'apparition de « Face » et la probabilité d,obtenir
« Face ».

l. on lance une pièce non truquée, quelle kLprobabilité d'obtenir « Face »»?

2. Ectire en $rthon, une fonction qui simule n lancers d'une pièce et renvoie le nombre de
« Face » obtenue.
3. Modifier la fonction pour qu'elle renvoirl pour n lancers la différence entre la fréquence
d'apparition de « Face » et la probabilité d,obtenir « Face ».

EXERCTcE gl5 lOminutes


Dans cet exercice nous allons simuler un llncer de dé à 6 faces et calculer pour un grand
nombre de lancer la différence entre la fréq.rence d'apparition de chaque face et la probabi-
lité d'obtenir chacune des faces.
l. Ecrire en $rthon, une fonction qui simule n lancers d'un dé et stocke les résultats dans une
liste de la formeresultats= fdl,d2,d3,ct.4,ds,d6l avec di nombre de faces j obtenues.
2. Modifier la fonction pour qu'elle renvoie pour n lancers la différence entre la fréquence
d'apparition et la probabilité d'obtenir chaque face.

Exnncrcn g16 lsminutes


Lors d'une fête, le comité d'organisation a 1rrévu une animation qui consiste à lancer un dé
parfaitement équilibré dont les faces sont numérotées de I à 6.
La partie est organisée selon les règles suivartes :
on mise 3 euros puis on lance le dé;
o poür la sortie du 6, on reçoit l0 euros;
o poür la sortie du 5, on reçoit 4 euros;
o poür la sortie du 4, on reçoit I euro;
. dans les autres cas on ne reçoit rien.
5. 2. VARIABLES ALÉATOTRES RÉELLES 321

On appelle gain algébrique d'une paftie la différence entre la somme reçue et la mise initiale.
PartieA
l. On note X la variable aléatoire qui à l'issue d'une partie associe le gain algébrique.
a. Quelles sont les vtüeurs prises par X?
b. Etablir la loi de pr,obabilité de X.
c. Calculer l'espérance mathématique E(X).
d. Le comité d'organisation prévoit la réalisation de 150 parties réalisées lors de cette fête.
Quelle bénéfice pL'ut-il espérer tirer de ce jeu?
2. Un jo,reur se présente:, il dispose de 4 euros.
Déterminer la probabilité P que ce joueur puisse jouer deux parties.

Partie B
Le comité d'organisatiorL a décidé en dernière minute de rendre ce jeu équitable. La règle du
jeu reste identique, seule la mise est changée.
Déterminer cette nouvellle mise x qui rend le jeu équitable.

EXERCICE 917 z0minutes


Une personne a 5 jetons indiscernables au toucher dans sa poche : un jeton d'une valeur de
2 €, deux jetons d'une vaüeur de 1€ chacun et deuxietons d'une valeur de 0,50 € chacun.
PartieA
Cette personne choisit au hasard, successiuementet sans remise, deux jetons dans sa poche. On
s'intéresse à la somme S des valeurs des deux jetons choisis.

l. Construire un arbre ou un tableau décrivant cette expérience. En déduire les valeurs pos-
sibles de la somme S.
2. Soit A l'évènement :« la somme S est égale à 1,5 » et B l'évènement : « la somme S est égale à
1».

a. Vérifler que la probabilité de l'évènementA est égale à 0,4.


b. Déterminer la probabilité de l'évènement B.
3. Déterminer la probab,ilité pour que la somme S soit supérieure ou égale à2.

Partie B
Cette personne introduit les deux jetons choisis dans un appareil de stationnement. Le coût est
de 0,50 € pour une heure de stationnement. Soit X la variable aléatoire qui à chaque choix de
deux jetons associe la durée maximale de stationnement autorisé, exprimé en heures.
l. Déterminer, en utilisaLnt la partie A, la probabilité pour que X prenne la valeur 3.
2. Déterminer la loi de prrobabilité de la variable aléatoire X.
3. Calculer l'espérance mathématique de lavariable aléatoire X.

EXERCTcE 918 2Ominutes


Un vendeur d'adoucisseurs d'eau a l'intention de proposer deux de ses produits (modèle simple
et modèle haut de gamra.e) dans un lotissement nouvellement construit. Une enquête a montré
322 CIIAPITRE 5. PROBABILITES

que 20 % des foyers se déclarent intéressés par l'achat d'un adoucisseur.


IJexpérience du vendeur lui a appris que, p armi les foyers se déclarant intéressés, 50 % achètent
le modèle simple,4}ÿole modèle haut de Snmme,les autres renonçant finalement à l'achat.
Onnomme:
I l'évènement: « le foyer est intéressé »;
A l'évènement : « le foyer achète le modèle simple»;
B l'évènement: « le foyer achète le modèle haut de gamme»;
C l'évènement : « le foyer renonce à l'achal ».
l. Calculer les probabilités des évènemen[s I n A, I n B, I I C.
2. Montrer que la probabilité pour qu'un foyer pris au hasard n achète pas d'adoucisseur est
égale à 0,82.
3. Levendeurenvisagedefixerleprixdu nodèle simpleà4000 €etcelui dtthautdegamme
à 8000 €.
On appelle X la variable aléatoire corre;pondant à la somme (éventuellement nulle) versée
au vendeur par un foyer visité au hasar<1.
a. Déterminer la loi de probabilité de K et calculer son espérance mathématique.
b. Pour que son bénéfice soit suffisatt, l'espérance de gain du vendeur dewait être de
1300 € pour un foyer üsité. S'il verrt vendre le modèle simple à moitié prix du modèle
haut de gamme, comment doit-il modifier ses prix?

EXERCTCE 919 2ominutes


Une machine fabrique 10000 pièces par jour. En sortie de fabrication, on a constaté qu'une
pièce pouvait présenter deux sortes de défiruts : A et B.
Un contrôle qualité a permis d'établir qu'e n moyenne :
. l0 ÿo du total des pièces présentent le dél aut A;
. 15 ÿo du total des pièces présentent le dél aut B ;
. 2Vo dtt total des pièces présentant à la fois les défauts A et B.
l. Présenter les données dans un tableau ir double entrée.
2. On prélève une pièce au hasard dans la production d'une journée. Toutes les pièces ont la
même probabilité d'être choisies.
îL Calculer la probabilité p1 qu'elle niait aucun défaut.
b. Calculer la probabilité p2 qu'elle prrisente un seul défaut.
3. Une entreprise commercialise les pièceri fabriquées p:u cette machine.
. Les pièces qui ne présentent aucun défaut sont vendues 20 € chacune.
. Les pièces qui présentent les deux déf luts ne sont pas mises en vente.
. Parmi les pièces qui présentent un setLl défaut, 80 % sont vendues 12 euros chacune et les
autres ne sont pas mises en vente.
. Dans tous les cas, le coût de fabrication d'une pièce est l0 €.
a" Calculer sur les 10 000 pièces fabriqrl§gs le nombre de pièces vendues 12 €.
b. Sur les 10 000 pièces fabriquées, montrer que l'entreprise peut espérer un bénéfice de
74t60€..
5. 2. UARIABLES ALEATOIRES REELLES 323

EXERCTCE 920 minutes 20


Dans un atelier, deux marchines M1 et M2 produisent le même type de pièces. La machine M1
4
fournit les de la produr:tion.
u
Parmi les pièces produiters, certaines sont défectueuses. C'est le cas pour 5 % de celles produites
par Ml et4To de celles produites par M2.
l. I-latelier produit 1000 pièces par jour. Reproduire et compléter le tableau d'effectif suivant.
Nombre de pièces produites par Nombre de pièces produites par Total
M1 M2
Nombre de pièces défectueuses 40 I
Nombre de pièces no:r
défectueuses
Total 1 000

2. Onchoisit au hasard une pièce parmi la production totale de l'atelier d'un jour donné.
Calculer la probabilitr3 des évènements suivants :

a. A : « la pièce choisiie est produite par Ml ».


b. B : « la pièce choisie est défectueuse ».
c. On sait que la piÈ:ce choisie aété produite par M1. Quelle est la probabilité qu'elle ne
soit pas défectueuse?
3. En sortie de chaîne de production chaque pièce coûte 38 € à I'atelier. Les pièces qui sont
défectueuses doivent être réparées pour être mises sur le marché. La réparation coûte 4,30 €
pour une pièce fabriqluée par Mr et4,5O € pour une pièce fabriquéepar M2.
Soit X la variable aléa.toire qui à chaque pièce associe son cott de reüent.
a. Quelles sont les trois valeurs prises par X?
b. Donner la loi de probabilité de X.
c. Calculer E(X), eslrérance mathématique de X.
d. Quel doit être, au centime près, le prix minimal de vente d'une pièce pour que l'atelier
ne vende pas à perrte?

EXERCICE 92I 20 minutes

gauche droite
- -

On considère le circuit de billes schématisé par la figure ci-dessus. Un joueur lâche une bille en
1 et on admet qu'à chaque bifurcation la bille prend la direction gauche avec une probabilité
1
de -.
4
324 CTIAPITHE 5. PROBABILITES

l. Réaliser un arbre pondéré modélisant cette expérience aléatoire.


2. u Utiliser cet arbre pour déterminer les probabilités des évènements élémentaires sui-
vants, sous forme de fractions irrédrrctibles :
A: «Labille arrive en a»; B : <<Labile arrive en b>>i
C : « La bille arrive en c ; D : « La bi.le arrive en d ;
>» »>

E : « La bille arrive en e ».
Vérif,er que la probabilité de l'évènement D est 1.
M
b. Parmi les évènements précédents, quel est l'évènêment le moins probable? Le plus pro-
bable?
3. Lejoueurgagne43pointssilabillearrir;eena,16pointssiellearrive enbet64pointssielle
arrive en c. Il ne gagne rien si la bille arrive en d et il perd 32 points si elle arrive en e.
a. On note X lavariable aléatoire égale au nombre de points obtenus : ainsi si la bille arrive
en e, on a X = -32. En utilisant les résultats de la detxième question, donner la loi de
probabilité de X.
b. Calculer alors E(X). Le joueur a-t-il intérêt à jouer?
c. I- organisateur du jeu se doit de prop oser un jeu équitable (c'est-à-dire tel que E(X)
= g; .
Pour cela il décide de modifier le n rmbre de points perdus si la bille arrive en e. Quel
nombre de points perdus doit-il chc isir pour que E(X) = gz.

Exrncrcn 922 20minutes


Pour la fête de I'école, une association prolrose une loterie selon le principe suivant :
. Le joueur mise 10 euros.
. Il fait tourner deux roues identiques chacune s'arrêtant devant un repère.
Chaque roue est divisée en quatre quartierri sur lesquels sont indiqués les gains en euros 10; 0;
5; 0. Tous les quartiers ont la même probab Llité de s'arrêter devant le repère. Le gain obtenu par
le joueur est égal à la somme des gains indiqués sur les quartiers sur lesquels se sont arrêtées
les roues.

Roue no 1 Roue no 2

Dans l'exemple ci-dessus, la partie assure au joueur un gain de 15 €.


l. Etude du gain d'un joueur pour une mise de l0 euros.
On nomme G la variable aléatoire qui à ,;funqse partie associe le gain du joueur en euros.
5. 2. UARIABLES ALEATOIRES RÉELLES 325

a. Reproduire et compléter le tableau suivant donnant les valeurs prises par la variable
aléatoire G selon les quartiers sur lesquels se sont arrêtées les roues :
Roue no 1 10 0 5 0
Roue no 2
10
0
5
0
b. Prouver que la probabilité que le joueur obtienne un gain supérieur ou égal à sa mise
est 50 %.
c. Déterminer la loi de probabilité de la variable aléatoire G.
d. Calculer la probabilité, notée p(G> LO), qu'un joueur obtienne un gain strictement su-
périeur à sa mise.
e. Calculer l'espérance mathématique de la variable aléatoire G, puis donner son interpré-
tation.
2. Etude du bénéfice de l'association pour une mise de m euros.
On suppose dans cette question que la mise du joueur est /n euros.
On note B la variabler aléatoire qui, à chaque partie, associe le bénéflce (positif ou négatif)
réalisé par l'associatir:n, c'est-à-dire la différence entre la mise qu'elle a encaissée et le gain
éventuel qu'elle a reversé au joueur.
a. Fxprimer en fonction de rn l'espérance mathématique de la variable aléatoire B.
b. Déterminer rnpolJr que l'espérance de bénéfice de l'association soit d'au moins 5 €.

Expncrcn 923 l5 minutes


Un commercial vend enrtre 0 et 4 voitures d'un certain modèle en une semaine. Soit X la va-
riable aléatoire qui, pour une semaine, donne le nombre de voitures vendues. X suit la loi de
probabilité ci-dessous :

Nombre de voitures vendues 0 t 2 3 4


p(X = k) 0,26 0,23 0,15 0,05

l. Calculer la probabilité de vendre exactement deuxvoitures en une semaine.


2. Iustifier que la prob:rbilité de vendre au moins detx voitures en une semaine est égale à
0,51.
3. Donner une représentation graphique de la fonction de répartition F de cette loi dans un
repère convenablemr:nt choisi.
4. Calculer l'espérance mathématique de cette variable aléatoire. En déduire le nombre moyen
de voitures vendues en une année (c'est-à-dire 52 semaines).
5. Le prix de vente d'une voiture est de 13 500 €. Le vendeur perçoit une commission de 0,4 7o
sur le prix de vente pour chaque voiture vendue. Déterminer le montant moyen de la com-
mission perçue en un an.
326 CT]APITHE 5. PROBABILITES

EXERCTcE 924 20minutes


Un joueur lance successivement et dans cet ordre trois pièces de monnaie : une de 2 euros et
deux de I euro.
l. Déterminer les différents résultats possibles, sachant qu'un résultat peut être considéré
comme un triplet du type (B E P) par ex:mple, P désignant pile et F désignant face.
Chaque pièce est parfaitement équilibr(re. On est dans une situation d'équiprobabilité.
2. Si les trois pièces présentent leur côté face, le joueur perd 5 €;
sinon il gagne la somme des euros figuriurt sur les pièces présentant leur côté pile.
Soit X la variable aléatoire qui, à chaqur: lancer des trois pièces, associe la somme d'argent
gagnée en euros. Lorsque le joueur perd, la variable X prend alors une valeur négative.
a. Quelles valeurs peut prendre X?
b. Donner la loi de probabilité de X.
c. Calculer la probabilité de l'évènert€nt « X ( 2 ».
3. On dit qu'un jeu est équitable lorsque l'cspérance mathématique du gain est égale à 0.
a. Ce jeu est-il équitable?
b. Quelle somme le joueur devrait-il grerdre lorsque les trois pièces présentent leur côté
face pour que ce jeu soit équitable?

EXERCTcE 925 15 minutes


On s'intéresse atxüsiteurs de la « Tour Malhématiques ».
Cette tour a trois étages. Elle est desserüe I ar un ascenseur et par un escalier.
Neuf üsiteurs sur dix utilisent I'ascenseur et, parmi ceux-ci :
. la moitié va au troisième étage;
. un tiers va au deuxième étage;
. les autres vont au premier étage.
Les autres üsiteurs utilisent l'escalier, et, p:rmi cetx-ci :
. la moitié va au deuxième étage;
. les autres vont au premier étage.
l. On interroge un visiteur, au hasard, à la r;ortie de la tour. Quelle est la probabilité pour que :

a.. le üsiteur soit allé au derxième étage, en ascenseur?


b. le visiteur soit allé au deuxième étage?
c. le üsiteur soit monté à pied, sachanr. qu'il est allé au deuxième étage?
(On donnera les valeurs exactes des résultats.)
2. Les tarifs affrchés pour la visite de la tou.: sont les suivants :

Ascenseur:
Premier étage . ..t7 €
Deuxième étage . ..34€
Troisième étage ..51 €
Escalier, quel que solt l'étage -ê
/=
s. 2. uARIABLES etÉerome,s aÉnttns 327

Soit X la variable aléatoire qui, à chaque üsiteuç associe le prix qu'il a paye pour la üsite.
tL Déterminer la loi r:le probabilité de X.
b. Calculer son espérance maüématique E(X), sa variance y(X) et son écart-type.

EXERCTCE 926 20 minutes


Le personnage ürtuel d'un jeu électronique doit franchir un torrent en sautant de rocher en
rocher.
Le torrent se présente de la manière suivante (les disques Rr, R2, ..., R17, R1s, représentent les
rochers) :

RTVE

RWE

Le personnage virtuel piart de A pour aller en B. Il ne peut choisir que les trajets matérialisés
par des pointillés et avar)cer uniquement dans le sens des flêches. On appelle « parcours » une
suite ordonnée de lettrer; représentant un trajet possible.
Par exemple : AR1R2R3R6R7B est un parcours qui nécessite 6 bonds.
Toute probabilité demandée sera donnée sous forme de ftaction.
1. Déterminer les six parcours possibles.
328 CHAPITRE 5. PROBABILITES

2. Le joueur choisit au hasard un parcours, On admet que les différents parcours sont équipro-
bables.
a- Quelle est la probablité h de l'év(,nement « le personnage ürtuel passe par le rocher
R7 >»?

b. Quelle est la probablité p2 de l'év(nement « le personnage virtuel passe par le rocher


R1a »?

3. Chaque bond du personnage ürtuel nricessite 2 secondes.On note X Ia variable aléatoire


qui,
à chaque parcours, associe sa durér: en secondes.

a" Déterminer les valeurs prises par la variable aléatoire X.


b. Donner la loi de probabilité de la variable aléatoire X.
c. Calculer l'espérance mathématique E(X) de la variable aléatoire X.
4. Quelle dewait être la durée d'un bond du personnage virtuel pour que la durée moyenne
d'un parcours soit égale à l0 secondes?

ExERcrcE 927 2O minutes


Un établissement est composé de deux sas, notés I etZ, et de six salles de travail, notées A, B,
C, D, E et F. Les communications entre ces différentes salles se font par le moyen de 12 portes
représentées par le schéma suivant :

Sas 2
t-r
F

A
+
F-I-r
E

B
I C

Sas I

On remarquera que les salles B et E ne communiquent pas directement.

Un robot, rangé dans le sas l, est proifammé pour nettoyer exactement trois salles diffé-
- rentes parmi les salles A, B, C, D, E et F.
Le robot commence toujours son pat cours par l'une des salles A B ou C.
-
Dès que le robot entre dans une salle il la nettoie systémaüquement.
-
Il lui est impossible de franchir la même porte plus d'une fois ou de nettoyer deuxfois la
- même salle.
Une fois les trois salles nettoyées, le robot ressort
- :

soit par le sas l,


-
- soit par le sas 2. Dans ce cas, il retourne plus tard dans le sas I par un couloir non
représenté sur le schéma.
5. 2. UARIABLES ALÉATO IRES RÉELLES 329

On appelle « trajet » une suite ordonnée de 3 salles constituant un parcours possible pour le
robot.
Exemples:
ABC et BCD sont des trajets.
-
CBA etABC sont dr,'ux trajets différents.
-
ABE n est pas un trajet (les salles B et E ne communiquent pas directement).
-
DEF n'est pas un trajet (le robot ne peut pas commencer pzu la salle D)'
-
l. Déterminer les six traiets possibles (on pourra s'aider d'un arbre).
Dans toute la suite, otr admet que les six trajets obtenus sont équiprobables.
2. a. Calculer la probabilit é pr del'événement « la salle E est la troisième salle nettoyée par le
robot ».
b. Calculer la probabilit é p2 de I'événement « le robot sort par le sas 2 ».
3. Le tableau suivant donne le temps de nettoyage du robot dans chacune des salles en mi-
nutes:

Salles A B C D E F
Temps de net- lZ0 min 24min 30 min 14 min 22min 14 min
toyage du robot

On désigne par X la vuiable aléatoire qui, à chaque trajet, associe le temps de nettoyage des
3 salles exprimé en minutes.

a. Déterminer les vaüeurs prises par la variable aléatoire X.


b. Déterminer la loi de probabilité de X.
c. Calculer l'espérance E(X) de la variable aléatoire X. Que représente ce nombre?
d. Calculer la probabilité p3 de l'événement « le robot effectue le nettoyage des 3 salles en
moins de 60 minutes »?
4. u Déterminer la valeur arrondie au centième de o(X).
b. Le robot effectue un parcours par jour, 7 jours sur 7. Soit n un entier naturel non nul.
On admet qu'il esit acceptable d'utiliser le robot durant n jours d'affilée sans réüsion si
lenombre:n x ErX) * 1,5 x o[X) x ,/restinférieurà500heures. Est-ilacceptable dene
faire réüser le rotlot qu'une fois par an?

EXERCTCE 928 15 minutes


Pour entretenir en bon état de fonctionnement le chauffage, une société immobilière fait contrô-
ler les chaudières de son parc de logements pendant l'été. On sait que20To des chaudières sont
sous garantie.
Parmi les chaudières sous garantie, la probabilité qu'une chaudière soit défectueuse est de *.
100
Parmi les chaudières qui ne sont plus sous garantie, la probabilité qu'une chaudière soit défec-
tueuse est de l.
10
330 CHAPITRE 5. PROBABILTTES

On appelle G l'événement « la chaudière er t sous garantie » et D l'événement « la chaudière est


défectueuse ».
l. Calculer la probabilité des événement suivants :
a « la chaudière est garantie et est défer tueuse »;
b. « la chaudière est défectueuse ».
2. Dans un logeme-nt la chaudière est défe ltueuse. Montrer que la probabilité qu'elle soit sous
I
garantie est de
41.
3. Le contrôle est gratuit si la chaudière est sous garantie. Il coûte 80 euros si la chaudière n'est
plus sous garantie et n est pas défectuerLse. Il coûte 280 euros si la chaudière n'est plus sous
garantie et est défectueuse.
On note X la variable aléatoire qui reprt:sente le coût du contrôle d'une chaudière.
Déterminer la loi de probabilité de X et son espérance mathématique.
4. Au cours de la période de contrôle, on a trouvé 5 chaudières défectueuses. Quelle est la
probabilité qu'au moins l'une d'entre elles soit sous garanüe?

EXERCTCE 929 lS minutes


Une usine est dotée d'un système d'alarrn e qui se déclenche en principe lorsqu'un incident
se produit sur une chaîne de production. Il peut arriver toutefois que le système soit mis en
défaut. En effet, des études statistiques ont montré que, sur une journée :
. la prob_abilité que l'alarme se déclenche par erreur, c'est-à-dire sans qu'il y ait eu incident, est
e$ale a
.1
,;
1
. la probabilité qu'un incident survienne sims que I'alarme se déclenche est égale à
500'
. la probabilité qu'un incident se produise est égale à :.
on note : A l'événement « l'alarme se déclenct r tl89e.r"-"nt « un incident se produit »;
PartieA "", "t
l. Calculer la probabilité que, dans une jo,rrnée, un incident survienne et que l'alarme se dé-
clenche.
En déduire la probabilité que l'alarme sr: déclenche.
2. Quelle est la probabilité que, sur une jotrrnée, le système d'alarme soit mis en défaut?
3. Lalarme vient de se déclencher. Quelle cst la probabilité qu'il y ait réellement un incident?
Parüe B
Les assureurs estiment qu'en moyenne, porrr I'entreprise, le coût des anomalies est le suivant :
. € pour un incident lorsque l'alarme fonctionne;
5 000
. 15 000 € pour un incident lorsque l'alarme ne se déclenche pas;
. 1000 € lorsque l'alarme se déclenche par erreur.
On considère qu'il se produit au plus une anomalie par jour.
Soit X la variable représentant le coût jourrralier des anomalies pour l'entreprise.
l. Donner la loi de probabilité de X.
2. Quel est le coût iournalier moyen des ar:omalies?
5.2. UARIABLES ALFETOiIRES RÉEILES 331

EXERCTCE 930 l5 minutes


Un sac contient des bolles indiscernables au toucher : I boule rouge, 3 boules jaunes et z
boules noires. (n désigne un entier naturel strictement positif).
Un club sportif organise un jeu consistant, pour chaque joueur, à prélever dans le sac une boule
au hasard.
. Si la boule tirée est rouile, le joueur reçoit 5 €,
. si la boule est jaune, il reçoit 2 €,
. si la boule est noire, il r,eçoit I €.
Pour participer au jeu, le joueur doit acheter un billet d'entrée coûtant 1,70 €.
On note Xnlavariable a.liéatoire qui, à chaque boule prélevée dans le sac, associe le gain algé-
brique du joueur c'est-à-dire la somme reçue diminuée du prix du billet.
1. Dans cette question seulement, on suppose n = 6.
a. Quelles sont les valeurs prises par la variable aléatoire X6?
b. Déterminer la loi de probabilité de la variable a aléatoire X6.
c. Calculer I'espérance mathématique de la variable aléatoire X6.
Dans toute la suite de l'exercice, on suppose que l'entier naturel n est quelconque.
2. Etude de lavariable aléatoire Xn.
a. Déterminer la loi de probabilité de lavariable aléatoire Xr.
b. Déterminer en fonction de n l'espérance mathématique de la variable aléatoire X,
c. Le club souhaite une espérance de Xn strictement négative. Quel doit être le nombre
minimal de boulers noires contenues dans le sac pour que cette condition soit remplie?

ExERCICE 931 2Ominutes


Une urne contient N boules numérotées de I à N (N > 1).
On effectue dans cette uLrne derx tirages au hasard avec remise (le numéro de chaque boule
tirée est noté et la boule est remise dans l'urne).
On considère les variables aléatoires : X1 prenant pour valeur le numéro de la première boule
tirée en premier, et X2 prenant pour valeur le numéro de la boule ürée en second.
l. Déterminer la loi de probabilité de chacune des variables X1 et X2. Calculer l'espérance
mathématique de X1 et X2.
2. On suppose désormais que JV = 5.
a. Déterminer les valeurs de la variable aléatoire Y = Xt* Xz. Quelle est la loi de probabilité
de Y?
b. Calculer l'espérance mathématique et la variance de f .
c. Calculer P(2<Y <lO).

ExERcrcE 932 25 minutes


Pour faire connaître l'ou',rerture d'un nouveau magasin vendant des salons, le directeur fait dis-
tribuer des bons publicitaires permettant de recevoir un cadeau gratuit sans obligation d'achat.
Une enquête statistique préalable a montré que, parmi les personnes qui entrent dans le ma-
gasin:
332 CIIAPITRE 5. PROBABILITÉS

'90Vo entrent dans le magasin avec ce borrpublicitaire. Parmi elles, l0 % achètent un salon.
' Parmi les personnes qui entrent sans bor,publicitaire, 80 % achètent un salon.
Une personne entre dans le magasin.
On note :
. B l'événement « la personne a un bon purlicitaire ».
. B l'événement « la personne n a pas de bon publicitaire ».
. S l'événement « la personne achète un salon ».
. S l'événement contraire de S.
PartieA
l. Dessiner un arbre pondéré représentan I la situation.
2. A l'aide de B,E, S,5, traduire les événements suivants et calculer leur probabilité à 10-2
près:
a. la personne n achète pas de salon s:rchant qu'elle est venue avec un bon publicitaire;
b. la personne achète un salon;
c. la personne est venue avec un bon lrublicitaire sachant qu'elle a acheté un salon.
Partie B
Le bon publicitaire et le cadeau associé coûtent 15 € au magasin. Un salon vendu rapporte
500 € au magasin s'il est vendu sans bon p rblicitaire.

l. Compléter le tableau suivant :

Situation de La personne a un La persorme a un la personne rt'a La personne rla


la personne bon publicitaire bon pub icitaire pas de bon pas de bon
entrant et achète un et n'ach )te pas publicitaire et publicitaire et
salon un szlon achète un salon n'achète pas un
salon
Bénéflce 485 -15 500 0
réalisé par le
magasin en
euros
Probabilité

2. Calculer le bénéflce moyen du magasin réalisé par personne entrant.


3. Le directeur pense changer la valeur drr cadeau offert. Soit -r le prix de revient, en euros,
du nouveau bon publicitaire. Calculer, rlans ce cas, l'espérance E de la loi de probabilité du
bénéfice du magasin en fonction de x.
4. Le directeur souhaite réaliser 76 € de b( néflce moyen par personne entrant.
Quel doit être le prix de reüent x du norrveau bon publicitaire?

EXERCTCE 933 20 minutes


Une résidence de vacances propose deux §pes d'appartements (studio et deux-pièces) à louer
à la semaine. I- appartement doit être restit ré parfaitement propre en fin de séjour.
Le locataire peut décider de le nettoyer lui-rnême ou peut choisir l'une des deux formules d'en-
2. UARIABLES ALÉATOTRES RÉELLES 333
5.

tretien suivantes : la forr:nule Simple (nettoyage de l'appartement en fln de séjour par le per-
sonnel d'entretien) ou la formule Confort (nettoyage quotidien du logement durant la semaine
et nettoyage complet en lin de séjour par le personnel d'entretien).
Le gestionnaire a constaté que :
. 6OVo des locataires opt,ent pour un studio et parmi ceux-ci 2OVo ne souscrivent aucune for-
mule d'entretien;
. La formule Simple a beaucoup de succès : elle est choisie par 45To des locataires de Studio et
par 55Vo des locataires de deux-pièces;
. l8ÿo des locataires ne s,ouscrivent aucune formule.

On rencontre un résident au hasard.


Soit S l'événement « Le rrisident a loué un studio »
A l'événement « Le résidr:nt a souscrit la formule Simple »
B l'événement « Le résidr:nt a souscrit la formule Confort »
R l'événement « Le résidr:nt n'a souscrit aucune formule d'entretien »

1. Traduire I'énoncé à I'aide d'un arbre pondéré.


2. u Quelle est la probabilité que le résident ait loué un deux-pièces?
b. Calculer Ps(B).
3. a Calculer P(R n s). En déduire r (n nS).
b. Le résident a louÉ: un deux-pièces. Montrer que la probabilité qu'il assure lui-même le
nettoyage de son ,appartement est 0,15.
4. Le gestionnaire affrrme que près de la moitié des résidents choisit la formule Simple. Pré-
senter les calculs qui jiustifient son affirmation.
5. La location d'un studiio à la semaine coûte 350 euros, celle d'un deux-pièces 480 euros.
La formule Simple coûte 20 euros et la formule Confort 40 euros.
Soit I le coût de la semaine (loyer et entretien); il prend différentes valeurs Li. On désigne
par pt,la probabilité rque le coût de la semaine soit égal à I,.
a. Recopier et compléter le tableau ci-dessous.
Li 350 370 390 480 s00 520
Pi Qt,L2 0,21 o,l2

b. Calculer l'espérance de I. En donner une interprétation.

EXERCICE 934 l0 minutes

On considère que le disque déterminé par € forme


une cible décomposée en detx zones :
. une zone triangulaire noire nommée N,
. une zone blanche nommée B.
On suppose que la probabilité, pour un tireur, d'at-
teindre N est 0,5 et celle de rater la cible est 0,2.
Cible
334 CHAPITRE 5. PROBABILITES

l. a. Quelle est la probabilité d'atteindre la cible?


b. Quelle est la probabilité d'atteindre B ?
2. On considère un tireur qui tire sur la citrle.
. S'il atteint B, il gagne 5 euros.
. S'il atteint N, il gagne 2 euros.
. S'il rate la cible, il doit payer B euros.
Soit X la variable aléatoire qui à chaque tir associe le gain correspondant (positif ou négatif).

a. Définir la loi de probabilité de X.


b. Calculer l'espérance mathématique de X. Le jeu est-il équitable?
c. Calculer la valeur arrondie à 10-2 pr.ès de l'écart type de X.

EXERCICE 935 25 minutes


Un pion se déplace par sauts successifs sur la droite  munie du repère ( o t
)

o I

Son point de départ est le point O.


Deux types de sauts sont possibles :
D : 2 unités vers la droite,
G : I unité vers la gauche.
Les sauts successifs sont supposés indéper dants les uns des autres, et chaque type de saut a la
même probabilité d'être effectué.
On suppose que le pion va effectuer 3 sauüi successifs.

l. Donner la liste des différents parcours po ssibles. On pourra, éventuellement, dessiner « I'arbre
des parcours », et désigner chaque parcours à l'aide d'un triplet, par exemple : (D,D, G) si-
gnifle que le pion s'est déplacé d'abord leux fois vers la droite, puis une fois vers la gauche.
2. Pour chaque parcours trouvé, préciser l'abscisse du point occupé par le pion après les
3 sauts.
3. Soit X la variable aléatoire qui, à chaqu l parcours, associe l'abscisse du point où aboutit le
pion. Donner la loi de probabilité de X, et son espérance mathématique.

ExEncrcs 936 ls minutes


Au libre-service d'un restaurant d'entreprir e, un repas est composé obligatoirement d'une en-
trée, d'un plat et d'un dessert. Pour chaque repas, un employé choisit au hasard :
. une entrée parmi trois : Crudités (C), Salade (S) ou Quiche (Q),
. un plat parmi detx : Poisson (P) ou Viande (V),
. un dessert parmi trois : Glace (G), Fruits ( F) ou Laitage (L).
l. Compléter l'arbre des repas (les extrémités seront complétées ultérieurement).
5. 2, UARIABLES ALÉATCÜRES RÉELLES 335

G I 500 kcal
V L 1300kcal
F
C

a
2. En déduire le nombr: de repas que peut composer un employé.
3. On appelle :

. A l'événement : « le repas composé contient le plat de poisson r,


. B l'événement : « le repas composé contient des fruits au dessert ».
Calculer P(A), P(B), P (AîB) et en déduire P (Au B).
4. Le tableau suivant do,nne en kcal le bilan calorique des mets proposés :

Entrées Crudités (C) :300 Salade composée (S) :300 Quiche (Q) :400
Plats Viande (V) :900 Poisson (P) :600
Desserts Glace (G) :300 Laitage (L) : 100 Fruits (F) : 100
Ajouter aux extrémittis de l'arbre, le bilan calorique de chaque repas.
5. On appelle R la varialble aléatoire qui à chaque repas associe son bilan calorique,
tL Donner l'ensembrle des valeurs que peut prendre la variable aléatoire -R.

b. Etablir la loi de probabilité de la variable aléatoire R.


c. Montrer que le bilan calorique moyen d'un repas est 1250 kcal.

EXERCICE 937 20 minutes


Les probabilités demana!,ées seront exprimées sous forme de fractions irréductibles
Une boîte de jeu est corLstituée de questions portant sur les derx thèmes « Cinéma » ou « Mu-
sique ».
Cette boîte contient un tiers de questions portant sur le thème « Cinéma », les autres portant
sur le thème « Musique »,.
Le candidat à ce jeu s'ap,pelle Pierre.
PartieA
Dans cette partie, on pose à Pierre une question choisie au hasard dans la boîte et on sait que :

. La probabilité que Pierre réponde correctement à une question « Cinéma » est égale à ].
2
336 CITAPITRE 5. PROBABII/TES

' La probabilité que Pierre réponde correclement une question « Musique » est egale a ].
4
On considère les événements suivants :
C : la question porte sur le thème « Cinéma »,
M: la question porte sur le thème « MusiqtLe »,
E : Pierre répond correctement à la question posée.
l. Déterminer la probabilité de l'événement : « La question porte sur le thème « Musique » et
Pierre y a répondu correctement ».
2. Montrer que la probabilité de l'événem(,nt E est éga}- à?.
3. On suppose que Pierre n a pas répondu ,o.r".,"*"".rt à l3 question posée. Quelle est la pro-
babilité pour que la question ait porté srr le thème « Cinéma»?
Partie B
En fait le jeu se déroule de la façon suivantr: :
On pose à Pierre une première question (selon les modalités décrites dans la partie A) et il
marque 5 points s'il répond correctement et le jeu s'arrête.
Sinon, on lui pose une deuxième question cJroisie, indépendamment de la première et il marque
2 points s'il répond correctement et le jeu s'arrête.
Sinon, on lui pose une troisième question (:hoisie indépendamment des deux précédentes) et
il marque I point s'il répond correctement.
Sinon le jeu s'arrête et il ne m.rque aucun 1rcint.
A chaque fois qu'une question est tirée, o I remet dans la boîte une question portant sur le
même thème.
l. Traduire cette situation à l'aide d'un arb re de probabilités.
2. Définir la loi de probabilité du nombre cle points marqués par Pierre.
3. Calculer l'espérance mathématique du rrombre de points marqués par Pierre.

Expncrcr 938 20 minutes


Pour réaliser une loterie, un organisateur di;pose d'une part d'un sac contenant exactement un
jeton blanc et 9 jetons noirs indiscernables rru toucher et d'autre part d'un dé cubique équilibré
dont les faces sont numérotées de 1 à 6.
Il décide des règles suivantes pour le dérou. ement d'une partie.
Le joueur doit tirer un jeton puis jeter le dé :
. si le jeton est blanc, le joueur perd lorsque le jet du dé donne 6;
. si le jeton est noir, le joueur gagne lorsque le jet du dé donne 6.
A la fin de la partie, le jeton est remis dans I -' sac.
On note B l'événement « le jeton üré est blanc, et G l'événement « le joueur gagne le jeu ».
PartieA
l.
*. O, joueur
Montrer que p(G) = pourra s'aidrlr d'un arbre pondéré.
2. Quelle est la probabilité que le ait tiré le jeton blanc sachant qu'il a perdu?
337
5. 2. UARIABLES ALÉATOIRES REELLES

3. Un joueur fait quatre parties de façon indépendante'


catculer la probabilit,é qu'il en gagne au moins une et en donner une valeur approchée à
l0-3, près.
4. euel nombre minimal de parties un joueur doit-il faire pour que la probabilité d'en gagner
au moins une soit suPrérieure à 0,99?

Partie B
Lorganisateur décide de faire de sa loterie un jeu d'argent:
. chaque joueur paie 1 € par partie;
. si le joueur gagne la partie, il reçoit 5 €;
. si le joueur perd la parlie, il ne reçoit rien.
l. On note X Ia variable aléatoire égale au gain algébrique (positif ou négatif) du joueur à l'is-
sue d'une partie.
a. Donner la loi de probabilité de X et son espérance E(X).
b. On dit que le jeu est favorable à l'organisateur si E(X) < 0. Le jeu est-il favorable à l'or-
ganisateur?
2. IJorganisateur décide de modifier le nombre n de jetons noirs (n entier naturel non nul) tout
en gardant un seul jeton blanc. Pour quelles valeurs de l'entier n le jeu est-il défavorable à
l'organisateur?

Exrnclcr 939 20 minutes

l. On note (xr) la suite arithmétique de premier terme .ro = 10 et de raison r.


Sachant eue -16 * .r1 * x2* x3 * x4 = 100, déterminer r et en déduire les valeurs dc x1, x2, x3
et x4.
2. Un sac contient 100 broules indiscernables au toucher. Sur chacune de ces boules est inscrit
l'un des numéros 0,7.,2,3 ou 4. Le nombre de boules portant chaque numéro est indiqué
dans le tableau ci-desisous :

Numéro de laboule 0 I 2 3 4
Nombre de boules f,ortant ce numéro l0 15 20 25 30

Un joueur tire au hariard une boule dans le sac, et on admet que les tirages sont équipro-
bables.
Pour chaque entier n compris entre 0 et 4, on note P, la probabilité que le joueur tire une
boule portant le numéro n.
Déterminer les valeurs des nombres Ps, P1, P2, P3 et Pa.
3. On convient de la règle du jeu suivante :
. si le numéro n de la boule tirée est impair, le joueur perd n euros;
. si le numéro n delitboule tirée est pair, le joueur gagne n euros.
On note X la variable aléatoire qui, à chaque tirage d'une boule associe le gain du joueur.
a. Déterminer les vrùeurs possibles de la variable aléatoire X.
338
CHAPITRE 5. PROBABILITÉS

b. Iustifier que P (X = 2) = 0,2.


c. Donner, dans un tableau, la loi de p robabilité de la variable aléatoire X puis
déterminer
son espérance mathématique E(X).
d. on modifie la règle du jeu de façorr à ce que les numéros pairs soient perdants et Ies
impairs gagnants.
Calculer, selon cette nouvelle règle, l'espérance mathématique de la variable a1éatoire
ÿ associée au gain du joueur.

ExnncrcE g4O 25 minutes


Les questions l. et 2. peuvent être traitées indépendamment. Les résultats seront donnés sous
forme de fractions.
A la gare A, 16 voyageurs ont pris chacun u n billet dont :
. 7 pour la gare B (prix du billet 50 €)
. 5 pour la gare C (prix du billet 60 €)
. 4 pour la gare D (prix du billet 75 €).
l. On choisit au hasard un de ces voyagerrrs. Soit X la variable aléatoire associant à chaque
voyageur le prix de son billet (en euros).
a. Déterminer la loi de probabilité de J(.
b. Calculer l'espérance mathématique de X.
2. On choisit au hasard trois de ces voyagers.
a. Calculer la probabilité pour que ces trois voyageurs aient trois destinations différentes.
b. Calculer la probabilité pour qu'au rrLoins un des voyageurs ait un billet pour la gare B.
c. Quelle est la probabilité pour que cette destination soit B, sachant que les trois voya-
geurs ont la même destination.

5.3 Préparer l'examen


Exnncrcr 941 : Vner/Feux 2ominutes
Un traiteur propose deux plats : des pizzas -'t des quiches. Il propose également des desserts.
Le chef constate que 70% des clients qui achètent un plat choisissent une quiche et que parmi
ceux-ci 30% prennent également un dessert.
Il constate également que 60% des clients q ri choisissentunepizza ne prennent pas de dessert.
On choisit au hasard un client ayant acheté un plat chezce traiteur.
On considère les événements suivants:
Q : « le client interrogé a choisi une quiche,,;
D : « le client interrogé a choisi un dessert »,
Pour chacune des cinq affirmations, dire si elle est waie ou fausse. Chaque réponse dewa être
justifiée.
l. Laprobabilitéqueleclientaitchoisiunt>pizzaetundessertestégaleà0,12.
339
53. PRÉPARERI:F,(1'MI:À

2. La probabilité que le r:lient ait choisi un dessert est égale à 0' 7'
4
à
3. Le client a acheté un dessert, la probabilité qu'il ait acheté :une pizza est égale 1 1 '
4. Les événements Q et D sont indépendants'
6 jours
5. Les pizzassont vendues 6 €, les quiches 5 € et les desserts 3 €. Le traiteur travaille
par semaine et vend en moyenne 200 plats par jour. Il gagne 7548 € par semaine.

20 minutes
Exnnctcr 942 : QCM
Cet exercice est un questtionnaire à choix multiple (QCM) comportant
cinq questions'
Pour chacune des questions, une seule des quatre réponses proposées est
correcte'
Question I
d'une
Uarbre pondéré ci-dessous représente une situation où A, B, C et D sont des événements
expérience aléatoire :
026 A
B
0,74 À
§9
§i
025 A
0,3
C
o,zs À

0,15 A
D
o,Bs À
La probabilité de l'événement A est égale à
a 0,66 b.0,117 c.0,2295 d.0,26

Question 2
En utilisant l'arbre de probabilité ci-dessous, on obtient :

1
I
a. P(B) =
5 B 3
!4 2
b. P(B) =
2 E 5
5
z 23
5 B c. P(B) =
-
I4 -e</ 1l
E d. P(B) =
3
5
-15
340
CIIAPITHE 5. PROBABILITÉS

Quesüon3
La loi de probabilité d'une variable aléatoire x est donnée par
ce tableau :

Xi -.5 0 2 15
P(X=xi) 0,5 0,24 0,2 0,06
On en déduit que:
u P(X)0) =0,74 b.P(X)O)=O,Zti c.P(X>O)=0,24 d.p(X>0)=0,26

Question 4
I-lespérance de la variable aléatoire x défin e dans la question 3 est égale à :
u 1,2 b. -I,2 c.lZ d. f
Question 5
La variance de la variable aléatoire x définie dans la question 3 est égale à
a 5 b.26,8 c.-I, [6 d.ZS,36
EXERCICE 943
15minutes
Un centre de loisirs destiné aux jeunes de I t ans à 18 ans compte 60 % de collégiens et Aoyo de
lycéens.
Le directeur a effectué une étude statistique sur la possession de téléphones portables. Cette
étude a montré que B0 % des jeunes possèc ent un téléphone portable et que, parmi les collé-
giens, 70 % en possèdent un.
On choisit au hasard un jeune du centre de loisirs et on s'intéresse atx évènements suivants :
C : « le jeune choisi est un collégien »;
- L :« le jeune choisi est un lycéenr;
- T : « le jeune choisi possède un téléphone portable
- ».

l. Donnerles probabilités: p(C), p(L), p(Tl, pcT).


2. Faire un arbre de probabilités représentiurt la situation et commencer à le renseigner avec
les données de l'énoncé.
3. Calculer la probabilité que le jeune choisi soit un collégien possédant un téléphone por-
table.
4. Calculer la probabilité que le jeune choisi soit un collégien sachant qu'il possède un télé-
phone portable.
5. a Calculer p(TnL), endéduire pLG).
b. Compléter l'arbre construit dans la question 2.

ExERcrcE 944 lS minutes


Une boite contient 200 médailles souvenir dont 50 sont argentées, les autres dorées.
Parmi les argentées 60% représententle c.râteau de Blois, 30ÿole château de Langeais, les
autres le château de Saumur.
Parmi les dorées 40 7o représentent le châter.u de Blois, les autres le château de Langeais.
On tire au hasard une médaille de la boite. Le tirage est considéré équiprobable et on note :
fi. PRÉ,PARERLFXE/I/EN 341

A l'évènement « la médaille tirée est uugentée »;


D l'évènement « la médaille tirée est dorée »;
B l'évènement la médaille tirée représente le château de Blois »;
«

I l'évènement « la mrSdaille ürée représente le château de Langeais »;


S l'évènement « la mr3daille tirée représente le château de Saumur ».

1. Dans cette question, on donnera les résultats sous la forme d'une fraction irréductible.
.L Calculer la probabilité que la médaille tirée soit argentée et représente le château de
Langeais.
b. Montrer que la prrobabilité que la médaille tirée représente le château de Langeais est
2t
ésale à
"40 -.
c. Sachant que la m.édaille tirée représente le château de Langeais, quelle est la probabilité
que celle-ci soit dorée?
2. Sachant que la médaille tirée représente le château de Saumur, donner la probabilité que
celle-ci soit argentée.

EXERCICE 945 15 minutes


En 2013, le parc automobile français s'élevait à 38,204 millions de véhicules, parmi lesquels
on comptait3l,622 millions de voitures particulières, les autres véhicules étant des utilitaires
légers ou des véhicules liourds (Source INSEE).
D'autre part, on sait que:
62To des voitures particulières sont des véhicules diesel;
- parmi les autres véhicules, 6% sont des véhicules essence.
-
On choisit au hasard un véhicule dans le parc automobile français.
On considère les évènernents suivants :
V : <<Le véhicule est un véhicule particulier. »

D :« Le véhicule est un véhicule diesel. »

Dans tout I'exercice, les résultats seront arrondis au millième.


l. Iustifier que la probabilité p(V) est égale à 0,828.
2. Etablir un arbre de probabilité.
3. a Calculer la proba.bilité que le véhicule choisi soit une voiture particulière roulant au die-
sel.
b. Montrer quie p(Lt) = 0,675.
c. On suppose que le véhicule choisi roule au diesel.
Quelle est la probabilité que ce ne soit pas une voiture particulière?

EXERCTCE 946 2ominutes


Un fabricant produit des pneus de detx catégories, la catégorie « pneu neige » et la catégorie
« pneu classique ». Sur chacun d'eux, on effectue des tests de qualité pour améliorer la sécurité.

On dispose des informations suivantes sur le stock de production :


342 CIIAPITRE 5. PROBABILITES

le stock contient 40To de pneus neige;


- parmi les pneus neige, 92Vo ont réussi le s tests de qualité;
- parmi les pneus classiques, 96% ont réussi les tests de qualité.
-
Un client choisit un pneu au hasard dans le stock de production. On note :

À[ l'évènement : « Le pneu choisi est un pneu neige »;


- C l'évènement : « Le pneu choisi est un pneu classique »;
-
Q l'évènement : « Le pneu choisi a réuss.les tests de qualité. ».
-
l. Illustrer la situation à l'aide d'un arbre p,rndéré.
2. Calculer la probabilité de l'évènement n Q et interpréter ce résultat par une phrase.
3. Montrer que P(Q) = 0,944. ^
4. Sachant que le pneu choisi a réussi les te sts de qualité, quelle est la probabilité que ce pneu
soit un pneu neige?

EXERCICE 947 2ominutes


L eau minérale provient de deux sources, n(rtées « source A » et « source B ».
La probabilité que l'eau d'une bouteille pr(rlevée au hasard dans la production d'une journée
de la source A soit très peu calcaire est 0,1'i'. La probabilité que l'eau d'une bouteille prélevée
au hasard dans la production d'une journée de la source B soit très peu calcaire est 0,10.
La source A fournit TOTo de la production qrrotidienne totale des bouteilles d'eau et Ia source B
le reste de cette production.
On prélève au hasard une bouteille d'eau dans la production totale de la journée. On considère
les événements suivants :
A bouteille d'eau proüent de la source A »;
: « La
B La bouteille d'eau provient de la source B »;

S : « Leau contenue dans la bouteille d'eau r:st très peu calcaire ».

l. Déterminer la probabilité de l'évènemer t A n S.


2. Montrer que la probabilité de l'évèneme nt S vaut 0, 149.
3. Calculer la probabilité que I'eau contenrre dans une bouteille provienne de la source A sa-
chant qu'elle est très peu calcaire.

EXERCICE 948 20minutes


Le serüce contrôle la qualité des fèves de qrcao liwées par les producteurs. Un des critères de
qualité est le taux d'humidité qui doit être de 7 ÿo. On dit alors que la fève est conforme.
I-lentreprise a trois fournisseurs différents :
le premier fournisseur procure la moitié du stock de fèves, le deuxième 30 % et le dernier ap-
porte2OVo du stock.
Pour le premier, 9Bÿo de sa producüon resl ecte le taux d'humidité; pour le derxième, qui est
un peu moins cher, 90 % de sa production est conforme, et le troisième fournit 20 % de fèves
non conformes.
fi, PRÉPARERI:ÜAM-EN 343

On choisit au hasard une fève dans le stock reçu. On note F; l'évènement « la fève provient du
fournisseur i », pour d prenant les valeurs 1, 2 ou 3, et C l'évènement « la fève est conforme ».
l. Déterminerlaprobabilitéquelafèveproviennedufournisseurl,sachantqu'elleestconforme.
Le résultat sera arrondi à 10-2.
2. Le troisième fournisseur ayant la plus forte proportion de fèves non conformes, I-lentreprise
décide de ne conser\rer que les fournisseurs 1 et 2. De plus, elle souhaite que 92 % de fèves
qu'elle achète soient conformes.
Quelle proportion p ,Ce fèves doit-elle acheter au fournisseur I pour atteindre cet objectif?

ExnnCrcp 949 20 minutes


Un jardinier propose ses services pour la plantation de la pelouse dans un lotissement nouvel-
lement construit. Il dispose de deuxproduits : soit un gazoîsport, soit un givon anglais.
Parmi les foyers du lotissement, 60 % se déclarent intéressés par cette offre; cependant le jardi-
nier sait par expérience rllue, parmi ceux qui se disent intéressés, 50 % se décident pour le gazon
sport, 30 % pour le gazon anglais, les autres renonçant finalement à faire appel à lui.
On note :
1l'événement « le foyer est intéressé »;
S l'événement « le foyer prend du gazon sport »;
A l'événement « le foyer prend le gazon anglais »;
R l'événement « le foyer renonce à faire appel au jardinier ».

Un foyer du lotissement est pris au hasard.


l. Calculer les probabilités des événements suivants :
. « le foyer est intérerssé et prend du gazon sport » soit 1n S;
. InA;
. In,R.
2. Calculer la probabilité que le jardinier ne plante pas la pelouse dans ce foyer.
3. La plantation du gazola sport est facturée 2000 € et celle du gazon anglais s €. On appelle X
la variable aléatoire égale au montant (qui peut être nul) versé au jardinier par un foyer pris
au hasard dans le lotissement.
a. Donner la loi de'probabilité de X.
b. Exprimer l'espérinnce mathématique de X en fonction de s.
c. Calculer s pour rtrue le jardinier espère gagner en moyenne 1200 € par foyer dans ce
lotissement.

EXERCICE 950 20 minutes


Lors de la fête de l'école, Bob organise un jeu.
Une urne opaque contir:nt 250 boules indiscernables au toucher : 25 boules bleues, 75 boules
rouges, les autres sont blanches.
Pour chaque partie, cha,que joueur mise 2 €. Il prélève ensuite une boule au hasard dans l'urne.
. Si la boule est bleue, ler joueur gagne B €.
344 CHAPITRE 5. PROBABILITÉS

. Si la boule est rouge, le joueur gagne 4 €.


. Si la boule est blanche, le joueur ne gagne rien.
On note X la variable aléatoire égale au gafur algébrique du joueur.
l. a. Etablir que la loi de probabilité de X est donnée par l

l-,'tW
p(x=x;)
I | o,o I o,s I o,r I

b. Démontrer que le jeu est équitable, r:'est-à-dire que l'espérance est nulle.
c. Calculer la variance et l'écart ÿpe de X. On arrondira les résultats au centième.
2. Pour financer le séjour au ski, Bob veut modifier le jeu pour qu'il lui devienne favorable. Il
veut pour cela ajouter des boules blanches dans l'urne.
Combien de boules blanches doit-on aj ruter dans l'urne pour que l'espérance du jeu soit
égale à -1,5?

5.4 Aller plus loin


EXERCTcE 951 20minutes
Au cours d'une quinzaine commerciale, urL magasin offre un billet de loterie à tout acheteur
d'un appareil électroménager. Les 500 billets sont numérotés de 001 à 500 et ils sont tous dis-
tribués.
Ala fin de la quinzaine, on effectue un tirag-. au sort, à l'issue duquel :
. le numéro 397 gagne l0 000 €;
. les 4 autres numéros se terminant par 97 flagnent chacun 1 000 €;
. les 45 autres numéros se terminantparT flagnent chacun 100 €.
Il y a ainsi en tout 50 numéros gagnants.
Après l'achat d'un appareil, une personne üre un billet au hasard.
l. On désigne par X la variable aléatoire qui, au numéro de ce billet, associe le gain correspon-
dant.
a. Préciser les valeurs que peut prendr«r X.
b. Déterminer la loi de probabilité de -1 .
c. Calculer son espérance mathématiqrre E(X).
2. Onconsidère les deuxévénements :
 : « le numéro obtenu est gagnant » et .B : « le detxième chiffre du numéro est 9 ».

a. Calculer les probabilités p(A) et p(Bt.


b. Les événements A et B sont-ils indéllendants?

3. Le magasin annonce dans sa publicité « Pour doubler vos chances d'avoir au moins un
billet gagnant, achetez detx appareils!». Une personne achète deux appareils et tire deux
billets au hasard.
5.4. ALLERPLUSLOIN 345

a. On considère l'é.yénement C : « aucun des deux numéros n est gagnant ». Calculer la


probabilité p(C).
b. En déduire la probabilité pour qu'un numéro au moins soit gagnant.
Cette annonce publicitaire est-elle correcte? Iustifler la réponse par le calcul.

EXERCTcE 952 15 minutes


Lensembleoestdéfinipar:c)={tt,t,t); (1,1,2)i(1,2,1);(1,2,2);(2,L,1);(2,1,2),(2,2,r);(2,2,2)l
On désigne par ? (O) l'ensemble des parties de O.
IJapplication p de ? (E) vers R+ est définie sur les événements élémentaires par :

p (@, y, à) = a.(x + y + z',t + b, avec (a; b) e R2.

1. Montrer que p est une probabilité si 36a+Bb= 1 et -+t2 < , <-t2


].
2. Soit A l'événement { [r, y, z)[ et B l'événement l(2,2, z)l
Déterminer aetbpaur qr.re p(A) = p(B).
3. Dans cette question ,& et b sont deux réels satisfaisant les conditions du l.
On définit la variable, aléatoire X par :

x ( (x, y, z) =3six+ÿ*z=3
x ( (x, y, z) =4six+ y+z=4
x ( (x, y, z) =-3six.+y+z=5
X ( (x, y, z) =-4six.+Jt+z=6

a. Déterminer la loji de probabilité de X.


b. Déterminer a et rb pour que l'espérance mathématique de X soit égale à 0. Calculer dans
ce cas la variance de X.

EXERCICE 953 l0 minutes


Une urne contient n + 8i boules de trois couleurs : 3 boules vertes, 5 boules rouges et n boules
bleues (n)2).

l. Vérifier qu'il y 4+) façons de choisir deuxboules parmi p.


" 2!. '
2. On tire derx boules de l'urne sans remise et on se place dans I'hypothèse de l'équiprobabi-
lité :

. on gagne quand oni tire deux boules de la même couleur,


. on perd quand on lire detxboules de couleurs différentes.
Calculer, en fonction de n,laprobabilité pn de gaan puis la probabilité qn deperte.
Calculer la limite de p, lorsque n tend vers +oo. Ce résultat était-il prévisible?
3. On effectue maintenLant une série de dix tirages de deux boules, comme dans la question
précédente, en remettant chaque fois les deuxboules tirées dans l'urne.
Calculer, en fonction de n,la probabilité pn porur obtenir 9 fois et 9 fois seulement un tirage
de deux boules de la même couleur.
Calculer la limite de p, lorsque n tend vers +oo. Ce résultat était-il prévisible?
346 CITAPTTRE 5. PROBABILITÉ,S

Exrncrcr 954 : Vner/Feux 15 minutes


Une urne contient trois dés équilibrés. Deur d'entre eux sont normaux : ils possèdent six faces
numérotées de I à 6. Le troisième est truqué : il possède deux faces numérotées I et quatre
faces portant le numéro 6.
On prend un dé au hasard dans l'urne et rn effectue de manière indépendante des lancers
successifs.
On note:
. U l'événement le dé tiré est normal »;
«
. ÿ l'événement on obtient I au premier lirncerr;
«
e pour tout entier n non nul, S, l'événemerrt « on obtient 6 à chacun des n premiers lancers ».
Les affirmations suivantes sont-elles waies ou fausses?
2
l. P(U-l = -.
I
2.
; (à)'.:i (;)'
Pour tout n € N*, on a P(sn) =
Pour n E N*, on note pn la probabilité d'avoir tiré le dé truqué, sachant qu'on a obtenu le nu-
méro 6 à chacun des z premiers lancers.
3. Pourtoutn EN*,on àpn= ;f i',
+r
4. pntendvers 0lorsque n
'\il
tendvers +oo.

ExERcrcE 955 25 minutes


Les habitants d'un petit village de montagne sont touchés par un ürus peu dangereux (la gué-
rison est très rapide), mais contagietx.
On suppose que la propagation de ce ürus r;uit le schéma suivant :
. tout indiüdu qui contracte le virus tombe malade le jour même, mais est systématiquement
guéri le jour suivant;
o tout individu en bonne santé un jour, corLtracte le ürus le jour suivant avec une probabilité
de 60%;
. aucun indiüdu n'est immunisé, même en ayant déjà contracté le virus.
Mathix arrive dans ce village, un dimanche s oir, en bonne santé, pour un séjour d'une semaine.
l. Quelle est la probabilité que Mathix soit malade tous les jours de la semaine?
2. Quelle est la probabilité qu'il soit malade le mercredi?
3. Quelle est la probabilité qu'il ne tombe p as malade au cours de la semaine?
4. Quelle est la probabilité qu'il soit malade trois jours de la semaine?

Exnncrcr 956 4O minutes


On dispose de trois pièces qui présentent clracune un côté pile F et un côté face F.
Létat des trois pièces est donné sous la fornre d'un triplet, par exemple si la pièce I est sur pile,
la pièce 2 sur pile et la pièce 3 sur face, on n )tera (P, P, F).
Partie A : Retournements successifs
Au départ de l'expérience, à l'instant n = O, rln dispose les pièces dans l'état (P, F, P).
5.4. ALLERPLUSLOIN 347

Ensuite, on retourne unre pièce à chaque instant. On retourne d'abord la pièce 1, puis la pièce
2, puis la pièce 3, puis à nouveau a 1 etc.
Par exemple, àl'instant n = 2,lespièces seront dans l'état suivant : (F, F' F).
l. Quel sera l'état des pièces à I'instant n = 5? A l'instant le = 6?
2. Quel sera l'état des p,ièces à I'instant n = 2O20?
3. A quel instant retournera-t-on pour la 2020e fois la pièce 2?
Partie B : Retournements aléatoires
Dans cette partie, on repart de l'état initial (P, F, P) à l'instant n = 0. Puis, à chaque instant, on
choisit une pièce au hasard parmi les 3 et on la retourne.
Lorsque les 3 pièces prérsententle même côté, on arrête les retournements.
Pour tout n € N, on note Pr(i) la probabilité de voir i côtés piles à l'instaît n.
Par exemple, à l'instant n = 0, on est dans l'état (P, F, P) et on voit obligatoirement 2 piles donc :
Ps(O) = P6(l) = Po(3) = 0 et Po(2) = 1.
l. Représenter I'expérience par un arbre. Au bout de chaque branche, on note le nombre de
cotés piles üsibles, aux instants n et n + I :
2. A l'aide de l'arbre pr,écédent,

a. Expliquer les relations : P,a1(0) = Pn(0) * lrrttl et Pz+r(1) =2.pr(Z).


JJ
b. Etablir de même une relation entre Prly(2) et P"(l).
c. Etablir une relatjion entre Pral (3), P"(2) et Pn(3).
3. Dans cette question, on souhaite étudier l'évolution des valeurs de Pn(l) et P"(2) en fonc-
tion de z.
a. A l'aide des relations de la question 2, compléter le tableau suivant :
n 0 I 2 J 4 5
Pn(I) 0
Pn(2) I
b. Ecrire, sous forme d'une puissance puis sous forme approchée, les valeurs de Pzo(I) et
Pzo(Z), puis celle,s de Pzr (l) et P»(2).
c. Conjecturer la valeur vers laquelle Pn(l) tend lorsque z devient très grand.
d. Conjecturer la v:rleur vers laquelle P"(2) tendlorsque z deüent très grand.
On admettra ces detx conjectures.
4. On souhaite maintenant calculer la valeur vers laquelle tend Pn(3) lorsque n deüent très
grand.
Cette valeur représernte la probabilité, après un très grand nombre n de retournements,
d'avoir 3 piles visibles; c'est-à-dire la probabilité d'arrêter les retournements dans l'état
(P, P, P).
Pour cela on pose, pour tout n € N, fn = 2P n(l) + 3P + SPn (3).
"(2)
a. Calculer 7s.
b. Montrer que pour tout n € N, on à Tn+t = In. Quelle est la valeur de T2s2s?
c. Déterminer la vzüeur vers laquelle P, (3) tend lorsque z devient très grand.
d. Quelle est la probabilité d'arrêter les retournements dans l'état (F, F, F)
348 CHAPITRE 5. PROBABILITÉS

Exrncrcn 957 : Vner/Feux lOminutes


Une urne contient:

. n boules blanches, dont 2 sont numér otées l, les autres étant numérotées 2;
. n+ I boules rouges, dont 3 sont num(irotées 1, les autres étant numérotées 2;
. n + 2 boules noires, dont 4 sont numérotées l, les autres étant numérotées 2.

Toutes les boules sont indiscernables entre rllles au toucher.


On prélève successivement, avec remise intr:rmédiaire, 3 boules de l'urne.
On appelle A l'événement : « les trois boules tirées sont de la même couleur ».
Les affirmations suivantes sont-elles vraies rlu fausses?
n3 + (n + + (n + 2)3
l. La probabilité d'obtenir A est -1"3 .
27(n + l)3
2. lévénement contraire de A est : « les trois boules tirées sont de couleur deux à deux dis-
tincte ».
3. La probabilité que les trois boules tirées r;oient rouges est constante.
4. La probabilité que les trois boules tirées soient de couleur différente et portent chacune le
234
numérolest-+-+-.
n n+l n+2
ExEncrcr 958 : Vner/Feux l0 minutes
Soient betndeuxentiersnaturelstelsque b>2etn22.Uneurnecontient2boulesblanches
et (b - 2) boules noires, indiscernables au toucher. On tire au hasard une boule de l'urne, on
repère sa couleur et on la remet dans I'urne. On répète ainsi n fois cette expérience.
On désigne par:
anlaprobabilité de tirer une alternance de r:ouleurs lors des n ürages.
pnlaprobabilité de tirer une boule blanche et une seule lors des (n - 1) premiers ürages et une
boule noire au n-ième tirage.
Les affirmations suivantes sont-elles vraies ou fausses?
l. a2=
242 3. Pr=l-
b- U, ü.
2l 2\
2. b3= 4. pn='-J/(r-i)"''
alr- u)
Exnnctcr 959 : VneI/Feux l0 minutes
Un sondage fait état de l'intérêt d'un certailr nombre de personnes pour la lecture de trois re-
vues, appelées A, B et C. Tous les chiffres ci:és ci-dessous font référence à ces personnes son-
dées.
Parmi les personnes interrogées, 75 lisent 1., 58 lisent B et 60 lisent C. On sait de plus que lB
lisent A et B, 18 lisent B et C et 15 lisent A et l. Enfin 3 personnes lisent les trois revues et
5 personnes ne lisent aucune de ces revues.
Par ailleurs parmi les personnes qui ne lisent que la revue A, 20 sont des femmes; parmi les
personnes qui ne lisent que la revue B, les rleux-cinquièmes sont des femmes; parmi les per-
5.4. ALLERPLUSLOIN 349

sonnes qui ne lisent que, la revue C, ily a moitié-moitié d'hommes et de femmes.


Les affirmations suivantes sont-elles vraies ou fausses?
1. 150 personnes ont été sondées.
2. 100 personnes lisent une et une seulement de ces trois revues.
B. On interroge au hasard une personne du sexe masculin qui ne lit que l'une des trois revues.
lly a25To de chances qu'il s'agisse d'un homme qui ne lise que la revue A.
4. On interroge au hasiard une personne qui ne lit que l'une des trois revues. Il y a 25ÿo de
chances qu'il s'agisse: d'un homme qui ne lise que la revueA.

ExrncrcB 960 : Vnel/F,rux 10 minutes


Soit n un entier supérierur ou égal à 2, Une urne contient :

. une boule numérotée 0;


. une boule numérotée 1;
. 2l boules numérotéers 2;
. 22 boules numérotéers 3;

o 2k-r boules numérot,ées k (où k est un entier compris entre I et n);

o ln-r boules numérotées z.


Les boules sont indiscernables au toucher. On extrait au hasard une boule de I'urne et on note
X la variable aléatoire égale au numéro de la boule tirée.
Les propriétés suivanter; sont-elles waies ou fausses?
l. Lurne contient 2n - [ boules.
2. Pour toutentiernatuLrel k tel que I < k < n,oîa: P(X = k) =2n-k+1.
n
3. onapour n)2,Lk2k-r - (n-l)2n +1.
k=r
4. On aE(n = (n-t)21x +1.

EXERCTCE 961 20 minutes


On étudie un modèle de propagation d'un ürus dans une population, semaine après semaine.
Chaque individu de la population peut être, à l'exclusion de toute autre possibilité :
. soit susceptible d'être atteint par le ürus, on dira qu'il est « de type S »;
. soit malade (atteint prr le virus);
. soit immunisé (ne peut plus être atteint par le virus).
Un individu est immunjlsé lorsqu'il a été vacciné, ou lorsqu'il a guéri après avoir été atteint par
le ürus.
Pour tout entier naturel n, le modèle de propagation du virus est défini par les règles suivantes :
. Parmi les individus de type S en semaine n, oî observe qu'en semaine n + | : BS Vo restent de
type S, 5 % deüennent malades et 10 % deviennent immunisés.
. Parmi les individus malades en semaine n, on observe qu'en semaiîe n+l:657o restentma-
lades, et 35 % sont guériis et deüennent immunisés.
. Tout individu immunisé en semaine n reste immunisé en semaine z + 1.
350 CIIAPITRE 5. PROBABIIJTES

On choisit au hasard un indiüdu dans la pc pulation. On considère les événements suivants :


Sn : « I'indiüdu est de type S en semaine n »r ;
Mn: « l'individu est malade en semaine n »;
.I, : « l'indiüdu est immunisé en semaine n ».

En semaine 0, tous les indiüdus sont cons Ldérés « de ÿpe S », or a donc les probabilités sui-
vantes : P(So) = l ; P (Mù = 0 et P(10) = 0.
PartieA
On étudie l'évolution de l'épidémie au cours des semaines I et 2.

l. Compléter I'arbre de probabilités donné ci-dessous

S1

Ss
...-M,

I
Iy

2. Montrer que P (Iù = 0,2025.


3. Sachant qu'un indiüdu est immunisé e:r semaine 2, quelle est la probabilité, arrondie au
millième, qu'il ait été malade en semainr: l?

PARTIEB
On étudie à long terme l'évolution de la mdadie.
Pour tout entier naturel n, otr:- un = P (Sà, un = p (Mù Et til, = P (1r) les probabilités respec-
tives des événements Sn, M, et In.

l. Iusüfler que, pour tout entier naturel n, oî a : un + u n + w, - l.


On admet que la suite (zr) est définie pàt u71a1 =O,65un+O,OSur.
2. A l'aide d'un tableur, on a calculé les prerniers termes des suites (uà , (u à et (w à .
5.4, ALLERPLUSIOIN 35r

A B C D
I n un un wn
2 0 I 0 0
3 I 0,850 0 0,050 0 0,100 0
4 2 o,7225 0,075 0 0,2025
5 3 0,6141 0,0849 0,3010
6 4 0,5220 0,085I 0,3921
-I 5 0,4437 0,0819 0,4744
B 6 0,377 | 0,0754 0,547 4

20 IB 0,053 6 0,013 3 0,933 0


2l 19 0,045 6 0,0113 0,9431
22 20 0,038I 0,009 6 0,9516

Pour répondre aux questions a- et b. suiuantes, on utilisera la feuille de calcul reprodutte ci-
dessus.

a. Quelle formule, saisie dans la cellule C3, permet par recopie vers le bas, de calculer les
termes de la suite (u") ?
b. On admet que l:s termes de (uù augmentent, puis diminuent à partir d'une certain
rang N, appelé le « pic épidémique » : c'est l'indice de la semaine pendant laquelle la
probabilité d'êtrr-. malade pour un individu choisi au hasard est la plus grande.
Déterminer la valeur du pic épidémique prévue par ce modèle.
3. a. Iustifier que, pour tout entier naturel n, oîai un+r = 0,B5un.
En déduire l'exp:ression de u, en fonction de z.
b. Montrer, à l'aide d'un raisonnement par récurrence, que pour tout entier naturel n,

ur=T(o,Bs'-0,65n).
4. Calculer les limites dle chacune des suites (uà, (uà et (wù.
Que peut-on en déduire quant à l'évoluüon de l'épidémie prévue à long terme par ce mo-
dèle?

Exrnclcr 962 15 minutes


l. Une urne contient qruatre jetons numérotés de I à 4.
On tire au hasard un jeton de I'urne, on lit le numéro, noté a, porté sur le jeton puis on remet
le jeton tiré dans l'urne. On tire ensuite un deuxième jeton de l'urne et on note b le numéro
du jeton tiré.
Soit (O, ; ,T ,1') repère orthonormé de l'espace. On considère les vecteu.. d 7 au
",
coordonnées respectives (a; -5 ; l- a.) et (1+ b; l; b).
"t

Montrer que la probrabilité que ces vecteurs soient orthogonaux est égale à ].
+
352 CHAPITHE 5. PROBABILITÉS

2. Deux personnes A et B jouent au jeu suiv mt, constitué d'un certain nombre de parties iden-
tiques décrites ci-après : au cours d'un: partie, chaque joueur effectue le tirage de deux
jetons décrit dans la première question.
Si A obtient des vecteurs orthogonarx et I des vecteurs non orthogonaux, A est déclaré vain-
I

queur, le jeu s'arrête.


Si A obtient des vecteurs non orthogonau x et B des vecteurs orthogonaux, B est déclaré vain-
queur et le jeu s'arrête.
Dans les autres cas, les joueurs entreprerrnent une nouvelle partie; le jeu continue.
Pour tout entier n, on désigne par:
Arl'événement : «A gagne la n -ième partie »,
B, l'événement : « B gagne la z-ième partie »,
C, l'événement : « le jeu continue après la z-ième partie »

a. Calculer les probabilités p (41) , p(B ) et p(Ci.


b. Exprimer p(Cn+ien fonction de p((ir)et montrer que p (C)= (;)'

Exprimer p (An+ien fonction de p (r))et en déduire que p (A,) =


* (;)'-'
3. a. Déterminer la limite de p (Aà quanci n tend vers +oo.
b. Déterminer le plus petit entier z tel « 1ue p (A") soit inférieur ou égal à 0,01 .

ExERcrcE 963 2O minutes


Amélie est en vacances dans une très grande métropole. Elle doit traverser cette ville en suivant
l'avenue principale, qui est jalonnée de nonrbreux fetx tricolores.
Pour tout entier naturel n> | , on note Enl'événement «Amélie est arrêtée patle n" feu rouge
ou orange » et fu,|'événement contraire. Le feu orange est considéré comme un feu rouge.
Soit p, la probabilité de En et qn celle de lL. La probabilité que le premier feu tricolore soit
rouge ou orange vaut :.
I
On suppose que les detx conditions suivanles sont réalisées :

. la probabilité que le (n+ l)e feu tricolore scrit rouge ou orange, si le n" feu est rouge ou oriunge,
I
vaut
-:
20'
. la probabilité que le (n + l)e feu tricolore soit rouge ou orange, si le z" feu est vert, est égale à
I
20

l. On s'intéresse, tout d'abord, atx deux premiers feux tricolores.

a. Recopier et compléter l'arbre pondéré ci-dessous.


5.4. ALLERPLUSLOIN 353

E2
1 E1
I
6
E2

E1

E
b. On note X lavariable aléatoire égale au nombre de fetxverts parmi ces deuxfeuxtrico-
lores. Déterminer la loi de probabilité de X.
c. Calculer I'espérance mathématique de X.
2. On se place maintenant dans le cas général.
a. Donnerles probabilités conditionnelles ps, (En+ù etpç(En+i.
b. En remarquant que E n+t = (En+r I n n1 u (f n*1 que, pour tout n ) l,
", "),montrer

Pn+t = fit,* fir,'


c. En déduire l'expression de pn+t en fonction d. pr.
3. Soit la suite (u") de nombres réels définie pour tout entier naturel n ) I par un = 28p n - 9.

a. Montrer que (zr) est une suite géométrique et déterminer sa raison k.


b. Exprimer un, prtis p,, en fonction de n.
c. Déterminer la limite, si elle existe, de pr, quand n tend vers +æ. Donner une interpré-
tation de ce résultat.

EXERCICE 964 20 minutes

l. Dans un stand de tir, un tireur effectue des tirs successifs pour atteindre un ballon afin de le
crever. A chacun de ces tirs, il a la probabilité 0,2 de crever le ballon. Le tireur s'arrête quand
le ballon est crevé. Les tirs successifs sont supposés indépendants.

a. Quelle est la probabilité qu'au bout de deux tirs le ballon soit intact?
b. Quelle est la probabilité que deux tirs suffisent pour crever le ballon?
c. Quelle est la probabilité p" que n tirs suffrsent pour crever le ballon?
d. Pourquellesvaleurs de z a-t-on pn>0,99?
2. Ce tireur participe aru jeu suivant :

Dans un premier temps il lance un dé tétraédrique régulier dont les faces sont numérotées
de I à 4 (la face obtenue avec un tel dé est la face cachée); soit k le numéro de la face obte-
nue. Le tireur se rend alors au stand de tir et il a droit à k tirs pour crever le ballon.
Démontrer que, si le dé est bien équilibré, la probabilité de crever le ballon est égale à 0,409 6
(on pourra utiliser un arbre pondéré).
354 CIIAPITRE 5. PROBABILITÉS

3. Le tireur décide de tester le dé tétraédrique afin de savoir s'il est bien équilibré ou s'il est
pipé. Pour cela il lance 200 fois ce dé et il obtient le tableau suivant :

Face k I 2 3 4
Nombre de sorties de la face /c 5B 49 52 4L

a. Calculer les fréquences de sorties fr. observées pour chacune des faces.

b. on pose d2= - catcutet d2.


É (o i)'
c. On effectue maintenant I 000 simt lations des 200 lancers d'un dé tétraédrique bien
équilibré et on calcule pour chaque simulation Ie nombre d2. Onobtient pour la série
statistique des 1000 valeurs de d2 ktsrésultats suivants :
Minimum D1 Qr Médiane Qe De Maximum
0,00124 0,00192 0,00235 0,002 8l 0,003 45 0,00452 0,01015
Au risque de LÙVo, peut-on considé::er que ce dé est pipé?

ExrncIcE 965 20 minutes


Une urne contient deux boules blanches et quatre boules noires. Ces six boules sont indiscer-
nables au toucher.
1. On effectue quatre tirages successifs d'urre boule sans remise.
a. Calculer la probabilité de tirer dans I ordre une boule noire, une boule noire, une boule
noire et une boule blanche.
b. Calculer la probabilité de ürer une boule blanche au cours de ces quatre tirages.
2. On effectue maintenant quatre tirages successifs d'une boule avec remise. Répondre atx
mêmes questions qu'à la question 1.
3. n étant un nombre entier strictement positif, on effectue ntirages successifs avec remise. On
appelle P" la probabilité d'obtenir au corrrs de ces n tirages une boule blanche uniquement
au dernier tirage.
a. Calculer Pt, Pz, P3 et Pn.
b. SoitSn = Pr* P2+ P3+ "' + Pn.
Exprimer S, en fonction de n et déterminer la limite de Sr.

EXERCICE 966 20 minutes


Iuliette débute un jeu dans lequel elle a autiurt de chances de gagner ou de perdre la première
partie. On admet que, si elle gagne une pa'tie, la probabilité qu'elle gagne la partie suivante
est 0,6, et si elle perd une partie, la probabillté pour qu'elle perde la partie suivante est 0,7. On
note, pour n entier naturel ou nul :
G, l'événement « Juliette gagne la n-ième pirtie »
Pnl'événement « Juliette perd la n -ième partie »
5.4, ALLERPLUSIOIN 355

l. a. Déterminerlespr:obabilitésp(Gr), pçr(Gùetppr(G).Endéduirelaprobabilitép(Gz)
b. Calculer p@ù.
2. Onpose, pour n entie.rnaturel non nul, xn = P(G") et yn = p (Pà.
a. Déterminer pour n entier naturel non nul les probabilités Pc,(Pn+i et pp,(Gna) .

b. Montrer que pour tout n entier naturel non nul :

xn+l=O,6xn+0,3y,
ÿn+t = 0,4xn +0,7 yn
3. Pour n entiernaturelnonnul, onpose un= xn+ynetwn=4xn-3y".
a. Montrer que la suite (un) est constante de terme général égal à 1.
b. Montrer que la suite (zr) est géométrique et exprimer wn enfonction de n
4. u Déduire du 3. l'elçression de xn en fonction de n.
b. Déterminer la limite de la suite (xr) Iorsque z tend vers +oo.

EXERCTCE 967 20 minutes


Les deux parties sont inclépendantes
Le robot Tom doit emprunter un pont sans garde-corps de 10 pas de long et de 2 pas de large.
Sa démarche est très particulière :

. Soit il avance d'un pas tout droit.


. Soit il se déplace en diagonale vers la gauche (déplacement équivalent à un pas vers la
gauche et un pas l.out droit).
. Soit se déplace en diagonale vers la droite (déplacement équivalent à un pas vers la
il
droite et un pas tout droit).
On suppose que ces trois types de déplacement sont aléatoires et équiprobables.
L objectif de cet exercicer est d'estimer la probabilité p de l'événement S « Tom traverse le pont »

c'est-à-dire « Tom n'est pas tombé dans l'eau et se trouve encore sur le pont au bout de
l0 déplacements ».

Partie A: Modélisaüon et simulation


On schématise le pont par un rectangle dans le plan muni d'un repère orthonormé (O , I, D
comme l'indique la figure ci-dessous. On suppose que Tom se trouve au point de coordonnées
(0; 0) au début de la trarrersée. On note (.r i /) les coordonnées de la position de Tom après
x déplacements.

1t

1
356 CIIAPITRE 5. PROBABII/TÉS

On a écrit I'algorithme suivant qui simule lir position de Tom au bout de x déplacements

r-0
y-0
Tantque ÿ)- -let/ < I et r < I
z prend une valerrr choisie au hasard entre -I, 0 et I
y_y+n
x-x+I
Fin tant que
Afficher « la deTorrest» (x; y)

l. On donne les couples suivants : (-l ; l); (f0; 0) ; (2;4); (10;2).


Lesquels ont pu être obtenus avec cet al1;orithme? Iustifler la réponse.
2. Modifier cet algorithme pour qu'à Ia place de « la position de Tom est (x ; /) », il affiche
finalement « Tom a réussi Ia traversée »c u « Tom est tombé ».

Partie B
Pour tout z entier naturel compris entre 0 et 10, on note :
. Anl'événefflêût « après n déplacements, lbm se trouve sur un point d'ordonnée -l ».
. Bnl'événement « après n déplacements, 1bm se trouve sur un point d'ordonnée 0 ».
. Cnl'événement « après n déplacements, 'lbm se trouve sur un point d'ordonnée I ».
On note an,bn,c, les probabilités respectiv:s des événements An,Bn,Cn.
l. Iustifier que 4o = O,bo = I, co = 0.
2. Montrer que pour tout entier naturel n compris entre 0 et 9, on a

an+ bn
an+l
3
a,n+ bn+ cn
bn+t
3
On pourra s'aider d'un arbre pondéré.
3. Calculer les probabilités p(A), p(Bi et p(Cù.
4. Calculer la probabilité que Tom se trouv: sur le au bout de deux
5. A l'aide d'un tableur, on a ob- n dn bn Cn

tenu la feuille de calcul ci- 0 0 I 0


I 0,333 333 0,333 333 0,333 333
contre qui donne des valeurs 2 o,222222 0,333 333 o,222222
approchées de an, bn, cnpotr n 3 0,r85 185 0,259259 0,185 185
4 0,148 148 0,209877 0,148 148
compris entre 0 et 10. 5 0,119 342 o,tæ724 0, I 19 342
Donner une valeur approchée à 6 0,096022 0,135 802 o,096022
0,001 près de la probabilité que 7 0,077 275 0,109282 0,077 275
8 0,062 186 o,o879M 0,062 186
Tom traverse le pont (on pourra I 0,050 043 0,o70772 0,050 043
s'aider du tableau ci-contre). l0 o,040272 0,056 953 0,o40272
5.4. ALLERPLUSLOIN 357

ExERcrcE 968 2Ominutes


Une urne contient 5 boules rouges et 3 boules blanches. On tire simultanément 2 boules.
l. Quelles sont les protrabilités des événements suivants :

A : « Obtenir 2 boules blanches ».


B : « Obtenir 2 boulers rouges ».
C : « Obtenir 2 boulers de couleurs différentes ».

2. On fixe la règle du jeru suivante : lors d'un tirage de detx boules

on gagne l0 euros si l'on tire detrxboules blanches (événement A);


-
on gagne 2 eur«rs si l'on tire deuxboules rouges (événement B);
-
on perd 5 euros si l'on tire deuxboules de couleur différente (événement C).
-
On définit ainsi une rrariable aléatoire X égale au gain, positif ou négatif, associé à une partie.
Quelle est l'espérance de gain au cours d'une partie?
3. On répète 5 fois de sruite le tirage, en remettant à chaque fois les boules tirées dans l'urne,
de sorte que les tirag;es successifs peuvent être considérés comme indépendants. Le joueur
est satisfait à chaquerfois que A est réalisé.
Quelle est la probabilité pour qu'il soit satisfait 4 fois sur 5 ? On donnera une valeur décimale
approchée à 10-5 pr,ès.

EXERCTcE 969 2O minutes


On dispose de 3 urnes f\, U2, U3 contenant chacune 2 boules indiscernables.
Dans Ur une boule est marquée G, l'autre est marquée A; dans U2 uîe boule est marquée 3,
l'autre est marquée 5; dans U3 une boule est marquée l,z l'urtr" est marquée 2.
Une épreuve E consister à tirer au hasard une boule dans chaque urne. On définit une suite z
de la façon suivante :
. si la boule tirée dans [.I1 est marqué A, la suite est arithmétique,
. si elle est marquée G, Ia suite est géométrique;
. la boule tirée dans U2 désigne le premier terme u0,
. la boule tirée dans U3 désigne la raison.
1. Calculer la probabilité d'avoir :

a. une suite u arithmétique;


b. une suite u convergente;
c. une suite z telle \ue ua soit un nombre entier pair.
2. Calculer la probabilité d'avoir une suite z qui ne soit pas convergente sachant qu'elle est
géométrique.
3. Un joueur tire une boule dans chaque urne et déflnit ainsi une suite numérique u :

si z est géométrique, il gagne 5 €;


-
si u est arithmétique et uq, {7,il perd 4 €;
-
358 CITAPITRE 5. PROBABII,ITÉ,S

si u est arithmétique et u4) 7,il perd 6 €.


-
Soit X la variable aléatoire égale au gain algébrique du joueur :

a. établir la loi de probabilité de X;


b. calculer l'espérance de X.

ExERCTcE 970 30 minutes


Lavégétation d'un pays imaginaire est com;rosée initialement de trois ÿpes de plantes :
40% sontdetypeA, 4lVode typeB etlgÿorleÿpeC.
On admet qu'au début de chaque année :
. chaque plante de type A disparaît et elle est remplacée par une et une seule nouvelle
plante de typeA, B ou C;
. chaque plante de type B disparaît et elle est remplacée par une et une seule nouvelle
plante de typeA, B ou C;
. chaque plante de type C disparaît et elle est remplacée par une et une seule nouvelle
plante de type C.
La probabilité qu'une plante de type A soit remplacée par une plante de même type est 0,6 et
celle qu'elle le soit par une plante de ÿpe B est 0,3.
La probabilité qu'une plante de ÿpe B soit remplacée par une plante de même type est 0,6 et
celle qu'elle le soit par une plante de ÿpe A est 0,3.
Au début de chaque année, on choisit au hasard une plante dans la végétation et on relève son
type.
Pour tout entier naturel n non nul, on note :

. A, l'évènefir€rlt « la plante choisie la n-ième année est de ÿpeA»,


. Bn l'évènement « la plante choisie la r-ième année est de type B »,
. Cn l'évènement « la plante choisie la rr-ième année est de type C ».

On désigne pàr pn, qn et rn les probabilités respectives des évènements Ar, B, et Cr.
Compte tenu de la composition initiale de lir végétation (début de l'année no0) on pose :

Po=0,40, Qg=0,41 et16=Q, 19.

l. Etablir un arbre pondéré illustrant cette riituation.


2. u Montrer gue pr = 0,363 puis calculet Q1 et 11.
b. Montrer que, pour tout entier naturel n non nul,
Pn+t = 0,6pn+0,3q,
Qn+t = 0,3pr+O,6qn

3. On déflnit les suites (Sr) et (Dr) sur N par S, = 4n* p, et D, = Qn- pn.
a. Montrer que (Sr) est une suite géomrltrique dont on précisera la raison.
Dans la suite, on admet que (Dr) est une suite géométrique de raison 0,3
359
5,4. ALLERPLUSLOIN

b. Déterminer les ljimites des suites (Sr) et (D").


c. En déduire les lirnites des suites (p"), (q") et (rn). Interpréter le résultat.

ExERcrcE 971 15 minutes

Iulie possède depuis plusieurs mois un téléphone mobile pour lequel elle a souscrit un forfait
mensuel de deux heur«:s. Soucieuse de bien gérer ses dépenses, elle étudie l'évoluüon de ses
consommations.
Elle a constaté que:
. si pendant le mois noté n elle a dépassé son forfait, la probabilité qu'elle le dépasse le mois
suivant noté (n + fl est
|;
. si pendant le mois nôté n elle n a pas dépassé son forfait,la probabilité qu'elle le dépasse le
2
mois suivant est
U.
Pour n entier naturel strictement positif, on désigne pil An l'événement n Iulie a dépassé son
forfait le mois n » et par B, l'événement contraire.
Onpose pn p(Aà Et
= Qn= p(Bà,o, u = 1.
Pr
2
Tous les résultats seront donnés sous forme de ftactions irréductibles.

l. a. Donner les probabilités de Aral sachant qule An est réalisé et de Ana1 sachant que B,
est réalisé.
b. Montrer que pour tout entier naturel n non nul, les égalités suivantes sont waies :

I 2
P(An+t nA")= UPn et P(An+r nB") = 84"

iPn+r=
2l
En déduire que l'égalité suivante est waie
S-EP"
2. Pour tout entier naturel n > I on pose : un = ,r-'i.
Montrer que la suite (zr) est une suite géométrique dont on précisera la raison et le premier
terme L,r.
3. Ecrire u, puis p,, en fonction de n. Déterminer la limite d" (p").

EXERCTcE 972 : Vnet/lFnux 15 minutes


Soit n un entier naturel non nul et X une variable aléatoire prenant les valeurs entières
0; l;2; ...i ni n+letvérifiant,pourtoutentier ktelque0< k< n,P(X- k)=(à)**t
Les affirmations suivantes sont-elles waies ou fausses?

l. Ona:P(X)2)=p(X=l).
n
2. ona:ln6-k)-1.
k=0
3. On a: P (X - n) = P (X - n+l).
4. ona:,!ilLlP(x>, n)l= l.
360 CIIAPITRE 5. PROBABILITÉ,S

EXERCICE 973 15 minutes


On s'intéresse aux timbres postau( de type P : B0 7o d'entre etu( comportent derx bandes de
phosphore, l'une à gauche et I'autre à droite; les 2O7o restants ont une seule bande de phos-
phore, l0 % parmi cetx-ci à gauche et les autres à droite.
Les affirmations suivantes sont-elles waies ou fausses?
l. La probabilité pour qu'un timbre de type P (choisi au hasard) ait une bande de phosphore
à
droite est p1 Q, gg.
=
2. Une machine détecte sur un timbre de qpe P une bande de phosphore à droite. La proba-
bilité pour que le timbre ait detx bandes de phosphore p, !-.
= 49
""t
Sur une enveloppe, on a collé trois timbres c.e type ! choisis au hasard et de manière indépen-
dante.
3. La probabilité d'avoir sur l'enveloppe un total de 5 bandes de phosphore est p3 o,L2B.
=
4. La probabilité d'avoir sur l'enveloppe au:noins 5 bandes de phosphore est égale à la proba-
bilité d'en avoir au plus 4.

EXERCTcE 974 lS minutes


l. On dispose d'une urne Ur contenant troir; boules rouges et sept boules noires.
On extrait simultanément deuxboules de cette urne; on considère que tous les tirages sont
équiprobables.
a. Quelle est la probabilité p1 que les deux boules tirées soient rouges?
b. Quelle est la probabilité p2 que les deux boules ürées soient noires?
c. Quelle est la probablité q que les deuxboules tirées soient de même couleur?
d. Quelle est la probabtlité p4 que les de ux boules tirées soient de couleurs différentes ?

2. On dispose aussi d'une deuxième urne J2 contenant quatre boules rouges et six boules
noires.
on tire maintenant deux boules de l'urne u1 et une boule de l'urne uz i on suppose que tous
les tirages sont équiprobables.
On considère les événements suivants :
R : « Les trois boules tirées sont rouges »
D : « Les trois boules tirées ne sont pas tolltes de la même couleur »
B : « La boule tirée dans l'urne U2 est rouge ».

a- Calculer la probabilité de l'événement R.


b. Quelle est la probabilité de tirer trois lroules de même couleur?
c. Calculer la probabilité conditionnelle po@) de l'événement B sachant que l'événement
D est réalisé.

EXERCTCE 975 15 minutes


Une urne contient 5 boules blanches et 4 borûes rouges indiscernables au toucher.
On effectue z tirages successifs (n entier surérieur ou égal à l) d'une boule en respectant la
5.4. ALLERPLUSLOIN 361

règle suivante :
. si la boule tirée est rouge, on la remet dans I'urne;
. si elle est blanche, on ne la remet pas.
Les deux parties sont ina!.épendantes.

PartieA
Dans cette partie n = 3. t)n donnera les résultats sous forme de fractions irréductibles.
Si k est un entier compris entre I et 3, on note 87. l'événement « seule la k-ième boule tirée est
blanche ». Par exemple, El êst l'événement « seule la première boule tirée est blanche ».

l. Montrer que la probaLbilité de l'événement E1 est p(El) =


361.
2. Calculer les probabiliités des événements E2 et 83.
En déduire la probabilité qu'on ait tiré une seule boule blanche à I'issue des trois tirages.
3. Sachant que l'on a tiré exactement une boule blanche, quelle est la probabilité que cette
boule ait été tirée en dernier?
Partie B
On effectue maintenant ,4 tirages.
l. Déterminer, en fonction de n,la probabilité pn de tirer au moins une boule blanche en n
tirages.
2. Quelles valeurs faut-jLl donner à n pour gte pn > 0,99?

ExERCICE 976 15 minutes


l. Une urne contient delxboules blanches et n noires, indiscernables au toucher.
Un joueur tire simultanément deux boules de l'urne et on note A2l'événement : « le joueur
a tiré der.rxboules blamches ».
Déterminer n pour que la probabilité p (A) del'événement A2 soit Agale a I15 t
Dans toute la suite du problème on prend n = 4.
2. Un joueur tire simultanément deux boules de l'urne et on note :
. Ao l'événement : « le joueur a tiré deux boules noires »;
. Ar l'événement : « le joueur a tiré une boule noire et une blanche ,;
. Azl'événement : « le joueur a tiré deux boules blanches ».
a. Calculer la probabilité des événements As et A1.
b. Lors de ce tirager, le joueur marque trois points pour chaque boule blanche tirée et
marque deux points pour chaque boule noire tirée.
Soit Xle nombre de points marqués.
Déterminer la loi de probabilité de la variable aléatoire X.
Déterminer E(X).
3. Après ce premier tir,age, le joueur remet les boules noires tirées dans l'urne et laisse les
boules blanches tirées de côté, puis effectue un nouveau tirage simultané de deux boules.
Soit B; l'événement : « on obtient i boule(s) blanche(s) lors du deuxième tirage » (i = 0, I ou
2).
362 CITAPITRE 5. PROBABILITÉ,S

?L Donner per(Bù et en déduire p (Bs t Aù.


Calculer de même p(BonAr) et p(BonAù.
En déduire que p 18ù = !.
2
b. Montrer de même
:que p(B)=
V.
c. Endéduire p@ù.

Exnncrcr 977 20minutes


Un joueur dispose d'une urne contenant 3 boules rouges, 4 boules blanches et z boules vertes
(0 ( n( 10). Les boules sont indiscernabler; au toucher.

l. Le joueur tire au hasard une boule de l'urne. Calculer la probabilité de chacun des événe-
ments suivants:
tLR : « la boule tirée est rouge »;
b.B :« la boule tirée est blanche ,;
c.V : « la boule tirée est verte ».

2. Le joueur décide de jouer une parüe. Ce lle-ci se déroule de la manière indiquée ci-dessous.
Le joueur tire une boule de l'urne
. €:
si elle est rouge, il gagne 16
. sielle estblanche, il perd 12 €;
. si elle est verte, il remet la boule dans I'urne, puis tire une boule de l'urne;

- si celle boule est rouge, il gagne I €;


si cette boule est blanche, il pe rd 2 €;
-
si cette boule est verte, il ne pe rd rien ni ne gagne rien.
-
Les tirages sont équiprobables et detx tirages successifs sont indépendants.
Au début de la partie, le joueur possède L2 €.
Soit X la variable aléatoire qui prend pour valeur la somme que le joueur possède à l'issue
de la partie (un tirage ou deux tirages seJ on le cas).

a. Déterminer les valeurs prises par X.


b. Déterminerlaloi de probabilité de )I.
c. Montrerquel'espérance mathématique de Xest t2 + rcffi.
3.onconsidèrelafonction/définiesurl,intervalle[0;l0]paI,f(-'
^'- {**r1r'
Etudier les variations de /.
4. En déduire la valeur de n pour laquelle l'espérance mathématique X est maximale. Calculer
celle valeur maximale (on donnera le rér ultat sous la forme d'une fraction irréductible).
5.4. ALLERPLUSLOIN 363

Exnnclcr 978 20 minutes


On dispose de deuxurnes U1 et U2 contenant des boules indiscernables au toucher. U1 contient
n boules blanches et 3 b,oules noires (z est un entier supérieur ou égal à t). U2 contient? boules
blanches et l boule noire.
On tire au hasard une boule de Ur et on la met dans Uz, puis on tire au hasard une boule de Uz
et on la met dans U1 ; l'ensemble de ces opérations constitue une épreuve.
l. On considère l'événement A: <<après l'épreuve, les urnes se retrouvent chacune dans leur
configuration de départ ».

a. Montrer que la probabilité p(A) del'événement A peut s'écrire : p(A) =iffi)


b. Déterminer la linnite de p(A) lorsque n tend vers +oo.
2. On considère l'événement B :« après l'épreuve, l'urne U2 contient une seule boule blanche ».

Vérifier que la probabilité p(B) de l'événement B peut s'écrire p(B) =


#
3. Un joueur mise 20 € ret effectue une épreuve. Al'issue de cette épreuve, on compte les boules
blanches contenues dans U2.
. Si Uz contient I setûe boule blanche, le joueur reçoit2n€.
. Si Uz contient 2 boules blanches, le joueur reçoit n €.
.Si Uz contient 3 boules blanches, le joueur ne reçoit rien.
a. Expliquer pourquoi le joueur n'a aucun intérêt à jouer tant que n ne dépasse pas 10.
Dans la suite, on considère n > lO et on introduit la variable aléatoire X qui prend
pour valeurs les gains algébriques du joueur (par exemple, si, après l'épreuve, l'urne
U2 contient une rseule boule blanche, X = 2n -20).
b. Déterminer la loji de probabilité de X.
c. Calculer l'espérance mathématique de X.
d. On dit que le jeu est favorable au joueur si et seulement si l'espérance maüématique
est strictement p6si1ivs. Montrer qu'il en est ainsi dès que I'urne Ur contient au moins
25 boules blanches.

Exrncrcr 979 25 minutes


l. Soit z un entier naturel et P le polynôme P(x) - I + x + x2 +... + xn.
a. Exprimer P(x) sous forme d'une fraction rationnelle.
b. En dérivant P, erprimer | +2x +3xz +... + nxn-r sous forme d'une fraction.
2. Une expérience consiste à lancer vingt fois de suite une pièce de monnaie. A chacun des
vingt lancers on notr3 I si « pile » apparaît, 0 si « face » apparaît. Un résultat d'une telle ex-
périence est donc une suite de vingt nombres dont chacun est égal à 0 ou à 1. On appelle
C) l'ensemble des résultats possibles et on admet que les résultats possibles sont équipro-
bables.
a. Quel est le nomb,re d'éléments de O?
b. On définit sur C) [a variable a]éatoire, qui, à chaque résultat possible fait correspondre le
rang du premier « I » dans la suite des vingt nombres correspondants (au résultat dont
364 CHAPITRE 5. PROBABILITÉS

tous les termes sont nuls, on fait cor:espondre 0).


Calculer l'espérance mathématique de X, à un dix millième près.

EXERCTcE 980 2O minutes


Un jeu consiste à tirer simultanément trois lroules d'une urne contenant six boules blanches et
quatre boules rouges.
On suppose que tous les tirages sont équiprobables.
jou:ur gagne 100 €; si exactement deux boules ürées
Si les trois boules tirées sont rouges, le
sont rouges, il gagne 15 € et si une seule e;t rouge il gagne 4 €. Dans tous les autre cas, il ne
gagne rien.
Soit X la variable aléatoire qui prend pour l aleurs le gain en euros du joueur lors d'un jeu.
l. Déterminer la loi de probabilité de la var iable aléatoire X.
2. Pour un jeu, la mise est de l0 €. Le jeu est-il favorable au joueur, c'est-à-dire I'espérance
mathématiques est-elle strictement supririeure à t0?
3. Pour l'organisateur, le jeu ne s'avérant ras suffisamment rentable, celui-ci enüsage deux
solutions:
. soit augmenter la mise de I €, donc passer à ll €,
. soit diminuer chaque gain de I €, c'est-à-dire ne gagner que 99 €, 14 € ou 3 €.
Quelle est la solution la plus rentable porrr l'organisateur?

EXERCTCE 981 20 minutes


Toutes les probabilités seront données sous frtrme de fractions inéductibles.
Une urne contient B boules blanches et 2 boules rouges. Un joueur extrait simultanément trois
boules de l'urne. On suppose que tous les tirages sont équiprobables.
l. A l'issue d'un tirage de trois boules :
. si aucune boule n est rouge, le joueur p erd 10 €;
. si une seule boule est rouge, le joueur g;agne 5 €;
. si derxboules sont rouges, le joueur gegne2O€.
X est la variable aléatoire qui associe le 1;ain algébrique du joueur à I'issue d'un tirage.
Donner la loi de probabilité de X.
Calculer l'espérance maüémaüque E (Xl.
2. Le joueur joue detx fois de suite selon les mêmes règles en remettant dans l'urne, après
chaque tirage, les trois boules extraites.
f est la variable aléatoire qui associe le g;ain algébrique du joueur à l'issue des deux tirages.
a. Donner les valeurs possibles pour Y (on pourra utiliser un tableau à double entrée).
b. Déterminer la probabilité que le joueur gagne exactement f 0 € à l'issue des detx par-
ties. (On pourra s'aider d'un arbre otLle tableau précédent.)
c. Etablir la loi de probabilité de f.
d. Calculer E(Y) etV(Y).
5.4. ALLERPLUSLOIN 365

EXERCTCE 982 2O minutes


l. Le nombre de clients se présentzrnt en cinq minutes dans une station-service est une va-
riable aléatoire X dont on donne la loi de probabilité :

)ci 0 I 2
P(X = xi) 0,1 0,5 0,4

a. Déflnir et représr-'nter graphiquement la fonction de répartition de X.


b. Calculer l'espérance mathématique de X.
2. Dans cette station-service, la probabilité qu'un client achète de l'essence est 0,7; celle qu'il
achète du gazole est 0,3. Son choix est indépendant de celui des autres clients. On considère
les événements suiv:rnts :
C1 << €n cinq minutes, un seul client se présente »;
C2 « eî cinq minutes, deux clients se présentent »;
E : « en cinq minutesl, un seul client achète de l'essence ».
a. Calculer P(Q n E).
b. Montrer que P6, (E) = 0,42 et calculer P (Cz l E).
c. En déduire la probabilité qu'en cinq minutes un seul client achète de l'essence.
3. Soit Y la variable aléatoire égale au nombre de clients achetant de l'essence en cinq minutes.
a. Déterminer la loi de probabilité de Y.
b. Calculer E(Y).

ExERcrcE 983 15 minutes


Un meuble est compos(i de 10 tiroirs Tt, 72, ..., Tro.
Une personne place au hasard une boule dans un des tiroirs et une autre est chargée de trouuer
le tiroir contenant ln boule à l'aide de la stratégie suivante :
la personne ouvre le tiroir [.
Si la boule est dans le tiroir 11, la recherche est achevée, sinon la personne ouwe le tiroir T2, et
ainsi de suite ... en respectant I'ordre des numéros de tiroirs.
On remarquera qu'avec cette stratégie, le tiroir T16 n'est jamais ouvert.
Pour i entier compris entre I et l0 (1 < i < 10), on appelle B; l'événement « La boule se trouve
dans le tiroir ft ».

On note X la variable aléatoire égale au nombre de tiroirs qui ont été ouverts afin de localiser
la boule avec cette stratégie.
1. Donner l'ensemble «les valeurs possibles de X.
2. u Montrerque,pour i entiercomprisentre I et8 (1 <, <8), l'événement (X= i) est
l'événement B;.
b. Iustifier que l'évrinement (X = 9) est la réunion des événements Be et 816.
c. Déterminer la loi de probabilité de X.
d. Calculer l'espéra.nce mathématique de X.
366 CHAPITHE 5. PROBABILITES

EXERCTcE 984 15 minutes


Un jeu consiste à lancer simultanément de.x dés cubiques dont les faces sont numérotées de
1 à 6 (un dé vert et un dé rouge), et à lire les points marqués sur chacune des faces supérieures.
Chaque face a la même probabilité d'apparftre.
Les résultats sont donnés sous la forme d'un couple, le premier nombre correspondant aux
points marqués sur le dé vert. Par exemple : (2; 5) signifie 2 sur la face supérieure du dé vert et
5 sur celle du dé rouge. La somme S des points marqués est alors 7.
l. Combien y a-t-il de couples possibles?
2. a. Quelle est la probabilité pl pour qur) la somme S des points marqués soit un multiple
de 5?
b. Quelle est la probabilité pz pour qur) la somme S des points marqués soit un multiple
de 2 qui ne soit pas multiple de 5?
3. Un joueur gagne 3 € silasomme S estrmmultiple de 5 et2€ si S estunnombre pairqui
n est pas multiple de s.
Il perd 4 € dans les autres cas.
On appelle X la variable aléatoire représ)ntant en euros la somme gagnée ou perdue.
Déterminer la loi de probabilité de X et I'espérance mathématique E(X).
Le jeu est-il avantagetrx pour le joueur?

EXERCICE 985 15 minutes


On veut ranger trois boules distinctes numé rotées de 1 à 3 dans deux cases A et B . On suppose
que chacune des cases peut contenir de zéto à trois boules. La place des boules dans les cases
est considérée comme sans importance.
On donnera les résultats sous forme de fractions inéductibles.
l. Montrer qu'il y a23 rangements possibles.
2. On suppose que tous les rangements orrt la même probabilité de se réaliser. Calculer les
probabilités des événements suivants :
E :« toutes les boules sont dans la case  »

F :« il n'y a pas de boule dans la case A »


G : «A contient la boule portantle numéro 2 ».

3. Soit X la variable aléatoire qui, à tout rimgement associe le nombre de boules contenues
dans la case A.
a. Déterminer la loi de probabilité de la variable X.
b. Calculer l'espérance mathématique rle X.

EXERCICE 986 30minutes


Un jeu de hasard consiste à lancer une piècr: de monnaie équilibrée :
. Si la pièce tombe sur « PiIe », le joueur penl I €.
. Si la pièce tombe sur « Face », le joueur ga1;ne I €.
Un joueur commence avec une mise de N e rros (N entier positif), il effectue plusieurs lancers.
5.4. ALLERPLUSLOIN 367

On note S la somme dorrt il dispose à la fln du jeu. On admet que le jeu s'arrête si le joueur perd
la totalité de sa mise. Lorsque la mise est perdue, on dit que le joueur est ruiné.
Par exemple, si lV = 3 et qu'il obtient Face, Pile, Pile, Pile, Pile, alors il est ruiné.

PartieA: Mise de 4 eunos


On suppose dans cette partie que N = 4.
l. Combien de lancers peut-il effectuer au maximum pour avoir la garantie de ne pas être
ruiné?
2. Un joueur décide de s'arrêter au bout de troisième lancer.
a. Représenter cettr-' situation par un arbre.
b. Compléter le tableau de probabilités suivant :

Somme s, après trois lancers


P(S=s;)

3. Il décide de poursuivre jusqu'au cinquième lancer.


Quelle est la probabilité qu'il soit ruiné?
Partie B: Mise de 6 euros
On suppose dans cette partie que N = 6.
Un joueur décide d'effer:tuer jusqu'à huit lancers. Par exemple, un tirage obtenu pour huit lan-
cers serait : PFFPPFFII, pour une somme finale de B €.
l. Quelle est la somme maximale dont peut disposer le joueur à l'issue de ce jeu? Donner le(s)
tirage(s) offrant cetter somme maximale.
2. Quelle est la probabiilité que le joueur ne gagne aucun lancer, c'est-à-dire qu'il n obtienne
jamais Face?
3. a. Lister les tirages menant à la ruine.
b. Déterminer P (S = 0), autrement dit la probabilité que le joueur soit ruiné.
4. a. Est-il possible qtre la somme flnale S soit égale à f 0 €? Si oui, donner un tirage possible
menant à cette somme, et déterminer le nombre total de tels tirages.
b. Quelle est la probabilité que la somme S soit égale à 13 €?
c. Quelle est la probabilité que le joueur dispose, à I'issue du jeu, d'une somme paire?
Partie C : Généralisation
On appelle ,AtI la mise der départ, N étant un entier positif quelconque.
Un joueur décide d'effer:tuer jusqu'à N + 2 lancers.
Déterminer la probabilité que le joueur soit ruiné à l'issue du jeu.

EXERCICE 987 l0minutes


Une urne contient 3 boules blanches et 2 boules noires, chaque boule ayant même probabilité
d'être tirée.
On tire successivement 3 boules en remettant la boule après tirage si celle-ci est noire et ne
remettant pas la boule aLprès tirage si celle est blanche.
368 CITAPITHE 5. PROBABILITÉS

On appelle X la variable aléatoire qui à chaque tirage de 3 boules associe le nombre de boules
blanches obtenues.
Déterminer la loi de probabilité de x puis calculer l'espérance et l'écart type de x.

EXERCTcE 988 20minutes


Ics réponses seront données sous forme de fiactions.
Pour un examen, dix examinateurs ont prép aré chacun 2 sujets. On dispose donc de vingt sujets
que I'on place dans 20 enveloppes identiqur:s. Deux candidats se présentent : chacun choisit au
hasard deux sujets; de plus, les sujets choisi ; par le premier candidat ne seront plus disponibles
pour le deuxième.
On note A1 l'événement : « les deux sujetr obtenus par le premier candidat proüennent du
même examinateur>> et A2l'événement : « les derx sujets obtenus par le derxième candidat
proüennent du même examinateur ».
On note 7l'événement contraire de l'événement A.

l. Montrer que la probabilité de l'événem.


nt A1 est éSaIe à '
*.
2. u Calculer directement la probabilité r:onditionnelle p6r(Aù de l'événement A2 sachant
que A1 est réalisé.
b. Montrer que la probabilité que les deux candidats obtiennent chacun deux sujets pro-
f
venant d'un même examinateur est,isale
" à323
3. a Calculerlaprobabilité pV;@ù.
b. En remarquant que A2 = (A2n Ar) u (Or" n),calculer la probabilité p (Az) puis en dé-

duire que p(Azuarl = *.


323
4. Soit X la variable aléatoire égale au nombre de candidats qui ont choisi chacun deux sujets
provenant d'un même examinateur. Lalariable aléatoire X prend donc les valeurs 0, I ou 2.
a. Déterminer la loi de la probabilité dr: la variable aléatoire X.
b. Calculer l'espérance maüémaüque le la variable aléatoire X.

ExERcrcE 989 2ominutes


Un joueur de tennis effectue une mise en je r. Pour cela, il a droit à deux tentaüves : un premier
serüce suivi, s'il n est pas réussi, d'un secor d service.
2
La probabilité pour que le premier service réussisse est éSale à
5.
S'il a échoué, la probabilité pour que le deurième service réussisse est égale à f5 .
Lorsque les deux services échouent, il y a « rlouble faute », sinon, la mise en jeu est réussie.
1. a. Donner la probabilité pour que le second service ne soit pas réussi, sachant que le pre-
mier serüce n'est pas réussi.
b. Montrer que, sur une mise en jeu, lrl probabilité pour que ce joueur fasse une double
faute est egale à l.15
c. En déduire la probabilité pour que k, mise en jeu soit réussie.
5.4. ALLERPLUSLOIN 369

2. Cejoueur fait un pari avec un de ses camarades. Il effectue l0 mises enjeu successives (de
manière indépendante). Les résultats seront arrondis au millième.
a. Calculer la probabilité p16 pour que le joueur réussisse les 10 mises en jeu.
b. Calculer la probabilité pe pour que le joueur réussisse 9 mises en jeu.
c. S'il réussit 10 ou I mises en jeu, il gagne l0 € par mise en jeu réussie. Sinon, il perd 50 €.
Soit X la variabler aléatoire représentant la somme gagnée (comptée positivement), ou
perdue (comptéer négativement), par ce joueur.
. Etablir la loi dr: probabilité de X.
. Calculer l'espérance mathématique E (X).
EXERCTCE 990: Lor cÉoMÉTRreuE rRoNeuÉE 2Ominutes
Math cherche à joindre par téléphone un serüce médical. La probabilité que son appel soit pris
sans attente est de 0,3 . Si son appel n'est pas pris sans attente, Math raccroche son téléphone
et fait une autre tentative. Il fait au maximum trois tentatives.
On note X la variable aléatoire égale au rang de son premier appel aboutissant sans attente. Si
au bout de trois appels l\tlath n a pas réussi à joindre le service médical sans attente, on convient
alorsqueX=0.
On note R l'événement :« Math est mis en relation avec le serüce médical sans attente ».

l. Représenter la situation par un arbre de probabilités.


2. Quelles valeurs peut prendre la variable aléatoire X?
3. Déterminer alors la loi de probabilité de X.
4. Déterminer l'espérance de la variable aléatoire X , et interpréter ce résultat.
5. Reprendre la loi de probabilité (sans faire l'arbre de probabilités) en supposant que Math
s'accorde au maximum six tentatives.

Exencrcn 991 : LoI GÉoMErRIeuE 20 minutes


On jette un dé truqué jusqu'à ce que le 6 apparaisse pour la première fois.
On appelle X la variabler aléatoire égale au nombre de lancers nécessaires pour obtenir un 6.
On suppose que la probabilité d'obtenir 6lors d'un lancer est égale à p avec p e l0; f [.
l. Calculer, en fonction de p,laprobabilité que le 6 apparaisse uu \rème lancer.
2. Démontrerque P(X ( k) = t - (l - p)k
3. Démontrer que la loi géométrique est sans mémoire, c'est-à-dire que :
Pour tous entiers naturels non nuls n et k, P xr* (X > n + k) = P (X > n).
I
4. Démontrer que E(x) = .
p
5. On suppose eue p =9,2
a. Calculer la probaLbilité que le 6 apparaisse au 3e lancer.
b. Calculer P (X < 4D. Interpréter le résultat.
c. Calculer E(X). Interpréter le résultat.
370 CHAPITRE 5. PROBABILITES

EXERCIcE 992 20minutes


Une urne contient 3 boules vertes portant Ie numéro 0, deux boules rouges portant le numéro
5 et une boule noire portant le numéro a (z estun enüer naturel non nul, différent de 5 et de
t0).
Toutes les boules sont indiscernables au torrcher.
Un joueur tire simultanément trois boules rle l'urne :

l. Quelle est la probabilité pour qu'il tire :

a. trois boules de la même couleur;


b. trois boules de couleurs différentes;
c. deux boules et derrx seulement de la même couleur.
2. Le joueur reçoit, en euros, la somme der numéros marqués sur les boules ürées. Les gains
possiblesdujoueursontdonc:0 ; 5 ; 10 ; & ; 5+a ; l0+a.
.L Soit X la variable aléatoire égale au gain du joueur, déterminer la loi de probabilité de K
b. Calculer l'espérance mathématique de X en fonction de a.
c. Calculer a pour que I'espérance de gain du joueur soit de 20 euros.

ExnncIcE 993 : Loibinomiale 2Ominutes


Partie A: Une expérience aléatoire élémentaire

On fait tourner la roue de loterie représen;ée ci-contre.


On gagne si l'issue « la flèche tombe dans lrl zone grise »
se réalise.
On note S (comme « succès ») cette issue ,:t E (comme
(I) = :.
1
« échec ») l'autre issue. On suppose que P
Préciser l'issue E et donner sa probabilité P (D.

Partie B : Quatre répétitions


On répète quatre fois l'expérience élémentÉire de la première partie de façon indépendante.
l. a. Représenter cette nouvelle expérienrre par un arbre.
b. Quelles sont les probabilités des issues SESEet EESS?
c. Quelle est la probabilité de l'événement : « obtenir deux succès r?
2. Soit X la variable aléatoire qui associe à r:haque issue le nombre de succès obtenus au cours
des 4 répétitions. Déterminer la loi de probabilité de X.
lg On dira que X suit une loi binomiale de llaramètres n = 4 et p - 0,25.
Partie C : Ving répétitions
On répète üngt fois l'expérience élémentaile de la première partie de façon indépendante.
Y donne le nombre de succès obtenus au cr)urs de ces 20 répétitions.
5.4. ALLERPLUSLOIN 37r

l. Déterminer la probabilité de chacun des événements (f = 0) et (Y =20)-


2. u Calculer la proberbilité de l'issue SSSSSSSEEEEEEEEEEEEE.
b. Que se passe-t-il si on modifie l'ordre des S et des E, sans en changer le nombre?
c. Que nous manque-t-il pour connaître la probabilité P (Y =7)?
d. On note t\,'j I) lle nombre de chemins représentant l'événement (Y = 7) sur un arbre

illustrant cette el(périence. Exprimer P (Y = 7) .


e. En utilisant une,calculatrice, déterm** ( 'i )
Casio: OPTION - PROBA - 2OnCr7
NumWorks: Calculs - Toolbox - Dénombrement - binomial(n, k)
T.I. :20 - MAIH - PROBA- nCr 7
f. En déduire une rraleur approchée de P (Y = 7) à l0-a près.
ls On dira que X suit une loi binomiale de paramètres n = 20 et p = 0,25.

EXERCTCE 994 : Lot BII\ToMIALE l5 minutes


Dans un club de sport, fulien joue au basket. Il sait que lors d'un lancer sa probabilité de mar-
quer un panier est égale à 0,6.
Les résultats seront arrondis àlo-a

1. Julien lance le ballon huit fois de suite. Les huit lancers sont indépendants les uns des autres.
a. Montrer eue la prrofoafoilité que Iulien ne marque aucun panier est égale à 0,0007.
b. Calculer la probabilité que Iulien marque au moins un panier.
c. Calculer la probabilité que Iulien marque exactement 6 paniers.
2. Combien de fois Iulien doit-il lancer le ballon au minimum pour que la probabilité qu'il
marque au moins un panier soit supérieure à 0,999?

EXERCICE 995 30 minutes


Soit E un ensemble flni de n éléments et p un entier naturel.
Partie A: Listes
l. Combien de mots dre trois lettres peut-on faire avec les lettres a, b, c et d. On peut utiliser
une lettre plusieurs ibis, les mots n'ont pas forcément une significaüon.
2. Soit E un ensemble composé de n éléments distincts. On appelle p-uplet une liste de p
éléments pris dans Ii.
Démontrer qu'il y a rlP p-uplets différents.
3. Application:
a. Déterminer le nombre de manières d'attribuer un jour de fermeture hebdomadaire à
chacune des cin,q boulangeries d'une même ülle.
b. Les initiales d'une personne sont le couple formé par la première lettre de son prénom
et la première lettre de son nom (qu'ils soient composés ou non).
Montrer que, dans un village de 667 habitants ou plus, il existe au moins detx personnes
ayant les mêmesi initiales.
372 CTTAPITHE 5. PROBABILTTES

Partie B : Arrangements et permutations


l. Huit chevaux participent à une course. Combien y a-t-il de classement possibles? (on classe
tous les chevaux en supposant qu'ils frarrchissent tous la ligne d'arrivée).
2. Démontrer que le nombre de p-uplets à éléments disüncts d'un ensemble à n éléments est
n(n-L)(n-Z)"'(n-p+1)avec p{n. CenombreestunarrÉrngementdepélémentspris
parmi n, il se note Al.
3. Vérifier que A| - -, n!
' (n- P)t'
4. On appelle permutation, un iurangemerrt de n éléments parmi n. Vérifier qu'il y a n! per-
mutations de n éléments.
5. Application:
lL Combien y a-t-il d'anagrammes du rrot TIRAGES (les anagrammes n'ont pas obligatoi-
rement une signification).
b. Quelle est la probabilité qu'un anaf1amme du mot TIRAGES commence par un A et
flnisse par un E?
Partie C: Combinaisons
l. Math dispose d'une urne contenant six troules numérotées de I à 6. Combien de tirages de
3 boules simultanément peut faire Math ?

2. On appelle combinaison de p éléments rle E toute partie de E ayant p éléments (p ( n). Le

nombre de combinaisons de p éléments pris parmi , *. (;)


p
An nt
Démontrer *" (;) pt p!(n- p)t
3. Application : Le loto de la Française des.'eux vient de modifier ses règles :
. dans l'ancienne formule, il fallait cocher 6 cases sur une grille dont les cases sont numéro-
tées de I à49;
. dans la nouvelle formule, il faut cocher 5 cases sur une grille dont les cases sont numéro-
tées de 1 à 49, puis choisir un « numéro d e la chance » entre I et 10.
Un gagnant du premier rang 1a coché le; 6 numéros sortis au tirage.
a. Quelle était la probabilité de gagner iru ftrng I avec I'ancienne formule?
b. Quelle est la probabilité de gagner ar, rang 1 avec la nouvelle formtrle?
c. Commenter ces résultats.

Exrncrcn 996 15 minutes


Voici le plan de la salle 308 du lycée Dupont

a
d
o
o
ao
d

Bureau
5.4. ALLERPLUSLOIN 373

Le premier jour de l'année scolaire, les élèves de la classe de lreS sont inütés par leur professeur
principal à s'installer au hasard des places disponibles dans cette salle.
La classe de l'e5 comporte 28 élèves.

l. a. Quel est le nomb,re de répartitions possibles des places inoccupées?


b. Calculer à l0-3 P,rès, les probabilités des événements suivants :
A : « les huit places du rang R4 sont toutes occupées »;
B : « il y a autant d'élèves à gauche qu'à droite de l'allée centrale ».
2. Dans cette question, les résultats seront donnés sous forme fractionnaire. Soit X la variable
aléatoire « nombre de places inoccupées au rang R4 ».
a. Donner la loi de probabilité de X.
b. Calculer son espérance mathématique.

EXERCTcE 997 2O minutes


Six personnes jouent au bowling. On appelle strike le fait de renverser toutes les quilles d'un
seul lancer de boule.
Parmi les six personnes,, quatre d'entre elles, qui ont l'expérience du jeu, réussissentle sÛike
avec une probabilité egale à ].
4
Les deux autres débutantes, réussissent le strike avec une probabilité égde à ].
+
ParüeA
Un des six joueurs désigné par le hasard se prépare à lancer la boule.
On note E l'événement : « c'est un des quatre joueurs expérimentés» et S l'événement : «le
joueur lait strike».
1. Déterminer la proberbilité de l'événement EnS: « le joueur est expérimenté et réussit son
strtke»».
2. Déterminer la probabilité de l'événement E n S : « le joueur est débutant et réussit son
strike>».
3. En déduire la probabilité de l'événement S.
4. Un strike vteît d'être réussi. Quelle est la probabilité pour que le joueur qui l'a réussi soit
un débutant?
Partie B
Parmi les six joueurs, on choisit un joueur A expérimenté, et un joueur B débutant.
Ils jouent chacun quatre parties; une partie consistant à lancer une seule boule : si c'est sfrike
la partie est gagnée, sinon elle est perdue. La probabilité de gagner une partie est donc égale à
31pour le joueur A et à pour le joueur B.
, ;
l. On note X le nombre de parties gagnées par le joueur A; donner la loi de probabilité de X
(on donnera les résultats sous forme de fractions de dénominateur 256).
2. On note Y le nombrt: de parties gagnées par le joueur B ; on suppose que la loi de probabilité
f
de est donnée par le tableau suivant :
374 CIIAPITRE 5. PROBABILITÉS

Y=ÿi 0 I 2 3 4
8I 54 t2 I
Probabilité deY = ÿi
256 256 2s6 256 256

Si x; et /; sont des éléments de l'ensemble O; l;2;3;4 on suppose que les événements


{ )
« X - x;» et « Y = ÿ; sont indépendants.
»>

Calculer la probabilité de l'événement « j( < ÿ » c'est-à-dire que le joueur B gagne davantage


de parties que le joueur A.

ExEncrcr 998 15 minutes


Deux tireurs Aet B üsent une cible.
Soitl'universO:C)={t*,+), (+,-), (-,+), t-,-)}otchaqueélémentdeOestuncouple
de premier élément : + si A atteint la cible, -- sinon
de detxième élément : + si B atteint la cible, - sinon
La probabilité sur O est définie par :
p(+,+) =
1732r
p(+,-) pe,+)
32,
=
U, =
i,"t l,?,-) = -.
l. Déterminer la probabilité pour que A aüeigne la cible.
2. Déterminer la probabilité pour que B atteigne la cible.
3. Les deux événements « A atteint la cible » et « B atteint la cible » sont-ils indépendants?
4. Atire 5 fois. On admet que les cinq tirs so nt indépendants entre eux. Quelle est la probabilité
pour que A atteigne la cible au-moins qt atre fois?

Exrncrcr 999 : Lor BTNoMTALE minutes2O


Un élève se rend à vélo au lycée distant de 3 k m de son domicile à une vitesse supposée constante
de 15 km/h. Sur le parcours, il rencontre 5 l'eux tricolores non slmchronisés. Pour chaque feu,
la probabilité qu'il soit au vert ert ]44
et celle r1u'il soit au rouge ou à l'orange est l. Un feu rouge
ou orange fait perdre une minute et demie.
On appelle X la variable aléatoire correspon lant au nombre de fetx verts rencontrés par l'élève
sur son parcours et T la variable aléatoire donnant le temps en minutes mis par l'élève pour se
rendre au lycée.
l. Déterminer la loi de probabilité de X.
2. u Exprimer I en fonction de X.
b. Déterminer E (T) et interpréter ce rér;ultat.
3. I- élève part2} minutes avant le début d(,s cours, il lui faut 6 minutes pour attacher son vélo
et rejoindre sa salle de classe.
a. Peut-il espérer être à l'heure pour sorr premier cours?
b. Calculer la probabilité qu'il arrive en retard.
c. 5 minutes après la sonnerie, un élèv: ne peut plus entrer en classe et doit se rendre en
salle de permanence. Quelle est la prcbabilité qu'il passe sa première heure de cours en
salle de permanence?
5.4. ALLERPLUSLOIN 375

EXERCTCE lo00 2ominutes


Formule du binôme : Soit a et b deux nombres réels et n un entier naturel strictement positif.

on a (a+ bl'
' = i ["lo'-0 u, .
îu\p)
l. En déduire un dévelc)ppement de (a+ b)s et(a- b)5
n
2. Calculer les sommes So = L (;),', =,i=oV,)",, =,Ë=, 2p +l
P=o
n
3. Calculer la somme S = I ,(;)
P=o

EXERCICE IOOI 20minutes


n!
Soit n et p deux entiers naturels tels que p < n, on rappelle que
â pt(n- p)r.

l. Vérifier que =(;:- t) . (';')


â
2. Démontrer que

"t_(
fil;
3. ca,cu,erâ(;)vr)
Chapitre 6

Corrigés

6.1 Polynômes clu second degré

EXERCICE I coefÊcient du degré le plus bas est 1

Les fonctions 3 (présence de y'x) et 4 (fonction ration-


nelle) ne sont pas des fonctions polynômes. EXERCTcE 4
PQ est de degré 5, PR est de degré 7, QR est de degré B
EXERCICE 2
et PQfi est de degré 10.
t. f (x) = 3x5 + x2 - 3 est de degré 5
ExERcIcE 5
2. 1,;.)= I +9x+4x8 est de degré B
3. /(x) =x2-2x4 +6.f estdedegré4 l. (x2 + x + I) x P(x) est de degré z + 2.
4. f @) = x3 + 2x -2est de degré 3 2. É = P x P x Pestde degré3n.
5. f(x) - -6x2ot + 4x102 + B est de degré 20r 3. Pft est de d egré kn, avec k un entier naturel non nul.
6. f(x') = f -zxz + 1 estde degré3 4. ÂP est de degré n, avec À" réel non nul.

EXERCTCE 3 EXERCICE 6
Pour répondre aux questions, il suffrt de considérer le Dans chaque cas, on vérifie que / (xg) = 0.
terme de plus haut degré darrs chaque parenthèse, puis
EXERCTCE 7
le terme de degré le plus bas.
Dans chaque cas, on applique la propriété
L Deg(f) = 5, le coefûcient du plus haut degré est l, Ie
AxB- 0 <- A-0ouB=0.
coefÊcient du degré le plus bas est -16.
2. Deg(l) = 7, le coefÊcient du plus haut degré est I0, 1. Les racines sont -1 et 2.
3
le coeffrcient du degré le plus bas est -28.
2. Les racinessont --2 et -2.
I
3. Deg(f) = 5, le coeffrcient du plus haut degré est 3. Les racines sont 2 et -.
-4,
3
le coefficient du degré le plus bas est -9. 4. Les racines sont -1 et l.
a. DeS(f) = B, le coeffrcient du plus haut degré est -2, 5. Laracine (double) est2.
3
le coeflicient du degré le plus bas est 14. 6. læs racines sont --, I et 2.
2
5. Deg(f) = 229,\e coefficient du plus haut degré est
-6, le coefÊcient du degrri le plus bas est -72.
6. Deg(f) = 5, le coeffrcient du plus haut degré est 2, le
378 CHAPITREï. CORRIGÉS

3
EXERCTcE B x -æ 4 +æ
l. f(x\ = 1x+l)2 -4 4. f(ù=1x-t)2-4
2. f U) - (x+2)z +5 5. ftx) = 1x - 5;2 - 15
3. f(x) 6. f(x) = (r+9)2 -51
I
= 1x-3)2 - l0 -Tl3
EXERCTcE g
I\2 +-3 3 2 i',r a. r@)=_s(,+à)'.?
t. I (x) -r+-l
2) 4 4. f(x)= x
2 I a < 0, on en déduit le tableau de variations
3\2+-7 7 2 (r
2. f@) -r+-l
2) 4 5. r (x) x
2
I
3. f(x) x--l9\2--45 6. î (x) r+-l15\2-- 105 x -æ +æ
2J 4 21 4 2t
5

EXERCTCE l0 I
l- l@) =2(x+l)2 -5
ro7
2. f(x)=r(r-* + 5. /(r) = 1x - 5)2 - 15
)' 2 t2
a > 0, on en déduit le tableau de variations
l5
3.1Q)=-2(**
;) +-2
31
4. rG)=.(,- â x -æ 5 +æ
)' 5

5. f(x)

6. /(r)
=

=
-a

-s
i
(,.;)'.
(.-:)'.i
r \,/
-15

6. .f tr) = 3(r+3)2 +3
EXERCTCE 1l
a > 0, on en déduit le tableau de variations
l. /(x) =çx+l)z-4
a > 0, on en déduit le tableau de variations
x -æ -3 +oo

x -oo -l +æ
r
3
I
-4
EXERCICE I2
2.1@)='s ( )c- - l'* a
2
)s tableau
3
l. (r- 1) (a* + bx + c) = af + (b - a)xz + (c - b)x- c.
a < 0, on en déduit Ie de variations 2. Par identification des coefficients de même degré, on
a 2

x -æ
2
5 +æ b-a -3
obtient Ie système
3l c-b -4
T
r -c
En résolvant le système, nous obtenons: a = 2,
5

b= -t etc = -s d'où /(x) = (r- t1(z* - x-s).


3\2 t3
3. f(x) = 4 ( x- _t
s) 4
EXERCTCE l3
a>0,onen déduit le tableau de variations
l. (x + 2\ (a* + bx + c) = a# +(2a+b)* +Qb+c)x+2c,
6.1. POLYNOMES DU S]ECOND DEGRÉ 379

2. Par identiûcation des coelfficients de même degré, on paires et égale au coeffrcient du terme impair, donc
C1!, = 2 -1 est une racine de /.
2a-tb = § 4. On remarque que la somme des coeffrcients des
obtient le système
Zb-r c = -2 termes de degrés pairs est égale à la somme des co-
20=-$ efÊcients des termes de degrés impairs, donc -1 est
En résolvant le système, nous obtenons: a = 2, b = I une racine de /.
et c = -4d'où /(x) = (x +2) (Z* +x - +). Eneffet,,f(-t) = -1+3-3+I =0.
5. -2 est une racine de /.
EXERCICE 14 En effet, leD = -6 x (-2)z - l0 x (-2) +4 = 0.
On remarque que le terme de plus haut degré est 3# 6. On remarque que la somme des coeffrcients est nulle,
dans la première expression et 4.r3 d'où a = 3. De ma- donc 1 est une racine de /.
nière analogue en utilisant le terme de plus bas degré, Eneffet/(1) - 13 - 12 - 1+ 1 =0
onobtientc=-1.
EXERCICE I9
ExERcIcE 15
En procédant comme dans I'exercice 14, on obtient
l. A(x) = ÿ + I - x)2 = 2x2 -2x+ l.
a=letc=1. 2. En utilisant la forme canonique, on obtient

,Arxt =2(x-1'l'* 1. [.a somme des aires sera mini-


EXERCICE I6 21
\ 2
I
En procédant comme dans l'exercice 14, on obtient malePourx= -.
a=-5etc=6.
ExERcrcE 20
EXERCICB I7 Soit x la largeur de la zone de baignade, la longueur est
égaleà(r50-2x).
L. En procédant comme dans l'exercice 14, on obtient
A(x) = (r5o-2x)x = -2(* +75x)
a=letc=4.
2. (x l) = -2(x-37,5)z +2812,5.
- 2) (xz + bx + = x3 t- (b - 2)xz + (4 - Zb)x - B on
en déduit alors que b = -4.
Le maximum sera atteint pour r = 37,5 m, I'aire sera
alors égale à2812,5 m2.
3. D'après les questions précédentes,
f (x) = (x-2\(x2 -4x++'.1= 1x-2)3. ExEnCICE 2I
Soit x la largeur du rectangle, sa longueur sera alors 2-r et
ExERcrcE l8 son périmètre 6.x. Le périmètre du carré est égal à I - 6r
l. On remarque que la somrne des coefâcients est nulle, alors le côté est de longueu,
I f, - url.
donc I est une racine de.f. somme des deux aires est
t7 3l
* - -.r+
En effet /(1) - 12 +| -2 == O. =xx2x+ (| tr -o,r )' 4 4 16
2. On remarque que le terflre constant est nul, donc 0
minimum est obtenu pour x
3
, le périmètre du
34
est une racine de /. 98
,, *,celui
à du carré à
t, -.
sera alors égal
Eneffet, f0 =2x 03 +3 x 02 +0 =0.
La somme des coefficients des termes de puissance
22
paires et égale au coefficient du terme impair, donc
Le point M varie entre  et B, on en déduit donc que
-l /.
est une racine de
3. 2 est une racine de /. 0(.r(2.
Soit.4s I'aire de D, l'aire de Dl etA2l'aire de 22.
En effet, f Q) = 22 - 2- 2=4 - 4= O. "41
La somme des coefÊcien.ts des termes de puissance Ao=n,At=nP
n
^ n(2- x)z
et,Az=- 4=
380 CHAPITRE 6. CORRIGÉS

(z* -.+x + +) v - 5\/5


3. -4(x) = Ao - Ar - A2 = n -t f (Jq = (utilisation de la forme dévelop-
4
Pée),
= ') *o*.
-!* /5\ 169
4. a <O, on en déduit le tableau de variations t l7l= - * (utilisation de la forme canonique).
b. D'après la forme canonique, / admet un mini-
mumen
5 169.
x 012 17,cerrunlmum' - - 24
est énr] à
1T c. D'après la forme factorisée, / admet deux racines
2 32
r ,/\ -23et --.
0 0
EXERCICE 26
5. ,4 est maximale pour -r = t, elle sera égale à l. /(x) - (2x +3) (2x - 3) + (2x +3)
| . (x - t)
=(2x+3)(3x-4).
EXERCICE 23
2. 1@) =6x2 + x-12.
l. AH = 4 - r, l'aire de AHII est alors égal e à (4 - x)z - =6[x+ l\2 _ 2Bg (
s. ï(x)
tlaire de la partie hachurée est donnée par d u
a. u I $) = -I2 en utilisant la forme dévoleppée
M = (4- x)2 -22.
.f ttl = -s, en utilisant la forme factorisée
2. Q = (4- x)z - += P -Bx+t2.
3. Q = (4-x- 2)(4 - x+2) = (2-r)(6-.r). r (J4 = ,/2 en utilisant Ia forme développée
,

4. Pour x = 2, Q = O. Laire hachurée est alors nulle. r (-;) = -ff, enutitisantlaforme canonique.
b. D'après la forme canonique, / admet un mini-
I 289
EXERCICE 24 mum en - 12,""
minimum est égal à -
24
.

l. f (x) =2x2 - 13.r+6. c. D'après la forme factorisée,


34
/ admet deux racines
2. f(x) = (2r- l) (x-6). --23et -.
3. En utilisant la forme développée, nous obtenons :

I l3\2 tzt ExERcIcE 27


f@)=2lx- Al - e
a. a. / (0) = 6 (utilisation de la forme développée),
r. /(.r) =-z*-lox-8.
Z. f(x)=-2(x+4)(x+L).
ll
"f f\2) = 0 (utilisation de la forme factorisée), 5
2
I
3. f(x)=-2 x+- +-,
f 0 + 14 = -r - 9\/2 (utilisation de la forme dér e- 2)

loppée), t. u f (o) = -8, 1G4) = o, l@14 = -44-3oA et


5
, (i) = -f tutilisation de la forme canonique). r , )=;
b. D'après la forme canonique, / admet un mi ri- b. D'après la forme canonique, f admet un maxi-
13 tzt 5
mum en --, ce malomum - ..9
mtunen est eBEU a
?,ceminimumestégalà- g
.
7.
c. D'après la forme factorisée, / admet detx racines
c. D'après Ia forme factorisée, les racines de T rorrr l2 -4 et -1.
et 6.

EXERCICE 28
EXERCICE 25

l. f(x)=(2x-3)(3x+2)
r r't = o(*z *
2.)., =,((. * *)' -(*)' ).,
t b\2 É
2. f@)=6x2-5x-6. =alx+-l
\ 2a) --+c.
4a
3. /(.r)=6(,-
?r)'-'#
+. uf (0) = -6 (utilisation de la forme
ExERcIcB 29
développée),
/3\ lafonction pol1.nôme du second degré / admet pour ra-
f b)= 0 (utilisation de la forme factorisée), cines 1 et 2, iI s'écrit donc sous forme factorisée
6.1. PILYN ôvns ou stlcoNo oecnn 381

f(x)= a(x-I)(x-z). 2. D'après la question précédente, 5, -3 et 7 sont ra-


Sachant de plus que/(O) = 2a er que par hypothèse cines de P, on peut donc écrire

I Q) = Z,on en déduit que a = l. Ainsi f (x) = xz - 3x + 2. P(r) = (r + 5)(x + 3)(x - 7)(ax + b).
En effectuant le produit des termes de degré l, on ob-
EXERCTCE 30 tient a = l.
Lafonction pol]rnôme du secc,nd degré / admet pour ra- En effectuant le produit des termes de degré 0, on ob-
cines -3 et 4, il s'écrit donc so,us forme factorisée tient b = -9.
f (x) = a(x+3)(x-4). D'otr P(.x) = (x + 5)(x + 3) (x - 7)(x - 9)
Sachant de plus que /(0) = -l2a et que par hypoüèse 3. La quatrième racine du polynôme P est donc 9.
1
l(0) = -2, on en déduit qtue a= 6.
1- 1
Ainsi f(x) = -f
66 - -x-2. BxERcIcE 35

EXERCIcE 3I r. P(-4) = 0, P(-l) = 0 et P(2) = 0.


Lafonction polynôme du second degré / admet pour ra- 2. D'après la question précédente, -4, -1 et 2 sont ra-

-2 et 2, iI s'écrit donc
cines sous forme factorisée /(.r) = cines de P, on peut donc écrire
a@+2)(x-2). P(x) = (x + 4) (x + l) (x - z)(ax. + b).
Sachant de plus que/(o) = --4a et que par hlpothèse En effectuant le produit des termes de degré 1, on ob-

/(0) = B, on en déduit que a = -2. Ainsi f(x) = -2i +8. tient a =2.
En effectuant le produit des termes de degré 0, on ob-
EXERCICE 32 tient b = -3.
f (2) = 8-20 - 14+ 26 = 0, 2 erit une racine du polynôme D'oùP(*)=(x+5)(x+3)(x-7)(2x-3).
3
/ donc il edste un polynôm.e g(x) de degré 2 tel que 3. La quatrième racine du polynôme P est donc
(x) = (x-2)g(x) c'est-à-dint (x) = Ë -s* -7x+26
,.
f f
est diüsible par x-2.
EXERCTCE 36
En considérant le coefÊcient rle degré 3 et celui de degré
La foncüon polynôme /(x) = x3 + a* + x+6 est divisible
0, onobtient / (x) = (x - 2) (x2t + bx - tZ) .
par x -2 si et seulement si /(2) = 0.
En effectuant un développe.ment partiel (degré 2 par
f (2) = 16+ 4a. / s'annule en 2 si et seulement si a = -4-
exemple), on obtient b = -3.
Ainsi /(x) = (x - 2) (xz' tx - ts).
ExERcICE 37
EXERCICE 33
f(x)=(x+b)(*+cx+d)
f (2) =8-32+50-26 = 0,2 estuneracine dupolynôme
= f +(b+d* +(bc+d)x+bd.
/ donc iI existe un polynôrrre g(x) de degré 2 tel que
Par identiflcation des coeffrcients des termes de mêmes
f (x) = (x-2)g(-r) c'est-à-dire : f (x) = É -gÈ +25x-26
degrés dans les detx elçressions de f(x), nous obte-
est divisible par r - 2.
I b+, = a
En considérant le coefÊcient ,Ce degré 3 et celui de degré I
nonslesystème\ bc+d = J
0, onobtient / (x) = (x - 2) (it + bx + ts) . I

En effectuant un développement partiel (degré 2 par Par


lbd=e
hlpothèse, a, b, c et d sont des entiers relatifs. Nous
exemple), on obtient b = -6. décomposons 9 en produit de deux entiers relatifs, puis
/(x) - (x -2) (x2 - 6x + ts).
Ainsi nous en déduisons les valeurs possibles de c et a.
Le plus simple est de présenter les résultats sous forme
EXERCTCE 34
d'un tableau.
r. P(-5) = 0, P(-3) = 0 et P('7) = 0.
382 CIIAPITRÈï. CORRIGES

b d c a EXERCICE 4I
I I -6 -5 P@) = f a4= xa +4* +4-4* =(P +z)z -{zx)2
-l -9 -12 -13 = (xz +2x+2)(* -zx+z).
3 3 0 3
EXERCICE 42
-3 -3 -2 -5
I I Ëz ËZ r. 1@) = 3a(a - b, f
@) = zb(b - a) et l(o) = ab.

-9 -I çz çz 2. Supposons < a < b onaalors /(a) < 0 et /(b) > 0 de


O

plus /(0) > 0, la fonction / étant une fonction poÿ


Il y a donc quatre quadruplets de solutions.
nôme de degré 2, on en déduit que sa courbe repré-
sentative est une parabole « pointée vers le bas ». La
ExERcIcE 38
parabole coupe l'axe des abscisses en deux points, Ie
P(q) = q3 +(p- 4q2 + p{p- q1q-pz q = q3 +pq2 - q3 +
premier appartient à l0; a[, le second àla;bI. a et b
pz q - pqz - p2 q = 0, le réel 4 est une racine de P(r), le
étant positifs, on en déduit que les deux racines sont
polynôme est donc diüsible pat x- q.
positives.
En considérant le coefÊcient de degré 3 et celui de dcgré
On raisonne de même pour 0 < b < a.
0, on (x) = (x - q) (x2 + ax + p2).
obtient P

En effectuant un développement partiel (degré 2 par


EXERCICE 43
exemple), on obtient 4 = p.
Ainsi /(r) = (* - q) (* + px + p2). l. (x-l)(xn-L + xn-2 +--. +x+ 1) = xn -1.
2. PnG) = ln -l = 0 donc I est une racine du polynôme
EXERCTcE 39 P.
3. D'après les questions précédentes
l. (xB +x6 + xa + #+1) (x8 - x6 + x4 - P +t) Pn@) =(x- 1) (xn-l + xn-Z +...+r+ t).
_xl6+xtz+x8+x4+1.
4. Pz6\ = * -l - (x- l)(x+ I) et
2. N =10001000100010001 = 1016+1012+108+10a'+l P3(r) = Ë - t = (x - \ (x2 +.r + l).

= (108+106+toa +ro2 +l), (to8-106+loa -102 -.1) EXERCICE 44


d'oùt N = r01 010 101 x 99 009 901 n
N n est donc pas un nombre premier. ,. ,"(i)=(i)' -'= (;) (o" -b")
2. En utilisant la question précédente et le résultat de
ExERCICE 4O l'exercice précédent, on peut écrire:
an _bn =0"((i)" _r)
l. Quel que soit x réel, f (x) = xa + t > 0, / n'admet d rnc
pas de racines réelles. = o"(i - i(i)*' (i)*'.
. . (i).,)
2. f(x) = (* + ax + t) (* + bx+t) = (a
- b) (an-| + an-z b +... + abn-2 + b"-r).
= xa +(a+b)Ë +@b+D* +@+b)x+1. 3. a a2-t=@-b)(a+b)
Par identification des coeflicients des termes de b. a3-É=@-b)(az+ab+t)
mêmes degrés dans les deux e:çressions de f (x), c. a4 -b4 =(a-b)(a3 + azb+at +É)
a+b = Q d. x3 -27 =x3-33 = (x-ï(* +3x+9)
nous obtenons le système
ab+2 = Q

a EXERCICE 45
Soit '/Z
fo= -'/2 f. Q(r) = (x+l)2 - * =2x+1.
on en déduit / (x) = (x2 - xt/2 + t) (* + x'/2 + t) 2. Q@)= (x+ 1)3 - x3 = 3*+3x+ 1.
3. f (x) = x4 +z* +| -z* = (* + t)z - (*t/12 3. Soit P(x) - anxn -t an-1xn-l +... + atx+ aû avec
= (x2 - xt/Z + t) (x2 + x'/2 + t). anl0,aforsP(r+l) = an(x+l)n +an-t(x+ 1)n-r +
6. 1. POLYNÔMES DU SI]COND DEGRÉ 383

n-l i b. D'après le tableau précédent, xm = 15 assure un


+ ar(x + l) + aa = anxn + L birc avecb;somme
i=0 coût moyen minimum. Le prix d'une tonne sera alors
de coefÊcients 44, a1,
'an-L de 75 milliers d'euros.
On en déduit alors
n-l
Q(x)=antxn-r+"' + arx+ aî- L bi*' EXERCICE 47

n-\ 1. a. Soit le polynôme P(fl = af + bx + c, on a alors


= L@i-bi)*'
i=0
,
P(.r+ 1) = a* + (2a+ b)x + (a+ b + c).
Q est donc un polynôme cle degrê n-1. P(x+1) -P(x)=a 2ax+(a+b) =xparidentifi-
4. Supposons P polynôme dr: degré n > 0, donc d'après -
cation des coefÊcients des termes de mêmes degrés,
Ia question précédente, Q est de degrê n - 1, or P un nous obtenons a = :l1et b = -
poly.nôme périodique, de période 1, donc r.
ptn = *c
=P(x+1)-P(x) =0' cequicontredit n-l>0 Ainsi, nous obtenons
L*' -'r-
avec c
Q(x)
donc n = I , Q est le polynôme nul on en déduit alors constante réelle.
que P est une fonction colfstante. r. s,' = É
kÊd\
[rt* rr - P(k))

ExERcIcE 46 = (r o +rt - rtn) ) * (.e rnl - p (n -rl ) +.'


l. a. .R(x) = B4x. *(erar - erzl * (r
)
et- P (r)
)
b. Voir graphique : il y aura un bénéûce lorsque la Sr = P(n + 1) -P(1).

droite des recettes est ar-r-dessus de la courbe des


n(n-+l)
222*lr*, -, -
coûts, c'est-à-dire x e [I2; lB]. c. Sr - P(n+ 1) -P(1) = !n'' .

n
c. Le bénéfice sera maximal lorsque la distance entre
2. Soit la somme §2 L k' = 12 +22 + ... + n2
=
la droite et la courbe sera la plus grande, soit pour k=).
enüron x = 15. a. Soit le polynôme Q(ù = aË + b* + cx + d, on. a
alors Q(.r) = af +(3a+b)i +(3a+2b+c)x+(a+b+
2000 l- c+ d)
I

I
Q(.r+I) -QG)=*
3a*
I

1500 t'. + (3a+ 2b)x + (a + b + c) = x2,


i -
I

I
1
par identification des coefficients des termes de
I I
mêmes degrés,
1000 t-'----: 1ll
i,b- - retc= -.
I
I nousobtenonsa=
I
1rs l=*2
*l**d
326-
I I
Ainsi, nousobtenons Q(x) = uu."
500
l
d constante réelle.
l o. t, = r) - Q(k)) = Q(n + r) - Q(r).
à(qtk+
or b \olz 15 l8zo c. 52 = Q(n+ - Q(l) = 326
1)
r-n3
*)n2 +l n + a - a
2. a- Cm(x)= I -30.r+300. n(2n2 +3n+l) n(n+l)(2n+l)
a > 0, on en déduit alors le tableau de variations de 66 n
Cm (x) sur l'intervalle [0 ; 2:0].
3. Soit la somme 53 I t'
= 13 +23 +-.- + n3 .
=
x 0 15 20
k=r
Soit .R une fonction polynôme de degré 4, telle que
300 r00 .R(.r + l) - R(x) - xa .
C7n
En utilisant la même méthode que précédemment,
75
nous obtenons R(.r) = *o -
!424 lp * l* * e, avec e
384 CIIAPITREq. CORNGES

constante réelle. 2. C-alcaldeP(a)


s, = (^ru* rl -attl) = R(n +l) -Â(r) a.P(-r) = (a3x2 +a2x+at)x+a,
É t. \
=l(a$+aùx+a1)a+an.
=Inn *)r, *f,r, -
n2 (nz -zn+r)
b. P (a) = (@ta + az) a * or)o * ra
rt- n(n+l) t\
-t
-
2 =l(ha+aùa+a1)a+aa
= (n2" * + ax = h1a, a a{ = hû.
EXERCICE 48 "r)o
c. Comparer le nombre de multiplications et d'addi-
l. En utilisanr une identité établie dans l'exercice 44, tions nécessaires pour le calcul de P (a) :
nous obtenons: . avec l'écriture initiale de P(x), on exécute 6 multi-
P(x) - P(a) = an(xn - on) + an-t(xn-r - on-'t) + plications et 3 additions soit 9 opérations;
...+ at$,- a,) . avec I'algorithme de Hôrner, on exécute 3 multipli-
= 6 - @(an(xn-r + xn-z a +... + xar-2* o"-r) cations et 3 additions soit 6 opérations.
)
+@- 6(an-1(xn-z + xn-sa+...+ xan-3 * o"-\) 3. Fac:torîsatian par (x - a)
+...+(x-a)a1 D'après l'exercice précédent, iI existe un polynôme

= 6 - @(an(xn-t + xn-z a +... + xan-z * on-L) Q tel que P(x) = (x - a)Q(-r) + P (a).
lJobjectif, ici, est de trouverrapidement une expres-
+ an-y (xn-2 + xn-3 a +... + xan-3 + a"-2) +... + a1)
sion de Q(.r).
= (-r- a) Q(x)
a- P(x)-P(a) = os(# - a3)+ a2(xz - a2)+ a1lx- a1
P(x) - P(a) se factorise donc par (.r - a).
= (x - a) (a3(* + xa + az) + a21x + a1 + a1)
2. D'après la question précédente, pour tout polynô me
= (x - a) (a3* + (a2 + a3a) x + (a3u, + aù a + ar)
P de degré n> I ettovttéel o, il existe un polynôme
- (x - a) (h3xz + h2x + h1) de plus P(a; = fts
Q de degré n - I tel que P( x) - P(a) = (-r - a) Q(.r) rioit d'où P(x) = (x - a) (fué + h2x + h1) + hs.
encore P(x) = (x- a)QQ) + P(ü).
b. D'après la question précédente,
3. SiP(a) = 0 alors
Q@) = htx2 +h2x+h1.
P(x) = (x- a) Q(x) + P(a) = (x- a) Q(x) c'est-à-rlire
c. def polynome(aÙ, al, a2, a3, al p h a) :
P(r) factorisable par (x - a).
h3= a3
Réciproquement , si P(x) est factorisable par (x -. a)
h2 = a2+ alpha* h3
alors iI existe un pollmôme Q tel que
hl=at+alpha*h2
P(x) = (x - a)Q(x) ce qui implique donc P(a) = g.
hO = aO+ alpha* hl
Nous avons ainsi démontré la propriété: « Un poly-
print ('Q(r) =' ,h3,' x * *2t ,h2,' x+' ,hl'1
nôme de degré n ) I peut se factoriserpar x- o si et
seulement si P(a) = 6,,.
4. Applications
a. En utüsantle programme nous obtenons
EXERCTcE 49
P(3) = 33 et P(x) = (x -3) (2xz
+3x+ 14) + 33.
l. a. Pour P(x) = ZÉ -Sxz +5r-9 et a = 3,nous olrte- b. Pour o = l, nous obtenons h3 = 5, hz = 7, h1 = 4 s1
nons h3 = 2, hz = 3, ht = l4et hs = f,f,. h.o=0. P(x) =1x-\(s* +7x.+4).
b. def coeffHorner (aO, aI, a2, a3, al p h a) :

h3= a3
ExERcICE 50
h2= a2+ alpha* h3
hl= a.t+ alpha* h2 I Supposons qu'il existe deux polynômes P et Q dis-
h0=a0+alpha*hl tincts, de degré inférieur ou égal à 2 vérifiant:
print('/h3 =t ,h3,' h2 =t ,h2,' hl =t ,hl,t ho =t ,ho) P(a) = Q@) = a, P(b) = Q(b) = §, Ptc't = Q@) =.f .
6.1. POLYNÔMES DU SECOND DEGRE 385

Soit.R(x) = P(x) - Q(x), n est un polynôme de degré 2. Â = 16, l'équation admet deux solutions réelles dis-
inférieur ou égal à 2 et R(rl) = ft(b) = R(c) = g 1. r.1r- tinctes : x1 = 1 s1 rc2 = -! .
3
nôme  a donc trois racines distinctes. II peut donc 3.  = 45, I'équation admet deux soluüons réelles dis-
s'écrire R(x) = 41a - a)(x - b)(x - c), il est donc de 3-3/5 etxz=
3+3\Æ
tinctes: xr= --Z- 1-.
degré 3, ce qui est impossible. 4. A = -14 < 0, l'équation nadmet pas de solution
réelle.
2. u h@) = t, Lz@) = o, Ltti.a) = o, h@) = 0, Lz(b) = r, 5. L = 2l,I'équation admet deux solutions réelles dis-
Ltb)=o,lr(c) =0, L2@)=g etls(c) - 1. tinctes : xt =2 e'L xz = -3.
b. P(a) = q., P(b) = p et Plc) =y. 6. A = 8, l'équation admet deux solutions réelles dis-
L1, L2 et 13 sont des fon,cüons polynômes de degré
-t/2 et x2 = t/2.
tinctes : x1 =
2, donc P somme de ces trois fonctions est un poly-
nôme de degré inférieur ou égal à 2.
3. Un polynôme P vérifiant P(a) - a, P(b) = F, EXERCICE 52

P(c) = y est unique et peurt s'écrire sous la forme


P(x) = q1t1*1+ BL2@) +'y\(r) avec l. A = 49, l'équation admet deux solutions réelles dis-
@- b)@- c) (x- c)(x- a) tinctes: xt=letx2=-6.
Ly{x') = L2tx1 = _ c)(b _ a)
@_ b@_ d, @ 2. L, = 9, I'équation admet detx solutions réelles dis-
(x- a)(x - b)
et Le(-r) =
(c-a')(c-b) tinctes: = -2 et x2= l.
\
3. Â = 41, l'équation admet deux solutions réelles dis-
Remarque : Le polynômr-'P est le polynôme de La- 3+ l+t 3- \/41
tinctes : xt = "-î- et xz =
grange associé aux réels o, b et c.la méthode se gé- n .
-. 4. Â = 49, l'équation admet deux solutions réelles dis-
néralise à plus de trois co,efÊcients.
tinctes: ,t = -l et x2 =?.
4. Applicaüons: 5
5. A = 80, l'équation admet deux solutions réelles dis-
a. Lr (x)= -i@, - x -z), LzG) = !{*, -r*) . -3- \/5 -3+ \Æ
l. ^ trnctes: xI= 2 etxZ= , .
etl,s(x) = +x). 6. Â = 16, l'équation admet detx solutions réelles dis-
61t'
on en déduit prxl = 1 x2
66 -! * +2. tinctes : x1 = 0 s1 )c2 = -!3 .

b. On a P(-3) = O, P(-2) '=


I et P(l) - 2,
ExERcrcE 53
on en déduit alors Lr(x) + x -2),
l."
==
it* L.
L2@) -i(x'+zx-s) etlg(-r) = ;(#
= +5x+6), l. A= l, l'équation admet detx solutions réelles dis-

d'otr P(x) = -'L*'+!*+2.


tinctes : 4 = -4 et )cZ = -5.
66 2. L, = 24,I'équation admet deux solutions réelles dis-
.
trnctes:rI=-
2\/6etX2=2\/6
c. On a P(l) = 2, P(2) = 4 et P(3) = 7,
3 3
on en déduit alors Ir (n) =. 5n + 6), 3. A = l, l'équation admet deux solutions réelles dis-
f,.fu'- 1

L2@) = -(n2 -+n+t) et L{x) =Tfu, -3n+2),


tinctes:rt =0et x2=;.
J
25
4. A=- , l'équation admet deux solutions réelles dis-
d'où P(n) =Ln2 +!r+1. 36
1l
xt=-etx2=--.
tinctes:
EXERCICE 5I 5. À = -= . 0, l'équaüon nadmet pas de solution
I
1. A = 12 - 4xl xl = -3 <0,I'équaüonnadmetpasde
réelle.

solution réelle. 6. Â = 0, l'équation admet une solution =


^ +
386 CI:IAPITRE 6. CORRIGÉS

EXERCICE 54 3. I est unesolution«éüdenter, lasecondeest -1


l. (3x + 4) (-x - 2) = 0, l'équation admet deux solutir lns 4. 0 est une solution«éüdente,, laseconde est3.2
réelles distinctes : ,l = -2 et x2 = -!. 5. I est une solution « éüdente », la seconde est -2.
-3
2. (3x - 2)(x + 1) = 0, l'équation admet deux solutigns 6. 5 est une solution « évidente », la seconde est -4.
réelles distinctes: ,l = -l et *2 -3=?. EXERCICE 58
3. (x + 4)(2x - l0) = g, l'équation admet deux soluüons
réelles distinctes : ,1 - -4 et x2 = 5. 1. (9x + l)x = 0, l'équaüon admet deux solutions réelles
1.
4. gz
- (x+3)3 - 0 <- (6-.r)(x +L2) - 0, l,équaron distinctes : xt = 0 et rz = -
I
admet deux solutions réelles distinctes : .rl = 6 et 2. L, = 14,l'équation admet deux solutions réelles dis-
xz = -12' . \/r-,/AetXZ=-.
tl.rtctes:*t=- '/2+ r/w
5. (4x - 2)(2x + 5) - 0, l'équation admet deux solutions 2
3. (x + 2)z = O,l'équation admet une solution double
réelles distinct€s i .r1 = o r, = -2.
I xo = -2.
6. (2x+2)z = 0, l'équation admet une solution xg - --l a. b/ 5 - id 5+ r) = 0, l'équation admet deux solutions
réelles distinctes : ,l = t/5 et x2 = -t/S:
EXERCTcE 55
5. (.r + 2)(3x - 5) = 0, l'équation admet detx solutions
l. (x+Z)2-Z= 0 <- (.r+2-\aïG+2+\/5)= 0, réelles distinct€s: 11 = -2.t*2=2.
l'équation admet detx solutions réelles distinctcs :
6. Â = -159, l'équation n'admet pas de solution réelle.
\=-2-l5etx2--2+\/!.
,. / 3\2*a=0,
7
I'équationnadmetpasdesoluton EXERCICE 59
[r- Z) . Courbe e1 : la courbe est « pointée vers le bas », donc
réelle.
tt\2v a > O, 1(0) > 0 donc c > 0. l-a. courbe ne coupe l'axe des
3.21x+ -l --=0
\ 4/ B abscisses qu'en un point donc A = 0.

'-
z(,* ï +)(,.i.
+)=0,,'éqrra- Labscisse du minimum [-3]
tion admet deux solutions réelles distinctes:
y za) ".r roritive donc b < 0.
. Courbe e2 : la courbe est « pointée vers le haut », donc

xt= 4+t/n -1 -\/17 a<0,f(O)>0doncc>0


4 etxZ= n . la courbe coupe l'axe des abscisses en detx points donc
4. - (x - 4)2 - 9 = 0, l'équation n admet pas de solut on
réelle.
^>0.
Labscisse du maximum [-a'l ooritive donc b > 0.
u. I t, * t)2 + 1 = 0, l'équation n admet pas de solut on \ 2a) "r,
2'2 . Courbe €3 : la courbe est « pointée vers le bas r, donc
réelle.
(
3\2 *.^-0
49 t 2\ a>O,f(O)>0doncc>0
6.-5[x+lo) <- -S(x+l)P-;J =0, Ia courbe ne coupe pas l'axe des abscisses donc À < 0.
l'équation admet deux solutions réelles distinctcs : .l
2 Labscisse du minimum l[- a oositive donc b < 0.
xr =-l etxc=-- \ 2a) ""
5 . Courbe €4 : la courbe est « pointée vers le haut », donc
EXERCIcE 56 a<o,f(0)<0doncc<0
Ia courbe ne coupe pas l'axe des abscisses donc A < 0.
l. I est une solution « éüdente ».
h\
2. Le produit étant égal à -15, la seconde solution est Labscisse d, -ini-,r- [-
,-;)est
négative donc b < o'

donc -15. . Courbe 05 : la courbe est « pointée vers le bas r, donc


a>0,f(0)>0doncc>0
ExERcrcE 57 la courbe ne coupe l'axe des abscisses qu'en un point
l. I est une solution « éüdente », la seconde est -2. donc A = 0.
2. -1 est une solution « éüdente », la seconde est 2. Ijabscisse du minimum [-3] *, négative donc b > 0.
\ 2a)
387
6,1. POLYNÔMES DU SIJCOND DEGRÉ,

. Courbe €6 : la courbe est « pointée vers le bas », donc ExERCICE 64


a>0, f (O) <0doncc<0 Soit .r et y la longueur et la largeur du rectangle. .r et y
La courbe coupe I'axe des absr:isses en deux points donc sont solutions de l'équaüon P - zst +126 = 0, L, = l2l^,
a>0. on en déduit r = 18 cm et y = 7 cm.

* ) *,
Labscisse du minimum (- *rative donc b > 0'
ExERCICE 65
ExERcrcE 60 Soit .r et y la longueur et Ia largeur du rectangle. x et y
sont solutions de l'équation P -126t +3569 =0,
l. S = l0 * -l1x+21 =o.
etP =2I, d'otrl'équation :
A = 1600, on en déduit x = 83 m et y = 43 m.
2. S = -4 et P = -L2,d'otrl'équation : * + 4x- 12 = O.
3. S = 12 - ,/E et p = -'hd, on en déduit l'équation EXERCICE 66
* +(t/s-t/\x-/fr=o. l. IJéquation est du second degré donc m + -2.
4. S =2 et P = -z,d'oùl'équation : * -Zx-Z =O.
L, = 4(3m - t)2 - +(m + z)z = 4(2m - 3)(4m + l').

IJéquation admet une solution double


EXERCICE 6I
si et seulement si  = 0
l. r et y sont solutions de I'équation P - r- I 3l
= 0,
si et seulement si rn = ;24ou * = - -. .

\,f
", ='+tzt + 36
 = S,on en déduit x = 3b
2. Sim = - alors.r= -- = -1.
2. x et y sont solutions de l',équation P - = 0, 22a
I
À = 0, on en déduit x - y =,6 Sim=--alorsx=1.
4
3. .xet y sont soluüons de l'équation P -Zt/St + t = O,
EXERCICE 67
À = 16, on en déduit x = t/É +2 et y = t/5 -2.
4. x et y sont solutions de l'équaüon P +7t - M = O, l. 2 est solution si et seulement si 4 + l2m + (6m + t) = O
5
L,= 225, on en déduit x = .-11 et y = 4 d,oùm=_18.
2. Soit a la seconde solution, alors 6m + | = 2a ,
EXERCICE 62 d'oira= -z*5-=-!.
33
l. .r et y sont solutions de l'équation t2 +3 = O, L2 =
EXERCICE 68
-12, x et y nenstent pas.
2. x=lefy-n l. Une des solutions égale à -1, la seconde soluüon a
s. x=-t/Eety=-t/2. vérifre 6m - 2 = - a + I et m + 2 = - a.
4. , et y sont solutions de l'équation On en déduit alorsîm-2= m+2+ I soit m = 1.
tz -zotgt +2019 = 0, A =.4068285, on en déduit 2. On en déduit alors la seconde solution :

x=
2019 - 4068285
et!-
2019 + 4068285
a= -3.
2 2

ExERcICE 63 EXERCICE 69
Nous avons démontré dans l'exercice 28 que
L. x ety sontsolutions de l'équation P -+t+l = 0, on I b\2
obtientr=1ety=3. af+bx+c=alx+ l- Ë +c.
\ zal 4a.
2. .;r F -2t + | = O
et y sont solutions de l'équaüon b\2_1A_1.
t-4act
soitencore o#+br+"= '(
Soit encore (t -I)2 = 0, on en déduit x = y = l. "ll** *)
3. r et y sont solutions de I'équation P - tZt +SA = O .siA= t -+ac<oalors t -Eac > 0 on en conclut
Soit encore O on en déduit, = y = 6.
- 02 =0, t -4ac ,
4. x et y sont solutions de l'équation P +7t +10 = 0, ,""1(,. *)' - 4"' ] O, f" trinôme ne s'annule
 = 9, on en déduit r = -5 et y = -2. donc jamais dans R.
3BB
CHAPITREq. CORRIGES

o siA = ÿ -+ac= 0alors aÿ + bx+ c = a x+-2ab onendéduitx--l+\- t+Js


)' 4. on pose y = -r,'i"*lrlru'.,1 ;evient arors
le trinôme s'annule pour -r = ' -4.
2a' (x+Y = |
.siA=ÿ-4ac>0alors I

ax2+bx+c=,1(.**)'-#l
lrY=-6
x et Y sont solutions de l'équation P - t -6 = O,

A = 25, on en déduit x = -Z et Y = 3 donc y = -3.


=o(*** #)(..*.,,n)
-b + tAi
le trinôme s'annule pour derx réels \= 2;- et EXERCIcE 72

-b- '/
za l. Â= 13 +4rl5 > 0, l'équation (D admet donc deux so-
lutions réelles distinctes :
EXERCICE 70
-2,/s+r- ltl+îG
l. Si le trinôme a* + bx + c admet deux racines lis- 4
rl ls +4/3
tinctes ou confondues, notées et.rz alors
etxz- -zt/1+t+
ax2+bx+c=o(*2*! "\ 4
\ à**à)=o(*-*llG-xù' z. (zt/1+r)2 =t2++'/5+t = 13 +4y'3.
Soit en développant la dernière expresrion 3. Ainsi, les solutions simplifiées de I'équation (.E') sont
,(* *!,*:)= "r* -(x1+x2)+x1x2). x1 -1
=-1/3etxZ=1
Par identification des coefÊcients des termes de
mêmes degrés, nous en déduisons ; x1 + x2 - -b
EXERCTCE 73
et x1x2 "o
- -.
a
2. Nous avons démontré dans la quesüon précédtnte
l. On pose X = x2, l'équation s' êctit X2 - 84X + 243 = 0,
que si l'équation I + !* * 9 = 0 admet deux so- L = 782,I'équation admet deux solutions Xt = 3 et
lutions distinctes ou coflfondfres ae sorlme S er de Xz =8t'
produit P alors l'équation s'écrit I - Sr + P = 0. On en déduit alors les solutions de I'équation ini-
Démontrons la réciproque : soient x1 et x2 deux riiels tiale : x1 = -15, r', = t/1, 12 = -S et xL = 9.
de somme S et de produit P. 2. On pose X = *,I'équation s'êcrit X2 + BX-9 = 0,
x!-{xt + xù xr+xrxz = *r-fi-x1xz+-rl12 - 0 d )nc Xr = I est une solution évidente, on en déduit alors
.rt est solution de l'équation I - Sx + P = 0. xz = -9'
De la même manière, on peut montrer que.r2 est so- X2 < 0 ce qui est impossible, on en déduit alors les
lution de l'équ ation i - Sx + P = 0. solutions de l'équaüon initiale : x1 - - 1 et x\ = 1.

3. On pose X = *,I'équation s'écritzxz +5X +2 = o,


EXERCICE 7I A = 9, I'équation admet deux solutions X1-2= - ] et
l. r et ysontsolutions del'équation *.
|, - | =0, Y^--)
--L

I I Les deux soluüons sont négatives, l'équation iniüale


a=49.onendéduit-r t=iety=--
144 n'admet donc aucune solution réelle.
2. x ety sont solutions de l'équation P - * r,
f,, i = 4. On pose X = x2,l'équation s'écrit -X2 + X + 2 = 0,
I
L=- il n existe aucun réel vériflant le systèm ]. A = 9, l'équation admet deux solutions Xr = -1 et
i,
3. .r et y sont solutions de l'équation : Xz=2'
^ sJ5-s
tz__t+l=O, X1 < 0 ce qui est impossible, on en déduit alors les
solutions de l'équation initial e : xz - -t/2 et *L = ,/2.
Â- 35- ls/5 /-s+s'./5\2
8\4 =, , ,|,
6.1, POLYNÔMESDU S]JCOND DEGRÉ 389

EXERCICE 74 ExERCICE 75

l. a. P(2) = 0, on en déduit que P(x) est factorisable par


l. on pose X = x3 ,l'équation s'écrit X2 - 3X + 2 = O, (x -2).
 = 1, l'équation admet deux solutions Xl = | 91 En considérant les coeffrcients de mêmes degrés
xz =2'
dans les deux expressions de P(x), on obtient
On en déduit alors les solu.tions de l'équation initiale
P(x)=(x-2)(*+x-tz).
delaforme x=1/Touencore x=XL, tx1 =ÿT-t
=0 e (x-2 =O ort x2+x-
b. P(x) 12 =0).
etxz= w. Les solutions del'équation sont 2, -4 et 3.
2. On pose X = cos r, l'équation s'éc rit 2X2 -3X + | = O,
2. a. En posant X = I nous retrouvons l'équation pré-
A= l, I'équation admet deux solution, Xr = | cédente. Nous avons donc
"t
X2=l' Xr = 2 soit xr = t/Z et x|= -\/2,
cos.r= 1 e x-2kn
Xz= -4 <0impossible
cosl= - <- (x = ! +zm o" * = -! +zkn), avec
1

2 Xs = 3 soit xs = t/5 et 4 = -t/1.


k entier relatif. On en déduit alors les solutions de
b. En posant pour , * o, x - ?, .rorr. retrouvons
l'équation initiale : xl = Zkn, x2 = ! a2po
,T
3 I'équation de la question l. NouJavons donc
et "r3 = +zkfi, avec k e,ntier relatif.
-: X1 =!5eita1 =1,
3. )
On pose, pour x 0, X = ,fr,l'équation s'écrit Xt- = -4 soit xr-2= -2,
X2+ X -2 = 0, A = 9, l'équation admet deux solutions X3 =3soit13 =
U.
Xt=-2etX2=1.
X1 < 0 ce qui est impossible. tléquation initiale n ad- EXERCICE 76
met donc qu'une solution: x1 = 12 = l. l. (.x ( 5,
Pour I
4. On pose X = sinx, l'équatjions'écritZXz -7X +3 = O,
5-x-2t/2x+ <- (5-x)2 =4(2x-2')
L, = 25, l'équation admet deux solutions Xt = 3 et æ i2 - l8x+33 = 0
1
Xc=--
'2 liéquation admet deux solutions :
Xt = sinx = 3 > I est impo,ssible.
etx2 =g tr413, U.
\ =9-4t/l
Xz=sinx=io*= !g+zkn oux=Y*2po
6
uu". La seule solution est donc.rl = I - 4\/5.
3
k entier relatif. 2. Powx2-r,
On en déduit alors les solutions de l'équation ini-
2+ )c= \/2x+3 e (2+ x)z - (2x+3)
- ! +zktr
tiale : xr'6-6 et- x, = 7 +zko avec t enüer <- (x+ l)2 = 0
relatif. Liéquation admet une solution double xg = -1.
5. On pose, pour .r 17, X - -J-, 1'6qru11on s'écrit
x-t
6Xz - llx -7 = 0, A, = t'72,I'équation admet deux ExERcIcE 77
7
solutions Xr = . -12"t xz=5' 1
l. Pourrl0, x-r1=4
x
æ f -4**r-0.
I A = 12, l'équation admet deux solutions:
x= +7, on en déduit alors les solutions de l'équa-
-
xt=2-l5etx2=2+t/5.
tion initiale xy = = Y.
,7 5 s1 )c2
2. Pour.reR\{-3;2},
5
6. On pose, pour x ) * = ,A* - U. l'équation s'écrit
35
-----= * -----= - 2 æ 3(x +3) +5(x -2) = 2(x -2) (x +3).
i, x-2 ,+3
alors X2 -3X+2 = 0, l'équ:rtion admet deux solutions Soit après simplification : 2x2 - 6x - ll = O, L, = 124,
X1 =ls1 ){2=1. l'équation admet deux solutions réelles
X2 +5 3-y'31EîXt s+y'57
x= -1- t oî en déduit alors les solutions de l'équa- .Ir-2-2
= =
I 4
tion initiale de la formr
tx1 =f,sla2=-. 3. Pourr€R\{-:;0},
- J -.
390 CHAPITREï. CORRIGES

xx-l
. =:__- <_ +*
-3x+4 =@_l)(3x+4). sirel-æ; Uu[2; +æ[.
4x
Soit en développant et en ordonnant : * - x + 4., 0. Lintersection des deux ensembles est [3; +oo[.
 = -15 < 0, l'équation nadmet donc aucune solu- Si x e [3; +æ1,\Æ 1x +2- y'x-3 si et seulement
tion réelle. .r_.+
si* -3x+Z= x-3,
4. pourxe R\ f0; -ml,'ï m_ 3x Soit en ordonnarfi x2
- 4x + S= 0, Â = -4 < 0, l,équa-
#à=,
ê (2x + m)(x + m) - 3x2 = 2x(x + m). tion n admet donc aucune solution réelle.
En développant et en ordonnant, nous obtenons
l'équation (E) : -3x2 + mx + m2 = O. L, = l3mz . EXERCTCE 79

Si m = 0, l'équation (È") admet une solution doulüe: l. La proposition P1 est vraie. En effet, si ac < 0 alors
ro = 0 qui nappartient pas à R\ {0; -rn}. Donc si -4ac > 0 donc L. = t - qac > 0, l'équation admet
m = 0, I'équation n admet pas de solution. alors detx solutions distinctes.
Si m I 0, I'équation (E) admet deux solutions rlis- 2. a. P2: « Si l'équation .f (x) = O admet deux solutions

unctes xl =
m+lmllB
et -r2 -
m-lml\fr5 distinctes alors ac < 0 ».
6 ---;-. b. La proposiüon P2 est fausse, en effet l'équation
EXERCTCE 78
* +3x+Z = 0 admet derxsolutions distinctes -l et
-2 et ac =2> O.
l. Ilfautque-r2 -2x+2 et.r+I soientdifférentsde ). 3. a. P3 : «Si l'équation,f(x) = 0 n admet pas deux solu-
Pour la première expression A = -4 < 0, l'expression
tions distinctes alors ac ) 0 ».
n est donc jamais nulle.
b. La proposition P3 est vraie car Pl est waie.
On résout l'équation dans R \ {-l}.
x2 + x+l x+4
ExERCICE 8O
x2 -2x+2 x+l Soit r Ia longueur du grand côté du premier terrain d'AI-
€+ (r+ \(x2 + x+ 1) = (r+4) (* -Zx+Z),
fted. tlaire du premier terrain est égale à r(x- I30), celle
Soit en développant et en ordonnant : Bx - 7 =, 0.
du second à 154(, + 150).
,8 solution x = l.
Léquation admet une unique
Iæ problème se ramène à Ia résolution de I'équation
2. I1faut que .rz - 4 et x + 2 soient non nuls, c'est-à-( lire
i I
-tsox = 154x+23100 soit encore - 284x-2310o =o
x différent de 2 etde -2.
L, = 4162 ,l'équation admet deux solutions 350 et -66, la
PourtoutxeR\{-2;2}
I5 "= =3 <- r+5(x-21
seconde négative ne convient pas.
--1 + x+2
xz -4
=r(*-+). Les terrains d'Alfred sont donc de dimensions 350 sur
soit en développant et en ordonnant 3x2 - 5x - 3 ,
= 0, 220 mètres pour le premier et 154 sur 500 mètres pour
À = 61, l'équation admet deux solutions réelles le second.
.tt'6-6
=
5- /61èt,t) = s+ y'ot
EXERCICE 8I
3. I1 faut que r - I et .r2 soient non nuls, c'est-à-dfu e x
- de I et de 0. -.
Soit r la longueur du rectangle, sa largeur est alors égale
différent
àx-4.
Pour tout réel x différent de 0 et 1,
13 <- x' +3x-3=0, A=21,
Déterminer les dimensions du rectangle reüent à ré-
*
x- | -; =0 soudre l'équaüoî x(x - 4) = 8,25,
-
l'équation admet deux solutions réelles distincter
soit encore I - 4x - 8,25 = o.
-3-\/i
fr=-etx)--. -3+'/i
'2'2 A = 49, l'équaüon admet deux solutions distinctes
4. Il faut que x2 - 3x + 2 et x - 3 soient positifs. ,l = -I,5 et x2 = $,5. La première solution, négative ne
. x - 3 ) 0 si et seulement si r > 3. convient pas.
. xz - 3x + 2 = (x - l)(x - 2) en établissant un tabl :au Le rectangle est de longueur 5, 5 dm et de largeur 1,5 dm.
de signe, on en déduit xz - 3x + 2 ) 0 si et seulem ent
6.1. POLYNÔMES DT] ï'ECOND DEGRE 391

EXERCICE 82 Le triangle est rectangle, donc d'après le théorème de


Soit .r la longueur d'un côté du triangle équilatéral ini- Pythagore (x+5)2 + (x+6)z = (x+B)z,
soit après simplifications xz + 6x - 3 = 0, À = 48, l'équa-
tial. Sa hauteur est alors CSak, a x,en effet
f tion admet derx solutions distinctes xt = -3 - 2\/5 et
r----= x2= -g+2\/2.
I ^_tzJ
tx\2 13É
n=ÿ, =V , .rr < -5 ce qui est impossible, il faut donc ajouter 2t/5-3
aux trois côtés.

Son aire est égale


*J5
à 4 .
ExERcrcE 86
Résoudre le problème revient à résoudre l'équation
tzx+!.)z y'5 tÿ-+ r. 0<BN<BCd'où0(x(5.
= 10y'3, soit encore après simplifi-
44 2. A(x) =40-x(8-r) - x(5- x) =2ÿ - I3x+40.
cation 3l + 4x - 39 = 0. L = 1122 ,l'équation admet deux
3. tj aire est minimale porr, = *
solutions distinctes .rt g 4
= et rz = - T. 4. tlaire est égale à 22 cm2 si 2x2 - 13.r + 40 = 22, soit
0n remarque erJe xg < 0 ce qui est impossible pour une
longueur.
encore après simplification l3x + lB = 0.
2 x2 -
L, = 25, l'équation admet deux solutions xt = 2 et
Le problème n'a donc qu'une solution, la longueur du I
X) = -.
côté du triangle d'origine est donc 3 cm. '2
EXERCICE 87
EXERCICE 83
Soit u6' la ütesse de la vache, r,lr la ütesse du train et .x
Soit .r la longueur d'un côté du triangle équilatéral ini-
la moitié de la longueur du tunnel.
üal, I' aire est égale (voir exercice précédent).
^ + On suppose la vache dans Ia première moitié du tunnel
Résoudre le problème revient à résoudre l'équation
(la plus proche du train).
&6x-tlz'/s *J, _f , soit ^^,.^-^^-^
encore ^_-x^ ^:*-
4 = 4 , après simpli- . Si la vache va vers le train, dans le même temps fl,
flcations 4l - 4t/5x + 3 = o. elle parcourt (x-5) mètres pendant que Ie üain parcourt
À = 0, l'équation admet une s,olution: 3000 mètres.

n=V.
'/5 Soit4-@-S)uc=3000vr.
. Si la vache va dans le même sens que le train, dans le
la longueur du côté du triangle d'origine est donc
6
même temps ,2, elle parcourt (.r+5) mètres pendant que
2
soit 0,87 m à l0-2 près. le train parcourt 3000 + 2.r mètres.
Soit 12 = @+S)uc = (3000+2x)u7.
EXERCICE 84 uc 3ooo 3ooo+2'.
uT- x-5 -
onendéduit
Soit .r et y les dimensions des côtés du rectangle (on sup- x+5
Soit après simplifications I
5.r - 15000 = 0.
-
pose.r < /).
L = 2452, l'équation admet deux solutions distinctes
D'après I'énoncé xz + yz - 39t2 et xy = 540.
On recherche le périmètre, soit 2(r + y).
\ =l25etx2= -llg.
.r2 < 0 ce qü est impossible, la seule soluüon est
En utilisant les données de l'tlnoncé, on peut écrire
xt = 125.
1x+ y)z = xz +2xy+ JP =2601
Si on suppose la vache dans la seconde moitié du tun-
x et y étant des longueurs, lerrr somme est posiüve donc
x+y=t/2601=51.
nel, on obtient l'équation I + 5, + 15000 = 0 qui n'a pas
de solution réelle.
Le périmètre du rectangle est donc égal à 102 mètres.
Iæ tunnel est donc de longueur 250 mètres.
EXERCICE 85
Soit x la longueur ajoutée ou retranchée.
392 CIIAPITHE 6. COHRIGES

EXERCICE 8B EXERCTCE 9l
l. x2+2x-B= (x-2)(x+4) etSxz -7x+2 = (x-2)(3x-.1)
f. a" P(1) = 13 -2 x 12 - lg x | +20= 0. I est une racine
2. Pourre R\ de P(x),le pol1môme est donc factorisable par (.r- I).
{-n, à''}' P@) = Ë -2x2 -r9x+20 = (x- t) (* - x-zo)
3
r x
7 +2x-B '3x2-7x+2-"
-^ b.P(r)=0 <- (r-1=0oul -x-2O=O).
3(3.r-1) +x(x+4) Résolution de l'équation * - x-2O = 0, A = 81,
€:+ =Q
(x - 2) (.r + 4) (3-r - I) l'équation admet deux solutions distinctes xt = -4
*+13x-3=0.
-
A = 18r, l'équation admet deux solutions distinr;tes
etx2=$-
-r3 - /1BT y'tgl l,es solutions de l'équation P(x) = 0 sont ainsi xs - 1,
x1=-et x2= -rs+ xt=-4etx2-5.
')
2. a. En posant X = x2, nous retrouvons l'équation ré-
EXERCTcB 89 solue dans la quesüon précédente.
Xt = -4 < 0 est impossible dans R, les solutions sont
l. i + = (.f- DG+2) et2x2 + x-6 = (x+2)(2x- 3)
x-2
2. Pourxe mt t;
3l t donc xs = L, xL = -1, x2 = t/5 et x2 = -t15.
{-Z; 7f, b. En posant, pour .r I x - 1, .rous retrouvons
2x 3r o,

xr+xi bc4x1=O l'équation résolue dans la questiJn précédente.


2x(2x-3) -3.r(x- l) I I
læs solutions sont don(
)xg=1,\=-i,xz=i.
(x-r)(x+2)(2x-3)
=-> x(r - 3) = 0.
EXERCICE 92
[iéquation admet deux solutions distinctes
xt =O et x2 =3. t. * - zx - +g = 0, A = 196, l'équation admet deux solu-
tions distinctes.rl = -6 et )c2 = $.

EXBRCICE 90 2. - | - I + 50 - 48 = 0, ce qui prouve que - I est solution


de (E).
I
l. f=-=1.6. 3. En considérant les coeffrcients des termes de plus
3
2. a Soitfi leformatdurectangle ABCD, f, = *. haut degré et de degré le plus bas, nous obtenons
# ==
a=Ietc=-48.
Soit Ê le format du rectangle BEFC,
t^-
BCI En développant et en identifiant les coefûcients des
J'- BE x-r' termes de degré2 (ott l), nous obtenons b = -2,ainsi
b. Le rectangle âBCD est dit « rectangle d'or » si
I xJ - x2 -sox- 48 - (x+D(x2 -zx-+a).
x-l 4. D'après les questions précédentes, l'équation (E) ad-
soit après simplification * - x - 1 = 0. A = 5, l'éq ra- met trois solutions xg = -L, xy = -6 et x2 = g.
tion admet deux solutions distinctes
t-\/5 t+r/5
'2-2
-tt = €t-tr = ExERcrcE 93
t+Js t. si -zx-s = 0, A = 64, l'équaüon admet detx solu-
Seule- la solution.r2 -.
est positive, donc <D
= ,
tions distinctes r1 = -l *, =2r.
c.(D-1 -1+ r/5 ",
2 2. rO=2.
O (O - l) = O2 -O = I car (D est solution de l'équation 3. En considérant les coefûcients des termes de plus
x2 - x-l=0. haut degré et de degré le plus bas, nous obtenons
d. D'après la question 2.b et la définition de O, a=3etc=-5.
II
(D
= =----= ou encore = = O- 1, O- I est donc lin- En développant et en identifiant les coefûcients des
verse de
o-l (D.
o
termes de degré 2 ( ou l), nous obtenons b = -2, ainsi
gx3
-Bx2 -.r+ l0 = (x-2)(S* -Zx-S).
6.1. POLYNÔMES DU SLJCOND DEGRE 393

4. D'après les quesüons préc'3dentes, l'équation (E") ad- 2. oM2 = a2 + a2 a2,


met trois solutions xg = 2, rt = -l et x2 = !. MCZ = & + (b + aa)z = t + & + a2 a2 +2aba
gç2 =g- c)2 +t = a2 +t + & -zac.
EXERCICE 94 En appliquant Ie théorème de Srthagore, nous obte-

l. A = 45, l'équation admet deux solutions distinctes nons:


-3/5 5 5 +3r,Æ OMz +MCz - OCz e 2aza2 +2aba+2ac=o
Xr=-ê1
'2-2 Xt=--.
le réel a étant non nul, nous pouvons simplifier et
2. x3 = | et x4 =2 sont solutions de (E).
I'équation s'écrit alors as2 + ba + c + o.
3. En considérantles termes, de degrê 4et de degré 0,
Ceci démontre que o est solution de I'équation
nous obtenons:
axZ +bx+ c =0.
x4 -Bx3 +r2* +Sx-10 = (x- t)(x-2)(xz +bx-s).
Remarque: Pour les élèves ayant fait le chapitre du
(x - r') (x - 2) {* + bx - s),= (* - tx + z) (* + bx - s)
produit scalaire, la démonstration pouvait se faire en
= xa +(b-ïË +G3-3b)x2 +(t5+2b)x-tO
utilisant ort.Cfr =o.
Par identiflcation des coefficients des termes de
3. Placer le point C(a - c;b) et tracer la droite (AB)
même degré, nous obtenons b = -5. Ainsi
d'équation x = c.
xa -eË +rzxz +5x- l0 =, (x- t) (x-Z) (l - Sx - S)
Tracer Ie segment [OC] et le cercle de diamètre [OC].
4. D'après les questions précédentes, l'équation (E) ad-
Les solutions de l'équation sont les opposées des or-
met quatre solutions distinctes :

5-3y'5 5+3\Æ données divisés par a des points d'intersection du


Xr-22
= x3 = | el x4 =.2.
cercle et de la droite (AB).
+. u*+6x-B=0
-,Xt
EXERCICE 95

l. Soient x - l, x et .r + I trc,is entiers consécuüfs. Ces


trois enters forment un triplet pythagoricien
si(x-1)2 +*=@+l)2.
Soit après développement et simplification,
x(x- 4) = 0. Cette équation admet deux solutions
x!=0etxz-4- 6
(- 1; 0; 1) ne peut pas être ,solution du problème, seul
le triplet (3; 4; 5) est solution du problème.
2. deftripletQ:
for .r in range(l,101) :

for y in range(x,10,1) :

z=sqrtlx**,2+y**21
partiEntiertt = (z*10)l llO -l"l 910
if z == par tiEntiere :

print(x, ";" , y, "i", z) -,

ExERcIcE 96

t. la droite (OP) est d'équatjion réduite ÿ= -ax.


La droite (ÂB) est d'équatjlon x = a.
Le point M étant le point d'intersection de ces deux Les valeurs approchées des solutions de l'équation
droites, ses coordonnées vérifient les deux équa- * +6x- 8= 0 sontrt = l,l2 et xz = -7,12
tions. Nous en déduisons rilnsi M (a; -aa). + x-l =0
b. x2
394 CIIAPITHE 6. CORRIGES

ExERCTcE 97
r= I
Soit uç la ütesse de la colonne et uM Ia ütesse du mes-
L.62
sager.
C
Soit fa le temps aller du messager et ,À son temps de re-
tour.
Ia distance parcourue par le messager à l'aller est
-2 -l 234
-o.62 de=uruta-(+uçta.
-1 Ia distance parcourue par le messager au retour est
dn=uUta=!-uCtA.
Nousendéduisons rA =
I
læs valeurs approchées des solutions de l'équarion
"tt*= --!-.
VM-UC uM+uC
x2 + x -l = 0 sont rl = O,62 et xz x -1,62 la colonne a parcouru au total la distance
c.4x2 -5x+6=0, uçta+ uçtp = (.
En remplaçant îtr et tp par les expressions trouvées pré-
=4 cédemment et en simplifiant, nous obtenons
UC 1- UC
- I.
2 3 UM-uC uM+uC
Ce qui peut encore s'écrire :2uçu7,4 = u2M - uZ.
yM
uc étant non nul, on peut pos e, rc - uC
,en simplifiant,
nous obtenons l'équation I - 2x - I = 0.
Cette équation admet deux solutions
,r = 1- 12et*2=t+t/2.
rl < 0 est impossible dans notre contexte, on en déduit
qlr.eüM=(t+ltluç.
La droite (ÂB) ne coupe pas le cercle de diam,)tre Ainsi d1a = uMt = (t * J4 uçt = (t + {4 l.
lOCl, l'équation n'a pas de solution réelle.
d.9l+6.r+1=0 EXERCICE 98

l. P(x) = * +x+l,A= -3< O,et a=1 >0,onendéduit


le tableau de signes de P(.x) :
6
x -oo +oo
sigre de P(x) +

2. P(x) = -3x2 + .r + 10, L, = l2l,le polynôme admet


5
deuxracinesdistinctes )tt=-ieIx2=l.a=-3<O,
on en déduit Ie tableau de signes de P(x) :

x -æ 5t
a- +æ
-l-1-
Signe de P(x) 0+0
--2-
3. P(x) = Zxz +3x-5, Â = 49, le polynôme admet deux
5
tléquation 9x2 +6x+ I = 0 nadmet qu'une solution racines distinctes \ = -, et xz - l. a = 2 > 0, on en
I
_5.
xo = déduit le tableau de signes de P(x) :

5. Il nexiste des solutions réelles que si la droite (.{B) x -æ -2 1 +æ


coupe le cercle de diamètre [OC]. Sigre de P(x) +0 0+
6.1. POLYNÔMES DU S,ECOND DEGRÉ 395

4. P (x) = 2rc2 - 2x\/-6 +3, A = 0, le polynôme admet une 2. P(x') = -6* - x- 1, À = -23 10, et a= -6 < 0, on en
J6 déduit le tableau de signes de P(x) :
racine double n"2= L a=2 ) 0, on en déduit le ta-
bleau de signes de P(.r) :
)c -æ +æ
\/6 signe de P(x)
x -æ -T +æ
signe de P(x) +0+ 3. P(x) = - x2 - 4x + 4, L = 32,le polynôme admet deux
racines distinctes )q = -2 -2t/2 et xz = -2 +2t/2.

ExDRCICE 99
a= -l < O, on en déduit le tableau de signes de P(x) :

x -æ Xl Xz +æ
r. P(x) = 3 - 2xt/5 + x2, L, = o,le polynôme admet une
racine double xo = t/3, a = | > 0, on en déduit le ta-
Signe de P(r) 0+0
bleau de signes de P(x) :
4. P(x) = xZ + x+3,4 = -11 <O, et a.= 1 > 0, on en
x -oo ,/1 +oo déduit le tableau de signes de P(x) :

signe de P(.r) +0+


JC -oo +æ
2. P(x) = -x2 +4x-B,A= -f6 <O,et a= -1 <0, onen
signe de P(x) +
déduit le tableau de signes de P(.r) :

ExERcrcE l0L
x -oo +æ f. P(x) = (3x-2)(2x +3), le polynôme admet deux ra-
x 2=
signe de P(.r) cines distinctes .r1 = - *, = . on en déduit le
2'3
",
tableau de signes de P(x) :
3. P(x) = x2 -2x- 15, a = &1, le polynôme admet deux
3
racines distinctes xt = -3 et x? - 5. a = | > 0, on en x -oo -2 +æ

déduit le tableau de sigrters de P(x) :


Signe de 3x - 2 0+
Sigre de 2r + 3 0+ +

x Signe de P(*) +0 0+
-æ -3 5 +oo
Signe de P(x) +0 0+ 2. P(x) = (3x + r)(x - 2) - (o.f + ax)
= (3x + 1) (x -2-3x) = (3, + l) (-2x -2),
Ie polynôme admet deux racines distinctes .rl = - I et
4. P(x) = t/2*2 +(la-zt/2)x+216, L=14-z4t/5<0, I
tz = - On en déduit le tableau de signes de P(r) :
et a = t/2 > 0, on en déduit le tableau de signes de i.
P(x): x -æ -l +æ
Signe de 3x+ I 0+
x -æ +æ Sigre de -x - 2 +0
signe de P(x) + Signe de P(x) 0+0

EXERCICE IOO 3. P(x) = (x+2)2 -9(x-l)2 = (5-2x)(4x- 1), le poly-


U.
nôme admetdetxracines distinctes rr-4'2
='
l. P(.r) = -6x2 - 5.r + 6, == 169, le polynôme admet =
",r,
deux racines distinctes
^xr 2^ On en déduit le tableau de signes de P(.r) :
= -3= et xz =
'2'3 . a= -e < o,
x I5 +æ
on en déduit le tableau de signes de P(x) : -æ 42
x -æ 32 +æ Signede5-2x + +0
23
Sigre de P(x) 0+0 Signe de 4.r- I 0+ +
Signe de P(x) 0+0
396 CHAPITRE 6. CORRIGÉS

37
4. Quelquesoitleréelx, (2x-g)z >0 x -æ z, +oo
d'où P(x) = -2- (2x-9)2 <O .
Signe de P(x) 0+0
JC
-æ +æ
signe de P(x) s=]--; il,[;,.*[
EXERCICE I02
2. *+6x-4<Z*-gx-A e -*+ISx+4(0, lepo-
e Pour résoudre une inéquation du second degré, il I aut
Iynôme P(.r) = -* l5.r+4
+ admet deuxracines dis-
. 15- \/241 ts+ J24t
rechercher les racines de l'équaüon, établir (si néres- trnctes.rr = ---Z- etxz=
--i-. a= -l <0,
saire) le tableau du signes puis conclure. on en déduit le tableau de signes de P(.r) :

On utilise les résultats obtenus dans l'exercice 98.


x -æ .xl Xz +æ
l. 5=6. Signe de P(r) 0+0
-5 ]u [z' **[
5
2. s -oo;
- \/Z4t b+ t/2a1
,.t=I-*'-; ], [r; *-[ §= -*; tS
z l,I 2 i+æ
rs tiinégalité étant large, les valeurs annulant le :o-
l1môme appartiennent à I'ensemble des solutions. EXERCICE I06

4. S=R\ I4I
[31
l. -* +4x+5> -2* +3x+4 a ÿ a yal)0.Nous
avons vu précédemment que P(r) = x2 + x + I était
lg finégalité étant stricte, la valeur annulant le poly-
toujours positif, donc S = R.
nôme n appartient pas à l'ensemble des solutionr .
z. sÊ -zx+92 * -zx+z -z ) xz 0, lepolynôme
ÿ -
EXERCICE I03
P@) = -2admet \ = -\/2
deuxracines distinctes
Et x2 = A. a = I > 0, on en déduit le tableau de
On utilise les résultats obtenus dans l'exercice l0O
signes de P(x) :
r. s=]-oo;-;],[3,.-[
2. S=R. x -æ -r/î A +oo
3. g=l-z-zt/i; -z+zl2l Signe de P(x) +0 0+
4. S=R.
s=l-æ; -12)"1J2; +æl
EXERCICE I04
On utilise les résultats obtenus dans l'exercice 99. EXERCICE 107

[. S= R. L. *+3x+5(x2-x+9 r(1
-
2. S=R. 6onç5=1_oo; ll.
3. g=t_3;sl. 2. (3x -2)z ) (x+3)z - 8*- lg.r- 5 ) 0, L, = 222,
4. S=@. Ie polynôme P(ù =8* - 18.r-5 admet deuxracines

distinctes xt = - -' et x-
, =2. o=S> 0. on en déduit
2
EXERCICE I05 le tableau de signes de P(x) :

e II faut se rarnener à une inéquation de la forme de


15
celles des exercices précédents. x -æ -42 +æ

l. (x+2)2 ((3.r-5)2 e Signe de P(r) +0 0+


-8x2+34r-21 <0
L,=222,Ie polynôme P(x) = -B* +34r-21 adrnet
deux racines distinctes
xr=
3 7
4etxz=r.a=-8.<O,
s=
]-*; -i]'[;' .-[
on en déduit le tableau de signes de P(.r) :
6.1, POLYNÔMES DU S,ECOND DEGRE 397

EXERCIcE I08 S = [_Z; 0]


1. x3+3x+2<ê-zxz-4x-3 2* +7r+5<0, 4. Si2l +3x-4 ( -x-4 alors la courbe ? est au-

À=
-
9, le polynôme P(x),=2vz +7x+5 admet deux dessous de la droite ?.
D'après le tableau de signes précédent
racines distinctes rl = -:l1t'et xz - -1. a = 2 > o, on
:

. la courbe ? est au-dessus de la droite D sur les in-


en déduit le tableau de signes de P(x) :
tervalles ]-æ; -2[ et ]0; +oo[;
x -æ -7 -l +æ . la droite D est au-dessus de la courbe ? sur l' inter-
Signe de P(.x) +0 0+ valle l-2; 0[;
. la droite 2 et la courbe ? se coupent aux points

[-i, -,] -2et0.


r= d'abscisses

2. (zx,+l)z > (3x-l)z :, -5x2 + lOx ) 0, le po- EXERCICE IIO


lynôme P(x) = -5r! + 10x admet deux racines dis- .3* S* -llx-4
-Bx-2=3x+2 - = 0, A = 169,
tinctes ,r1 = 0 et xZ = 2. û: = -5 < 0, on en déduit le l'équation admet deux racines distinctes
tableau de signes de P(.r) : 1
-rr =
'3 -- elxt =4.
x -æ 0 2 +æ . Tableau de signes du polyrrôme P(x) = 3* - llx - 4 :
Signe de P(x) 0+0
x -ôo xl x2 +æ
S= t0;21. Signe de P(r) +0 0+
3. -5x2 +.r+2< 3x2+7x-.7
I - -S* -6r+9<0, . Si 3l - Bx - 2 < Uc + 2 c'est-à-dire si P(x) < 0 alors la
= ta2, le polynôme P(.r) = -Bl admet deux
-6x+g courbe ? est au-dessous de la droite ?.
racines distinctes = -;i. et x2 =3-.a = -B < 0, on D'après le tableau de signes précédent :
"
en déduit le tableau de sigpes de P(.r) : . la courbe ? est au-dessus de la droite D sur les inter-
l--; +-t;
| -l3lIett+
3
uil"r
x -æ 4 +oo
. la droite D est au-dessus de la courbe ? sur l' intervalle
Signe de P(r) 0+0 lr I

l-5;4[;
s=
]-."; -;], [;,
.-[ . la droite D et la courbe ? se coupent auxpoints d'abs-
I
cisses --3 et4.
EXERCICE I09
EXERCICE I I I
l. 2x2 +3x - 4 = -x - 4 -,
Zx(x +2) = 0, l'équation
. -xZ +6x-9 = x2 -5x+3 -2x2 +Ilx- 12 = O,
admet deux solutions distinctes ,1 - -2 et xz = 0. -
A = 25, l'équation admet deux racines distinctes x1- = ]
2. Déterminer les points d'intersection de 2
etxz-4.
D et ÿ revient à résoudre le système . Tableau de signes du polynôme P(.r) = -2xz +Ilx-I2:
J z* +sx-+ -x--4 =
I v = -x-4 x -oo 1,5 4 +æ
D'après la question préc(idente, 2 et ? se coupent Signe de P(x) 0+0
aux points Ml ( -2; -2) et lVIz(O; -4).
3. 2x2 +3x-4 ( -x-4 e iZ* +4x -( 0. D'après les ré- . Si -x2 +6x-9 < x2 -5x+3 c'est-à-dire si P(x) < 0 alors
sultats précédents, nous en déduisons le tableau de la courbe ?1 est au-dessous de la courbe ?2.
signes du polynôme P(x) = 2* + 4x : D'après le tableau de signes précédent, nous obtenons :

x -æ -2 0 +æ la courbe ?l est au-dessous de la courbe P2 sur les in-


Signe de P(x) +0 0+ tervalles l-æ; I, 5[ et ]4; +æ[.
398 CHAPITREï. CORRIGÉS

La courbe ?2 est au-dessous de la courbe ?1 sur l' in :er- x -2+2\/2 3 +oo


vallell,5;4[. (6 - 2x) +0
Les deux courbes se coupent aux points d'abscisses 1,5 (-x2 -+x++) 0

et 4.
P(x) 0 0+

EXERCTCE I 12 2. P(x') = (xz + x-2)(l -sx+o)


. Recherche des racines du polynôme :
l. P(x) - (x+2)(axz -sx-a)
. Recherche des racines du polynôme: P(x)=0 : (*+x-2=0olxz -sx+6=0).
æ (**2=0ou6l-Sx-6=0). Pour la première équation: A = 9, l'équation admet
P(x) =o
deux solutions distinctes x1 = -2 et xz = l.
La première équation a une solution xg = -2.
Pour la seconde équation : A = 1, l'équation admet
Pour la seconde équation : A = 169, l'équation adr net
deux solutions distinctes *3 = 2 eI xt = 3.
deux solutions distinctes x,^3'2
= -? *, =1.
"t . Tableau de signes de P(x) :
. Tableau de signes de P(x) :
x -oo -2 I 2
x -æ -2 +( J (* +x-z) +0 0+
(x +2) 0 + + +

l +0
(ol -sx-o) + +
(ol-sx-o) + + 0 0 +
P(r) 0 + 0 0 +
P(x) +0 0+0
x 1 2 +æ
2. P(x) = (3-2x)(xz -sx+z)
. Recherche des racines du polynôme
(* + x-z) 0+ + +
:
(o.l -sx-o) +0 0+
P(x) =O e (l-Zx =0oul -Sx+2=O). P(x) 0+0 0+
Ia première équation une solution x6 = 1.
a
La seconde équation admet deux solutions distin( tes
EX-ERCICE I14
Pour répondre à la question, il faut établir le tableau de
x1 =Isln2=1.
. Tableau de signes de P(x) : signes du polynôme et conclure à l'aide du tableau.

t. (x+D(a* -5x-o) <o


x -æ 1,5 2 +æ
Le tableau de signes de P(x) = (x + 2) (Ox2 - Sx -O)
(3 - 2x) + + 0
a été établi dans l'exercice l12.
(x2 -tx+z) + 0 +
1231
P(r) + 0 0 + 0 AinsiS=l-oo; -21 -'-ul-[ s'' z]' I

2. (3-2x)(* -tx+z)>o
EXERCICE 113 Le tableau de signes de P(x\ = (3 - 2x) (x2 - Zx + Z)
t. P(x) = (-* -+x++)G-zx1 a été établi dans l'exercice
,, l[2.
. Recherche des racines du polynôme : Ainsi S = ]_æ; ll ,1.
P(x) =O e (A-Zx =0ou -l -4x+4=0).
" lr, I

la première équation a une solution xg = 3. EXERCICE II5


Pour la seconde équaüon, L, = 32, I'équation adI net r.(-*-ax+a)(6-2r)<o
deux solutions distinctes xt = -2-2t/2 læ tableau de signes du polynôme
etxz- -2+2t/2. P(x) = (-* -4x+4)g-2x) aété établi dans l'exer-
. Tableau de signes de P(.r) : cice I 13.

(6-2x)
x -æ
+
-2-
+
-2+ I z. (*
Ainsi S =
+ x-z)
l-æ; -2 -212)vl-z+zt/2;
(l -s-r+o) >o
s).

(-x2 -+x++) 0 + 0 Le tableau de signes du polynôme


P(x) 0 + 0 P(x) = (*+x-z)(xz-sx+A) a été établi dans
399
6. 1. POLYNÔMES DU S]?COND DEGRÉ,

l'exercice 113. sont de même signe d'oir / (rt)


@ù > 0. Ï
Ainsi S = l-oo; -Zlull; 2[ u]3; +æ[. c. la propriété P1 est waie car sa contraposée est
waie.
EXERCICE I 16
. Si A > 0 alors P(x) = axz + bx + c admetdeux racines EXERCICE II8
distinctes x1 et 12 (en supposant.rl < ,2)' l. on vérifie que P(1) = 0 et P(4) = 0 ,on en déduit que
P(x) = 61a-,61)G- xù. pour toutréel x ; P(x)= (x- 1) tx - +l (A* + bx - lO).
Nous en déduisons le tableau de signes: En développant et en identifiant les coefÊcients des
termes de même degré, on obtient b = -11.
x -æ x1
Ainsi P(x) = (x - l) (x - 4) (oxz - r rx - to) .
signe de a signe dr: a
signe de (r- rl) 0 -25= 6* - llx - 10, admet deux racines distinctes
2. Q@)
sigle de (: -.rz) x1=--etxt=-
^3-2
si8ne de Q(.r) signe dr: a 0

+æ Iæ tableau de signes de P(*) permet d'obtenir


xl
x
signe de a
xz
signe de a §=
2
U
Its
signe de a
+ +
3 lz'nlt'
signe de (x - rr ) 0
signe de (x - .r2) 0
EXERCICE I I9
signe de P(r) 0 signe de -a 0 signe de a
l. Pourtoutréelr:P(x) = (x-5) (x+21(-6* -5x+21)
. Si À = 0 alors P(x) = a* + bx + c admetune racine 2. - 5x + 21 admet deux racines disünctes
double rs, P(x) = a(x - xù2.
-73
Q@) = -6x2
xl=--etXr=-.
^3-2
Pour tout réel .r I xo, (x - xù:z > 0 donc P(.r) est du siSne
deaetP(xs;=0. Le tableau de signes de P(x) permet d'obtenir:
. Si A < oarors P(.r) = r((r. *)' - #l -']
'= [-1' '[;' ']
((.. *)' - #)r0 donc P(x) est touiours du signe
EXERCICE I20
de a. P(x)=-gaa +L4# +47* -41x-30.
EXERCICE II7 l. V.r : P(x) = (x +2) tx - sl (-sl + 6x + 5).

Soit /(r) une fonction polynl)me de degré 2 et son dis- 2. Q@)


-15= -B* + 6.r + 5 admet deux racines distinctes
^ xl=--etxr=-.
criminant. -2-4
Soit la propriété P1 : « S'il existe detx réels x1 et x2 tels
Le tableau de signes de P(.r) permet d'obtenir
qt'e f (xl f (xz) < 0 alors A >' 0.
l. a. Ps « Si A > 0 alors il existe deux réels x1 et.r2 tels t=I-r,-iI u ls
l;;
s[.
t

que/(rl)/(rz) <0,.
b. La propriété P2 est vraie. En effet, si À > 0 alors EXERCICE I2I
Ia fonction polynôme /(x) s'annule et change de
p(x) = -a4 * (12- t/5 -z) # + ('/o-zt/t +zt/2+s) *
+ (zla + st/5 - st/\ x - st/ 6.
signe, il existe donc derux réels xt et xz tels que
1Gùr @ù <0. l. Vr € R : P(r) = (* - J4(r* /0 lx2 -zx + s).
2. u Pg : Si A 0
« < alors il n'existe pas de réels xr et xz 2. La fonction polynôme Q(x) = - * -zx+sadmet detrx

telsquef(xr)f(r2) <0. racines distinctes .r1 = -l - t/-6 et x2 - -l + \/6.


b. La propriété P3 est vraie. En effet, si A < 0 alors Le tableau de signes de P(x) permet d'obtenir:
la fonction polynôme /(;0 est toujours du signe de a E = l--; -t - r/6[ u]-rl3; r/Z[ u ]-t + y'o; +æ[.
donc quels que soient les réels x1 et x2 , f (xf et f (xz)
400 CHAPITREq. CORRIGÉS

EXERCICE I22 r§ Etapes pour la résolution :

L= m2 -I8nx+4g,1'équation m2 -lgm+49 = 0 aünet o Déterminer les valeurs interdites, c,est-à-dire les ra_
deux solutions distinctes mt = 9 - 4 {1 et m2 = g a 4, Q. cines des polynômes Q1 et Q2.
. si me l-æ; s-+,/2[v)s++'/1; +æ[, . Déterminer les racines de P1 etde p2.
À > 0 alors l'équation 2x2 + (l - m) x +2(m - J) = 0 adr net o Etablirle tableau de signes des quatre polynômes, puis
deux solutions réelles distinctes. de l'expression de l'énoncé que nous noterons E(x).
. Si rn e $ - at/2; g+ 4\/Zt,A = 0 alors l,équaüon . Conclure.
2* 0 - m)x + 2(m - 3) = 0 admet une solution.
+
. si rn e )s - +,/2; I + \/r\,a < 0 alors l,équation Déterminaüon des valeurs interdltes :
Z* + I - m)x + 2(m - 3) = 0 n'admet pas de solution ks racines de Qr sont -rl5 et r,/5.
réelle. Lesracinesde Q2 sont -2et3.
Les valeurs interdites sont do nc -2, - t/5, r/5 et 3.
EXERCICE I23
L= m2 -Bm+12, l'équation m2 -Bm+lZ = 0 admet dcux Détermination des racines de P1 et de p2 :
solutions distinctes ml = 2 et mz = 6.
.
Les racines de P1 sont -f "t 1.
3
Si m e l-oo; 2[ u]6; +æ[, Â > 0 alors l'équation Iæ discriminant de P2 est négatif, pz(x) est toujours
* + mx + (2t't - 3) = 0 admet deux solutions réelles « lis- du signe de a, donc srrictement positif. II est in-
tinctes. utile de le placer dans le tableau, son signe stricte-
. Sim e {2; 6}, A = 0alorsl'équatton*+mx+(2m-31
=g ment posiüf ne modifiant pas le signe du produit.
admet une solution. (t* +zx-r)(* +x+z)
. Si rn e l2; 6t, A < 0 alors l'équation * + mx+(2m-31 = ' @- xr)(xr - x-E-
_
>o'
0n admet pas de solution réelle.
Tableau de signes:

BXERCICE I24
x -2 -\/1 -1 +
+2x - + + +0 0
Il faut résoudre l'inéquation u2 +30u - l50d < 0 F_? 0+ +

. Si d = 10 l'équations'écrft * +30/- 1500 = 0,


[l-r-o) +0
E(x) ll+ll 0+0
A = 6900
l'équaüon admet deux solutions distinctes x À/53 +@
+2x - 0+ + +
ur = -15-5y'69 et u2 = -15 a 516 Signede (e-l +0
ÿl < O ce qui est impossible et u2 =26,53 à l0-2 près. Signe de - x- 0+
Il faut rouler à moins de 26 km/h pour s'arrêter en mo. ns Signe de E(x) 0 lt+tl
de 10 m. Ainsi§= l-z; -{11, [-,' *]ulr/5;a[.
. l'équation s'écrit I + 30y - 4500 = 0,
Si d = 30
A = 18900, l'équation admet deux solutions distinc:es ExERCICE I26
r8 Attendon : Ne connaissant pas le signe de chaque
ÿr = - 15 - l5l2l et uz = -L5 + l|li
vl membre de l'inéquation, on ne peut pas simpliûer par
< 0 ce qui est impossible et uz 53,74 à
= l0-2 près.
Il faut rouler à moins de 53 km/h pour s'arrêter en moins un « produit en croix ».

de 30 m. l. Pourxl-4,
S*+t. - Sl+t Zx(x+4) '' -'>0.
EXERCICE I25 x+4 )2-te x+4 - x+4
t:!l!J
=3* +2x-1, PzG)=* +x+2,
SoitPl(.t) Soit après simplification 2o
Qr(x) = 3-l et Qz@) = * - x -6. l,e polynôme P(i = * - B.r + I admet degx racines
distinctes xr = 4- t/15 et x2 = a+ l15.
6. 1, POLYN ÔMES DU SECOND DEGRE 40r

Le tableau de signes de e(x) = EXERCICE I28


+i y'ts; +æ[ l. Pourrl
(6x - 3)(x - 4) - (2x - l)(Sx- 3)
permet d'obtenirE = ]-4; 4- l]f)u [++ -1,
x2 +2x+l
>0
2. Pour x différent de -1 et de 2, (2x - l\ {-2x - 9)
(x+D2 >o.
x-2 2x-5 Le tableau de signes de - -
q1:4
12* - -l)
(
--z! - s)
r.+l x-2 (r+ l)'
-+-<2
<-
(x - 2)2 + (2x - 5) (x -t l) - 2(x + l)(x - 2) permet d'obtenir S - [-4,5; -1[ u]-1; 0,51.
(x+l)(x-2) <0. 2. PourxeR\{2; 3},
l:!{'x 4-2x-3* -(x+4)(2x+2) .
E--"
-
soit après simpliflcation
' (x+l)(x-2) 5- 9.
Le polynôme P(x) = ÿ - 5x + 3 admet deux racines -sxz -tzx-4 <0.
5-\/r3etxZ=s+y'ts
clrstmctesxt= .
x2 -5x+6
2 2
Le tableau de signes de a(r)' = ,{;.5,'*:,
Le polynôme P(x) -5f - l2x - 4 admet = deux ra-
(x+ l)(x-2) cines distincte s x1 = -l et x2 = -? .
permet d'obtenirs =
t-f l1f -st:!!:!
l-, ], lr, I
læ tableau de signes de qr;1=
pennet d'obtenir
EXERCICE I27 s= -oo;
] -r], [-;' zIu]a; *-[.
43 3*
z-x +x+L
l. Pour xeR\{-2;2t,,^ ..r> 1=
ExERcIcE I29
4(x + 2)+3(2- )c) -3xz \n
<- (x+2)(2- x) L. 3x2 + 5x + 2 = 3* + 3x + 2x + 2 = 3x(x + I) +2(x + l)
Soit après simplif,cations, -.'l ^!r!^*'! >' o. I =(3x+2)(.r+1)
21 7x+3 2-3x
(x+2)(2- x)
Le polynôme P (x) = -3* + x+14 admet detx racines I
(7r+3) (r+
3 l 3x+2' 3xz +5x+2
(2 l) - -3r)
distinctes xt = -2 et x2 =!. > o.
- (3r+2) (r+ l)
Tableau de signes de Q(x) = -.11=!r:*'?
(x+2)(2-x)
, soit après simplifications l:.' ,*=!1..
(3.r+2) (.r+! l) ,-
!, o.

Le polynôme P (x) = 7 x2 +l3x+ I admet deux racines


x
l-al +x+ r+l
-2
0+
2

+0 clrstrnctes rt =
/14r -13-
-ts+ \/1a1
lx+2)(2- r) 0r0 14 et xZ = -14 .

Tableau de signes de q61 = Ë:Ë!1.


Q(r) +ll+ll 0+
(3x+2) (.r+ l)

5=l-oo; -2lul-2;2tu
TZ+æ[.I x tl _Ez

[-; signe ae [zr2 + rsr-a] +0


Signe de (:l + sr +z) + +0 0

2. +0 il+ll
Porr- xdifférent de -12 et ae O,
SiSne de Q(r)

x 2x+3 xz -.(2x+3't2 a x2

2x+3 - x
' /6
x(2x+3) Signe de lr? +tlx-+l 0+
soit après simplincations
-1-:
j.Tü#i2 a n
-' Signe de z* +sx+zl
Signe de Q(x)
0

il
+
0+
+

l.e tableau de signes de Q'lx) =


j.lâ#;2 E_ -13 - /l4T U -l:'3--
2
I4
permet d'obtenir y'tat
-ts +
s=
I --; -r] r ] - r,s; -r] ,lo' *-[. U
t4
2. Z* - L3x +ZO = (2x - S) (x - 4).

-.+oo
402 CIIAPITREï. CORRIGÉS

5 -3x2 -7x+6 - Bx-3 Soit après simplifications ,


PourxeR\ 4
{ u I zxz -l3x+20 5-2x (x+2)(2x+l)'2O
=-]
-3xz -7 x+6+(8x-3)(x-4) -
-
Tableaudesignesde Q(x) = ,.;;$1;.;.
(x +2) (hc + l)
(x-4)(2x-5)
-
-,
soit après simplifications'jff# *, x
Si8ne de (r +2) (2, + l)

+0
-1
0+

Signe de Q(x) ll+ll


Le polynôme P(ù = 5# - 42x + 18 admet deux ra- Nous en déduisons l'ensemble des solutions
2t-3\/39 2t+3\/39
rt = l-2, -1 [.
5 el x2 = S
crnes Orstrnctet s=
) 2l
.

Le tableau de signes de q1l-= ?.!, - !?i.': 2. Pourtoutr€R\lll, u'*:' <- "-,'


(2x-s)(x-4) x--2x+l= r-l
permet d'obtenir: +Bx-4
-sv. <- -2x2 --a:ÿ-
<0
s= l_1 r_f
[,,-;/,0, ; [ " l-, "-@] S =I --; z- \/zlvlz+ '/z; +æl
EXERCICE I30
5x-2 4-3x EXERCICE I32
' x-2 x+2 * +5x+6 i -sx-to
(5x -2)(x +2) - (4 -
3x)(x -2) l. Pour.xeR\{-1; 4},
7(x +2)(x
4x-4 5)(*-4).r+ I
(x -2)(x +2) (x +2)(x +3) - <0.
! !^ , o. (x+ 1)(x-4) (x+l)(x-4)
soit après simplif,cations , l*'
(x -2)(x
=?* +2) (x+2)(-x2 + 10x-
gÿ - Soitencore' '' 17)
'<0.
Le potynôme P(x) = 2x + 4 rladmet pas de ra- (x+ l)(*-4)
cines réelles (^ < 0), il est donc toujours du signe de tiéquaüon -I + lC,x - t7 = 0 admet deux racines dis-
a, c'est-à-dire positif. tinctes x1 = 5 - 2t/2 et xz = 5 + 2t/2.
e* -zx+l En établissant le tableau de signe de I'expression
Le sisne deO(x) = est donc donnée trar
(x -2) (x +2) (x+21(-x2 + 10-r- 17)
le dénominateur. P(x) = #, nous obtenons l'en-
(x+ 1)(x-4)
semble des solutions:
a
- +
2
3= t-2; -r1uls-zl2; +fuls+zt/1; +æ1.
Signe de Q(r) ll ll +
xz - x-30
E= l-oo; -2lul2; +æ1. 2. PourxeR\ 1-2; al,-2{ .....-.--"....--(2<-
8+2x- xz
2. x2 -2x- t5 = (x-5)(_r+3) (P-x-3o
_ \ ( x2-x-3o \
f +2>olet | '
-2<01
PourxeR\{-3;5}, - '--' ,= < 1-t' \(r+2)(4-x) ) \(x+2)(4-x) )
x'-2x-15 5-.r Après simpliflcaüons, nous en déduisons que
(x-3) + (2-3x) (r+3) a
:--------------- +3x-14
(.r-5)(x+3) ^
x e R\ l_2; 4l doit vérifler -* > 0 et
-
@_r)( __)
soit après simplifications , (r-5)(r+3)
, i4;!1.=l s* -sx-+a
Le polynôme P (x) =
(.r+
-3x2 -6x+3 admet deuxraciires oLa la première inéquation donne
distinctes x1 =-I - t/Z et xz = -t + t/2. E1 =l-æ; -2[u]4; +æ[
Le tableau de signes de Q(r) =
-gP -ex+z perr let .
_ La résolution de la seconde inéquation donne
(r 3)
d'obtenir:
E=l-æ; -3tu[-l -t/2; -t+y'Z]uls; +-t.
5Xr +

s, = --, 4tu[ -9, .."[


I
. Il ne reste "Plut-zi
plus qu'à I'intersection
faire des deux en-

EXERCICE I3I sembles obtenus.


3-2x 12-4x
I .."[
l. PourxeR\ AinsiE=
(3 -2x)
-). -2 ' x+2 - 2x+l
(2x + l) (12 - 4x) Ot + 2)
)-*,'.P], [-g'
<- >o.
(x+2) (ht+l)
6.1. POLYNÔMES DU SECOND DEGRE 403

EXERCICE I33 2. D'après la question précédente, P(x) admet un mini-


PourxeR\{-1; 0; r,, -r ! * f- >, mum égal à -10 en x = -1.
*
-r 3. P(*) admet deux racines distinctes
,r--- -x4 +4x2 > 0. y'30
x(x+ I)(x- I) - -3 - -3 + r/so
Soit Q(r) = -xa + q* - I, en posant X = x2 nous résol-
'3-3 çth)
-

t -, - /=0. -a + t/so- I
vons l'équation -X2 4X - I = 0.
+ P(.r)(0€_x€l_ a ' 3
Cette équation admet detx s,olutions
-
-^-[ -. I
t--t2t--t2 4. -1 <P(.r)<l €+ (Sl+Ox-O>0et 3x2+6x-8<0)
Xt =2-a=(lu-{?.|" =2+J3=(la+rtz\" . h(r) = 3* + 6x - 6 admet detx racines distinctes
) "tx,'
.
\2 \2) ,r=-l-J5etx2--t+r/5.
Q(x) admet quatre racines distinctes *, = fr*, 3l +6r-6 > 0
, ,/6- t/2 Ja+ '/:1 t/a+ t/2
6++t
<- .r€ ]--; -t - r/5[ u]-t +./s; +""[
t2222 -_-
. Pz@) = 3P + 6x - 8 admet deux racines distinctes
Le tableau de signes permet rle conclure: y'33
s=]--, fiy ],1-'' -§Yl ,3=-3-3 et.r4=
3x2+6x-B<0
-s+ y'33
3 .

ulo,fi-fr],1,, 6*f l. ÿc
|l-' -s-/ea -s+/ss I

2 2
:

I | I )
. I1
133t
ne reste plus qu'à déterminer f intersection de
EXERCICE I34 -l solutions
ces deux ensembles de :

l. L,= a2 - 36. Le polynôme 4@) = xz - 36 admet deux t=l , | -3 - .,/33 -l I - -3 + \,/33


;-t-/s[u]-t+ÿ3; I

racines distinctes -6 et 6,
3 ['
Nous en déduisons que: ExERcrcE 136
. si a e l-oo; -6[ u ]6; +oc[, A > 0, le polynôme P(x) !.* -u.
admet deux racines distirLctes,
on considère la fonction '
Q(x I = xz+x+l .

. si a e {-6; 6}, A = 0, le polynôme P(x) admet une l. Le polynôme P(x) = x2 + x + 1 n'admet pas de solu-

racine unique, tions réelles (A = -3), Q est donc définie sur R.


. si a e l-6; 6[, A < 0, le prollmôme P(.r) n admet au- 2. Sachant que pour tout réel x, xz + x + | > 0,

cune racine réelle. -6<Q(x)<s


2. P(x) >-3 <- x2+ax+I2>0. æ -6* -6x-6 < 4x2 -s ( 5l +Sx+b
L= az -48=("-+@(a++t@. (to* +6.r+1>0et-x2 -5r-10<0).
-.
Si a e )-+,,/S; ++ t/Sl, A < 0 donc P(x) +3 nadmet que
Quel e soit x R, Pr(.r) = I}xz +6x+ 1 > 0 car
aucune racine réelle et rL.ste de signe constant soit À=-4eta=I0>0.
positif. . Quel que soit r e R, Pz(x) = -xz - 5x- l0 < 0 car
Â=-15eta=-1<0.
EXERCTCE 135 Ainsi pour tout réel x, -6 < Q(x) < S.

f. P(x) = 3(x + I)2 - f0, P est une fonction polynôme


ExERcIcE I37
du second degré, avec a > 0, nous en déduisons le
tableau de variations suivant:
l. Le polynôme Q@) = * +2x +2a un discriminant né-
gatif (^ = -4), iI ne s'annule donc jamais sur R. la
fonction Q est donc définie sur R.
x -æ -1 +æ
2. Sachant que pour tout réel x, xz + 2x + 2 > O,

-2(Q(x)(4
P
\. ,/ ê -2* - 4x.- 4 <2* -2( 4l +8x+B
-10 (zxz +zx+l2oeti +4x+5)o).
-
404 CIIAPITHE 6. CORRIGÉ,S

Dans les detx cas Ie discriminant est négatif et le r:o- Ansi pour tout réel x, 0 ( Q(.r) ( 6.
efÊcient du terme de degré 2 est positif, les deux in- 3. a(A=z+'/2.
équations sont donc toujours vérifiées. Q$)-2-t/2
- (t +'/4 x2 + (o + z,/2) x - (+ + zt/2)
s. o(=#)=r*/s (x2 -zx+z)
Le dénominateur étant strictement posiüf, le signe
a(")-a(j#)=*l-,/E de l'expression ne dépend que du signe du numéra-

(t - {ù * - z(r +,/i) x - + - z,/-s teur.


x2 +2x+2 Le discriminant du numérateur est nu] et Ie coeffr-
Le dénominateur étaril strictement positif, le silpe
cient du terme de degré 2 est négatif, le numérateur
de l'expression ne dépend que du signe du numéra-
est donc toujours négatifou nul.
teur. (
On en déduit alors que Q(x) 2 + r,fe le maximum
Le discriminant du numérateur est nul et le coeffi-
de Qest2+ A.
cient du terme de degré 2 est négatif, le numératr:ur
4.açA=z-\/2.
est donc toujours négatifou nul.
eG)-z+t/2
On en déduit alors que Q(x) ( I + t/B,le maximrrm - zt/4 x - - zt/4
_ - (r -,/4 x2 + (e (+
deQestl+r/5. (xz -2x+z)
4.Q ("f)t- '/8. Le dénominateur étant strictement positif, le signe
de l'expression ne dépend que du signe du numéra-
/-s+Js\ 2xz-2 teur.
a(r)-a[ 2 )=A+r,+r-r+ÿs Le discriminant du numérateur est nul et le coefÊ-
(r +,/i) x2 - z(t - tt:t x - 4+ 2\/E cient du terme de degé 2 est positif, Ie numérateur
xz +2x+2 est donc toujours positif ou nul.
Le dénominateur étant strictement positif, Ie signe
de l'expression ne dépend que du signe du numéra-
On en déduit alors que Q(x) ) 2 - t/2,1e minimum de

teur. Q estz- t/2.


Le discriminant du numérateur est nul et le coeffi-
cient du terme de degrê 2 est positif, le numératcur EXERCICE I39
est donc toujours positif ou nul. a-
3
>t t/5,le minimum dt Q [. a. P(x) = x--
On en déduit eue Q(x) - 2 4
est

I - ÿ5. b. D'après la question réponse précédente, P(x)
53
admet -- Pour minimum en
7.
EXERCICE I38
c. rrxr = (x-#)(.-ry) onendéduit
l. Le polynôm e q (x) = xz discriminant r ré-
- 2x + 2 a un
alors que la courbe €p coupe l'axe des abscisses
gatif (A = -4), iI ne s'annule donc jamais sur R. La
fonction Q est donc définie sur R. atxpoints d'abscisses x =t-*22 ", * ='*ÿ^ -

2. x2 + 2> 0 et d'après la réponse précédente


2. a- Enremarquantquelasommedes coefÊcientsde
Q(x) est nulle, on déduit que a = I est une racine
x2 -2x+2 >0doncquelquesoit.rréel, Q(x) )0.
dupolynôme Q(x).
Q(x) ( 6 æ x2 +2 {6xz -t2x+12
car i -2x+2>o.
b. Pourtoutréel x : Q(x) = (x- 1) (+x2 +ax-t).
* +z<6x2 -l2x+12 e 5P -l2x+10>o c. Q(x) admet trois racines distinctes x0 = 1

-2- -2+ \/5


ce qü est toujours vrai car le discriminant du pc ÿ
'2"2 '/EeI x) =
.1;r =

nôme 5.r2 - lLx + 10 est négatif (A = -56) et le coe ffi - d. Tableau de signes de Q(x).
cient du terme de degré2 est positif. - -.
6.1. POLYNÔMES DU §,ECOND DEGRÉ 405

x ,I I
(+l +er- tl +0
x2
0i +
3. x2=5x-4 ç- (*-I)(x-a)=0doncE= {r;a}
(x+ 1) 0+ [.lafÊrmation est fausse.
Q(*) 0+0 0+ 4. A = 16, l'équation -* +2x+3 = 0 admet deuxsolu-
tions réelles distinctes x1 = -l et xz = 3
3. P(r) = Q(*) <- x(4* +:tx-O) =0.
Cette dernière équation a trois solutions distinctes -* +2x +3 > 0 donc du sigae de -a entre les deux
x0=0,xI -3- /lo5 -3+ râos solutions. Linégalité étant stricte, les bornes sont ex-
=-T-etxZ- , ,
clues,E=l-l;3[.
Les courbes ep et eq se coupent ar:x points
LafÊrmation est vraie.
-3-y'ios r2s+lsy'los
,40 (0; 1), A1 et 5. ,ftr)=g(.r) *+x-3=O
32 -
> donc detx solutions
À= 13 0 l'équation admet
/ -e + 125 - 15v105 \
A2
Io ',/lo5 __l
32) réelles distinctes.
Laffrrmation est vraie.
EXERCICE I40
r.d 2.d 3.c 4.b 5.d EXERCICE I46
l. 0(x(10.
EXERCICE I4I
2. Deux côtés mesurent x dizaine de mètres.
l.a 2.c 3.c 4.a 5.c
Soit y la longueur du troisième côté.

BXERCICE I42 Nots 2x + Y = 20 donc Y = 2O - 2x.

l.b 2.c 3.a 4.c 5.b On en déduit alors que.4(x) = xy = -2* +20x.
3. A(x) = -2(* - -z[tx-slz -zs)
10x) =
EXERCICE I43 d'où "4(x) = -2(x - 5)z + 50.
l.b 2.c 3.b 4.c 5.c 4. D'après la forme canonique, la courbe de.4 est 83
5.
EXERCICE I44
r. /(r) = -2(x + L)2 + + = -2(xz +2x +1) + 4
x 0 5 l0
On en déduit alors que /(.r) = -2* - +x+2
50
LafÊrmation est donc fausse.
A
2. En utilisant la forme cano nique, on vérifle que l'afÊr-
0
,/\ 0
mation est waie.
3. D'après Ie tableau de variation précédent, la courbe 6. D'après la question précédente, .4 admet un maxi-

admet un sommet de coo.rdonnées (-l ; 4).


mum pour r = 5, ce maximum est égal à 50.
Lafflrmation est donc fausse. On en déduit que l'aire de baignade maximale est
4. Les deux questions prricédentes permettent de égale à 5000 m2.

conclure que l'afÊrmatiorL est waie.


5. .f ttl EXERCICE I47
= -4, l'affirmation est donc fausse.
1.0<x<25.
EXERCICE I45 2. læ côté du parc des poules mesure x mètres, il reste
l. a > 0,Ia courbe est donc décroissante puis crois- donc 100-4r mètres pourle parc des chèvres. Le côté
sante. Iafûrmation est fausse. du parc des chèwes mesure do.r" 199;1I =25- x.
4
2. Si a et c sont de signes contraires alors 4ac < 0 donc On en déduit l'aire totale des detx parcs :

L= t - 4ac > 0, l'équaüon admet donc deux solu- .A@) = ÿ + (25 - x)2 = 2* - sox + 625.
tions réelles distinctes. 3. A (x) = z (* - zs x) + 625 = 2l $- tz,s)z - 12, 52 I + 625
Lafflrmation est waie. d'où.4(x) = 2(x - r2,5)z + 312,5.
406 CHAPITREï. CORRIGES

4. 2x+2y-9 =21
x 0 t2,5 25 d'oùY=15-a
625 625 2. A=x(15-x) -tS=-* +15x-18.
"4 \./
312,5
3. A(x) = -(x2 -15,) -rB= -l (,- i)'-(i)'l -ra
153
5. D'après le tableau précédent, I'aire totale sera m Lni-
d'où,4(x) =-('-7)' +-4
4.
male pour x = 12,5. Laire totale sera alors égale à
3L2,5m2.
x l5
T
153
BXERCIcE I48 4

r. 0(r(3. "4

2. læs aires des triangles AEH et CFG sont égale s à


5. D'après le tableau précédent, l'aire est maximale
)xe- x) =f,ts*- *') pour x = 7,5 crrr. Laire est alors égale à 38,25 cm2.
Les aires des triangles BEF et DG.EI sont égale s à

f,xe- i =)t+*-,'). EXERCTCE 150


On en déduit alors que la somme des aires des quirtre
triangles est égale à7 x -2* . l. Rappel: (a-b)3 = a3 -3a2b+3at -É
3. .A(x) = 12 - (7 x - 2xz) = Z* -7 x + 12. F = t/i + z - s(VAef l,/s -i*
4. A(x) = z(*' -f,.). r, = rl(, i)' - #1. 3i/Gi(i/G-)' -,ru*,
" 4iÆ+ziÆ-(VA--VGi)*t
5.
d'oùA(x) =z
F-i)'.i =-3t+4
carV'/i +2V'/s - z = ÿ5 - a = y
AinsiÉ+3r-4=0.
x 0 3
2. 1 est une racine du polynôme P(r) = É +3r-4, on en
t2 t2
déduit alors que P(f) est factorisable par (, - 1).
A
En considérant les coefÊcients, on obtient
47
T F+3t-4=(r-t)(P+t++).
6. D'après le tableau précédent, .4 est minimale p rur 3. tiéquation P + t +4 = 0 n'admet aucune solution
réellecarÀ=-8.
4
Laire est alors alors égale à 5,875 cm2. On en déduit que P n admet qu'une racine réelle, elle
7. Résolution de l'équation 2 i - 7 x+s= O est égale à 1. Or d'après Ia première question r est
A = 9, l'équation admet detx solutions réelle, ,, = !
=
aussi une racine de P, on en déduit donc que , = l.
2
etxz-l
8. Déterminer position du point E pour laquelle est ExERcIcE 151
,.
égale à 7 cmz reüent à résoudre l'équation
"4
l. Iæs mobiles Ml et M2 se rencontrentlorsque x1 = x2.
2x2 -7x+ 12 = 7 ou encorc2* -7x+5 =0. Ceci reüent à résoudre l'équation P + 15, - 100 = 0.
On déduit de la question précédente que AE = 1 cm Cette équation admet deux solutions distinctes -20
ou ÂE = 2,5 cm. et 5. la solution négative est impossible car r ) 0.
Nous en déduisons alors que les deux mobiles ne se
EXEBCICE I49 rencontrent qu'une fois : à I'instant f = 5 au point
l. Posons AD = y, d'après les contraintes de l'exerci :e d'abscisse 25.
6.1. POLYNÔMES DU S],ECOND DEGRE 407

2. Les vitesses algébriques cles deux mobiles à l'instant n = 2, cette racine est égale à - 1.

de leur rencontre sont les dérivées en r = 5 des équa- P(.r) admet deux racines distinctes si et seulement si
tions horaires. n>2.
)cl(t) = -2t d'où .rl ts) = --to. l,es racines seront rationnelles si  est un carré parfait
1)
xlrttl = - | t +7 d'où xl(,r) = -s. soitnz -4= *.
n2 - 4= x2 æ (n- x)(n+ x) = 4 la décomposition de
4 en produit de detrx entiers relatifs permet d'obtenir six
ExERcIcE I52
systèmes de deux équations :
nu-
st: {ln
Les chevauxsont numérotés de 1 à n, Ia somme des
, a. n(n+l) x =1
meros est egate .
2
læ cheval numéro x, bless(!, ne prend pas le départ,
ln + x =4
Sz: {
In x -,
Ia somme des numéros des partants est alors égale à
n(n + l) ln + x _,
---:--------- - x =26O- etc.
2
Aucun système n'admet de solution telle que n> 2.
Si Ie cheval blessé est Ie nurnéro n.'2
alors '@-D =zoo
Le polynôme P(i = * + nx + | n'admet donc jamais
soit n2 - n-520 = 0. La résolution de l'équation permet
deux solutions rationnelles distinctes quelle que soit la
de conclure qu'il y a au maximum 23 partants.
valeur de l'entier naturel n.
Résolvons I'équation d'inconnue ,, '(n!') - x = 2Go
2
soit encore nz + n-2x-520 =0. EXERCIcE I55
À = Bx + 2081. n étant un entier, il faut que 8, + 208I soit Posons OH=xaveco.r.l.
2
un carré parfait. . Le triangle O.ÉIN est rectangle en Il, ON est un rayon
Soit /(x) = t/Bx+2Oü, on utilise la tableur de la calcu- de €1, la relation de Pythagore permet d'obtenir
latrice et on recherche pour cluels entiers x < 23, /(r) est g11
= 1/t- xz.
entier. Seul 16 répond au problème. . Le triangle,IHM est rectangle en H, JM est un rayon
I
Pour x = 16, on obüent L = ,172,I'équation admet deux de e2 et f H = :z -x, Ia relation de Pyhagore permet
solutions h = -23 et n2 = )tl. La première solution, né-
gative, ne conüent pas.
Il y avait 24 chevaux, soit 23 partants et le numéro 16 non
d'obtenir.FIM =
l-t
i-(i-, ô I
=\/;-r.
.MN=1æ Jl-rz-' ÿx-x'=i
partant. 2
I
l+ x-2x2 - (r- *2)(x- xz) =
ExERcIcE I53 - 3^
4

Soit n le nombre de bonbonsi.


(L-*2)(x-xz)= - + x-2f
4
n:l *
Le premier
26 =':5 .
enfantprend | +(1-*)(x-x2)= (1..-r*)'
-
Iæ detxième enfant prend 2 -, "
- -' = u'l*^uu.
T636 a J)yz -40x+9 =0
ks deux enfants ont le mêmr-. nombre de bonbons donc Cette équation admet deux solutions distinctes
n+5 5n +55 5- \/7 5+ \/1
.tlr
= €t.1.) =
636 ^8-8
Après simpliflcation et résolrution de l'équation, on ob- 11
.rr>-eto<.rr<-.
-2-2- -.
tient n = 25.
Le premier enfant prend 3f6 ,oi 5 bonbons. læs en- Nousendéduisonsque on =5-ÿ^
B
.

fants sont donc 5.


ExERcrcE 156
EXERCICE I54 P(x) = aÿ + bx + c fonction polynôme donc dérivable
L = nz - 4, P(x) - x2 + nrc +'-l admet une racine lorsque surR, P'(r) =2ax+b.
408 CHAPITRE 6. CORRIGES

xP' (rc) - zP(x) = O EXERCICE I58


æ 2ax2 +bx-2a* -2bx-2c =O t. x4 + 4 = xa + +Ê - 4xz = (* +Z)2 -
+4 +*
(b-Oetc-0).
- =(# -zx+2)(# +zx+z).
Ainsi P(x) = a* aueca constante réelle quelconque.
2. On remarque que 5 = la + 4 et 5 est un nombre pre-
mier.
EXERCICE I57
D'après la question précédente un nombre de la
l. Nous cherchons a, b, c et d entiers relatifs tels que forme + 4 se décompose en produit de deux en-

Ë +axz +4x+B- (x+b)(* +cx+d). tiers différents de I si N > l, il n est donc pas premier.

or (x+b)(xz +cx+d) = é +(b+d* +(d+bc):c+ 5 est donc le seul nombre premier de la forme Na + 4.
bd. 3. N n est pas un multiple de 5, il efste donc deux en-
En identifiant les coefÊcients des termes de mênres tiers naturels p et r avec I ( r ( 4 tels que N = 5p+r.
degrés, nous obtenons Ie système :
On a alors Na + 4 = (Sp@p +Zr +z) + rz + zr +
I u*, = a bd = I z)(sp@p +zr -z) + r2 -zr +z).
I ar*a = 4 c 4-d
-T- Tfavaillons par disjonction des cas :

loo I a
Sachant que a, b, c et d sont des entiers relatifs, nr,us
b+c . Si r = 1 alors r2 +2r +2=5 et r2 -2r +2 = l,
rÉ + a = (sp $p + zr + z1 +s) (sp (sp + zr -z) + r)
commençons par décomposer B en produit de dt ux
entiers relatifs, puis calculons les valeurs de c et a =s(pFp +2, +\+ r)(sp$p +zr -\ +r).
. Si r = 2 alors r2 +2r +2 = l0 et rz -2r + 2 = 2,
b I ) 4 B -l _) -4 _B M + 4 = (sp{sp +zr + z) + ro)(sp (s p +zr-\ +2)

d I 4 2 I -8 -4 -2 -1 = 5(p Fp + z, + \ + z)(sp $p + zr - \ + z).


c 4 I 3 3 I
.
0 2 E -12 -4 2 i Si r = 3 alors r2 +2r +2 =
17 et rz -2r +2 = 5,
I
a -3 ) 2
67
T -13 -6 -Tll !
rrÉ + a = (sp $p +zr+z) + rz) (sp (s p + zr - |
+ s)

Il y a donc quatre quadruplets solutions : (-3; l; -4; 8), = s(sp $p + z, + z) + n)(n @n + zr - \ + r).
(2; 2; 0; 4), (-13; -l; -12; -B) et (-6; -2; -4; -4). . Si r = 4 alors r2 +2r +2 = 26 et r2 -2r +2 = 10,
ÀÉ + 4 = (sp (sp + zr + z) + zo)(sp $p + zr - z) + rc)
2. En développant et en idenüfiant les coefficients r les
termes de mêmes degrés, nous obtenons le systèn Le :
= s(sp\p +zr +z) +za)(n@n +zr -\ +z).
b+c = a bd=p ce qui prouve que ÀÉ + 4 est un multiple de 5.

bc+d=l- c 4-d
-T-
bd=p a = b+c ExERcIcE I59
p étant un nombre premier nous en dédui-
l. Ao(.r) = 1 soit 1= Âo(x)
sons que (b=letd-p) ou (b=-1 s1fl=-p) o§
A1(x) = x- I soit x = r{r(x) + 1
(b= p etd = 1) ou (A= -p et d = -l)
A2Q) = x2 - 3x + zsoit I = Az@) + 3x - 2
. Si b = p ou b = - p c n'est pas un entier relatif.
A3(x) = f -a* +lx-6 soit.r3 = Aa(x)+6x2-l1x+6
. Si b = | et d = p alors c = 4- p et a = 5- p, cette At@) = xa -toË +35x2 +5ox-24
soluüon convient.
soit.r4 = A+(x)+lox3 -3ÿcz -5ox+24.
. Si b= -l et d= -p alors c = -4- p et a= -5- p,
Tout polynôme de degré inférieur ou égal à 4 s'écrit
cette solution convient.
P(x) = axa + bx3 + c* + dx+ e avec a, b, c, d et e
Il y a donc deux quadruplets solutions :
constantes réelles.
(s- p; r; 4- pi p) et (-s - p; -r; -4- p; -p). Nous allons remplacer x4, simplifier, puis x3 etc.
P@) = a(Aq(x) + lof - 3sl + 50x - 2+) + b#
6.1. POLYNÔMES DU S]ECOND DEGRE 409

+c* + dx+ e d'autre part ," ! = ,tS.


P@) = an4*'' + (r1a+ b) f + @ - 35a) * On en déduit alors p = 1/51q - 11.
+(SOa+ài")x+(e-24a)
ExERcIcE I62
P(x) = a41*'1*00a+b) ,lz{.x)+(Z\a+6b+ c) AzG)+ l. Soient a et -a deux solutions de l'équation (E)
(l\a + 7 b + 3c + d) h@) t- (a + b + c + d + e) Ao. x4 -3x3 -12* +48x-64=0.
Ceci démontre que tout polynôme P de degré infé- Nous avons donc a4 -3a3 -12a2 +4Ba-64 = 0 et
rieur ou égal à4 admet une erçression, et une seule, a4 +3a3 -lzaz -4Ba-64=o
de la forme ces deux équations implique qlue a3 - l6a = 0.
P = aoAo + ayAl + a2A2 a- a3A3 + a.444. cette équation a trois solutions distinctes xr = -4,
2. En utilisant ce qui précède avec a = I et xZ=4etx3=0.
b=c= d = e = Q,nous obtenonS : .r3 = 0 ne convient pas et.r1 = -x2.
xa = At@) + IOAa (x) + 25 Az@) + l5Ar (r) + Âo (x). Nous en déduisons alors a = 4.
2. D'après la question précédente :

EXERCICEI60 PQ) = aa -3.É - 12* + 48x-64


L,=25-4a>0 <- o.'i. - (x-4)Q+D(* -sr+4).
4
si a <2] les derrx solutions de l'équation sont 3. x4 -3x3 -12* +4Bx-64=0
4 æ (x- 4= 0 our+4 = 0 oux2 -Sx+4 = 0)
xl= 5-ÿ25-4a 5+1/25-4o
2 EttC2=- - Le discriminant de l'équation * -3x+4 = 0 étant
5-45-4a (9
.r<== négatif, l'équation n admet aucune solution réelle,
=+ -tS<\Æ5-4a<3
l'équation (.8) n admet que deux solutions réelles : -4
'0(25-4a(9 et4.

=+a(a(3 ExERcIcE 163


s+ÿos-4a
.r(î(e--s<\Æs-aa<13 l. 04 + ax 03 + b xO2 + a x 0 + | = 1, 0 n'est donc pas
solution de l'équation (1).
'0(25-4a(169 z. xa + aê + bx2 + ax+r *(*, . i. tF- :) *b)
=

*2((** +)' -r,."(..i) *b)


l ne reste prus qu,à;;:5;l;'"",", des deux
=

intervalles obtenus sachant «le olus or" o.!. = *'(u' + au+ b -z)'
4
I 2s1 I
Ainsiae en posant u= x+ -.
[n,iI 3. D'aprèscequiprécède
EXERCICE 16I xa + x3 -4*+x+1 =0 e u2 + u-G=O
sin (a + b) sin acos D + sin bcos a
l. taî(a + bl. = ,
2 et -3 sont solutions de l'équation u2 + u - 6 = 0.
cos(a+b) cosacosb-sinasinD
.r*1=2 æ *-2x+l-0 e (x-l)z=o,
sina+ sinlr x
tana+tanb l'équation admet une solution double x9 = 1.
- _ sinaËË.ii
cosa-
1 sin[ l-tanatartb
' cosa cosb
. ,* f - -3 <- x2 +3x+l =o,
x
l'équation admet deux soluüons distinctes
2. On suppose que tana et tanD sont les racines de
-3- \/5€t.li -3 + /5
l'équationl +px+q-0. -l]t
'2'2
= =
On a alors p = -tana-tanb et q =tanataîb. Léquationxa +é -q* +;+l =0admetdonctrois
D'après la question pré,cédente , ,*r! = + - -.
"--*""'- "*'3 t- q ' solutions:.ro = l, xr ="+ "t*z=-J!É.
410 CTIAPITREq. CORRIGÉS

EXERCICE I64
x,= 3 1
l. af +bxz + cx+ d =0 2 ("æ)
êa, (,- *)' . u('' *)' .,(, - {)* a = o
qz + 4p3
27 b
aF .(,-*)'.(#-#.0) =,
+
:(-,. 27 3a

tléquation af + b* + cx + d = 0 peut se ramener à ctzÉbcd


une équation de la forme f + pt + q = 0 avec
avec P =
â- îa et q = 2:t a3 - iA * ;
cÿ2Ébcd 7. a.f+3.r+2=0
p=;'3a2etq= 27 a2 + 4a3
næ- soz*à. p=3, q =2et ---:----------:- =8
2. (u+ u)3 = u3 +3u2 u +3uu2 + u3
=3uu(u+ u1 + (u3 + u3). x=
, (-z- le) * , (-z* /ù
Soit encore (u + u)3 - 3uu (u + ,) - (u3 + u3) - O. =-Vt+t/z+ -1+
En posant t = u+ u, nous obtenons b. f +Z* -2x+4 - 0 <- (x+ 1)3 -5(x+ 1) +B = 0.
É - 3uu x - (u3 + u3) = 0 qui est éqüvalent à
On pose t = x I l,l'équation s'écrit É - 5r + B = 0
f +pt+q=gsi u3+u3 --q On a (u+ u)3 = u3 +3u2u +3uu2 + u3 soit encore
uu _p
--3 (u+ u)J -3uu(u+ u) - (u3 + u3) -0
u3+u3 -q
p t rf+u3 -q
Enposant t=u+uonadonc I =
u3^+u3 --B
3.
uu -3t -1 u1u3 = _f lSuu=§
Soit en posant X u3etY =,, v3 +u3 = -gu3
Soit encore
X+Y -q 27u3u3 = 125
p'
XY -6- On pose X = tf et Y = u3, X etf sontalors solutions
X et Y sont donc solutions de I'équation de l'équationZz + 2162 + 125 = 0.
27
c
(El II2 + aII P" la résoluüon de cette équation donne
'27- - o. tM rM
, 4p3 2zq2 +4p3 X=-4+' I <0etY=-4 0.
'2727 'tM
. Si A < 0, I'équation (E) nadmet aucune solution
Onobüentr=- 4_-_
\M 4+' I
réelle. I
. Si A = 0, l'équation (,E) admet une solution dourle
etr=f-1=-
' ,/g2l
4_-_
'4+'Jgzl
-a
Y-V-____!_ 9 I -l
2
. Si A > 0, l'équaüon (E) admet deux soluüons cis-
EXEBCICE I65
tinctes :

X
27qz +4p3
etY= - -q+
I 27 q2 + ql. l. Si c est une racine non nulle de P, alors
-q-
2 27 2 27
1 (i) = \ n o= 0 ce qui démontre que I t"'"
5. . Si27qz + 4p3 <o, u et u niexistent pas dans R. " "'t
racine de P.
/r\ 2 3 5 3
.si27q2 +4p3 - o, u= u= îl=.
u2 2. a-Pl-)=.^-.3-?-i*2

. + 4p3 > o, ll='


27q2 +4p3
et )tr-t*-r*
= -sË +hc4)= )eet .
Si27 42
;(, 27 P est unpolynôme réciproque de degré 4.

b.x2=(r*!l'=*+- ''* *,' 1

27qz +4p3 t x/
u
;( -q + 27 c. Pour tout réel x non nul,

6. D'après les questions précédentes zxa -t# -sx2 -3x+2= *(z*-3x-5- i.3)
b
x=u+u--3a = *(z(* .,. ;)-s(,+ i)-q
6,1. POLYNÔMES DU S;,ECOND DEGRÉ 411

doncP(x) =0 <- 2Xz-3X-g=O. e. Q(x) = x4 + x3 - 4x2 + x+ I, 1 est une racine évi-


d. Le polynôme Q(X) = zNz -3x -g admet deux ra- dente, I étant son propre inverse, elle est donc racine
cines distinctes X1 - 3 et Xz = -1. double de Q
l^ ainsi Q(x) = (x - r)2 (l
sr + t). +
e. ..r+ - =3 <- x! -3.r+ I = 0 cette équation ad-
x Les solutions de l'équation x2 +3x + 1 = 0 sont
it- JEet x\ z+ Ji -3-,/s -3 + /5
met deuxsolutions x| =,; = -------:-. et
22
. xt 1l3= - Les racines de P sont donc -1, I (racine double),
x2 -
<== 2x' +3.tc+2,4 < 0, l'équation n ad-
met aucune solution réelle.
4-\/Eet -.-3+\/E
22
Le polynôme P admet deux racines réelles distinctes
3 - \/5 3+ \/.j ExERcIcE I66 -.
xt=-
-212 etI: =-_.
#)= *((,.+)' -,)
/l\ I 27 lt 27
. x4 + X2 +t = x.(x, * r *
3' a"Pt-J=
F* lor. - rz- r*+t =xz(x+1*,'l[r*f-,'l
= I [t *'f * -'1112 *! S * *+)
xat l0 10
t x /rr x )
I
I =(x2+x+r)(x2-x+r)
=)f, p(x). o v4 - v2 + | = x.(x' - r * *t(r. *)' -q
P est un polynôme réciproque de degré 4. ol) =
b. P(2) = 0, donc x1 = 2 esit une racine de P. = xz(x+*. *)(". * - *)
c. P étant un polynôme réciproque, ,z = I ,.r" -- (x' * t/-tx + t) (x2 - t/5x + r)
z "rt
racine de P. Nous en déduisons alors
t\(,?*4,*r'1.
d. P(x) '
- {x-z)lx- ,), s t f * + r) (xa - * + r).
tx) = (xa +
= (* + x+ r)(xz - x+ t) (l + '/zx+t)(xz - tfix+t).
e. Le polynôme Q(x) = iz *2j5 * *I admet deux ra-
I EXERCICE I67
cines distinctes -r3 = -5 et x4 = - 5.
sonI donc.rl
l [. Supposons que o est racine des pollmômes A et B,
i, xl = -S
f. Les racines de P = 2, xz =
1
on a alors Cz (q) = Az (a) + 82 (a) = 0 donc C(a) = g,
€t .f4 = --.5 c'est-à-dire a racine de C.
/I\ a
4. a"Pl-)=
b c c b Supposons que a est racine des polynômes A et C,
*r*F*F- *r+-+a on a alors 82(a) = CZ(a)- A2(a) = 0 donc B(ü) =0,
I
=1(a+bx+ctz +cx3 +bxa +cxs) c'est-à-dire a racine de B.
-r5 '
_ I p(x).
. On démontre de manière analogue que si a est racine
xc de B et C alors a est aussi racine de A.
P est un polynôme réciproque.
b. P(-l) = -a+ b - c + c -- b+ a =0, -1 est donc une 2. Supposons que o est racine de B(x) - C(r)
racine de P.
et de B(x) + C(x), on obtient alors le système
c. P(x) = (x + I) (axa + (b.- a)x3 + (a- b + c)xz {la@)+c(a) = o Inol = Q

+(b-a)x+a). Ir(ol-c(o) = Q -{ Icfal = Q

c est donc racine de B(.r) et de C(.r).


Q@) = axa + (b - a)x3 + (,a - b + c)xz + (b - a)x + a
Q(r) est un polynôme réciproque.
EXERCICE I68
d. La recherche des racines d'un polynôme réci-
proque P de degré 5 se ramène à la recherche des l. Soit Q une fonction polynôme déflnie sur R par
racines d'un polynôme réciproque Q de degré 4 vé- Q(x) = 1+x+* +"'+xn-r.
rifiantP(x) = (r+ 1)Q(x). a- (x- r)Q(x) = xn - l,onen déduit po:ur x + |
Q(x) -
-l-
xn
x- I
4t2 CIIAPITREî. CORRIGÉS

b. Q(x) est dérivable sur R, Tn+z(x) = 2bn+rxn+2 + f za,xi *r - anxn


Q'(x) = l+2x+3* +...+(n-l)xn-z j=o
n-l
D'autre part, pour tout.r I 1,
(n-l)xn - nxn-l +l L otx''
- j=0
Q'(x) = (x - l)z læ polynôme fn+2 est donc de degré n + 2.
On en déduit alors pour tout x I 1, n-l
(n-l)xn -nxn-l t I 4. On suppose que Tz(X) - 2n-tyn + | aiXi et
l+2x+3* +... + (n-l) xn-z = i=0
(x -l)z n
Tn+{x) = 2n xn+r + | a 1
xl .on a alors
2. a.P(X=k)=(l-p)kp. j=o
b.P(X= 1) = pet P(X=n+l)=(l-p)n.
c. P (X = 1) +P(X = 2) +. -. + P (X = n+ I)
Tn+z(X) =2X 2n1gn+l ç io,*t\
j=o I
( n-r .\
= p + (l - p)p +... + (I p1n-r p + (L -
- iln -l2n-t 1sn + | aixi
= p(t + (l - p) +... + (1- p)u -I) + (t - p)n t ,-=o'l I

t-(r-p)n
= nlL +(r- P)n Tn+z(x) =zn+r xn+z + f
j=o
zurxi*t -2n-t xn
=l-(l-p)n +(l-p)n =l n-l
d. E(X) = p +2(r - p)p +... + n(l - p)'-r p - L o'x''
i=0
+(n+t)(t-p)n læ coefficient dominant de T4a2 est2n+\ .

= p (t + z{t - p) +... + n(t - p)n-r) 5. Conjecture: le polynôme I72 est de même parité que
+(n+l)(l-p)n n.
n(l - p)n+r - (n+ l)(1 - p)u + I 6. On suppose que Ia est une fonction paire et Tza 1 êst
=p( (r - P -112
une fonction impaire, c'est-à-dire Tn?X) = Tn(X') et
+(n+ l)(l - p)n
Tn+t?X) = -Tn+t(h.
on a arors rn+z?x) ==ri*ii[!;i;""
= Tn+z(X),
EXERCICE I69 la fonction Ia12 est une fonction paire.
7. On suppose que Ip est une fonction impaire et 1211
r. Tz(x) =zxT{x)- r0(r) =2X2 -t, est une fonction paire, c'est-à-dire Iz (-X) = -Tn(X)
T3(x) = 2XTz(X) - \(x) = 4x3 -3X, et Tr.'1(-[) = Tn+t(X).
Ta,(X) =BX4 -yxz +L, on a arors rn+z,-x) ==

G(x) = 16x5 -20x3 +5x. _ii\":urri.',r?;"


2. Conjecture : Tn(X) est de degré n et son coeffrcir:nt = -Tn+z(X)'
dominant est égalàZn-r . ' la fonction Tn+z est une fonction impaire.
3. On suppose que les pol1.nômes Tn et Tn]-l sont de
degrés respectifs n et n + 1, on a donc EXERCICE I70
n-l
Tn(x) = anxn + L orx' avec an lo et PardeA
j=0

Tn+{x) = bn*rX'+7 * i a xj avec bnal I o


l. P(a) = A et P(P) = B définissent detx points du
1
j=o plan. On peut donc déterminer l'équaüon rédüte de

on a alors Tn+z(X) = zx(An*rxn-' .,i*O i *i) la droite (AB) qui correspond à une fonction poly-
nôme P(r) = ax+ b.
P(a) A aa +b=/
-(,,x".8",*') P(p) B aB +b=B
6.2. S[ltrES NUMÉRrQ'UES 413

(^_A-B
d4 - Partie C
-la
-1" ='# l. D'après (5) un+t = sttn - Pttn-t, la suite (un) est dé-
2. u Qn@) = Pn+t (a) - qPn(ü) = dn+l - an+t - o finie par récurrence.
Q"(P) = P"*t - a7n = (fi - P". 2. D'après (3), pour n )I
")
b. D'après les questions précédentes : ,
ttn+l -lo\'*l
IPl
o=o-(§-1)B"
a-p = pn et:o=(F-o)E"o _üpn
a-p
_ tn---ll--P
un t \n
,_tËl
On en déduit alors Qz (x) - Fn *- a?n = pin 1x- a) al ü n
c.Pourtoutn> l, pl < I doncn-+æ
lim
B
= 0 on en déduit
en@) = F" 6 - a) = B x pn-r (x- a) = FQn-t(x) lim xn=§.
.T++OO
Pnal - sPn + PPn-t = Pn:+t - dPn - pPn + apPn-1 3. D'après (4) et (4'),
= (I,n+t- qPù-F(Pn- qPn_i xn+t- § x-=xn- d un+z- §un+l Unal- üUn

= Qn - FQn-t = 0'
rcn+t - d *" -, x

="ï:
p
;:::"ir.::.:J"*,r,
Partie B !!- 9- 1ürnsît une suite géométrique de raison 9.
xn-d P'
4. Soit l'équation -6x- I = 0 dont les solutions sont
xz
l, ttn = P'n61 = a donc d'ap,rès la question I
§n -an a =3 - lto <o et B - 3 + r/to > o.
'" p-a
un =
a- ( un ) correspondante pour u n + | = 6 un + u n - | avec
2. Pourn)O, uO=Oetut=1.
-- _antl apn _dn+l
pn+L
ün+1-Aün=
" ^ Ainsi u2 = 6, u3 = 37, u4 = 22$et uS = 1405.
P-a- B-a b.Pourl(n(4,
P"!P-d) p, 37 228et Xa=
- p-u - Xl=6, XZ = -=, .r3 =
1405
--:-:=.
6"37228 -
- pn+l _ ün+l pn+l _ an B c.\-P=3-y'lo<oet
ün+l- PUn= ---;-- p-a
B-a 19
xz-F--;-y'10=0,0044>0
b
-=o"(F-o)
B-a
=on on en déduit donc que rl < F < xz.
un+t - sttn t Pun-t = ttnal- dttn - p(un - aun-)
= §, - §n =0.
3. un+l-sun*pun-1=Q
Un+l-üün=§Ur-pUn-1.
6.2 Suites numériques
- ptn - Fun - pun_t I7I
- EXERCICE
de même ünyl - su2 + pun-1 -O
[. On remplace successivement n par 0, I, 2, 3 et 4 dans
un+l-§un=&ün-pun-1
- l'expression de aa :
üfl =aun-pun-l
-p ttO = l, ut - -1, uZ - -1, 4 = | et u4 = 5.
c'est-à-dire d et sont racines de toute équation de
2. On remplace successivement n pil l, 2, 3, 4 et 5 dans
la forme xu = unx- pun-y.
l'expression de u72 :
4. ün+m-unam-u7npn l12
pn+m - an+m - (F" - o") o* - (p* - q.*) p" ut = -2, uZ = - u3 = 0, u4 = et uS =
r, tr U.
B-a 3. u3 = O, u4=9, us=3lt}, y"=3t/tÿ=St/2
=o et u7 = 3128, = 6\/1 .
d'oit unaa = ttn&m + umqn.
4. uç=r, ur=? uz= -1, ur=r1netu4= J.
5. Un+m = l-lndm + UmFn
5. u2=5,4= us=
= un(uma- pum-r) + u^(unp- pun-1) i,u4=3, 4 "tW= U.
d' oit una a = s- ttn um - pt. (unul-t + usun-1) 6. ul=g,h= '/3hrt
2,u2= 2,43=0etu4=- 2.
4t4 CIIAPITRE 6. CORRIGES

EXERCTcE 172 EXERCICE I76


l. u4 = l, u1 = 1/2- l, u2 = r/i - r/2 et ug = 2- J3. I
l. _
1l =0,8l8l8lBlBlBl...,
onendéduit:
2. S = ul + uL + u2 +... + uzLts ttt = tt3 = US = 8 et u2 = a4 = l.
='/7 - t/ o +'/2 - t/î + lr -'/2 +... +,/ztta -'/nE 2. 7o = I d'otr ua = l,7l = 7 d'otr z1 =7,72 = 49 d'oùr
- t/2t16=46. u2=9'
En procédant de manière analogue, on obtient
ExERcIcE I73
U3=3, u4=letuS=7.
l. u.O=1,u1=ua+l=2,u2= U1 *1=3, u3-u2+1..4
ÊtU4=1,3+l=5.
EXERCICE I77
2. uy=2,u2=2xy1 =4,t-t3=2xu2=8,u4=lx U3 = 16
et u5=lx u4 =32. n 0 I 2 3 4

3. ro = O, ur = 2rW + 3 =r3, u2 =], W = 2l'et u4 = 45. I 3n+5 5 I 11 t4 t7


4. uo = I, q = uz= rr3 = et u4= reste dMsion par 7 5 1 4 0 3
r, i, 5 C.
5. uo = l, u1 = yQ, uz = JE, 4 = y'6 et uE = 17. Ainsi us = 5, z1 =r 1, ug = a, u1= 0 et
14
=
fi
6.
3 llq t2 lll 867êt lI< 1563852 2. ur =1. ut = -+- = -. tta= - +-+- =
u1 =9, ll, = -.
' 2' " = -,t7' ' = 722 " = | 2 2'" | 2 3 -.6',
-
t794251 r251137
ll,A = lla* = - et Uq = lh* - =
-412560
EXERCICE I74 - -.
t. r,4,7,10, L3, t6, ts, 22, 25, 28 EXERCICE I78
Llnl1 = ün *,3.
2. 1,2,4, B, 16, 32,64, L28,256,5t2.
l. ttl = l, u1 =1, UZ = 4, u3= B et z4 = 16
Unal = 2un.
2. Il semble euLa un = ln .
3. 27 ,24,2r, tB, 15, t2, 9, 6, 3, O
3. us = 3L 125 . La conjecture est donc fausse.
un+l=un-3'
4. 1, -3, 9, -27,8t, -243,729, -2187, 6561, -19683 EXERCICE I79
B- 12+ 16
Ll'n+l = -3Ll'n
l. u2=ut+I -3+B
6 =2,u3=2+ 6 =4,
+24
EXERCICE I75 u4=4+27 -276 =Betzs=16.
1. I, l, 2,3, 5,8, 13, 2r, 34, 55, 89 2. Conjecture i iln=)n-1.
en effet l+l =2,1+2 =3,2 +3 = 5, 3 +5 = 8, 3. ro = 3I I 25. La cor\ecture est donc fausse.

5+B = 13, ...


2. t, 11, 21, rztr, ttt221, 3L22LL, t3tL22:,\ EXERCICE I80
Itr32t32t t, 3tL3t2ttt3t22r,
1321 131 I l23l 13tt22tl

Il s'agit de la suite de Conway: I s'écrit avec un I s)it 0 0,r 0.2 0,3 0.4 0.5 0:6 0.7 0.8 0.9
1.
I soit 21
11, 11 s'écrit avec deux
21 s'écrit avec un 2 et un I soit 1211 ...
u3
3. 1,2,2x3 - 6,6x7 = 42,42 x43 = 1806 ul
alors 1806 xlB07 =A263442 jl 0
4x3 15 6x5 I05 15x14 2.
4. 4.6=
222 = -
alors
-.
105 x 104 -. EXBRCICE I8I
= 5460 -
2
nfi
l. lln
-
cos (
1
6.2. SUTTESNUMÉRTQUES 4t5

.ul ExERcrcE [83


+
l. et 2.
t
1
!: 4
l
t!13 +
ita

L2
2. un= \/i u4
10.
u3 I
,I
i
2 8 I I
a3
t uz I
I
i
I
6 ll
I ul I !
+ I I !

"L
I
i'
t.
I
t.
I
I I I
t. .t r
t23456 2
I I I
I I I

2 24 t2
EXERCIcE I82 a

l. Soit la suite (r,x ), où ,n est le nombre de points d'un


réseau triangulaire à n étages.
a- t4=lQ, fS = 15 et t6=2i1.
3. En supposaît uû = 20
b.tn+t- tn+n+1.
c. On suppose qu'il existe trois réels a, b et c
tels que tn = an2 + bnt + c, alors a, b et c vé-
I
I
a+b+c -l

rifient le système : \ 4a+2b+c =J-


I sa+zb+c =6
l- a-Lt c=l-a-b
I =,'*o = ,+ b= 2-3a I
I
I
I

I aa+zo 5 2a=l I
i
I
ll
ll
on en déduitalorr, = l. b= 1 et c=0. I

2'2 I
I
,t
I
Ainsi r."22
=Lr' *Lr. I I
ll
I
n(n-+ l) I I
d. tn = 1+2+g + ... + n =
222= !n, * ! n. I I
2019 x2020 I I
e.tzotg= =2039190,unréseautriangu-
2
laire à 2019 étages contient donc 2039 190 points. '10

2. Soit la suite (cn ), otr c2 esrt le nombre de points d'un


réseaucarréànétages.
a. c4 = 16, cS = 25 et cO = i]6.
b.cn+L=cn+2n+1.
C. Cn = n2.
d. czorg = 20192 = 4076361, un réseau carré à 2019
étages contient donc 40711361 points.
416 CIIAPITREî. CORRIGÉS

EXERCICE I84
I f'G) = - I . o, la fonction / est décroissante sur
Soit la suite (un ) définie par rro = I et un+! =3+ l0; +æ[, nous en déduisons que la suite (uù de
-Un
l. terme général un = f (n) est décroissante.
2
2. f (x) =5-: estunefonctiondérivablesurl0; +æ[
I
t
i l'(*) = 3 , o, la fonction / est croissante sur
i
I l0; +æ[, nous en déduisons que la suite (uù de
!
I terme général u, = f (n) est croissante.
!
! 3. f (r) = x2 -2x estune fonction dérivable sur l0 ; +æ[
!
!
I
l' @) = 2x - 2 2 0 pour x ) l, la fonction.,;Ê est crois-
sante pour.r > 1, nous en déduisons que la suite (un)
de terme général un = f @) est croissante à partir du
rang n = l.
2 3 1 a. 1@) ='+ est une fonction dérivable sur l0 ; +ool

2. Conjectures : la suite (22) rlest pas monotone, f,U) ='# ( o pour x)- t,tafonction / est

1 ( u, ( 4 et un tend vers 3,3 lorsque n tend vers décroissante sur [ ; +æ[, nous en déduisons que la
l'infini (abscisse du point d'intersection de la courbe suite (un) de terme général un = f(n) est décrois-
et de Ia droite). sante à partir du rang n = 1.

EXERCICE I85 ExERcIcE I87

Soit la suite (u n) déflnie paruo = ! .t un+t = 3't u2n t. un+t - un = t- (à)' (à -,) =,- 3 (à)',n
l. la suite (uz) est donc croissante.
I
2. un+l - un = ---- > 0,
la suite (un) est donc croissante.

3. un*t-un=2n+r -(z+1) -2n +n=2n(2- L)-l


I
I =2n -l)O,
I la suite (up) est donc croissante.
I
6
I
4. un+l-un=-3<0'
'I
la suite (ur2) est donc décroissante.

? I
EXERCICE I88
I
l. Pourtoutn>0,un=n x (2)n 10.
'2:4 6 I 10 12 14 16'
ün+t (n+I)x2n+l n+L
Un nx2n
=2- n > I,
la suite (ur2) est donc croissante.
2. La suite (uz) semble croissante, minorée par 0,5 et
2. Pourtout n>O, un= lx - x -
1t x
I
x-*o.
semble tendre vers l'infini.
11 23I
n
x - x - x...
I"'2"x
EXERCICE I86
ttn+r 3 n+1 =- 1 <1,
3
un
" I I -1
l x - x - x... x - n+l
l. f (x) =2 + -x est une fonction dérivable sur l0 ; +o>[ 23n
Ia suite (un) est donc décroissante.
6.2. SUITES NUMÉHIQ'LES 4r7

3n,ffr I l+n-n l+n n


3. Pourtout n>0, un = 2.
i; *0. n(n+l)
1t
n+l n(n+L') n(n+l)
ün+l 3n+L r5nyÇll s En
Un 3nr5n+tu/n SV n - n n+l
Æ,-+ls 3. D'après la questionprécédente
n>7carÿ <-lorsquer>1. 111
u-=l--+---+ 1111
+-__+_--
" 223 n-l n n n+I
" ln
En effet f f*l = est dérivable sur l0; +æ[ et
14 n+l n+l
4. Pourtout n > 0, 0< n< n+ld'où0< u2 < I
r'@) = *rl=r< 0, la fonction / est décrois-

EXERCIcE 192
sante sur R+* et /(l) = \/Z> 2, f el = rf! .1
4. un - 2019 x (0,99)n I 0
l. Pour n ) l, u1 = 12 et unal = t/Tl un
un*l 2. et3.
= o,gg < 1, la suite (un ) est donc décroissante.
Un

EXERCICE I89
I
L. un+r-un=
rn*ry>O,
la suite (U7) est donc croi.ssante.

2. un=2g2gxI,O2n #O,Yt+r = 1,02 > l,


Lln
la suite (un) est donc croj.ssante.
3. f(x) f -x2 +5x-3,lafonction/estdérivablesur
=
R et/'(r) = 3xz -2x+5, kr discriminant étant négatif,
f'6) > 0. La fonction f est croissante sur R, la suite
(u2) de terme génêral u2 = /(n) est donc croissante.

a. f (x) = fonction f est dérivable sur l0 ; +ool


*,la
et l'@) = < 0. lâ l[onction / est décroissante
# 0:2 0:4 0.6 0:8 l:0 r:2 1.4 1.6 !:8 2.O 22
sur I 0 ; +oo[, la suite ( u4) de terme général un = f (n)
est donc décroissante. 4. La suite (uz) semble croissante et tendre vers 2.

EXERCTcE 190 ExERcICE I93


1
l. Pourtout n>O,O< - < 1, d'où I ( zn (2 l. etz.
n
2. -1 < sinn( 1d'où 1( u,n (3
I
3. Pourtout n>0, 0< + < l, d'où2 ( uz ( 3
nz tt
1
4. uO = -1, u1 = -; et pour
3n-S I
4 - tout n l, ;------1.
> >0 tt
3n+5 ll
-. tt
I
d'autre part3n-5 < 3lr+5 don. ]j3n+5 . t tt
lt
tt
tt
tt
d'où0( un (I tt
lt
tt
t!
EXERCTCE l9l tt
l. ttr- =!.ur= 112
_1_-_ uO
tt
tt u2
2'' 2'6 3' ur
0:5 1.0 1.5 2,.o 2,:5
I 113 t4
6t24 etUt=tt?+---
u1 =-+
"2 205
4lB CIIAPITHEï. CORPr:GÉ,S

3, La suite (un) semble croissante et tendre vers 2, 3 . ExERcIcE I96


4. Dire que la suite (u2) converge vers / c'est dire que 2
l. pn = pn-1+ r*Pnl = l,O2pn-tavec pg =$.
lorsque n tend vers l'infini, un €t unal sont «tr'ès 2. an an-1 +0,4 avec 40 10.
= -
proches, de /. On a alors / = y'7.' 3. 5oil rar passr ge
3. En utilisant un tableur, nous obtenons prco = 57 ,957
au carré et regroupement des termes : (2 - I -3 = O.
et algg = §$.
5. Les solutions de l'équations 12 - I -3 = 0 sont a. def malthus0 :
g,=1:8
'2-2 "t(r=l*Æ. P=B
2,7 étant / est aussi positif.
positif, On en déduit aI rrs a=lO
-
que(=t+r/ts z = 1800
2 . whrle a>= p i

EXERCICE I94 P = l'02P


a= a+0,4
l. uO=1, ut-1, UZ=2, u3=3, tt4=5, u5=$, n= n+l
rto = 13, uz = 21, uA = 34, rto = 55, rrr0 = 89 et print(n)
un = 144. Selon ce modèle, l'agriculture anglaise ne permet
2. u1=1, u2=2, ul=
35813
r, uq= 5, us = E, u6 = B , plus de nourrirla population anglaise en 1887.
u7=
2T us= 34 rt= 55 rto= 89et,'1l LM .
B, i, Sn, 55
= 89
3. La suite (uz) semble tendre vers 1,7. EXEnCICE I97
4. delfrboj: L. unay = l,o,un -o,oolunun
u0=ï u n+t = 0,97 u n + O,0OOzun u n.
ul=l 2. En l'absence de proies, un = 0 et un+t = 0,97un 7l
ll=l s'agit d'une suite décroissante. A long terme, la po-
n=I pulation des prédateurs va disparaître.
phi=(r+,/Aùn 3. En l'absence de prédateurs, un = 0 êt u4a1 = I,Oîun
v'rtrile {abs(phi - u) >= le - l0) : il s'agit d'une suite croissante. La population des
a= ul proies va augmenter indéfiniment.
ul = uI+ uO 4. Le nombre de proies et de prédateurs reste constant,
u0= a onadonc un+l-ün =0et un+l -ün=O
u=ullu0 o'05 o'03
d'otr u." - =5oetu-=
" 0,0002 = l5o.
n= n+l 0,001
5. def population(z, u, u) :
print(n)
for I in range(n) :

a=u
5. En utilisant le programme précédent, nous obten( ns
b=u
n=25 u= 1.05* a-0.0O1*a*b
u =O.97,x b+O.OO02* a* b
ExERcrcE 195
print("u = ",4," tt = ", tt)
l. C2 = 82 + 2 * A2^2 + 3 * A2 + 5 6. fromnumpyimport*
B3=2* B2+2,, A2^2- A2 from maçlotlib.plplot import*
2. On remarque que ÿ1 = 7 x 2, u2 = J x22, 4 = 7 x23 def points(n,u,u):
on conjecture quê un =f x)n for i inrange(z) :

On en déduit alors que a=u


un= trn-2n2 -3n-5=7 x2n -2n2 -3n-5. b=u
6.2. SUITES NUMÉRlQrUrS 419

z = 1.05 x a-0.001+a* b cq=1126, cs = 1004, c6 = BB5, cz =773,


u =O.97 * b+O.O0O2* a* b cg = 671, cg = 579,btO = 497
plot(i + 1, u) 2. Si lévolution reste la même, eî 2040, une des deux
plot(i + 1, u) espèces aura disparu.
show0 3. a. Les suites (bn) et (cn ) tendent vers 0.
b. Dans le modèle le nombre de campagnols tend
EXERCICE I98 vers 0 ce qui ne correspond pas atu( mesures effec-

l. tuées. Le modèle n est pas cohérent.


ün+t =2un(l- un)
a.u.O = 0,2, ut = O,32, u2 = 0,4352
ExERcrcE 200
u3 = 0,4916, u+ = O,4998, us x 0,5. nl
l. Sin =1,' _
b.ro=0,S, ur=0,5, '.', u5=0,5. l)! = 2_lq.LafÊrmationestFAUSSE.
(z+
c. t/O = 0,9, ut = 0, 18, uZ =O,2952, u3 = 0,4161, un+r f
2. Lorsque n> l, * <
ua =O,4859, Lts È 0,4996. ll,n = n 1nz 1. Laffirmation est
FAUSSE.
2. de f verhulst(u, alpha) :
pour n=2, u2= 3 (2, /3\0
3. et0( uz .
for i in range(100) : U [aJ
Supposons la propriété vraie au rang z > 2 montrons
y= (l+ alpha) * (l- u) * u
qu'alors elle est vraie au rang z + 1
print(u)
I 3\n-2
3. a. u166 = 0,333333333333,3332 o(rn(zx[1J
b. z1s6 - 0,49999999999€199994
G. utss = 0'6428571428730687 - o( (;. #),,. (;. *) ",,(1)*'
d. ilroo = 0,826940706591 4386
lt r \
orn>2doncl_+_l<_ 3
- tn n+l)-4
ê. llls6 = 0,8126558897598105 11
et _+-
f. ulss - 0,333333333333:33337 n n+l )un = un*'
8' utoo = 0,5 d'où0(un+r(r,(;)'-'
h. uroo = 0,64285714284216734
la propriété est vraie au rang 2 et est héréditaire,
i. uroo - 0,500884210307j2181
doncwaie pourtout n>2.
i. ,rloo = 0,5404748801 19'789
Lafûrmation est VtlAIE.
k uroo - 0,333333333333i3332
4. D'après la question précédente, pour tout n > 2,
l. zlss - 0,5 t 3\n-2
m. uroo = O,6428571428352872 Oçu4(Zr[;J
n. ulss = 0,826940706591 4386 ' 3 ilors le terme
sachantqueO(;(t, [1)' t"rra ao.r.
o. u100 - O,827805168235'L442 \nl
vers 0 lorsque n tend vers f infini.
4. Si a =0,5, quellequesoil lavaleurde uo, rroo = l.
La suite (uz) tend vers 0 lorsque n tend vers l'infini.
Si a = l, quelle que soit liLvaleur de ua, ulgg = O,Ë.
Lalîrmation est VBAIE.
Si a = 1, B, quelle que soit la valeur de ut, utoo = 0,M.

EXERCTcE 201
l. def terme(n):
EXERCICE I99
u=100
l. bs = 1000, b1 = 1050, LD=rcaO, Lts=992, for k in range(n) :

b+ = 922, bs = B4O, bo = i'54, l\ = 668, u=0.75* u


bs = 587, = 512,brc =,143
Ltg print(u)
c0 = 1500, cl = 1450, c2==1360, cs=L248, 2. Il sufÊt de mettre print(r) dans la boucle for.
420 CIIAPITREq. COHRIGÉS

ExERcIcE 202 EXERCICE 205

l. ss= 1000, s1 =1,02x 1000 = 1020, l. Vn e N, uz+l - un =2(n+l) +3-2n-3 = 2,


sz=1,O2x1020=1040,4. Ia suite (un ) est une suite arithmétique de raison 2.
2. sn+t=1,02sn.
3 I 43
2. ut - th = - -2= --. ya- y2'3= -- - = --.
1

2 2'" 2 6
3. def mathQ : uz- ut I rr3 - u2, la suite (u2) n est pas arithmétique.
u = 1000 3. Quel que soit n € l\, un+l - un = -2,1a suite (un ) est
n=0 une suite arithmétique de raison -2.
while u < 2000: 4. un+r - u,
= (n + l)2 + (n + l) +3 - n2 - n - 3 = 2n + 2
u=1.02*u dépend de n, la suite (rn) n'est donc pas arithmé-
n= n+l üque.
print(n) 5. Quel que soit n € [\, un+l - un = -2O16,1a suite (u4)
4. Math pourra retirer de l'argent sur son livret dans 36 est une suite arithmétique de raison r = -2016.
ans. 6. un - un-1 = n- 1 dépend de n, la suite ( uz) n est donc
pas arithmétique.
EXERCICE 203
EXERCICE 206
l. ?S l+lx2=3,T4=l+lx2x3-7
=
l. =2, uy = | et u2 - 2, ut - uî = -l et u2 - Ut = |
ttû
G = I+lx2x3x7 =43.
uz- ut # ul - uo, la suite (u2) n est pas arithmétique.
2. def terme(n) :
2. Quel que soit n € l\, un+l - un = 2,la suite (un ) est
r = [l]
une suite arithmétique de raison 2.
i=l
while i < n:
3. Soit (uz) Ia suite des nombres pairs, on a un - 2n,
donc quel que soit n e l\, tlz+l = un t2,la suite (un)
a=l
est une suite arithmétique de raison 2.
for j in range (i) :
a= a* tljl
4. Soit (un ) la suite des nombres premiers. Les trois pre-
miers termes de la suite sont u1 = l, uz = 3 et u3 = 5.
t.append(a + l) #ajoute l'élément a.r- I
uz- ut i u3- u2,lasuite (u2) n est pas arithmétique.
à Ia fln de la liste ,
5. un+r - un = 2n - 1 dépend de n, la suite (un ) n est
i=i+l
donc pas arithmétique.
print(r)
6. Quel que soit n € [\1, un+l - un = 2,la suite (un) est
une suite arithmétique de raison 2.
ExERCIcE 204

1. tZOtg = 1 - rr009 = tSO4= t252= t126= [63 EXERCICE 207


,Oe = 1 - tZt = tS = | - t7 = ü3 = 1- f1 =Q l. ,n=2, ut=3,5, uz=5, ut=6,5, u+=8
TZOZO = ttOtO = fS05 = l- t252 = 1. 2. uO= 0, u1 =Q,3, u2=0,6, uJ=0,9, u4=1,2
2. def PTM(n) :
3. uO = 3,uy - l, uZ = -I, ul = -3, u4= -5
,= [0] 4. ttï = -1234, u1 = -1229, uz = -1224,
for i in range(l, z) :
u3 = -1219, u4 = -1214
if iÿo2 == I : #si i est impair
t.append(1 - tlil l2l) ExERcrcE 208

else : l. un - lto+ nr =3+2n.


t.append(rlil /21) 2. un = u2 + (n-z)r = 5 -3(n-2) = lL -3n.
print(flnl) 3. tt, = ur + (n - l)r = \/2@ - l).
4. ltn=uo+nr=n.
6.2. SUITES NUMÉRIQIUES 421

ExERcIcE 2O9 EXERCICE 2I5


l. ug = uO + Br = -38 et u4,= tt4 +23r = -113. La suite (un) est une suite arithmétique de raison r et de
2. uzOtg - u2+2ol7r = 6046,. premier terme u6, donc de forme explicite un = uo + nr .

3. uzozo= ttû+2o2or =I+2020\/2- dn = 2un - 15 = 2nr +zuo - 15, (aù est une suite arith-
métique de raison 2r et de premier terme ao = zuo - 15
EXERCICE 2IO bn = u\n - uû + 3nr , (bn) est une suite arithmétique de
l. u2g = urc+lqr l8r 1,5-6 soit r
= -0,25 raison 3r et de premier terme bg = uo
- ==

cn = 4+t - u2n = (ltra1 + un) (una1 - un)


ut} = uû+ 10r uû =,tt}- 10r soit uO =8,5.
- = (2u4 + (2n +1) r) r = (zuar + r2) + 2nr2,
2. utz - tt6+6r 6r ulz- l.16 soit r l0
- tt\ =u6-6r soit UO = (cn) est une süte arithmétique de raison 2rz et de pre-
u6 = uO+6r -- - -51
- 9r=ut}-uOsoitr=222 mier terme cs = (zuor + r2)
3. u16= uj+9r
-
üa=11t-9r=-1979.
4. uzltg - u3+2016r 2016r = uz}rg-ugsoit r = -1
- EXERCICE 2I6
ua = 4, -3r = 2O22.
la suite (un) est une suite arithmétique de raison r et de
EXERCICE 2I I premier terme ug, donc ,.tn+l - un = r.
. r > 0 alors quel que soit N, - un > la suite
l. r=3etuo=2 Si n€ u72a1 O,

(un) est strictement croissante.


2. r=letuo=l
. Si r < 0 alors quel que soit n€ N, u2at - un < 0, la suite
3. r=-1etuû=2024
(un) est strictement décroissante.
4. r=-0,6etut=14
. Si r =0alorsquelquesoit n€f\, un+l -uz = 0, lasuite
EXERCICE 2I2 (urx ) est constante.

l. La suite (un) est une suite ariümétique de raison


r = -3 et de premier terme uo = l,
ExERcrcE 217
on adonc un = tly + nr = | -3n.
la suite (uù vêrifreV n e N, u2a 1 - un = r alors
2. ttr=ul+nr=9+2n Un-lln-L=f
3. Lt, = u1 + (n - L)r = -7 +,lfn - rl ün-l-Un-2=f
.J
4. un - u2 + (n -2)r = y'! + y'î@ -2) ='/3(n - l)
En ajoutant les n lignes,

EXERCTCE 213 UZ-Ul=f


L. un-uî+nr=3-5
n ut-uO=r
nous obtenons un - uû - nr
2. un - uû + nr = -n\,/15 soit Un = uû + nr.
3. un = W + @-g)r= S+ -gl =Ur"* n
Tr:n
4. un - us + (n - 5)r = -315 + @ - 5)15 = @ - B)t/s ExERcrcE 218
La suite (up) est une suite arithmétique de raison r
EXERCICE 2I4 d'après l'exercice précédent :
Si la suite (un) est arithmétique, de premier terme ,ro, ttn = LtO + nr et up - u4 + pr,
alorS u;2a1 = Lln* r soit encOre ltn = LLn+l - t. par différence, nous obtenons ün = up + (n- p)r.
D'autre part pour n > 0, un = 11n-r q 7
En ajoutant les deux égalités, nous obtenons EXERCICE 2I9
un+l!^un-l
2un= unal* u7-1 soit un- .
2 l. Rr - 125+3,75 = L28,75, Rz = 128,75+3,75 = 132,5
et Â3 - 132,5 + 3,75 = 136,25.
422 CIIAPITRE 6. CORRIGÉS

2. Rn+t = Rn +3,75. la suite (R2) est une süte arithr né- cents) de chaque sommet partent donc (n - 3) dia-
tique de raison r = 3, 75 et de premier terme Ào = 125. gonales.
3. Rn = Rs + nr = 125 +3,75n. Les diagonales sont comptées deux fois (pour
4. tjannée2030 correspondà z = 6, R6 = 147,5. n(n;3)
chaque sommer), il y a donc ,n = . uuffir-
5. Àn > 163 3,75n>38 n>9 soiten2Of S. mation estVRAIE.
- - 3,75

ExERCTcE 220 EXERCICE 224


l. u2 =5+0,5 = 5,5 et u3 = 5,5+0,5 = 6. l. tn+t = tn-3o,la suite (rn) est une suite arithmétique
2. Un+t = un+O,5. de raison -30 et de premier terme ,0 = 500.
3. La suite (urx ) est une suite arithmétique de prenier 2. tn= tO+nr =5O0-30n.
terme ll1 = 5 et de raison r = 0,5. 3. S = 500+470+440+410+380+350+320+290+260+
4. un- ur+(n- I)r =4,5+0,5n. 23O+2OO = 3850. Tom disposera de 3850 €.
5. La dernière semaine du mois d'août correspon I à
n = 35, u3s = 22. Math dewa courir 22 km lors de ses EXERCICE 225

trois entraînements.
4un-l-u4-2 3(un-l)
l. unal-l=
un+2 un+2
- I un+z u4-l+3
EXERCICE 22I un+t-1 3(un-l) 3(un-l)
385= I x5 x7x lI - (-7) r(-l) x 5x 1l 111
=-+-=-+Un
3 un-l 3
Ainsi les quatre termes sont: -7, -1, 5, 1l
I
la suite (vz) est une suite arithmétique de raison ..
3
EXERCIcE 222 3. D'aprèslaquesüonprécédente,
1 1 3+4n
l. V4 e l\1, Lrn+l = un+Z - ün+1. = Un=Un+.nr=-+-n=-
22 43 t2
- ,(un+t- ttn) = --ttn. Un=-
I I I5+4n
(uù nest pas arithmétique. LafÊrmation est
" un-l - '" un
Lln =-+1=-.
3+4n
15 rd
FAUSSE. 4. un - #, on en déduit que (u7) tend vers I
i+4
lorsque n tend vers l'infini.
2. VneN, un+r - tt)n = ttn+z *|un*, - un*t -1u,
t2t2 *
uu, - iun*t -
= =o EXERCICE 226
iun*, irn
la suite (un) est constante. IlafÊrmation est VRA E. l. C1=4969a0,05 x4000 =4200
3. Vn eN, un - t)n = ttn+r *?u* - ttn-.y t ttn = Cz= 42O0+2O0 = 4400.
Z'rr.
LafÊrmation est VIIAIE. 2. Cn+t = Cn +20O.Ia suite (Cz) est une suite arithmé-
4. D'après les questions précédentes tique de raison r = 200 et de premier terme Cg.
u, =
31 t + 2 \ :n
2
l'infini r
i - rn)=
tend vers lorsque 3. Cn=400O+2O0n.
[,
tend vers l'infini. LafÊrmation est VRAIE. 4. Cts - 4000 + 15 x2OO = 7000. S'il laisse son argent
placé pendant 15 ans, Math disposera de 7000 €.
ExERCICE 223

l. u5 = 5 et u6 = 9. I-lafÊrmation est FAUSSE.


ExBn,ctcB22T

2. ua I u5 + 5 - 1. Laffrrmation est FAUSSE. l. C1= 10000+0,03 x 10000 = 10300


3. Dans une suite arithmétique la raison ne dépend ras Cz=10300+300=10600.
de n. LafÊrmation est FAUSSE. 2. Cn+t = Cz + 300. La suite (Cn) est une suite arithmé-
4. Chaque sommet est relié à n- sommets, derx I iai-
1 tique de raison r = 300 et de premier terme C0.
sons sont des arêtes du polygone (sommets arlja- 3. Cn=100000+300n.
6.2. SUTTESNUMERIQUES 423

4. Cro - 13000, s'il laisse son argent placé pendant 10 3. a.51=p(0)+p(1)=18.


ans, Math disposera de 13i000 €. Au bout de deux mois, la tirelire contiendra : lB €.
b. Sn - p(0) + p(r) +... + p(n)
EXERCICE 228 = (2+ l) x8 +2(l +2+... + n)
n(n+ l)
l. = B(r-r+ 1) +2---:---------: = (n+ l)(n+B).
C1 = 5000+0,06 x 5000 = 5300 L
4. 58 =9 x 16= 144 etSg = l[ x17 =17O.
C2 = 5300+300 = 5600.
Pierre devra bien attendre 9 mois après son dépôt
2. Cn+t = Crx + 300. La suite (Cn) est une suite arithmé-
tique de raison r = 300 et de premier terme Cg.
initial.
3. Cn-5000+300r?.
EXERCICE 232
4. C5 = 6500, s'il laisse son ar8ent placé pendant 5 ans,
111
l. Ltt=-,lt
Math disposera de 6500 €i. - 2' - = -etUq=-,
3 '4
q- uo * u2 - ul, la suite (u2) n'est pas arithmétique.
EXERCICE 229 2. a- ug = l, Ut =2, u2 =l êt U3 = Q
9- lB+3an 3(un-3) l+un I I, la suite (un est une
-b. un+t- un = --------:
t. un+l -u= -----I-
6-un 6-un
un - -u2 = )
suite arithmétique de raison I.
6-un | 6-un-3 I
'" 3(un-3) un-3 3(un-3) 3 c.un-L+n.
I
la suite (un ) est une suite arithmétique de ,oiro, - I 3. un=
3
n+t
-.
et de premier t"r-" ,o = - 1. EXERCICE 233
6
2. t,-=----n
I 1 l+2n
A B
'"636
I
ltn=-+3=-
6n-3 I année banque B
" un |+zn 1. 2 2007 5 000
3.
l6 tendvers 0,
-un= -:----:_
I
l+zn 3 2008 5 250,00
4 2009 5 500,00
un = Un +3 admet donc pour limite 3 lorsque n tend
vers f infini. 2. Bn+t = Bn + 250. La suite (Bz) est arithmétique de
raison 250.

EXERCICE 230 3. .B3= B2+250 ou83=^B2+0,05*B$2


9s00 - 5000
l. l0ru16 = 1lrzg +1 = 11 x 19+1 =210d'oùt wrc=21. 4. t = --------:===- = 0,9 soit 907o d'augmentation sur
5000
2. Conjecture : (rzp) est une suite arithmétique de rai- 18 ans.

son 2. 5. BiB= 10000+500x I8 = 19000.Alamajoritédeleur


Vériflcation : soit u,, = 2n + l, ,o = 1 et fils, le capital sera de 19000 €.
nun - (n + l)un-t - n(zn + I) - (n + l)(2n - l)
=2n2+-n-2n2-n*l=1 ExERcIcE 234
d'oit un = 111n.
l. dn+l. = dn+9,8,1a süte (dn) est arithmétique de rai-
wzoos=l+2009x2=4019.
son et de premier terme dt = 4,9.
D'oùdn = 4,9+9,8(n- 1).
ExERcrcE 231
2. drc = 93, 1 soit 93, lm parcourus pendant la dixième
f. p(1) = 8+2 = I0 et p(2) = lO+2 = 12. seconde.
2. p(n + l) = p(n) + 2, la suite p est arithmétique de rai- 3. Programme:
sonr=2. del totalchute(n) :

On en déduit alorc i p(n) .= p(0) + nr = 2n+8. d. = 4,9


424 CTIAPITREï. CORRIGÉS

somme =4,9 ExEnCICE 240


for i in range(l, z) :
l. an-250O+nb.
d= d+9,8 2. Soit N la producüon du l0 au 20 awil.
somme = somme+ d
N= 11 x 2500+ (10+ l1 + 12 +..' +20) x b =27500 +
print(somme)
165b
Le corps aura parcouru 490 mètres en l0 seconde i. 39050 - 27 500
3. b= -?o.
165
ExERCICE 235
EXERGICE 24I
l. Soit d7 le diamètre du disque n, d'après I'énoncé
l. (an+l)z = a2n2 +zan+l= a(anz +2n)+1.
ds= dt+7r é 12,4= 4+7r d'otr r = 1,2.
2. - (uù
Soit la suite de terme général un = afi. *I où a
2. fi=4, dz=5,2, ds=6,4, d+=7,6, ds=8,8,
est un entier quelconque fixé.
da = 10, ù = ll,Z et ds = 12,4.
Si N = an2 +2n alorc
uu = a(an2 + 2n) + | = (an + l)2,ce qui est vrai pour
EXERCICE 236
t tout n € l\1, la suite (un ) contient donc une infinité de
l. Cn+t = C, + x 20000. [a suite (Cz) est une st ite carrés.
tô0
arithméüque de raison .- x 20000. 3. un-3n+4 =3(n+l)+l donc ur-1 =3n+I onsera-
100
t mène à la question précédente. lâ suite ( un) contient
2. C.=2OO00+nx
" x20000.
-I00 100 donc aussi une infinité de carrés.
3. t=(Crt-20000),
' l2x2OOOO =2,1. 4. Siil existe p € Nl tel que w p = È alors les termes de la
suite sont de la forme lê + an.
EXERCICE 237 On remarque que si n = a+Zk
t
l. Cn+r = Cn + x 15 000. [a suite (Cn ) est une st ite alors É + a@ +2k) = (k + a)2.
îô0
1 Ainsi, la suite (un) contient une infinité de carrés.
arithmétique de raison 15ggg.
100 "
t
2. C.'"= 15000+ nx x 15000. EXBRCICE 242
r00
- 100 65 - 20
3. f=(Cc-15000)x-=4.
' 5 x 15000 l. Soit N le nombre total de tours, N = = aso.
0, I
2. Soit r2 Ierayondu nème touretcn sacfuconférence.
EXERCICE 238
le rayon augmente de l'épaisseur du tour précédent
l. a,n=2500+35n. soit r7a1 = rn * 0,1.
2. Soit N le nombre de boîtes produites du 15 au 30 cn+t = zfi r n+t = 2n rn + O,2n = cn + 0,2fi .
avril, la suite (cn) est une suite arithmétique de raison
N= 2500+35 x (15+ 16+... +30) = 52600.
16 x r = O,2n et de premier tetme q = 401t.
3. 526OO x 2,1= I10460. Le montant de la facture esl de 3. Soit I la longueur total du film,
110460 € TTC. 450 450
L =
n=l
f {+Oz+0, Zr(n- t))
L cn= n=l
EXERCTcE 239 450

l.
= 40it x 450+O,2fi f
n=l
rn-tt
ln=20O0+75n.
449 x 450
2. Soit N le nombre de sacs stockés du 5 au 23 11é- =4Onx45O+O,2jt, Z =382O5n.
cembre, Soit 120 mètres.
N= l9 x 2000+75 x (5+6+... +23) = 57950. 4. a. V = 652 n( - 202 n( = 3825n1.
3. 57950 x 0,5 = 28975. l,e montant de la facture est de b. En considérant le film comme un parallélépipède
28975 € TTC. rectangle, nous obtenons:0,I x Lxl =3825n1 soit
6.2. SUTTESNUMÉRTQUES 425

3825n
,- 3l2sùx.Iiécart entre les deux résultats - I É l\, il n'y a donc que trois valeurs d e n tel que un
0, I =
s'explique par l'approximation faite dans la première soit un entier relatif: 0; I et 2.

partie, en effet, les tours ne sont pas tout-à-fait des


ExBRCICE 245
cercles.
l. uO = I, u1 =t x2 = 6, uZ - $ x I = 12

u3 = 24, uq = 48, u5 = 96.


ExBRcICE 243
2. uo=-l,uy= -1x /§= -l5,uz- -1/irt/1=-l
t. On a;{2 (on; o2n) et Bn(bn; t). uz = -3t/5, u4 = -9, us = '913.
La droite (AnBùa un coefficient directeur égal à - I 3. ut=6, ul =6x (-0,8) = -4,8,
3

don'(n-
o'n I uz =-4,8 x (-0, B) = 3, 84
on- an
=- - soit après simplification
uz= -3,072, u4=2.4576, us = -1.96608.
I
bn+an=--. 4. ttO=0,VneN,un=Q.
Ainsi b, = -1 - An.
EXERCTcE 246
2. En procédant de manièrr: analogue, nous obtenons
L. W=Z,ur=l,uz=0,5,
an11=!-6n
Un= lly|n =2x\,5n.
3. D'après les questions précédentes, on*, = an et 2. u1= -1, u2 = -t/5, ut - -5,
Z+
(aà et(bn) sont detx
un=urrn-r=-(ÿ5)'-'.
bn+t = -5r+Ar,les suites
3. u2 = 4996, 4 = 2048, uq = 1024
55
suites arithmétiques de raisons respectives - un = u24n-2 = 4096 x 0,5n-z .
6 "t 6
4. uZOtg =0,Vn € lN, u, = Q.

ExERCICE 244
EXERCTcE 247
l. a- Supposons qu'il existe n e l\l tel que ün = -2, alors Ul 4uz 5
6 l.'
ttn+L = 4 = -2. La suite (uz) est constante, on a tto 3'ut 4
ul
alors quel que soit tt € l\l, rrn = ua or ua = l. + 9,ir.slite (un) n est pas géométrique.
u.O ul
On en déduit que pourtout n eN, un * -2.
.n. | 2.'
U1 c tt2 l1
unrt
2unay + 4t,n +5
tto
=u'' r'
=
u2a1*2 un+2 ul ^=ÿ
_2un+4+zun+l =2*un u,o
* 2,:k.srnte
ul
(ap) n'est pas géométrique.
un+2
3.-U) lus 7
La suite (un) est une suil.e arithmétique de premier
ul 2' us 15'
terme t,lo = I et de raison r = 2. u2
I 9, la suite (un) n'est pas géométrique.
c.un-l+2n ul u3
2un+l ë l-2un 4. n4 = 0, ut = 3l 0, la suite ( un) n est pas géométrique.
" = -------=
Un
u1I2 "
Un = ---------=, On en OeOUlt alors
un-2'
4n+l ExBRCICE 248
" 1-2n
4n-2+3 3 L. Quelquesoitn elN, unSg,!!!L -7.
2. un-
1J, =-2+ l__2n,lasuite(uz) tendvers
Un
La suite (un) est une suite géométrique de raison
-2 lorsque n tend vers l'infini.
4 =7'
3. un est un entier relatif si et seulement ,i -1- ert
2. Quelquesoit n e l\, un *0, !!! = :fu 1? .
un entier relatif, c'est-à-dtire si I - Z, ,l ài#r"r'r, ttn (n+ l)z
"rt @l dépend de n, la suite n est donc pas géomé-
de 3.
Un
-3; 3; - l; l. la résolution des
Les diüseurs de 3 sont trique.
quatre équations donne quatre valeurs de n : 2, -1, I 3. un+t = Aun,lasuite (un ) est une suite géométrique
et 0. deraison q=12.
426 CIIAPITRE 6. CORNGES

4. un+t n2^+3'*l ExERCICE 253


Quel que soit n e [\1, u, *0, = .

tt-!r lll n' +n +3


--r:r-: dépend de n, la suite n'est donc pas géorré- l. un=!x)n.
u77
trique.
2. un-5x(-3)n-2.
5. Quelque soit neN, un*0, !ËL=2016. 3. un - ('/4"-' .

Un I
4. un=3, =3t-z
La suite (un) est une suite géométrique de raison
q =2016.
ExERcIcE 254
6. tt, = 2un-1 + 2,la suite n estpas de la forme
un = qun-t,la suite n est donc pas géométrique. l. VneN,nnioetu!+t =q
ün
. Un x Un-7
allsl
u2
, Ul
Un-l ün-Z UL
rrqx...xqxq
EXERCICE 249
(n facteurs)
- - ^=
l. uO=2, ut=4, uZ-16 d'où après simplifications termes à termes , U = nn
U1 Ut uo
-ttû* -=,la
uI
suite (un) n est pas géométrique. Soit un = uoqn.
2. u.n = / l)n,la suite (un) est une süte géométricue 2 Pour tousentiers n et p, un = uoqn ü up -- uoQp
deraison Q=-1. onadonc ? = qn-, d'otr ua =up4n-P.
up
3. un+ I = 0, ïun, la suite ( ur1) est une suite géométric ue
deraison q=O,8. EXERCICE 255
4. un - ,(i)" ,la suite (u,?) est une suite géométric ue l. un+t = 2un, le premier terme est ao = 2 300, le der-
nier terme est ulGcorrespondant au nombre de tran-
,2 9.
deraisona=
5. sistors contenus dans un microprocesseur en 2003.
UO=1, Uy=$, UZ=32
Ut Ue I^a suite (un ) est une suite géométrique finie de rai-
uûI
--:- --=,la suite (Ln) n est pas géométrique.
ul soîÇ =1.
6. uO=4, ut=0,25, uZ-4
L + 9,la suite (un) n est pas géométrique.
2. un-2300x2n.
uo ul 3. u16 = 150732800, selon ce modèle, en 2003, un mi-
croprocesseur contient 150 732 800 transistors.
EXERCICE 250

l. u3 = tto43 = -16, u7 = u.oq7 = -l et ,ro =


*. EXERCICE 256
-1^812187
2. ug=utq"= 3.5
t6,u7=ut4" = 16"trl0=-16- l. Ct - Co +
,O
Co = l,035Co = 1035

EXERCICE 25I 3.5


Cz= Ct* = l,035Cr = tozt,Z3 à I0-2 près
l. u2 = uo42 = -18, us = uo4s = -486
ffia,
uD= -1062882.
Ct = Cz* *C, = 1,035C2 x ILOB,7Zà 10-2 près.
2. u5= uzq3 = -5t/5, uz = uz45 = -25\/i 100 -
3.5
urc= -625' 2. Cn+t=Cn+
fiCn = 1,035Cn.
3. tâ süte (Cz) est une suite géométrique de raison
ExERCIcE 252
4 = 1'035.
Ut)
l. :!a = 42 =O,25 et q > 0 donc q = y'0,25 =O,S 4. Cn= 1000 x 1,035n.
5. C1s = 1000 x 1,03510 = 1410,60 à 10-2 près.
urc = uoqro= 6 d'où * =# = 6tM.
2. 'r3
ua
=4a=getq>odonc4= si ={5 EXERCICE 257

81 l. uy = r,O * t.25 4 = l,0l25uo =2O25


u.g = u.oqs= Bl d'où ,o -=f '
= (r'3)' . tOO
3
6.2. SUITESNUMERIQUES 427

t.25
u2 = u1 + 27aq = l,Ol2l>u1= 2050,31 à 10-2 près. 2. cn- qxzn-l =)n-1.
r00
1,25
3. Le 29 décembre 2017 correspond à Ia semaine lB.
2. un+t = un + un = l,0l25un, uB = l3lÛ72, soit 5461 tablettes et B carrés.
fui
(un) est une suite géométrique de raison q = l,Ol25.
3. u16 = 2501,15à IO-2 près. Lejourdeses lsans,Math EXERCICE 26I
disposera de 2501, l5 €.
l. u1= 163 et u2 = 133,4.
ExERcrcE 258
2. - tto * u2 - tl1, la suite n est pas arithmétique
ut
5
l. Ct = Co + Co = t,05Co = 7875 lL * 9,la suite n'est pas géométrique.
,O u0 ul
e Il s'agit d'une suite arithmético-géométrique.
Cz = Ct+ lcr
r00 ^
= l,osCr =8268,75 3. a- unal = ttn+t - 15 = Û'Bun - 12
=0,8(un-15) -0,Buz.
La suite (,rn) est une suite géométrique de raison
Ct=Cz* *cr=
100 -
t,05C:l =8682, 19 à l0-2 près.
5 4 = 0,8 et de premier terme ÿo = IB5.
2' Cn+t = Cn +
5Cn -
l,oscn ' b. un - 185 x 0,8n.
3. La suite (Cz) est une suite géométrique de raison Q. ttn = Yn + 15 = 185 x 0,8n + 15.
q= l,o5'
4. Cr- 7500x 1,05u. EXERCICE 262
5. C1e = 7500x 1,0510 x l0-2 près. Math dis-
12216,71à
posera de 12216,71 € au bout de l0 ans. l. Lt2 = -7 et u3 = -21.
6. La suite est strictement croissante, Cg = l4Mg,49 2. uz- ur * ut - u2, la suite n est pas arithmétique
U,
-=
ua
--!,la suite n est
UtI
pas géométrique.
et Cr5 = 15591,96. l,e capital initiale aura doublé au ut
bout de 15 ans. 3. a.-lt - 7 = 2un -
n*1'= tln+t 14

=2(un-7) =2un.
ExERCIcE 259 l,a suite (ur, ) est une suite géométrique de raison
20 q = 2 et de prcmier terme ut = -7.
l. u1=q-
\OOW=0,8u0 =680. b.un=-7x2n-1.
uz = O,8ut = ,îî u3 = (t,Buz = 435,2.
", c. un = atn +7 =7 -7 xzn'l ,
2. un+t = un - o,Bun
lI|un =
La suite (un) est une suite géométrique de raison
ExERcICE 263
q -- O,B et de premier terme u0 = 850, on en déduit
doncque un=850xÛ,ïn. L. uy=!,$etu2=7,32.
3. -B3 = 0, 8 * 82. En 87 la fo.rmule devient = 0, B * 86. 2. ut - th I u2 - ur, la suite n est pas arithmétique
4. La suite (u7) estdécroissante, u30 = 1,05 > I et ! * 2,la suite n est pas géométrique.
u.o ul
u31 = 0,84 < l. Le gisement sera épuisé en 2036. 3. u unal = ttn.-t I a = O,9un +3 + a
5. Soit P la production totale de pétrole extrait entre
I a+3\
=0,9[un* 0,,
,|
2006 et2Ol7 inclus, ce qui correspond à la différence a+3
entre les réserves disponibles fin 2005 et fin 2017.
unal=0,9un : = ct ê a= -30.
0,g
N= u0- urz=850 * (t-rl,alz) =79I,5884 Si a = -30, la suite (un) est une suite géométrique de
soit 79l,5BB millions de barils, arrondi au millième. raison 4 = 0,9 et de premier terme uO = -28.
b. un = -l$xQ,$n.
EXERCICE 260 C. tl.n = Y r+ 30 = 30 - 28 x 0,9n.

l. c n+ I = 2cn, la suite (cn ) est une suite géométrique de


raison 2.
428 CHAPITRE6. CORP{:GES

EXERCICE 264 VRAIE


I un+r=
II
iun-2= -1un-6)
I 2. unay un , (un) est une suite géométrique de rai-
un+r = suite (un ) est une suite géométri<1ue 2
iun,Ia I
de raison 4 =
I
et de premier terme u0 = -5.
sorT q - -r.
5
,te- lr- l'l ' = 0 la suite est donc convergente.
n-+æ\
2' un - uoqn = -5' (à)', on en déduit alors - 2J
Liaffrrmation est VIIAIE .
/l\n a-+b- I
un=t)n+0=-st5J +6. ,. ï = run - 3, car un = uo = 6.
3. La suite (un) tend vers 0 lorsque n tend vers l'inf ni. Ilafflrmation est \ltlAIE .

On en déduit alors que (u2) converge vers 6. 4. D'après les questions précédentes : an+ bn = 6 et
an- bn= -z , (- |)" a'"u
EXERCICE 265
l1 etbn=3+
Soit a4 la valeur de la voiture de Math le nè-' semes,le. an=3-
e2y 1_2y.
la suite vérifie ,r0 = 50000 et unay = 0,85un I]affi rmation est FAUSSE.

Soit u;2 la valeur de Ia voiture de Mathilde le nèm" se-


mestre. La suite vérifie u0 = 25000 et unal =O,9un EXERCICE 269
Nous avons ainsi : un - 50000 x 0, B5n et L. h - 0,85 x 2 = 1,7, hz= 1,445
un=25OOOxO,9n. ht = 1,22825.
En utilisant un tableur par exemple, nous obtenons: 2. hr-2x0,85n.
uD x7ll2,0g et utz =7060,74 3. hs=O,545
ut3 x 6045,27 et uy3 = 6354,66. 4. En utilisant un tableur nous obtenons
La voiture de Mathilde aura plus de valeur que celle de u36 = 0,0058 > 0,005 et u37 x 0,0049 < 0,005.
Math à partir du 13e semestre. Ia hauteur du rebond sera inférieure à5 mm au 37e
rebond.
EXERCICE 266
Soit C4 Ie capital de Math l'année n. [asuite (Cn) estr ne EXERCICE 270
suite géométrique de raison 1, 03 et de premier terme ls. PartieA
D'après l'énoncé, 10000 = Co x 1,0310
10000 l. La fonction /, fonction polynôme, est dérivable sur
Soit Cs = = 7 440,94à 10-2 près.
ffi
Math doit placer aujourd'hui 7441€.
[0; 39].
lt(x) = -1,6x+19,2.
ExERCICE 267
2. ft@)sg æ x<12
Soit C2 le capital de Math l'année n. la suite (Cp) est t ne
x 0 t2 39
suite géométrique de raison t + ]100 et ae premier ter ne
Ce. f'(x) +0
5
t 585, 2
D'après I'énoncé,20551,30 = 15000 x ( 1+_
t 5
100 ) r ,/ \
On en déduit alors 1+-100 = 1,37009
470 2

3. a.
(r. #)= r,3zoosà = r,065
Math a placé son capital au taux de 6,5%.
t 0 5 l0 15 20 25 30 35 39

1@) 470 546 582 574 534 450 326 162 2


EXERCICE 268

l - un+ I = a na 1't- b n1 1 = a n * b n = un. I alfirmation est b. Le graphique est à la fin de la partieA.


6.2. SUTTES NUMÉRIQIUES 429

4. Seuil d'émissions en millions de tonnes équivalent On aura en D6:

Co2 à atteindre en 2030 :.+oe,


[-
It fl'l
100/
= rto,u. 64 7 52,29 - I B 734, 05 = 46 018,24 : amortissement.
On aura en E6 :
Liannée 2030 correspond au rang 35 et d'après le ta-
bleau précédent /(35) = 162. 374680,91 - 46018,24 = 328662,67 : capital restdlt
D'après ce premier modèle, l'engagement de la dt.
France sera tenu en 2030.
2. a. En C3 : =E2*0,05.
Après recopie on aura en C4 : =Ei*0,05.
deCO2 émise b. En E3 : =E2 - D3.
3. iz'23o12,39:'is =2O925,39;i+ = 18734,05.
at = 39752,29; az = 41739,9O; as = 43826,90;
600
a+ = 46O18,24.
ct = 460247,7 l; cz = 418507,81; ca = 374680,91;
500
c+ =328662,67.
A) Aa AL
4. On a -= = -:! = := = 1,05, ce qui montre que l'on
400 at a2 a3
passe pour les premiers termes de la suite (an) d'un
terme au suivant en mulüpliant par 1,05 : cette suite
300
est géométrique de raison 1,05 et de premier terme
at =39752'29.
200 5. La somme des amortissements doit être égale au
montant emprunté soit : a1 + az + .. . - ato = 500 000.
100 6. La somme des intérêts et des amortissements est
égale à la somme des annuités, donc la somme des
0 intérêts est la différence des annuités et des amortis-
0510152025303540 sements soit:
Rangdc l'année
64752,29 x l0-500000 =147522,90€.
Parde B
L. u u1 = O,97 u,o = 516,04. ExERcIcE 272
b. La suite (un) est une sruite géométrique de raison
q =O,97 et de premier terme us = 532.
l. a Cet algorithme calcule et affrche le nombre de
clients pour les années 2011 à 2018.
c. un = 532 x 0,97n .
b. Soit NC le nombre de clients
2. 2030 correspond au rangiCe l'année 15,
k 0 2 3 4 5
uts = 532 x (0,97) ls = 336,89.
1

NC 1 000000 960000 924 000 891 600 462440 8:)6 196

D'après ce second morlèle, I'engagement de la 2. a- Vnal = Un+1-600 = 0,9Un - 540


France ne sera pas tenu ein 2030. =0,9(Vn-600) = 9,9Y,
la suite (ytx) est une suite géométrique de premier
ExERcIcE 27I terme Y0 = 400 et de raison 4 = 0,9.
[. On a en C3 : 500 000 x 0, Oli = 25 000 € ; ce sont les in- b. Pour tout n, Vn = Vo4n = 4O0 x 0,9n .

térêts. c. [fn = Vn + 600 = 400 x 0,9n + 600.


On a en D3 : 64752,29 - 2!i000 = 39752,29. d. [Jn+t - t]n = 4O0x 0,9u+l -400 x 0,9n
On a en C4 : 46O247 ,71 x 0,05 = 23012,39. = 400x0,9n(0,9-1) = -400x0,9n x0, I <o
On a en D4 : 64752,29 - 2i1012,39 = 41 739,90. La suite (Un) est donc décroissante.
On aura en C6 : U4 donnantune estimation du nombre de clients, en
374680,91 x 0,05 = 18734,05: intérêts. millier, pour l'année 2Ol0 + n, on en déduit que ce
430 CIIAPITRE1. CORRIGES

nombre de clients diminue au fil des années. uz =O,But+ 18 = 0,8 x 70+ 18 = 56+ l8 = 74.
3. Lévolution depuis 2014 peut être modélisée par rrne 2. a- un11 = un+t -90 =o,Bua + lB-90
suite (ÿÿn), définie par: = 0,8 (v n + 90) - 72 = O,8u n + 72 - 72 = O,Bu n
etWnal =0,92Wn + 100000.
I4lo = 860000 us - n{-90=65-90= -25
W5=99258 < 1000000 etW6= r013521 > 10000(t0 la suite (uz) est une suite géométrique de raison
Il faut donc 6 ans pour que l'opérateur retrouve plus 4 = 0,8 et de premier terme uo = -25.
d'un million d'abonnés. b. D'après Ia question précédente, pour tout entier
naturel n, un = uo x qn - -25 x O,8n .
ExERcICE 273 êt un = un-t90 = 90 - 25 x 0, Bn.
l. a. 3. def suiteQ :

u=65
Ieet C < 400 wa wil @ lru EA fa
n=O
VaIN de C 300 326 350 372 392 411
valm de z 0 1 2 3 4 5 whileu<85:
u=0.8x u*lB
b. La valeur affrchée en sortie d'algorithme est 5. [Æ
n= n+l
nombre de colonies dépasse pour la première lois =
print(n)
400 l'année de rang 5, soit en 2019.
Le programme permet d'obtenir: n = B.
2. a. D'une année sur l'autre, l'apiculteur perd ll%
4. a. En juillet 2017, il y avait 65 particuliers qui avaient
de colonies donc il en reste g2ÿo. De plus, il irs-
souscrit l'abonnement, ce qui correspond à u4 = 65.
talle 50 nouvelles colonies chaque printemps don : Ie
Chaque mois, 2O% des abonnements sont résiliés, il
nombre de colonies l'année n+ I est Cpal = 0,92C n +
en reste donc B0 % et 18 particuliers supplémentaires
50
souscrivent à l'abonnement.
b. Vn+r = -
Cn+r = 575 - O,92Cn
625
On passe d'un mois z au mois suivant n + 1 en mul-
= O,92 x (625 - Cù = 0,92 x Vn tipliant par 0,8 puis en ajoutant lB donc la süte (u,x )
c. D'après la question précédente, la suite (yz) est
définie par uO = 65 et, pour tout n, par
une suite géométrique de raison q = O,92 et de p re-
unal =0,8un + l8 modèlise le nombre d'abonnés au
mier terme Vg = $2§ - C'g = tl§.
panierbio.
Donc, pour tout n, Vn - VO, qn = 325 x 0,92n.
b. Chaque abonnement coûte 52 € par mois, la re-
et Cn - 625 - Vn = 625 -325 x 0,92n .
cette mensuelle le mois n est donc en euro de1Zun.
d.Lemoisde jullet2024 correspondàn = 10;
On cherche donc n tel que 52 un dépasse 4420 €.
l'apiculteur peut espérer posséder C1g colonies sr it:
ce qui reüent à résoudre l'inéquation :
Cn = 625 - 325,
0,9210 = 484 colonies.
æ un>85 æ n)
52un>4420 8(d'aprèsla
3. a Pour doubler le nombre initial de colonies, il f rut
question 3.).
atteindre au moins 600 colonies; il sufÊt donc de
La recette mensuelle dépassera 4420 € à partir de
remplacer dans l'algorithme « Thnt que C < 400 fai:e »
n = B, soit à partir de mars 2018.
par « Tant que C < 600 faire ».
c. la suite (un) est une suite géométrique de raison
b. On cherche n tel que Cn > 600 : En programm mt
0,8; or 0 < 0,8 < I donc la suite (uz) est convergente
l'algorithme, nous obtenons n = 3l
et a pour limite 0.
Au bout de 31 années, le nombre de colonies arra
Pourtout n, un= un+90 donclasuite (ur) apour
doublé.
limire 90.
[,a recette étant de 52un pour le mois n, la recette
EXERCICE 274
mensuelle tend vers 52 x 90 = 4680 €.
l. u1 = 0,8u0 + 18 = 0,8 x 65+ 18 =52+lB=70
6.2. SUITESNUMÉRIQUES 431

EXERCICE 275 b. On sait que pour tout n >.I:


n-l n-l
I ,, = 3
l. Pt= P(Àr) -; (à) =-X (à)
Pz = P (Aù = P (h I Aù't P (Br I Az)
^, 1
4

11114 Comme an= Pn- æ Pn=un*'n,onafinale-


i
= - x - * - x - = -' 3 /1\n-l I
232515 ment:pn=a,|.;,| +i.
2. pn = P (Afi = p 1nn-1 î /l) +P (Bntn An)
t1
=pn_rx I+(t_pr_r), U c.commeo< I <r. t', [I,|'-' =0".
2l 5 n_+æ[5/
= l'Pn-r+ -' n-l
322 lim 1,
n-+æ4 (à) = 0, il en résult" t ,!g_ r, =
|
3. un+t = pn+r- = - "
13 Gp, 6s Au bout d'un très grand nombre de parties, la proba-
2t s\ 2 bilité de gagner sera proche d'une chance sur quatre.
= rs
[P'- n)= ,s""
La suite (un) est une suite géométrique, de premier
72et de raison ExERcrcE 277
terme tll - 4 = 15.

4. un-
^ n-l
7 , l2\
zo I rs] l. a1=b1 =l-a1 =L.
n-l z
pn=
37 2 o,75
13+-x l5 )
0,5
5. ri- [3]'-'
z-+oo\15/ lim ,- - 1. .".i.o.-
= 0 d'oirn-*æ"' \_
13'
respond à la probabilité qu'Alice atteigne la cible
o,25 ^2
2.
après un grand nombre de partie. 0,5

0,5
EXERCICE 276
0,5
l. Arbre de probabilité Avec la formule des probabilités totales :
2
+1 a2 = p (A2) = p (Az î1 At) + p(Az î Ar)
Pn
.'"' donc at = a, x1 +b, ,L =1 t- o, =3
4'288 "ta, =
3 3. On réutilise un arbre et la formule des probabilités
5
totales:
I
5 anal = p (An+t) = P (An+t î An) + p(An+t n Ar)
L-
r, 3 + I an) I +,I
3
Pn =
Aon* ib" = na" r(l - =
4an
2 | r21 I I
4. u unal = an+r-
ê i= io"* r- i= ion- A= iu".
2. D'après la loi des probabilités totales (un ) est donc géométrique de rairor, et de premier
p n+r = p (G n+y) = p (G n n n*r1 * p (Ç n n*r)
I
G C I
2tll terme u1 = --,
=
,Pn+ ult-Vn)'= uPn+ --
b. on en déduit an = -1o lt1)'-'
[+/
3. a-Vnel\*, u211 =pn+t-i=ir"-* .2
r( r\ l puls47-;-
J à (i)"-'
=
EIP"- +)= 8"" /I \x-l
I . est le terme général d'une suite géomé-
Légalité un+t = U zn montre que la suite (uùn>t ta]
trique dont la raison est strictement comprise entre
est une suite géométriqur: de raison ]5'et de premier -l et l, elle converge donc vers 0. On en déduit que
113 2
termeul =Pr- (a2) convergevers
4=l- S=i. 5.
432 CIIAPITRE 6. CORRIGÉ,S

d. Un programme (voir exercice 274) permet d'ot te- un+t= an+t-


II
nirn=6. iun- run*t
I I tl I \ I
=
run*, iun=ilu"*t-iu")= rr".
EXERCICE 278 l,a suite (rn) est une suite géométrique de premier

. (A-rl@n-un) terme un
"2= I et de raison l.
l. i.ünq1 -Lün=
'" -
z(t+,/2)
= (; *)*,'
c.onadoncvneN, = I.
LafÊrmation estVRAIE
u{
lz)
"r=(:)' 2n'
2. wn-(12-r)"(i-*)" >od'où un{vn. 3. uwg -1 l.
uol
IlafÊrmation estVRAIE I
^ un- un un+ -un
3. un+r - un = #l+t/2 < 0 d'après Ia question pré:é-
b. on a wn+t=
un+\
- !!
un+7 I =2a Up
dente.
,'n
Iaffirmation estVRAIE c. Par définiüon 9 = wn, donc l'égalité ci-dessus
Un
4. On peut le vérifier en utilisant le programme suiv mt
s'écrit: u.rray - Z+ wn.
avec de grandes valeurs de n :
Ia suite (wù est une suite arithmétique de premier
del suite(n): terme u0 = -l et de raison 2.
u=l d. On adonc wn = taT + n x2 = -l +2n.
u = sqrt(2) 4. wn-2n-l=2=?=2nxun.
for I in range(l, z) : unù
a=u 2n- |
Donc u2 = -;, car 2n I 0 quel que soit n e N.
y = (u+ u)lZ
u - (u + u ,* sqr t(2)) I (L + sqr t(2)) EXERCICE 28I
print("u=",u,"u=",u) PartieA
Laffrrmation estVRAIE
l.
ExERcrcE 279 0,05

-r. un+t=S(bn- aà 5
lZ = Tiun 0,25
la suite (un) est une suite géométrique de raison -M2
5
f,l
'12
=
-. 0,85 0, I I2
2.un-rrr(1)'
0,65
3. un+l=3an*4bn=Un.
0,05 - M
lF"
La suite (ÿn) est constante de premier terme u6 = {$.
1 1
4. an
7
(un - ; (-' 48 '("1)'
4un1 =

I (3un+ I I
unl = ; (* + 36 ,(;)'
0,
bn
7 1

EXERCIcE 28O

l-
11I3
Uc = tll - -ttî = - + - = - 2. P(Iù = P(Iz nSr) + P(Izn Mù + P (I2n Il
4" 2 4 4
. ut - Ltû I u2- ul,lasrtite n est pas arithméüqur:,
= 0,1 x 0,85+0,35 x 0,05+ 1 x 0,1 = 0,2025
. !! + 1?,la suite riest pas géométrique. P(Mr îb\ PMUùx P(Mi
uo ul 3. Pq(Ml
111 (-l) = l. 0,2025
2. a. us = ut -
ruû = r- rx _ 0,0175 _ 7
I 0,2025 81
= 0,086
b. un+t = un+z- lun+t
z
6.2. SUrTESNUMÉRIQUES 433

PARTIE B tenuune faceblanche. Ce qui s'écrit, pour tottn> I,


l. S, , Mn et In forment une partition de I'univers
An+t=(AnîRùu@"F;)
e. D'après la question précédente :
puisque qu'un individu est soit de type S soit malade
pour tout n)- l, anat = P (An+i
soit immunisé donc P (Sr) + P (Mù + P (Iù - |
anal = P (An n Rn) + P (An î Rn)
on a donc bien Vn e N, iln I t)n + wn = l.
321 (l- aù = 1
2. a.C3 =0,65* C2+O,O5*.82 an+t = on+
6, 6x uon* 3
ca,t u n1y = O,65un + 0,051r2 2 1 1i n- 1
_t
b. D'après le tableur, le « pic épidémique » est atteint
D'après la queston l.b, a, = -+
5 10 6J
lors de la 4e semaine.
,,.= -*(3. * (à)',-'). 3 560I (à)'-' 2 3

3. a. u2a1 = P(Sn+r) or la seule façon d'être de type S

à la semaine (n + 1) est de l'avoir été à la semaine n


o. l<tdoncn-+æ\6,
lim [I'l'-'=o
donc P(s2a1) = PS, (sn+l) x P(sz) 6
3
or P5, (Sna1) = 0,85 d'après l'énoncé et P(S n) = un d'oùn-+æ
lim rn= - =0,6.
Finalement on a bien Vz e N , un+t = 0,85un.
b. On en déduit que (un) est une suite géométrique EXERCIcE 283

- 1.
de raison q = O,85 et de premier terme ag PartieA
- 0,85n.
on a donc Vn e Nl, uz l. Iæs intérêts la première année sont de :
4. 0 < 0,85 < I donc lim 0,852 = 0 et de même,
n-+<n 6000x2.2s =135€.
r00
Iim 0,65n = 0
n++æ Au ler janüer 2015, Monica dispose de :
On en déduit que lim un = Q 6000 + 135 + 900 = 7035 €.
'n-+æ
2. La somme Mn au ler janüer de l'année 2OI4 + n

Cela signifie qu'à terme, l'épidémie sera éradiquée. est augmentée des intérêts de l'année, elle devient
t,0225Mn.
EXERCICE 282 Au lerjanüerde I'année 2014+(n+l), on ajoute 900€

l. 2 r I l/ 2\ donc le montant disponible est


a- u77a1 = un+t - É= éu,, - 15
=6
1""- i) Mn+t = l'0225Mn +9OO.
I
= ce qui prouve que la suite (ÿn) est une ParüeB
uun,
suite géométrique de raison 4 = 1 et de premier l. Première méthode:
I L Gn+t = Mn+t+ 40000 = 1,0225 Mn + 900 + 40000 ;
terme u1 =
-. or G4 - Mn + 40000 donc Mn = Gz - 40000.
un- ulqn-L= ,of (à)"-' o
b. G n+t = 1,0225 (Gn - 40000) + 900 + 40000
2 2 I /l\n-l = l,O225Gn - 1,0225 x 40000 + 40900
un=i*"=s*roIo,l = l,O225Gn - 40900 +40900 = 1,0225Gn
2. a. Il y a deux dés, au prerrüer lancer on a alors Go = Mo + 40000 = 6000 + 40000 = 46000
at=,I Donc la suite (Gz) est une suite géométrique de pre-
mier terme G9 = 46000 et de raison 4 = I,0255.
b. rr = P(Rr) = P(r{r nRr) *a(A nnr) =
f .
b. D'après la question précédente,
c. rn - P (Rn) = P (Rnn enl + e(A*n e) Gn = 46000 x L,O225n .
3412
=
U,
on+ - =-x (1
6a"+ - aù i. DoncMn =46000 x1,0225n -40000.
d. Pour lancer le dé A au (n + l)-ième lancer, il faut c. En uülisant le tableur, on obtient M11 = 18756 et
avoir lancé le dé A au n-ième Iancer et avoir obtenu MP=20078.
une face rouge ou avoir lancé le dé B et avoir ob- Le plafond de 19 125 € est atteint Ia douzième année.
434 CHAPITRE6. CORP.j]GES

2. Deuxième méthode: d.n-+æ


lim 3x2-n=0d'oir lim u-=3.
n-+æ "
a On modifie Ia ligne I de l'algorithme fourni dan I Ie
texte ainsi « MONTANT ê 5000»
pour changer la valeur de départ. EXERCICE 286
On modifie la ligne 5 ainsi Soit ug Ie premier terme de la suite et 4 la raison.
« MONTANT * 1,0225 x MONTANT + 1000 » D'après l'énoncé : ua + tlo7 + uo42 = 2
pour changer la somme que l'on ajoute chaque iur- et uOq4 + uoqs + uO46 = 1250.
née. uoq4 + utqs + uoq6 = qa (rro * uoq * uoq2) = 1250 on en
b. Il sufÊt d'ajouter à l'intérieur de la boucle TA§T déduit donc que 4a = 625donc 4 = 5 ou 4 = -5.
QUE, en ligne 7 : Si q = 5 alors I + Q + 42 =3ld'otr u6 = 1
«AfÊcher MONTANT »
-Zrsn
ainsiz-"31

ExERCICE 284 Si4=-5 alors:-+q+q2=21 d'otr rro=*


l. u1 = u0 x / +
6\ +9000 = 18540 ainsiu;r =*rr-r',".
[ l0O,|
La somme un an ler janüer de l'année 2Ol0 -- n
est augmentée des intérêts de l'année, elle deür:nt BXERCICE 287

l,06un. a, b et c sont trois termes consécutifs d'une suite géo-


Au ler janvier de l'année 2010 + (n + 1), on ajoute métrique, il existe donc un réel q tel qve b = aq
9000 € le montant disponible est donc etc= a42
un+t = l,06un +9O0O. 3a, 2b et c sont trois termes consécutifs d'une suite
2. a- us = 159000 et ,/r = 168540. arithmétique, iI existe donc un réel r tel que 2b = 3a+ r
b. un+t = l,06un + 159000 = 1,06 (zn + 150000) etc=3a+2r.
= l,06un. 2b = 3a+ r et c =3a+2r impliquent 4b - c =3a
La suite (r,n) est une suite géométrique de raison D'oir, en utilisant les premières relations.4aq- a42 = 3a
q = L'06. or a I 0 donc q2 - 4q +3 = 0, cette équation admet detx
c. un = 159000 x 1,06u, soluüons 4t=letqz=3.
un = t)n- 150000 = 159000 x 1,06n - 150000. 41 est impossible, car a, b et c sont distincts, la suite
3. En utilisant le tableur, on obtient 213 189135 et n est donc pas constante.
=
On en déduit donc eue { = f,.
u14 = 2O9483.
Pierre disposera de plus de 200000 € en2024.
ExERcICE 288
ExERcICE 285 . a, b et c sont trois termes consécutifs d'une suite géo-
921
l. ut=-êtuq=-. métrique,
'4"8 Il existe un réel 4 tel que b = aq et c = aQZ
. u.z - ttrt # ul - uz,la suite n'est pas arithmétiqur ), ,
. I IE, la suite n'est pas géométrique. alorsabc=g 3 a43=8- q='-.
,a
ut uz 4
3-u- I D'oùb=2etc=-.
2. a-unay=-n==rr" a.
. c, a, et b sonttrois termes consécutifs d'une suite arith-
Ia suite (un) est une suite géométrique de raison ]2 et métique,
3 donc a- c= b- a
de premier terme ÿt - -. 4
soit 4 - 1 - 2 - ace qui s'écrit encore a2 -a- 2=0
a
b.un=î,(;)*'=r1r-,. Cette équaüon admet deux solutions -l etz.
C. Un =f,, - Un =3 -3 x2-n. Sia=-l alorsb=2etc=-4
6.2. SUTTES NUMÉRrQivES 435

Si a = 2 alors b = c = 2 (suite constante) ExERcICE 293

ExERcIcE 289
l. cg=3, lg=1, pO=cOxtO=S,oO=f,
1

l. La raison ne peut pas dépendre de n. e=12,h=i,pr-exlr-4,


' =f4 *rrÉ \21 =f
4 ref
Lafft rmation est FAUSSE.
I o,
2. un+t - u" = @ + l».> 0, .[a süte (ur) est croissante. 116
3

c? = 48, lz = pz x
I-laffirmation est FAUSSE.
11 i, = cz lZ = T,
3. - u" * 1r* ».- i.
un+r - un = ttn+t
2-(n+l) 7-n
o,=f
-34t9/27 +p,f,g1'- to'ze.
(n+ l)! =_<UDOUT
(n+ 1)!
e Laire d'un triangle équilatéral de côté c est égale à
tout n> 1, la suite (un) est décroissante à partit du ,J3
c- x
rang l. 2. -.4
cn+t = 4cn. La suite (cn) est une suite géométrique
La-ffl rmation est FAUSSE.
de raison 4 d'où c, =3 x 4n .
I
3. ln+t = :ln.La suite (lz) est une suite géométrique
ExERcIcE 29O

l. En utilisant la calculatrice,, la suite (un) tend vers une


de raison
I a'ot l, = (i)'
limite finie 1. LafÊrmatio:n est \/RAIE.
4. pn = ,,' t^ =s(!)". la suite (p,) r.rite géo-
,. un+t _ -2un+4
,un-! =2et uo" = 4-2 = _1. "rt,rn"
un -un+l un-Z tta-l ,3 de rai.or, f . La suite (pr) tend vers l'infini.
métrique
IafÊrmation est VtlAIE.
u--2 I
- 1
'" t)n-l l+ 7 - un=l+--j-.XaffirmatiOn
3. un=:::---==
1+2n 5. an+t = an-. cn, t1*t, + = rr* f , (â)'
estVRAIE.
on en déduit o, =
*. f (, - (;)')
EXERCICE 29I ..
l[fi an '/1
J\/1 2\/i
l. uy=S+0,04S= 1,04S, uz.=1,O425, ue = 1,043S n-+æ '"--+4 20 5

La suite (un) est une suite géométrique de raison EXERCICE 294


q = 1,o4.
l. a. Dépôt initial donc ÿr = 120 litres
Pour tout n e N, u72 = 1, 042 S. I xl20+l2O
2. On cherche le plus petit fi tel que l,O4n > 2.
V2=
'4 - = l50litres,
En utilisant Ie tableur, o:n obtient 1,0477 = 1,95 et 1

l,O4rB =2,03 "4 1 x 150+ 120 = 157,5 litres.


V3=
b. Va = 0,25 x 157,5 = 159,375,
Mathilde doit poursuiwe son placement pendant
Vs = O,25 x 159,37 = 159,84375
18 ans.
ÿo = 159,96
ExERcIcE 292 2. Vn*t=0,25Vn+120.
3. a. tnal = 4O - 0,25Vn = 0,25 (f60- Vù = 0,25tn
l. 83 = ((A2 + t) I (z * A2 + 4)),* 82.
La suite (rn) est une suite géométrique de premier
2. a Conjecture : la suite (u,2) est une suite géométrique
terme ,l = 40 et de raison l.4
de raison q =0,5.
I n+l\ I
b.,, =40(l)'-r
b. un+t = @ + 2) + l) u, = 9,5, n.
" lr" * a)un = r@
La suite (ur?) est une suite géométrique de raison 1

vn=16o-,, = 160-40(i)'
4 = 0,5 et de premier terme uo - l.
0.5t1 I c. (f2) tend vers 0 et (Vr) tend alors vers 160.
3. un - suite (ap) tend vers 0
n*l = (n+Drr",la
lorsque n tend vers l'infini.
436 CIIAPITRE1. CORRIGES

EXERCICE 295 ,
PartieA A B 4 ) 6,75
I n ün 5 3 6,938
l. pr= 0,Bps+0,3s6 =0,8, sr =0,2, ) 0 3 6 4 6,985
pz=0,8h +0,3s1 =Q,/ets2 =$,1.
3 I 6 7 5 6,997
2. Pn+t=O,BPn+0,3sn 3. l,a suite (un) semble converger vers 7
sr1,q
=O,Zpn+0,7sn.
3. pn*t = O,Bpn+0,3(1 Partte B
- pn) =O,Spn +0,3.
4. def süte(n) : l. a. unal - un = ün+2 -Zun*, * iu, = o
P=l (un) est une suite constante, u, = ,o =2J.
for i in range(O, n) :
-ltzt
Jt. Un+t = Un * - Un = +
P=0.5*P+0.3 iun T.
Print("P = ",P, "s =",1- P) 2. a- wnal = un+r -7 =
tTll
-
Aun i= +@"
-7) = iwn
(rrz) géométrique
est une suite premier de terme
Partie B
wo=4etderaison4= 1.
4
l. un+r= pnal-O,6=O,Spn -0,3 = 0,5(pn -0,6) /l\n-l
b.un=wn+7=7-l;)
=O,5un c. (ruz) tendvers 0 et (un ) tend alors vers 7.
La suite (ur?) est une suite géométrique de raison 0,5
etdepremier uo=O,+. EXERCICE 298
2. un-0,4x0,5n
l. a Population théorique totale au ler janvier lggl :
Pn = O,6 + un = 0,6 + 0,4 x O,Sn .
4650000 x 1,012 = 4705800
3. (uà tend vers 0 et (pr) tend alors vers 0,6.
b. Population théorique totale au ler janüer 1992 :
A long terme, il y a 607o de chances qu'une persorme
4705800 x l,Ol2 = 4762269,2
pratique le ski de piste.
c. p(n + I) = l,0l2p(n), la suite est géométrique de
raison 4 = 1,012 et de premier terme p(0) d'où
EXERCICE 296 p(n)=(1,012)n xp(O).
d. ler janvier 1995 correspond à n = 5,
L. wr*t = un+2-un+r = (p-l) (un+t - uù = (p-l)run. p(5) = 4935776,835
La suite (un) est une suite géométrique de raftron
2. a. Population agricole au ler janüer 1990 :

- 1 et de premier terme wo = a
p
4650000x0,09 =418500
wn=a(P-l)n. b. a(n+l) = 0,97 a(n),la suite est géométrique de rai-
2. tn+t - tn = ttn+Z - (p - l) un*l - ttn+t * (p - l)un son 0,97 d'où
= pun+t - (p - l)un - (p - L)un*1 - un+r -r
4(n) = 418500 xO,97n.
(P-t1un=9.
c. a(5) = 359380,I898.
(rn ) est une suite constante, tn = tg = a. a(n) / 0.97 \n
--0.091
3. a-r(n)-
' I
3. wn-tn=(p-2)und'où p(n) [ 1,012,
| (wn- b. la suite (r(n)) est décroissante, r(25) x 0,0311 et
un = p-2= til = -!=((p-l)n
p-z'' - l). r(26) = 0,0298
On en déduit que n=26.
EXERCICE 297
PartleA

l. B4=1.25x B3-0.25* 82.


6.2. SUTTESNUMÉRIQUES 437

ExERCICE 299 l"a probabitité qu'un électeur choisi au hasard vote


PartieA pour le parti Hirondelle sera inférieure à 0,32 à parür

l. Pour Ia valetr n = 2 saisie, à la fin de l'algorithme, X de la l4e année.

vaut 102.
Ex-ERcrcE 301
2. n = 2 correspond à I' année 2O07.
Donc on peut supposer qu'en 2007 il y a 102 adhé- t. ,n= rn vérifre,r, ,r:

rents au club de randonn,ée.


_::.i=i::: f ,
Partte B =
cette équation admet deux solutions 11 = 2 et r2 = 3.
Onpose an=2n elbn-3n
l. a. Pour tout n, bnal = an.rl - 2OO = O,9an - I8O
^
z. a.<
l*o = aao + Fbo
=0,9(at.n-2OO) =g,gYn
lq = q,ar + Fbt
La suite (b4) est une suite: géométrique de raison
I *o = a+0 | a=3ws-w1
4 =O,9 et de premier ternre bs - -120.
-<-< | *, - 2a+38 | P=u-2wo
b. Pour tout n € l\1, bn = bç x 4n = -120 x 0,9n .
b.5wn-1-6wn-2
2. Pourtout n, dn = bn +2OO =2O0 -120 x 0,9n.
Sdan-t +Spbn-y - 6aan-2 - 6ïbn-z
=
3. La suite (bn) est géométrique de raison 0,9;
= a (5 an- r - 6a n-z) + p (5b 1 - 6b n-z)
or 0 < 0,9 < I donc Ia suite (bn) est convergente et a "-
= aan * §bn = wn.
pour limite 0,
la suite (wù vérifre donc la relation (l).
comme pour tout fi., an =: bn + 2O0, on peut dire que
la suite (az) est converge:nte et a pour limite 200. EXERCICE 302
Partie C l. un> Q :+ (1 + aun>0eta+un >0) unay)0.
l. A la calculaüice, on trouv.ë a17 = 179,99 et ^ -l (l+ aun- a- un-
un+t
unal*l l+ aun* a* un
a16 = 181,99. tlobjectifdes 180 adhérentsseraatteint (a-l)(un-l) a-l
dans 18 ans. @+L)@n+r)=;i'n
2. Pourtout n, an-2o0-l2ox\,gn a2gg. La suite (un) est une suite géométrique de raison
|
a.-
tiobjectif d'atteindre 300 adhérents est donc impos- a+l
sible.
b.,,=!(#)"
EXBRCICE 3OO r+un 3+ a-l
an
un----
l. a. h1 = 0,7 x 0,86+0,3 x Cr,06 = 0,62, r- un
.-(-+)
Pt=l-0,62=0,38 a-ll <
I
hz=0,62 x 0,86+0,38 x Cr,06 - 0,556 et p2=0,4M. 3. I I I donc (u2) converge vers 0, on en déduit
la+- tl
b. hn*r = 0,B6hn +O,OG.n alors que (u2) converge vers l.
Pn+t=o,l4hn+0,94Pn
2. ExERcrcE 303
a.hnal = 0,B6hn+ 0,06(1. - hr) =0,Bhn +0,06.
b. un+t = hn+t - O,3 = O,ifhn - 0,24 l. a. et b. voiren fln d'exercice.
=0,8(hn-0,3) =,Q,ga, c. Le graphique montre que Ia limite de la suite est
La suite (un) est une suite géométrique de premier voisine de 12.
terme = 0,4 et de raison q - 0,8.
uO 2. u unay = ttn+t - 12 = O,BSun + l,B - 12
c. Pour tout entier n, un == u4 x qn = 0,4 x 0,8n . = O,BSun - L0,2 =O,85(un - 12) =g,g5rn
hn = un+0,3 = 0,3 + 0,4 x 0,8u. la suite (ÿn) est une suite géométrique de raison 0, 85
3. A la calculatrice on obtient hrc = 0,332 > 0,32 et et de premier terme : uo = -4
hs = O,318 <O,32. b. On a donc: un = u0 x 0,85n = -4 x 0,85u.
438 CHAPITREï. CORRIGÉS

I1 résulte que un = un * 12 = 12 - 4 x 0,85t1. 2. a. et b.


c. On a u2a1 - un =O,85un - un = -O,lSUn.
Comme ug < 0 et 0,85 > 0, tous les termes de Ia srûte
(un) sont négatifs, donc -0, 15ur2 > 0 et finalem:nt 9
A

un+t - un > 0, ce qui signifie que la suite (ü,2) est B


d
croissante. 7
ttn+t - ttn = un+t-l 12- (un + L2) = unal - Un ) 0. 6
La suite (urx) est croissante. 5
d. Comme -1 < 0,85 < l, on a = 0, dr,nc
rlg_O,aS' 4
_liry_-un = 12, ce qui confirme la conjecture pré:é-
n-+@ 3
dente. a
2
3. a Soit u;n le nombre d'abonnés ( en milliers) l'arurée /
I
20OB+ n. /
Onau;g-Bet ,9234s678e
tDn+t = 0 - O,l5) wn + 1,8 = 0, 85urn + 1,8.
-1
On a donc wn = ttn pour tout naturel ,?. c. On conjecture que la suite a pour limite l'abscisse
b. D'après la quesüon 2. b. le nombre d'abonnés en du point commun à d et à À, soit le nombre 4.
2014=2008+6est: 3. Pourtoutentiernaturel n,
a.
2un+4 2ur-B
tt6=12. 4x 0,856 = 10,4914. Un+l= Un+L -4- = -4 =
3 3
En 2Ol4 il y aura enüron l0 49 I abonnés. 22
= = -un.
,(un-4)
La suite (r.rn) est une suite géométrique Oe raison ]3
et de premier terme u0 = rto - 4= I -4 = -3.
I 2\n
b. Pour tout entier natrteln, un = -r, [5J .

d'otr z2 = un + 4 = 4 4, (?l'
t3/
.

2
c. Comme 0 < -3 < 1. on sait oue lim (3)'
' n-+æ = ,
d'où:
lim
n-+æ
un=4.

ExEaCIcE 305
5
l. Sy=ff=t+2+3+4+5
É=r
l5
2. Sz- L t? =82 +g2 +102 +ll2 +122 +132 +142 +152
k=8
t2
0 1 2 3 4 5 6 7 B I 101112 3. s3= f tst+al =4+7+10+13+t6+tg+22
k=0
EXERCICE 304
+25+28+31+34+37 +40
=]-+4 2xl+4 -a'
l. u{=1, u1 = 2ur
s3
2u1+4 2x2+4 I ExERcIcE 306
uc=-=--_r
49
2u2+4 zxf;+4--T-T' l. = 1+3+5+7+...+97+99 = Itzt+rt
s -T -r,
lla = ----:- 51
3 k=0
439
6.2. SUITES NUMÉRhQ1U ES

12
EXERCICE 312
2. Sz =4+8+ l6+32+ "' +'1096 = L 2k
k=2
l0 1. 56= u4+uyç"' +uô="o(4)=-i('-(i)')
3. ss - l -3 +g-27 +aL-2,13+ "'+59049 = 2 t-slt
k=0
56 = -2,6665039
t- qr3
EXERCICE 307
2. S1p- rtt
r-q ) = -: (' - (i)") = -2'66GGG66

rrO = 3 et rr99 = 3+5 x 99 = 49tB EXERCTCE 3I3


3+498
S=I00, 2 =25050.
'=*(ï#)=,('-(l)"')=.
EXERCICE 308 EXERCICE 3I4
Le vingtième terme est uzo =' ttt + L9r = -37

S=2ox
1-37
=-360.
'= ^(s)=rruu,,orrrn
2 d'où ua =2885,7oer74, =2020.
*h
ExERcICE 309
on en déduit alors que uo = 9 - 4r EXERCICE 3I5
u4 = uo+ 4r = 9
Sz=2+2q+242 =18 q2+q-B-0,
uO=uû+9r=9+5r -
uo! us cette équation admet deux solutions:
S= l0 x x (I8+ =5 r) = 55 d'otr r = 1l - lB= -7,
2
On en déduit alors ,Io = I + 218 - 37.
-t + r/35et -r - '/33
2 2
EXERCICE 3IO Par hypothèse 4 > 0, on en déduit que 0 = -r+/3il!
,
-.
u.6 = uo + 6r =2, on en déduit alors que uû = 2 - 6r 3I6
EXERCICE
u2O= ttû+20r =2+l4r
uo+u2o 1. En2019, ona: rr0 = uo = lzx 1200 = 14400.
s=21 x -2lx(4r +2) =63d'oir r=0,25.
2. Eî2020, ona: ul =12x(12O0+20) = 14640
2
On en déduit alors ,ro = 0,5. uy=l)x (1200 x 1,015) = 1,0l5uo = 14616.
3. un+t = un + t2 x 20, la suite (44) est une suite arith-
EXERCICE 3I I
métique de raison r = 240.
l. Première méthode: un+t = 1,015u2, la suite (rn) est une suite géomé-
Soit (ur) la suite arithmÉ:tique de premier terme trique de raison 4 = I,015.
no = 12 et de raison 3 4. ttn=14400+24On etun=144o0 x 1,015n.
I0O2=12+3x330=u330. 5. En 2019 i ttû = uo = 14400
12+L0O2 En 2039 i u2o = l92OO et u2s = 19394,71 la formule B
a]orsS=331, Z -167817.
Deuxième méthode: est plus intéressante.

S = t2+ (12 +3 x l) + (12+3 x2) +... + (12+3 x 330) 6. Sa1 = u4+u1 +...+u4r=42xuo+-u4l
'2
= 12 x33l+3 x (l +2+..' +330) = 21 x (14400 + 24240) = 811440
330x33'! I - I,01542
= 12 x 331.r3, =167817 Trl= uO* u1 *"' +Uq=l4400x
I - 1,0I5
2. Soit (u72) Ia suite arithmtitique de premier terme
= 834093,2305.
uO =-et de raison : € s'il opte pour la formule B et
4 4 Il gagnera 834093,23

10= r *39x-=4qq. 1
seulement 811440 € pour la formule A.
4 4"'
0.25 + I0
alors S - 40x ==295. EXERCICE 317
2

l. tn+t - fn-30.Lasuite (rn) estunesuitearithmétique


deraisonr=-30.
440 CHAPITREî. CORRIGÉS

2. tn=tO+nr=500-30n. l-qn+l
obtenons:S-45=
3. sn- rn+yÿ=11IETL!92 1 - qn+l
d'oùpourq#l,S=É
= (n+ 1)(500- tSz).
4. Sro-11x3§Q=3656 ,. .i qr = qP qqP+r +...+ qn = qP {t+ q +... + qn-p)
Tom disposera de 3850 € le 3l juillet 2018. k=p
l- qn-P+l
=qp r-q
EXERCICE 318

l. cn+t = 2cn,lasrite (cn) est une suite géométrique de


ExERcICE 32I
raison 2.
2. cn=C1x)n-l =ln-l .
l. S = rJO + ul +... + un = (n+ l)ua + r(l +2+3+...+ n\
1 (n + l) (2ua + nr)
3. Sn = cL, -rn = (n+t)u' *rn(1+l) -
i;-=2n -1 2
4. Le 29 décembre 2017 correspond à la semaine [9, _(n+l)(uû+un)
2
Sra =2rB -l=l3l0ZZ l) (zut + nr)
@+
131072 I 2. s = tto + ut +... * un -
A =Sq6l+ U. 2

S'il respecte sa promesse, Math aura donné du .:er ExERCICE 322


septembre au 29 décembre 5461 tablettes et B carr5s. n
l. L q = uû + uoq + uîqz +... + uoqn
k=0
EXERCICE 3I9
I Js = r +
+ (n-l)
+ + (z- l) + =ua(t+ q+q2+...+qn)
ts = n + + 2 +l
En ajoutant les lignes membres à membres nous ob- | - qn+l

tenons: r-q
n
25= (n+l) +(n-t+2)+...+(2+n- 1)+(n +l)
il ya n termes égauxà n + I d'où :
2. I
k=p
uk up
| - qn-P+l
r-q
s= I+2+3+. .. +n=n(n+l) .
2 EXERCICE 323
2. 2+4+6+ + (2n-2) +2n =2 1+2+...+(n-l)+ n nnnn-l
= n(n+l). r. sr- Lt?- f rt-rl2 =Lt?-Ltê=t+n2
200 I
200 k=r k=3 k=t k=2
3. a.S1= ! k=Lk-Lk nnnn
È=10 k=tg k=l z. sz= I r-I t=Lk- f r=o
2O0x20l x 10 k=7 i=l k=t k=L
= 20055 n n+l n n+l
22 3. - I t'- L p, = I É - Dr, =
500 500 249 ss 23 -(n+L)3
b.s2= I k=Lk-Lk k=2 p=3 k=z k=3
k=250 k=r k=t
_ 500x501 _249x25O EXERCICE 324
22 =94125
2020 2020 49 Soit u1 le premier terme de la suite et un = ut + (n - I)r
c.s3= I 2k=zL k-2Lk
/c=50 k=t ft=r
le ze terme avec r raison de la suite.

= 202O x 2021 - 49 x 50 = 4079970 Ia somme de ses n premiers termes a pourvaleur


n(ul .+uà
sn=3n2+5nd,otr
"2 =3n2+sn.
n(ur
_ï + u-)
=3n" +5n u1 * un =6n+ lo
EXERCTcE 320 -
l. SoitS= l+ q + q2 +... + qn a )uy+@_l)r = t6+6(r?_ l).
alors 45 = q + q2 + Q3 +...1 qn+t On en déduit alors que ut = B, r = 6 et un = B + 6(n - 1).
En retranchant la seconde égalité à la première, nor rs
6.2. SUITESNUMERTQUES 441

EXERCICE 325 ExERCICE 328


2 2n+3-2n-l l. u3= 2000 x 1,0082 =2O32,13.
l. un- (2n + l)(zn +3) (2tn + l)(2n +3)
I Le coût total des 30 premiers mètres est égal à :

2n+l 2n+3' 2000+2016+2032,13 soit au centime près 6 048,13 €.


2. Sn = ut + u2+ "' I un-y -l un 2. nun*r = l,oo8 d'otr z7a1 =l,oo}un.
1l1l 1 I Un
(uz) est une suite géométrique de raison : 4 = 1,008.
35572n-lZn+l
l1 b. un+r= = (t *
1,008 x ttn ërr*,
, ,r.
a-
2n+l 2n+3 ffi)
1I l,e pourcentage d'augmentation permettant de pas-
3 2n+3
I
ser de la n-ième dizaine de mètres à Ia (n + l)-ième
3. 52 tend vers ;J lorsque n tend vers l'infini. dizaine de mètres est égal à t = O,B ÿo.
3. a.
ExERcrcE 326 valeum de i 2 3 4 5
valeu de u 2000 2016 2032,r24 2048,38 2$il,77
/ l\
l. 11 = 20000[l
l00J - = 20000 x 0,99 = 19800
Valeur de S 2 000 4016 6048,128 È 8096,51 = 10161,29

7'z = 19800 x 0,99 = 1960i2 b. A la fin de l'exécution de l'algorithme,


Ie = 19405'98. S = 10 161,29, ce qui correspond au coût d'un forage à 50
2, Tn+t=0,99In. mètres de profondeur.

3. La suite (fn) est une sudte géométrique de raison 4. a. On recherche le plus grand entier n pour lequel :

q = 0,99 d'otr T4 = 20000 x 0,99u. s,, < 125000


4. lannée2OO8 correspondà n=58. Tsa = 1l 165. En utilisant la calculatrice, on obtient 556 = 122363
5. Sr2 = 16+11 +"'+?2 =i1gggg, -
0,ggn+1 1
x 125342
et S5y
l_0,gg
Le coût est supérieur à f25000 pour n plus grand
= 2000000, (r - o,ss"+l).
6. que 50. Ia profondeur maximale est donc égale à
567 = 99O22Bet S6s = 1000325.
500 mètres.
Iæ filon sera théoriquemr:nt épuisé en 2018.
b. Voici l'algorithme modifié :

EXERCICE 327 u*20O0


I1 s 2000
l. ù = AoAt = - x4=2et d2= llnr= - x2=1. -
n+l
1
2. dn+t - -^dn.Ia suite (dn ) est une suite géométrique TantqueS<125000
z
I u+uxI,O0g
deraison4=-.
S.-S+,1
3. d,=4,(;)" n+n+l
Fin Tantque
(à)'.'
4. S2 = da+ fu+ d2+.-- + dn= d4 x '- ,_I Afflcher (n- 1) x l0

ExERcICE 329
='[,-(])".']
5. Conjecture : la limite de (Sz) semble être égale à B. l. a. ao= I 300 et dy = 1300+ 100 = I 400.
n+l b. an+t = an't lOO, la suite (aù est une suite arith-
6. Quelquesoit r. N, I - (l) <ldonc52<8.
métique de raison 100 et de premier terme
,. ltr, -Bl = o,oote et
lsrz -el = 0,00097. ao = I 300.
Le premier indice recher«:hé est donc n = 12. c. D'après la question précédente,
an=ao+nr=1300+l00tt.
442 CHAPITREï. CORRIGÉS

d. An - i rror = t2(n + Dq :on 2. l-a formule saisie dans la cellule C4 est : = 1.007*C3 .
t=o 2
EnC5:«-C4t1,007»
2 600 + l00n
= l2(n+ l) , = 600(n + l)(n+26). 3. Deuxformules possibles :
L

2. u bs=l400et b1 =(t+l'l ,, 4OO=1470. = G3 + F4 et = SOMME($F$3 : F4)


t 100/
b. bn+t = l,05bn,la suite (bn) est une suite géonré- Partie B
trique de raison 1,05 et de premier terme fo = I 4l)0. l. U1 l$[[
=
c. D'après la question précédente, ur=(r. = r,ooTuo = r812,6
bn=bO7n=1400x1,05rt. ffi)",
nqn+l _l U3 -- I,ÛO7Uy = 1825,29
d. Bn=\tzUy=tzhi; U+= L,007Uz = lB3B,07
2. a-Una1 =l,OÙ7Un.
= 336 ooo(t,osn+l - t).
2 b. La suite (Un) est une suite géométrique de premier
3. a.co=1500etcr= l+-100 x I 500+30 = I 560.
terme Ul = I 800 et de raison 4 - 1,007.
b. cn+L = L,O2cn +30, la suite (cr?) est une suite
c. Un = IJt * 4n-r = I 800 x l,O}7n-r .
arithmético- géométrique.
3. U2a = 2113,25, au dernier mois de son CDD, Marc
G. Un+l=Cnqyld=I,02Cn +30+a dewait percevo ir 2213,25 €.
= r,oz(c,.i#) = I,O2un car la suite 4. Voirexercice32l.
(rzr) est géométrique, ce qui implique 5. Voirexercice32O.
'# =
" | - t.oo724
6. S= lB00x -:---
soit o = 600.
I - 1,007 =46862,87.
d. D'après la question précédente
un=tty4n=2100x1,02n EXERCICE 33I
cn=ttrn-600=2 100x 1,02n -600 l. dn=4,9a9,8(n-1).
n I _t \ 4* = n(4,s + 4,s(n - r)) = 4,en2
cn= Lorrrr= 12t2 too:ft_i
l.Ozn+t
ê. -ooo(n+ t)J 2. sn =
",1L02,5, le corps
3. S15 = aura pÉucouru I 102,5 m en 15
cn = I 260000 (1,02n+t - r) -7 200(n + 1).
secondes.
4. En utilisant un tableur (les sommes Bn et Cn sont /'ond
4. 4,9n2=3900 ,=,
tronquées à l'euro), on obtient : - 1f * =za'zt'
n An bn Cn An B4 Cn læ corps arrivera au sol au bout de 28,21 secondes.
4 1700 t70t,7l t747,30 90 000 92 &t0 97345
5 l8o0 û46,79 t412,24 Ill 600 tt4 272 Il9 092
6 1900 1876, l3 1878,49 134 400 136 785 141 634 EXBRCICE 332
7 2m0 1969,94 1946,06 r58,$0 160 425 164 986 I
8 2to0 2m8,44 2014,98 ttB 600 t85246 r89 166 1. un+ 4 -un+ n-l -B(n+ l) +24 =2un - 4n+ 12
22û 2ÿt,46 2085,2A 2r0 000 2lt 308 214 I89
1
t0 2300 2240,45 2156,98 ûO
237 2346?4 240 073 Un
1l 2400 2394,48 2230,12 2æ400 267 407 266 8l:}5 2
l,
12 2500 25t4,20 2304,73 296 «X) 297 574 294 491 (un) est une süte géométrique de raison O = a"
l3 260{ 2639,91 23û,42 32?ffi 329 257 323 061 "t
14
15
2700
2800
277t,90
2910,50
z45A,M
2537,61
360 000
393 600
362 519
397 445
352 563
38:i 014
premier terme uO = 28 d'où ,^ = rU(;)'
Si Bob pense changer d'emploi dans les l0 ans à venil; il = I < t, la suite (vn) est décroissante.
devrait choisir Ie contrat C, s'il compte rester plus de
+
I
Aun+2n-6=7 (f,)".r"-u.
2. Vn EI\1, un=
10 ans, il devrait choisir le contrat B.
t r\n
3. Vnel\1, un=7lr) +2n-6=xn1ÿn
EXERCIcE 330
PartieA /l\z
dvêcxn=llr) etn=2n-6
l. F4: «= F3+2O» (-r2) est une suite géométrique de premier terme
6. 2, SU IT ES NUMÉRIÇ)UES 443

I 9(n+l)(2n+l)
xO=Tetderaisonq=- u"=--- Znz -.
(yr) rn".rrite arithmétique de premier terme 5. u u2s p 8,33 et uzo =9,æ d'où 8,33 < "4 < 9,68
".t
ÿo = -6 et de raison r = 2. uroo = 8,87 et ulse = 9,13 d'oir B,B7 < "4 < 9, 13
, r-(Àl'*I I n+l b. En faisant un programme, on obtient n = 27ool,
n. =r+(r-( ,
Ë^**=r'-!1\
k=0 L- Z uzzoot x 8,9995 et u27oor = 9,0005

! -6+2n-6 c. On en déduit"4 = 9.
Lyt=@+l),
k=0
--(n+l)(n-3)
On en déduit alors I
8
,,=Ëouo=r+(r-(;)".') + @+l\(n-3) .7
6

EXERCICE 333 5
4
l. Dans la cellule 83 , deux formules possibles : 3

=$82+20 olr=82+20; 2
..c. 1
dans la cellule C3, 3 forrrrules possibles:
=$C2* 1,2 on =C2* 1,2 ou ==$C2* (l+20l 100) ,l -I
2. a. La suite (Ân) est une srdte arithmétique de premier
terme 150 et de raison 2Cl.

b. La suite (Bn) est une suite géométrique de raison EXERCICE 335


p3 p3
1,2 et de premier terme 130. Aire d'un rectangle « sous Ia courbe» : Ao ,n= !, n3 n4
3. An=150+20(n- 1) = 130+20n. n-7 p3 (n-t)z
_
Bz = I30 x I,2n-L . un= L n4 4n2
P=o
4. a. Le montant du 6e dépr)t correspond à z = 6, Aire d'un rectangle « au-dessus de la courbe, :

,4o = 150+S x20 =25O Bo = 130 x1,25 =323. .l (p+1)3 _ (p+1)3


A'o=;x
b. FormuleA: n3 n4
6x (1t50+250)'=12ü) n p3 @+D2
+42+"'+,46= un= L n4 - 4nZ
A1
Formule B : P=r

B2+"'+85 = 130"
I.26 -I On en déduit,4 = I
81 + = I29l 4
iJ
c. La formule que Florent va retenir pour acheter son EXERCICE 336
scooter est la formule B car il aura économisé sufÊ-
Aire d'un rectangle « sous Ia co rurbe>> : Ap = ! * = "l
sarnment. 'nn "*
l-e
EXERCICE 334 ""="F*+=i'(Ë"r)
l. Graphique en fin d'exercice. On en déduit"4 = l,7l^9
"l-"à)
,. o,(Y; o) et a, (+ ,t#)pour o ( p ( n. ExERcrcE 337
3 9n2 2zn2 t. Ae(1! , o) ,,(+ ,,(o'T)
3. a.Ao--x-1;=--+-
'nnnr 'Y)
b. un -'F.T =,;"iir, = 99#) 2. Soit.Rp le rayondu cercle cherché.

Rp = d(Bp,Cp) =+
J 9(p+r)2 _:27(p+l)2 3. Soit ep I'épaisseur du cylindre,
4. a. At, = -x
n
n-l 27(p+r)2
nz n3 er= d(Cr,Cr*r)=
I.
b. un- I ---î- _27{ ,z
-Â L,* - 8lo2n
P=0
up=ttRfiep= -#-.
444 CIIAPITRE 6. CORRIGÉS

4. sn =ry î' ,, =8r! , n(n-r)(2n-t) métique


n' î-J' nr 6
f suite (zp) n'est donc pas géométrique.
^ 27r(n- r)(zn-l) # i,la
. 1
-,t- I
^zn'
2. a-ug=ut-rttO=1.
5. Sroo =83,55, Srooo = 84,70
Ill
b. Un+t = Un+2- = ,ur*, -
Sroooo = 84,Bl et Srooooo =M,82 ,un*, iu"
On en déduit alors que V = 84, Bà 10- 1 près.
rt I \ I
6,.
-- trRzh n x32 x9
ÿ=-=-=271r.
=
ilu"*'-
iun)= r'"
La suite (ÿn) est une suite géométrique de raison
33 I
7. def vohtme): o= r' I
V=27*pi ,, 2n
C.Un=--
n=l lr1
3. uwg=--:=-1.
S=0 u0

whileÿ-S>le-4: L ... un+t un+lun _n , un


n= n+l un+t àun t)n

S = 27 * pi * (n - l) * (2 * n - L) I (2 *, n * *2) c. wn+ I = w n + 2, la slJite (w ù est une suite arithmé-


print("S= ",5,"n=",n) tique de raison r = 2.
d. wr=2n-1.
2n-1
On obtient alors n = 1272345.
4. Pourtoutentiernature
I n; ua = unwn = -E-.

ExERCICE 338
s. sn =
k=o
ior'-r-É(l'l-
t<=ot 2 )
, (r\n+l
l. Ap
+,,) ,,(+,"_#) c _r n+2 '-12) =z---ii-.
Jttr =r-"t1{-
. ,t_2I ^
2n+3

cp ot 16-roz2 \ EXERCICE 340


nz )
2. Soit Âp le rayon du cercle cherché. PardeA
Rp = d(Bp,Cp) =+ l. Si chaque année le prix augmente de 1,20 €, on a
3. Soit ep l'épaisseur du cylindre, ttn+L = un + 1,2 : la suite (un) est donc une suite
er=d(cr,cr-ù=W#! arithmétique de raison 1,2 et de premier terme

256p2n(2p + l)
ul = 16'
^)
up=trR"rep= 2. Formule en C3: =C2+1,2
---A-
3. un - uL + (n - 1)r = 16+ 1,2(n - l),
4. sn= '#fi?r,.0,) donc u7 = 16 + 1,2 x 6 -- 23,20.
256n 2(n- l)z nz n(n-l)(2n-l) Partie B
=-._x +
n4 4 6
256n(n- l)(3nz - n-l') l. Le taux d'évolution du nombre de forfaits vendus
6r" entre les saisons 20061 2oo7 et 2oo7 I 2O0B est égal à :
5. SroO = 396,76, Slggs = 401,59 19003 - 18540
----:-=-
18540 =0,025 soit2,57o àO,lÿo.
Srooo0 = 402,07 et Slggggs = 402, I I
2. a. Pour passer d'un rang au suivant on mulüplie par
On en déduit alors que V = 4O2,1 à 10-r près.
I,O25
Onadonc unly= unxl,Ql$
EXERCTCE 339
La suite (urr) est donc une suite géométrique de rai-
l. ut=u1 --ltî=-
13 son 1,025, de premier terme ul = 18540.
4" 4
ut- un I uz- ut, la suite (un) n'est donc pas arith- La formule est donc: = D3*1,025
6.2. SUITES NUMERIQIUES 445

b. u, - ut , 4n-l - l854r) x l,ozsn-l , 1 + 1,03 + 1,032 + 1,023 +... + 1,0316 =


donc u7 = 18540 x 1,0256' x2150O,72.
*+
x21,7616.
Parüe C Conclusion : le jour de son seizième anniversaire
Katia aura 2176,16 €.
1.. Il faut multiplier Ie nomtrre de forfaits journée par le
prix du forfait. La formule est donc en E2 : =C2*D2 .
ExERcIcE 343
2. Formule en E9 : =SOMME(E2:EB) .
= 'o ,'@:t) =n:l .LafÊrmarionestvRÂIE.
l. sn''nz22n
ExERcICE 34I 2. s-" = L * ! = 1*l > I. Lumr-ation est
PartieA
2n 2n 2 2n- 2
FAUSSE.
I 2\ Sr>:,la
l. u2= =0,98x1200=1176. 3. D'après la question précédente, limite ne
"1 [1- t00,l=o,98trr 2
Demême ut=0,9ïuz = 0,98x 1176=1152,48. peut donc pas être nulle. tjaffirmation est FAUSSE.
I
2. Retrancher 2 % chaque arrnée revient à multiplier par 4. Sn+r -Sn=- Zn(n+l) <0, lasuite (S4)pE7y. estdé-
0,98, donc pour n) l, u7xa1 =O,9Bun, croissante. LafÊrmation est FAUSSE.
La suite (r,x ) est une suite géométrique de raison
q = 0,98 et de premier terme ut = 12O0. EXERCICE 344

l. ht. = b = -]-.LafÊrmation est VRAIE.


Partte B 3 2,{3
l. Formule dans C3 : = C2*0,98
2. Chaque nouveau triangle est une réduction au tiers
du précédent. Laffirmation est VRAIE.
2. un = ut, qn-t = 1200 x 0,98'?-r.
Doncpour n=2O, uzo = 1200x0,9819::817,48. 3. (hùest une suite géométrique de ruiro. et de pre-
]
Partte C mier terme t, = d'où hz =
+ *.Laffrrmation
l. Ils rembourseraient à la banque AA : EStVRAIE.
20 x 12 x 1047 = 251280 tlÊ). 4. Si n ) l, d'après les questions précédentes
2. Ils rembourseraient à la banque BB : ''/f-l
hn=
I - 0.9820 zrsnet(n= 7
1200 x _-:- x 72 = 239322,26 (€), donc moins deplus un=3x2n-r
I - 0,98 2 n
qu'à la banqueAA. 3xt/5x
OOü54=Un rhn
(
=
I LjafÊrmation
BxERcrcE 342
, I
estVRAIE.
l. c2 = 100 + 203 + 203 x 0,03 = 309,09.
ca
ExERcIcE 345
= 100 + 309, 09 + 309, 09, x 0, 03 = 4L8,3627 = 418, 36. )
2. Ona cr-cO=lO3etc2-cr = 106,09 l. un+l=Un+L-6=a Un- -
a)
ct -I c2 - c1, la suite ('cp) n'est pas arithmétique.
co La suite (un) définie sur N est une suite géométrique
Ona 3 ? = l.
co=2,03et? cL
=t,sz si et seulement si
o1= 6 c'est-à-dire a
3
Ct C,
- # :,la
co cl
suite (c2) n er;t pas géométrique. (un) est de raison q =
i et de premier t€rûr€ ug = -1.
3. Onpeutécrire en 83 « = 1,03*82+ 100» I
2. un=--.
On peut écrire en C3 « = 83 * 0,03 »
3. (uù tend vers O et un = un + 6 d'où (up) tend vers 6
4. Il faut calculer :
lorsque n tendvers +æ.
cro = r00(I+ 1,03+ 1,03'] +1,023 +...+ t,oal6)
C'est la somme des 17 premiers termes de la suite 4. .,sn=,.,'-liË.'
I-3
=-i(, #)
géométrique de premier terme I et de raison 1,03,
I
soit: b. ( tend vers 0, on en déduit que la suite (Sn)
3,*r
446 CIIAPITRE 6. CORRIGÉS

3
convergevers --. EXERCTcE 348
r. o<1<ld'oùo< / r \,2
"
n
.. L ut - uo + ut +... + un= Sn +6(n+ l) tendvcrs '[;J
/c=0 ainsi Vn e N, 0 ( un <e+ l. Laffrrmation estVRAIE.
+oo lorsque /, tend vers +æ.
z.un+t-*=(:) l\ - r).0, la suite (aa) est décrois-
;
sante. Laffirmation est FAUSSE.
EXERCICE 346
26
l. lB,3+ lB,3x =23.058. ,. ,1i1,o(:)' = 0 d'où ,ril*un= e. uaffirmation est
I00
2. a. u1= 18,3 et- uz=23,O58. FAUSSE.
b. un+r = l,26un,1a suite (rn) est une suite géon é- n
a. L u* - tt{+ ur + uz+..' + un
trique de raison 1,26 et de premier terme ur = lB,:1. k=o
c. un - lB,3 x 1,26n-r .
= (e+1) . (,.(:)) . (,.(:)') .
d. u7 = lB,3 x 1,266 = 73,2 anondi à 0,1 femto-
grarnme.
3. fin de l'exécution de l'algorithme n = 9. Ia mas se
A la
de glucose absorbé dépassera I00 femtogrammes
pendant la 9e période.
4. a- Pendant les 30 premières minutes, la masse lo-
tale de glucose absorbé est égale à 70,41108 femlo- EXERCTcE 349
grammes.
1. Proposition de Ia banque A
b. Formule dans la cellule C3 :« = C2+ B3».
1.26n 915 .
| a-U4 = Ut+@-l)r = 2000+460(tt -l) = 1540+460n.
5. S. = lB.3 x -
r-1,26 - -ll.26n
13 '
-ll. ',
b. U16 = 6146, le dernier versement sera de 6 140 €.
6. Grace à la calculatrice, nous obtenons c.
Srsr = 9,9.1014 et 5132 = 1,2.1015
U *20O0
l32O =22 x 60.
S 2969
22 heures sont nécessaire, depuis le début de la mise -
Pour k allant de 2 à l0 faire
en culture, à l'absorption de I gramme de glucose p ar
la colonie de bactéries.
u.- 1540+460t
S-S+U
Fin Pour
EXERCICE 347
Afficher S
-l. Un+t unay*l= 4un+4
----------: =+Un
Z Un+\- Un- ut+urc
Z d.s=1ox , =4o7oo.
( up) est une suite géométrique de raison 4. L affirrr a-
Si le prêt est contracté auprès de la banque A, I'entre-
tion estVRAIE.
4'1'x'6- prise dewa rembourser 40700 €.
us(t+t+t2+"'+4r0)=
'' Ër'r= " ' 2. ProposiüondelabanqueB
firmation est FAUSSE. a. Soit r le taux mensuel : (l + tllz = I * 5'75
r00
B. Pourtoutn€N, '' =un+l
un I
un-2 ê t= (I,0575) 1z-l=0,00467
ê qn(un-D=2un+l soit environ 0,467 %.
e L,n = Zur*=l . Liaffirrra- b. a = 40000 :l
0.00467
x Bll2,43 arrondi à
un- |
tion est VRAIE. - (1,00467)-c
0,01 près.
4. Quel que soit n e N, u4 > 0 sa limite ne peut donc p as 3. 5 x 8112,43 = 4O562,14. La proposition de la banque
être négative. IjafÊrmation est FAUSSE. B est plus intéressante.
6.2. ST IITES NUMÉRt',ç'y65 447

EXERCICE 350 suite (un) est géométrique de raison 1,05 et de pre-


On sait que pow x * l, I + x + * + q*n-l-xn+l mierterme uo=2O0.
l-x c. un = ynqn = 200 x (1,05) n
.
sr=(t+r+.f +.--+xn)l
+l 2. u On î
un+t = un - 15, (un ) est une suite arithmé-
(',iï')'= nxn+l -(n+.L)xn
(1- tique de raison 15 et de premier terme ÿ0 = 300.

"' + nx'-| b. La fonction parcQ revoit 4.


On en déduit Sn = | +2x + 3.rz +
nxn*r - (n + l)xn + I En2022,la fréquentation du parc U deüendra supé-
^
s'=- '
(t-xÿ rieure à la fréquentation du parc V.

ExERcrcE 35[
EXERCICE 354
r. b 2.b 3.d 4.c 5. c
l. 100 x 1,05 = 95, le bassin conüent g5 m3 d'eau une
EXERCICE 352 semaine après son remplissage.
l. ut - 10000 x 1,03+ 1000 = I1300. 2. a Diminuer de 57o revient à multiplier par
2. Chaque année, la somnle placée augmente de 37o [t - 3] = o,es d'otr un+r=o,elun
somme à laquelle s'ajoute 1000 €.
t 100/
La suite (un) est géométrique de raison 0,95 et de
Augmenter de 37o reüent à multiplier rr. (, - premier terme u0 = 100.
,*1)
soit 1,03 d'où upal = 1,03a,x + 1000. b. u,n = uo x qn - I00 x 0,95n .

3. Programme complété : c. ue = t00 x 0,956 = 73,51 à 10-2 près.


Au bout de 6 semaines, Ie bassin contiendra 73,51
m3 d'eau.
del placementQ :
3.
u = 10000
def jours(V)
for i in range(IO)
u=uxl.03 +1000
n=0
return u=100
u
while u7V :
100000
4. a. Pourtoutentiernatureln, unal= unal +- n= n+l
3
100000 rffi000 u=0.95x u+3
unal=I,03un+1000+ - =l,O3un+
3 3 return n
r0000tl
un+l = 1,03 ( un+ --T- = l,O3un
EXERCICE 355
lasuite (rn) est géométrique de raison 1,03 et de
uo=r{+ry9 l. u1 = 1,05u9=525etu2 =1,05ur =551,25.
premierterme
b. D'après la question précédente
=
:
i9 2. un+t=l,O\un.
--
un=uOrq"= 130000
(1.,03),?. 3. La suite (un) est une suite géométrique de raison
S q = l'os'
100000 130000 - 100000
(1,03)"-
c.ttn=Yn- .
4. u7 = 703,55. Si la tendance se poursuit, le directeur
3 3
5. u1s = 24903,04à 10-3 près. peut espérer 703 familles pour l'année2O25.
Bob disposera de 24903 euros.
EXERCICE 356
EXERCTCE 353
l. u1= 0,9ua +30 = I29.
l. a. Le nombre de visiteursi en 2019 est donné par u1 Le nombre d'exposants attendus en 2020 est I29.
ur = 1, 05 x 2O0 = 2lO soit üsiteurs.
2 10 000 2. Pour déterminer unq1, ort prend 907o de z, soit
b. On a, pour tout entier naturel fi, un+t = l,O\un,la 0,9u;2, puis on ajoute 30 au résultat, ce qü donne
448 CHAPITREï. CORRIGÉS

0,9u7x +30. Ceci signifie qu'à terme le nombre d'adhérents at-


Donc, pour tout entier fl, un+t = O,9 un + 30. teindra 120 sans jamais le dépasser.
3. def exposantsQ 3. a-Audépartilfaut
u=II0 eg = I x 0,6 x 50+2 x 0,4 x 50 = 70 heures de gymnas-
n=2019 tique.
while u ( 220: Si la répartition se maintient avec les nouveatxadhé-
u=0,9x u+30 rents il faudra prévoir un nombre d'heures e2 tel
n= n+l que:
print(n) | x 0,6 x an + 2 x 0,4 x an = l,4an,soit
€n =
en=1,4(l2o-70 x 0,85n) = 168-98 x 0,85u.
4. a.una1 = Un+I -300 =O,gun-270 b. D'après la quesüon précédente le nombre
un+t = 0,9 (un- 300) = Q, 9v, d'heures de gymnastique était pour l'année 2000+ n,
La suite (un) est une suite géométrique de raison ez = 168 - 98 x 0,85n .

4 = 0,9 et de premier terme uo = -190. Donc à raison de 20 parücipants par heure il faut
b. Pour tout n : trouver un nombre enüer n de séances tel que :

un= 168-98x0.85u
UOx qn = -l!QxQ,$n. e I6B_9Bx0,B5n >160
20
ttn = un +300 = -190 x 0,9n +300.
5. La süte (uz) est géométrique de raison 0,9;
<- gBxo,BSn <g
En utilisant la calculatrice on obtient :
or -l < 0,9 < I donc la suite (un ) tend 0lorsque n r)st
98 x 0, 8515 > B et o, 85 x 0,8516 < B
très grand. ->B
Comme pour tolut n, un = u n I 3O0, on peut dire qre
Le plus petit entier est n = 16, ce qui correspond à

la suite (u2) a pour limite 300.


l'année 2016.

De plus, en calculant quelques termes de la sule


(ufi, on peut conjecturer que cette suite est crois- EXERCICE 358

sante. L. u2 = 1000-0,2x1000+300 = 1000-200+300 = I 100;


La suite (un) est croissante et admet pour limite 3( r0, uz = llûO-0,2x I 100+300 = I 100-220+300 = I 180.
donc tous ses termes sont inférieurs à 300. 2. D'une année sur l'autre l'effectif est multiplié par 0,8
IJorganisateur a donc raison de dire au maire qu'av ec puis augmenté de 300, soit:
300 emplacements, il aura assez de place pour ne p as unal=0,8x un+3O0.
refu ser d'inscriptions. 3.

EXERCICE 357
1500
l. aû = 50 et anal= 0,854n + 18
2. a.Pourtoutn>O,
un+l = an+\ - 120 = O,BSan - lO2 1000
= 0,85(an- àË) = o,85 (an - t2o1 = n,s5un.
I-a suite (&n) est une suite géométrique de rais,rn
0, 85 et de premier terme uo = -70.
500
b. Pour tout n>0, un = -70 x 0,85u.
D'olt an = un * l2O = l2O -7O x 0, Bsn .
c. Comme 0 < 0,85 < l, on u
,{T_ 0,85n = 0, donc 0
lim an=120.
n-+@ 0 500 1000 1500
6.2. SUITESNUMÉruQ|UES 449

En partant du point (1000; 0) et en allant «vers le 2. La suite (un) est géométrique de raison l, I et de pre-
haut »jusqu'à la droite d'équation y = 0,8.r + 300 et mier terme u0 = 3000, d'où u4 = 3000 x l, I n.
« vers la droite » jusqu'à la droite ÿ = x, on constate 3. La barre des 100000 jeux vendus sera dépassée au
que la suite semble converger vers I'abscisse du point bout de 15 semaines.
a25 -l
commun aux detrx droites donc vers I 500. 4. S= uo + ul +...* u24= uo" =295041,18.
4. a. Pour tout entier naturel non nul n,
n _|
Au bout de six mois, 295041 jeux auront été vendus.
uz+l = 1500- un+t =1200-O,ïun
= r,r(.8,# - u,) = o,srrsoo- uù =o,Bun. EXERCICE 36I
La suite (vn) est une suitr: géométrique de raison 0,8,
l. La / est dérivable sur [0 ; 2]
fonction
de premier terrl€
= 15i00- u1 = 1500- 1000 = 500.
u1
f'G)=*-1=(x-1)(x+1)
b. On a pour tout naturel non nul:
un = Q,Bn-l ut = 500 x 0, i3n-l x 0 I 2
Comme 0 < 0,8 < 1, on sait que 0+
,!]p_0,8n-1 =
0,
l'$)
donc lim u, 0.
n-+æ =
I
I
Or un = ISOO- u2, donc:
,liqr*uz =
1500 t
le nombre de donateurs'rra se stabiliser vers 1 500. r \ I ,/
-;
EXERCICE 359 2.
l. u1 = 300 x 1,054 = 316,2 et uz = 316,2x 1,054 = 333,27
2. un =3O0 x (1,054)n. B
3. a.
def anne,e(n):
z = !i00
whils u < 450
n,= n+l
2
tu.=1,054xu M2
return n AMt
b. Exécution a de la fonction annee(2017)
n 2017 20r8 2019 2020 202r

U 300 3t6,2 1i33,2? 35t,27 370,24


3. D'après le tableau de variation, la fonction / change
u<450 Fau Fau Fau Fau Fau
de signe deux fois sur I'intervalle [0 ; 2], l'équaüon
n 2022 2223 2024 2025 x3 I
-= - .t * :. = 0 admet donc detx solutions dans [0;2].
U 390,23 4rr3l 433,52 456,93 33
u<450 Fau Fau Fau \tai 4. Voir le graphique précédent. Les points M se rap-
annee(20l7) retourne donc Ia valeur 2025. prochent de la solution recherchée.
Eî2025,1a masse des déchets aura dépassé 450 mil- 5. Soit M le point de coordonnées (x;0)
Ert @-z;-r)
I" 2
lions de tonnes.
"tdi a-2; -au
3
- a- -
La. condition de colinéarité permet d'écrire
EXERCICE 360
w-2',)(!é -
L. u1=1,1x3000=3300 "-") = 2- a soit après simplifications
+9a-2
uZ=l,l x 3300 = 3630 X=-.-2a3
-ar +3a+2
3300 jeux seront vendus une semaine après son lan- 0. a, g(ao) = al, g@r) = a.z, g@ù = aa.
5
cement, 3630 serontvenrlus la semaine süvante. b. at - -: , a2
4 = 1,4O741, as x I,48237 ,
450 CIIAPITRE6. CORP.I:GÉS

a+ x 1,51316, a5 = 1,5250I, a6 = 1,52946 îrt @+2;-tz1etrt (a+z;aa +a-tl).


a7 x 1,53112, aB = 1,53173, as = 1,53196 La condition de colinéarité permet d'écrire
arc = 1,53204, ay = 1,532O7. (x+21(aa+a-la) = -IZa-24 soit après simpliflca-
c. D'après les réponses précédentes, n = 3. .
t10ns.r
-2a4 -l4a+4
=
d. Un encadrement à l0-2 sera obtenu à partir rle a4 + a-14
En prenant ao = 0, a= -1,353 à l0-3 près.
n=5,
un encadrement à I0-4 sera obtenu à partir de n = g. ExEncrcE 364
l. lafonction/ estdérivablesur [0; 2]
ExERcIcE 362
f'(x) = xz - I = (x- l)(r+ I)
La fonction / est dérivable sur I-2; 0l
ft{x)=3x2-t x 0 I 2

Js fttx) 0+
x -2 q 0 I
3 I
1'@) + 0
I \ I ./
l*'+
r
-5
.r' \ I
2.
v
3

D'après le tableau de variation, la fonction / change le


signe sur I'intervalle
[-2 ; 0], l'équation.C - x+ 1 = 0 a d- I B
met donc une solution, notée r dans [-2;0].
Soit les points M(x;O), A(-2;-5) et I(a;a3 - a+ l)
T1
îfr g+z;s1 etrt (a+2;a3 - a+6).
T2
Ia condition de colinéarité permet d'écr:re
0 )
1x+21(a3 - a+6) = 5a + l0 soit après simpliâcations
-2a3 +7a-2
X=-.
ar - a+6
En prenant aO = 0, nous obtenons a = -1,324 à l0-3
près. I
3. D'après le tableau de variation, la fonction / change
ExERCICE 363 de signe deux fois sur l'intervalle [0 ; 21, l'équation
-3
Ia fonction / est dérivable sur [-2 ; 0] \33-** I =0admetdoncdetxsolutionsdans [0;2].
f'tx)=4x3 +l 4. Voir le graphique précédent. Les points T se rap-
I prochent de la solution recherchée.
x -2 0
i/tr 5. a Equation de la tangente à e au point / de la forme
ît(x) 0 + y= ît(b)tx-D+ f (d.
t2 -2 (t
r \ .r' soir v=
'33 *L.
-tltx-?æ
b. l,e point d'intersecton de la tangente avec l'axe
/[-+) des abscisses vérifle : (È -t)x -?Ë*1
33 =osoit
D'après le tableau de variation, la fonction / change le 2É -r
""
ÿ-_
z(F -t)'
signe sur l'intervalle [-2 ; 0], l'équation x4 + x-2 = 0 ad-
6. a. h(bù = b1, h(bS) = bz, h(bù = b3
met donc une solution, notée a dans [-2;0].
Soit les points M (x; 0\, A(-2; 12) et I (a; aa + a - 2)
b. -= !,
h'3'-bz = ?,
bq = 1,s3239
tM'"
ba = 1,53208899, D5 = 1,53208889
6.2. SUTTESNUMÉRTQUES 451

c. La calculatrice donne une valeur de la solution Supposons x2 > 0 alors xn+r ='## > 0 pour la
égale àb5 à 10-5 près. même raison que précédemment.
On en déduit alors que pour tout n€ l\,
EXERCICE 365 rO >0 .r1 >0 x2>0 xn>O.
La fonction / est dérivable sur [0 ; 2], f' {x) = 9x2 + 2 -- -
2. r|=t.l
x 0 2
1 - (2xn+3)2'3(xn+2)z *"-z
rn+l-J= =
+
trn*rÿ ojry<rtcar
7t{x) par hypothèse.f < 3.
27 3- x?
r
-1
.r' 3. Pour tout n €
questions précédentes.
l\,1, ,n+l - xn =
ifr,
> 0 d'après les

On en déduit que Ia suite (xn) est croissante.


D'après Ie tableau de variation, la fonction / change de 4. On admet que la suite admet une limite finie /, alors
+3
signe sur l'intervalle [0 ; 2], l'équation 3.f + 2x -| = O lvérifrel--21 , .- 12=3
admet donc une solution, îotée ü dans [0;2].
l+2
D'après 1., pour tout n e [N, x2 > O dortc I2O
Soit,I un point de la courbe d'abscisse D. IJéquation de On en déduit alors que / = r/5.
la tangente àla courbe en,J est y = (9t +z) x - aÉ -t e Un théorème qui sera vu plus tard permet de justifier
Le point d'intersection de la tangente avec l'axe des abs-
I'existence de la limite : « Toute suite croissante et majo-
cisses est d'abscisse r= En utilisant la méthode rée est convergente ».
#-
de Newton et bo = 2, nous ol)tenons a = O,402 àL0-3 . Ici la suite est croissante et majorée par 3, elle est donc
convergente, c'est-à-dire qu'elle admet une limite finie.
EXERCICE 366
La fonction / est dérivable sur [-2 ; Ol, lt @) = ex + I ExERcrcE 368

t. Vn >2, (,.*)('-;)='
JC

f'{x)
-ll
+
0
2. Pn =(, -i)('-+) ('-#)
I =(, - ;) (,. ;) (,- :)('. l (,- ;)(,. ;)
r\/ l\ n+l
)
r ./ =(, --ll1+-l=-.
e-2--2 2J\ n) 2n
2020 1010
3. Pzotg
4038 2019
D'après le tableau de variation, la fonction / change de
signe sur l'intervalle
[-2 ; 0], l'équation er + x = 0 admet ExERcICE 369
donc une solution, notée a dans [-2;0]. lI3II
l. un+t = ttn+t -
Soit / un point de la courbe d'abscisse b. L,iéquation de i = - 4un+ 28
3 11 3
la tangente à la courbe en,I r tst y = (eb + l) x + 0 - bl eb . ( un- il. =- n'n
Le point d'intersection de la tangente avec l'axe des abs-
(b
la suite (u2) est géométrique, de raison 4 = -1 et de
cisses est d'abscisse 1ç = -l)eb .En utilisant Ia mé- I
eb +l premier terme ut = -
thode de Nev/ton et bg = 0, nous obtenons a = -O,567 42
1
n-l
à 10-3. 2. Un=--
"42 x (;)
1l I ll
ExERCIcE 367 Un=-+Uf=---x
"2r"2t42 (-;)"
t. xo = 1 > 0, x1 ='##:,0 car quotientde sommes 3. a. Bn désigne l'évènement « Bérénice ne téIéphone
strictement positives. pas àAlfred le zè-' ;our qui suit leur décision ».
452 CHAPITRE 6. CORRIGÉS

b. P (Bnalri Bn) = P (Bn) x Pnn(Bn+i= On en déduit alors que (un) tend vers 4 lorsque z
à",rr,
tend vers +oo.
, (u n*, =o (r,ù, p r- (Bn+ù= ij (a,)
"E;) "
c. D'après la formule des probabilités totales :
(Bn+i = P (Bn+tn B,?) + n (fr*1 n nr) EXERCICE 372
P
3ll [. Pour tout entier naturel n, otr a
=- nP(Bù+ o. i

Il I / 3\n-l u na6 = Ç t)n+s + z + z")


4. p(Bn)-un=i.-A,l-n) "i"(f, "
un+s -- (-r)n *z"in(! r) = ,,.
d'oir P(B6s) = 0,524 à l0-3. Lafûrmation est FAUSSE.

EXERCTcE 370 2. Pour tout entier naturel n, orta: -1 < (-1)n < 1 et

l. pn+qn=1. -l < si"(in) ( I d'où -3 ( un ( 3. tlaffirmation


estVRAIE.
2. Pa,(Bn+i =0,5 et Ps,(Bn+ù =O,7
3. P (Bnn Bn+r) = Psn(Bn+ù xP (Bù = 0,7 x en 3. W= 1, Ltr --1+ lletu2=3
P (AnnBna) = Ptn(Bn+t) x P(Aù =0,5x Pn. ut-ttt<OetuZ-ut>0
D'après la formule des probabilités totales : La suite (un) n est donc pas monotone.
P (Bn+ù = P (Bnn Bn+r) + P (Ann Bn+r) Laffirmation est FAUSSE.
= o,7 4n +o,Spn. 3u.3
4. D'après les questions précédentes: nnn
lim ltun 1=od'otr lim &=0.
4n+t = 0,74n +0,5(L- qn) =o,Zqn +0,5. n-+æ-1=n n-+æ n n-+æ n
5. an+r= qn*1-O,625 =O,24n-0,125 Laffirmation est VRAIE.
=0,2(qn-0,625) =0,2un ls Ce théorème sera vu l'an prochain sous Ie nom de
La suite (un) est une suite géométrique de raison (t,2 « théorème des gendarmes » ou « théorème d'encadre-
et de premier terme ut. ment ».
6. 0< 0,2 < I donc
nli1_r, = 0
4n= un+o,6zs Oor. r]ip_r, =0,625 EXERCTCE 373
pn = | _ 4n oor. = 0,375
rlip_r,
A long terme, il y a 62,57o de chance pour que l'tn-
l. a2 t
=z + +t/5, = z - +t/5,
a3 =26+ 15y'5et É =zï-ts'/5.
dividu interrogé choisisse le modèle b et37,SVo qtt'il
2. Supposons qu'il existe deux entiers z,, et r,ln tels que
choisisse le modèle a.
afl = un + u n\/5 et bn = un - unt/-3,
alors an+l = (2un +3uù + (un + 2uù t/5
EXERCIcE 37I
= un+r* un+tl\
l. Si z6 =4 alors ur = | +3 = 4
6n+r = (2un +3un)-(un +2ufi t/l = unay-una1t/5.
Supposons qu9 un = !,alors upal = 1 * 3=4
1YEC Unly =ZUn+3Un et Unql = lln l2Un.
Ainsi si uo = 4 alors pour tout n € [\, u, = 4
3. uzni, - gu'n*, = (2u, + 3u fiz - 3 (un + 2u fi?
2. Onsuppose'rat4.
= u2n-3u2n
a- Soit une suite (uz) déûnie piar un = Lt, - 4
ll la suite est constante d'otr u2, - 3u2n = u? - 3u? = |
Onaalors un+t=
iun-l= 7@n-4) UnUn+l-UnqlUn=ün (un +zun) - (Zun +3un) un
La suite (un) est géométrique de raison ae n,,"- _ -.2
| "t -un
1. -3u2n =
mier terme ug = uo - 4 an _ u2n-3u2n _ I
4.
On - (rn-rnlT2 _a
(u" - r"t/s)'
la fraction est
b. u, - un + 4 = 4 + (uo - 4),
' lr1'l'.
\4) irréductible.
-4 lim u2-o
".0<l<td'otr u-+æ
6.2. SUTTESNUMERIQUES 453

EXERCICE 374 Onendéduitque0 ( u4 ( 55 0 ( 8(zn) ( 55'


( -
c'est-à-dire 0 -( u2a1 55
L. AB = 4, BC = B et d'aprè,s le théorème de Pythagore 0. I
AC = at/i G. un+t - un= âun (55- un) > 0

En calculant I'aire du trriangle ABC de deux ma- donc la suite (rrn) est croissante.
d. l,a suite (rrr) est croissante et majorée par 55, elle
nières, on obtient AB x AC = BC x HtHz
16J5 est donc convergente.
d'où /1 = HtHz = :::: = 2y'3. LafÊrmation est
§ Cette propriété sera vu l'an prochain.
FAUSSE.
e. On admet que la limite I de la suite (uz) vérifie
2. Par construction ÉIg I/2 est rectangle en H2
EQ) = l. D'après la question 1.a, / = 55
HgH2= AB2 - hH|=z 3.
cosABH2=cosABC= aon" EfrÈz=60" n+o
] u* 12
Par construction tous les triangles HnH,ayHna2 IhntQue u < 50
sont rectEmglesêrr Hn+z et u * l,l* u- 1,1* u2 1605
n* n+1.
HniÉf,Hi,,,2 = 60" donr: Fhlhnt Que
Afâcher u
quel que soit ,? € l\, le trjiangle HnHnalHna2 êsttort
demi-triangle équilatéral. Llaffirmation est VIIAIE. EXERCICE 376
3. D'après ce qui précède , ln+r =Jn x sin(60) ='+ PartteA
l. u1= 1,03un - 1545, u2 - 1,03u1 = 1591
La suite ((n) estgéométrique de raison
f .r*r- z3 = 1639 en arrondissant le score au point supé-
mation estVRAIE.
rieur.
,-(+)".' I 2.
4. L, lim Ln u1 =us+70=1070, u2=q+7O=1140
1- '/l n-+æ 2- \/3
2 4 = 1210.
a(z+
'/e)
< 30. 3. un+t = l,03un,la suite (un) est une suite géomé-
Iiafârmation est VRAIE. trique de raison q = 1,03
un+t = un + 7O, la suite (un) est une suite arithmé-
EXERCTCE 375 tique de raison r = 70.
Partie A : Un premier modèJle 4. D'après Ia quesüon précédente : un = 1500 x (1, 03) n

un = l0O0 +70n.
l. un+r = l,oïun,la suite (/n) est géométrique de rai-
son 1,05. un=12 x 1,05n.
5. u13 = 2203 > 2000 et ,,13 - 1910 < 2000
Seul Ulysse sera sélectionné pour participer à Ia û-
2. u35 = 66,19 > 60, ce modèIe ne répond pas ar»(
nale du 14 juillet.
contraintes du milieu naturel.
6. A l'aide de la calculatrice, on obüent u9 = 1957 et
Partie B : Un second modèk: urc x 2O16, Ulysse sera qualifié le 10 juillet

l. a La fonction g est dérivable sur [0;60], ut+ = 1980 et u15 = 2050, Victor natteindra le score
. 1.1
(605-2-r) > 0 donc g est croissante sur fatidique des 2 000 points que le 15 juillet.
g' (x) =
ffi Partie B
[0;60].
b.g(x)=x-x (r-*4-o - r=oou.r=55 L. u I est dérivable sur [0; 15] et ft G) = 3* - 2ox + 25
la dérivée de la fonction / sur [0 ; 15].
2. a. u1= g(W) = 12,938 à 10-3 près. b. En calculant le discriminant de /r(x), nous obte-
En20I7,la population sera de 12938 indiüdus. nons deuxracines :5 et I d'ot lu fu"torisaüon:
3
b. D'après la question l.a, la fonction I est croissante /r{r) = 1a.r-s)(r-5).
sur [0 ; 55], de plus g(0) == 0 et g(55) = 55
454 CIIAPITREï. CORRIGES

t 0 5 l5
r'e\ + 0 0+ 2. a. a solution de l'équation donc a2 - a-I = 0 soit en-
c. --n-
.z
JZtW
270o corea2 =a+L
f
I 200
\ 1200
b. de même p2 = p+l
2. La courbe e ci-dessous est la représentation g:a- c. ü + P = I la somme des detx racines correspond à
phique de Ia fonction l'opposé du coeffrcient du terme x dans l'équation.
/ précédente.
d.a-F=rf -t--f =*
e e. az + p2 = ü+ p+2=3
2500
B. pour prouver l'égalité : r, = - F") nous al-
2000 ft@"
lons faire une démonstration par récurrence :
1500
Initialisation : Vérifions que la propriété est vérifiée
r000
pour Fr et F2
500 l1
0
-la-p)=-=xy'5=l=Fr
ÿ5 ÿ5
0l 510 - p1 = t*r". | - p - r) = t = Fz
àr"'
Hérdité : Montrons que si la propriété est vérifiée
Al'aide de cette courbe, nous obtenons une solutic n :
x=13. jusqu'au rang n + I alors elle sera waie au raîgn+z
3. a- /(0) représente Ie nombre de points obtenus lrar on suppose que F, - l@^ - pn)
juin. v5 "t
Fabrice le 30 I
Fn+t=i(an+t -pn+t1
b. D'après la question 2., Fabrice sera sélectionné le ÿ5
13 juillet. a-lors Fra2 = Fn I Fn+l
= + r) - tO*r)
Le premier sélectionné sera donc Ulysse.
)8""(a
|
fty,
= vc-onoz - lB" p'
ExERcIcE 377 v5
PartieÀ Crolssance des lapins = )- 1on*'- Pn+2)
r/s'
l. Il y a un couple les premier et deuxième mois s rit
F1=1,F2=1, la propriété est donc vérifiée a'utaîg n + 2

le troisième mois, ce couple donne naissance à rn Conclusion : La propriété est waie aux rangs 1 et 2 et
est héréditaire , la propriété est donc waie pour tout
nouveau coupe soit F3 = 2
le quatrième mois le premier couple donne nais- n)- l.
I
sance à un nouveau couple soit F4 = 3.
Ainsi Vn >- I, Fn = (o" - F")
,/i
2. Le mois n + 2, les couples nés au plus tard le moir n +. Ffl - FnlFr*r = p"-t (-zap + az + p2)
donnent naissance à autant de couples soit F, d'rù :o"-L
= (oF)"-'
Fn+Z= Fn* Fnalpotur n)- l.
3. = (-1)'x - +1
4 I 2 3 4 5 6 7
F4 1 I 2 5 I l3
4 8 I l0 1l t2 l3 14
d'oùFlr= Fn-rFn+t+1.
Fn 2t 34 55 09 144 233 377
n 15 l6 t7 18 19 20 21
EXERCIcE 378
Fn 6r0 987 1597 2584 4l8I 6765 10946

Partie B : Ia suite de Fibonacci l. ug = l, u3 =1, u4 =3 et uS = 5.

l. En résolvant l'équation I - x - | = 0 par la métho cle ,. o='*-f et§=!-É.


du discriminant, on obtient deux solutions xl = r et 3. un+t+ un = Lan+l + ppn*I + lan + ptpn
xz= A. =Lan{a+t)+ppn(p+t)
6.2. SUTTESNUMÉRTQUES 455

unqt 1 un -(Lon*z + ÿFn+z) = ur*z o si le quatrième chiffre est 1 alors le mot comporte
(ur2) est donc solution de (1). deux bloc 01 ;

4. ug = uû et ut = ul alors )' et p. vérifrent le système . si le quatrième chiffre est 0 alors le mot comporte

ll, + tt = Q deux 0 consécuüfs.

ll" + t-LP = | Le raisonnement est analogue si le premier chiffre est


La résolution du système permet d'obtenir 1.
11
)"= etu= -.-. 2. P(000) = (01)(01)(01) = 010101,
-t/s t/s
P(lll) = 101010
on en déduit que vz e N, u2 = ry"
\/5 P(1001) = l00l0ll0.
5. Immédiat en factorisant par on. 3. a. f1 = P(0) = 01, f2 = P(Sl) = allA
l-É. t.
6. t -f :-152 .onendéduitalorro. ,s =P(0110) =01101001.
t+r/s n l+y's
r-\/5 tend vers 0 lorsque n tend vers +æ. b. rs comporte I chiffre, f1 comporte 2 chiffres, t2

comporte 4 chiffres.
f+r/S
A chaque étape, on remplace chaque chiffre par deux
B.n-+æ
lirn - un*\ 1+ 6
Ltn = = cp
2 chiffres, on double le nombre de chiffres donc f;2

comporte 2'1 chiffres.


EXERCICE 379
c. Dans f1 il y a autant de 0 que de l. Cette propriété
l. u1 = 2919, uZ = 86, u3 = 1.00, u4 = l. est héréditaire puisqu'à chaque étape chaque 1 pro-
pourtout n>4,un=l duit un 0 et chaque 0 produit un l. Pour tout n > 0, il
2. u u1= Bg, uZ = 145, ul = 42, u4 =20, uS = 4, u6 = 16, y a donc toujours autant de I que de 0 dans chaque
u7 = 37, ug = 58, u9 = 89 := ut, ut1 = uZ = 145. mot f2 de la suite de Protéus.
b.20fg =8x252+3 d'où u2s19 =u3=42. a. a. P [tl) = P(l) = Io = P(o)
3. a. Si z1 < 1011 alors u2( 10x92 donc u2 < 1000 PO=P(ot=01=P(l).
uz étant un nombre à maximum trois chiffres u3 sera b. Pourtoutmot tn, Pam) =F6.
inférieur ou égale à 3 x g2l donc inférieur à 1000 c. f1 = Ql, t2=0110 et fa = 01101001
Onendéduitquepourtout n)2, un < 1000. tz=4ttet1.6=tz$.
b. def stite(u , n): d. Si un mot est de la forme mm alors
for I in range(I, n) : p@d = POOP(m) = P(m)P(m) et donc Ia pro-
un = uÿo100 priété est héréditaire, soit pour tout n > O,tn+t = tntn
cent = ul llOO e. m etm- ont autant de 0 que de l, un mot quel-
di)c=(u-cen *100)//10 conque ,n a donc autant de 0 que de l.
u= un* *2+ dix,,N *2+ cent * *2 f. 2019 est impair, les derx derniers chiffres du mot
print("u = ", u) ,2019 sont donc 01.
c. Il sufflt de calculer uz = 285 et de changer
«runge(2,n) ». On obtient alors 22919 - 145.
ExERcIcB 38I
EXERCICE 3BO L. a 9-28- l4-7 -22- ll -34 - 17 -52-26- 13 -40-
l. a. Il y a deux possibilités pour chaque chiffre, soit 22 20- 10-5- t6-B-4-2-r
mots de n chiffres. b. Les étapes du vol sont données ci-dessus,
b. Considérons un mot de 4 chiffres : l'altitude maximale du vol : 52
. si le premier chiffre est 0, si on ne veut pas deux la durée du vol en altitude: 2
chiffres consécutifs égaux, le suivant est 1 , le troi- la durée du vol : 19.
sième est 0; 2. a-l-4-2-1.
456 CHAPITREï. CORRIGÉS

b. altitude maximale du vol : 4,


3
durée du vol en altitude : 3 et la durée du vol : 3. 2

. un+L
,, -_ I un si uapatr I
r'
l sur + t si up impair 1234567A9
4. def Slracuse(a) :

whileu>1: Partie B
if uÿoZ == O :
l. Supposons que Ia fonction f vérifie (l) et s'annule en
u= ulz a réel strictement positif
else :
alors (a) = O et I @) 1' (11) = I ceci est impossible,
/
u=3* u+l on en déduit donc que si la fonction / vérifie (1) alors
print(z)
/ ne s'annule pas sur [0 ; +oo[.
2. On suppose que la fonction / vérifie la condition (l)
5. def Syracuse2(n) :
et qu'il existe un réel a strictement positif tel que
altitude =n
l@) <o
dureeVol =0 Or / est dérivable et f(0) = I > 0 il existe donc au
whileu>1: moins un réel B e lO ; al tel que / (p) = g.
lf uÿo2 == 0 : 3. La conclusion de la question 2. contredit la quesüon
u= ul2 1., la fonction / est donc strictement positive.
else :

u=3* u+l
De plus T'(*) =fr , o donc / strictement üois-
sante sur [0; +æ[.
dureeVol = dureeVol+l
if u> altitude :
ExERCTCE 383
altitude = u
pfirfi(" altitude rna,x = ",altitude) r. Pz@)=xa-z*=*(*2-z)
print(" duree de uol = ",dureeVol) Ps(x) = (* - t)' (t* - r)' - z)

=(i -r)'(i -r-t4@ -t+{4.


2. PtG) = 0, a pour ensemble de solutions Z1 = {-l ;U
EXERCICE 382 P2(.r) = Q a psur ensemble de soluüons
PartieA z2= {-t/2; o; l\
f. P3(t) = 0 a pour ensemble des solutions est
.ftOl = I d'otrxo =0 et ÿ0 =/(.xs) = l.
2. Par définition de la tangente au point d'abscisse ;:2,
z, = {-r ; t; t/-t+,D.; -J-.fr\
on peut écrire + hf t(xr)
3. Pt (.r) = I a pour ensemble de solutions
/(xn+ù = locù
D'autre part / vérifie (1) donc l'@n) = 0'rO U=1-J2; '/21
#, P2@) = re (*' | - A@ - t + y'2) = s,
0,5
ÿn+l=ÿn* l'équaüon a pour ensemble de solutions
-ÿn ur=l\n+A; 'n.æl
3. Mr(0,s; r,5), MzG;r,833), Mt0,5;2,106),
M+ (2;2,343), Ms (2,5;2,557), Ma Q;2,752) Pg(x) = 1

Mz (3,5;2,934), Ma@;3,1O4), Mg (4,5;3,266) * (i - É,,n.74(*2 - r + t/ r *ô) = o,


Mrc (5;3, 4I9), Mr r (5, 5; 3, 565), Mrz (6;3,705) I' ensemble de solutions
t i------------ t-------------t
M13 (6, 5; 3, 840), Mtq Q ; 3,97 0), Mrs (7, 5; a, 096) us = +t/t+'/2; -ÿ t+Jr+'/Zl
iVr
Mrc (8; 4,218), Ms (8, 5; 4,337), Mrc (9; 4, 452) 4. L,iéquation Pzo19(:-) = 0 s'écrit encore
MÊ (9, 5; 4, 564), Mzo o0; a, 67 4) (Pzorarrl - ,)("rorr,,, + l) = o.
Les solutions de Pzora(x) = -1 sont les solutions de
6.2. S[rrES NUMÉRIQUES 457

P2ü7@) =Q positif, l'équation admet donc deux solutions telles


On remarque que si l'on retrouve les solutions de qtJe Sornme = aet Produit = -b.
Pzow@) = 0 parmi les sc,lutions de Pzoy?) = 0, en b. un*t = ttn+t - aun = p (un - dun-i = Fun
poursuivant le processurs on va retrouver Ies solu- La suite (ur) est une suite géométrique de raison p.
tions de Pr (r) = 0. Ainsi I et -1 sontracines de P2s19. c. On démontre de même que (wù définie par
5. P2616(*) = 1 ê Pz^rr(t:) =2 wn+r = un+1. - Fun est une suite géométrique de rai-

Il y a deux catégories de solutions : son û.


. Ies solutions de l'équation P2017(r) = l2 @i d- un+l = uz\'-' - (u2 - au) Pn-r
. les solutions de l'équation Pzov@) = -t/2 (zz) ttn+r = un2sn-r = (u2 - pu1) an-r
Les solutions de (81 ) sont les soluüons de e. On en déduit alors
ez^ru= t+ t/2 on-r _ pn-l on-t p_ opn-L
en = u2 - '--------------
d-p - ul
Les solutions de (Ez) sont les solutions de
a-p
----------;-
3. On suppose que a2 + 4b = O
Pznrc = - \/, <0, il ny ern a pas
|
Fremier bilan : l'ensr-'mble des solutions de
a.onaa '24 etb=-4
=B=a
Pzolg?) = 0 est la réunion de l'ensemble des solu- oa2 un-t
alors z4a1 - du,n =
tions de Pzov@) = 0 et «le l'ensemble des solutions iun-
at
U
a \
de Pzon@) = t/2.Ces deuxensembles sontdisjoints.
= iun-r)
Les solutions de (Er) sont les solutions de
b.Onpose ün=dnsn.
'l'"-- aun_l).
= d.(un

P|orcOc) = 1+ rÆ c'est-à-dire Ies solutions de


En utilisant Ia relation précédente, nous obtenons :
' ez^ru{x) =t* t/t* t/2 o'rl
§z+ I - sn = sn - sn-1, la suite (sn) est une suite arith-
. ez^ru{x)=t-t/t*GeLl *#,
métique de raison r = s2 -sl =
t - ,/ t * A .o donc (El) rt'a pas de solution réelle.
Les solutions de (El) sont celles de c. sa = 51 + @- l)r =
T * rn- UY;!,
P2s16@) = t+ t/t+ r/2oude ,n= &nsn= *(i *@-D?#!L).
P2s166) = t*t/wu2.
De proche en proche, on en arrive aux solutions de EXERCICE 385
P1 (x) = a où a est un réel supérieur à l. 4un-l-un-2 3(un-l)
I1 y en a donc 2.
l. unal-l=
un+2 an+2
Si on note 32 le nombre de soluüons de l'équation ^ un+2 un-l+3 1
Pn(x) = Q,on a : S2s19 = [izOn +2
3(un-I) 3(un-l) =i*un
l,a suite des termes d'indices impairs est une suite la suite (u,1) est une suite arithmétique de raison ]3
arithmétique de raison 2. et de premier terme us = 1.
4
Comme 31 - 2 on a E2g19 = 2O20. I n I l5+4n
3'un- a*5"tun=l+ s*4"'
""=15 +a
ExERCICE 384
4. Pour to:ut n * O, un = .f;_! on en déduit que
l. u3 = a.u2 + bul i+4
Iim ur=1
n*+æ
u4 = (a2 + b) u2+ abul
u5 = (aJ + 2ab) u2 + (a2 U' + t) uy
EXERCICE 386
u.6 = (a4 + zaz a + Ë) uz + (a3 b + zat) ur
w = (a5 + +a3 b + sat) u2 + (a4 b + 3a2 t + Ë) u1 l. u2 =7, u3 =Jl et u4 = l$J.
2. On suppos. qu. o2 + 4b :> o 2. Iiéquation x2-6x+5 =0admetdeuxsoluüonsx1 = 1
a. Le discriminant de l'équation x2 - ax - b = 0 est etx2=5.
458 CIIAPITRE 6. CORRIGES

3. En utilisant les valeurs de uû et ut, on obüent le s 1s- reconnaît la suite de Fibonacci.


tème: On obtient alors St2 = 233.
Ja+b = |
I sa+b = 2 ExERcrcE 389
1
La résolution de ce système permet d'obtenir a = l. læ plus petit total est obtenu en alternant des « 1 » et
4
des u 2, , les «2 » apparaissant après un nombre im-
et b =1.
4 pair de mouvements.
On vérifie que si un = !, 5' + et si Smin = I +2+l+2+l+... +2+L+2 = 3 x 1010 = 3030.
i
ur*r=Ix + ,s"*2 læ plus grand total est obtenu en alternant des « 3 » et
5î1+1 *3+.
laror"un*r=! des « 4 » , il y a 2019 nombres, iI faut donc corlmencer
En effet iln+2 = un =9,sn.
I
i - :, 5' - f et finir par « 4 ».
,16-115n+t*3 SMax = I +4+3+... + 4+3+ 4 = 5+7 x 1009 = 7068.
4 4
1 3 2. On peut ajouter « I » à une somme qui ne contient
x Sn+2 +
4 4 pas que des n 3, et des « 4 » , c'est-à-dire inférieure
515+3
4. uts- à Suax, tous les totaux intermédiaires peuvent être
4 =7629394532.
5'*r -l 3(n+l) atteints.
'' Ia Ë rrra31=
5. s.=
16 * 4
É-=o' '
EXERCIcE 390
ExERCICE 387 319
l. uuc=-x3--x0=-
-222
3(u- -3)
l. un+1-3 = ---:---::------: J 912732r
x---xJ=---=-
b- Un u3
2 22 4 2 4
on obtient alo rs t)17at = -lJ * rn u4
3
x
2t194s
X
I 2 -4 - -22 - = -,B
Ia suite ( un) est une suite arithmétique de raison --

et de premier terme u6 = - 6l.


3
';::;::;::::;:ji='ïi'""'l',
. -x0+3estbien 2:un+3=
-2n- | vraie; la relation est vraie au rang 0.
2. un - ------^-
t Héredité: supposons que pour n € N
U.=3+-=-. | 3-6n I
'" un -1 -2n
oîailun+t= -un*3.
6- " 11 æ un+t-,=run
Orunal=
'" 2** run+3
La suite (24) tend vers 3 lorsque n tend vers +oo. ê 4n=2(un+t-3) (*)
On a par définition:
EXERCIcE 388 ün+2
3
un+L-
r 3/1 \ I
') iun= rlz",+3)- run
Pour une somme S72 âv€c n > 2, les nombres obtenus 1 I
un+
se terminent par 1 ou 2. On peut donc les regrouper en 4 ,;
En utilisant la relation (*), on obtient :
deux-sous ensembles qui forment une partition de Sp,. I9
!§ Soit  et B deux sous-ensembles de S,  et B formr nt
"- -3) +;2
ttn+z=: x2(un+t
4
I
unepartitionde AnB = @ et AU B = S,
S si
z
=;u4a1.13.
Il y a autant de nombres se terminant par 1 que de La relation est vraie au rang n + I.
nombres obtenus par une sorune n - 1, à savoir sr-1 Conclusion: La relation est waie au rang 0 et si elle
Il y a autant de nombres se terminant par 2 que de est vraie au rang n, elle l'est au rang n + 1. On a donc

nombres obtenus par une somme n-2, àsavott sn-2 démontré par récurrence que pour tout nombre en-
On a donc Sn = Sn-r + Sn-2, avec Sg = 0 et St = 1, :n üer naturel fl, ttn+t = l-)I un +3.
459
6.2. SUITESNUMERIQUES

. Initialisation
c. lÆ graphique est en fin d'exercice'
Pour n = 0: uo - 0,3 et0,3 x 0,90 = 0,3
La suite semble être croissante, convergente vers
donc us ( 0,3 x 0,90.
l'ordonnée du point com:mun aux deux droites c'est-
La propriété est vraie au rang 0.
à-dire6. I un 1(un I
-3 = I
. Hérédité
2. u vnal = ün+t - 6 = I -6) run'
-=
I On supposeque,poû:n>/ 0, tapropriété ?n estwaie'
Ia suite (un) est géométrique de raison et de pre-
t c'est-à-dire un ( 0,3 x 0,9u. Onvadémontrerqu'elle
mier terme = '6 = -6.
ug uo
est waie au rang ,t + l.
/I\n 6
b.un=ro,IrJ =-2" D'après la questionprécédentli unll ( 0,9un'
6 D'après l'hypothèse de récurllrtcli t'tn ( 0,3 x 0'9n '
ttn= un+6=6-
7 On déduit : uzat Q,$ x 0,3 x 0,9n c'est-à-dire :
I -<
c. comme -t <
;<1, r!jf-u" = o- Irn+t (0,3x0,9n+1.
De un- uz + 6 oi en déd.uit par limite en plus l'infini Donc Ia propriété est waie au rang n + 1 donc elle est
oue lim un = 6.
' n-+æ héréditaire.
. Conchtsion
La propriété ?, est waie pour n = 0, et elle est hé-
réditaire pour tout n 0; d'après le principe de ré-
)
currence, on peut donc dire que la propriété est waie
I
I pour tout entier naturel n.
I
On a donc démontré par récurrence que, pour tout
I
I n, un {.0,3 x 0,9n, et on a donc par conséquence :
I
I 0(un(0,3x0,9u.
I
c. -l < 0,9 < I donc la suite géométrique (0,9n) a
I
I pourlimite 0;
o
I
on en déduit que lim 0,3 x 0,9n
' n++æ = 0.
uo lrl u2 u3 On sait que, pour tout n, 0 ( un ( 0,3 x 0,9u donc,
u4
on peut déduire Que uz 0.
,liT_ =
ls On utilise le théorème des gendarmes qui sera étu-
dié ultérieurement.
EXERCICE 39I
Cela signifie que cette populaüon de tortues est en
ParüeA
voie d'extinction.
l. u1 =0,920(I- uo) =0,9 x0,3x (1-0,3) =0,189 3.
Il y a 189 tortues en 200I. u+0,3
u2=0,9q(l-ut)=0,9x0, 1B9x(1 -0, l8g) =0, 138 n+0
Il y a l3B tortues en 200j2. Tantque u)O,O3faire
2. u On sait que 0 < 1- rrz ( 1, on multiplie les trois | ,* n+l
membres de cette inégalité par Ie nombre l'in- I

I u*0,9u(l-u)
u12 de
tervalle [0 ; 11, donc ;Q :( z2(1 - un) { un. Fin Tant que
AfÊcher 2000 + (n - 1)
On en déduit en multipliant par 0,9 l'inégalité
0 ( - un) -< 0,9un c'est-à-dire
0,9u2(l Partte B

VneN,0(zz+r(0,9un. l. urr - 1,06u1s(l - uro) =0,033;


b. Soit ?, la propriété: u2 ( 0,3 x 0,9u. iI y aura donc 33 tortues en 2011.
460
CIIAPITRE 6. CORRIGES

u12=l,06uy (l - yrr)
= 0,034; Vx e R, cos2.r +sin2.r= I
il y aura donc 34 tortues en 2012. ll
c._+_= cos (2o) + I
2. On admet que, dans ce modèle, la suite (u2) est
crc is_
Pn 4n 3 x 2n sin(2a)
cos û 2
sante et convergente vers /.
3 x 2n sina 4n+t
d'où I =1ll*l'l
lim u, = / donc lir
n-+æ n*I-(ü-un)=l-l
on en déduit que 4n+r 2\pn qn)
(2a)
nlip- t, oor, (r - uù = t,o6l(r - !). Pn4n+t = ,',li': =2,(s*zn)2
sin2
Deplus _lim unal=ll-+æ'-
lim un=!. Pn+4n cos (2a) + I
,t<+æ
Comme unal = l,06un0- uà, d,après l,unicité je = (3 x 2n+r12 sinz a = pZn+t
d'où pr11 = y'Wn+|.
Ia limite, on peut dire que
d. A l'aide des relations précédentes, on obtient
I =t,O6l(I-0.
3. La suite (un) est croissante et u1s
q2 = 24 - l2\/3, p2 = St/A - Sl2.
- 0,032 ce qui rii_
4. def approx(pr eci si on)
gnifie qu'il y a a 32 tortues en 2010. :

Donc, Vn ) 10, un > u0 autremen t P=3


üt un > O,O3Z.
q =2* sqrt(3)
Il y aura donc au moins 32 tortues pour toute a1_
née au delà de 2010, donc cette populaüon de tortui )s
n=l
rt'est plus en voie d'extinction.
whileq-p>precision:
q=2*p*qt(p+q)
ExERcICE 392 P=sqrt(P*q)
n= n+l
l. Casz=l
print(p, " < pi <',, q,,' n =,,, n)
Pl est un hexagone régulier de côtés de longueur I
doncpl=Jxl=J. ExERcICE 393
Qt est un hexagone régulier, constitué de six tri_ I
angles équilatérarx de hauteur I et de côté 2a iÉ
l. un+t - un = ---:-"'4n+1 > 0, la suite (up) est donc
. qÙqt
connu. crorssante.

En utilisant la relation de $rthagore ou tan


1T z 2. Par hypothèse (4r) est une suite d'entiers naturels,
6 t croissante et dont le premier terme 40 est supérieur
dans le « demi triangle équilatéral »,
t;
Y' ouégalà2 donc Vn eN, 0< I < I
on obtienta = 6'oi, 4
= Zt/!. 4n qo
3
2. a On coupe le cercle en 3 x 2n parts égales, l,angle n+l k
aLr
Onendéduitque0( u, ( f 1

centre est don c egale k=t qo


$. n
b. Pour pn,le côté utiË èi obtenu en utilisant le s. - I
nus du demi-angle au centre.
d,autrepart
Ër(t^f
=; 4o-t
Potur qn, le côté utile est obtenu en uülisant la tal - t
D'otr0(2"( qo'
gente du même angle. I
On obtient alo rs pn = f,, zn sin (--a-'l 3. Lasuite(&n) estcroissanteetmajoréepar -i - a t,
\3x2n I
et qn =3"2"r""({7). elle a donc une limire qui appartient a r?ilt"'*rff"
3. n pn=3x2n sin(2a) lo; ll.
4n=3x2ntan(za)
b. sin(24) = 2cosasino ExERCTcE 394
1 + cos (2e) = 2cos2 a l. a. Pl = 0,5.
s Rappels : cos(a + b) = cosacosb- sinasinb b. P2=9,5 x 0,6+0,5 x0,2 =0,4.
sin(a + b) = sin acos D + sinb cos a c. Pn - O,6Pn-1+O,2(l- Pn-1) =O,APn-t +O,2
6.2. SUITESNUMÉRIQUES 461

2 I 121 Sa-l\ Les deux termes du quotient sont supérieurs à zéro,


2. uunal=Eur*i'o= 6trr- , )
donc pour tout enüer n ) l, on a :
(un) est une suite géomtitrique 5i a = A-l 4orr"
un+t - ün < 0, ce qui démontre que la suite (un) est
I décroissante (vers zéro).
CI= -3,
(un) est une suite géométrique de raison et de Rre- Partie C : Retour à l'algorlthmique
i Il sufÊt de changer la ligne « Tant que u ) 0,001 ».
I
mier terme u1 = -
EXERCICE 396
b. t,n=à (;)"-'
t. a. On calcule Ies premiers termes et on obüent:
I tt2\n-1+j'
I 1B
ttn=un.r=ata,l h'39
=2+ : =2,33, uZ=2+ - =2,89,
16 32
4+ -- x 4,40.
c. on remarque que P72 = un *'i u3 = 3+
-27-81 - = 3,59, u4 =
) b. On peut donc émettre la conjecture que la suite est
0<:<ldonc lim ur,=6
5 croissante.
I 'l-+æ
P2 tend vers
5
lorsgue n tend vers l'infini. 2. a. Démontrons pil récurrence la propriété 9n :

A long terme, il y a une chance sur 3 pour que le tirage « Pour tout entier naturel n i un < n+3»>.
soit effectué dans l'urne 171. . Initialisation : Puisque I'on a uo = 2 et 0 + 3 = 3, on
vériûebien:,4 <0+3 i 90estwale.
EXERCIcE 395 . Hérédité:Portr /c enüer naturel quelconque, on sup-
Partie A : Algorithmique et r:onjectures pose la propriété I p wate.
nx u+l 2122
l. -' i(t+S)+l/c+r
3 - ik+t ç-3'
Alorsus*1 =1uk+
2(n+l)
* n+1. 3 3
n Ce quidonne: upa1 ( k+3 ( k+4
2. Il faut déplacer avant le F in Tant que : « Affrcher Ia va- On a donc uk+r ( (k + f) + 3, c'est-à-dire que Ia pro-
riable u». priété ?1*1 est waie.
3. La suite (an) semble être décroissante vers 0. . Conclusion: Puisque la propriété ?0 est vraie et
Partie B : Etude mattrématique ( ?2 waie implique ?2a1 waie), c'est-à-dire ?;1 est
héréditaire, on peut en déduire, par Ie principe de
1. Pour tout eîtier n> r,
_l - , x u_ *l récurrence que pour tout entier naturel n, on a 9n
un+t = (n+l)un+t (n+ t) x _ I
7r1ç vraie, c'est-à-dire que pour tout entier naturel n, on
nx un-l I
- 22 - - un. abienun < n +3.
2tl l3
Cette relation montre qrre la suite (l/n) est géomé-
.ll
b. un+l - un =
iun+ 5n
+I - un = - - un * -n+
33 -
trique de raison ;
'22 - et de p,remier t€rrrr€ r.r1 = i. !
2. On a donc pour tout entir3r n
on adonc bien un+r - Ltn = @ +s - uù.
> 1,

un=O,5x0,5n-l =O,Sn.
un+l 1+o'5u. c. Comme on I'a montré à la question précédente,
or u, = pun-l æ - nn -
sn pour tout n naturel, orr à. un < n + 3 ce qui équi-
3. Comme -l < 0,5 < I alors
nliït0,s' = 0, d'autre vaut à dire que la différence n + 3 - un êst positive,
I
-partn-+æ
lim -=0,onadonc
n [m u,=0.
n-+æ
et elle le reste en étant multipliée par l,J donc la dif-
4. Pour tout entier n) 1, orL a : férence entre deux termes consécuüfs étant positive,
l+(0,5)n+r 1+(0,5)n on confirme bien que notre conjecture était correcte :
un+l - un =
n+l n la suite (urr)z€N est bien croissante.
-1+0,5n1-,9,52-11 2t
n(n + l) 3. u unal = un+t -(r?+l) = 3un+ in+l - n-|
I+ (1 + 0, 5n) (0,5) u 222
n(n1- L)
= -ltn-
3'," -n=
3 -1un-n)
3
462 CIIAPITRE 6. CORRIGES

Donc un..1 = ? un, la suite (r,z) est une suite géonré- et donc ûnalement, par limite d'une somme de
suites, on conclut que la suite T converge vers
I
trique de raison q = et ae nremier rerme ,0 = 2. -
I
b. On peut donc en déduire : t)n = uO , n" = r(?) . ExERcIcE 397
Enfln, puisque pour tout n, un = ua - n, on en |1ê- l. a. On a pourtout x,
n 2 rêel rptlx) = -e-x < 0, donc A
duit:un= l)nift=2 ( +n. est décroissante sur R donc sur f.
5
c. Puisque la raison 4 est strictement comprise entre 0,4 (r( 0,7 ==+ q(0,7) < q(r) < q(0,4) soit
- 1 et l, on en déduit que la limite de Ia suite u est 0 et 0,496 < q(x) <0,671, donc a(x) e 1.
donc par limite d'une somme de suites, la limite dc la b. q' (*) = - e- r, donc en reprenant les encadrements
suite a est donc +oo, et la suite u est donc divergen te. précédents:
4. a. 57 est la somme de n + I termes de la suite (ua). 0,4 ( x( 0,7 0,496 < q(x) <0,62t
Mais, comme par ailleurs, on peut considérer que <-q(x) <-0,496
-
chaque terme un est la somme de un et de n, donc
- -0,671 -lç't(x)l<O,7.
c.Parhypothèsee-a =ü.
en réordonnant les termes, Sa est la somme de de ux Linégalité des accroissements finis appliquée à la
« sous-sommes » : celle des n + I premiers termes de fonction rp, avec, € I et ü e I,
la suite u et celle des n + 1 premiers entiers naturels.
lo@) -,ttall ( o,7l.r - al
La première sous-soûrme est une somme des n.r I o lq@)_al4o,zlx_a\.
premiers termes d'une suite géométrique, et virut 2. a On a vu que pour.r € I, tp(x) e / : tous les termes
donc: de la suite appartiennent donc àà 1, le premier terme

'o
-
+l='# =

La seconde sous-so[une est la somme des n +


u' (' - (3)'.')
I p:e-
appartenant lui aussi à 1.
Ilinégalité des accroissements finis précédente
s'écrit donc :

miers entiers naturels, c'est-à-dire la somme des n r I lq t""'t - ol ( o,7lun- al soit


premiers termes d'une suite arithmétique de prem ier lun+r- dl {0,7lun - al.
terme 0 et de raison l, donc elle vaut: . Initialisation: De 0,4 < ü < 0,7, on déduit que
0+n n(n+l)
lW - ul = 10,4 - ül < 0,3, donc on a bien
22
-x(nrl)= n(n+l) luo - al )- 0,3 x O,7o .
Finalement,onaSr=§x (,- (;)'.') +- 2
. Hérédité: Supposons qu'il existe un naturel p tel
, n(n+l) que:
6x ('- (3)'.') r--2- ( 0,3 x
b. On en déduit; Tn = l"p - "l
(o, z)P .

n2 Or d'après le résultat précédent :

u' ('- (â)'.') lup+r - al {O,7lur- al ( 0,7 x 0,3 x (0,îP ou


- * I+
nz2 2n
n+l
lup*r-al(0,3x0,7P+r.
. Conchtsion: On a donc démontré par récurrence
Puisque, q est entre -l et I,' o., Urn [] =Q.
", n*+æt3 que pour tout n e l\, I up - al ( 0,3 x (O,7)n .
Donc par opérations sur les limites de suiteri :
r rorn*1r b. Comme -l < 0,7 < 1, on sait que
,Ip_0,2" = O,
,tip_6'(,-[;,| )=0. on en déduit que al 0, ce qui
,liqr_lun - =
signifie
Par ailleurs, 12 = *oo, que Ia suite u a pour limite a.
nlip_
3. On a lun-al ( l0-3 lorsque 0,3 x (0,7)u < 10-3 ou
-- l0-3
0o,,",,,**ï1*)l) =o o,7t. <
0,3
la - géométrique de terme général 0,3 x 0,7n
üm I
suite
Deplus lim 1=]et
- n-+æ2 =0.
2 n-+æzn est strictement décroissante, de plus 0,3 x 0,715 =
6.3. FONCTIONS 463

O,OO!424 > 10-3 et 0,3 x tt, 716 = 0,000997 < 10-3 donc a =
-I + \/B
2
II faut donc prendre au moins p = 16. a-I
I @) = an + = cn > 0 or
az + f strictement crois-
On a alors u16 = 0,567 à l0-3 Près. sante sur R+ donc un ( o.
AinsiVr e lN*, ona0 ( un ( o.
EXERCICE 398
3. [r, * 1]
Pourtout n € l\l+, (un)n +(un- r;')
\ a)
l. uZg6= Ilt009 = | - tt5,14 | - u252 = I - u726 ==
= (uùn + uzn+ ttn[-". l)- ,
= 1 - 46S = tt3t = l.- utS - UZ = | - u3 = ut = l. \ q. I

2. uzn+t = | - un ott ttn = üln oî att déduit alors que = (un)n + ttzn + un - I = f (yfi = O
pOuI tout n € N : u22a1 + u2n - l, atnsi Eneffet a2 + a-1 = 0 donc -a+ I = I
uû+ ul =l 4. D'après les questions précedenteÿo { (uùn { an .

uz+ u3 =l 0<a<ldoncrlip-an=0,
on en déduit alors que (u2) convergevers o.
U2n 'l UZn+l = ] 5. ona (un+t)n+l + uzn*r+ un+t - l= 0 donc
En additionnant membre à membre, on en déduit (un+t)n+l - (un+t)n + (un+t)n + rln*, + unal - I = o
zn+l 2Ol7
L u*=ît +1d'où k=0
I,ur=loog. soit encore (un+t)n (un+t - D + uf,*, I unal - I = O
t=0 (un+t)n (un+t -1) < 0 car 0 < un <l
On démonte par récurrence que pour tout n de
2017 donc / (un+r) = uzr+t ! u2a1 - I > 0.
N : u72 e {0;U, or L ,*, = 1009 donc iI existe 1009
f (uù > 0 et / est strictement croissante sur R+ donc
/c=0
indices n inférieurs ou é:gaux à 2017 tels euê u,, = l. ün 1 Un+l
et 1009 indices n tels que un I I donc un = 0, de plus la suite (zn ) est donc croissante.
u2orl = 1, il existe donc I 009 indices n, inférieurs ou
égaux à 2018, tels que z7 = 0.

EXERCICB 399
6.3 Fonctions
Soit 1, = uzn + uzn. on vérifie que la suite (12) est EXERCICE 40I
constante donc Vn € lN, In =, IO - 52. r. l{ü)=-2.
Si k existe alors 11 = 72 +22 = 53 ce qui est impossible. 2. r</(-r)<r,5 0</(0)<0,5
Il rt'existe donc aucun entier naturel k vériflant uk - 7 et -3,5 < f(2) < -3 -1,5 < /(3) < -r.
uk =2' g. /'(-t) = 0,f'(l) = -2, Ît (2)=0 et/'(3) =4.
4. ft@)=|t(r)=-2.
ExERCICE 4OO

l. On pose /( x) = xn + *
- 1, la fonction / est déri- ExERcIcE 402
+x
vable sur R et /' - ngt-r + 2x + I> 0 si r > 0
71ç'1 l. f(-1) = 3, /(0) = 0, /(I) - I et /(2) = 0.
La fonction / est donc strictement croissante sur R+. 2.
ft çD = -7, ft t)= r, /'(â) = 0 et î' (z) = -4.
/ est dérivable et strictement croissante sur [0 ; t],
3. 7'2 d'équation y = f t (2)(x - 2) + I Q) soit y = - 4x + B.
/(0) = - I < 0 et /(1) = 2:> O, iI existe donc un unique 4. T-1 d'équation y
= f'(-t)(x+ 1) +/(-l)
un € lO i ll tel que / (ur) = 0.
soitY= -7x-4.
Liéquationxu + xl +x-l =0admetdoncuneunique
solution positive. EXERCICB 403
2. D'après la question préctidente Vn € l\l+, on a 0 ( u17
l. /'10; = r
les solutions de l'équation I + r- I = 0 sont 2. ft@)=osix=l
JE
xt= -l-Z <0etx2=-r 2 ,O,
+,./s
3. Equationde la droite (AC): y = -aa2
464 CHAPITREq. CORRIGES

4. Calcul du coefÊcient directeur de la droite (âB) : EXERCICE 409


a=ÿa-Ye -r-,
XB_XA
La droite passe par A(O;2) donc I'ordonnée à l'origl ne
estb=2 t '\
(ÀB) a pour équation y = (e - 2)x + 2
5. (I) d'équationy- x+2.
1
r-+-. t;
\ li
EXERCICE 404
I^a première courbe n est pas définie en 0, la fonction ne r7
peut donc pas être dérivable en 0.
La seconde fonction est dérivable en 0.
l,a troisième fonction n'est pas dérivable en 0 (à l'origi:re,
la courbe admet deux demi-tangentes de coeffrcients rli- EXERCTcE 410
recteurs différents). l. Coeffcient directeur de la corde (;4-B) :
f(0)-f(-l) -5+7
EXERCICE 4O5 0-(-1) r
2. Coefflcient directeur de la corde (AA : a = 5.
r. f/(-1) = o, /'(o) = -e et ft(r) = -2. 3. Coefâcient directeur de la corde (AD) : a = 9.
2. T3 d' éqration y = -2* * 5 4. Coefficientdirecteurdelacorde (BC) : a= 6.
5. Coeffrcient directeur de la corde (CD) : a = 13.
EXERCTcE 406
Seule la courbe 2 vérifie la condition /'15; = 2 ExERcrcE 4l 1

Les points sont de coordonnées â (0 ; 1),


ExERcrcE 407
,(''
l.
11),.(,' i) "o(2,
CoefÊcient directeurde la corde (.48)
f) :

9)tir 1 / ll-r e
\ 1 1-0 2
2. Coefficient directeur de la corde (AO: a=!.
I- 7 t2

\\ I 3. Coefficient directeur de Ia corde (AD) , o =?.


I
fà 4. Coefficient directeur de la corde (BC) : a =9.
I
5. Coefficient directeur de la corde (CD) , o =
EXERCICE 408
#
ExEBcICE 4I2
f t. linl/(.r) = /(0) = -l
Iim
x-0 ltxl=]Q)=-32
2.
\
3. lim /(r)=/(o)=3
.r.-0
a. liq.f trl = /(0) = 0.
\
465
6.3. FONCTIONS

EXERCICE 4I3 ExERCICE 420


* +2x+ I (r+ l)2 .r+ I r. (r-y)(*+xy+ÿ)
x2 -t
=--
(x+ l.)(r- l) x-l
lim- /(x) = O. =x3+xzy+xÿ-iy-*f-f
-r..-I
2x2 - x-15 (x- 3)(2x+5) =f_f.
2. f (x') =
r-3 =Zx+5 2. u (3 + h)3 -zt = h(h2 + sh +27).
x-3
= 11. (3) = r8 +h)- [Q)
]91/r,l b. /f ;rnt h
- x-5 t=
c. Equation de la tangente à la courbe représentative
- t/x - t/5
lim f(ù=2{5.
de / au point d'abscisse 3 : y -- 27 x - 54.
x-5-
Jx+s-Z I EXERCICE 42I
- x-4 ÿr+5+3
I
:. L ft e2) = o et f' (2) = 0,5.
lim
x-4 /(51 = b 2. l'@))O e xel-4; -21 u u ; 61.

3. f@) (x <- xe[2;61.


EXERCICE 4I4
r. yA= l 1) = -2 yB = -17. ExERcICE 422
2. ft l) = -l et lt(-2) =20. f(a+h)- (a)
t. = I on en déduit alors /r(a) = 1.
3. Ia d'équation y = -aa 1. h
4. 16 d'équation y - 20x +2i3. ,. î(a+h)-f @)
=2a+h.
On en déduit alors ftla) = 2a.
EXERCICE 4I5 f(a+ h)- f(al I
on en déduit
l. y,a.=2etyp =9. n t/d+h+,/â
,1
2. fteD-5et/'(o)=1. alors /'(a) = 2r/A.
4. ato, IY+JP =
4. T6 d'équation y = 5, a5 ir'onendéduitarors
f'@=-+.
EXERCICE 4I6
Equation de la tangente à la courbe représentative de / EXERCIcE 423
aupointAiy=4(x-3)-1. . Si.r ( 0, f (x) = -x.
f h\ -!(o) (a+
Pourtout a<0, ":--i- =-r on en déduit alors
ExERcIcE 4I7
ft@) -t.
=
ït(E) = -s. .Sir)0,f(x)= x.
y= '5(x- 4) - l8 d'où /(a) == -lB.
Pourtouta>0, l@+D- f
@)
h
= I on en déduit alors
ExERcICE 4I8 l'@) - t.
f'Gà=a. [,e nombre dérivé de / à droite de 0 est différent de celui
y = 6(x + 2) - 12 d'oir f tD =. -12. à gauche de 0, f (x) = lxl n est donc pas dérivable en 0.
r€ La courbe représentative de / admet deux demi-
ExERcIcE 4I9
tangentes, de coefûcients directeurs différents, au point
l.,fttl = -s et/(l + h) =3h2 + 4h-3. d'abscisse 0.
,. l0+h)-1(ü =3h+4.
ExERcIcE 424
s. f,1) = 1i- /(l + /t-)h -/(l) - n.
h-o D'après I'exerc ice 422,pour tout a> O, f'@)= + zÿa
4. Equation de la tangente à la courbe représentaüve de
Plus a devient proche de 0, plus -L d"r"rr, grand, ce
/ au point d'abscisse 1 ; Jt - 4x -7. ZÿA
466
CIIAPITREq. CORRIGES

qui
- s'écrit lim l= = +æ 10. / est déflnie sur R* et dérivable sur l-oo;0[ et sur
a-0 21/ a
La fonction / définie sur [0 ; +oo[ par f(x) - 1Æ n est l0;+æ[, f'el=-!.
pas dérivable en 0. I t. / est dOfinie sur ff-et dérivable sur R,
rs La courbe représentative de / admet une delni- l' -
{x1 = 27 *a 45x4 '
tangente verticale au point d'abscisse 0. 12. / est déflnie sur R+ et dérivable sur l0; +æ[,
-f'(x)=-L *-1.
4xz 2t/x
EXERCICE 425
.Six(Lf@)=y'T4.
I
Pourtout o.r. f@+D-f@) -- ExERcrcE 427
h ÿ/1-;4+rr1-i Les quatre fonctions sont des fonctions polynômes,
onendéduitalors f'(a) donc définies et dérivables sur R.
zr/t- a'
Plus a devient proche de I (par valeurs inférieures), p lus
1 L. f '(x) = (6x2 - s) (xa + a-f - sx)
-:2t/l deüenterand
- a +(zf -sx)(+# +sxz -s)
cequis'écrit lim
a-L- -A=-æ
2t/l_a.
= x(t4rc' +s6x4 -2sx3 - tool + 50)

.Six)l,f(x)=t/x-T. z. ft (x) = s(3x2+ s) (f + s.r)a


3. lt (x) = (rzé ++-r) (0.r3 +ox)
Pourrout orr.'h1@+h)-1@) -
11+h-L+ l1-r + (3x4 + zxz + t) (raf + a)
I
on en déduit aI ors f'(al= = 126x6 + 180x4 + 66.12 + I
2\/a- | 4.
Plus a deüent proche de I (par valeurs supérieun,s), 1'e) = 20rs(rgas +t2x2)(sx6 ++f *3)'o'u
t
Plus deüent grand
.l
ExEBcICE 428
cequis'écrit lim ,.:=*æ
' -l- a-t+ Zt/a-l
Ia foncüon / définie sur R par /(r) = y'flx - l[ n est lras l. /, quotient de deux foncüons polynômes, est définie
dérivable en 1. ."'m r
{ J}
et dérivable su' --, i [ " *' i'.*[
le la courbe représentative de / admet une derri- 3(5x-3)
I ]
tt4r--
-5(3x+2) 19
tangente verticale au point d'abscisse l. (5x - 3)z (5x - 3)Z
2. /, quotient de deux fonctions polynômes, est définie
EXERCICE 426 sur m f - Z; Z} et dérivable su r | -æ; -2[,] -2; 2[ et sur
{
[æs six fonctions premières fonctions sont des fonctic ns 12;+æl
*)+zx(*
= ,n,xzlz^
polynômes, donc définies et dérivables sur R. _2x(+- +s)
,,r*,,
l. /(x) = l @- xzlz @-
3. /, quotient de deux fonctions polynômes, est définie
2. f@)=-6 sur R* et dérivable sur l -æ;0[ et sur ]0; +oo[
3. .f(xl =2x+l __6x5 __ 6
4. lQ)=6x-2 r'@)
xl2 x7
5. ,f(x) =3x2 -Zx+l Autre méthode {x1 =(x-6)' = -e*-' = - 4
: f'
x'
6. /(x) =r5*+2 4. /, quotient de deux fonctions polynômes, de plus
7. / est définie sur R+ et dérivable sur l0 ; +æ[, quel que soit x réel, 2x2 +6 I 0 donc / est définie et
-3-. qf (z* + a) - q1@4 + z)
-ft(x)=z;l;xlo17+ 2lx dérivable sur R ,' ,*, -
8. / est définie sur R* et dérivable sur l-æ;0[ et riur (zxz +a)2
. 4x5 +zaÉ -ex
l0;+oo[, f'{xl =+é - \.
I -f'(x)=- (zxz +a).
9. / est définie et dérivable sur R,
lt(x)=492xr22 -t/i.
467
6.3. FONCTIONS

EXERCICE 429 EXERCICE 432


.l
-f'(x) ='--:.
t/2x+8
l. f est définie sur R+ et dérivable sur l0; +oo[,
,l
ft(x\ =3x2- -L.
2r/ x
l. lezl=zetf'(-2)=,
2. / est définie sur R+ et dérivable sur l0;+æ[, I
Equation de T-2 : y = - 1ç I 3
..f
_.
f,(x) = zÿx
= = I6
|
z. f$) =3,/2et f'(s'l =
3. / est définie et dérivable riur R, 3ÿO
B\/2
r'G) = \/3.
:2
EquationdeT5:Y= '/Z
6
r* 6
4. / est définie sur ;+æ et dérivable sur
:l

l-:,.""[, r'tù= -]-' ExBRcIcE 433


f'G)=a* ++.
5. / est défini" ,", f, *- et dérivable su' .-
_84 _
I [ ] ï, [, l. ,ftOl =zet1'(O)=4
çtt*\-
- 2t/Bx-5 ÿ8x-5
Equationde Tg: Y=4aa2
I I I 2. f(.l)=Betf'(1)=10
6. / est définie sur -oo; et dérivable sur -æ:-
'4
I 4 Equation de T1 : y = 191ç - 2
_rl 4
"ft(x)=2x+ --: 3. On recherche a tel que /'(a) = l0
6t/2-Bx -a*-: t/z-ex <-
6a2 +4 =10 1o = I ou a= -1)
læ point recherché est donc Ie point d'abscisse - 1.
EXERCICE 430
€ Equation de la tangente à la courbe de / au point
EXERCICE 434
d'abscisse a : y = ft (a)(x - d +f @).
s- u(t1 = 372 - 4t et a(t) = 6t - 4
"ft(1ç1 = 2t/x
r. -r(0) = 7, u(0) - 0 et a(0) = -4
t. ,f tsi = 3y'5 et /,(g) = 3 = ;,/5
2. .r(10) = 807, u(10) = 260 et a(10) = 56
,*i
f O -sl * zrtt
Equation de T3 : y = EXERCICE 435
u(t) =ls a3 et a(t) - 2
Soit après simplification,, =
,I
-Jïl l. x(0) = 5, u(0) = 3 et 4(0) = 2
2. fg =get/'(e)= 2 2. x(4) =33, u(4) = lr et a(4) = 2
I
,(x -il
Equation de Ts: y = +9
.r+9 EXERCICE 436
SoitencoreY=
- l. Cm@) =3q2 -297q +2Ol
Cm(20) = -4539.
ExERcICE 43I
2. C'(q) =3q2 -3OOq +350
7'1x)=zx+l- ). C'1201 = -4459.
r.,fft)=set//(I)=0 3. E(q) = Ct (q) - Cm@) = -3q + t+9.
Equationde Ty:y=9. 4. -1<149-3q (l c+ -150<-348<-148
2. f çl= +t f'(5) =
<- 50 >- 4>- ,
"t T64 Ijerreur commise sera inférieure à I pour 50 objets
Equation deT5: y-; (;r-5) +41
fabriqués.
Soit après simplification .V =!*- ZS
468
CIIAPITREq. CORRIGÉS

EXERCICE 437 (îr,tcaùt= ri,n r117!:J@


c@),
Àin^g!#9fl,*h)
l. ct @) - o,oo6qz - t,zq +3oo
d'où (f (r)g(r))' = f '@)g(*) + f @){ (x).
c'(5oo) = 12oo
2. Cru@) = O,OO\qZ -0,64 +300 EXERCICE 440
3. Cirz(500) = 500
l. an-bn =(a-g(an-t +ar-2b+...+abn-2 +b"-r)
4.
2. D'après la question précédente :
f @) -f @)
= an-t + an-z x +... + axn-2 + xn-:.
a-x
250 ,. I*r# =(a"-r +an-r +...+an-t *on-t)
200 = nan-l
4. On en déduit alors (rn)' = nyn-|.
rso

100 EXERCICE 44I


50
fonction /(x) = .f admet
La courbe représentative de la
une tangente de coefÊcient directeur 9 au point d'abs-
cisse a si et seulement si f'(a) = 9.
50 100 150 '200- 250 300
La /
fonction est dérivable sur R (fonction polynôme) et

5. Le coût moyen d'un objet semble minimal pour f'@)=s*.


q = l5O' l'@)=g æ a2 =3 <- (o={3ouo=-14.
Ia courbe admet donc une tangente de coefÊcient direc-

ExERcrcE 438 teur 9 aux points d'abscisses -t/5 et t/5.

l. Soit u(x.) = Lf G), u est dérivable sur 1. f '@) = -3 <- a2 = -l ce qui est impossible dans R,
la courbe n'admet donc pas de tangente de coefflcient
Soit x un réel appartenant à l'intervalle 1,
u(x+ h) - u(x) directeur -3.
(utù)' =
l\ Ll@+h)- Lf fxl h
ExERcICE 442
= lim
h-o h [,a courbe représentative de la fonction f (x) = x3 +2x
T@+D- f @)
admet une tangente de coefÊcient directeur I au point
=lim = Lf'@).
h-0 h
d'abscisse a si et seulement si /'(1) = 9.
â Soit u(x) = f(x) + g(x), u, sorùne de fonctions déri- Ia fonction / est dérivable sur R (fonction polynôme) et
vables sur 1, est dérivable sur 1. f'(ù =t* +2.
(f@t+stxt)'=r;X'Y#* l'@) = | æ 3a2 +2= | e 3a2 = -l ce qui est im-
possible dans R, la courbe n'admet donc pas de tangente
_,,^ f (x + D -f G) + g(x + h) - g(x)
h-o h de coefÊcient directeur l.
.. f(x+h)-f(x) .. s@+h)-sG) T'@)=-1 <- 3a2+2--l €+ 3a2=-3cequiest
=lttD-rlim- h
h-o h-o h
impossible dans R, la courbe n'admet donc pas de tan-
= 7t1x1 + gt (x\
gente de coefficient directeur -1.
EXERCICE 439
/9, produit de detx fonctions dérivables sur I, est déri- EXERCICE 443
vable sur f.
(1wl stxl)' = u^ f G+ h) s@ +Jt) -I @) s(x) 1.. læs fonctions .f, I et /, sont dérivables sur R (fonc-
_
,. fG+ h) tlx + h) -Ic + h) g(t) + I @ + h)g(r) -.F(r)A(r ) tions polynômes).
h-o h
(x) = 2x, gt (x) = x + I et ht (x) = -2x + 4.
ft
6.3. FONCTIONS 469

2. a- lil)=l+l=2,g(1) =.! +l+! =z 2.

h(1)=-1 +4-l=2
Le point Â(1;2) est donc r:ommun à e 1, 9z et es. 4
b. /'(1) =2, g' (l)= t a | =: 2 et ht l) = -2+ 4 =2.
Les trois tangentes ont le même coefficient directeur 2
et passe par le même point A, les trois courbes ad-
mettent donc en A Ia même tangente f.
3. EquationdeT: Y=2a 4.

Position de chacune des courbes par rapport à T :

. l@)-ÿ * -2x+1.= (x-l)2 ) 0, er est donc


= 3. del points( a,b,h, f a)
au-dessus de I,
l" I I x=a
. g(x)- I = -x'- x+ >0, g2 est donc
au-dessus de I,
,== ,(*-l)" f=fa
while x < b:
. h(x) - ÿ = -* +2x- 1 := -(.r- l)2 < 0, e3 est donc x-2
f prime =
au-dessous de 7.
x= x+h
f=f+h,,fprime
4. Dans chaque cas il faut :rechercher une valeur de x print("x = ",x,"i' ," I = ", f)
telle que la dérivée en ce point soit égale à 1 :
,l
. f'(x) = I <- a= admet une tangente paral-
,,e, 445
lèle à la droite d'équatio.n y = x au point d'abscisse
13 2
tangented'équation i Y= x+
2, i. I
. gt{x) = I <- .r = 0, €z admet une tangente paral-
lèle à la droite d'équation y = r au point d'abscisse 0, I 2
1.
tangente d'équation : y = a1 2-
2
.3
. h'(x) = I <- x= €a admet une tangente paral-
,, EXERCICE 446
lèle à la droite d'équation y - .r au point d'abscisse
3 tangented'équation ll T1
i y= x+
;, 4.

EXERCIcE 444
15 -10 :5 qrc
1. On utilise l'approximation f (a+ h) = f (a) + |t(a)h
enprenElnth=0,5
On a donc /(0,5) = /(0) +-0,s/'(0) = 0
/(r) = /(0,5) + 0,5/'(0,5) = -o,7s
EXERCICE 447
x 0 0,5 I 1,5 2

f@) I 0, -0,75 -t,25 - I,5


l. f est dérivable sur R (fonction polynôme),
|t(i = 3* -2, ft 0) - I et f(1) = -l
x 2,5 3 3,,5 4
Equationde T; Y= x-2.
0
1@) -1,5 -t,25 -0,75 2. (x-l)(x2 + x-2) - Ë + * -z*- i - x+2 = f -3x+z
x 4,5 5 5,5 6 3. /(x) -y=é -3x+2= (r- 1) (x2 +x-z)
r@) I 2,25 3,7!; 5,5 = (x-t)2(x+2).
470 CIIAPITRE 6. CORRIGES

I rfi)'
#- f*r,,,, (-#)
Si x el -æ ; -21, f @) - y <o, est au-dessus de (i,
= r' o.,"
Si x el -2; +oo[, /(x) - y > 0, e est au-dessus de ?'.
f' qx1 g1x'1
1x1 (x)
(srrl
EXERCICE 448
EXERCICE 45I
l. / est dérivable sur R (fonction polynôme), l. / est définie sur R* et dérivable sur I -oo;0[ et sur
T'@) =s* -2x-2, /'(-r) = 3 et /(-t) =o lo;+æ[, fOr=-ffi.
Equationde T:y=3ya3 B
2. P(x) = x3 - * -5x-3 = (x+ (xz 2. f est déflnie sur -3; +oo et dérivable sur
1) -zx-S)
= (r+1)2(.r-3) yt1161=-!
3. l@l-y f
-1,*-[,
5 [ \/3x+B
= -x2 -5x-3=(x+r)2(x-s) 3. / est définie sur R* et dérivable sur I -oo ;O[ et sur
Sixel -oo ; 3t, /(r) - y < 0, I estau-dessus de e, 492
Si -r el3 ; +oo[, /(x) - y > 0,0 est au-dessus de ?.
l0; +oo[, //(.r)
'/5.
4. /estdéfiniesur]-oo;
rx124 4t I 4_l
il etdérivaUtesurJ-æ;, [,
EXERCTcE 449 -f'@)=--L. 2t/4-sx
Coefûcient directeur de la droite (OC') i a = 5. 5. / et définie et dérivable sur R,
Coefûcient directeur de la droite (BD) : aI = 2. , t2É +6x
\--'= --
rt'G)
af + bxz + cx+ d, f' @) =3ax2 +2bx + c (xa + xz * r/4'
1@) =
e passe par O(0;0), B(3;

-3) donc /(0) = 0 et /(3) = -3
tangente en O est de coeffrcient directeur 5 donc
G. / estdéfini"."'
II ;
+oo[ etderivaule sur
] l t .*1,
/'(o) = s. -ft(x) = r/2x
-L. -7
lâ tangente en B est de coefÊcient directeur 2 donc 7. / et définie et dérivable sur R,
l'@)=a7x+s) (.r2 +sx)5
f'@) = z.
( d =o B. / et définie et dérivable sur R,

27a+9b+3c = -3 f'{x) =s(tox4 -9xz +z)(zxs -sé +zx)8


Nous obtenons le système | 9. / et définie et dérivable sur R,
lc-5
\ zza+6b+c = I /'(x) = s(ssx6 +t2f - 1B.r) (5.r7 +3xa -s* -2019)4
La résolution permet d'obtenir a = l, b = -5, c = 5 et
EXERCICE 452
d =0.
Ainsi /(x) = x3 -5* +5x. l. f est définie et dérivable sur R,
t1ù
f - zoé) (tx6 - +x3 +z)
= (zx + tzxz
EXERCICE 450
r1 +(* ++f -sr4)(ra.xs -L2P).
I sG-6- s6 2. / est défilie et dérivable sur R,
( = lim +2* +6)-(xz +3x-+)(tx3 ++x)
c(r) ) h-o h Qx+g(xa
g(h)-g(x+h) f'(*) =
= lim (# +zxz +a)z
h-0 hg(h)g(x+ h)
-2x5 -gx4 +16É -6x2 +29.r+lB
_g(x+h)-g(h), I
= lim - ^ (# +zxz +o)z
h-O h c(bg@.h) 3. / est définie et dérivable sur R,
=_g,{x)r,l
g'\x) ft (x) = 1zx + 11 (x5 -zÉ +a)+(x2 +3x-4)(sx4 -G1r2)
g'(x) 4. / est définie et dérivable sur I -oo; -2[, sur l-2 ; 2l et
- - (st*t12 sur l2 ; +æ[,
(6x - 7) (* -+)-(sxz -zx+z){zx\
r'@) =
2.
#)'=(rr'"*)' @2 -q2
471
6.3. FONCTIONS

. :z(*2 -4x+4)= 7@-2)2


=
7 tantlaütesse ** ,(f ) = -n.
r' @ =
(* _ 4f- l; -ÿC;* 6+æ 4. Variations de la distance :

5. / est définie et dérivable r'r.


l -,
-f [, *. ] -i' -r
I
t 0
2
3
et sur l-2 ; +æ[, d,G) +0
(-1-'l' 4

\z+x) = -'(2+x)z
= onendéduitalors 3
I d
jri,.-\t)=-
\ù)-
-e+iÿ -l
0
,/ \ 0
:ô (2:c+s1?'
"
P**)' l-;-2[, ]-2;
variations de la ütesse : ut1t1 = -6 < 0 la vitesse est
6. / est définie et dérivable sur sur 1[ et
donc strictement décroissante.
surll; +æ[,
-,.rxr. = (2x -r)(x2 + x-2) - (2x+t)(i - x-2)
7 EXERCIcE 455
z* ++
-_--[]FG+æ- f est dérivable sur R, /'(r) = x4 -6x2 + 4,
=G-fr;+æ
7. / est déflnie et dérivable rsur l0 ; +æ[, /'(1) = -t
On cherche a tel que //{o) = -1.
7'61=(zx+ i)t.'+z1E)+(, - i)(r*. Soit encore a4 -6a2 +5 = 0, l'équation a quatre soluüons
æ)
B. / est définie et dérivable sur R, r, -1, t/5 et -t/5.
f' lx) = 2 1x - D (4 - x2) - 2x(x - L)z Iâ tangente à la courbe € d'équation y = '= f -rÉ * n*
5
= (x- 1) (-+* +zx+s). au point d'abscisse I est parallèle aux tangentes à la
courbe atx points d'abscisses -f , rÆ et - r/5.
ExERCIcE 453
EXBRCICE 456
1. AfÊrmation fausse : la tangente à 0, au point G est
(3)
1. La tangente à e au point d'abscisse a est de coeffi-
de coefficient directeur 2 donc ut =2.
2. AfÊrmation waie : la tangente à €a au point O est de
cient directeur 1' @),; (l; f ' (a)) est donc un vecteur
directeur de 74.
coefficient directeur 9 donc u'10; = 9.
La tangente à e au point d'abscisse b est de coefÊ-
3. Affrrmation waie : u'(1) = 0 car e y admet une tan-
gente horizontale au point C.
cient directeur f ' @), ; Q; 7' fâl) est donc un vecteur

(l)- directeur de T3.


D'autre part
' l,1'l',t,
\u I = --'ti,v(l))' = o. TnlTs :î.ï =o <- r+f'@)|b)=o
4. Afflrmation fausse: ê ft@)ft(b)=-r.
(uu)t (3) = u' (3) u (3) + u(3) u' (3) = - I x 3 + 1 x 2 = -1. 2. Les fonctions / et g sont dérivables sur R
Recherche des points d'intersection des courbes :

EXERCTCB 454 f(x)=g(x) e *=t


Les deux courbes se coupent arx points d'abscisses
l. La fonction d est définie et deuxfois dérivable sur R,
Ia vitesse du point A est u(r) = d'(t) = 4 - 6r, son ac- -1et I
célération est a(t) = u'(t) = -6. f
t
- 2x d'oît l' el) = -z et f (l) = 2.
(x)
.lll
2. Le point r{ s'arrête lorsque u(r) = 0 c'est-à-dire pour g' = - - x d'oùr g'(-l) = - et g' (l) = -
(x)
i.
ft eDgt eD = -t et /'(l)g/(1) = -1, les courbes ey
t =?.laarors
3 ',oarcouru d(?l
\3/ =!.3 et €g sont donc bien orthogonales.
3. Le point A repasse par l: point O lorsque d(t'1 = g.
3. / - æ;0[
est définie et dérivable sur I et sur ]0; +æ[,
uéquation 4t -3P = 0 a deux solutions fl = 0 et
4 g est définie et dérivable sur I - oo;2[ et sur ]2;+æ[,
t? = ;,la
to
première solution correspond à l'instant
Recherche des points d'intersection des courbes :

initial, la valeur recherch,ée est donc , = l. A cet ins- f(x)=g(x)<-r=1.


472 CIIAPITRE 6. CORRIGES

Les detx courbes se coupent au point d'abscisse .. ExERcICE 459


l, f*) = - id,où /,1r; = -1, 1. a. On vérifie que P(2) = 0.

g'tx1 b. P(*) = (x - zl (gé + tC,xz - +x - B)


= -L---- d'oir g,1t1 = 1,
lz- x)' c. En utilisant le tableau de la calculatrice et la tech-
.f'(l)g'(r) = -1, les courbes e
l ete-g sont donc or-
nique du balayage, on obrient x = 0,807 à 10-3 près.
thogonales.
2. On utilise la méthode utilisée dans l,exercice précé-
dent:
EXERCICE 457
. Equation de la tangente à ?7 : y = 3a2 x - Za3
l. La fonction / est définie et dérivable sur R (fonct on . Equation de la tangente àp g : y (Zp + +) x _ 92
=
polynôme)
.onendéduitaorrqu"{l = = 2P+4
1'@) = 2x + 5. Equation de la tangente à ? au point -lb = 'o'" =
-2ü3 -p2
d'abscisse a : y = (2a + S)(x - a) + a2 +Sa -2
Soit encore y = (2a + 5)x - a2 -2. o{Isaz=zl++ =+{
[ a=!6oz-n1
' 2'-' -t

2. Ia tangente passe par l'origine si et seulemenl si


I za" = P' I Sra _Ar3 _24a2 +L6=0
D'après la question précédente üt = 2 et az = O,807
-az -2 = 0, l'équation n'a pas de solution réelle. à 10-3 près.
Il n'existe aucune tErngente à la courbe passant l)ar
On obtient alors p1 = 4 et p2 = -1,923 à 10-3 près.
l'origine.
Les courbes ?y et à 9g admettent deux tangentes
3. La tangente passe par le point de coordonnées (4 ; 1)
colllmunes.
si et seulement si 4(2a + 5) - a2 - 2= |
4(2a+ 5) - a2 -2- 1
-
a2 -Ba- 17 = O. EXERCICE 460
Cette équation admet deux solutions:
l. a. La fonction g est strictement croissante sur [0; U,
aL = 4 - t/33 et a2 = a + t/33.
y'53 et ,l +
puis strictement décroissante sur [; 10] ;
Les tangentes aux points d'abscisses 4 - b. la concentration maximale d'antibiotique lors des
r/53 passent par le point de coordonnées (4; 1). l0 premières heures est de 2 mgll et elle est atteinte
4. La tangente passe par le point de coordonnries au bout d'une heure;
(-2 ; 2) si et seulement si -2(2a + 5) - a2 - 2 = 2
c. l'intervalle de temps pendant lequel la concentra-
-2(2a+5) - az -2 - 2 a2 + 4a+14 = 0, A < 0,
tion de l'antibiotique dans Ie sang est supérieure à
-
I'équation n a pas de solution réelle.
1,2 mg/l est à peu près [0,3; 3].
Il n existe aucune tangente à la courbe passant pa le
2. u l-a fonction g est dérivable sur l'intervalle [0 ; I0]
point de coordonnées (-2; 2).
et sa dérivée est
. 4(P+ll-4t x2t +P ++-stz 4$- P)
ExERcIcE 458
s' (t) = --1V + rÿ = -1V;ç- =
o4r)z
b. Pour tout ré el t, (tz +l)2 > 0 donc g'( r) est du signe
l. Equationde latangente à I 1 : y = 2ax- a2
de | polynôme I - I admet deux racines -1
- t2. Le
Equation de la tangente à ?g : y = (zp - +) x - F2-z et I (-l n étant pas dans l'intervalle [0; 10]). Nous en
I a = 2a = 2B-4
déduisons le tableau de variations:
On en déduit alors que
f f = -q.2 = -p2-2 t 0 1 10
, I +0
l:n = luu;!, -ü=-I"u
3. D'après Ia question précédente, les courbes
2
?7 et
gt G)
2

à ?g admettent une tangente commune d'équaticn


ô
,/ \ 40
y = _sx_
I 0 MT
i. La concentration maximale de 2 mgll est donc at-
teinte t heure après l'injection.
473
6.3. FONCTIONS

3. Pour calculer le temps d'artibioüque utile, il faut ré- P'(t)=P'(-2)=0.


soudre l'inéquation g(r) >' 1,2. P't7x1 =-42f +90xa +120x3 -2Mx2 +18-r+78.
4t
g(t)>1,2 e --;----' >l'2 Pf'11; = 6.
P"' 1x1 = -2l0xa + 360f - 528x +1B et P"'(1) = 0.
ê
4t > 1,2(iz +l) car tz + I > 0 surR
Nous avons obtenu P(1) = p'11; = Ptt(l) = P"'(1) = 0
<-
0 > l,2tz -- 4t + 1,2
et P(-2) = Pt(-Z) = 0, nous en déduisons que P est
Le polynôme 1,2t2 - 4t + 1,2 a pour discriminant
factorisable par (x +2)2 et par (, - 1)4.
L, = L0,24 = 3,22 donc ce, polynôme admet deux ra-
4-3.2 1 4+3'2 b. D'après la question Précédente,
cines fl = lz= = 3.
2r ll= ,et 17 P(x) = (x - t)4 (x + Z)2 (S - x).
Le polynôme est du signe du coefficient de I donc Les solutions de l'équation P(x) = 0 sont donc I (so-
positif à l'extérieur des racines et négatifentre les ra- lution quadruple), -2 (solution double) et 3 (solution
cines' simple).
I I I
Lensemble solution recherché est donc 3
| 5; [.
La durée pendant laquelle la concentration de l'anti- EXERCICE 462
biotique est supérieure à 1,2 mg/l est 2 h 40 minutes l.
I 2
car3- -3 -)L -
3
x -æ I +æ
r'G) 0+
EXERCICE 46I

l. a. Pour tout réel x, Pt(x) = Q(r) + (r - a)Q'(r) d'où r \,/


t t1al
= q1a'1.
2.
b. Si P est factorisable par (x - a)z alors il existe une
fonction polynôme R telle que P(x) = (x ' a)z R(x).
x -æ -2 +oo
En dérivant, on obtient g'{x) +0
Pt 1x1 = 2(x - a) R(x) + (x - a)z Rt (x).
On en déduit alors que P(a) = Pt (a) = 0.
Réciproquement, si P(a) = Pt (a.) = 0 d'après la ques-
tion précédente: P(x) = l;,.x- a)QQ) = (x- a)2R(x).
ExERclcE 463
c. Par un raisonnement analogue, on démontre que l.
P est factorisable par (.r - a)3 si et seulement si
P(a)=Pt161 =Ptt(a)=O x -9 -2 2 I
2. P(x) = x5 - 5x4 + 4ox2 - lr1x + 48 et P(2) = 0. T'@) 0+0
u Pt (x) = 5x4 - 2Ox3 + B0r.r - B0 et P' (2) = O. '\./'\
- 6C,,c2 + go et P" (2) = o.
Pt' 1x! = 20 x3
I
-2
Pttt 1x1 = 6912 - r2ox et pttt (2) = o.
2.
Nous avons P(2) = pt12'1 = P't(2) = Pt't(z) = 0, nous
en déduisons alors que P est factorisable par (x-2)a . x -oo -l I +æ
b.P(x) = (x-2)4(x+3). rt@) +0
Les solutions de l'équation P(x) = g sont donc 2 (ra- ,\ .\
cine quadruple) et -3. r
3. P(x) = --r7+3x6+6x5 -L2x4 +3x3 +3gxz -4ox+12.
_/ -æ -æ
a. P(1) - 0 et P(-2) = 0.
Pt(x1 =-7*6 +18x5+30:ra-BB.f +9x2 +7Bx-40.
474 CITAPITREï. CORRIGES

EXERCICE 464 x -æ 0 +æ
t. 1'@) + +
+oo
x -æ -l 2 +æ r
r'@) 0+ _/* /
.\ ExERcrcÈ467
f \,/ -æ
t. f(x't=f -*+sx-21,
2,
/ est définie et dérivable sur R.
f' {x) = 3x2 -2x+3 > 0 car = -32 < 0,

x -9 -2 2 I
la foncüon / est donc strictement croissante sur R.

1'@) 0 0+
5
x -æ +æ
5
I 1'@) +

,'/ +æ
I
ExERcIcE465

l. La fonction f est une fonction polynôme donc définie et r lé- 2. fG)=3É+si-4x+6, "/
rivable sur R.
f est définie et dérivable sur R.
2.1'@)=6x-7. ft(i=9P+tox-4
7.
3. ftk)>o e vv -u;Æ
6 /r(x) = 0 admet deux solutions x1 =
4. ",
-s + y'ot
x X"=-.
-9
-æ +æ
f'(x) 0+ x
-*\ +æ
-æ ,1 x2 +æ
f'@) +0 0+
r ./ l@t ) +æ
3
r \ ./
1@z)
f "/
EXERCICE466

1. /(x) = -2x2 +8x+3 3. 1@) = -3x2 +3.r+9


. l,a fonction / est une fonction polynôme donc définie et / est définie et dérivable sur R.
dérivable sur R. f' @) = s* -6r+3 = 3(x - L)2.
. ft(x) = -+x +8.
)c -oo I +oo
. ft@)>o æ x<2.
Nous en déduisons le tableau de variations :
|t(x) +0+
+oo
x -æ 2 +oo r nz
rt@) +0 -æ
ll
+. f(x)=-ê+s*-27x+6
f \
-*r/ -æ f est définie et dérivable sur R.
I f'G) = -z* +l8x-27 = -3(x-3)z
2. f(x)=3x-:
)c -æ 3 +æ
. la fonction / est définie R* et dérivable sur I -æ;0[ et r ur
l0;+æ[. ft(x) 0
I
. fr1x1 = 3+ I > 0 quel que soitxe R*. +oo
Nous en dédri'sons le tableau de variations: I -21
\ -æ
475
6.3. FONCTIONS

5. /(x) = : * +t#o c.s=ll;2lu.l7;I21.3 3

.\
2s
-,quelquesc,itxréel
a#nI"'"t dérivable siur R. 2. lQ) =2et l'G) = --, Lt Y = -rx- T-
1
."rt 2x, 3.
y,1x1= -@ *ÿ. x I 4 l0

x -oo 0 +oo 1

+0 j ,/
f'tx)
I ll 25

r
o/r' \. BxBRctcE4T2

l. /estdérivablesurR,
6. /(x) =* 1'tù =z* -tzx-s
R/{-2} et dérivable sur I -æ;-2[et L -- lt (x) admet deux racines distinctes
/ est déflnie sur 28,

surl -2;+oo[. xr =2- t/1 et xz=Z+ r/1.


x -æ xl x2 +æ
t 1'@) +0 0+
r'@) =
G.* >0 +æ

x -æ -2 +æ r \ ./
l@z)
Tt(x) + il +
+oo I 2. a. / admet un minimum local au point d'abscisse 2 + r/7 et

f /
un maximum local au point d'abscisse
b. La fonction ne possède pas d'extremum global.
2 - rÆ.

I /
ExERcICE 468 ExERcrcE 473

/ admet un minimum au point d'abscisse -1 et un maximum l. f est dérivable surl2;+æ[


au point d'abscisse 1. (x+ 1)(r+3)
î'(x)
ExERcIcE469 +æ

*\nrl-
x 2 J

/ admet deux maxima : arx po,ints d'abscisses -3 (maximum 1'@) 0+


absolu) et I (maximumlocal).
f admet derx minima : aux pc'ints d'abscisses -l (minimum
r
local) et 3 (minimum absolu).
ll
ExERcrcE 470 2. a f admet un minimum local au point d'abscisse 3.
f admet trois maxima: auxpoints d'abscisses -2,2 (maximum b. La fonction possède un minimum global au point d'abs-
local), l, 4 (maximum local) et 2, I (maximum absolu). cisse 3, pas de maximum global.
f -2,8 (minimum
admet trois minima : aux points d'abscisses
absolu), -1,4 (minimum local) et2,2 (minimumlocal). ExERcIcE4T4

ExERcIcE 47I r. -f'(l) -YD-YG -6


xD- xc
l. a. f' Q) = o (rnaximum de / au point d'abscisse 2).
2. Y=6x-4.
x 0 4 10 l4 3. f est dérivable et strictement décroissante sur [-1;0],
f'6) +0 0+ /(-tl = 6 et /(0) = -2, l'équation /(r) = 0 admet une
7 unique solution rr e [-l;0].
r 4.
-3 x -l .rl xz x3 +æ
b. Léquation f(x) = -2 admet une unique solution sur I. lG) +0 0+0
476
CIIAPITREq. CORRIGES

5. -b. a+b est la moyenne des abscisses a et &.


x -l 0 2 +æ - algorithme détermine un encadrement à l0-5 près
c. Cet

I '\_,/'\ d'une soluüon de l'équation /(x) = 0.


d. deff(x) :
retum x+*3-3*x**2+2
f'@) 0+0 defdichot(a,b) :
Il s'agit de la courbe e1 qui est la seule dont les ordonn ies if »b:
sontnégativessur [-l;0] et [2;+æ[, posiüvessur [0;2]. c=b
b=a
ExERCIcE4T5 a=C

Lorsque ( .r ( 2, 1 + x > 0 et 2 - x >- O.


-1 iff(a)*f(b)<=O:
La fonction f est donc définie sur - I 2] et dérivable sur I I while b-»0.00001 :
-
-,
l'txl-
1r *.: >0
[ ; I 2 [.
c=(a+b)t2
2\/7+ x 2t/2- x iff(c)-f(a) <=0 :
La fonction / est donc strictement croissante sur l-li2l,
b=c
BxERcIcE4T6 else :

a=C
l. /estdérivablesur [-10;10], ft@)=3* -Ax+q
a print(a)
//(x) = 0 admet deuxsolutions xl =-et x2=2 print(b)
x -10 2 l0
1'@) +0 0+ e.
r13
643 . Lorsque a = -20 et b = 30, on obtient 2,73204 et2,73205
T
r . Lorsque a = -20 et b = 3, on obtient -0,73205 et
7437 -/ \ ,t/ -o,73204.
. Lorsque a = 0 et à = 3, on obtient 0 et 3.
2. / est dérivable et /(r) >o *r t'équation .f(x) =, o f. Il faut s'assurer qu'il y a une et une seule solution entre a
[]'rol,
n'admet donc pas de solution sur cet intervalle. etb.
/ est dérivable et strictement positive *,
[-rO,;,],
2\ rl3
I
ExERCICE4TS
/(-10) = -1437 <0
",
/t;] = ; r0, l'équation 1@),, o Soit x le réel recherché, on définit, pour .r €10;+æ[, la fonction

admet une unique solution xs. î par l@)=.*:


[-rot 3] / est dérivable sur l0; +æ[,
3. En uülisant la calculatrice, nous obtenons :
I (x-Utr+t)
l,G)=t_ =

.-\,/
-0,49<x6<-0.48.
x 0 I +æ
ExERcIcE4TT |t(x) II 0+
l. a / est dérivable sur R, 3* - 6x = 3x(x - 2). +æ
/'(x) =
I
x -oo
+0
0 2

0+
+æ ll
T'@) la somme est donc minimale pour x = l.
,\
r
./ -2
.z +æ
ExERcIcE4T9
l. On applique le théorème de Pythagore dans le triangle ABC
b. f ez0D = -9198 et /(30) = 243o2. rectangle en B : h2 = 4 - i,2.
c. D'après le tableau de variations, l'équation 2. On en déduit a7orc lhz = I (4 - P) = -13 + 41.
f(x) = 0 admet trois solutions. 3. a. f est dérivablesur l0;21.
2. aLorsque f(b)xf(a) <0alors f@)et1@) sontdesigres (2rt
l'@)=4-3x.=rt; *)PÉ *.)
contraires. /\ 3 l
6.3. FONCTIONS 477

x 0 ?!3
3 2 2. a. s(x) =2(xy +2xy +zP) =+*+ S sur tl;21
r'@) +0
b.s,(x)=8x-
_r
16y'3
I
#=#(.-:) I
r \*, 7 > 0 donc Sr(r) a même signe que x3 - 2
,/ 3. a.

2f o, obtient alors x 1 2
b. La résistance est maximale pou , I = , ut@) +
_
h-_
2\/6 3,5
3 a
4. sina =
-.
on en deduitalors o = 54,7' à 0,1' près. -3,5
./
f
b. La fonction u est dérivable sur [1;2],
ExERcICE4SO
u(r) = -3,5 < o et u(2) = 3, 5 > 0, l'équation z(x) = 0 a donc
l. Soit ÿ le volume de la boîte, 7 = y x x x x d'autre part V = I une unique solution a dans [I;2]
1
d'oir y - -;. a=1,7à0,lprès.
4 c. D'après ce qui précède, u(x) < O sur [1; a[ et z(x) > 0 sur
2. S(x) =Zxz + 4xy =2* + ;. la;21.
4 4(f - 1) 4(x-D(* + x+t) 4.
3. s/(.r) 4x-
x2
(on utilise la de an - l). x 1 a 2

4. a. st(r) 0+
x 0 1 +æ
,\
s
s'(r) 0+ a32,

s 5. S est minimale pour 1,7 cm à 0, I près. Cette aire est égale à
32,7 cltrilz à 0,1 près.

b. tiaire sera minimale pour une boîte cubique de côté de


ExERcIcE4S3
longueur I dm.
A D

ExERcIcE 48I
r. f rxl=zt/r7 +;xJFx', =rrtr+oJTa o
2. / estdérivable sur l0; l[,
- 4x+l
rr.t='uÿt=.-#?l= -2x2
2\/t- x2
3. -2x2 -4x+l = 0 admet deursolutions ot
xt=-2-2\/6<0et.r2=-Z
- -2 + r/6 .

x 0 x2 I C

f'k) +0 . Les centres O e O' des cercles sont à éBale distance des côtés
l@z) AB et AD pour l'un, CB et CD pour l'autre, les centres des deux
I cercles sont situés sur la diagonale AC et les rayons r et r/ des
,/' cercles vérifient OA+ r + rt + OC = at/2
0A= rt/Iet oC = rtt/2.
4. Ilatueestmaximalepourr= --y On en déduit alors que r + rr = a(z- 14.
. Les cercles sont situés à l'intérieur d'un carré de côté de lon-
ExERcIcE4S2 gueur a, leurs rayons restent inférieurs à {.
2
l. En calculant le volume du parallélépipède, nous obtenons On en déduit que chaque rayon appartient à l'intervalle
6
l"G-*),il
478 CIIAPITREî. CORNIGES

. La somme des aires des deux cercles est différents, la fonction g n'est pas dérivaUte en - ].
s = n(r2 - = ,\ i[{r
+ r,)2 + {r - r,)21 d. la courbe représentative de g est égde ey2sur
=llrc-*rzl"2 +o - r,tzl. I 1l
'l I
--' - Z I
et sur I l; +oo[. Elle est s]rmétrique par rap-
Laire sera minimale lorsque r= t = ,(t-f 2l rrur, don
\ "r port à I'axe des abscisses sur l'intervalle
[-;',I
smin=ta2 (s-2J4.
Laire sera maximale lorsque r est maximale et r' minimale 1ou

inversement) c'est-à-dire lorsq u", = 2 t A).


"
=
"(| -
On obtient alors 1234
s *o" = TIG - n'/4 + (-t + t/2)2 a2f
"2
=ol? -srtl o'.
12 I
EXERCTcE 485
ExERcIcE4S4
Pour 0 ( x ( 1, /(r) ='rto - o*' - tr(t - fl2)
l. définie et dérivable sur R
-2x+1 l(x)=r(-xz+x).
x+ /dérivablesur t0; rl, /'(r) =tr(l-2x)
x -æ -1 +æ x 0 I
.f'(x) 0 + 0 f'@) +0
,\ 2{3
-5 1T
4
r r
z'/i .' \, \
,'/ 0

Uaire hachurée sera maximal" oo,rr, = I


,2
EXERCIcE 486
2 1234 l. En appliquant le théorème de Pythagore dans le tri-
I
AMN rectangle en.4, nous obtenons
angle
MNz = # +f a'ot MN = {*4 y2
2. u (x -l)(2x+ r) ) 0 sur
I
-""'-; ] et surll;+ool Comme C D = CT, en appliquant le théorème de §-

thagore dans les triangles CNf et CND rectangles


(x - t)(2x +l) < o sur t
[-;, I respectivement en I et D, nous obtenons:
b. s(x) =f(r) pourr€ TN2 = CNz - - Ct = DNzCT? = CNz
l--'-;lutr;+æ[ donc TN=DN= r - AN =I-1.
-f (x)pour r € [-;,, I
g(x') =
Par un raisonnement analogue, nous obtenons
I
c. Pour r < --, soit gË la fonction dérivée de 1: à TM =l- x
donc MN = IN+ TM =2- x- y.
caucne ae -|. r--:- ^
2. t/ t' + yz =2- x- y x2 + ÿ - Q- x- y)2
I -
s|@) = 1'@) donc glr ( soit après développement et simpliflcations
I
2 )=: 2x_2 y(x_2).
=
Pour -7 < r < l, soit g; la fonction dérivée de zl à

I
Commexe - x-2 =r* J=
ll, x-2loety=2J-2
[0;
x-2
droite de -
2 3. MN = fi)avec/(.r) =2- x- ÿ = -.- +.
x-z
da{*1 =-/'(x) donc r, (-;) =-
: / est dérivable sur [0;1] et
2
\"' .
2-(x-2)z
Les nombres dérivés à droite et à gauche de -! Cttot rf./-\-_rr_ G_2)z (x_2)2
479
6.3. FONCTIONS

x-z) I
1/2- x+2)('/2+ b. Lairesera maximale pourr=
l'$) = (x -2)2 ffi
488
x 0 z-'/2 1
EXERCICE

0 + PartieA
1'@)
1 l. / est dérivable sur [l ; 7],
I f G) = q,s* - l}x +24> 0 car À < 0.

-2+2 2.

r x 1 7
La distance MN est minLimale poür = 2 - \/2- El/Le

1'@) +
est alors égale à2\/2 -2.
289,5
4. aire(AMN') = I' aire(ODNT) - aire(CBMT)
= L -Zaire(CNT) -2aire(CMT) ï ./
64, 5
=l-2aire(CNM)
=l-MNxCT=l-MN. PartieB
tiaire du triangle ÂMN est donc maximale lorsque 1. c est dérivable sur [1 ; 7],
MN est minima.le, c'est-à-dire lorsque x =2- \/2. . 48
C'1x;=J.r-9- ,=-'--a-g*
3.É -qe
Laire de , MN est alors ,égale à 3 -2\/2.
3(f -+xz + x2 -t6)
c'1x1 =
EXERCICB 487 x2

1. En appliquant le théorèrne de Pythagore, nous obte-


nons Arl = ÿrVt:7 3@-ait(x2 + x++)
2. S(.r) = 4x2 + xtfil - x2. 2. a-
)(:2

3. Lafonction S est dérivable sur lo;!l x I 4 7

3'(.r) = 8r+ 12-x2-


* r'G) 0+
579
J@-7 64, 5 -T[

')--.-xzl'+16* -r7*
t*t/ tz - x2 +( Jtz
, I \ ./
24
\/æ= b. D'après Ie tableau précédent, le coût moyen par
',
(t/E:? *+*)' -l'tn4' article sera minimal pour 4000 articles fabriqués.

ÿ/E-7
EXERCICE 489
(t/ t, -7 * o+ '/Tlx) ({C=.@- \htx)
l. . Six ( 3, /(x) = * -4çx+3) = * +4x-12,
lE-7 f dérivable sur I - oo;3[ et Ît (x) = 2x + 4,

4.
lim f'(x) = lo.
X-3
. si x2 3, f (x) = x2 - q@
- 3) = * - 4x + 12,
x 0
t./zl-BJt?
I
/ dérivable sur l3;+æ[ et ft Q) = 2x - 4,
ft(x) + 0
\m ft$l=2.
x-3+
Le nombre dérivé à droite de 3 étant différent de ce-
r lui obtenu à gauche de 3, la fonction / n est pas déri-

vable en 3.
480
CHAPITREq. CORRIGÉS

2. 2. On reprend les calculs précédents avec R quel-


x -æ -2 3 +G conque.

f'(x) 0+ + On a:
+æ +æ
. v(h) =!ta2n_n3)
r \ . v,(h) = -zn2)!{a2
. n. = -R\/5 seule
-16
racine dans l'intervalle [0; R'l
3
EXERCICE 490
. Le maximum est atteir Rrt
l. On choisit R = 20 cm. . r.e rayon correro""J:'o::'"L=" o3 ** *,
a. D'après le théorème de pythagore,
l=\/Rz-hz=Rl6
ona(Z = R2 -h2 =400-h2. .
3
Le périmètre du cercle de base vaut alors
üaire de la base vaut,4 = ttl2 = n (+oo - nz).
p=Znt =znl:f .
Le volume du cône est alors V ûl = ! n
@OO - n2) f,
b. La fonction ÿ est définie er dérivtble sur [0 ; 201 o On a alors : R(2n - u) = Zonfr
3
v'(h)=!*hoo-shz).
3'
Z0\/j
d'oùa=2n (,f) =*(+)
x 0 --3- 20 la valeur der a ne dépend pas de.R.
1'@) +0
M EXERCICE 49I
r t t=q(a2-sb)
,t/ 0
. (
Si b > < 0 et le trinôme est strictement
3
positif sur R.
^or"^
Le volume maximum es r =2oJi
,- ' . Si b = 43 = 0, le trinôme a une racine
,(r:É)- ,6oo.ezrl3 ^or"Â
\s ) 27 =r;i:*ï"r = -1.
double.rn"3
c. On a vu précédemment que le rayon du cercle c.e Le trinôme est strictement positif pour tout
base est / = \/ 4oo - h2 . .r e R/{ro} et nul en xg.

Le volume est maximum pou , n =zof . Si b < aorc I > 0, le trinôme a deux racines dis-
t
t'
r____w_ ünctes xl et.r2 (on suppose .r1 < x2).
alorsl=t/+OO_nz=tf+t_ _20\/6
3 3 Le trinôme est strictement positif sur I - æ;x1 [ et sur
Le périmètre du cercle de base est alors
l.rz ; +æ[ ; il est nul en x1 et .r2 ; strictement négatif sur
P=2nl =+Or*. lxt;xzl.
La longueur du cercle de base est aussi la longuerLr 2. Montronsque(P1) (P2);
de l'arc de cercle du carton restant après avoir enlel é
-
Si / nadmet pas d'extremum alors / est toujours
le secteur circulaire d'angle au centre a croissante ou toujours décroissante, est donc
:
f,(.r)
p=R(Zn-a). toujours de même signe.
Réciproquement, montrons que (P2)
Soit 2o(2ît - al = +on§ d'où Zn - o = zo* qrn -
(P1) :

donne Si /'(r) est toujours de même signe alors f est tou-

-2vfi33= 2o3 - fr
jours croissante ou toujours décroissante donc /
a. = 2n radians
n'admet pas d'extremum sur R.
soit encore
Nous avons ainsimontrer que (P) e (P).
" = r"(1-{), # = r2o(3- y'6) = 66' 3. D'après les questions précédentes / nadmet au-
6.3. FONCTIONS 481

cun extremum réel si et seulement si le trinôme ne 3.

change pas de signe, c'est-à-dire si le discriminant x I a 15

est négatifou nul. D'oc) +0


4. D'après ce qui précède, lir fonction / rt'admet aucun r (a)
o2
extremum réel si b ) :
-3 D
./ \*
On peut choisir par exemple a = | et b = 2. -4 -48,3
f @) æ 16,79

EXERCTcE 492
4. a. Ilentreprise va-t-elle rendre son bénéfice maximal
pour B tonnes.
ParüeA
b. Le bénéfice sera alors de 1679 €.
1. Le coût quotidien de l'entreprise est minimal pour 5
tonnes produites. EXERCICE 493
2. a. C(6) = 4 et.R(6) = lB,
, (en mètres) 0 0,5 I r,5 2,5
le résultat net quotidien en euros dégagé par l'entre- l.
/(r) (en mètres) 1,92 2,3 2,64 2,94 3,42 3,9
prise pour 6 tonnes de g::anulés fabriqués et vendus 5 5,5 6 6,5 I 9 10 1I t2
3,2 2,U 0
est d'enüron 1400 €. 3,92 3,9 3,84 3,74 1,92 1,04

2. est sur
b. IJentreprise doit prodrrire et vendre quotidienne-
ment entre 2 et 12 tonneli pour dégager un bénéflce.
/'(r) = -0, 16r+0,8.
3. /'(x)29 e x(5.
Partie B La fonction / est donc croissante sur [0;5] et décrois-
sante sur [5; 12].
l. a. g est dérivable sur [l; 15]
4. La hauteur maximale sera atteinte par le poids pour
I
g' (x) = -0,024x' -+ < 0 pour tout réel x de f inter-
x = 5, elle sera de 3,92 mètres.
valle [I; 15].
5. La valeur de x, solution de l'équation /(x) = 0 cor-
b. gr {x) < 0 sur [1; 15] don c g est décroissante sur l'in-
respond à la distance des pieds du lanceur au point
tervalle [1; 151.
d'impact du poids avec le sol soit la longueur du lan-
2.u cer.
6. /(*) = -0,08(l -rox-za)
a.
JC I 15 On remarque qre -2 est racine du trinôme, sachant
gt G) que le produit des deux racines est -24, on en déduit
t\ que 12 est la seconde racine.
ô D'où, /(r) = -0,08(x+2)(x-t2).
-23
b. D'après la question précédente, l'équation
b.o=Bà0,1près.
f(x) = 0 admet detx solutions distincrcs -2 ett^z,
c. Tableau de signe de g(.r)
or -2 Ç l0;l2l
la longueur du lancer est donc de 12 mètres.
)c I B 15
signe de g(x) +0 ExERCIcE 494
PartieA
Partie C
l. a. h est dérivable sur tl ; 101,
r. D(x) = R(x) - C(x) = -0,002xn * +*- \ -Z . 26 J26 2[
h'(x)=2x-:=2x--- "æ\ I
2\/26x 2'/x -lxt/x-'
r/x \ 4)
2. Dt(x)=-4xo,0o2x3 +a+f =g(r).
x
482 CIIAPITRE1. CORRIGES

b. Partie B
jÆ5
x 1 l0
h'(x)
2
0+
l. ,ftSt = 4,5 soit un coût de production de 4 €50 pour
-3,I. 84,9
une coque dans le cas de la fabrication de 500 coques
h parjour.
-3, l5 2. D'après le tableau de variations de la fonction /, le
c. D'après le tableau de variations précédent, minimum est atteint pour r
= 2,72. On en déduit
donc que la fabrication de 272 coques par jour per-
h(x) < 0 sur /r est dérivable et strictem( Int
['' T I, met de minimiser le coût unitaire de producüon.
I ÿr3 læ coût minimal de production d'une coque sera
crolssantesur[ ,,1
rol,
, alors de 3 €27.

,(f) < 0 et /(r0) > 0, l'équation h(x) = s 44r,"1 Partie C


donc une unique solution d appartenant à tl; l0l. On traçe les courbes représentatives de f et de g sur la
d,. a =2,72 à l0-2 près. calculatrice (voir graphique précédent). Par lecture gra-
e. h(x) ( 0sur [1 ; al et h(x) ) 0 sur [a ; 10]. phique, il faut produire entre lI5 et 523 coques pour as-
2. / est dérivable sur [l; I0] surer un bénéfice à I'entreprise.
26x -zax (xz +t)z
r'a) = - +l _ EXERCICB 495
(*' * r)2 (xz +r)z
^ , _a
3. a.(xz +t )'- za*=(# +t)'-(\/26x)' l. a3 xa7 ,b5 166 - o106ll
= (* +'/zax + \ (x2 - t/zox + t). z. (aË)5 - os6ro
b. xz + t/26x +1 > 0 sur tl ; l0l, a3 b7
t. * + t/ZAx+ I = 0 admet une 3. ab-
d'après la question AF
unique solution dans [;10], notêe a a. (a-2ut13 (a3o-a)z =6s
a. est donc l'unique solution de l'équation /'1x; = 1.
S. a39Ë2ta-25ÿ0o568 = 6te64e
o3lr-Z
6. =a-*b
at b-J
z. (azË)a
- (a-tu-af - o-136-44
g. o26-96po6a7 b-8 = ot56-14

\ < " (ry#)'=o-no-'


t EXERCICE 496
I
a l. exp(2x) x exp(Sx) = exp(7x)
! x
2. exp(3x) x exp(-6x) = sap(-3x')
a I n I
3. (exP(sfl)z = ex7(l1x)
exn(9xl
4. l'G)>O ê x>q, 4. '' '=exo(x)
exp(Bx)
5. 5. exp(2x) x exp(Ax) x exp(-6x) = exp(O) = |
x I aaa IO
6. exp(Sx) , exp(3y) x exp(z) = exp(5x + 3y + z)
r'@\ 0+
6,5 9, 13 z. (exp(x) x exp(2y) * exp{-û)3 = exp(6y)
I \-/ e. exp(2x),
",*?,!.1!.' ",*P!.zvl. = exp(x + 3 y)
3,27 exp(-y)
6.3. FONCTIONS 483

ExERcIcE 497 4. ("' -t)(ex - es)=0 <=> (et = eo ott e* = e5)

rt E = t0; 51.
L. (e2x+t13 *(e-3x12 =
s. (e, +o) (e-t*+ - rs,) = o
: (d = -Bou "-*++ - Sx
l,a première équaüon n'admet pas de solution. Ia se-
conde équation admet deux solutions.
s = {_4; li.
6. Zxex -6ex =0 e (zx-6= 0 ou er = 0)
l,a première équation admet une solution. La se-
conde équation n'admet aucune solution.
E={3}
ExERcIcE 498
EXERCICE 50I
t. (e' + e-')2 -(ex - s-x)z = 4
à?x+3 l. e')l æ ex)so ê x)o
a
1t-1 - v E - [0; +æ[

e. (r')u
--oa x s'2x - r3x 2. æx <e.e 2x<l
4. e?.x + e-zx _ (ex _ e-x)z ,=2
s=l--,lI
| '2t
3. (2x-l)er >0 l1ç-l >0carVxÉR, e' >0
s. 1/4,({")'=& -
e,/ê s=ll,*-[
)2t
6'ffi=em 2s

4. ex-e-x <0<- ex<e-x ër<-,


S-l-æ;0[
ExERCICE 499 5. -1 e-x -L >0
l. ex = -2 impossible c{u pour tout réel x, ex > 0 x -oo 0 +æ
doncE=@ ex -l 0+
e-x -l +0
I
2. &x=sê))c-1, ,s-
, (r'- t) (e-x -r) 0
=@
l. e* =sg ê a2-g, §= {-3;3} 6. 2xex -6ex >0 a la-g)-§ S = 13; +æ[

4. ex-1 -0<- ex=eo, E={0} ExERcIcE 502


læs quatre fonctions sont dérivables sur R.

5. ex =e-x e x=-x, E={0} L î'@)=ex-2x


2. f'@) = ex (ex + l) + (ex - t) ex = z&x
6. e-x_é æ _x_2, E = {-3} 3. Ît (x) = ex + (x +Z)ex - (x +3)ex
4. lt(ù = (er - r) (e* + xz)+(ex - x)(ex +zx)
EXERCIcE 5OO
=zêx +(xz + x-l)ex -3x2
L ei+3x+r=é e *+Jx+l=3

1 ,ç,5r' ,-l
s= l-z-Jn. -s+lrzl EXERCICE 503

L. / est dérivable sur R et /'(x) =3éx -2e-2x


2. esx = s-3x = -3.r 3 = {0}. 2. f estdérivablesurl-æ ; 0[ etsur]0 ; +æ[
3. r*+l2x+35=I e:+ *+tzx+ss=o
\ (ex-e-x12-(ex+e-x)2 -4
.,.\'ÿ'
§={-7;-5}. !t\-'__ @x _ s-x12 (ex - s-r12
484 CHAPITREq. CORRIGÉS

3. /estdérivablesurR qluef'-fet/(0)=l
ex ex +l -ex(ex-r) 2ex
1'$) =
1sx + t)2 @x;ÿ
4. /estdérivable sur R EXERCIcE 506
(e-x - xe-x1 (.r2 + t) -zx(xe-r + t)
l.
r'G) =
(xz +t)z
Par définition Vx e R,g(x) =
)f r*r, f Ururrdérivabte
sur R, g est dérivable sur R car produit d'une fonction
(-f-*-x+t)e-x-zx
dérivable par une constante réelle.
(xz +t)2 rr1,
r, 1x1 = txl =
)r or- s(.r) et

EXERCTcE 504 *10; = j/tol =!,2=r.


2. D'après le cours g(.r) = er.
t. Pour tout réel a non nul, le nombre ,6"1 ,-* = -L-
( !a 3. "f(r) =28@) =2d.
Réponse:b. 4. En procédant de manière analogue, on obüent
2. Pourtoutréel a, le nombre Éel el = - r6a ilxl=Le!.
"L*o
Réponse: a 3

3. .fttl = xe-r est dérivable sur R et


xe-x = (l - ie-x Réponse : c.
"-* -
1,@) = ExERcrcE 507
+. ,ftol = 0 et /'(0) = 1, l'équation de la tangente à la Soit O la fonction définie sur R par
courbe au point d'abscisse 0 est donc y = r @ (x) = f (a + b - x) x f (x) avec / fonction exponentielle.

Réponse: c. La dérivée de la fonction .r


- f (a + b - x) est Ia fonction
a * - f' 1a + b -x) soit r '- - I @ + b - x)
O est dérivable sur R et
ExERcrcE 505
. Montrons
@'(x; = - f (a+ b - x) x f (x) + f (a + b - x) x f (x) = 0
que / ne s'annule jamais sur R.
la fonction (D est donc constante.
Soit Q la fonction définie sur R par O(x) = f (x) x f (-xl
Deplus, @(0) = f (a+b) x f (0) = f (a+b) et
la dérivée de la fonction x
- /(-r)
est la fonction
a@)= f(a+b-b)x 1@)= T@),1@)
x_ _îtex)
Or O constante donc /(a + f @) x f (b).
or(x; = ft {x) x I ,-x) - î (x), 1t {-x) =
fu1
alors
Ainsi pour tous réels a et b, eo*b = ea x eb.
puisque par hypothèse f' = f, on a, pour tout r réll,
«D(*) = /(x) /(-x) -/(x) x /(-x) = 0
x
Ia fonction EXERCICE 508
O est donc constante, or /(0) = 1 d'oir
<D(x)=@(Q)=l
l. Soit @ Ia fonction définie sur R par @(x) = ex x e-x.
La fonction f ne peut donc pas s'annuler sur R.
la fonction (D est dérivable sur R et
. Soit g une fonction dérivable sur R telle que g' = g et (ex)t x e-x + r' , ("-')'
, O'(x) -
8(0) = l. =gx yp-x -ex xe-x =O
la fonction h= É est définie et dérivable sur R ciu quo- la fonction O est donc constante,
T
tient de fonctions définies et dérivables sur R dont le d é- Vr e R, <D(x) = «D(0) = eo , eo = I
nominateur ne s'alnule pas. donc er , e-x = I d'où -e-r = l.
ex'
,,_gtr-rg'_rs-1s
tt= y = l, =" 2. Pourtousréelsxety, "J
La fonction h est donc constante sur R
=
"*, \ =,',r-r =,'-!
Pour tout x e R, h(x) = htol 'f(o)
= {(o) = r
c'est-à-direqueg=/
iI existe donc une unique fonction / dérivable sur R te le
6.3. FONCTIONS 485

EXERCICE 509 Ît (a)(x- d + f(a) =0 soitx = car ft {a) * o.


X X
. a'- ='J 1-I- donc ex- = eî
L x eZ, tle2x\2
-\ , I
"- ffi
2 2-- B. lPHl =txs-xpt=lffil
On en déduit alors que Vx € R, er > 0
La fonction exponentielle est donc strictement positive or par hlpothèse lP,Hl = 1, on en déduit alors que la

/ ,
SUT R. fonction vérifie la conditio
"lffil=
. (ex)t = er > 0, la fonction exponentielle est donc stric-
4. D'après la question précédente
r = tl on a donc
tement croissante sur R. t'
ft=fonf'=-f.
EXERCICE 5IO
EXERCIcE 5I3
L def exp(n):
u=(l+lln) * *n la fonction / est déflnie et dérivable sur R,

f'{x) = -e-x <o.


print(u)
2. u1s = l,$9t7 4246010000:23, I^a fonction / est donc strictement décroissante sur R.

uzo = 2, 653297 7 05 I 4 4 42:2,

uso = 2, 6915880290736013. x -æ +æ
3. def exp}: lt(x)
ul =2.7182818
u2=10 I
n=0 0

whrle abs(u2 - ul) >' 0.0000001


n=n+l EXBRCICE 5I4
u2=(l+lln)**n la fonction / est définie et dérivable sur R,

print(z) ft@)=(x2 +2x)ex = x(x+z)ex.

x -æ -2 0 +æ
onobtient n=28823153.
rs llapproximation de €' par cette méthode est très lt(x) +0 0+
lente.
4e-2 +oo

I \rrl
EXERCTCE 5l I ,./
L. (&')' = (e' , e')' = ex x ex + ex , ex = 2e2x . EXERCICE 5I5
z. (e{n+tlx1t - (enx x ex)t =. nsnx , ex + enx , ex l. La fonction ch est définie et dérivable sur R

= (n+l)e@+l)x. ex - e-x
cht(x) =-
3. (e-x1r= (*)' A = -e-*. x 0 +oo
=
# =
cht(x)
-oo
0+
,. (h)' =(e-nx1t =-ns-ttx. +æ +æ
5. 1'@) =(eax+o\t =(eax ,, = orax x sb = o"ax+b ch
"b)' \,,/
EXERCICE 5I2 2. La fonction sh est définie et dérivable sur R
t. y=ft(a)(x-d+f@)
. ex +e-x
2. P est un point appartenant à la tangente T et d'or- sh'(x)= - =ch(x)>O.
2
donnée 0, son abscisse vérifie donc La fonction sh est donc strictement croissante sur R.
486 CHLPITREï. CORRIGÉS

x -oo +æ
sh'(x) +

sh e1

-3 -2 -1

-1
ExERCIcE 5I6
-2
l. tktxt ex-e-xy-=-2 sh(x)
2 ex + e-x ch(x)'
2. Les fonctions sh et ch sont dérivables sur R et crr(x) _J

est strictement positive sur R, la fonction /h est do rc


dérivable sur R.
(ex + e- x)2 - (ex - e- x)2
tht (x) = = _i-= > o. EXERCTCE 519
(ex + s-x1z Gh@))z
La fonction ,h est donc strictement croissante sur R.
l. Sixel-æ; l[, 11;q= 1'
t-x ,

)c -æ +æ Si.r€ll; +æt,/(x)
" = +
x-l
tht(x) + (2- x)ex
2. / >0,
+1
est dérivable sur I -oo ; I t et f'(x) =
o-F
(x -2)ex
th I(x1
./ / est dérivable sur l1 ; +æ[ et f =
G-ÿ
-l 3. et4.
t I 2

3. Voir tableau ci-dessus. l'@) +


*-\- 0+

ExERcIcE 5I7
I

EXERCICE 520
,.2 II P

La fonction / est définie sur R* et dérivable sur l-æ;0[


( l. /
f'Q)=L.'-
l)ex est dérivable sur [-2;1]
etsurlo;+æ[,
JT ft(x) = Zex ("' -
"').
x 0 I _u
JC 1
r'Gt II 0+
.\. '-\,-at*- lttx) 0
r e-4 -ze-l
r \
EXERCICE 5I8 _e2
La fonction / est définie et dérivable sur R, 2. a. f (0) = | -2ed'où A(0 ; | -2e).
f'(x) = -xe* .
b..f trt = & -z& = -ê a'ot a0 ; -&)

x -oo 0 +æ 3. a. ?s: y=(2-2e)x+(l-2e).


ft(x) +0 b.T1: Y=-ÿ.
1 Le point B est le minimum absolu de la fonction, €
r \
est donc au-dessus de 11

,t/ -æ c. Labscisse de G vérifie :


6.3. FONCTIONS 487

--!:-tlr'z x 0 I 3
(2-2e) x + (t-ze) = -d
- x=
z(l-e)=' :r,
2
rt@) 0 0+
a'ot clr'-I
\2 , -l'1.I I 3e3 -4
I \ ./
ExERcrcE 521 e- 4
2. D'après le tableau de variation, / est dérivable et
l. Le nombre d'insectes au départ est /(0) x 1000 =
strictement croissante sur [l; 2],
25000, et Ie nombre d'insectes au bout d'un an est
lG) = e -a <o et f (2) = e2 - 4> 0, l'équation I @) = o
/ (1) x I 000 = 15 163.
admet donc une solution unique x9 appartenant à
læ pourcentage d'évolution est
15 163 - 25000 ll;21.
___-_--__.=:_:_:_ x 100 = _39,35.
25000 xo = 1,646 à l0-3 .
Le pourcentage de diminution du nombre d'insectes
3. f(x) <0sur[0;xo[;
la première année est approximativement de 39%.
/(x)=0pourx=xg;
2. a. Lafonction g est dérivable sur[4;10] et
/(x) >0surlxo;31.
gt(t)=z1x (-0, I x 2ùe-o'ltz +l- -Atu-o'rP +l
Partie B
b. La foncüon g/ est stri,ctement croissante sur l'in-
tervalle [a; 10]. t. ca=[,-1'lr'*r*1.
\ x) x
gt (+) = t - l6e-1,6 Cp2 est dérivable sur l0; 3l
æ -2,113 < o et
-1n'* [, - 1\
4
g'(lo) = l-
oe-ro = 0,9198 > o. c-.rt =
xz t )'^-*,
On peut en déduire que l'équation g'(r) = 0 admet (x2 -sx+s)ex -+ f@)
une solution unique a dzms l'intervalle [4; 10]. - xz x2'
a = 5,6 à tO-r près.
D'après la partie précédente, nous en déduisons le
... gt {t) < 0 sur [4;a[;
.gt{t)=osir=r; tableau de variation de

. g' U) x 0 x0 J
> 0 sur la;I0,|.
d. On en déduit que:
ck@) I 0+
.

.
la fonction g est strictement décroissante sur
14;a);

la fonction g est strictement croissante sur


la; 101 . 2.
cm
ll
avec .r0 = 1,646 et
Le coût moyen sera
\,.,/ / (.rg)
= l, 16.
minimum pour une production
de 1,646 tonne.
e. D'après les résultats des questions précédentes,
Le coût moyen minimum d'une tonne de ce produit
le nombre d'insectes cormmence à remonter à par-
sera alors de 116 milliers d'euros.
tir de f = &, c'est-à-dire ii partir de la sixième année
puisque a =5,6. Partie C
l,e traitement semble donc efÊcace sur la population l. a B(x) = 3x - Cr@) = (3 - x)ex - 4
d'insectes à partir de Ia sjixième année. b. Bt(x) = (2- x)ex

x 0 ) 3
EXERCICE 522
PartieA
B'(x) +0
e2 -4
l. f est dérivable sur [0;3] ert B
ftQ\ = (xz - x) ex
./\
-l -4
488 CIIAPITHEq. CORRIGES

c. læ bénéfice est maximum pour une production de ExERCICE 524


2 tonnes. PartieA
2. Pour réaliser un gain, l'entreprise doit produire en tre
L e-ï**s ( I <- 126.
0,5 et2,7 tonnes.
2. r' @) =)-iur*' = (, -
i "-lx+s)
3. D'après les questions précédentes
EXERCICE 523
î'(x))Q e x)6
l. est dérivable sur R, (x) = ex -l
x 0 +æ x 0 6 l0
-oo
r'(x) 0+ T'@) 0+
4. e3 5 +e'_a
f r \ ./
4

2. D'après la question précédente


PartieB
I G) = ex - L - x ): 0
on en déduit donc que pour tout x réel, 1 + x er,
-(
l. læ coût moyen de fabricaüon sera minimal pour 6
3. tjinégalité précédente est vraie pour tout réel x, or r a objets fabriqués.
doncaussil-r(s-: 2. On trace la courbe de / et la droite / = 5r, on en dé-
en passant aux inverses, on en déduit que pour duit que l'atelier doit fabriquer au moins 2 objets.
o < r < r,-l-
'l-.r > a
e-r
soitenc orc e* < -)-.
l-x ExERcIcE 525
4. En posantx = i,I pour n € l\l*, on a alors 0 <x< I
n l. Ona/'(x) - loeu(x) x ut(x);ot
D'après l'inégalité de la question 2., on obtient
I r / l\n <e
:
ut(À=_(_re-fr)= 1t -r\ l
l+_<si
tl -ll+_l
\ n)
t lo / '- lo l-"-* )= --u(x)'
Donc f'(x) = -u1a1su(x) .
D'après l'inégalité de Ia question 3., on obtient :
rl Quel que soit x réel, e2-fr > 0, donc u(x) < 0 et quel
en+l <
' n+l que soit u, eu(x) > 0 , on a donc /'(r) > 0 la fonction
1n+lI
Or--, - =l+-d'oùparpassageàla / est donc strictement croissante sur [0 ; +æ[.
l-r+r n n 10.
puissance n + I 2. a- f(zo) = 1gr-"'-?8 = toe-ë-'- l0r-I -
n+l l0e
e< I+-I Comme
-e = 3,678, la taille de la
queue du lézard
n
n n+l après vingt jours de repousse sera d'enüron 3,7 cm.
Ainsi pour tout z e [\l* ; I+-nI <e< 1+-nI b. En utilisant la calculatrice, on vérifie que pour
5. defexpQ: de grandes valeurs de x Ia fonction / tend vers 10,

ul =0 la repousse de la queue du lézard ne dépassera pas


u2=l lQ çm ; la laills de la repousse ne sera jamais égale à
n=0 1l cm.
1 -.
while ab s(u2 - ul) > 0.00001 3. a. comme i10 > o et ,u(x) , g,
l"Q) est du signe du
n= n+l produit u(x\(l+u(x)).
u2=(l+lln)**(n+l) On sait que quel que soit r e R+, u(r) < 0.
,r1 =(l+lln)*xn D'autrepartl+u(x) >0 €
"rl)_r.-,
print(ul) <- -€r- l0 > -l
a--L
priît(uz) €=+ e' r0 <l
print(n) <-2-#<0
æ x>20.
6.3. FONCTIONS 489

Ainsi /"(x) îtt (x) < 0 sur [20 ; +æ[.


> 0 sur [0 i 2(11 et 4

/' est donc croissante sur [0; 20] et décroissante sur


[20; +oo[. 3
b. D'après le résultat précédent la ütesse est maxi-
male pour x = 20 : la ütesse de croissance de la lon-
gueur de la queue du lézard est maximale au bout de
20 jours.

EXERCICE 526
r. ,fo(x) = ex -l = ex > o
est dérivatrle sur m,
fftx) -l
La fonction /g est strictement croissante sur R.

)c -(rc +æ
rl@) +
+æ -2
fo
,/
-l
fi(x) = ex - I - r est dér:ivable sur R, . (.. x2 É )cn+7
(x) = ex -l = "fo(r). 3. fl+Jx) = l"*-l --r- - - - - (n+ l)!
x +æ
\2!3!
-æ 0 (n + l)xn
litxt 0+ (n + l)!
+oo -*xn
=e'-l-x-
It 2l nt
= fn@)
lne)=eo-pn(O)=l-I=0.
e1 ' 4. D'après le tableau de variations de la fonction, fi ad-
met un minimum au point d'abscisse 0 et fi (0) = 0
3
on en déduit donc que fi (r) > 0 si x I 0
2 D'après Ia question 3, Tit*l = fi@) 2 0 donc /2 est
strictement croissante.
I
De plus 1z(O) = O on en déduit alors que Ê(x) > 0 si
x>Oetlz@)<0si-r<0.
-4 *3 -2 Plus généralement,
-l . si n pur, fn strictement croissante et fp (0) = 0 donc
fn@) >0 si x > 0 et fn@) < 0 si x < 0
2. a. Fnestdéfinie surR et . si r impair, fi2 est décroissante sur l-æ;0[, crois-
Fntx) = ln?x) + fn@) = Fn@),la fonction F4 est sante sur l0;+æt et /n (0) = 0 donc
paire. 1n@)>0si.rl0.
b. Gn est définie sur R et 5. D'après la question précédente pour tout.r < 0, on a
GnGx) = f"(-x)- fn@) = -Gz(x), la fonction G2 est fz(r) <0etÂ(x) >o
impaire. é, *
On en déduit alors que ex < I + x + {2 "t
t*
c. Fo(.r) = fs(x) + fs(-x) = ex + e-x - 2 = zch(x) -2
et Go (.t) = er - e- a = ZshL(x) . (voir études de ces deux ainsi, pourtout.r < 0 : l+ x < ex . t* ** l.2
fonctions dans l'exercice:516 ). 6. D'après la question précédente 0, I < e-o'r < 0, 905.
490 CITAPITREî. CORRIGÉS

7. Pourtoutr < 0, on a/4(r) <0 etls(r) >0 ExERcIcE 528


d'oil pour tout .r < 0 :

*Ê-*éx4 l. / estdérivable sur [0;3],


I+.r+ _ I _ I ê^ < l+.r+ _ + _ + _
23t23!41 - l).
1'U) = rïeo,zt - rs = ts (e0,2'
Nous obtenons alors 0,9048333 < e-o,r < 0,9048375. 2. ftU))o æ c'est-à-diresir)0.
"o'Zt2e)o
3. 1' G) ) 0 donc / est strictement croissante sur l'in-
EXERCICE 527 tervalle [0; 3].
PartieA 4. .f(1) = 1,6 à 10-1 près. Le wagon aura parcouru
l. Pour tout réel .r de l'intervalle [-10 ; 301 : I lqn 600 au bout d'une minute.
f' (*) = | x so'Zx-l + x x 0,2 v so'Zx-l 5. a. ltQ) =7,4à10-r près.Al'instantr=2minutes, le
= (0,2x + l) so,2x-t wagon à une vitesse de 7,4 kilomètres par minute.
2. Pour tout réel x, so'2x-1 > 0 donc /'1.r; est du sigre b. En 2 minutes, la vitesse est de 7,4 km.min-r soit
deO,2x+1. 444km.h-1,1'objectif des ingénieurs est donc atteint.
O,zx+l>0 <- O,Zx> -l <- ,> io,2 .-, ,, --5 6. f Q) =75(eo'a - 1)-30
Donc la fonction / est : ft(2)=tseo' -ts.
. strictement décroissante sur [- 10 ; -5] IJéquation de la tangente au point d'abscisse 2 est
. strictement croissante sur [-5; 30] doncy- l5(e0,4 -l)x++seo,a -75.

3. :
.f tol = 5 et / (20) 406,7 > B0
EXERCIcE 529

/
La fonction est strictement croissante sur [-5 ; 30] PartieA
donc sur t0; 201. l. Cestdérivablesur [5 ; 601.
o,leo'lr rx- t, (eo,l'+ZO)
On établit le tableau de variations de / sur [0 ; 20] :
c'(x) '
x2
)c 0 q 20
(20)
= ___--__7-
l.reo,Ir -.o,lx -29
0,

2. uf est dérivable sur [5;60]


ï f' {x) = o,leo'rx + (o,l)z xeo'rr - 0, Ie0,Ir
5tttAO'--'7f
= o,olxeo,l' > o sur [5; 6o]
Donc l'équation / (x) = 80 admet une solution La fonction / est donc strictement croissante sur
unique a dans l'intervalle [0; 20]. [5; 601.
/ (1s1
= 69,4 . g,
b. / est strictement croissante sur [5 ; 60],
foqæ89,7>Bo -qelI3iI4l; (5)
f = -20,8 < O et /(60) = 1997,1 > 0
,f(13,5)=78,9<Bo IJéquaüon f$) =O possède donc une unique solu-
/ (13,6) = 80,9 > 80 -aell3,5;13,61 tion a dans t5 ; 601.
Partie B c.25 < a <26.
l. d.
.f (0) = 5 correspond au nombre de magasins exista nt
en 2010 + 0, c'est-à-dire en 2010. x 5 ü 60
2. la fonction / est strictement croissante sur [0;20] et Signe de /(r) 0+
f @) = Bo; donc si x > o, alors / (x) > Bo. 3.
Or a = 13,5, donc à partir de x = 14, /(*) est supé- x 5 a 60
rieur à 80. C'(x) 0+
la chaîne possèdera 80 boutiques à partir de l'ann ie =4, 32 *7,05
2010+ 14 soit2Û24. C
\ È1, /
6.3. FONCTIONS 491

4. D'après le tableau de variations précédent, lientreprise doit produire 250 litres de peinture pour
a. Lléquation C(x) = 2 admet deux solutions, une minimiser le coût moyen unitaire de production. Le
dans l'intervalle l1;al et une dans I'intervalle coût est alors de 136 €.
la; 601 b. l.lentreprise ne peut pas réaliser de bénéfice
b. IJéquation C(.r) = 5 irdmet une unique solution puisque la production d'un hectolitre coûte au mini-
dans l'intervalle [a ; 60]. mum 136 €, alors qu'il n est vendu que I00 €. Dans
tous les cas, l'entreprise vendra à perte.
PartieB
La fonction C admet un minimum en a, le nombre de
3. On recherche la plus petite valeur de x telle que

véIos à produire sera donc 25 ou 26. /(x) = 3. D'après la parüeÀ xo - 1,12.


x l, Le seuil de rentabilité est donc I12 litres.
C (25) = 1, I|BT 1, le coût moyen minimal
287 3 et C (26)

sera atteint pour une produ,ction de 26 vélos.


EXERCICE 53I
EXERGICE 53O
ParüeA
l. l'(x)= sr'0,5x *G+2,s) x (-0,5)er-o,sr
= (-0,5x - 0,2S)sl-o,s*.
l. / est dérivable sur [0 ; +,>o[,
lt(x)= -Bxe-x - (-4x2+s)e-x = (+x2 -ex-s)e-x. x 0 l0
2. Pour tout.r € R, e-' > 0, donc le signe de ne dé- /' rt@)
pend que du signe du trinôm e T(x) = 4xz - Bx - 5. 2,5e
trinôme admet deux racines *, = -i..t *, = 2 r
Le
\
12,5e-a
/' est nésative *' [o' f et positive rr' ], .-[.
I ] [
3. En utilisant la cal,culaüice, on conjecture 2. ht(x)= ft(x)-0,3 <0car//(r) <0Vxe [0; l0]
lim
.r-+æ fG) =3 JC 0 l0
4.
x 0 2,5 +æ h'(x)
1'@) 0+ 2,5e -|
t\ 3 h

r ./
12,5e-4 -4
Ïtz' 5,) 4,17<a<4,18.
5. f(x) -3 <- (-+* +s)e-x =o 162 -1,25
3. a. l,e prix d'équilibre, c'est-à-dire le prix pour lequel
- l'offre est égale à la demande correspond à h(*) = 0
/(x) = 3 admet deux solutions
soit x = a. 1æ prix d'équilibre est donc 417 €.
x -'/t2s > o su )c = -\/TÆ < o.
b..f tS, tl = 3,2309
tléquation /(x) = 3 adm,et donc une unique solution
Augmentationde lToduprix:3, I x 1,01 =3,131
xa = 1/T.25 darrs l'intervalle t0 ; l0l.
r'o l,l2 à 10-2 près. /(3,131) = 3,1988
=
/(3,131) - /(3,1)
= -0,0099 soit une diminution
Partie B lts' l)
d'environ l7o de la demande.
l. ftSl=3-95e-5=2,36. -0,5"r - 0,25 -o,sxz -o,25x
4. a- E(-rt = X---------:-
Le coût moyen unitaire ile production en euros, pour x+2,5 x+2,5
b. E(x) = -I <- 0,5* +O,25x = x+2,5
une production de 500 litres de peinture est d'envi-
ron 236 €.
æ o,s* -0,75x-2,5 =o.
2. liéquation admet deux solutions
a- D'après la partie A, / atteint son minimum pour
3-/65 a+/85
x = 2,5 et f (2,5)
= 1,36. xt=-- 4 =-l,608elxZ= n =3, 108
492 CIIAPITRE1. CORRIGES

c. Seule la solution x2 appartient à l'intervalle [0; lr)], EXERCICE 535


xz =3,11 à l0-2 près.
l. 1'6) = -e-x d'où //(0) = -l de plus /(0) = l, l'équa-
d. On retrouve le résultat de la question 3.b.
tion de la tangente à e1 au point d'abscisse 0 est
ÿ = - x + l, il s'agit de la droite Â.
ExERcIcE 532
2, a- h'(x) = l'6) - g' @) = I - e-x.
l. Equationde (BA : ÿ = -0,75x + 4. b. et c.
2. fol = 4, ft (o) = -o,75etl'(3) = o.
I
3. -4 x -oo 0 +oo
f'(r) =1(ax+a+b)ex.
4. En utilisant les quesüons 2. eT 3., on obtient le s1 s-
h'(x) 0+
tème:
.\,/
h
k+0,25b = 4 a=l
0,25(a+ b) = -O,75 b = -4 ainsi po ur
O,25(4a+ b) =0 k=5 3. D'après les questions l. et2., f (x) ) g(x),la courbe
I e/ et au-dessus de sa tangente au point d'abscisse 0.
toutxréel:/(x) =s+ 4)ex
4G
EXERCICE 536
EXERCTcE 533

l. a. fo) =s.t "r,[-I'l l. a. l'@)=2e-x -(2x-l)e-x - (-2x+3)e-x


\ 2) =0.
b. Coefficient directeur de la droite
pour tout rêel x, e-x > 0 donc /'(x) est du sigrre de
(-2x +3).
Dia=yA-yB -3
xA- xB b.
On en déduit alors /'(1) = 3.
x -æ 1,5 +æ
2. 1'@) -- ae*-r + (ax+ b)ex-r - (ax+ a+ b)e\-r .
l'(x) +0
3. "fttl-5 a+b+c=5
- 2e- 1,5
f,[-t]-o La+b=o
" \ 2) - 2 r
"f'(t)=3 -2a+b=3
a, b et c vérifient donc le système 2. a.f(x) =Q ç:5 ;ç= -2
=§ 3

I :::;' =Q b.T1: y=ls-T


11
T2: y=2e-2x-e-2
I résolution
La
zo*o =3
du système permet d'obtenir
a=2,b=-letc=4. 3. a/(x) +ft(x1 =(2x-l-2x+3)s-x -2s-x.
On en déduit que Vr e R, f @) = - ftG) +ze-x
Soit /(x) = (2x - l)ex-r +4
b.F'(.r) = f (x)=-f'(x)+2e-*
d'otrF(x) = -f @)-2e'x =(-2x-l1s-x
EXERCICE 534

L lfZl = 0 et /'(0) = 0.
2. ftG)=(6b-ax-t)eax. 1.0
T1
3. D'après les questions précédentes :
lQ)=o ê (b-z)eza =o r.o:g:g 1.0 1.5 2.0 2.5 3.0 3;5

/'(O) = 0 æ (ab-l)eo = 0 4 et b sont donc sol,r-


(a-z=o
tions du système suivant: {
lab-l = Q
1,
+. a = et b = 2, on en déduit /(x) = (2- x)ez .
i
6.3. FONCTIONS 493

ExERcrcE 537 lo; al


l. Conjectures : / est croisrsante sur R, la courbe € est f (a) < 0 et /(l) = 0,5 > 0, l0; +oo[, l'équation /(x) =0

sous l'axe des abscisses pour .r < 0 et au-dessus de admet donc une solution unique É ela ; +æ[.

l'axelorsquex>0. d.É=0,3rà10-2près.
* e. La seconde conjecture est fausse, en effet la courbe
2. a. ft @) = lyBx-r + ex--r - 1ç = y, (1x + 2) e*- L
- l)
est sous l'axe pour x e ] -oo ; p].
= xg(x)
b. gt {x) = ex-l 4.
7x + 3) .

x -oo -3 +oo
gt@) 0 +
-t\ +oo

ô ./ -0.1 oil 0,? 0:3 0:4

-e-4 -l
c. D'après le tableau de variations,
. g(x) < 0 sur I - æ;31 et I est strictement croissante
sur [-3;+æ[.
o g(-3) < o et g(1) = 2 > t), l'équation g(r) = 0 admet EXERCICE 538

donc une solution unique dans R. PartieA


d. g(0,20) È -0,011 < 0 et g(0,21) = 0,003 > 0 l. Il faut fabriquer et vendre entre 2500 et 3400 pou-
donc0,20 <a<0,2L. lies pour que le bénéflce soit supérieur ou égal à
e.g(x) <0surl-oo;a[ etg(r) >0sur]a; +æ[. 13 000 euros.
f. 2. Le bénéfice maximum envisageable pour I'entreprise
est de 15000 €, atteint pour N = 3000 poulies fabri-
x -oo 0 a +æ
quées et vendues.
f'{x) +0 0+
+oo
Partie B
0 a\
I ./ l. a. B est dérivable sur I - [0; 3,6],
./ r@) Bt 1x1 = -ex + (4 - x)ex = (3 - x)ex
g. l,a première conjecturre est donc fausse. b.B'(x) >0 <- x<3.
3. a.g(a) -0 .c-t c.
- " - -l a+2'
x 3,6
1a2 _a3 0 3
d'où f(a) = a2
ü+2 2 2(a +2)' f'(x) +0
b. ht(x) -
-6*$ +D +2É -*G+3) e3 -s
4(x+2)z (x +2)2
I ./ \.
)c 0 I
-l' o,4e3,6 -5
h'(x) 2. a D'après le tableau de variations, B est strictement

a\ croissante sur t0;31, B(0) < 13 et B(3) > 13, l'équation


B(x) = rg admet donc une solution x1 dans l'inter-
h
1 valle [0; 3]
6
B est strictement décroissante sur [3;3,6], B(3) > 13
1
On en déduit que -
< /'(a) < 0. et 8(3,6) < 13, l'équation B(x) = 13 admet donc une
U
c. D'après les questions précédentes, /(x) < 0 sur solution x2 dans l'intervalle [3 ; 3,6] .
494 CIIAPITRE 6. CORRIGES

b. A l'aide de Ia calculatrice, nous obtenons.rr = 2,46 lri(r"z' l.tr) et AyAl (r"u,ff.r"u) 5


et x2 - 3,4 à 0,01 près. Appliquons la condition de colinéarité
243
EXERCICE 539 ZSl"2--ln5=-0,5
t. lllx) - -2nxe-n* Iæs trois sommets ne sont donc pas alignés, on en déduit
que les points Ât ne sont donc pas alignés.
x -æ 0 +æ
1'@) +0 EXERCIcE 54I
l. Equationde Iatangenteen M àe y :

r Y = ea(x- a) + ea
,/'\ 0 Equation de la tangente en N à eg :

2. n filf*'l = 2n(2nx2 - t) e-nf s'annule pour Y = -e-a (x - a) + e-o .


\/zn
An=-....:-Etbn=-.
'/zn
f' {a) x { (a) - ea, (-e-a) = -1.
zn /,n Les deux tangentes sont donc perpendiculaires.
b. ljéquation réduite de la dr oite (AnBn) est y = e- i , 2. aConjecture:PQ-2
cette équation ne dépend pas de n. IÆs points An et b. On recherche les coordonnées de P en résolvant
B4 restent donc sur une même droite. I'équation ea (x - a) + ea = 0
c. Equation de la tangente à la courbe au point A, : On obtient d'où P (a- I ;
r = a- 1 O)
I1
y = t/2nxe- 2 +2e- 1 On obüent de même Q(a+ I ; 0)
Equation de la tangente à la courbe au point
lt
B, : Alors PQ = ÿ/ @ + | -; +ÿ = 2 Ia conjecture est dé-
y=-ÿ2nxe'2 +2e-2 montrée.
On remarque que quelle que soit la valeur de re,
les tangentes passent par le point de coordonn(es EXERCICE 542

(o; z'-L). PartieA


l. La foncüon C est dérivable sur [0 ; +æ[ et
3. c'|(t) = rr(r- (-#),-#') ='Àut' >o sur
[Q; +oo[, la fonction C est donc strictement crois-
sante sur l0 ; +oo[.
Â1 B1
2. Le plateau est la limite de la fonction C en +oo.
e1 En utilisant la calculatrice, on obtient

-2
lim C(r) = 12.
,--+æ
Le plateau devrait être égal à 15. Il n'est que de 12, Ie
traitement n'est donc pas adapté.
EXERCICE 540 PardeB
Les fonctions fp sont déflnies et dérivables sur R l. [a fonction / est dérivable sur ]0 ; +oo[ comme pro-
l'*txl = | - ke-x . Les fonctions /t admettent un mirri- duit de fonctions dérivables sur l0 ; +æ[ et
mum lorsoue e-r
'
!
-k donc lorsoue x = -h [l'1. /'rxr = ros(-1), (r-,-*"')* lo5 , (*,-*t')
t/c,l
= I [-r*n-*"r* An*"]
. Si k = 1 le minimum sera Sr (0; 1).
.Si p=! Ie minimum sera Âr -Inz:' -lnz+ 11. xz\ 40 )
2 2 4) l05g(r)
.Si 1=1 le minimum sera / r a'1.
-lns: -lns+ 25) x2
5 5
où g est la fonction définie sur [0 ; +æ[ par
Calculons les coordonnées des vecteurs A!,41 et A1 r 11 sk) =3x e-t* *
"-fi* -
1.
40
6.3. FONCTIONS 495

z. |t(x) = ryY donc /"(x) est du signe de g(x) sur A l'aide de Ia calculatrice, on trouve pour valeurs
l0; +æ[. approchées au centième des soluüons de l'équation
D'après le tableau de rrariation de la foncüon g' /(x) = 0,5 les nombres 0,36 et 2, 15.
g(r) < o donc /'(r) < o surlo ; +oo[. PartleB
la fonction / est donc strictement décroissante sur
l. a. D'après la partie A, le taux d'alcoolémie va croître
l0; +oo[. la première heure, puis décroître les I I heures sui-
3. D'après la question précédente la foncüon / est dé-
vantes.
rivable et strictement décroissante sur [l ; 80]
b. Comme vu dans la partie A, le taux d'alcoolémie
f (r)=7,59 >5,9à/(80) = 1,31 <5,9. de cette personne est maximal au bout d'une heure;
il existe donc un réel unique a € 11;80[, tel que soit environ 0,74 glL.
il vaut alors /(l)
/(a) = 5,e.
2. Une fois l'alcool consommé, on cherche au bout de
/(8, 10) =5,9O2 et /(8, 1l) = 5,899, combien de temps le taux d'alcoolémie de l'automo-
doncB,l0<a<8,11.
biliste reprend une valeur conforme à Ia législation.
On a donc a = B, 1 au dixième près.
Il faut que f(r) redevienne inférieur à 0,5 donc que
PardeC le temps soit supérieur à 2,15 heures soit 2 h 9 min.
105 r
r. a. Puisque c(ù =
+(r -r-#'), o"u' ExERCICE 544
c(6) =
# (r-r-*''o; = f (r-r-,,t ") = rot, l. Etudedelafoncdonch
d'après la question précrldente. e-x + ex
b. D'après la dernière question de la partie précé- 2
l'axe des ordonnées est donc axe de symétrie de e.
dente que l'équation f @) = 5,9 admet une solution oX
- o-X
l-----!- 1
unique axB,l. b. cht x 1 gl1y.
2
On prendra donc 8, I comme valeur approchée de la c.V x ) 0, ex ) e-x donc cht x ) 0, Ia fonction ch est
clairance a de ce patient. donc strictement croissante sur l'intervalle [0;+æ[.
dd 2. Etudedelafoncdon s/r
2. On veut que - = 15 : gJ = 15 <- d = 121,5.
e-x - ex
Le débit sera donc de 121,5 micromoles par heure u sh(-x) = -shx,la fonction sh est im-
2
pour avoir un plateau égal à 15 et donc un traitement paire, l'origine est donc centre de symétrie de S.
r* *
effrcace. b. sh, x =
2
" ' = rh*.
c.Yx) 0, shtx2 0, la foncüon sh est donc stricte-
EXERCTCE 543 ment croissante sur l'intervalle [0; +æ[.
ParüeA 3. Représentationsgraphlques
L ft @) = 2 x e-x +2x x (-l|)e-x = 2(l - x)e-x
u chx - shx = e-x > 0, la courbe e est donc au-

2. dessus de la courbe E.
b.
x 0 I t2
î'(x) +0
2e-1
I
ol' 24e-12

3.,ftOl 0<0,5, /(1) =0,74 > 0,5


=
-2 -l l2
et fOD = 1,5 x 10-4 < 0,5 d'après le tableau de va-
-l
riations, l'équation /(x) = 0,5 admet deux solutions
surl'intervalle [0; 12].
496 CI]APITRE6. CORRIGES

4. Des formules
-f (-xl =- sin.É - x"=2'- n = - [G) / est imPaire sur 1
ucha chb+sha shb 3. I = R est symétrique par rapport à 0
ea + e-a eb + e-b ea _ e-a ,b _ e-b
2222 I (-x) = -xsin (-.r) - xsinx = /(x).
ea+ b + ea- b + e- o+ b + e- a- b + ea+b _ ea- b _
"-
a+b *
"-
t r- b / n est pas impaire sur 1 (elle est paire).
4. I n est pas symétrique
f ef
par rapport à 0, en effet
,a+b *
"-a-b
2 mais -13 e /
= ch(a+ b)
sha chb+ shb cha
/ n est donc pas impaire sur I.
ea-e-'a * ea + e-a ,b _ e-b
"b
2222 "-b
EXEnCICE 547
ea+b +ea-b _e-a+b _"-a-b *"a+b _"a-b +e-d+b _e-.-b

_ r-a-b l. /estdéfiniesurR,
"a+b sin(-r) sinx
2 f{--r)=
' l+cosz(-x) l+coszx =-f{-r!.
= sh(a+ b)
b. En posant a. = b = .r dans les formules précé- / est donc impaire sur R.
dentes, nous obtenons:
2. f est définie sur R,
ch(2x) = ch2 x+ shZ x 1 Ç x) =.f cos-r - 3# sirl^2x = I g).

sh(2x) =25fu1ç ç7*. / est paire sur R.


c. chz x_ shz x

à?x
=(*
+2+
*ru-

e-2x _ à?x
),
-(+r
+2- e-2x
3. / est définie sur R,
lGx)=
cos2x+lsin3x
----Z*r -.
4
/ n est ni paire, ni impaire sur R.
4 4. festdéfiniesurR,
4 1 l-x) = (e-' - e') sin ( -2x) = f (x).
ExERcrcE 545
/ est donc paire sur R.
l. I = R est s)rynétrique par rapport à 0
f eù = cos(-2x) +{-x)2 =cos2x+ * = î@) ExERcIcE 548
/ est donc paire sur 1.
2fi
2. I = R/{-r;l} est symétrique par rapport à0 I I (,. T = cos (3 (r + !)) =
"o"rr'
* ro,

l_x)=sin1-x12+;f l-x)'- t =si11ÿax'-


,2 :l =f(t:), r (,*
2n
= cos3x = /(x)
3
/ est donc paire sur 1.

3. 1 = R est syrnétrique par rapport à 0 f est périodique, de période , =+.


lex) = -xcos (-x) - -xcos.r = -/(r) 2. f (x + 4n)=.i, (Y) = + z")
"i"(!,
/ n est pas paire sur 1 (elle est impaire).
4. 1 n'est pas s1.rnétrique par rapport à 0, en effet e I ='i"(T) = /(,)
1l
f / est périodique, de période
= 42. I
mais --3 É f 3. f (x + 2n) = 3cos(x+ 3 + Ztt) - 2stn(4 - 3x - 6n)
/ n est donc pas paire sur I.
= 3 cos (x + 3) - Zsin(4 -3x) = f e)
EXERCICE 546
/ est périodique, de période T = 2n.

l. 1= R est symétrique par rapport à 0


4. f (x + ru =
"o"(VY) -r," (q#)
r:tfi \ txll \
= cos[7 +6zJ -3sinI s +4zJ
lGx) = sin(-2x) -2(-x)5 = -sin2x+2f = -f (x)

/ est impaire sur I = *"(i)- s'i" (f ) = rr,r


2. I =R.11-2;21 est symétrique par rapport à 0 / est périodique, de période I = 12.

f (-x) =sin(-.f)' + --?-


(-x)2 + -
6.3. FONCTIONS 497

EXERCTcE 549 2. Tracé en trait plein et 3. tracé en pointillés

l. f(x+T)=f(x) æ !'' = roo et ! = k,znl avec


(
\2s3 4 I
k et k' entiers relaüfs.
T est le plus petit multiple
,3 commun e'"'!'o .,
2x 4tr
On en déduit qule T = 2 >r 4 x 253 x 3n = 6072n
:8 -6. +4 +2
I.\ 4'6

2. f(x+ T) = f(x) : - = kyr et Y = k'zn avec k


97 37
et k' entiers relatifs. ExERcrcE 553
Y ", !! 5
7 est le plus petit multiple commun à .f tO) = 2
"a
r,O, = I donc€ représente g et€' représente
,r.rr rrro Ztîg r.
onendéduitque 7= =Ë;;]= =
ï2.
ExERcrcE 554
ExERCIcE 550 I
€: y-f,sinxet€' y =Zsinix.
L f'@) = -3sin3.r.
EXERCICE 555
2. r'(x)=
i*'(i)
3. lt(x) = -3sin(x+3) +6cos(4-3x) € :
r1
y = 1 çst13x) et€t : y = -3cos
xlt xlt
ix.
4. 1'@)= -|ri"( - zcos 3 ) EXERCTCE 556
2
5. ft(x'1 = 2cos2x - (4x + 6) sin2x.
cos2x+sin2x I l. On vérifle que pour tout.r eR, f (x +2n) = f (x).
6- fI@) =
cos2 x
=-cos2 x La fonction / est de période 22, on peut réduire l'in-
7. l'G) = cosl - xsinx - 2sinx-2xcosx tervalle d'étude de la fonction à l'intervalle l-n ; tl.
- (l - 2x) cos x- (x + 2) sin r 2. l?x) = cos2x - 2sinx, la fonction / n'est donc ni
^,
v. J \^r-
-sinx+cosx sinx-cosx paire, ni impaire.
_-------------:
(cosx+sinx)2 (cosx+sin.r)2
3. / est dérivable sur [-z ; zr]

EXERCICE 55I f '


(x) = -zsinzx + 2 cos x = -4 sin xcos x + 2 cos r
1
L ft@)=cosr, = 4cos.r -2 - sln,
fi
f'(x) 2o sur
[o; il r'at ( o sur
I -2
ilt
Tableau de sign e de ft (x)
x 0 a:

+0 lt lt
ît(x)
t\
x -lt -262 1I

r cos.f 0+ +0
,t/ (l ] - sin.r + +0
2. Tracé en trait plein et 3. tracé en pointillés T'@) 0+0 0

x fi1fi
ZT 1T

cos.r 0

-slnx 0+
'.4
.t. .6
f'{x) 0+0
La fonction / est donc
tlI l\n I
décroissante s"r
[-"; - ] r"t la ,27t etsur ;zl
EXERCICE 552 ], Iu
1T Sfi
L ftOc) = -sinr ( 0 sur [0;zl. croissante sur
ti,ilu. r,r,
I 2' 6
La fonction cos est donc décroissante sur [0;z] 4. T;y=}a1-1
498 CHAPITRE6. CORRIGÉS

EXERCICE 557 x oq lt

r. /(-x) = -/(x), / est impaire. rt@) +0


I
2. f @ - x) = f (x), symétrie de la courbe par rapporl à a

la droite d'équation y =
,t
-. r \
3. lt @) = cosr -
(7 + cos 2x) Zsin xsin2x
,'/ -2
3. Tfacé en trait plein et 4. tracé en pointillés
= cos r (7 + 2 cos2 x - t) - 4sin2 rcos x
= cos r (o + 2 cos2 .r) - 4cos x (l - cos2 r)
= 2cosx+6cos3x ) o *. [o,i].
l.a fonction / est donc croissan," r"r [o; ] {
I.
4. Tracé en trait plein et 5. tracé en pointillés

EXERCICE 560

L f ex) = /(x), / est donc paire sur R.


f(x+2r) = /(r), / est donc 2z-périodique.
_)
2. f(n- x) = f(x)
...
r:4
B lâ courbe représentative de / est symétrique par

:.,...:-4, rapport à Ia droite d'équation, = *.


2
3. l' @)= -3sin3.r, cos3x-3cos3x, sinr x cos2x

= -3 cos2 r (sin3x cosx + cos 3xsinx)


ExERCICE 558
= -3cos2 xsin4x
r. /'(x) = -2sin(2x)- r .0 r". [o;]l
2. x 0ii
x 0
1T
z l'@) 0 0+0
7'{x)
I 0

I I \ I ./
r \ 4

-r- i 4. Tracé en trait plein et 5. tracé en pointillés

3. La fonction / est dérivable et strictement décrojs-


t fit
sante sur
[0; ,l e
,f(0) = r, o f (i) = i - T< 0, la fonctionf s'ar-
"
nule donc une seute fois *r -.6 -5 -.4 -3 -2 -t 23 45
[o' ]].
IJéquation (.8) : cos(2x) = x admet donc une uniqrre
solution o dans l'intervalle Ori
ExERcIcE 561
4. a = 0,73 valeur approchée au centième par défaut.
l. lt(x) = -sin2x+cos2 x=cos(2x)
. 2cosx
EXERCICE 559 2. -f'@) = ------------='
(sinx +2)"
1. /(-x) = /(x), / est donc paire sur R. 3. |t(i = 3cosx(sinx)Z
f 6+2n) = 1@), f est donc 2n-périodique. 4. lt(ù=-2sin(2x+1)
I 5. ft(x)=4+sinx
2. ft @) =2sinx cosr- - . 3sinx+ I
2
6. -f'(x) = -----------------
(sinr+3)"
6.3. FONCTIONS
499

7. ft1x1= -35 cos (2 - 7x) sin4 12 -Z x'1


a' î'(x) = cos (2x) -Zxsin(2tx)
2 + 4srn(2x) +4cos(2x)
9. //(.r; =
(cos(2x) +2)z
-6 + -4 -3 -2'.-7 2 3 45
EXERCTCE 562

r. /estdéfiniesurmr{f, +kn, keZl.


2. 1?x) = -f@) et f(x +2n:) = f(x). EXERCICE 564
/ est impaire et 2z-périodique. l. Dans les deux cas, on utilise la définition du nombre
3. lim tanx
x--fi = -oo dérivé: !i^^lp=f,ol
x-a
lim tanx = +æ ,. sin (.x) ,.x-sina (.r) - sin 0
x-!
x
1'Ià , =lIà *-o
I .. cos(r)
cos (x)
=coso=l
4. l,@)-
cos2 x +-sin2
--f lim - -cos0
llnl -------:-
= = -sin0
ou encore
cos-.r cos2 x x-O x x.-U -r (, -
= 0.

cos2r+sin2x 2. a. lim [cos(zx) - t 'l


2 1,,, /"ot(zr) -t
T'G) =
/ sinx \2
+l-l =l+tanzx. .r-0\ x ) = x.-0\ 2x
1
)
cos2 x \ cosr /
5. ît@)> 0 sur 1, / est donc: strictement croissante sur =2timIcos(E-l)-n
_5,]=
I, b. n_ ,r2,i,f
,-0[ 4x | 2x-O x 4 =,t_!
r;'ùI2ig
_g
2 4= 4
6.
--l
tirr, [3ti'*'l = Blim
si'(')
3
". x-0\ x ) .r-0 x =
3
tin3']=31i- sin(3x) tin(D
d. li- f
2 x-0\ x ) x..-0 3x =3li- X..o X =s
r1
ExERcICE 565
:6 t5 t. ft (x) = 6cos*sins x - 6sinxcoss r + 4Lsin(4x)
= 6sinxcos.x (sin4 r - cos4 x) + 4,1, sin (4x)
= osinxcosx (sin2 x - cos2 x) (sin2 x + cos2 r) +
4Lsin(4x)
= 6sinxcos x (sin2 x - cos2 x) + 4À"sin (4x)
= 3sin(2x) x (- cos (2x)) + 4À"sit(4x)
= -3 sin (2.r) cos (2x) + BÂ sin (2 x) cos(2x)
EXERCICE 563
= (8Â - 3) sin (2x) cos (2x)
L. f (-x) = 1@) et f @+2n) == f (x)
/ est paire et 2n-périodique sur R. 2. D'après Ia question précédente pour l" = 7' t*l = O

2. 1'@)=3sinx - -cos- x
t, La fonction f est donc constante.
f,,

x 7t 3tt
0 4-T lt EXERCICE 566
l'@) 0 0+0 l. a. sin(a+ h)-sina = sinacosh+ sinhcosa-sina
I \/Z
2 2 = sina(cosh- l) +sinhcosa
r \ \
h h
=-zs'rn 4srn''h- +2$n - cos 1 cos a
*-/
2
I
2 \
=2sinL("o"o.o"L- rirrr.in !
2\ 2 i)
3. Tracé en trait plein et 4. tracé en pointillés
hl
=z"inh2
\ 2)
"o"(o*
CHAPITRE6, CORPdiGÉS
500

h /(x+9)/(r+ 18) = 1
-
uin*i lqgj#:gtt =V, *,(,. l). - /(.x + s) (/(x) - f (x + 18)) = o

par hypothèse ,(, + 9) I 0 donc /(x + 18) = /(x)


b. La fonction sinus est dérivable sur R, f est donc l8-Périodique'
(sina),=
. sin(a+ h)-sina
i\_ n EXERCICE 570
.h (x-r)f Q+ 1) /(x+ t) = f (x)f (x+2)
f (x) = f -
=;'*(?,"o,(o* 2))=*"" - f(x+ =/1x-r)/(x+Df
1; @+2)
, sin'x = cos'' - f
(x-l)î(x+Z) =I
On en déduit alori que, Vx e R, I
2. a. Conjecture liqf(x) = -1. - f(r)f(x+3) = = I
sinx - sin z - f(x+3)/(x+6)
(x+3) (/(r)
lim
lim f(x)= x-lt
b. x-fi" x-II - +f3) I 0 donc -/(r+6)) =o
+ 0) = /(r)
Par hypothèse /(x /(x
EXERCICB 567 / est donc 6-périodique.
l. sin x+
lt 7t
-=cosz=-I.
* cosrslrl :- = cosr.
.lt
= sin-rcos -2Z
1 fi EXERCICE 57I
.7t
2. cos x+-1t2 = cosrCos Z - sin.rsm 7 = -sm.r
r. /(-x) f(x)
= f(x) et f(x+2n) =
3. cos't = sin' x+-1l2 = COS x+-7t2 = -Sln.tr. / Zn-pêtioüque' On peut donc réduire
est paire et
l'étude à I'intervalle [0 ; z].
EXERCICE 568
2. 1' (x) = 2 sinxcosx - 3sinxcos2 x
l. /estdéf,niesurR/ {-i+tctr, r,-ezl' e sin xcos, (3 - *r r)
=
2. f(x+.z\--= - sln,
).t -
cos.r - srn.r
î(x) pour a = 0,84
/ est donc
-z-périodique. ! - "o"*s'annule
cosx(cosx+sin.r) - sinx (- sinx + cosx)
3. l'(x) (cosx + sinr)2 x 0 a ,
1'
,T
I 0+0
=-)0
(cosx+sinx)z
ft(x) 0

I n3n1 ,\
/ est donc strictement croissante sur
l-a'zl r ,/'\
4.
r (a) -1

2 /to,=(r-(3)'t .(?'=#
3. Tracé en trait plein et 4. tracé en pointillés

+-8-7-6-5-4-3-2-l t2 :45678:
:,'''',.,..,
EXERCICE 569

f (x) = f (x-3) /(x+3) - /(.r+3) = f (x)f (x+6)


/(x+3) = f (x-3)f (x+3)/(r+()
- ExERcIcE 572
=|
- l!-3\l(r+6) f. /
- f
(x)f (x+9) = t est définie sur R/
\Y,r."l
501
6.3. FONCTIONS

2. f(x+2n)= f(i, f est2n-périodique 4. J-,\x) = -3sin(3.t)(1+cos(2r))+2sin(2x)cos(3x)


f (x+n) = -f (x),
"f
lg Formules utiles pour la suite :

(!,- 4 = f @),radroite, d'équation .r = f, "rt


o" sin(2r) = 2sinxcosx
de symétrie. cos(2x) = cos2 x- sin2 x =2cos2 x -|
on peur réduire l'étude a lo' sin(3x) = sin (2x) cosx + cos (2r) sinx
| [ "1it"l
3. f t{x) cos.rf- sinx cos (3t) = cos (2x) cos x - sin (2.r) sin.r
=
sin2x ' cos2x Soit N Ie numérateur de /r(r)
sin3x - cos3 x
- iin2xcosz.r N = -6sin3xcos2.r + 2sin (2x) cos (3t)
(sinx-cosr) (rsin2lx + sin xcos x + cos2 x) = -6sin (2x) cos3 r - 6cos2 xcos (2x) sin.r +
sinil xcos2 x 2 sin (2x) cos (2x) cosx - 2sin2 (2x) sin-r
(sin x - cos x) (1 + :rin.r cos r)
= -l2sinxcos{ x - 2cos2 xsinx (cosz.r - sin2 r) -
sin2.rcosil .r
Bsin2 xcos2 rsin x
.l+sinxcosx>0 = -14sinxcos4 x - 6cos2 rsin3.t
. sin2.rcosZx>o = -2 sin xcos2 x (zcos2 x + 3 sinz -r)
Le signe de /'(r) ne dépe:nd que du signe de sinx - N = -2 sin xcos2 x (a cos2 x + 3)
cosr. Nous en déduisons alors :
-,\--'
çlt*\-L -2sinxcos2 x (4 cosz r + 3)
x 0
fr
À ,
fr
1T J 4cos4 x
lt(x) 0+ +
- sinx (+ cos2 x + 3)
'2"""n
r \/y' 2\/Z / f'@) <odonc décroissan," r"r [o' ] [.
5. Ttacé en trait plein et 6. tracé en pointillés
4. T[acé en trait plein et 5. trarcé en pointillés

-2 4

4'.; :a

EXERCICE 574

EXERCICE 573
l. "f estdéfiniesurml{1(4 +kn. keZl.)
2. f(x + r) = f(x), on peut donc réduire l'étudeà un
l. cos (2x) = -l <- 2x = n +2kn
intervalle d'amplitude z, en tenant compte des va-
r wt l! + k:n. k
ez\.)
"f est définie su
t2 / sur l'inter-
leurs interdites, nous pouvons étudier
2. f(-x) = f(x) et f(x+2n) = f(x)
uarcl-Y,![.
/ est paire et 2z-périodique. ) 4'41 ,
3. f(tt - x) = -f(x),le point de coordonné"r (f;o) 3. ft@) = - ;^-,- ^^^ --,2 < 0, / est donc strictement
".t -
(smr-cos.r)
centre de symétrie.
décroissante su. l-A' t [.
La parité, la périodicité et le centre de syrnétrie per- ) 4'41
mettent de réduire l'étudr: de / à l'intervalrcfO;if. 4.Tracé en trait plein et 5. tracé en pointillés
502 CIIAPITREï. CORP.J:GÉS

4 . r+sinr=0 <-> ,= -f etnositif s* [-f ;o[


"lo,i[
. sin.r = 1 e+ -r = 0,34.

-4'=. -2 2.. :. 4
a 0 d
f'(r)

\ll II !t
0 0 +

-4

il
EXERCICE 575

t. f(x+2r)=f(x). EXERCICE 577

2. y'lsi.,(x + * 1*
I
f,) ='/Z("i" "o, "orrri, | ) t. r/Zcos (x + ,/2("o"*.o, - ,in rri.
f,) = f, )
= sinr+cosx.
3. ft @) = cosx - sinx+cos2 x- sin2 r =rt[É"o"*- 4rir,r'l
2-- )
\2
= (cosx - sin.x) (cos-r + sinr + l)
= (cosx-sinx) (€sin(r+ i)+l) "
2. r, (x)=,""., - r,:;- *'n=** *"(, *
t/Zsn(x+!) +l-o <=+ sin[x+
\ ll=-f
4, 2
î)r-,
3fi
ottx=fi. //(r) ( 0 sur les intervalles l!+zm,Y*zml
4
-
<==> .lr=
2 [4 I
.n1n
COSX-Sinx=0 <- ,= - OUI=
avec k e [\l
44 - I est croissante sur
lzm;i+zr"l er sur
fr *rr" ; zn +zkttl f
x
Tt(x)
0
+0
4 fr
0+0
5x
4
f! et décroissante sur

2+ t/2 I
2 -a l!14*ruo,5a4 *ztolj avec /c e lN.

r
I -l 3. Pour tout x réel, -l -< sinx
( I et e-r > 0 d'otr
x 51
A2
3t an -g(x)(f(*)(g(x).
-> sinx= I <- !+z*n
l'@) 0 0+ a. f@l=g(x) jr=
2

I '\./' /(x) = -S(x) <- sinx = -l e+ * = !2 *2Po,


-l kel\.
4. Tracé en trait plein et 5. tracé en pointillés
5.
u

-6 -4 -2
e
-2

-2 2' 4 6

ExERcrcE 576

e_8

. cos, =Q 13 ., = -| et nositif s* [-];o[


"lo,il
503
6.3. FONCTIONS

EXERCICE 578 4.

t 1I\
r. y'2cos[x-
-
il=t, *ti.rrti"l)
("or*.o, "
4
(ÿr'o*r*4rir,rl
'/Z \2 2 )
2
=cosx+sinx,

2. ftG)= (-cosx-sin x)e-' - -r/2"""(*-!)"-. 2

;'t*) < 0 sur les intervatles l-i,zr" r! *r*"1


-2
aveckeN
/ est croissante sur
lT,-r0",f,*rr"l -4
I--! *zt,
et / décroissante sur
14 '!*zml
4 I
avec

k€Nl. -6
"Q
3. Pour tout , réel, -1 ( r:osx ( 1 et e-r > 0 d'où 5. TG+ZL) = f(x)+2trz. On déduit le reste de Ia

-g(x)(/(x)(g(x). courbe par des translations successives de vecteur


4. f@) =g(x) <- cosx=1 e x-2kn ï (zn; zn2).
f(x)=-g(x) <- cosr= -1 <- x=tt+Zktt,ke1\.
5.

80

60
e

40
-2 6

20

e_"

2A

ExERcICE 579

l. f (- x) = - f (x), la fonctiorn / est impaire sur R. EXERCICE 580


2. ft@)=n-Zcosx
l. ilt*l = I - cosr ) 0, /r est donc croissante sur R.
T" G) =2sinx>. 0 sur [0;;z]. 2

/' est donc croissante sur [0;n]. 2. fit*l - ;-cosx


=| sur R.
3. ,f'(0) = n-2 donc Ît (x) ) 0 sur [0;z] / est donc crois- fl'ro=-x+sinr.
sante sur [0;zr] . flfol = o on en déduit alors :
504
CTIAPITREq. CORRIGÉ,S

x -æ 0 +oo
EXERCICE 582
ll,tr) +0
t. o<x<!2
rl 2. En calculant I'aire du triangle OCD de deux ma-
,./'\ nières, on obtient:
f t.rl < 0 donc /2 décroissante sur R. OMxCD=ODxOC,
3. D'après les questionsprécédentes: par hlpothèse OM = t, d'où CD = OC x OD.
/l est croissante
sur R, de plus fi (0) = 0 Dans le triangle OMC rectangle en M , = 9!
donc pour tout x >- 0, f1@) ) 0 d'où sin x ( .r roc
d'où OC= -
"o"*

/2 décroissante sur R et cos-f,


/2(0) = 0 Dansle triangle OMD rectangle en M:
donc Vx ) o, fzi)( 0 d'otr x- 46-a.,.,, *'(; -,) = 9Y 6"rr,,.o.(f -,) =,i.,,.
ainsi pourtou t x > o, x -f, a r"r a r. d'où oo= l.
sln.r
4. D'après l'encadrement obtenu à la question pré:é- D'autre part sin (2r) = 2sinrcosr
- 0.013 I
(sino,0l(0,01 d'où sin.rcosx = -2 sin (2x)
dente:0,01 - a
soit 0,0099998 ( sin0,01 ( 0,0I I 2
on en déduit alors CD = cos xsin x = sin (2x)
soit sin0,0I = 0,01 à l0-2 près.
3. -f,(x)- -4cos(2x).
sinz (2r)
EXERCICE 5BI 4.

x 0 fr r
l. /itrl = -, + sin r, d'après l'exercice précédente 4 2
1'@) 0+
x -æ 0 +æ I \,,/
r!G) +0

ît / admet un minimum pour r= , ce minimum est


f
,/'\ égalà2.
*3
2. flt*l = -r* ï +sinx, d'après l'exercice précéderrt
EXERCICE 583

JC -æ 0 +æ l. x(-t) = x(t) et y(-t) = -y(t).


0+ x est paire, y est impaire.
fl@)
2. x est décroissante sur .
[o; ] I
fz
\,/ 3. y est croissu"t" r". .
[o; f ]

lt
3. D'après les questions précédentes : pour tout .r € R, t 0
,T
E v
1T
1 ,lt
/r(x) (
0et 1z@))o 4. x(t) 1 ÿ3
2.
lz? I
) 0
On en déduit alors que pour tout .r € R, y(t) 0 3 3'/2
"z- 3!3 3
2 2
x2 x2 x4
,-Z(cosx(l-T*A. 5. M(-ù(xU); -y@) la courbe est symétrique par
4. D'après l'encadrement obtenu à la question pré,:é-
rapport à l'axe des abscisses.
- o,ot2(coso,0l<r- o.ol2 0.0.4
, * A-. - ù) = (-x0 ; ytù),
dente,onar- M(it - t) (x(x - t) ; y(n la
,
(
ainsi 0,99995 cos0,01 < 0,99995004 courbe est symétrique par rapport à l'axe des or-
soit cos0,Ol = 0,99995 à 10-5 près. données.
505
6.3, FONCTIONS

On a également -1 ( sinx ( 1, par conséquent:


6.
-1- I + I ( -cosx+sinr+ I < I + I + 1
r3.
a5 -1 ( -cosx+sinx+l (3
En multipliant membre à membre Ie dernier enca-
,?
Mn
6 drement par e-r (qui est strictement posiüf) on ob-
tientalors e-x <f (x) (3e-'.
2. En utilisantla calculatrice, on obtient rlim-e-r = 0'
Comme -e-' ( î(x) { 3e-x, on peut penser que
-:1 Iim f(x)=0.
r++æ
I
3. /'(r) = e-'(sinx + cosx) + e-'(cosx - sin-r- 1)
-I t'

= e-x(2cosx-l).
4. a- Pour tout réel x, €-x ) 0 donc /'(r) est du même
signe que 2cosx - 1.

-J Sur l'intervalle l'n;nl, et en s'aidant d'un cercle tri-


gonométriquet
,
2cosx-l)0 <- cosx>-
ExERcIcE 584 7r
: -n3 <r<
- -3
L. x(-t) = x(t\ et ÿ(-t) = -y(t) 1l
Tt(x) <0 ,,, [-, -{ [ -ifi
.r est paire, y est imPaire.
1 lt ' T1
"t '". 3]
x et y soît2lt-périodiques. ft@) >0 surl-5;-51
.1t7t
2. x estdécroissantesur
]] etcroiss*t"t". []'"]
[o; . f'(x) = 0 en -5 et
5.
3. yt(t)=3cos3r. b. On déduit de la question précédente que :
r tt'tet sur lx Snl
y croissante sur
[0; 6 I [ ,; 6 I
.
/estdécroissant"rr,
t T
[-r' -f
,tl
[ ",.url i' "]
4.
lt lt 3tt lt f I
-5 ; -51
est croissante sur
t 0
7[
6 1 3
1T
z -T It
I I
5. Pourtoutréel x:
x(t) 1 0 -l 0 1
l@) - g(x) = e-'(- cosr + sinx + l) - (-e-r) cosx
7 2
y(t) 0 I '/z 0 -I 0 ÿ2 1 0
2 2 = e-x(-cos)c+ sinx+ I +cosx)
= e-'(sinx + l).
I Or, pour tout réel x :

e-x>oet-l (sinx(l
doncsin.r+1)0.
-1 .0 I On a donc, pour tout réel x, f(x) - g(x) 2 0, ce qui
signifie que la courbe ef est au dessus de la courbe
-1 ô

5. M(-t)(x@; -y@), f es,t symétrique par rapport à ExERcICE 586


I'axe des abscisses. ParüeA
6. Voir graphique ci-dessus. L a.rt|x)=uf,"o'(r*f,*).
b. En B et C les tangentes sont horizontales donc
EXERCICE 585
l'Q) -- î'(4) = o, c'est-à-dire :

I. Pour tout réel x on a -1 <i cos.r ( I bLco""=o et blcos(c+z) =0.


44
donc -l ( -cosx ( 1.
506
CTIAPITREq. CORP{:GES

Comme Oi * O,on a donc cos c = 0 c,est-à-dire ADcosl=AB=4 e AD=-1-


coso
!= f n''tq'" "lo'il'
2. On a /(0) = I et f (4 =3 donc:
(nriror" u .î).
Demême lung-82= BD æBD=4tan9
AB= 4
c a+bsinI=, o a+b=l 0,004
. "".0 = 0,007+0,004tana
o a+bsin1 =, .- a-b=3.
- læ .lapin30
:' "t '2 ---]6-'
2 2. aura pu traverser sàirs encombre si
la résolution du système permet d,obtenir a = i', et 0,004
b= -t. iirse. 0,007+0,004ran0
tn fi \ lt 30 60
Conclusion : /(x) = I - si11 0,008
lr+ 7x1=z- cos ( i <- _.=_
cosd
< 0,007+0,004tan0
Partie B <- B<7cos0+4sin0
l. Le cylindre de section ABFG a pour hauteur h
= I et o !-"o"g*'sino-4>o
2
pourrayonr=I. æZ+zonl- 4 ,o
Donc sonvolume est : Var, = o x 12 x | = n. 2 cos0
a- /(O) > 0.
2. La demi-boule a pour rayon r, = 3 donc son volune 3. Etude des variations de la fonction
l4 x / :
sera : Vsrs =

3. a Ia
33 = t8z.
i" i"
hauteur du cylindre sera ft = puisque le s,:g- |
f@)=;k
f' est du signe de
:# 2 - 4sin0.
ment [0 i 4l a êtépartagé en S se§nents d" -ê,n" Or2-4sing -0 <- sing= 1
26o 0 -!
longueur. 1t
[,a fonction / est donc croissante rrr [O; 6
et dé-
Le rayon du rylindre est donnée par f (xù où x2 :st lt lt
croissante sur
la borne inférieure du troisième segment , *, = l. 6' 2
5 I
Donc r =z-"o"(4).
or/(0) =f,-n=- , <0;
ts/
Finalement le volume du troisième cylindre serr
4n I 2n\2
: /(â) =
i.,+ -2,
#=:-+= o,o335e >o
t,
Vt=---12-cos-l
- 5\ x7,19
s) En écrivant
/(0) sous Ia forme flq =21 'iT3;
b. Dans le cas général, chaque rylindre aura corrne
' o-i'
onvoitque lim f(0)=-æ.
Comme le suggère la courbe ci-dessous, la foncüon
hauteur h = 1.
n est positive si 0,4 ( 0 < 0,64 (environ) soit si l'angle
Le ke cylindre pour I < k < n est délimité par Les
mesure entre 23 et 37 degrés enüron.
points d'abscirr", 1 (o - t) et !*.
0,1
Donc le rayon 6u Pème cylindre sera :
(k-t)n
-/4(k-l)\'l=2-cos:-
- -0,1 0,4 0,5 0,6 0,9 1,0
"\fl n l n -o,2
4n I (k-l)z\! -0,3
vr=
et le volume sera alors :
i [z-cos-J -o,4
-0,5 e1
On a donc l'algorithme
I ÿ-0
2 Pour t allmt de I àn EXERCICE 588
4tî &- l)z
3 lv*v ( 2_cos- EA 25 taîb---
EB 30.6
4 Fin Pour
n n )' l. tana=-=-
ETx'ETx
2. .- *
Les fonctions x sinx et .r cos.r sont définies et
1 l|t
EXERCICE 587 dérivables sur t Et Ia fonction cosinus ne s'an-
lO il.
l. Dans le triangle rectangle ABD, nule pas r"r o, déduit, par quotient, que
]0, ] [, "n
507
6.3. FONCT/ONS

t 0
r n3r
,-T n
T
la fonction x ,- tanr est dérivable sur t +0
lr il ,(3) (r) 0+ 0

tan'(x)=-
1-rg.
cos4.r -2
La fonctioïlaitgente est strictement croissante sur + 0
r'fIt) 0
1
lo,;['
1II signe
a\ ,\..
3. on a frB = ÉTB - ÉTÀ, :soit y = § - a. tâô,r#.ï -l

tanÏ = tan(p- d)
tan,6 - tano xx
1+ tirnctanp 30.6 25 EXERCICE 59O
l+-x-
xx t. x(t) =2 (É.oror*lrinrrl-
2 r
= x2=5'6x
+765'
\2 t 1I\
)
4. IJangle frB est maximaù lorsque sa mesure 7 est =2cos[zr- uJ-l
maximale. Puisque y appartient à l'intervall. lo t I Il s'agit bien d'un mouvement übratoire simple.
i
on en déduit, la fonction tangente étant strictement 2. Mouvement de centre.r0 = -1 et de période T = 2.
t llt
croissante sur lO ; I I , que 7 est maximal si et seule- 3. ,(0) =J3-1.
l 2r lt
ment si tanl est maximal. 4. Vitesse : xt1tI = -2rsin ,lt
6
T\
S'il existe, le maximum de tany est ainsi le maxi- Accélération : xtt(t) - -2r2 cos nt- -l
6)
mum, sur 10,501, de la forrction g définie par It
5'6x ,(3)11; = z# snfrt--
g(x) = 6
Z+76s.
La fonction g est dérivable sur 10,501 et, pour tout t 0 ! À

nombre réel r appartenantà l0 ; 501 : ,(Jl (r) 0 0 + +0


-,fzoz

,.\x'. = 5,6(765-l)=5,6(x+ '/165)(x-'/76sir \ -2r2


s
T;z*sf (.'.?6sf- signe /'(r) 0+

Le dénominateur est toujours strictement positif et


puisque r elO ; 501, alors .r + tn65 > 0 : le signe de t 27 IU
36 2

//(x) ne dépend que du signe de x- t/1€È. ,(J) (r) + 0

On en déduit que I est strictement décroissante sur


.Y
\/7651et strictement croissante sur 11765 ; 5Ol : g
10, -J5n2
admet donc, sur l0 ; 501, un minimum atteint pour signe r"(r) 0+ +0
x= ÿæ
tt!5. rl
IJangle fB estmaximal pour une unique valeur de -2fr

x, égale à rÆ65 m soit 2B m, au mètre près.


frB æ O,l radian soit enrriron 5,78'. ExERcrcE 591
l.b- 2.a-3.c
EXERCIcE 589
1l EXERCICE 592
l. .r(r) = +:, il s'agrt bien d'un mouvement
,cos(zt) f . ,f t3l = 525, lorsque l'entreprise fabrique 3 kilomètres
übratoire simple.
de tissu, Ie coût moyen de production d'un kilomètre
2. Mouvement de centre xg = 1 et de période T = n.
est de 525 €.
3. x(0) = l. ajrl
2. f(x)ss16s161s1rns
4. Vitesse : x' 1t1 =-sin2r u(x)
Accélération: x" avec u(x) = ls.C - L2O* +5OOx+75O et u(x) -- x
1t1 = -21:os(2t)
y(3)14 donc - u'(x)u(x) - u(x)u' (x)
1'{_Tl
-4sin(2[) u2G)
508
CHAPITRE6. CORNGES

r'@) =
(+s* -zaox+soo)
' r- tsf -tzo* +soo.r+7s(.. xl
2. L = 100 > 0, l'équation admet donc deux solutions
30.f -tzoxz -zso réelles, x1 = -3 et 12 =
d'où
/'(x) = à
x2 3.
3. (x-5) (* +x+s) = x3 + x2 +sx-S* -sx-zs x -5 -3 5
= É -4xz -2s. d t*) +0 0+
4. D'après les deux l8 2to
30(x - 5) c
f'@) = l0 -nl4
Résolution de l'équation.r2 + r+ 5 = 0 : Â = -lg < 0
l'équation n admet pas de solution réelle, le trinôme
est toujours du signe de a, donc posiüf. EXERCICE 594
D'autre part, quelque soit.r € tI ; l0l, I > 0.
l. Ia courbe e coupe deux fois l'axe des abscisses sur
Le signe de /' ne dépend donc que du signe de x -. 5.
l'intervalle [-9 ; 3], l'équation /(x) = admet donc
T I 5 l0 deux soluüons distinctes sur cet intervalle. Liaffirma-
g'@) 0+
"\,-l^ 2.
tion est fausse.
La courbe e n admet une tangente horizontale qu'en
deux points sur l'intervalle I-9 ; 3l (au maximum et
au minimum de la fonction), la dérivée de / s'an-
5. D'après le tableau précédent, le coût moyen de p:o-
nule donc detx fois sur cet intervalle. Liaffrrmation
ducüon sera minimal pour 5 kilomètres produits, il
est donc vraie.
sera alors de 425 € par kilomètre. 3. læ coeffrcient directeur de la tangente à e au point
d'abscisse 0 est égal au coeffrcient directeur de la
EXERCICE 593
ùoite (AB) ÿB - yA
xB-xA= -15 = -0,6. tiafÊrmation
1 o =
PartieA
est vraie.
1. La courbe eJÊ est au-dessus de l'axe des abscisses soit 4. La droite ï coupe l'axe des ordonnées en 0,4, donc
S=l -l;7[. d'après la question précédente, son équation réduite
2. On recherche l'abscisse des points d'intersection ctes - -0,6x + 0,4. Laffirmation est fausse.
est : y
courbes eletessoitE= {-t; S}. 5. la fonction / est croissante sur [1 ; 21, sa dérivée
3. Le coefficient directeur de la tangente T vautà. est donc positive sur cet intervalle. Lafflrmation est
waie.
Partie B
Affirmation I z h'(x) )
0 sur [4 ; 20] donc h est crois-
EXERCICE 595
sante sur cet intervalle. IlafÊrmation est vraie.
PartieA
Affirmation 2 : tléquation réduite de la tangente à la
Fonction 1r fz Îs 1+
courbe représentative de h s'écrity = h'(-7)(x,+7)+h(7). l.
h' (x) > o sur [- 15 ; -5[ donc h' (-7) > 0 par conséqucnt
Tableau de signes b d c a

ht çT I -3. Ilafflrmation est donc fausse. Fonction ft fz Ît fs


Affirmation 3 : h'(x) < 0 sur I - 5 ; 4[ donc h'(3) < o. L af- , Tableau de varia- c b a d
firmation est donc waie. tions
Fonction Ît fz fz l+
Partie C 3. Tableau des signes c b d a
des dérivées
1. La fonction B est une fonction polynôme donc d( ri-
vablesurt-5;51, B'1x1 =3*z +8r-3.
509
6.3. FONCTIONS

EXERCICE 597
PartieB
l. En développant I'expression de g(r), on obtient l. a. Le chiffre d'affaires réalisé pour la vente de 4 hec-
g(x)=-x3-*+x+t. tolitres est 6000 €. Le pointA appartenant à Ia droite
2. gt(x) = -3x2 -2x + I = (r; + 1)(1 - 3l) car -l est une
a pour coordonnées (4 ; 600).
racine évidente. I b. Le coût de fabricaüon de 4 hectolitres est d'en-
3. g'(r) s'annule poüt.t ='-1 et pour r = -. On peut
üron 2 000. Nous lisons l'ordonnée du point de la
donc dresser un tableau de signes pour obtenir le courbe d'abscisse 4. Avec la précision du graphique,
signe de Ia dérivée et donc les variations de la fonc- nous trouvons 200, ce qui correspond à 2 000 €.
tion g. c. Le bénéfice réalisé pourla vente de 4 hectolitres est
l1
x -2 -l 3- d'environ 4 000 €.
8t @) 0+0 d. Lors de la production et la vente de 4 hectolitres,
,\r/ 32
n I'entreprise ne réalise pas le bénéfice maximal. La
distance entre un point de la courbe et Ie point de la
ô
\ 0 droite de même abscisse semble supérieure lorsque
4. La seule fonction décroissante, puis croissante et en- x =7.

ûn décroissante est la forrcüon fi. 2. Par lecture graphique, le nombre d'hectolitres que
doit produire l'entreprise pour réaliser des proûts,
ExERcIcE 596 c'est-à-dire un bénéfice strictement positif dewait
ParüeA appartenir à l'intervalle [0,6; 11]. II y a un bénéfice
1. f(3) strictement positif lorsque la droite des recettes est
= 14,3
2. Le point d'intersecüon dr:s detx courbes est approxi- au-dessus de la courbe des coûts. Nous lisons les abs-
mativement de coordonltées (7; 9). cisses des points d'intersection des detx courbes et
Partie B prenons l'intervalle entre ces valeurs.

t. <- 3. La représentation graphique de la fonction R est une


a- f(x) =g(r) -2x+20,35 =0,7r+3,9
0,O5x2
droite qui passe par I'origine du repère et par le point
Soit en simplifiant 0,05;2 - 2,7 x + 16,45 = 0.
A de coordonnées (4 ; 600). læ coefûcient directeur
b. A = 4, l'équation admet detx solutions réelles dis- 600
de cette droite est . soit 150. Passant par l'origine,
tinctes: h=7etx2-47.. 4
son équation est de Ia forme ÿ = mx.
c. Seule la solution .rl :: 7 appartient à f intervalle
D'où.R(.r) = 150r.
lO; 221 et g(7) =8,8.
Les deux courbes se coupent au point de coordon-
4. a. On note B' la foncüon dérivée de la foncüon B.

nées (7; B,B).


Bt 1x1 = -Z(Zx2)+ 15(2r) + 84 = -6x2 + 30x + 84.

2. b. Pour simplifier, commençons par mettre -6 en


a. La fonction f est dérivable sur [0 ; 22],

f' @) = 2 x 0,05x + 2,7 x 1. +0= o,lx +2,7 facteur, l'équation devient alors * -5x-14 =0.
b. ltOc) >0 <- o,lx>2 æ x>20 A=Bl>0.
On en déduit que IJéquation a deux racines réelles distinctes
/'est négative sur [0; 20] et posi-
-(-5)-9 -_2 5+9
"-- *-=_=1
tive sur l2O;221. '2'2
c. Il en résulte -6x2 + 30x + B 4 = -6(x + 2) (x -7)
x 0 20 22 Etudions le signe de B'(x) sur [0 ; 12] :
ft{x) 0+ x étant positif le signe de Br (x) est celui de 7 - x.
Si.re [0 ; 71 7 - x>0 parconséquentB/(r) > 0 et si
r
20,35
\o ./
0,55
x el7 ; l2l 7 - x <O, par conséquent B'(r) < 0.
c. Si pour tout x. e I, ft (x) > 0 alors / est strictement
0,35
510
CIIAPITRE 6. CORRIGES

croissante sur 1. 2. Iæ nombre de tablettes tactiles fabriquées et ven_


Sur [0 ; 7[, B'(.r) > 0 donc B est strictement croissa:rte dues permettant de réaliser le bénéfice hebdoma_
sur cet intervalle. daire maximal est 225, valeur en laquelle
/ atteint
Si pour tout r € I, ft Oc) < 0 alors la fonction / est son maximum. La valeur de ce bénéfice est 30 625 €.
strictement décroissante sur 1.
Sur 17 ; l2l, B'(x) <O donc B est strictement décrc is- EXERCICE 599
sante sur cet intervalle. PardeA
x 0 7 t2 l. Ia fonction / est dérivable sur I'intervalle t0 ; l0l et
B'(x) +0 ft Q) = 2 x s-x1-4 + Qrc - 5)x (-l)e-r+4 a6
587 = (-2x+7)e-x+4
B 2. Pour tout r rêel, s-x+4 > 9 donc /,(t) est du signe de
50
./\ -2x+7.
-338 7
æ712* o <-
d. Pour sept hectolitres de désinfectant produits et
-2x+7>O
i, * x<3,5
On calcule:
vendus le bénéflce est maximal. Iæ bénéfice est aftrrs
f @) = -sea +20 = -252,sg1'
de 5 870 €.
rB,5) =2eo's +2O x23,297
/(10) = l5e-6 +20 =2o,037
EXERCICE 598 D'où le tableau de variation de la fonction / :
PARTIEA
x 0 1,6 3,s l0
L. A = 122500 > 0. lléquation a deuxracines réelles dis- l'G) + 0

tinctes:
xt= -aîo-
Seule
-2
t/t225OO

la solution rz
- 4OO x2=
450
---Z:-- 3s0

= 50 est dans I'intervalle [0 ; 30r)]


=rO
r
-252,001
,n \. 23,297

20,037

2. a. Pour tout.r € [0 ; 300], ft@) = -2x+ 45O. Partie B


b. Etudions d'abord le signe de //(r) sur t0 ; 3001 L. D'après les résultats de la première partie,le nombre
SurR, -2x+450>0 <- x<225. d'objets à vendre pour réaliser un bénéfice maxi-
Ainsi si x e l0 ; 2251, /'(x) > 0 donc / croissante mum correspond à x = 3,5 centaines d'objets donc
si x e1225 ; 3001, /'(r) < 0 donc / décroissante. 350 objets.

x 0 )rq 300 /(3,5) = 23,297 doncle bénéfice maximal réalisé est


l'@) +0 de23297 €.
2. L.ientreprise réalise un bénéûce quand il vend au
I moins.r centaines d'objets avec /(r) > 0.
D'après le tableau de variation de la fonction /, il faut
pour cela que x > 1,60. II faut donc vendre au moins
c. La fonction /
étant croissante sur [0; 225[ et dé-
160 objets pour réaliser un bénéflce.
croissante sur 1225; 3001, elle admet un maximum
valant30625 en225.
Exnncrcn 600
PARTIEB PardeA
l. A partir de 50 tablettes tactiles produites et vendues l. a D'après le graphique,le maximum de la fonction /
par semaine I'entreprise réalise un bénéfice. Nors est /(40) = 10.
avons montré à la question A.l que /(50) = 0 et qrre Le nombre 40 correspond au l0 août, et l0 corres-
/ est positive sur l'intervalle [50 ; 3(X)1. pond à l0 000 habitants.
511
6.3. FONCTIONS

Le nombre maximum d'habitants est donc de 10000 EXERCICE 60I


aott.
et est atteint le 10 l. . Enposantm= n= 0, onobtient
b. Chaque habitant consomme entre 45 et 55 lites f (o + o) = /(o) + /(/(o))
d'eau, 10000 habitants consommeront donc entre d'où /(o) = /(o) + /(/(o))
450000 et 550000 litres au maximum. on en déduit alors /(/(0)) = f (0) - /(0) = 0.
Comme la commune peut fournir 600000litres d'eau . En posant m = O et- n = T (O), on obtient :
par jour, c'est sufÊsant pour la journée la plus char- / (/ (f (o)))
/ (o + /(ol) = /(o) +
gée, donc pour toutes les autres. d'où / (f (o)) = /(0) + /(0)
2. Le maximum d'habitants prévus est I0 000 donc 80 7o
on en déduit alors 2/(0) = 0 et donc /(0) = 0.
du maximum est égal à I il00 habitants. 2. En posant m = 0, on obtient alors, pour tout n € N
Chercher Ie nombre de jours durant lesquels Ie (o+ n) = f Q)+ 1(1@)) d'où /(/(n)) = l@).
f
nombre d'habitants est srupérieur à B0% du nombre 3. En posant n = 1, on obtient que pour tout n € l\ :

maximal prévu, revient à résoudre sur l'intervalle (î(1)) = /(m) +/(1).


f @+D = f Où+ f
[0; 70] l'inéquation /(x) ): 8. 4. On pose, pour tout n e lN: a2 = /(n)
fG) ) 8 sur l'intervalle: ll7;70\, soit pendant 53
Ona,pourtoutn€[\l : ün|1 =un*ü1
jours.
La suite (un) est arithmétique de raison u1.
Parüe B Àinsi: u2 - uû+ nul
on a alors f(n) = "f(0) + n/(l) = 0 + nf (l) = nf (l)
r. .ft9i =2+o,2x g
x s-0'02tix9+1 = 5,90706
r =I correspond au 10 juillet. Il y a une estimation
5. Pour tout n e N, (f 1n;) = 11ll1
/
de x I 000 = 5 907 h,abitants à cette date.
5, 907 f (f ro) = 1(n10)= nf t)îa6)'
Chaque habitant consomme au maximum 55 litres,
D'autrepart/(n) = nf0) d'où n/(1)/(1) = nf l)
donc la consommation d'eau maximale le 10 juillet
En posant n = 1, on obtient: /(l) (/(1) - 1) = 0
sera de 5907 x 55 = 3248ti5 litres que l'on peut maio-
On en déduit alors que /(1) = 0 ou /(1) = I
. Si /(1) = 0 alors Vz e N: 1@) = nf l) =0
rer par 324890 litres.
. Si /(I) = 1 alors Vn E N: î(n) = nf0) = n.
2. a. La fonction / est dérivable sur R donc sur [0 ; 70],

f ' {x) = o,2rl, e-0'o25x+')L +o,zxx(-0,025)e-o,025x+1


EXERCTcE 602
= (0,2 - o, oo5r1s-o'025x+r .
b. Pour tout x réel, e-o'025x+l > 0 donc /'(r) est du r. a /(l) =/(1+0) = /(1) x/(0)+/(1)+/(0) =21(o)+r
signe de 0, 2 - 0,005.x. on en déduit alors que /(0) = 0.
o,2-o,oo;x>o <- oiâ, x e 4o> x b.l@ = f l+ l) = /2(1) +2f (r) =3
/(s) = /(r +D = r{J) x f (2) + I t) + f (2) = 7
x 0 40 70
/(6) = f(3 +sl = f(3) x /(3) +2/(3) = 63.
f'@) -+0 2. f (n+ t) = î(n) x /(1) +/(n) + f (r) = 2f (n) + |
B
3. g(n+m)= f (n+m)+r= f (n)xf (m)+l(n)+f (m)+t
I
A'
,/r' \ C
g(n') x g(m) = (f @) + l) (/(/,?) + 1)
g(n) x g(m) = f (n) x f (m)+ f (n)+ f (m)+r.
c. D'après le tableau de v'ariation précédent, la fonc- d'où g(z + m) = g(n) x g(m).
tion / est croissante sur [0; 40], puis décroissante sur 4. Quel que soit a e N, la fonction g i n an vêrifrela -
[40;70]. Elle atteint donc un maximum pour x = 40. relation g(n + m) = g(n) x g(m)
Cette valeur de r corresp,ond au l0 août et à un maxi- Une fonction f est donc de laforme f(n) = an - |
mum de population danr;la station, donc à un maxi- lacondition/(1) = | imp6ss a= I
mum de consommation d'eau. ainsi /(n) = 2n - l.
5t2
CIIAPITRE1. CORHIGÉS

EXERCICE 603 EXERCTCE 604


Parde A : Etude mathématique
L. D'après la calculatrice, il semble que
/(x) = I quel
que soit x e [5; l0]. l. ltEl = f(2 x 2) = 21@= 2 x 3,0103 = 6,0206

2. Onpose rc=u2+Iavecu)0donc J7=u


x
f@)= u2 +t-+1/Q a3* u2+t-6y'ç1s 2 3 4 5 6

= \/;z -1;+i+ 1@) 3,0103 4,77t2 6,0206 6,9897 7,7815


-6u+9
= 1/lj-ÿ + \/@:æ. x 7 B I l0 I00
x=u2+ldoncu =/x_ l lrxl B,45IO 9,0309 9,5424 10,000 20,000
pour5(x-<l0ona2(u(3 x 1000 r0000 r000000
donc u-2>0 et3- u>O
fa 30,000 40,000 60,000 90,000
alors /(x) - (u-2) - (3 - u) = l.
3. Le changement de variable est valable pour tout 2. fQ45) =/(5x49) =lg)+f0xz)
x>I = 1$) + 2f Q) = 23,8e17.
Sir e [l;51, f@) = (2- u) + (3- 11) = g-)y' aj 3. /(1 x 1) = /(1) +/(1) = 2/(1)
Sixe [10;+æ[,1@)=(u-2)+ (u-3) = Zll-t-.i. d'autre part /(l x 1) = /(1)
4. / est dérivable sur I 1; 5L sur l5; l0[ et sur lO; +oo[. on en déduit alors que /(l) = 0.
]
. Dérivabilité en 5 :
4. Pour tout réel y strictement posiüf,

t (t,
;)= rro. r (r1) = /o)
à droite de 5 : fdg) = 0 car la fonction est constar lte =o
sur [5; l0]
Pourx< s,rt@)=-!aor,. o'"'/(;) =-nY)
ÿ x-l
à gauche de 5: f[1s1 = -!
Partie B

f n est pas dérivable en s cat fd@ I fi@. l. D'après lapartie précédente,


. Dérivabilité en 10 : V.r>0, /(10.r) =,f(10) +f (x)= r0+/(r).
à gauche de 10 : f[OOl = 0 car la fonction r:st 2. D'après la partie précédente, /(1 000000) = 60.
constante sur [5;10] s. /(rou)= 11s.
Pourx> t0,|tQ)=]aon" 4. Soit a et b les indices respectifs des intensités des
t/x-l
machines A et B.
à droite de ro : /j1rO1 =
| r(i)= f @)- f (b) =3.
/ n est pas dérivable en I0 car
#(10) * ft,I}). !
On a alors 2. l-amachine â est deux fois plus
b =
bruyante que la machine B.
5. / est décroissante sur [1;5]
constante sur [5;10] et croissante sur [l0;+æ[.
6. ExERcrcE 605

t. lt Oc) = 2&x sin(2x) + 2&x cos(Zx)


= 2êx Gin (zx) + cos (2x)).
4 2. 2êx > 0 sur R donc le signe de l'(x) ne dépend que

3 du signe de (sin (zx) + cos (2.r)).

sin (2x) + cos (2r) = JZlf ,t"rzxl +


f costzxt)

=,/z"n(zr*i).
I 2 3 4 5 6 7 8 I l011l21314
513
6.3. FONCTIONS

3fi It
x 0 T-z / étant une fonction du second degré, on en déduit

lt(x) +0 que b ne peut prendre que les valeurs -1 et 1.


yf ii. Si b = -l alors l@) = -* + c.r admet un maxi-
"T
r -È3n
mumen
î"t(î)=*
o./'\. 2
Iæsconditions a r, î(l) = c-l ) -l et
;
EXERCICE 606 ,f(-tl= -c-|> -1 entraînentquec=0
ainsi f(.r) = -x2
r. /(x) =2xort1@)=Zx+l ou/(x) =2x-9 f + cx admet un maximum en
Si b = I alors /(.r) =
2. f (x) = * +3x ou /(*) = t:2 +3x+ 4
= xs + x3 +2x-l
- = éI + É I+2x ort f(t;)1"
3.,ftrl -î",(-î)=-* ,
^ |
a. 1@) = or/trl = -xo- - +ÿ5- -i ,fU', = c+r < l
if -; læs conditions -I < et
r§- Il y a une infinité de fonctions /. On les obtient toutes ,f(-1) = -c+ I ( 1 entraînent que c = 0
en ajoutant, dans chaque cas, une constante c à la pre- ainsi /(x) = I
mière obtenue.
c. Deuxième cas d = -l ou d = I
Ex-ERcrcE 607
i.Supposonsd=letb>0
l. SoitP(.r) =af +b*+c:c+d
On a alors :
Ilfautque/(-l)=b+c+ I < I et/(1) = b-c+l ( 1

gt@)=(aé +b* +cx+d+3a* +2bx+c)ex donc c = 0.


- (ax3 +(b+3d* +@+2b)x+(c+ @) ex Par un raisonnement analogue avec b <O et d = tl,
d'autre part g' (x) = ex (it - zx + z). on en déduit que / est d'extremum S(0; d).
tiégalité entre les deux expressions étant waie pour
tout réel x, par identification des coeffrcients des fac- Si d = I S(0;1) sera un maximum donc b < 0
teurs de même puissance, nous obtenons: b+l) -l
donc -2 < b < 0.
alors /(-1) =
a=O; b= l; c= -5 etd=,7 Si d = -1, S(0;-l) sera un minimum donc b > 0
Ainsi g(x) = (x2 -sx+z) ù. alors/(-1) = b- I ( 1 donc0 < b <2
2. Pour tout réel x, ex > 0, donc le signe de g'(r) ne dé- li. On en déduit /(-r) = -2x2 +1, f (x) = -x2 +t,
pend que du signe de (x - l)(x - 2).
f@)=x2-letl(r) =z*-t
x -oo It 2 +æ 3. Soit / une fonction appartenant à t.
g' (x) +0 0+ -2 4 l@) + f Çx) ( 2 d'où -1 ( g(x) ( I
3e +æ onvérifie de même que -1 ( h(x) ( 1
ainsi g et lr appartiennent à t.
ô
0
,/ \ e2
,/
4. a.D'aprèslaquestionprécédente, feE het
ExERCICE 608 -
ce qui implique -1 ( h(1) < I et -l a ,(;) ( I soit
r. l@) = x, f@) = -x et fb) =
i.. (
2. a. Pour tout r € [-l; l], - 1 f(*)
T.
1 ( -1<a+c(tet-laf*ia,
On en déduit alors -4 < a ( 4 soit lal ( 4.
donc -l <,f(0) < I soit encore -1 < d < 1, d étant
b. En étudiant les variations de p, on vérifie que pour
entier, on en déduit que d ne peut prendre que les
l.
x e [-1; U, -l ( p(x) ( l.
valeurs -l; 0 et
c. D'après la question 4.a, M ( 4 et d'après 4.b, I'éga-
b. Premier cas d = 0 alors f (ù = b* + cx
lité est atteinte, donc M = 4.
i..f (-rl + /(l) = 2b et -2<2b <2
514
CIIAPITRE 6. CORRIGÉS

ExERcICE 609 D'autre part :

l. . sixe lo;21, fG) = -4* +Bx f (x + 20) = - f Qo - x) = -/ (10 - (x - r0))


. si.r el2;41, 1@) = -Zxz +t1x-t6 = -/(10+r- l0) = _/(r).
. si x el,4;61, 2 < x -2( 4 et 0 < x-4 ( 2
On en déduit alors que pour tout réel x, f?ù =- f (x),

f Ql = )(- ux - 2)2 + t2(x - 2) - t6 - 4(x - 4)2


la fonction / est impaire
. Pour tout réel x,
+ e(x - +))
f @0 + x) = f ((x + 20) + 20) = - f (20 - (x +20))
= -3* +30x-22.
= -f (-x) = f (x),
. si x el_6;81, 4 < x -2< 6 er 2 < x-4 ( 4 la fonction / est périodique, de période 40.
fO= il U* - 2)2 + 30(x - 2) - 72 - 2(x - 4)z
EXERCICE 6I I
+ 12(r-a) - 16)
PardeA
= -12 *z + 35.r - 120. l. 13 est premier par définition de /, on a /(f 3) = 1
f (O = fQ x 3) =zTQ) +31(2) = 2x I +3 x 1 = 5.
2. ïtol = /(0 x 0) = 0/(0) +0/(0) = 0
/(l) =/(1xl) =2f 0 onendéduitalorsque/(1) =0.
2 3.
n 0 1 ) 3 4 5

l@) 0 0 I I 4 I
t23,t56i I
n 6 B l0
2. Ona/(0) =1(2)=f(D=T(6) =/(8)=0 f@t 5 I 12 6

on montre alors que pour tout n entier naturel pair,


I- n l1 t2 13 t4 t5
f @) =
;(|tn-zl+ ltn-a)) =o 1@) 1 l6 I I B
Si n = 2p + | avec p entier naturel, n est un enüer rra-
turel impair: n 16 17 1B l9 20

1o) = 4, f (3) =2, f (s) =3, f (7) = 2 :- 5


r@) 20 1 2t I 24

1\ 4. a. Si p et 4 sont deux nombres premiers alors par dé-


On remarque que f(3) = 4 x 1-
,) ûnitionde/, f(p)= f (q)=r
1r;t = +' (,- ;. i) d'oùt /(p x q) = p f (q) + q I @) = p + q.
On peut montrer que : b. /(209) =f(11 x 19) = 11 + 19 = 30.
tep+t)=r(,.(-i).(-i)'. .(-i)') c. les sommes de nombres premiers possibles sont:
I +29; 7 +23; l1 + l9 et 13+ 17
En utilise la formule de la somme des termes d'une
On en déduit alors que N peut prendre quatre va-
suite géométrique, on obtient:
p+l leurs : 29; l6li 2Og et22l.
l- _1 s. a,f (pl) -r,po =1xI=l
2
=q
IQP+D
l- _,1
=
i(,-(-i)'.') f@2)=frpxp)=p+p=2p
f @3) = f @, p2) = pf (p2) * p, î rpt
Ia limite des images par / des entiers impairs est
] =Pxzq+P2xl=3P2.
b./fagl =102)-2x7-14,
ExERcrcE 610 fosz)f ?2 xz3)=+s7(2s)+af (t2)
. Pour tout réel .I, = 49 x 3 x22 +Bx2x7 =7O0
f @+20) = 1(@+ 10) + 10) = /(10- (r+ I0)) = /(-x) lurtszl) =/(700) = f (25x28)=25712s',)+28rQ$.
6.3. FONCTIONS
5I5

lQs)=7@z)=zx5=10 2. uf2@)=1/i
lZal= f $x7)=4f (7)+7f (4)=32 b. /s(x) =.f
on en déduit alors /(/tsrlzl) = 1080. Partie B
6. Par exempl e 4 = 22, 27 = 313, 3125 = 55 et 823543 = 77 . l. 91 est une fonctionpolynôme du second degré donc
Parde B 8r(x) = a* +bx+c
8r(0)=0doncc=0
l. ,f = -U"(-1) - 1/(-1) = -zf (-r)
ttl = / (-1 x (-l))
8t(1)=t donca+b=l
d'autre part f(1) = 0 on en déduit alors que f(- 1) = 0. /r\ 2donc I l. 2
2. |eù =/(-1x n)=-r1@)+nf (-r')=-f (n). 8,
IZJ
=
5 io* rb= i l;
Partie C En résolvant le système, on obtient o =2; A =
33
"t
t. /(t) =/ z. a. s2(r) = t et
?'i)="(i).i
d'autre part /(1) = 0
fQ) szo)= o, sz(i) =
;
,'^* *l*
336 =)
b. tl faut résoudre l'équation
- r[1]
d'"i,
'\21 =-!r,»=-!.
4'" 4 Cette équation admet deux soluüons
2. Pour tout a est un entier relatif et b un entier naturel -l - \/EetxZ=-l+ r/i
xt=--4
non nul, 4
seule x2 appartient à I'intervalle [0; l]
r @) = r (i " o) = ir rat. o I (i) . /l\ --l+/5
br @) ('b) onendéduitalo.rsz =
[6,| 4
o'"0 / (;) - -ar .
c. Léquation 91(x) = y admet deux soluüons
49 x 1- 17 x2x7
*- r"(r7\
[4eJ-
_4sr07)-t7ru.e) _ _____æ- -t-
xt=--4 JT+z+y
e|xz=-l 1/t+z+y
+
4-
--æ-
27
343
seule .r2 appartient à l'intervalle [0; U
d. D'après la question précédente :

Partie D -t+ Jt+z+x


Pout tout 4 entier naturel,
gz1) = 4

71a1= f ((t/-a)z)=2y'-af ({,i) EXERCICE 6I3


a,otr/(/a) =
On en déduit alors
firt, "f(t;o) = l(o;r) =2
f Q;o) =/(l' l) = / (o;,f(1;o)) = f Q;2) = 3
+6/(\rO ,= /Jx 5+ o =urtl. I 0' D = f @; î(1; 1)) = /(0;3) = a
/(6rÆ) =
'/5/rol ftf f Q; » = I Oi f(2; 0)) = 111' 31 = 7 @; 1 tr;zt) = /(0; a) = 5
612
f 0' q = î (0;1(1;3)) = /(o;s) = 6
EXERCICE
PartieA (ril
r Q;4 = I (2; r)) = /(1' 5) = / (0;,f (l; a)) = /(0; 6) = 7
1. a fi(o) = 0, Ê(1) = r
litxl = 3(2x - l)2 ) 0 h est strictement croissante
EXERCICE 6I4
sur R donc sur [0;1].
Iæs trois propriétés sont'uérifiées, fi est une fonction l. a..1@)=x
de retouche.
(a- b)1@+b) -(a+b)l @- b)
b. En traçant la droite d'tiquation y - x, la courbe est = (a - b)(a + b) - (a + b)(a - b) = O
I
;z ( I aab(az - t) si a et b non nuls et az I t
sous la droite pour .r;
-( I .f@)=*
d'où les r appartenant à l'intervalle
I |''[ *."", (a - b) 1 @ + b) - (a + b\ f @ - b)
éclaircies par la fonction fi. = (a- b)(a+ b)2 - (a+ b)(a- b)z
c. fi(x) ( .x <- x(x - l)(2x - I) < 0 donc sachant = 2b(a- b)(a+ b)
que 0 <.r < I on en déduitque x ) | I aab(az - t) si o *'2'l, a * o et a2 I t.
516 CIIAPITRE 6. CORRIGES

' f@)=f 2. t/139 = at/l - b avec a2 > l3g soit a > 12


(a- b)1@+b)-(a+Df @- b) y'tsg = t2ÿ Tt- s- /-
rey'r
165-
rfi = - I
= (a - b)(a + b)3 - (o * b)(a - b)3 #=ru 576

= +ab(az _ t). 3. Pourtoutentiernaturel n, 1/i = I


n
Seul Chang a raison. ou encore pour tout a entier tel que a2 > n, on peut
b. Onprend a- n etb=fr écrire fi = at/l - b avec U =, -
fi3fi3trtt2 #.
))r)
=Sln- - =-7t PartieB

et4ab(a2-q=+ r. .f rt) = 0, /(0) = l,


3
/ (i ) lrr
V +- z
2. aSionchoisita= 0, onaVbeR, -bfb)-bleù ==O
d'oir pourtout b lO, leb = -f (b) ,(;)=
Ali a raison, / est impaire. 2. 'lr'=i
Pour tout couple (p; q) d'enüers naturels, avec p ( 4,
b. (a- b)(a + b)a - (a + b)(a - b)a ,(,-#)=i
=(* -t)Ua+u)3 -(a+b13)
= zb (az - t) (sa2 + t)
3. r =/(0) - t, r+s=/(lr =0, .+fr-fr , = tÊ)=;
I 4ab(a2 - t) si az et Ë non nuls et dis- Onendéduit: r = 1, s = -t et t = -!
tiîctsetzal3a2 +Ë. 3

La fonction.r x4 ne vérifie pas la propriété (p). 4. s(x) =t- x-Jxrr-rr -(1-.t)(r.â4


-
c. D'après l.b la fonction sinus ne vérifie par
qu'elle soit impaire.
(P) bi :n
Onar,/tlg=t*ffi
/ 185\ 139 /
gbu)= l8s\ r39 428
rn ['* 2$)= 324 243
3. a. En choisissant a + b =2 et a- b = I d'où y'lS= 13,6
3-.1y=! f nl1
soita= 2) Enutilisant t/139 =2aÿ t.- uru o.o6,i"rr,
si / vérifle (P) ators /(2) - 2/(1) = s (: - .1)
= t y'r39 ll,6s
=
Ben a raison. /ÏS = 11,8. La se-
Avec une calculatrice, on obtient
b.Sia+b= 1 eta-b=l alorsa= ! conde approximaüon est donc meilleure.
244 "16=-! !§= Remarque : l'algorithme de Héron donne une
si/vérine rr) aorsz/(1)-lf o,=-'l meilleure approximation :

4. a+ b = x et a.-b = I alors = t2t < I39 < 144 donc 11< y'139 < 12
En effet
Si
+ "tb = +
Si / vérifie (P) alors
"
f(r) - xf (r) = x(* - r). n"o;( L2+ 139 \ .r1t39< I
n) 2
(".f)
on a donc/(x) =f +x(/trl - r). soit 11,79 < /t3e < 11,82.
5. Réciproquement, soit k un réel quelconque, la fon c-
tion /(x) = f + xk-t) saüsfait (P) eneffet EXERCICE 6I6
(a- b)1@+b) - (a+b)Î@-b)
1. En regroupant les termes consécutifs deux par detx
= (a - b)(a + b)(&+6+b12 -t) -
I
1010
f@)= (Qp -t)(x+zp -r) -zp(x+zfl)
(k+ta-blT -t)) P=r
IOIO
=+ab(az -È). T (l - x - 4P) = -1010(x+2021)
P=l
tléquation f (x) = 0 a une unique solution :
EXERCIcE 6I5
PartieA x = -2O21.
2. Pour tout enüer relatif impair k, il existe n e Z- tel qrue
r. ÿ56=r4\f ls
r-1, k = 2n + I alors d'après la question précédente
5t7
6.3. FONCTIONS

-RS BR
/(k)= -1010(k +2021) = -LO10(2n+2O22) AC BA
-=- NQ AR BR
= -2020(n + l0l l). Dans le triangle AIfB -
I
--
3. D'après la question précédente /(k) = 2020 si et
BH
-=- AB AB
Às nQ h(b- x't
seulement si n= -LOIZ c'est-à-dfue k= -1O23' On en déduit alors
AC
=]- BH soitRQ=
xh(b- xl
Ainsil= _- -
EXERCICE 6I7
onpose/(x) =xa -sf -4x2 -7x+4 2. a.ÿt(x)=W;!
/ est une fonction polynôme donc deux fois dérivable Ljaire 1. est maximale pour x =f;, at"est alors égale
sur R. bh
à
f G) =qx3 - rsx2 -Bx-7 4'
1" (*) = r2x2 - 3ox - I b. "A,=ry- a'oitft=2.
L, = 1284 > O, l't G) admet d,eux racines réelles :
bh
*, = !# = -0,24
"t.*,
= Tff = z,t+
3. a. PQRS est un carré si PQ = PS soit si x
b-
=
EJT.
On en deduit Ie tableau de variations de f' b. Le carré est d'aire maximale si t= don" ri b = h.

EXERCICE 6I9
x -oo .r1 x2 +oo
PardeA
ltt(x) +0 0+
t' (rl) +æ 1. rp est dérivable sur R, q' {x) = ex + | > o

t' \ ,/ x +æ
ft(x2) -oo
"/ ,p'(x) +

f'(xù = -6, on en déduit que la fonction .,;Ê' ne s'an-
nule qu'une fois sur R, pour un réel .r3 appartenant à q
htT;+æ1.
A la calculatrice, onobtient .r3 = 4, 31.
2. D'après le tableau de variaüons précédent l'équation
On en déduit alors le tableau de variations de / :
g@) = Oa une solution et une seule o.
x -æ x3 +oo En utilisant la calculatrice, nous obtenons
0+ q(-1,28) <O et.p(-1,27) > 0 donc
f'{x)
+æ +æ -1,28<q<-L,27.
r 3. q(x) < 0 sur I - æ;q.let g(x) > 0 sur la;+æ[.
\" ./
f(xt ) PardeB
A Ia calculatrice, on obtient f (xe) = - I 56. -, (xe* + e'l(ex +l) - x&x e*qx
la fonction / s'annule en a appartenant à I -æ;.r3 [ et en (ex +l)z (ex +l)'
p appartenant à l.r3; +æ[. f/(x) est du signe de rp(x).
On en déduit que / est décroissante sur I - oo; ol
.r3 = 4,31 et /(0) = 4 on en iléduit que a e l0;.r3 [
tléquation /(x) = 0 rfadmet donc aucune solutionréelle et croissante sur ]o;+æ[.
négative. 2. Par définition de a : ed = -a - | d'où
a(-a - l)
f (a) = -:-----------:- = q+'1
EXERCICE 6I8 on en déduit alors que -0,28 < f @) < -o,27.
I
l. 1,=rxQÂ 3. Td'équatioîiy=rx.
D'après le théorème de lthalès dans le triangle ABC Etude de la position de e par rapport à T:
5tB
CHAPITRE6, CORP.IGÉS

re)-y=fu{]ro 2. a Pour tout nombre réel x, on a g@) -.f(-r) , I est


La courbe g est toujours au-dessus de T, l'image de I par une symétrie d,axe (Oy).
4. b. On vérifie que, pour tout nombre réel x, on a

x -æ ü +æ f(.r)+g(.r) = I.
I est f image de I par une syrnétrie de centre
f'@) 0+ C).

r '\ /i*
c. 7' est de cæfûcient directeur g,(0) =
d. C/ graphique précédent.
-/,(0) = i

f@t
EXERCICE 62I
5.
t n(t/@=qs,
2057 -46 x 45 + 13 = 0 donc lN est solution de
3 l'équation /(x) = 0.
2. a. f 0) =r-46 x E(l) + 13 = -32*0
T 1 n est pas solution de l'équation f(r) = 0.
b. Si.r < I
alors -46 x E(x) )0 donc/(x) > 13 > 0,
l'équation /(r) = 0 n'admet doncpas de solution.
3. a. Puisque E(.r) ( x alors -468(x) > -46x on en dé-
duit alors que pour tour rêel x, f(x) ) p(x).
I z 3
b. D'après la question précédente 0 < p(.r) < f(r) et
fG) * 0,l'équation n a donc pas de solution.
4. p(x) = 0 admet detx solutions \ - 23 - rÆfO et
EXERCTcE 620 xz=23+t/516

l. a. / définie et dérivable sur R. x -æ xl x2 +æ

1'e) = - (ex
,:---
Dx
< 0, / est donc strictement dj- f'{x) +0 0+
+ l.)z
croissante sur R. D'après la quesüon précédente,pour que x soit solu-
b. M et M' sont symétriques par rapport à O si et
tion, il faut que xr < x < x2
seulement si MA aMl 45 < x2 <46 on en déduit donc que x < 46.
=
on a alors x/ + x = 2xa et f (xt) f = + (x) 2yg.
rlll 5. a. On ax- I < E(.r), -468(x) < -46x + 46
c. f (xt')+ f (x)= ----
ex'+l ex+l = e-x+l ex+l
+ +
exl 1--t - et /(.r) < p(x) + 46.
- b. p(x) + 46 = (x - Q3 - '/-s7ol) (x - fzs + '/-+zol)
l+ex' ex+l-'
On a x1 < 2g - \m <23 + t/47O < xz.
Le point Cl de coordonnées (,' ;) est centre de s/- . Si 23- t/470 < x <23+ y'470 alors p(r) +46 < 0 er
métrie de g.
I /(r) < 0, .r ne peut pas être solution.
d. T de coeffrcient directeur /'(0)
4 . xr < x < 23 - \/ 47 O, d'après 2.a et 2.b, l'intervalle se
e.
réduit à I < x ( 23 -'/+m <2.
TI
On a alors E(t) = 1 et /(.r) = I -S3 soit
f G) <22 - 33 < 0, x n est donc pas solution.
o 44 <23+ r'470 < x, < xz, orr en déduit que si x est

-2 -1 I , solution alors 44 < x < 46.


T 6. a. D'après la quesüon précédente, E(x)
-1 = 44 ou
519
6.3. FONCT/ONS

E(x) = 45
b. Si E(x) = 44 alors x2 = tl6x 44- 13 = 2011 donc 4

a= t/zoll 3

SiE(r) = 45 alors I -- 46 x 45- 13 = 2057 donc


x =,/2osz.

622 :4 -3 -2 -r 1
ExERCIÇE
xf(a)- af(x) _ aT@)+hl
(a) - af (a+ h)
l.
x- a. h
xf(a) - af (x) Ï@+D- f @) EXERCICE 624
= f(a)- h
+h)- l(a) t. Soit.r et y deux nombres réels strictement inférieurs
OT = |t@)
h à1.
x1@)- alG) (x-1)(y-1)
o.ou
x-a
,m X- A
.=
f @) - alt(a). xy+l = x+y+(x-l)(y-l) >.r+y car >0

d'ottS<P+1.
I
2. a. Soit/(x) = -.f alorsl'(x) = 4* 2. f' G) = I + + > 0, / est donc strictement croissante.
f a- a3 x xf (a) - af r:.x)

x-a x-a 3. Si a ) t alors b ) c ) 1, ils sont alors supérieurs ou


x3a-a3x
alors lim 2,23 égatx àleur inverses ce qui contredit la condition im-
x-a X- A
b. Soit f (x) = cos x alors fr(r) = - sin x posée.
I
lim*
tx - 4 cosx t n'/5 et l'inégalité c >
4. Le sens de variation de /J--'-----o--'-
x-'! 26 -ab
x-! --f-

conduisentà c-1 <--ab


I I
cab
EXERCICE 623 lacondition a+ b+ c. I * I + 1 conduit à
abc
11I
l. .Six)oalorsf(x)=e' c--<-1=-A-b
cab
. Si x < 0 alors /(x) - (L .- Zx)ex 11 I
On a donc : + = - a- b > --: - ab.
.

2. Pourtout.r < 0, /'(r) = -(2x+ l)ex. abab


Mais si a 4-b <-L, en appliquant le premier résultat
3. . six > o,,rilà'JfP
f(x)-l
= eo = |
ex-l-2xex
==
I\+ préliminaire, on obtient
(ab+,,(à - r)
).ï-"-o=(a+b) (;-')
<
. Si x < 0, =,.1,Ià
l,ll
-- ,= lim -,ex x-l -2e4 etoa+t(\-r)=4-"a
.r-0 )
,= eo - =
-zeo -l S.it + - oA. \ - ab, ily a cottradiction
4. D'après la question précédente, les deux limites ne
doncb)-I.
5. Sib=t
sont pas égales, / riest «lonc pas dérivable en 0. , I 4, ce qui
l'inégalité de définition s'écrit c -
5. ;. à-
contredit / strictement croissante.
6. On souhaite trouver vérifiant simultanément
I
I
a(b(c,c)-;etc-
c
- !.!-o*!-y
x -oo 0 +æ c a b
2 La fonction/ étant strictement croissante' it revient
l'@) +t) +
au même de prouver qu'il existe un réel c 2 b tel qlue
+oo f--oa.r-1. fo -o*l-a,
r ab ,' ,o I I
\,,/ ouencore
à' "0.
b' A< - - a+ b- b
520
CIIAPITRE 6. CORRIGES

1-oa.D-jseréduit à(r+4)(t-at)<o h@) =sxz +2x+l et îz@) =6x+2


I
Linésalité o-ï.)-"* U-
b s'écrit ,f (01 = t, "fi (0) = t, fzq) =z
alorsp(r) =l+x+x2.
,?-i)-)-" b.

o,,(t-;).,(à- a)"
Po

e-4-4à
qui
ce
'r")=(à-*)( à.*-')
est strictement posiüf sur l0; U. 'i
2

7. Un triplet tel que a = 0,M b = c = 1,0911 vériâe


abc>L*:.i+! > o+b+,
", à=l,osoBe
i -1
la condiüon O rf vérifiée.
fi> "rrVas e
ExERcICE 625
Soit n le nombre de baisses successives de 0,06 €, qui
Il semble que ?g soit au-dessus de € lorsque x < 0 et

est aussi le nombre de billets supplémentaires.


au-dessous lorsque x ) 0.

Pour z billets supplémentaires: c.f(x) - P(i = Ë


. le prix du billet, en euro, est P(n) = 0,062
Ï(x) - p(x) < 0 e+ r < 0la conjecture est démon-
50 -
. le nombre de billets vendus est 300 + Tl trée.

o la recette est R(n) = (300 + n)p(n)


3. uf(x)=af +bx2+cx+d
= -0,06n2 + 32n + 15000.
p@) = aP + bP + ct + d + (taP +zbt + c) (r- r) +
(3at + b) (x - t)2
On étudie la fonction R sur [0;800]
Rt (x1 = -9,12" * 3, f @)-p(x) = a(é -s*t+sxP -F)= a@-t)3.
b. Pour (a,b,c,d, /) = (r,0, I,0,l) :
x 800
0 -3- 800 f@=f+x,p(x)=3*-2x+t
R'(r) +0 f @) - P(x) = x3 -3* +3.x - 1 = (x- l)3
c. . Pour a > 0 e est au-dessous de ?, pour.t < ,, au-
R
/"'\
15000 16000
dessus de ?1 poluJ x) t.
. Pour a < 0 € est au-dessus de ?1 pour _r < ,, au-
n est un entier et 266 < 800
< 262
dessous de ?1 pour x) t.
3
R(266) = 19266,64 et R(267) 19266,66.
=
Ia recette maximale est ,R(267), le prix du billet porrr EXERCTCE 627
cette recette est P(267) = 33,98 soit 34 €.
l. a. 16 d'équation y = -2x+5.
ExERCTcE 626 I
l.
b. Ta d'équation y = -a-
2
,).-ï a2 +5
On exécute TAY LOR(\,O,O,0,0) /(r) = .c
:
M{x,y) e TanTs si et seulement si
fi(ù =3*, 1z@) =6x, t =0, y= -2x+5
P(x) = 0
On exécute TAYLOR(1,0,1,0, l) : /(r) = # + x v = ()"-r),-tno, *s
1t@) = 3x2 + l, f2@) = 6x, t = | La résoluüon du système don n" * = et y = S - a
p(x)=2+4(x,- 1)+3(r- t)2 =3* -2x+1. ).o
c. T, est la droite qui passe par le pôint de contact,
2. On exécute TAYLOR(LJ,|,|,O). d'abscisse 4 et le point I, d'abscisse -)o upp*ru-
a.f(x)=é+x2+x+l nant à ls.
521
6.3. FONCTIONS

d. Partie B: On suppose ici que f(1) = 0.

L fel=/(1)/(l)-l x I = -1,
l lQ)=fQ)f(J)-2xt=-2
i3 f@=fG)1 J)-3x1=-3.
2. Ilsemble que/(z) = l- n.
3. Si n2 t, f(n) = f(n-1)f(1)-(n- t) x L = r- n.
0 Si n = 0,.f(0) = t = I -0, Iaformule est encorewai
d'oir, pourtout n € N, /(n) = 1 - n
4. l1c+ y) = t - (x + ÿ) = I - x - ÿ
ï G) f Q) - xy = (t - x)(r - y) - xY = t - x - ÿ
2. a. ft@)=f,--, æ zftix)=x-4 La propriété (È') est donc vérifiée.
æ x=,21t@)+4

b. ='nlrf ' r*, + +)z - z(27' {x) + 4) + 5 Partle C: Cas général


/(.r)
= (ft1fl)z + | l. a. f(2)= a2 -I
? a pour équation y - * .+ l. f - l)a-2 = a3 - a-2.
(3) = (az
b. l@= l@îQ)-2x2= a4 -2a2 -3
d'autre part /(a) = f(3)/(1) - 3x I = a4 -
-2a-3 az
c. on a donc a4 -2a3 -3 = a4 -a2 -2a-3 soit
a(2 - a) = 0 d'où a = 0 ou a = 2.
2. On suppose ici que
3 \ /(1) = 2.
D'après Ia question précédente
ÿ' :

t\*-.r /
fQ)=3, f $)=4, f(ù=s
T, Il semble n+l
qrue 1(n) =
\,/ f (n+l)= f (l)f(n)-lxn=zf(n)-n
0 ) 7 f (n+2) = f (l)f (n+ 1) - 1x (n+ 1)
=z(zf(n)-n)-n-r
= 4l@) -3n-I
ExERCTcE 628
D'autrepart /(n+2) = f (2)f (n) -2n =3f @)
-n
Préliminalre onadonc4/(n)-3n-1 =3f @)-n d'ott/(n) = n+l
Sia = y = 0 alors /(0) = f2@) ce qui implique que On montre alors que / vérifie Ia propriété (E).
,f(0)=0ou/(0)=l
Si /(0) = 0 alors pour tout r € lN, I @) = f U) f (0) - 0=0
ExERCICE 629
/ est alors la fonction nulle. En prenant m = 0, on obtient f (n) = f (f Ol) +/ (f(0))
On a alors/(1+1) =/(1)/(1)-1 x I donc0 = -l ce qui Enprenantm= 1,onobtieilf{z+D= f (f@)+f (l{.].))
est impossible donc/(n+ t) - l@) = /(/(l)) -/(ffoll = constante
donc /(0) = 1.
/ est une fonction affine, iI existe donc a et b entiers tels
Partle A : On suppose ici que f(l) = 3. que pour tout n e lN, /(n) = an + b
L. ftU=/(1)/(1)-1xI=8 IJéquaüon deüent alors :

1@) = fQ)1(J)-2xr =22. a(m + n) + b = a(am + b) + b + a(an + b) + b


2. I f+l = î Q) I (2) - 2 x 2 = 64 -4 = 60 Pour rn = 0et z= I onobtienta = a2 +Zab+b
d'autre partf(a) = /(3)/(l) -3 x 1 = 66-3 = 63. Pour m= n = 0 on obtient2ab + b = 0
Il y a contradiction donc r;i / existe alors /(1) I 3 On obtientalors a = 0 et b = 0 ou a = | et b = O
522 CIIAPITHEq. CORRIGES

Les fonction solutions sont donc la fonction nulle r t la . -'{u.^o,,}


fonction identité.
s,(,) = -r
#æ =
g/(x) est du signede -2* +Ax-l
EXBRCICE 630
JC 0 ,ll
2 J2z
,.-(à)'.(i) 25
t44 (;)' 1'w) 0+
115 ,\ +oo
et-+-+-
34L2 donc (*
i) r €
r
a -1./
b.1rll'*(l'l'= " -fyi=)'
"'t+/'(o/ -r++-l,r/ Il existe 4 couples d'ordonnée / appartenant à g si et
- t. y. ï.
"i.à .ffr,a"""(|,|)*r
seulement si,/2

/13\2 tt\2 t tz\2 63I


-tal =a=t;J
".l.3oJ
EXERCICE

l.
",f à.?=,0"," (f
* a.
,
|).r I cln
u en km.h-l ,enm.s' d.neîm
2. u b et a étartt les mesures de deux côtés d'un trial gle ;z
50 13,9 L2,t 0,0627
rectangle de périmètre I, si(a,b) appartient à I alors
90 24,93 39,1 0,0629
(b, a) appartient aussi à ÿ.
100 27,7 48,3 0,0629
b. Si ABC est un triangle rectangle en C, de périmirtre
130 36,01 BT 0,0625
1, alors AC + BC > AB donc | > zBC d'ol a.A < 1.
t50 41,55 108,4 0,0628
tihlpothénuse étant le plus grand côté, tes -"rrr3. t70 47,O9 139,9 0,0631
des trois côtés sont donc inférieures à l.
2
3. a. c l- a-b et ê = a2 +t
= donc (l- a-b)2 = a2 t t b.C=0,06à10-2près.
d'oùl-2a-2b-2ab =O 2. Si lavitesse est exprimée en m.s- 1,
en une seconde le
Ainsipuisqueal I onobtient b= conducteur parcourt une distance de u mètres d'où
2(I- a)
l-2o dR= u
b.c=l -a-b=I-o-
Z(r-a)= 2(1 '-a) -o.
-]:3!-. Si la ütesse est exprimée en km.h-I, en une heure,
I lt
4. . x elo;, donc/(-r) >o soit 3600 secondes, le conducteur parcourt u kilo-
I
mètres, soit 1000u mètres.
2x2 -2x+l x2 +(x-llz
- dt-\- -_________l______ -n

. x+f@)+g(x)=I
Z(x-l) z(x-l) En une seconde, il parcourt donc
I000u l0u
dp-_-_=0,277u.
" 3600 36
, .\2 x'-
. (g(x)J' o X I , i-+x+l
=
r_x* all_*rz = * * nii,, 3. l=0,8 x4,5+0,2 x 12 =6m
4. a.l-e débit, exprimé en nombre de véhicules par se-
= * +(r@ù2
conde, est lié à la ütesse et à la distance totale (lon-
x, f (x) et g(r) sont Ies mesures des trois côtés d'un
gueur du véhicule + distance de réaction + distance
triangle rectangle de périmètre 1, ainsi (r,"f(x)) et
d'arrêt)
(r,Strl) appartiennent à 5.
D x (L+ dp+ da) =3699,
5. Il existe 4 couples d'ordonnée y appartenant à 5 sl et 3600u
! soit D(u) -
seulement si m < v <
'2 uu"" *minimum de la fo:rc- o,o6u2 + u +6
tion g, représentée par l'arc reliant les points (0 ; 0, S) 216(100- u2)
et (0,5 ; 0,5). Vx e
tl0; ; r_[
b. D'1x1=
(o,oavz+v+6)2
t 2I'
6.3. FONCTIONS 523

u 0 10 +æ EXERCICE 633
D'(u) +0 PartieA
1636,6
l. Ir - I0 x 1,02+500 = 5000 x 1,02+500 = 5600;
D
12 = 11 x 1,02 + 500 = 5600 x 1'02 + 500 = 6212;
o/'\. 13= 12x 1,02+500 =6212x 1,02+500 =6836,24.
c. La vitesse maximale pour laquelle le débit est 2. Ajouter chaque année 2ÿo d'intérêts c'est multiplier
maximale est 10 m.s-l soit 36 km.h-l, le débit sera le capital par 1,02 et comme on rajoute chaque dé-
alors de 1636 véhicules par heure. but d'année 500 €, on a bien In+t = l,02ln + 5OO.

5. Le débit maximal est de 3900 véhicules par heure, sur 3. Kn = 1, +25000, donc
3 voies, soit 1300 véhicules par voie. Kn+t= I2,'1 +25000 =l'021n +500+25000
On résout I'équation: = l,O2In + 25500.

D(u) = 1300 soItTBu2 - 2!t00u + 7800 = 0 Or 25500 = 25000 x I,02, donc


cette équation admet deux solutions ut = 25,577 et Kn+t = l,02ln + O,02 x 25000 = 1,02 (12 + 25000)
1,
uz = 3,910, exprimées en rm.s- soit 92,077 et14,072 = l,O2Kn.
en km.h-l. Cette égalité montre que la suite (Kn) est géomé-
On peut donc conseiller ume vitesse de 90 km.h-r. trique de raison I,02 et de premier terme
Ko=Io+25000=30000.
EXERCICE 632 4. Pourtoutn€f\1, Kn =KOxl,OZn =30000x1,02n.
Or K4 - 1z + 25000 donc
r. ,ftx) =(x-2014)2 +2015. In= Kn-25O00 = 30000 xl,02n -25000.
2. Par lecture du tableau de variations: 5. Comme 1,02 > I, on sait que ,!ip_r,OZ' = +æ et
a>o, c= f (q > lQOl4) == 2015 donc c > 0 parconséquent lim lr=a6e.
h n-+æ
-= =2014 donc b= -4028a<0.
2a,
3. |Q) = u2x4 +2uux3 +(uiz +zuw)* +zuwx+ w2 n-o
i s000
On en déduit que a = u2 ; b = 2uvi c = u2 + 2uwi -
Tantquei<20000
d=2uwere=w2. n+n+l
ulOdonca>O i_I,02xi+500
e=f(O>2015donce>0 Fin duTant que
V.r e R, f G) > 2Ol5 > 0, le trinôme p(x) garde un Affcher 2016 + z
sigrre constant sur R
læ solde 20470 € sera supérieur à 20000 euros au
Soit ) l20l5pow toutréel .r
p(r)
bout de 2l années, soit en 2037.
Soit p(x) ( -tÆ015 pour tout réel x
Dans les detx cas, l'extremum de p est atteint pour ParüeB
x= 2014. On en déduit alors que 30-16
-!ZU = 201+, u et l. f(r)=_=_. t4
r,l sont non nuls et de signe contraires. Ainsi zu < 0 t5-2 13

doncb=2uu<0. On peut écrire puisque.x I 0, f(*) =


30- f
p est de signe constant donc son discriminant est ts-1
strictement négatif, soit u2 -4uw < 0. Ceci s'écrit en- que lim -19 fim 3
on sait - .r-+æ x = x-+æ x = o, donc
u2 30
core uw ) -=
4
) 0, u et w sont donc de même signe lim
r-+æ f(.r)=i=2.
15
ot u et w sont de signes «:ontraires donc u et Irl sont Ceci montre que la courbe e admet au voisinage de
également de signes contraires. plus l'inflni une asymptote horizontale d'équation
On a donc d = 2uw <O et d = uz +Zuw > 0. ÿ =2.
524 CIIAPITREi. CORP.I:GES

2. Comme x ) l, t1x -2> 13 > 0 : lafonction f est é l,unun-l2un-I,un-20


donc dérivable sur [l ; +æ[ et on a: ê ttn(15- lSuz) = 20 - llun
et enfin pour un I l,
.,,_. _ 30(l5x-2) - f5(30.r- l6) -60+240 5 n
20- 12x (-:).
. _-- (t5x-2)z (t5x-U2
un=-= - lZu,
20 I
180 " 15-llun
'f'(-r)=-(l5x-2)z (:)( ;)
15-15x
3. La dérivée est positive quel que soit le réel r, la fo nc- 5 n
tion / est donc croissanre de f tt1 = Y 1r. 20 + 20
9
4+4
;)' 4x5n +4xgn
l3 =
5 x 5r, +3 x 9n
Partie C 15 + 25 (;) ,. r (;)'
l. Soit neNtelque 1 ( un {2. EXERCICE 634
On a unal = f @ù. Or on a vu dans la partie B «1ue
pour.r > l, alors I ( /(x) ( 2, donc I < un+r < 2.
l. / est strictement décroissante sur [0;+æ[.
2.
2. a. Comme I ( zn ( 2,
x 0 +æ
15 ( l5a2 ( 30 et 3 ( 15un - f2 < 18, Ie dénomlra-
teur est donc non nul, u, existe quel que soit le na tu- f'(x) 0

rel n.
I
b.Onauo=l,uL=f@d=
t4 r \
-et
l3 0
30x]{-16
u2= ,f fu1) = -----+- = T _ztz _ss n-l n

lsr l3__2 # 184 46 3. A=-nI T e_1n=-xnI e-i -l


I
l5un-20 -5 5 P=O e -; -l
"v-l5u4-12 3 3' r, _I
. n
T4 --e --l +-
n o-i -t
,. llut -20 15 x - -20 -ff -_ro.
u, =
lsur-lz= ,urro iâ sz' t^ 1r-l =o
13
-u= n-+æ n
_1
53 o=-I e^-l
li-' 11-
l5u2 -20 l5x -20
-46_ -# -_ns n-+æ _l = X.-0
n
X =eo=1
lïuz-Lz l5x H 53 243 On en déduit alors A = l.
-46 -12
tsun+r-20 rcffiff -zo EXERCICE 635
u,a' unal = =
tsur*, - o W _ rz l.
l5(30un - 16) -2O(ISun -2)
l5(3Ùun - 16) - I2(LSun -2) 4
450un -240 -300un + 40
u:n+ 1
450un -240-lglun +24 3
75un-100 5(l5un-2O)
135a2 - 108 9(l5un-12)
_115u"-20 =5_r,..
915u2-12 9'"
5
Légalité un+t = ;u2 montre que la suite (I,,n) est
U

géométrique de premier term" -f39"t O" ruiron f . 3-2-l t2


5 /5\n 2. T1 d'êquation y - em (x
- m) + em
c.vneN, un=-i.tO,| .
T2 d'équation y = -e-m (x - m) + e-m
-
d.u-=
lSun-20
" lSun-12 3. riWl , fltml = -1 donc T1 etÿ2 sont perpendicu-
ê t)n (liun - 12) = t5tt, - r, laires.
6.3. FONCTIONS 525

4. læs coordonnées de P vériÊent les équations de T1 et Vn>O, bn = an-tt an-Z+ "'+ aa + bg.
n-l n(n- l)
T2. bn= LQ+Zp)+l=n+2 ?
+l=nz +1.
Labscisse de P vérifie: k=o

em (x - m) + em = -e-m (x' m) + e- m soil


S. /(n)(r) =(* +l+zn)x+n2 +l)ex
-e-fr
x=fn- en+dtn
em
ExERCICE 637
alors y = -r* (ffi',1+ "* = r:- l. . Sixe t-I;0t, /(r) = -sinzrx,
e-m f'(x) = -rcosnx
5. a-I m;em +z-
b. Voir x -1 0

a. *fr lttx) +0 -lt


I
I \
,t/ 0
1.
)' . Si x e [0;1[, /(r) = 0
Les dérivées à droite et à gauche de 0 ne sont pÉrs

c. læ coetâcient de la droite (1P) est égal à égales, / n est donc pas dérivable en 0.
(em - s'm +e-m em _e-m
em . x e [1;2[, sinzx
Si /(x) =
2(em + e-m) em - e-m 2
d'autre part la tangente enI à f est de coefficient di-
. f'(x) = ncosnx
li{mt +fJwt t?m + e-n x I 31
recteur
2 2
Ia droite (1P) est donc tarrgente en f à f f'(x) -lt 0+tr

ExERcICE 636 I '\./'


-l
1. a" /(r) =(* +tx+z)ex
7{z) =1*z+5x+5)ex. læs dérivées à droite et à gauche de 1 ne sont pas
b. 1tr)1v; = (*
+ ap + br) e' avec ar =3 et br =2 égales, / n est donc pas dérivable en 1.

7(z) 1x1 = (x2 + a2x + b2) ex, avec a2 = S et bz - 5.


.Six=2, f(2)=2sinZn=0
2. 1@+1) @) = (xz + (an +2).r + (an + bn) ex
,
= (*
+ analx+bn+t)ex
àYêC anql = an*2 elbnal = An+ bn.
3. an+t = anl2,lasuite (4n) est une suite arithmétique
de raison 2 et de premier terme a1 = J 1

on en déduit alors
-l
an= ar+(n-l)r =3+2(n-l) =l+2n.
4. bn - a.n-1't bn-y
bn-t = an-z+ bn-z EXERCICE 638
bn-Z = an-3'l bn-3 PourtoutreR, e'>0donc
ex+me-x -I <-
"2x-"x+m=0(E)
On pose X = ex,l'équation s'écrit x2 -x +m=o (Ex)
bs= az+bz
L=l-4m
Lrz= at+bt I
. si nt > :, A < 0l'équation n a pas de solution réelle;
bt = ao+ bo 4'
I
Par sommation de toutes les lignes, on obtient . si m = O= ,, l'équation (Ex) admet une unique so-
i,
526 CIIAPITRE 6. CORRIGES

lution X = II ) 0,I'équation -l -> --Z-


p-120 -l
(.E) admet une unique srllu- '
E(p) < <

tionx=rn(|); D D-lzO
I
p-120 p-t2O
. si m < -, A > 0, l'équation (-E1) admet deux solutions
p+o-I2O
4"-n
p -120
-. l- lT-4m erXz=-1-
li=- -- l+ Jr-4m
2 ë' 2o - l2O <0
xz>o p_r20
X1 >0<- O<l-4m<l<- O.*.!
r4
Si 0 < m < :,
x 30 60 119
(E) l'équation admet deux solutions

rt =ln (:?)",=^(!:P)
Sim( 0, l'équation (.E.) admer une unique
2p - 120
p -120
+

solution
xz
(t+ lT-+m\ 2p-t20
=ln +
\zï p-r20
EXERCIcE 639 l,a demande est donc élastique pour p entier entre 6I
l. a. B(7 ; 5) = -0,05 x72 -O,Osx52 +0,6 x7 +O,Z xs et I 19.

= 4,2 + 3,5 - 2,45 - l,2S = 4


3. On a vu que E(p) = -t pour p = 60; on peut alors
soit 4 milliers d'euros. calculer la recette mensuelle maximale :

b. B(fO ; 0) = -0,05 x 102 +0,6x 10 R(60) =60x/(60) =60(2400-20x60) -60x 1200


=6-5 = I
soit I millier d'euro. =72000.
2. a On voit que pour dépasser z = 3, ilfautque 4. R(p) = p 1@) donc.R(p) = p(2400 -zop)
"
2(y(4. Soit r la fonction définie sur [30 ; f19] par

b. Il faut produire 3 ou 4 moteurs F.


r(x) - x(240O-20x).
3. aSi/=r,alors Les variations de la fonction r vont donner celles de
B(x; y)=B(x; x)=-0,05* -0,081 +o,6x+0,7x la suite (R(p)).
r (x) = 2499, - 20xz donc rt (x) = 24oo - 4ox
= l,3x-0,I31.
b. Cette production est un trinôme du second de pé =40(60-x)
dont le maximum est obtenu pour x 30 60 119
i=__b t,3 10
+0
2a 2x(-0,13)=_=5.
2
rt oc)
Ce bénéfice maximal est donc égal à
B(5 ; 5) = 1,3 x 5-0,13 x 52 = 6,5-3,25 =3,25, r
soit 3 250 €. \
On peut donc en déduire que Ia suite (.R(p)) admet
ExERCICE 640
un maximum pour p = 60.
PardeA: Recette et élasticité
Partie B: Etude d'un cas parüculier
l. Sila fonction/ estdéfinie sur [30 ; 119] par
l$) =240o-zor, alors /'(x) = -20 donc l. a. l-a fonction / est dérivable sur [1 ; +æ[
ElDl=D f'(p) -2o f'(x) =2x e-o,sx + (2r+ 10) x (-0,S)e-0,5x
' =rrx-
' r@) 24oo-2op
= (-x -31s-05x
=-zoP-P
-20(-L2O+p) p-t2O' Pour tout x, s-o'Sx > 0 donc le signe de /'(x) est le
2. On résout l'inéquation E( p') < -1, pour p entier co m- même que celui de -r - 3.
pris entre 30 et I 19 : La fonction / est strictement décroissante sur
527
6.3. FONCTIONS

[1;+ooI .-1<E(x) 43 -l . ,*'-?:


2x+ l0
zx+Io -i -tx
b. En utilisant la callculatrice, on obtient :
:' - -zx+l01---=-2x+10
U\

lim /(x) = 0.
f-+æ
<- 0< -i -x+lo 2x+ l0
ôe rèÀultat est cohérent car si le prix de vente r aug- Sur [1 ; +oo[, 2x + I0 > 0 donc
mente indéûniment, le nr:mbre de produits achetés -1 <E(r) ê -*-r+ l0>0donc
va diminuer jusqu'à tendre vers 0.
I ./11 I
-t
,e ;
ff d'anrèsla question B l.c.
It [
c. R(r) = 1ç x f (x) - 1ç x (2:c +10)e-0'5'r .2x+10>0doncE(x) <0 € -* -Sx<O
= 12xz + l0x;e-0,5'r donc . 2x+10> 0 donc E(x) < 0 <- -x(x+3) < 0 ce qui
R'(x; = (-x2 - x+ 10)s-o'5x est touiours wai si x ) 1.

Pour tout.r É R, e-0'5' > 0 donc Â'(x) est du signe de v =r-t I


-/11
peu élastique
3 = 2,70 donc la demande est
-x2 - x+I0. pou"r .r compris entre I et2,7 donc pour un prix de
Le polynôme p (i = -* -x+10 admet deuxracines: vente compris entre 100 € et27ï €.
*, ='
*--f x t ---f
= r,ro.
-3,20 < o et x2 = Partie C: Etude théorique
On en déduit le signe de rR'(x) :
l. la fonction définie sur [0;+æ[ par T(x) = xn
Soit /
+æ otr n e l\l*
x -oo xl 1 xz
p(x) + + l'G) = nxn'] donc E/x) = -" n donc
ft'(x) +
+=
l'élasticité est constante.
2. Règlesopératoires
On déduit que la fonction  admet un maximum (Lf)t(x)*" lf'(x)
poür r = x2 doncpour un prix de vente de xz ceî- u El,y@)= x, =
TinG) Lf @)
taines d'euros soit enüron 270 euros.
2. a.Pour.r>l,ona =*,t#=Er@).
'"
.f'(x)-- (-x-3;s-o's' -* -zx
E\ti=&^-:---:-=l^-- b.Ey,g(x) =r*ffi=*, |t(x)g(x)+1G)gt(x)
(2:c+10)e-o'sx zx+l}'
f?l l@)g(x)
b. Lorsque le prix passe rCe 1000 € à 1010 €, il aug- ft(x)g(x) 1@)g'(x)
=Xx +.tr x
mente de 1%. 1G)sG) f@)sG)
Une valeur approchée du taux de variation de la de- f'u) g'{x)
mande lorsque le prix paLsse de 1000 € à 1010 € est =xx-+xx g(x)
f@)
donc E(10) -100-30 -130
-4,33.
E1"g@)=ET@)+Eg(x)
20+ 10 30 = l'@44 J!ùs:\x)
-xz -3x (*)'o, (g(x))2
<- -;----r:-
c. E(x) = -3, 15 15 c.E1(x)=xx
2x+lO = -3,
æ .-x2 -3x = -6,3x-31,5
c (r,)o,=" î(x)
g(x)
t$)g(x)
.. f -f @)g' @) .. g(x)
a .-*2 +3,3x+31,5 = 0 ='^
_ ..
GGÿ ^ flr)
A = 3,32-4x (-l) x3t,s = 136,89 = 11,72; donc
l'équation admet deux solutions : ='^ ft(x)g@)-f(x)gt(x)
/trttrrl
- J-3.3+11.7 -3.3-I1.7
= -4,2 t:t xc" = ---:--------- =7,5. f'G)s,(x)
-tr =
2(-r)
Pour un prix de vente du produit de 750 €, l'élasticité
2(-r) =" -x* f
(x)s,t (x\

JÊ(r)g(r) l1)c,@)
est de -3,15. ft(x) s'@)
=Xx- -jf x
l@) s(x)
-
d. On résoutles inéquations -1 < E(x) < 0 surl'inter- = Ef @) - Es(x)
valle [1 ; +oo[. 3. Soit / ta fonction définie sur l0 ; +oo[ par / (x) = ex, et
528
CTIAPITREï. CORRIGES

g la fonction déflnie sur l0 ; +æ[ par g(r) I


2017 f (x)
= ;d rnc 3. u.u =-2+l=-1
hlx) = ----:--:--. On a alors
glx) 4. u.u I
E6@) Ezotzl $) = Ezovl(x)
= - Eg(x) d'après 2.c. 5. u.u =3-2= I
= El@) - Eg(x) d'après âa
6. u.u =3+10=13
= x - 2 d'après l.a. et l.b.
EXERCICE 645
u
l. u .u =2-3a=0 a=1
- 3
2. u.u =-aiIO -Q a-10
-
6.4 Géométrie 3. u.u =a+12=0 a=-t/2
-
4. u.u =-I+a2 =S:a a=lotJa=-l
EXERCICE 64I
On projette 7 sur la droite de vecteur directeur 7 5. u.v =-a+5-0 =+ a=5
L i.; =2xt=2 6. u.v =a-15=Q 3 4=l§
2. u.u =2x(-2)=-4 ExERcrcE 646
3. u.u =2 x0 =O t. 7ts;rl et; e6;-2)
4. u -u =3 x2 =6 z. î rz;t) et ; (-6;-3)
5. u.u =3x3=9 e. 7to;tt eti (oi-z)
6. u.u =lx(-l)=-1 +. î o;zl et r(o;t)
5. u lt/z;t/3)etw la;t/6)
ExERCIcE 642
6. ;(5;/s:)et;(y'sr)
I. AB AC =ABxAB=4
2. AB AD =ABxO=O EXERCTcE 647
3. AB C6=-eaxAB=-4 fr e;-a) et ôE' (-3; er' . cr'
I -l) ains = -6 + 6 = 0
4. DA OD =-DAx-DA=-Z
) I€s vecteurs d CÉ sont orthogonarx, le triangle
"t
5. OB.OC =Q ABC est donc rectangle en B.
6. OB.OD =-OBxOB=-2
EXERGICE 648
ExERCICE 643 1Ë e;u,Ed es;al et Ad (-1;s)
É-Bd =-rc,fr.É =I =25etBd .fr
l. AB CD =-ABxAB=-25 Aucun produit scalaire nest nul, Ie triangle ÂBC n'est
2. AC od =oC xDC=25 donc pas rectangle.
3. AB fr=o
17 ExEncrcE 649
4. OA OC =-OAxOA=--2
L.;.; =fiull xllull xcosa=-l
5. OB.BD I
= -OB x 2OB = -17 2. lt.u =-
l9 2
6. AD.AO = ADx -AD=
22 - 3. î.ï =-+
I
4. u-u =-)
ExERcrcE 644
s. i-i =+'/a
L. u.u -2xl+3x7=23 e. î.ï =o
2. u-u = -0,5+6 = 5,5
529
6.4. GÉ,OMETRIE

EXERCICE 654
650
EXERCICE

;.; I lt ll;.rll'= (7 *7) (;.;)


l' coso=
rurrrù=,
d'oùa=+
5 =u2+u2+zï.i
2. cosa=1d'oùro=0. 2n
16'6ia=+ d,où 7.7 = (ll; .; ll' -ll; ll' - ll;ll')
3. cosa- = 2 T i
4. coso
rt d'où d = t;,t EXENCICE 655
2
l. Soit / le milieu du segment [ABl on a alors Ai =
65I
l+
ExERCICE IB = -AB.
2
n.n =l7U,|l7||xcosa=o Mî Mî =lMî *iî)'lui *iÈ)tr=MIz+Mî'
(llull =0oullzll =0oucrcsc=0)
- 't--
(; =d oui = o'o, d'=r:\ (r7.rd) *1î'1Ë
-Réciproquement: 2, = MIz - AI2.
. tout vecteur est orthogonal au vecteur nul donc si z
Ainsiffi.uË =o e MI=AI.
M appartient donc au cercle de diamètre [AB].
ou u estnulalors u 'u =0
. si 7 et 7 sont orthogonarx (non nuls) alors cosa = 0 z. uî. @- x ; s - y) et tvtË (-3-x ; s- Y)
cequiimpliqu.l'ï =o.
Mî. MË = e - x)(-3 - x) + (5- y)(3 - y)
=*+*+ÿ-By+9
EXERCIcE 652 I +x+ÿ
d'otr l'équation du cercle - 8/ = -9
L. AB2=(;d.rd) (7d-rd) EXEBCICE 656
- -2AC x BCcosô.
ACz + BCz
2. Si ABC est rectangle en C alors cosô = 0, nous re- L BÂe;z't,fr {+; -t)
trouvons le théorème de Pythagore. BC=y'16+9=5etBA.BC =2.
s. ABz = t3-6y'5d'oir AB = t/;s-6æ. z. a" aî .Ed = BÉ .Ed car II est le projeté orthogonal
4. AC2 = ABz + BC2 -2AB xBC x cos8= 2l de â sur (8C).
b.Ei.Bd > 0 donc II appartient-ilau segment [BC]

5. = !f d'oùâ=sz,gI'
Eî.Bd===0,4
C.BH= :
z
BC5
CH=BC-BH=4,6.
EXERCICE 653
ExERCICE 657
t. MAz + MBz =(Mî * IA')' *(r"ri *1Ë)'
=2Mr2 +z-iÿrî .(1î. + rË)* rez +I 82
ra
\/ +fr\'
L lAÉ -\2 = ABz +2fr .fr + et
*)en, = AB2 + AD2 +2AB x ADxcosÉZ-l_
=2Mr2
2. Mî.uÈ =(*i .1Â) (*î .1È) =61

-2fr .fr tt
t-
=MIz +Mi (la'.É) *1î.1Ë EÉ
\/ -Tf -t2
Y = enz +

= 14P -!nsz = AB2 + At -2AB x ADxcosÉI.l-


4
3. D'après l. MAz + MB2 ,= l0 <- MIz = l,I1 est le =21.
cercle de centre I et de rayon 1. 2. D'après Ia propriété du parallélogramme
4. D'après 2.Mî. .UË = A æ MI2 = 12, fz est le rt =fr+fr
cercle de centre l et de riryon2JS. d'où ÂC = y'6î
5. Mî.ttË =a æ MIZ=a+4 d'après la relation de Chasles
MeIl si a+4=l donc,z=-3. BD =BA+AD =_IAB _ADI.
t/
530
CHAPITREî. CORRIGES

3.
d'où BD = tEt.
En utilisant la relation d,Al-Kashi
s. ;.; =g j)1 u u u

BCZ = AB2 + AC2


=u.u_u u car u estunitaire
-ZAB x,AC x cos6lè
enz + ec2 - aCr =0doncil est orthogonalà;
d'où cosFlè =
2AB x AC = l!-
2\/6t
ÉÈ =33,67". ExERcICE 66I
t. .1Ë.æ =(rt -iË) (7i.Ë)
ExERCICE 658
= Ar2 + Ai .(7F. nd) *iË .id
(sî *zi).(-zï *sî)=-6u2 +6uz +s; .; r- '-BC
r-_
1É.É=eP+eî.1 -cB
t+
= -6a+6b+Sc .
AI" _
I ^+
= uz +rcï .î
=
2. lu+su)
-t2 +zsuz = a+2ilb+llc iBC.
eÉ =(rt +rÉ) (a-i.n')
r (zi -';) ( -u +u
+\

)= -Zu'+7u
.u' -5u2
AB2 = AI2 +ztî .7Ë + IB2
= -2a-Sb+7c
=aP+ziÂ.rË *rrac2
+. (zî *ï)' *(zî -i)'z =Bu2 +2u2 =Ba+zb
Demême ACz = AI2 +27î.1d *lacz
4
ExERCICE 659 de plus -id a'ot
rÈ' =

ll;.;ll' =(; .;) (; .;) = u2 + u2 +2; .; . AB2 + AC2 =2ap *l gçz


)
.
ll;-;ll' =F -;) (; -;)=u2+u2-2;.; AB2 - AC2 --21Â.Ed
On en déduit alors que:
-,
2. D'après la question précédente
l. ; *;ll'* u-u =z(u2 + u2). eP =lenz *!tc,
; .;ll'- u-u 2 -- 2 2 -LnC,
4-- =794
2. =4u.u.
d'oùAI=fr.
2
ExERCIcE 660
Soit / le milieu de [âC]

Soit ;{BCD un parallélogramme tel que 7 =É


aî =f,n,* *f,ac'-ïor, =l
"t
; =1r a'ot U=f
r. supposons q* ll;ll = llTll a-' ABCD est un lr- Soit K le milieu de [AB]
çyz =Lç1rz *!ca, -!en,
sange, ces diagonales sont perpendiculaires or
2244 =1o6
AC =AB +AD =u +u etDB =AB -AD =u, -t) d'oùr CK= rÆ6
d"".ll;ll= llTll
- î +i ti -i
Réciproquement: ExERcICE 662
i *ï t; -; - (;.;).(7-7)=o ,. (rr''g)= (7; ô7) -(î ; oË)=,-a
uP-t2-t - a car OA= OB = l.
- OB . OA = cosb

2. Si7 et 7
- ll;ll= ll;ll
sont orthogonaux alors ABCD est un rec-
2. A(cosa;
d'ou ôr'.ô-
sin a) et B (cos b ; sin b)
= cosacosb+ sinasinb.
tangle donc ses diagonales ont même longueur soiI 3. D'après les detx expressions obtenues :

ll;.711= ll7-;ll cos(a- b) = cosacosb+sinasinb.


Réciproquement si
ll;. ;
ll = ll; -
7
ll "r*'
4. cos(a + b) = cos(a - (-b))
AC = BD, le parallélogramme ABCD est donc tm = cos a cos (-b) + sin asin (-b)
rectangle , on en déduit que ses côtés sont perperr- = cos acos b - sin asin b.
don.î .tî s. a-
"ot(f -r) =.ir,,
diculaires sont orthogonarDL d'où enposant x = b
531
6.4. GÉ,OMÉTRIE

vectlJ = Ui + tn + Ml + IC -zMI -ZI A


- b) = ç6s ( (i.u)-,).
sin (a
= AA'
6. sin(a-b) =cos { * u).o,ro*"in(f,+ a)sina V = MB+MC'MA
-bcos
= -sln a + cos bsin a
=MI -IA
= sinacos b - sin bcos a' MI + IA' -- MA'
=
7. sin(a+ b) = sin(a- (-b))
= sinacos (-b) + sin (-b) cosa
2. t.î =Q .c- îfr .uî =o
= sinacosb-sinbcosa à la droite perpendiculaire à (AA') pas-
M appartient
sant Par A'.
EXERCICE 663
t. ildil = ||7ll
:
MA' = AA'.
r. HÉ d =("1.7r-')'li,ttî +rt) jrz uirpuli"irtu" cercle de centre At etderuyon A'4 '
=ie2 * nÂ''jtË * aî 'fr *1Ë 'É
HB.HC =HAz+AB'AC EXERCICE 666
cai (AH)I(AB) et (AH)I(ÂC)
l.
2. D'après le théorème de PYthagore
HB = t/zooo =2ot/E et 11'ç =
'/2129. A
HÉ .HC - HBxHCxcos-BHi =2ot/ll645cosBIIC C

D'autre part ffi ' Hd = i2lao


- D

on en déduit alors cosETie = 20\/11645


"no, ,= ct

ainsi EEc- = 7,45' à 1o-2 près.


E

ExERcICE 664 2. On remarqueqte ÆD = 45'et -Â3è = 115'.


Si / Ie milieu de [,4.B] On applique la relation des sinus dans le triangle
Mî.Mî=Leptÿ-leez=1
4 ADE
AD Æ d,oiraE= A?tit5o
e MIz = 1*214 sin45= sin50 sin45
=0,s42
On àpplique la relation des sinus dans Ie triangle

t. . h= -9 : MIz= -T, t-, estvide. ABC


AB oc d,otru_ACsin2s=0,466
. L = -4 : MIz =f , f-l,rrt t" cercle de centre I et de sin25= sin ll5 sin ll5

3 1
3. ,4enc = )en, AC x sin40 = 0, 1498 m2
ravon
'2 - I
. L = O : MI| =?,fg Aa»z =
est le cercle de centre 1 et de
,eO, ensineS = 0, 1350 m2.
5 4. Voirgraphique
ravon
'2 -. 5. S = 2 x (Aasç + Anpr) = 0,5696 soit0,57 m2.
. L = B : *r' = est le cercle de centre / et de
T,Is
raYon
/80 EXERCICE 667
, .

l.
2. ABC étariun triangle équilatéral, on u tCz =T C

d'autre part C appartient à f1 d'otr l. = =


i i
EXERCICE 665
A B
l. U =MB +MC -2MA
532
CHAPITREï. CORRIGES

2. En utilisanLla relalion d,Al-Kashi


point 1. Par hyporhèse M I A,le point M est donc le
BCz+ACz_ABZ
cosô= second point d'intersection.
2BC x AC
d'oir ACB = 100,29" à l0-2. 2. Par construcüon, le triangle ÂMB est rect ang)e en M,
3. S= lsinôx /C x BC=330,6 cm2 à l0-1. le point M est donc le pied de la hauteur issue
de A
+. s = ,/B d'où ,r = dans le triangle ÂBC.
)cu #= t6,5 cm à lo-2 p .ès.
5. sinETè=
ff,a,"t tÈ=43,5.àlo-r. EXERCICE 672

6. eÈÀ= 180-I00,3-43,5 =36,2. l. 11 est le cercle de diamètre [AB] (voir démonstration


dans l'exercice 655).
ExERcICE 668 2. f2, est la droite perpendiculaire à (AB) passant par
D'après l'exercice 654 C.

lld *r-'ll' =,î .Ë. lltrll'. llEll' 3. Soit H le pied de la hauteur issue de C dans le triangle
ABC
a'otr
llrT
*Ëll' = rx 500 x 300 x cos(40) + 5002 +30,2
11 et f2 ont deux points communs si, et seulement si
= 569813,33 H elABl.

'"it lltr
+F;ll = 7s4,86 N. c'est-à-dire 0 .1Ë .fr . eaz.
ExERCIcE 669
EXERCICE 673
SoitF=Ë *Ë. r. AM .ac +dfr.cî +cû.eË
llFll'= zî i *lltrll'.ll,;ll' = AM .lBC +CA + AB l+ BA.CA +CA.AB
\,
= 2 x 800 x 900 x cos (80) +g002 +9002 =îrt .d -É .cî +cî.fr =o
= I 700053,38
2. Les hauteurs issues de A et de B se coupent en un
point M alors ,{ü .r7 = O etBrt . ô7 = 0 donc
Déterminons l' angte a=
6E1' d'après la question précédent. Crt .1Ë =O
En appliquant la règle des sinus : sinc = ryL c'est-à-dire (CM)L(AB),le point M appartient donc
y'l7ooo53':t8
a=3z,tz' à la hauteur issue de C dans le triangle ABC.

llF..îll' = zî .d. llFll'. lltrll' EXERCICE 674


= 2x 500, /70005)3jB x cos(197,17) +
ÂBC un triangle, At, B' et C'les milieux des côtés tBCl,
1700053,38 + 5002
lACl et IABI.
=7043O1,52 ABz +CAz + BCz
a'otr
llrî * a- * E ll =
$e,23 N. =lee' + at n ) +lcc' +ct e) +lnn, + Btc)
- AA|Z + BB,2 + CCt2 + At 82 + B, C2 + Ct AZ
EXERCICE 670

l.W = 1500x1000xcos(30)
uE .o.C.BF Aé.ed aÂ)
= 750000y'3 =
D',autrepart2AAi .A'B =1Ë.CË +rt.CË
1299038 N.m-r.
2BBI .BIC =BA.AC +BC .AC
,. llFll = # =500y'5=866 N. 2CCI .CIA=CA.BA+CB.BA
de plus A'Bz + B'C2 + Ct A2 = |4'@cz + cez + ea2)
EXERCTCE 671
On en déduit alors que
f. SiMÂ . MB =0 et MA. MC =0 alors Mappartiert
AA'2 + BB'2 + CC'Z =3. (enz + acz + Cez).
aux cercles de diamètre [âB] et de üamètre [Ar]l 4'
(voir démonstration dans l'exercice 655. EXERCTcE 675
Ces deux cercles ont deux points communs, dont le Soit f le milieu du segment [AD]
533
6.4. GEOMÉTNE

2oî-Bd =be *o6)'Ed fr .86 =fi'Ao +Dc'BA =h" -Zao'


si
\-t--
2. lACl et tBDl sont orthogonales si et seulement
=OA'BC +OD'B'C h2
+OD'OC =2a2
=OA'BO +OA'CtC +OD.BO a et h êtant deux réels positifs, on en déduit
que
=OA'BO +OD'OC h= a'/2.
car (CD)f(AB)
zoi .Bd = -oAx93çQP:<oc 679
EXERCICE
=OcarOA=OCetOB=OD
donc (OI)I(BC) L MAz =luc +ce)
-t2
c'est-à-dire Of hauteur issue de O dans le triangle OBC' =MGT+lMd'dî+cez'
Demême MBz =MGz +zMd'cË +cnz'
etMCz =MGz +zfrd 'cô +ccz.
676
deplus cî,*cË *Gd = o'
EXERCICE

L. rt Dî =(gg)fÂ:a)_ _ _'=
d'où/(M) = f (G)+3MG2.
=ES .OE B] .DA AB .AI
+ + BI .AI
+ == z. ftW=k æ ucz=l(k-I(G)).
=o-2az +2a2 -o=o Si k > /(G) alors f1 eit le cercle de centre G et de

0n en déduit alors que UDL@D. rayon


5
(k-l(o).
On démontre de même que (A,Df(BK), (LC)I(ID) Sik= (G)r alors 11 est réduit au Point G.
et (IOI(BK) f üde'
Si k < f (G) alors 1 est I'ensemble
PQRS est donc un rectangle'
2. p§ .1Ë =(4;I*Iri). D' -
3. Soit.I Ie milieu de [AB]
*f,an,
à,4 *caz =zcri +f,en, =f,cc,
= AL .ID (les deux autres produits sont 4. On obtient de manière analogue :
1
nuls) GB2 +GCz =!çnz + BC2
PS.ID =AL-lIA+AD'l
+ /+ 2 ,
t.r -|\ GCz +GAz =LGB| + CA2
2-
t
=AL.AD carÀ.LIIA
S. AL .AD = laz et ID=
r^ al;
--
En additionnant les trois relations nous obtenons
22 F
z(caz +ca2 +GCz)
A\/ 5
d'ott PS = = + Gnz + GCz) * + BCz + cA2)
5 )t"o' f,{aa'
-. oJs soitGA2 +GBz +GCz =!{or'+BCZ +cAz).
4. On montre de manière analogue que RS =
PQÀS est un rectangle ayant deux côtés consécutifs
5
5. fltuD=AB2+BCz+CAz æ f(M=31(G)
de même longueur, c'est donc un carré. æ MGz =rrrr",
É a-_ a2 M est sur le cercle de centre G et de rayon
5
(eÊ +ncz +Ce2)
5
ExERcrcE 677
2At.F.G =len +ACl.lAG -AEl/ EXERCICE 680
\ /\
=É -fr -fr .,+.e'' 0es deux autres produits 1. Às est Ia &oite perpendiculaire à la droite (AB) pas-
sont nuls car ABDE et ACFG sont des carrés) sant par A.
zrt .Ed = 0 car les points,{, B, G d'une part et A, C, E 2. l(m=É'Ârt =sr.
d'autre part sont alignés et,4B = AE et AC = AG. 3. Soit If le projeté orthogonal de M sur (AB) alors

ExERCICE 678
TM)=É'art =sk.
A1 est la droite perpendiculaire à (AB) passant par le
L fr .Bd =(fr . rd) (r7.7"-') point Ëf de (AB) tel que AH = k.
534
CHAPITREï. CORRIGÉS

4.
EXERCICE 683

Â-6 Âg Â3 Ltz
l. a Le triangle ,4gfl est rectangle en 11,
d'où 8I1= z,lB x sina.
b. A. = !.eC,
B H = ! bcsina.

c. Soit Il'et
I{,/ les pieds des hautews issues respec_
tivement de  dans le triangle ABC
H1 Ha AH' = AC xsinTd,où 4 = !
)nO, BC = absin1.
5. Lensemble des points M tels que _6 (,f(M) ( g est
CH,t = BC xsinBd,où.A = nC J lacsinp. !çg,,,
d. D'après Ies questions préÉédentes z
lapartie du plan comprise entre les droites A_6 et,\3,
droites incluses.
bcsina = acsiîB - absin y
les réelles a, b et c étantnon nuls, nous pouvons di_
6. Lensemble des points M tels que O < l(M) ( 12 :st
üser les égalités par abc d,où
la partie du plan comprise entre les droites sina sinÉ
et A 12, sin7
droites exclues. ^g ab c
2. ufrB = 180 -25-120=35".
AB BC AC
................-=

EXERCICE 68I sine sin sinâ


c^tt
.4BCAC
sin35 sin 120 sin25
L r(M=(g.l-) (*î-rË) -

=2IM .AB.
d'otr AC= +#J5
STN
=2,95 à lo-2 près.
1til12o
2. f (tu|) = Q ç1 trt tÉ
, As esr la droite perpenrli- 36 = = 6,04 à ro-2 près.
culaire à (AB) passant par Ie point 1. .67AC
b._
Soit Il le projeté orüogonal de M sur (AB) sin55 sinÂ=_sin-Ê
f (M) = B €:+ /H = 2, La est la perpendiculaire à 7sin55
(ÀB) passant par B.
sinÀ= -ï d'oùEAi=22,88. à l0-2 près

f(M)= -B <- IH= -2, estlaperpendiculaire


âEè = 180-55-72,88 =52,12"
à (ÂB) passant par Â.
^_B

3. Lensemble des points M tels que -B < f(M) < I rst 6sin52, 12
AC 5,78 à l0-2 près.
la partie du plan comprise entre les droites Ag et A_ s, sin55
droite exclue.
ExERcrcE 684
^0
I
ExERCIcE 682

L Mî-zuî +ud =etî+Ert +Ert *ud


=aî+ad =zdi
.
a'ou (rrz7' -zMË Md)-Mî = Q 3
rÉ .ruî =o.
M appartient à la droite perpendiculaire à (1.B) pas-
sant par Â.
2. G cenîe de graüté du triangle ABC donc Mî + E G
uÉ +rrrd =3Md.
o'otr(ffi *uÉ *nrd)Mi=o- ud.uî=0. 2. a. Dansle repère orrhonor-e (r;
àæ' à*)
M appartient au cercle de diamètre [MG]. On a D(r/Z ; t/4 et I(6;3) d'oir D/ = \/ 4s - rBA.
535
6.4. GÉOMÉTRIE

b. D'après Ia relation d'Al-Kashi


Efrt**l; Y-6) d'otr
DIZ+IF2-Ertz Bî BC = nfle. nC = -2x- 4y +22
.

cos6JF = (BC) d'équation


2DI x IF de plus H,{ appartient à Ia droite
d'oir 6?F = 109'au degré Près' 2x-Y+8=O-
c.KiG= 180- 109-67 = 4"' Les coordonnées de IJ4 vérifient donc le système
a- On applique Ia règle des sinus dans le triangle
KIG ( '^ t = -B-
) 2x-v
3.
d'otr Ër1 (- 1,6 ; 4, B).
2,8r àro'2
#h = #rn
près.
n"urrr =
Hffi =
| -Zx-tY = -16
l. Èn procédant de manière analogue, on obtient
,
KI 6,28 cmz au mm2 près'
533 et Ilç (0; 5)
A. S = LrOt x x sin (67) = H3
13' 13
4. a. En âppliquant la relation d'Al-Kashi dans le tri-
angle D,IK: EXERCICE 688
Kt = IDz +IKz -ZID< tK*cos (67) d'où KD = 4,56
. Equationde (BAt x+1Y-21 =O
à 10-2 près.
Bî.Ed
b. En appliquantla relation des sinus dans le triangle 'Ed = Bni 'Ed =7 x - Y +3
d'autre part E7
KDI Les coordonnées de .ÉI4 vérifient donc le
n1ffi
I(Isin(67)
obüent.67 = 35'au degré
système
sin(D7 = on
I ,*- t = -r4 d,ot t 77 16l \
tael-so ; so
près.
I x+zy = 2r
. Equation
J'
(AC): -2x+9Y - 4 =O
de
ExERCICE 685
1Ë.A(:=24
L 2AA' =AB +AC d'autrepartlB' 'æ = AÉ 'fr =9x+Zy+l8
Les coordonnées de I{B vérifient donc Ie système
AB.II =AB'IA=-A'B'AH I Sx+zy = 6 d,oi t46 48\
iHB[85;85r'
AC.II =AC'AH = |
l-2x+9y (AB):
2AAI .I] =_AB.AH +AC.AH . Equation de 3x-Zy +6 =o
=ad.eË =o Eî..8d =-i
d'oùr .AA' . IJ =0 d'autrepartET 'Ed =ni nfr = -zx-3y+e
Les coordonnées de Irc vérifient donc Ie système
2. 1î Ij .
= odonc (4,4')-L(1r. I sx-zY = -6 d,où a"(?,?1.
2x+3y 20 " \ 13 13/
=
|
EXERCICE 686
EXERCICE 689
On calcule ÂEè en uülisanti la formule d'Al-IGshi :
^ 116+370-74
cosB=- on remarque quefrB =ffi" et ÂDB = 62"
2x \/116 x \/37O On applique la relation des sinus dans le triangle ÂBC :
É'=6,1'à10-I près. AC 200d'où AC- 200sin69
l_
= )2 * t/ 370, t/ tta r sin ii = I I cm2 1en prenant la va- sin69 sin63 sin63 =209.56
"c.
leur exacte de ô. BC -_2OO 200sin48
d,où BC- -_ = 166.8I
sin4B sin63 sin63
EXERCTCE 687
l. Soit M(.r;y) un point de la droite (BC), On applique la relation des sinus dans le triangle ABD

Ed f-z; etBrt G+ l;y-6) _BD = _2OOd,où BD 2ÛOsin74


=217.74
-4) sin 74 sin62 sin62
En utilisant la condition de colinéarité, nous obte-
nons une équation de la droite (BC) : 2x - y+B= O. On applique la relation d'Al-Kashi dans le triangle BCD
z. Eîo;-tt"tdd ez;-t)d'oùE7.nd =a CDz = BC2 + Bt -zBC x BD x cos25
d'autre part, en posant j?4(x ; y) on obtient d'où CD = 96,95.
536
CIIAPITREq. CORRIGÉS

ExERCICE 690
4. f(M=Q s1 uc2=|@2+ Ë +&)
l. On applique la trigonométrie dans le trian gle
AB) :
I est le cercle de centre G et de rayon

AD = lotan3o =
lo,€ lo
26'/l R=1 '2(a2+t+cz)
et BD = - 6
2. on applique la relStion a", ,irÏrl§3ao*. l"3tri-gl"
ExERCIcE 692
ABC en remarquantquefrB
=20
Soit Â' le milieu de tBCl et I le milieu de IAAtl.
AC I0 _ l0sin8O ÂBC étant un triangle équilatérale de côté a, on
d'otr /C= :::::: a
.in', = ;rr, = l0,rt8
ee'=üetrA=af.
BC l0 l0sin30
]j} En utilisant la relation de Chasles, le développement
;ir30 = *;
d'oir BC= du
=5,32
produit scalaire et la définition de At etl, on obüent
3. On applique la relation d,AI-IGshi dans le trianlfle MB2+MC2-2114nt2*a2
')
BCD
CDz = BCz + BDz -2BC x BD x cos50 MA2 + M4r =2M12 +3'2
B
d'où CD = 9,09. d'où2MAz + MB2 + MCz = 4MI2 +5a2 .
4

EXERCICE 69I Met æ Mp=lb-yËl


4[ 4
Soit â' le milieu de lBCl, Bt le milieu de tÂCl et C, le ]
milieu de [ÂBl. t -+ . k. +, il n,existe pas de points M, r est
a=BC,b=ACetc=AB üde.

æ ='ili Si k = t+,I réduit au point I.


| 1a;. ;a1
Rapper : est
=
51 1r. -o§ ou t, t',f est le cercle de cenrre 1 est
t cî+cË +cd =zcd *Ci*ei *cd_ ,_u
de rayon k2 -5a'
=ZGC| +GC car CtA =-C,B 4
= cd*cd =ô'. ExERcICE 693
2. On utilise la relation de Chasles en introduisant [e
point G dans les trois expressions et le produit scrr-
r. DÂ-DB +od =d : cd =EÂ.
laire, on développe et on factorise judicieusement: ABCD est un parallélogramme (aplati si les i4, B, C
sont alignés).
2.
AB2 + BCz + CAz = z(cez +caz +cC2) + ft MA2 - MBz + MC2 = MD2 + DAz - DBz + DCz

("Ë. Bd. (G7 *Gd) *cd ("7.ôE) +zOî .Od + OC2


d'autre part D 82 = DAz
"d). d'oùMAz -MBz +MCz = u»2 -zoî .od
= z(GAz + Gaz + GCz) + AG2 + BGz + CG2
MA2 - MBz + MC2 = k e Mt = tc+zoî.îd
=s(cez+GBz+GCz)
Si k+ZȔ .Od , O, M est sur le cercle de centre D
3. f Uû=MË-Md +ud.uî +rvrî.uÉ
= \/ *ôî).
[MC (rd."d). (Md.Gd) et de rayon k+zDA-DC
. Sik+zoi.Dd =o,M=D.
(rd . (Md GÂ) (rd. ôE)
"î). +cî.cË +cÉ .cd *cd .cÂ
=3MGz
Si k+ZOî .Od < 0, I'ensemble des points M est üde.

= 3MG2 * !{cÂ. [ca'*ôd) * ôa'


2
ExERCICE 694

("7. ôd) . cd.(cî. Soit I le milieu de IABI et / le milieu de tCDl

^ l.
"8)) u = MA +MB =ZMI ,
=3MG2- r{ce'+Gaz+GCz)
; =Md *t"ti =zuî
=3MG2-Ikr+Ê+ê)
6' i = Md -MË =1É.
537
6.4. GEOMÉTNE

L;.; =o <- ui.ui =o. 2. D'après la question Précédente

centre de diamètre [1/1. Mî -Bd = MÉ 'cî = Md'7E' implique que les


f 1 est le
trois produits sont nuls.
2. u.w -0 € MI 'DC ='0
est la perpendiculaire à (DC) passant par I' M appartient aux trois hauteurs, M est donc l'ortho-
f2
centre.
EXERCICE 695
Soit C' le milieu de tABl. On peut remarquer que le tri-
EXERCICE 697
angle ABC est rectangle en ,4..

r. Mî*uË -zud =Cî+CÉ =Cd 1. Voirexercice 679.


donc 7 =di uu""D le pointtel que ACBD soitun z'. (MÂ *uÉ *ud)'=lrrd)' =eMG2
parallèlogramme. En développant l'expression, on obtient :

z. Mî *uË -sud -ô' .- Md =c6,Mestlesv-


(Mî.Mî*rd)'-\2 = MAZ + MBz + MCz +
- -^,
métrique de D Par raPport à C.
à1m .æ * uË .ud . Md 'Mî)
Appelons E ce Point.
Par construction (fC') est une médiane du triangle = MAz+MBz+MCz+
AEB et rd ='ari dorLc C est Ie centre de gravité 2l2MA-MAt +MB.Mc)
du triangle EAB.
= MA2 + MBz + MCz +4Mî '

MA' +2MB-MC
= 3MGz * !to'+t +&) +

zlzue.MA' +MB .MC)


d'où en utilisant les deux formes de l'expression :

zMi. Mî * uË uê =zMGz -'r(t'


- + t + &).
3. Un point MapParr§nlgcercle de diamètre [ÂÂ'l si
et seulement si MA ' MA' = O

Un point Mappartient au cercle de diamètre [BCl si


etseulementsiÿ,î'I/d =O
Si M appartient aux deux cercles alors
3. MAz + MB2 -3MC2 = - MEz + EAz + EB2 -3EC2 2MA.MA' +MB.MC =0
C étant le centre de gravité du trian$e EAB' on a ou d'après la question précédente

cAz + cBz + cyz = + eo2 + azz) *"'= *@2


+t +ê)
!@nz
l(cez + cnz + crz) - ea2 Les poiÀts cofirmuns à ces deux cercles, lorsqu'ils
soit AEz + EB2 =
existent, sont sur le cercle de centre G et de rayon
d'oîtMAz +MBz -3Mc'2
= -MEz +3CA2 +3CBz - AB2 r8
(a2 +t +&)
= -MEz +86a2
MA? + MBz -3MC2 = g62 æ MEz = 8La2.
EXERCICE 698
M est sur Ie cercle de centre E et de rayon 9a.

ExERCICE 696 ,t lt 7t IE

r. Mî.Ed+ttË.1î+ild.fr
radians 0
6 i 5 ,
= Mî .(Bd .c *Àî)*É
.cî. *fr 'eË
degrês 0 30 45 60 90
=0.
538
CIIAPITREq. CORRIGES

3n stt 5n 3n EXERCTcE 202


radians ,t
4 6 T T 7t
2fi
degrês 135 r50 180 300 3n T , n
270
7 5 fr
4
ïit
ExERcICE 699 n
6 6

7T o;2n
7t
degrés l0 l5 22,5 80
180

6
7t 1T 41t 6
rad,ians I 1V

ls i s 9
4 4
5E
T T
degrés 140 160 225 320 315 T
7fi 8n 5n l67t 7fi
radians
î T 4 I 4
EXERCICE 703

EXERCICE 7OO llir


34r
2
l9r" 3
l5n
point A B C D 29n
4
--î-
lln
6 --6-
lt 2n ht
mesure en rad,ians lt
6 3 ? l5tr 202On

point E F G

57
3n Stt llfi 4
mesure enrad,ians
T T
7tt
EXERCICE 70I T
r9n
A: -: 7n
B
n,r3n
44 4 2' 2' 2 EXERCICE 704
2n Br 4fi 29fi = fi + 14 x 2z de mesure principale z
C
3'3' D: n; -n;3n
3 ls Notaüon: 29tt = r (mod 2t)
3n Str lltr 1T 3n Stt 3O2n = l5l x 2n = 0 (mod Ztr),
E -4 F: --
4 4 2 T 2

n5n7n n 7n 9n
23tt ______:_-
__:_ 24n-n_ _:_fi x _
T
G H: -- ' ,ra = +6 Zfi
cZ = : (mod 2n),
3'3' 3 4' 4

lt lltr 13tt lBltr l84n -3tt 3n 3t


I: -6 4 = 4 =--+23x2n=-7(mod2n)
6' 6

2021r l6Exllr-a5n 5n
6 6 = - (mod 2n),
539
6.4, GÉ,OMETRIE

17n Btt
- 6 = -3x2n-.!6= -16
(mod 2n). stt 7fi
_37n
-3 =-36n-n e 3
4 3 2

EXERCICE 705 I I
cos0 '/Z
2 i 0
2

23!n
55 =230n_+4n
-23x2n-v+ =+ (mod 2z),
rt '/5 1
t;
sin0 2 2
2

,y t7 x r4tt +37t
- L7 xzlt ++ ='+ (mod 2z),
77 = EXERCICE 708

8764n 337 x267t+2tt 21t zfi l. Dans l};2nl:0 = {,4u.,. l-n;nl:0=-Z


337x2n+ç 13 3],aun"l-n;ol:o
13 13
2. Dans l0;2rl:0 = =3A
(mod2n'1, z-* sit
3. Dans lÛ;2n1:0 = Ç,dansl'n;nl :0 = --
273fi _ 19 x I4fi +7n 3],aao"l-n;o1:o
= lg x z.fi +7r = n (mod Zn), 4. Dans \0;2nl:0 = = -L
-a
lt

9876n -98BOn+4n -4tt (mod 2z). EXERCICE 709


5sli
L. Dans l0;2nl: 0 = !, dansl-nfil t 0= -+
ExERCICE 706 ll-t
2. Dans lo;2nI : 0= , dur,, l- o;'l t0 = -^l

2n 3lt 5n 7n 3. Dans lo;Zni : 0 =51, dansl-tr;nl : 0 = -3!


lt
0
T 4 6 6 4. Dans IO;Znl: 0 = z, dans l-fi; nl : 0 = n

I ,/3
'/1 7IO
cos0 '/2 -1 2
EXERCICE
2 2 2
L. Dans l};2nl : 0 = 2n'1,23 = 5,05, dans l-z;zl
/;
VJ ,/2 I I 0 æ -1,23
0
sin0
2 2 , 2
2. Dans 1};2nl:0 = 3,79, dans l-n;nl:0 x -2,50
3. Dans l};2nl : 0 = 2,89, dans l- tt;ltl i 0 È 2'Bg
Srt 4r 3n 5n lln 4. Dans l1;2nl: 0 = 5,35, dans l-n;nl :0 = -0,93
e
1 T 1 T 6

I I ,/5 EXERCICE 7I I
'/2
cos0
2 2
0
, 2 l. Dans l};2rl:0 = 1,47, dansl-n;xl:0=1,47
2. Dans I0;2nI:0 = 3,59, dans l-ltifi): e = -2,69
\/5 '/5
1
sin0 '/Z , -1 3. Dans l1;2nl: 0 = 1, 87, dans l- n;xl : 0 = l,B7
2 2 2
4. Dans l0;2nI: 0 = 5, 16, dans l-n;nl : 0 x -1,12
EXERCICE 707
EXERCICE 7I2

0
5n 9n L3fi 17fi l. sin2x= I-0, 152 =O,9775
-3tY
J 4 6 6 x e l1;nl donc sin.r = ,/W75
I t/3 2. sin2 x = 1- (-0,2)2 = 0,96
'/2 -l '/5
cos0
, 2 2 2 x e l};fi1 4orr".i11 = 1rl0, 96

I I 3. sin2r=1-0, 152 =O,97:/5


,/5 r/2
sin0
2 2 2
0
2 xel-ft;Ol donc sinx = -\/0ÿ75
540
CHAPITRE1. CORRIGES
4. sinx2 =0,9ZZS
3. -3<2-Scos2x(7
x € Ifi;zitl donc sin-r _\/T,g,
= 4. -f <l-2sin5.r(3
5. sin2x=0,g6
x e [fi;2n] donc sin.r _
= /0;96 EXERCICE 7I6
6. sin2 .r = 0, g9
Dans le triangle .AgD rectangle en 0
x € l0;7tl donc sin x r,/0,95 A, lED = et
= d'après le théorème de pythagore ,
BD = x\/E
on en dédüt s" 2
(:)
" "* (i)
EXERCICE 7I3 =
* V5
l. cos2x= l-0,152 Ainsi sino = 2'i"
fi1
=0,g7ZS (;).", (:) = :
,aI 0; ,J don" x = \/O-fr-75
"or ExERcIcE 7I7
2. cos2 x = 0,96
Soit ABC un triangle isocèle en A tel que
,aI , ; ÿ]
1t
aor,. Ék = 37" et
"o.x = -y'î,s8 .RC = l0 donc.ÂEE
=71,5"
3. cos2 x =O,9775 Soit .ÉI le pied de la hauteu-r issue de A, le triangle
,, li,I] dor,"
étant
"or, 1/0,Æ
= isocèle en Â, on en déduit que II est le milieu
de [BC].
4. cosz x=O-,gZZs
Dans le triangte ABH, rectatgle en II, cosTt,S _ 1
,aI -it;ldonc cos* = \/dfr7d AB
d'où /.8 = près.
5. cos2 .r = 0,96 = 15,76 à l0-2
"*h
,a I -i,ldonc cos.r = 6;56 EXERCICE 7I8
6. cos2 -r = 0,99
l. /
7t 3it 1
Soit la longueurde l,arc Æ
x€ (,-n0R
7;Tldonccosx= -/0;s0 - 180
2. --
Distance p:rcourue : d = 1' Jq
EXERCIcE 7I4 = S soit 3000 mètres.
t80(
o= -;F = 159 x 360 + 55,78 soit 55, 78" à l0-2 près.
x
lt ,T
-lV
2
0
, EXERCICE 7I9

cosr 0+ +0

sln.I 0 0+ M

lt 3n
x
, fi
1 2n

cos.x 0 0+

sln.f +0 0

EXERCICE 7I5
l. Quel que soit x e R, -I ( cosx ( I d'où læ triangle OMH est rectangle en ,EI donc d'après le
I < cos.r+2 < 3 théorème de Pythagorc, OM2 = OHz + HM2
2. Quelque soitxe R, -1 ( sinx ( I d'où d'autre part O-EI = cosx, M H = OP = sinr et OM est un
-4(3sinx-1(2 rayon du cercle trigonométriquedonc OM = |
6.4. GEOMÉTRIE 541

a
TI <-
d'oùt cos2 .t + sirt2 x = l. s. sinx= r= l+zrrort=Y+2kn
n5n
EXERCICE 720 6. sinx= -: e x - -- +2kn olux- - +zkn
2 6 6
L. En appliquant le théorèrne de Pyhagore dans le tri- 7. cos2x
,n 2x =! +2kn ou1x = -! +Zkn
angle ABC: AC = 12 2 44
ît.fi
AC bissectrice de l'angle 6-a a'oi, frÈ = |4 . <- ir= -+kfioux=--+kût
8B
2. Darrs le triangle ABC, cosACB
BCIJ2
u, 8. cosSx
rtsnsn
<-
- -i-l266 3x = -:- q21rr ru2x = - -:- +Zkn
= Æ = fr,= Z
.+ lB | ÿ2 5n Zknou'=-r8+ 5n 2kn
sinACB=_=...:=__ ex=
AC t/z 18* 3 3
L
n 2kn
nlZnr/Z
d'oircos: = -:- etsin- =
9. cos§x=-l <- 5x=n+2kn ë r=-+-
55
4242 -. J1n2n
lO- sin2r- -:- ê:+ 2x = : +2kn olu2x= +2kt
233 -
ExERcICE 72I, lt lt
é x=-+kfiorJx=-+kn 63
l. En appliquant Ie théorèrne de Pythagore dans le tri-
J1 ll. sin3x- -
rt '
an$e BCH, C, =
;,
le triangle ABC est équilatéral don eÈÀ = !3 e'o3fi3x---+2kfi ou3x= --+2kn
" 44
C-FI est bissectrice de l'anele
"6 frÈ 7'6i1§ifi = !. êx=-IZ*n 2knoux=--+-3 n Zkn
3
2. DansletriangleBCH, t 7t 2kn
HBl-HCJ5 12. SinTx=-1 <- 7x=--+2kn <- x=--+-
-j- 2147
cosHBC= = - etsi:nÉIBC=
BCZBCz =
-
nlnrt - ExERCICE 724
d'oir cos - = - et sin - =:
3232 - l. cos(a- al = cos(a+ (-b))
HCJEHBl
BCzBCz = cosacos (-b) - sinasin (-b)
n .7t
d'otr cos _15 et srn -
= cosacosb+sinasinD
62 6 2 car cos (-b) = cos b et sin (-b) = - sin b

EXERCICB 722
2. sin(a- al = sin (a + (-b))

def principale(a,b): = sin acos (-b) + cos asin (-b)

iÎ alb>l: = sin acos b - cos a sin D

whilealb>l: 3. On pose b = a, on obtient alors


cosàa=cosz a-sin2 a
a= a-2* b
= cos2 a- (r - cosz a)
if alb <= -l :
=2cos2 a-l
while alb <= -l
a= a+2* b = I -sin2a-sin2 a=l-2sin2 a

print(a," pi l",b) 4. On pose a = b, on obtient alors


sin2a = cosasina + sinacos a=Zcosasina
EXERCICE 723
Ji €) x=-+zkjtou.a=-!+zkr(keZ)
[. cosx= -:- 7t EXERCICE 725
266 l. cos(r+y)cos(.r-y)
2. cosx=-fr : *=?l'-*zk ou"=-3o *21ro
244 = (cosxcos y - sinxsin y) (cos xcos y + sin xsin y)

B. cosx= ! o ,-! +2,br ot.x= -! +zkn = cos2 xcos2 y - sinz xsinz y


233 = cos2 x (1 - sin2 y) - (r - cos2 x)sinz y
4. sinx =15 o x=!+zktroux=2Aa2yo = cos2 x- sinz ÿ = | - sin2 x -(r -cosz y)
233
542 CTIAPITRE 6. COHRIGÉS

cos (.r+ y) cos( x - ÿ) =cosz y - sin2 x ., z l-cosi z-1,


sln"
----
2. sin (x + y) sin (x B 2 4
- /) lttlr It
I dorr".o. 1 , 0etsin-
= (sinxcos y + sin y cosr) (sin.x cosy - cos.rsir r y) I t'2 - r8
-el0: B
>0
ÿ2+ \/2 . n ÿ2- \/2
= sin2 x cos2 y - sin2 y cos2 .x
d'où cos 1,=-et sln-
= sin2 x (l - sin2 y) - sin2 y (t - sin2 x) B
- 2 82= -
- sin2 y =
= sin2 x cos2 y - cosZ x. EXERCTcE 729
3. cos(x+y)sin(x-y) sin (2 a + b) = sin2 a cos b + cos 2 a sin b
= (cos x cos y - sin x sin y) (sin.r cos y - sin y cor ; r) a- l) sinb
=2sinacosacosb+ (zcosz
= (cos2 y+ sin2 y) cosxsin x
= 21/ 1 - acos b+ (2c osz a - l) 1-cos2b
"o"4cos
- (cos2 x + sin2 x) cosysiny ^'hs r 3 7
=z-x-x-
\/1
= cosxsinx - cos ysiny. 44484
4. En remplaçant y par -y dans la formule précéden:e, 3\/15-7\/7
32
on obtient:
cos (x - y) sin ( x + y) = cosxsinx + cosysiny. sin(a-2b) = sinacos2b - cos asin2b
T - "o"4 (z ros2 b - t) - 2 cos a cos b ÿ/r-æb
ExERCICE 726
t it 4fi 3tt sin(a-Zb) =
lTs, l-13,/7
I 4 S-2" i" i, i
34L2t212
',4s-st/1
ltl7r|tIr
2. cos- = cos-cos-
32
+sin -sin -
t23434
sln
,t ,lt tt ,t 1t ExERCICE 730
34
t2 -4 cos 5
SIIIlCOS--S1I1

| \/2
B. cosa - _x_+_ '/5 '/2
t/2+ '/a
sin3r = sin (2.r + x)
sin xcos2 x +
- sin2xcosx
sin,
+ sin rcos2x
r)
t2 222 2 4
= 2 - (1 2 sin2

- sin2 x) + sin.r(r -
= 2sinx (1 2sin2 x)
. tt \/5 \/2 | ,/a ,/6-'/, sin3.r=3sinr-4sin3x
t222224 cos3x = cos xcos2.r - sin2x sinx
ExERCICE 727 = cosr(2cos2x- 1) -2sin2xcosx
l. -
n 4n 3x 7tt
lt = cosx(2cos2x- 1) -2(1 -coszx)cosx
3 4t2t212
TnrTrnit sin3x=4cos3x-3cosx
cos3x
2. cos- = cos_cos_ _sin _ sin_ = 3 - 4sin" x - 4cos' x + 3 = 6 - 4 = 2.
L23434
7n 7T lt filt -
sln
t2
sln
5
cos
i + sln - cos
43 -. EXERCICE 73I
7n1
3. cos_ - _ \/Z \/5 A ,/2-'/6
l.
122 222 4 Pour toutréel x I kn (k e Z),
Scos xcos 2x cos 4x = 4 sin2xcos2x cos4x
. zn ,/5 '/, | '/5
ùrrt-= T-r-=- '/a+ '/2 = 2sin4xcos4.r = sin8x
t222224 sin8x.
- Bsinx
d'oir cosxcos2xcos4x
EXERCICE 728
tt 2n 4n tin? -sinf
- cos-cos-cos- I
2.
l. D'après l'exercice 724, pour tout x réel, -'---7--- 7 --- 7 = Bsinl ssinf I
cos2x =2cos?.r- I = I -2sin2 x jt 2y 4tt sinS sin$ t
, r = 7+cosZa ., l-cos2x _
o ou cos-
22 et sln- x 3. --- 9 --- I --- 9 8sinff_ Bsinfr_ B'
-' COS-COS-CoS-=
^ )v l+cosfi z+r/-z
8 2 4
6.4. GEOMETRIE 543

EXERCICE 732 *,1-,,-T[,]T,,]


l Méthode 1:
rot=z()"o",. f ,"4 ExERcIcE 735

l. 2cos2x-3cos*+l =0;
= 2 (.o, + sin sin x)
T "o., f On pose X = cosr, l'équation deüent 2X2 -3X+ I = 0
= 2cos x--lt Cette équation admet deux solutions : X1 - 1 et
3 1
Méthode 2 : Xc=-
'2
f (x) = acos(x-b) =2(cosxcosb+sinrsinb) ,r=l <- cosll tr: q=2kn (keZ)
=
= 2 cos bcos x + 2 sin bsin x Xt=-
'2 æ cosx2=
i
or /(x) = cos.r + y'5sin,
æ x2 =! +zkn ot rcz - -! +zkn (k eZ)
En utilisant les deux expressions de /, on obüent
/(o) =2cosb= ,*f (i)-2sinb= 15 3fr
2. sin2 x-[.* É]rr.,r*
21 =0.
d'onb=!
3
\ 2
On pose X = sin x, l'équation devient
2. f(x)-t/iæ2cos (,- i)= ,/2 xz -(s*41**3fr
2) =o
<_ cos[x_
I n
'/2 \ 2
3 2

n:filt
o=G-{1'
2)
f(x)=t/2 -7t<+ r--= --ou.r--=-- \
434 Cette équation admet deux soluüons
J2
7x Xr=3etXe=-:-
ê )c= 2
12 12 Xt = 3 > I donc ne convientpas.
*r=+ <- r= f,+z*nour=T+2kn(kez)
EXERCICB 733

l. cosx+sinx='Æ l-coisr+
l,/Z '/Z . \ ExERcIcB 736

\2 2
-slnrl J l. 8x4-gx2 +1=oonpose x=x2,
' ,-!1.
= ÿ2cos [r
4,
l'équation deüent BX2 -8X + I = 0
2. D'après la question précédente et le fait que pour Cette équation a deux soluüons:
tout.r€R,-t<cosr(l: - z+,/2etX2=
Xt= -- 2-\/2
-y'Z< cos-r+sir,x412.
+ n
Ces deux soluüons étant positives, on en déduit les
solutions de (.8) :
EXERCICE 734 t/z+ t/z ÿ2+ \/2
xl ,x\
l. l_2sin.r>0 <- ,irrr.: ]2 2 2
t/z- t/z ÿ2- \/2
*.)-o,â[,]T,"1 xz =-- 2
, x!,
- 2

I 2. cos4z-0c- 4z=2ktt ê x=t!rf.r,


2. l+2cosx>0 <+ cosx>-- 2

\ 2tr 2nl 3. cos4z =2cos22z-t=z(zcosz z-t)z -t


,.1-T'TI = 8cos4z-8sinz- l.
3. En utilisant le tableau de signes de cosx, sinx et du 4. D'après Ia question précédente :

produit, on obtient, €
l- -il"lo t i)
t Bcosa 1 -Bcos2
882
! -l =cos 1 = o
n3nfi
'/3 0<_<-<_
882
2
5n 5n n3nn3n
ê -7t <r<--:-ou--(r(2. donc cos > 0, cos; > 0 et cos
,
> cos
7
66 U
544 CIIAPITRE 6. CORP.J]GÉS

On en dédüt d'après la question I BDC=n-


fi 2,t Ztt

t/z*t2. 3r ,D-A 55s


"8282
COS- = etCOS- BCD est donc isocèle en B.
On en déduit alors que AD - BD = BC - |
ExERCICE 737 2. Soit I{ le pied de la hauteur issue de D dans le tri-
arrgle ABD
t. al!+knaveckeZ AHT
2 cosHAD = _ d,oùâII=cos:
2. D'après le théorème de Thalès dans le triangle 01 I", AD5
oI IT de olus 01 I d'otr tr MH Le triangle ÂDB étant isocèle en D, on en déduit que
-
OHMH'OH = = .
,EID est aussi médiatrice de IABI d'où
3. IT = tarra, OH = cosa et MH = sino d'où lt
sln(t AB =2AH = 2cos -.
tzrtü = 5
cos(t 3. D'après les questions précédentes,
4. tarra=f-.1e ç65s=sino <- a=!+kn(keZl. DC=AC-AD=2cos!-r.
4 I
4. Soit H' la hauteur issuecde B dans le trian gle BCD
ExERCIcE 738 DHt ,-
2n
.. sin(a+D) sinacosD+sinbcosa cosBDHt = _ d,où DH, _ cos d,oir
BD5
cos(a+ b) cosacosb-siîasiîb 2n 4cosz^fi
DC =2cos
-55= - -2 carcos2a=Zcosz a-1.
sinacosb t, sinàcosa sina1 sinb 5. En utilisant les deux expressions de DC, nous obte-
cosaaoaE co-sacosb- E65Z cosb- .lt ,t
- nons4cosz -55-2cos- - 1 = 0.
cosacosb _ sinasinà
r' - aiar"ti"à
cosacosb cosacosb ;6;Z;6sb-
tana+tanb 6. IJéquation * -Zx-l = 0 admet deuxsolutions :
4
tan(a+ b)
l+ÿE etJ, l-\/5
| -tarLatanb .trt-4'4
sin(a - b) sin a cos b - sin b cos a = =
2. tan(a-b) -n
cos(a- b) cosacos b+ sinasinb lt 7t n t+Ji
7. O < - -< - donc cos- > 0d'otr cos- = :----i-
52554
sinacosb sinbcosa sina sinb
- cosacosb- _ cosa - cosà- 2 r-=
- cæZcosb-
cosacosb, sinasinb , sinasinb
ëos acos b- - co§7cos à-' - co-§Z;ôs à-
g. sinl >od'oùsinI=
55 1- (#) /5-ÿ5
Vs
tana-tanb
taî(a- b)
I +tanatanb EXERCICE 740
3. En posant b = a dans la première égalité, nous ob e- 2

nons:
tan(2a) =
2tana
l. cos(2a) =2 (ry) -r =12 2
l-Iaîz a 2. a e l};nlet cosc > 0 donc za =f, et a =!.
lt lt 7t 7nfi7t
4. Onremarqueeue ; - : - . et
JI-17 -.
1234 t234
tan-=ÿ3ettan-=1 EXERCICE 74I
34
on en déduit alors : l. cos(2o) =2cos2 a-l
n J1-r
tanja_ "" ==z_Jl cos (4o) = 2cos2 2a - | = 2(2cosz u - t)z - t
12 t+y'3
7n t/5+ t =Bcos4a-8cos2a+l
tan -f = '" '= = -2- vtr.
/ r t4 t t2
ÿ5-r _*l ÿu-,1
-
12 r-y'3 _81 I *'
\4/
y's-t
\4J
EXERCIcE 739
= cosa.
4
l. âBC isocèle en â 2. cos4a = cos& 4a = a +2ktt oû4a = -ü +zktt
Ir 7t\ 2n -
5t - -5 te'
donc ABC = BCA= -2\ln - -l avec
Par définition de la bissectrice, on en déduit qne q,=,oo o, o= 2kn aveckeV
ABD=DBC=-
It - 3 S
5
üel0itrl
Js- r
et cosa =
6îB = ffiD donc ABD est un triangle isocèle en , ) 4
d'autre part dans le triangle BCD, onendéduit - 5
"lorsa=2a.
6.4. GÉ,OMETRIE 545

EXERCIcE 742 sin3rsin3 x + cos3xcos3 x = cos3 2x


t. a. cos(a+ b) = cosacosb-sinasinb (l) 4. 4cos3xsin3 x + 4sin3.xcos3 r
cos(a-b) = cosacosb+t;inasinb (2) = 4cos3x sin xsin2 r + 4sin 3x cos xcos2 l
En additionnant les deux égalités, nous obtenons = (sin4.r - sin2.r) (1- cos2x)

+ cos (a + (sin4x + sin2.r) (1 + coszr)


cos (a + b) - b) = ll.cos a cos b
Posons a=P+4 etb=l'-q = 2 sin 4x + 2 sin bc cosz)c
22 = 3sin4x
alorsa+b=peta-b= q
P
!4 )
d'où cosp + co q = z"orl'1,2/\21 (Z=) 5. (cosx+sin x)2 =cos2 x+zcos.rsinx+sin2x
" ""t = I + sin2.r
b. En soustrayant les égalités (l) et (2) et en posant
p+q p-q
O= 2 eID= ExERCICE 744

-, cosq = -zsin(!!A)"r"(ry)
on obtient cos p - l. Pourtoutrêel x I kt avec k eZ
c. sin (a + b) = sin acos b -r sin bcos a (3) . ^x et sinx = 2sin -x cos -)c
cos-r = | -2sin":
222
sin(a - b) = sin acos b - sinbcos a (4) I -cosx sin 4 x
sinx = ----+ =tan-2
d'oir
En additionnant les deux égalités, nous obtenons : cos f
sin(a + b\ + sin (a - b) = 2sinacosb 2. Pourtoutréel r:
p+q ., p-q I - 2n\ I 2n\
sinlx-
DOSOnS
'22 A= eID= --
\ -3/l+sinr+sinlx+ t -3/ |

alorsa+b=peta-b=Q
-
2n
sinx = - sin.r + sinx = 0
= 2sinxcos +
d'où sin p + sin s = zsiî(?;:) *"(T) -3
kn
d. En soustrayant les égaùités (3) et (4) et en posant 3. Pourtoutrêel xl
-2
s=P+4
22 erb=!1!. Isinx cos r sin2 x - cos2 x
LOrl4 -

on obtient sin p - zsirr(!-;1)co4ry) tanr cos.r sinx sinrcosr


cos2x 2
- sin 4 -
=- Lr"i"z*=-tunz*'
2. cosx+2cos2x+cos3x = cosx+cos2r+cos2x+cos3.x
= 2."' (;)("". (i) . *' (i)) ExERcIcE 745
x kn
= 4cos
, cos (4.r) cos x. l. Pourtoutréelxl
'2 _ &eZ)
3. sinx+ sin2r + sin7, +sin8x sin2x sinx
tan2x-tanx =
= 2cos (3r) (sin(5x) + sin (4x)) cos2x cos.r
sin2xcosx - sin.rcos2x
=4cos(3r)sin(i)*'(;t - cosxcos2.r
sinr tan.r
EXERCICE 743 cosxcos2.r cos2x

l. cos4x-sin4x = (coszx+sin2x) (cos2x-sin2x) 2. Pourtout r eet x *'2Y Uc ezl


= cosZx
tan2-T-tan-t=
sinx sinx
z. cosz 2x - sinz x = cosz 2x -122
- 5inz ra 1 cosxcos2r j(cosr+cos3.r)
1 2sinx
= - (cos4r + cos2x) = cosxcos3r
cos.r + cos3,
3. sin3xsin3 x + cos3xcos3 x - kn
= (sin3xsinx) sin2 x + (cos3xcosx) cos2.r
3. Pourtoutréel x + (k€Z)
;
= (t.orz, -.ori4.r) (1 - cos2.r) ^ = 4tar? x
| tanz2x ---:- donc
+ (cosz, r- cos 4x) (1 + cos2r)
(t -tar? x)'
) 2tar? x 2tan2 x
=
f,(coszx
tcosa;r + 1)
) I +ta#; = G-t^nz* *2t""? *
546 CHAPITRE6. CORNGÉS

2tanz x 4tar? x tar? 2x l+ l-


EF =--AB +-AC
1 + tan4 .r 2(t - lÉlnz x) + 4tanz x
=
r;æ2, 2 2

I
BC
EXERCTCE 746 2

l. r/5cos(3x) +sin(3x) = I ExEtrCICE 749

<- Jlrl +
2
sin(3x) =
7
ÂBCD est unparallélogramme donc AJ= = D?
-cos(3x) l synétrique de B par rapport à A donc t =fr
<- sin 1 cos (sx) + cos
f sin tsx) = j ,I symétrique de D par rapport à C donc CÏ = Od
t fi\ I
e sin[(3"r+
5J= 2
On en déduit alors que 7Â = CÎ
IAIC est donc un parallélogramme.
3636
x 2kn
ê x= --+-our=-+- n 2kn ExERcIcE 750
18363 L zuÀ-sMÉ= o' : ffi =tfr
2. r/3cos (3x) + sin (3x) = m læs vecteurs ffi sont colinéaires donc M ap-
"tEË
o JSrm
Z
cos(3.r) +, sin(3x) =
7
partient à la ùoite (AB).
2.
c+ sin[(3x+ 1l=Y
t'"-- s / z
Cette équation n'admet des solutions que si
m
-l<r(ldoncsi-2(rn(2. B M

EXERCICE 747

1- ExERcIcE 75I
AM=AD--AD
2
l+ l.
= -AD
2_
AN =BA +2FE
=Ei
doncN=E
pï =Fî +FË
EXERCTcE 748

L.

2. læs points A, B etC ne sontpas alignés, (e;EÈ,ft)


est donc un repère du plan.

3. A(0;0), B(l;0), C(0;l)


"ru(],r).
n. fr (*-t;y) etaT(-r;t)
B [æs coordonnées de P vérifient donc x -L = -?5 "t
2. rt =iÂl++rt l- 1-
, ?. o., dearit P lr9 r ?.|.
'/ -= 5' vuvrs"-*"'
"n Is's/'

"t
=--AB
222 --AD +AC --DC (;' ;), a"t(ei,en)=o
!- 1- læs vecteurs
1(;',) "t
AP et ÂN sont colinéaires, les points À,
=--AB
22 --AC +AC N et P sont donc alignés.
6.4. GÉOMÉTRIE 547

EXERCICE 752 2. a. læs points Â, B et D ne sont pas alignés,


Les points A, B et C ne sont pas alignés alignés, on peut (e; É ; ao ) est ao"cun repère du plan.
donc choisir le renCre (a;7Ïi, eô). b. .4(0;0), B(r;0), C(I;I), D(0;I), ,(i'r), .(t'à),
fr=seÈ d'otrD(3;o),
3- / 3\
AE= -AC a'our[o;7J
"(,1',)""(.'3).
EÈ = zEô : rt
= -Æ' +zÉ @nintroduisantA "1(;ü"Ec(;'i)
par la relation de Chasles d,ans les deux vecteurs) d'où d. HG = EF , on en déduit que EFG.EI est un parallé-
F(-t;2) logramme.
3\
ar
-t (-4i2)
[-s; r)etDF
EXERCICE 756
a,t(oË;oî)= -ua= o

fæs vecteurs DE et DF sont colinéaires, les points D, E l. Dans le repere (o; oi , oi)
et F sont alignés. O(0; 0), 1(1; 0), /(0; 1), K(-1; 0), I(0; - 1), â(r; - l),
B(l; l), C(-1; r), D(-1;-l)
ri t-t;r1,fr o;zl etEî ez;-r).
EXERCICE 753 2. Dans Ie repCre (a ; fr tfr),
l. Les points A, B et D ne sont pas alignés, ,G';),,(i4,, ('' i), r(0,
)),
aro'or,
(e;1Ë ; aD') est aonc un repère du plan. B(0;1), C(l;1), D(1; 0)
"(i''),
2. â(0;0), B(1;0), D(0; 1) etrl(1;1). 1 I I
rI 2' 2
ÂB (1;0) et BK
2'
1

..,(i,,),,(,, i) ;)
\ " I"(-1,
l\ EXERCICE 757
+. xt -/
-(rlr;-r),It l-r;r) Dans Ie repère orthonorme (a ;f ,;) ur."ï = |;f
-7 7 .7\
(-i,-,), tr (-r, ]) a"t,; =( -r'rr etu = -AD
l+
:
3
C(3;3), E(1;0), F(0;2) etB(3;0)
EXERCICE 754
on en déduit cË ez;-ll çt;2)
"rflf,
l. Les points A, B et D ne sont pas alignés, CË .EF = 6-6 = 0, les vecteurs sont orthogonaux, les
(e; fr; ad) est donc un repère du plan. droites (CE") et (BF) sont donc perpendiculaires.
2. A(o;o), B(I;0), C(l;l), D(0;1),
l+ 2- lt 2\ EXERCICE 758
AE =-AB -iAD a'otr[5;-5J
Dans le repère orüonorme (r | ;, ;) uu""i = !æ
EF =zcË 4- (.r- rii.l=(o;-z)d,oùF(l;-2). l+ / 3 3\
_tl
r. ar [5 - 52\)et AF (r; -2\. et u - iED
: E(0;0), C(3;3), et ,l-ZrZ)
;

4. îF = sar'', les vecteurs rt on en déduit cE'ra;sl O (-;';)


"trt sont colinéaires,
les points A, E et F sont rConc alignés.
qq "
CE .EF = - i - i = 0, les vecteurs sont orthogonaux, les
22
droites (EF) et (CE) sontperpendiculaires.
EXERCIcE 755

t urt =eî+fr
q+ l-
+nF
EXERCICE 759

= -AB + -BC. l. Soit P(.r;y) et Q(xt ;yt)


43 n
b.HG=HD+DG=-ÀB+-BC.
e__ !_ ,e;( )o ;F['-''lt/ o'oo P(5;-1).
43 \'21 \v-
c. HG = EF, on en déduit que EFG.EI est un parallé-
logramme. - (3)",æ ('-;'i' ) o'", o ( i' - i )
548 CHAPITREq. CORRIGES

I I
2. P-0' ( 3
et PG (-i') 6. AM.n = (,:,) (f )=
-i..',,-i
3 7
Fd = sP-d, les vecteurs Fd p-q sont colinéair.'s, d'oùr D: -7x+ IOy- 10 = 0.
"t
les points.Ç Q et G sont donc alignés.

EXBRCICE 763
ExERCICE 760 Soit n et n' les vecteurs normauxrespectivement à 2 et
l. B(r;0), M(x;x), P(0;x) et Q(a l). A
2. N f* -t; t) etP?(1; I -r) Les droites D et À sont perpendiculaires si et seulement
d'oùrrQ Pd = - +I *-l= 0. -x sin.nt =O.
3. Quel que soit le point M, Ies vecteurs B-[ et Fd scnt l. r(1;-3), n'(6;2)etn.n' =6-6=o
orthogonaux. On en déduit que les droites D et sont perpendicu-
laires.
^
ExERCICE 76t
2. n (4;l), n' (l;-2) et n . n' =4-2=2
On note 7 un vecteur normal, 7 un vecteur directeur et
On en déduit que les droites 2 et ne sont pas per-
A un point de la droite. ^
pendiculaires.
t. i tz;zl,i f-s;zt et A(l ; -r). s. 7(r;r *{4,7 gt-,/l"ti .î = 1+r-2 =o
2.n (B;-1), u (r;8) etA(-1 ; -2) On en déduit que les droites D et A sontperpendicu-
3.n (-r; {4,î ç'/2;r) et A$ ; A. laires.
4.n (3;-L), u (r;3) et Â(2 ; r)
5.n (o; 1), ;(1;o) et A(2 ; \/1). EXERCTcE 764
6.n
lr 2\ - (-4;3) et A(-2;
,)."
lZ,
-6) L;Q;-3)
2. i estun vecteur directeur de A, M appartient à A si
ExERcICE 762
et seulement si au(i;Ifr)=o.
l. M(x;y) un point de D alorslrt -î
Soit = O
t.".1
AM n = (;-
l) (t) =.-,. 3y J au(î;Efr)=l'' l=zy-a*u-e
d'otrD: x+3y-4=O. tl-. ,-,
| I

a
d'otr une équation de  : 3x + 2y - 12 = 0.
x
2. AM.n = (, =-2x,+y+2 ExERcICE 765
d'oùD: -2x+y+2=O.
+2 )( 1

I r. O(0;0), À(3;0), D(a;0), C(0;3), B(3;3), E(4;1) et


x-l F(3;1).
3. AM n
v ) (fl =-L**I*l, 2. @n: x-3y=Q,

d'oùD: -4x+9y+4=O.
4
tl14 r I

detlcE;cu )=l l=ay-rz*z*


4. rn;=(î;:) ')

-5
=2x-4-5y-15 l-"-'l
1
d'où (CE): x+2y-6=0.
d'où D: 2x-5y-19 =O.

5. AM.n
x-2 5 0",(ud,ert)=l' ' 'l= y-3+3x-9
=
y-2i)( -1 =5x-10-y+2
d'oùD:5x-y-8=O. d'où (BD) : 3x+
l-',-'l
y-12=0.
6.4. GÉOMÉTRIE 549

3. læs coordonnées de P vérifient le système Une équation de D est donc de la forme


x-3y - O ax + by + c = 0 avec c = -axA - bYA.
x+2y-6 2.u (x; y) est un vecteur directeur de D si et seulement
si ï.i =o.
onoutientr(f :) u î = ax+ by- 0 <-
-!b xbsvecteurs direc-
y=

4. 3 , + *2 - rr= 0, P e (BD), on en déduit que les teurs de D sont donc de la forme (-t-i-)
55
droites (OF), (CE) et (BD) sont concourantes en P' r = -b :i (-b; a).
soit en choisissant
Réciproquement: onvérifie qu"î'î = -ba+ab =o.
EXERCICE 766

r. O(0;0), A(3;o), D(2;o), C(0;3), B(3;3), E(2;1) et EXERCIcE 769


F(3;1).
2. @n: x-3y-O, L AM=R.
2.AM= (x-xa)2+(y-ya)z d'où par passage au
2 x 9: (x- xfi2 + (y - la)2
carré, une équation de = Pz
aæ(cË;crt) 2y -6+2x
3. (x-xa)z*(y-ya)z-R2 aMZ=R2
-2 y-3i - C)M=R
d'otr(C,E"): r+y-3=0 - Mee.
-
a"t(nd;trt)--l
-' '-,,l=
-/+3+3x-9 ExEncrcE 770

d'où(BD):3x-y-6=0.
l-"-'l t. x2+ÿ=4
2. (x+l)z +U-ù2 =et
3. læs coordonnées de P vérifient le système
3. (x-3)2 +(y-2)2 =S
I
) x-3Y =g 4. (x+l)2 +(y+112 =1
lr*y=3 5. (r-6)2 +(y+4)z =5
On obtient P (;';) 6. (x+5)2 +(y+2)2 =2

93 7. (x-3)2 +(y+3)2 =+g


4. : - : -6 = 0, P e (BD), on en déduit que Ies droites
3x
_,
44 8. xz +(x+ t/z)' =3
Qn, GE) et (BD) sont c:oncourantes en P.
EXERCICE 77I
ExERCIcE 767
l. (x+1)2-l+(y+3)2-9+6= 0soit(x+1)2+ (y+112 - +
,. A(o; r),,(;' +)
",(, " +,;) e est le cercle de centre C)(- l; -3) et de rayon R = 2.
2. (x-2)2 -4+(y+4)2 -16-7 =0soitencore
""(+)""(î) (x-2)z +(y+4)2 =ZZ
€ est le cercle de centre C)(2; - 4) et de rayon R = t/27 .

art(4i;rt) = 0, le ve'cteurs sont colinéaires, les


3. x+
I 1r)'=u
points A, I et,I sont don<: alignés. , )'.(r-
e est le cercle d" o (- a" ruvon R = t/G.
ExERcIcE 768 "".,t " |, ]) ",

l. 2 une droite de vecteur normal î @;b) passant par


4. (,+
I)' .(r.;)' = ,e est re cercre de centre
le point Â(ra;ya).
t (-i,-i) et de rayon R = f .
M(x; y) un point de D si et seulementsi n .AM =O.
5. = l, e est Ie cercle de centre o(-1;
; ,n =(;)(;_n == ax- axA+ by - by6
(.r+ l)2 + (y
et de rayon.R = 1.
-l)2 1)
550 CTIAPITREq. CORRIGES

6. (,- f,)'
.tr-.rl'=-7 la résolution du système permet d'obtenir I{(2I;27).
Il nlexiste pas de points M vérifiant cette équation .
EXERCICE 774
7. (x-2)2 + (y+3)2 = 13, e est Ie cercle de centre C)(2; -.3)
et de rayon À = y'13. l. M appartient au e de diamètre [ÂB] si et seulement
situî-tttÉ =0.
8. (..:)' . p-i)' = i, e est le cercle de centre
MA,MB = -l--r
2-y )(;-;)
t (-;, ;) et de ratonR =s4.
= *2 -zx+f -6/+5
soitl'équation de e: # -zx + ÿ -6y+5 = 0.
EXERCIcE 772

L. (x 4)z + (y + 2)z = 9 e est le cercle de centre C)14; -.2)


2. 1Ë Pn=(;) (.;_)
-
et de rayon 3.
=4x+2y-4k
d'otr D d'équation : 2x + y - 2k = 0.
2. . Si x = 0 alors (y +2)z = -7 cette équation n'a pas de 3. Les coordonnées des points M1 intersections de D
solution réelle. x2-2x+ÿ-6y+5=0
. y = 0 alors (x - 4)2 = 5 cette équation admet de ux
Si et € vérifient
y= -2x+2k
solutions réelles xl - 4 + lE et x2 = 4 - \/5.
x vérifie donc l'équation du second degré (-E') :
I coupe l'axe aux points A (4 + rÆ;0) et B (a - y'B; r)). 5l + (10 - Bk) x + qlê - L2k + 5 = 0
3. Une tangente en M au cercle est perpendiculaire au
A=l6k(5-k)
rayon,soitO7.lil =0. . Si k < 0 ou k > 5, A < 0, l'équation (E) na pas de
aî ûn=(fl (,
ï.')
r/5x+2y-5-4t/E
solution réelle, D ne coupe pas €.
. Si k = 0 ou k = 5, A = 0, l'équation (.E) admet une
=
solution par chaque k,
d'oùr 16 : t/-Sx + 2y - 5- at/ 5 = O.
-r0 = -l etx5 =Jalorsyg =2etyS=4.
aË.,rt = f-'Æ]
s'D'Dtvt-|. .[x-++'/s\ 2 et e sont tangents en / et B.
,/[ v ) . Si 0 < k < 5, l'équation (E) admet deux solutions
= -t/5x +2y - S+ 4\/ s
distinctes.rl = -s+ak+zt/E$=E et
d'où I3 : -t/Ex +2y - 5+ at/E = O.
5
4k- 2\/T$-E
*'k= -5+
5
to+zk+zt/E$=E
ExERCICE 773 alors y1 - 5
et
t. Iæ vecteur 87 est un vecteur normal à la hauteur s- lO+2k-2 \/86:E
sue de ;{ dans le triangle dBC.
vi= 5

.Trt = l,-t] l'- = -sr+s+4v-8t'l


Bd La droite D coupe e en detx points de coordonnées
\+ I \t-z)
Equationde la hauteur issue de A: -5x+ 4y-3 =rl. @r;y*) "t(*,r;/1,)
2. Le vecteur 7d est un vecteur normal à la hauteur .s-
EXERCTcE 775
sue de B dans le triangle ABC.
/,-:\ /-s\ n(i';)
AC'BM =tr,|
[, ,|=-3x+e+2y +2y +9
'' Déterminons les coordonnées de ËI : pour cela il faut
Equation de Ia hauteur issue de B : = tl. -3x les équations de @A et(AII)
3. læs coordonnées de I'orthocentre I{ du triangle AI lC (BC): cx+by-bc=O

vérifient le système
-5x+4y -3 (AI1): -bx+ cy =0
-3x+2y - -g La résolution du système composé par les deux
6.4. GÉOMÉTRIE 551

équations permet d'obtenir


b& tc b= ABerc= AC.
-ÉI
tP +c2't +& l^'+,+)**
d'oir I
b&
F;7 ')"'('' h) B(b;0), C(0;c), D(b;-b), E(o;-b), F(-c;c)
On a alors
et G(-c;0)
. Equation de (BC) :
z. AAt .II
3.
=
G';)(-,i*'#)*
Le produit scalaire précédent est nul, on en déduit
-b r-b
a,t(Ed;Ert) -by-cx+bc=0
alors que des droites (AAt) et (U) sont perpendicu- cy
laires.
d'otr (BC) d'équation cx+ by - bc
. Equation de (FD) :
EXBRCICE 776
En uüIisant un résultat de l.'exercice précédent, on ob- x+c
t4 2\ d,e F6;Frt)=
tient III -: - l.
ts'5/ b+c y-c
Déterminons les coordonn(ies de /:
,I appartient à D d'équatioî ÿ = a et à (4, d'équation - -(b+ c)(y - c) - (b+ c)(r+ c) = 0
x+y-2=0d'oit,I(l;1) d'où (FD) d'équation x + y = 0
. Equation de (GE) :
Déterminons les coordonn(ies de I :

I appartient à D d'équatiot't y = x et à (AI) d'équation c x+c


/r r\
x+y_r =0d,où rlZrZ) art(cË;crt)= =cy+bx+bc=o
-by
Hî . Hî = (-,,4' o. on déduit donc que
rf ) (à' | ) = ". d'otr (BC) d'équation bx+ cy = -fuç
L appartient au cercle de driamètre [1/1. . Recherche des coordonnées du point 11 intersec-
tion de (BC) et (FD)
ExERcIcE 777
x+y =0
t crt .É = (*- ";y - il.@ - ",i - i) Il faut résoudre le système
cx+ bY = ls
= (x - c) (b - at + *(t - - tt parhlpothèse ;{BC niest pas isocèle donc b I c
soit après simplification, on obtient:
i)a bc b"\
on obtient I1
(x-c)- a- v- a, t-b'- ,-b)'
at) c
=0. . bc bc bc(b- c)
aZ a abc c-b c-b c-b
2. xa-- , etYH=- H €(GE)
aoc JcH d.
3. Pour obtenir l'équation de la hauteur issue de B, il Les droites (BC), (FD) et (GE) sont donc concou-
sufÊt de permuter b et c dans les calculs précédents rantes.
ce qui ne change rien dzms les erçressions des coor-
ExERCICE 779
données de Il donc I1 €lst aussi sur la hauteur issue I I
de B. On en déduit alor; que If est l'orthocentre du
Dans le repère orthonormé A; AB AD ona
5 5 )
triangle ABC. C(5;3), B(5;0) et ,(i,.)
9\
ExERcIcE 778 n EÈ=B ( -51=o
3)
fi1r
l. BAG = BAC+CAG = r que les Les droites (ÂC) et (B-E) sont donc perpendiculaires.
22 = = on déduit
n, en
=
points A, D et G sont alignés.
1t 1r ExERcrcE 780
EAC = EAB+ BAC = -r: = n, on en déduit que les
22
= t. A' (0,5 ; 0,5), B'(0; 0,5) et C'(0,5 ; o).
points Â, E et C sont alignés.
2. On se place dans le repère orthonormé z. Cî =?u,É =1,?,-1)
3 \3' 3,
552 CTIAPITREï. COHRIGES

I 2
Gd ='U"G =( G est le centre de gravité du triangle l{BC.
3'3 3. a.AB.CtM =- x-By+B
3. det (G;'; cd) = : 10, les vecteurs 8G et GC rre
J Â6' d'équation x + 2y -2 = g.
sont pas colinéaires, 1,' est bien un repère du plan. 2l
b. BC .At M = 9x+6ÿ-
4. Dans le repère 1,' : A(-l;-t), B(l;0), C(0;.), -2
À,q d'équation 6x+4y-7 =0.
* (;' ;),,' (-;'o) et c' (,, -i) .+.....:-
c.AC .BtM -5x-2y- -2
5

5. Soit M le point de coordonnées (*;y) dans les derx


À3 d'équation l0x-4y-5 =0.
repères, alors:
d. Les coordonnées de O vérifient Ie
îrt =*V; *t6 (
) x+zY =z
système

crt = *cË *ycd I


D'autrepart ffi =É *crt =!6;.æ1.at [10r-4Y=S
d'oir Ia résolution du système dr""" o(;
I ,-
35 ' ;).
, (AB + AC )+ xcB
xAB + yAC = + yGC
e.6 x -: +4x -7 = 0 donc O appartient à À4. O est
I /+ +\ (2- 1.+\ 48 =
=IIAB +ecJ+x[5AB _iAC) Ie centre du cercle circonscrit au triangle ABC.

2 1_\ +. uEd.fr =9r+6y-36


+y AC __ABI
5 3) Drq d'équaüon 3x + 2y - L2 = 0.
,fr *yfr = 2x-y+l\
3) AB+
2y-x+l
3
AC b.fr.Ert =sx-2y+t6
Par unicité des coordonnées, on a
Ds d'équation 5x -2y + 16 = O.
[2x-v+l=3x ..É.crt =-.4x-By+sz
{ x+y-r=o D6' d'équation x +2y
- 13 = O.
l2y-x+t=3y - d. Les coordonnées de II vérifient le système
Tous les points de la droite d'équaüon x + ÿ -I =0 I
12
(droite (BC)) ont les mêmes coordonnées dans I,:s )3rc+2Y =
\
deux repères. lx+2y = 13
la résoluüon du système don n(-l2't 1).
EXERCICE 78I ""
t27 -- + 16 0 donc -E[ appartient\ 4)
e. -5 x I24
-2x = à Ds. I{
,. (T',), r' (l ; s)etc' r-z ; zt
o'
est l'orthocentre du triangle ABC.
z. u det(îrt t oî) = -sx - +t *s. ôd[-1, g'l
f,t "" t t2' z4)""'" [o'-19'l
",Ed[9, rzl
d'où I'équation de la médiane du triangle âBC issrre
nd = -26( ,les points G, O et,ÉI sont donc alignés.
deA:l0r+y-6=0.
a. aet(art ; aî) = z x - * r,
f, , ExERcIcE 782
d'où l'équation de la médiane du triangle u{BC issrre
deB:l4x-I3y+30=0. l. Soit K un point tel que Oi = OÂ * OË * Od .

a, t (cfr ; cd) = -z* * z y - ts Soit Â' le miüeu de tBCl, @A\ est médiatrice de
".
d'où l'équation de la médiane du triangle â8C issrre lBCletOB +OC =2OAl
de C: -2x+7y
- IB = 0. On en déduit alors que 1î =zOî , or (OAt)et (BC)
d. Les coordonnées de G vérifient le systènre sont parallèles, Ie point K est donc sur la hauteur is-
t
) l0x+ Y =6 sue de A.

I l+.r - tay = -ss On montre de même que K appartient à la hauteur


issue de B et à la hauteur issue de C, K est donc l'or-
La résolution du système donne G (à' 3) thocentre.
e. -2, L+ 7, 9 - lB = 0 donc G appartient à (CC') Ainsi K = Ir et donc OÈ = OÂ * oË * od
33
6.4. GÉOMÉTRIE 553

2. OA +OB +OC = OG +GA +OG +GB +OG +GC 2. Ap et By appartiennent au cercle et leur abscisse est
=3ôdc,ar cî*cî *cd=6'. égale à k, on en déduit alors que leur ordonnée véri-
3. D'après les questions précédentes oE = sdd, tet fre*=ÿ6ortçy=+k
points O, G et ËI sont donc alignés. En supposant que les points Ak sont d'abscisse posi-
tive, on obtient:
EXERCICE 783 Liensemble des points A;, est la demi-droite d'équa-
tiony= xavecx:--O.
l. e d'équation: (x-3)2 +(.y-3)z =25
Lensemble des points Bk est la demi-droite d'équa-
. Intersection avec l'axe ctes abscisses :
tiony--ravecr<0.
/=0et(r-3)2=tO
On obtient deux points Àfi (-l;0) et Mz1;o)
. Intersection avec l'axe des ordonnées : EXERCICE 785

Pour des raisons de symétrie nous obtenons


L Eî.Bd =setBl .Ed =-2x+3y+2
Me(0;-1) etM+(0;7).
d'où -2x+3y =7.
2. € d'équation : (x+ 1)2 + (,y -2)2 =36
det(Bî;Bd) - 3x+2y-16 = o car Â'e (BC)
. Intersection avec l'axe des abscisses :
Iæs coordonnées de â' vérifient donc le système
ÿ=oet (x+t\2 =32
On obtient derx points 6(-t-+A;o) et [-z**ty=z
'[rr*ry=ru
u2(-t++t/Z;o)
s3'l
. Intersection avec l'axe «les ordonnées: La résolution du système donne A' lr34 .'
Irs re/
x=0et (y-2)2 =95
2. Bd -Cî = -+eta' C.Cî = 4x+4y-28d'où;+y = 6.
on obtient deux points u3(o;z-t/æ) et
det(cÿ ;cî) = 4x - 4y + t2 = o car Bt e (Aa
ua(o;z+t/tÿ.
Les coordonnées de B'vériflent donc le système
3. e d'équation: (x- l)2 + (y -l)2 = 5
. Intersection avec l'axe des abscisses : J"*y=6
y=0et(x-D2=q, l'-r=-' 3 I
On obtient deux points Àf1 (I;0) et Mz (3;0) La résolution du système donne B'
. Intersection avec l'axe «les ordonnées :
, ,
Pour des raisons de symétrie nous obtenons Mg (0; l)
BC . BA =9 etBC' - BA = -6x- y+26
et M+(0;3).
d'otr -6r-y = -17.

4. € d'équation: x2 + (y +2',t2 = 2
dr4Bd;BÂ)= -x+6y-8= 0 car C'e (AB)
Les coordonnées de C'vériflent donc Ie système
. Intersection avec l'axe des abscisses :

Y=oet* =-z J-ax-y=-rt


Ie cercle ne coupe donc çras l'axe des abscisses. l-r*uy=u
. Intersection avec l'axe des ordonnées 94 65
:
La résolution du système donne A'
37 ;
J'
x=0et (y+2)2 =2
nous obtenon s luts (o; -z - '/2) et M4 (oi -2 + \/1) .
ExERcIcE 786
1 I
EXERCIcE 784
Dans le repère ( D
i DC 4
DA
)
on a A(0;4), I(4;2) et

l. Les cercles ep sontd'équation xz + (y - k)2 = l&. /(3;o)d'où, (;)=,


On remarque que si .r = ÿ = 0l'équation est vérifiée "=(:)
la droite (14) est perpendiculaire en / au diamètre du
quel que soit le réel k. tJn en déduit donc que les cercle, la droite (Â1) est tangente au cercle en I
cercles €1 passent tous par O.
554 CIIAPITRE 6. CORRIGES

BXERCICE 787 ExERcIcE 79I


L ort.î =-, o l. /++\
\,, u ; u
æ ax+by+c-O
0 (;)= -c lO ; I

équilatéral alo.r
estorthonormécarle triangleÂBCétant
ôFf IA', d" plusparleur définition
î sontdenormet.
"tî
2. ]levecteuri est normal à 2, il est donc colinéair: à z. d(-i'o),a(i;o)"tc (,,+)
MoH.
3. MgH.n=OH.n-OMs.n s. ad(acosao; d',rc("!:f | î)
asin30),

=-t-oû-1
d'autre part Mæ .; =
oG .î *, ^
ll;ll'
77(- acosso ; asin3o 1,o'"r,(-i--f ,
i
o oü zt =-
,(o,i)
--=-.
lln ll2 t+ 1+
K est Ie milieu de [CG] d'otr K a '/i a-
4. MoH = Mfr il= tLt xI lln ll
44
ofr ,; +
il

I est le milieu de [C1] d'où I t+r/5 r+y'S


_ laxo + byo + cl 44
lln ll JA +P
4. LK2=Çtr.,tll
ExERcICE 788

r. d(M; D)= 13+6+11 = lg =


toy'l3 1 Kz = 1Lz=
t' {ro*rrro =
Ç e* rtl
'/R l?;7 13 læs trois distances sont égales, Ie triangle JKL est
lo+o+11 donc équilatéral.
' JP+P=L=fr2
2. d(M;D)-
'/Z ExERcrcE 792
3. d.(M;D)= l-+-z'/s+tl r + y'5
e1 d'équation (x+I)2 +(y-Z)z =S
J7+7 '/53 ou encore.r2 + ÿ + 2x - 4y = o
lr*l*tl
l"' s ''l €2 d'équation (x-l)2 +(y-+)z =g
4. d(M,21=
' -ttt/s7
t/A2+ÿ III ou encore 12 + 1P - 2x - By = -B
Les points d'intersections des cercles vérifient les detx
ExERCIcE 789 équaüons, ils appartiennent donc à la droite d'équation
r. R=d(a;D1 =13*2+11 =3112. x+Y=2.
t/tz +t2
On en déduit I'équation du cercle :
EXERCIcE 793
(x-3)z +(y-z'12 =19.
l. C'le milieu du segment [ÂB]
2. R = d.(a, 21 = !-1:ë1
Soit
= 4.
t/
On en déduit l'équation du cercle
+2 +s2
:
Ma n=(;:l) -6
( 2 = -6x +2y - 14
(x+ l)2 + (y -5)z = 16. d'oir l'équaüon une équation de la médiatrice du
segment lABl:3x- y -7 =0.
ExERcrcE 790 Soit B'le milieu du segment [AC]
lo+o+ t/ttcz *l
!--------------- Mî n =(;;1 4
R= d(Oi ÿ) = =2. =4x-lOy-36
k2 +t -10
'/
Le rayon est indépendant du réel t, les droites 1)p d'où I'équation une équation de la médiatrice du
d'équations ÿ = mx + t/ +kzi tangentes lu segment lACl : 2x - 5y - lB = O.
"ontdonc 2. læs coordonnées de O vérifient les deux équations
cercle de centre O et de rayon -R = 2.
précédentes. [a résolution du système permet d'ob-
6.4. GÉOMÉTRIE 555

I 17 40\ 796
teniroIr,;_13J. EXERCICE

J2B2s
taî.ï =3x2+6x(-3) --I2
3. R=.4O=rs- 2. c On utilise la relaüon d'Al-Kashi :

'17 , 40 2 zt\zs ACz = ABz + BC2 -2AB x ;{C x cos7Eè = 19.


4. + lt+-
I3 ) '13 169 3. c l'équation du cercle est de la forme (x - 3)2 + (y +
4)2 = 52 soit après développement I
-6x+ yz + By - 0.
EXERCICE 794 4. a Soit M(.r ; y) un point de la droite, alors MJ =o '7
/r- r\ /s\
L. Soit C'le milieu du segment [AB] donc I - l.l - I =3x-3+6y+ 18 = 0.
+ /r-9\ /r\
------: tl \r+a1 107
MC' .AB =lr_i).lr)= **rt-
- 5. b La droite D est de vecteur normal
aA'tS; -Sl
n (3 ; 5) et
d'où l'équation une équation de la médiatrice du
segment lABl : x +Zy - )! =
g aoncl 'É = 15- 15 = 0.
Soit B'le milieu du segment [ÀC] 1 tÉ et; IDdonc D parallèle à (AB).
Mil .fr =f'-rl.1r']=u,-l!2
\r-t7 107
d'où l'équation une équation de la médiatrice du
ExERcICE 797

5 Affirmation l, 7B-' f4l 7D' [u'l


segment lACl:. x- - =O \2)". \0/
. Les coordonnées de O vérifient les deux équations É .fr = 20 * o, les vecteurs eË "tfr ne sont pas
précédentes. Ia résolution du système permet d'ob- orthogonaux, les droites (ÂB) (AD) et ne sont pas per-
tenir O
53 pendiculaires. LlafÊrmation I est fausse.
2'2
5 2 2zs Affirmation2 3+3 x 4-6 = 12 I 0, Le pointB nap-
:2x
.R-AC)- -5, ( )c- -2 + v- -
"2
3
partient pas à la droite d'équatioî2x+3y -6 = 0. llaffir-
) 4
2. Le triangle ABC est équrilatéral, le centre du cercle mation 2 est fausse.
circonscrit est donc auss;i le centre de gravité du tri- AffirmationS: ABz =42 +22 =2O.
angle, soit G ce point et C'' le milieu du segment tÂBl. Une équation du cercle de centre A et de rayon AB est
r.erepère (c;;,;)uu""î = LeË
"; = +cé . de Ia forme:
(x + l)2 + (y -2)2 = 20 soit en développant et en simpli-
Dans ce repère, on G(0;0) ' " a[0,
\ 3)
4'l fiant:

Le rayon du cercle est  ,= CC


of x2 + 2x + ÿ - 4y - 15= 0. tiafÊrmation 3 est waie.
=
3 Affirmadon 4 : Les droites d'équations 2x - 5y + I = 0 et
Dans le repère de centre G, on obtient l'équation du
cercle:l +rP=!. rême vecteur normal ,( 'r)
'3
elles sont donc parallèles.

ExERcrcE 795 -4 x 4 + lO x 2 - 4 = 0, le point D appartient à la droite


[. c car les côtés AB et AD s,cnt perpendiculaires. d'équaüon -4x + l0y - 4 = 0. Laffrrmation 4 est waie.

2. d application directe du cours Affirmaüon 5: On applique la formule d'Al-Kashi


/-z\l.l/ :; \l=-35-l=-36 BCz = ABz + Acz -2A8, ec, cos(Àa' ; ad)
3.a carAB .AC =l
Ir/ \-u on a arors cos
/+
[âB
+\
; AC
)= ^*riî9];!"
4. acat ÂË x AC, cos.É78 = 3 x B x I = 12
.É = AB
2 D'autre part A3 = 1/zo, AC = lL3 et Bç = 1/zs
5.b car x2 +ÿ +4r-6y-3 - 0 <==+ (x+2)2 +(y-3)2 = 16
on en déduit alorc qr" (aE' ;d) =
f
Il s'agit de l'équation du cercle de centre O(-2 ; 3) et de "o. '
rayon 4. D'où (;E' ;É) =82,87'. LafÊrmarion s est fausse.
556 CTIAPITRE 6. CORRIGES

EXERCICE 798 EXERCTCE 801


Affirmation t:É .rt = ABx ACxcosETô l.
JI Soit M(, ; y) un point de g.
=7xBx Z =z$ttl. On a OM= 5 donc (x+3)2 + (y - 4)2 - ss
llafÊrmaüon I estwaie. En développant, on en déduit une équation de e
rÉ.o6 =1Ë ,I BA
:
Affirmadon2 -0, 5. *+ax+ÿ-By=0.
Lafûrmation 2 est fausse.
2. x I +72 -Bx 7 = 7+49-56 = 0.

faauons
,(i -;).(zi +zî)=s,i -zû -î .i 12 + 6

Iæs coordonnées de â vériûent l'équation, le point A


ll et u sont deuxvecteurs orthogonauxdonc u u
.
= O, appartient donc au cercle e.
on en déduit alors que: 3. La tangente à e au point A et de Ia droite (Ou{) sont
(; -;).(sî *zi)=3x22-2x33 =-6. perpendiculaires en A.
Laffirmation 3 est fausse. 4. Soit M(x;y) un point de la tangente. D'après la re-
Âffirmation 4: A est d'équation : marque précédente,Àrt'ao = o.
3x -2y +3 = 0, après simplification, une équation de Ia
droite (D) est 3.r-2y-
'2 :
I
= 0.
' Âil['-')
D'autre oart
\v-zl"r;ô'lt-n'l
\-3/
D'où -4(.x - l) 3(y 7)
- soit en développant et en
- =0
læs droites sont donc parallèles.
simplifiant :4x +3y -25 =0.
L,iafûrmation 4 est fausse.
2 5. Les points d'intersection de e avec l'axe des abscisses
Affirmation 5: Le vecteur 7 est un vecteur nornLal
vérifient Ie système
-3 :

à la droite, une équation de cette droite est de la form ) I


) v=o
2x-3y+c=0. *ar*f-By=o
IÆpoint â(5 ; -2) appartient à Ia droite donc c = -16.
l*
la résolution de ce système donne deux couples so-
Laffirmation 5 est fausse. r
Iutions = 0, y = 0 et.r = -6, y = 0.
Les points d'intersection de e avec l'axe des ordon-
ExERCIcE 799
nées vérifient le système :

l. BÂ (-190;110) etBC (-274;-68). Ix=o


I
z. EÂ.Bd =44580.
lÊ +ax+ÿ -By=o
,. llrTll =nt/M,etllrdll= rc,/1s2. la résoluüon de ce système donne deux couples so-
44580 Iutionsx=O, y=Qs1a= 0,
4. cos,ABC = ---------: d' oi ABC = M", /=8.
lo0\/482x797 læ cercle € coupe Ies axes atx points O (origine du
Ia contrainte est donc respectée.
repère), 1(0; 8) et,I(-6; 0).

EXERCICE 8OO
EXERCIcE 802

L. On applique Ie théorème de Pythagore dans le t:i- l.


argle PEL
Â
OnobtientLE = 4t/2.
:l 123
2. On applique Ia relation d'Al-IGshi dans le trianlfe
-l
LET
-2
LTz = LE2 +TEz -zLE x 7E x cos30 =57 -2o{6
d'oùLT =2,8.
3. On applique le théorème de Pythagore dans le t:i- . ,-n
angle isocèle rectan$e LAT :

2TAz = LT2 d'oùTA=CLT =2.


2
2. Soit 7 un vecteur normal à A, on ui (t ; z)
6.4. GEOMÉTRIE 557

3. 7 est un vecteur directe:ur de la droite perpendicu- 5. O appartient aux médiatrices (D) et (D'), ses
Iaire à À et passant par,4.. coordonnées vérifient donc le svstème (S) :
(
Une équation de cette droite est donc de la forme
)x+Y=7
\
2x-y+c=0.
[3x+Y=13
Le point A appartient à cette droite, ses coordonnées On peut résoudre ce système par substitution:
vérifient donc l'équatior. : 2 x 2 - I x (-4) + c = 0,
(S).-{"
I r=z-x lzx=a
on en déduit alors que c = -8. -{ lt=z-x
Une équation cartésienne de la droite (d) est donc
lzx+7 =13
On en déduit alors que les coordonnées de O sont
2x-Y-8=0. (3; 4).
4. 11 est le point d'intersection des droites (d) et 6. Âo = la-ÿ + @-t - J2o =2/5. Lerayonde e
A, ses coordonnées rérifient donc le système est R 2t/8. =
(
),| x+zY = -1 7. Une équation de € est obtenues par la formule :

l2x- Y =s (x- xa)z +(y- ya)= n2


La résoluüon de ce systÈ:me donne la solution r = 3, soit (x - 3)z + (y - 4)2 = 20.
Y=-2'
Ainsi I1(3 ; -2). EXERCICE 804
5. La distance entre le point A et la droite  est égale
a\
AH= (xn - xe)z * (yn - ye)z = Ji. t. a.AB -/-r\
-/ [_rJ"o.t, ,|,
d'où 78' .rt (-l) + (-2) x 3 = -10.
= +x
ExERcICE 803
u. ||7r'tt = \/F +ezF =,/zo=2,/i
l. Le centre du cercle e est le point d'intersection des lTdl = v/Crÿ +F = ÿTr,.
médiatrices. c. En utilisant Ia formule d'Al-Kashi, on obtient :
/+ AC)= ABz + ACz - BC2
cos[/B ; -\ '
IAB,AC
Ona BCz = 50 d'oir :

/-:-? -:-=l 20 t/2


cosIAB i AC
)= - ,,fr= -:-.
On en déduit alors que (7r' ; ad) = ras'.
2. a. Le vecteur Id est un vecteur directeur de la droite
(AB).
soitM(r; y),on a4fr@+z; y-l).
2 -'1,.
567 Le point M e (AC) si les vect",r., Ad et Aü sont co-
linéaires, donc si (-l), (y- l) -3 x (r+2) = 0
2. Soit C' Ie milieu de tABl et M(x; y) un point de (D)
Ainsi 3x + y + 5 = 0 est une équation cartésienne de la
on -/a\c,r+
a AB
[oJ,
; sr
" c;_!-nl
r
\y_s/
droite (AC).
Par déflnition de la médiatrice, b. Déterminons une équation cartésienne de la hau-
ona AB . Ct M =6(x-4) +6(y-3) = $ teur du triangle ABC issue de B, c'est-à-dire de la
Donc après simplification .r + y -7 = 0. droite perpendiculaire à (AC) passant par B.
3. B'(4; 1). Le vecteur 7d est normal à cette droite donc son
équation est de la forme - x + 3y + c = 0.
"" --";Ç(.-n1.
4. onaAdlr6l* " \z/ \y-rl' Le point B appartient à la droite, donc ses coordon-
M €(Dt) o fr .n'i =o nées vérifient l'équaton -2+3x (-1) + c = 0 donc
ç::3 J;4 y - lJ := Q. c=5.
558 CIIAPITRE 6. CORP{]GES

Liéquation recherchée est donc -x + 3y + 5 = 0. ExERcIcE 807


Les coordonnées du point If vérifient le systènre L. a.(; .i)' = r'*'' +zxxtyyt + ÿyD
Iu*y=-5 [stay+st +y=-s
(a"t(; ,;))'z = *yo -2xxtyyt + ÿx'2
l-r*rr=-, - 1r=3y+s
a'otr (7 .ï)' * (a,t(î,î))'
[rcY=-2s
-{ = xz (x'2 + yD) + f (*o * yo)
Ix=3y+5 = (x2 + ÿ)(*o * y',)
On en déduit alors que y = -Z et .r = -1, soit
H(-r; -2). = ll;ll" ll;ll'
u.(a"t(l ;))' =ll;ll" ll7ll'- F ;)'
ExERCICE

L 7M
805
=1Ë +zci +zoî ;ll" 7ll'- llTll' , ll;ll'"",2 (7;7)
= AB +ZCB +2BA +2DA ;ll" 7ll'(r -*,, (;,7))
=BA+4DA=u
ll7ll" îll'z"i",(î;î)
d'otlaet (;,r)l =
+ud +rwË =llr-dll ll;ll , ll;ll , 'i"(7;;)
2.
ll*î.*Ë z. A=!en , ec, sin (AF,rt) =
.- ill;ll
llôilll = 2 ila,t(e;,æ)1.
M est sur le cercle de centre O et de ray<rn
_BA + DA ,.0",1m,æ1=l* ' =osd'où4= E.
2
4 I

-rol
l-e
EXERCTcE 806
t e = !,qc x BH =146, 4asir,Â= lDcsinâ. EXERCICE 808
222 l. ABCD est un parallélogramme, son aire est donc
2. D'après la formule d'Al-Kashi:
BC2 = ACz + ABz -2AC x r,lB x cosâ ésaY =lo",W,B)1.
d'où cosâ =
t +& -az Soit â8 (a; b) et C D (c; d) avec a, b, c et d entiers re-
2bc
Iaüfs.
s. (sinÂ)2=t-(cosÂ)2
(2bc)2-(t+ê-a2)2 a"t(îË ,fr)= ad-bc l0car ABCDestnonaplati.
4tcz la différence de deux produits d'entiers rela-
(zbc-t -ê +az)(zac+t +ê -a2 tifs est un entier relatif, on en déduit alors que

lart(eË,fr)l ,r, entier naturet non nul donc


"rt
.4.> r.
2. Soit II le pied de la hauteur issue de C, ABC étant
(a - b + c) (a + b - c) (b + c - a) (b + c + a)
+. (sinâ)2 _ équilatéral, on a CH = É ng
4t& 2
zp(zp -zb)(zp -zc)(zp -za)
d,otr.4= L^a*co=fi ea,
@
ap@-a)(p-b)(p-c)
24 lr
d'autre part.4 =
t& )lart@A,fr)l
s. 0 ( sinÂ( r doncsinÂ=
2\/i@= d!P=6@ - c) zla"t6Ë.fr\|
t
'bc
\u, " = fr.
on en déduit alors que
d'oir ,4 = ! b, ,2t/ P(P - - b)(P - ') 3. Supposons que ÂBC est triangle équilatéral à som-
")!P
2bc mets entiers a7orc ABz .tlart(îË ,É)l ront a""*
= \/pW-oO-64=A
enüers naturels non nuls
6'P=g zla"tÂË.Éll
"q=t/sxax3x2=A\/6. 4epç -!---JABZ"---JL = r/5 est un nombre ration-
6.4. GÉ,OMETRIE 559

nel ce qui est faux. On a A(0;0), B(1;0) et C(0; 1).


II n existe donc pas de triangle équilatéral à sommets Equationde (BC) : x+Y-l=0
entiers. EquationdeD i qx+ry-qr =O
Le point P est à l'intersection de (BC) et D, ses coordon-
ExEBcICE 809
( r*u=L
"
nées vérifient donc le système {
L. ABCD étant convexe et inscrit dans un cercle, on a lqx+ ry = qr
On suppose 4 I r, on obtient alors
îEe =o - fre,
d'où cos,4De = - cos.âEZ r(q - r) q(r - r)
En utilisant la formule d'Al-IGshi dans les triangles q-r ' q-r
ABC et ACD, on obtient: .oitp(r(4-r). a(r-r))
AC2 = az +Ë -zbccosl6e q-r q-r
\ )
On obtient alors I (r ; q)
= ê +d2 -2cdcosÂîe = ê +d2 +2cdcosfie
2rq-q-rz q(l- r) r(q-l) . -zrq+qz +r
I q-r )"( q-r
q-r q-r
*t (a7,rd)
d'où2(ab + cdl = a2 + t -&- a2
2. Onpose fr=fre rtPu-D . q0-q)l7V(r(r-r). r(t-q)l
\ q-r q-r I \ q-r q-r I
^ (a2 +t -ê -at2l2,
coszB_ d'otr
' 4@b+ cd) iÏ "tiÊ sont colinéaires,
ainsi r7 = qIî,les vecteurs
. a^
sinz6=1-
bz+t-&-d\2
\
- 4(ab+ ctl)z
les point 1, ,I et K sont donc aligaés.

4(ab+cd)z -(az- +t -ê -a2 EXERCICE 8I I


4(ab +
Si ÿM est une tangente à € de centre O passant par A et
_(@+b)2
-(c- attz)(rc* at2 -o-aÿ) si M est le point de contact alors Art .ffi = 0 ainsi M
4(ab + cd)z est sur le cercle de diamètre [ÂO].
, 2 n Qp-zc)(zp-za)(zp-za)(zp-za)
I
4(ab + cd)z l. e : (r-l)' + t' - ;5 doncO(l;0)
l,oa x DCsinÂDôr - !, o, BC sinffir
s=
22 afr.Afr -o <- *+ÿ-tx-ty+2=o
0<§<ndoncsinp>0cl'où
læs coordonnées des points de contact des tangentes
(p -,)(p - a)(p -
")(p -
a)
issues de  sont les solutions du système :
sinP =
ab+ cd
or Æe =n - fre,donc sinÂDô = sinABC "2*1P-z**!=o
(p -,)(p - a)(p - o)(p - u) *+ÿ-sx-sy+2--o
d,oùE=
f,fab+cal,z ab+ cd
I*=-ty*25
= 1f rp-a)@:6@=a6=6.
3. a.AAz =l+22 =5dlB2,=22 -{ ^ 6 4
+12 -S ['oY'- sY- zs=o
3l
- *) *r( 5'5
ACz =22 +12 =Setf,)D= 12 +22 =5
on obtient M1
IÆs quatre points appartiennent donc au cercle de
/+ +\ l#' 77 " 14 ll2
centre O (2;2) et de rayon r/5. \'2525'25l=--x+ -v+ -
detlAM ; AMr
b. AB = r/to, nC =2, CLt = t/fr, DA= 4 ainsi T14, : llx - 2y - 16 = O
/++\ 14 7 7
etp =3+rA0 detlAM ' n1r,t, )= --x+
U/+ !
d'oùr 3 = ,. (y'to + 1) :x 3 x (y'iô- 1) = s. ainsiTy, :2x-y-l=0.
2. e : @-t)z +ty-1)2 =4doncO(l;1)
ExERcICE BIO art.fr -o e x2+f -x-y-o
on se place dans le repcre, (a;78',ad), o" définit la Les coordonnées des points de contactdes tangentes
droite 2 par les points R(r;ll) et Q(O; q). issues de A sont les solutions du système :
560 CHAPITRE 6. CORRIGES

J**rr-2x-2y-2=o donc m1ffi + *2dÇ =f ,

l*'*ÿ-x-y=o lfcr; mi, Gz; m2ll


c'est-à-dire C = bar

y=-)c-2 s. soit E = bar{ ta; rl,f.o;rl


}
E est le milieu du segment [AB]
x2 +2x+3=0
soit F = bar{ @;2),(C;z)l
IJéquation x2 +2x+3 = 0 n'a pas de solution réellt.
F est le milieu du segment [EC]
Il n'y a aucune tangente à e qui passe par le point 4.
c = ua'{tr;al, to;+l
}
EXERCTCE 812 G est le milieu du segment [ED]

l. Supposons qu'il existe deux points Gr et G2 vérifia nt


D C
la relation (l)
nn_
alors f a;QA; -la;C,2ei
i=l i=l
=g'
n-
-, f aiG1G2-0 A
i=I
B
.==, (É ",)c,c,' = d'

o pcfi =l EXERCICE 8I3


m*0donccfd = 0'
On en conclut eue G1 = G2 d'où l'unicité de G. t. Pardéfinitiondel ,A1È -ztd =l
!!t++r soitencoreBT =2CË.
2. \aiGA;
j=I
=LarlCu +uai) 2. En utilisant la formule (2) de l'exercice précédent,
i=l
n-n- nous pouvons écrire Gf = 3GB -2GC d'oir GÂ +
=la;GM +la;MAi
i=l i=l Gi = GÂ +rcË -zcd =î .
Jl le G est le milieu du segment [,41].
=mGM + laiMA;
i=t
n-
d'après U Laicî =l
i=1
EXERCICE
2-l+4 5
8I4
3+4-7
tn l. xç = -----;- - : et ÿC - ------------- - n
5J
d'otr MG I aiMAi .
=:mï=t, 2. Soit P le barycentre des points (A;2), (B;3) et (C; I).
3. La relation (2) est waie pour tout M donc pour M = O ,?= 2x2+3x(-1)+lx4
_=6 5
6
d'où 2x3+3x 4+lx (-7) 11
13 lJ1 YG=
6 t)
xG = et yG =
m àorro, ; \ale,
4. Supposonsl<p<n EXERCTcE 815
Gr = bar{ (ar;a r),{A2; üz),...,(er;a)l t iî +iË =î
cz = barl(Ap*1; a p+t),.. ., (An; e n)l I est le barycentre des points A et B de masses res-
Pn pectives 3 et I.
mr=La,ietm2= L uË =lud or"n"o."ME'4Md =î
i=I i=p+7 "i
n-P-n- M est le barycentre des points B et C de masses res-
dorsf aiGei
i=t
=lapei+
j=I | a;cfi pectives I et -3.
i=p+l
= mtGGt + m2GG2
2. Bü =-i(n -rre)
I-
BtL=:lZg,e+n,nlt
n 4\
orI "icfi =î d'onn'il +zn'î. = +sa'é +æ,i +ni)
i=l )tm
6.4. GÉOMÉTRIE 561

=)1'":.u';1 2. H = oar
ltli;z),o;tt, tc;a)|
= 0' B'milieu de [ACl donczîî +aË *qad =l
"* En procédant comme dans la question pré-
3. D'après la question précédente B'M et B/I sont co- cédente, on en déduit que Ie minimum de
linéaires, les points B', I et M sont donc alignés. . ruË . n*dllest donc atteinïpout M = H.
llzuÂ
s. îd +îd =!(rr;+rE')*Ë
EXERCICE 8I6 lt-

l. G isobarycentre du trian6fe ÂBC


rd * rd =
i(rtl *7E +sid)= o'

doncuî *uË *ud =3Md. car t = barl(A;2), (B; 1), (c;3)|


2. 2Mî +uî =sMi. 1réalise donc le minim"- d" . re
llMd il
t. ilrf .Mî *Mdll=llr"î.MD'll
.=- llrdll= llrill EXERCICE 8I9
M décrit la médiatrice segment UGI
dur

4. Soit / le barycentre de (B;4) et (C; - l) l. a. D le barycentre de (B,b) et{.C,c)


alors+MB' -ud =sMi. doncbDË +cod =î
_MC impriqu",
llDÉ ll =, llrd ll
ce qui
ll*î.*Ë.Mdll
.-
il
DBcAB
ilrafl= ilr;ll d'oir
M décrit la médiatrice dur segment [G,I] -DCbAC
b.Ar'=c-oî*1Ë
EXERCIcE 8I7 c1 b+ c+
=--AC +-AB +1-AC
LI b+c b+c b+c
.=BM.- b+
_AB
2. g(M) = BA +CA = = ABo
- =ZAt A. avec A' milieu du segment D+C

r.
tBC1.

llu7.
+sruî . +r,tdll=llr*l - ,î - *dll
Deprus
ll1eJll= ll16ll= #
ABsDCg est un parallélogramme ayant deux côtés
.- ll,ill= lil;ail consécutifs de même longueuç c'est un losange.
c. ABsCs est un triangle isocèle, (AD) diagonale du
M décrit le cercle de cenl.re I et de rayon
i il;A il losange passe par le milieu de [BoCo], (AD) est donc
4. Soit / le barycentre de (A; 1), (B;t) et (C;2) alors
bissectrice du triangle â89C6.
u *uË +zMd =+uî. De plus A e (ABo) et C € (AC0), (ÂD) est donc la bis-
D'autre part ffi - Md =. CE' on en déduit donc que
sectrice intérieure issue de A dans le triangle Â8C.
lluî * uÉ * z*d ll= llffi - rd ll 2. Soit 1le barycentre de (A,a), (B,b) et (C,c).
.-llffill=illæll alors f barycen tre de (A, a) et (D , b + c)
I est donc sur la bissectrice intérieure issue de A dans
M décrit le cercle de cenlre / et de raVon
ff le triangle ÂBC.

EXERCICE 8IB On montre de même que l est sur les bissectrices in-
l. a G = uarlic;zl,(B; t)| donc zcî + cË = 6* d'où térieures issues de I et de C dans Ie triangle ABC
f est donc le point d'intersection des trois bissec-
llzcT.cr'll=o trices intérieurs, f est le centre du cercle inscrit du
b.SiM*Galors triangle ABC.
llzuî . uË ll=lltud "zcÂ. cE ll = llsiw- ll + o
. llzl.,r1.MB'll > o "t llzcî. = 0 re mini-
mum est donc atteint po.ur M G."r-'ll =
562 CIIAPITRE 6. CORHIGES

ExERCIcE 820 onadonc A=!!=o ce gui prouve que f est le


IB IB ,
l. cercle de diamètré [1/].
On a M A = MB donc f r est la médiatrice du segmr :nt
tâBl.
EXERCICE 82I
2. Mefp <- MAz-ÊMBZ=O
*(rî+rcuË) (uî-wË)=o. l. Onseplacedanslerepèreorthonormé (O; Oi , OÎ)

3. k I I et k I -1, on peut donc introduire les bary-


avec f un point de Dt, J un point de 22 tels que
OI = OJ = l. Dans ce repère,le point M est de coor-
centres t = aar k)) et
\(e;D,(B; données (r ; y). alors M1M2 = a o * + ÿ = a2
I = b ar 1(,c; t'),tr; -,t) | M décrit le cercle de centre O et de rayon a.
uî +tctvtË = (l+k)Mi et 2. Soiti ta;bl un vecteur directeur de la droite
tttî -*uî =G-k)Mï (*t*r) est parallèle à Â si et seulement ^ si
(l+k)(l-t)l0donc au(î;ufi)=o
@î.:q
e
@î-*uË)=o aet(i;rafi)=or*or=o
MI'MJ =O. M décrit la droite passant par les points O et
Ainsi f I est le cercle de diamètre lI avec
J'|,,
A(-a;b.
r = uar
1(e;
r),= ta, ltd;rl,
@; k)l et I ra; - *tl.
I+
3- ExERCICE 822
4. OnaB/ =
nBAetAJ =-ng
t. GA =
=leB eC )l= AAt avec A'milieu de tBCl.
+
2\
G est le s]rynétrique de A par rapport à A'.
2. 4MA2 - MB2 - MC2 = -2a2 æ zUGz +zud .

I ?9 '9
-ÿ) *"n' - cBz - GCz = -2a2
4GA -GB -GC = 0
GAZ = AAtz = ( o'oo = al2
a2
2 "^= +,GAt
GB| =2a2 *
22-5a2
Par svmétrie GCz^=
5a2
5. Sur deux droites parallèles passant par A et B, )n 2
'
place les points Â1, A2 et Bl tels que â.41 - AA2 =, a D,où MA? _ MB2 _-MCz _ _ro2 æ MG2 =5a?
etBBr=b It est le cercle de centre G et de rayon a1Æ.
On construit les points I et / s. f W) =2Mî - MÉ - Md = -1Ë -fr = A'é.
4. 2MA2 - MB2 - MC2 = -2a2
A
* -zMî.(1Ë +rt)-e,a2-ACz =-2a2
æ MA.AA|=O
12 est la droite perpendiculaire à (ÂÂ') passant par
A A.

EXERCICE 823
'I
l. m{x; O), H '4
Une tangente à la courbe au point d'abscisse a est
d'équation ÿ = 2ax - a2, elle coupe l'axe des abs-
D'après le théorème de Thalès,
IA AAt a
*IB = *BBI =
i"' .a
clsses en.r = -
2

IBB4b d'où r(;; o), restlemilleude [F.EI] etdeloml.


6.4. GÉOMÉTRIE 563

1"
2. MT .r"
1
-;* + directrice (EI).
=
)xz =o
I est perpendiculaire à [FI{ et passe par son milieu, 2. u M(x;y), K(x;Z) et A(0;0)
ÿ est donc la médiatrice rle [FIfl . MAZ = x2 + ÿ et MKz = (y -2)2
Pour chaque point .Ff on construit T, médiatrice du donc M A = tltt !( a
y = -: * - r.
4
segment [FIfl. b. I varie entre D et C donc x varie entre 0 et 4.
M est le point d'intersection de ÿ avec la perpendi- ? est la partie de la parabole ? tel que 0 ( x( 4.

culaire à l'axe des absciss,es passant par I{.


I
3. Soit M(r;y) alors II ( 4
EXERCICE 825

I a c c,c
a c a+c b*b _a-T _g
FM2=*+ t-n )' I S'r =-aIOrS-=
I
d b+d r** **i- o
ST TR
MHZ = ( v+- 2.
RS
'4 )' D'après la loi des sinus
sinr sins sin r
MH=MF *+ I 2
t-n ) =(, +-4 )' d'après Ia question -=-=-
précédente, on a i donc
- ST+ TR RS
_ *=y tinr+t'irrt = ti",
- Me?.
Réciproquement : Si M e ? alors M (x; xz)
de plus sinf = sin(z- r - s) = sin(r + s)
2 ST+TR RS
MF= x2+ "l
x'+ -4 ) # *:2 x2+ l6 o ou,rr,,asins =
rir,(,. r)

*!)' . . Sf+7.R sinr+sins _ 2sinf cos?


(*, = run
nS sin (r + s) 2siri,ÿcosf
ainsiMe ? --- MF = Iÿ.tH
cos?
_
cosf
3. Supposons que:
ExERcrcE 824
a-b c+d cos a+bcos c-d (l)
=
2222
-
Appliquons aux deux membres de -(1) la formule
l. a. lorsque 1 est en D, N r3tM sont en D
2 cos.rcos y = cos (x + y) + cos (, - Y)
Lorsque I est en,I, N est en E et M est en B.
a-b+c+d a-b-c-d
b. M symétrique de N piil rapport à 1 donc l milieu 22
de tMM a+b+c-d + cosa+b-c+d
_-l-
= cos
z
Dals le triangle AKE, D rnilieu de [ÂE] et (D/) paral- ce qui donne encore:
lèle (EK) donc d'après le théorème de Thalès I milieu a-b+c+d a+b+c-d
de IAIC. 22
a+b-c+d _cosa-b-c-d
cos_
De plus MN perpendiculaire à AK, on en déduit que =
2
AMKN est unlosange. En appliquant la formule :

cos;-cosv=2sin . x+y
" sinx-y'
c. D'après la question précédente, lMAl et lMn "22
étant deuxcôtés du losan.ge AMtr(N on en déduit que Nous obtenons:
. a-d c+b a+d c-b
MA=MK 2-- 2---'2-2
(ÂM parallèle à (Mn et (AN) perpendiculaire à 4. Posonsô=( É1F), o = (FÀD), h= (dFD)
(EF) donc (MK) perpen.diculaire à (EF), on en dé- p=(ÉFa).
duit alors que I( est le projeté orthogonal de M sur la En appliquant le résultat de Ia question 2. aux tri-
droite (EI). angles ABF et ADF, nous obtenons:
d. En utilisant les résultats de l'exercice 823 on dé- AB+BF .ort' . AD+DF .o"ÿ
duit que M appartient à la parabole de foyer À et de AF -.orpâô AF -
"orllo
564 CHAPITRE 6. CORRIGES

et comme AB + BF = AD + DF, nous obtenons ExERcICE 827

"o"E _"r"4 l.
"o"Ç "orff sin Âtd
, u+0
sm'z-
d'aprèslaquestionS.__ ""' ,2 = =
riô,i., . "-e
sln?-
(2)

En appliqualt le résultat de la quesüon â aux lri-


angles ACF et À.8F, nous obtenons
AC+CF _"o"rP _ sin9 Ia parallèle à (41) en B coupe (AA en D, alors
AF sinf
"o"4=rf , u+0
îED =6îI et Éîa= 77ô donc ffiD = Éîe,lr-tri-
AE+EF _"o"4 sm'z_ angle ABD est donc isocèle en A d'oi.r AD = AB = c.
AF . u-0
srn-- y =':
D'autrepart d'après le théorème de Thalès
"o"Lÿ(2), on peut écrire
D'après la relation IC AC
.. 1,B AB
,

AC+CF AE+EF o'ou


AF AF 2.
-IC = --
AC
c'est-à-dire AC+CF=AE+EF,

ExERcrcE 826

l. Le triangle OAC est isocèle en O


v+6
donc AC - 2Rsin '
2
demême BD=2RsiîP+'^f
2 Soit E le point d'intersection de (AI) avec le cercle
6
rin P+7.
+
d'oùr AC x BD = 4R2 sinT circonscrit au triangle ABC.
22 I\ Iæs triangles AIB et ACE ont deux angles égaux, ils
2. AB x CD+ AD x BC = 4Rz[rirr 9.i, I *.irr 4.in
\ 2 2 2 ,) sont donc semblables, leurs côtés sont donc propor-
3. cos(x-y)-cos(.r+y)
tionnels, nous avons do n P
- cosrcosy + sinrsiny - cos.xcos/ + AD= {AC
soitâBxAC=AIxAD
sin* sin y
ABxAC=AIx(AI+ID)
= 2sinxsiny.
=AI2+AIxID(L)
4. zsiîP+T sr.rr*ô _"orÉ-ô _"or0*6*r,
22a2-6,'o-t, D'autre part Ies triangles AIB et C/D sont sem-
=cosi _"os1"_;-J blables a,ou 4I = II
CI xDI
"B+vsin v' +6 = cos I-
8-6 + cos -------:-
a.-v - BI IC
d'ott AI x DI
2sin
2222 En remplaçant dans la relation (1), nous obtenons :
d'autre part
ABxAC=IBxIC+A12.
zsinlsinl l^
2222 +zsinÉsin9 3. S = :bcsinA
a -v 8-6 d,+v 8+6 2
= COS-22---2--
--------- + COS :- - COS --------.:- - COS 1- D'autre part S = ai r e(AB I) + air e(AIC)
ü-T p-6 q+T
2 I AI+ A
-b x,{1 x sin -
=COS-*C
222 ("-+t) S = -c x â1 x sin
222^2 -
a.-v 8-6
cos -------.:- * cos
On en déduit,4r(b + c) sin X = bcsinÂ
=
22 ^2
d'où âC x BD = AB -x CD+ AD x BC. z.i, *
22"o, *
sachant que sirr =

zbccosA
d'où â1 =
b+c
6.4. GÉOMÉTRIE 565

EXERCICE 828 Partie B

l. Soit O le centre du cercle inscrit, nous avons l. a. (x- 1,5)2 +(y-2,5)2 = 0,01
I b. (x-3)2 +(y-t;2
aire(OAB) = -Rx AB =6,61.
I 2. nyt= f (2)=1,5.
aire(OAC)= -Rx AC
I
b. / est dérivable sur R
aire(OBC) - -Rx BC f'
d'otr après addition des aires : S = PÀ.
f, U't = **r- $x a'oir tzl = -2
D'autre part, la pente de la planche est
2. S= lDcsinÂd'oir YD- YC
2 xD- Yc
bc bc
._sinA.
R_ _sin.A= La tangente à la rampe au point E n'est donc pas pa-
2p a+ b+c rallèle à la planche du skateboard.

ExERcrcE 829
EXERCICE 830
PartieA
PardeA
L TtG)=3a*+2bx+c.
2.
l. a. Surl'intervalle/ dérivable sur [-4; 2],
a. D'aprèsl'énoncé: /(0) =3, /'(0) =0,/(a) =0et
ft (À = -! Bxz +2, ox| = -f Bx2 +tzÀ.
f'@) = o. 16' ' 16
d=3 b.g* +LZx=3x(x+4).
c =0 Ce trinôme s'alnule pour x = -4 et pour x = 0 :

On en déduit le système
64a+l6b+4c+d=0 - surl-4;oL 3*+tzx<o;
4Ba+ Bb+ c =0 3*+lzx=0en0eten-4;
b. La résolution du systèrne donne c = O, d = 3, -
a sur l0; 21, 3* + I2.x > 0.
o=
32"rA= -1 16
-
soit f(x) - 1rt - !*
c. On en déduit le tableau de variations suivant
32 16 ,r.
3. a.

x -4 0 2
x 0 0,5 I 1,5 2 2,5 3 3,5 4

lt(x) 0+0
l@) 2,87 2,53 2,O5 I,5 0,95 0,47 0, 13 0

b.

3,5 I
3,0
;
2,5
\ 0, 5

2,0
\ï\ \\i
\ \ d. D'après le tableau de variations précédent, / ad-
1,5 met un maximum en 0 et /(0) = 2,5.
1,0
\. \ 2,. flù=0,5,doncAe€;
0,5 È \ . f(2)=0,5,doncCe8.
A
0 3. læ coefÊcient directeur de la tangente T au point C
0 0,5 1,0 1,5 2,o 2,5 3,0 3,5 4,0 4,5 5,0 d'abscisse 2 est égal au nombre dérivé f '(2) = -2,25.
4. Voirfind'exercice.
566 CIIAPITRE 6. CORP{]GÉS

Partte B 2. I milieu de [OS] est le centre du demi-cercle de


l. Onsaitquel'équationest (r-xe)2 +(y-ya)z = .2; diamètre [OSl circonscrit au triangle rectangle OAS,
on a donc par identification : donc fO = 15 = 1,4 = 3.
,llt/, 3. D'après la question précédente IA = IO = 3 et
xA =2, ye = I et r' - ;, d'où 7 = ---7 = :-1-.
--zr/22 comme OA= 3, on a donc IA= AO = 01 : le triangle
2. Les points communs au cercle f et à la droite d'éqr ra-
.l Or{f est donc équilatéral.
tion y - - ont des coordonnées qü vérifient :
4. lô3 = 60', donc
Le résultat précédent montre que
son complémentaire Ô37 = 30. et par conséquent
(x-2)"^l- l'angle au sommet du cône mesure 2 x 3O = 60" soit
4
moins de 65'.

v
I
y=,t 5. ona fri=so. x.q,= oA, cosZô]=3, f22='15
2
Il y a donc deux solutions :
etÿe-OÂxsinÆ]=3,:=1. 22
11ll l.
X-2= - et V= - el X-2= -- et v=
2'22'2
Les points communs ont donc pour coordonnries
Partie B

G';)"(;';)
læ point E seul point dont l'abscisse est entre 2 et 3
l. a.Hauteurducône:If,
S=6-y1.=
I
r.
5
est donc E 1l Payon de la ba se: HA= *A=+.
2 2l
3.4. b. læ volume du cône est donc:
r lsJs\z e Brz
vc=rxnlz)'r=8"*''
x -4 -3,5 -3 -2,5 -2 -1,5 -1
c. La masse volumique du plasüque est 900 000 g par

î(x\ 0,5 0,6 0,8 1,1 1,5 I,9 22 m3 ou (100)3 = 1000000 cm3, soit 0,9 g par cm3.
l-a masse de la partie conique du minuteur, réalisée

x -1 -0,5 0 0,5 I 1,5 2 en plastiqueest donc :


T, 0,, -?3t =2g g.

,t 2,4 2,5 2,4 2,1 1,4 0,5


l@)
2.a-On aBH =3+ÿe
39
=3* r= r.
§ b. Le volume de la boule tronquée est
\ ",(Z)' 243n
:T' (r
B

r.- 2t- tl
É,1 t 3 "-;) I
t,

\ c. [æ volume de la boule éüd é. ."t243o -


I 30 cm3.

la masse volumique de l'aluminium est 2 700000 g par


m3 soit pour I 000 000 cm3, soit 2,7 g par cm3.

EXERCIcE 83I La masse de la partie en aluminium est donc égale à


243n
--=- x2,7 =2585.
d
PardeA
d. La masse totale du minuteur est donc :
1. [,a droite (ÀS) est tangente au cercle au point A : elle
29 + 258 + 100 = 387 soit plus de 300 g.
est donc perpendiculaire au rayon [OAl, donc le tri-
angle OAS est rectangle en A.
6.4. GÉ,OMÉTRIE 567

ExERCICE 832 SiMestenE : I EB e AE = AE+ - I - EB.


PardeA Comme AE=GB onendéduit
C
l-AG=t-EB e AG=Ë8.
On a donc /
= AG + GB = EB + GB = GE= 15 m.
I 2. a. SiMesten F : AF + FB = ( = 15.
Comme ÂFB est un triangle isocèle en F ((FO) est la
médiatricede [GF]), onaAF = FB,dorrc AF =7,5m.
FH9
b.oF= z =r=4,5.
Dans le triangle âOF rectangle en O, d'après Ie théo-
K rème de Pyhagore:
AFz = AOz + oFZ æ 7,52 = Ad + 4,52
æ AOz =56.
d'oùOA=6m.
A B
c. Lécartement entre les deux piquets A et B est égal

I àOA+OB=6+6= 12 (m).
Partie B
3. a. OnlitA(-6; 0), 8(6; 0), E(7,5; 0), F(0; 4,5).
Êt2 2.72
l. b. ^ +-:; =0,64+0,36 = I, onendéduitqueM
a. Le centre de l;arc de cercle reliant les points B' et C 7,52 4,52
est un un point de l'ellipse.
est le symétrique de K p:u rapport àB', donc appar-
tient au segment [K/1. PardeB
b. La tangente à l'arc de cercle reliant les points A et l. On a ON2 = (7,1cost)z + (7,5sinr)2 = 7,5cos2 t +
B' est perpendiculaire en B' au rayon [KB']; sa sy- 7,52 sinz t = 7,52 (cosz r + sin2 t) = 7,s2.
métrique par rapport à B' est donc elle-même et c'est Le point N appartient au cercle I de centre O et de
aussi la tangente en B/ à I'arc de cercle reliant Bt et C. rayon 7,5.
2. a. Dans le triangle ÂBC, la droite des milieu (A'B') 2. u On a K(7,Scos r; 0), on en déduit que
est parallèle à la droite (,4,8). (2, s r - 7, 5 cos rl (F
Or la droite (1/) est la médiatrice de lBctl, elle est
7ar "os
\ 7,5sinr-0 )
donc (,,,i,,)
donc perpendiculaire à la droite (BC').
et donc r(p = o,6KN
_t o\
la droite (a'f') est donc perpendiculaire à Ia droite [n,u.,r rJ
b. Ijabscisse de P est celle de N soit 7,5cos, et son
un.
b. Par symétrie par rapport à la droite (r',f), on a ordonnée est 4,5sin r.
(7,5cos r)2 (4,5sin r)z
6ôt =EÈt =so". c. # +# = (cos/)" + (sinr)" = I
7,52 4,52
c. Toujours par symétrie;par rapport à Ia droite A/' la donc P appartient à l'ellipse.
droite (,e'C) perpendiculaire au rayon [.IC] et donc
tangente à I'arc de cercle reliar,rt A' et C apour symé- ExERcICE 834
trique la droite (.e'a') qui perpendiculaire au rayon Dans Ie triangle ABC,on pose e = x aTors î = 2x
[,IÀ'] est donc la tangent,e à l'arc de cercle reliant les onendéduitqueÂ= r.-3r et sin  = sin (n - 3.r) = sin3x
points C et â'.
sin3x sin2x sinx
D'après la loi des sinus
BC AC AB
sin2x ACsoit2cosr--
AC
Onadonc-=
EXERCICE 833 sinr AB AB
PardeA BC sin(2.r+x) sin2xcosx+sinxcos2x
l. a.(=AM+MB. AC sin2-r sinZx
sinx(2cos2r- l)
b. SiMesten G: I = AG -r GB e GB = I - AG.
2sinxcosx
568 CIIAPITRE 6. CORRIGES

BCl 2coc.ir- l.
AC=
2cosr
3. Si x = 1 alors îrt = :É ,Ies points A, N et C sont
- 2
AC AB ACz_ABz aligaés.
-
AB AC ABxAC Par hypothèse r{, B et C ne sont pas alignés,l'afÊrma-
tion est fausse, le point N n'appartient pas à la droite
d'où BC x AB = ACz
- AB2 (BC) pout tout r.
soitACz = AB(AB+ AA.
4. BCNM est un parallélogramme si et seulement si
AB, BC et AC sont des entiers, AC étant le plus petit p )s-
MN =BC
sible (.4C (
.
2).
AC = 2 alors AB (AB + BC) - 4 ce qui implique
urt = ru +ffi I
Si
AB = | et BC = 3, ce qui est impossible car l'inégalité :ri-
= -(,- i)* .( 2)
AC (,-;) BC
?
angulaire n'est pas respectée. MN =BC 1a=a2
. AB (AB + BC) = I ce qui implique
Si AC = 3 alors
Uaffirmation est vraie, ,i , = 12 alors BCNM est un
AB = I et BC = B, ce qui est impossible car l'inégalité r ri-
parallélogramme.
angulaire n est pas respectée.
. Si ÂC = 4 alors AB(AB+BC) = 16 ce qui implicue ExERcICE 836
AB = I et BC = 15 ou ÂB = 2 et BC = 6, ce qui est im-
possible car l'inégalité triangulaire n est pas respectéc.
l. HA-zHB -ZHC =HA-4HI =HA-HA=O
Laffirmation est waie.
.Si AC = 5 alors AB(AB+BC) = 25 ce qui implique 3'/5
3\/1 4 _x_ I
AB = I et AC = 24, ce qui est impossible car l'inégalité 2. HÂ.Hô= HAx HI - =J.
23
-x- ).( 23
triangulaire rfest pas respectée. Lafûrmation est waie.
. Si,4C = 6 alors AB (AB + BC) - 36 ce qui implique : s. urt. nô =ft . nô * crt.Eô = (/5)2 +o =3
* AB = I
et AC = 35, ce qui est impossible r:ar car M eÿ et (HC)l-? don drttnô
l'inégalité triangulaire n'est pas respectée. Iiaffirmation est donc vraie.
* Ou AB = 2 et AC = 16, ce qui est impossillle 4. Mî -zuî -zud = -3MÉ d'après la question l.
car l'inégalité üiangulaire n est pas respectée. (rl,tÀ-zuË - zffi). oô = sHrt . Hd = s
* Ou AB = 4 et AC = 5, l'inégalité triangulaire d'après Ia question 3. LafÊrmation est donc fausse.
est respectée.
On obtient AB = 4, BC = 5 et AC = 6. EXERCICE 837

l. 2IA + IB + IC =2IA +2IO +OB +OC = 0


EXERCICE 835
car O milieu de tBCl et f milieu de tAOl. .I est donc
l. Pourx=3, barycentre des points A, B et C affectés respective-
l+
AM = -AB -ZAC ment des coefÊcients 2, I et l.
2

- r .-
l+ l+
AM = -AM +-MB -zAM -zMC
22
2. li =îrt *uF
5-
+ -MB -2MC =-AM i0 siM*A. =îfr +zûî +uË +ud
= trt ++nti
Lafflrmation est fausse, M n est pas le barycentre du
=-ZIrt
systèmepondé'é rc, -tl.
{(8, )),
I Md =-É -rt =+rî.
Z. pourx=
t+
i,
I l+ l+ 3. Iï =-gTildoncpestl'image deMpar,h, I'homo-
AM =-AB+-
22 AC--MB+-MC=O
22 thétie de centre I et de rapport -3.
MB +MC =0 u8 =+7Â doncQestl'image deMpar,r, latrans-
-
IjafÊrmation est vraie, M est le barycentre du s'rs- lation de vecteur Eiî..
tème pondéré {(,B, l), (C, 1)}. 4. a On remarque que h(O) = t(O) = O/, ce point étant
6.4. GÉOMÉTRIE 569

Ie symétrique de O par ra,pport à A. Aire(MoA) =


f,a, = lrza, =2x Aire(MoB)
Llimage d'un cercle par une homothétie est un cercle,
fl est donc un cercle de centre O'et de rayon 6. EXERCTcE 839
IJimage d'un cercle par une translation est un cercle L CDz - CB2 = 2 - L = Idonc C appartient à t.
de même rayon, f2 est donc un cercle de centre O'et
22"1 1gz =!
ID2 = AD2 + AI2 =3-
derayon2. d'oir IDP - IBz = 1, I appartient donc à t.
b.Fd =Ffr +ud =-zrvrË -zud 2. On se place dans Ie repère orthonormé
=-4Md -zoË -zod =+ort / 1-+\
lA; -AB;ADl
d'où PQ = B \\/2)
c. D'après la question précéd"rrt" FQ - 4ort =d MDz -MBz- I € * +t- ÿ2 -(,/Z- *)2 -ÿ =t
D'après la question 2,"Md = 47î., on en déduit t/1x-Y=l
-
donc: Ils'agit d'une équation de droite donc d'après la
Pot +otQ -4oQ - t6â1 = o question précédente t = (IC).
s pe' +o'Q -4oQ -Aoto =o 3. D'après la question précédente, (IC) est d'équation
pd -r@=q_ {2* - y -I = 0 donc de vecteur normal [ (J2; -t)
-
soit encore PO' = 3Ot Q le point O' appartient donc
(BD) est d'équ ation x+ t/2y - y'Z = 0 donc de vecteur

au segment [PQ]. normal îr 0tl4.


î .Ë =0, les detx vecteurs normaux sont orthogo-
naux, on en déduit donc que les droites (BD) et (CD
ExERcICE 838
sont perpendiculaires.
l. u d1 = -2x - y +2, dz = |l.x et d3 = y
On obtient alors dy + d2't d3 = I I g. EXERCICE 840
l. I{ milieu de tBCl donc G, barycentre du système de
b. dz oî, + a3 oË = *(à .,(i) = (:î) =zOM points pondéres fa ; z); (B ; r); (c ; 1)} est aussi ba-
{
)
Ir+\ rycentre du système {(Â ;2);(H ;2)l
d'oir OM = (r).
,ldzoA+àloB) G est doncle milieu du segment [ÀIIl.
2. uaMO+MA+2MB=0 z. a.ï =zMÀ-MÉ-Mô=-ÂË -É =-21rt
a q,l1i[Q +3MI + IA +2IB = 0
llTll =)xr=g.
d'"ù
(a+3) MO +3OI = 0 a.llztr + wrÉ. rôll = 7 ll
- 3
.-
ll
IO
-MO- a+3
3 ll4Mêll=B
<+ ilreil=,
a > 0 donc 0 < :- < I donc M appartient au seg- t1 est le cercle de centre G et de rayon 2.
3+ a.
ment [O1]. 3. u 2 + 2n I 0 donc le barycentre G4 existe.
q
- OA- -=îOB.
b. (d+3) ort *oÂ
I_1.-
+2ôÉ Go = A, Gr = G et est le centre de gravité du tri-
d'otrOM--q,+3 a+3
angle ABC.

c. D'après Ia relation (1) ,t2 = 1


a+3
b,zc,î. +nc*Ë *ncnd
donc G2 appartient au segment
= ô'
-[ÂI{.G = #îrt
etdq- ^- -2dc
a.+3
*6-2-4
c. D'après la question précédente AGn = " 1)
n+l
cette
dr =2- dt - d"" -2o = od, ftaction tend vers 4 quand n tend vers + æ.
d-t3
d. On utilise la formule démontrée dans l'exercice G2 tendvers I/ quand n tendvers + æ.
807. a. + uÉ * Môll= ÿ
I r /-- I llzr',tÀ " " " ll ll
Ai re(M AB) =
1
t
)lae lu -\l )l = ;dt
Ai r e(M AB) = a ; dz = a Air e(M OB)
ri, M Ii
- lle*z"tud,ll=e"
ll+ll 4n
----: = AGn
z - llMcnll =
570 CIIAPITRE 6. CORRIGÉS

donc t4 est un cercle qui passe par le point A, cerr:le Soit 11 Ie projeté orthogonal de M sur (O1O2) alors
de centre G, etde rayon A, = n?-a?
#. IH.OrO, - ' "
2
t est la droite perpendiculaire à (O1O) passant par
H,
b.

EXERCICE 84I ExERcIcE 843


t. a. ABz + AC2 = zeÿ +LnCz.
2
l. Soit ,I le barycentre du systèm"
{ta,sl;
(8, -2)} dors
b. AGz =1or,
I -lpt
9' +zê -o21. Ti =-21Ë
G est barycentre du système rl}. En appli-
c. On obtient de même {U, U' tC,
quant la propriété des milieux dans le triang)e ACL
acz =Iea2
9' -ü) +z& 1_
cG2 =LeË +zaz _ê)
onobtientlG =:Il
2'
- An
9' donc /8/G est un parallèlogramme.
d. En additionnant les trois expressions précédentr:s,
2. On se place dans le repère orthonormé
on obtient: I :. 1+
*ê1.
+BGz +CGZ =11o, *t A;:AB;- AI
AGz a a
3' )
Â(0 ; 0), B(a ; 0), C(O ; 2a), IG2a; O) et G(- a i a).
2. MAz+MBz+MCZ=a2+t+ê
On en déduit GA= GC = at/Z et GB = at/i.
æ MG3='=(or+Ë+ê) 9'
2=
3. a. 1 (M) = 2MG2 +3G Az -2GBz + GC2 = 214ç2 -2oz
t est le cercle de centre G et de rayon
" g'1o2 + t + ,27 b. ftn - ro2 æ MG2 =2a2 = GAZ.
3. ÂBC est un triangle rectangle en A, € est le cercle le ÿ est le cercle de centre G passant par r{.
100
centre G et de rayon g .

ExERCICE 842 I
I. a.MA.MB =MA,MAI +MA.AIB =MA.MA'
car ABAt triangle rectangle en B.
b. Mî . MË =
lMd
* oî).(*d . of)
= twd - n2.
2. D'aprèslaquestionprécéd"nt"iË .7d = Id-R2 et
fi.A _roz_R2 d,oùrË.fr =rt.fi. A C
3. a- Posons d = OtOz, f le miüeu de lOtOzl.
Mo?- R? = m4- aZ
(Mû M6) (rd - rd)
+ = ,1 - rii
B
-e zMi ofr R?-4 = 4. a. h(IuI) =s(ui + aî)' -r*u' -(Mi * Bd)'z
oirt 06=n?-nl 2 = MË .(-uÉ -rrô)+3ABz - BCz
6.4. GÉ,OMÉTRIE 571

h(IuI) = MÉ .; -zaz avecî = -6fr -zdd . rt =-2fr doncGd +zGi =3Gi


b. h(I) =31A2 -ZIBZ - Irl2 =3a2 -4a2 - a2 = -2aZ La relaüon (1) s'écrit alors Gi * c7 = ô' ce qui
doncle? prouvequeG€((t).
h(B) = 28,4 + BCZ = 2a2 - 4az = -2a2 donc B eP 2. D'après la question précédente LG = GI( donc G est
h(NI)=-taz ç UÉ'1i =o. Ie milieu de [Kl] donc G est en M

? est la droite passant par B et de vecteur normal 7, de plus G appartient à(1/) donc M appartient (ID,
sachant que B et I appartiennent à ?, on en déduit les points M, l et / sont alignés
que ? est la droite (/B). uî +zrwî =ô' .- îd =:7î.
5. E, F etC appartiennentà e donc GC = GE = GF 3.
D'autre part IC = IG = arfr et BG = BC = at/i,
D
ÿ est Ia médiatrice du see;ment [CG].
E et F appartiennent à ÿ donc EG = EC et FG = FC
L
ainsi GE = CE = CG et I'G = FC = CG, les triangles
GEC et GFC sont donc équilatérarx. A

EXERCICE 844
C
L. 2Gî, -cî =î - cî =É K
donc â est le milieu du segment [GBl.
NB
"" - rt æ
2. NA NB? -2l.i,A2 =o B
NB
"" = rt æ
NA -NGz +(;82 -2GA2 =0
c- NG2 =2llB2 ExERCICE 846
car GB = 2AB etGA= AII l. BC = 2AO d'oùzOA - OB + OC = 0
f est un cercle de centre G et de rayon t/-2A8.
O est barycentre du système rl}.
{ta,zl;t,e, -rt;tC,
3. a-Cef doncCB=t/1Ctt
onendéduitalorsque2CA2 -CBz -CCz =0, cequi
2. 2Md.Mî -Mî-uË *rurî.ud =+az

prouve que C appartientl. - 2Mo2 + ud .(zo -oÉ .od) + o6 .

b. En écrivant M7' = tuC' + CÂ et uË = tud + CË (-oË *od)=+"2


.Ed =+az
alorsMe!
-
MC .lzt:A - CB I = O
\/ - ZMoz +06
2MO2 +2a2 =4a2
ttd.CGi =o -
c. !
-
est Ia droite passant par C et perpendiculaire à -MO2-a2
(CG). M décrit le cercle de centre O et de rayon a (ce cercle
passe par les points A et D).

EXERCICE 845
ExERCICE 847
l. La somme des coetÊcients est égale à 4, donc non
nL
'lle,
ce qui assure l'existence de G.
l. 2sinxcos.x* (r'5- l)cos2x- (r/3+ t)sin2x=o
+ y'5cos2x I
PardéflnitiondeC:Cî+zCË +Cd +zGa = O'(r) - sin2x
r/5
=
l
I milieu de [AC] donc Cli * Cd =ZCî sin2x + -:- s65!y =-
- -222
,J milieu de tBDl aonc Cli + C6 = zCi
+sin2xcosl = I
La relation (1) s'écrit alors Cî *ZCî =d - ç6s2rrirrr
t
332
fi\ ,l
cosl2x--l=cos-
\ 3/
ce qui prouve que G € (1-r) - 3
«1 -zxÉ donc c +zcË = scî 2x- L = ! +zkn ou2x- ! = -n +zkn
=
- 3333
572 CI:IAPITRE6. CORRIGÉS

It
- r=-+ ktt ort x = kn avec k eZ.
,t A+ Joz +Az 4
3 = 2arctan
2. En utilisant Ia question précédente, on obtient : a+c
2sinrcos.r + (r/5 - t) cos2 x - (r'5* l) sin2 r = 0, I
xz = 2arctan
b-ÿ/;'+ü -A
tJ! a+c
-sin2x+
-e -cos2x=0,51 . Si a2 +t = P, l'équation (È') admet une unique so-
çeslasfu §0 + sin2rcos60 = 0,51 b
cos(2x- 60) = arccos(0,51) lution:xs =Z*"r*(\a+clI
- 2x - 60 = arccos(0,51) +360t . Si az + t < I l'équation (.8) n admet pas de solu-
- tion réelle.
ou 2x - 60 = - arccos (0,51) + 360k
x =59,67"+kx 180' oux=0,33"+kx lB0. avec 2. Application : 2(m - l) cos x + 2(m - 1) sin r = 3m + l.
-keZ. t = a(-m2 -z2m+z) e)
Le discriminant du polynôme (2) est ô = 512.
Le polynôme admet deuxracines disünctes.
ExERCICE 848
mt = -ll - Bt/Z et m2 - -ll + B\/Z
x
l. a.Onpose f=tarl- Si m e l-oo ; -tt -st/1lv)-t +aA ; +oo[ < 0
2
x ., x ^
l'équation (.8) n admet pas de solutions réelles.
cos2 sln-
COS-r=COS"
oX .2X
-sln- - =
-22
2 , Si rz = -Il -gy'Z , L=O
x x
cos2 -+
')
sln'2
, l'équation (E) admetuneuniquesolution t = -l+12
x
sln 2
2 d'otr x = arctan(l - t/2) + fo = * kr (k eZ)
l- I
cos f r-P Si m = -tl +B\/2, L=O
l+ t2 l'équation (E) admet une unique solutio n t = -l-12

'.(#) xx
d,otr x = arctan(-r -,/\ + r" = -t* + kn (kez)

2sin cos -
-22 Si m e ]-rt -s,/Z; -rr+s\/zT, À > 0, l'équation (E)
sinr=2sinlcosI = .x +srn'-
. ax admet deux solutions
22 cos'- 2m-2-
:

22 rl -m2 -22m+7 +kn


= arctan
, sin â 5m-l
â 2tcos 2m-2+2 -22m+7 +kn
=-=-
- --G;lT - t*V' xz = arctan
5m-l
'.[;É,l
b. (E) s'écrit aors
ah - tz)+ ---:;
2bt
ExERCICE 849
-fli - c =O
soit après simplifications (a + d P Si z ( .r ( 22, sinx ( 0 I'inéquation est toujoursvérifiée.
-2bt + (c - a) = O.

c.t=4(a2+t-&). Si 0 <.r < n, 13 +zcos x> 2sinx


. Si a2 + t > l, l'équation (E.) admet derx solutic ns e+ 3+2cosx>4sin2x(l)
distinctes:
(l) <- 4cosz x+2cosx- I >0
. Si az + Ë > ê, l' éqluatton admet derrx solutions d is-
Posons X = cosx, f inéquation s'écrit 4X? + 2X -I>O
 = 20 I'équation admet deux solutions distinctes
tinctes :

t1
b+ a2 +t
-cz ett2- b- a2+t-& -. -r-\/5 --
= -----j- et Xt =
Xr-4'4 -l+y'5
a+c a+c
= -t-Js
olSia2+t =& , l'équation admet une unique so.u- 2n
. Xt (car sinx > 0)
l, alors x1 = -
tion:f6=-a,+b c + r,/5
. Xz = -r
4n
(car sinx > 0)
. Si az + t < ê l'équation n'admet pas de soluüon 4 alors x2 = -
réelle. 4cos2x+2cosr- I ) osi . rlT t
d. r=tanI2 a y=1611ç1a1g.
+)
On en déduit l'ensemble des solutions de l'inéquation:
6.5. PROBABILTTÉS s73

I 2n[ 14n I
s=[o;51u];;2uJ. EXERCICE 854

r. P(D) =P(FoD)+P(FnD)
ExERcIcE 850
( 1l-lt = P(r) x Pr (D) +P(F) x &(D)
0 arctan, +arctan
U
< arctanl +arctanl =, P(D) = 0,49 x 0,75 + 0,51 x 0,2 = 0,4695 soit la ré-
t I *-'-"s) r\| à*à 3
7 ponse a.
'*'lr*-'*'2'
tanlarctan- +arctan - = --
t-à,à -s
2. P (F e|D) = P(F) x PF (D) = 0,49 x 0,75 = 0,3675 soit
1llt
Comme 0 < arctan, +arctart < la réponse c.
5 r,
lt.7
on a donc arctan - + arctan -- = arctan -
2 _5 _I EXERCICE 855
lltt <,
On a de même 0 < arctan6 r-arctan et
7.1
I f . Soit P (A) la probabilité que le circuit A soit défaillant

,*(*.rur,$ *u'o""|) 9+8 I avant un an, c'est-à-dire la probabilité que les deux
1- g, à composants soient défaillarts.
Tlit
et donc arctan- +arctan- =: al'ctanl = - P (A) = p 1p, î D2) = P (Dù x P (Dù carles derxévé-
984
llln nements Dt et D2 sont indépendants.
Ainsiarctan- +arctan- +arctan- = -.
2584 Ainsi P (A) = 0,39 x 0,39 = 0, 1521.
2. Soit P (B) la probabilité que le circuit B soit défaillant
avarrt un an, c'est-à-dire la probabilité que au-moins
un des deux composants soient défaillants.

6.5 Probabilités P (B) = p 1p, u D2) = P (Dù + P (Dù - P (Dr n


Ainsi P (B) = 0,39 + 0, 39 - 0,152I = 0,6275.
Dù.

EXERCICE 85I
1-0,2 EXERCICE 856
ar PA (B) = = o,B.
. Montrons que les événements 7 et B sont indépen-
Q2 P(B) = P(A) x PA (A +P(7) x % (B)
dants:
= 0, 15 x 0,2+0,85 x 0,6 = 0,54
Les événements A et7 sont incompatibles donc d'après
ExERCICE 852 la formule des probabilités totales, on peut écrire :
p (B) = p P (B) = p 6n 3) +P(7n B) d'où
1n1 x p e(B)+ r (-a) x ft tr)
=0,6x0,2+(1 -0,6) x0,3 =0,24 r(7na) = P(B) -P(An B) = P(B)- P(A)x P(B)

= P(B), (r -rral) = P(B), r(7). ce qui


ExERCIcE 853
prouve l'indépendance des événements 7 et B.
l.a. 0,34
. Montrons que les événements 7 et B sont indépen-
5i
dants:
0,58
j; [æs événements B et B sontincompaübles donc d'après
0,66
la formule des probabilités totales, on peut écrire :
o,44
s; o (7) = r (a nI) + e (r n7) a'ou
0,42
p(znr) = r(z)-r(znu) = o(o-)-r(r) , rrar
sr
0,56

b. P (Mn S) = P WD x Ps, (S) = 0,58 x 0,34 = O,1972.


P(7nB) = P(7), (r -rra) = o(7), o(r).
c. p (s) = p (Mn s) + r (rvin s) Ceci prouve l'indépendance des événements 7 et B,

= O,1972 + O,42 x 0t, 44 = 0,382.


ExERcIcE 857
/_\ Isn Ml o. 1848
2. PslM) = -ff
P
= A3s2 =0,484 à0,001 près. l. A et B sont indépendants donc
574 CHAPITREq. CORRIGES

p (Aî B) = p(A) x p(B) = 0, IB EXERCICE 86I


p (Au B) = p(A) + p(B) - p (An B) = 0,92. L. p(B) = p(An B) * n(Â" n)= 0,4 x 0,BS+0,6 x 0, t5
2. p(AnB) = p(A) x p(A) = 0,0875 P@) =0,43
p (Au B) = p(A) + p(B) - p (An B) = 0,5 125.
n(E)=r- p(A) =0,57
3. p (An B) = p(A) x p(B) = 0,25
p (Au B) = p(A) + p(B) - p (An B) = 0,75.
pa 6) =
ry# = -r34!l = 0, 7e arrondi à 10-2

a. p @n B) = p(A) x p@) = 0,2a "


p (Au B) = p(A) + p(B) - p (Aî B) = 0,76.
pE(A) ='H= Hl9 = o, rt arrondi à ro-2

0,79
A
ExERCICE 858 0,43

l. A et B sont indépendants o,2l À

doncp(AnB) =p(A)xp(B) 0, I1
A
De plus p (Atl B) = p(A) + p(B) - p (Au B) o,57
.. -2 2 4
ootr-xt=-+D--
33s
2
0,89
À

soitD=-
,5 2. p(B) = p (Aî B)* p(7nr) = 0,5 x 0,25+0,5 x 0, 15
2. A et B sont incompatibles donc p (Al B) = 0. P@) =0,2
2
d,otr?+z-1=osoitP=Is' ,(E)=1-p(â) =o,B
3 5 D(AfiB\ 0.5 x 0.25
3. A estunepartie de B doîc p(Au B) = p(B) Pa(A)=æ= =0,625
d'otr ,5
n= l.L rl
p(enB) o.75x
pE6)= =0.5 o"s =0,46875
ExBRcICE 859 7d- 0,625
IJobjet fonctionne correctement si les trois éléments ne A
0,2
sont pas défaillants.
À
Soit p(F) la probabilité que l'objet fonctionne correcte- 0,375

ment: 0,46875
A
PG) =O,95 x 0,97 x 0,98 = 0,90307. 0,8

À
0,53125
ExERcIcE 860
EXERCICE 862
l. p (Al
B) = 0, 14 = p(A) x p(B), les événements r{ e:B
t. p(B)=p(AîB)+p (7nr) I x o,s
= o,s x o,t +0,
sont donc indépendants;
P(B) = 0, 18
,. pf4x p(B) =0,1625 et p(AîtB) = 0,163, les évétte-
r(a)=r -p(A)=o,82
ments A et B ne sont pas indépendants; o(An Bl 0.9 x 0. I
3. p (A) x p(B) = 0,85 x O,B5 = O,7225 Pa6)=6=-Orr-=o,u
p (Al B) = 0, 85 + 0,85 - O,9775 = O,7225 p(ene) 0.9 x 0.9
- p (A) x p (8), les événements A et B sont PE(A) = = 0,9878 à 10-a près.
donc indépendants;
o14
/_\
4. plA) x pla)
/_\ 0,5
= o,z x 0,3 = 0,21
0, l8
n(zne)= rl4:
rF), 0,5 À
les événements À et I sont indépendants, les évérre-
0,9878
ments A et B sont donc également indépendants. A
o,82

A
o,ot22
6.5. PROBABII/TES 575

2. EXERCTCE 864
0,45
B

0,3 l.
0,55
E
1
*T
0,2 o,28
B
0,7 0,75
T

0,8 B

p(B) = p(AnBl * n(7nl) = 0,3 x 0,45+0,7 x0,2 = o,52


0,25
T
0,275 0,r5
T
o,2
oF)='-otot=o'725
_ p(AnB) - 0,3o,275
x 0,45
l0-2 près. T
PaÂ) p(B) = 0,49 à 0,85

p (ane) 0,3 x 0, 55 2. P (C ,lT) =P (4, Pc Q) = 0,52 x0,75 = 0,39.


PE@)
0,725 = 0,23 à 10-2 près 3. a. P(T) = P(Gn 7) +P(Cn T) + P (DlT) d'otr
o(E)
0,49 P (D 1 T) = P (T) - P (G n T) + P (C n T)
A
0,43 P (D I = T)- -0,7 0,39 0,28 = 0, 03.
P(D.'T) 0.03
b. Pn (T)
P(D) - -
À 0, 15.
0,51 0,2
0,23
A
o,57 ExERcrcE 865

o,77
Â
l.
EXERCICE 863
0,25
t.
0,8
T 0,4

o,75
j
o,25
0,2 T

o,7
T 0,6

l-J
j
o,4
0,3
T

0,35
0,6
T 2. D'après l'éîotcé, P(D =O,2,
d'autre part P(, = P(Àn.I) +l(nnf)= 0,I +0,6.x,
T 0, I I
0,4 (loul=
2. I 0,6= -.
-P(-Rn 6
a. S n est l'événement : « la personne interrogée a
3.
n 0. I
Pr(R) = ---r-------.r-1- = ---; = 0,5.
plus de 50 ans et trie Ie papier ». P0 0,2
b. P(Sn T) = P(S) x Ps(I) =0,35 x 0,6 =0,21.
3. P U .l7) = P U) x P1(T) =O,25 x 0,8 = 0,2. EXERCICE 866
4. p = P U) = P U nT) + P t:.M e'7) +P(sn 7) Proposition I : Vraie, en effet
= 0,2 + 0,4 x 0,'7 + 0,21 = 0,69. P(F) = P(AnF') +P(Bnr')
P(TîT\ O.2
5. Pr ( D = ---:--------:- = ---:-. = 0,29. = 0, 55 x 0, BB + 0,45 x 0, 84 = 0,862.
P(T) 0,69
Proposition 2: Fausse, en effet
Pc(A\=
P(Anf) 0.55 x 0.BB
---:::---:-:-
P (F) 0,862 =0,561
576 CIIAPITRE 6. COHP{:GÉS

ExERcICE 867 ExERcICE 869

l. a.
l. a.
088 T
0,08
D M
9
0,65 .t *o,ge T
= O,02
0,92 D
0,01 T
0,05 -p
D M
0,35 0,99 T
D
0,95 b. P(MîT) = P(IuI) x Py(T) = p x 0,98 = 0,98p
P(Mnr)=r(r) xPMs)
b. P (D) = P^(D) x p(A) + ps(o), rrar = (1 - p) x 0, 0r = 0,01 - 0,01p
= 0,92 x 0, 65 + 0,95 x 0,35 D'après la formule des probabilités totales :

, (D) = o,ssg + 0,332s = o, e3os. p(r)=p(Mnn+r(rvrnr)


PI
/_\
AîDI P(T) =g,97Pag,g1.
P (M nT',t
c-Pr(A)=ffi=ffi =o,il27. 2- a- Prl\41'
P(T) 0,97p+0,01
O,9Bp

2. Notons X le nombre d'ampoules sans défaut. On a 3!-


= 97p+l= rf(p) où / est définie sur [0; 1].
une répétition d'épreuves identiques indépendantes b. la fonction / est une fonction rationnelle définie
à deux issues sur [0; 1] donc dérivable sur I 0; I I et :

P(X= l0) =0,930510 =0,4866.


98x($'/pal)-98px97
' : 98
l'(p)= =7>>Q.
(97p + l)z (97 p +l)z
EXERCICE 868 la fonction / est donc strictement croissante sur
to; 11.
t. Pp(A) = 0,85 ett'(A) = 0,15. 3. Ia probabilitê f(D qu'une personne ayant un test
2.u posiüf soit réellement atteinte du chikungunya est
0,8s
A supérieure à 0,95 quand la proportion p est solution
x de f inéquation 1(il)0,95:
ï(p)>-ï,es ê
D 982
0,I5
sTpi>o,ss
0, 15
A <- 9800p )- 95 x (97 p + l)
l-x e+ 585p)95
' <- p>-:. -tt7
0,85
À
Apartir d'une proportion p = + = 0,162 soitl6,2To
' tt7
de malades dans la populaüon on considère que le
b. D'après l'énoncé P(Â) = 0,29 et d'après I'arbre
t-\ test sera flable.
P(A) = p1p n A) + PIF î A) = 0,85x+ 0, l5(l - x)
= 0,7x + 0, 15 ExERcIcE 870
d'où l'équation 0, 7x + 0, 15 = 0,29.
l. Resütudon organisée des connaissances:
3. La résoluüon de l'équation précédente conduit à
x = 0,2, ainsi parmi les personnes ayant répondu,
a On suppose quie A I @, A etÀ forment une parti-
üon de l'univers C).
20% sont réellement favorables au projet.
On a alors pour tout événement B de O,
B=(AnB)"(anr),
donc P(B) = r(ran rl, (2" r)
).
6.5. PROBABILITES 577

Les événements (ÂnB) 4. On procède successivement deux fois au choix d'un


"t (Z"r)
sont incompa-
élève, le même élève pouvant être choisi deux fois.
tibles, alors P (B) = p 1nn 3l + r (7n n).
b. Voir exercice 856. On peut représenter les langues étudiées par les
2. Application: couples (R;À), (R;A), (A;.R) et (A;A).

a- Les événements R et S sont indépendants donc 0,5

P(Rn S) = P(R) x P(S) = 9,965 À


0,5
b. Stéphane est à l'heure au lycée si aucun des évé- 0,5 A
nements .R ou S ne se produit, iI faut donc calculer
r(nns). 0,5 À
0,5
Les événements R et S sont indépendants, les événe-
A
ments F et S le sont donc aussi, ainsi :
0,5 A
r(nns) = r(F) " r§) =,rr -0, r)o -0,05) = 0,85s. Lévénement « les deux élèves choisis n étudient pas
c. Notons X Ie nombre dre jours oir Stéphane entend
la même langue, correspond à (À;;{) u (A; R).
sont réveil. On a répétittion d'épreuves identiques
P((,R;A)) = P(À) x P(A) = 0,S x0,5 =0,25;
indépendantes; P(X=5) - 0,8555 = 0,4569 à lO-a
P((â;ft)) =P(À) xP(Â) =0,5x0,5 =0,25;
près.
læs deux événements (,R;A) et (A;Â) sont incompa-
tibles donc la probabilité de leur réunion est égale à
EXERCICE 87I
la somme de leurs probabilités.
l. Il y a 12 internes dans une classe de 30 élèves d'où
La probabilité cherché est 0,25 + 0,25 = 0, 5.
122
P(A\=-=-
305
168 873
II y a 14 filles donc 16 gar'çons d'où P (B) = = . EXERCTCE
30 15
2. ully a(internes parmi les 12 internes d'otr 50 I
l. P(Al=_=_.
4L 200 4
Pr(B)=-=- 2. Soit G l'événement « la graine choisie germe correc-
t23
2 tement ».
b. P(ÂnB) = P(,4) x Pa (B) =
-. P(AnG) =P(A)xPotO=*.
P(AnBl I
3. Pp(À) 3. P(G) = P(Ân G) +P(BnG) +P(C nG)
P(B) 4 r890660 133
4. P (Au B) = P (A) + P (B) - n 6n q = !. =-+-x-+-x-=-
8 10 200 10 200 200
5

4.
/-\603
PICnGI=(l-0,6)x-=-
EXERCICE 872 \i2N25
On regroupe Ies données du texte dans un tableau
EXERCICE 874
F G Total

A
I
I
t2

ll
20

20
N.
Clémentines
Italie

100
Espa8ne

2fi
Miloc

2N
Total

550

Total t7 23 40
Omtes 350 450 650 1450

23 L2
r. P(G) = P(RnG) = =0,, ToEl 450 700 850 2m0
+O=O,SZS, nO
20
P(Â) = =9,5.
- l. a. Soit C l'événement : « le paquet acheté est un pa-
I
2. P(FnA)= quet de clémentines ».
+O=O,ZZS.
t2 550 11
3. Pn(G)=r=O,U P(Cl----.
2000 40
578 CIIAPTTREï. CORNGÉS

b. Soit I l'événement : «le paquet acheté provilnt 5. Dans la boîte, 60 % des chocolats sont garnis de pra-
d'Italie,. liné donc p(A) =O,6.
450 I
P(n___
2000 40 a- D'après la loi des probabilités totales :

2. u ll y a 350 paquets de clémentines parmi les 1. 50 p(A) = p(Ln A) + p(Nn A) + p(B n A)


paquets de produits « européens »; <- 0,6=O,28+0,2t+ p(B nA)
350 7
æ
o ou lrr p(BnA) =0,6-0,49=0, 11.
1150 23
b. Il y a 350 paquets de clémentines «européer.s» b.pn,1i)=ry#=H=*=o,uu.
parmi les 550 paquets de clémenünes,
350 7
6. Soit P la probabilité: «l'un des chocolats choisi est
O Otl D2 garni de praliné et l'autre est garni de caramel ».
550 11
P - 2 x O,6x (1 -0,6) =2 x0,6x 0,4 = 0,48.
ExERCICE 875

l. 7 ExERcIcE 877
a" :« un des dés tirés est spécial ».

b. P(A) = f I a. Pour obtenir deux boules noires, il faut ürer une


3
/-\ 2 boule noire dans l'urne U et une boule noire dans
PIA)=1-P(A) = -.
l'urne V Il y a 5 boules noires parmi les 8 boules de
2. u lêvénement « obtenir 6 sur la face supérieure du
premier dé » est indépendant de l'événement « «rb-
l'urne U et 4 boules noires parmi les 10 boules de
l'urne V Les detx tirages étant indépendants, nous
tenir 6 sur la face supérieure du deuxième dé » d'otr 541
111 obtenonsD=-x-=--
Pd(B\=-X-=-
6636 '8104
b. Pour obtenir derx boules de couleurs différentes,
P (B I A) = P (A) xPa (B)' = -_1. il faut tirer (une boule blanche dans l'urne U et une
108
b. P(B) = P(BnA)+P(Bn7) boule noire de l'urne V) ou (une boule noire dans
t 211 7 l'urne U et une boule blanche de l'urne V). Les ti-
108362108 rages étant indépendants, nous obtenons
P (Ac, B)
3. Pn(r{)
1
.345621
P(B) 7 D'=-x-+-x
'81081040
EXERCICE 876
2. a" Si la carte tirée est une figure, on prend une botile
l. dans l'urne U dans laquelle il y a I boules dont 3
0,56
A pplf; = 1.
blanches d'otr
I
12 9
pæîn=prGl)xp(Fl =1 , =
0,5
0,M À '-8^32-M'
b. Par un raisonnement analogue, nous obtenons
0,7 6
0,3 Pc@) = -
0,3 À d'oir p(BnG) = pcr4 =*, # = ;
x p(G)

0,55
o,2 A
=!.
c. p(B) = p (B î n + p 6 n C1'64

0,45
À
ExERCICE 878
2. D'après l'énoncé: p1(A) - 0,56.
5
3. p(Ln A) = p(L) x pilA) = 0,5 x Q,§6 - 9,26. t. a-p(D =r--r00-.o,rl_.
4. On a donc p(N oA) =O,21. b. P(E) = PtrncJ = PH, +tc]
p(N i A) O,2l 21 7 = 0,05 x 0,3 = 0,015
Pw(A)=
ffi= 0É =30=I0-=0,7 P@ = P(I 616) = ,,r, , ,, (U) = o,es x o,e = o,BS5.
6,5. PROBABIUTÉS 579

,(e)= P(n+P(n=o,B'7 2. Soit X la variable aléatoire qui associe à chaque saut

P(c) = r-r(E)=o,rs. de quatre parachutistes Ie nombre de parachutistes

2. Un lot peut être considér'é comme cinq événements arrivant sur la cible :

indépendants d'otr p = A,875 x0,49M à lO-a près. E : « Aucun d'entre eux rfarrive sur la cible » d'oir
P(E) = P (X = = (r - 0,28)4 x 0,2687.
O)

EXERCICE 879 F : « Lun d'entre eux au moins arrive sur la cible »,

P(F) = P (x ) l) = I - P(X = 0) = 0'7313.


l. D'aprèsl'énoncé p(A =0,65, pc(n =O,7
P7@) =0,2' ExERCIcE 882
2. p (C n E) = p(C) x pc(E),= 0,455.
s. n (cnr) =, (e), pç@) = o,zs x o,2 =o,o7. l. A : « il rt'y a aucun stylo avec un défaut », ou encore
\ les huit srylos ne présentent pas de défaut :

4. p(n = p (C n E) + plc î,5) = o,525. P(A) = P(X = 0) = (l -0,1)8 = 0,43 à l0-2 près.
s. p(n = n(c nE) = p (A xr" (E) = o,os ,. 0,3 = 0, le5. B : « il y a au moins un srylo avec un défaut »;
6. a. Soit X la variable aléatoire qui associe à chaque P(B)=P11ç2 1) =1-P(X=0) =0,57.
choix de 5 personnes le n.ombre de personnes contre 2. u P (E) = P (D n D+ P(Dnr"l
t/
Ia construction et n étant pas écologiste. =0,1x0,2+0,9x1 =0,92.
cinq personnes sont indépendantes les unes des P(DîE\ 0.1x0.2
Les b. Pr(D) = ---:-----=: = :::------:-- x0,022 à l0-" orès.
autres d'où: P(E) O,92
3. a. En reprenant la notation de la première question,
P (X = 0) = (l - 0, 195)5 = 0,338 à l0-3 près.
nous obtenons P (X = 0) = (l - 0,022)8 x O,84.
b. P (X>1) = I -P(X - 0) = 0,662 à I0-3 près.
b. La mise en place de ce contrôle permet de presque
doubler les chances d'avoir un lot de huit srylos sans
EXERCICE 880
défaut.
r. r(anr) =rF)"ru (?) = 0,01 x 0,99 = 0,0099
ExERCICE 883
n(anr)-p@)xpB B = 0,99 x 0,005 = 0,0049 à
lO-a près par défaut. l.
,_\ / _\ /_ _\
2. plr)= p[Bn r)+nlBctr)=o,otae. I s
--/
p(r)=r-o(T)=0,e852.
/_\
1
2 4 E
planrl §

3. a"n7@)=d =o'3333 s
T
b. Soit X la variable aléatoire qui associe à chaque ti- E
rage de 20 pièces le nombre de bonnes pièces. I
p (X > l) = | - p (X = 0) == I - (1 -0,3333)20 = 0,9999 S

C
à 10-a près par défaut.
2 E
3
EXERCICE 88I 155
2. Onap(EnS) = p(E) xpr(S) =
r, 9 = 18.
L. la cible a une superficie de 2826 rn2 d'oia 3. D'après la formule des probabilités totales, Ies évé-
2426
P(A - _r0000 =0.2826 nements E, C et f formant une partition de I'univers,
800 on a:
P(f)=--s.63
10000 p(S) = p(En S) + p(rn $ + p(Cn S)
læ champ de luzerne a une superficie de 4000 m2 552
€ -=-+-+r(cns)
d'ott P(O = 0,4 I 18 I ''
P(D) = 1-P(A)-P(B)-P(A =o,x7a. <- p(CnS)=10-5-4 = 1
t8 lB.
580 CITAPITREî. CORP{GES

4. p(CnS) =
* .- ptcl , pc(s) =
,r]
On cherchep(M nÿ)
p(M 1V) = p(V) x Pv(M =0,25 x 0,08 = 0,02
p(cns) =
* .=== p(o =
rh =
Ë
=
à D'après la loi des probabilités totales :

n(u nV)= p(M)- p(Mnÿ) = 0,1-0,02 = 0,08


s.ps,)=rffil =i=:
z..'-,=+æ=ffi=*
EXERCICE 884
[. EXERCICE 886
o,92
G

0,75
l. a- P(E) = P(EnA+ P(EîV)
0,08 G =P(AxPu@)+P(V)rPv(E)
o,70
G
=0,3x0,03+ 0,7 x 0,05 =O,044.

x
0,96 P(Eîr./], 0.009 I
B
Pc(IIl
P@l =__j_=_=0.205.
b.
G o,o44 44
o,25 0,30 2. SoitP(t4=palorsP (V)=I-p.
0,o3p
PnfiJ)=P(EîU) _
E P(n 0,03p+0,05(1-p)
o'o3P
2. ona n@ne) = rl4,rr(E) = 0,25 x o,o4 = o,o r.
Pç(a =0,o5-o,o2p
0.032
t. p(Ân a nc) =, (7) x pv@), pa(G) Pp([D=0.3€:+
' '
0,05-0,02p =0.3
= 0,25 x 0,96 x 0,70 = O,24x0,7 = 0, lt»8. ê 'D= 0,015 5 _ .__
4. D'après la loi des probabilités totales :
0,036 -t2 =O.417.
Pour atteindre son objectif, l'entreprise doit ache-
p(G) = p(An Gr + p (7n r n c).
ter enüron 41,7% de son sucre à l'exploitation U et
Ot p(AîG) = p(A) x pe(G) =0,75 x 0,92 = 0,69.
58,3ÿo àV.
Donc p(G) = 0,69 + 0, 168 = 0,858.
o(Gn A\ 0.69
5. ona pc(A)='d =
af* =0,804. EXERCICE 887
6. la probabilité est celle de perdre au moins un poirt. l. Larbre est en fin d'exercice.
Soit X la variable égale au nombre de points gagncs 2. u GnS : «le client a choisi la destinaüon G et a été
La probabilité de gagner les quatre points es: :
saüsfait »;
P (X = 4) = 0,8584, donc celle de perdre au moins rn M n S : « le client a choisi la destination M et a été sa-
point est tisfait »;
P(X < 3) = | - P (X = 4)= I -0,8584 = 0,458063 p(G n S) = p(G) x Pc (S) = 0,3 x 0,8 = 0,24 ;
soit 0,458 arrondi au millième près. p(M nS) = p(M) x pru$) - 0,2 x 0,9 - 0, 18.
b. On a p(S) = 0,72.D'après la loi des probabilités to-
EXERCTCE 885
tales on a:
l. Soit M l'événement «l'individu tombe malade » et ÿ p(S) = p(AnS) + p(Gn S) + p(M n S)
«l'indMdu est vacciné,. donc p(Â n S) = p(S) - p(G n s) - p(M n S)
ona p(V) =o,rut pr(M) = o,sz et p(M =0,1 p(ÀnS) =O,72-O,24- 0,18 =0,3.
0,08 r(Ân S)
'=;-=0,6.
0.3
M c.Pe(S)='-
o,25 PA 0,5
M
g. rr§(G)- P(snG) =o'24 =!.
o,92 p(s) 0,72 3
4. Soit X la variable aléatoire qui associe à chaque tirage
M
de trois questionnaires, le nombre de clients insatis-
0,75
faits. P(X = 3) = (l-O,72)3 =0,O22.
M
6.5. PROBABILITES 58r

^)>
s
EXERCICE 890

â
s l. D'aprèsl'énoncé: P(R) =
â,or,r, = 1 et h(fi) = r.
§l
2. a. P(R) = P(AnÀ) +r(7nn)
S

").F
0,3
^o' = P(A) xPotnl *P(7) x
&(Â)
s
o^

,# 3
s
".o(o-)=r-P(A)
d'où p(Â) =
att
b.p(fi)= _ a'otr
(rornl - ry(n)

553 _ =-:p(A)+l
Nous en déduisons alors P(A) =
)
x r(a) +P7(R).

= O,e
,o1
ExERcrcE 888
Notons F l'événement « le candidat est une frlle » et S
3. Pn(A)=ffif =# J
I
=â=o'tzs
l'événement n le candidat a choisi la spécialité mathé-
matiques ». ExERcICE 89I
PartieA
l. P (F n S) = P(F) x PF (S) == 0, 6 x 0,3 = 0, lB, l'affirma-
tion est fausse. l. Ilya 1400 x 0,625 = 875 élèves de lycée.
P lFn sl o'? Parmi cetx-ci 56% vient par chèque bancaire soit
2. P;(s)
t' = +plFl = o,4
= 0,5, l'affirmation est
875 x 0,56 = 490 élèves qui paient chacun 50 €, soit
\i
fausse. en tout: 50 x 490 =245O0 €.
3. P (s) = P (Fn S) * r (Fn s) = 0,38, l'afÊrmation est Les étudiants sont I 400 - 875 = 525; ils paient cha-

waie. cun 60 € soit en tout 525 x 60 = 3l 500 €.


P(Fns) 1. 0'lB 96% des étudiants paient par chèque bancaire ce qui
4. pc(F) -
P(S) - 0,:lB= l9'
l'ufÊr*ation esr
waie. représente31500 x 0,96 =3024O€.
Le montant des versements effectués par chèque
ExERCICE 889 bancaire est donc égal à 54740 €.
D'après I'énon cé: p(A = p1V) =Lz 2. l,e montant total des locations s'élève à :

2 | n n-l 875 x 50+525 x 60 = 43750+31500 = 75250 €.


pu(B)=
r*2" n*|etpyt:.B)= r*2" n*I Le pourcentage des paiements par chèque bancaire
t. p(B iU) = p(U) x pu(B',t' = (n+2)(n+ 24500+30240 54740
..+ ^l)', I'affirma- estdonc. --------------- x 100 =
75250 75250 =72,7
ÿo.

tion est fausse.


PartieB -
2. p(B)=p(Bnl-/l +p@nl1
I n(n-L) t.
(n +2)(n+ l) + 2(n+2)(n+ l) C

p(B) =
nz - n+2 l'afÊrmation est fausse'
un +z)(n + l)' 0,56 B
g. p@îu) '=J-,1'afÊrmation -
-
P(B) = nz - n+2'
DR(a est Ao,
A
waie.
a. pa(U-l (0, 1 e n2-n.-lB)O, C
§
I'équation n2 - n - 18 = 0 admet derx solutions
nl= -
r-JB etnZ= t+Jzs 0,96 B
-
Z -,-,sachantquen>0 aq A
n2 - n-18 ) 0 si n) nz, or nz È 4,8 2. a. p (Ln A = p0) x pL(A = 0,625 x o,4 = o,25.
Il faut donc n ) 5, l'affirmation est fausse. b. p(EnB) = p(E) x PnG) = 0,375 x 0,96 = 0,36.
582 CTIAPITRE 6. CORRIGES

c. p(B) = p (L n B) + p (E I B). ExERCTcE 893


Or p(LnB) = p(L) x pilB) = 0,625 x 0,56 = 0,35,
donc p(B) = 0,35 + 0,36 = 0,71.
l. a. D'après l'énoncé P(FîT) = 0,8, P(F) = 0,9 et
p(LnB) 0.35 P7(T) =O,87.
3. pn&) = = --j--- È 0,49. îT)
6 b.Pp(fl
P(F
- P(F) = 9'B = 9 =o.BB9.
0,9 I -',---'
ExERcrcE 892 2. P(r)=P(FnD+P(Fnr).
PartieA
r(Fn r) = o(4 x +e) = (1-0,e) x 0,87 = 0,087,
d'otr:
L p(À)=t-x. P(7) = g,s 1 9,087 = 0,887.
2. p(A),p(A)=o,z+. P(7nr)
3. oncherche pT(n=;H_
On a donc x(l - x) =O,24 æ x- * =0,24
e *-x+0,24=0. D'après la loi des probabilités totales :

A = 0,04, l'équation admet deux solutions: n(rn7) = PG11 - P (F nr) =o,e-o,B = o,r.
JI =0,6 etx2=Q,4. De plus = I -P(7') = I -0,887 = 0,113 d'où
Partie B "(4
0. 1
PT(n= ---:- È0,885.
l.

oF
,# E
4. La probabilité que les trois aient un téléphone por-
table est 0,8873, donc la probabilité qu'il y en ait au
plus deux ayant un téléphone portable est
p= l-0,8873 x0,302.
:

4a
EXERCICE 894
-=;
Les trois événements sont indépendants.
2. u Aa B est l'événement : « le lecteur a choisi l'akrn- Ia probabilité que Maths sorte pÿama
en est égale à 1
nement à la "Revue Spéciale d'économie" et au 3
la probabilité que Maths mette un chapeau est égale à
"Guide des Placements en Bourse" r. 2
p(A.rB) = p(A) x Pe(B) =O,6 x 0,6 = 0,36. 5
la probabiüté qu'il achète un pain non complet est égale
b.ÂnE est I'événement : « le lecteur n a pas chr,isi 2
I'abonnement à la "Revue Spéciale d'économie" et
à-5
1224
na pas choisi l'abonnement au "Guide des Plar:e- P= -35575
x- x- =
-
ments en Bourse" ». On en déduit que la probabilité que Maths soit revenu
p(ÂnÊ) e(À), n(E)=0,4
= x o,e = 0,36. de la boulangerie en pÿama, un chapeau sur la tête et
3. p(B) = p(AîtB) * p(À"a) un pain non complet à la main est égde à j.
t5
or r(7nr)= r(7), p A@) =0,4 x 0,1 =0,04. ExERcIcE 895
Donc p(B) = 0,36+ 0,04 = 0,40.
pn(A)=oBnAl 0.36 36 I r. p(E-L-p.
p(B) 0,40 -=-=0.9.
40 l0
4. Soit X la variable aléatoire qü associe à chaque 2. Notons P (S = n) la probabilité cherchée :

choix de trois lecteurs le nombre d'abonnements au P(S=n)=Pn.


« Guide des Placements en Bourse ». 3. Notons P (E = n) la probabilité cherchée :

a" P(X = 0) = (1 -0,4)s = 0,216.


P(E=n)-(t-p)n.
b.OnendéduitP(X> 1) = l-P(X=0) =0,784.
4. P (S>r) = I -P(S= 0) =I -P(E= n) = | - (l - p)"
583
6.5. PROBABII1TES

EXERCICE 896 ExERcICE 898

"#
On peut résumer la situation t;ur un arbre
À

I R2 oS Â
2 ^--/
^lr
û
")tsu
6 Qsa
2
6 R2
=oou^
3
5
l. D'après la formule es probabilités totales :
4 R,
6 P(À) = P(Dn nr + n (Dn n)
r. p(Àr) =;,r(^--)=;, = P(D) x PD (ft) + P (D) x $(À) = 0, 134.
3I 2l P(D n R) 0.06 x 0.98
Pa1(Rù= 6= retPV(R.ù= 63 2. Pn@) =
Ë =:nU;- =o,aa.
I LafÊrmation du responsable est donc fausse.
2. p(hnR2) = p(Rr)' Pat(Rz)
5
t-tl
P[RrnR2J=-' EXERCICE 899

3. p (Rù = p (\n Rù * p(a: n ) =2, l.


" C
ainsip(R1) =p(Rù.
o,t

e
897

,#-
EXERCTcE
180 36 120 24
l. p(B)= = n, pGÿ= :165 = 73, Qo
-
65 13
û(P)----.
36s 73 2. P(A=P(Bnc)+n(rnc) = 0,66.
36 19
2. p(ArnB) = p(B), pn (Aù= P(BnC.
73, B = 146 O.24 4
= 0.37
242 6
P(A 0,66 -II
p(Âr nIV) =p(M x px(At)=
æ" g= Z3 ExERCICE 9OO

13565
p6rnP) = p(P) x pp(Aù = , =
A s 584 C

En appliquant la loi des pr:obabilités totales :


r\3
B
;>
-ÿ
e

3.
p (Aù = p (At n B)+ p (41 n IV) + p f\
a. Le bilan est posiüf pour les événements A2 et Ag,
ces deux événements sont disjoints
n P') =
ffi. 2e
v :>'
l;-.
d'oùp(A2uâ3) = p@)t p@ÿ--ffi. r. P(C) =P(BîC)+P(V,rC) =0,495.
2.Pa(B\
P(BnO ?J
r((azuastniv) P(C) = 0,495 =0,45.
b. On cherche pAzuAt?{, = p@ru Aùt
(AzuAs)nN=(AznML,(,43nM ExERcICE 90I
lB
a'ou P(tAz uas) nN) = pr(lÿ - p (Arn$ = l.
18, 584 4A
# a. On tire simultanément deux boules de même cou-
pAzuAt (M = leur, soit deux noires, soit deux vertes. Il y a 6 boules
,, 4a5 = 145. noires parmi les I boules, si on en prend une, il res-
tera 5 boules noires parmi 7 boules. II y a 2 boules
vertes parmi les 8 boules, si on prend une boule
584 CIIAPITRE 6. COHRIGÉS

vertes, il en restera I parmi les 7 boules, soit ExERCIcE 903


Pp(Er)=:,;.'r"+=i 1. EUO = 1x0,1+2x0,15+3x0,2+4xQ,2S+5x0,3 = 3,5.
Par un raisonnement analogue, on obtient :
V (X) = 0, 1 (1 - 3, 5)2 + 0, 15 (2 - 3, 5) 2 + 0,2 (3 3,5)2
pp(Ect=1,1*1,1= 6 -
B7 BB 14 +O,25(4-3,s)z +0,3(5-3,s)2 = r,75
o (X) = t/TJs = 1,32.
Pp(Es)=i"'r.i,'r=
i 2. E(n = -5 x 0, I -2 x 0,25 +3 x O,2-
E(X) = -0,05.
tx 0,3 +5 x 0,1

b. Pp(A) = Pp (Ei + Pp (E) - Pp (Es)


B+6-3 ll V (X) =8,5475 eto (n = t/A,5ù5 =2,92.
t4 L4
2. uPp(E)=9 x 622 20
EXERCIcE 904
88832
4 4 416
l l. Si le joueur obtient un nombre impair, il perd sa mise
PFGù=;X
BBB32 soit 2 €.
S'il obtient un nombre n pair, il gagne n-Z€ donc X
Pp(Eù=;,a1,2+1,à.r=# prend les valeurs -2, O,2 et 4.
2.
b. Pr(A) = Pp (Et) + Pp (E)- Pr fss) = j:
3. P(A) = P(D x Pp (A) + P (P) x Pp (A)
B137tt4 xi -2 0 2 4
=-x-+-x-=_
1516rs145
3 I 1 1
ExERCIcE 902 p(x = x;)
6 6 6 6
Soit,R l'événement « I'acteur a relu son texte »

3. E(X) - -r"
3111 :44[; -
t l'événement « l'acteur a un trou de mémoire le jour
U+0x -+2v =Q,
i». en jouant un grand nombre de parties, le gain sera
nul.
T2
4. V(n=
16 4J5
eto(X)=.-=2,31.
3
T1
4
t6 EXERCICE 905

T2
l. On peut présenter les résultats d'un lancer sous
forme d'un tableau:
oF ^* 4
êB I

>\\_<
T1

T2 DéII Dê2 1 2 4

E I 2 1 I 1

l. P(Ir ,]rT2)= -1 xlx 1 I , l'afârmation est faur se.


I B1 2 I 4 2 2
11 B I IBII
2. P(Tù = * r, *, -x -+-x-x- =!.1'uf-
9 9 I 2 9 9 23 81
firmaüon est fausse. J I 2 6 3

rr\ -,,= I, *!,?


q
s. P:[-rJ
2 9 2 3 =!9 ,l'afrrmation estvrtie.
I I l\ 2-, 2n 4 I 2 3 I
4. p,*t =
!a,*O-nù,(! x-+-x-l=
s23)
l'afÊrmation est waie. X prend les valeurs 1, 2, 3, 4, 6 et 8.
585
6.5. PROBABIUTÉS
B4
2. 2. P(X< 4)= PQ{=l'1+P(X=3) +P(X =4) = t0 = 5'
Il y a B0% de chances d'obtenir un résultat inférieur
xi I 2 J 4 6 8 ou égal à 4.
3.
6 5 2 I I I
p(x = q) l6 G G G
16 16

3. E(X) = 2,5, en iouant un SEimd nombre de parties, le 1.o

gain sera de 2€ 50. 0.8


l5 0.6
4. v(n=T=r,zs -0:4
h5 0.2
o (X) -;- = 1,94.
2 3 4 5
EXERCICE 906

t. P (X>3) = (X=3) + (X= 4) +(X+5) = 0,6 4. E(n = 3,6, V(X) = 0,84, o(X) =
y'0f4 = 0,916
Il y a 607o de chances d'obtenir un résultat supérieur
ou égal à 3. EXERCIcE 9O8
2.
r. E(Pr) x9,23 eto (P1) x3,82
x x<0 0<x<l 1-<r<2 2(x<3 E (P) æ 9,44 et o (Pù x 5,79
E (P3) = 10, 16 et o (P3) È 5,49

F (x) 0 0,05 0,2 0,4


2. P1 est la classe la plus homogène (plus petit écart
tYPe)'
3. P2 est la classe Ia plus hétérogène (plus Srand écart
x 3(,r<4 4(x<5 r>5 tYPe)'
4. Ia classe P3 a la meilleure moyenne.
F (x') o,75 0,9 I
3. ExERCICE 909

r. E(X) =3,54, V(X) =2,0484


o(X)= 1fi§M=1,43.
l;0
2. Onpose Y = X +2, Z = X-3 elT =2- X.
0;8
0.6 a.
o.4 ô-.-t|, . ,

'o2 Yi 4 5 6 7 I

I 2 3 4 p(v = vi) 0,09 0, 16 o,23 0,27 0, 14 0, l1

zi -l 0 I 2 3

ExERcIcE 907
p(z = zi) 0,09 0, 16 o,23 0,27 0,14 0,11
l. On peut utiliser un arbre pour répondre à la ques-
tion. ti I -l -3 -4

xi t 3 4 5 p(r = t;) 0,m 0, 16 0,23 o,27 0, 14 O, II

b. E(n = 5,54, V (Y) = 2,0484 et o (Y) = 1,43


I 4 3 2
p(x = xi) E (Z) = O,54, V (Y) = 2,0484 et o (Y) = 1,43
10 1o 1o IO
586
CHAPITREq. CORRIGES

E(I) = -1,5+, V (Y) = 2,ga&4 et o (y) = r,43


c. Conjecture : E (X + b) = E (n + b, V (X + b) V (X)
v (ax) = f
i=l
,, @*, - ap 6))2
= n
eto(X+b)=o(X)
=Lo2pr@i_rtn)2
i=l
n
gIO
EXERCICE = o2 L pi(xi - E(D)z = azv(n
i=r
l. E(X) = 3,54, V(X) =2,048u 3. o(X + b) = \/V(xiÈù = t/ÿ (X) = o(X)
o(X)=t/î,0483=I,43.
2. Onpose Y =2X, Z = -3X etT =2X +3. o(an=lÿ@n=l7vtn
a. =laly'V(fi =lalo(X).
yi 2 4 6 I l0 t2
EXERCICE 9I2
p{v = yi) 0,09 0, 16 o,23 0,27 0, 14 0, lr Démontrer que

,. :à@i ! i
-3 -6 -9 -12 t5 -18
-i)2 = )p_.i -r, , )i *, *=, , r

_t
p(z = zi) 0,G) 0, l6 o,23 o,27 0,14 0, =i,f-q - 2/,2 + x'
5 7 9 l1 l3 15 = (*,à4) - x,'
n n
p(r = \) 0,09 0,16 0,23 0,27 0, 14 0, En effet 1 I xi =i i=lI l=n
i=r
et

b.E(n =7,08,V(Y) =8, 1936 eto(Y)=2,86 2. v (n = E(tx - ntn)') = r(*' - 2xE(n + E(nz)
E (Z) = -19,62, V (Y) = 18,4356 et o (Y) x 4,29
= E(x2)-zE(x)Z +E(nz = a(x2)-@(n)2.
E(7) = I0,08, V(f) =9,1936 eto(Y)=2,8G 3. (n
V (aX + b) = V(aX) a2V -
(voir exercice précé-
c. Conjecture : E (aX) - ax E (X), V (aX) - a2 x V')Q
dent).
et o (ax) = lalo (x)

EXERCICE 9I3
EXERCICE 9I I

t. E(x+b)=l@;+b)pi
n \ s'rfû=-z(xi-x).
n n
j=l
2. l'@)=Lpis'itr)=-z L pi(ri - *)
= (\ + b)pt + @2 + b)p2+...+ (xn+ b)p n i=1 i=l
E(X + b) = \pr+ x2p2+... + xnpn nn
l' @) = -2 L p i*i + 2 | p ix = 2x - ZE(x).
+b(p1 + p2 + ...+ pn) i=l i=l
3.
= EQO + b car pt + p2 + - - - + pn = t.

nn
E(n
E(aX) = L o*ipi = aL
i=l i=I
xrp r = aE($ T -æ +æ

n
2. V(X + b) = L pi(xi + b - E (x + g)2
i=l
1'@) 0 +

n
=Lpt(x;+b-Eee-b)2
i=1
n
=Lp,@i-E1x1)2=y11ç1 I
i=l
n
V(aX)=Lp,@*,-E(aXùz E((x-
i=r
s87
6.5. PROBABILITÉS

4. / atteint son minimum pour.r = E(X), EXEnCICE 9I6


E((X-E(n)z}=v(n. PardeA
I @(n) =
l. a. X peutprendre lesvaleurs : 7; 1; -2; -3
EXERCICE 9I4 b.

r. P(,F) = 0,5'
2. from random imPort*
xi 7 I -2 -3
del simul(n):
F=0
for I in range(n) : p(x= xi) ÿ6 1/6 U6 3/6
a= randint(O,l)
if a== O: c. E(X) = -6,56.
F=F+l d. D'après la question précédente,les organisateurs
print(F) gagnent en moyenne de 50 centimes parpartie. Donc
3. from random import* pour 150 joueurs, le gain espéré sera de 150 x 0,50 soit
def simt:d(n): 75€.
F=0 2. Il faut qu'à la fin de Ia première partie le joueur ait au
for I in range(n) :
moins 3 €, ce qü est le cas si le 6 ou le 5 sont sortis
a= randint(O,I) au premier tou! ce qui correspond à une probabilité
f a== 0: 11 I
de
F=F+l 66 3
Partie B
eca.rt=abs(0.5-Fln)
prirt(ecart)
D'après le cours E(X + b) = E(n +b
Le jeu est équitable si E(X + b) = 0 et d'après la question
A.l.c. E(X) = -0,5
EXERCICE 9I5
II faut donc diminuer la mise de 0,5€, soit une mise de
l. fromrandomimport* 2,s€.
deî des(n) :

r esult at s = [0, 0, 0,0,0, 0] ExEnCIcE 9I7


for i in range(n) : PartieA
a= randint(O,S) l. On construit I'arbre suivant 2
4 I
resultatslal = resultats[4] +
prirfi(resultats)
2 0,50
2. from random import* I
4
5
def des(n): !4 2

r esul tat s = t0, 0, 0,0,0,01


2 à
ecar t = t0,0,0,0,0,0.|
for i in range(n) : 2
-r
4 0,50
a= randint(O,S)
2
r e sul t at slal = r e sul t at slal + | I 2
4
print(resaltats) 2,
for k in range(s) :

ecar tÎkl = abs(7 I 6 - r esul tatslkl I n) à 0,50


priîr(ecar t) On peut donc obtenir : l; 1,50; 2; 2,50; 3
588
CHAPITREï. CORRIGES

2. n p(d) =
*='r=g,n. 10000 t00
b.p(B)= ,o. 800+ 1300 2t
*= i=0,,
3. OnaP(S)
Pz =
10000 = * =0,r, soitzlvo
- u 2100 pièces
2) = r-[ffal*p1gy1 = l-0,5 =0,5. 3. présentent un seul défaut, g07o
Partie B d'entre elles sont vendues 12 €,
soit 0,80 x 2 100 = t680,
l. C'est la probabilité de ürer l,S0 €, soir p(/) = 0,4. Sur l0 000 pièces, 1 680 sont vendues 12 €.
2.
b. Les 7 700 pièces ne présentant aucun défaut sont
xi 2 3 4 5 6
vendues 20 €;
les 620 restantes ne sont pas vendues.
p(x = xi) 0,1 o,4 0,1 0,2 0,2
Pour I0000 pièces produites l'entreprise peut espé-
rer un bénéfice de :
3. On a E(X) = 4. 770Ox20+ 1680x 12-10000x t0 =24160€.
Sur un grand nombre de tirages, le temps moyen de
stationnement sera de 4 heures. EXERCICE 920

EXERCIcE 9IB
l.
M1 M2 Total
L. P (I n A) = P(I) x Pr(A) =0,2 x 0,5 = 0,1
P (1 n B) = 0,08 et P(In A = 0,O2. pièces 40 8 I
2. Soit p la probabilité pour qu'un foyer pris au hasa rd défemeuses

n achète pas d'adoucisseur.


pièces non 7æ 192 s52
p = P(1)+ P (In c) = 0,8 + o,o2 = 0,82. défmeuses

3. u P(X = 0) = 0,82, P(X = 4000) = 0,08


Total 800 200 I0ü)
P(X = 8000) = 0, I et E(X) = ll20.
b. Soit x le prixdu modèle simple.Onaalors: 2. ;5 =0,8.
a. P(A) =
E(X) = 0,08.r+ O,lx2x =0,28x = 1300.
b.o(Bl=
s
=0.048.
d'où x = 4642,86. r 000

Le vendeur doit vendre le mo dèle simple 4il3 € el le


p(ur"E) 760 rs
pur(B) = = 0,9s.
modèle haut de gamme 9286 €.
3.
c.

a.
ffi
X peut prendre
=
6ô0-
=
zo
les valeurs : 38; 42,3O; 42,5O.
b.
ExERcIcE 9I9
l. Soit A l'événement « la pièce présente le défaut ,1,
B l'événement « la pièce présente le défaut B » xi 38 42,30 42,50

p(x = xi) 0,952 0,04 0,008


A Â Total

c. E(X) = 36,296.
B 200 I 300 I 500
d. D'après Ia question précédente, le prix moyen de
reüent pour un grand nombre de pièces produites
E 800 7 700 8 500
est de 38,21 €. Pour ne pas vendre à perte il faut fixer
le prix de vente à au moins 38,21 €.
Total I 000 I 000 r0000
589
6,5. PROBABILITÉ,S

ExERCICE 922
EXERCICB 92I
l. a.
l.
o,2E, Gz@) Roue no I IO 0 5 0

Gr
o6 noue no 2
§ U, Z!; Dz@)
o,25 Ge(c) 10 m l0 I5 IO

§l' 14 ^--
l0 5
o 29. 0,75 Dt@)
D1

>>
5 l5 5 l0 5

Dz@) 0 IO 0 5 0

11 r133 b. Sur Ies 16 issues, I donnent un gain supérieur ou


2. u P(A) =
4" i= -,P(B)=;ia;,o; I
3l I égal à 10 €. La probabilité est donc égale U = O,a.
P(C)--x-x jr(D) =
e G
= 4" i* 4= A
44 4 -, c.
I
P(E) = (i)'= 16
4 I,Z 8i 0 5 10 l5 20
b. P(â) =
-,
P(B) =
64
,P(a=!,pro=i-et
36
P(El = 4 4 5 2 I
-.
64 p(G = Ei)
Ijévénement le moins probable est donc l'événe- l6 G l6 16 16

ment C.
d. p(G > t0) = p(G =15) + p(G = 2q =
L.iévénement le plus probable est donc l'événement 1* *a = *1
e. E(G) - 7,5. Sur un grand nombre de parties, le gain
E.
moyen par partie est de 7,50 €.
3. a.
Les joueurs perdront en moyenne 2,50 € par partie.
l6m-120
2. a.OnaE(B) =
16

JCi 48 16 64 0 -32 b. Il fautrésoudrel'inéquatio n,!!P It) >,


m) 12,50.
nous obtenons -.

p(x = xi)
4 T2 3 I 36
EXERCICE 923
64 6 64 64 64

b. E(x) = -9. Lespérance est négative, en jouant


l. p(X=2) = 1-(0,26+0,23+0, 15+0,05) =0,31
un grand nombre de parties, le joueur perdra en
2. p (X ) 2) = p(X = 2) + p(X = 3) + p(X = 4) = 0,51.
3.
moyenne 9 points par partie, il n'a donc aucun inté-
rêt à jouer .

,le nombre de p,oints perdus si la bille arrive


l;0 tÉ
ïi- 0;8
E(]0 = 0 <- 576+36n - 0 <- n= -16.1æ jeu sera 0.6

équitable si Ie joueur perd 16 points lorsque la bille 0:4 -


0.2
arrive dans la case e.
-
2 4
590
CIIAPITRE 6. CORP{]GES

4. E(n=\s, \.7
b.P(Eù=P(AnEù+ nlenaz)=, =o,ru
1,5 x 52 = 78. Il vendra en moyenne 7g voitures en
une année. PIAnF," I
4 c. rn,(Â) =
5. 78x 13500x P (Ez) 7
fr=AZtZO. 2. a.
Le montant moyen de la commission perçue en rn
an est de 42 120 €.
xi t7 34 5l
ExERCICB 924

l. Les résultats possibles sont: (B B p) (B F) (B


B E p(X = xi) O, I 0,15 0,3 0,45
P) (BEF) (EBP) (EBF) (EEP) (BEF)
2. a. D'après la question précédente, X peut prendre I es b. E (n
= 36,4. Un üsiteur payera en moyenne 36 €
valeurs :4; 3;2; l; -5. et 40 centimes pour une visite.
b. ÿ(X) = 0,1x7z +O,tSxt72 +0,3x342 +0,45*Sl2 -36,42
V(X) = 24O,5q
xi 4 I o(X1 =1/2+0§4=15,51.
3 2 -5

EXERCICE 926
p(x = x;) U8 218 2lB 2tB U8
l. - AR1R2R3R6R7B
c. p(X < 2) = p(X = 2) + p(X = r) + p(X = -S)
2215 - AR1R2fufuR7B
=-T-T-=-.
BBB B
3. aE(x) = I.
AR1R2R5RaR6R7B
-
8
IJespérance n'est pas nulle, lejeu n'est pas équitable. AR1fuReR1aR16R17R1sB
-
b. On reprend le calcul de l'espérance avec une per:e AR1fuR1sR12R1aR16R17R16B
de x euros si les trois pièces présentent leur cô.é
-
AR1 fu R11 R13R15R17R1sB
face : -
16+x 2. a. Chaque parcours a une probabilité de 1. I y a s
E(X) = I^ , donc l'espérance est nulle si.r = -1(. '6
parcours pass.rnt par Rz, la probabilité cherchée est
doncéealeà3, I = 1
ExERcICE 925 "62
b. Il y a 2 parcours passant piu Rr+, la probabilité
Soit  l'événement « le üsiteur utilise l'ascenseur» et Ii;
cherchéesestdoncégaleà2, + = 1.
I'événement « Ie visiteur va au iè^u étager.
3.
63
a. Il y a deux parcours à 6 bonds qui correspondent à
E1 X =12;
b
trois parcours à 7 bonds qui correspondent à X = 14;
l- un parcours à B bonds qui correspondent à X = 16.
§P b.
J E3

Q1
-;>
')F
E1

E2
xi

p(X = tri)
2l
63
t2

3l
62
t4 16

6
I

t. a. P(AnE2) = P(A) x PA@ù =0,3 c.E()C)=-=13,66.


t)
591
6.5. PROBABII.ITES
40
garantie est é8ale a On en déduit la probabilité
4. En reprenant les calculs avec un temps ' en se-
fr.
condes, onobtient : E@ =+'
/40\s
demandée iP=r- =0'l16'
[::,|
DoncE(X)=10 e !!='o
64r
ë t=flAoo
EXERCICE 929
f = 1,46 s'
PartieA

EXERCICE 927 0,998 A


l. Les trajets Possibles sont :

ABC AFE BCD BAF CAB CDE' §,§[


2l 0,002 Â
2. a. II y a derx trajets finissant en E, donc p1 = 63
b. Il y a 4 chemins finissant par le sas 2, 0,02 A
42 qss
doncp2=6=5.
3. a.Xpeutpiendrelesvaleurs:56; 58; 66; 68; 74
0,98 Â
b.
r. P(/nA) =0,00998
xi 56 5,8 66 68 74 P (A) = P (I î A) + P (7n A) = 0,02e78.
2. Iæ système d'alarme est mis en défaut si l'alarme ne
I se déclenche pas alors qu'un incident survient ou
.;I
1 1 2
p(x = xi) 6 6 si I'alarme se déclenche alors qu'aucun incident ne
6 o 6
survient:
c. E(X) = 66, le robot mettra en moyenne 66 mn pour
nettoyer trois salles.
p= n(r nÀ)+ r (7n a) = o,oleo2.
0.00998
d. On a un temps inférieur à 60 minutes dans 2 cas 3. pr (Il = ::___ _ 0.3351.
2T o,0297B =
sur 6, soit p3 = =
6 5.
296 148 PardeB
4. aOnaV(X)= ^ =--.Donco(X)=7,02.
bJ
b. En faisant travailler le robot 365 jours on a 365 x t. P(X = 5000) = P(1n/) = 0,00998
E(X) + 1,5 x o(X) x /56.i = 2429I,2 (min) soit enü- P(X= 15000) =r(rn]) =0,00002
ron 405 h. Il est donc acceptable de ne faire réüser le P(x = 1000) = n (Tn a) = 0,01e8
robot qu'une fois par an.
P(x = 0) = P(inZ) = o,e702.
2. E(n =7Ù,le cott journalier moyen est de 70 €.
ExERCICE 928

r. a. P(GnD) =0,002 ExERCICE 930


b. P(D) = P(Dn G) +r(.onG) = o,o82.
_ P(DîG'| 0,(102 I l. a X6 peut prendre les valeurs -0, 70; 0,30; 3,30.
P(D) 0,082 4r b.
3. P(X=o)=P(G)=o,2
P(x=80) =P(GrrD)=0,72
P(X =280) = P(Gno) =.o,oa xi 3,30 0,30 -0,70
E (X) = 80, le coût moyen d'un contrôle est de B0 €.
4. D'après la question 2., parmi les chaudières défec- p(x6= xi) 0, 1 0,3 0,6
tueuses la probabilité qu'une soit sous garantie est
1
éSale à donc la probabilité qu'elle ne soit pas sous c. E (k) = o, le jeu est équitable.
,
592
CHAPITREq. CORRIGES

2. a.
2.ups§)=r-o,r=0,s.
b. p(s) = p(Bns) * p(an s).
Ii 3,30 0,30 -0,70
P(BnS) = p(B)xpn$)=0,9x0,t =0,09.

n(x, = ,,1
I 3 n r (r n s) = p(B) *rE-(s) = o, r x o,g - e,6s.
n+4 n+4 n+4 Donc p(S) = 0,09 +0,08 = 0, 17.

b.
4'2-o'7n
E(xn)
n+4
- c.Ps(B) ='fff H = = 1 =0,s3.
c.E(X)<0 e+ 4,2-0,7n<0 <- z>6. PartieB
Le sac doit contenir au moins 7 boules noires.
r. on a p(rnS) =, (r], rE(S) = o,t x 0,2 = o,o2

EXERCICE 93I
l. Xl et X2 prennent toutes les valeurs de I à N, Situaüon de .BnS An§ Ens fnS
pour tout n compris entre 0 et N, la personne
entrant
-1
P(Xr = xi) = P(Xz- r;),N
N
li Bénéfice 485 -15 500 0

,,!:r=_16?=+={lH=Y
_ a.Y X1+X2 prendtouteslesvaleurséntre
2. = 2et2N.
Probabilité 0,09 0,81 0,08 o,o2

2. Iæ bénéfice moyen est égal à l'espérance de la loi de


probabilité bénéfi ce réalisé.
Boule2\Boulel 2 3 4 5
1
E(X) = 485 x 0,09+ (-15) x O,Bt +500 x 0,08+0 x 0,02

= 43,65 - 12,15 + 40 = 71,5.


I 2 3 4 5 6 Iæ bénéfice moyen par personne entrant est égal à
71,50 €.
2 3 4 5 6 7 3. læs bénéfices deviennent respectivement:
500 - r, --r, 500,0. D'oùr la nouvelle espérance :

3 4 5 6 7 I E(X) = 0,09(500-r) -x x 0,81 +500 x 0,08+0 x 0,02


= 45 - 0,09x - 0,8I.r + 40 = 85 - 0,9x.
4 5 6 7 I 9 4. On doit avoirS5-0,9r = 76 soitx = 10.

5 6 7 8 9 l0 ExERcICE 933

b.E(Y) =6,V(X)=4. l.
1123
c.P(2<Y<10)=l----=- A
25 25 25 O,45

s B
ExERcIcE 932
oS qzo
PartieA À

t. A
s 0,55
q40
.o'
oP
B

>\\ s
s 0,30

0,ts -
B

À
0,8 s
4t 2. a. Les résidents qui ne louent pas un studio louent un
B

>> s
deux-pièces, ao"c r (S) = I - 0,60 = 0,40.
593
6.5. PROBABILITÉ,S

(D, G, G), (G, D, G) et (G, G, D), abscisse d'arrivée -I


b. ps(a) + p5(B) + p5(R) == 1

= o'35'
(G, G, G) abscisse d'arrivée -3'
d'otr P5(B) = 1 - 0,45 - o'llo
3.
3. a-. OnaP(.RnS) = p5 x p5(R) =0,60x O,20 =0,12'
. On sait que p(R) = 0,18,
xi 6 3 -1 -3
orp(fi) =p(snR)*r(Snn)
soit o, 18 = o, 12 + p (Sn n), I 3 3 I
p(x = x;)
I
a'our(3nn) = o,18-o,.t2 = o,o6' I s s

u p(snn)= r§), rsutr I


E()f) =
I =I'125'
Jl
a,or r(n)
o'40= *
- ,(s) = l?'T
='Fi.^) 20= loo =o,rs. BXERCICE 936

4. p(A)= p(S nâ) * f (Sn rr) = 0,6 x 0,45+0,4 x 0'55 l.


=o,27 +0,22 = 0,49 soit 49 % : un peu moins de I 500 kcal
Ia moitié des résidents choisit la formule simple'
I 300 kcal
5. a. On a p(S n B) = p(S) x P5(B)
1 300 kcal
= 0,6 x (1 -0,45+0,20) = 0'2I'

500 520 I 200 kcal


0i 350 370 390 480
I 000 kcal

p(L= { i) 0,r2 o,27 o,2L 0,06 0,22 0,12 I 0(X) kcal

b. On a E(Z) = 425, sur un Srand nombre de locations


chacune rapportera en rnoyenne 425 €. 1 500 kcal

I 30O kcal

EXERCICE 934 I 300 kcal

1. a. Soit p la probabilité d'atteindre la cible,


P=L-0,2=O,8. 1 200 kcal

b.P(B)=p-P(i$=4,1. I 000 kcal

2. a. 1 000 kcal

xi 5 2 -8
I 600 kcal

I 400 kcal
p(x = x1) 0,3 0,5 o,2
r 400 kcal

b. E(x) = o,9 I 0, le jeu Iiest donc pas équitable.


c. o(X) = 1/11@ = 4,64 i1g-2. I 300 kcal

1 100 kcal
ExERcrcE 935 I 100 kcal

l. Liste des différents par:cours possibles : (D,D,D), 2. II y a 3 x 2 x 3 = 18 branches donc 18 repas différents.
(D, D, G), (D, G, D), évrSnement(D, G, G), (G, D, D), 3. Il y a une chance sur deux de choisir poisson ou
I
(G,D,G), (G,G,D), (G, G, G). üande, donc P (A) = -.
2. (D,D,D), abscisse d'arrivée +6 De même on peut choisir de façon équiprobable cha-

(D,D,G), (D,G,D) et (G,D,D), abscisse d'arrivée +3 cun des trois déserts, aonc P (B) =
i.
594
CIIAPITREi. CORRIGES

::::î, = #'. :,;l ji*t


indéPendants d,nc 3. E(x) =
# =3,ss pol.rtr.
6
P (Au B) = P(A) + p(B) p (An Bt EXERCICE 938
- =2 .
3 PardeA
4. Voir question l.
5. aRe{rooo, r100, l.

<
1200, rsoo, 1400, 1500, 1600i. On peut représenter une partie pa-r un arbre
I
b. 6-
G
I
m
5 G
X=Ri 1 000 I 100 12û r 300 r 400 I 500 I 60( 6
I
6 G
4 2 2 5 2 ? I I
p(X = Ri)
l8 G 18 1S 1S 1S 18
IO
ê
6
c. E(À) = 1250, sur un grand nombre de repas pris dans On en déduit:
917
! 10630
fr , +_x_=_
ce restaurant, le bilan calorique moyen d,un repas t)st p1c;=
I 250 kcal. 2. onar(r-)=, - pic;) =?.

o=(Bt=1114 = #'à
EXERCICE 937
oncherche -
PartieA ,[c)
3. La probabilité de ne gagner aucune partie sur 4
ig 46'
t. p(M n E) = p(M) x pu@) =:,'r= ;
jouées est P(G = o) =
2. Demême p(CîE) = p(C) x pc(E) =1, Iz = ]b (#)-
4
D'après la loi des probabilités totalesi d'otr P(G2D = l-P(G=0) = I - ( 23 = 0,655 à
p(D = p(MnE)+pGnn =?. 30
10-3 près.
3. on sait que r(n) = r - p(D = ! . 4. on joue n partie :P (c> t)= t - (*4)'

On cherche pEG) =
,F9 on cherche n tel que r - (.o?9)' > o,æ
,44 soito,ol,
I (#)"
orn(cnE)=p(Ax pc(E) 6 En utilisant la calculatrice z ) 18.
1
I Il faut donc jouer au minimum 18 fois.
Donc p;(C) =
b,

T 2
Partie B
5
Partie B l. a.

l.
xi +4 _I

<'=-iu
'->É- l E P(X = xi)
7
30
23
30

s\-. I E I
, 3 E(X) =;.
t
2' P(x -Âl-_.
-rr-3' b. Iespérance de gain étant positive, le jeu est défa-
122
p(x =D=-x-=-: vorable à l'organisateur.
339 2.
lt22 On reprend l'arbre initial avec
p(x =l)=-x-x-=-'
' 3 3 3 27' p(B)=
1r-rn
11ll n,,_1etptB, = n*1.
p(x =0) = - X - x - =
33327 -,
595
6.5, PROBABILITÉS

l5nln+5
* = 2. a. Enuülisant'un albre on obtient
Ona alors P(G) =
f,11' o ;* r' O m;î P=3'i6*totto=ff'
105

/-\
etdoncf [C)= u1r*X'
1n+l b. Au moins r. a". uoyuj"a'rs a pris un billet pour
la gare B : « tous les cas » moins « les trois voyageurs
n+5 Sn+l l9-n n ontPas Pris un billet Pour la
E(x)=4r 6(r*l) +(-Iix 6(rr+l) = 6(rr.l) Tî'îru,
p(B>D=t_p@=o) = 1_t*l = *o*
19- n
E()0 >0 .- ffi 2S <- n< 19' c. Probabilité que les trois voyageurs aient un billet

pour la destinat ionB : P(B= , = (*)'


EXERCICE 939
Probabilité que les trois voyageurs aient un billet
1. xg +.r1 + x2+ x3 * .r4 = ll)O pour la même destination :
ê xû + xo + r + xg +2r + xû+3r +'r0 +4r = 100 '=[7'|'*(Al'*[1]'
p = p(B =f,) + p(C =3) + P(D = 3)

e 5xg+10r=100
13 50+10r=100 <- 10r=50 <- r-5' \ ro/ \ 16/ \ 16/
la piobabilité recherchée est donc:
rl= 15, x2=20, lca=25 et'd4 =JQ' D-- L-:=-=3)
o(B 49
-p76
2. Ps= 0, 1, P1 = O,15, P2- O,2, P3 = 0,25, P+ = 0,3'
3. a.Xe{o;-r;z;4;+1.
20 EXERCICE 94I
b. P(X = 2)=
-r*=0'2. l. La probabilité recherchée est r (8 n O) .
c.
r(Ano) = P(-a) x Pq(D)
= (1- P(Q)) , (r - = 0,3 x 0,4
xi 0 -1 2 -J 4 Stol)
I (Q n o) = 0, 12' tiaffirmaüon est vraie'
t0 l5 20 25 30
p(X = xi)
100 I00 loo 100 100
2. P(D)=P(QnD)+P(onD)
70 = 0,7 x 0,3 + 0, 12 = 0,33. Ljaffirmaüon est
E(X)=--O.7O
100 fausse.
3. Ia probabilité recherchée est P2 (-a)
d. Le tableau de la nouvelle loi est le suivant
e(Qno) o,r2
,"(-o) - - -1. raffrrmation
P(D) 0,33 l1
est
wate.
yi 0 I -2 3 -4
4. On a P(Qn D) =O,21 et
10 15 20 25 30 P(Q) x P(D) = 0,7 x 0'33 =O,231.
p(Y = y)
lo0 loo 100 loo
100-
P(QnD) f P(Q) x P(D), les événements Q et D ne
-70 sont pas indépendants. Laffrrmation est fausse.
E(Y) - 100
= _0.70
- 5. Soit X la variable aléatoire égale au gain du traiteur.

EXERCTCE 940 læs valeurs de X possibles sont:


5, Ie client rt'achète qu'une quiche,
l. a-
6, Ie client n'achète qu'une pizza,
B, le client achète une quiche et un dessert,
xi 50 60 75
9, le client achète une pizza et un dessert.

7 5 4
On en déduit la loi de probabilité de X :
p(x = xi)
l6 l6 I6

b. E(X) = 59,375
596
CHAPITREï. CORRIGES

xi I
a.P(A1L)=p(A)xpe(L)=1 , X = X.
5 6 I lo 40'
+ p'('Dn L)4
b. P1L; = P(At1 L)

P(x = xi) l8 = l(A) I PAe) + p (D) x p» (L)


0,49 0, 0,21 o,t2 3 3 6 3 4__-
18"21.
=---
40 4 l0
Ainsi E(X) = 6,29.
640 40. 340
Le traiteur gagne en moyenne 6,29 € par
client. c.Pr.(Dl-P(DlL) = n'l0 -9
6,29x6x2O0=7548. P(L) 21 7'
Le traiteur gagne donc en moyenne 7S4B € par re_ 2. Il n'y a pas de
médaille doâ% représenrant le château
maine. Laffirmation est waie. de Saumur donc la probabilité
eue la médaiIe ürée
soit argentée sachant qu,elle représente le château
ExERCICE 942 de Saumur est égale à l.
l.c-2.c-3.d-4.b-S.d
EXERCICE 945
EXERCTcE g4g
l. Sur un total de 38,204 millions de véhicules,3l,622
L p(A =0,6 pG) =9,4 P(T) = 0,8 sont des véhicules particuliers,
Pc(T) =0'7. d'où P (D =
t#= 0,828 à I0-3 près.
2. 0,7 2.
T 0,62
D
0,6
0,828
T
0,3
0,38 b
0,95
T 0,94
D
0,4
0,172
0,05 i D
nT) = p (A, pc (T)
0,06
3. p (C - 0,6 xQ,l - 9,42. 3. a. P (V n D) = P (V) x Pv (D)
nr(Ct_p(TnC) _u42
a' P't\wt-
4- = =O,szs' l0-3 près.
p@ o^g = 0,828 x 0,62 =0,5f3 à

s. a. p(T î L) = p (T) p (T nC) = 0,8-0,42 = 0,38 b.P(D) =P(vnD)+n(7no)


-
x p" rol * p (ÿ) x pv (D)
= P(ÿ)
o'te
PLG)='+#= =e,e5. = 0,51336 + 0, 172 x 0,94 = 0,675.
b. Voir l'arbre.
'pres.:D (ÿ) = +P =\r#= 0,240 à,o-3
EXERCICE 944

l. On peut représenter les données de l'exercice sous ExERCTcE 946


forme d'un arbre pondéré : l.
0,92
6 a
B
l0 o,4

3 0,08 0
I A
l0
4 0,96
a
I 0,6
s
l0
4 0,04 0
J l0
2. P(NnQ) = P(M,
Ptv(Q) =0,4 x 0,92 =0,368.
a La probabilité que le pneu choisi soit un pneu neige
D
et qu'il ait réussi le test est égale à 0,368.
6 L
l0
597
6.5. PROBABIUTÉS

. Si Ie joueur tire une boule rouge il gagne 4 €' il a


3. P(Q) = P(Nn Q) +P(Cn t21

0,944' misé2€doncX =4-2=2'


= 0,368 + 0,6 x 0,96 ==
p (N n Q) 0,ili8 g,3g9g à t6-a près. Il v a 75 boules rouges parmi les boules donc
a. Pq(M = ,(O=
ô,g++ = pix=zt=
h=o,r.
joueulïre une boule blanche il ne gagne rien'
. Si le
ExERCICE 947
ilamisé2€doncX=-2.
f. P(AnS) = P(A) x Pa(S) =' 0,7 x0'17 = 0'119'
Il v a 150 boules blanches parmi les boules donc
2. D'après la formule des pr'obabilités totales : ' 150
P(.$ = P(AnS) +P(Bn S) = 0, 119+0,3 x 0'1 = 0'149 P(X=-2) = r* =0,u.
P(Ari$= o,Ul b. E(À1 = -Ziô",O+2 r0, 3+6 x 0, 1 = 0, le
jeu est donc
s. p5(A) = p($ o,r+:l =
o.zgs.
équitable.
EXERCICE 948 c. ÿ(X) =22 xQ,6+22 x0,3+62 xO,l-02 =7,2

calculer Pc (Fr), pour cela nous devons o(X) = t/72 = 2,68 au centième.
1. On cherche à
2. Soit x Ie nombre de boules blanches ajouter dans
calculer P (C n Fr) et P (C).
. nFr) = P(Fr) x Ppr (C) = 0,5 x 0,98 = 0,49 l'urne.
P (C
Les probabilités deüennent alors:
P(Ç) = P(Fr) x Ppr(C) +'P(Fù * Prz(A '
o

+P(F3) x PP'(A =O,92. P(X = -2) =


'ffi x150+
P(X =2) =
..
;*ffi
75

o.$l
On obtient P6(Fr) = o. ss à lo-2 près.
ng.r = P(X=6)=;Tzso
25
2. P(C) = P(Fr) , Pp, (C) + lÙ(Fù x Ppr(C)
E(X) = -1,5 donc
fD = 0,90+ 0,08P
= 0,98P +0,90(1 -
On cherche p tel que P(C) = o,92, soit 0,08p = 0,02 -2(150 + x) + 2 x 75 + 6 x 25 - -I,S(x + 25O)
o'DZ Ia résolution de cette équation donne x = 750'
ce qui implique P = g,rl' = o.zs. Lentreprise doit
Bob doit donc ajouter 750 boules blanches.
donc acheter 257o de se's fèves au premier fournis-

EXERCICE 95[
ExERCICE 949 L. axe{o; roo; looo; Ioooo}
l. P(.InS)=0,3; b.
P (1n;{) = 0, t8;
P(/nR) =0,t2. xi 0 100 1000 r0000

2. Soit p la probabilité quer le jardinier ne plante pas la


450 45 4 I
pelouse dans ce foyer. P(X = xi)
5oo 500 500 500
p = P (1)+ P (r n -R) - o,'L + o,r2 = 0,52.
E(n =37.
c.
3. a. P(X = 0) = 0,52, P (X,= 2000) = 0,3
2. a. ll y a 50 numéros gagnants parmi les 500 billets
et P(s) = 0' 18.
d'où p(A) = 0, 1.
b. E(n = 600 + 0, I8s.
10,000 Il y a 50 numéros dont le deuxième chiffre est I d'où
c. E(.)tO = I200 si x = 50
--.lrrurs 3 334 €. D(B)__=0. 1.
Il doit vendre l" *-o, 500
b. Il y a 5 numéros gagnants donc le deuxième chiffre
5
EXERCICE 950 est g d'où p@îB) = = g,g1 = p(A) x p(B)' Les
-
événements A et.A soritïonc indépendants.
l. a. . Si le joueur tire une boule bleue il gagne I €, il a
/ 450 \2
misé2€doncX=8-2=6. 3. a.p(c) = = 0,92 = 0,81.
Il y a 25 boules bleues prarmi les boules donc
[r*]
b. la probabilité cherchée est donc
25
P(X=6\ - -0.1' p=l-p(C)=O,r9
250
-
598
CIIAPITRE 6. CORRIGES

p < 2 x p(A), cette annonce publicitaire


n est pas r:or- Il y'2a donc
p@ - l) façons de choisir deux bou_les
recte.
parmi p.
2. Ca]cul de p4 : on tire derx boules vertes parmi
les
EXERcICE 952
trois ou detxrougesparmiles cinq ou 2 bleues parmi
l. La somme de toutes les probabilités des événements les n
élémentaires est égale à l, on en déduit alors rlue It ya donc
+ -T. ÿ=façons de tirerdeux
36a+Bb =l boules de *ê"-"
p ((1, l, 1)) = 3a + b et p ((2,2,2)) 6a + b
= I y a 9:99:2 "o'rl"r..
façons de choisir derx boules
p estuneprobabilitési0 (
3a+à < I et0 ( 6a+b,( I parmi n+8.
D'après l'égalité précédente b
= !- 9 a on en déduit . o- -
n2 - n+26
on_en déduit alors que I 2 (n +B)(n+Z).
t _ ,7 I 7 La probabilité de gai^n puis la probabilité 42 de perte.
-12 §iS 12
et
n>o)- n t
n'-n+26
I Qn=l-Pn=1-
"
a'ot-1<r<
12 - -12-
(n +B)(n +7)'

2. p(A) = p(B) e nz - n+26


a(I+ y + z) + b = a(4+ z) + b Pn= tend vers I lorsque z tend
A=0.
+lsn+56
vers +æ.
-
D'après la question précédente on en déduit a 0 et
= Ce résultat était préüsible, en effet s,il y a un très
b= !. grand nombre de boules bleues, les huit bor;les non
B
3. a. bleues deviennent très minoritaires, il est très pro_
bable que les deux boules tirées soient bleues.
xi 3 4 -3 -4 3. On tire neuf fois deux boules de la même couleur et
une fois deux boules de couleur différente. De plus il
P(x = xi) 3a+ b 3(4a + b) 3(5a+ b) 6a+b y a dix façons de tirer deux boules de couleurs diffé_
rentes lors des dix tirages ( en premier, en detxième,
b.E(X) =-IZa+2b=0
etc) d'où
-l2a +2b = O
a et b vérifrentle système
36a+Bb = | P(X=9)=lOx
It-t n2-n+ze \
9
x t- nz - n+26 \|
I [(n+8)(z+z) / (n+B)(n+7)
Ia résolution du système donne a = I )
f = Ia
"t
Dans ce cas, la loi de probabilité de tP$c".it , P(X = 9) tend vers 0 lorsque n tend vers +oo.

xi 3 4 -3 -4 ExERcrcE 954

P(x = x1)
3 l0 ll 4 l. Il y a detx dés sur trois qui sont normatx donc
n 28 n n 2
P (A = . Laffirmation est FAUSSE.
Dans ce cas V(X) = 12,5. 3-
2. La_probabilité d'obtenir 6 sur un dé normal est égale
a1'
EXERCICE 953 6',
la probabilité d'obtenir 6 sur le dé truqué est égal à
l. Dans un premier temps on fixe l'ordre des derx ;
boules. ll y a p façons de choisir la première bou e d'où p(sn) = uarÊrmation est
et p - L façons de choisir Ia deuxième soit p(p - i)
3(à)'. à(3)'
VRAIE.
t l2\n
façons de choisir la première et la deuxième. Or e
chotx(a,b) et le même que le choix (4 a), en d,autrr rs 3. Pn=771n,ïPY
e[e] r

termes nous avons compter tous les choix en doubl :.


599
6.5. PROBABIUTÉ,S

la semaine est donc égale à


Laffrrmation est ,RAIE'
pn = -;+-.
'[a]
.' 4 x (0,6)3 x 0,4+6x (0,6)3 x
(0,4)2 =0,55296'

-. (:)' tend vers 0 donc p2 tend vers I lorsque n tend EXERCICE 956
.r... +-. Laffrrmation est FAUSSE' PartieA
l. Al'instant n = 5: (F, F, F)
EXERCICE9S5 Al'instant n = 6: (f, F, f)'
I

l. Si un indMdu est malade un jour, il est guéri le jour 2. D'après la question précédente, on retrouve I'état
suivant. Mathix ne peut clonc pas être malade tous les initial au bout de 6 retournements
jours de la semaine. La probabilité que Mathix soit n=2020 =336x6+4 àl'instant n=202O onretrou-
malade tous les jours de Ia semaine est donc nulle' vera l'état de f instant n = 4 soit (P, P' F)'
2. On peut utiliser un arbre' On îole Mi l'événement
3. On retourne Ia pièce 2 aux instants 2, 5, B
« Mathix est malade le ième jour de la semaine
»'
On retoumera donc la pièce 2 pour Ia 2020e fois à
D'où P(Ag) = 0,6 x I x 0,6+0,4 x 0,4 x 0,6 = 0'456' l'instant n=2+ (2O20- l) x 3 = 6059.
La probabilité que Mathix soit malade le mercredi est
PardeB
donc égale à 0,456.
3. Si un indiüdu est en bonne santé un jour, il l'est 1.

encore le jour suivant avec une probabilité de 40Vo,


donc la probabilité que lvlathixne tombe pas malade
,64
au cours de la semaine est égale à (0,4)7 = 0,001M. t§
4. Maüix sera malade trois jours de la semaine si et -11 3
--,
seulement si il est malade Ies trois jours suivants:
. lundi-mercredi-vendrr:di : <ï, \,-
0,6x 1 x0,6x I x0,6x 1 x 0,4 = (0,6)3 x0,4
?n, J
--,
. lundi-mercredi-samedi :
0,6x I x 0,6x 1 x0,4 x0,6x | = ($,§)3 x0,4
. lundi-mercredi-dimanche : 2. a. Pour arriver à 0 à l'instant n + I, on peut :
0,6x I x0,6x I x O,4x0,4*6,6 = (0,6)3 x (0,4)2 . partir de 0 pile à l'instant n est suiwe la branche de
. lundi-jeudi-samedi : probabilité I
0,6x 1 x0,4x0,6x I x0,6 x 1 = (0,6)3 x0,4 o partir de I pile à f instant n et suiwe la branche de
I
. lundi-jeudi-dimancher : orobabilité :
,3
0,6x I x0,4x0,6 x I x0,4, g,6 = 10,6)3 x (0,4')2
d'otr Pn+r(0) = Pn(0) * lPrtfl
. lundi-vendredi-dimanche : J
Pour arriver à I à l'instant n + 1, on doit partir de 2
0,6 xI x O,4x0,4x 0,6 )( I ,9,6 = (0,6)3 x(O,4)2
piles à l'instant n puis suiwe la branche de probabi-
. mardi-jeudi-samedi:
l1ïé?
0,4x0,6x 1 x0,6x I x0,6x | = (0,6)3 x0,4 3
2
. mardi-jeudi-dimanche : d'où Pz+r(l)
J
- :Pn(2).
0,4x0,6x 1 x0,6x I xQr,4x0,6 - (0,6)3 x (0,4)2 b. En raisonnement de même sur les façons d'arriver
. mardi-vendredi-dimanche : en 2 à l'instant n + 1, on obtient la relation
2
0,4x0,6x I x0,4 x0,6x I x0,6 - (0,6)s x (O,4)2 Pn+t(2) - :Pnt).
J
. mercredi-vendredi-di:manche : c. En raisonnement de même sur les façons d'arriver
0,4 x0,4x0,6x I x0,6x I r 9,6 = (0,6)3 x (O,4)2 en 2 à l'instant n + 1, on obtient la relation
I
La probabilité que MatJrix soit malade trois jours de Pn+r (3) - :J Pn(2) + Pn (3).
600
CTIAPITRE 6. CORP{IGES

3. a.
De même la probabüté de tirer trois boules
rouges
estésareà(#*)',
n 0 I 2 3 4 5
la probabilité de tirer trois boules noires est
égale à
I n+2 \3
a''t'
Pn(I) 2 Is,r*r1
0 0 (: )' 0 (3)'
3
P(A) = (,.h)'.I#)iff?,r
Pn(2) I 4 n'+(n+l)c +(n+2)s
0 (?)' 0 (3
2
0
) 27(n + l)3
Laffirmation est VRAIE.
t 2\20
b.Pzo(l) =0etPzo(2)= 2. Ijévénement contraire de A est
= 0,0003,
In] rées ne sont pas toutes de la même
: « les trois boules ti_

,'rrrr, =(?)" =0,0002 etP21(2)=O. couleurr.


Laf,Êrmaüon est FAUSSE.
2 n
c. Pr(l) prend les valeurs 0 ou qui tend vers 0 3. Ia probabilité que les trois boules tirées soient
5
lorsque n deüent très grand,
on peut donc conjecturer que pn(l) tend vers
rouses est ésal", (3H)' = (i)'
0
Xaffirmation estVRAIE.
lorsque n deüent très grand.
4. On remarque que si n = 3 a-lors
d. On conjecture de même que pn(2) tend vers 0 234133
lorsque n deüent très grand. ;* n*Z= r l cequiestimpossible.
4. u Ts = 2Po0) +3PoQ) +SPo(3) = g*, *O - r.
"*l* est donc6ô-FAUSSE.
Laffirmation
b. Tn+r =2Pn+t(J) +3Pn+t(2) + SPn+r (3)
= z(!t, et)*s e, ru).s p Bt + ExERcrcE 958
(
t ( n
!r,,,,
=2Pn(l) +3PnQ) +SPn(3) = ln l. On peut utiliser un arbre,
TZOZO = T2Otg = TZOtg =... = T0 = 3

c. D'après les questions précédentes


o, =2u,(' - ;). (, - ;),', = i -(,- ;)
2Pn0) + 3Pn(2) + sPr? (3) = 3 et Pz (1), Pn (2) tender rt Lafârmation est FAUSSE.
vers 0 lorsque n deüent très grand. 2. a3 = (i)" (' - i). G)' l. I)' = (i)' | - i)
On en déduit alors que Pn(3) tend *,"., I5 lo.rqtr" o
deüent très grand. LafÊrmation est VRAIE.
La probabilité d'arrêter les retournements dans l'éti
c
Lt
3. On tire une boule blanche puis une boule noire soit
(P, P, P) est éSale à 2b-22
i.
d. Les retournements s'arrêtent dans l'état (P, P,
Pz=
Ux b *l-
r.IJafÊrmationestFAUSSE.
[) 4. l,a probabilité de choisir une boule blanche puis n -2
ou dans l'état (F, F, F).
boules noires est égale à '= ,(+)*' .
La probabilité d'arrêter dans l'état (F, F, F) est égale btb)
22 Il y a z- I façons de placer Ia boule blanche parmi les
à1--=-.
55 n-lpremièresboules.
la probabilité de choisirunebouleblanche parmi les
EXERCICE 957
z - I premiers tirages est donc égale à
l.
(n-t)x 2
Frobabilité d'obtenir une boule blanche en tirar.t I b-2\n-2
une boule parmi les 3n +, , (#), u,l t )
les trois tirages étant indépendants on en déduit que 1o nème boule doit être choisit parmi tes (D - 2)

la probabilité de tirer trois boules blanches est égale noires, d'où


tnr3 t. 2(n- l) 2 n-l
àt\3n+3/ Pn= b
(1 b
Laffirmation estVRAIE.
6.5. PROBABII1TÉ,S 60r

959 2k'r
EXERCTCE 2. P(X - k) =
î = 2k-r-n. Uaffirmation est
On peut représenter la première partie des informations FAUSSE.
par un diagramme :
3. On démontre par récunence que l'affrrmation est
VRAIE.
. INITIALISATION : Pour n = 2,
2

L e*-' =lr2o +2x2r =5et(2- l)x22 +l=5


k=r
la propriété est waie au rang 2.
. Supposons la propriété vérifie au rang n, montrons
qu'alors elle est vérifiée au rang n + I i
n+l n
L*zr''=lk2k-t+@+t)Zn
k=r k=l
-(n-l)2n +1+(n+ l)2n =nxzn+r +l
5 La propriété est donc vériflée au rarlg n + 1.
. La propriété est waie au rang 2 et est héréditaire,
elle est donc vraie pour tout n > 2.
l
On peut représenter la deuxième partie des informa- 4. E(n -0xP(X=0)+ I kP6=k)
tions par un tableau, en notant Âs l'événement « la per- k=t
n
sonne ne lit que la revue R» :
=2-nLkzk-t -@-t)+2-n.
k=L
LafÊrmation est FAUSSE.

Hommes Femmes Total


EXEBCICE 96I
PartieA
As 25 20 45
t.
0,85
Bs t5 10 25

o,o5

cs l5 l5 30 -M2
0,85 0,1
'12

Total 55 45 100

0,05
l. l,a somme de toutes les valeurs du diagramme est
--''* "'
égale à f 50 personnes. Ijaffrrmation estVRAIE.
2. 45+25+30 = 100. LaffirrnationestVBAIE.
3. On cherche Pa (Ar)= 4. Lafûrmationest FAUSSE.
0,1
-.-;>r,
4. On cherche P(ÉInAs)'' = ..LafÊrmation est
2. On utilise la formule des probabilités totales:
100
VRAIE. (Mi
P (Iù = Ps, (12) x P (Sr) + Pv, (I) xP
+PqQ)x P(Il
EXERCICE 960
n-l = 0,085 + 0,0175 + 0, I = 0,2025
t. -r
Ijurne contient f + !
k=0
2kt=r+2n
2-l -rn p(MtîrIù _ 0,0175
L afûrmation est FAUSSE. 3. P4(Ml = (Iz) 0,2025 =
0,086.
P
602 CHAPITREï. CORRIGES

Partie B gonaux
l. Lunivers C) est la réunion des événements disjoints Au premier jeu on a donc si A obtient une somme
Sn, Mn et In égale à 5 et B non (ou Ie contraire),
133
donc un't unt ttn = P(O) = l. P(Ai=i'i=*=P(Br)'
2. u On entre en C3 la formule = 0, 65 * C2 + O,OS * Itz. D'après la formule des probabilités totales, on a:
b. On voit que la valeur maximale de url est obterLue p(h)+p(Bt)+p(Ci=| 13 p(Cù=,-*9= j
pour n = 4 et vaut environ 0,0859. b. A chaque nouveau jeu les probabilités de gagner
3. a. D'après l'énoncé, P(Sz+r) = 0,85P(Sn) pour Â, gagner pour B et rejouer sont respectivement
donc unay =O,85un. 3310et
b.. Initialisatioz:0,850 -0,650 = I - I = 0 - u0 d()nc
-,
16 -16 -.
16

la propriété est vraie pour n = 0.


On a donc p(Cn+ù = pfcù r|..
. Hérédité: on suppose la propriété vraie pour un On reconnaît une suite géométrique de raison I et
'8
entier r?, donc un= 0,85tt - 0,65n.
de premier terme p (Cl) = 9.
Alors:0,052,2 +O,65un B

= 0,05 x 0, Bsn + 0, 65 , {0, AS, - 0,65n onadonc eoù=(l)"


| )

= (o,os *
T) ,0,85n - I ,6,65,*' De même p (An+ù = p (cù,
* = (i)" " *1,
o'85 o'65t1+l n-7
- 44x o'86n+1 - soit en décalant f indice de t : p (Aù= ,
* (; )
=
| {o,urn*, -0,65n+r) -- un+t. 3. a. on u -, . IB < t, doncz-iæ\8/
u,n ltl'l'-' = 0. d'oùr
La propriété est donc héréditaire.
lim p(A") =9.
2-+æ'
. Conclusionl-a.propriéTé est waie au rang 0 et est Jré-
-3
b. p(Aà < 0,01 <-
réditaire donc d'après l'axiome de récurrence, la pro-
-
x (;)'-'<
priété est waie pour tout n € I\1. '1o-z
3 /5\n-l
4. -l <0,65< I et-l <0,85< I doncrlil_0,85n =0 la suite de terme général estdécrois-
-xl-l
16 tB/
etn-+æ
lim 0,65n=0. sante, en utilisant la calculatrice, on obtient :

On en déduit que lim un (Az) = 0,011 et p (Aù = 0,00698, d'otr n = 8.


' n-+æ " =0 etn-+æ
lim z," = g. P

Comme Ltn * un * wn = l, on en déduit cue


lim wn= 1.
ExERcICE 963
n-+æ
Sur le long terme, selon ce modèle, tous les indivir lus l. a. I
m E2
seront immunisés.
1
6
EXERCIcE 962 19
fr
l. Les vecteurs sont orthogonauxsi et seulement si k rur
produit scalaire (le repère est orthonormé) est nul,
O'où ü. 7 = 0 <- a(t+b) -S+ b(t - a) =O
7
8- -2e'
,r\_
lt Ë2
t.l o a+b=S. fr
b. D'après l'arbre
Les tirages (a ; b) favorables sont : (I ; 4), (2 ; 3), (3 ; Z),
p(X =o) =
111
et (4; 1) sur4 x 4 tirages possibles. I 20 160'
I p(x -l)=
ll97982
La probabilité cherchée est dor" p = .
'4 8 20 B 20 r60',
2. a. D'après la question l. A et B ont chacun I char ce p(x =2) =
7tI77
sur 4 d'obtenir des vecteurs orthogonaux et donr: 3
B 20 160
chances sur 4 de ne pas obtenir des vecteurs ortlLo- On a bien p(X = O) + p(X = l) + p(X = 2) = l.
6.5. PROBABILITÉ,S 603

59
c. E(X) = : = 1,5. Sur 20 feux rencontrés, il y aura c. Calculons la probabilité Pn 9u'e n tirs sufÊsent
en moyenne 15 fer.xverts. pour crever le ballon.
2. a. D'après l'énoncé Liévénement contraire est « le ballon rlest pas crevé
1-9 au bout de n tirs », de probabilité p(e)" = 0,8u (car
Pzo(En+i = PV-@n+i =
", les tirs sont indépendants).
^
b. D'après la formule ^- totales
des probabilités :

t'P(en*1ner) Parconséquenti pn= I -0,8'x.


P(En+t) = P(En+tnerl
p, (En+ù d. pn> 0,99 <- I -0,8n > 0,99 <- 0,8n < 0,01.
= p(Eù x pBn(Enal + p (r;) x
9 I I l,a suite de terme général 0,Bn est strictement dé-
= or" *+(r- ton) ' 20= zoPn* zo4n croissante,0,B20 = 0,012 et 0,821 = 0,009.

t9 Il faut que n ) 2l pow qlue pn > 0,99.


c. pn+r = fi(t - ,or) 2. Pourchaquevaleurde kcomprisentre I et4, lapro-
tr 9\ I I 2
^0"+
= r"l*- babilité de crever le ballon est la probabilité pç, cal-
*)* in= n-EP" 92 culée à la question l.c : P* = |
-O,Bk .
3. a. On î un+1 = ZBPn+t -tl = 28 (
n- spn ) -9 lÆ dé n est pas pipé donc chaque face a la même pro-
632 babilité de sortie égale à |.
= 55
_ -9- -x2ïpn 4
18222 La probabilité de crever le ballon est :
= -- ur.
T--
un+t = x28pn = -- 1
Ul2Bpn-9) . (pr + pz + pz + pù = 0,4096.
4
La suite (un) est une suite géométrique de raison - 3. 0,29; fz = O,245; ft = O,26 et fa = 9,295.
l1
! a.
"fi =
4
de premier terme u1 =l$P, -g = -T b.Alors d2 = L (o-i)'=
k=l
o,oo3z5
r arn-l
b.,.n=-; , [-;) d'oir c. On constate que d2 < D9. On peut considérer, au
risque de 10%, que le dé n est pas pipé.
un-t9 un I lI 11 I
Yn- zB - 28 ' 2s- zsl-- 2 x (-;)-' +
n
.
2 2\n-l
c.Comme-t.-U.t, a-lors n++æ
lim -E) =Q EXERCICE 965

I
d'otr lim o, - = xO,32. l. a La probabilité de tirer dans I'ordre une boule
n-+æ''" 28
Sur un grand nombre de feux rencontrés la probabi- noire, une boule noire, une boule noire et une boule
lité qu'Amélie rencontre'un feu orange ou rouge est 4322 2
blancheestégaleà ; x - x - X - =
donc d'environ de I sur 3.
- 6 5 4 3 -. 15
b. La probabilité de tirer une boule blanche au cours
de ces quatre tirages est égale à4 - I = +.
EXERCICE 964 "1515
2. a La probabilité de tirer dans l'ordre une boule
l. Notons C l'événement « le ballon est crevé ». Alors
noire, une boule noire, une boule noire et une boule
P(C) =9,2' 32 B
blanche est ég*. (â)
a. Comme les tirs sont indépendants la probabilité 6Br
que Ia ballon soit intact au bout de deux tirs est b. Ia probabilité de tirer une boule blanche au cours
832
(l-p(C))z =0,82 =0,64. de ces quatre tirages est égale à 4
BI 81
b. Calculons la probabilité que deux tirs sufâsent 2l 2l 2
3. a.Pl =6=5, Pc=-x-
'3
pour crever Ie ballon. Ilévénement contraire est : 3 9'
t2\2,a=
| 2\n-r I
lal '.
4 I
u deux tirs ne sufÊsent pas », autrement dit, le bal- ,,=[5] n aD-
n-
lon n est pas crevé au bout de deux tirs. C'est l'évé-
nement contraire de celtü étudié à la question pré- b.sn=
I n-l 2\k
3
t=0
I t_
3)
1

3
,.g=,-(i)'
cédente. La probabilité ,cherchée est donc égale à n
1-0,64 = 0,36. o. ? < I do.rc rim I 0 d'otr lim Sz - 1.
3 z-+æ [ 3) = n++û
604 CHAPITREq. CORRIGÉS

ExERcICE 966 Partie B


l. a. D'après l'énoncé p (Gr) = 0,5
Pq (Gù = 0,6 et ppt (Gù = O,3 l. Au départ, Tom se trouve à l'origine O donc son or-
(Gù = p Gt n Gù + p (Gz n Pù = O,45. donnée est 0; donc l'événement B0 est réalisé :
P
b.p(Pù=r-p(Gù=0,55. a.O=0,bO=letc0=0.
2. ù pG,(Pn+ù = 0,4 et pp, (Gr*1) = Q,! 2. On représente sur un arbre pondéré le passage de

b. p(Gn+t) = p(Gn+tnG) + p(GnalnPn) l'état n à l'état n+ I ; une branche vers le haut signifie
que le nombre choisi au hasard est -1, une branche
= PGn(Gn+i x p(Gfi + ppn(Gnal x p(.?n)
d'où xr11 = 0,6xn + 0,3yn. du milieu signifie que le nombre est 0 et une branche
vers le bas signiûe que ce nombre vaut 1.
P (Pn+ù = P (Pn+t î G ù + p (Pn+r I Pn)

= P p, (P n+r) x p (Pù + p p, (Pn+t) x p G n)


d'où y2a1 = 0,4xn +O,7yn. *,
à en,,
3. a. unql = Xn+l 1- ÿn+l = Xn * ÿn = Un
I - Bn+t
La suite (un) est constante de terme général égrü à An

q=:q+ yt- L. à An*t


bn
b. wn+t = 4xn+t -3ÿn+t =l,Zxn -O,9yn
=03(4xn -3yr) =O,3wn
La suite (rr7) est géométrique de raison 0,3 et de p re-
"=; -ï:l
Cn I
mier terme ur = 0,5 Bn+l

On en déduit alors que w n = O,5 (0,3)n-r. cn*,


I
4. a. D'aprèslaquestionS. ÿn = l- xn et -
-l 1
s
4xn -3Yn = 0,5 (0,3)u 3
D'après la formule des probabilités totales :
On en déduit alors que.rn =1.T x (0,3)u-r
anal = P (Anaù = P (Ann An+t) + P (Bn î An+ù
b.0 < 0,3 < 1donc =0 (Aù (Bù x P4,(Ana1)
rliq,_0,S'-l =P x PAo (An+r) + P

tim xr=1.
d'oirn-+æ I 1 aa+bn
I an+t= dn, On, =
i* 5 3

ExERCICE 967
Demême
PartieA b4a1 = P (Bna)
l. (-1 ; l) : noncarx <0 ceqünest paspossible; I I I an+bn+c,
=onri*onrirrcn*i= 3
(10; 0) : oui par exemple en choisissant 10 fois la ra-
leur 0 pour y; etcnal=P(Cn+i=brr:+c2 x I =!'*
(2;4):noncar y>2;
(10 ; 2) : oui par
3. P(Arl=o, =4*h =13' ,
exemple en choisissant dans cet 3
ordre B fois la valeur 0 puis derx fois la valeur I P(al)= ur=g*P=I,
pour y.
2. On remplace dans I'algorithme la ligne :
P(cr)=.r=h;*=à.
AfÊcher « la position de Tom est , (-r;y) 4. Tom se trouve sur le pont au bout de deux déplace-
ments si l'ordonnée y de sa position vaut - l, 0 ou l,
par:
autrement dit dans le cas de l'événemert A2uB2uC2.
Siy< -l ouy> I
læs trois événements A2, 82 et C2 sont incompatibles
alors AfÊcher « Tom est tombé »

sinon AfÊcher « Tom a réussi la traversée


donc P (,42 u BzuCz) =P(Aù+P(Bù+P(Cù.
» I1 1
a1+b1 3',3
Fin du si az
3 3 9'
6.s. PRoBABntrÉs 605

, a1+b1+c1 {+}+}-r.
uZ=-3-= 3-=5t xi 5 -4 -6

=!Js!L
6,-339 =l =?. r(x = xr)
I I I
P (Azu BzuC21 = P 1n 1 + P (Bù/ P , 4 4
lCù2 z
=az+b2+cz=9*5*S=9. b.r(x) =0.
La probabilité que Tom rie trouve sur le pont après
deux déplacements est églale à ExERcIcE 970
n.
5. Pour la même raison quLe dans la question précé-
dente, la probabilité que'[om traverse le pont est
0,6
P(Â1s uBls u Cro) - P(,410) +P(Blo) +P(Cro)
= ato + bt} + cto 0,3
-Bl
= 0,137 497 d'après le tableau. O,I
La probabilité que Tom traverse le pont est égale à 0,4

0, 137 à 0,001 près.


0,3
0,41
EXERCICE 968
32 3
l- P(A\=-x-=- 5 4
PtB)=-X-=-
s
0,6
-Br
87 28 87 14 0, l9 O,I

P(c)=r-ptot-orrl=I.
28
2. P(X = l0) = P(A) =
3r0 P(X 1

- =2) = P(fi) = - 2. uOnapl=p(Ao I h)+p(Bs n Aù


15 25
P(X=-5) =P(A= E(X)=--28 =-0,89. = 0,4 x 0,6 + 0,41 x 0,6 = 0,363.
-28
En jouant un grand nombre de partie, unjoueur per- De même on calcule :

dra en moyenne 0, 89 € par partie. qt=p@onBr)+p(BonBr)


3. la probabilité cherchée est = 0,4 x 0,3+0,4I x 0,6 =0,12+0,3246 = 0,366.
3 Etrr=p(Ao n Cr)+p@o n C1)+p(Ce n
,=., (*)-. ( l--
28
::0,00059. C1)

=0,4x0, I+0,41 x0, I+0, l9x|=O,271.


ExERcrcE 969 On vérifie que 0,363 + 0,366 + 0,271 = I.

l. a Une suite u arithmétique si la boule A est sortie de b.


0,6
l'urne U1 , la probabilité e,st donc égde à fz .
0,3
b. Dans le cas présent, une suite sera convergente si
-B
elle est géométrique et de rairor, l,2' Ia probabilité est Pn
0,1
1
égale à ;.
4 0,3
c. u4 sera pair si la suite rr est géométrique de raison 4n

2, Ia probabilité est égde à ]. 0,6


4 -B
2. La probabilité cherchée e êga}- à1= fn O,I
" ;.
3. a. Ilyaquatre suites arithmétiques :
I
n
. un=3+lalorsu+'5
En reprenant les deux premières branches en rem-
. yn = 5+ n alors u4 =7 plaçant A par An (avec une probabilité pn d'y arri-
l
. un =3+2n alors u4 = 11 ver) et B par Blz (avec une probabilité qn d'y ariver),
. l,l,n=5+2n alors &4 = ll on obtient:
606 CHAPITREï. CORRIGES

Pn+t = 0,6Pn +0,3qn D'après la formule des probabilités totales :

4n+t =0,3pn +0,6qn pn*1 = p (An+ù = p (An+t î Aù + p (An+t n Bn)


3. a.52 =qn+pndoîc d'auEe parl Bn étant l'événement contraire de A2,
Sn+t = qn+r * pnil. = 0,3pn +0,6qn +O,6pn+O,3qn on en déduit que pn
Qn=l-
= 0,94n + O,9p n = 0,9 (qn+ pn) = 0,9S2. On en déduit alors que:
Ce qui montre que la suite (Sz) est une suite géorré- | 22 2l
Pn+r=
trique de raison 0,9 de premier terme qo + po = O,gI. iP"* i- iqn= i- EP".
_lllttn+t
2.
Demême Dn=4n-pn,donc = Pn+l -
i= - 5P" * -
Dn+l=Qni,-Pn+t =
r(
-5 -
r\ -i"'
I
[Prl !)=
= o,3p n + o,6q n - (o,op + ofl qn) la suite (un) est une suite géométrique de raison
" llll
= o3(qn - Pn) = o,3Dn. - -U et de Premier terme =
4 =
Donc (Dp) est une suite géométrique de raison ),3 ", ;- ; à.
I / 1\n-l
de premier terme 40 - p0 = 0,01. 3.un-
a,t-eJ
b. On sait que Slz = (0,9)n .So = (0,9)n x 0,81. rll n- I
Orn-+æ
lim 0,9u = 0, doncn-+æ
lim §, = Q Pn ün *r=u"I 5)
+
3
(car < 0,9 < 1). I \,l-l
-1 lim ( -l
-1<4<0donc n++æ =0
De même lim D, 5)
n-+æ = 0.
On en déduit alors que (pn) t"rra lr"r, lorr9.r" ,
]
sn = 4n+ pz = o,Bl .(0,9)n tend vers l'infini.
o, I A Iong terme, la probabilité que Iulie dépasse son for-
", lon = qn- pn = o,ol .(0,3)n
On en déduit par différence et par somme :
fait se stabilisera à f
3

Ir^=à(sn-Dn)
EXERCICE 972
1r"= L(sn +Dn) I
Onadonc bm pn =Qet lim 4n =0. l. p(X = l) =;
n-+æ n-+æ' 4
D'après la loi des probabilités totales on en déduit 111
P(X>z)=l-p(X=0)-p(X= 1) = l- ,- 4= i
que lim r,
- n-+æ =1 flaffirmation est VRAIE.
Cela signifie qu'à longue échéance il ny aura p.us
que des plantes du type C (ce qui semble norrral
z. in6=o=;8,(i)r
puisque seules celles-ci se remplacent, alors oue
(à)'.'
celles du type A et B se raréfient.) =iI '- 1-l =
'- [;)'.'
Laffir-
)
EXERCICE 97I mation est donc FAUSSE.
3. P(x = n+ t) - (;)".' = L' P (x= z). IiarÊrmation

! est donc FAUSSE.


z'n{. n
Pn 4
5 Dn+l 4. D'après la question 2. P (X ( n - t) = 1 -
2
d'autre part P (X ) n) = I - P (X ( n - 1)
4n a"{ 3 d'oùP(x r.=(:)"
a. D'après l'énoncé comme o. IZ. I on en déduit m [l'|'
, n-+æ\2
oue = o.
t2 )
Pen(An+t) = Pu, (An+l) = LafÊrmation est donc FAUSSE.
i., 5.
I
b. p(An+r nlAn) = pe,(An+r) x p(Afi = On
5 ExERcrcE 973
p(An+t îBù - pan(An+i x p(Bà ='Ur". Soit B, l'événement « le timbre à i bandes de phos-
607
6.5. PROBABIU:TÉS

phore » et G l'événement « le timbre à une bande à EXERCICE 975

gauche ». PartieA
l. On peut établir un arbre de probabilités, en notant
B; la boule 6u fme tirage est blanche et R; la boule
0,8 B2
6., ièrne tirage est rouge
0,1 544 5
alorsp(Er) =p(81 lR2nRg)=
0,2 nr,/
G
9, B, B = 36.
c 45 410
0,9 2. p(Eù = P(R1îBznÀs) =
9, 9 BBl
r. pr= P(Bz)+P(BtnG) 44 580
=0,61s2x0,9 =0,98' tiaffir- p(Eù=p(\îR2nBa)=, x, x-I 729
mation est VfÙAIE.
0'B 40.IiaffrrmationestFAUssE. la probabilité qu'on ait tiré une seule boule blanche
2. ot=P(B) = -
Pr 0,98 49 à I'issue des trois tirages est égale à
3. Pour avoir 5 bandes, il faut deux timbres à 2 bandes + p (E) + p (Eù =
1085
p (E | 29
.
et un timbre à I bande. p(Es)
16-
B0 2916 64
II y a trois façons de choisir le timbre une bande (Ie 3- p=
à
p(Eù+p(Eù+p(Eù 729 ro85 2r7
premier, Ie deuxième ou le troisième)
PartieB
d'où p3 = 3 x 0,82 x0,2 = 0,384.
L'Pn=l- (;)"
Laffirmation est donc FAIUSSE.
I 4\n
4. La probabilité d'avoir au moins 5 bandes est égale à 2. pnr O,ee <- <0,01
[e,|
P+=0,384+0,83 =0,896,
Avoir au plus 4 bandes » est l'événement contraire La suite de terme générale [1]' *, décroissante,
«
\e/
de « au moins 5 bandes r. /4 \5 /4 \6
= 0,017 et = o,0ozz
La probabilité d'avoir au plus 4 bandes est donc égale t-J IrJ
On en déduit qu'il faut prendre n ) 6.
à 1 - 0,896 = 0, 104. IiafÊrmation est donc FAUSSE.

EXERCTCE 976
EXERCICE 974 l. O(Atl=-x-=
2t2
321 n+2 n+1 @+l)(n+2)
l. a-Or =-x-=-. 1.:
10915 p(Aù = n" +3n-28 =O
15
767 l'équation admet deux solutions :
b.Or=-X-=-.
10915 nr=4>Oetn2=-'l ag
B On en déduit que n = 4.
c.P3=Pt+P2= *- 43 2
l5 2. *p(Aù=6r5=5
7 B
d.pq=l-p3= *. p(Aù=r-p(Aù-p(Aù= .
l5
2. a. læs ürages dans les derx urnes sont indépendants b.
42
doncp(R)=prrlO=
Z!;. xi 0 1 2
b. Les trois boules sont de même couleur si elles sont
toutes noires ou toutes fouges, la probabilité cher- 2 I I
/-\2623 - P(x = xi)
5
chéesestdonc égaleàplO)= =75. 15 15
i6*r, 10
23
c. p(D) = I --=-
52 E(n=
2

75 75 s.
/ 1\ 4 28 3. a. Il ny a plus de boules blanches dans l'urne d'otr
p(B 1D) = ll--lx-=-
\ 15/ l0 75 Ph(Bù =r
d'oùpD(B) =#= On en déduit alors que p (Bs n Aù = p 621 = L
* .
608 CTTAPITRE 6. CORHIGÉ,S

Par(Bù=
â" 1=; OnaalorsE(X) =n+fi=Y
d'oùp(BsnÂr)-
+"i='* EXERCICE 978
432 t.
Pn@o)
65 5 3
1 Bz
d'oùp(BenAs't=?r?= n

D'après la formule des probabilités totales


* ît5
1 N2
4
p(Bo) = p(Bon Ao) + p(Bsn Ar) + p(Bsn e21 =!L:
2
4 Bz

p(Bù = p(AsnBù=
22t2 3
b. b5
;, ;, ; = ; 2 N2
3} 4
c. p @r) = t - p (Bo) - n {azl = a. Les urnes se retrouvent chacune dans leur confi-
guration de départ, si les boules tirées dans les deux
ExERcICE 977
urnes sont de la même couleur d'oir
r. a p(À) = p(B) = p(v) =
*;b. *;c. #. p(A) = p (81 I 82) + p (N1n N2) =
iffi)
2. a. X prend les valeurs 28; O; 20; l0; 12. b. p(A) tend ver, ]4 lor.qr" z tend vers +æ.
b. 2. Lurne U2 contient une seule boule blanche si on tire
une boule noire de U1 et une blanche de U2
d'où p(B) = p(Nr n Ar; = --!-.
xi 28 0 20 l0 t2 3. a. un joueur mise 20 € maximum 2n €,
",ag*srl"3à,
donc si n < l0 il perdra de l'argent et si rz = l0 il ne
J 4 3n 4n n2
e(x = x;) perdra rien mais ne gagnera rien non plus. Il n'a donc
n+7 n+7 ln+ t)' (n+7)2 7
aucun intérêt à jouer tant que n ne dépasse pas 10.
84 l2n2 + lo-on
c. E(x) = n +7* (n +7)2
b.

_ l2(n2 + l4n + 49) + l6n


xi 2n-20 n-20 -20
(n+7)?
n
= 12+ l6- 6 3(n +2) n
@+712' c(x=x1)
3. La fonction f est dérivable sur [0; 10], 4(n+ 3) 4(n+3) 4(n+3)
a-v
-st1v1 = (r+7)J
----!-. c. E(X) =
3nz -62n-24o
4(n +3)
d. E(x) > 0 <-
3n2 -62n-24o>O
x 0 7 r0 Ce polynôme admet deuxracines distinctes
10
-- 3 et24.
|t(x) +0 -,
Sachant que n > 10, d'après la régle du signe d'un tri-
nôme du second degré, on en déduit que
E(n>0 æ n>24
Ainsi le jeu est favorable au joueur dès que l'urne Ul
r contient au moins 25 boules blanches.

EXERCICE 979

4. D'après la question précédente, E(X) est maxim rle l. a.Pourtoutréelxll,


potu n =7. P(x)-l+x+*+ +*n=t:l
x-l
609
6.5. PROBABILITES
8767
.p(x=-lo)=10r9*g=15
b. Pourtout r réel P'(r) = | + 2x +3x2 + "' + nx'n-l
d'autre part, pour tout réel x I 1, Bx7 x2 7
.plx=51 =Jx
lo,.grB= 15
.P(X=20)=3x
2xlxB 1
l0rg_B = 15
On vérifie que la sômme de ces probabilités est bien
n+l)xn +l égale à 1.
-Dz E(X) = -r.
2. a. Un élément de C) est un nombre à üngt chifhes (0
ou 1). Chaque chiffre ayamt deux possibilités on en 2. uLes valeurs possibles pour Y sont données par le
tableau suivant:
déduit qu'il y a 220 élémerrts dans O.
I
b.P(X= n)=
,n_t Partie2\Partiel -I0 5 20
On en déduit alors

20
-10 -20 -5 IO
E(D=lnP(X=n)
n=O
t
E(x) =r, (i)'.r, (i)'.r, , )' . ro , (;)" 5 -5 10 25

,0,(à),, _rr,(;)r, +1 20 IO 25 40

( L-r)' v e{-zo; -s; to; zs; ao}.


I--
1I
=Q ' = 3,9999. b. Les deux ürages étant indépendants, on obtient:
220 )
P(I= l0)-2xP(X= 20) xP(X= -10)
ExERCIcE 980 -"t- 63.
+P(X=5)xP(X=5)=
22s
l. En utilisant un arbre de probabilité, on obtient :
c. P (Y = -2O) = p 11ç- -10) P(X = -10)' =
x $
4 311, I
.P(X=100)=-X-x--=- 225
109830 P(Y= -5) =2x P(X =-10) x P(X=5)' = g
.P(X=15)=3x--=-4x3xri I 225
10x9xB 30 P (Y =25) = 2 x P (X = 2O) x P (X =St = *225
.P(X=4)=3x 6x5x4 15
I0x9x8i 30 P (Y= 4O) = P (X = 2O) x P (X = 2$ 225 =
6545
cP(X=0)=-X-x-==- -J- est bien
On vérifie que la somme de ces probabilités
109830
On vérifie que la somme de ces probabilité est bien égale à 1.
égale à 1. d. E(Y) = -2
59
2. E(n = ; < 10. Le jeu rfest donc pas favorable au vtn = E(Y2)- (E(Y))2 = t6B.
b
joueur.
3. . Si l'organisateur augmerrte la mise de 1 €, iI gagnera ExERcIcE 982
en moyenne l, 17 € par partie.
. Si l'organisateur diminue chaque gain de I €, l. a.

l'espérance deüent égale à 9, il gagrrera donc en


moyennel€parpartie.
x .r<0 0(*<1 l(x<2 x)2
La solution première solution est donc la plus ren-
table pour l'organisateur.
F(x) 0 0,1 0,6 1

EXERCICE 98I
l. En utilisantun arbre de probabilités, on obtient
610
CHAPITREq. CORRIGÉS

2. a læs sommes multiples de 5 sontles sommes égales


t.0 ..- à5ouà10.
0.8 .': D'après le tableau précédent, il y a 4 façons d,obte-
0.6
nir une somme égale à 5 et 3 façons d,obtenir une
o.4
o.2 somme égale à f0
7
(1oUDr=-.
) 36
b. o, =8.
36
7
b. E()f) = 1,3. 3. P(X=3)=p1
36
2. a læs deux événements sont indépendants d où P(X=2)=p2=
15

P(C1 n 36
= 0,1 x0,7 =0,07.
,E)

b. Pcz @) = I - (0,7)z - (0,3)z = 9,42 P(X=-4)=l-pt-pz=!


36
5
P (Czn E) = P (Cù x Pçr(E) = Q,)1. E(D = -36 . 0.Le jeu n'est donc pas avantageux
c.P(n- P(C1 n@ +P(Czrr4=O,28 pour le joueur.
3. a.

Dé vert 1 2 3 4 5 6

Yi 0 I 2
Dé rouge

P(Y = yi) 0,384 o,42 0,I96


I 2 4 5 6 7
b. E(Y) = 0,812.

ExERcIcE 983
2 3 4 5 6 7 I

l. Onal<X<9.
3 4 5 6 7 I 9
2. a.Soitl<r<B
Si (X = i) cela veut dire que la boule est dans le ièæe
4 5 6 7 I 9 IO
tiroir ce qui correspond à l'événement B;.
b.Si(x=s):
5 6 7 I 9 IO I1
soit la boule dans le 9" tiroir (événements .B9)

soit elle n y est pas alors elle est dans le 10" tiroir (é ré-
6 7 I I l0 11 t2
nements Blg).
Donc (X = 9) est la réunion des événements .B9 et
Bro. EXERCIcE 985
I
c. Pour I ( i( Slaprobabilité pi = 1. Chaque boule a deux cases possibles soit pour les
tO.
D'après la question précéden te p(X =9) = troisboules :2x2x 2 possibilités.
I01.
II y a donc 23 rangements possibles.

d.ErÀ-i=I+2+3+4+5+6+7+8+I8 54 2. Il n y a qu'une façon d'avoir toutes les boules dans la


l0 =r=U,*. I
case A d'où p(E) =
B.
I1 n y a qu'une façon de ne pas avofu de boule dans la
ExERCICE 984
case A , c'est de les avoir toutes dans Ia case B d'où
l. On peut établir un tableau à double entrée (voir en I
p(B\
fin d'exercice), ce qui nous permet de dénombrer B

p(G)
4l
toutes les possibilités. Il y a 36 couples possibles.
B2
6.5. PROBABILITÉS 611

3. a. Pour les six autres tirages, comme il y a 28 ürages dif-


férents de huit lancers et que chacun ne peut ulrriver
xi 0 I 2 3 qu'une fois, on en déduit que
165
P(S=0)=
e(x = x1)
1 3 3 I 64*ffi=fr.
4. a. Pour une somme finale égale à 10 €, il suffrt de ga-
it I s I
gner 6 fois et de perdre 2 fois.
b..a1x; = 1,5.
Un ürage possible serait donc PPF FFFFF.

ExERCTcE 986 Pour dénombrer les ürages menant à une telle


ParüeA somme, iI faut dénombrer les ürages comportant
exactement deux P.
l. Le joueur peut effectuer au maximum 3 lancers pour
Pour le premier P, il y a B choix possibles, pour le
avoir la garantie de ne pas être ruiné.
deuxième P, il ny a plus que 7 choix possibles soit
2. a. Il y a B issues possibles :
Bx7=56positions.
PPP de somme I
Mais l'ordre n ayant aucune importance, chaque po-
PPF, PFP et FPP de somme 3
sition a été comptée detx fois.
PFF, FPF et FFP de sornme 5
Finalement, 28 tirages mènent à la somme de 10 €.
FFF de somme 7.
b. On ne peut pas obtenir 13 €, car on part d'une
b.
somme paire et on effectue un nombre pair de lan-
cers.
Somme s; I 3 5 7
En partant de 6 €, il faudrait gagner 7 €, ce qui est
I 3 3 I impossible avec un nombre pair de lancers puisque
P(s = s,)
I I s 8
cela reviendrait à gagner pour 7 lancers et perdre
3. Il y a un seul ürage qui le mène à la ruine : PPPP. pour les lancers restants, lancers en nombre impair.
Le joueur s'arrête alors au 4e lancer et il y a 24 = 16 DoncP(S= 13) =9.
tirages de 4 lancers possibles, Ia probabilité que le c. En raisonnant comme à la question précédente, on
joueur soit ruiné est donc égale a peut démontrer que la somme obtenue sera toujours
*1.
Partie B paire.
l,a probabilité d'obtenir une somme paire est donc
l. Le joueur disposera au rnaximum de 6+8=14 ۈ la
égde à r.
fin du jeu. Il obtient le maximum avec le tirage
FFFFFFFF. Partle C
2. Dans ce cas, le joueur s'aLrrête au bout de 6lancers, Il y a un tirage de N lancers qui mènent à la ruine, de
I
avec le tirage PPPPPP. probabilité -=.
Ce qui correspond à 1 tiraLge parmi les 26 possibles.
donc la probabilité que lejoueur ne gagne aucun lan-
I læs autres tirages menant à Ia ruine comportent N + 2
cer est ésale à
"64 -. Iancers, avec I Face et N+ I Pile.
3. a. tirages menant à la ruine :
Il y a donc N tirages car le Face ne peut apparaître au
. PPPPPP rang 1V + 1 ou N + 2 (le joueur serait déjà ruiné)
. FPPPPPPP, PFPPPPPP, PPFPPPPP, Iâ probabilité d'être ruiné est donc égale à
PPPFP PPP, PPPPF PP,P, PPP PPF PP lN4+N
b. Il suffrt de calculer la p,robabilité d'obtenir un des 2N 2N+2
-+- 2N+2'
tirages de la question pré,cédente. ExERcrcE 987
La probabilité d'obtenir I'PPPPP est égale à ] On peut établir un arbre de probabilité illustrant la si-
"M
6t2 CTIAPTTREï. CORRIGÉS

tuation. On en déduit alors


38 b.P(s,ng)=à,à=+
P(X=0)= (3) c. Soit P(,R) la probabilité pour que Ia mise en jeu soit
L25
232 323t2\2r83 réussie:
P(X= l) = (3) x-*-x -x-+-xl-l r-r(s.o)= lf
55 54 5t4,| =-500 P(À) =

P(X=2)= : x- x-+-x l-l


z 3 z
23 l2\2+-x-x-=-
3 2 4z / l4\10
4 35 \4/ ss4 2. u" p,o = = 0,502 à l0-3 près.
5
3 I 1l
100 lfr]
b. Il y a dix façons de rater une mise en jeu sur les l0
P(X=3) = x-
=
5 4310 effectuées,
On vérifie que la somme des probabilités est égale à J

E()f) =
803
= 1,606, o(n =0,7528à lO-a près. d'où ro = 10, I , (iâ)'= 0,358 à ro-3 près.
500 l5
c.
EXERCTcE 988
l' P(Ai 20xl I
xi
=
20r r€ = 19'
100 90 -50
2. a. A1 est réalisé, il ne reste donc que 18 enveloplles
_. l8xl I
,,,1\(At\=-=-
d'oùrna. -. 18x17 lZ
p(x = x1) 0,502 0,3s8 0,14

b.p(AtnAù = p(Aù, per4zl= E(X) = 75,42, le joueur gagnera en moyenne 75,42


fi.
3. a Ar est réalisé, le premier a obtenu deux sujets euros.

d'examinateurs différents, il ne reste donc plus <1ue

16 premiers choix permettant d'obtenir une seccnd EXBRCICE 990


sujet du même examinateur, d'où L. Soit S l'événement « Math obtient le service sans at-
l6xl I
Pv16ù=ls,17=rs3' tente ».
0,3
s
b. p (Az) = p (A2 n A1) + p(aznT)
0,3
s
lBIBl
323 153 " l9 19'
0,3
0,7 §

p (Azu Ai = p (Aù + p 6ù - p (Az n A) = 9. o,?


3
0,7
4. a. P (X =2\ = p (A2nAt) = : 2. X prendlesvaleurs0, l, 2 et3.
323
3.
P(x=0) =r-p(AzuA1)-' = 3
323

P(X=
y. xi 0 I 2 3
1) =p(Aù+p(Aù-2xp(A2c'Arr=
On vérifie que la somme des probabütés est
r(x = xi) 0,343 0,3 o,2t o,147
égale à 1.
)
b.E(X)=i=0. 105. 4. E(n = 1, 161 , Math obtiendra le service en moyen à
19
la deuxième tentative.
ExERCICE 989 5. p(X=O)=Q,'16 p(X=l)=Q,t
Soit 51 l'événement « le premier service est réussi » et 52 p(X=2)=0,7x0,3 p(X=3)=O,72 xO,3
l'événement « le second service est réussi ».
pg=g=0,73 x0,3 p(x=s)=o,74 x0,3
S1
p(X=6')=0,75 x0,3

0,8
S2 ExERcIcE 991
-/
Jl-
l. Iæs événements sont indépendants, le 6 napparaît
0,2 s
t1 pas aux k - I premiers lancers et apparaît au lancer
r. a.P"ù1\lszl=t-:=
-, 5
1=o,2.
5
& d'oir P(X = k) = (l- p)k-r x p.
6.5. PROBABIUTÉS 613

1x3x2 3
P(X=a) =3r
z. P (x. o, = f ,r - r rr-r 7t =r('i' r, - rl') 6rSra = æ
X = 5 + a si une boule est rouge, une noire et une
D'autrepart '-.
r-!-flk r-T-ùk verte, il y a 6 façons de combiner les trois boules, d'où
Ltt-p)t =-l-(l-P) =- P
k=o 6
P(X =5+ a) =
d'oirP(X(k)=1-(r-pùk -
X = 10+ a si une boule est noire et les deux autres
3. D'après la question précédente P (X > k) = (l - Ok rouges, il y a 3 façons de combiner les trois boules,
P(X>,ketX>n+k)
Pxr*(X> n+k)- = d'otrp(X=10+a)=3,
lx2xl I
> k) Orsra = ZO
-p(X
P(X>, n+k) On vérifie que la somme des probabilités est

PQt:> k) égale à 1.
a+ l0
- tt - Plnlk
_ ,o)K =0 - p)n = p (x > n).
-r-
b.E(x) =
c.E(n=20 ê a+ 10=40soita=30.
(7

n. f, o,r -p)k-tn=-n()\.rrr-r)r) EXERCICE 993


N .. I-(t-p)N+l r PartieA
et lim l(t-p)ft= N--+æ 1m
p E est l'événement la flèche tombe dans la
N-+æ1-=1 P
« zone
caro< I -p < I donc -p)N+l =o blanche,. P(E) = - P($ = 1.
1
rlT_(, Partie B
4

on en déduit : E(x) = = -r,li)=


-p, (;)'-=- ; l. a. Un peu
I3I39
longmais très simple.
5. a. P (X = 3) = 0, 82 x 0,2 = O,l2B.
x- X- X- =
-4444256
tr. P(.SE.SE] =
b. P(X < 4) = I -0,84 = C|,5904. Ily a 59% de chance -
s3119
d'obtenir le 6 avant Ie 5e l.ancer. P(EE.S$=-x-X-x-x=-
I 44442s6
c' E(x) = En moyenne' on obtiendra Ie 6 au c. Il y a 6 branches de l'arbre qui permettent d'obte-
=5'
* nir deux succès. La probabilité d'obtenir detx succès
5e lancer.
927
estdoncésa]eà6x =
" 256
- 128
-.
/3\4 BI
EXERCICE 992 2. P(X=O}=l-l =-
t4/ 256
/1\ /3\3 108
p(x=r)=n,trJ,t;,|
l. a Les trois boules de la même couleur , elles sont
I =r*
donc vertes, la probabilités est éBale à 108
, P(X =2\ =
b. Il y a 6 façons de ranger trois boules différentes, Ia
-256
/l\3 ,t+,l=,*
/3\ t2
probabilité cherchée est rigal" , u 1 '! '1 p(x=3)=r,IaJ
' 6x5x4" = *.
20
c. Deux boules et deux seulement de la même cou-
l613 I
leur est de probabilité égale à I - P(X=4)= (i)-=
n- n= n 256
2. a. X = 0 si les trois boules sont vertes donc
I
P(X=0)=- 20 Partie C
X = 5 si une boule est rouge et les deux autres vertes, 20

il y a 3 façons de comtriner les trois boules, d'oùr l. P(f =0)= ;)


2x3x2
P(X=5)=3x-=- 6

X=
6x5x4 20
10 si deux boules est rouge et une verte, il y a 3
P(Y =20) = (i )"
façons de combiner les trois boules, 2. a. ta probabitité recherchée est égate à (i "
x3 2xll 3 )', (
; )
d'oitP(X=10)=3x--=- b. En modifiant l'ordre des S et E, sans en changer le
6xlix4 20
X = a si une boule est noire et les deux autres vertes, nombre, on ne modifiera pas le résultat.
il y a 3 façons de combiner les trois boules, d'où c. Pour connaître la probabilité P(Y =7), il nous
614 CHAPITRE1. CORRIGES

manque le nombre de façons d'obtenir 7 succès en le pième élément. Il y a donc au total n(n - I)(n -
jouant 20 fois. 2).. .(n p + l) p-uplets
- .

, nl _ n(n-l)(n-2)...(n- p+1)(n- p)t


d. P(Y ='=(,:). (i), . (i),. (n-p)l (n- p)t
.('l)=uu,o = n(n - I)(n - 2)... (n - p + t).
nt
4. Al ='!) - nt.
"0!
f. P(Y =7) =7752Ox (i)', (;)" = 0,,,24 à,(-a 5. a.lly a A7, - 1 anagrammes du mot TIRAGES.
près.
b. Soit P Ia probabilité qu'un .rnagrarnme du mot
commence par A et finisse par E.
ExERCTcE 994
Le A et le E étant fixés, il reste donc à choisir 5 lettres
1. Soit X la variable aléatoire donnant le nombre de pa- parmi 5 soit:
niers marqués par lulien. D_ 5! l2O
'-it-r-5039'
a" P (X = 0) = 0,48 = 0, 0007 à 10-a près.
b. P (X > l) = I -P(X = 0) = 0,9993 à 10-a près.
PardeC

c.P(X=6)- (:) , r,* x 0,42 = o,2oeo à lo-a près. l. En supposant les trois boules tirées successivement,
il y a 6 x 5 ,4 possibilités. Dans notre cas, les boules
2. Silulienlance nfoisleballon,P(X) l) = 1-0,4n
sont ürées simultanément, il ny a donc plus de no-
P(X>r) >0,999 6 Q,rn <0,001
tion d'ordre, soit 6 fois moins de choix possibles,
La suite de terme généra-le 0,4u est décroissanle , jtj
nous obtenon, ulorc '3 = 20 timges possibles.
0,47 = 0,0016 et0,48 = 0,0007 b
2. Nous avons vu dans la partie B qu'un arrangement
On en déduit quelulien doit effectuer au moins B lim-
de p éléments pris parmi n, noté Âp correspondaient
cers.
au nombre de p-uplets à éléments distincts d'un en-
semble à n éléments. Dans le cas d'une combinaison
EXERCTcE 995
de p éléments pris parmi n, il rt'y a plus d'ordre entre
ParüeA: Llstes
les p éléments choisis. Or il y a n! arrangements pos-
l. Soit N le nombre de mots de trois lettres choisies sible de p éléments pris parmi p. On en déduit alors
parmi les lettres a, b, c et d : n = 4 x 4 x 4 = 43 = M. l"\ AZ nt
2. Pour chaque élément de la liste, il y a n possibilitér , il
OUe
' I\Pll= ---.1
Pt
=
Pt(n- P)t
y a alors pour p éléments lxP p-uplets différents. 3. a. Déterminons -le nombre de tirages possibles : il
3. a Il y a sept jours, soit 7 possibilités pour chaque s'agit d'une combinaison de 6 éIéments pris parmi
boulangeries. D'après la quesüon précédente, il 'r a soit t, eB3 816 grilles différentes.
4e, (i) =
75 nombre de manières d'attribuer un jour de fern Le-
Une seule grille est gagnante soit
ture. I
b. Il y a 262 initiales différentes soit 666. S'il y a p us
------:-
'D = 13 = 7 ,2. 1O-8 .
983 816
de 666 personnes, au moins deux auront les mênies
b. Dans la nouvelle formule, il s'agit de choisir
initiales.
5 éléments parmi 49 ET I élément parmi 10 soit
/as\ /ro\
= le 068 840 grilles différentes. Comme
Partie B
[, j' |., ,|
précédemment il ny a qu'une grille gagnante soit
1
l. Ilya N = I x 7 x 6 x 5 x 4 x 3 x 2 x L =Sl,classemettts ' 19 068 840
possibles.
2. lI y a n choix pour premier élément, n - I pour le c. D'après les résultats obtenus aux deux questions
second, n - 2 pour le troisième, ..., n - p + I p(ur précédentes, il y a encore moins de chance de gagner
615
6.5. PROBABILITÉS

au rang 1 dans Ia nouvelle version. EXBRCICE 997


ParüeA
4 31
EXERCICE 996 r. p(EnS)=p(E)xps(S)= 6
x -42
= -.
2 I1
l. a. Nombre de répartitionsrpossibles des places inoc-
z. r(rns) = p(E)*p7(s) = 6
X-=-
412
/:z\ 7
cuPées:N=l .l=3596Ct. 3. p(s) =p@n$+pF ns) 12
\4,|
b. Les places inoccupées sont réparties dans les 24 ptrns) I
autres places,
r. p,(E)=
p(s) 7
lz+\ PartieB

p(A) =
lrl = ,

=o,2e5à 1o-3 Près t. P(x=, = (à)'= *


d'oùr
B :«
** ##
il y a autant d élèves it gauche qu'à droite de l'al-
lée centrale », il y a donc deux places libres de chaque
P(x=1)=(1(;)'(i)'=#
côtés.
/ra\ /ro\ P (x
t;)' ( i)' =,*s
= 2,= (;)

,,r, = I'J'L4 = 160 =6,46s à ro-3 près P(x=3)=(1(:)'(i)'=H


5313
2. a,P(X=0)-- /3\4 81
17980
Une place inoccupée au r.rng R4 : on choisit une
p(x=4)=tal =r*.
place parmi les B du rang R4 et 3 parmi les 24 res- 2. Soit p la probabilité recherchée
tantes: p = P(X--0) x P(Y) r) + P(X< r) x P(Y)2) +
/e\ lzt\ P(x<2) xP(Y2 3)+P(x<3) xP(Y=4)
P(X= 1)
[,]'t.l ,,rrn I x
t75 t3 x 67 67x 13+ r75x
'D= -256 -2s6+ -256 -256+ -256 -256 -256 -256
I
35960 1t495
Deuxplaces inoccupées au rang R4 : on choisit deux 523
places parmi les I du rang R4 et 2 parmi les 24 res- 'p = _16384 =
0,032 soil 3,2Vo de chances que le
joueur B gagne davantage de parties que Ie joueur Â.
tantes:

(:).(?) 966
EXERCICE 998
P(X=2)= = r.
35 960 ;r4es
Trois places inoccupées au rang R4 : on choisit trois
p(A)= (+,+) + p(+,-)= *32324
* * = l.
2. - p(+,+) + p(-,+) =
places parmi les 8 du rang R4 et 1 parmi les 24 res- p(B)
I
+. * = I
tantes 3. p(AnB) = p(+,+) = = p(A) x p(B)
:
/a\ [zt\ Jz -
P(X = 3)
lrl'[ , ] Les deux événements  atteint la cible, et « B at-
«

teint Ia cible » sont donc indépendants.


'u,
35960 4495
Quatre places inoccupées au rang R4 : on choisit les 4. Soit X Ia variable aléatoire représentant le nombre de
quatre places parmi les B du rang R4 : tirs ayant atteint Ia cible.

(T)7 P(X>4)=P(X=4)+P(X=5)
/1\3 /3\ /1\4 13
P(X=41
35960= 359€i
=o"tn,l'[;,l*tu] =
256 =o'05
On vérifie que la somme r:st probabilités est--
égale à 1. EXERCICE 999
I
b.E1x; = 1. l. P(X=0) - ( i)' to24
Il y a en moyenne une pla.ce inoccupée au rang R4.
P(X= 1) - i)t ;)'(i)'=h
6r6 CIIAPITREq. CORPüGES

90
, r, =r't =(Z) (; EXERCICE IOOl
)'(i )' ro2?.

,,"=, = (3) (; )'(i )' 270

,,"=, = (T) (; )'(i )' nu


to%
405
' (; -l).(';') #i#, =

_(n-t)t(p+n-p) _
.
##, _("\
P)t "t
5
243 Pt(n- Pt(n- P)t \p)'
P(x=o = (;) 2. D'aprèsla questionprécédente
roz-

2. a. Uélève met 12 min pour parcourirles 3 km, char 1ue â=(r;').(i-l)


En remplaçant
kpat n+1, n,... +I,
, p +Z et q par p
feux rouge ajoute 1,5 min
on obtient les égalités
d'où 7= 12+ 1,5 x (5-X) = 19,5-r,5X
b. E()f) = 3,75 (;:: ) = (,i,). ,\
E(7) = 19,5- 1,5 x E(X) = 13,875 ,l'élève mettra en
moyenne 14 minutes pour se rendre au lycée. (0"*r, = (;; l). ";')
)
3. a" E(T) +6 <20, il peut donc espérer être à l'heure à
son premier cours.
b. Il sera en retard s'il rencontre au moins deux fr:ux
rouges, c'est-à-dire X ( 3
E:1=(;ti1.1'.'1
376
P(X<3)=,O =O,367.
En additionnant membre à membre et simplifiant,
c. LéIève se rendra en salle de permanence s'il ne on obtient (; I =
rencontre aucun feux vert. I-a probabilité qu'il pa;se
11
E::). rt.,1r1
sa première heure de cours en salle de permanellce p+l
or
-I p+l
est donc ésale
" à
to24 3. D'après la formule du binôme, nous avons

EXERCICE I.OOO (r+2x)n =


,,)o,.(Z)r* .(Z)or *r*(;)rr,
t. (a+b)s= (i)r. D'autre part

.(i)*'. i)æ
(r + zx)n- ((1 +.r) + x)n - (;)", + c)n-p

(a+b)5 = a5 +5a4 A+rcé* +loa2Ë +5ab4 +1,5


=
(a-b)5 = a5 -sa4b+t\a3t -toa2t +saba -t5. P,(;)" Ë,(";')u)
2. En posant a = b = l, la formule du binôme s'ér:rit
En détaillant cette somme, nous obtenons
So=Iln-PLP-2n.
= (;)[(;) . (1..
P=0
En posant a = -l et b = l, la formule du binô ne F-t(;)" Ë*(";')u)
s,écrit0= (_1+ r)u = É |r:'1,_,,, = sr _sz, d,aurre (;)*. .(:)."1. .(;)" [(';').(,'-,)..
part 51 + 52 = So
P-+\Pl
donc Sr = Sz -
2" = rn-'.
lro (",_,)r . .(:_i).,-,1* *(;),. t(3)]
3. vxeR+*, (t+x)n=iÎ)" Dans le premier développement, le coefficient de xP
PJo\Pl
((r +.r)n)' = n(r + x)n-t = i r?-)nt,
p=o \P)
"rresaarr(j).
en particulier si -r = 1, on obtient S = n2n-1. Dans le deuxième développement, le coeffrcient rP
6t7
6.5, PROBABILITÉ,S

, [(';') . (,,1r)'.
2
*+ + On en déduit alors ="1;)
est égal ( n-P É,(;)(;-:)
n-p *'-'l=-Ë-(;)
n-p (;_;1
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1. Équations
2. Suites numériques
3. Fonctions
4. Géométrie
5. Probabilités

Dans ch,aque chapitre, vous trouverez :

. des sor.rs-chapitres composés d'un bref résumé du cours, d'exercices


d'a ppli,cation pu is d'exercices d'approfondissement ;

. des exercices pour préparer l'examen de fin d'année (EC), en cas


d'aban,Con de la spécialité;
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plusieurs notions ou abordent des thèmes qui ne sont plus au programme
de Prerrrière mais dont la maîtrise sera un atout pour la poursuite
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