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Nous avons choisi la nouvelle « 

Tout va bien sur le Kilimandjaro » et pour


l’illustrer, c’est cette image que nous avons décidé de prendre :
Nous allons séparer notre exposé en deux parties : La première sera dédiée à
la présentation de notre document iconographique ainsi que de l’histoire de
celui-ci, la seconde, quant à elle, servira à comprendre les liens et les
différences entre la nouvelle de Romain Gary et l’image choisie.

1) Présentation du document iconographique


Au premier plan nous pouvons observer une mer d’une teinte bleuté et
d’une translucidité sans pareil, les rayons du soleil soulignent encore plus
cette translucidité et la beauté de cette eau turquoise. Sur ces eaux, on peut
percevoir une embarcation de maigre qualité s’apparentant à une pirogue
(situé au second-plan), malgré cela, l’éblouissante lumière du soleil couplée à
la magnificence de l’eau brillant telle un gigantesque saphir fait paraitre la
piètre embarcation (plus précisément un « longtail de Thailande ») comme
étant une simple pirogue sans de grandes tares apparentes. Un homme se
tient debout sur cette embarcation, saluant enthousiasmant la personne
prenant la photo, malgré la qualité d’image assez médiocre nous pouvons lui
deviner un sourire, tandis qu’il s’apprête à amorcer l’accostage d’une
sublime petite plage de sable blanc (située en arrière-plan) brillant de mille
feux sous les rayons du soleil.
C’est au-dessus de cette même plage que nous distinguons clairement un
sublime mur végétal constitué d’arbres se mêlant et s’entremêlant, les
nuances de verts sont parfaitement bien placées et, la sublime lumière du
soleil contrebalance parfaitement avec les arbres qui semblent traverser la
masse de feuillage pour s’en échapper, ce qui provoquent un léger sentiment
d’inconfort. Ce sentiment d’inconfort est également causé par l’angle de la
photo qui accroit d’autant plus l’immensité des arbres se dressant telle une
barrière infranchissable, ces sensations et sentiments entremêlés
provoquent un agréable inconfort.
Derrière cette muraille forestière nous pouvons apercevoir deux imposantes
et majestueuses collines elle aussi entièrement recouvertes de végétation
dense qui, telle une mauvaise herbe, semblent s’être répandues sur toute
l’étendue de l’île. Entre ces splendides collines se trouve le ciel, ciel sans
nuage et d’un bleu éclatant, ciel d’été sacrant le paysage de son humble
personne, ciel qui généreusement, laisse la grande étoile jaune baigné la
mer, la forêt et les collines de sa lumière d’une blancheur éclatante.
Sur la rive nous pouvons également observer un grand rocher se dressant
seul au milieu de cet océan végétal telle une bouée de sauvetage sur une
mer déchainée ce rocher ressemblant à s’y méprendre à une main semblant
lever un doigt en direction du ciel, lui-même sensible à l’étourdissante
beauté de celui-ci, nous pourrions presque l’entendre nous murmurer
« admirez, admirez la magnificence de ce ciel d’azur, admirez la perfection de
cette immense étendu d’un bleu effarant ».

2) Liens/Différences entre le document iconographique est


la nouvelle de Romain Gary.
Cette seconde partie sera divisée en deux sous parties : la première sera
dédiée au lien entre la nouvelle et le document iconographique et la
deuxième aux différences :
A) Nous avons trouvés de multiples liens entre la nouvelle « Tout va bien
sur le Kilimandjaro » et notre document iconographique (5 pour être précis)
et c’est dans cette deuxième partie que nous allons vous les présenter :
Tout d’abord ; le premier lien que nous avons identifiés est simplement le
fait que dans la mairie du village de Touchagues se trouve une salle spécial
contenant un grand nombre de carte postales provenant des quatre coins du
globe fournies en grande partie par Albert Mezigue (« Une salle spéciale de
la mairie est résérvée aux reliques de l’explorateur. On y trouve notamment
plus de mille cartes postale envoyées de tous les coins du monde par Albert
Mézigue », (l.12, 13 et 14 ; p°58)). Par conséquent nous avons choisi un
document iconographique qui servit et sert à illustrer des cartes postales, de
surcroit l’image de notre document iconographique représente un paysage
exotique plus apte à l’exploration, car c’est un paysage bien plus attrayant
que celui d’un marécage boueux par exemple, ce qui rapproche d’autant plus
le lien entre les cartes postales de Touchagues et celle que nous avons
choisie.
Par la suite nous avons repéré que l’image d’un homme sur un bateau
s’apprêtant à explorer une île paraissant non habité faisait grandement
pensé à l’exploration car, en effet un grand nombre voir la quasi-totalité des
expéditions furent menées à bien par des voix maritimes (inutile de citer des
noms d’explorateurs qui menèrent des expéditions en bateau comme
Christophe Colomb ou bien Jacques Cartier car leur nombre dépasse
probablement l’imagination). Ce qui nous ramène à Albert Mezigue, le héros
de la nouvelle qui, a pour seul but de plaire à une femme qui lui disait qu’elle
désirait se marier avec un explorateur, pour conquérir son cœur il partit
explorer des terres inconnues aux quatre coins du globe. Nous pouvons
facilement l’identifier à l’homme sur la photo qui, souriant s’apprête à
découvrir de nouvelles choses en se disant que c’était un pas vers le cœur de
sa bien-aimée.
Nous avons également remarqué que l’homme sur la barque est un homme
de la mer (c’est-à-dire un marin, qui vient du latin marinus, dérivé de mare
qui signifie : mer. Cela explique le terme homme de la mer) et que, comme
dit plus haut la mer est souvent, et à raison associé au domaine de
l’exploration. D’autant plus qu’Albert Mézigue a certainement participé à au
moins une expédition par voix maritimes car, je tiens à le rappeler, Albert
Mézigue est parti aux quatre coins du monde (au sens littéral du terme) pour
devenir un grand explorateur, il a donc du forcément croiser la route d’un
bateau lors d’une exploration, je tiens également à rappeler qu’on a vu à
mainte reprise un homme sur les ports demander des nouvelles de la ville de
Touchagues et réagissant comme ci il était Albert Mezigue.
Le quatrième lien que nous avons choisi se base sur le paysage tropicale
absolument sublime de notre document iconographique, qui avec sa mer
d’un bleu clair et profond, sa petite plage de sable blanc étincelant sous les
rayons du soleil et son ciel d’un bleu à couper le souffle, fait sans cesse
penser au paysage d’une île paradisiaque comme celles de Rio de Janeiro
(« Bien reçu votre dernière carte de Rio de Janeiro », (l.114 et 115 ; p°63 »)).
C’est justement de Rio de Janeiro que notre grand explorateur enverra sa
dernière carte postale à sa bien-aimée avant d’apprendre qu’elle c’était
mariée et que toute sa carrière basé sur son seul amour pour cette femme
fut réduit à néant.
Le dernier lien que nous avons repéré est que l’immense forêt recouvrant la
quasi-totalité de l’île fait penser à s’y méprendre à une forêt tropicale
comme celles d’Amazonie, lieu qui, je le rappelle sont très souvent sujets à
de nombreuses expéditions (inutile de rappeler le lien entre le domaine de
l’exploration et Albert Mézigue). Nous pouvons également mettre en lumière
le fait que la forêt amazonienne a de prime abord un charme très attrayant
mais qui cache en elle bien des dangers, tout comme la vie d’Albert Mezigue
qui fut pour beaucoup une vie remplie et pleine de bonheur alors que celui-ci
ne put même pas exercer le métier qu’il aurait eu envie de pratiquer et il fut
obligé de partir loin de ses proches et de sa famille dans le seul but de
conquérir le cœur d’un fille qui se maria à un autre homme.
B) Nous avons également trouvé deux différences principales entre le
document iconographique et la nouvelle de Romain Gary :
Tout d’abord, dans le titre de la nouvelle il est fait mention de la montagne
nommé « Kilimandjaro » et malgré les collines présentes sur notre document
iconographique, nous ne les avons pas jugés assez importante pour les
qualifier de liens. C’est pour cette raison qu’à défaut d’être un lien c’est une
différence.
Ensuite dans la nouvelle il n’est nulle part fait mention d’île tropicale comme
celle représenté sur notre document iconographique, même si il est fait
mention de Rio de Janeiro il n’est pas écrit une seule fois qu’Albert Mézigues
est visité une île tropicale même si l’on peut se douter très fortement qu’il l’a
déjà fait.
Pour finir cette présentation nous allons vous expliquer quelle partie
représente notre document iconographique. Comme vous pouvez le
constatez sur l’image choisie il n’est point question de villes ou de rues
marchandes, en effet nous avons fait le choix de sélectionner une image qui
représente les aventures d’Albert Mézigues qui sont, tout comme notre
image magnifique aux premiers abords mais qui, en se rapprochant un peu
sont moins sublime que ce que l’on aurait cru. Notre photo représente donc
la vie aventureusement triste d’Albert Mézigue qui fut un très grands
explorateur non pas pour l’argent, la reconnaissance ou la gloire mais bien
pour l’amour.
Merci de nous avoir écoutés
Vert : Romain
Rose : Edouard
Jaune : Aurel
Bleu : Raphael
Orange : Elias
noir : Tout le monde

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