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Manipuler des données

géoréférencées

Copyright © 2004 – ESRI France - Tous droits réservés ArcView™ 9 - Niveau I

ArcView™ 9 - Niveau I Manipuler des données géoréférencées 6-1


ArcView™ 9 - Niveau I Manipuler des données géoréférencées 6-2
Résumé du chapitre

? Qu'est ce qu'une carte ?

? Les grandes familles de projection

? Projection et distorsion

? Stocker, visualiser et renseigner les informations de


projection

? La notion de projection à la volée

? Définir les unités de travail

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Un système d'information géographique permet de saisir, afficher, représenter et analyser l'information


géographique. Il est important de comprendre que le SIG décrit simplement une réalité, mais ce n'est pas
"La" réalité. Toutefois, représenter la réalité le plus exactement possible est crucial pour obtenir des
résultats d'analyse précis.
Il est donc nécessaire de référencer les données en les localisant précisément à la surface de la Terre (c'est
ce que l’on appelle le géoréférencement). Si les entités ne sont pas exactement positionnées ou si les
formes utilisées pour représenter les objets ne sont pas correctes, l'utilisation d'une carte ou d'un SIG lors
de l'analyse des relations spatiales les unissant ne donnera pas les résultats appropriés. Il est donc important
de bien comprendre et de déterminer leur système de coordonnées.

Qu'est ce que le géoréférencement ?


Le géoréférencement est un processus permettant d'établir une relation entre les données affichées dans
votre Système d'Information Géographique et leur position dans le monde réel.
La terre étant ronde, et les cartes étant plates, la conversion de positions géographiques d’une surface
courbe sur une surface plane nécessite l’utilisation d’une formule mathématique appelée projection
cartographique.

Pour bien exploiter les données dans votre SIG, il est nécessaire de référencer leur position à la surface de
la Terre. En utilisant un système de coordonnées, le géoréférencement transforme des données spatiales en
données géospatiales.
Le géoréférencement regroupe trois types d'opérations différentes : la transformation des données spatiales
en données géospatiales par la déclaration d'un système de coordonnées, la transformation d'un système de
coordonnées géographique à un autre, la transformation des données spatiales par transformation
algébrique (translation, rotation… ).

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Qu'est ce qu'une carte ?
? Une carte est une représentation plane, simplifiée de la surface
terrestre.

? Tout objet (ou tout phénomène) localisable dans l'espace est


susceptible d'être représenté géographiquement sur une carte.

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Définition
Une carte est une représentation géométrique plane, simplifiée et conventionnelle de tout ou d'une partie de
la surface terrestre, dans un rapport de similitude convenu : l'échelle.
Tout objet ou tout phénomène localisable à la surface du globe est donc susceptible d'être cartographié.

Historique
Les premières cartes était destinées à pouvoir se repérer et se diriger dans l'espace. Elles représentaient des
objets géographiques fixes afin de localiser les grands éléments de l'espace et son occupation (relief, cours
d'eau, voies de communication… ).
L'évolution des besoins de représentation spatiale ainsi que le caractère changeant des paramètres de
géographie humaine ont entrainé un changement d'objectif du document cartographique. Outre fournir des
informations de localisation et de repèrage des grands ensembles fixes de l'espace, la carte fournit une
visualisation spatiale des phénomènes dans de nombreux domaines et permet la mise en évidence des
corrélations existantes.
Elle demeure un des meilleurs outils de communication d'informations dans de nombreux domaines.

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Se localiser
? Système de cordonnées géographiques
? Système de coordonnées planaires

•3 D •2 D
•Système de coordonnées •Système de coordonnées
sphériques cartésiennes
•Latitude et longitude ne sont pas •Les mesures d'angles et de
uniformes à la surface de la Terre longueurs sont uniformes

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Un système de coordonnées cartographiques permet d'affecter à vos données spatiales une localisation qui
correspond à la localisation des objets à la surface de la Terre.
Pour localiser ou mesurer des entités sur une surface en deux dimensions, un système de coordonnées
planaires est plus approprié.

Système de coordonnées géographiques


Le système de référence le plus couramment utilisé pour localiser des objets à la surface de la Terre est un
système de coordonnées sphériques mesuré en latitude-longitude. Ce système peut être utilisé pour
positionner un point n'importe où à la surface du Globe. En raison de sa capacité à localiser des points, le
système de coordonnées sphériques est couramment nommé Système de Coordonnées Géographiques ou
encore Système de référence Global.
Les longitudes et les latitudes sont des angles mesurés entre le centre de la Terre et n'importe quel point
placé à la surface de la terre. La longitude mesure un angle Est ou Ouest tandis que la latitude mesure un
angle Nord ou Sud. Les lignes longitudes, aussi appelées méridiens, s'étendent du Pôle Nord au Pôle Sud.
Les lignes latitudes, appelées aussi parallèles, encerclent le globe d'anneaux parallèles.
Les latitudes et longitudes sont traditionnellement mesurées en degrés, minutes et secondes ou en degrés
décimaux. Les valeurs de longitudes varient de 0° pour le méridien d'origine (Greenwich) à 180° lorsque
l'on se déplace vers l'Est et de 0 à -180° lorsque l'on se déplace vers l'Ouest. Les valeurs de latitudes varient
de 0° (Equateur) à 90° lorsque l'on se déplace vers le nord et de 0° à -90° lorsque l'on se déplace vers le
sud.

Les systèmes de coordonnées planaires


En raison des difficultés rencontrées lors de la prise de distances dans un système de coordonnées
sphériques, les données géographiques sont projetées en un système de coordonnées planaires. Sur une
surface plane, les positions des points sont identifiées par les coordonnées x et y d'une grille dont l'origine
est le centre de la grille. Chaque point est localisé par un couple de coordonnées qui le référence par
rapport au centre de la grille. La première coordonnée marque la position horizontale du point et la seconde
la position verticale de ce point. Ces deux valeurs sont appelées coordonnées X et coordonnées Y.

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Projection cartographique
? La conversion de positions géographiques d’une
surface courbe à une surface plane nécessite
l’utilisation d’une équation mathématique complexe
appelée projection cartographique.

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Une projection cartographique est une méthode permettant de convertir la surface en 3 dimensions de la
Terre en une surface cartographique plane en 2 dimensions. Elle peut représenter la totalité de la surface
terrestre ou une portion en fonction de nos besoins.

Principe
Le principe en est assez simple. Les premiers cartographes avaient imaginé de représenter sur une surface
plane la projection des objets placés à la surface de la Terre à partir d'une lampe. Cette source lumineuse
peut être placée au centre du globe, sur le côté opposé du globe par rapport à la surface plane, ou à une
certaine distance de la Terre. La surface en deux dimensions peut être un cylindre, un plan ou un cône.

Aujourd'hui
Aujourd'hui, toutes les projections utilisent des formules mathématiques qui permettent de convertir les
données d'un système de localisation géographique (latitude-longitude) vers une surface plane. Bien que
l'on utilise des fonctions mathématiques pour calculer les coordonnées planaires des différents objets situés
à la surface de la Terre, le terme de projection est toujours utilisé pour décrire l'ensemble des règles qui
contrôlent les distorsions existantes sur les différentes cartes.

Problèmes
La projection d'une surface courbe pose deux problèmes difficiles à gérer :
•La détermination de la forme et des dimensions de la Terre : il est nécessaire de modéliser la surface à
projeter.
•La projection de part et d'autre de cette forme sur le plan : il faut choisir l'algorithme de projection.

Si vous souhaitez en savoir davantage sur les projections, consultez le module gratuit du Virtual Campus
d'ESRI "The Basics of Map Projections" sur le site http://campus.esri.com

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Les grandes familles de projection
•Projections conformes •Projections équivalentes
Mercator Lambert 93 Mollweide

•Autres familles
Equidistante Intermédiaire Autres exemples

Azimuthale Robinson UTM – Zone 31 Bonne


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La notion de distorsion
Une projection cartographique permet de rapporter des points géographiques d’une surface courbe à une
surface plane. Ce processus de mise à plat entraîne des altérations de la forme, de la surface, de la distance
et de la direction. Heureusement, on peut choisir parmi plusieurs systèmes de projection en fonction de leur
aptitude à représenter des portions particulières de la surface terrestre et à préserver la distance, la surface
ou la direction. Certaines projections minimisent la distorsion d’une propriété particulière au détriment des
autres, tandis que d’autres projections minimisent globalement les altérations.

On distingue différentes grandes familles de projection :


Les projection conformes
Ces projections conservent sur un plan les angles observés sur la surface terrestre mais modifient les
rapports de surface. Elles sont les plus usitées. Les projections Lambert (I, II, III, IV et 93) utilisées pour
représenter le territoire français font parties de cette famille.

Les projections équivalentes


Ce type de projection conserve les rapports de surface et modifient les angles. Elles sont très usitée en
statistiques et en sciences de la Terre. Parmi ces projections, citons la projection de Mollweide.

Les autres familles de projections


Il existe également d'autres systèmes de projection beaucoup moins utilisées : les projections équidistantes
qui conservent les distances, les projections interrompues… .

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Les projections Lambert I, II, III, IV et 93
2° 20´ 14.025" E
? Projections coniques tangentes x= 600 000 m
y= 1200 000 m
avec facteur d'échelle. 55 gr
Lambert I
? Projections conformes x= 600 000 m
y= 2200 000 m
(angles et longueurs). 52 gr
Lambert II
? Projections Lambert I, II, III, IV basées
x= 600 000 m
sur le système géodésique NTF. y= 3200 000 m
49 gr
Lambert III
? Projection Lambert 93 basée
Lambert IV 3° E
46.85 gr
sur le système géodésique RGF 93.

Parallèle d'origine
Lambert 93 x= 700 000 m
y= 6 600 000 m
46° 30' N

Méridien central Origine

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Les projections Lambert:


En France, les projections les plus utilisées sont les projections Lambert. Les cônes des projections
Lambert sont tangents à l’ellipsoïde le long d’un parallèle de contact appelé aussi parallèle origine (de
latitude L0). Le sommet de ces cônes se trouve sur la ligne des pôles. Le cône développé sur un plan donne
la projection Lambert.
L’origine de la projection correspond à l’intersection entre le méridien central formant l’axe des Y
(méridien de Paris) et le parallèle origine formant l’axe des X. Les coordonnées de cette origine ont été
modifiées (par exemple +600 km en X et + 200 km en Y pour les Lambert I,II et III) de manière à n’avoir
aucune coordonnée négative sur le territoire français.
La France le territoire est couvert par 4 systèmes de projection Lambert (les zones Lambert). La définition
de ces 4 systèmes de projection est la suivante :

Depuis 1972, l’IGN fait figurer sur les cartes le numéro de la zone en ajoutant à la place des milliers de km
un 1 pour la zone I, un 2 pour la zone II, un 3 pour la zone III et un 4 pour la zone IV. Ainsi, une valeur Y
de 2569 km correspond à une valeur en Y de 569 km dans la zone II (centre).

Remarque:
Même si les projections Lambert I, II, III et IV de la France sont, par définition, des projections tangentes
avec un facteur d'échelle, généralement les paramètres qui la décrivent sont ceux des projections sécantes
correspondantes car ce sont elles qui sont requises pour l'utilisation des logiciels SIG et certains récepteurs
GPS.

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Stocker les informations de projection
? Soit dans un fichier annexe associé aux données (fichier de
projection ou fichier de géoréférencement)
? Soit directement dans la base de données

Fichier de formes Fichier .PRJ

Couverture Fichier PRJ.ADF

Fichier de CAO-DAO Fichier .PRJ

Raster Fichier .AUX

Géodatabase personnelle Table SGBDR

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Stocker la projection et toutes les informations de référence spatiale avec un jeu de données particulier est
important car outre le fait de permettre aux utilisateurs d'accéder à ces informations, cette opération permet
à ArcMap d'utiliser automatiquement la projection de la source des données.

Associer des fichiers de projection


Selon les différents formats de données, il est possible de stocker ces informations dans une partie du jeu
de données. Dans la plupart des cas, ces informations doivent être stockées dans un fichier au format texte
associé au jeu de données. Pour les fichiers de formes et les couvertures, ce fichier est appelé fichier de
projection (extension du fichier .prj) tandis que dans le cas d'image ou de fichier CAO, on parle de fichier
de géoréférencement. La géodatabase est unique dans le sens où elle stocke elle même l'information de
référence spatiale dans la base de données et supprime ainsi la nécessité d'utiliser un fichier annexe.

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Visualiser les informations de projection
? ArcCatalog
? Informations de référence spatiales accessibles via les Propriétés
de la couche
? Propriétés du champ SHAPE

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Visualiser les informations de projection


Les informations de projection associées aux entités de la couche sont consultables à partir de l’application
ArcCatalog d’ArcGIS via l’onglet Champs de la boîte de dialogue des Propriétés de la couche.
Lorsque l’utilisateur sélectionne le champ Shape, l’ensemble des propriétés spatiales de la couche apparaît.
Le type d’entités stockées dans la couche est accessible (bien que non modifiable) ainsi que la référence
spatiale dans laquelle les données sont stockées. Pour visualiser l’ensemble des paramètres associés à ce
système de coordonnées, il suffit de cliquer sur le bouton gris situé à droite du nom du système de
référence. Les boutons situés dans la partie basse de la boîte de dialogue permettent à un utilisateur
expérimenté de modifier éventuellement les différents paramètres.

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Renseigner les informations de projection
? Pour un fichier de formes, une géodatabase personnelle, un raster

? Pour un fichier de CAO-DAO ajout du fichier .PRJ via l’Explorateur


Windows
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Renseigner les informations de projection


Si les informations de projection n’ont pas été définies au préalable par l’utilisateur, ArcCatalog affichera
comme référence spatiale la valeur Unknow (inconnue). En cliquant sur le bouton gris situé à droite de
cette valeur, ArcCatalog ouvre une boîte de dialogue nommée Propriétés de référence spatiale présentant
tous les outils de définition du système de projection.
En cliquant sur le bouton sélection, ArcCatalog propose à l’utilisateur de sélectionner lui même parmi
l’ensemble des systèmes de coordonnées prédéfinis, celui qui correspond à la source de ces données.
Le bouton Appliquer permet à ArcCatalog de créer automatiquement le fichier de projection ou de
géoréférencement correspondant aux données. Lorsque ce fichier est créé, les informations de projection
sont stockées avec la source des données et n’importe quelle application d’ArcGIS pourra les exploiter.

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Projection à la volée
? Projection des couches vecteur et raster "à la volée"
? Projection de toutes les couches d’un
document à définir dans les propriétés
du bloc de données

Lambert II Etendu

Définir une projection pour toutes les


couches d'un même Document ArcMap

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ArcMap utilise les informations stockées dans les fichiers de projection ou de géoréférencement associés
aux différentes sources de données pour calculer l’échelle d’affichage des données ou pour superposer les
entités des différentes couches. Idéalement, pour bien manipuler les données dans ArcMap, les
informations de projections doivent être renseignées. Si une ou plusieurs couches ne possèdent pas de
fichier de géoréférencement, un message apparaît lors de l’ajout de ces couches dans le document ArcMap
indiquant que ces informations sont manquantes.

La projection à la volée
Lorsque l’utilisateur travaille dans un document ArcMap, l’application choisi parmi les différentes
projections cartographiques dont elle dispose un système de coordonnées et l’affecte à toute les couches
gérées dans le document de manière à permettre la superposition des différentes entités : C’est la
projection à la volée. La projection initiale des données n’est pas modifiée mais elle est utilisée pour
permettre la superposition des entités. Si une ou plusieurs couches ne possèdent pas de fichier de projection
ou de géoréférencement, ArcMap affichera un message vous indiquant qu’il n’est pas capable de projeter à
la volée les entités de ces couches et il est possible que les différentes couches n’apparaissent pas
superposées dans la zone d’affichage géographique.

Le système de projection par défaut


Par défaut, ArcMap affecte à la zone d'affichage géographique la projection de la première couche ajoutée.
Lorsque d'autres couches sont ajoutées au document ArcMap, elles seront automatiquement projetées dans
la projection par défaut du document ArcMap.
Toutefois, l’utilisateur peut définir lui même son propre système de coordonnées parmi les centaines de
fichiers prédéfinis dont il dispose. Pour ce faire, l’onglet Système de coordonnées de la boîte de dialogue
Propriétés du bloc permet de choisir le système de coordonnées qui sera affecté à la zone d’affichage
géographique.

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Définir les unités de travail

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Bien qu’ArcMap reconnaissent les fichiers de projection ou de géoréférencement associées aux couches
d’informations, il est nécessaire, lors de la création d’un nouveau document ArcMap, de lui indiquer les
différentes unités de travail du ou des blocs de données géré(s) dans le document ArcMap. Sans cette
étape, ArcMap n ’est pas capable d’afficher l’échelle de représentation des données ou d ’exprimer les
bonnes distances séparant les entités.

Définir les unités de travail


Ces informations doivent être renseignées sous l’onglet Général de la boîte de dialogue des Propriétés de
chaque bloc de données présent dans le document ArcMap.
Dans un premier temps, il est nécessaire de renseigner les unités de la carte. Ces unités sont directement
liées au système de coordonnées affecté à la source des données. En cas de doute sur l’unité utilisée pour le
stockage des données, consultez le dictionnaire des données ou adressez-vous au fournisseur des données
source.
Lorsque les unités de la carte sont renseignées, il reste à indiquer à ArcMap dans quelles unités vous
souhaitez travailler au sein de votre document. Pour ce faire, il suffit de choisir dans le menu déroulant
Afficher ces unités. ArcMap utilisera ces unités lors de l’affichage des mesures prises dans le document.

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Résumé de l’exercice

? Observer et calculer des échelles cartographiques

? Reconnaître et définir l’échelle cartographique

? L’effet des projections sur la représentation des


données spatiales

? L’altération des formes

? Les projections Lambert

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