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UNIVERSITE MOHAMMED EL- BACHIR AL- IBRAHIMI (BBA)

LA TELEPHONIE
Mini projet 2

Réalisé par : encadré par  :

BOUFALA SONIA NORA LAKHLEF

DJABALLAH GHOZLANE

BOUTAHAR HOUSSEM
Tables des matié res :

1.évaluation de la téléphonie analogique a communauté 3

2.critéres d'évaluation des supports de transmission en téléphonie 4

Mini prjet 2:la téléphonie


3.shémas de principe de la téléphonie numérique cellulaire 5

4.les nouvelles génération de la téléphonie numérique 6-7

5.référence 8

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1.évaluation de la téléphonie analogique a communauté :

En 1854, l’inventeur français Charles Bourseul fut le premier à imaginer un système de


transmission électrique de la parole. En 1877, l’américain Alexander Graham Bell construisit le
premier téléphone capable de transmettre la voix humaine, tout en respectant sa qualité et son
timbre. FIGURE 5 – Alexander Graham Bell En France, un grand plan de développement des
télécommunications a été mis en oeuvre durant les années 1970, conduisant à un équipement
rapide. Les recherches menées au Centre national d’étude des télécommunications (CNET)
permirent ainsi la mise en place du premier central entièrement électronique du monde. France
Télécom décida d’ouvrir son réseau numérique aux abonnés avec intégration de services (RNIS),
commercialisé sous le nom de Numéris. Ce réseau permet d’améliorer certains services comme la
télécopie ou l’interconnexion d’ordinateurs. L’histoire de la téléphonie subit depuis une

Mini prjet 2:la téléphonie


vingtaine d’années une fantastique accélération, dont les conséquences et les causes
dépassent le champ de la science et de la technique
Chaque client se voit attribuer un numéro personnel. Les équipements téléphoniques sont
conçus pour pouvoir mettre en relation tous les abonnés (télécommunication) : – Soit en
empruntant les lignes du réseau public RTC, ce sont des communications extérieures. – Soit
au sein d’une même entreprise, il s’agit ici de communications internes traitées par un
autocommutateur privé. L’accès au réseau public se fait alors en composant un préfixe
supplémentaire. A l’origine les « demoiselles du téléphone » connectaient manuellement la
ligne de l’appelant à celle de l’appelé. Puis les commutateurs ont évolué. Passant de
l’électrotechnique aux technologies électronique puis maintenant informatique, ils
permettent des gains de productivité importants par l’automatisation de tâches répétitives et
d’opérations standardisées. Les informations de gestion des appels téléphoniques, appelées
la « signalisation », transitent sur un réseau parallèle spécifique : le réseau « Sémaphore ».
Ces commutateurs constituent les différents points ou noeuds du Réseau Téléphonique
Commuté ou RTC (en anglais STN : Switched Telephone Network). Ils sont reliés par des
artères de transmission de différents types : câbles coaxiaux, à fibres optiques, faisceaux
hertziens, satellites. Le RTC assure la connexion momentanée, de deux installations
terminales afin de mettre en relation deux usagers. Ce réseau est actuellement le plus utilisé
par les particuliers pour se relier entre eux ou à Internet. Le RTC public est très étendu, il
atteint tous les pays de la planète et compte plusieurs centaines de millions d’abonnés. Il y a
plusieurs type de commutateurs, chacun ayant une fonction spécifique : – Le Commutateur à
Autonomie d’Acheminement (CAA) ou commutateur local qui permet de mettre en relation
les clients d’une même zone géographique. Ces commutateurs traitent également les
numéros d’urgence (15, 17, 18 et 112) en joignant le service local concerné. – Un appel
régional passe par le commutateur local qui envoie un signal au commutateur régional
appelé Centre de Transit, qui permet d’écouler les communications téléphoniques d’un CAA à
un autre CAA. – Si le numéro composé est destiné à l’international, c’est un des trois Centres
de Transit Internationaux qui traite l’appel (Paris, Bagnolet ou Reims).
Pour offrir des services toujours plus complexes à ses clients, France Telécom a amené de
l’intelligence dans son réseau en associant commutateurs et serveurs informatiques. Ces
serveurs informatiques commandent les commutateurs et prennent les décisions, c’est le
principe du réseau intelligent. Par exemple, ils transforment les numéros spéciaux en
numéros classiques, compréhensibles par les commutateurs. Ce principe est aussi utilisé par
le service libre appel (numéros verts), les numéros à taxation partagée (numéros Azur et
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indigo), le service audiotel et les 118xxx. Ces numéros spéciaux sont envoyés vers différentes lignes
en fonction de l’heure, le temps d’attente du client est ainsi réduit.

2.critéres d'évaluation des supports de transmission en téléphonie

Les ondes électromagnétiques se propagent dans l’atmosphère ou dans le vide (le terme d’éther
désigne parfois ce type de support). L’absence de support matériel apporte une certaine souplesse
et convient aux applications comme la téléphonie ou les télécommunications mobiles, sans
nécessiter la pose coûteuse de câbles. 7480Book.indb 3 27/09/10 13:30 © 2010 Pearson France -
Architecture des réseaux - Danièle Dromard, Dominique Seret Architecture des réseaux 4
Faisceaux hertziens Les faisceaux hertziens reposent sur l’utilisation de fréquences très élevées (de
2 GHz à 15 GHz et jusqu’à 40 GHz) et de faisceaux directifs produits par des antennes
directionnelles émettant dans une direction donnée. La propagation des ondes est limitée à

Mini prjet 2:la téléphonie


l’horizon optique ; la transmission se fait entre des stations placées en hauteur, par exemple
au sommet d’une colline, pour éviter les obstacles dus aux constructions. Les faisceaux
hertziens s’utilisent pour la transmission par satellite, pour celle des chaînes de télévision ou
pour constituer des artères de transmission longues distances dans les réseaux
téléphoniques. Ondes radioélectriques Les ondes radioélectriques correspondent à des
fréquences comprises entre 10 kHz et 2 GHz. Un émetteur diffuse ces ondes captées par des
récepteurs dispersés géographiquement. Contrairement aux faisceaux hertziens, il n’est pas
nécessaire d’avoir une visibilité directe entre émetteur et récepteur, car celui-ci utilise
l’ensemble des ondes réfléchies et diffractées. En revanche, la qualité de la transmission est
moindre car les interférences sont nombreuses et la puissance d’émission est beaucoup plus
faible.

3.shémas de principe de la téléphonie numérique cellulaire

- une liaison radio entre le téléphone mobile et une antenne-relais généralement installée sur
un pylône ou un bâtiment ;
- une liaison entre l’antenne-relais et le téléphone fixe, essentiellement via des câbles et
différents équipements faisant partie du réseau de téléphonie mobile GSM (ci-après « le 4
réseau GSM ») et du réseau fixe.
Les équipements du réseau GSM comprennent :

a) Des BTS (Base Tranceiver System)

Il s’agit des antennes et des équipements électroniques (amplificateurs, alimentations, …) installés à


proximité de celles-ci. Chaque BTS réalise la couverture radio d’un certain territoire (appelé «
cellule ») dont le rayon varie entre quelques centaines de mètres et quelques kilomètres. La
couverture du territoire de la Belgique nécessite plusieurs milliers de BTS pour chaque opérateur.

b) Des BSC (Base Station Controlers)

Chaque BSC contrôle un certain nombre de BTS ; il constitue un nœud de communications vers et en
provenance de ces BTS. La connexion entre les BTS et le BSC est une liaison à haut débit (2
Mbit/s) qui peut être réalisée par un câble (ligne louée) ou par un faisceau hertzien consistant en
une transmission par ondes radio à une fréquence très élevée (supérieure à 15 GHz dans le cas des
opérateurs de téléphonie mobile).

Mini prjet 2:la téléphonie


c) Un MSC (Mobile Swithching Center)

Il n’y a qu’un MSC par réseau GSM ; il s’agit essentiellement d’un commutateur qui constitue le
nœud central du réseau de téléphonie mobile ; il est connecté au réseau de téléphonie fixe,
ainsi qu’aux réseaux GSM des opérateurs concurrents. Le MSC comporte des équipements
informatiques qui gèrent l’acheminement des informations à travers le réseau GSM. C’est
également le MSC qui permet de connaître, à tout moment, la localisation d’un téléphone
mobile dans le réseau. En principe, la connexion entre le MSC et le BSC est réalisée au moyen
de câbles.

Une communication entre un téléphone mobile GSM et un téléphone fixe transite donc via une
BTS, un BSC, le MSC et le réseau fixe. De même, une communication entre deux téléphones
mobiles X et Y passera par la BTS la plus proche du téléphone X, un BSC, le MSC, un second
BSC, la BTS la plus proche du téléphone Y (le second BSC étant celui auquel la seconde BTS
est reliée). Il est à noter qu’une communication entre deux téléphones mobiles très proches
(abonnés d’un même opérateur) ne s’effectue jamais en « ligne directe », mais remonte
toujours jusqu’à la BTS, le BSC et le MSC.

Le présent exposé se limite au principe général de fonctionnement du réseau GSM et décrit plus
particulièrement la liaison radio entre le téléphone mobile et la BTS, laquelle fait appel à des
techniques relativement complexes. On trouvera, notamment dans [1], une information plus
complète sur le sujet.

4.les nouvelles génération de la téléphonie numérique :

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1G
La première génération de systèmes cellulaires (1G) reposait sur un système de communications
mobiles analogiques. Cette génération a bénéficié de deux inventions techniques majeures des années
1970 : le microprocesseur et le transport numérique des données entre les téléphones mobiles et
la station de base. Les appareils utilisés étaient particulièrement volumineux.
La première génération de systèmes cellulaires (1G) utilisait essentiellement les standards suivants :
 AMPS (Advanced Mobile Phone System), lancé aux Etats-Unis, est un réseau analogique
reposant sur la technologie FDMA (Frequency Division Multiple Access).
 NMT (Nordic Mobile Telephone) a été essentiellement conçu dans les pays nordiques et
utilisés dans d’autres parties de la planète.
 TACS (Total Access Communications System), qui repose sur la technologie AMPS, a été
fortement utilisé en Grande Bretagne. 
Cette première génération de réseaux cellulaires utilisant une technologie analogique a été remplacée
dès l'apparition d'une seconde génération plus performante utilisant une technologie numérique .

2G

Mini prjet 2:la téléphonie


La deuxième génération (2G) de systèmes cellulaires repose sur une technologie
numérique a été développée à la fin des années 1980. Ces systèmes cellulaires utilisent une
technologie numérique pour la liaison ainsi que pour le signal vocal. Ce système apporte une
meilleure qualité ainsi qu’une plus grande capacité à moindre coût pour l’utilisateur.
La deuxième génération de systèmes cellulaires (2G) utilise essentiellement les standards
suivants :
- GSM (2G),
- CDMA
- TDMA
 
- GPRS (2,5G), 2,5G est un système mobile intermédiaire entre la 2G et la 3G (débits inférieurs à
100 kbit/s)
- EDGE (Enhanced Data Rates for GSM Evolution, 2,75G)

3G
La troisième génération (3G) de systèmes cellulaires est une génération de systèmes
mobiles labellisé IMT 2000 par l’UIT. Ce système permet des services de communications plus
rapides notamment pour la voix, la télécopie, l’Internet de n'importe quel endroit et à tout
moment. L’UIT IMT-2000 est la norme internationale de la 3G a ouvert la voie à de nouvelles
applications et services comme par exemple le divertissement multimédia, la localisation des
services, …
La troisième génération de systèmes cellulaires (3G) utilise notamment les standards suivants :
- UMTS (Universal Mobile Telecommunications System)

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4G
Dans le domaine de l’Internet, après une forte expansion du nombre d’accès pour atteindre plus d’un
milliard de personnes directement connectées, nous sommes en train de franchir une nouvelle étape
qui devrait fortement bouleverser nos usages. Les caractéristiques techniques de l’Internet mobile sont
en train de rejoindre celles de l’Internet fixe tout en nous libérant du lien qui nous attachait à un lieu.
Ainsi en sept ans, entre 2002 et 2009, nous assistons à une multiplication par mille des débits
disponibles .
Pour faire une comparaison, lorsque la téléphonie mobile est apparue, le numéro de téléphone ne
permettait plus simplement d’accéder à un lieu (le foyer des Durand, leur maison de campagne ou le
poste de travail de monsieur Dupond), mais il est devenu attaché directement à une personne (Sylvain
le fils des Durand, Michel Dupond, commercial souvent en déplacement...). Depuis, nous ne savons
plus nous retrouver à un rendez-vous sans portable. Il a changé notre vie, le lien avec nos enfants, nos
amis, nos collègues. Son omniprésence pose également de nouvelles questions comme le « droit à la
déconnexion »  ou la possibilité de localiser facilement pratiquement toute personne disposant d’un
téléphone mobile dans sa poche. Cette technologie a fortement changé notre vie en seulement quelques
années. Elle a su se rendre indispensable en nous offrant aussi bien de nouvelles possibilités que de
nouvelles contraintes.

Mini prjet 2:la téléphonie


C’est au tour maintenant de l’Internet de s’affranchir du lieu. Nous en sommes encore aux
frémissements, mais le haut débit accessible partout devrait à son tour entrer dans nos vies,
délocalisant le lieu depuis lequel nous échangerons des vidéos, accéderons à de multiples
informations ou interviendront à distance.
L’arrivée de cet Internet mobile devrait résulter de la convergence de deux types de technologies :
la téléphonie mobile (avec des approches différentes aux États-Unis et en Europe), qui permet
non seulement d’appeler de pratiquement partout mais aussi de le faire en déplacement, bien que
les débits soient encore relativement réduits ; et les réseaux informatiques sans fil qui offrent des
débits confortables mais sont encore mal adaptés à un usage en déplacement. Y aura-t-il un
gagnant ? Il est encore trop tôt pour le dire et chacun dispose...

5G
La « 5G » est une nouvelle génération des standards de la téléphonie mobile. Cette
technologie de télécommunication sans fil promet de révolutionner la manière dont le
monde communique. Absolument tout, des véhicules autonomes, aux robots chirurgicaux,
en passant par les dispositifs de réalité virtuelle augmentée, les drones, l’« Internet des
Objets » (Internet of Things ou IoT) et, plus généralement, toutes les communications
mobiles seront couvertes par une nouvelle tranche de bande passante située entre 6 Ghz et
300 Ghz. Une partie de cette tranche sera sous licence, mais une grande partie libre.
La 5G est différente des générations précédentes. Pour la première fois, l’infrastructure
physique sera séparée de l’infrastructure logique ou « virtuelle ». Un réseau de type
« SDN » (Software Dynamic Networks - réseaux définis par logiciel) sera selon, la
demande, mis en place, supprimé, agrandi, ou réduit. La gestion complexe du réseau sera
effectuée par apprentissage automatique (Machine Learning ou ML) et au moyen de
l’Intelligence artificielle (AI). Mais pour que tout cela fonctionne, les principaux
opérateurs devront accepter les normes internationales et ouvrir leurs interfaces à des
acteurs extérieurs voire même à la concurrence. C’est à ce niveau que se jouera la bataille
réglementaire et juridique. A moins d’une attention suffisante accordée dès à présent à ces
problèmes émergents, les utilisateurs qui dépendent des télécommunications avancées en
Amérique du Nord et dans l’Union européenne se verront empêchés de profiter de la large
gamme d’avantages promis par 5G ; en conséquence, l’Innovation risquerait de prendre du
retard par rapport à d’autres régions du monde1.
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Ré fé rence

https://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/archives-th12/archives-reseaux-et-
telecommunications-tiate/archive-1/la-4-generation-de-telephonie-mobile-vers-un-internet-mobile-
omnipresent-in97/contexte-in97niv10001.html

http://sen.arbezcarme.free.fr/_techno/2.5-TR-Reseau-telephonique-analogique-et-RNIS/rtc.pdf

file:///C:/Users/user/Desktop/Chapitre_2_Supports_de_transmission_en_t.pdf

http://www.marche-public.fr/Terminologie/Entrees/1G.htm

Mini prjet 2:la téléphonie

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