Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
1
I. Généralités
Définition
: Le modèle relationnel est un modèle
logique associé aux SGBD relationnels.
Exemples : Oracle, DB2, SQLServer,
Access, Dbase, .
2
II. Concepts de base
1. Relation
Définition
Une relation R est un ensemble dattributs {A1, A2,, An}.
Notation : R(A1, A2, , An)
Exemple : Soit la relation Produit(numPd, designPd, puPd)
La relation Produit est l’ensemble des attributs {numPd,
designPd, puPd}
2.Tuple
Définition : Un tuple est un ensemble de valeurs t=<V1 V2
Vn>
Exemple
<2, Prod1, 300>
3
3. Contraintes d’intégrité
Définition :
Une contrainte d'intégrité est une clause
permettant de contraindre la modification
de tables , faite par l'intermédiaire de
requêtes d'utilisateurs, afin que les
données saisies dans la base soient
conformes aux données attendues.
4
Types :
✓ Clé primaire : ensemble d’attributs dont les
valeurs permettent de distinguer les tuples les
uns des autres (identifiant).
✓ Notation : la clé primaire doit être soulignée.
Exemple :
Soit la relation Produit(numPd, designPd,
puPd)
L’attribut numPd présente la clé primaire de
la relation Produit.
5
✓ Clé étrangère : attribut qui est clé primaire
dune autre relation.
Notation : La clé étrangère doit être
précédée par #.
Exemple :
Produit(numPd, designPd, puPd, # numFr)
Le tuple Produit(1, Produit1, 100, 1)
signifie que le produit de numéro 1 a
comme fournisseur numéro 1.
6
Contraintes de domaine : les attributs doivent
respecter une condition logique.
7
III. Traduction E/A -relationnel
1. Règles :
Pour traduire un modèle
Entités/Associations en modèle relationnel,
on applique les règles suivantes :
8
Règle N°1:
Chaque entité devient une relation. Les
attributs de l’entité deviennent attributs
de la relation.
L’identifiant de l’entité devient clé
primaire de la relation.
9
Employé
Matricule Employé(Matricule,Nom,Prénom,Adresse,Salaire)
Nom
Prénom
Adresse
Salaire
10
Règle N°2:
Si dans une association A binaire (de
dimension 2) il existe une entité E1 pour
laquelle la cardinalité du couple (E1/A) est
égale (1,1), on ajoute dans le schéma de
Relation R qui traduit E1 ,la clé primaire de
l’entité E2.
11
Ouvrage Classification
Ouvrage(NumOuvrage,NomOuvrage,#NumRubrique )
Clasification(NumRubrique,Libellé)
12
Règle N°3
Chaque association M-N est prise en
compte en créant une nouvelle relation
dont la clé primaire est la concaténation
des clés primaires des relations
participantes. Les attributs de l’association
sont insérés dans cette nouvelle relation.
13
Acteur Piece
CodeAct N°Piece
Nom titre
Prénom
0..n 1..n
Jouer dans
Rôle
14
Livre Editeur Dépôt
0..n
0..n 0..n
Est Stocké
Qte
15