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SUBVENTIONS ET MESURES COMPENSATOIRES : PRÉSENTATION

Présentation de l'Accord sur les subventions et les mesures


compensatoires (“Accord SMC”)

L'Accord sur les subventions et les mesures compensatoires (“Accord


SMC”) traite de deux questions distinctes mais étroitement liées : les
disciplines multilatérales qui régissent l'octroi de subventions, et le recours
à des mesures compensatoires en vue de neutraliser le dommage causé
par des importations subventionnées.
Structure de l'Accord
La Partie I prévoit que l'Accord SMC s'applique uniquement aux
subventions qui sont accordées spécifiquement à une entreprise ou
branche de production ou à un groupe d'entreprises ou de branches de
production, et définit aussi bien le terme “subvention” que la notion de
“spécificité”. Dans les Parties II et III, l'ensemble des subventions
spécifiques sont classées en deux catégories — subventions prohibées et
subventions pouvant donner lieu à une action (1), des règles et procédures
étant établies pour chaque catégorie. La Partie V contient les prescriptions
de fond et de procédure auxquelles il doit être satisfait avant qu'un Membre
puisse appliquer une mesure compensatoire à l'encontre d'importations
subventionnées. Les Parties VI et VII énoncent la structure institutionnelle
et les modalités de notification et de surveillance pour la mise en œuvre de
l'Accord SMC. La Partie VIII contient des règles relatives au traitement
spécial et différencié en faveur des diverses catégories de pays en
développement Membres. La Partie IX renferme les règles de transition
pour les pays développés et anciens pays à économie planifiée Membres.
La Partie X traite du règlement des différends et la Partie XI contient des
dispositions finales.
Champ d'application de l'Accord
La Partie I définit le champ d'application de l'Accord. Plus concrètement,
elle donne une définition du terme “subvention” et une explication de la
notion de “spécificité”. Seule une mesure qui est une “subvention
spécifique” au sens de cette partie est assujettie aux disciplines
multilatérales et peut faire l'objet de mesures compensatoires.

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Définition du terme subvention. A la différence du Code des subventions
du Tokyo Round, l'Accord SMC de l'OMC contient une définition du terme
“subvention”. La définition comporte trois éléments fondamentaux : i) une
contribution financière ii) des pouvoirs publics ou de tout organisme public
du ressort territorial d'un Membre iii) qui confère un avantage. Pour qu'il
y ait subvention, il faut que tous ces trois éléments soient réunis.
La notion de “contribution financière” n'a été incluse dans l'Accord SMC
qu'après de longues négociations. Certains Membres faisaient valoir qu'il
ne pouvait y avoir subvention tant qu'il n'y avait pas de dépense imputée
sur le budget de l'État. D'autres Membres estimaient que certaines
interventions de l'État n'impliquant pas de dépenses publiques n'en
faussaient pas moins la concurrence et devaient donc être considérées
comme étant des subventions. Dans l'Accord SMC, c'est essentiellement la
première approche qui a été adoptée. L'Accord dispose qu'il doit y avoir
contribution financière et contient une liste des types de mesures qui
constituent une telle contribution : dons, prêts, participation au capital
social, garanties de prêt, incitations fiscales, fourniture de biens ou de
services, et achat de biens.
Pour qu'une contribution financière soit réputée être une subvention, elle
doit être faite par les pouvoirs publics ou par tout organisme public du
ressort territorial d'un Membre, ou sur instruction de ceux-ci. L'Accord
SMC s'applique donc aux mesures prises par les pouvoirs publics non
seulement au niveau central mais aussi aux échelons inférieurs, ainsi que
par des organismes publics tels que les sociétés d'État.
Une contribution financière des pouvoirs publics n'est pas une subvention
tant qu'elle ne confère pas un “avantage”. Dans bien des cas, comme celui
d'une aide financière directe, l'existence d'un avantage est manifeste et son
évaluation aisée. Parfois, cependant, la question de l'avantage est plus
complexe. Par exemple, dans quelles circonstances un prêt, une
participation au capital social ou l'achat d'un bien par les pouvoirs publics
confèrent-ils un avantage ? L'Accord SMC ne donne que des orientations
partielles sur ces aspects. En fait, les participants aux négociations du
Cycle d'Uruguay n'ont pas pu s'entendre sur le point de savoir s'il faut
déterminer l'existence d'un avantage par rapport à un critère commercial
ou par rapport aux coûts encourus par les pouvoirs publics qui accordent

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la subvention. L'article 14 de l'Accord SMC dispose que, aux fins de
l'application d'un droit compensateur, l'existence d'un avantage peut être
déterminée (mais non nécessairement) par rapport à un critère
commercial, et donne quelques indications pour déterminer si certains
types de mesure confèrent un avantage. Dans le contexte des disciplines
multilatérales, cependant, la question de la signification du terme
“avantage” n'est pas entièrement résolue.
Spécificité. À supposer qu'une mesure soit une subvention au sens de
l'Accord SMC, elle ne sera cependant pas visée par l'Accord SMC à moins
d'avoir été spécifiquement accordée à une entreprise ou branche de
production ou à un groupe d'entreprises ou de branches de production. Le
principe de base est qu'une subvention qui fausse l'affectation des
ressources dans un pays devrait être assujettie à une discipline.
Lorsqu'une subvention est accordée à un grand nombre de bénéficiaires
dans un pays, il est présumé que l'affectation des ressources n'est pas
faussée en ce sens. Ainsi, seules les subventions “spécifiques” sont
assujetties aux disciplines prévues par l'Accord SMC. Il existe quatre types
de “spécificité” au sens de l'Accord SMC :

• Spécificité au niveau de l'entreprise. Le subventionnement par les


pouvoirs publics est ciblé en faveur d'une entreprise ou de plusieurs
entreprises particulières ;
• Spécificité au niveau de la branche de production. Le
subventionnement par les pouvoirs publics est ciblé en faveur d'un
secteur ou de plusieurs secteurs particuliers ;
• Spécificité régionale. Le subventionnement par les pouvoirs publics
est ciblé en faveur de producteurs dans telle ou telle partie du
territoire.
• Subventions prohibées. Le subventionnement par les pouvoirs
publics est ciblé en faveur de produits d'exportation ou de produits
utilisant des intrants d'origine nationale.

Catégories de subventions

L'Accord SMC établit deux grandes catégories de subventions : celles qui


sont prohibées et celles qui peuvent donner lieu à une action (c'est-à-dire

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qui peuvent être contestées dans le cadre de l'OMC ou faire l'objet de
mesures compensatoires). Toutes les subventions spécifiques relèvent de
l'une ou de l'autre de ces catégories.
Subventions prohibées. Deux catégories de subventions sont prohibées
aux termes de l'article 3 de l'Accord SMC. Les premières sont les
subventions subordonnées, en droit ou en fait, soit exclusivement, soit
parmi plusieurs autres conditions, aux résultats à l'exportation
(“subventions à l'exportation”). Une liste détaillée des subventions à
l'exportation est annexée à l'Accord SMC. Les secondes sont les
subventions subordonnées, soit exclusivement, soit parmi plusieurs
autres conditions, à l'utilisation de produits nationaux de préférence à des
produits importés (“subventions liées à la teneur en éléments d'origine
nationale”). Ces deux catégories de subventions sont prohibées car elles
visent à influer sur le commerce et sont donc les plus susceptibles d'avoir
des effets défavorables pour les intérêts d'autres Membres.
La portée de ces prohibitions est relativement limitée. Les pays développés
avaient déjà accepté de prohiber les subventions à l'exportation dans le
cadre du Code des subventions du Tokyo Round et les subventions liées à
la teneur en éléments d'origine nationale, telles que celles qui sont
prohibées par l'Accord SMC, étaient déjà incompatibles avec l'article III du
GATT de 1947. Ce qu'il faut surtout signaler au sujet du nouvel accord
dans ce domaine, c'est qu'il étend ces obligations aux pays en
développement Membres conformément à des règles de transition définies
(voir plus loin la section consacrée au traitement spécial et différencié) et
qu'il institue, à l'article 4, un mécanisme de règlement des différends
rapide (dans un délai de trois mois) pour les plaintes relatives aux
subventions prohibées.
Subventions pouvant donner lieu à une action. La plupart des
subventions, comme les subventions à la production, relèvent de la
catégorie de celles qui “peuvent donner lieu à une action”. Celles-ci ne sont
pas prohibées. Elles peuvent cependant être contestées, par le biais soit
du mécanisme multilatéral de règlement des différends, soit d'une mesure
compensatoire, au cas où elles auraient des effets défavorables pour les
intérêts d'un autre Membre. Il existe trois types d'effets défavorables. Il y a
d'abord le dommage causé par les importations de produits subventionnés

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à une branche de production établie sur le territoire du Membre qui porte
plainte. C'est le seul facteur pouvant servir de base à une mesure
compensatoire. Il y a ensuite le préjudice grave, qui résulte habituellement
d'effets défavorables (détournement d'exportations, par exemple) sur le
marché du Membre qui accorde la subvention ou sur le marché d'un pays
tiers. À la différence du dommage, le préjudice grave peut donc servir de
base à une plainte concernant le tort causé aux intérêts d'un Membre en
matière d'exportations. Enfin, il y a l'annulation ou la
réduction d'avantages résultant du GATT de 1994, qui se produisent le
plus souvent lorsque l'accès amélioré au marché qui est censé résulter
d'une réduction tarifaire consolidée est compromis par le
subventionnement.
La création d'un système de voies de recours multilatérales permettant aux
Membres de contester les subventions ayant des effets défavorables
représente un grand progrès par rapport au régime qui existait avant
l'institution de l'OMC. La difficulté reste cependant la nécessité, dans la
plupart des cas, pour le Membre qui porte plainte de démontrer les effets
défavorables du subventionnement sur le commerce, ce qui exige une
analyse axée sur des faits que les groupes spéciaux peuvent parfois avoir
du mal à effectuer.(2).
Subventions agricoles. L'article 13 de l'Accord sur l'agriculture établit,
pendant la période de mise en œuvre spécifiée dans l'Accord (jusqu'au
1er janvier 2003), des règles spéciales concernant le subventionnement
des produits agricoles. Les subventions à l'exportation qui sont pleinement
conformes à l'Accord sur l'agriculture ne sont pas prohibées par l'Accord
SMC, même si elles demeurent sujettes à des mesures compensatoires. Les
mesures de soutien interne pleinement conformes à l'Accord sur
l'agriculture ne donnent pas lieu à une action sur le plan multilatéral,
même si elles peuvent aussi faire l'objet de droits compensateurs. Enfin, le
soutien interne relevant de la catégorie “verte” au sens de l'Accord sur
l'agriculture ne peut pas faire l'objet d'action multilatérale ni de mesure
compensatoire. Après la période de mise en œuvre, l'Accord SMC
s'appliquera aux subventions agricoles visées par les dispositions de
l'Accord sur l'agriculture, conformément à l'article 21 de cet accord.
Mesures compensatoires

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La Partie V de l'Accord SMC énonce certaines prescriptions de fond qui
doivent être respectées aux fins de l'application d'une mesure
compensatoire, ainsi que des prescriptions de procédures détaillées
régissant la conduite d'une enquête en matière de mesures compensatoires
et l'imposition et le maintien en vigueur de telles mesures. Le non-respect
de ces prescriptions de fond ou de procédure prévues à la Partie V peut
entraîner le recours au mécanisme de règlement des différends et servir de
base à l'invalidation de la mesure.
Règles de fond. Un Membre ne peut pas imposer de mesure
compensatoire à moins de déterminer qu'il existe des importations
subventionnées, un dommage causé à la branche de production nationale
et un lien de causalité entre les importations subventionnées et le
dommage. Comme il est dit plus haut, l'existence d'une subvention
spécifique doit être déterminée conformément aux critères prévus à la
Partie I de l'Accord. Les critères relatifs au dommage et au lien de causalité
figurent cependant à la Partie V. A cet égard, l'Accord SMC comporte un
élément nouveau important en ce sens qu'il autorise explicitement le
cumul des effets des importations subventionnées en provenance de
plusieurs Membres lorsqu'il est satisfait aux critères spécifiés. En outre, la
Partie V contient les règles relatives à la détermination de l'existence et du
montant d'un avantage.
Règles de procédure. La Partie V de l'Accord SMC contient des règles
détaillées régissant l'ouverture et la conduite des enquêtes en matière de
droits compensateurs, l'imposition de mesures provisoires et finales, le
recours à des engagements et la durée d'application des mesures. Ces
règles visent essentiellement à faire en sorte que les enquêtes soient
menées de manière transparente, que toutes les parties intéressées aient
pleinement la possibilité de défendre leurs intérêts et que les autorités
chargées des enquêtes donnent des explications adéquates sur les
fondements de leurs déterminations. On relèvera ci-après quelques-unes
des principales innovations de l'Accord SMC :

• Représentativité. L'Accord donne une définition chiffrée des


circonstances dans lesquelles il existe un soutien suffisant de la part
de la branche de production nationale pour justifier l'ouverture
d'une enquête.

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• Enquête préliminaire. L'Accord prévoit qu'une enquête préliminaire
doit être effectuée avant qu'une mesure provisoire puisse être
imposée.
• Engagements. L'Accord limite le recours aux engagements mettant
fin aux enquêtes en matière de droits compensateurs, afin d'éviter
l'application d'arrangements d'autolimitation ou de mesures
analogues déguisés en engagements.
• Clause d'extinction. L'Accord dispose qu'une mesure compensatoire
doit prendre fin après cinq ans sauf s'il est déterminé que le maintien
en vigueur de la mesure est nécessaire pour empêcher le
subventionnement et le dommage de subsister ou de se reproduire.
• Révision judiciaire. Aux termes de l'Accord, les Membres sont tenus
de créer un tribunal indépendant qui vérifiera que les
déterminations des autorités chargées des enquêtes sont
compatibles avec le droit interne.

Règles de transition et traitement spécial et différencié

Pays développés. Les Membres autrement non habilités à bénéficier d'un


traitement spécial et différencié disposent d'un délai de trois ans à compter
de la date à laquelle l'Accord SMC entre en vigueur pour eux pour éliminer
progressivement les subventions prohibées. Celles-ci devaient être
notifiées dans les 90 jours suivant la date d'entrée en vigueur de l'Accord
sur l'OMC pour le Membre présentant la notification.
Pays en développement. L'Accord SMC reconnaît trois catégories de pays
en développement Membres : les pays les moins avancés Membres (“PMA”),
les Membres dont le PNB par habitant est inférieur à 1 000 dollars par an
et qui sont énumérés à l'Annexe VII de l'Accord SMC, et les autres pays en
développement. Plus le niveau de développement d'un Membre est bas,
plus ledit Membre bénéficie d'un traitement favorable en ce qui concerne
les disciplines relatives aux subventions. Par exemple, les PMA et les
Membres dont le PNB par habitant est inférieur à 1 000 dollars par an et
qui sont énumérés à l'Annexe VII sont exemptés de la prohibition touchant
les subventions à l'exportation. Les autres pays en développement
Membres disposent d'un délai de huit ans pour éliminer progressivement
leurs subventions à l'exportation (ils ne peuvent pas relever le niveau de

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ces subventions pendant cette période). S'agissant des subventions au
remplacement des importations, le délai imparti pour leur élimination est
de huit ans pour les PMA et de cinq ans pour les autres pays en
développement Membres. Un traitement plus favorable est aussi prévu
pour les subventions donnant lieu à une action. Par exemple, certaines
subventions liées aux programmes de privatisation des pays en
développement Membres ne donnent pas lieu à une action sur le plan
multilatéral, et la présomption de l'existence d'un préjudice grave pour les
subventions définies ne s'applique pas aux pays en développement
Membres. S'agissant des mesures compensatoires, les exportateurs de ces
pays peuvent prétendre à un traitement plus favorable pour la clôture des
enquêtes lorsque le niveau du subventionnement ou le volume des
importations est peu élevé.
Membres dont l'économie est en voie de transformation en une
économie de marché. Les Membres dont l'économie est en voie de
transformation en une économie de marché disposent d'un délai de sept
ans pour éliminer progressivement les subventions prohibées. Celles-ci
doivent, cependant, avoir été notifiées dans les deux ans suivant la date
d'entrée en vigueur de l'Accord sur l'OMC (soit au 31 décembre 1996), afin
de bénéficier du traitement spécial. Un traitement préférentiel est aussi
appliqué à ces Membres pour les subventions donnant lieu à une action.
Notifications
Subventions. L'article 25 de l'Accord SMC dispose que les Membres
doivent notifier toutes les subventions spécifiques (à tous les niveaux du
gouvernement et pour tous les secteurs de produits, y compris
l'agriculture) au Comité des subventions et des mesures compensatoires.
Ils doivent présenter de nouvelles notifications complètes tous les trois ans
et, dans l'intervalle, des notifications de mise à jour. Les notifications font
l'objet d'un examen et d'un débat approfondis dans le cadre du Comité des
subventions et des mesures compensatoires.
Législation et mesures en matière de droits compensateurs. Tous les
Membres sont tenus de notifier leurs lois et réglementations au Comité des
subventions et des mesures compensatoires en application de l'article 32.6
de l'Accord SMC. Les Membres doivent également notifier chaque semestre
toutes les décisions en matière de droits compensateurs, ainsi que les

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décisions préliminaires ou finales en matière de droits compensateurs au
moment où elles sont prises.
Règlement des différends
L'Accord SMC dispose que les règles pertinentes du Mémorandum d'accord
sur le règlement des différends sont applicables d'une manière générale. Il
prévoit néanmoins des procédures accélérées, notamment dans le cas des
allégations concernant les subventions prohibées. Il établit aussi des
mécanismes spéciaux pour le rassemblement des renseignements
nécessaires à la détermination de l'existence d'un préjudice grave dans le
cas de subventions donnant lieu à une action.

Notes:
1.Lorsqu'il est entré en vigueur, l'Accord prévoyait une troisième catégorie,
celle des subventions ne donnant pas lieu à une action. Cette catégorie (de
même qu'une disposition établissant la présomption de l'existence d'un
préjudice grave causé par certaines subventions) ne devait rester en
vigueur qu'à titre provisoire pendant cinq ans, soit jusqu'au
31 décembre 1999, sauf si, conformément à l'article 31, le Comité SMC
décidait par consensus de prolonger son existence. Au 31 décembre 1999,
un tel consensus n'existait pas.
2. Pour remédier à ce problème, l'Accord SMC prévoyait l'existence, à titre
provisoire pendant cinq ans, soit jusqu'au 31 décembre 1999, d'une sous-
catégorie de subventions pouvant donner lieu à une action pour lesquelles
il existait une présomption réfutable de l'existence d'un préjudice grave.
En vertu de l'article 31, l'application de cette disposition (ainsi que de celles
qui concernaient les subventions ne donnant pas lieu à une action) pouvait
être prolongée par consensus par le Comité SMC. Au 31 décembre 1999,
un tel consensus n'existait pas. Retour au texte

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