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par
environnementale dans la
..................................
L’approche
conception architecturale d’un aéroport
multimodal.
Sous la direction de :
Dr. Moudjari Masoud
––––
2016/2017
Remerciement :
الحمد هلل
Je remercie tout les membres de jury qui ont accepté d’évaluer mon
travail
mère
Ma mère, qui a œuvré pour ma réussite, par son amour, son soutien,
tous les sacrifices consentis et ses précieux conseils, pour son
assistance et sa présence dans ma vie et je dis merci maman pour tout
ce que tu as donnée et que le dieu te protège pour nous.
Mon noble et cher oncle Hamoudi qui a sacrifié les plus belles
Chapitre introductif:
2- Problématique ......................................................................................................................... 02
Chapitre 01 : le transport
Introduction ..................................................................................................................... 05
I. généralité sur le transport ................................................................................................ 05
1. définition de transport ............................................................................................... 05
2. l’historique de transport. .......................................................................................... 06
3. la fonction de transport .............................................................................................. 07
transport des personnes ................................................................................................ 05
transport des marchandises. ......................................................................................... 05
4. les modes de transport ............................................................................................... 07
routier .......................................................................................................................... 07
ferroviaire ................................................................................................................... 08
introduction .................................................................................................................... 36
I. Généralité sur la qualité. .......................................................................................... 36
Définition de qualité. ................................................................................................... 36
1. Introduction ....................................................................................................................... 67
2. Fiche technique de l’aéroport de notre dame des landes ................................................... 67
3. les stratégies appliquées .................................................................................................... 68
Introduction ...........................................................................................................................70
1. Présentation de la ville de Constantine ..............................................................................70
2. Description de projet: ...........................................................................................................70
3. Définition de l’aérogare ................................................................................................ 72
4. Types de trafic ............................................................................................................... 72
5. Fonctions de l’aérogare ................................................................................................ 73
Analyse de terrain
Bibliographie
Chapitre
Introductif
Chapitre introductif
1. Introduction général :
Ce secteur dynamique a connu des mutations distinctes et évolutives dans le temps, notamment
sur ses modes, ses moyens et ses motifs divers.
Dans cette vision, notre travail de recherche en master II, option conduite de projet
architecturale, vise essentiellement à concevoir un aéroport de haute qualité environnementale
et architecturale, qui tient compte de la performance énergétique et la protection des zones
urbanisées et peuplées exposées au bruit, à travers ses outils PDT et PEB à l’échelle de la ville
de Constantine, choisie comme cas d’étude.
2. Problématique :
Le secteur de transport, notamment aérien s’améliore sans cesse, à travers le développement
de la qualité de ses infrastructures, ses moyens et ses services, pour satisfaire les exigences
des usagers. Dans la perspective du développement durable, la dimension environnementale
devient fondamentale dans le processus de conception et de réalisation d’un aéroport attractif
et concurrentiel.
Dans cette optique, notre problématique s’appuie sur les questionnements suivants :
Quelle est l’approche convenable à adopter dans le secteur du transport aérien, pour associer
l’efficience environnementale et la qualité architecturale ?
Quels sont les paramètres fondamentaux à tenir compte pour concevoir un aéroport
performant sur le plan architectural et environnemental, conformément aux spécifications de
notre cas d’étude ?
3. Les hypothèses :
Pour développer cette problématique, nous avons avançons les hypothèses suivantes comme
des réponses temporaires.
les démarches d’appel d’offre pour le maitrise d’œuvre d’un projet à usage de transport
aérien, qui sont adoptées au contexte algériens, sembles rassurantes sur les différents
plans.
le cahier des charges comme document contractuel, définit dans ses différentes parties
détaillées, les éléments essentiels pour la production qualitative d’un projet
architectural, pareillement à l’aéroport.
4. Les objectifs :
5. La méthodologie de la mémoire :
La recherche que nous menons qui concerne le secteur de transport notamment aérien et a
une grande relation avec notre problématique de départ qui concerne l’approche
environnementale dans la conception architecturale d’un aéroport multimodal.
Pour cela, au début nous avant une approche théorique ou nous avant exploité les travaux de
recherche précédents, les livres, tous les documents possible écrite ou graphique, les
connaissances précédents…, pour comprendre le thème de façon générale, et pour faire
connaitre les concepts clés qui concerne le secteur de transport en général et notamment
l’aérien, et les notions de base de la qualité environnemental et architectural.
En suit, nous avons l’approche analytique qui concerne les aéroports, nous avons fait une
étude d’un modèle qui contient des déférents notions et des stratégies peut être une grande
aide pour la conception de notre projet.
6. La structure de mémoire :
La mémoire est basé et structuré sur deux partie complémentaire : une première partie
théorique, et une seconde partie analytique.
Chapitre 01 : le transport.
Nous avons d’abord commencé par l’étude de transport en générale, définition de transport,
l’historique et la fonction, les types de transport…, plus tard en a spécifier notre recherche
sur le transport aérien, définition, l’importance et les fonctions, les avantages et les
inconvénients, les infrastructures de transport aérien, l’impact du trafic aérien sur
l’environnement, et en fin plan de prévention du bruit dans l’environnement PPBE.
Et delà nous avons fait une analyse d’un model étrangère d’un aéroport multimodal
(l’aéroport de notre dame des landes).
Introduction :
Le transport est la base du développement des échanges et du commerce, tous deux étant un
déterminant reconnu du développement économique et social. L’activité de ce secteur se
développe ainsi très rapidement dans ses dernières années, participant à leur croissance et à
leur intégration à l’échelle régionale et internationale. Le transport intègre de nombreux
enjeux industriels, à travers la construction automobile, navale, et aéronautique ainsi que par
l’intermédiaire de l’industrie du pétrole.1
dans ce travail on a fait une recherche sur le secteur de transport pour mieux comprendre son
importance liées aux ses déférents fonctions ainsi que ses effets nuisibles sur l’environnement.
toute ces informations va nous aider dans la conception de notre projet.
I. Généralités sur le transport :
Définition 03 :
Transport selon MICHEL SHESTER : Le transport est le résultat d’une nécessité de plus en
plus
élargie de transporter la production agricole et industrielle d’un site de création ou de
consommation.4
1
http://ec.europa.eu/eurostat/documents/3888793/5845985/KS-RA-10-001-FR.PDF/200e3483-c093-4aa7-8b3e-
cdc709d130da.
2
D’après le dictionnaire de la rousse 2010.
3
Vidal de La Bl., Prince. géogr. hum. 1921, p. 251.
4
Mémoire de fin d’étude (master 2) ; l’impacte des études de réalisation sur la maitrise d’une opération de
construction/promotion 2014-2015 OEB.
1-2 L’historique de transport : On peut distinguer que le transport est passé par trois ères
essentiels sont :
A- De l’antiquité a la fin
du 18siècle : celle de la
marche a pied et la
traction animale
C- Le dernier quart du 19
siècles et le début de ce
siècle :: l’événement de
l’automobile(1860) et qui B- Les trois quarts
marque la fin d’une ère premiers du 19 siècle :
de croissance l’événement de bateaux
désordonnée des (09 Aout 1803); le
déplacements avec la train(01fevrier 1804)
propagation des différents
moyens de transports.
*schéma 01 : l’évolution de transport dans le monde
Ses inconvénients:
5
https://www.insee.fr/fr/metadonnees/definition/c2038
6 https://www.insee.fr/fr/metadonnees/definition/c2039
7
Mémoire fin d’étude en vue de diplôme d’ingénieur d’état en architecture, thème le transport (gare
multimodale)
promotion 2011 /2012 Sétif
8
http://slideplayer.fr/slide/1663237/
*Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Mode_de_transport#Transport_maritime
Ses avantages :
Gros volumes.
Prix compétitifs.
Peu polluant.
Alternative à la route bénéficiant de mesures politiques et légales incitatives.
Convient aux longues distances. 11
9
http://www.faq-logistique.com/Comparaison-modes-transport.htm
10
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mode_de_transport#Transport_maritime
11
http://www.faq-logistique.com/Comparaison-modes-transport.htm
Ses inconvénients :
Ses avantages :
Gros volumes.
Prix compétitifs.
Peu polluant.
12
idem
13
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mode_de_transport#Transport_maritime
Ses inconvénients :
14
http://www.faq-logistique.com/Comparaison-modes-transport.htm
15
http://www.techno-science.net/?onglet=glossaire&definition=818
le transport aérien:
II. le transport aérien:
1. Introduction :
Le transport aérien s’est développé au rythme des progrès technologiques, de la volonté
d’échanges, de la communication et de l’accroissement des relations commerciales.
L’aviation est passée au cours des cinquante dernières années, d’une époque de pionniers à
une ère de consommation de masse. Aujourd’hui, tous les grands aéroports mondiaux sont
reliés quotidiennement et un grand nombre d’avions sillonnent l’espace aérien mondial. Ils
constituent un gigantesque et complexe ballet planétaire géré par les contrôleurs aériens. 16
2. Définition de transport aérien :
Le transport aérien est le secteur économique qui regroupe toutes les activités de transport en
avion ou en hélicoptère.
Les déplacements s’effectuent dans l’air associant une infrastructure ponctuelle (aéroport,
balise), la ligne et des moyens spécifique : avion, hélicoptère en transport des personnes ou
des marchandises, Il est un peu onéreux.17
16
http://ddata.over-blog.com/3/31/32/33/NDDL/ona_la_circulation_aerienne_pour_les_debutants-1-.pdf
17
Mémoire fin d’étude en vue de l’obtention du diplôme d’ingénieur d’état en architecture thème transport fait
par chaker karima.2011/2012
Source : https://www.google.dz
Le secteur du transport aérien occupe une place importante dans la vie de la société car il
répond à ses besoins en terme de :
Avantages:
Inconvénients :
➤ Prix élevé
➤ Rupture de charges
Les statistiques sur le transport aérien concernent le transport national et international, tel que
mesuré par le nombre de passagers transportés. Des informations sont collectées pour les
arrivées et les départs. Les passagers aériens transportés englobent tous les passagers sur un
vol donné (avec un numéro de vol unique) comptabilisés une seule fois et non à chaque étape
de ce vol.19
Rapidité, sécurité, régularité et fiabilité sont les qualités essentielles de ce type de transport
18
https://www.marketing-etudiant.fr/exposes/t/le-transport-aerien.php
19
http://babylonechat.free.fr/cours_lea/cours_cts2.htm
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Transport_en_Alg%C3%A9rie
1- Définition de l’aéroport :
Source: https://wiki.openttd.org/A%C3%A9roports/Fr
Les petits aéroports sont le type le plus petit d'aéroports. Bien qu'ils aient joué un rôle plus
important dans le Transport, L'aéroport peut s'occuper de deux avions en même temps, y
compris les hélicoptères. Le Petit Aéroport est sujet à des problèmes de congestion car les
avions doivent utiliser la piste comme zone de roulage entre les zones de chargement et le
hangar, et pour se mettre en place après atterrissage ou avant décollage.
Aéroport de Navette :
L'aéroport de navette est un nouvel aéroport conçu pour gérer une petite quantité d'avions
pour décharger et charger dans les métropoles et s'occuper des petites villes. Bien que plus
grand et supérieur au Petit aéroport, les avions rapides peuvent s'écraser à l'atterrissage car la
piste est courte. Le débit est plus grand que celui de l'aéroport urbain à cause des temps de
roulage plus courts, et deux aéroports de navette peuvent supporter davantage de trafic qu'un
aéroport international.
Source: https://wiki.openttd.org/A%C3%A9roports/Fr
Grands aéroports :
*Aéroport urbain :
L'aéroport urbain (appelé Grand Aéroport) est une étape au-delà du Petit aéroport. Il a trois
baies de chargement/déchargement pour les avions, et une piste. Il peut gérer une certaine
quantité de trafic, mais comme il n'y a qu'une piste, le nombre d'avions traité chute en flèche,
car les avions doivent attendre dans le hangar et ne peuvent pas repartir à cause du trafic.
Source: https://wiki.openttd.org/A%C3%A9roports/Fr
*Aéroport métropolitain:
1. C'est une version améliorée de l'aéroport urbain, et il est différent en ce qu'il a deux
pistes (une pour les avions atterrissant et une pour ceux décollant), afin de pouvoir
gérer davantage de trafic. De même, la zone de captage est un peu plus grande.
Toutes les autres caractéristiques sont identiques.
2. Cet aéroport peut gérer bien plus de trafic que l'aéroport urbain, mais reste inférieur à
l'aéroport international, car les avions qui ont atterri doivent traverser la seconde piste
pour aller au terminal. Cela gêne les avions qui décollent, et peut provoquer un
engorgement du trafic.
Source: https://wiki.openttd.org/A%C3%A9roports/Fr
Aéroports centraux :
1-Aéroport international :
L'aéroport international est le second plus grand aéroport. Il a deux pistes, comme l'aéroport
métropolitain, mais chacune est à un des côtés opposés de l'aéroport, afin que les avions qui
arrivent et partent ne se gênent pas mutuellement. Le terminal peut gérer six avions en train
de charger ou décharger. L'aéroport a aussi deux hangars, pour que davantage d'avions
puissent être révisés. Trois hélicoptères peuvent atterrir simultanément, mais seulement deux
peuvent charger/décharger à la fois.
2-Aéroport Intercontinental:
Source: https://wiki.openttd.org/A%C3%A9roports/Fr
1. Aérodrome :
*Sens 01 : nom masculin (aviation) endroit aménagé pour le décollage et l’atterrissage des
avions. 21
*Sens 02 : L’aérodrome est défini par le Code de l’Aviation civile dans son article R. 211-1
comme étant « tout terrain ou plan d’eau spécialement aménagé pour l’atterrissage, le
décollage et les manœuvres des aéronefs y compris les installations annexes qu’il peut
20
https://wiki.openttd.org/A%C3%A9roports/Fr
21
Selon le dictionnaire de français.
22
http://197.14.51.10:81/pmb/GENIE%20CIVIL/INFRASTRUCTURES%20DE%20TRANSPORT/c4450.pdf
L'aérodrome et l'aéroport concernent tous deux les aéronefs, L'aérodrome est constitué par
les pistes de décollage et d'atterrissage alors que l'aéroport désigne l'ensemble des bâtiments
3. L’aéronef :
Le contrôle et la navigation des aérostats sont assurés par un aéronaute. Le terme de pilote
tend à supplanter celui d'aviateur pour les aérodynes.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/A%C3%A9ronef
23
http://www.la-difference-entre.com/difference.php?id=aerodrome-aeroport
Notre étude différencie d’une part les avions à usage civil et d’autre part, les avions à
usage militaire. Selon leur autonomie de vol, on distingue les avions « long courrier »
pour des liaisons longue distance au-delà de 4 heures de vol, les avions « moyens
heure d’autonomie de vol. Nous avons, dans le présent article, regroupé les avions
A.Les Pistes :
Les pistes d'un aéroport sont construites en dur ; en général le revêtement est en bitume ou
composé de plaques de béton. Elles sont bordées de balises lumineuses pour être facilement
repérables de nuit, ou lorsque les conditions météorologiques sont mauvaises et pour une aide
visuelle à l'atterrissage De plus. Elles servent à l’atterrissage et au décollage des avions.
24
http://cpdp.debatpublic.fr/cpdp-aeroport-
ndl/pdf_contribution_public/ACIPA/Chapitre07_InfrastructuresAeroportuaires.pdf
Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/A%C3%A9roport
B-voies de circulation:
Les pistes sont reliées entre elles et aux aires de stationnement par des taxiways destinés aux
avions et parfois des voies de service plus étroites réservées aux véhicules de service et de
secours (pompiers).
Les voies de circulation sont des voies délimitées qui permettent aux appareils de se déplacer
entre les parkings et les pistes. Elles sont généralement construites en bitume ou composées
de plaques de béton et sont repérables par une signalisation de couleur jaune (avec des
lumières de couleur bleue) pour les distinguer des pistes qui sont, elles, balisées de blanc.
Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/A%C3%A9roport
C .Aires de stationnement :
Les aires de stationnement, ou parkings (parfois encore appelés tarmacs) sont les parties de
l'aéroport où les avions séjournent, que ce soit pour le transbordement des passagers et du fret
ou pour l'entretien.
Le parking est également conçu pour les opérations de stationnement des avions pour les
opérations de transbordement et aussi les opérations de maintenance des avions (inspection
technique, entretien).
Source : Idem.
vigie : cabine de contrôle à la façade inclinée (généralement 15°) avec des vitres anti-
bruit et anti-reflet, disposant comme équipements une chaîne radio, des enregistreurs
de communication, une station météorologique et un système horaire
fût métallique, en béton ou sur un bâtiment existant
bloc technique : salles techniques, locaux vie, bureau de piste en pied de tour, etc.
Elle transmet les clairances ainsi que des renseignements aux aéronefs évoluant dans la
circulation d'aérodrome afin de prévenir les collisions entre :
Photo 17 : Tour de contrôle avec sa vigie, son fût et le bloc technique en pied de tour.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Contr%C3%B4le_d'a%C3%A9rodrome
E. Fret et bagages :
L'endroit où les passagers retirent leurs bagages au pays d'arrivé est une zone sous douane.
Pour les vols internationaux, les passagers passent tout d'abord par les services de santé de
l'aéroport et ensuite par les box d'immigration pour le contrôle. Il peut y avoir aussi des
services de douanes et des agents des compagnies aériennes qui contrôlent leurs passagers
pour s'assurer que tout le monde à bien retiré son bagage. 25
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/A%C3%A9roport
F.Zone industrielle :
Sur de nombreux aéroports importants (accueillant plus de un million de passagers par an), on
trouve des installations industrielles liées soit à l’entretien des avions, soit à la construction
aéronautique, soit simplement à la possibilité d’existence d’une zone sous douane pour avoir
des entrepôts ou des usines de montage
d’appareils dont les pièces détachées viennent de nombreux pays étrangers. Il n’est
évidemment pas possible de donner de ratio pour ce type d’activités.26
25
https://fr.wikipedia.org/wiki/A%C3%A9roport
26
http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-et-travaux-publics-th3/les-amenagements-
des-voies-de-transport-42550210/aerodromes-c4451/
La « sécurité » aérienne ne doit pas être confondue avec la « sûreté » aérienne qui comprend
l'ensemble des mesures prises pour lutter contre les malveillances intentionnelles comme les
actes de terrorisme.
La sûreté aérienne consiste principalement en une recherche d'éventuels engins explosifs
pouvant être introduits à bord d'avions civils de façon illicite, et ceci de quelque façon que ce
soit (dans un bagage de soute, un bagage à main, via le fret transporté dans les soutes,
introduction par un membre d'équipage ou un mécanicien etc.).27
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9curit%C3%A9_a%C3%A9rienne
27
https://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9curit%C3%A9_a%C3%A9rienne
13.Bruit de l'aéroport :
Les préoccupations environnementales des riverains des aéroports semblent de mieux en
mieux prises en compte par les pouvoirs publics et les professionnels du transport aérien. Si
les recherches se multiplient pour concevoir des avions plus silencieux (ou plutôt… moins
bruyants !), le gouvernement s'est désormais engagé à réduire les nuisances sonores aux
abords des aéroports. Ainsi, un plan de lutte contre les nuisances sonores a été adopté en 2008
pour réduire de moitié le bruit dans un rayon de 20 kilomètres autour des pistes
franciliennes.28
28
http://www.actu-environnement.com/ae/news/bruit_aeroport_7648.php4
29
http://www.europarl.europa.eu/workingpapers/envi/pdf/brief2fr_fr.pdf
15.Le transport aérien contribue au dérèglement climatique par les GES qu’il
émet :
L’effet de serre est un phénomène naturel complexe qui arrête une grande partie du
rayonnement solaire et permet de maintenir sur terre une température favorisant le
développement des espèces vivantes et notamment de l’homme. Par ses activités agricoles et
industrielles, et notamment l’utilisation d’énergie fossile à base de carbone, l’homme a
amplifié le phénomène de l’effet de serre contribuant au réchauffement de la planète et au
dérèglement climatique. Le dioxyde de carbone CO 2 est le principal gaz responsable du
renforcement de l’effet de serre et donc celui contre lequel il faut le plus lutter. Il est produit
par la combustion du kérosène par les avions.30
30
http://mediatheque.supdeco.sn:81/mediatheque/doc_num.php?explnum_id=192
http://adera-association.com/wp-content/uploads/2012/10/Dossier-noir-du-Transport-A%C3%A9rien-Final-24-
11-2015.pdf
La gestion des matières premières revient à mettre sur pied un système qui gère la maitrise de
leur utilisation, mais également la réduction, le réemploi, le recyclage, la valorisation et
l’élimination des matières résiduelles générées lors du cycle de vie du produit ou du service.
2/gestion de l’énergie :
Une bonne gestion de l’énergie a comme objectif la réduction des dépenses liées à la
consommation énergétique et de son impact environnemental sans nécessairement nuire au
confort ou au niveau de production de l’organisation. On parle alors d’efficacité énergétique.
Les bonnes stratégies rendent l’organisation plus productive et moins vulnérable aux
variations des couts d’approvisionnement en énergie.
3/Gestion de l’eau :
Cet enjeu cherche à déterminer les actions et les initiatives de l’organisation qui visent à
réduire ses émissions de GES. On s’intéresse principalement aux émissions des installations
(bâtiments, machineries et procédés) et aux émissions des moyens de transport (salariés,
approvisionnement, distribution).
5/ Gestion d’autres types de pollution :
Cet enjeu prend en compte toutes les autres formes de pollution, les sols, l’air et toute autre
nuisance sonore, olfactive ou volatile (composés organiques volatils COV, poussière).
Cet enjeu évalue certaines actions de l’organisation qui visent à diminuer son empreinte
environnementale locale.
3. Réalisation :
Rédigé par les services de la direction générale de l'aviation civile du ministère chargé des
transports, le plan d'exposition au bruit est soumis à enquête publique et fixe pour 10 à 15 ans
les conditions d'utilisation des sols exposés aux nuisances sonores, sur la base d'études
prospectives :
Le PEB ne concerne ni les constructions existants ni les populations déjà installées mais il
étudie l’impact sur la faune dérangée par le bruit.
1/ Pour ce faire, il est nécessaire d'anticiper à court, moyen et long terme, le trafic aérien, ce
qui revient à établir des hypothèses réalistes concernant les données suivantes (pour les 3
horizons) :
** Nombre de mouvements annuels d'aéronefs,
** Typologie de la flotte d'aéronefs,
** Répartition des mouvements par type d'aéronef.
** Répartition des mouvements par trajectoire et par sens d'atterrissage/décollage,
** Part des vols de jour (6hOO-18hOO), soirée (I8hOO-22hOO) et nuit (22hOO-6hOO).
2/ l’indice L den : (level day evening night) prescrit à l’évaluation et à la gestion du bruit
dans l’environnement.
5. Principes :
Le PEB vise à définir comment s’opère l’exposition des populations aux aéroportuaires.
Comme on a déjà dit que le PEB a défini 3 zones plus importantes A, B et C ou il a fait la
restriction de l’urbanisation.
Dans la zone C les constructions individuelles sont autorisées alors que sont prohibées les
constructions groupées
Les zones de bruit du PEB ne reflètent pas nécessairement la réalité du moment, mais
l’enveloppe des expositions au bruit des avions à court, moyen et long termes.
Pour ce faire, il est nécessaire d’établir, pour les trois horizons considérés (court, moyen et
long termes), des prévisions réalistes concernant:
- Les infrastructures,
- Le trafic.
- Les procédures de navigation aérienne.
- Les conditions d’exploitation.
Ces hypothèses s’appuient sur les données et les perspectives envisageables au moment où le
projet de
PEB est élaboré.
Source : Dossier soumis à enquête publique Rapport de présentation du projet de PEB de l'aérodrome de Castres
– Mazamet
On a aussi le PPBE comme outil complémentaire pour protéger les zones urbanisées du trafic
aérien.
Un plan de prévention du bruit dans l'environnement (abrégé PPBE) est un document officiel
basé sur des textes de lois. L'objectif est l'élaboration d'un tel plan est la réduction du bruit
dans des zones critiques où la population est soumise à des niveaux de bruits élevés dus aux
routes, trains, aéronefs et industries.
PPBE doivent être mis à jour tous les 5 ans afin de rendre compte des changements
acoustiques de l’environnement concerné.
Introduction :
La qualité architecturale se laisse difficilement cerner. Dans une définition large, elle se
réfère à l’apparence de l’œuvre autant qu’à son adéquation, dans la durée, à l’usage auquel
elle est destinée.
L’œuvre architecturale, c’est la mise en scène (art) et en équations (science) du «plein»
(façades, planchers, murs, toit) vecteur d’esthétisme, et du « vide » (volume où nous
vivons, où nous travaillons). Ne sacrifions pas tout l’un à tout l’autre.
Dans ce chapitre, nous présenterons quelques notions de la qualité, la qualité architecturale
et la qualité environnementale et ses notions et principes avec l’évaluation de la qualité
dans les aéroports. Quatre méthodes d’évaluation semblent utiles pour aborder la
problématique de la qualité, La méthode FLAG (Drapeaux), la méthode PFAM
(Po1yFunctionalAssenssmentmethod), la méthode MATEA (Model pour l'Analyse. La
Théorie et l’expérimentation Architecturale) et la méthode d’investigation
I. Généralité sur la qualité
I. 1. Définition de la qualité :
1.1. Définition internationale de la qualité : norme ISO 8402 :1
«La qualité est l’ensemble des caractéristiques d’une entité qui lui confère l’aptitude à
satisfaire des besoins exprimés ou implicites».
1.2. Autres définitions :2
La qualité n’est ni une idée, ni une pensée, car l’idée et la pensée sont abstraites alors que
la qualité doit être objective et concrète.
La qualité est la mesure de la satisfaction du client ou La qualité est la conformité d’un
produit aux exigences du client.
La qualité est donc...
Un outil d’analyse extrêmement précis et rigoureux. Par ce qu’elle permet de descendre
très bas le détail en appuyant particulièrement sur la validité de chaque processus.
Organisation, décrire une tache conduit précisément QUI l’à faire, comment il a fait, dans
quel contexte il la fait. La qualité réduit les inconnues, le hasard et les incertitudes.
11
Hhp://ww.iso.org/iso/fr/honestore/catalogueics.hlm
2
« Une démarche qualité est-elle applicable en agence d’architecture », RAUSTAN Sophie, DESS
IMOA2003-2004
Un outil de communication, Il est important de choisir les mots justes et juste ces mots
pour l’exprimer afin d’être compris par l’ensemble des acteurs de l’opération de
construction.
Un outil de formation et d’apprentissage car bien conçu. Elle rend transparents et
accessible les savoir-faire et les méthodes.
Un outil de responsabilisation car elle oblige à dire ce que l’on fait et à faire ce l’on a dit.
Est « le degré de conformité des caractéristiques d'un produit aux exigences ». Les
besoins explicites et implicites sont les données d'entrée pour l'élaboration des exigences
du projet (la qualité attendue), Un élément principal de management de la qualité (qualité
programme) dans le contexte du projet consiste à transformer les besoins, les désirs et les
attentes des parties prenantes en exigences à l'aide de l'analyse des parties prenantes,
exécutée durant le management du contenu du projet
3
Salomé Ruel, sous la direction de Moufida Touihri, Mémoire de 2eme année Master tourisme et hôtellerie, « la
démarche qualité en hôtellerie intégrée : quels enjeux », 2011/2012, P33
3-7- ISO :
L’organisation Internationale de Normalisation est polysémique car ce nom correspond à
la fois au nom que l’organisation donne à ses normes, et à son propre nom. Créée en
1947, à Genève, elle regroupe 158 organismes de normalisation dans le monde, à raison
d’un par pays.
I. La qualité environnementale :
Définition 01 : est un concept transversal qui regroupe pour des choix de société concrets
(urbanisme, logement, moyens de transport, énergie, industrie...) des normes, des objectifs de
respect de l'environnement, de développement durable ainsi que des critères plus subjectifs
comme la qualité de vie.
La notion de qualité environnementale prend donc en compte non seulement la dimension de
l'impact d'un choix de société sur son environnement au sens large (économique et
écologique), mais aussi son impact sur la manière dont la population concernée par ces choix
les vit et les ressent au quotidien (en bien ou en mal).4
Définition 02 : La démarche HQE vise à améliorer la qualité environnementale des
bâtiments neufs et existants, c'est-à-dire à offrir des ouvrages sains et confortables dont les
impacts sur l’environnement, évalués sur l’ensemble du cycle de vie, sont les plus maitrisés
possibles. C’est une démarche d’optimisation multicritère qui s’appuie sur une donnée
fondamentale : un bâtiment doit avant tout répondre à un usage et assurer un cadre de vie
adéquat à ses utilisateurs.5
II. Origine :
La démarche HQE a été initiée dès1993. En octobre 1996, l’association HQE a été créée à
l’initiative, entre autres, de l‘AIMCC (Association des Industries de Matériaux, Produits,
Composants et équipements pour la Construction) et comptait parmi ses membres
l’Administration, des maîtres d’ouvrage, des industriels et des experts. Depuis, l’association
HQE a été reconnue d’utilité publique. Elle regroupe actuellement environ 40 instances
collectives partenaires.6
Pourquoi HQE ?
Avec la démarche HQE les maîtres d’ouvrage disposent d’un meilleur contrôle de l’acte de
bâtir en structurant leurs objectifs autour de cibles concrètes.
4
https://fr.wikipedia.org/wiki/Qualit%C3%A9_environnementale
5 Pour des bâtiments sains, confortables et respectueux de l’environnement .La démarche HQE PDF.
6 http://www.afipeb.org/publications/focus4.pdf
La démarche HQE vise plusieurs buts, qu'il est possible de résumer ainsi :
III. 2. Méthodologie
7
http://www.caparol.fr/nous-connaitre/la-responsabilite-environnementale/la-demarche-hqe.html
8 http://www.planete-sciences.org/enviro/archives/rnste5/Atelier_bati/HQE.htm
La méthode HQE est définie par 14 cibles classifiées selon deux domaines visant aussi bien
l’impact environnemental des bâtiments que la qualité de l’environnement intérieur en lien
avec le confort et la santé. Chaque domaine est constitué également de deux familles.
Dans un premier temps, le Maître d’Ouvrage définit un ordre de priorité des cibles. Les
différents critères élémentaires correspondent à chaque cible et les indicateurs associés
peuvent être qualitatifs ou quantitatifs au niveau du système qualité ou des objectifs. Ensuite,
l'indicateur associé à un critère de performance peut prendre 3 niveaux (base/haut/très haut).
L'agrégation des différents critères élémentaires donne les performances de chacune des 14
cibles.
Pour obtenir le label, le bâtiment doit atteindre le profil minimum définit par au moins 3
cibles évaluées au niveau très haut, 4 cibles évaluées au niveau haut et un maximum de 7
cibles évaluées au niveau de base, selon la classification faite par le Maître d’Ouvrage.
III. 3. Les enjeux de la démarche HQE :
L'économie mondiale consacre jusqu'à un dixième de son énergie et jusqu'à la moitié de ses
ressources matérielles à construire et à faire fonctionner des maisons et des bureaux. Les
réductions de la consommation énergétique passent dès lors obligatoirement par une action
substantielle dans le secteur du bâtiment.
Amélioration de la santé :
Nombre d'édifices ne répondent pas aux normes et mettent en péril la santé de leurs
occupants. Or, une partie importante de nos contemporains passe jusqu'à 80 % de son temps à
l'intérieur de locaux : travail, habitation, transports. Cette raison suffit déjà en elle-même à
promouvoir une réalisation plus réfléchie du cadre bâti.9
La HQE concerne la globalité du bâtiment et toutes les phases de son cycle de vie.
9
idem.
10
http://www.planete-sciences.org/enviro/archives/rnste5/Atelier_bati/HQE.htm
11 Pour des bâtiments sains, confortables et respectueux de l’environnement .La démarche HQE PDF.
L’ECO-CONSTRUCTION : LE CONFORT :
la relation harmonieuse du
bâtiment avec son environnement hygrométrique :
immédiat : –permanence des conditions de confort
–utilisation des opportunités offertes par le hygrothermique ;
voisinage et le site ; –homogénéité des ambiances hygrothermiques ;
–gestion des avantages et désavantages –zonage
de la parcelle ;
12
Évaluation de la HQE. Fichier PDF.
L’ECO-GESTION : LA SANTE :
–optimisation des besoins de maintenance –gestion des risques liés aux réseaux d’eaux non
13
http://www.concept-bio.com/la-demarche-hqe/
ADEME :
Le premier partenaire de tout projet Concrètement, comment procéder pou rentamer une
démarche HQE ?
1. Première étape: établir un contact avec l’ADEME est souhaitable pour élaborer une
stratégie le plus tôt possible en amont du projet.
2. Deuxième étape: avec l’ADEME prendre les contacts nécessaires ou utiles avec tous
les acteurs concernés, en particulier les collectivités.
3. Troisième étape: s’entourer des conseils éventuellement nécessaires, si ceux-cine se
trouvent pas en interne (conseillers en environnement) pour mettre en œuvre un SME,
Système de Management Environnemental.
4. Quatrième étape: travailler au montage financier du projet, toujours avec l’ADEME.
Elle peut apporter des aides qui, à la date de rédaction de ce document, sont les
suivantes :
Jusqu’à 50 %des études de faisabilité, de la mise en place du SME et de l’intervention d’une
assistance à maîtrise d’ouvrage HQE, dans la limite d’un plafond de 75000euros (aide à la
décision). Ensuite, jusqu’à 40 %, d’une assiette plafonnée à 500 000 euros pour les surcoûts
d’investissements justifiés par la démarche HQE dans le cadre des règles d’encadrement
communautaire.
5. Cinquième étape: suivre les phases de déroulement du SME, et associer la délégation
régionale de l’ADEME à ses étapes clés. Tout au long de ces étapes l’ADEME peut
également participer à l’information et à la formation technique des acteurs.
Elle traduit un équilibre entre respect de l’environnement (énergie, carbone, eau, déchets,
biodiversité…), qualité de vie et performance économique par une approche globale. C’est la
meilleure manière d’attester des performances d’un bâtiment et de répondre aux grands
enjeux de la ville durable. Quel que soit le lieu, HQE est aussi un gage de maitrise des coûts
et des délais lors de la construction, de contrôle des charges et des risques lors de
l’exploitation et de différenciation lors de la location ou de la vente.
Lors des Assises de la démarche HQE. Il lie l’obtention du certificat (et d’aides éventuelles) à
plusieurs conditions:
– Réception de l’ouvrage.14
des Référentiels élaborés avec les parties prenantes, scientifiquement fondé et qui
s’enrichissent continuellement des retours d’expériences
une vérification sur site par des auditeurs indépendants : les audits en « tierce partie
intégrale » menés en présence des acteurs de l’opération assurent la transparence et la
crédibilité du processus d’évaluation des performances.
14
L’évaluation de HQE. Fichier PDF.
Photo 04 :
Source : Guide pour la Haute Qualité Environnementale des Constructions dans les Alpes
Le champ d’application :
La question du coût :
La HQE progresse aussi dans le privé, plus particulièrement dans les établissements de santé,
les maisons de retraites, les grandes surfaces commerciales et les bureaux. Ces opérateurs
privés y trouvent leur compte : en effet, si le sur coût immédiat ne peut souvent être négligé
notamment du fait du temps supplémentaire nécessaire au management de projet, cet
inconvénient peut être équilibré parles économies réalisées et les coûts évités. Cela
quelquefois dès l’investissement, mais en général tout au long de la vie du bâtiment, les coûts
de fonctionnement tout comme ceux de maintenance se trouvant minimisés. En terme de coût
global, qui tient compte à la fois du coût d’investissement et du coût de fonctionnement
l’approche HQE est donc avantageuse par rapport à une approche ordinaire.
Cela sans compter le gain inestimable en termes de protection de la santé des occupants et de
l’environnement de tous.
La construction : avant même d’habiter dans votre maison, vous pouvez contribuer à
diminuer les 31 millions de tonnes par an de déchets que génère l’activité du bâtiment
avec un chantier à faibles nuisances.
Le chauffage : un système de régulation ou de programmation, c’est jusqu’à 10% de
consommation en moins. La réduction de la température ambiante de 1 °C, c’est 6 %
de consommation en moins.
L’eau: chaque ménage consomme en moyenne 200 litres d’eau potable par jour ; seul
38 % est nécessaire pour des usages alimentaires et les soins corporels. Ainsi, Un
système de maitrise du débit + le recyclage + la récupération des eaux de pluie.
L’air : nous passons 22 heures sur 24 à l’intérieur : logements, lieux de travail, écoles,
transports, espaces de loisirs. La pollution de l’air intérieur est à prendre très au
sérieux…
Un capteur de CO2 relié à la ventilation pour adapter le système de ventilation en
fonction de l’usage, c’est un régime adapté en fonction des besoins, une qualité de
l’air améliorée et des économies réelles.
L’éclairage : l’éclairage naturel et l’utilisation de lampes basse consommation
permettent de limiter les consommations d’énergie. Un exemple : une seule lampe
basse consommation fluo compacte de 20 W fournit autant de lumière qu’une ampoule
classique de 100 W, dure 6 à 10 fois plus longtemps, dégage 80 % de chaleur en
moins, consomme 4 à 5 fois moins et donc économise près de 1000 kWh pendant sa
durée de vie.
L’entretien : le tartre et la corrosion sont les causes majeures des préjudices subis
dans les installations hydrauliques et augmente les consommations énergétiques.
L’entretien régulier de la chaudière = 8 à 12% d’énergie consommée en moins.
La valeur verte de votre maison = La valeur induite par la performance énergétique et
plus largement environnementale de votre maison est estimée à environ 6%.(Source
Étude ADEME, CSTB et Cired). 15
Les labels HPE et BBC ne sont pas des marques déposées mais des labels publics. Ils sont
décernés aux bâtiments certifiés sur la sécurité, la durabilité et les conditions d'exploitation
des installations de chauffage, de production d'eau chaude sanitaire, de climatisation et
d'éclairage ou encore sur la qualité globale du bâtiment.
1. Définition :
15
http://www.cequami.fr/faire-construire-sa-maison/maison-nf/votre-projet/objectifs-hqe/
16
http://www./hpe/HautePerformance/ energA9tiqueet/veloppement.durable.htm
17
https://fr.wikipedia.org/wiki/Haute_performanceA9nergA9tique
Les concepteurs doivent adapter leurs pratiques et leurs outils, pour favoriser
l’ingénierie concourante ; ils doivent concevoir les détails de construction.
Les entreprises chargées de la réalisation doivent être sensibilisées aux interactions
entre lots, et évoluer vers plus de qualité.
- L’usager doit prendre davantage conscience de l’impact des modes de gestion du bâtiment
sur les consommations d’énergie.
Phase de programme Phase de conception Phase de réalisation Phase de réception et
exploitation
*de préciser les résultats *d’évaluer le plus tôt les détails de *de vérifier les
de fonctionnement possible (dès la phase construction (traitement performances atteintes
attendus, sans dissocier les esquisse) les solutions des ponts thermiques, en fonctionnement, et
exigences permettant d’atteindre huisseries…) impactent se donner les moyens
fonctionnelles des les objectifs de de manière très de comprendre le
exigences énergétiques et performance. important la niveau de performance
environnementales. * de travailler en équipe performance en atteint (via des
*d’allouer les moyens pluridisciplinaire, pour fonctionnement des contrôles et des
suffisants à la conception, optimiser la conception bâtiments très isolés, mesures in-situ
pour permettre son (ce qui nécessite de - les solutions permettant d’évaluer
optimisation. rompre avec l’approche techniques deviennent les paramètres ayant
*d’exiger de la maîtrise séquentielle), très fragiles lorsque un impact sur la
d’œuvre qu’elle justifie *de traiter les détails de l’on vise de hautes performance : qualité
de la bonne prise en construction. performances de
compte des exigences du énergétiques (isolants réalisation,
programme. sous vide, paroi double comportements,
peau…). climat…).
*donner les moyens à
l’usager d’agir sur les
consommations.
phase actions
programmation Action n°1 : Donner à voir les différentes manières d’exprimer les exigences du
programme.
-on peut fixer des exigences sur les niveaux de performance (consommations
Énergétiques)
- des exigences sur les dispositions constructives (résistances thermiques des murs
extérieurs…), sur les choix de conception…
-ou bien des exigences managériales : imposer la rédaction d’une note (expliquant
notamment le comportement du bâtiment aux heures de pointe, la nuit…)
- Action n°2 : Développer des outils facilitant l’intégration des exigences de performance
dans les programmes
- le premier niveau de réponse consiste à fournir au maître d’ouvrage une trame
toute faite, listant l’ensemble des exigences énergétiques et environnementale à
inclure au programme.
-le deuxième niveau de réponse consiste à développer un outil aidant à spécifier les
modes de fonctionnement du bâtiment et les performances à atteindre dans le temps,
à partir de l’organigramme fonctionnel du projet
Action n°3 : Aider le maître d’ouvrage à analyser les budgets à prévoir
- analyser les expériences passées et évaluer sur ces opérations des coûts en
fonction des objectifs énergétiques et environnementaux.
- sensibiliser la maîtrise d’ouvrage à la notion de coût global.
- en particulier : démontrer au maître d’ouvrage qu’allouer davantage de moyens
aux études préalables et à la conception.
- donner quelques repères à la maîtrise d’ouvrage sur les temps d’étude nécessaires.
Action n°4 : Mettre en place une nouvelle organisation
-L’assistance à maîtrise d’ouvrage peut être une solution pour aider le maître
d’ouvrage à définir les exigences au stade programme, et également pour pallier
l’absence d’équipe pluridisciplinaire côté maîtrise d’œuvre.
-La maîtrise d’œuvre a un rôle d’alerte à jouer sur la qualité du programme (il faut
en particulier vérifier que les études de faisabilité ont été réalisées, que le budget est
cohérent, que toutes les informations ont bien été transmises à la maîtrise
d’œuvre...).
phase actions
conception Action n°1 : Mettre en place des outils qui favorisent l’optimisation de la
conception
intégrer à cet outil de simulation un outil de calculs économiques en coût
global et un outil permettant de calculer des indicateurs de performance
énergétique tels que : consommations dans le temps, inertie thermique, énergie
grise.
Action n°2 : Mettre en place une organisation de projet qui place la performance
énergétique au cœur du projet et favorise la conception pluridisciplinaire
- nommer un chef de projet qui aurait pour mission d’orienter le projet vers la
performance énergétique et de fédérer les compétences (ce rôle peut par exemple
être confié à l’assistance à maîtrise d’ouvrage),
- organiser, côté maîtrise d’ouvrage, une transversalité de la décision, en mettant
en place des outils de négociation (par exemple, une plate forme internet multi
acteurs…).
Action n°3 : Adapter la formation des professionnels
phase actions
phase actions
Réception et Action n°1 : Mettre en place des contrôles et des actions de suivi de la
exploitation performance
Actions de suivi à mettre en place :
- systématiser le suivi des consommations,
- développer le recours à des mesures globales (simples) pour évaluer la
qualité de la réalisation et de mise en œuvre (perméabilité, mesures
globales du comportement thermique…),
- vérifier les hypothèses clés de l’étude thermique sur les scénarios
d’occupation (enquêtes, mesures).
Action n°2 : Donner les moyens aux usagers d’agir sur les consommations
d’énergie
Conduire des actions de sensibilisation
- rôle de l’éducation (sensibiliser aux problématiques énergétiques…),
- informer en temps réel les usagers sur les consommations d’énergie du
bâtiment.
- éventuellement : afficher les consommations d’énergie à l’extérieur du
bâtiment, pour favoriser une émulation autour de la question des
consommations.
tableau05 : les actions de la phase de réception et exploitation selon les notions de hpe
Source : https://www.prebat.net/IMG/pdf/alpheis01.pdf
5. Standard énergétique :
Afin de s’assurer de leur performance énergétique, tous les bâtiments neufs ou les extensions
de bâtiments doivent obligatoirement répondre au standard de haute performance énergétique
et respecter toutes les prescriptions énergétiques minimales pour la construction et la
rénovation.
Pour ce faire, ils utilisent des formulaires/logiciels agréés qui permettent de saisir
Un autre calcul théorique doit être remis au service de l'énergie au minimum 30 jours avant le
début des travaux. Il s'agit de l'indice de dépense de chaleur admissible, qui représente la
consommation théorique d'énergie pour le chauffage et l'eau chaude. Sur cette base, le service
peut contrôler la consommation d'énergie d'un bâtiment en exploitation.18
Pour les bâtiments neufs, le standard de haute performance énergétique correspond au label
MINERGIE ou aux critères cumulés suivants :
1. les besoins de chauffage sont inférieurs ou égaux à 80% des besoins admissibles de
chaleur pour le chauffage définis par la norme* SIA 380/1.
2. la part d'énergie non renouvelable pour couvrir les besoins de chauffage et d'eau
chaude sanitaire est inférieure ou égale à 60% des besoins admissibles de chaleur
définis par la norme* SIA 380/1.
3. pour la ventilation/climatisation et l’éclairage, les valeurs cibles définies par la norme
SIA 380/4 sont respectées
18
file:///C:/Users/chaima/Desktop/hpe/1.%20B%C3%A2timents%20neufs%20ou%20extension%20_%20Energi
e.htm
- développer des produits aérauliques capables de ventiler sur de larges plages de débit, de
traiter l’air, d’avoir un encombrement réduit et de générer le moins de nuisances sonores
possible.
- développer des équipements moins puissants et hybrides pour la maison individuelle (mixant
énergies renouvelables et énergies fossiles),
- développer l’énergie partagée via les réseaux pour le petit collectif ou le quartier.
8. Caractérisation et mesure de la performance :
Des écarts importants peuvent exister entre la performance énergétique prévisionnelle d’un
bâtiment et sa performance réelle, en fonctionnement.
Le principal enjeu, aujourd’hui, est d’arriver à expliquer ces écarts. Pour cela, il faut être
capable d’identifier les problématiques, et de faire la distinction entre ce qui relève :
- de la conception (qualité des hypothèses prises en compte, qualité des modèles physiques).
- de la performance des matériaux et équipements (conductivité de l’isolant, efficacité de la
chaudière, efficacité de la ventilation double flux…).
- de la mise en œuvre (est-ce que l’isolant a été dégradé par la pluie ?).
- du fonctionnement des équipements,
- de l’usager, de ses comportements (qui aura un impact croissant sur la performance
énergétique à mesure que l’on s’achemine vers des bâtiments à haute performance
énergétique).
- de la dégradation des performances du bâti dans le temps.
9. Les outils de simulation :
Les outils de simulation du bâtiment sont des outils-clés dans le processus de réalisation de
bâtiments performants. Ils doivent en effet permettre :
d’optimiser la conception des bâtiments (par exemple, aider à trouver la meilleure
stratégie pour assurer un confort d’été, en prenant bien en compte tous les apports
solaires gratuits).
d’interpréter les mesures et relevés réalisés en fonctionnement. Cela appelle à
développer des outils de simulation :
qui soient plus fins dans les modèles physiques utilisés : il faut en effet être capable de
décrire de manière exacte le bâtiment (matériaux, inertie, ensoleillement…) et son
comportement.
qui permettent de prendre en compte différents scénarios (modèles de comportement,
scénarios d’apports internes…)
qui soient plus conviviaux.
Architecture et conduite opérationnelle de projet 2 éme années master Page 59
Chapitre 02 : la qualité architecturale et environnementale
Action n°2 : Définir des cibles quantifiables et mesurables sur la qualité de vie à l’intérieur du
bâtiment
19
Octobre 2014 « La qualité architecturale affiche sensibilisation » conseil d’architecture d’urbanisme et
l’environnement d’Eure-et-Loir p02
20
Vitruve : Architecte romain qui vécut au 1er siècle av. J.-C. Il est l’auteur du traité« De architectura » qui
expose sa vision de la qualité de l’architecture (firmitas, utilitas,venustas).
21
Octobre 2014 « La qualité architecturale affiche sensibilisation » conseil d’architecture d’urbanisme et
l’environnement d’Eure-et-Loir p 02
L'entretien est une méthode de recueil d’informations qui consiste en des entretiens
oraux, individuels ou de groupes, avec plusieurs personnes sélectionnées soigneusement,
afin d'obtenir des informations sur des faits ou des représentations, dont on analyse le
degré de pertinence, de validité et de fiabilité déterminé en regard des objectifs du recueil
d'informations.
On distingue trois techniques d'entretien :
L'entretien non directif est utilisé pour approfondir les connaissances d'une situation
ou d'un objet complexe d'un point de vue psychologique, sociologique, économique et
environnemental pouvant être liés à l'évaluation qualitative. L’intervieweur laisse le
répondant parler. Ce dernier est maître du déroulement de l'entretien.
L'entretien peut être semi directif. Dans ce cas, il permet au répondant d'apporter des
réponses aux questions posées par l'intervieweur de manière libre mais contrôlée.
Dans le cas où l'interviewé sort du cadre de la thématique, le chercheur le remet
rapidement sur les rails de la recherche.
L’entretien directif, par contre, permet au chercheur de limiter les réponses en fonction
de son sujet de recherche. L’interviewé a le choix entre différentes alternatives de
réponses choisies préalablement par le chercheur. Il utilise une grille d'entretien où
sont répertoriées et classées des questions précises, avec parfois des items spécifique.
(FARHIA, 2008).
II. 4. Système d’évaluation MATEA :
Le modèle Analytique pour la Théorie et l'expérimentation Architecturale nous
propose une méthode d'évaluation relative à la qualité architecturale .
Selon son initiateur, le professeur Stéphane Hanrot (2005) « l'évaluation de la qualité
architecturale ne peut être que relative, relative aux points de vue des acteurs (architecte
et autres) qui se prononcent, forment une critique et en débattent. Dans ce cas, il revient à
la discipline architecturale elle-même de savoir comparer ces points de vue -c'est à dire
d'en apprécier les écarts et la variabilité dans le temps- pour se construire une
représentation plus globale de la qualité architecturale et mieux comprendre et
reconnaitre les termes positifs de la critique et du débat qu'elle ouvre". La qualité, selon
son point de vue, se mesure à partir d'un référentiel culturel, individualisé par nos propres
sens.
Le calcul des :
- notes moyennes sur un point de vue tous aspects confondus.
- notes moyennes sur un ensemble de points de vue tous aspects confondus.
- notes moyennes par aspect formant un point de vue moyen.
Déterminer les écarts-types pour mesurer la cohérence architecturale des valeurs
données aux aspects :
-Homogénéité/hétérogénéité, mesure la cohérence d'un point de vue donné.
- la divergence/convergence, mesure la cohérence entre des points de vue.
photo n°06: exemple d’un chronographe permet de situer les points de vue dans le
temps (les cases grisées).
Relié à Nantes par un tram train, il privilégie nettement l’offre de transport publics par rapport
à celle de la voiture particulière ; offre qui sera renforcée en deuxième phase par la création
d’une gare TGV dans l’emprise de terminal, TGV qui le connectera directement à Rennes, et
jusqu’à Paris.
Le coût du projet s'élève officiellement à 556 millions d'euros hors taxes (estimation
en 2010) dont 43,3 % sont directement subventionnés par l'État et les collectivités
locales.
Avec une surface au sol de 1 650 hectares, enveloppe sur laquelle porte la déclaration
d'utilité publique (DUP) du projet d’aéroport et de sa desserte routière, la concession
aéroportuaire représente une superficie de 1 239 ha (constituée de la zone des
installations aéroportuaires pour 776 ha et de deux espaces consacrés à des mesures
environnementales pour environ 463 ha).
Convaincus de la pertinence de cette stratégie territoire, nous avons voulu inscrire le projet
architectural dans une vision nouvelle. Nous n’avons pas imaginé un aéroport monument,
mais un bâtiment simple qui renoue avec l’expérience des premiers bâtiments pour l’aviation.
le terminal est une vaste halle de plain –pied, baignée de lumière naturelle. Elle s’annonce
avec un auvent généreux qui abrite la dépose des passagers et l’arrivée du tram-train. C’est là
que déboucheront également les accès de la gare souterraine du TGV.
Les façades dédoublées d’une résille en bois servent de toile de fond aux jardins qui
entourent le bâtiment et qui se retrouvent en patio à l’intérieur.
Les passagers, une fois la porte franchise, ont une vue directe de leur parcours, la piste et les
avions s’apercevant en droite ligne à l’autre extrémité du hall. La toiture en sheds est un
diffuseur de lumière naturelle, conjuguant l’efficacité d’une structure industrielle à la
sophistication d’un plafond de musée : la construction se fait oublier, la lumière est douce,
l’acoustique sereine.
Deux patios introduisent des fragments de paysage au cœur du dispositif. Ils seront vus par
les passagers tant au départ- zone d’attente et commerciale- qu’à l’arrivée – livraison des
bagages – d’une grande économie dans les moyens constructifs employés, le terminal sera
également d’une grande frugalité pour sa consommation d’énergie.
Les aires de stationnement d’un aéroport consomment une surface de terrain équivalente à
celle des pistes. Ici, l’organisation des parkings se calque sur la trame du paysage bocager.
Les haies d’arbres sont conservées dans leur intégralité et définissent l’échelle des zones de
De plus, seul un tiers des parkings est revêtu de bitume ; ce tiers correspond à la jauge
moyenne de besoin en stationnement de l’aéroport. Un deuxième tiers utilisé
occasionnellement, est traité en sol perméable stabilisé. Le dernier tiers, qui correspond à
deux ou trois période de pointe dans l’année, est laissé en herbe. Ce parti pris de paysage
s’affiche dès l’accès au site aéroportuaire, des arbres d’alignement bordant toutes les voies
d’approche.1
https://www.google.com/searchA9roport+du+Grand+Ouest+%E2%80%94+Wikip%C3%A9dia.htm%
23Arguments_en_faveur_du_projet&ie=utf-8&oe=utf-8&client=firefox-b-ab
1
la stratégie de développement le livre ce qui fait métropole.
Introduction :
Capitale de l’Est algérien, Constantine ville à caractère attractif important, gère depuis
l’antiquité la majorité des wilayas qui l’entoure économiquement, commercialement et
administrativement ; ce qui nécessite des infrastructures qui s’adaptent à sa grandeur et sa
valeur.
Aujourd’hui et avec la mondialisation, Constantine a besoin de sortir de sa coquille,
émerger et s’ouvrir plus sur le monde extérieur, stimuler les échanges économiques et
touristiques ; pour cela il faut qu’elle soit à la hauteur dans le secteur des transports et de la
communication comme toute autre ville économique au monde, bien sûr la voie aérienne
constitue l’un des apports les plus importants et non négligeable.
2. Description de projet :
développement des activités sur la plate forme, jusqu'à 1993, où le projet d’une
nouvelle piste (16/34) a été lancé pour l’accueil de gros porteurs. Avec la nouvelle
L’aéroport constitue une porte aérienne et présente la première image exposée aux
touristes qui débarquent ; donc il doit être conçu de façon à satisfaire aux exigences
sans cesse accrues des clients, pour leur bien être sous toutes ses formes : confort,
beauté, simplicité et efficacité.
Le côté psychologique est très important, il faut chercher à améliorer les relations
entre l’aéroport et le passager .Ce dernier peut être angoissé du fait que c’est son
premier vol, ou préoccupé par d’autres problèmes. Ce milieu doit offrir un aspect de
simplicité et d’efficacité se caractérisant par certains effets décoratifs dans les
aménagements, l’éclairage naturel, jet d’eau,... afin d’offrir une ambiance
accueillante.
Source : https://www.google.com/search?qA9roport+de+constantine&client=firefox-
3. Définition de l’aérogare :
Équipement permettant l’accueil et le transport des personnes et des bagages depuis
l’avion jusqu’aux moyens de transport terrestre ou vis versa. Différentes opérations
sont alors nécessaires ; elles se font dans le bloc de trafic ou l’aérogare. On distingue :
Aérogare : passagers
Aérogare : fret.
Aérogare : passagers
Aérogare intérieure destinée au trafic des voyageurs en régime non contrôlé (sauf pour la
sécurité).
Aérogare extérieure (douanière) destinée au trafic des voyageurs et leurs bagages soumis au
contrôle (police, santé, douane).
4. Types de trafic :
Trafic national :
Passagers et bagages ne quittent pas le territoire national, ils ne sont soumis à aucune
formalité douanière (sauf pour la sécurité).
Trafic international :
Passagers et bagages quittent le territoire national ou arrivent de l’étranger sur ce dernier ; ils
sont soumis aux formalités de frontière.
Trafic de transit :
Transit direct :
Le passager arrive par avion avec un numéro de vol et repart avec le même numéro
après passage dans l’aérogare.
Transit indirect :
Le passager arrive par avion avec un numéro de vol et repart avec un autre numéro en
passant par l’aérogare.
Transit rapide :
Passagers et bagages arrivent avec un avion et repartent par le même avion sans
descendre.
National - national
National – international
International –national
International – international
Aux services publics, notamment à ceux chargés des contrôles aux frontières (polices,
douanes, santé)
A l’administration de l’aéroport
Au public
Fonctions de l’aérogare :
Fonctions de commerce :
Elles sont associées à une recherche de rentabilité des surfaces et liées à des choix
spécifiques du gestionnaire :
Restaurants, cafétéria
Fonction administrative :
Cela concerne les compagnies aériennes, police, PAF (police des frontières), douane, santé,
ainsi que les services de gestion de l’aéroport (base aérienne, navigation aérienne,
météorologie).
Fonction trafic :
L’autre dite « sous douane » séparée de la première par une «frontière » qu’on ne peut
franchir qu’à travers des « filtres » où s’accomplissent les formalités nécessaires (police,
douane, santé).
Vérification des titres d’identité et visas au moment du passage des frontières des
passagers par la police de l’air et des frontières.
Contrôle de douane :
Contrôle de sécurité :
Contrôle de santé :
Centralisation – décentralisation :
Avant d’embarquer et au départ, le passager aérien doit subir les trois types de formalité suivants :
Enregistrement
Contrôle de sûreté
Contrôle transfrontières
Il existe deux possibilités pour implanter chacun des points de contrôle et des formalités
effectuées :
Système centralisé : tous les points de contrôle sont rassemblés en un endroit unique où
doivent passer tous les passagers.
Système décentralisé : les points de contrôle sont disséminés par petits groupes en
différents emplacements de l’aérogare, choisis en fonction du cheminement des passagers.
Passagers et bagages :
Ils doivent suivre des itinéraires déterminés au cours desquels ils accomplissent ou
subissent diverses opérations telles que le franchissement de « la frontière ».
Équipage :
Les membres de l’équipage n’ont pas de bagages à enregistrer, mais ils sont soumis
aux mêmes formalités de frontière que les passagers.
Conditions à réaliser :
L’acheminement des passagers et des bagages doit s’effectuer dans l’ordre des opérations à
accomplir, autant que possible sans rebroussement et cisaillement.
Les itinéraires doivent être facilement repérables, aussi courts que possible et aisés à
parcourir.
Sauf impossibilité matérielle, le transport des bagages doit être facile et rapide et évitant tout
encombrement pour les voyageurs. Il est souhaitable que le cheminement s’effectue sur un
même niveau.
La durée des opérations doit être aussi brève que possible et les passagers au départ se
dirigent individuellement guidés par une signalisation appropriée, vers une salle d’attente
d’où ils seront dirigés ensemble vers l’avion.
Chapitre 01 : le transport
Tableau des photos :
Cessna 152 21
Photo 13
Photo 14 La piste de l'aéroport de London City 23
Photo 17 Tour de contrôle avec sa vigie, son fût et le bloc technique en pied de 25
tour
Photo18 L’écran des départs de l’aéroport d’Athènes 26
Les tableaux :
tableau titre page
Tableau01 les critères des phases de projet 53
http://ec.europa.eu/eurostat/documents/3888793/5845985/KS-RA-10-001-
FR.PDF/200e3483-c093-4aa7-8b3e-cdc709d130da.
https://www.insee.fr/fr/metadonnees/definition/c2038
https://www.insee.fr/fr/metadonnees/definition/c2039
http://slideplayer.fr/slide/1663237/
http://www.faq-logistique.com/Comparaison-modes-transport.htm
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mode_de_transport#Transport_maritime
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1 https://fr.wikipedia.org/wiki/Mode_de_transport#Transport_maritime
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ension%20_%20Energie.htm
mémoire :
Mémoire de fin d’étude (master 2) ; l’impacte des études de réalisation sur la maitrise
d’une opération de construction/promotion 2014-2015 OEB.
Salomé Ruel, sous la direction de Moufida Touihri, Mémoire de 2eme année Master
tourisme et hôtellerie, « la démarche qualité en hôtellerie intégrée : quels enjeux »,
2011/2012, P33
livre :
D’après le dictionnaire de la rousse 2010.
Vidal de La Bl., Prince. géogr. hum. 1921, p. 251.
Selon le dictionnaire de français
Une démarche qualité est-elle applicable en agence d’architecture », RAUSTAN
Sophie, DESS IMOA2003-2004
Vitruve : Architecte romain qui vécut au 1er siècle av. J.-C. Il est l’auteur du traité« De
architectura » qui expose sa vision de la qualité de l’architecture (firmitas,
utilitas,venustas).
Manuel canadien de pratique de l’architecture ; janvier 2009
la stratégie de développement le livre ce qui fait métropole
Fichier PDF :
http://adera-association.com/wp-content/uploads/2012/10/Dossier-noir-du-Transport-
A%C3%A9rien-Final-24-11-2015.pdf
http://www.europarl.europa.eu/workingpapers/envi/pdf/brief2fr_fr.pdf
http://197.14.51.10:81/pmb/GENIE%20CIVIL/INFRASTRUCTURES%20DE%20TR
ANSPORT/c4450.pdf
http://ddata.over-
blog.com/3/31/32/33/NDDL/ona_la_circulation_aerienne_pour_les_debutants-1-.pdf
Pour des bâtiments sains, confortables et respectueux de l’environnement .La démarche
HQE PDF
http://www.afipeb.org/publications/focus4.pdf
Évaluation de la HQE. Fichier PDF
Lois
Octobre 2014 « La qualité architecturale affiche sensibilisation » conseil
d’architecture d’urbanisme et l’environnement d’Eure-et-Loir p02