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Patrick ROBIN

Comptabilité analytique
Les autres coûts partiels
Partie 2 : La méthode du coût spécifique
Patrick ROBIN

Mr Patrick Robin est professeur de


Gestion. Il intervient au sein de l’IAE
de Caen en Comptabilité Générale
pour la Capacité de Gestion, en
Gestion Financière pour la Licence
Sciences Comptable et Financière, en
Structure du capital et politique de dividendes
en Master 1 CCA, et en Marché Financier en Master 2 CCA.

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Les autres coûts partiels

> SOMMAIRE
1. Les coûts partiels : la méthode du coût spécifique >. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Page 4
<< 1.1. Présentation de la méthode . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Page 4
<< 1.2. Intérêts et limites de la méthode. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Page 6

2. L’imputation rationnelle des charges fixes >. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Page 6


<< 2.1. Présentation de la méthode . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Page 6
<< 2.2. Intérêts et limites de la méthode. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Page 9

LE DICO. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . PAGE 11

EN SAVOIR PLUS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . PAGE 11

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LES COÛTS PARTIELS :
LA MÉTHODE DU COÛT SPÉCIFIQUE

1. Les coûts partiels : la mé- La détermination du coût spécifique s’ap-


plique aussi bien à chacun des produits ou
thode du coût spécifique > services qu’à l’ensemble des activités de l’en-
La méthode des coûts spécifiques, encore treprise. Elle permet de déterminer la marge
appelée méthode des marges et apports, sur coût spécifique, différence entre le chiffre
prolonge la démarche des coûts variables d’affaires et le coût spécifique de l’objet de
en combinant les critères « variable – fixe » coût considéré. On obtient :
et «  direct – indirect ». La ventilation des Marge sur coût spécifique
charges fixes en directes et indirectes permet =
une analyse plus fine de l’objet de coût. Cette CA – Coût Spécifique
méthode se trouve donc à mi-chemin entre la
méthode du coût complet et celle de la mé- Avec, Coût spécifique = Charges variables di-
thode du coût variable. rectes et indirectes + Charges fixes directes.

<< 1.1. Présentation de la Ou encore :


méthode
Marge sur coût spécifique
Sur la base de la combinaison des critères =
« variable – fixe » et « direct – indirect » la Marge sur coût variable (MCV) – Charges
méthode donne naissance à un coût spéci- fixes directes
fique formé des charges variables directes
et indirectes et des charges fixes directes à La détermination de la marge sur coût spé-
l’objet de coût observé. cifique permet ainsi de décider en matière
d’abandon d’un objet de coût ou du lance-
ment d’un nouveau.
Charges directes Charges indirectes La décision du maintien ou lancement tenant
au fait de dégager une marge sur coût spéci-
fique positive, permettant de contribuer à la
Charges variables

Charges Charges couverture des charges fixes communes.


variables variables
Charges pour le calcul du coût spécifique
directes indirectes Le rapport de la marge sur coût spécifique au
Coût
spécifique
chiffre d’affaires donne le taux de marge sur
coût spécifique.
Charges Charges
Charges fixes

fixes Au même titre que la méthode du coût varia-


fixes
directes indirectes ble, les calculs peuvent être présentés dans
un tableau appelé compte d’exploitation en
coût spécifique.
Simplifié
Développé
Les charges fixes indirectes représentent les
charges fixes communes à toutes les activi-
tés de l’entreprise. Elles seront donc traitées
globalement selon le même principe abordé
dans la méthode des coûts variables.

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Les autres coûts partiels

A B C Total
Chiffre d’affaires xx xxx xx XXX
- Coût variable - ooo - ooo - oooo - OOO
= MCVariable //// //// // ////
- Charges fixes spécifiques - ## -# - ### - ###
= MCSpécifique \\\ \\ \ \\\
- Charges fixes communes - ¤¤¤
= Résultat de l’entreprise ****

A B C Total
Chiffre d’affaires xx xxx xx XXX
- Coût variable d’achat - ooo - ooo - oooo - OOO
- Coût fixe spécifique d’achat - §§ -§ - §§§ - §§§§
= Marge sur coût spécifique d’achat //// //// // ////
- Coût variable de production - ooo - ooo - oooo - OOO
- Coût fixe spécifique de production -§ -§ - §§ - §§
= Marge sur coût spécifique de production //// //// // ////
- Coût variable de distribution - ooo - ooo - oooo - OOO
- Coût fixe spécifique de distribution - §§ - §§§ - §§ - §§§
= Marge sur coût spécifique de revient //// //// // ////
- Charges fixes communes - ¤¤¤
= Résultat global de l’entreprise ****

Ces tableaux sont construits sur la base


d’une production vendue et non pas fabri- > Thème d’étude
quée (cohérence avec la notion de chiffre Sur la base de vos remarques sur la pertinence
de la répartition des charges fixes en méthode
d’affaires). Il est donc nécessaire de prendre de coût variable (Mag’ partie 1), Mr Coristant
en compte les variations de stocks. a réalisé une étude approfondie de celles-ci et
établi la répartition des charges fixes suivante :
- Portails : 3 500 000 € ;
- Portes : 700 000 € ;
- Charges fixes communes : 1 800 000 €.

Portails Portes Total


Chiffre d’affaires 20 000 000 4 000 000 24 000 000
- Coût variable de production - 10 000 000 - 2 800 000 - 12 800 000
= Marge sur coût variable de production 10 000 000 1 200 000 11 200 000
- Coût variable de distribution - 2 500 000 - 400 000 - 2 900 000
= Marge sur coût variable 7 500 000 800 000 8 300 000
Charges fixes spécifiques - 3 500 000 - 700 000
Marge sur coût spécifique 4 000 000 100 000 4 100 000
Charges fixes communes - 1 800 000
Résultat global de l'entreprise 2 300 000

Conclusion
Sur l’hypothèse d’une détermination objec-
tive et réaliste des charges fixes spécifiques
il ressort de ce tableau que les 2 activités dé-
gagent une marge sur coût spécifique positive.
Contrairement à ce que l’on aurait pu penser
lors de la répartition arbitraire des charges fixes
globales dans le MAG 4.1, les 2 activités sont à
conserver puisqu’elles contribuent à la couver-
ture des charges fixes communes.
Les activités de cette entreprise sont donc
saines et rentables.

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<< 1.2. Intérêts et limites de la 2. L’imputation rationnelle
méthode
des charges fixes >
Regroupant un ensemble de ressources
L’étude de la variabilité des charges abordée
consommées directement par un objet de
précédemment a montré que le niveau d’acti-
coût, la méthode des coûts spécifiques per-
vité avait une influence sur le coût de revient.
met de mieux apprécier l’efficacité de leur
Unitairement celui-ci diminue lorsque l’acti-
engagement (en termes de rentabilité). Ceci
vité augmente, et inversement, du fait d’une
peut donc permettre un arbitrage dans l’affec-
plus ou moins bonne absorption des charges
tation des ressources.
fixes. Or, le gestionnaire est confronté à la
Plus précis que le coût variable du fait de l’in-
fixation du prix de vente, basé sur l’applica-
tégration des charges fixes spécifiques, cette
tion d’un taux de marge sur son coût de re-
méthode est plus à même de décider de la
vient. La méthode va donc consister à neu-
suppression d’un objet de coût (disparition
traliser l’incidence du niveau d’activité sur les
des charges variables et charges fixes spé-
coûts unitaire de production.
cifiques).
Dans une entreprise où les responsabilités
sont décentralisées, les charges spécifiques << 2.1. Présentation de la
à la réalisation d’une activité peuvent être à la méthode
discrétion d’un responsable déterminé. Dans L’imputation rationnelle des charges de struc-
ces conditions, la méthode constitue un bon ture repose préalablement sur la distinction
indicateur de performance de ce centre de entre charges variables et charges fixes.
responsabilité. L’objet de la méthode étant de lisser l’impact
Toutefois, si cette méthode se révèle intéres- du niveau d’activité sur la détermination du
sante à certains niveaux, il n’en demeure pas coût de revient unitaire. En fait, la technique
moins qu’elle comporte quelques limites. vise à rendre variables les charges fixes en
En premier lieu, sur un plan purement comp- incorporant au coût la part de charges fixes
table, la méthode ne peut être retenue dans la correspondant au niveau d’activité observé.
mesure où elle minimise la valeur des stocks Le coût de revient unitaire sera ainsi constant.
par la non prise en compte des charges fixes Le principe de la méthode tient au fait que le
indirectes. niveau de charges fixes constaté pour une
Plus stratégique, le fait de traiter globalement structure de production donnée correspond à
les charges fixes indirectes peut avoir des in- un niveau d’activité dit normal.
cidences en termes de compétitivité. En effet, La première opération va donc consister en la
le principe de la méthode consiste à ce que détermination d’un niveau d’activité normal.
les marges sur coûts spécifiques couvrent
ces charges fixes indirectes sans se préoc- Le niveau d’activité normal correspond :
cuper de ce qu’elles renferment. Or celles-ci ●● à l’activité courante, habituelle de l’entre-
peuvent recouvrir des activités importantes prise, du service, de la fonction ;
en matière de facteurs clé du succès (gestion ●● au niveau d’investissements réalisés et
de la relation avec les tiers, recherche, sys- main d’œuvre utilisée pour obtenir la pro-
tème d’information, logistique…). duction souhaitée ;
Enfin, cette méthode ne permet pas de dé- ●● à une moyenne compte tenu de ce qui a
finir un prix de vente dans la mesure où le été réalisé dans un passé récent ;
coût spécifique n’intègre pas l’ensemble des
charges. ●● à ce qui a été budgétisé dans le cadre d’une
démarche prévisionnelle ;
●● à un pourcentage du niveau maximal de la
structure de production afin de laisser une
marge de sécurité.

L’évaluation du niveau d’activité réelle repose


sur le même critère retenu à la détermination
de l’activité normale.

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Les autres coûts partiels

En cas d’activité réelle différente de l’activité ●● soit l’activité réelle est inférieure à l’acti-
normale, la seconde étape consistera à défi- vité normale. Dans ces conditions le coef-
nir un coefficient d’imputation rationnelle ficient d’imputation sera inférieur à 1, et le
des charges fixes. Sa détermination repose montant des charges fixes imputé au coût
sur le rapport : sera inférieur à celui de l’activité normale.
Cette sous-imputation de charges fixes
Coefficient d’imputation rationnelle (IR) fera état d’une sous-activité, et donnera
= lieu à une différence d’imputation ration-
Activité réelle nelle négative qui se calculera par :
Activité normale
Différence d’IR
En conséquence, les charges totales impu- =
tées à l’objet de coût seront les suivantes : Charges fixes réelles – Charges fixes imputées

Coût total d’imputation rationnelle ou encore :


=
Charges variables + (Charges fixes X CIR) Différence d’IR
=
Coût fixe unitaire normal X Écart d’activité
Sur la base de l’allocation des charges fixes
adaptée au niveau d’activité, le coût de re- avec écart d’activité = Activité réelle – Activité
vient unitaire devient constant. normale.
En conséquence, si pour une structure de
production donnée, et compte tenu de l’im- Représentation graphique
putation rationnelle des charges fixes, le coût du coût d’imputation rationnelle
unitaire diffère entre deux périodes de calcul,
alors le problème revient au seul coût variable
Charges totales

Y=aX
unitaire qui s’est trouvé modifié. Boni de
suractivité
Par rapport à l’activité normale deux cas de
figure sont à envisager : Y=aX+b

●● soit l’activité réelle est supérieure à l’acti- Mali de


sous-activité
vité normale. Dans ces conditions le coeffi-
cient d’imputation sera supérieur à 1, et le
montant des charges fixes imputé au coût
sera supérieur à celui de l’activité normale. Activité normale Chiffre d'Affaires
Cette sur-imputation de charges fixes fera
état d’une sur-activité, et donnera lieu à Cette méthode est utilisable dans la mise en
une différence d’imputation rationnelle œuvre de la méthode des coûts complets. Il
positive qui se calculera par : faudra néanmoins adapter les tableaux de
calcul des coûts en opérant une distinction
Différence d’IR entre les charges fixes et les charges va-
= riables.
Charges fixes réelles – Charges fixes imputées

ou encore :

Différence d’IR
=
Coût fixe unitaire normal X Écart d’activité

avec écart d’activité = Activité réelle – Activité


normale ;

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Synthèse du calcul de coût par la méthode de
l’imputation rationnelle des charges fixes
> Thème d’étude
Charges à incorporer aux calculs des coûts
Mr Coristant a déterminé un niveau d’activité
normale pour l’activité portails de 5 000 uni-
Charges Fixes Charges Variables tés fabriqués et vendus l’an.
Pour l’exercice N+1 les prévisions les plus
pessimistes font état de 4 000 unités et les
plus optimistes de 6 000 unités.
Les charges fixes sont estimées à 4 000 000
Suractivité Sous-activité
Activité réelle ≠ €.
Activité normale Prix de vente unitaire : 4 000 €.
Charges variables unitaire : 2 500 €.

a) Quel serait le coût de revient pour


Charges Fixes OU Charges Fixes chacun de ces niveaux d’activité ?
4 000 5 000 6 000
Coût variable 10 000 000 12 500 000 15 000 000
Coût d'imputation rationnelle Charges fixes 4 000 000 4 000 000 4 000 000
Coût total global 14 000 000 16 500 000 19 000 000
Coût total unitaire 3 500 3 300 3 167
Coût variable unitaire 2 500 2 500 2 500
Chiffre d'affaires
Coût fixe unitaire 1 000 800 667

On constate ainsi que le coût de revient uni-


taire est différent selon le niveau d’activité
ce qui ne permet pas de fixer convenable-
Marge sur ment un prix de vente par application d’une
coût d’IR marge sur le coût de revient.

b) Application de l’imputation ration-


nelle des charges fixes

Les charges fixes directes et indirectes seront 4 000 5 000 6 000


coefficientées en fonction du niveau d’activité Coefficient d'IR : AR/AN 0.8 1 1.2
observé. Coût variable 10 000 000 12 500 000 15 000 000
Charges fixes (CF * coef d'IR) 3 200 000 4 000 000 4 800 000
ATTENTION, cette méthode ne fait pas dis- Coût total global 13 200 000 16 500 000 19 800 000
paraître ou apparaître de charges fixes. Elle Coût total unitaire 3 300 3 300 3 300
les adapte simplement au niveau d’activité. Coût variable unitaire 2 500 2 500 2 500
Coût fixe unitaire 800 800 800
Ceci donnera lieu à une différence d’incor-
Sous activité 800 000
poration dont il faudra tenir compte au mo-
Sur activité 800 000
ment de la concordance avec le résultat de la
comptabilité financière. Après avoir adapté le niveau des charges
fixes au niveau d’activité (donc variables) il
devient possible de définir un prix de vente
dans la mesure où le coût unitaire est iden-
tique pour les différents niveaux de produc-
tion.
Les différences d’incorporation seront réin-
tégrées au moment de la concordance des
résultats avec la comptabilité financière.

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Les autres coûts partiels

<< 2.2. Intérêts et limites de la


méthode
Sur la base d’un coût de revient unitaire
unique la méthode facilite la détermination du
prix de vente et améliore la comparabilité des
coûts d’une période sur l’autre.
Si le niveau d’activité réelle diffère du niveau
d’activité normale la méthode permet de chif-
frer la sur ou sous activité correspondante.
Enfin, la méthode permet de mettre en lu-
mière une évolution du coût de revient dûe
à une modification du coût variable unitaire
dont il faudra expliquer les raisons.
Quant à la limite majeure de la méthode, elle
tient au fait de la difficulté à déterminer un ni-
veau d’activité normale pertinent.

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NOTES

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LE DICO
>>> Activité normale >>> Écart d’imputation rationnelle
Représente le niveau d’investissement qui a Différence entre les charges fixes imputées
été réalisé, la structure de production. C’est et les charges fixes mormales. En cas de
le niveau d’utilisation du capital technique et sur-activité l’écart sera positif (coefficient
humain retenu comme référence. Peut être d’IR > 1) et négatif en cas de sous-activité
défini sur la base de normes techniques, pro- (coefficient d’IR < 1).
fessionnelles, d’observations statistiques…
>>> Marge sur coût spécifique
>>> Coefficient d’imputation ration- Résulte de la différence entre le chiffre d’af-
nelle faires et le coût spécifique de l’objet de coût
Représente le rapport entre l’activité réelle considéré. Cette marge permet de couvrir
et l’activité normale servant de référence. les charges fixes communes (indirectes).
Il sert à imputer les charges fixes en fonc-
tion du niveau d’activité dans le calcul des
coûts.

>>> Coût spécifique


Coût constitué de charges variables directes
et/ou indirectes et des seules charges fixes
directes.

EN SAVOIR PLUS
Bibliographie
Alazard, Separi
Béatrice et Françis Grandguillot DCG 11 Contrôle de Gestion - Cas pratiques
Comptabilité de Gestion Dunod Expert. Sup. - Dunod édition (2013)
Les Zooms, Gualino éditeur (2014/2015)
Livre simple et clair pour un bon apprentissage Bailly, Leclère
des concepts. Le meilleur du DCG 11 - Contrôle de gestion
Filière expertise - Foucher édition (2013)
L. Monaco Pour un approfondissement des concepts et
Contrôle de gestion - Les carrés DCG 11 pour aller plus loin
Les carrés DCG - Gualino éditeur (2014)
Livre simple et clair pour un bon apprentissage Collectif
des concepts. Comptabilité de Gestion
Pearson Education (2009)
Dobler, Mendoza, Cauvin… Pour un approfondissement des concepts
Coûts et décisions
Collection Business - Gualino éditeur (2011) B. Doriath
Comptabilité de gestion - Processus 7
Alazard, Separi Edition Dunod (2011)
DCG 11 Contrôle de Gestion - Cours et Livre simple et clair pour un bon apprentissage
applications des concepts. Niveau BTS comptabilité.
Dunod Expert. Sup. - Dunod édition (2013)
Pour un approfondissement des concepts et
pour aller plus loin.

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