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Rapport de Fin D Etude Etude Conception D Un Journal Lumineux
Rapport de Fin D Etude Etude Conception D Un Journal Lumineux
Filière :
Licence Professionnelle : Maintenance des Equipements Scientifiques
Réalisé par :
Oussama boudhane & Amine El Aamrani
Thème :
Membres de jury :
C’est la raison pour laquelle chaque étudiant est amené à effectuer un stage d’initiation
durant sa 1ère année, un stage en fin de la 2ème année et un projet de fin d'études du cycle
DUT. Et aussi un stage en fin d’année et un projet de fin d’études du cycle LP.
Concernant notre projet, on va réaliser un journal lumineux qui permet l’affichage d’un
texte. On peut envoyer le texte qu’on veut l’afficher grâce à la liaison USB entre le PC et
l’afficheur et on peut donner un effet (défilement à droite, à gauche, en haut et en bas) et pour
commander le tableau d’affichage lumineux nous avons utilisé l’arduino uno.
Dans ce rapport, nous allons étudier les différentes parties de ce journal lumineux et les
différentes étapes de réalisation de matrice ainsi que la carte de commande et le programme.
2. Diagramme de Pieuvre :
Le diagramme “pieuvre” (ou APTE) met en évidence les relations entre les différents
éléments du milieu environnant et le produit. Ces différentes relations sont appelées les
fonctions de produit qui conduisent à la satisfaction du besoin.
Cette méthode est déposée par la société APTE (APTE= Applications des techniques
d'entreprises Paris), comporte trois étape :
1ère étape : La recherche et la caractérisation du besoin par l'outil "bête à cornes" et
l'identification de la fonction globale.
2ème étape : La recherche de l'environnement du produit, l'identification et la
caractérisation des interacteurs du système (les entités en relation avec le système pendant son
cycle de vie). Le système est pris comme une entité évoluant dans son environnement. La
description de l’environnement (direct) commence par la liste des milieux extérieurs.
3ème étape : La recherche des fonctions et des contraintes : Une fonction représente une
relation entre le système et un ou plusieurs interacteur(s), il existe 2 types de fonctions :
Et pour réaliser un prototype de ces afficheurs qui va être sous le contrôle d’un utilisateur
à travers une interface de commande sur un ordinateur ainsi, mémoriser les données
d’affichage, cela nécessite des composants spéciaux. On va parler de quelqu’une dans ce
chapitre.
Dans cette partie on va juste définir les composants et leur fonctionnement général :
La LED est un composant dit passif, de la famille des semi-conducteurs (comme la diode
et le transistor). Il s'agit d'une diode un peu particulière, qui a la propriété d'émettre de la
lumière quand un courant la parcourt (de l'Anode vers la Cathode), et les couleurs que l’on
trouve généralement sont : rouge, vert, jaune et bleu.
Ils sont associées dans un même boîtier transparent, 2 puces émettant chacune une couleur
précise : rouge pour l'une, et vert pour l'autre. Les L.E.Ds bicolores peuvent posséder deux
pattes (montage des deux L.E.Ds en "parallèle retourné") ou trois pattes (montage des deux
L.E.Ds en "série inversé" avec point milieu).
L’allumage simultané Figure 8 : L.E.D bicolores des deux puces vert et rouge
(résultat jaune-orange) est plus facile avec la L.E.D à trois pattes, sous une simple tension
continue. Pour la L.E.D à deux pattes, il y a obligation d'inverser la polarité de la tension
appliquée, selon la puce que l'on veut utiliser. Une tension alternative est donc requise pour
allumer les deux puces en même temps (il est faux de dire en même temps, mais grâce à la
persistance rétinienne, cet effet "continu" peut être obtenu avec un signal alternatif de fréquence
suffisante, sans scintillement visible).
L.E.D à plus de deux couleurs :
Ils Sont associées dans un même boîtier transparent, 3 ou 4 puces émettant chacune une
couleur précise : rouge, vert et bleu. Du fait d'un éclairement généralement moindre de la puce
bleue, cette dernière se trouve souvent doublée : 2 puces bleues pour une rouge et une verte.
Les deux puces bleues étant électriquement raccordées entre elles, la L.E.D possède en tout
quatre pattes : une pour la puce rouge, une pour la puce verte, une pour la ou les puces bleues,
et la quatrième enfin pour le point commun.
Ce type de L.E.D, qui peut émettre dans l'ensemble des couleurs vue précédemment (les
L.E.Ds haute luminosité ne sont pas forcément blanches) constituera sans doute dans un très
proche avenir, une solution alternative intéressante à l'éclairage grand public, voir à l'éclairage
professionnel de forte puissance (ça commence à venir, il suffit de regarder un peu autour de
soi quand on va dans certains petits spectacles ou dans des salons).
Il est à noter que vu la puissance lumineuse développée par ces L.E.Ds (certaines atteignent
ou dépassent 50000 mcd), les mêmes précautions que celle qui s'appliquent pour les LASER
sont de rigueur (ne pas diriger directement ces L.E.Ds vers les yeux).
La tension de seuil dépend de la couleur et donc de la composition chimique du dopage.
Chute de
Couleur Matériau Longueur d'onde (en nanomètres) tension (en
volts)
Infrarouge Germanium (Ge) 1180 nm 1,6 V
Infra-rouge Silicium (Si) 1150 nm 1,6 V
Infra-rouge Gallium-Arsenic (GaAs) 770 à 1100 nm 1,6 V
Rouge foncé Aluminium-Antimoine (AlSb) 775 nm 1,6 à 2,0 V
Rouge clair Arséniure/phosphure de gallium (GaAsP) 610 (ou 625) à 660 nm (1) 1,6 à 2,0 V
Orange foncé Arséniure/phosphure de gallium (GaAsP) 602 à 610 (ou 625) nm 2,0 V
Orange clair Arséniure/phosphure de gallium (GaAsP) 590 à 602
Jaune Arséniure/phosphure de gallium (GaAsP) 570 à 590 nm 2,1 V
Jaune-vert Phosphure de gallium (GaP) 530 à 570 nm 2,1 à 2,5 V
SISO (Serial In - Serial Out) : à chaque cycle d'horloge, on ne peut écrire que dans une
bascule (lorsque deux bascules ne sont pas reliées entre elles, c'est celle dont l'entrée n'est pas
reliée à une autre bascule), et on ne peut lire qu'une autre (lorsque deux bascules ne sont pas
reliées entre elles, c'est celle dont la sortie n'est pas reliée à une autre bascule).
SIPO (Serial In - Parallel Out) : à chaque cycle d'horloge, on ne peut écrire que dans une
bascule (lorsque deux bascules ne sont pas reliées entre elles, c'est celle dont l'entrée n'est pas
reliée à une autre bascule), mais on peut lire les valeurs de toutes les bascules.
PISO (Parallel In - Serial Out) : à chaque cycle d'horloge, on peut forcer la valeur de toutes
les bascules, mais on ne peut en lire qu'une (lorsque deux bascules ne sont pas reliées entre
elles, c'est celle dont la sortie n'est pas reliée à une autre bascule).
PIPO (Parallel In - Parallel Out) : à chaque cycle d'horloge, on peut forcer la valeur de
toutes les bascules, et on peut toutes les lire.
Le 74HC595 est un registre à décalage Serial In - Serial Out et Parallèle Out 8 bits, avec un
registre de stockage et de 3-state output. Les deux registres de « décalage » et de « stockage »
ont deux horloges séparées. L'appareil dispos d'une entrée série (DS) et une sortie série (Q7S)
en cascade et une entrée asynchrone de remise à zéro MR. Un ‘0’ sur MR réinitialisé le registre
à décalage. Les données se déplacent sur la transition ‘0’ à ‘1’ de l'entrée SHCP. Les données
du changement registre est transféré au registre de stockage sur une transition ‘0’ à ‘1’ du STCP
contribution. Si les deux horloges sont reliées entre elles, le registre à décalage sera toujours
une horloge impulsion d'avance du registre de stockage. Les données dans le registre de
stockage apparaissent à la sortie chaque fois que l'entrée de validation de sortie OE est à ‘0’.
Un ‘1’ sur OE implique sur les sorties à prendre un état ‘0’. Le fonctionnement de l'entrée OE
ne modifie pas l'état des registres.
Comme tout composant électronique, il faut commencer par l’alimenter pour le faire
fonctionner. Le tableau que nous avons vu juste au-dessus nous indique que les broches
d’alimentation sont la broche 16 (VCC) et la broche 8 (masse), La tension qu’on peut appliquer
pour l’alimenter : entre 2V et 5.5V (et idéalement 5.0V).
Une fois que ce dernier est alimenté, il faut se renseigner sur le rôle des broches pour savoir
comment l’utiliser correctement. Pour cela il faut revenir sur le tableau précédent. On découvre
donc que les sorties sont les broches de 1 à 7 et la broche 15 (Qn), l’entrée série des données,
qui va commander les sorties du composant, se trouve sur la broche 14, une sortie particulière
est disponible sur la broche 9.
Sur la broche 10 on trouve le Master Reset, pour mettre à zéro toutes les sorties. Elle est
active à l’état BAS. Alors dans le cas où vous utiliseriez cette sortie, de la forcer à un état
logique HAUT, en la reliant par exemple au +5V ou bien à une broche de l’Arduino que vous
ne mettrez à l’état BAS que lorsque vous voudrez mettre toutes les sorties du 74HC595 à l’état
bas. La broche 13 est un broche de sélection qui permet d’inhiber les sorties. En clair, cela
signifie que lorsque cette broche n’a pas l’état logique requis, les sorties du 74HC595 ne seront
pas utilisables. Soit vous choisissez de l’utiliser en la connectant à une sortie de l’Arduino, soit
on la force à l’état logique BAS pour utiliser pleinement chaque sortie.
La n°11 et la n°12. Ce sont des « horloges ». Nous allons expliquer quelle fonction elles
remplissent. Lorsque nous envoyons un ordre au 74HC595 (sur le pin DS), nous envoyons cet
ordre sous forme d’états logiques qui se suivent. Par exemple l’ordre 01100011. Cet ordre est
composé de 8 états logiques, ou bits, et forme un octet. Cet ordre va précisément définir l’état
de sortie de chacune des sorties du 74HC595. Le problème c’est que ce composant ne peut pas
dissocier chaque bit qui arrive. Prenons le cas des trois zéros qui se suivent dans l’octet que
nous envoyons. On envoie le premier 0, la tension sur la ligne est alors de 0V. Le second 0 est
envoyé, la tension est toujours de 0V. Enfin le dernier zéro est envoyé, avec la même tension
de 0V puis vient un changement de tension à 5V avec l’envoi du 1 qui suit les trois 0. Au final,
C’est là qu’intervient le signal d’horloge. Ce signal est en fait là dans l’unique but de dire
si c’est un nouveau bit qui arrive, puisque le 74HC595 n’est pas capable de le voir tout seul.
En fait, c’est très simple, l’horloge est un signal carré fixé à une certaine fréquence. À chaque
front montant sur le pin n°11 (SHCP), le 74HC595 saura que sur son entrée, c’est un nouveau
bit qui arrive, lecteur de ces 8 bit suive par un front montant (impulsion) sur le pin n°12(STCP),
et alors le 74HC595 sortira la donnée série d’entre parallèlement sur les sorties (Qn). Ce
chronogramme vous aidera à mettre du concret dans vos idées :
Le 4017 a 5 étages compteur Johnson ayant 10 sorties décodées. Les entrées existent : un
CLOCK, un RESET, et un signal CLOCK INHIBIT, deux entrées d’alimentation Vcc et GND.
Schéma fonctionnel :
Le fonctionnement de 4017 est simple, sur ce circuit l'entrée CP0 permet de déclencher le
compteur sur un front montant alors que l'entrée CP1 permet le déclenchement du compteur sur
un front descendant, alors on ajoute notre horloge sur l’une de ces entrées et l’autre on le fixe
sur un état correspondent (pour CP0 ‘1’ et pour CP1 ‘0’). On prend par exemple notre horloge
sur CP0 et le CP1 mise à ‘0’, au niveau des sorties O0…O9 on va voire sur chaque front montant
l’activation d’une sortie de O0 puis O1 jusqu’à O9 puis O0 et la boucle ça tourne tant que
l’horloge fonction. Quand les premiers sorties sont activée une après l’autre la sortie O5-9 et
activé, sinon elle reste à l’état ‘0’. L'entrée MR permet la remise à 0 générale. Elle est active
au niveau H (haut). Un Chronogramme à la suite pour bien comprendre :
Le logiciel de programmation des modules Arduino est une application Java, libre et
multiplateformes, servant d'éditeur de code et de compilateur, et qui peut transférer le
FireWire et le programme au travers de la liaison série (RS-232, Bluetooth ou USB selon le
module). Il est également possible de se passer de l'interface Arduino, et de compiler et
télécharger les programmes via l'interface en ligne de commande.
Le langage de programmation utilisé est le C++, compilé avec avr-g++, et lié à la
bibliothèque de développement Arduino, permettant l'utilisation de la carte et de ses
entrées/sorties. La mise en place de ce langage standard rend aisé le développement de
programmes sur les plates-formes Arduino, à toute personne maîtrisant le C ou le C++.
Fonctionnement :
Les différentes versions des Arduino fonctionnent sous le même principe général :
Il y a des variations entre les différentes cartes (par exemple : UNO, la patte 13 est équipée d'une
résistance).
Lorsqu'un photon de la lumière arrive, son énergie crée une rupture entre un atome de
silicium et un électron, modifiant les charges électriques. Les atomes, chargés positivement,
vont alors dans la zone P et les électrons, chargés négativement, dans la zone N. Une différence
de potentiel électrique, c'est-à-dire une tension électrique, est ainsi créée. C'est ce qu'on appelle
l'effet photovoltaïque
La mise en série des cellules peut être dangereuse lorsque l’une d’entre elles se
retrouve à l’ombre. Elle va s’échauffer et risque de se détruire. En effet, une cellule "masquée"
voit l'intensité qui la traverse diminuer. De ce fait, elle bloque la circulation de l'intensité
"normale" produite par les autres modules. La tension aux bornes de cette cellule "masquée"
augmente, d’où apparition d’une surchauffe. C'est l'effet d'auto-polarisation inverse. Une telle
cellule est appelée "Hot spot".
Les diodes ou Les fusibles doit également installer en série sur chaque chaîne de
modules. Ces protections sont utiles pour éviter qu’en cas d’ombre sur une chaîne, elle
se comporte comme un récepteur et que le courant circule en sens inverse et l’endommage.
L’orientation idéale d’un module photovoltaïque obéit à une règle vers l’équateur:
En ce qui concerne l’inclinaison, c’est un peu plus compliqué. Si on prend notre cas qui
consomme une énergie quasi constante tout au long de l’année. L’hiver étant la période la
moins ensoleillée, c’est à cette période qu’il faut optimiser la production. Le panneau doit donc
pouvoir récupérer l’énergie d’un soleil dont la hauteur est faible. Il en résulte qu’en maroc pour
une utilisation annuelle, l’inclinaison idéale est environ égale à la latitude du lieu + 10° (pour
une orientation sud). Cela donne à Oran , une implantation dite « 45° Sud » : orientation sud
et inclinaison à 45° par rapport à l’horizontale.
Eprod = Ec / Kavec K est un coefficient dépende de panneau [0.55 , 0.75 ]est on choisi la
valeur moyen donc Kmoy= 0.65 Eprod = 240 / 0.65 =369,23 Ah
Eprod = Iglobal x Pc
5. Dimensionnement du stockage :
Les batteries solaires stockent l'énergie produite par les panneaux photovoltaïques afin
d’assurer l'alimentation électrique en toutes circonstances (jour ou nuit, ciel dégagé ou
couvert). Une batterie utilisée avec des panneaux solaires est une batterie à décharge lente
(appelée aussi batterie solaire). Ces batteries sont spécifiquement conçues pour les applications
solaires. Par l’emploi de batterie de stockage, on ne peut restituer qu’environ 73% de l’énergie
stockée ; Ej’ réelle sera donc égale à Ej/0.73 = 73.97 wh/j
Il peut y avoir des périodes de manque d’ensolleiment qui peuvent étre de 5 à 30 jours
le stockage moyen est généralement basé sur une réserve de 10 jours. Dans ce cas, la capacité
de la batterie de stockage (Cb) sera :
Ej’ * nombre de jours
Cb =73.97*10 =739.7 wh
Pour déterminer le nombre d’ampére heure de la batterie : diviser la capacité cb par la
tension de la batterie : cb en en Ah = cb =739.6/12 =61.633 Ah .
Nous avons réaliser la matrice selon le schéma en bas, on a utiliser des fil de cablage et
nous avons coller les LEDs sur le support.
Pour lier les LEDs nous avons besoin de respécter les liaisons, cathode-cathode, anod-
anod, et aussi, respécter les lignes, pour un bon fonctionement.
En effet, ce projet est une bonne expérience qui nous aidé d’être confrontés à un
planning très précis en regard de la charge de travail, et nous a permis de faire face à la pression
du moment et à des situations proches de celle que nous pourrions rencontrer dans le milieu
professionnel.
Concernant ce rapport nous avons présenter notre projet, on a comencer par une analyse
fonctionnelle, puis on a parler de composants importants utiliser avec une petite
dimentionement de panneau solaire, ainsi qu’on a présenter les schémas de projet.
http://pdf.datasheetcatalog.net/datasheet_pdf/sgsthomsonmicroelectronics/74HC595_and_M54HC
595F1R.pdf
http://www.doctronics.co.uk/pdf_files/hcf4017.pdf
http://ww2.ac-poitiers.fr/electrotechnique/IMG/pdf/energie_solaire_photovoltaique.pdf
https://fr.wikipedia.org/wiki/Arduino