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BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 1

Bruno Gröning

Je vous donne
une petite
maxime

Tome 2

Citations choisies
par
Thomas Eich

BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 2


Imprint

2me Edition 2013

© Grete Häusler GmbH-Verlag


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Artikelnummer: 32021_FR

Titre original allemand:


Bruno Gröning - Ich gebe Ihnen eine kleine Lebensweisheit, Band 2

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»Je vous donne une petite maxime
pour votre chemin.«
Bruno Gröning (1906 - 1959)

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PRÉFACE

En 1949, Bruno Gröning, le simple charpentier de Dantzig, est devenu du jour au lendemain le point
de mire de l’opinion publique lorsque la presse fit état de guérisons incroyables dont il était l’auteur.
Les médias ont vite fait de lui un «docteur miracle», tandis que des cercles plus initiés ont vu en lui
un maître spirituel. D’innombrables guérisons se produisaient et beaucoup de gens retrouvaient la foi
en Dieu.

Une fois passée la période des guérisons de masse accompagnée de beaucoup de tapage et de
plusieurs interdictions de guérir, son activité se limita, dans les années 50, à faire des conférences sur
la foi. Il ne fit rien qui eut pu ressembler, d’une manière ou d’une autre, à une activité de guérisseur,
mais des guérisons continuèrent pourtant à se produire. Il faisait seulement des conférences, parlait
aux gens, leur transmettait son enseignement et les éclairait sur le contexte spirituel de la vie. Il leur
apprenait que Dieu est le plus grand des médecins et que l’homme qui retourne dans l’ordre divin
peut trouver le salut et recouvrer la santé.

Beaucoup de conférences de cette époque ont été enregistrées sur bande magnétique et donnent un
bon aperçu de l’enseignement de Bruno Gröning. Les citations choisies pour ce deuxième livret de
notre trilogie des maximes de Bruno Gröning sont issues de ces conférences, de discours pris en
sténo et de notes. Puisse chaque lecteur y trouver ce dont il a besoin pour lui-même et pour sa vie
future.

Thomas Eich

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AVANT-PROPOS

Ma présence et mes paroles aident souvent les gens à recouvrer la santé, qu’ils soient pauvres ou
riches, jeunes ou âgés. Cependant, dans tous les cas, il est nécessaire de savoir que ce n’est pas moi
qui guéris, mais Lui! Lui c’est le bien, c’est Dieu. Cela signifie: dire oui à la vie, à l’ordre qui y
règne. Quiconque renonce à cet ordre, et par conséquent à la foi en Dieu et en lui-même, tombe
malade. Et plus il s’occupe de sa maladie, plus celle-ci a d’emprise sur lui. L’homme s’empêtre dans
ses propres pensées. Je veux le soustraire à cette situation dangereuse. Ma parole éveille sa foi, la
foi en Dieu et en lui-même. La force lui est ainsi donnée de se libérer de ces pensées accablantes.
Cela lui aplanit le chemin de l’ordre et de la santé. Celui qui a recouvré la santé a donc retrouvé la
foi.

Bruno Gröning

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Ce que j’ai à dire ici concerne sûrement chaque individu, quelle que soit la nation ou la confession
à laquelle il appartient, qu’il soit pauvre ou riche, tous les hommes sont égaux pour moi, la couleur
de la peau n’a aucune importance et pas davantage la langue maternelle.

C’est une réalité que je suis un Allemand et me trouve aujourd’hui encore sur le sol allemand. Je
me sens dans l’obligation d’aider d’abord ici, à l’endroit où je me trouve. Mais tous les hommes qui
vivent sur cette grande terre divine ont le droit de demander exactement la même chose que ce que
vous avez. Ce qu’il y a de grand et de bon et de plus riche doit pouvoir échoir à chacun. Pas la
richesse en argent, mais la richesse en santé.

Je ne demande à personne à quelle religion ou à quelle nation il appartient. Tous sont des hommes,
tous sont des enfants de Dieu.

Je vous demande maintenant de ne pas déterminer vous-même le moment pour qu’une guérison se
produise le plus vite possible, mais de laisser faire toutes choses et de les supporter.

Seul peut suivre celui qui s’est détaché des choses terrestres, qui ne s’y cramponne pas, mais qui
se cramponne à celui vers lequel il se sent attiré et à qui il appartient. Celui-là seul peut suivre Dieu.

Vous devez réussir à vous libérer de vos péchés, à vous libérer du mauvais en vous, pour pouvoir
recevoir la santé.

Je vous fais savoir que la santé est quelque chose de grand, quelque chose de bon, qu’elle est le
divin absolu.

Acceptez ceci comme un cadeau de Dieu, c’est ce qu’il y a de plus beau, de meilleur que je puisse
vous donner, en tant qu’intermédiaire de Dieu, pour la suite de votre vie. La richesse la plus grande
qu’un homme puisse posséder est et demeure la santé.

Si les hommes osent et croient pouvoir tout s’offrir avec leur argent – ils peuvent certes acheter
tout ce qui a été fait de main d’homme, mais ils ne pourront jamais acheter ce qui vient de la main de
Dieu. On ne peut pas acheter la santé. C’est ce que je refuse de prime abord!

Je n’ai pas un sou et je suis heureux, je suis fier d’être un homme pauvre, pauvre en argent et en
biens, mais riche, richissime en force pour pouvoir aider des hommes et les guérir. Je crois vraiment
que j’ai suivi le bon chemin, cela a plus de valeur que ce petit morceau de papier sans vie ou peut-
être que l’or ou autre chose. Non, je n’en fais aucun cas, je n’en ai pas besoin.
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La foi en Dieu, le lien avec le Seigneur, c’est l’onde curative que vous avez reçue, qui passe par
mon corps. Je ne suis qu’un petit intermédiaire, rien de plus, un transformateur minuscule. Vous
pouvez recevoir le courant par mon intermédiaire et la façon dont vous le recevez dépend de vous.

Si quelqu’un demande si j’ai donné la guérison, alors je dis toujours: moi, jamais. Je ne l’ai encore
jamais fait, j’ai seulement réparti le Heilstrom* correctement. Là où je savais que c’était bon pour le
corps, qu’il était en état de recevoir, il a reçu le courant. Je ne donne pas la guérison, moi, jamais!

Celui qui a reçu l’aide doit en remercier le Seigneur, pas le petit Gröning. Je ne suis rien, notre
Seigneur est tout.

Nous sommes grandement redevables à Dieu et nous devrions passer à l’action en faisant ce que
nous nous devons à nous-même et à notre prochain.

Je dis encore: Aimez votre prochain plus que vous-même! Nous, les hommes, ne devons jamais
oublier que nous sommes des enfants de Dieu, nous devons aider partout où c’est possible.

J’ai toujours eu le vœu d’aider non seulement un homme, mais tous les hommes qui vivent sur cette
grande terre divine, pour autant qu’ils aient mérité d’être aidés.

Ma mission, mon but, consiste à aider des hommes, à guérir des hommes.

Je ne reculerai pas d’un millimètre lorsqu’il s’agit d’aider des hommes. Mon chemin continue quoi
qu’il arrive! Le Seigneur soit avec moi!

Lorsqu’un homme est apparu ici ou là, qui non seulement pensait à faire le bien, mais qui le faisait
vraiment, alors on a tout fait pour l’écarter. Il n’en va pas autrement pour moi.

Je ne veux pas parler de mon combat. Non, ce n’est pas un combat, il est évident que je dois
m’imposer pour vous transmettre, à vous tous qui l’attendez depuis des années, la guérison qui vient
de notre Seigneur et par notre Seigneur. Bref, je n’ai eu aucune heure de répit et j’y renonce pour le
reste de ma vie. C’est bien pour cela que je suis ici et je me sens obligé de consacrer toute ma vie à
votre santé.

Cela a été dur, ce sont des années difficiles. Mon chemin n’est pas tout rose mais je n’ai qu’un
chemin à suivre: un chemin plein de ronces. Et ce chemin est tellement enseveli, tellement obstrué, je
dois le débroussailler, je le dégage, et, lorsque je l’ai dégagé, il s’obstrue de nouveau.
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J’ai été poursuivi pour ma bonté, on a tout essayé, on a voulu me mettre en prison bien que j’aie
seulement aidé les hommes, seulement fait le bien.

On m’a toujours mis des bâtons dans les roues en me montrant sans cesse une seule chose:
interdiction, interdiction et encore interdiction! Il ne s’agit pas ici de ma propre vie mais du fait
d’aider les malades. Et, quoi qu’il arrive, je n’en démords pas! Je ne peux pas passer mon chemin
quand je vois des gens qui sont couchés, si malades, et qui ne peuvent recevoir aucune aide.

J’assure tous mes amis que je continuerai à aider aussi souvent qu’on m’appellera et qu’on aura
besoin de moi. Malgré toutes les fortes résistances et les obstacles, je ne vous abandonnerai jamais.

Tous les hommes doivent mourir, moi aussi. On mettra mon corps dans la terre, mais je ne serai pas
mort. Celui qui m’appellera, je serai là pour lui et je continuerai à aider. Mais alors chacun obtiendra
par lui-même l’aide et la guérison.

Ma réponse à tous mes adversaires qui ne savent que me haïr: ce que mes adversaires devaient
faire, ils l’ont fait sans réserve et pour eux c’est terminé. Moi aussi, j’ai fait ce que je devais faire,
mais ce n’est que le début.

Tout ce qui est véritablement grand sur la terre est issu de quelque chose de petit.

Il n’y en a toujours que quelques-uns qui ont vraiment cette vocation. Vraiment seulement quelques-
uns, qui captent autant de bonté en eux pour accueillir pour tous leurs proches, qui font également
partie de nous, autant de bonne force, de force bienveillante que le prochain en a vraiment besoin.
C’est une des plus belles missions qui soit, il n’y en a pas de plus belle!

On m’a demandé si je pouvais transmettre la force. Non, ce n’est pas possible. Mais je suis en
mesure de permettre à des hommes qui sont disposés, qui sont prêts à aider d’autres hommes,
d’effectuer des guérisons en mon nom.

Je ne donne le pouvoir définitif de parler en mon nom qu’à celui qui est en mesure d’agir à mon
côté de façon désintéressée et consciencieuse.

Seul peut m’aider réellement en cela celui qui se met entièrement et sans réserve au service de
Dieu, qui n’obéit qu’à Dieu, pas aux hommes, qui suit la parole de Dieu et qui fait vraiment ce qu’il a
à faire.

L’hommeBGdoit
- JE VOUS DONNE
faire UNE PETITE
le bien MAXIME TOME
de lui-même 2
pour 10prochain et ne pas jouer au maître. C’est
son
mauvais, car, en fin de compte, nous ne sommes que des hommes, et, si l’un ou l’autre possède
davantage, il doit s’en réjouir, mais ne pas asservir son prochain pour autant.

L’homme pense à ses affaires pour vivre. Ce qu’il y a de malpropre en cela est seulement qu’il va
trop loin. Il ne faut pas être près de ses sous et laisser dépérir ses semblables; il ne le faut pas, c’est
un péché, et l’homme ne peut en prendre la responsabilité devant Dieu le Père.

Cela ne me dérange pas que des hommes possèdent quelque chose, au contraire, je me réjouis avec
eux, mais ils ne doivent jamais oublier qu’ils ne sont que des hommes.

L’homme a besoin de l’argent sinon il devrait échanger des marchandises comme c’était le cas
autrefois, quand il n’y avait pas encore d’argent, et cela ne lui est pas possible. Par conséquent,
l’argent existe bien à juste titre. Mais qu’il attire et séduise l’homme d’une telle façon n’est pas une
bonne chose.

Si l’homme se laisse séduire c’est parce qu’il aime ce qui est beau, pas ce qui est naturel. Il aime
le beau, l’apparence, il se laisse facilement séduire.

Dieu ne vous a pas destinés à servir un tel „Dieu“, un tel homme qui se nomme Dieu, un tel homme
qui asservit son prochain, qui l’opprime. Non, ce n’est pas ainsi que Dieu a voulu la vie ici!

Ne surtout pas être dépendant des hommes, seulement d’Un seul, ainsi qu’il en est aussi en réalité:
nous sommes tous dépendants de Dieu. Sans Dieu, il n’y a pas de vie. Car Dieu est la vie même.

Notre hôte réel est Dieu sur cette terre, et c’est Sa terre, et c’est Son droit. Et nous avons à nous
conformer à notre hôte.

Dieu veut uniquement que nous nous sentions bien, que nous nous sentions vraiment en bonne santé
sur cette terre qui est la Sienne.

La santé est et demeure ce qu’il y a de plus précieux, le bien le plus précieux de tous les hommes.
Celui qui la possède est l’homme le plus riche qui soit et il peut alors être fier et heureux et se sentir
bien sur cette grande terre divine et jouir de tout ce que le Seigneur a créé pour nous, les hommes.

Croyez donc que vous n’êtes pas seul, croyez donc que vous êtes une créature divine, croyez donc
que vous êtes un enfant de Dieu! Croyez donc que Dieu vous donne tout ce qu’il a déterminé pour
vous, pour chaque être vivant! Naturellement, chaque être vivant doit le capter!
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Partout où il y a la vie, Dieu est là. Là où il y a beaucoup de vie, Dieu est là d’autant plus, là, cela
agit; là où il y en a peu, cela ne peut pas agir, cela n’a aucun impact. C’est pourquoi il est important
que vous captiez beaucoup de vie, beaucoup de courant de vie que Dieu nous destine, que Dieu
envoie à chacun de nous. Mais l’homme doit le capter lui-même et il peut aussi le faire par
l’intermédiaire de son corps.

Vous devez être doté de tant de bonne force que le mal ne trouve plus aucune place en vous, dans
votre corps et que vous puissiez constamment refouler le mal si vous avez été malgré tout assailli par
lui et si vous l’êtes encore à l’avenir.

Libérez-vous maintenant de tout ce qui est mauvais et captez le bien qui est ici l’onde curative, pas
l’onde humaine, mais l’onde divine. Libérez-vous de tout ce qui est mauvais et ressentez ce qui arrive
à votre corps, dans votre corps.

Ne devriez-vous pas porter encore énormément plus d’attention à votre corps ou bien, somme
toute, porter seulement attention à votre corps, étant donné que ce corps, qui est le vôtre, est ce que
vous avez de plus précieux ? Ne devriez-vous pas tout faire pour préserver ce corps ? Car vous
l’avez vraiment constamment avec vous! En général, quoi que vous fassiez, cela ne vous rappelle-t-il
pas ce cadeau divin?

Vous devez accorder de l’attention à votre corps car c’est un cadeau divin. Et vous ne lui avez
presque plus accordé d’attention dans la vie. C’est seulement lorsque le corps fut affecté par le mal
que vous avez alors, oui alors, essayé tout ce qui était possible, et ensuite vous ne pouviez plus
compter seulement sur vous-même, mais sur votre prochain, croyant qu’il y arriverait bien s’il
essayait de vous aider. Et cet essai vous a nuit dans tous les cas.

Vous ne pouvez pas servir deux maîtres. Pas le Malin d’un côté et Dieu de l’autre. Et entre les
deux, vous êtes un hypocrite, un menteur, un escroc, vous n’êtes même pas sincère avec vous-même.
Vous devez vous débarrasser de tout cela. Tout ce que vous avez ressenti dans cette vie terrestre
comme quelque chose de mal, vous devez l’écarter complètement. Vous devez tourner le dos au mal.
Vous devez prendre l’autre chemin. C’est pourquoi je vous appelle à la grande conversion.

Vous tous devez être ramenés à la vraie foi divine, vous devez emprunter à nouveau le vrai chemin
divin afin que le lien soit rétabli et que vous le conserviez.

Je fais seulement sortir l’homme de l’enfer pour l’emmener dans le divin, dans le paradis. Mais il
doit savoir en profiter.

A l’époque où il a commencé à effectuer son travail


BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 12 d’agitation et d’hérésie, à séduire l’homme, à
attirer l’homme sur la mauvaise voie, Satan a fait sauter le pont qui menait sur le chemin divin. De ce
fait, il n’était plus possible à l’homme d’emprunter ce vrai chemin divin. Le pont n’existait plus. Tout
était maintenu artificiellement. Et maintenant, je peux vous dire de façon très brève que le pont est
reconstruit.

Je veux seulement être un guide pour les hommes. J’ai été un petit constructeur de pont et
maintenant, je suis le guide, dans la mesure où j’indique aux hommes le bon chemin, le chemin qui
mène à Dieu.

On a tendu l’oreille dans le monde entier: il y a un homme qui fait des miracles! On l’a d’abord
appelé le docteur miracle. « Cet homme est capable, il l’a déjà souvent prouvé. Allons-y, Allons-y! »
Bon, et comment l’homme se représentait-il vraiment cela ? Il croyait qu’il se trouverait vraiment
devant un docteur qui allait tout lui remettre en place. Non, il n’en est rien. Cette représentation était
erronée. Je ne veux rien d’autre que redonner à l’homme, avec cette force divine, ce qu’il a perdu. Je
veux ramener l’homme là où il se trouvait autrefois, sur le chemin divin.

Je ne suis qu’un petit, un tout petit instrument de Dieu! Mais je veux donner à l’homme tout le
soutien possible et lui montrer le bon chemin. Et ainsi, il vous suffit à vous aussi de m’appeler et je
suis là tout de suite – surtout ne vous imaginez pas que je suis là en personne – non, par l’esprit. Si
vous avez des douleurs à un moment donné, alors appelez-moi et il arrivera ce qui doit arriver.

Je crois pouvoir dire avec certitude que vous me remettez tous vos soucis, toutes vos souffrances.
Oui, les soucis aussi! Comment j’en viens à bout, c’est mon affaire. J’ai déjà endossé tellement de
choses, je peux bien en prendre encore plus. Et ce n’est que le début, ces hommes sont si peu
nombreux, ils ne comptent pas encore du tout, à vrai dire, au regard du nombre incalculable de ceux
qui sont ici sur cette petite terre divine.

Le Seigneur nous a laissés ici, Il a créé pour nous le paradis et dit: « Voilà, prenez-en grand soin! »
Mais si l’homme croit pouvoir s’émanciper, c’est une faute qu’il ne peut plus réparer si facilement de
lui-même. Il s’est détaché de ce qui est vraiment divin, il s’en est complètement écarté. Et maintenant,
j’établis pour vous le contact, c’est la seule chance que je puisse donner à tous les hommes.

Tout ce qui est réalisé artificiellement de main d’homme existe également à l’état naturel, mieux et
plus simplement.

L’artificiel est éphémère, jamais le naturel!

Que savez-vous vraiment du divin ? L’homme remarque seulement comme la nature est belle,
comme le divin est beau, quand il a dû garder le lit13pendant des mois, ou bien qu’il a dû vivre dans
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une ville, ou bien qu’il a été accablé de travail, de soucis et de misère, et qu’il a ensuite le bonheur
d’être dans la nature de Dieu, c’est seulement alors qu’il trouve cela magnifique. Magnifique, c’est
ainsi qu’est la nature, c’est ainsi qu’est Dieu!

Dieu le Père pourvoit à notre vie quotidienne.

Celui qui abandonne Dieu est abandonné. Celui qui garde Dieu se garde lui-même. Là où le lien
avec Dieu ne tient pas, c’est la chute.

De même qu’une maison qui est exposée à tous les temps doit être sans cesse rénovée pour durer,
les vêtements également, le linge, tout ce que l’homme s’est fabriqué sur cette terre, il le renouvelle,
il le rénove, il essaie toujours de le garder neuf et propre. Mais il n’a pas encore pensé à lui-même, à
son propre corps, à ce qu’il a en lui.

L’homme a déjà réalisé beaucoup de choses sur cette terre, seulement il n’a pas pensé à lui-même.
Il arrange de façon nette et propre ce qui se voit de l’extérieur et nettoie seulement le corps de
l’extérieur; mais le nettoyer de l’intérieur, il n’y est pas encore arrivé. L’homme n’a pas encore pensé
à libérer l’esprit qu’il possède, à libérer son esprit ni lui-même de tout ce qu’il voit et entend et qui
est mauvais.

Il faut se débarrasser d’abord de la maladie pour faire place à la santé. Jetez ce qui est satanique et
embrassez le divin si vous voulez vivre bien, heureux et satisfaits.

Il est préférable que l’homme veille dès le début à sa propreté. Je dis toujours: comme on fait son
lit, on se couche. Ce n’est pas le dehors qui compte, mais le dedans.

Qu’est-ce que l’homme? Une créature divine. L’homme se compose de l’esprit, de l’âme et du
corps. Il est un homme parce que Dieu lui a prêté un corps lié à la terre. Tout ce que Dieu a créé est
divin.

Nous, les hommes, nous ne sommes rien du tout sans notre Seigneur, absolument rien. Nous ne
pouvons vivre sans notre Seigneur. Nous sommes et demeurons tous des enfants de Dieu. Le seul Père
que nous avons est et demeure notre Seigneur.

Le médecin de tous les hommes est et demeure notre Seigneur. Celui qui vit avec Lui a tout. Il
deviendra riche, riche en santé, et c’est bien le plus grand bonheur qu’un homme puisse recevoir de
la part de notre Seigneur.
BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 14
Dieu a donné et donne un corps sain. C’est seulement ce que les hommes en font, ce qu’ils pensent
et ce qu’ils veulent, qui amène le désordre et les livre à Satan.

De même qu’il est vrai qu’il existe un Seigneur Dieu, il existe aussi un Satan. Et ce Satan a sa
mission particulière et ne manque vraiment aucune occasion car il est mauvais et veut se venger en
s’en prenant à ce que Dieu a voulu faire de bon.

Dans la mesure où il s’est engagé sur la voie satanique, l’homme a tout fait pour détruire aussi ce
qui est naturel, ce qui est divin. Il en a pris tout droit le chemin. Il est allé si loin dans son art, son
savoir et son pouvoir qu’il lui serait réellement possible d’anéantir tout ce qui est naturel. Tous les
êtres vivants de cette terre, les hommes, les animaux et la vie végétale peuvent être anéantis. Par quoi
? Un petit mot: l’atome! C’est l’aboutissement de ses capacités. L’homme est allé si loin qu’il ne peut
plus faire autrement. Satan a accompli son œuvre.

L’homme est allé si loin qu’il se trouve au bord du gouffre. Et j’appelle l’homme à revenir, à
revenir sur le chemin sur lequel il se trouvait autrefois.

La volonté a aussi besoin de force. Il y a deux sources: la mauvaise est destructrice, la bonne est
constructive. Tout dépend de quel côté vous êtes connecté.

Dieu vous a laissé cette volonté – le libre arbitre – vous pouvez décider vous-même. Mais ayez
maintenant la volonté! Si cette volonté qui est la vôtre est tout de suite en harmonie avec la volonté
divine, avec la volonté de Dieu, alors vous êtes déjà sur la bonne voie. Pour capter ce que le
Seigneur veut vous donner pour votre chemin, vous devez être purs, votre corps, votre cœur, tout ce
que vous possédez de par votre corps et en lui doit être pur.

L’homme doit être pur. Il doit savoir qu’il a l’obligation et l’engagement de vivre avec le Seigneur.
Alors il est pur.

Je ne sais pas beaucoup de choses, je ne sais rien de plus que ce que les hommes, aujourd’hui, ont
oublié. C’est précisément pourquoi je considère comme mon devoir d’expliquer à chacun à qui il
appartient, quel genre de créature il est et comment il peut capter en lui la force du Créateur pour
devenir maître de son corps.

Dieu est la vie, l’amour est Dieu.

Aspire à la vie – à Dieu; Dieu en nous!


BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 15
Ne joue pas avec la vie, mais dans la vie. La vie n’est pas un jeu, le jeu est dans la vie. Mène une
vie réglée, c’est-à-dire conforme-toi aux règles de la vie. Le vrai jeu de la vie a ses règles.

Le bon jeu commence avec de bonnes pensées alors que le mauvais jeu commence avec de
mauvaises pensées. On pourrait décrire la vie terrestre comme une école de jeu. Pour pouvoir jouer
correctement, il faut maîtriser les règles du jeu. Le bien (le divin) est inhérent au jeu. Tant que l’on
joue selon les règles, il s’agit d’un vrai jeu. Mais dès que vient une seule mauvaise pensée, ce n’est
plus un jeu, seulement une mauvaise pensée et le jeu est terminé.

Tes pensées façonnent ta vie.

L’homme se construit ou se détruit lui-même. Dans la salle d’armes de la pensée, il forge les armes
avec lesquelles il prépare sa propre chute. De la même manière, il élabore les outils avec lesquels il
peut s’édifier des demeures célestes de joie, de force et de paix. Le pouvoir de Dieu est bien fait.

Gardez-vous de toute mauvaise pensée. Refusez-la et dites-vous, si vous voulez, à vous-même: «


Je ne veux rien avoir à faire avec cette mauvaise pensée, je veux avoir maintenant une bonne pensée.
» Détournez-vous alors vous-même de cette pensée, regardez par la fenêtre, regardez là où se montre
le bien, ce qu’il y a de vraiment divin. Pour vous, c’est la nature que vous regardez. Et en observant
minutieusement la nature, vous sentirez et vous constaterez bientôt que ces mauvaises pensées vous
ont quitté. Grâce à ce regard sur la nature, vous avez déjà établi le lien avec Dieu.

Ne te laisse pas dominer par le mal, mais domine le mal par le bien!

Le mal ne néglige rien et met tout en œuvre pour toujours empêcher les hommes de prendre le bon
chemin, et avant tout de prendre conscience de ces obstacles, et de capter à nouveau la pensée de
continuer sur ce chemin.

Le mal est attiré par le bien et le bien par le mal. C’est-à-dire, un méchant cherche le bien pour
l’anéantir en premier. Et là, c’est le plus fort qui gagne! A l’inverse, l’homme bon cherche à éliminer
le mal. Le méchant a besoin du bien, il en est même dépendant: il va d’abord chercher à anéantir le
bien, mais si le bien est plus fort, le mal est vaincu.

C’est ma tâche principale que de m’occuper de l’âme qui est l’élément purement divin chez
l’homme comme chez tous les êtres vivants, et de veiller à ce que l’âme se libère, qu’elle ne soit plus
chargée de tout le mal et qu’elle s’ouvre à nouveau elle-même et que l’homme et chaque être vivant
puisse recevoir la véritable onde divine.

BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 16


L’homme doit se débarrasser de tout ce qui est mauvais, le chasser de lui et faire tout ce qui est en
son pouvoir pour être un homme bon.

Ne vous fâchez pas lorsque l’on vous porte préjudice. Le principal est que vous restiez en vie et en
bonne santé. Sinon vous pouvez tout perdre. On a bien vu pendant la dernière guerre des gens perdre
tous leurs biens et ils sont malgré tout heureux de vivre aujourd’hui.

Si vous en voulez à votre prochain, vous faites déjà entrer le mal ici. C’est pourquoi je n’en veux à
personne. Pourquoi lui en voulez-vous ? Ne soyez fâchés contre personne, mes amis. Etre fâché veut
dire que vous avez déjà capté le mal, c’est déjà satanique. Ne faites plus cela à l’avenir!

Il est toujours nécessaire que l’homme puisse vraiment distinguer le bien du mal. Et s’il n’y avait
pas de différence, si tout allait toujours bien, ce ne serait pas bien! Et c’est bien qu’il existe des
hommes sataniques, sinon les hommes bons ne s’apercevraient pas du mal. Non, il faut vraiment qu’il
en soit ainsi.

La main salvatrice est tendue partout. Je mets encore une fois l’accent sur le fait que Dieu ne
connaît ici aucune limite.

L’homme doit préparer son âme à recevoir ce qui est vraiment divin.

Si je veux vous mettre quelque chose dans la main et que votre main est pleine et ce que vous avez
dedans est mauvais, vous ne pouvez rien recevoir. Si vous ne vous en débarrassez pas, je ne peux pas
vous donner le bien, il tombe alors par terre et vous ne l’avez pas reçu. Cela ne sert non plus à rien
que je veuille vous faire ce cadeau pour lequel vous êtes venus, la santé, si vous ne vous défaites pas
des vieilles choses, des choses mauvaises, de la maladie. Vous devez devenir purs, vous devez
devenir bons!

Si quelqu’un pense à ses affections, si quelqu’un pense à ses douleurs, je ne peux pas les lui
prendre.

A quoi cela sert-il qu’un homme ait seulement du mal, seulement de mauvaises choses dans sa
petite tête ? Car cela agit depuis cette centrale jusque dans tout le corps. A partir de là, la pourriture
continue dès lors, s’il retient cela, s’il charge entièrement sa petite tête de mauvaises choses.

Toute disharmonie au dehors prouve qu’il y a une disharmonie spirituelle. Le dehors est à l’image
du dedans. Les seuls ennemis de l’homme résident en lui-même.
BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 17
Je vous le demande de tout cœur, observez votre corps, posez-vous la question: «Que se passe-t-il
dans mon corps ?» Ce faisant, ne pensez pas à votre affection. Vous avez le droit de vous convaincre
de la façon dont le Seigneur fait agir Sa force par mon intermédiaire lorsqu’Il veut vous redonner la
santé. Vous sentirez que beaucoup de choses deviennent perceptibles sur votre corps et dans votre
corps. Observez-le seulement et il arrive vraiment ce qui doit arriver.

Je vous demande maintenant, qu’est donc votre corps, qui vous l’a offert ? L’avez-vous reçu
simplement ainsi? Vient-il de votre père terrestre, de votre mère terrestre? Ce corps, qui est le vôtre,
est un cadeau divin!

Chacun devrait savoir quelle valeur a son corps pour lui, d’autant plus qu’il a besoin de ce corps
qui est le sien, non seulement pour gagner sa vie, mais parce qu’il a aussi déjà pris des engagements
et s’est chargé de s’occuper de son prochain. Et c’est justement là qu’il en a besoin.

Je veux ramener chaque homme à la foi, car chaque homme est un être de la nature, chaque homme
est un enfant de Dieu. Nous, les hommes, nous n’avons qu’un Père et c’est notre Seigneur. Et parce
que beaucoup se sont écartés de la foi, je veux les ramener à la foi.

Ce à quoi j’aspire le plus c’est de ramener sur ce chemin les hommes qui se sont écartés de la
vraie foi divine.

Celui qui est résolu, celui qui peut garder en lui la vraie foi divine, triomphe!

La maladie n’appartient pas à l’homme.

Notre Seigneur est et demeure tout. Le plus grand médecin de tous les hommes est et demeure
uniquement notre Seigneur. C’est seulement sur Son aide que nous pouvons compter.

Ce qui vient du côté divin est ce qui est naturel.

Tout ce que le Seigneur a créé ici sur cette terre pour nous, les hommes, ne fait qu’un. Chacun a sa
raison d’être.

Je n’oserais pas, vous n’entendrez jamais personne dire que j’ai fait du mal à un animal. Que sait
l’homme de l’âme qui y habite? Avez-vous donné la vie à l’animal? Non! Par conséquent, vous
n’avez pas le droit de lui prendre la vie!

BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 18


L’animal est aujourd’hui bien au-dessus de l’homme. Pourquoi ? Parce qu’il a conservé son
instinct animal. Il y a aussi des animaux, comme les animaux domestiques, qui sont réellement dressés
par l’homme, ils deviennent petit à petit comme les hommes et font ce que l’homme attend d’eux. Un
animal doit rester un animal! Un animal ne court jamais de danger s’il n’est pas contrecarré par son
maître. Si, par exemple, un chien traverse seul la rue, il ne passera jamais sous une voiture si son
maître le laisse courir. Mais si celui-ci le rappelle, il ne sait plus où il est et il se fait écraser, ce qui
ne serait jamais arrivé si son maître ne l’avait pas appelé. L’homme peut encore apprendre de
l’animal.

L’homme est devenu si petit que l’animal ou les animaux en général lui sont très très supérieurs.

Les plantes et les animaux captent les forces naturelles et divines pour autant qu’ils ne soient pas
tenus à l’écart de la nature par l’homme.

On croit que ceux qui sont marqués sont les infirmes, non, ce ne sont pas eux qui sont marqués par
le Seigneur. Ceux qui sont marqués sont ceux qui ont perdu la foi en notre Seigneur, qui la salissent,
qui ne veulent pas le bien mais tout ce qui est mauvais.

Méfiez-vous des gens sataniques!

Il en est toujours ainsi que ceux qui ne sont pas en mesure de comprendre cela, parce qu’ils se sont
justement éloignés de la foi divine, font tout leur possible pour faire perdre la foi aux autres.

Le rayonnement d’un entourage sceptique peut provoquer des rechutes. L’homme peut s’y opposer
par sa volonté.

N’écoutez pas les mauvaises langues, ne vous laissez pas influencer par elles.

Alors, l’homme s’est mis à l’écoute de l’homme et ne pouvait plus, pour cette raison, écouter ce
que Dieu avait à lui dire. C’est pourquoi il n’était plus non plus sous la conduite divine. Il a alors
perdu sa protection. Il a alors été privé de ses droits.

C’est là que je veux vous amener, mes amis, que vous suiviez Dieu, que vous vous débarrassiez de
votre crédulité, que vous ne croyiez plus chaque boniment et que vous ne succombiez plus à la
tentation, car cela vous portera toujours préjudice.

Ainsi vous avez aussi le devoir de vous convaincre vous-même, d’abord de ce que vous êtes, de
BG - et
qui vous êtes, JE VOUS DONNEconvaincre
de vous UNE PETITE MAXIME TOME 2de ce 19
ensuite que Dieu a créé pour vous, pour nous tous, pour
tous les êtres vivants sur cette terre qui est la Sienne. C’est votre devoir!

Je ne suis pas un orateur, je dis seulement la vérité, je dis seulement ce qui est vrai, ce que j’ai
toujours reconnu depuis longtemps, depuis toujours, comme étant la vérité. Car la vérité, dont il a à
se convaincre lui-même, n’est pas seulement dans l’entourage de l’homme, mais aussi en l’homme.

C’est pourquoi je ne pourrai jamais le dire assez clairement, assez fort, ni suffisamment jusqu’à ce
qu’une chose ou l’autre ait pénétré en l’homme de façon qu’il puisse continuer d’accueillir en lui tout
ce qu’il ressent comme étant bon, qu’il s’accorde toujours de l’attention à lui-même et qu’il capte
toujours pour son corps ce que Dieu lui a vraiment destiné. Car tout cela est possible, c’est la vérité!
C’est ainsi et dans ce but que Dieu nous a créés, c’est pour cela qu’Il nous offre ici une vie sur la
terre.

Si chacun a conscience de sa présence ici, de sa vie sur terre, alors il saura qu’il doit prendre soin
de son corps, exactement comme le petit enfant, le nouveau-né, sait qu’il doit nourrir son corps. Dieu
a déjà donné cette disposition à l’homme.

Ne méprisons aucun homme, accueillons en nous l’amour pour nos frères et avant tout l’amour pour
nos sœurs et soyons bons les uns envers les autres, (…) retrouvons le chemin qui mène à Dieu!

Aime-toi, et ensuite ton prochain. Pas de vie sans amour.

L’homme a le devoir de soutenir son prochain. Si vous voyez quelqu’un qui est tombé, vous devez
réagir tout de suite et l’aider à se relever.

Mon principe est le suivant: on doit reconnaître que nous, les hommes, avons le devoir de nous
aider réciproquement.

On peut déjà faire cela en tant qu’homme: aider les autres, d’abord son prochain. Si chacun le fait,
alors la paix est à nouveau sur la terre. Et si un pays, c’est-à-dire un homme ou, ici, une nation, n’a
pas de haine envers l’autre, alors nous avons aussi la paix sur la terre. Et c’est tout. C’est beaucoup,
vous n’avez pas besoin de vivre dans la querelle ni la discorde qui dégénèrent finalement en bagarre,
la bagarre en petit et la guerre en grand.

Aimez votre prochain – je le dis encore et toujours – plus que vous-même! Moi, j’aime toujours
plus les autres, je m’oublie moi-même, je ne pense pas à ma vie, je pense à la vie de mon prochain.

Je savaisBGpourquoi
- JE VOUS DONNE UNE PETITE
je devais MAXIME
venir, TOME 2
pourquoi 20 nécessaire. Je le fais pour vous!
c’était
Beaucoup de gens sont venus me trouver, pas seulement maintenant, non, depuis que je suis sur
cette terre, ils ne m’ont pas remercié pour la guérison, pas parce qu’ils ont recouvré la santé, non, ils
ont exprimé leur reconnaissance, leur sincère reconnaissance, parce qu’ils ont retrouvé la foi divine,
le chemin divin. C’est pour cela qu’ils m’ont remercié. C’est bien ma raison d’être sur cette terre que
de ramener l’homme sur le vrai chemin divin!

Je vous redonne l’ancien, le véritable instinct humain. Alors nous avons tout, alors nous aurons la
paix, ici, sur cette terre, quelle que soit notre religion, quelle que soit notre nation. C’est la
bénédiction de Dieu! Vous devez seulement continuer à capter et cela doit se perpétuer.

Ce que vous ne voyez pas, vous le ressentez, c’est pourquoi vous avez reçu plus de sens dans votre
corps, mais vous devez les connaître, vous devez vous en servir!

Le Seigneur est et demeure invisible pour nous, les hommes, mais on peut pourtant percevoir Sa
présence. Chacun la ressent dans son propre corps, selon la foi qu’il a en lui, et il sent que l’aide de
Dieu est la seule, la plus grande et la meilleure qui puisse être.

Quiconque veut suivre ce chemin doit faire le bien, doit être bon, bon envers son prochain, pas en
paroles, mais en actes.

Celui qui porte vraiment en lui la vraie foi divine et vit en conséquence ne doit pas mettre cette foi
en pratique seulement par des paroles, mais par des actes.

N’est-ce pas une belle chose qu’un aveugle puisse voir à nouveau, que des paralysés marchent,
qu’on fasse disparaître leurs douleurs ? Je ne peux pas le prouver par des paroles, mais par des
actes! Une nuit, j’étais avec des journalistes et j’ai dit: «S’il vous plaît, ne me posez pas de
questions, je vous donne tellement de preuves. Je veille jour et nuit, je suis continuellement par monts
et par vaux.» Et ils m’ont dit: «Monsieur Gröning, vous ne pouviez pas nous présenter cela d’une
meilleure ni d’une plus belle façon qu’en faisant parler les actes!»

Tous doivent aider, la presse également, en écrivant la vérité. On peut regarder où l’on veut, d’un
coté on entend dire du bien et de l’autre coté on entend dire du mal, et jusqu’à maintenant c’était
toujours par la presse. Je ne veux pas pour autant me fâcher contre elle, je ne veux rien de mal, je
veux seulement le bien, je veux travailler dans les meilleurs termes avec la presse car je sais qu’elle
peut y contribuer.

J’ai dit que je veux savoir les médecins dans mes rangs, à savoir pour l’examen de chaque malade
BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 21
avant et après la guérison afin que chacun ait l’assurance d’avoir recouvré la santé ou bien d’être sur
le chemin de la guérison.

L’aide des médecins m’a déjà été proposée très souvent. C’est toujours mon intention de ne pas
refuser cette offre, non, car c’était justement mon souhait que les médecins se déclarent prêts et qu’ils
se soient déjà déclarés prêts à contribuer à cette grande œuvre divine pour pouvoir aider les
hommes.

Je ne veux pas vous faire quitter vos médecins, si vous le voulez, vous pouvez aller tous les jours
chez eux. Je n’ai rien contre, au contraire, je serais heureux qu’ils soient enfin ouverts pour pouvoir
aider les hommes. Car, pour ce qui concerne ce qui n’a pas été possible jusqu’à maintenant, je tends
la main et dis: venez, aidez!

Le médecin a fait aussi tout ce qu’il a pu pour vous aider. Mais les médecins n’ont pas la
possibilité d’apporter à tous l’aide qu’ils attendent. Toutefois une chose doit être dite: le seul
médecin, le médecin de tous les hommes est seulement et uniquement notre Seigneur Dieu.

J’ai toujours rencontré des hommes malades. Mais je n’ai jamais pu constater chez ces malades
qu’il s’agissait d’une punition de Dieu. Si quelqu’un ose dire qu’il s’agit d’une punition de Dieu – je
ne trouve aucun mot pour cela – je lui dis: pouah! Quelle honte!

Le Seigneur Dieu n’a pas besoin de punir les hommes. Il les laisse seulement chuter.

Aujourd’hui, l’homme n’est plus relié à Dieu. Il ne peut pas recevoir lui-même ce que le Seigneur
envoie aux hommes. Au cours des derniers millénaires, l’homme est devenu réellement de plus en
plus mauvais, et cela doit aussi prendre fin.

En réalité, l’homme s’est détaché de ce qui est vraiment naturel, il a été déformé et conduit sur un
chemin qui n’est pas naturel mais artificiel. On ne peut pas aider un homme ainsi. La nature guérit! Le
plus grand médecin de tous les hommes est et demeure notre Seigneur!

La nature donne tout aux hommes grâce à ce que Dieu fait pousser pour nous. Pourquoi tout
fabriquer artificiellement ? Avec quoi sont fabriqués ces produits? De toutes sortes de choses! Il est
impossible au corps humain d’en supporter la composition.

L’homme devrait renoncer à toutes les choses non naturelles et se consacrer entièrement au naturel
auquel il appartient.
BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 22
Je veux ramener l’homme sur le chemin naturel. Je veux lui signaler qu’il doit apprendre à nouveau
à être attentif à ce qui se passe dans son corps et aux influences de son entourage pour en tirer profit.

Vous devez prêter attention à votre corps, vous ne devez plus vous relier au mal mais commencer
par vous en défaire, comme vous vous êtes aussi libéré en disant: «Je suis ici dans mon petit coin, j’y
reste, personne ne vient m’y déranger!» Et là vous accueillez tout, et là vous captez aussi la force de
sorte que le dérangement disparaît du corps. Si une fois ne suffit pas, deux fois, pour être précis, vous
devez toujours le faire, journellement. Mais, pour la plupart, c’est trop. Pas le temps, il y a les
affaires, il y a le travail, il y a le petit, la tante, le mari. Celui qui n’a pas de temps pour lui-même n’a
pas la foi en Dieu, il s’est vraiment détourné de Dieu. Ce temps-là, il doit l’avoir pour lui-même,
pour son corps.

L’onde curative traverse l’éther, le mur, la montagne et la terre, exactement comme l’onde
hertzienne. Celle-ci est artificielle, celle-là est naturelle. C’est pourquoi il vous est possible de
recevoir l’onde curative chez vous ou en tout autre endroit si vous en prenez le temps.

L’émetteur fonctionne continuellement et c’est pourquoi il n’a pas besoin de venir au récepteur ou
vice versa. Chacun reste là où il est et n’a qu’à se régler sur l’émetteur. Et parce qu’il ne sait pas le
faire, nous devons d’abord capter en commun. Pendant ce temps, je peux bien quitter l’Allemagne, je
peux être n’importe où à l’étranger, je vous envoie l’onde curative quel que soit l’endroit où vous
vous trouvez. Vous n’avez qu’à vous brancher.

La chaleur apparaît d’abord, pour vous aussi, puis le courant arrive et régule le reste. Il est
toujours mieux que l’homme exprime alors tout ce qu’il ressent. Il doit l’extérioriser, dès qu’il
l’exprime, cela a disparu.

Si quelqu’un croit peut-être obtenir sur-le-champ la guérison complète, il est dans l’erreur, car une
guérison complète a aussi besoin de sa Regelung* selon l’importance ou la complexité de la maladie.

Il faut du temps pour tout, ici aussi pour le changement, dans votre corps, de ce que vous avez eu
comme maladie des années durant. Les hommes pensent que cela doit partir tout de suite. C’est là
justement ce qui est important: la douleur doit se retirer pour que la guérison puisse se produire. Les
organes doivent être irrigués pour reprendre de la force et redevenir sains.

Partout où le désordre règne, la santé doit se battre pour trouver un chemin et y travailler jusqu’à
ce que l’ordre revienne dans l’organe malade. N’ayez crainte, supportez cela, c’est le bien, le divin.

Vous ne devez pas avoir peur des douleurs dues aux Regelungen. Au contraire, réjouissez-vous-en,
car lorsqueBG
la- JE
vie revient, tout rentre dans l’ordre 23
VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2
et parfois cela fait mal.
Mais celui qui retient le Seigneur dans son cœur et vit avec Lui ne retombe jamais malade. Seul
peut être perturbé celui qui ne surmonte pas la Regelung et qui se laisse induire en erreur par ces
hommes diaboliques, c’est-à-dire qu’il est victime de ces hommes en croyant ce qu’ils disent et en
faisant preuve de la plus grande méfiance envers moi.

Vous n’avez pas besoin de croire en le petit Groning, mais vous devez me faire confiance et
remercier le Seigneur pour Sa grande action, pour Son grand pouvoir, pour Sa magnificence.

La seule chose à mettre au premier plan, c’est de m’accorder la plus grande confiance et d’avoir la
foi la plus grande et la plus ferme en notre Seigneur, pas seulement quelques minutes, quelques
heures, quelques mois, quelques années, mais pendant votre vie entière, c’est la condition
fondamentale.

Ce qu’il y a de plus merveilleux, de plus réconfortant, de plus beau et de plus grand que l’on
puisse offrir à quelqu’un, c’est la confiance, c’est la foi. Aucun bien terrestre n’est au-dessus de cela.
La chose la plus élevée qui soit, c’est lorsque quelqu’un fait une promesse à l’un de ses semblables
et qu’il croit qu’il mettra également en œuvre la foi et la confiance en soi et en son prochain.

Un projet ne peut être mené à bien que si celui qui le fait croit en sa réussite.

Dieu aidera si l’homme y croit, s’il a la bonne et divine volonté, dans laquelle il est destiné à
vivre, et s’il ne perd pas la foi en Dieu. Et Dieu l’aide; qu’il croie seulement!

Pas seulement aujourd’hui ni demain, non, toute votre vie durant, vous devez renforcer votre foi en
notre Seigneur et vivre avec Lui.

Accueillir le doute signifie douter du bien. Vous détestez le bien, vous le rejetez, et vous ne pouvez
jamais le capter en vous et vous ne ressentirez jamais le bien en vous et encore moins autour de vous,
mais le mal s’accrochera alors plus que jamais en vous et vous avilira ainsi que votre corps, de sorte
que vous êtes alors livré à la maladie.

Quand l’homme se fait une promesse à lui-même, il fait une promesse à Dieu. Il doit tenir cette
promesse sa vie durant. Mais au moindre doute, il chute à nouveau et il doit toujours recommencer
depuis le début.

L’homme peut certes faire l’expérience de beaucoup de bien, il peut certes avoir fait beaucoup de
bien dans sa vie, mais s’il prête une seule fois l’oreille au mal il se laisse tenter, il se laisse
entraîner; il ignore beaucoup de choses, si c’est bien ou mal, et il doute du bien antérieur, et finit par
BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 24
croire au mal en disant: «Cela se pourrait.» Il a ainsi douté du bien et devient l’esclave du mal, ainsi
le bien a cessé en lui et, à partir de ce moment, le mal pénètre en lui, et c’est pourquoi il est alors
livré à l’influence du mal. Et il perd à cause de cela la véritable, la bonne protection divine.

C’est vrai que le mal existe, c’est quelque chose que chacun devrait déjà savoir de par lui-même.
Alors, celui qui sait maintenant cela et s’en est convaincu, sait finalement aussi à qui il appartient.
Capter le bien signifie qu’il le ressent, qu’il prend le bien à cœur et qu’il est du côté du bien, qu’il
est du côté de Dieu.

Malheur à celui qui se trouve sous l’influence du mal! Mais heureux celui qui se donne au bien, qui
ressent déjà le bien comme tel et qui croit servir aussi le bien, qui croit avoir la grâce de le servir.
C’est plus que le bonheur, c’est une bénédiction de Dieu. Car l’homme a alors déjà mérité d’avoir la
grâce de servir le bien, de servir Dieu.

Servir Dieu veut dire aider. Chaque aide conduit l’homme au salut.

Je suis mon chemin, je ne m’en écarte pas. J’ai et je me sens le devoir d’aider les hommes et de
guérir les hommes, et cela se réalise seulement au nom de Dieu.

Je suis devant vous comme un tout petit outil de Dieu ou comme un tout petit, un minuscule
transformateur sur la terre, qui vous procure ce dont vous avez besoin pour recouvrer la santé.

Je suis réellement devant les hommes comme un transformateur qui reçoit le courant de la centrale
divine et le distribue à chacun selon la façon dont il en a besoin pour pouvoir revivre.

Ce Heilstrom n’est pas un courant humain mais le courant pur, entièrement naturel, le courant divin.

Naturellement vous ne pouvez pas supporter le courant direct.

Celui qui se résigne ne peut plus être aidé de Dieu ni de moi.

Il y a aussi des gens qui pleurent et se plaignent – ce n’est pas possible ainsi.

Le mal s’en prend toujours d’abord à celui qui est entouré du mal. Et le mal fait résolument tout
pour recouvrir de mal celui qui est bon afin de pouvoir le livrer ensuite entièrement au mal.

BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 25


La réception ne peut avoir lieu que lorsque vous vous êtes vraiment et définitivement séparé du
mal.

Mais pour quelle raison sommes-nous méchants les uns envers les autres? Moi, je dis: aimez vos
ennemis!

De même que personne ne peut manger à sa place pour assouvir sa faim, personne ne peut non plus
capter cela pour lui s’il n’est pas disposé à capter lui-même pour son corps le bien dont il a besoin.

Quiconque veut recouvrer la santé et devenir bon doit utiliser la bénédiction de Dieu.

Dieu vous donne une bénédiction, Sa bénédiction; je demanderai cela; je veux prier pour cela;
j’accomplirai ici pour cela non seulement mon devoir, mais ce qui est la signification de ma présence
ici, de ma vie terrestre. Car j’ai conscience du sens de ma présence ici, de ma vie terrestre, ce que
beaucoup, ce que la plupart des hommes ignorent.

Qui veut reconnaître les autres doit d’abord se reconnaître soi-même.

Qui ne peut se reconnaître soi-même méconnaîtra Dieu continuellement.

Ne pas condamner mais juger. Je ne peux le juger – qu’il s’agisse d’un homme ou de qui que ce
soit ou de quoi que ce soit – que si je connais très exactement l’homme ou l’objet dont il s’agit. Je
peux alors le juger. Si je ne connais pas l’homme ou si je ne connais pas l’objet, je peux alors très
facilement le condamner, que je le veuille ou non, à cause de mon manque de connaissance. Il faut
donc bien que l’homme ait des connaissances! Et c’est là le point central: nous avons le devoir de
nous convaincre de notre prochain de telle façon que nous puissions facilement le reconnaître, grâce
à tout ce qu’il a fait, non seulement pour lui-même, mais pour son prochain, ce qu’il a peut-être même
déjà fait pour lui, et nous convaincre de celui-ci.

Les uns ont la maturité plus tôt, les autres plus tard. On ne peut pas manger un fruit qui n’est pas
mûr. La pomme doit être d’abord arrivée à maturité avant que vous la mangiez et, si elle est mûre,
vous resterez en bonne santé. On ne mange pas de fruits verts. Vous ne pouvez pas non plus porter un
costume qui n’est pas encore terminé. Il en est de même pour les gens: les uns connaissent la maturité
plus tôt et les autres plus tard, les uns sont tout de suite ouverts, les autres y viennent petit à petit.

Parler en cachette, mes amis, dans le dos des gens, c’est vil, et cela vous revient. Libérez-vous-en!
Ne vous en occupez pas du tout! Et si vous le jugez nécessaire, allez, convainquez-vous, et alors vous
constaterez autre chose, qu’il n’y a rien de vrai là-dedans. Mais vous êtes impliqués dans ces ragots
BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 26
et ces commérages parce que vous leur avez prêté l’oreille, parce que vous leur avez accordé du
temps, parce que vous n’avez pas bien employé le temps. Vous avez gaspillé le temps! Et nous ne
devons pas gaspiller le temps aussi inutilement.

Le temps, c’est Dieu Lui-même. Nous devons l’employer, nous devons le mettre à profit, alors
nous pourrons vivre sur cette terre divine la vie telle que Dieu l’a déterminée pour nous.

Le temps doit être employé, on ne doit pas le laisser passer sans l’employer. Employez le temps,
alors tout est bien.

Vous croyiez que vous n’aviez pas de temps pour cela, que vous deviez vous occuper de votre
profession, de votre entreprise, que vous deviez tenir votre ménage et vaquer à maintes autres choses.
Pour vous-même, pour votre corps et pour tout ce que vous vous devez à vous-même, vous avez très
peu de temps. Votre conception du temps est erronée!

Asseyez-vous à la maison exactement comme vous êtes assis ici, si vous attachez de l’importance à
votre santé. Vous devez forcément y consacrer un peu de temps.

Parce que l’homme n’est pas suffisamment fort, je dis qu’il doit se détourner du mal, il doit
d’abord rassembler des forces, capter des forces en lui, il doit d’abord se convaincre de ce que Dieu
est et de qui Dieu est, de la nature de Dieu et de ce que Dieu a déterminé pour lui. Il doit d’abord se
convaincre de cela et il sera convaincu s’il observe son corps, et il sera à nouveau plein de forces, il
fera l’expérience de la vérité sur son propre corps.

Mes amis, vous devez vous détourner du mal! Vous ne devez jamais vous occuper de ce que vous
ressentez comme étant mauvais. Et vous ne devez jamais non plus vous accommoder du mal en
devenant indifférents comme beaucoup le sont devenus!

Prêtez plus d’attention à votre corps, chaque jour, chaque heure, chaque minute, chaque seconde!

Comme l’homme peut être ignorant, comme il est esclave de cette force, de la force de l’habitude,
en croyant qu’il doit parler de la maladie, qu’il doit le dire à son prochain, qu’il doit aborder son
prochain pour lui demander de bien vouloir faire tout son possible pour qu’il soit libéré de la
maladie! Non, cela ne sert à rien! Au contraire! Il contamine plutôt, il avilit son prochain en faisant
cela. Il perd courage. Le prochain qui entend cela s’affaiblit. Il tombe dans la souffrance, il compatit,
vous diriez: la pitié s’éveille en lui. Et avec celle-ci, vous ne pouvez compter sur aucune aide venant
de votre prochain.

BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 27


Vous aussi, vous avez fait tout votre possible pour transmettre ici vos habitudes aux amis les plus
proches au sein de ce Cercle des Amis. C’était simplement votre croyance que vous deviez tout
raconter, comme vous en aviez l’habitude, raconter vos soucis et vos misères, tout sortait de la
bouche. Une petite question au passage: n’est-il pas mauvais de prendre dans la bouche cette fange
dont le corps est vraiment affecté? Cela a quand même mauvais goût. Je devrais dire ici, c’est un
manque de goût de la part de beaucoup de gens.

Ici, on ne parle pas de maladie, ici vous n’avez même pas le droit d’en accueillir la pensée ou
peut-être même de croire que vous devriez maintenant parler de maladie!

Celui qui aime sa maladie la retient, celui qui la cherche la trouvera. Vous vous rebranchez alors
automatiquement sur la maladie, c’est-à-dire sur la souffrance. C’est ce qu’il ne faut pas faire!

Qui s’occupe de sa maladie s’occupe de Satan.

Et on ne pourra jamais dire assez que Satan sévit ici, parmi les hommes.

L’homme est devenu tellement mauvais au fil des années, et quand un homme est mauvais, il a un
„manque de conscience“, une telle anxiété en lui, et l’anxiété amène le reste. Son âme n’est pas pure
et il est affecté moralement, malade moralement.

L’homme péchait toujours et toujours, de plus en plus, et je crois que vous me comprenez quand je
dis qu’à cause des péchés qu’il a commis autrefois, et maintenant encore plus, l’homme ne peut
qu’être malade.

La réalité est que toutes les maladies sont d’origine psychique, il n’y a pas une seule maladie qui
ne soit pas d’origine psychique.

L’âme est ce qu’il y a de purement divin chez l’homme comme chez tous les êtres vivants.

Bienheureux - cela veut dire que l’âme est libérée de tout mal.

Nous ne sommes pas sains parce que nous ne sommes plus saints.

La santé est quelque chose de bon et reste seulement dans le corps qui est pur.

BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 28


Plaise à Dieu et que Dieu fasse que l’homme puisse toujours être du côté de la pureté. La question
est seulement de savoir si l’homme le veut ainsi.

Beaucoup ont perdu à nouveau cette sanctification, vous dites guérison, cela aussi s’est produit et
arrive encore aujourd’hui. Cela tient toujours à l’homme, quand il s’écarte à nouveau du bien, à
nouveau de Dieu et s’abandonne à nouveau au mal, se laisse à nouveau tenter, entraîner et devient
arrogant, c’est alors que cela se produit.

Mais si l’homme qui a fait l’expérience du mal ne veut rien avoir de commun avec lui, alors il doit
s’en séparer, il a pris alors lui-même la décision, ici c’est sa volonté qui parle.

Je vous prie de ne pas me demander ce que je peux guérir mais qui je peux guérir. Cela ne dépend
pas de moi, mais du malade lui-même. Si, aujourd’hui, cent personnes sont venues pour recevoir aide
et guérison, il se peut que quatre-vingt-dix-neuf soient guéries et qu’une ne le soit pas. Et si demain il
vient à nouveau cent personnes, il est possible que quatre-vingt-dix-neuf ne soient pas guéries et
qu’une seule le soit.

J’ai dit que cela tient à la personne si je peux l’aider, indépendamment de la maladie dont elle est
affectée. Cela ne tient pas à moi, cela tient à la personne. Il n’est pas question d’aider tout le monde
car il s’agit ici d’hommes bons et d’hommes mauvais. Par exemple, mes amis peuvent venir avec qui
que ce soit, si je sais que la personne ne change pas, il n’y a rien à faire.

Il y a des gens, souvent même dans le Cercle des Amis, qui ont toujours une canaille en eux, qui
n’arrivent pas à s’en départir à cause de la force de l’habitude. Il y a des gens qui disent: « Je n’y
peux rien, je ne peux m’empêcher de le tarabuster, il faut que je voie, que je constate qu’un tel va
mal, qu’un tel est en colère et que tel autre est avili, je finirai par lui dire son fait! » Et ainsi de suite!
Mes amis, ne m’obligez pas à continuer maintenant, sinon je vais finir par citer des noms, je risque de
les nommer l’un après l’autre. Aujourd’hui encore, les personnes de ce genre servent le mal.

On ne doit pas prier et tout de suite après être un autre homme, un homme mauvais. Non! Vous
devez vivre avec la foi, alors vous ne pourrez pas être un homme mauvais, alors vous mériterez
qu’on s’adresse à vous en tant qu’homme.

Chacun devrait savoir de lui-même qu’il est une créature naturellement divine et par conséquent
soumise à la loi divine.

Dieu nous a donné la vie et nous avons envers Lui la responsabilité de la garder. Lorsque vous êtes
quelque part en situation de détresse, il en est toujours ainsi que vous faites appel au Seigneur qu’en
réalité vousBGne- JEdevriez jamais oublier.
VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 29
Peu m’importe de quelle manière quelqu’un trouve le chemin qui mène à Dieu, le principal est
qu’il le trouve. C’est mon devoir et mon obligation de délivrer l’homme, de le délivrer du mal.

Lorsque Satan a détourné l’homme de ce chemin (divin), il a fait sauter derrière lui le pont qui
menait à ce chemin.

En conséquence, seuls quelques-uns ont gardé dans leur cœur la vraie foi divine et les autres sont
maintenant prisonniers sur le mauvais chemin. Il y avait et il y a encore aujourd’hui une grande
confusion. Pour que vous me compreniez, je vous donne matière à réfléchir en vous disant que j’ai
reconstruit le pont qui mène à ce chemin divin et que vous pouvez y retourner. Ce chemin, je vous
l’indique.

Ce chemin que l’homme a suivi jusqu’à maintenant n’est pas le bon, c’est le mauvais chemin, ce
n’est plus le chemin divin. Mais se trouver sur le mauvais chemin et acquérir quelque chose
provenant du bien, non, cela ne va pas. Nous, les hommes, voulons donc essayer de retourner sur le
chemin divin. Le pont est là, le pont est solide!

Je veux ramener les hommes sur le vrai chemin divin. J’ai construit le pont qui mène à ce chemin.
Vous pouvez tous le prendre. Si vous suivez ce chemin, alors vous avez tout! C’est le but de mon
action, ici, sur cette terre.

Ayez confiance en moi. Ayez la foi, la foi en notre Seigneur, alors vous avez tout!

Je ne veux obliger personne à croire ce que j’ai dit. Vous pouvez le croire, vous n’y êtes pas
obligés. Vous n’êtes pas obligés d’écouter mon discours. Je ne veux appliquer aucune norme ici. Je
ne veux blesser personne, au contraire, je veux tendre la main à chacun.

Vous tous le recevrez de la façon dont vous avez à le recevoir.

Ce n’est pas de la magie, au contraire c’est tout naturel, c’est ainsi que Dieu l’a déterminé!

Le remerciement n’est pas pour moi, le remerciement s’adresse à notre Seigneur. S’il vous plaît, ne
remerciez pas une fois, remerciez toujours, votre vie durant. Prouvez que vous croyez vraiment bien
en Dieu.

Pour beaucoup ou pour quelques-uns, la sensibilité s’est tellement émoussée qu’ils ne le ressentent
pas. Mais il est clair pour moi que la guérison est en train de se produire. Beaucoup n’ont absolument
BG - JE VOUS
rien senti, rentrent DONNE
chez UNEet
eux PETITE
toutMAXIME TOME 2
a disparu. 30
Je dis d’emblée, encore et toujours: ne me remerciez jamais, remercions Dieu pour cela. Je
remercie toujours Dieu pour avoir la grâce de faire cela, la grâce de Le servir, et pour le fait que je
vous mène vraiment sur le chemin, c’est-à-dire que je vous rapproche de Dieu. Je vous laisse décider
vous-même de la façon dont vous entendez montrer votre reconnaissance envers Dieu.

Aider tous les misérables est pour moi une évidence.

Croyez vraiment que je ne suis rien d’autre que votre aide! Croyez que je ne suis rien d’autre qu’un
serviteur de Dieu, ce que vous pouvez être également si seulement vous le voulez, si seulement vous
le faites!

J’ai fait savoir aux hommes que j’offre ma vie aux hommes de cette terre, que je la mets
entièrement à leur disposition et que je ferai tout pour m’occuper de l’homme. Non que je puisse lui
donner quelque chose de personnel, non, je le conduis sur un chemin où il trouve la continuation de sa
vie et sa bonne vie et la vie naturelle, la vie divine.

Je suis là pour l’humanité entière, je dois accomplir mon devoir, je dois aider. Tout cela, Dieu le
veut!

Vous pouvez venir d’où vous voulez, je ne demande à personne de quelle religion il est, ni de
quelle nation, s’il a besoin de l’aide, c’est-à-dire pas seulement de l’aide, mais aussi de la guérison.

Pour moi, il n’y a pas de différence. J’aime le pauvre autant que le riche et le riche autant que le
pauvre. Il n’y a pas de différence!

Les gens qui ont beaucoup d’argent, qui sont riches en argent et en biens, sont tout aussi riches,
parfois encore plus riches, en maladie. Mais pas un seul n’a encore réussi à acheter la santé. De
l’autre coté, il y a des gens pauvres, qui n’ont ni argent, ni biens, ils sont aussi le plus souvent
pauvres en maladie. C’est une différence. Ce n’est donc pas l’argent qui compte!

Je ne veux pas que vous me donniez de l’argent. Une dame est venue ici aujourd’hui et elle voulait
me faire un petit cadeau. Je n’ai encore jamais accepté de cadeau, je n’ai encore accepté aucun
argent, non, mais je sais qu’il y a tant de pauvres. Aussi ai-je dit: «Offrez-le, s’il vous plaît, à cette
personne qui est pauvre! Si vous le lui offrez, c’est exactement comme si je le recevais
personnellement!» Je n’y peux rien, je partage, je donne aussi ce qui me reste.

BG - JEcomme
Je considère VOUS DONNE
lesUNE PETITEces
pires MAXIME TOME 2
personnes qui31ont tout fait pour acheter la santé avec de l’argent.
C’est impossible!

Cela ne s’est encore jamais vu que quelqu’un puisse acheter la santé, même pas à un médecin, et
c’est bien qu’il en soit ainsi, particulièrement pour ce qui me concerne. Car vous comprendrez que je
n’ai pas le droit de faire du commerce avec ce don divin, que je ne l’ose pas et ne le veux pas non
plus. Certains disent: «De quoi voulez-vous donc vivre ?» Je continue tout simplement à vivre
d’aumône!

Non, on ne peut pas acheter la santé, il n’existe pas assez d’argent pour cela. Car l’argent, eh bien!
c’est de la terre, cela a été créé par Dieu pour que nous ayons une monnaie, une pierre, de la terre,
qui est rare, et c’est la monnaie, c’est la couverture de l’argent, alors que l’argent n’est qu’un moyen
de paiement. Donc, faire deux affaires avec Dieu Lui-même, Lui donner en échange cet argent qui Lui
appartient: «Tiens, c’est tout pour Toi, et maintenant donne-moi la santé!» Croyez-vous que Dieu le
veut ainsi ? Oui ? - Non, pas moi.

La santé est tout! Mais un homme ne peut garder la santé que s’il vit dans la foi en notre Seigneur
Dieu.

La santé est la chose la plus précieuse que l’on puisse donner à un homme, de même qu’à un
animal ou encore au règne végétal.

Comme c’est agréable pour un malade de pouvoir prendre l’air! Vous devez donc sortir en pleine
nature divine! Savourer, bien manger, bien vivre, profiter de tout ce qui est divin.

En tant qu’hommes sophistiqués, vous n’êtes déjà plus en mesure de supporter les effets du temps.

L’homme est téléguidé d’une façon naturelle. Par qui? Par Celui en qui nous devons tous croire, sur
le chemin que nous devons tous suivre. Celui en qui nous devons croire est uniquement notre Seigneur
Dieu! Nous, les hommes, sommes seulement des enfants de Dieu.

Je vous demande constamment de prendre dès que possible le bon chemin et de rester d’abord
fidèles à vous-mêmes et de faire vraiment tout ce que vous vous êtes promis de faire, et de croire
aussi à ce dont vous avez besoin pour vous, et de tenir aussi vraiment la promesse, si vous vous
détournez du mal, de ne plus vous lier avec le mal, avec ce démon, mais avec ce qui vous conduit
vraiment au bien et vous fait aussi du bien, pour que vous accueilliez en vous le bien et la bonté de
Dieu et puissiez, à votre tour, les donner à votre prochain.

Maintenant, vous devez éviter tout ce qui est mal, vous ne devez plus accueillir le mal en vous,
BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 32
vous devez chercher un coin tranquille où vous pouvez capter à nouveau la paix céleste, la paix
divine, de telle sorte que l’ordre s’installe dans votre corps.

Je continue de garder le calme céleste, la patience divine. Mais j’aimerais aussi qu’aucun ami ne
les perde. Mais il doit d’abord les capter en lui.

Celui qui a perdu cette chose la plus sacrée – le calme – apportera partout la confusion et
entraînera avec lui d’autres personnes de son entourage.

Cela ne se produit que lorsque l’homme va lui-même à l’encontre du calme. Car c’est ce qu’il doit
faire d’abord, se débarrasser de l’inquiétude, ne pas accueillir du tout l’inquiétude en lui, mais
seulement une chose, accueillir le calme, aller à l’encontre du calme, l’accueillir en lui, et il aura
alors non seulement un bon sentiment, un sentiment de bien-être, mais il captera les bonnes pensées,
les pensées issues de la bonne source, de la source divine.

Vous devez ici vous convaincre vous-même, vous ne devez pas être crédule, vous devez faire tout
ce que vous vous devez à vous-même! Et vous aurez alors la foi, vous ne serez plus crédule!

Certes, certains suivront, ceux qui disent oui au bien, oui au divin, c’est-à-dire qu’ils commencent
là où ils disent oui à eux-mêmes, c’est là qu’apparaît le divin.

Je n’obéis qu’à Un seul, et c’est Dieu. Et si vous obéissez maintenant aussi à Celui auquel vous
appartenez, d’autres suivront. Et cela donne tout le Cercle des Amis.

Cela me réjouirait que vous vous mettiez entièrement à disposition pour que les hommes puissent
recevoir de l’aide et être guéris. Alors la misère, non seulement d’un peuple, mais de tous les
peuples, de tous les hommes prendra fin.

Il s’agit ici du cosmos entier, il s’agit ici de la vie sur terre et de Celui qui a à déterminer pour
nous et a déjà tout déterminé, et l’homme devrait connaître cette détermination. Je crois, chers amis,
que vous savez en partie qui c’est. Cela ne peut pas être un homme, mais seulement Celui qui nous a
créés, qui a créé l’homme, cette terre, qui a tout créé pour nous, pour vous et pour tous ceux qui
viendront après nous, après l’homme de notre époque. Il s’agit de tous les êtres vivants car, partout
où il y a la vie, Dieu est là.

Soyez francs, avez-vous pu croire maintenant que cela se développe autant et que cette œuvre a vu
le jour pour prendre sans exception tous les êtres vivants en considération, afin de donner la vie à
l’homme de demain, non pas celle voulue par les hommes, mais celle voulue par Dieu? Mais vous
BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 33
devez apprendre aujourd’hui à reconnaître Dieu, pouvoir reconnaître Dieu, afin de pouvoir le dire
aux hommes de demain.

Il n’est pas acceptable, et ce ne le sera pas de tout l’avenir, qu’un seul homme croie pouvoir
s’infiltrer, promettre beaucoup de choses et ne rien faire. Ici, chaque parole nécessaire à l’œuvre sera
mise en pratique.

Soyez honnêtes! Des faux-fuyants, ce sont déjà des mensonges. Et, de cette manière, vous vous êtes
menti, vous vous êtes trompés vous-mêmes.

Lorsque quelqu’un est mauvais, lorsqu’il fait ou veut faire quelque chose de mal, il ne faut pas
avoir peur de l’en empêcher ou de lui dire la vérité en face, l’un ou l’autre: «Sois raisonnable, alors
tu iras bien, alors tu seras léger, libre, heureux. Car le péché est un lourd fardeau!»

Pour atteindre au bonheur, tu dois vaincre le mal.

Quand vous êtes contrariés, quand vous êtes empêtrés dans un mal psychique, vous perdez
l’appétit, ne pouvez plus dormir, ne trouvez plus le calme. Une chose en amène ainsi une autre. Si
vous étiez contrariés tous les jours, vous deviendriez une épave, cela durerait jusqu’à ce que vous
vous effondriez. Et c’est toujours la même chose, une personne est atteinte d’un mal psychique et
tombe subitement malade. L’un entraîne l’autre. C’est ainsi qu’arrivent les maladies les plus graves.

C’est le signe supplémentaire que vous êtes déjà esclave du mal, que vous êtes livré au mal. Vous
êtes devenu un homme mécontent. Vous n’êtes vraiment plus satisfait de vous, ni de tout ce qui a
pénétré en vous, ni de ce qui continue d’y pénétrer, car vous continuez à vous occuper de tout le mal
que vous avez ressenti.

Combien de fois vous ai-je dit que vous êtes divins de même que tout un chacun et que tous les
êtres vivants et personne ne peut contester le divin en vous! Vous le restez, seulement avec la
différence que l’un succombe plus ou moins au mal, sert le mal, qu’il s’occupe du mal, qu’il
s’accommode du mal ou qu’il se livre entièrement au mal, qu’il trouve cela plus facile et mieux pour
mener une vie sale et ordurière! S’il juge lui-même correct le sens qu’il attribue exactement à ce mot
vie, voilà bien le danger! Et c’est précisément parce qu’ici le danger menace l’homme qu’il devrait
se rendre bien compte de tout et qu’il devrait absolument se garder d’accueillir une seule mauvaise
pensée. Il a besoin d’être relié à Dieu.

Prenez garde aux pensées, surtout aux mauvaises! Et vous passerez réellement aux mauvaises
actions, vous devrez y passer, car vous débordez de mauvaises pensées. Vous ne pouvez pas faire
autrement. BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 34
Je sais comment fonctionne un cerveau humain et je sais comme il est dangereux de ne pas avoir
assez de forces défensives pour tenir éloignées ces pensées qu’un jour on a effacées.

C’est exact que vous vous suggérez vous-même la maladie, que vous la retenez et cela se passe
dans le subconscient.

Si vous voulez vous engager sur le chemin divin, c’est-à-dire si vous voulez recouvrer la santé, il
vous faut rejeter ce qui est satanique, ce qui est mauvais, la maladie. Puis, bien faire attention à ce
qui se passe dans votre corps et sur votre corps. Et le mystère est alors levé pour vous. Vous n’avez
rien d’autre à faire, c’est, à vrai dire, ce que je veux.

Rejetez cette saleté, vous vous l’êtes infligée vous-même. Mais vous pouvez vous en débarrasser
si vous me l’offrez maintenant. Faites-le! Quiconque m’a offert sa maladie n’a plus le droit de s’en
soucier. Il est des gens qui cherchent à nouveau la maladie. Personne n’a besoin de cela. Lorsque j’ai
offert quelque chose, je n’ai pas le droit de le regretter.

Mais je ne veux rien d’autre de vous que la maladie, rien d’autre que les mauvaises pensées, rien
d’autre que le mal en général qui vous dominait auparavant.

Ne ruminez pas, ne vous laissez pas abattre! Ne vous laissez pas accabler, laissez-moi les soucis.
Donnez-moi donc les soucis!

Si des douleurs apparaissent, qui ne sont pas des douleurs de Regelung, je vous les prends si vous
m’appelez spirituellement.

Partout, pour autant que je le puisse en tant qu’homme, je vais voir les malades, je suis nuit et jour
en chemin. Car je ne peux voir ni entendre des gens qui se plaignent et gémissent. Je fais tout mon
possible, je fais ce pour quoi je me sens appelé.

Je porte la plus grande attention à aider au plus vite celui qui a un grand besoin de cette aide,
surtout lorsqu’il y a danger, même pour une seule personne, pour qu’il ne se passe pas ce qui doit se
passer. Sinon, cette personne est livrée au mal, et elle dépérirait.

Je vous prie, à l’avenir et pour le reste de votre vie, de ne dire d’aucun de vos parents qu’il est
mort quand le corps est mort.

L’homme arrive et part comme les fleurs, comme les arbres, comme les buissons. L’un prend la
BG - JE VOUS
relève de l’autre. DONNE UNE PETITE
Aujourd’hui vous MAXIME
êtesTOME 2 35 sur cette terre. De temps en temps, la relève
en fonction
arrive. Et elle arrivera aussi pour vous, pour moi aussi.

Cela ne vous est pas inconnu chez les animaux: une année, ce sont des chenilles, l’année suivante
des papillons, et beaucoup d’autres animaux se métamorphosent aussi. Il en est également ainsi pour
l’homme!

Ce qui est odieux c’est que quelqu’un ose dire à une autre personne: «Tu dois bientôt mourir.» Si
quelqu’un donne déjà cela en viatique à son prochain et lui conteste le reste de sa vie, c’est quelque
chose qu’il ne peut plus réparer.

Je peux toujours répondre de ce que je fais et de ce que je dis.

La personne noble pense au devoir, celle qui a de viles pensées, au profit.

Le sage ne pense pas à sa grandeur et c’est pourquoi il grandit.

L’orgueil précède la chute, vous devez y réfléchir.

Celui à qui Dieu a donné une fonction a reçu également de Lui l’entendement. Mais à celui qui
s’est emparé d’une fonction, Dieu a pris l’entendement. Par exemple lorsque certains font tout leur
possible pour s’introduire ici ou là afin d’obtenir un poste bien payé.

C’est passé dans les habitudes de l’homme de dire: «Si seulement j’ai de l’argent, alors j’ai tout.»
Aujourd’hui la plupart des hommes sont tels qu’il font tout pour de l’argent. L’homme peut donc être
acheté.

Il ne s’agit pas ici de l’argent, il s’agit de la foi!

Il vient toujours des gens qui tentent l’impossible et me disent: «Monsieur Gröning, il faut que vous
fassiez ceci ainsi et vous devez faire cela autrement.» Si je les écoutais et obéissais à ces injonctions,
je ne pourrais absolument plus rien faire. J’agis correctement en ne me laissant pas influencer et en
suivant le chemin que je veux suivre. Car il serait faux de se laisser guider par un homme. Certes je
me laisse diriger, guider, mais par la force divine.

Je ne reconnais à personne le droit d’exiger mais seulement d’obtenir de moi quelque chose. Vous
devez obtenir, vous devez recevoir ce dont vous avez besoin pour recouvrer la santé.
BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 36
Je ne le donne jamais comme l’homme le veut, mais je le donne comme je le reçois, et pas de
l’homme. J’ai le pouvoir, le droit et l’obligation de mettre l’accent là-dessus et de le souligner:
comme je le reçois de Dieu Lui-même! Je ne peux rien y changer et ne change rien non plus.

Quand l’un ou l’autre est gravement paralysé ou aveugle, vous ne devez pas craindre qu’il ne
reçoive pas l’aide dont il a besoin. Chacun peut recevoir l’aide.

Ne jamais perdre courage, même si l’on vous a déjà dit: on ne peut plus rien faire pour vous. C’est
là que cela me fait le plus plaisir, là où l’aide a déjà échoué.

Beaucoup ont dit: «Mais pourquoi ai-je mérité cela? Je suis un pécheur, je n’ai jamais rien fait de
bon dans ma vie!» Je dis: Oui, cher ami, maintenant vous dites la vérité. Vous êtes passé à la vérité.
Vous avez grandi dans le mensonge et êtes passé à la vérité. Vous êtes arrivé à la connaissance de
vous-même.

Commettre une faute et ne pas s’amender, c’est cela qui s’appelle commettre une faute.

Plus la perte d’énergie est grande, plus il faut se recharger longtemps et souvent, jusqu’à ce que le
corps dispose de suffisamment d’énergie pour être à nouveau opérationnel.

Chacun de ces corps affaiblis présente un grand manque d’énergie. Ici, il est vraiment nécessaire
d’expliquer à l’humanité à l’aide de paraboles que les énergies existent pour tous les êtres vivants et
sont aussi la chose la plus nécessaire qui soit pour pouvoir exister ou, plus exactement, pour pouvoir
vivre.

Le corps, dans son ensemble, est résistant seulement si les résistances dans le corps sont elles-
mêmes en pleine possession de leurs énergies.

Cela se répète aussi dans la vie de telle sorte que vous pensez toujours à votre corps, que vous le
soignez toujours et que vous savez aujourd’hui qu’il ne vit pas seulement grâce à la nourriture et à la
boisson, mais qu’il a besoin de la force spirituelle, de la force divine, il a besoin d’énergies que
Dieu a déterminées pour vous et pour votre corps.

Je veux dire seulement par là qu’on ne peut pas qualifier de superstition, de charlatanerie, de
guérison miraculeuse, de suggestion, d’hypnose, etc .… tout ce qui semble inexplicable, mais qu’on
trouvera au fil du temps une explication pour ces phénomènes et qu’on découvrira leur origine.

BG -en
Il faut dire JE VOUS
touteDONNE UNE que
clarté PETITE MAXIME TOME 2
l’enseignement de37Gröning est d’une signification inestimable pour
la science entière.

Mon enseignement est le véritable enseignement qui n’est pas seulement à conseiller aux hommes,
mais qui est d’une telle importance pour les sciences dites exactes qu’elles prendront plus tard ce
chemin pour pouvoir faire parvenir d’elles-mêmes à l’humanité entière tout ce qui est vraiment
important, surtout à notre époque, pour chaque être vivant, dans la mesure où l’homme peut à nouveau
capter en lui tout ce que Dieu a déterminé pour lui.

Je ne suis pas fier, je suis le petit homme simple. Je ne veux pas posséder de titre comme on me l’a
déjà proposé du côté du gouvernement, non, je ne veux aucun titre, je veux seulement aider les
hommes, guérir les hommes.

On ne peut maintenir le lien que par des actes. Faites seulement parler les actes, pas les mots vides
de sens.

Que fait l’homme en réalité? Met-il tout cela en pratique conformément à la façon dont il se
présente comme un homme vraiment bien croyant ? Fait-il vraiment tout ce qu’il a à faire, ce qu’il
devrait faire, pour être quelqu’un qui aime Dieu ? Oui, mes chers amis, il en faut plus pour cela,
beaucoup, beaucoup plus!

Je sais, on me présente comme le plus grand criminel (…), mais cela ne fait rien. Je donne ma vie
pour que l’humanité puisse vivre et veux faire l’impossible pour donner à l’humanité ce qui lui
permet de vivre. Je ressens comme mon devoir d’informer l’homme.

Je suis devant les hommes comme un poteau indicateur qui leur désigne à nouveau le chemin, leur
montre à nouveau le chemin qu’ils ont quitté petit à petit depuis des millénaires. Ce chemin est le vrai
chemin divin.

Suivez le chemin que Dieu a déterminé pour vous!

Plus vous captez le bien, mieux vous vous sentirez et plus tôt l’ordre pourra s’installer dans votre
corps.

L’homme ne sait rien de tout cela, il ne sait rien non plus sur ce que sa naissance, sa présence ici,
sa vie terrestre signifient pour lui, il ne sait pas que Dieu lui a donné des choses précises pour son
chemin concernant ce qu’il a à faire et à ne pas faire ici ni ce en quoi consiste sa tâche, la tâche la
plus importante, la mission qui est la sienne! Les hommes, l’humanité ne sont déjà plus du tout
conscients de tout cela.
BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 38
Nous devons nous détacher de tout le mal et nous devons d’abord faire tout le bien pour nous,
chacun pour soi, pour faire provision de ces bonnes expériences sur nous et en nous.

Et si vous suivez bien maintenant, et n’exigez rien, mais obtenez vraiment tout ce qui est déterminé
pour vous, vous ferez alors l’expérience de beaucoup de bien sur vous-même, de beaucoup de bien
sur votre corps et aussi de beaucoup de bien sur le corps de votre prochain. Croyez seulement!

De la même manière dont vous avez reçu ici ce courant, cette onde curative, vous la recevrez
également où que vous alliez, où que vous soyez, à quelque endroit que ce soit sur cette terre.

Je vous souhaite beaucoup d’amour, de bien, le divin, et non seulement à vous seuls, mais aussi à
tous ceux qui comptent parmi les vôtres, que vous appelez vos semblables, et aussi à ceux pour qui
vous avez un souhait de cœur et dont vous croyez qu’eux aussi accéderont à nouveau au bien dans
leur corps.

BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 39


EPILOGUE

Pourquoi les hommes n’ont-ils pas accueilli le bien dans leur cœur, pourquoi ne l’ont-ils pas capté?
Pourquoi n’ont-ils jamais fait tout ce qu’ils se doivent d’abord à eux-mêmes? Et c’est de là qu’est
venue la difficulté, et il est important maintenant que vous vous consacriez vraiment, vraiment et
sincèrement, à rattraper ce que vous avez omis de faire, en faisant maintenant, en faisant toujours ce
que vous vous devez à vous-même, et en accordant de l’attention à ce corps qui est le vôtre et qui est
vraiment un cadeau divin, et que vous vous ouvriez vraiment, que vous vous donniez vraiment au
bien, vraiment à Dieu et que vous captiez en vous cette onde véritable et divine, et que vous portiez
vraiment tout le bien dans votre cœur!

Bruno Gröning

BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 40


Explication:

Heilstrom (Prononciation approx: hhaïlchtrôm’):


C’est ainsi que Bruno Gröning désignait l’énergie spirituelle qui conduit à la guérison. Pour cela il
utilisait aussi le terme d’ondes guérisseuses et d’énergie divine.

Einstellen (Prononciation approx: aïnchtèleun’):


Les personnes se mettent en réception de l’énergie divine et la captent en eux.

Regelungen (Prononciation approx: réguelougneun’):


La circulation de l’énergie provoque un processus de purification dans le corps qui peut aussi être
douloureux. La maladie est expulsée par un procédé de purification. C’est ce que Bruno Gröning
appelait «Regelungen».

BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 41


Table of Contents
Préface
Avant-propos
Epilogue

BG - JE VOUS DONNE UNE PETITE MAXIME TOME 2 42

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