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Les enfants

Les parents n’ont aucune autorité sur leurs enfants


Certains parents se montrent oppressifs et imposent plusieurs limites à leurs enfants. Certes,
leur imposer des règles leur permet de favoriser une bonne discipline. Toutefois, certains
adolescents le prennent mal et risquent de perdre confiance en eux et toute autonomie. Pour
d’autres, ils finissent par se rebeller et je m'appuie sur ce qui suit.

Tout d’abord, l’éducation autoritaire cause des problèmes dans leur environnement social. Ils
ont tendance à être agressifs, à ne pas obéir et à toujours rechercher l'attention. En effet, une
éducation stricte et autoritaire peut aussi avoir un effet sur le psychisme avec l'âge. A cet
égard, une étude récente affirme que plus de 70% des parents demandent au lieu d’exiger à
leurs enfants.

Ensuite, elle empêche le développement de l’autodiscipline dans la mesure où les adultes ne


donnent pas la chance aux enfants d’apprendre à réparer sainement leurs erreurs. Nous savons
maintenant que c’est l’autodiscipline qui apporte une plus grande satisfaction aux parents et
qui réduit les troubles physiques et psychologiques chez les enfants. Il a été clairement
démontré que l’autodiscipline augmente leur estime d’eux-mêmes, leur sens de l’initiative
ainsi que leur réussite sociale et scolaire. A titre d’exemple, en raison de l'impact de
l'épidémie, la plupart des enfants qui suivent des cours en ligne cette année, les statistiques
ont démontré que les enfants autodisciplinés obtiennent les meilleures notes.

Enfin, la méthode autoritaire bloque le développement du sens des responsabilités, de


l’éthique et de l’autonomie chez les enfants. Ces derniers peuvent devenir dépendants car ils
attendent que les adultes leur dictent leur conduite ou agir de manière à éviter la punition
plutôt que d’être guidés par des valeurs morales. A preuve, les pédopsychiatres affirment
qu’un enfant obéissant est de nature à se laisser faire.

Autant d’éléments qui expliquent les effets négatifs d'une éducation stricte et je suis
convaincue que l'éducation positive est le bon procédé pour le développement de l'enfant.

Veuillez accepter, Monsieur le rédacteur en chef, mes salutations les plus distinguées.

Avec l’ordinateur on n'a pas besoin d’apprendre l’écriture à la main aux enfants
De nos jours, l’écriture à la main disparaît au profit des nouvelles technologie. Certains
individus pensent qu’il faut la bannir de nos écoles afin d’initier nos enfants à la
dactylographie. Je trouve que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit.
Tout d’abord, l’écriture à la main offre plus de liberté et permet de s’approprier le contenu.
Elle incite à faire un effort de synthèse puisque l’on peut pas tout noter , ce qui représente la
première étape dans le processus d’apprentissage. Les pédopsychiatres affirment que
l’écriture à la main permet d’organiser sa pensée de manière plus efficace que la
dactylographie.
Outre cela, ne pas apprendre l’écriture à la main aux enfants c’est ouvrir la porte à une
extinction du savoir. En effet, l’évolution de l’histoire est basée sur l’écriture, il s’agit de la
plus importante invention de l’humanité. Elle a permis de transmettre le savoir de génération
en génération. D’ailleurs, en archéologie nous devons faire appel à des spécialistes afin de
déchiffrer des manuscrits anciens.
Enfin, l’écriture manuscrite est un exercice cérébral de tous les jours. Elle active des
fonctions cérébrales telle la langue, la pensée et la mémorisation. Alors, si on apprend plus
l’écriture à la main aux enfants, on appauvrit leur apprentissage. A cet égard, une étude
menée par des neurologues à l’université de Toulouse affirme que l’écriture à la main facilite
la mémorisation.
Autant d’éléments qui expliquent les vertus de l’écriture manuscrite et son impact sur le
processus d’apprentissage. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de
mes salutations les plus distinguées.

Donner l’argent de poche aux ados


Monsieur le rédacteur en chef

Votre article intitulé « donner de l’argent de poche aux adolescents est un mauvais service
qu’on leur rend » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les
réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je
voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats.

De nos jours, certains parents ne veulent pas donner de l’argent de poche à leurs enfants de
façon régulière pour ne pas les habituer à recevoir de l’argent sans fournir l’effort de
l’obtenir. Selon eux l’argent doit se gagner, c’est le fruit d’un effort. Cependant, je trouve que
cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit.

Tout d’abord, j’adhère à l’idée que donner de l’argent de poche aux adolescents est un moyen
éducatif. C’est un premier pas vers l’autonomie, car il incombe à l’enfant de gérer seul son
argent même si celui-ci est maigre, lui permettant ainsi de gagner en maturité. Il peut par
exemple acheter des jeux vidéo sans demander à ses parents.

Outre cela, donner de l’argent de poche aux adolescents est une manière de les aider à
réfléchir sur leurs rapports à l’argent. Par ce geste on les incite à faire des choix et à
comprendre concrètement la notion d’épargne dans le temps. De par mon expérience
personnelle, mon fils a économisé pendant des mois pour pouvoir se permettre un dîner avec
ses amis.

Enfin, le versement d’une allocation régulière renforce la relation de confiance entre parents
et adolescents pendant cette phase critique. L’adolescence est la période la plus difficile pour
les parents et les adolescents, en accordant un revenu mensuel, les parents réussissent à
minimiser les confrontations tendues. A cet égard, une étude récente affirme que les
adolescents qui bénéficient d’argent de poche font preuve de plus d’indulgence envers leurs
parents.

Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’impact de l’argent de


poche sur les adolescents. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de
mes salutations les plus distinguées.

Le Livre/La lecture

Dans 20 ans les gens ne vont plus lire des livres/ les jeunes sont tellement exposés aux écrans
qu'ils ne vont plus lire des livres

Introduction: Si les pratiques culturelles des jeunes ont changé, ceux-ci n'ont pour autant pas arrêté de se
cultiver

(1) Les jeunes lisent moins de livres et, surtout, lisent moins pour le plaisir. La lecture n'est plus
considérée comme la porte d'accès privilégiée au savoir et n'est plus synonyme de plaisir. Ce désamour
pour les livres vient, à mon avis, du glissement de notre société de ce qu'on appelait les humanités vers le
technico-commercial. Auparavant, les filières les plus prestigieuses nécessitent une pratique assidue de la
lecture. Or la lecture, en tant que loisir tout du moins, n'est plus vraiment obligatoire pour devenir ingénieur.
Le français laisse peu à peu la place aux mathématiques.

(2)

Le numérique aussi a changé notre façon de lire : les séquences de lecture des jeunes sont plus courtes,
souvent liées à leurs échanges écrits sur Internet, et donc sont très liées à la sociabilité. Les choix de
lecture se font en interaction avec les autres, de plus en plus par des recommandations des pairs. Or lire
un livre est, par nature, une activité plutôt longue et solitaire. A l'ère du numérique, la façon dont les jeunes
construisent leur approche culturelle ne va pas naturellement vers la lecture. Pourtant, certains jeunes,
statistiquement plutôt les filles, se tournent de nouveau vers la lecture comme activité à contretemps et
déconnectée, comme pour stopper le flux d'informations continu qui leur parvien

(3)

Le smartphone est devenu le premier terminal culturel des adolescents et jeunes adultes. Les jeunes
regardent toujours la télévision, mais sur leur ordinateur ou leur téléphone. Les blogs, forums et chaînes
musicales remplacent les radios, qui s'écoutent en podcast. La presse également est consommée
essentiellement sur Internet. Seuls les magazines spécialisés ou thématiques résistent à cette tendance,
comme ceux consacrés au sport ou à un chanteur. Aujourd'hui, les premiers pourvoyeurs d'info sont les
réseaux sociaux. Un adolescent que j'ai rencontré lors d'une enquête m'a dit, très justement : « S'il y avait
la guerre, je l'apprendrais sur Facebook. »
Comment réduire la fracture numérique d'un côté et la fracture générationnelle de l'autre ? Mettre dans les
mains des plus jeunes les textes anciens qui transitent à travers les générations, mais aussi, dans l'autre
sens, former les personnes âgées aux nouvelles technologies, cela permet de créer du commun, de créer
du lien intergénérationnel. C'est là tout l'enjeu des nouvelles politiques culturelles.

Il faut lire les journaux et non les romans


Votre long article intitulé « la lecture des romans est une perte de temps, il vaut mieux lire les
journaux », ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent
vivement, je voudrais ici apporter quelques réflexions à ce sujet qui alimente de nombreux
débats.
Aujourd’hui, le mode de vie actuel a fait en sorte que les romans perdent leurs lecteurs, ces
derniers se sont tournés vers les journaux . Certains lecteurs estiment que contrairement aux
romans, les journaux leur permettent de s’enrichir sans perdre beaucoup de temps. Je trouve
que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit.
Tout d’abord, les romans s’adressent à toutes les tranches d’âge, d’un enfant de 4 ans à un
sénior de 90 ans . Ils permettent également de développer l'imagination et la créativité grâce
à leur aspect fictif. A preuve, Les pédopsychiatres conseillent de faire lire les romans aux
enfants dès leur jeune âge afin de développer leur faculté cognitive.
Outre cela, contrairement aux journaux, les romans utilisent un vocabulaire avancé. Compte
tenu de la diversité des romans qui existent ( policier, scientifique, fantastique), Leur lecture
nous amène à adopter de nouveaux mots, de nouvelles expressions. Selon une étude menée
par des étudiants à l’université de Lyon, les lecteurs de romans ont un vocabulaire plus
avancé que les autres lecteurs.
Enfin, la lecture des romans est un excellent antistress. En raison des journées qu’on endure,
nous avons tous besoin d’un petit moment échappatoire, lire un roman contribue largement à
cela. A l’opposé les journaux nous ramènent toujours à la dure réalité. Selon des chercheurs
britanniques , après six minutes de lecture, nous sommes plongés dans un état d’apaisement
avec la diminution de la tension musculaire et du rythme cardiaque.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent la particularité des romans.
Je suis convaincue que les journaux n’arriveront jamais à les remplacer. Toujours fidèle à
votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Livre vs film ou séries


Votre long article intitulé « avec les films et les séries TV, la lecture reste moins importante
» paru à la une de votre journal le premier novembre dernier , ainsi que les réactions d’un
grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques
réflexions à ce sujet qui alimente de nombreux débats.
Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur l’impact négatif
des films et séries tv sur la lecture. Certains lecteurs pensent que regarder un film est aussi
enrichissant que lire un livre. Je trouve que cette idée est biaisée, et je m’appuie sur ce qui
suit.
Tout d’abord, les films résument l’histoire dans une projection de deux heures maximum,
alors que les livres décrivent le déroulement des évènements dans leur moindre détail,
préservant ainsi la magie de l’histoire. La « Saga Twilight » par exemple a perdu toute sa
magie lors de son adaptation en film.
Outre cela, la lecture nous permet de développer notre vocabulaire. Contrairement aux films
et séries tv qui utilisent un vocabulaire basique, les livres emploient un vocabulaire avancé ,
nous permettant ainsi d’adopter de nouveaux mots et de nouvelles expressions. De par mon
expérience personnelle, mon vocabulaire s’est nettement amélioré depuis que je me suis mise
au bouquinage.
Enfin, la lecture est un excellent antistress. Elle stimule le cerveau et augmente l'espérance de
vie. A preuve, des chercheurs britanniques affirment qu'après six minutes de lecture nous
plongeons dans un état d’apaisement avec une baisse de la tension musculaire et du rythme
cardiaque.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point de vue. Je suis
convaincue que le bouquinage est le meilleur moyen pour améliorer le niveau intellectuel de
la personne. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations
les plus distinguées.

Livre vs internet
Monsieur le rédacteur en chef

Votre long article intitulé « Internet met en danger l’avenir du livre » paru à la une de votre
journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand
nombre de vos lecteurs m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions
à ce sujet d’actualité qui alimente encore de nombreux débats.

De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur l’avenir du
livre dans notre société hyperactive. Certains individus pensent qu’il est préférable d’adopter
les livres numériques à la place des livres en papier. Je pense que cette vision est biaisée, et je
m’appuie sur ce qui suit.

Tout d’abord, contrairement aux livres numériques, les livres en papier ne sont tributaires
d’aucun facteur. En effet, pour consulter un livre sur internet on a besoin de réseau et
d’énergie avec le risque de se retrouver avec une batterie à plat. De par mon expérience
personnelle, lors de mes voyages je préfère largement prendre un livre en papier , le tenir et le
feuilleter à tout moment.

Outre cela, la lecture numérique a des effets néfastes sur la santé des lecteurs. La lecture
prolongée sur un écran a pour conséquence une fatigue oculaire et des migraines. D’ailleurs
la majorité des ophtalmologues recommandent des livres papier à leurs patients.
Enfin, contrairement aux livres, la fiabilité des informations disponible sur internet n’est pas
garantie. Le contenu disponible sur le web n’est pas soumis à un contrôle. Ainsi on risque
d’être induit en erreur. A preuve, la mélatonine qui est un médicament toxique à forte dose,
est présentée comme l’hormone miracle du sommeil sur internet.

Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’importance des livres. Je
suis convaincue que ces derniers ne pourront jamais être remplacés. Toujours fidèle à votre
journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Génération
Mariage avant vs mariage d'aujourd'hui
Tout d’abord, mariages de la nouvelle génération ne sont basés que sur l’apparence physique,
la beauté éphémère. N’oublions pas aussi que les parents ont jeté l’éponge dans l’éducation
de leurs progénitures. L’émancipation de la femme n’a fait qu’empirer la situation. Ils ont
laissé les enfants dans les mains des réseaux sociaux ce qui est aussi à la base du manque
d’éducation des enfants. Le taux de divorce a augmenté de 45% ces 20 dernières années.

Ensuite, contrairement à cette époque, la société dans laquelle nous vivons actuellement s’est
tellement modernisée que nos principes, nos valeurs, rites et traditions ont été mis à l’écart. Si
les principes de nos ancêtres ne leur permettaient pas que leurs filles passent une seule nuit
hors du domicile conjugal, c’est tout à fait le contraire de nos jours. Quitter le domicile
conjugal était considéré comme un crime. Les traditionalistes confirment qu'aucun parent de
cette époque n’acceptait que sa fille passe une seule nuit, en dehors du domicile conjugal
quelles que soient les raisons“.

Enfin, au temps de nos ancêtres, les mariages n’étaient pas scellés sur un coup de tête. C’était
plutôt bien réfléchi malgré qu’ils ne tombaient pas amoureux l’un de l’autre et ne se
connaissaient même pas avant de sceller les liens qui les lient pour toujours. Au contraire,
c’était des mariages forcés comme nous avons l’habitude d’entendre de nos jours si jamais
une union se scelle sans le consentement mutuellement. 90% des unions étaient scellées en
fonction de la réputation des parents et chaque enfant était vu comme le reflet de sa famille,
et ces unions durent l’éternité.

En guise de conclusion, les mariages sont devenus bonjour M. le maire, bonsoir M. le juge.
Dure réalité, mais aujourd’hui, rien n’est comme avant, nos cultures et traditions ont été
abandonnées au profit d’autres. Les anciens considéraient le mariage comme une union
sacrée et ne faisaient recours au divorce que par dépit.

Les jeunes d'aujourd'hui et les jeunes d'avant


Monsieur le rédacteur en chef

Votre long article intitulé « il ya pas de différence entre les jeunes d’aujourd’hui et les
générations précédentes » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi
que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement.
Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux
débats.

Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux des relations
intergénérationnelles. Certains psychologues affirment qu’il existe une rupture entre les deux
générations en raison du fossé qui s’est installé au fil du temps. A vrai dire cela ne me laisse
pas indifférente , voilà pourquoi je tiens à étayer cette opinion.

Tout d’abord, les conditions socio-économiques ont complètement changé. Engendrant ainsi
un changement de comportement et par conséquent de style de vie. A l’époque un jeune de
24 ans devrait être responsable d’un foyer, alors que de nos jours, il se concentre plutôt sur sa
carrière professionnelle.

Outre cela, l’avènement des nouvelles technologies a complètement bouleversé nos


habitudes. Nous empruntons un train de vie plus intelligent à l’aide des différents outils mis à
notre disposition. Désormais la notion de frontières physiques a pris un autre sens, c’est
pourquoi nos relations et liaisons peuvent paraître virtuelles pour l’ancienne génération.

Enfin, la nouvelle génération est plus tolérante, et plus ouverte d’esprit que la génération
précédente. Contrairement à l’époque de nos parents ou il y avait pratiquement pas de mixité
sociale, notre époque fait preuve de plus de civisme et de tolérance vis-à-vis des autres
religions, et couleurs de peaux. A cet égard, une étude récente affirme que le taux d’incidents
liés au racisme a significativement baissé ces dernières décennies.

Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les différents points de
divergence entre les deux générations. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter
l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Education parent vs éducation jeunes


Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « les séniors sont plus éduqués que les jeunes » paru à la une de
votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand
nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions
à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats.

De nos jours, les relations intergénérationnelles font souvent la une des médias. Certains
lecteurs pensent que les parents cherchent à éduquer leurs enfants de la manière dont ils l’ont
été, afin d’avoir une descendance avec des valeurs et des principes aussi forts que les leurs.
Cependant, je trouve que la conjoncture actuelle a fait en sorte que les méthodes d'éducation
soient complètement divergentes, et je m’appuie sur ce qui suit.

Tout d’abord, nos aînés sont plus éduqués parce qu’ils ont bénéficié d’une éducation stricte,
ou punitions et discipline étaient les seuls mots d’ordre. Alors que de nos jours, les jeunes
adoptent une attitude de refus réclamant plus de liberté. L’obéissance totale est donc
considérée comme étant d’un temps révolu . D’ailleurs, les jeunes parents demandent au lieu
d’exiger à leurs enfants.

Outre cela, l’individualisme et le changement des conditions socio-économiques ont


engendré un changement de style de vie. Contrairement à nos parents qui étaient très attachés
à leurs familles, les jeunes d’aujourd’hui sont égoïstes et ne cherchent que leur propre
intérêt. Une étude des Nations Unis affirme que 80% des jeunes d’aujourd’hui n’ont aucune
relation avec leurs proches et entourages.

Enfin, l’avènement de la technologie a eu un impact sur l’éducation des enfants. Ces derniers
sont tellement captivés par leur écran qu’ils ne savent plus écouter. Engendrant ainsi des
comportements négatifs tels la violence et l’insolence. A cet égard, une étude menée par des
sociologues à l’université de Paris affirme que les actes de violence chez les jeunes ont
augmenté de 30% ces 10 dernières années.

Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’impact négatif de la


modernisation sur l’éducation des enfants. Je suis convaincue que les méthodes d'éducation
traditionnelles ont forgé une génération beaucoup plus éduquée que la nôtre. Toujours fidèle
à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Les langues
Il est inutile de connaître une autre langue que l’anglais
Monsieur le rédacteur en chef

Votre long article intitulé « il est inutile de connaître une autre langue que l’anglais » paru à
la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions d’un grand
nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions
personnelles sur ce sujet d’actualité qui alimente encore de nombreux débats.

Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias sur la prédominance de l’anglais dans le
monde. Par son universalité, cette langue a réussi à s’imposer dans tous les domaines.
Cependant, je pense que ne pas se limiter à l’anglais et parler plusieurs langues permettra
d’améliorer notre potentiel, et je m’appuie sur ce qui suit.

Tout d’abord, le plurilinguisme constitue la clef de la réussite professionnelle. Le critère


linguistique fait la différence entre deux candidats dans tous les domaines. Parler plusieurs
langues permet de garantir une belle carrière professionnelle. Lors des recrutements des
multinationales par exemple, les polyglottes sont favorisés par rapport aux anglophones.

Outre cela, apprendre les langues étrangères est le meilleur moyen de se cultiver et de
s'enrichir. En effet, comprendre plusieurs langues nous donne accès à des cultures que nous
n’aurions pas pu comprendre sans traduction, telles que la musique et la littérature.

Enfin, être polyglotte permet de garder le cerveau agile et rapide. Il s’agit d’un exercice
cérébral de tous les jours permettant de modifier la structure du cerveau afin de le rendre plus
efficace. A cet égard, une étude récente réalisée à l’université de médecine à Lyon affirme
que parler plusieurs langues permet de lutter contre l’Alzheimer.

Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’importance du


plurilinguisme. Je suis convaincue qu’il ne faut surtout pas se limiter à l’anglais afin de se
démarquer. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations
les plus distinguées.

Apprendre le chinois
Monsieur le rédacteur en chef
Votre article intitulé « apprendre le chinois aux enfants en bas âge » paru le premier
novembre dernier à la une de votre journal, ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos
lecteurs m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui
alimente de nombreux débats.
Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux de l’importance de
privilégier la langue maternelle aux langues étrangères. Certains lecteurs pensent qu’ un
retard d’apprentissage de la langue maternelle survient lorsque l’enfant apprend une
deuxième langue. je trouve que cette idée est biaisée , et je m’appuie sur ce qui suit.
En premier lieu, la capacité d’assimilation diminue avec l’âge. Plus on est jeune , plus
l’apprentissage est facile. Étant de véritables éponges les enfants absorbent les informations
plus rapidement. Permettant ainsi une meilleure maîtrise de la langue. De par mon expérience
personnelle, apprendre le chinois en bas âge m’a permis de le maîtriser à la perfection.
Outre cela, étant leader dans le monde des affaires, la chine est la destination de rêve pour
les étudiants. Avec la montée en puissance de la chine surtout dans le domaine économique ,
il est bien normal de se préparer à l’avance. En apprenant le chinois aux enfants, on leur
garantit une belle carrière professionnelle. A preuve, une étude menée par l’office national
des statistiques que 50% des directeurs des multinationales maîtrisent le chinois depuis leur
jeune âge.
Enfin, parler chinois est un excellent exercice cérébral. Pour parler chinois, il faut apprendre
plus de 3000 caractères, ce qui améliore la mémorisation et l’esprit de déduction chez
l’enfant. A cet égard, une étude menée par l’université de Paris affirme que les enfants qui
maîtrisent le chinois ont une meilleure flexibilité cognitive.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point de vue quant à
l’importance d’initier les enfants aux chinois. Je suis convaincue que cette langue est le
meilleur moyen pour améliorer le potentiel de l’enfant. Toujours fidèle à votre journal,
veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

L’anglais menace les autres langues et cultures


Monsieur le rédacteur en chef
Votre article intitulé « l’anglais menace les autres langues et cultures » paru à la une de votre
journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos
lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui
alimente de nombreux débats.
Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur l’impact de
l’anglais sur les langues nationales. En s’imposant en langue universelle, il détruit la diversité
culturelle. A preuve, nous avons des chinois avec des noms anglais, qui ne savent même plus
parler le cantonais. Cependant, je pense que l’anglais n’est pas en mesure d’effacer les
langues et les cultures, et je m’appuis sur ce qui suit.
Tout d’abord, il ne faut pas confondre universalité et capacité à communiquer. L’anglais est
la langue la plus utilisée dans le monde des affaires, notamment dans le commerce
international, mais pour pouvoir communiquer aisément avec les gens il faut maîtriser
d’autres langues que l’anglais. Demander son chemin dans un village en Espagne par
exemple peut être compliqué si on ne parle que anglais.
Outre cela, la langue n’est pas le seul véhicule des cultures, il existe également les dialectes.
Même si l’anglais est enseigné au même titre que la langue nationale dans de nombreux pays,
et peut avoir une certaine influence sur leur culture, cette dernière est largement diffusée à
travers les dialectes. C’est le cas de ma culture amazigh qui a été transmise de génération en
génération à travers le dialecte kabyle.
Enfin, l’expansion de plus en plus importante d’autres langues. L’anglais figure à la
deuxième place des langues les plus parlées dans le monde, mais il est talonné de près par
plusieurs grandes langues tel l’arabe, l’espagnole et le français. Selon l’office national de
statistique, le nombre de personnes maîtrisant une autre langue que l’anglais autant que
deuxième langue a significativement augmenté ces deux dernières années.
En somme, c’est pour toutes ces raisons que je persiste à croire que malgré son universalité,
l’anglais n’a pas réussi à effacer les autres langues et encore moins les cultures. Toujours
fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distsalutati

Inutile d'être bilingue


Monsieur le rédacteur en chef,
Suite à votre article paru le 12 Décembre dans lequel vous déclariez qu'il est "inutile d’être
bilingue c’est une perte de temps" et après lecture des réalisations de nombreux de vos
lecteurs, je voudrais à mon tour apporter quelques réflexions. Certes s'investir dans
l'apprentissage des langues peut être perçu comme un gaspillage du temps et de l’énergie,
toutefois, la maîtrise d'une deuxième langue est un atout considérable à notre époque.
Tout d'abord, l'apprentissage d'une deuxième langue permet de développer les capacités
cognitives des individus, en effet, il a été montré que l'utilisation d'autres langues lors de la
communication a un impact positif sur la mémoire, vu le volume important des informations
acquises. Une étude réalisée par l'université de Montréal a montré que les personnes
maîtrisant plusieurs langues ont un faible risque d'être objet d'une maladie cérébrale à l'instar
d'Alzheimer.
Par ailleurs, apprendre une langue étrangère passe généralement par la découverte de
nouvelles cultures et histoires d’autrui, permettant une ouverture d'esprit nécessaire afin de
s'améliorer en tant que personne, et par voie de conséquence, devenir une meilleure version
de soi-même.
finalement, avec la mondialisation, notre environnement économique nous impose la maîtrise
d'autres langues, afin de pouvoir entretenir des échanges bilatéraux et multilatéraux avec
d'autres pays, sans pour autant être pénalisé par le manque de compétence relativement à la
langue, en est la preuve; une étude réalisée par l'université LAVAL ayant comme objectif
d'analyser la corrélation entre le bilinguisme et le taux d'emplois, a révélé des résultats
surprenants; sur une population globale de 1000 personnes, 70% de l'échantillon soit 700
personnes ont connu une amélioration remarquable dans leur carrière avec des opportunités
d'emploi à l'étranger.
En guise de conclusion, dans le monde où nous vivons, et avec tous ces changements
économiques et culturels, le bilinguisme n'est plus perçu comme un luxe, c'est une nécessité
imposée par notre environnement et qu'il faut considérer afin de pouvoir exister.
En vous remerciant de l'intérêt que vous porterez à ma lettre, veuillez agréer monsieur mes
salutations distinguées.

Langues étrangères vs langue maternelle


Tout d'abord, on peut dire qu'apprendre une langue étrangère requiert tout un investissement
et réclame beaucoup de temps. En effet celui qui veut parler une autre langue doit par
exemple chercher à comprendre les traditions et les coutumes de manière à découvrir les
codes à travers des vidéos, de cours et tutoriels pour être apte à la parler et cela implique qui
passera plus de temps dans cette nouvelle aventure d'apprentissage, essayant de pratiquer le
plus souvent au détriment de sa propre langue maternelle.
Outre cela, dans le monde du travail, de plus en plus d'offres sont envisageables dans des
langues les plus parlées du monde, en l'occurrence l'anglais, le chinois, le français. Du coup
celui qui est à la recherche d'un travail doit être compétitif au niveau de la langue qui devient
une plus-value. De ce fait, l’apprenant se sent obligé de s'adapter, de se donner une chance,
en se forçant d'apprendre cette nouvelle langue. Ce qui entraînera le fait qu'il parlera de
moins en moins sa propre langue, ceci pour des raisons pécuniaires.
De même dans le domaine du tourisme, ou d'autres métiers qui nous mettent en relation avec
les gens venus d'ailleurs comme les métiers dans l'aviation, les hôtesses, par exemple, les
étudiants en formation se doivent de communiquer dans ces langues couramment
parlées....d'où l'obligation quelque peu implicite de mettre en ombre sa propre langue
d'origine.
Enfin, on peut également mentionner la raison de l'instruction. En réalité, les étudiants en
quête de savoir doivent parfois se référer aux livres, écrits en d'autres langues que la leur. De
nombreux documents d'ailleurs s'y rapportant sont écrits dans des langues couramment
parlées.par exemple dans le domaine de l'informatique ya des documents et codes qui
n'existent qu'en langue officielle et si par malheur ces langues ne sont pas connues de
l'apprenant comment fera t-il pour parfaire sa connaissance et être capable à tenir son
mémoire en fin de cycle.
Au vu de tout ce qui précède force est de constater que dans divers aspects de la vie de
l'homme, aujourd’hui, on est obligé de s'ouvrir au monde par les langues, quitte à reléguer en
arrière plan sa langue d'origine. Ceci pour des raisons parfois indépendantes de sa volonté. Ce
phénomène entraîne évidemment la propagande d'une langue au détriment de celles les moins
parlées, les menant aux oubliettes.
Voici ci-énuméré ce sur quoi tient mon propos. Tout en espérant que vous accorderez une
attention à ma missive, veuillez recevoir Mr l'expression de ma profonde considération.

L’école
Uniforme scolaire doit être obligatoire

Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux de l’uniforme
scolaire et son impact sur les écoliers. Pour certains, imposer une tenue vestimentaire aux
jeunes, restreint l’expression de leur personnalité. Je trouve que cette idée est biaisée, et je
tiens à vous résumer mon opinion qui s’appuie sur ce qui suit.
Tout d’abord, j’adhère à l’idée que l’uniforme lutte contre les inégalités au niveau des
établissements scolaires. Les classes sociales sont masquées, diminuant ainsi le sentiment de
jalousie et d’infériorité que certains élèves pauvres peuvent ressentir. Les psychologues
affirment que l’uniforme a permis une meilleure intégration des élèves appartenant à une
classe sociale inférieure.
Outre cela, il crée un sentiment d’appartenance chez les écoliers. En reflétant l’identité de
l’établissement, l’uniforme unis les élèves à l’extérieur de l’école. A preuve, lors des
concours intellectuels entre écoles, on remarque une meilleure symbiose chez les élèves en
uniforme.
Enfin, l’uniforme lutte contre la violence. Du fait de l’image qu’il renvoie, il permet d’avoir
un meilleur comportement de la part des écoliers et favorise également un apprentissage de
discipline. Selon une étude récente, les incidents liés à la violence et le harcèlement scolaire
ont considérablement diminué depuis l’adoption de l’uniforme.

Autant d’éléments qui expliquent l’importance de l’uniforme. Je suis convaincue que son
adoption ne peut qu’être bénéfique pour les écoles et leurs élèves.

Musique à l’école
Ce loisir artistique sera source de bien être pour les élèves à l'école
- La musique participe à l'éveil des sens/Elle nourrit les capacités émotionnelles et
intellectuelles/elle contribue à la créativité et a l'ouverture d'esprit.
- Les multiples stimuli reçus développent compétences: mémo, concentration,
synchronisation corporelle/augmentent des fonctions cérébrales grâce aux qualités
cultivées lors du contact avec la mélodie rythme et tempo.
- Pratiquée collectivement, moteur essentiel de la cohésion sociale/au sein d'une chorale
chaque individualité compte pour atteindre le résultat collectif/ forge sens du respect
solidarité et partage

Dessin à l’école
- Aide les timides et les personnes qui ont un handicap de voix et de parole à
communiquer de manière non verbale
- Les multiples stimuli reçus développent compétences : mémo, concentration,
synchronisation corporelle/augmentent des fonctions cérébrales grâce aux qualités
cultivées lors du contact avec la mélodie rythme et tempo.
- Jouer avec les pigments et les surface donne un merveilleux sentiment de liberté et la
possibilité de révéler ses émotions (remèdes contre les angoisses)
Smartphone à l'école
- Enrayer l'addiction aux écrans :
Nos têtes blondes sont de plus en plus exposées aux écrans. À tel point qu'il est
parfois rapide de développer une véritable addiction à ces derniers. Couper
systématiquement l'utilisation du smartphone pendant toute une journée de cours
permet logiquement de diminuer les risques de dépendance. Une fois à la maison, les
parents peuvent davantage contrôler l'utilisation du smartphone de leur enfant.
- Diminuer l'exposition à la lumière bleue :
La lumière bleue que produisent les écrans joue un rôle majeur sur le sommeil. Elle
augmente l'activité de certaines cellules rétiniennes qui sont photosensibles. Cela a
pour effet de diminuer le taux de mélatonine dans le sang. La mélatonine est
l'hormone qui entraîne la phase d'endormissement du corps. En réduisant l'utilisation
du téléphone portable, les élèves dormiront donc mieux, et seront ainsi plus attentifs
en cours.
- Augmenter la concentration en cours, et soulager les professeurs : Aujourd'hui, les
professeurs ont constamment à intervenir pour reprendre leurs élèves qui pianotent
discrètement sous leurs bureaux. Cela perturbe à la fois le professeur et le
déroulement du cours pour la classe entière. L'interdiction permettra donc d'éviter ce
phénomène, puisque les élèves n'auront plus la tentation à portée de main.

Conclusion : Les dispositifs numériques personnels doivent être éteints et rangés dans
les affaires de l’élève dès son arrivée en classe. Des exceptions sont cependant
prévues lors d’activités pédagogiques « encadrées » par l’enseignant, liées par
exemple à l’apprentissage du numérique.

Les jeux vidéo développent la créativité des jeunes : on devrait les utiliser à l'école.

Monsieur le Rédacteur en chef,

Je suis un fidèle lecteur de votre journal et dans votre parution du 14 décembre 2020, je lis
ceci : "les jeux vidéo développent la créativité des jeunes : on devrait les utiliser à l'école''. Je
vous écris en réponse à cette affirmation pour m'y opposer et ceci pour plusieurs raisons.

D'abord, les jeux vidéo développent la passivité chez les jeunes à l'école. Ceci s'explique par
le manque de dialogue entre le jeune adepte et la vidéo qu'il suit ou pratique. Par exemple, à
travers les jeux vidéo, les jeunes ne peuvent pas développer l'articulation et l'écriture des
mots.

Ensuite, les jeux vidéo contribuent à l'échec des jeunes en milieu scolaire. Les jeunes écoliers
orientent leur concentration vers ces jeux qui les occupent à longueur de journée. Les
résultats de fin d'année au lycée français de Lomé en 2019 avec les jeux sont nettement
inférieurs aux années précédentes sans les jeux.

Enfin, les jeux vidéo donnent de l'illusion aux adolescents. Les jeunes, par manque de
discernement, sont incapables de distinguer la réalité et le virtuel dans les consoles. Les
jeunes par exemple, se permettent de sauter d'une grande hauteur dans le but d'imiter un
acteur dans une vidéo.

En définitive, les jeux vidéo à l'école exposent plus les jeunes aux dangers plutôt que les
avantages.
En espérant que mon point de vue soit publié afin de susciter des réactions d'autres lecteurs,
je vous prie d'agréer mes salutations distinguées.

Votre fidèle lectrice,

La discipline ça s'apprend à la maison et non pas à l école

(1)
La discipline s'apprend dans plusieurs milieux de vie impliquant des règles, des normes. Ainsi, la discipline
n'est pas seulement une affaire d'éducation familiale mais aussi une affaire institutionnelle comme l'école.
L'école est un acteur primordial dans la transmissions des savoirs et l'acquisitions des compétences, elle
jouent donc un rôle dans la compréhension des normes.

(2)
La discipline est aussi la manière de se comporter et de vivre ensemble dans le respect des uns et des
autres, ainsi la société génère des codes, des règlements, des lois auxquelles les citoyens doivent se
formaliser aux risques de sanctions. l'objectif de ces sanctions est de permettre une intégration de la
discipline .

(3)
De plus en dehors de ces facteurs externes, la discipline peut être une affaire personnelle, on parlera de
manière plus approprié d'autodiscipline. Ce concept d'autodiscipline est en corrélation avec la motivation
personnelle, dépendant elle de plusieurs facteurs internes ( objectifs, plaisir, récompense, ...) et externes
(amis, école) bref la discipline relèvent de plusieurs sphères institutionnelles, sociétales, personnelles et
familiale.

Conclusion :La discipline n'est pas seulement une affaire familiale mais une affaire collective pour le bien
de la communauté qui doit être transmise par plusieurs acteurs différents pour une meilleure acquisition
des codes.

Augmenter la discipline à l'école

Introduction

L’éducation positive est aussi bénéfique à la maison qu’à l’école. Et de plus en plus de professeurs la
mette en pratique au sein de leur classe

(1)
Entre bienveillance et fermeté : C’est la base des explications de Jane Nelsen. C’est là l’essentiel de la
discipline positive, l’art de trouver le terrain d’entente où chacun voit ses attentes prises en compte. C’est la
troisième voie entre le permissif et punitif. En effet, pour aider un enfant à s’épanouir, il a autant besoin
d’un regard bienveillant, d’encouragements et de soutien, que d’un cadre qui structure les limites. Nous
pouvons comprendre Fermeté = Je me respecte et Bienveillance = Je respecte l’enfant. Ce sont deux
ingrédients essentiels, qui se retrouvent dans la discipline positive.

(2)
Communiquer : Lorsqu’un enfant se referme sur lui-même, il devient bien difficile de pouvoir échanger sur
quoi que ce soit. Ainsi, afin d’éviter cela, il faut parvenir à instaurer une écoute active mutuelle des
émotions, des ressentis, des incompréhensions pour mieux parfaire la communication enfant/adulte. Un
enfant qui se sent bien et en confiance sera plus à même de progresser. La CNV ( Communication Non
Violente ) fait des miracles à ce sujet !

(3)
Donner du sens à la sanction :Pour qu’elle soit bien acceptée, une sanction doit résonner comme
la conséquence logique d’un comportement. Et cela peut s’avérer être un exercice périlleux, notamment
quand nous réagissons dans l’instant, sans prendre de recul. Pour vous aider dans cette tâche, appuyez-
vous sur ces trois points : Une sanction doit être annoncée au préalable, en effet elle représente la
conséquence d’un acte et l’élève doit être prévenu du risque imminent de sanction. Elle doit
être raisonnable, et donc avoir du sens et de la cohérence. Et surtout, elle doit être respectueuse de
l’être qui est devant nous, c’est à dire pas d’humiliation, de dévalorisation, de culpabilisation

Conclusion :Le fait de valoriser les réussites, d’encourager les élèves mais aussi de faire le point
régulièrement sur leurs progrès et les points à améliorer a créé dans la classe une ambiance propice au
travail et à l’investissement.

Travail
La vidéosurveillance motive les employés:

De nos jours, la vidéosurveillance est une pratique courante. Certes les caméras dans les lieux
de travail sont un moyen sûr et bien éprouvé de contrôler les négligences. Cependant, je
pense que son utilisation et son efficacité restent discutables, et je m’appuie sur ce qui suit.

Tout d’abord, la confiance mutuelle et la communication transversale seront bouleversées par


l’espionnage interne qui se traduit par des reproches indirects sur leur travail. En effet,
l'employeur doit faire preuve de pédagogie et de transparence afin de maintenir un certain
sentiment de confiance. Selon une étude américaine, 75% des salariés s’interrogent sur la
confiance accordée à leur égard.

Ensuite, la mise en place d’une caméra de surveillance dans les lieux du travail est considérée
comme une atteinte à la liberté de chacun, ce qui représente une complète contradiction avec
les valeurs du développement durable. Selon le code de travail l'employeur doit informer ses
employeurs de la mise à disposition des caméras. A cet égard, la CNIL a reçu plusieurs
plaintes en 2020.
Enfin, le flicage des salariés pendant leurs heures de travail pèsera immanquablement sur
l'ambiance et ceci, répercute sur leur productivité et touchera ainsi, leur motivation
intrinsèque ou extrinsèque. A titre d’exemple: x fondateur témoigne lors d'un interview que
ses collaborateurs sont choisis non seulement pour leurs compétences mais également pour
leur autonomie.

Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon recul à l’égard de cette
caméra espion et je suis convaincue qu’il n’est pas le bon procédé pour motiver les employés.

La sieste au travail
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « l’intérêt de la sieste au travail » paru à la une de votre journal le
premier novembre dernier, ainsi que les réactions et vis mitigés d’un grand nombre de vos
lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à
ce sujet d’actualité qui alimente encore de nombreux débats.
Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur l’importance
d’une sieste pour les employés. Pour certains lecteurs, le rythme actuel imposé par la plus
part des entreprises ne laisse pas de place pour la sieste. Cependant, je pense que cette
dernière présente plusieurs bienfaits sur les performances des employés, et je m’appuie sur ce
qui suit.
Tout d’abord, la sieste maintien la confiance employeurs-employés. Elle démontre aux
employés que leur bien-être est important. Ces derniers voudront rester fidèle, et seront plus
productifs car ils savent qu’ils évoluent dans un environnement sain. A preuve, Nike et
Google disposent d’un espace de détente et accordent une sieste à leurs employés.
Outre cela, la sieste permet de préserver la santé des employés. Elle lutte contre le stress, les
risques cardiaques et la dépression. Il s’agit d’un besoin biologique contre lequel on ne
devrait pas lutter. Dans certains pays comme le Japon et la Chine, la sieste au travail est un
droit qui fait partie de leur constitution.
Enfin, la sieste permet au travailleur d’être plus productifs. Elle améliore la mémoire, accroit
la créativité et augmente la vigilance. Un employé reposé ne penserait pas à dormir et serait
davantage présent pour ses missions. A cet égard, la Naza a affirmé qu’une micro sieste
permet d’augmenter la concentration et la production des salariés de 35% .
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’importance de la sieste au
travail. Je suis convaincue que son adaptation jouera en faveur des entreprises. Toujours
fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.
Le télétravail obligatoire

Le télétravail est connu pour être une alternative à de nombreuses difficultés rencontrées sur
le lieu de travail. Cependant, les employeurs sont plus sur la réserve, car ce nouveau mode
d’organisation peut avoir des conséquences négatives sur les salariés.

L’éloignement géographique favorise le désintéressement du salarié :S’il ne trouve pas de


bon équilibre dans l’organisation de son travail, le télétravailleur peut vite tomber dans une
routine, entraînant une perte de motivation. Le manque d’interactions peut provoquer une
perte de lien social et un manque de confiance : en s’habituant à ce train de vie favorisant
l’isolement, le salarié pourrait délaisser ses collaborateurs pour se renfermer dans une sphère
de plus en plus étroite. L’esprit d’équipe et la cohésion seraient ainsi mis en danger et
impacteraient la productivité et la qualité du travail accompli.

Le télétravail, une routine contre-productive :Le risque étant que l’employé, une fois la
routine installée, oublie ses bonnes résolutions telles que le respect d’un emploi du temps
strict, pour laisser place à plus de relâchement.
Son isolement peut renforcer le sentiment d’ennui : la discipline est donc indispensable à
cette organisation qui exige une réelle implication du salarié. Comme sur le lieu de travail, les
horaires doivent être respectés. Sa démotivation consécutive à la monotonie pourrait affecter
sa productivité car la flexibilité des horaires et le manque de contrôle des employeurs incitent
à la procrastination.

Une supervision compliquée : Un des principaux inconvénients est l’insuffisance de contrôle


des employés, et la difficulté à les superviser via l’échange de mails et de communications
téléphoniques. Un suivi assidu est plus compliqué, l’employé devra alors rendre des comptes
via des résultats ou par le respect de délais établis préalablement. De plus, l’employeur devra
rappeler au salarié la durée légale du travail et convenir avec lui des horaires durant lesquels
il doit être joignable. Il est conseillé que les salariés viennent sur leur lieu de travail plusieurs
fois par semaine de façon à montrer leur intérêt pour l’entreprise ainsi que pour leur équipe
de collaborateurs.
La vie professionnelle est importante
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « le plus important c’est la vie professionnelle » paru à la une de
votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand
nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions
à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats.
De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux de l’importance de
la carrière professionnelle. Notre conjoncture actuelle a fait en sorte que la réussite
professionnelle soit une priorité. Pour certains, réussir professionnellement est synonyme
d’accomplissement de soi. Cependant, je pense que cette vision est biaisée , et je m’appuie
sur ce qui suit.
Tout d’abord, j’estime que l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée est
important pour entretenir une vie saine et heureuse. En se focalisant sur le plan professionnel,
on a tendance à négliger la vie de famille. A preuve, de nos jours beaucoup d’enfants se
plaignent de l’absence permanente de leurs parents.
Outre cela, réussir professionnellement implique des sacrifices. Les personnes ayant la
carrière professionnelle comme priorité passent beaucoup de temps à travailler afin de gravir
les échelons. Écartant ainsi les petits plaisirs de la vie tels les voyages et les sorties entre
amis. Il a été prouvé que la majorité des personnes qui réussissent professionnellement vivent
un échec sur le plan social.
Enfin, l’acharnement professionnel nuit à la santé. En passant des heures interminables à
travailler, on se prive de dormir suffisamment, de manger sainement et de faire du sport
régulièrement, ce qui engendre de sérieux problèmes de santé tels le surpoids, l’hypertension
et le diabète. A cet égard, une étude menée par des professeurs de l’université de médecine à
Toulouse , affirme que 70% des fonctionnaires buralistes souffrent de maladies métaboliques
par manque d’activité physique.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent perplexe quant à
l’importance accordée à la vie professionnelle. Je suis convaincue que cette dernière n’est
qu’un fragment de la vie d’un individu, il suffit de trouver le bon équilibre pour être heureux.
Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter mes salutations les plus distinguées.

Le télétravail est nocif

Monsieur le rédacteur en chef


Votre long article intitulé « le télétravail est nocif » paru à la une de votre journal le premier
novembre dernier, ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent
vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente de nombreux
débats.
Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur l’impact négatif
du télétravail. Pour certains, le télétravail est une pratique qui nuit au bon fonctionnement des
entreprises, en induisant un manque d’intérêt et de rigueur de la part des salariés. Cependant,
Je trouve que ce mode de fonctionnement révolutionnaire a permis de dépasser plusieurs
obstacles, et d’augmenter ainsi le chiffre d’affaires de plusieurs entreprises, et je m’appuie
sur ce qui suit.
Premièrement, ce mode de fonctionnement permet une meilleure intégration des salariés
handicapés. Les entreprises qui ne possèdent pas de locaux aménagés aux personnes
handicapées peuvent tout de même en recruter grâce au télétravail. A preuve, une étude
menée par l’office national des statistiques affirme que le taux de chômage au sein de cette
catégorie a considérablement diminué après l’avènement du télétravail.
Par ailleurs, la confiance des employés-employés est maintenue. En effet, en lui faisant
confiance un employé donnera le meilleur de lui-même, et n'agit que dans l’intérêt de son
entreprise. La majorité des entreprises Québécoises adoptant ce mode de fonctionnement ont
réussi à se faire un nom dans le marché mondial grâce au sérieux et à l’assiduité de leurs
employés.
Enfin, en offrant une meilleure flexibilité et permettant de concilier vie privée et vie
professionnelle, le télétravail diminue le stress et augmente le rendement. Les travailleurs
avancent dans leurs tâches sans avoir à subir la pression d’un supérieur. A cet égard, une
étude menée à l’université de Lyon affirme que le taux de suicide professionnel a diminué de
60% depuis l’avènement du télétravail.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent la touche positive qu’a eu le
télétravail sur plusieurs plans. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter monsieur
l’expression de mes salutations les plus distinguées.

La vie professionnelle est importante

Monsieur le rédacteur en chef


Votre long article intitulé « le plus important c’est la vie professionnelle » paru à la une de
votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand
nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions
à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats.
De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux de l’importance de
la carrière professionnelle. Notre conjoncture actuelle a fait en sorte que la réussite
professionnelle soit une priorité. Pour certains, réussir professionnellement est synonyme
d’accomplissement de soi. Cependant, je pense que cette vision est biaisée , et je m’appuie
sur ce qui suit.
Tout d’abord, j’estime que l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée est
important pour entretenir une vie saine et heureuse. En se focalisant sur le plan professionnel,
on a tendance à négliger la vie de famille. A preuve, de nos jours beaucoup d’enfants se
plaignent de l’absence permanente de leurs parents.
Outre cela, réussir professionnellement implique des sacrifices. Les personnes ayant la
carrière professionnelle comme priorité passent beaucoup de temps à travailler afin de gravir
les échelons. Écartant ainsi les petits plaisirs de la vie tels les voyages et les sorties entre
amis. Il a été prouvé que la majorité des personnes qui réussissent professionnellement vivent
un échec sur le plan social.
Enfin, l’acharnement professionnel nuit à la santé. En passant des heures interminables à
travailler, on se prive de dormir suffisamment, de manger sainement et de faire du sport
régulièrement, ce qui engendre de sérieux problèmes de santé tels le surpoids, l’hypertension
et le diabète. A cet égard, une étude menée par des professeurs de l’université de médecine à
Toulouse , affirme que 70% des fonctionnaires buralistes souffrent de maladies métaboliques
par manque d’activité physique.

Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent perplexe quant à


l’importance accordée à la vie professionnelle. Je suis convaincue que cette dernière n’est
qu’un fragment de la vie d’un individu, il suffit de trouver le bon équilibre pour être heureux.
Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter mes salutations les plus distinguées.

Mélange vie professionnelle et vie privée

Monsieur le rédacteur en chef


Votre long article intitulé « Internet, mail, réseaux sociaux, le mélange entre vie privée et vie
professionnelles est inévitable » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier,
ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent
vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de
nombreux débats.

De nos jours, nous avons tendance à confondre entre vie privée et vie professionnelle. l’essor
des technologies a fait en sorte que la frontière entre les deux sphères s’estompe. Cependant,
je pense qu’une bonne organisation permet d’éviter ce phénomène, et je m’appuie sur ce qui
suit.

Tout d’abord, la multitude des outils technologiques permet de différencier entre le


professionnel et le personnel. En effet, on trouve sur le web des plateformes dédiées par
contenus permettant d’écarter la confusion entre les deux sphères. Facebook pour l’aspect
personnel et vidéo pour le professionnel.

Outre cela, une bonne organisation au quotidien permet d’assurer un équilibre entre les deux
sphères. Il suffit d’adopter des pratiques simples afin d’être efficace au travail la journée et
libre de tout engagement le soir. Ne pas gaspiller son temps à surfer sur les réseaux sociaux la
journée permet de clôturer ses tâches et être libre en soirée par exemple.

Enfin, il revient à chacun de nous de garder une partie de sa vie privée et professionnelle en
dehors de la sphère numérique. Cela évitera une complexité de gestion, et permettra de
protéger nos proches, amis, collègues et nous même de toute intrusion extérieure. A preuve,
l’hygiène numérique est adoptée par une grande majorité de Québécois.

Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les pratiques à adopter afin
d’éviter toute confusion. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de
mes salutations les plus distinguées

Réseaux sociaux
Avec les réseaux sociaux, on est devenu une marchandise

Sur internet, la plupart des outils que nous utilisons ne sont pas payants tels que les réseaux
sociaux, boite e-mail, streaming de vidéo...etc. Et pourtant, les entreprises qui les gèrent, sont
classées parmi les premières à avoir le plus gros chiffre d'affaires au monde et ce, parce qu'en
échange de leurs services, nous leur donnons accès à une marchandise précieuse à savoir, nos
données personnelles.

Tout d’abord, toutes les données partagées sur les réseaux sociaux tels que l'âge, nom,
problèmes de santé, préférence idéologiques, sont enregistrées par les fameux cookies qui
observent nos moindres faits et gestes. Ces données sont récoltées et servent à créer des
publicités ciblées qui seront adaptées à chaque profilé et c'est devenu une industrie
extrêmement lucrative. A preuve, le marché des citoyens européens en 2016 s'élevait à 60
milliards d'euros.

Ensuite, l’utilisation de ces données personnelles ne s'arrête pas à la publicité ciblée mais
également le secteur bancaire et des assurances qui exploitent d'ores et déjà ces informations
pour déterminer leurs tarifs, selon le profil de chacun. A titre d'exemple des critères
recherchés: les photos publiées par les demandeurs de devis, les destinations visitées par les
prospects et les mots fréquemment saisis lors d'une recherche sur internet.
Enfin, les données personnelles peuvent être piratées facilement par des malveillants car ces
derniers profitent de notre légèreté à semer nos infos lorsque nous surfons sur le Web. Certes,
le danger ne vient pas forcément d’une attaque personnelle, mais de l’ingéniosité des
personnes malveillantes à subtiliser nos données en attaquant les sites sur lesquels nous
renseignons l'adresse physique, le numéro de carte bancaire, de compte en banque ou la carte
d’identité.

En guise de conclusion, se préserver de la vente de ses données personnelles garantit la


préservation de son intégrité quelque soit son patrimoine et son niveau de revenu.

Divers sujets

Criminalité et cameras
Objet : Réaction à votre article “la caméra vidéosurveillance lutte contre la criminalité”

Monsieur le rédacteur en chef,

Suite à votre article paru le 12 Décembre dans lequel vous déclariez “la caméra de
vidéosurveillance lutte contre la criminalité” et après lecture des réalisations de nombreux de
vos lecteurs, je voudrais à mon tour apporter quelques réflexions.
Certes, de nos jours la caméra de surveillance est de pratique courante pour lutter contre la
délinquance urbaine et elle est considérée comme un moyen palpable et éprouvé pour
contrôler les petits délits commis dans les lieux publics. Toutefois, son efficacité reste
discutable et je m’appuie sur ce qui suit,

Tout d’abord, la vidéosurveillance n’a pas un impact déterminant sur la diminution du


volume de la délinquance dans les espaces complexes et étendus et cela, suite à la nature des
délits et la complexité de l’environnement surveillé. Les statistiques criminelles montrent
néanmoins que la majorité des vols sont commis par des pickpockets dont l’action (rapide et
discrète) peut aisément échapper à la vigilance d’un opérateur qui doit manipuler une
trentaine de caméras à la fois. Et quand bien même il serait repéré à l’écran, l’auteur d’un vol
pourrait facilement prendre la fuite dans les méandres de la station.

Ensuite, la présence des caméras n’exerce aucune influence sur le comportement de la


catégorie ciblée et la vidéosurveillance n’a pas un effet dissuasif sur les individus dont le
comportement est de nature impulsive. Toutes les enquêtes conduites dans les centres villes
indiquent d’ailleurs que les statistiques criminelles ont toujours évolué à la hausse après
l’installation de caméras dans les points noirs qui regroupent une atteinte à la paix publique.

Enfin, le réseau de caméra est faillible, pour ce qui est de traquer la délinquance d’une
manière constante dans les rues de la ville et de nombreux dysfonctionnements affectent
l’ensemble du système de vidéosurveillance, ce qui interroge la recevabilité de cette preuve
devant la justice. Le chef de la police judiciaire de Paris a précisé que les preuves recueillies à
partir d’enregistrements audiovisuels ou sonores, ne défient pas l'infaillibilité des preuves
scientifiques telles que les empreintes biologiques ou l’ADN.

En guise de conclusion, en regard des investissements considérables engagés pour financer


les équipements et vu le résultat modeste de la vidéosurveillance, cela me laisse perplexe
quant à l'efficacité de ce dispositif technique pour éradiquer la criminalité.

En vous remerciant de l’intérêt que vous porterez à ma lettre, veuillez agréer, Monsieur, mes
salutations distinguées.

Les grandes marques

Monsieur le rédacteur en chef

Votre long article intitulé « on ne se fie que lorsqu'on achète des courses de grandes marques
» paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis
mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici
quelques réflexions à ce sujet d’actualité qui alimente encore de nombreux débats.
Aujourd’hui, on parle beaucoup de l’équilibre entre les entreprises locales et les géants de la
grande distribution. Selon certains médias, les grandes marques demeurent des
incontournables des grandes surfaces. Je crois que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur
ce qui suit.

Tout d’abord, les grandes marques subissent actuellement des compagnes de boycottes de
plus en plus intenses. En effet, en quête de rentabilité plusieurs entreprises multinationales
délocalisent leurs usines afin de réduire au maximum le cout de la production. Certains
utilisent des méthodes peu orthodoxes pour atteindre leurs objectifs en employant des
enfants. Ceci engendre chez le consommateur un sentiment de culpabilité qui se traduit par
une abstinence d’achats.

Outre cela, nous préférons acheter des produits locaux afin de soutenir notre économie. Avec
les nouvelles mesures prisent par le gouvernement, nos agriculteurs trouvent leur compte et
les effets de libéralisme aveugle commencent à se réduire. Le meilleur exemple réside sur
l’essor que connait actuellement le marché de légumes Bio.

Enfin, nous remarquons la naissance d’une nouvelle culture chez les consommateurs. Celle-ci
les rend plus sélectifs. Ainsi, ils font attention à l’empreinte carbone quand ils font leurs
achats. A cet égard, une étude menée par le centre national des statistiques affirme que la
vente des produits qui consomment moins d’énergie a augmenté de 75%. De plus elles
appartiennent à des marques peu connues.

Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point de vue quant à la
fiabilité des grandes marques. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter mes sincères
salutations.

Compétition vs entraide :
Objet : Confrontation d’idée sur votre article du 25/11/2020 paru en page 7 traitant de l'esprit
de compétition au détriment de l’entraide

Mr le rédacteur en chef,

Avant tout, permettez-moi de vous remercier quant à la qualité de votre sélection d'articles au
quotidien. C’est toujours pour moi un réel plaisir que de prendre en main votre journal afin de
le décortiquer quelque soit le moment de la journée. L’article cité en objet est pour moi une
manière de pointer du doigt une société de plus en plus individualiste et ceci pour plusieurs
raisons. Pour n’en citer que trois d’entre elles :

D’abord, cela commence à l’école. Dès le jeune âge, le système éducatif qui nous est imposé
nous place dans une compétition constante et permanente. Il faut être le premier de la classe,
le plus studieux, avoir la meilleure note dans toutes les matières. Pourquoi n’impose-t-on pas
un travail collectif dès le premier cycle ? Pourquoi ne met-on pas un coefficient pour les
élèves qui aident leurs camarades ? Bien au contraire, tout le monde est évalué sur des
résultats individuels et lorsqu'une forme d'entraide se crée, on appelle cela de triche.

Ensuite, cela nous suit au niveau de la cellule familiale, les parents, d’une manière
inconsciente, mettent en compétition leurs enfants. Il faut être le plus sage, le plus studieux,
le plus intelligent, le fidèle de la fratrie pour s’attirer les bonnes grâces des parents. Carotte et
bâton font le quotidien d’un bon nombre d’enfants, cadeau pour les premiers et punitions
pour d’autres.

Enfin, vient l’étape où la compétition et l’individualisme sont au sommet de leur art : le


monde professionnel. Entre coups bas, rétention d’informations et hypocrisie, tous les coups
sont permis pour arriver le premier. La preuve est qu’aujourd’hui une tendance s’observe
dans le monde industriel. À l’échelle d’une entreprise, une compétition trop importante
générerait, une grande tension entre les collaborateurs et deviendrait même à terme contre-
productive.

Pour conclure, je dirais qu’un équilibre doit être trouvé. Une compétition d’individualité sans
limite risque de creuser les fossés sociaux, qui sont déjà bien présents dans un bon nombre de
sociétés. L’entraide est la clef de la pérennité de l'espèce humaine, nous devons tous en
prendre conscience avant qu’il ne soit trop tard.

En vous remerciant de l'intérêt que vous porterez a ma lettre, veuillez agréer, Monsieur, mes
salutations les plus distinguées.

Vivre heureux avec des personnes du même milieu et niveau


Les gens ont tendance à interagir presque exclusivement avec des personnes qui partagent des
caractéristiques communes au niveau de l'éducation, des revenus et de l'occupation et quand
ils interagissent avec des personnes de classes sociales différentes, même en tant qu'amis, ces
relations semblent rencontrer des difficultés telles que l'incompréhension et les tensions.

Tout d’abord, les personnes issues de différentes classes sociales passaient moins de temps
ensemble, parlaient moins souvent et avaient plus de conflits comparativement à celles
provenant d'une même classe sociale. Selon une étude menée par le collège libre de Bruxelles
70% des élèves affirment que la qualité des interactions avec leurs amis provenant de la
même classe sociale est plus soudée.

Ensuite, l'engagement émotionnel observé lors des interactions avec une classe sociale
différente est souvent non authentique à celui dégagé en présence de la même classe sociale.
Selon les sociologues, les expressions faciales des personnes qui écoutaient autrui d'une
classe différente, riaient moins et leur participation aux conversations étaient médiocre.

Enfin, pour que les interactions puissent réussir et être fructueuses, il faut que les intérêts
soient communs et semblables. A cet égard, lors d'une étude, les experts ont créé en ligne des
profils des différentes classes sociales et il s'est avéré que les participants étaient moins
intéressés à devenir amis avec la personne dont son profil indiquait une classe sociale
différente.
En guise de conclusion, le manque d'interaction inter-classes, rend plus difficile pour les
personnes de classes différentes de développer des relations qui ciblent le même centre
d'intérêts et les mêmes perspectives.

Aider son voisin


Trop souvent, les échanges entre voisins se limitent à un "bonjour" ou un "merci" à peine
audibles. Pourtant, le développement d'une solidarité de voisinage est très important et
chacun tire des bénéfices de la courtoisie, de l'entraide et de la solidarité.
Tout d’abord, les enfants seront nourris aux vertus de la solidarité et de l'entraide, vu que les
réflexes sociaux se développent très tôt dans la vie et ils ont parfois besoin d'un petit coup de
pouce pour les stimuler. Selon pédopsychiatres, les enfants qui ont expérimenté dès leur plus
jeune âge une vie de quartier riche en soutien social, ceci contribue à développer un esprit de
communauté qu’ils garderont toute leur vie.

Ensuite, la santé physique et mentale bénéficie grandement de cette démarche. En effet, le


soutien social est considéré comme un déterminant majeur de la santé et il joue un rôle
protecteur autant sur la santé physique que sur la santé mentale. Une étude américaine a
montré qu’un voisinage solidaire est une source de soutien et de bien-être et il contribuer à
diminuer le stress et aider à faire face aux difficultés de la vie.

Enfin, un voisinage solidaire renforce la sécurité par la vigilance accrue dont font preuve les
voisins les uns envers les autres. Cette vigilance s’étend aux personnes, aux biens privés et
aux équipements publics tels que les parcs. De plus, des voisins proches qui connaissent bien
l’environnement et les habitudes de ceux qui les entourent, contribuent à la diminution de
certains crimes, comme les cambriolages.

De tout temps, les humains ont eu besoin de la communauté pour se nourrir, élever les
enfants, être en sécurité. Faire partie d’un groupe ou d’un voisinage solidaire permet d’agir
sur la qualité de notre vie.

Boutiques ouvertes 24h :


Monsieur le rédacteur en chef,
Votre long article intitulé « une ville moderne ou les boutiques ne ferment pas » paru à la une
de votre journal le premier septembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un
grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques
réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats.
De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux des villes qui ne
dort pas. Cette nouvelle mode constitue un excellent investissement touristique . D’ailleurs
les villes telles Tokyo et New York font partie des villes les plus visités dans le monde.
Cependant, je pense que la question doit être traitée autrement en raison des circonstances
actuelles, et je vous résume mon opinion à travers ces trois arguments.

Tout d’abord, L’avènement du e-commerce concurrence fortement les magasins. Cette


nouvelle technologie propose l’achat à tout moment par un simple clic avec une livraison
inclus. L’office national des statistiques affirme que le taux de conversion du commerce
traditionnel au e-commerce ne cesse de croitre.
Outre cela, notre conjoncture actuelle ne nous permet pas d’accentuer la consommation des
énergies fossiles. Une ville qui ne dort pas est une ville qui consomme deux fois voire trois
fois plus d’électricité qu’une ville ordinaire . Or nous luttons actuellement à réduire le plus
possible l’empreinte carbone de nos métropoles. A preuve, Tokyo ne cesse de construire des
centrales électriques pour maintenir l’équilibre des commerces nocturnes au détriment de la
préservation des écosystèmes.

Enfin, faire travailler les employés la nuit contribue fortement à l’expansion du phénomène
de désocialisation. Plusieurs familles souffrent du mode de vie que nous empruntons, le
surmenage et l’hyperactivité ont fait en sorte qua les familles soient moins disponible pour
leurs enfants. Les pédopsychiatre affirment que plus de 50% des enfants qui présentent des
troubles psychiques, souffrent de l’absence permanente de leurs parents.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent perplexe quant à
l’ouverture permanente des magasins. Je suis convaincue qu’il serait plus judicieux d’investir
dans le domaine écologique afin de préserver notre planète. Toujours fidèle à votre journal,
veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Publicité et comportement achat :


De nos jours, nous parlons souvent des contenus publicitaires qui nous interpellent par leur
caractère créatif. Pour certains citoyens, ces spots occupent une grande place dans les
journaux, influençant ainsi, nos choix lorsque nous faisons nos achats. J’aimerais vous
expliquer mon opinion et je m’appuie sur ce qui suit.
Tout d’abord, la publicité est faite fondamentalement pour booster les ventes qui stagnent. En
effet, c’est un véritable levier pour les responsables marketing. Elle est employée non
seulement pour accroitre les recettes, mais aussi pour éviter le naufrage financier. A cet
égard, une étude menée par l’office national des statistiques stipule que la publicité est à
l’origine de 90% des achats impulsifs.
Ensuite, les publicités principales qui influencent le plus les consommateurs sont les produits
de nature comestible. Elles se montrent très persuasives quand il s’agit d’inciter à l’achat, vu
leur nature appétissante et attractive. Malheureusement, l’alcool est aussi très vu par les
adolescents. Incitant à boire de l’alcool, la publicité peut alors dévoiler des aspects négatifs et
détient un côté dangereux car elle peut se révéler néfaste pour la santé. La publicité peut en
effet inciter à consommer les « mauvais » produits.
Enfin, les publicités dites « implicites » détiennent une plus forte influence sur les
consommateurs qui n’ont pas conscience d’être affectés. Le cas des enfants, détenant une
grande influence sur les achats de leurs parents. La publicité en profite d’autant plus et voit
en eux une cible de choix par leur ignorance et leur vulnérabilité.
Autant d’éléments, qui expliquent la face cachée de la publicité et son pouvoir à influencer
nos achats. Je suis convaincue que la publicité détient ainsi l’art d’acheter les consommateurs

Les sites de rencontre/Trouver des amis sur internet


La conjoncture actuelle a fait en sorte que les rencontres se fassent essentiellement via
internet. La majorité des personnes ayant un emploi du temps chargé ont réussit à trouver leur
âme sœur grâce aux sites de rencontres. Cependant je pense que cette nouvelle technologie
occulte une autre face caché et je m’appuie sur ce qui suit.

Tout d’abord, les plateformes de rencontres risquent d’accentuer un problème de phobie


sociale. En effet, les personnes souffrant de ce problème choisissent la facilité, ils préfèrent
parler derrière un écran et ne font plus l’effort d’aller vers les gens. S’isolant ainsi davantage
dans leur zone de confort. La majorité des psychologues interdisent à leurs patients d’adhéré
aux sites de rencontres.
Outre cela, à cause de la gratuité du service, les relations humaines sont devenues jetables. En
effet, ces sites créent un sentiment de détachement par rapport à autrui. Nous sommes
devenus interchangeables et rapidement remplaçables, ce phénomène nous éloignent donc
comme jamais. Une étude menée par l’office national des statistiques affirme que le taux de
divorce chez les couples formés sur ces plateformes à dépassé les 50% .

Enfin, il s’agit d’un marché virtuel basé sur des critères qui n’existent pas forcément dans la
vie réelle. Effectivement, ces plateformes sont basées sur les apparences et non pas sur les
qualités propres à la personne. Par conséquent, cet outil n’est pas performant pour trouver son
âme sœur et ce à cause de sa superficialité. A Preuve, une étude menée par le HCP affirme
que 60% des personnes inscrites sur ces sites depuis plus d’un ans sont encore célibataires.

Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent perplexe quant à l’impact
de ces sites sur les relations humaines. Je suis convaincue que ces plateformes nuisent à la
qualité des rencontres et la pérennité des couples.

Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus
distinguées

Sport et argent
Monsieur le rédacteur en chef

Votre long article intitulé « aujourd’hui dans le domaine sportif c’est l’argent qui est le
maître » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et
avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais
apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux
débats.

Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux de la noblesse du
sport. Ce domaine véhicule plusieurs valeurs telles que la tolérance, l’honnêteté, l’honneur et
le courage. Cependant, je pense que le sport occulte une autre face cachée qui mérite d’être
soulignée, et je m’appuie sur ce qui suit.

Tout d’abord, des sommes exorbitantes sont déboursées pour le recrutement des sportifs. En
effet, les clubs de football n’hésitent pas à décaisser des montants colossaux, avoisinant
parfois les réserves de change de tout un pays. Comme en témoigne le transfert du joueur
brésilien Neymar pour le Paris-Saint-Germain.

Ensuite, la publicité sportive n’hésite pas à utiliser non seulement les sportifs comme des
produits marketing car ils dégagent une image générale de bien-être qui attirent les
consommateurs mais également, elle exploite ce domaine comme un moyen important de
promouvoir leur marque, comme « Mercedes » ou "Ferrari” en formule 1. Les écuries en
gagnant des courses cela leur permet de prouver la qualité de leur produit. Le meilleur
exemple est après la victoire de Hamilton lors du dernier grand prix, Mercedes a pu inciter
implicitement les spectateurs à acheter des voitures de sa marque.

Enfin, Le point le plus important est la corruption dans le domaine sportif qui prive le sport
de ses valeurs éthiques. Effectivement, les médias font souvent la une sur des affaires de
matchs truqués et de malversations dans des tournois. En 2015, les enquêtes de la fédération
internationale anti-corruption sportive ont fait la révélation de plusieurs grands scandales de
corruption touchant les plus hautes instances du sport international.

Autant d’éléments, qui expliquent l’ampleur des changements que ce domaine a subi. Je suis
convaincue que le domaine sportif doit être encadré au plus vite au risque de le voir dépourvu
de toute ses valeurs. Toujours fidèle à votre journal veuillez accepter l’expression de mes
salutations les plus distinguées.

Mensonges sont parfois acceptable selon le contexte


A travers toutes les civilisations connues, le mensonge est un acte immoral. Pourtant, l’espèce
humaine est bien loin d’avoir inventé le mensonge. La nature a conçu des leurres pour
permettre tant pour se défendre, que pour se reproduire ou survivre

Tout d’abord, le mensonge par omission est utilisé comme un moyen pour dissimuler une
vérité qui pourrait, déranger, blesser, procurer du désagrément à soi ou aux autres. A titre
d’exemple, un enfant adopté n’est souvent pas au courant de son adoption avant l’âge adulte.
Ses parents adoptifs le protègent en lui mentant sur l’identité de ses géniteurs.

Ensuite, le mensonge est souvent nécessaire à la survie dans les sociétés totalitaires. Pendant
l’occupation, on apprenait aux enfants juifs à mentir sur leur nom et leur origine. De même,
dans certains pays, il n’est pas seulement judicieux de dire la vérité sur ce que l’on pense
mais également, certaines familles fascistes dont les adultes sont dictatoriaux et interdisent
toute ouverture vers l’extérieur, alors ceux qui les subissent sont tentés de mentir pour
préserver leur identité, leur personnalité et leurs désirs.

Enfin, sur le plan psychique, la santé mentale bénéficie grandement du mensonge. Ce dernier
contribue à exprimer le besoin d’être valorisé ou pour attirer l’attention d’autrui. Selon les
pédopsychiatres 70% des enfants mentent pour incarner un personnage fictif, et développer
ainsi, un monde imaginaire, telle que la fabulation et cette capacité d’inventer des histoires
est essentielle à leur développement psychiAuta
Autant d’éléments, qui expliquent mon point de vue quant à l’utilisation des mensonges
anodins qui préservent la paix sociale contrairement les mensonges utilisés pour tromper
l’autre.
La vie est trop courte

Introduction:

La vie c'est court, mais c'est long des p'tits boutes》. La longueur d'une vie est relative et dépend de ce qui
gravite autour de celle-ci.

(1)
Quand un moment est puissant et mémorable, le cerveau ne porte pas attention à l'horloge naturelle du
corps. Il n'en a pas besoin puisqu'il s'attarde à l'essentiel. A 30 ans, on a déjà fait des trucs, pas forcément
ceux qu’on voulait avant, pas forcément pourris non plus, enfin, on a fait des choses. Et on se dit qu’on a
encore le temps d’en faire plein d’autres. La vie est belle.

(2)
C'est aussi en prenant du recul sur sa propre vie quelle paraît courte. Toutes les choses accomplies, les
moments vécus et les expériences s'accumulent et forment un tout condensé ou non.

(3)
Dans le cas d'une vie moins condensée, l'horloge biologique entre en jeu. L'esprit n'a pas de motivation ou
d'élément distrayant, alors il se concentre sur le temps qui passe.

Conclusion: la vie peut s’arrêter à tout moment, on ne la contrôle pas, on se contente de la vivre. Alors,
oui, la vie est trop courte. Toujours, quoi qu’elle dure.

Tourisme/Voyage/Avion

Tourisme : tous les pays se ressemblent


Monsieur le rédacteur en chef

Votre long article intitulé « Avec le tourisme tous les pays se ressemblent » paru à la une de
votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand
nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions
personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats.

De nos jours, les agences de voyages proposent des formules standard quelque soit le pays en
question, masquant ainsi les cultures et les traditions qui font la typicité de ces derniers. A
preuve, aujourd’hui voyager en Afrique ou en Europe demeure presque identique vu la
ressemblance des formules proposées. Cependant, je pense que les points de divergence entre
les pays sont plus forts qu’il en a l’aire, et je m’appuie sur ce qui suit.

Tout d’abord, il ne faut pas confondre entre tourisme commercial et tourisme culturel et
naturel. Même si on retrouve les mêmes chaînes d’hôtels et les mêmes enseignes de
commerces dans différents pays, la culture et les paysages diffèrent d’un pays à un autre et
c’est ce qui les rend uniques. D’ailleurs, je cherche toujours à découvrir les traditions et les
paysages des pays que je visite, car je trouve que c’est ce qui fait leur âme.

Outre cela, l’avènement d’une nouvelle culture de tourisme. Le tourisme pour cause , ce type
de tourisme est tributaire d’une cause précise. Une grande majorité de personnes voyagent
afin d’accomplir un devoir, souvent dicté par une cause écologique, économique ou
religieuse. A preuve, le Brésil est visité chaque année par des milliers de VERT, ce sont des
écologistes qui se déplacent pour lutter contre la déforestation de l'Amazonie.

Enfin, l’expérience humaine qu’on pourrait vivre en séjournant dans un pays est unique. Les
rencontres inopinées font que l’escapade a un charme spécial et surtout des souvenirs
immortels. Une étude récente affirme que plus de 50% des touristes qui visitent un pays dont
ils sont tombés amoureux, décident de s’y installer

Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les points qui font que
chaque pays soit complètement différent d’un autre. Toujours fidèle à votre journal, veuillez
accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Tourisme de masse vs les traditions


Monsieur le rédacteur en chef,
Votre long article intitulé « tourisme de masse et les traditions » paru à la une de votre
journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand
nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions
personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats.

Aujourd'hui tout le monde parle dans les réseaux sociaux du tourisme de masse qui nuit aux
cultures, par la folklorisation, sous prétexte de vouloir faire decouvrire aux touristes l'identité
culturelle et dénaturant ainsi, la réalité des populations locales au profit d'un divertissement.
Tout d'abord, les pratiques culturelles sont mises en scène et perdent leur authenticité car
elles deviennent homogénéisées par des pouvoirs politiques à des fins lucratives. Prenons
l’exemple de la petite ville de Lijiang, ses habitants ont connu un tourisme de masse suite au
succès du roman Lost Horizonde. De fait, l’Etat a exploité cette source économique au
détriment des habitants.
Ensuite, pour s'adapter ou repenser les villes en fonction des touristes, une standardisation se
met en place par l'uniformisation des commerces et ceci, pousse souvent les autochtones a
abandonné leurs quartiers historiques et ainsi, vider ses derniers de leur essence culturel qui
est la tradition locale et les remplacer par des villes cosmopolites et pluriculturelles. D’après
une étude de l’Office du tourisme de Québec, les Québécois vont même jusqu’à se demander
s’ils ne devraient pas « s’effacer » pour mieux accueillir les touristes américains.
Enfin, la présence de touristes et d’agents exogènes représente toujours un élément étranger
dans la vie quotidienne de la population. Cette présence peut influer sur leur culture, en
particulier sur les coutumes et les traditions. L’activité touristique modifie non seulement les
formes matérielles de la culture, mais aussi leur dimension immatérielle comme les articles
d’artisanat. Les masques Borucas qui sont fabriqués dans les communautés du sud du Costa
Rica ont été modifiés par la présence continue de touristes qui arrivent dans les communautés
dans le but d’aller à la rencontre descultureslocales.

Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent que le tourisme en tant
qu’un des pans de l’économie capitaliste mondialisée "fabricant" de la tradition.
Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus
distinguées.

Les voyages vs les diplômes


De nos jours, nous parlons souvent dans les médias de l’importance des diplômes dans
l’acquisition des compétences et du savoir-faire permettant ainsi, l’obtention d’une offre
d’emploi valorisante et intégrer le marché du travail. Cependant, je pense que pour améliorer
son savoir être, et assimiler d’autres qualifications fondamentales afin de réussir dans la vie,
les diplôme restent insuffisants.
Tout d’abord, les voyages sont très importants pour le développement personnel. En effet, ils
permettent de tisser des relations avec des gens issus de différents pays, pratiquer différentes
langues étrangères et assumer des discussions dans différents sujets renforçant ainsi la
confiance en soi. Personnellement, malgré mon cursus universitaire radieux, seuls les
voyages que j’ai effectué m’ont permis de forger ma personnalité.
Ensuite, les voyages permettent de s’enrichir en découvrant les autres cultures et traditions.
En visitant plusieurs pays on se frotte aux locaux et on immerge dans leur monde, cela
permet de développer davantage notre culture générale. Mon voyage en Malaisie m’a permis
de découvrir les différentes religions qui cohabitent dans ce magnifique pays tel que l’islam
et le bouddhisme.
Enfin, la découverte des différentes cultures et traditions nous apprend la tolérance et
l’ouverture d’esprit. Ces valeurs ne s’apprennent pas à l’école ou à l’université, elles sont
plutôt inculquées suite à la rencontre des autochtones. A cet égard une étude menée par des
sociologues à l’université de Paris affirme que la nouvelle génération est beaucoup plus
tolérante que la précédente.

Les voyages en solitaires


De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux des voyages en
groupe. Certains lecteurs pensent que les voyages organisés sont l’unique moyen de profiter
pleinement de notre séjour.
Tout d’abord, les voyages en solitaire nous procurent une liberté de mouvement et de temps.
Nous avons la possibilité de programmer nos vacances à notre rythme, sans avoir à suivre un
programme établi par une agence ou par les personnes qui nous accompagnent. Par exemple,
nous avons le privilège de se lever quand on veut, visiter ce que l’on veut, et rester plus
longtemps dans un endroit qu’on apprécie.
Ensuite, voyager seul peut être un moyen de se challenger, de surmonter ses peurs et ses
limites. Le défi est d'en ressortir plus débrouillard ou indépendant pour certains, plus ouverts
d'esprit pour d'autres. Il y a aussi d'autres paris personnels qui peuvent être relevés grâce à ce
séjour prévu en solitaire. Par exemple, se lancer dans l'apprentissage d'une nouvelle langue,
puisque l'objectif principal de ce voyage initiatique est de s'immerger profondément dans la
culture du pays.
Enfin, le fait d‘être sans compagnie permet d'être plus ouvert aux rencontres. Les locaux font
preuve d’une hospitalité exceptionnelle envers les touristes solitaires, en leur faisant
découvrir des coins ou des adresses authentiques afin qu'ils gardent le souvenir d'une
expérience unique. Outre les locaux, il y a aussi une certaine sympathie qui s’installe entre
cette poignée de voyageurs. Ces derniers se reconnaissent et se soutiennent. 80% des
passionnés de voyage affirment que la majorité de leurs relations amicales ont été scellées
avec des globe-trotteurs.
Autant d’éléments qui expliquent mon penchant pour les voyages en solitaire
Arrêter l’avion / L’avion est polluant
L’aviation représente un facteur essentiel pour le monde moderne et globalisé, vu qu’elle
soutienne des millions d'emplois et anime la croissance économique. Cependant, ce secteur
florissant reste nuisible à la qualité de notre environnement et ce, pour les raisons suivantes.
Tout d’abord, il faut que nous que nous favorisions une économie fondée sur des trajets
courts car le transport de marchandises est responsable d’une part significative des émissions
de carbone. Nous devons réduire la demande de biens venant de loin et développer notre
économie locale. La Corée du Nord dispose d’une qualité de l’air mondialement supérieure,
grâce à une faible importation-exportation de la marchandise par voie aérienne

Ensuite, nous devons privilégier d’autres modes de transport non nuisibles, à des modes plus
écologiques. Certains vols de trajet court peuvent être remplacés par les trains dans les
régions où des infrastructures ferroviaires adéquates existent. A cet égard, Le secteur
ferroviaire verdit doucement à travers le monde par le lancement des trains vert alimentés par
des énergies renouvelables.
Enfin, il est devenu primordial de changer les habitudes et les modes de vie. Nous devons
contester les normes sociales et les milieux de travail qui encouragent un transport aérien
excessif. Nous devons interroger le développement des habitudes de voyages lointains, des
week-ends en avion et du tourisme de masse qui nuit aux cultures et aux écosystèmes locaux.
Le gouvernement doit respecter ses promesses de lutte contre le changement climatique, par
la transition écologique qui se traduit par la réduction de l'activité aérienne et la mise en avant
des moyens de transports les moins polluants.
Tourisme et conséquences sociales
Monsieur le rédacteur en chef,
Votre long article intitulé « tourisme de masse et la vie locale » paru à la une de votre journal
le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos
lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à
ce sujet qui alimente encore de nombreux débats.

Aujourd'hui tout le monde parle dans les réseaux sociaux du tourisme de masse qui nuit à la
vie locale. Le tourisme, s'il a un impact positif sur l'économie, peut avoir des effets néfastes,
notamment lorsqu'il est démesuré et je m'appuie sur ce qui suit.
Tout d’abord, une menace pour le patrimoine culturel: Certains lieux ne sont pas adaptés pour
recevoir un trop grand nombre de voyageurs et manquent d’infrastructures. À Venise, près de
30 millions de personnes visitent la ville chaque année, quand celle-ci ne compte que 55 000
Vénitiens. Cela représente une proportion de 545 touristes par habitant. L’Unesco a demandé
à la ville de trouver des solutions concrètes pour la préservation de la lagune, faute de quoi
Venise serait inscrite sur la liste du Patrimoine mondial en péril.

Ensuite, la croissance des flux touristiques nuit à la qualité de vie locale. Les habitants sont
des victimes de ce succès qui attaquent les villes touristiques. Ces dernières voient leur
population se multiplier avec la venue des touristes. créant ainsi d’importants déséquilibres
au niveau local. A cet égard, la prolifération d’hôtels et d’hébergements touristiques engendre
une pénurie de logements pour les habitants et une hausse des prix de l’immobilier.

Enfin, le supertourisme accentue le phénomène de gentrification, le départ des classes


populaires des centres-villes au profit d’une classe sociale plus aisée. Face à l’augmentation
du coût de la vie, les habitants sont contraints de se loger ailleurs et les quartiers se vident
progressivement de leurs habitants. Selon une étude réalisée par le comité régional du
tourisme, en 2017, plusieurs manifestations d’hostilité à l’égard des touristes ont eu lieu en
Espagne, notamment à Barcelone.

En guise de conclusion, pour certaines destinations très prisées des voyageurs, les autorités
locales doivent adopter des mesures pour préserver leurs villes et leurs populations.

Gratuité
On devrait imposer la gratuité des transports
De nos jours, plusieurs métropoles ont déjà instauré la gratuité des transports en commun.
Certains individus pensent que cette initiative ne pourra qu’être bénéfique, car elle permettra
de réduire l’utilisation des véhicules personnels très polluants. Cependant je trouve que cette
vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit.

Tout d’abord, au niveau symbolique, la gratuité modifie l’image et le statut des lieux, elle les
désacralise. En effet, la gratuité introduit un doute sur la valeur de l’offre « ce qui est gratuit
n’as peut-être pas de valeur », engendrant ainsi un désengagement de la part des voyageurs.
A preuve, les transports gratuits de certaines villes ont des chaises démontées et des vitres
cassées.
Outre cela, la gratuité est associée à une affluence excessive de la population. Cela peut nuire
à la qualité des services : files d’attentes, bruit, manque d’espace, ainsi que le manque
d’informations et les contraintes de planification des voyages. D’ailleurs les habitants de
Chateauroux se plaignent souvent des retards excessives enregistrés par les transports publics.
Enfin, la gratuité perturbe les sources de financement. Les recettes perçus des transports
servent à les entretenir et à payer le personnel. Ainsi la gratuité induira la hausse des
dépenses de la commune et l’augmentation du budget pour faire face à ces charges. A cet
égard, une étude menée par l’office national des statistique affirme que le budget de la ville
de Lyon a connu une hausse de 30% après l’instauration de la gratuité des transports.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les inconvénients de la
gratuité des services. Je suis convaincue que d’autres secteurs plus vital devraient être gratuit
tels que la santé et l’éducation.

La gratuite des musées


Objet: Réaction à l'article du 17 avril 2019
Monsieur le rédacteur en chef,
Fidèle lectrice de votre journal, je vous écris aujourd'hui en réaction à votre article paru dans
l'édition du 17 avril 2017 dans lequel vous avez déclaré 'musée gratuit'. Je voudrais à mon
tour faire part de mes réflexions sur le sujet. En effet je m' oppose totalement à l'idée que
vous avez avance et ce, pour 3 raisons.
Tout d'abord, il faut savoir que les musées ont des charges constantes et régulières, comme
les salaires du personnel, la maintenance des systèmes de sécurité, la propreté des lieux, l'
acquisition de nouvelles pièces ou œuvres d'art. Tout ceci ne serait pas possible si les musées
étaient gratuits. Au contraire, les musées, en cas de gratuité, seront délaissés, deviendront des
endroits délabrés: c'est le cas du musée national du Chili qui a remis la clé sous la porte il y a
deux ans suite à la gratuité de ses services.
Ensuite, nombreuses sont les personnes qui évaluent la valeur des choses en fonction de l'
argent, si nous rendons les musées gratuits. nous risquons de tomber dans la banalité. Ces
lieux sont convoités par les touristes qui voient leur fréquentation se réduire comme la peau
de chagrin dû au désintéressement des visiteurs. Ce sont les chiffres de la fondation royale
des musées en France qui étayent cette diligence :97% des musées gratuits sont aujourd'hui
très peu fréquentes, à peine 2 visiteurs par jour, tandis qu' on remarque une ruée vers les
musées payants quand bien même le ticket d'entrée reste inaccessible pour certaines
catégories de la population locale.
Par ailleurs, la gratuité peut générer un mouvement de masse. Ce phénomène de foule n'est
pas sans risque sur la sécurité des musées, en effet les voleurs d' objets d'antiquité et d'œuvres
d'art trouvent une bonne aubaine dans la foule. L' histoire nous apprend sur l' agilité
légendaire des malfaiteurs qui se sont emparés d'un butin de 10 millions d'euros. Le musée
gratuit de Berlin y était le théâtre de ce malheureux incident, les voleurs ont exploité une
faille de sécurité pour dérober 200 objets a cette enceinte; et pour cause, ce jour la, le musée
avait reçu plus que 3000 personnes pour commémorer le centième anniversaire de la
première guerre mondiale
Pour résumer, la gratuité, certes peut présenter des bénéfices pour des populations démunies;
cependant, elle peut dissimuler des inconvénients qui peuvent anéantir notre patrimoine
historique et culturel

Livre gratuit
Les gens préfèrent généralement la gratuité, d’autant plus que dans le cas du numérique, il
suffit d’un clic pour profiter de cette gratuité. Pour certains, ils pensent que cette initiative est
bénéfique pour avancer un potentiel de diffusion nettement plus fort.

Tout d’abord, le gratuit n’est pas pour autant un générateur absolu de popularité. Il peut avoir
quelques effets sur la perception du livre par le lecteur lui-même. Un lecteur aura
nécessairement moins de respect pour un livre gratuit, et aura même tendance à ne pas le lire.
A preuve, les pirates qui téléchargent tant de films ou de livres qu’ils ne savent même plus
quoi regarder, et ont même tendance à oublier ce que contient leur disque dur tant ils ont
téléchargé.

Ensuite, le pouvoir du gratuit s’estompe rapidement s’il est trop utilisé. Sur un marché déjà
saturé de livres gratuits, nous risquons de générer le mécontentement des lecteurs en essayant
de leur vendre des livres par la suite. Imaginez que Coca-Cola offre gratuitement des canettes
sur un stand devant chez nous. Vous vous empressez d’aller en chercher une ou deux. Vous
serez heureux le premier jour, puis finirez par éconduire poliment le quinzième employé qui
tient à tout prix à vous refiler sa canette alors que vous en avez les bras pleins. Dans cette
situation, plus personne n’acceptera d’acheter du Coca-Cola.

Enfin, le côté gratuit peut avoir une symbolique sur la valeur de l’œuvre. Fixer le prix d’un
livre est souvent un moment délicat pour l’auteur, qui par cette étape peut avoir l’impression
d’évaluer son propre travail. En proposant un livre gratuit, l’auteur peut donc avoir
l’impression de dévaloriser son travail. Vendre un texte peut d’ailleurs motiver l’auteur à
donner le meilleur de lui, et à soigner parfaitement son livre (contenant et contenu). Selon la
comité de contrôle des écrivains, la qualité rédactionnelle a chuté des livres gratuits.

Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent que la gratuité des livres
n'est pas le bon procédé pour inciter les gens à lire et à se cultiver. Toujours fidèle à votre
journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

La télévision
La télévision source d'appauvrissement intellectuel
Monsieur le rédacteur en chef

Votre long article intitulé « la télévision source d’appauvrissement intellectuel » paru à la


une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un
grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques
réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats.

Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et réseaux sociaux de l’impact négatif de
la télévision sur les facultés cognitives de la personne. Captivé, le téléspectateur passe des
heures devant la télévision, mettant ainsi en péril son esprit critique. Il a été prouvé que les
gens qui passent des heures devant la TV avaient les mêmes idées que les chaînes suivies.
Cependant, je trouve que par les différents programmes proposés, la télévision pourrait être
un excellent moyen d’enrichissement intellectuel, et je m’appuie sur ce qui suit.

Tout d’abord, la TV est une fenêtre qui nous permet de s’ouvrir sur le monde. Elle nous
permet de voyager virtuellement à travers le monde afin de découvrir d'autres horizons et àne
pas rester dans notre bulle . L’émission « le tour du monde diffusée sur TF1 nous fait
découvrir les coutumes et les traditions des autres pays.

Outre cela, la télévision constitue un excellent moyen permettant d’acquérir des


connaissances dans différents domaines. Compte tenu de la diversité des programmes qu’elle
propose, la TV nous permet de développer notre culture générale. Personnellement , la chaine
TV Ushuaia m’a permis d’enrichir mes connaissances dans le domaine écologique.

Enfin, la TV est une sorte de catalyseur qui incite les gens à la lecture. En regardant un
documentaire, le téléspectateur aura l’appétit d’approfondir ses informations sur l’édit sujet.
A cet égard, un article scientifique récent a souligné le rôle prépondérant de la télévision dans
l’enrichissement culturel de l’individu.

Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point de vue quant au
rôle de la TV dans le développement culturel de la personne. Toujours fidèle à votre journal,
veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.
Il faut interdire aux jeunes moins de 10 ans de regarder la TV
Monsieur le rédacteur en chef,

Votre long article intitulé « il faut interdire aux jeunes de moins de 10 ans de regarder la TV
» paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis
mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici
quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats.

De nos jours, nous parlons souvent dans les médias sur l’influence positive de la télévision
sur les enfants. Certains parents l’utilisent comme un catalyseur afin d’inciter leurs enfants à
la lecture. Cependant, je pense que la TV a un impact néfaste sur le bon développement de
l’enfant, et je m’appuie sur ce qui suit .

Tout d’abord, la télévision appauvrit l’imagination et la créativité de l’enfant. A cet âge la


capacité d’assimilation est à son maximum, il serait donc plus judicieux de passer ce temps
perdu devant la TV à faire du sport, du dessin ou encore de la musique, qui contrairement à la
télévision contribuent à améliorer le potentiel de l’enfant. A preuve, une étude récente
affirme que les enfants qui pratiquent du sport ont de meilleurs résultats scolaires que ceux
qui ne le font pas.

Outre cela, le comportement des enfants est fortement influencé par la télévision. Les enfants
sont exposés à un amas d’informations non adaptés à leur âge, les images violentes et
messages virulents risquent de rendre l’enfant agressif dans ses gestes et paroles. D’ailleurs,
l’entité régulatrice de l’audiovisuelle a installé des restrictions de visualisation depuis
quelques années, le fameux (-10 ans).

Enfin, la télévision constitue un réel danger sur la santé des enfants, elle les rend passifs. Ces
derniers ont tendance à passer des heures sans bouger et à grignoter devant la TV, risquant
ainsi de développer une obésité qui peut induire de sérieux problèmes cardiovasculaires. A
cet égard, une étude menée par l’université de médecine à Toulouse affirme que 70% des
cardiopathes ont souffert d’un problème d’obésité à leur jeune âge.

Autant d'éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent le danger que représente la
TV sur nos enfants. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes
salutations les plus distinguées.
Interdire la télévision pour les seniors

La télévision demeure pour les seniors "une présence" incontournable.

Tout d’abord, la télévision reste l’accès privilégié à l’information pour les seniors. Lorsqu'ils
allument leur télé, c'est bien souvent ils se branchent sur des chaînes d'informations et dans
des créneaux horaires moins compatibles avec le style de vie moderne. Rares sont les actifs
urbains à pouvoir être devant la télévision à ces horaires-là et l'interdiction de la télévision
pour les séniors va répercuter sur le pourcentage des téléspectateurs durant ces créneaux
horaires. l’entité statistique de l’audiovisuelle a affirmé que 70% des téléspectateurs durant la
diffusion du journal d'information sont des personnes âgés.

Ensuite,pour les seniors, la télévision, c'est avant tout un rendez-vous avec des visages
familiers. Ces animateurs ou présentateurs finissent par faire presque partie de la famille. Le
fait de couper ce lien qui est considéré comme un rituel peut créer une sorte d'isolement et
abondant chez cette catégorie de téléspectateurs. Une étude menée par les sociologues
spécialistes dans les médias qui ont confirmé sociologue spécialiste des médias à l’Université
de Bordeaux, que la télévision est comme un enfant pour les seniors, ils l'ont vue naître et
grandir.

La télévision est une carte de la proximité positive chez les personnes âgées car elle leur
permet de rester informer sur l'actualité régionale, nationale ou internationale. Le fait de
priver cette génération de la télévision veut dire qu'ils vont être écartés et qu'ils n'auront pas
accès à l'information animée.

Conclusion: qui expliquent mon recul à l'égard de l'interdiction de la télévision et je reste


convaincue que la télévision reste un lien de rattachement primordial pour les séniors avec ce
monde.

Tabac/fumer
Fumer tue
La liste est longue des maladies provoquées par le tabac et le tabagisme passif et qui ont un
impact nocif sur la santé de l’individu tels que le cancer, maladies respiratoires ou
cardiaques...etc. Selon ce constat, il est nécessaire d’agir et de limiter le champ d’action des
fumeurs (certains pays ont vu une régression du nombre de fumeur rien que leur interdisant
de fumer dans les lieux clos).
« Fumer nuit à votre entourage ». La fumée intempestive est un point à ne pas négliger.
Quand on croise un fumeur dans la rue, on subit les conséquences malgré nous. Interdire la
consommation du tabac dans les rues peut enrayer ce phénomène et (on aura plus à changer
de trottoir, pour éviter la traînée de la fumée).
« Le tabagisme détériore l’environnement », en effet, tout le cycle de la vie du tabac pollue
l’environnement. Interdire la pratique de consommation du tabac dans les rues pourrait
préserver notre planète (En Bhoutan, la production, la vente et la distribution de tabac sur son
territoire est interdite par la loi et sa croissance économique est basée sur le fondement de la
préservation de l'environnement)
Voilà pourquoi, Monsieur, je pense que l’interdiction de fumer doit être appliquée même
dans les rues. Je tiens dans ce même contexte à rappeler encore une fois que « Fumer tue ».
Veuillez agréer, Monsieur le rédacteur, en mes salutations les plus distinguées.

Journée tabac

Premièrement, dédier une journée entière pour parler du tabagisme permet de partager
l’information de manière massive. En effet, les personnes atteintes auront à disposition toutes
sortes d’études concernant les risques qu’ils peuvent encourir en fumant. Les études montrent
que les journées thématiques permettent d’accrocher un grand nombre de personnes,
dépassant ainsi 70% de l’effectif ciblé.

Deuxièmement, la diversification des canaux de contacts avec le grand public permet


d’atteindre un grand nombre de personnes en une seule journée. Cela permettra de rendre le
sujet public et de débattre entre collègues, amis ou famille. Par exemple, les réseaux sociaux
de nos jours peuvent rendre des inconnus comme personnage public du jour au lendemain dû
à la viralité des informations partagés sur ce type de canaux.

Enfin, cette journée représente le symbole de la lutte contre le tabac et un grand moyen de
pression contre l’industrie de la cigarette. Nombreuses sociétés opérant dans ce domaine se
sentent gênées des effets qu’aurait cette journée sur la consommation quotidienne de cette
substance et sur l’obligation qu’ils auront auprès du consommateur. Par exemple, il leur a été
imposé de prévenir contre les maladies causées par le tabac en le symbolisant sur le paquet de
cigarette par des photos de poumons d’une personne consommatrice.

Pour conclure, cette journée représente un moyen très important pour fructifier les efforts
fournis contre la consommation du tabac et d’aider les personnes addictes.

Sante/Médecin/Végétarien
Médecin vs robot
La médecine est un secteur où la robotique fut utilisée très tôt ; le premier robot médical fut
développé en 1983. Toutefois, les robots sont de plus en plus nombreux à pratiquer des
interventions chirurgicales. Or, ils sont loin d'être infaillibles et je m'appuie sur ce qui suit.

Tout d’abord, les robots ne peuvent pas encore improviser en situation d’urgence et la prise
de décision doit être humaine . Ainsi les progrès de l’intelligence artificielle ne sont pas
suffisants pour que l’on puisse imaginer un robot autonome. Selon le comité internationale de
l'intelligence artificielle, le secteur médical est le domaine le plus délicat pour l'introduction
des robots autonomes.

Ensuite, l’enjeu majeur est bien le coût de ces machines qui est souvent prohibitif. Elles
nécessitent un investissement souvent inaccessible. Le robot DaVinci coûte environ 2
millions d’euros auxquels il faut ajouter 220 000€ pour aménager une salle d’opération.
L’entretien de la machine coûte environ 430 000€. Selon le comité international de
l'intelligence artificielle, cette prestation pourrait éventuellement tirer le secteur médical en
déficit, vu que le coût des investissements est plus élevé que le rendement de la prestation
médicale.

Enfin, en cas de faute professionnelle commise par le robot. La responsabilité juridique reste
partagée dans la mesure où le robot est un outil maîtrisé par un clinicien, possédé par un
hôpital, et acheté de chez un fabricant. Une étude américaine révèle qu'ils ont provoqué au
moins 144 morts et près de 1400 blessures en 13 ans aux États-Unis que la jurisprudence est
toujours brumeuse en ce domaine.

Conclusion: la machine reste un outil. Ses algorithmes la rendent précise dans son
interprétation, mais l'avis humain reste fondamental. Pour profiter au mieux de l'intelligence
artificielle, il faut la faire collaborer avec notre esprit, afin que les deux se complètent au
mieux. Et soignent plus efficacement.

Végétarien
Le régime végétarien exclut la consommation des viandes, qui sont des aliments
naturellement riches en acide gras saturés (en particulier les viandes rouges et transformées),
que nous consommons aujourd’hui en excès par rapport à nos besoins. Selon les experts le
régime végétarien limite le risque de 32% d’être victimes d’hypertension ou de cholestérol.

On sait aujourd’hui que l’élevage industriel fait partie des secteurs les plus destructeurs de la
planète. C’est la production industrielle de viande en masse qui pose problème, car elle
nécessite beaucoup d’espace (déforestation), de nourriture (pesticides, engrais antibiotiques),
d’eau (épuisement des ressources) et de transports (CO2). Par exemple, pour produire 1kg de
viande bovine, il faut environ 15 500 litres d’eau, alors qu’1kg de soja ne demande que 1 800
litres d’eau.
Chez les végétariens, la viande est remplacée par des légumes, légumineuses et céréales : des
aliments pauvres en graisses et naturellement très riches en fibres. Or, notre consommation de
fibres est souvent insuffisante. Pourtant, les fibres jouent un rôle essentiel afin de réguler
notre glycémie et d’éliminer certains éléments toxiques que nous ingérons comme les
pesticides. Une alimentation végétarienne, riche en fibres et en antioxydants permet donc de
prévenir les risques de maladies cardio-vasculaires et de cancers.
Automédication
Auto médicamentation est dangereuse pour la santé. se soigner avec des plantes dont nous
ignorant la provenance ou la quantité à utiliser, peut accentuer notre état ou même devenir
mortel (Le millepertuis par exemple ne doit pas être consommé au cours d'un traitement
antidépresseur, d'un traitement pour le cœur)
Les fabricants de remèdes à base de plantes ne sont généralement pas réglementés de manière
aussi stricte que les autres sociétés pharmaceutiques, en cas de faute professionnelle comme
un surdosage d'un ingrédient, la RC ne peut être engagée dans cette situation (plusieurs
plaintes déposées sans suite)
La phytothérapie est considérée par la Sécurité sociale comme une médecine non-
conventionnelle. A ce titre, le remboursement n’est pas le même qu’une médecine classique

Les personnes âgées / les Seniors


Les téléphones portables pour les seniors

Contrairement aux idées reçues, les seniors sont connectés et attachés à leurs écrans et ils ont
cédé à la tendance des téléphones portables.
Tout d’abord, une simplicité d’utilisation grâce à une interface optimisée et des boutons
ouvrant sur les fonctions essentielles. Le confort de lecture est amélioré grâce à
l’agrandissement possible de la taille des éléments de navigation, un écran et des boutons
plus grands. Le photophone propose par exemple des touches sur lesquelles figure la photo
du contact
Ensuite, des fonctionnalités spécifiques améliorant leur sécurité et leur bien-être. Il existe de
nombreuses applications permettant de suivre leurs données santé, ou de simplifier leur
quotidien (aide-mémoire, agenda, touche SOS…). Selon une étude de Harris Interactive, 84%
des plus de 65 ans sont propriétaires d’un smartphone, ce dernier est devenu indispensable à
leur quotidien

Enfin, fonctionnalités répondant aux problématiques cognitives de l’âge et du handicap


s’ajoutent. On trouvera des modèles adaptés aux troubles de l’audition (amplification du
volume des sonneries, compatibilité avec les appareils auditifs…), ainsi qu’aux troubles de la
vue (grands écrans, grandes touches, réglages plus faciles d’accès, contrastes plus
marqués…). Les fabricants proposent désormais des terminaux avec interfaces simplifiées,
adaptées aux besoins des personnes âgées.

Conclusion
Le téléphone portable favorise le lien social et permet de rompre l’isolement. Il permet aux
seniors de contacter leurs proches à tout moment et en mobilité. Cet outil facilite ainsi les
échanges et il est sécurisant pour la personne âgée.
Seniors vs Jeunes
Monsieur le rédacteur en chef

Votre long article intitulé « les séniors et les jeunes n’ont plus rien à partager » paru à la une
de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un
grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques
réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats.

Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur les relations
intergénérationnelles. Les jeunes peuvent toujours profiter de l’expérience des aînés afin de
mieux avancer et éviter les échecs sur tous les plans de la vie. Cependant, je pense que les
séniors sont de plus en plus susceptibles d’être marginalisés, et je m’appuie sur ce qui suit.

Tout d’abord, l’état de santé des aînés les empêche de partager des activités ludiques avec les
enfants. On déplore chaque jour l’état de nos EHPAD, la dureté de vie de l’ancienne
génération a laissé des séquelles. A preuve, plus d’un tiers des personnes nées dans les années
quarante et cinquante seraient actuellement atteintes d’une maladie chronique.

Outre cela, les nouvelles technologies demeurent un mystère pour de nombreux séniors.
Engendrant ainsi une barrière pour la communication intergénérationnelle. A cet égard, une
étude menée par l’office national des statistiques affirme que seulement 20% des personnes
âgées entre 70 et 90 ans utilisent un téléphone intelligent.

Enfin, le mode de vie des deux générations est complètement divergent. Les jeunes aiment
voyager en dehors des sentiers battus. Ils préfèrent des destinations exotiques qui contrastent
avec leur vie quotidienne. Or les aînés les voient comme des téméraires vu le nombre
important de faits divers qui découlent de ce genre de voyage. Il est donc impossible pour un
adolescent de planifier des vacances avec ses grands-parents.

Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’ampleur de la rupture


intergénérationnelle. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes
salutations les plus distinguées.

Seniors vs les poste

Tout d'abord, les jeunes sont des personnes pleines d'énergies et qui osent. Contrairement aux
vieux qui ne sont plus très actifs car fatigués par le poids de l'âge, les jeunes sont hyperactifs.
Ils osent prendre des risques et aiment se surpasser, raisons pour lesquelles l'on devrait de
plus en plus leur faire confiance et leur confiés plus de postes de responsabilité. Une étude à
démontré que 40% des entreprises américaines préfèrent confier des postes de responsabilité
aux jeunes de la tranche d'âge de 25 ans 45 ans.

De plus, de nos jours la main d'œuvre dans les entreprises est à majorité constituée des
jeunes. Seul un jeune responsable pourra comprendre les besoins et les attentes des jeunes
comme lui et booster ces derniers pour un meilleur rendement. La même étude américaine a
montré que les entreprises ont vu leur productivité augmenter de 30 % après avoir confié les
postes de responsabilités aux jeunes.

Enfin, en confiant un poste de responsabilité à un vieux, la fracture intergénérationnelle


pourrait être la cause des conflits au sein de l'entreprise. Et qui dit conflit, dit aussi baisse de
la productivité et de la motivation. Je prendrais mon exemple, étant une jeune responsable
dans un service j'ai pu fédéré les plus jeunes et les moins jeunes afin que nous puissions avoir
de meilleurs résultats.

Pour conclure, il est clair que les vieux sont importants dans nos entreprises car ils ont de
l'expérience et du vécu. Par contre, ils ont déjà fait leurs preuves et doivent céder leur place
aux jeunes braves.

Veuillez recevoir, Monsieur le Chef de rédaction, mon profond respect.

Les ONG

Les ONG sont les mieux placées pour combattre la pauvreté

Les ONG innovent sans cesse dans leurs méthodes pour promouvoir un accès équitable à
l'éducation, améliorer les conditions sanitaires dans les régions démunies, apporter une aide
humanitaire en temps voulu lors des catastrophes et encourager le développement des
communautés rurales pauvres mais ce système très captivant possède aussi certains revers.
Tout d’abord, une ONG est une organisation non gouvernementale donc, une organisation de
droit privé qui est financée par des dons et des contributions. Toutefois, cette aide
humanitaire favoriserait l’accroissement de la pauvreté dans les pays en voie de
développement et affaiblit leur croissance. En recevant une aide, les pays en voie de
développement n’envisagent pas de développer leur économie. Selon une étude, l’aide
humanitaire destinée aux pays pauvres a considérablement augmenté ces trente dernières
années. En même temps, l’économie des pays concernés n’a cessé de se dégrader.
Ensuite une ONG défend de grands principes qui peuvent parfois les mettre dans des
situations délicates au vue de la géopolitique d’un moment donné à un endroit précis là où
l’ONG se doit d’intervenir. Comme l’ONG ne dispose pas de réel pouvoir politique ou
militaire, elle peut être soumise au bon vouloir d’une dictature ou d’une organisation
fanatique qui n’attache pas de réelle importance au rôle et à l’action de l’ONG.A cet égard,
les pays en guerre comme la Syrie n’arrivent toujours pas à bénéficier des aides fournies par
les ONG vu la difficulté de circuler sur leur territoire.

Enfin, l’aide humanitaire alimente la corruption de certains pays. Une importante part des
aides destinées aux pays pauvres a permis de développer les réseaux de corruption. En effet,
certains dirigeants associatifs ou politiques prennent une part de celles-ci, ce qui ne permet
pas de subvenir aux besoins de toute la population visée. Selon les statistiques faites en 2014,
certaines aides n’arrivent pas à la population concernée.

Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, me laissent perplexe quant à l’éradication


de la pauvreté par les ONG, je suis convaincue qu’ils ne sont qu’un facteur minimisant
l’intensité de ce fléau, pour arriver à son éradication il faudrait plutôt que les pays concernés
revoient leurs politique et stratégie de développement.

Veuillez accepter , monsieur , mes salutations les plus distinguées.

La femme
La place de la femme n’a pas évolué

Certes, avant la révolution féministe du 20ème siècle, la femme était toujours dépendante de
l'homme et son rôle dans la société lui a été attribué depuis la préhistoire et qui se cernait
dans le cercle femme-épouse-mère, mais depuis le 19ème siècle, la femme a marqué
d'indéniables progrès quant à sa place dans la société. Les acquis en termes d'émancipation
ont été nombreux. En effet, de grands combats ont été menés et témoignent la victoire des
femmes et qui se traduit par leur présence marquante soit dans le secteur professionnelle,
culturelle ou politique.

L’accès à l’enseignement :
Jusque dans les années 1960, la scolarisation des filles était inégalée par rapport à celle des
garçons. Les filles ne recevaient pas de formation de la même qualité. Les femmes étaient
marginalisées dans la vie professionnelle, ou exerçaient des activités dites « féminines »
comme le secrétariat ou l’infirmerie. A partir des années 1970 on assiste à une progression
des diplômes de l’enseignement supérieur pour les femmes. La population active se féminise
avec une tendance aux emplois salariés en général ou à l'enseignement plus précisément. En
1901, en Angleterre, les femmes représentaient déjà 74,5% du corps enseignant.
La place des femmes dans le monde du travail est un enjeu primordial puisque c’est par le
travail que les femmes gagnent leur autonomie financière et l’un des piliers de l’égalité.
Grâce aux luttes pour la législation du monde du travail, de réelles avancées ont été
enregistrées dans les années 1970 et 1980, et des lois ont été votées pour encadrer le droit du
travail en matière de discriminations. Ces lois condamnent la discrimination à l’embauche.
L’égalité entre les hommes et les femmes est ainsi obligatoire et depuis la mise en place de
cette législation, la femme a prit sa part légitime du gâteau dans le monde du travail. En 2014,
Statistiques Canada estimait que plus de 47% de la main-d'œuvre était composée de femmes.

Il y a 75 ans, les femmes votaient pour la première fois en France, à l’occasion des élections
municipales post seconde guerre mondiale, le droit de vote des femmes n’ayant été institué
que le 21 avril 1944. Douze ans auparavant, sous la présidence du Front Populaire, trois
femmes avaient accédé pour la première fois à des fonctions ministérielles : Suzanne Lacore,
Cécile Brunschvicg et Irène Joliot-Curie. Elles avaient ouvert une porte à la mise en place
d'une mixité en politique. Depuis, les femmes ont pris une place de plus en plus importante
sur la scène politique. Les lois sur la parité ont permis une meilleure représentation des
femmes dans ce domaine. À l'image d'Edith Cresson, Cécile Duflot ou encore Valérie
Pécresse, elles ont exercé et exercent encore des fonctions ministérielles ou partisanes
importantes.

Autant d’éléments, Monsieur, le rédacteur en chef qui expliquent l’évolution impressionnante


de la femme au fil du temps. Toujours fidèle à votre journal, je vous prie d’accepter,
Monsieur, mes salutations les plus distinguées

Tâches ménagères

Contre toute attente, les tâches domestiques peuvent avoir un impact positif dans la vie de
tous les jours, et surtout au sein du couple, en respectant la règle d'or qui est "la parité"
• "Faire la vaisselle est le secret pour combattre l'anxiété et le stress ". Se concentrer sur
l'odeur du savon, la douceur de la mousse et le glissement de l'eau est un moyen de
"se décharger de toutes les ondes négatives" (La vaisselle réduit les tensions au sein
d'un couple de 70%)
• La répartition des taches ménagère consolide le couple, lorsque les hommes
participent au ménage, à l'éducation des enfants et aux courses, ceci influence d'une
manière positive la vie conjugale du couple et devienne plus solide (un mari qui laisse
à son épouse "le soin de tenir tout le foyer" fait grimper de 90% le risque de divorce)
• Plus une personne passe de temps "le nez dans les corvées", moins elle est présente
avec ses enfants. Répartir les taches de façon équitable lui permet de passer plus de
temps avec eux et avoir un surplus d'énergie pour leur éducation (les enfants des
couples qui répartissent les tâches ménagères, ont de très bons résultats scolaire)

Les jeunes
Les jeunes de 20-30 ans habitent chez leurs parents pour des raisons de facilité et de
confort

En Occident, de plus en plus de jeunes adultes tardent à quitter le nid familial. Cette tendance
ne semble pas près de disparaître. De nos jours, il est commun de voir les jeunes dans la
vingtaine vivre toujours chez leurs parents. Dans les médias, on les surnomme souvent les
Tanguy, en référence au film français sorti en 2001, où des parents font tout pour se
débarrasser de leur fils de 28 ans. La réalité des jeunes d’aujourd’hui est beaucoup plus
complexe et je m'appui sur ce qui suit.

Tout d’abord, les jeunes cohabitent avec leurs parents plus longtemps, parce que c’est dans la
culture. Les enfants sont sous l’emprise des parents à un âge plus avancé et ils quittent le
domicile familial quand ils vont vivre en couple, se marier, etc. Donc, il y a une tutelle des
parents qui s’exerce. Selon Jacques Hamel, sociologue de la jeunesse à l’Université de
Montréal cite le modèle méditerranéen. Dans les pays comme l’Italie ou l’Espagne où 60%
des jeunes vivent toutous chez leurs parents.

Cette tendance des jeunes à rester plus longtemps chez leurs parents prend de l’ampleur
depuis une quarantaine d’années et on la surnomme "la jeunesse d'aujourd'hui est plus
longue". Selon les experts, avant, on devenait adulte à 19 ans. Après la Deuxième Guerre
mondiale, les jeunes passaient par cinq étapes bien définies : ils finissaient leurs études
secondaires, ils se trouvaient un emploi, ils partaient de chez leurs parents, ils se mariaient et
ils faisaient des enfants. D'après les statistiques, les choses ont changé depuis les années 60.
Les jeunes étudient plus longtemps, ils s’endettent plus, ils intègrent le marché du travail plus
tard, les emplois stables sont plus rares et ils se mettent en ménage tardivement.

Enfin, les jeunes d’aujourd’hui sont forcés d’étudier plus longtemps. Avant, les enfants
reprenaient le garage ou la ferme de leur père, et les gens pouvaient trouver un travail avec un
diplôme secondaire. Aujourd’hui, c’est beaucoup plus difficile. Il faut faire le baccalauréat, et
bien souvent la maîtrise. Les spécialistes estiment que les jeunes sont pris en otage dans la
grande transformation sociale que représente le virage numérique et ceci a généré un grand
bouleversent au niveau du monde des emplois.

Autant d’éléments. Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les motivations des jeunes à
rester chez leurs parents. Je suis convaincue que les jeunes sont victimes d'une société
industrielle avancée.
Les 20 ans sont les meilleurs années
Monsieur le rédacteur en chef
Votre long article intitulé « les vingt ans sont les meilleures années » paru à la une de votre
journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand
nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions
personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats.
Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur le jeunisme et
le refus de vieillir. Vouloir rester jeune, heureux et en bonne santé est une aspiration tout à
fait légitime. Selon un sondage récent ,plus de 40% des personnes affirment qu’ils n’ont
jamais été aussi heureux que durant leurs vingt ans. Cependant, je pense que cette phase de
vie pourrait être la plus compliquée qu’il en a l’air , et je m’appuie sur ce qui suit.

Tout d’abord, les meilleures années dépendent du vécu de la personnes. En effet on doit faire
face à plusieurs expériences dans notre vie, et chaque personne grandi et vieilli à son rythme.
Un individu qui a vécu une guerre à vingtt ans, ne considère pas cette période comme étant la
meilleure.
Outre cela, durant cette période la majorité des jeunes sont dépendants financièrement. Ils
continuent à vivre chez leurs parents, limitant ainsi leur liberté pour la prise des décisions,
concernant le mode de vie, les achats et les loisirs. Les psychologues affirment que la
majorité des jeune âgés entre 20 ET 26 ans sont complètement frustrés de ne pas pouvoir
subvenir à leurs besoins.
Enfin, à vingt ans les jeunes sont soucieux de leur avenir. C’est l’âge des choix, de
l’autonomie et des premiers pats dans le monde adulte, C’est également la période ou le
sentiment de solitude s’intensifie . A cet égard une étude récente affirme que plus de 60%
des jeunes âgés entre 20 et 28 ans souffrent d’anxiété.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point de vue. Je suis
convaincue que l’âge est loin d’être un indicateur de bonheur. Toujours fidèle à votre journal,
veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Les célibataires sont plus heureux que les mariés

De nos jours , nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur les vertus du
célibats. Certains individus pensent qu’être célibataire nous procure plus de liberté afin de
profiter de la vie au maximum. Cependant je trouve que cette idée est biaisée, et je m’appuie
sur ce qui suit.

Tout d’abord, le célibat induit la solitude et le risque d’isolement. En effet, il ya des moments
dans la vie ou nous avons besoin d’une oreille attentive notamment le soir , afin de partager
ses joies et ses peines après une journée épuisante. D’ailleurs, les psychanalystes affirme que
le fait de rire, de dialoguer et de se faire câliner le soir contribue à se décharger de toutes les
ondes négatives accumulées durant la journée.

Outre cela, le mariage assure une sérénité intérieure. En effet, partager un lien solide à long
terme avec un partenaire qu’on aura choisi modifie nos comportements et nos attitudes. A
preuve, des professeurs de l’université de Chicago affirme que chez les mariés le taux de
cortisol baissent considérablement ce qui les aide à gérer les facteurs de stress intérieur, ils
ont le sentiment qu’à deux ils sont plus fort.
Enfin, l’un des avantages et non des moindres dont se privent les célibataires est le bonheur
d’avoir des enfants. Devenir parents est source d’allégresse, veiller à leur bonne éducation,
leur apprendre des choses de la vie et les voir grandir sont autant de raison qui rendent la
personne heureuse, de plus ce bonheur tend à s’affirmer au fil des années. De par mon
expérience personnelle, je n’ai jamais éprouvé autant de bonheur que lorsque j’ai eu ma petite
princesse.

Autant d’éléments qui me laissent perplexe quant aux avantages du célibat, qui sont à mon
sens ponctuels et délimités par le temps. Je suis convaincue que le conjoint et les enfants sont
les meilleurs alliés d’une vie heureuse.

Les jeunes doivent voter avant la majorité

1) Les jeunes ont besoin de rites. Les rites comme l'entrée au collège, le bac et le permis
de conduire sont des moments forts dans le passage à la vie adulte. En accordant la
pré-majorité à 16 ans, on ne respecte pas ces étapes. A cet âge, tous les jeunes ne sont
pas prêt psychiquement à prendre place dans la vie publique, même s'ils ont des idées,
ou un certain éveil à la politique.

2) Lier les droits aux devoirs. A chaque étape de la vie, on a des droits et des devoirs. Là,
le gouvernement envisage d'accorder uniquement un droit. Pour prendre place dans la
vie politique, il faut aussi des devoirs. Par exemple, un jeune de 16 ans ne paie pas
d'impôts, c'est normal, ce sont ses parents qui le font. L'autonomie ne se décrète pas,
elle se gagne.

3) L’abaissement du droit de vote irait de pair avec une mesure juridique qui pourrait
desservir les jeunes. Abaisser l’âge du vote à 16 ans impliquerait qu’on abaisse l’âge
de la majorité civile et celui du majorité pénale, par souci de cohérence, avec les
conséquences que cette démarche ne manquerait pas d’avoir.

Conclusion
Enfin, de façon plus surprenante, les jeunes eux-mêmes s’opposent fermement à
l’ouverture de ce droit plus tôt. Trop responsabilisant, trop pressurisant… certains
préfèreraient laisser l’urne aux adultes pour profiter de leurs derniers temps
d’insouciance.

Génération selfie

• La propagation des selfies ces dernières années a fait naitre un phénomène


sociologique qui est le narcissisme chez les jeunes. Ces derniers souffrent "du
complexe de supériorité". Ils sont toujours en quête d'admiration. (Les jeunes âgés de
moins de 20 ans prennent plus de 20 photos par jour afin de nourrir leur
égocentrisme)
• Les jeunes d'aujourd'hui utilisent leurs smartphones "en guise de boîtiers
photographiques". Ils se créent des autoportraits bien soignés et bien codifiés afin de
paraître dans une image parfaite et ce, grâce aux diverses applications qui font perdre
à ces jeunes un temps précieux qui "serait plutôt judicieux de l'exploiter" pour réaliser
de véritables performances (résultats scolaires)
• Poster des selfies sur les réseaux sociaux augmente le risque de développer des
troubles alimentaires. Afin de garder les standards de l'image corporelle idéale et sans
faille sur les réseaux sociaux, certains jeunes se privent de nourriture et suivent des
régimes minceurs aigu pour répondre aux critères de l'image parfaite (troubles
alimentaires tels que l'anorexie ou la boulimie)

Les jeunes vs les familles


Votre long article intitulé « les jeunes n’accordent plus d’importance à la famille » paru à la
une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un
grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques
réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats.
Nous savons tous que le foyer familial a toujours été un endroit chaleureux ou tous les
membres de la famille, quelque soit leur âge, se retrouvent dans un climat de sécurité et de
respect. Cependant, je pense que le mode de vie actuel a eu un impact sur l’intérêt que porte
les jeunes à leurs familles, et je m’appuie sur ce qui suit.
Tout d’abord, les jeunes d’aujourd’hui cherchent la liberté et l’autonomie. Ils pensent dès leur
jeune âge à quitter le cocon familial dans le but de s’imposer et de créer leur propre monde.
D’ailleurs on dénombre de plus en plus de jeunes âgés entre 15 à 16 qui cherchent à
s’émanciper afin de pouvoir vivre seule.
Outre cela, l’influence de la technologie sur le comportement des jeunes. La digitalisation et
l’attachement à l’internet sont parmi les facteurs qui ont contribué à la rupture avec la famille,
les jeunes se voient rarement rassemblés avec leurs parents alors qu’ils passent des heures
devant leurs téléphones. A cet égard une étude menée par l’école nationale de psychologie de
Strasbourg, affirme que l’internet constitue un grand risque de rupture physico-émotionnelle
avec la famille, au point que les jeunes n’accordent plus d’importance à leurs relations
familiales.
Enfin, l’obsession par la carrière professionnelle a complètement isolé les jeunes. En passant
des heures interminables au travail ces derniers n’ont plus de temps à accorder à leur famille.
A preuve, une étude récente démontre que la majorité des personnes ayant une belle carrière
professionnelle vivent un échec sur le plan familial.
Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’ampleur de la barrière qui
est entrain de se construire entre les jeunes et leurs familles. Toujours fidèle à votre journal,
veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.
Planète

Changement comportement alimentaire


• La consommation excessive des viandes nuit à la qualité de l'air. En consommant plus
de légumes et de fruits et moins de viande, on diminue le nombre d'élevage et par
conséquent, l'émission du gaz (le taux de pollution atmosphérique en Floride est très
important à cause de la concentration élevé des élevages dans cette région)
• La consommation des produits hors saison fait partie des habitudes alimentaires les
plus destructrices de la planète. De l'énergie supplémentaire sera nécessaire pour
acheminer ces produits provenant des pays lointains à destination (un fruit importé
hors saison par avion consomme 10 à 20 fois plus de pétrole que le même fruit produit
localement)
• Il faut que nous changions nos habitudes alimentaires d'aujourd'hui afin de créer un
avenir alimentaire durable pour la population de demain et ce, par la lutte contre la
déforestation vue qu'actuellement l’agriculture exploite environ la moitié des terres
végétalisées (les experts, prévoient que d'ici 2050 la demande en nourriture va doubler
suite à la croissance démographique de la population)

Les zoos et les animaux


• Les zoos montrent leur exemplarité en prenant part à des projets de protection des
espèces. Nombre croissant d'espèces en voie de disparition victimes du braconnage (la
chasse) (les rhinos sont menacés par le braconnage pour ses cornes utilisés pour des
fins lucratives)
• Les parcs zoologiques ont un rôle pédagogique fondamental. Un lieu de rencontre
entre l'homme et la faune sauvage (Le zoo de Braben se fait un devoir de sensibiliser
les visiteurs à la compréhension, au respect et à la sauvegarde de la faune et de son
environnement)
• Possibilité de maintenir "la diversité génétique" des espèces menacées : les données
génétiques des animaux sont enregistrées dans des programmes informatiques,
permettant aux scientifiques de choisir le meilleur partenaire lors d'un accouplement
(Au Japon, une banque de sperme pour animaux a même été ouverte)

La pollution est déjà propagée, ce n'est pas la peine de lutter pour sauver la planète

Avant tout permettez moi de vous remercier quant à la qualité de votre sélection d’article au quotidien.
C’est toujours pour moi un réel plaisir que de prendre en main votre journal afin de le décortiquer quelque
soit le moment de la journée. L’article cité en objet est pour moi une manière de rétorquer sur le fait que
nous n'ayons pas encore perdu la bataille contre la pollution et ceci, pour plusieurs raisons:

Tout d'abord, malgré l'interdiction de fumer dans les lieux publics dans la plupart des pays du monde, les
fumeurs continuent à consommer abusivement du tabac. En effet, la fumée qui s'échappe de la cigarette
construit un air toxique, sans oublier les mégots qui sont les premiers responsables de la pollution des
océans, ainsi les dégâts générés en matière de déforestation, acidification des sols et l'émission de CO2.

En suite, l'élevage de bétail prend beaucoup d'ampleur ces dernières années, cette activité coûte cher à la
planète, elle est responsable de 14,5 des émissions du gaz à effet de serre d'origine anthropique, c'est à
dire liée aux activités humaines sur la planète: cette activité émet environ sept tonnes de CO2 chaque
année.

En dernier, l'essor des nouvelles technologies a donné naissance à des moyens de transports plus
modernes qui consomment une grande quantité de carburants. Ces derniers produisent un grand nombre
de substances chimiques qui sont emises dans l'atmosphère, ainsi les émissions du gaz à effet de serre.
Selon une dernière étude publiée la semaine dernière dans le quotidien "Le Monde", la voiture et l'avion
sont sur le même pied d'égalité dans les émissions de CO2 dans l'air.

En guise de conclusion, je pense qu'il est temps d'agir devant ce fléau, qui menace la planète en trouvant
des moyens convenants afin d'informer et sensibiliser les citoyens et les collectivités de l'impact de nos
comportements et les enjeux du réchauffement climatique.

Dans l'attente d'une réponse de votre part. Veuillez croire, monsieur, mes sentiments cordiaux et
respectueux.

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