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Management int est different de commerce int ! il peut y avoir des elements
communs, mais le management int est un champs specifique qui porte sur les
strategies des E int sur tt ce qui releve du pilotage des individus et des strategies mis
en œuvre.
M.int sous entend une spécificité, car le manager ne se comporte pas pareil selon
qu’il se trouve au plan national ou au plan int.
Le M.int a des specificité liées au fait que le manager ne se comporte pas pareil
selon que son activité soit int ou domestique. ie : tous les phenomènes int ont un
impact sur l’E.
Biblio :
- Thery Benoit : manager dans la diversité culturelle
- Theyr Benoit : dvpt des RH à l’int
ouvrages très simples !
- Usunier Jean Claude : M.int
- Karsaklian Elianee : le manager international, aspects strategique et
manageriaux
ouvrages pas très interessants !
- Dolfuss Olivier : La mondialisation
- Oresenna Erik : voyage au pays du coton, petit traité de mondialisation
ouvrages indispensables à lire !
Erik Orsenna est un académicien francais, conseiller d’hommes politiques. Son
ouvrage est en 3 tomes (tome 2 l’avenir de l’eau, et tome 3 sur la route du papier).
Exemple : l(article sur le commerce du luxe en chine du BCG (Boston consulting
group)
(McKinsey, accenture sont d’autres grands groupes de conseils aux E)
En 2009 la moitié du CA du textile Fr se faisait à l’int. -> S’ouvrir à l’int ce n’est pas
simple, mais on est ajd dans une dynamique qui fait que se dvpt est indispensable.
Le manager int devra s’intéresser à tout ces aspects (langue, culture…). La Q de l’int
touche énormément de facteurs.
C’est à dire ?
Les pays emergents, comme la chine, la corée du sud, le brésil et l’inde, sont des
marchés considérables. On voit aujourd’hui ce que le luxe français vend sur ce
marchés.
Offshoring : fait d’avoir des implantations financières dans des pays qui permettent
de developper des activités à des coûts intéressants.
Roland barthes nous montre que derrière les phenomènes eco, on peut avoir des
reflections sur le fonctionnement de la société. Ils s’appui sur la mode, mais ca
s’applique à bcp de secteurs. L’obsolescence du produit.
Un produit usé est un produit vendu ! Dans les années 1920, des industriels
américains ont trouvé la formule magique pour soutenir la consommation.
Les industriels intègrent cette obsolescence dans leur dynamique dans le but de
vendre plus. Ex : Apple ! la mode ! et ajd quelques pâtissiers ! -> il y a tout un univers
derrière la vente.
« la culture monde « désigne le moment où le capitalisme s’est planétarisé, où le
marché est devenu un modèle économique universel sans vraie alternative »
« on consomme partout, en tout lieu et à tout moment « G. Lipovetsky
Il faut considération l’élément récent d’identité de consommation. -> On a
l’impression (mais c’est une partie de la réalité) que laterre entière est devenue un
marché, ouvert et vaste, offert aux gdes entreprises, et qu’on consomme partout la
même chose.
La culture-monde est l’avènement de l’éco de marché. Les phénomènes de conso
sont permanents et créent une forme d’uniformisation, qui fait que tout le monde
consomme la même chose.
Dans les sociétés actuelles, marquées par la mondialisation du marché, on peut
craindre que la consommateur se soit substitué à l’individu, le local au culturel et le
global au générique. La conscience plus ou moins claire que nous prenons de cette
dégradation est un des aspects de la crise que nous vivons, car la crise actuelle n’est
pas seulement, eco ou sociale…La crise de conscience planétaire concerne notre
place dans l’univers : nous savons désormais que nous vivons sur une planète
fragile. C’est un fait radicalement nouveau dans l’histoire de l’humanité.
C’est l’effet papillon. Comment le management int intègre tous les éléments de
responsabilité sociale de l’E à l’int.
Nous avons l’impression que le monde est uniformisé, mais bcp de singularités
perdurent, et doivent etre prises en compte par les managers int.
Cette notion d’uniformisation, d’un monde ouvert, n’est pas qu’une réflexion
d’homme d’entreprise, ou de macroéconomistes, c’est aussi une réflexion de
sociologues et de littéraires.
Et l’entreprise :
Quelles sont les qualités des personnes avec qui je vais travailler ? Leur formation ?
Avec ses 65 millions d’habitants, la France est le second marché de cnso le plus
important d’Europe après l’Allemagne. La France est la 5eme économie mondiale,
avec un PIB d 2751 milliards de dollars. C’est le résultat d’une forte ouverture à l’int.
(Le 9/10/12)
Les facteurs de marché : Une entreprise va à l’int car elle a besoin de dvpter son
activité. (diapo) besoin des consommateurs, opportunité de circuit de distribution
Les facteurs de coût : un produit coute trop chère à produire, donc on va faire faire
un partie du produit ailleurs.
Les facteurs gouvernementaux : les dispositifs inst, juridiques et fiscaux mis en place
pour favoriser l’accueil d’E qui veulent investir dans le pays.
Une entreprise qui pénètre dans un ensemble régional, met le pied dans un marché
potentiel nouveau.
Facilitent les stratégies des entreprises à travers la réduction des coûts et des temps
de transport
Réduction des coûts de transport
Regroupement des centres de production mais maintien ou extension du
rayon de diffusion des produits.
Les entreprises peuvent quand même adapter leurs produits a des spécificités de
marché (ex : mcdo)
Dvpter sa compétitivité (produit plus attractif) n’est pas seulement lié à une question
de coût mais aussi parce que ce produit répond mieux aux attentes, car il contient
des éléments qui vont satisfaire ce besoin. Un produit peut répondre à des besoins
auxquels on n’avait même pas supposé l’existence.
La durée de vie du produit est de plus en plus courte ! C’est lié à l’intensification de la
concurrence int.
Les entreprises rationalisent leurs implantations optimiser les coûts (ex : le centre de
R&D est en suisse pour des productions dans plusieurs endroits du monde). Plus
l’entreprise sera int, plus elle devra intensifier son développement pour ne pas se
faire dépasser par les concurrents.
FACTEURS CONCURRENTIELS
Evolution de la concurrence.
Certaines entreprises se doivent d’être présentes sur certains marchés face à la
concurrence.
Le manager int est qq’un d’ouvert sur le monde, et sensible aux évolutions des
besoins.
PROCESSUS D’INTERNATIONALISATION
L’un des choix du manager int est de se demander s’il fait lui même ou s’il fait faire
(le marketing, la prod…).
ENTREPRISE INTERNATIONALE
Le centre de décision, le système de production et de commercialisation sont dans le
pays d’origine. C’est donc la direction générale qui va avoir la main sur l’int.
Le manager int est celui qui aura la charge du dvpt int.
ENTREPRISE MULTINATIONALE
Production et commercialisation dans différents pays
IDE pour implanter des unités de production, développer des activités
Siège = décisions stratégiques
Unités locales (filiales) = gestion des activités courantes.
ENTREPRISE TRANSNATIONALE
Perd son identité « nationale »
Stratégie globale à l’échelle mondiale enjeu : Intégration ET différenciation.
(Le 16/10/12)
LA COMPETITIVITE A L’INTERNATIONALE
Ca suppose que l’entreprise dispose d’atouts et soit en position de force. Dans cette
concurrence, il faut faire au minimum aussi bien que les concurrents, voir mieux et
différemment.
-1 Coût et prix :
Plus on apparaît comme une entreprise dynamique, plus notre image nous permet
d’obtenir davantage de client.
IDE : l’investisseur est motivé par la volonté d’établir, avec l’entreprise, une relation
stratégique durable afin d’exercer une influence significative sur sa gestion.
L’IDE peut également permettre à l’investisseur d’accéder à l’économie de résidence
de l’entreprise d’investissement direct, ce qui pourrait lui être impossible en d’autres
circonstances.
L’innovation peut avoir des formes diverses : nouveau produit ou service (besoin non
satisfait ou inexistant), nouveau process, modification/transformation, nouvelle
utilisation d’un produit existant.
Innovation :
-Innovation ordinaire : provient des collaborateurs de l’entreprise, des clients etc. =
amélioration
-Innovation radicale (rupture technologique) : provient d’ingénieurs, de découvertes
technologiques etc -> R&D
-Innovation de niche : perfectionnement, développement s’adressant à de nouveaux
consommateurs ou portant sur de nouvelles utilisations.
Pour innover, il faut les bonnes conditions, une bonne attitude de l’entreprise (du
management), c’est à dire prise en considération de la nécessité d’innover, de
bonnes ressources (matérielles, financières, humaines…), une capacité à modifier
l’organisation, et une capacité à prendre en considérations ttes les implications de
l’entreprise.
C’est le manager qui est responsable de l’innovation.
2. Par la qualité
(Le 23/10/12)
Les normes sont des éléments qui constituent et caractérisent la qualité. Un certains
nombre de produits doivent répondre à des caractéristiques
La certification permet à une entreprise de faire reconnaître ses critères. La norme
ISO a valeur internationale.
Une norme est un document qui définit des exigences, des spécifications, des lignes
directrices ou des caractéristiques à utiliser systématiquement pour assurer l’aptitude
à l’emploi des matériaux, produits, processus et services. L’ISO a publié plus de
19000 normes.
Une norme est un ensemble des caractéristiques qui assure au consommateur que
le produit qu’il achète correspond à des performances prédéfinies.
Les normes couvrent des champs très étendus.
La norme ISO est reconnue dans le monde entier, son rôle est d’assurer un statut
officiel aux normes et d’en produire de nouvelles si nécessaire.
L’homologation de la qualité veut dire que le produit est conforme aux normes.
La certification signifie que le produit est conforme à la qualité spécifiée par
l’entreprise, toutes les étapes ont été respectées.
Une norme permet de définir un langage commun entre les acteurs éco, utilisateurs
et consommateurs. Ca harmonise les pratiques.
Un produit qui est homologué signifie que le produit est aux normes dans le pays de
production.
La certification est une activité par laquelle un organisme reconnu indépendant des
parties en cause, donne une assurance écrite qu’une organisation, un processus, un
service…
Comme la concurrence est globale, l’entreprise doit répondre à la fois aux exigences
globales et aux demandes spécifiques des marchés.
La demande peut être la même dans le monde, mais il y a des spécificités des
marchés.
Les compétences les plus importantes pour le manager à l’international doivent tenir
compte de la concurrence, des éléments décisifs sur la chaine de valeur, du
particularisme des marchés. Il doit avoir une grande culture générale pour
appréhender l’environnement dans lequel il va opérer.
L’ANALYSE STRATEGIQUE
Comment la manager int va opérer quand la décision d’aller à l’int à été prise ?
-Préparation de l’exécution
-Budget
-Mise en œuvre
-Contrôle – évaluation de la réalisation du dispositif
Il faut toujours être capable de s’adapter le plus vite possible aux changements du
marché : c’est le rôle du manager.
POINTS A ANALYSER
-Analyse des conditions d’accès au marché : Normes, homologation, fiscalité
-Analyse des besoins de la demande solvable. (Les produits qui rentrent dans l’UE
doivent répondre à beaucoup de critères)
-Analyse de la concurrence.
Plus on a d’éléments qui permettent de biens évaluer le marché, plus le dvpt de
projet est optimal.
1. standardisation
L’entreprise vend à l’étranger ce qu’elle vend sur son marché domestique : elle
standardise sa production, le produit est le même partout
La standardisation favorise une réduction des coûts mais n’est pas possible pour
certains produits
2. adaptation sélective
L’entreprise sélectionne le produit qui convient le mieux au marché cible (dans
beaucoup de cas !)
3. différenciation
L’entreprise fabrique un produit modifié en fonction du marché cible (modification
importante ou pas)
DECISION D’INTERNATIONALISATION ?
-Choix opérés par le management en fonction des évaluations
-Attractivité et conditions d’accès au marché
-Rentabilité
-Risques divers
Critères à retenir :
-Caractéristiques géographiques
-Caractéristiques socio-démo : Age, sexe, revenu
-Caractéristiques linguistiques et culturelles : langue, habitudes alimentaires,
perception de la pub
-Consommation : mesures, normes, types de distribution
STRUCTURES GLOBALES
-Concernent les multinationales :
Structure globale pas fonctions (assez rare)
-Chaque fonction s’internationalise
Structure globale par produits
Chaque division correspondant à un métier spécifique s’internationalise
Structure globale par zone (pays par pays ou par zone géo)
Le manager de zone gère la totalité du portefeuille de produits de sa zone
SYNTHESE :
LE MANAGER INTERNATIONAL, POUR PRENDRE LES BONNES DECISIONS :
- Doit connaître et comprendre l’environnement dans lequel il évolue
Le monde dans lequel il évolue (mondialisation, évolution des cadres
institutionnels...)
La diversité culturelle du monde
Il doit être capable d’anticiper, d’organiser, d’adapter son entreprise à
l’environnement dans lequel elle s’inscrit.
Pour cela il faut :
-Appréhender la concurrence sur les marchés
-Etre compétitif
LE MANAGER :
-Doit posséder une bonne connaissance de son environnement, et doit piloter ses
équipes.
-Même si l’environnement semble monoculturel ou unilingue, les conditions actuelles
d’une activité à l’international conduisent à avoir des clés de compréhension du
fonctionnement des individus car les interactions sont attendues.
Les deux niveau de mondialisation : niveau globale et niveau de l’entreprise
Rio+20 est le nom d’une conférence en 2012 20 ans après le sommet de la terre de
Rio en 1992 avec des milliers de participants venus du secteur privé.
DEVELOPPEMENT DURABLE
La commission Brundtland fait le lien entre la pauvreté et la dégradation de
l’environnement.
-Développement économique dans un souci de préservation et de gestion des
ressources, en respectant les personnes, en les traitant avec équité (dimension
sociale) l’agenda 21 pose les axes fondateurs du dvpt durable.
Les 3P (triangle) :
- Profits, économie
- Population équité
- Planète écologie
Ca forme le dvpt durable.
Dvpt durable = l’idée que le dvpt doit être partagé, équitable, solidaire entre les être
humains, l’entreprise exerce une réelle responsabilité vis à vis des autres.
Aspects économiques :
Impact des activités économiques sur l’environnement
-Réchauffement climatique
-Réduction de la biodiversité
-Exploitation abusive des ressources non renouvelables ; utilisation d’intrants
chimiques dans l’agriculture
- -> Modèle de croissance économiques trop consommateur d’énergies non
renouvelables, trop pénalisant pour l’avenir.
(Le 6/11/12)
Ces grandes rencontres entre les pays ont une vocation bcp plus large que de ne
s’occuper que des entreprises.
La vision qu’on a est d’avoir une perception bcp plus large de ses actes.
Le pacte mondial (par Koffi Annan). Le projet : Une économie plus viable et plus
ouverte.
Ces principes renvoient à une série de textes (DDHC, déclaration de Rio, convention
des nations unies contre la corruption).
Se poser ces questions implique d’avoir une réflexion éthique (respect des
personnes, respect de l’environnement naturel).
Ca conduit à se poser le question de la responsabilité au regard de ses actes.
Le manager est en relation avec des acteurs divers. -> le manquement à certaines
exigences crée des dysfonctionnements qui engendrent une perte quantifiable.
-> la responsabilité est partagée par tous les acteurs : ils sont en interrelation. Ex. les
sous-traitants sont en liens avec le manager.
La manière de travailler va se faire d’une façon interconnectée entre tourtes les
parties prenantes (groupes en contact avec l’entreprise : gouvernement,
investisseurs, groupes politiques, clients, fournisseurs, employés, société...).
-> Les parties prenantes sont des personnes ou groupes de personnes influant sur
les activités d’une entreprise ou concernée par celle-ci (internes ou externes).
RESPONSABILITE SOCIALE
L’entreprise en tant qu’acteur social doit être en mesure de répondre de ses actes et
de leur impact auprès de tous les publics concernés par son activité.
Elle doit tenir compte des parties prenantes (stakeholders)
Quelques principes :
-1 Principes de réversibilité : Il résulte de la définition même du DD « préserver les
capacités des générations futures à satisfaire leurs propres besoins »
Veiller à la réversibilité des choix effectués par une génération
Cela touche surtout des politiques publiques (concerne tout de même les
entreprises). Ex. OGM
La responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE) est une approche volontaire, qui doit
tenir compte des règles éthiques.
RSE : 3 critères :
-Volonté d’engagement de l’acteur éco
-Améliorer les performances sociales et environnementales au-delà des contraintes
juridiques existantes
-Bénéfices attendu pour l’entreprise (au regard des salariés, des parties prenantes...)
ACTIONS
-Adoption de chartes -> pour promouvoir une image, une réputation
-Mise en place de politiques d’économie d’énergie, de respect de la biodiversité,
d’exploitation respectueuse
-Mise en place de politique d’égalité d’homes/femmes, pas de travail des enfants...
-> travailler en respectant une série de règle pour améliorer son fonctionnement
interne, et pour se différencier en mieux de la concurrence.
En France, la loi NRE (2001) nvlle régulation éco, impose aux sociétés.
Le dvpt durable est une démarche transversale et internationales : N’a de sens que
si la démarche est mise en œuvre au plan international. Tous les secteurs éco sont
concernés.
(Le 13/11/12)
Commerce équitable :
-> Utiliser le commerce pour améliorer les conditions de vie des plus pauvres
-Denrées agricoles <- Revenu garanti (prix convenu à l’avance) aux producteurs
organisés en coopératives.
-Réduction de l’utilisation des produits chimiques
-Respect des critères sociaux
Lorsque les travailleurs sont soutenus et managés et tenant compte de leur travail et
leur valeur, ca concourt à une meilleure motivation et donc de meilleurs résultats.
Intérêt d’une GRH socialement responsable :
-Intérêt économique d’une gestion responsable socialement
-Employés plus qualifiés et plus motivés (Maslow) -> meilleure productivité
-Meilleure capacité d’innovation
A l’étranger :
-PVD ou pays émergents -> rémunération équitable + meilleure conditions de travail
que ce qui est couramment pratiqué
-Sécurité du travail
-Assistance médicale
Le consultant affirme que malgré l’uniformisation, le fait que les managers sont
formés de la mm manière (gestion anglo-saxonne) nous laisserait croire qu’il n’y a
pas de différence de fonctionnement d’E. Malgré cette apparente uniformisation, on
note que des pratiques subsistent, des particularismes culturels subsistent, car si ils
subsistent ca veut dire que le manager sera confronté à ces particularismes,
comment va-t-t-il résoudre ces pb ?
Il s’agit d’une prise en compte différente de la manière de travailler. Ces différences
sont porteuses de difficultés de réalisation des objectifs (stratégies...).
La dimension première de la fonction managériale est la responsabilité d’une équipe,
en perspective de l’atteinte des objectifs de l’E, or si les équipes sont porteuses de
particularismes culturels, qui entrent en divergence, c’est un risque potentiel pour l’E.
être un manager int, il y a des risques qu’à un moment se produisent des
incompréhensions.
Le management interculturel ?
Ca concerne les différences culturelles qui ressortent des équipes composées.
-C’est une discipline qui traite des interactions entre différentes formes de cultures
(interactions entre cultures d’entreprises, de métier, culture nationale...)
-Ca porte sur des aspects concrets opérationnels et sur la manière de comprendre
ce qui est en jeu.
L’art du management est de faire faire ce qu’on n’aurait pas fait de sa propre
initiative.
Obtenir des gens que les choses soient faites. Le manager assume les
responsabilités, mais chacun en principe est responsable de la réalisation des taches
qui lui sont confiées (délégation, donc obligation de rendre compte au supérieur
hiérarchique).
Travail en équipe = coordination, car chaque unité doit tendre vers un même objectif.
Le manager est celui qui être capable de coordonner.
Motiver c’est exercer le pouvoir, ca renvoi à la manière dont il pilote les équipes.
La façon dont on pilote une équipe contient et porte une dimension culturelle, ca ne
se fait pas de la même manière selon la culture dont on est issus.
CONFLIT :
Un environnement multiculturel est source de conflits, c’est l’idée selon laquelle des
situations vont générer des tensions :
-Mauvaises définition des rôles
-Différences de perspectives, d’enjeux, de cadres de références.
LE CONTRÔLE vise a s’assurer que les résultats sont conformes aux objectifs. Suivi
régulier -> permet de faire les ajustements nécessaires.
C’est un processus qui repose sur les actions passées et à venir.
L façon de controler va pousser e manager int à s’interroger.
DIFFICULTES : suscite méfiance, réserve chez ceux qui le subissent -> réactions
négatives et dommageables à l’organisation.
LE NOTION DE CULTURE :
C’est l’ensemble des traits distinctifs spirituels et matériels, intellectuels et
affectifs qui caractérisent une société ou un groupe social et qu’elle englobe,
outre les arts et les lettres, les modes de vie, les façons de vivre ensemble, les
systèmes de valeurs, les traditions et les croyances.
Objectifs :
-Créer des synergies, rendre les différences positives
-Repérer les différences, les comprendre pour permettre une communication
efficace, respectueuses des individus et des groupes.