Suites numériques,

modèles discrets
1spé Maths
Lycée Regnault
Activité 1 p 19
Activité 1 p 19
Activité 1 p 19
Activité 1 p 19
Mode de génération d’une suite numérique
Suite définie par une formule explicite
Ex 25 à 27 p 26
Ex 25 à 27 p 26
Ex 28 p 26
Ex 28 p 26
Suite définie par une relation de récurrence
Ex 30 p 26
Ex 30 p 26
Ex 32 p 26
Ex 34 p 26
Suite arithmétique de raison r
Formule explicite

Somme des termes d’une suite arithmétique

Ex 41 p 27
Ex 41 p 27
• Succursale A :
34 −35 = 33−34 = −1 mais 31−33 = −2.
On ne peut pas modéliser le chiffre d’affaires de A
avec une suite arithmétique.
• Succursale B :
37−35 = 39−37 = 41−39 = 2.
On peut modéliser le chiffre d’affaires de B durant ces
4 mois avec une suite arithmétique de raison 2.
Si l’évolution se poursuit ainsi, le chiffre d’affaires de
B, le mois n (avec n 𝜖 ℕ , n>1), sera 35+2(n−1)
c’est-à-dire 33+2n.
Ex 43 à 47 p 27
Ex 43 à 47 p 27
Ex 50 p 27
Ex 51 p 27
 Ex 55 et 56 p 28

S = u0 +(u0 +5)+(u0 +2×5)+…+(u0 +10×5)

T = v0 +(v0 −3)+(v0 −2×3)+…+(v0 −30×3)

Ex 60 p 28
Ex 60 p 28
Ex 108 p 35
Ex 108 p 35
Ex 108 p 35
Ex 110 p 35
Ex 110 p 35 Pour calculer l’aire de
chaque trapèze, on utilise ici
la formule suivante (avec les
notations ci-contre) :
Ex 110 p 35
Donc, la suite (an) est
arithmétique de raison
Suite géométrique de raison q
Formule explicite
Somme des termes d’une suite géométrique
Ex 67 p 28
Ex 67 p 28
Ex 68 à 70 p 29
Ex 68 à 70 p 29
Ex 72 p 29
Ex 76 p 29

a) Ce programme affiche les termes de u1 à u10 de la suite géométrique (un) de raison telle que u0 =
−1000 000.
b) Le dernier nombre affiché par ce programme est -976,562 5 (c’est-à-dire u10 ).
En fait, -1953,125 est la valeur de u9 (avant dernier nombre affiché).
Ex 79 et
80 p 29
Ex 82 p 29
Ex 82 p 29
Ex 113
p 35
Ex 113
p 35
a) Pour tout nombre n de ℕ,
mn+1 = mn −0,165mn
mn+1 = 0,835mn
Ex 116
p 36
Ex 116
p 36
Ex 126
p 37
Ex 126 Un édifice de n étages, contient
p 37 2 + 4 + 6 +…+2n cartes dressées
et 1+2 +…+(n−1) cartes horizontales.
Le nombre S total de cartes est :
S = 2 + 4 + 6 +...+ 2n +1+2 +...+(n−1)
S = 2(1+2 +3+...+ n)+1+2 +...+(n−1)
S = 3(1+2 + 3+...+ n)−n

5×52 = 260, donc on cherche n pour que S = 260

c’est-à-dire pour que 3n² + n = 520 soit
3n² + n−520 = 0.

Or, n est un nombre entier naturel, donc n = 13.

Ainsi, Raphaël pourra construire un château de cartes
de 13 étages sur ce modèle.
Ex 138 p 39
Ex 138 p 39
Ex 138 p 39
Ex 138 p 39